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fan de histoires de mec

Jeudi 26 juillet 4 26 /07 /Juil 00:21

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J'ai un neveu qui me fait fantasmer depuis plusieurs années. Aujourd'hui, il est âgé de 24 ans. En fait, c'est le neveu de ma femme, le fils de ma belle-soeur. Bref, lorsqu'il était plus jeune, je veux dire neuf ou dix ans, quelque chose semblait l'attirer vers moi. Je ne sais pas trop quoi, mais c'est plutôt flatteur pour un homme de mon âge, quoique à l'époque, j'avais environ une vingtaine d'année, donc pour un homme plus âgé, de sentir qu'un jeune homme, même très jeune, est attiré par lui. Lorsque je dormais chez ma belle-soeur, il profitait du fait que ma femme était levée pour venir jouer dans mon lit, sauter sur moi, jouer avec son chat sur ma couverture, etc. Rien de très compromettant. Tout simplement quelque chose de plaisant.

Les aléas de la vie ont fait que nous nous sommes par la suite vus peu souvent. Ses parents ont divorcé et déménagé. Je l'ai vu rapidement, il y a quatre à cinq ans, lorsqu'une de mes belles-soeurs est décédée. Il avait fait de l'auto-stop vers Montréal et j'étais allé le chercher dans un bar où il s'était arrêté. Il n'avait pas encore vingt ans. Les autres membres de la famille disaient qu'il menait une "mauvaise vie". Je ne savais pas exactement ce qu'ils appelaient mauvais. Moi, en tout cas, le jeune homme que j'ai vu à ce moment-là m'a semblé toujours aussi séduisant, avec cette aura de sensualité qui avait continué de se développer autour de lui et qui créait un genre de pont magnétique entre nous deux.

Un de mes beaux-frères résidant à Québec, probablement aussi entiché que moi par le jeune homme, mais qui semble lutter contre cela en lui trouvant des défauts, me dit un jour qu'il était danseur nu dans un bar renommé de la ville. Non, je n'y suis pas allé. J'ai donc passé plusieurs années, au moins trois ou quatre, sans revoir mon neveu. Tout ce que j'en entendais, c'était les propos d'une critique feutrée, presque silencieuse, des femmes de la famille et ceux plus grivois de mon beau-frère qui ne cessait de répéter qu'il avait défendu à sa propre fille de fréquenter son cousin, que celui-ci ne pouvait que l'entraîner vers le vice. Mais mon expérience de la vie m'a souvent démontré que ce qu'on critique, c'est ce que l'on désire sans pouvoir l'obtenir.

Voilà donc la situation jusqu'à l'été dernier. Nous étions au tout début du mois de juillet lorsque ma femme m'annonça que ma belle-soeur viendrait la semaine suivante à Montréal. J'appris dans les jours qui précédèrent sa visite qu'elle viendrait accompagnée de mon beau-frère grognon, puisque c'est lui qui assurait le transport automobile, et de mon neveu. J'éprouvais une appréhension qui grandissait au fur et à mesure que le moment de leur arrivée approchait. En fait, pour être pleinement honnête, j'avais recommencé à fantasmer un peu sur lui, à espérer que quelque chose se produise entre nous. Mais tout cela était au strict plan du fantasme et, de façon réaliste, je ne pouvais trop espérer que quelque chose se produise ainsi en plein dans ma demeure, au centre d'activités familiales où je serais assurément fort entouré. Mais, avant de m'endormir le soir, j'aimais bien laisser vaquer mon imagination, comme une barque dont on aurait momentanément rompu les amarres pour permettre au sang de limiter sa pression sur mon membre en érection.

Le jour de l'arrivée du trio, soit mon beau-frère, ma belle-soeur et mon neveu, je me trouvai plutôt terne dans mes relations avec lui. Il faut bien avouer que les circonstances ne se prêtaient pas à trop de familiarité. Je m'informai de choses banales, me sentant un peu déclassé dans ce qui devait être l'ordre de ses priorités au niveau de l'attirance physique chez un homme. En fait, je consacrai beaucoup plus de temps à sa mère et aux autres membres de la famille, remplissant mon devoir d'hôte du mieux que je pouvais. Bon, rien d'exceptionnel ne se d�roula lors de cette première journée, d'ailleurs déjà très avancée lorsqu'ils arrivèrent à Montréal.

Le lendemain était une journée magnifique, ensoleillée, chaude, agréable. Une de ces journées où l'on a l'impression de profiter au maximum de ce que la vie a à nous offrir. Nous relaxions et moi et mon beau-frère échangions à l'occasion quelques blagues ou propos sans importance. J'en profitais pour regarder mon neveu, étendu sur la chaise longue, habillé seulement d'un mini costume de bain. J'admirais sa peau cuivrée, luisante de la crème solaire dont il s'était enduit et surtout de l'énorme bosse qu'il avait dans son slip de bain. Pendant que je l'observais, il se reposait sous l'effet relaxant des rayons du soleil. Je profitais du peu d'importance que j'accordais à ma conversation avec mon beau-frère pour laisser de douces vagues de désir envahir mon corps.

Je me concentrais sur le corps magnifique de mon neveu, Cela suffit à faire gonfler le membre que recouvrait malhabilement un maillot qui commençait à se déformer sérieusement. Heureusement que cette moitié de mon corps était cachée par une table de jardin. La forme de son sexe suscitait particulièrement des pensées auxquelles je m'abandonnais langoureusement. Je tournais ma langue dans ma bouche comme j'aurais fait tourner son gland bien dur entre mes lèvres. J'apportai mon verre à la bouche pour boire et sucer une glace comme si cela avait été sa queue. Le meilleur de l'après-midi se passa dans cet état presque comateux, sûrement heureux. Les femmes se préparèrent à nous quitter pour aller passer la soirée au Casino. Mon beau-frère irait les conduire et attendrait leur appel pour aller les rechercher. Du moins, c'est ainsi qu'il en fut convenu.

De mon côté, après leur départ, je me préparai à prendre une bonne douche pour faire disparaître toute trace de chlore ou de sueur. Mon neveu lisait un livre sur la terrasse arrière pendant que je me préparai à prendre ma douche. J'étais rendu à appliquer un shampoing sur mes cheveux lorsque je sursautai légèrement. Le rideau de ma douche bougeait, et une main le ramenait lentement. Mon coeur battait la chamade, car je ne fus pas long à comprendre qui pouvait ainsi faire glisser le rideau de la douche. Après tout, mon neveu et moi étions à ce moment seuls dans la maison. Je vis son sourire ingénu, ses yeux intéressés et son magnifique corps élancé...

— Y a-t-il une petite place pour moi?

Je cherchai mes mots avant de sortir bêtement un "bien sûr" que je me surpris à prononcer avec une apparente assurance alors que mon corps ressentait tout le contraire. Mon pénis se redressant avec une rapidité presque embarrassante. En fait, les idées se bousculaient dans ma tête et je ne savais plus exactement quoi dire et comment agir. Non, je le savais, mais j'hésitais encore à le faire et à le dire. J'avais tellement souvent fantasmé sur lui, mais je n'aurais jamais cru que mon fantasme pourrait se concrétiser à ce point. Son corps tout entier s'engouffra avec moi sous la douche. L'eau commença à perler sur sa peau. Encore sous le coup de la confusion, je laissai échapper:

— Que fais-tu là Bob?

— Tu ne veux pas que je vienne sous la douche avec toi?

— Non, non, ce n'est pas ça, au contraire, tu le sais bien...

— Mon oncle, j'ai tellement le goût de me sentir près de toi...

Je m'approchai de lui et l'entourai de mes bras. Quelle sensation indescriptible que sa peau toute jeune contre mon corps nu. Quel dard du désir me piquait avec autant d'intensité, je sentais la pression délicieuse de son sexe aussi dur que le mien. Je touchai à ses fesses galbées avec mes mains ouvertes qui cherchaient à les masser, à les couvrir complètement pour ensuite mieux les comprimer. Ce faisant, c'était comme si j'accentuais la pression interne qui étirait mon pénis. Comme pour mieux épancher notre passion, nos lèvres se joignirent et nos langues se mélangèrent, glissant sur l'autre et la fouillant avec avidité. Que m'arrivait-il?

— Tu sais mon oncle, dit-il j'ai le goût de me faire caresser, mais j'ai le goût de te caresser aussi...

— Bob, pourquoi fais-tu cela?

— Laisse-moi faire, mon oncle.

Et il saisit mon pénis tout bandé dans sa main, en faisant passer le gland le long de sa cuisse, avant de s'agenouiller et de l'approcher de sa bouche. Il sort la langue et, appuyant mon membre raide contre mon ventre, il passe celle-ci sur toute la longueur de mon pénis avant de prendre le gland dans sa bouche. Je le jure: jamais de ma vie je n'avais éprouvé un tel plaisir. Je baissai mes yeux vers son visage. Passant à nouveau sa langue sur toute la longueur du pénis avant d'en gober et d'en sucer le gland, il levait un regard empli à la fois d'innocence et de perversité vers moi. Je le regardais exercer son art, fasciné. Mes doigts étaient enfilés entre ses cheveux mouillés. Je m'arquai quelque peu pour faire descendre mes mains vers ses épaules, puis vers son torse que je caressai du mieux que je pouvais, roulant et pinçant les jolis mamelons entre mes doigts.

Il continuait d'appliquer à mon pénis les prodiges que seules sa langue et sa bouche pouvaient prodiguer. Il avalait maintenant mon manche en entier dans sa bouche, le mordant légèrement et l'enrobant de sa salive qu'il aspirait ensuite dans un chuintement des plus sensuels. Je ne pouvais pas être plus raide que cela. Je sentais les premières traces de ma semence couler dans les canaux du plaisir. Mon gland était devenu un bouchon qui retardait avec de plus en plus de difficulté l'explosion de mon plaisir. Passant mes mains sous ses épaules, je le fis se lever, non sans qu'il engouffre encore à plusieurs reprises mon membre érectile dans la douceur de sa bouche. Une chaleur impérieuse avait envahi tout mon corps. Tout vestige de raison avait cédé la place aux élans de ma passion et de mes pulsions

— Bob, tout ce que tu me fais, c'est si bon. J'ai rêvé à ce moment depuis si longtemps. Je veux te défoncer... Je veux que ta chair soit meurtrie par ma queue.

Me regardant en plein visage, semblant lui aussi saturée par la passion, il m'ordonna presque:

— Fais le! Je le veux... Vas-y, défonce-moi avec ta grosse queue.

Était-ce réellement mon neveu que j'entendais parler avec un langage si crû? Cela n'était pas sans me plaire et m'exciter encore plus. Je le retournai, toujours fouetté par les jets d'eau de la douche.

— Vas-y mon oncle, enfonce-moi, m'invectiva-t-il de nouveau.

Je n'avais pas besoin de me faire prier pour cela. Je savonnai légèrement l'abord de son anus et je commençai à en forcer l'entrée. Mon gland me sembla honnêtement trop énorme pour enfoncer ce petit trou qui semblait malheureusement plus se contracter que se dilater. Je poussai mon pénis pour qu'il défonce la barrière de son anus. Il geignait. Je semblais lui procurer tout autant de douleur que de plaisir, mais ce dernier semblait lui rendre la douleur non seulement tolérable, mais aussi bienvenue.

— Ah oui, c'est bon... Continue... vas-y, défonce-moi! Ahhh!

Puis je sentis la barrière de chair céder et s'entrouvrir, avalant lentement mon gland. Il lâcha alors un cri, suivi d'un gémissement plus long. Ce gémissement, un long "aaaaghhhh" qui semblait provenir de ses entrailles, me semblait une invitation à pousser mon sexe encore plus avant entre ses fesses. J'allais lentement, car la chair intérieure semblait encore contractée. J'avais réellement l'impression de le défoncer. Mais son gémissement devenant de plus en plus frénétique ne me portait pas à cesser ma pénétration, bien au contraire!

— Ah oui, c'est boonnnn, enfonce-la toute, je la veux toute en moi! Aaaghhh!

Je donnai quelques coups de butoir encore plus vers l'avant et mon membre avait été presque totalement englouti Il bougeait maintenant, se déhanchant. Pendant ce temps, je le masturbais avec une de mes mains qui n'avait jamais éprouvé autant de plaisir à explorer le sexe d'un autre homme. Mon autre main me permettait de me maintenir en équilibre, puisque j'avais commencé à lui faire sentir les mouvements d'un va-et-vient délirant dans son trou de cul. En le pénétrant ainsi par l'arrière, je le voyais soulever son bassin, comme s'il cherchait à m'aider à longer plus facilement le conduit menant au bout de son fondement. Et il accompagnait mon avancée à l'intérieur de celui-ci par des gémissements de plaisir. À l'occasion, ma main quittait son appui sur le mur pour venir lui masser les mamelons. Je le pénétrais ainsi depuis une durée que je m'avoue incapable d'estimer mais le plaisir était pour moi tellement intense que je ne pouvais me retenir plus longtemps. Je me retirai brusquement pour éjaculer entre ses fesses, Ah! que j'aimais cela. Son anus était devenu tout dilaté et semblait respirer de contentement. Ma semence coulait tout autour.

— Tiens, ma nièce qui se paie du bon temps avec l'oncle Jean. Et l'oncle Pierre, lui, qu'est-ce qu'il a pour lui?

Je sursautai. Et Bob également. J'aurais dû y penser, mon beau-frère n'avait fait que reconduire les femmes. Il devait bien revenir d'un moment à l'autre. Mais j'étais complètement déboussolé par ce qui m'arrivait. Même dans cette situation embarrassante, je lâchai encore un gémissement de contentement lorsqu'un dernier jet de semence vint se projeter sur les reins de mon neveu.

Lorsque je vis mon beau-frère se pointer ainsi dans l'embrasure de la porte de la chambre de bain, je dus faire un faciès bien étrange, un mélange de pâleur et de rougeur. Pâleur de me trouver ainsi surpris, rougeur de savoir dans quelle position il me surprenait. Mon coeur venait d'atteindre le paroxysme de l'orgasme, il commençait à peine de goûter le repos d'une douce et somptueuse éjaculation, qu'il se mettait à nouveau à pomper devant ce qui ne pouvait me sembler qu'une embarrassante situation.

— Ton oncle Jean doit avoir été bien gentil avec toi pour que tu lui donnes ce que tu as si souvent refusé à ton oncle Pierre...

J'entendis Bob lui dire d'une voix presque lascive, dans laquelle on ne sentait aucune crainte et presque aucune surprise:

— Il a le tour de se faire désirer, lui. Mais si tu le veux, il te reste de la place... Il m'a si bien préparé.

Je dus avoir l'air un peu niais, en acquiesçant, comprenant rapidement que c'était pour moi presque l'unique porte de sortie à la situation embarrassante dans laquelle je me trouvais. Mon beau-frère abusant à son tour du même neveu, c'était pour moi la meilleure garantie que son silence scellerait d'une lourde chape l'aventure qui m'arrivait. Et puisque cette situation avait déjà une allure plutôt scabreuse, le fait que deux oncles assaillent leur neveu consentant ne pouvait que rajouter du piquant à la situation.

— Viens ici que je te goûte un peu! entendis-je mon neveu glisser en regardant dans la direction de mon beau-frère.

Celui-ci ne se fit pas prier. Je ne me souvenais pas avec quelle rapidité un mâle en chaleur peut se trouver complètement nu! En une fraction de seconde, la ceinture était détachée, les pantalons se retrouvaient par terre et son slip aussi. Je ne sais pas s'il avait eu le temps de nous observer longuement auparavant, mais son érection semblait pencher en faveur de cette thèse, bien qu'ici "pencher" semble être un terme mal choisi. Je dirais plutôt qu'elle soulevait bien des soupçons.

Bob semblait être envahi par une envie fiévreuse de laquelle tout tabou était absent. Bob ouvrit la bouche pour engloutir, en partie du moins, le long manche de mon beau-frère. Ses fesses, entre lesquelles reposait mon pénis, continuaient de se balancer. Je ne trouvai mieux à faire que de continuer à attiser ses désirs et sa passion. Je lui massais l'anus tout humide d'une main en caressant ses seins de mon autre main. J'entendais les bruits qu'il faisait avec sa bouche en suçant mon beau-frère, et cela suffit à faire renaître une érection chez moi. En pompant son membre, il faisait circuler tout autour une salive qu'il faisait mousser dans son savant mouvement de succion.

Je regardai le visage de mon beau-frère, bien que par discrétion et manque d'habitude, j'hésitais à le faire. Celui-ci grimaçait de plaisir.

— C'est bon, mon petit salaud! l'entendais-je dire. Continue à me pomper, mon petit vicieux...

— Empale-moi, mon oncle, j'en meurs. Mets-moi ton pieu dans le cul!

Je laissai la place arrière à mon beau-frère et me retrouvai devant le joli visage de mon neveu, qui avait perdu toute son innocence mais en conservant l'expression extatique qui l'accompagne à l'occasion.

Mon beau-frère s'assit sur le couvercle du cabinet d'aisances, ramenant Bob sur lui. Mon pénis, à nouveau bandé, se retrouva donc à ma grande joie à une hauteur parfaite pour connaître à nouveau sa délicieuse bouche. Mon beau-frère lui soulevait le cul pour mieux l'empaler par en arrière, alors que sa bouche glissait autour de mon gland. Sa langue se balançait autour de mon gland et de mon pénis, humidifiés par sa salive. Il devait y trouver bien du plaisir, et moi aussi, puisqu'en même temps, mon beau-frère le ramenait vers lui pour mieux lui empaler le cul autour de son pénis. Je me fermai les yeux devant la scène hallucinante. Et même à cet instant, j'avais l'impression de tout voir. Je pris la tête de Bob, ses cheveux mouillés par l'humidité et la sueur entre mes doigts, et je tentais d'imprimer un rythme au mouvement de sa bouche. J'étais sur le bord d'une nouvelle éjaculation, et je crois que je n'étais pas le seul car j'entendis mon beau-frère, qui manquait malheureusement d'un certain "vernis", gémir et crier:

— Allez, enfonce-toi mon salaud, je vais venir... aahhh! C'est bon ahhh!

Tout cela avait un effet fort excitant, et je sentis mon foutre commencer à gicler au moment même où les râles de jouissance de mon neveu accompagnèrent les mouvements de plus en plus saccadés que mon beau-frère imprimait à son bassin. Nous nous retrouvâmes ainsi tous les trois à jouir et à râler en même temps. En hôte des lieux, je commençais quasiment à me sentir gêné et je craignais qu'un visiteur survienne et nous surprenne à l'improviste. Mais Bob semblait vouloir continuer ce qu'il avait si bien commencé. Nous nous sommes ainsi retrouvés tous les trois dans la chambre pour continuer nos ébats. C'est la première fois, et j'avoue que je me faisais sucer par un homme pendant qu'un autre homme l'empalait. Ce soir-là, tout ce sur quoi j'avais fantasmé depuis des années à propos de mon neveu, et même plus, se réalisa. J'appris que mon beau-frère avait déjà fréquenté le club où Bob dansait. Il lui avait fait à quelques reprises des avances qu'il avait refusées. Ce qui expliquait à mes yeux les propos malveillants qu'il avait si souvent tenus à son endroit. La frustration, plus que les principes moraux, en avait été la source.

La sonnerie du téléphone tinta bien après minuit, bien après que nous ayons réalisé auprès de Bob les actes dont nous détournions nos pensées même dans nos rêveries les plus folles. Ma belle-soeur demandait à son mari d'aller les chercher, elle et mon épouse, pour les ramener à la maison. Moi et Bob nous dépêchâmes alors de remettre de l'ordre dans la maison et d'effacer toute trace de nos moments de plaisirs. Ni ma femme, ni ma belle soeur ne surent ce qui s'était passé en leur absence mais pour ma part, je garde un très bon souvenir de ce tendre neveu.

 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Mercredi 25 juillet 3 25 /07 /Juil 23:18

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Mon voisin se prénomme Fred et il a environ 50 ans. Pour ma part je suis un jeune adolescent de 15 ans, étudiant. Un jour d'été durant les vacances, en début d'après-midi, Fred vint à frapper à la porte de la maison familiale. J'étais à ce moment la seul à la maison. Mes parents et ma sœur s'étaient absentés.

Après lui avoir ouvert la porte, celui-ci me demande si je peux lui rendre un petit service qui consiste à déplacer des objets lourds chez lui. J'acceptai et me voila parti chez lui afin de l'aider. Une fois le travail terminé, il me proposa de prendre un café ou une bière afin de me remercier, ce que j'acceptai volontiers. Nous montâmes alors tous les deux à l'étage. Il s'en alla alors à la cuisine chercher le café, me laissant seul dans le salon.

Quelques minutes plus tard, il revint avec un plateau ou étaient disposés les différents composants nécessaires à la préparation, comme le pot de café, le sucrier et le la crème. Après avoir posé une tasse devant moi, il commença a verser l'eau chaude dans celle-ci. Seulement, par mégarde, du moins c'est ce que je croyais à ce moment là, il renversa une bonne quantité d'eau bouillante sur moi. Cela me fit aussitôt sursauter. J'avais le pantalon humide et cela m'avait brûlé la cuisse gauche. On peut dire que c'était passé tout près de m'ébouillanter les valseuses.

C'est alors que Fred me pris par la main et m'emmena dans la salle de bain. Il répéta à plusieurs reprises qu'il était désolé. Il dégrafa alors les boutons de mon jean et le fit descendre à mes pieds. Il sortit ensuite une pommade d'un placard et commença son application sur la cuisse qui avait été rougie par le choc thermique. Je dois dire que c'était la première fois, que ce que je pourrais appeler des caresses, m'étaient prodiguées par un homme. Eh oui, à 15 ans, j'étais encore puceau.

C'est alors que mon sexe se mit à grossir et cela eu pour effet de tendre mon slip. Fred le remarqua. Il me dit alors: "C'est moi qui te fait cet effet là?" avec une intonation que je trouvais particulièrement sensuelle. Je ne sus alors quoi répondre. "Ne t'en fais pas," dit-il alors, "ce n'est pas grave. C'est même très flatteur pour moi." Il entreprit alors de descendre mon slip, ce qu'il fit d'un geste gracieux. Mon jeune sexe se tenait alors fièrement tendu devant son visage. Fred s'exclama alors:

— Ben dit moi avec une bite pareille, ce sont tes copines qui doivent être heureuses!

En effet mon sexe n'est pas particulièrement long, il fait environ 16cm, mais il est en revanche assez gros de part son diamètre notamment au niveau du gland qui est assez proéminent. Je répondis alors d'une voix légère que je n'avais jamais eu de petite amie. Ceci l'étonna. Alors ce vicieux lança:

— En tout cas je ne peux pas te laisser dans cet état là, ce ne serait pas très correct de ma part, surtout avec un engin pareil. En plus ce sera un moyen de vérifier si il n'a pas été affecté par le petit accident...

Il se saisit alors de ma queue à l'aide de sa main droite et imprima un mouvement de va-et-vient à mon sexe. Je bégayai alors qu'il devait arrêter que cela n'était pas bien. C'est alors qu'il me dit tout en continuant son va-et-vient:

— Ne t'inquiètes pas cela va te faire du bien.

Puis il déposa un léger baiser sur mon gland déjà bien gonflé par l'excitation.

La raison m'avait alors quitté et je me laissai aller au plaisir des sens. Il me fit alors enlever mon tee-shirt afin de me mettre plus à l'aise. Il accéléra légèrement son mouvement puis déposa un peu de salive sur mon gland pour faire office de lubrification. Ce n'était pas forcément nécessaire car avec l'excitation naissante en moi, quelques gouttes de pré-cum avaient perlées de mon méat et cela jouait déjà très bien son rôle de lubrification. Il dit alors: "Que c'est bon! J'avais oublié à quel point c'est raide à cet âge là."

Puis il se mit à me sucer. Il engloba d'abord mon gland et appliqua une forte succion en se creusant les joues. Par la suite il commença a appliquer un mouvement de va-et-vient. Ma queue apparaissait et disparaissait de sa bouche dans un bruit de sucions assez fort et que l'on pourrait presque qualifier d'obscène. Je sentais par moment mon gland heurter son palais. Pendant ce temps là, il appliquait un massage des plus agréable de sa main droite à mes couilles gorgées de désir. Les sensations que je ressentais dans cette bouche chaude et humides étaient tellement intenses que j'en fermai les yeux et m'abandonnai ainsi au plaisir. Étant encore relativement jeune en ce qui concerne le sexe, ma jouissance ne tarda pas à arriver. Je sentais la sève monter le long de ma hampe et mon gland se gonfler de plus en plus sous les coups de la jouissance proche. Fred le sentit également et c'est alors qu'il accéléra son mouvement. Ça y est, j'étais arrivé au point de non retour et l'extase s'offrit à moi. La première giclée de foutre se dirigea puissamment au fond de sa gorge. Fred manqua par ailleurs de s'étouffer. C'est pour cela qu'il retira précipitamment ma queue de sa bouche. Les deux giclées suivantes s'écrasèrent sur sa chemise bleue puisque à ce moment il dirigeait mon sexe vers le bas. Le jet suivant d'une puissance encore soutenue alla s'étaler au niveau de son cou. Au moment où la cinquième giclée sortit, il lâcha brusquement ma queue. Ceci eu pour effet d'étaler cette giclée sur son visage, en partant de la commissure de ses lèvres jusqu'au dessus de son œil droit. Il eut alors un rapide mouvement de recul. Enfin la dernière giclée qui finît de m'achever alla s'écraser sur son front et ses cheveux.

Après avoir repris correctement son souffle, Fred inspecta toutes les souillures que je venais de déposer sur lui. C'est alors qu'il me dit:

— Eh bien dis-moi, tu avais vraiment besoin de te vider!

Cela faisait au moins un mois que je ne m'étais pas masturbé. Voilà pourquoi j'ai éclaté en aussi grande quantité. Au moment où il me disait cela, il récupérait le sperme qui avait maculé son visage à l'aide de sa main droite. Il amena ensuite ce qu'il venait de récupérer à sa bouche. Il avala alors goulûment ma semence tout en me regardant profondément dans les yeux. Il s'exclama alors:

— Hum qu'est ce que c'est bon le sperme d'un jeune puceau!

Il aperçut ensuite les deux grosses taches de foutre qui ressortait bien sur sa chemise bleue. Il dit alors:

— Eh bien celle-la, elle n'a plus qu'à passer au lavage.

Il se releva, enleva alors sa chemise et se dirigea vers la corbeille de linge salle. Il pris soin de laper le sperme encore apparent sur la chemise avant de la poser sur la pile de linge. Il revint ensuite vers moi, moi qui était encore dans un certain état second.

Je le regardais tendrement. Mon regard se posa alors sur le haut de son corps enfin nu et je découvrais ainsi son torse et ses seins, qui de part son âge étaient tout de même très désirables. Je vis alors un filet de ma semence qui s'étalait de la base de son cou jusqu'au bout de son mamelon droit. Une petite goutte perlait sur le bout de son téton durcit qui pointait et je trouva l'image terriblement érotique. Il commença a étaler sur son torse ce liquide blanchâtre que je venais d'y déposer. Il se massait alors les seins vigoureusement pendant que de mon coté je ne réagissais toujours pas. Il dit alors:

— Eh bien dis-moi, tu m'en a mis de partout.

Il dit ensuite en rigolant légèrement:

— J'en ai même jusque dans les cheveux... Il va falloir que je prenne une douche pour enlever tout cette souillure.

Il me regarda alors et son regard descendit au niveau de mon bas-ventre. Mon sexe commençait à reprendre forme normale. Il me fit remarquer que moi aussi j'en avait plein de partout sur le ventre. Cela avait du se produire lorsqu'il avait lâché brusquement ma pine. Elle me proposa alors de prendre une douche avec lui ce que j'acceptai sans hésiter.

Nous nous retrouvâmes donc tous les deux sous la douche. Nous nous sommes dans un premier temps occupé de notre toilette en nous savonnant mutuellement et en enlevant les traces encore apparentes sur nos corps de ce qui venait de ce passer. Pour son âge, je trouvais son corps encore très ferme. Après cela, il commençai par m'embrasser. Il avait encore le goût de mon sperme dans la bouche.

La confiance m'avait gagné quelque peu, et c'est alors que je pris l'initiative de le sucer à mon tour. N'ayant pas d'expérience je me basais sur ce que j'avais pu voir ça et là dans des films porno. Je m'agenouillai donc devant lui et commençai par lécher son gland. Sa queue était longue, au moins 18cm et assez grosse. Il fut dans un premier temps étonné de cette soudaine initiative mais se laissa faire. Je glissais complètement sa queue bien durcie dans ma bouche et le pompais doucement. Je levai les yeux et regardai alors son visage angélique. Il avait fermé les yeux, sans doute afin de mieux apprécier le traitement que je lui faisais subir. Je léchais également ses couilles qui étaient sans poils tout comme le reste de son bas ventre. Son gland était rouge et gonflé par le plaisir. Il avait posé ses mains sur ma tête et imprégnait à celle-ci un léger mouvement d'avant en arrière. Il se trouvait au bord de l'orgasme. Je sentais la pression de ses mains sur ma tête se renforcer. D'un coup son corps se cambra. Ça y est il avait atteint les signes du plaisir. Il accompagnait sa jouissance d'un cri fort et aigu. De mon coté je sentais son sperme abondant s'écouler sur mon visage. Ce n'était pas l'eau de la douche qui continuait à ruisseler sur nos corps. Son foutre était plus chaud et avait un goût particulier. Ceci eut pour effet de redonner de la vigueur à mon membre qui devenait de plus en plus turgescent.

Je me relevai pendant que Fred reprenait ses esprits. Lorsqu'il ouvrit les yeux, il découvrit mon membre tendu. Je pus distinguer un léger sourire en coin de ses lèvres. Aussitôt il empoigna ma pine et comme pour maintenir mon érection commença une légère masturbation. Il pris alors l'initiative de me prendre dans ses bras en déposant ses mains sur mes fesses. J'étais étonné de constater que sa queue n'avait même pas ramollie malgré sa puissante éjaculation. Je sentis son doigts pénétrer mon anus et Fred me dit:

— Je vais maintenant te faire découvrir la jouissance suprême. Il te suffit de rester calme au début et après tu jouiras comme jamais.

Il me plaqua face au mur de la douche et me fît écarter les jambes. Je sentis ses mains écarter mes fesses et sa langue fouiller mon orifice. Une chaleur bienfaisante traversa mon corps et je ne put m'empêcher de gémir. Il guida ensuite son sexe tendu à l'entrée de mon anus et commençai une pénétration lente. Je ressentis un peu de douleur au début mais celle-ci s'estompa vite. Il plaçai ensuite ses mains sur mes seins et commençai un massage de ceux-ci durant sa pénétration. Mes tétons étaient fièrement dressés indiquant l'état de plaisir dans lequel je me trouvais.

Il commença alors un va-et-vient plus puissant et d'une plus forte amplitude. J'avais le souffle de plus en plus court. De plus de légers cris commençaient à émaner de ma bouche. Toutes ces sensations étaient nouvelles pour moi. Le fait de sentir son sexe dans mon anus chaud et humide, c'était divin. Fred releva la tête en arrière et cria fortement. Il venait de jouir. Son sperme qui emplissait mes entrailles était alors encore plus abondant et je sentais tout mon trou se resserrer sur sa bite. Cette impression me conduisit à l'extase. Je me vidais alors à mon tour.

Il ressortis alors sa queue de son cul largement ouvert et d'où sortait un mélange visqueux de mouille et de sperme. Après s'être passé un petit coup d'eau par si par là et s'être essuyé, je quittai donc Fred pour rentrer chez moi, plein de joie.

Ma sœur était déjà rentrée et elle ne comprenait pas pourquoi j'étais dans cet état de bonheur. Je lui répondis que cet après-midi j'étais devenu un homme nouveau.

J'ai revu Fred, mon vicieux de voisin, plusieurs fois par la suite et nous avons refait l'amour ensemble. Il était peut-être vieux mais il savait me faire jouir beaucoup mieux que biens des hommes plus jeunes que lui.

 

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Mercredi 25 juillet 3 25 /07 /Juil 20:11

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Tout s'est passé si vite. Trop vite pour Vincent...

Qui est Vincent ? Vincent a 25 ans, il est en couple depuis trois ans avec Alice. Ils forment un joli petit couple. Ils vivent dans un petit village à une vingtaine de kilomètres du lieu de travail du jeune homme. Beau jeune homme. Sportif (football et course à pied), il est grand (1m82), brun aux yeux bleus. C'est surtout un garçon sympathique, serviable et généreux. Tout le monde l'apprécie, les femmes bien sûr, séduites par son physique avantageux et son sourire désarmant, mais aussi les hommes car Vincent est inconscient de ses atouts, il est tout sauf un dragueur.

Qui aurait pu prévoir ce qui allait se passer ? Vincent, en se levant ce jour-là, ne pouvait pas même imaginer ce qui l'attendait ni concevoir que cette journée semblable aux autres allait à ce point le marquer. Le changer. Tout avait bien commencé. Il se rendait à son travail avec sa voiture, les vitres baissées pour profiter des températures plus qu'agréables. Tout à coup, une Audi grise lui a refusé la priorité. Pas étonnant, l'autre conducteur téléphonait au volant et distrait, ne l'avait pas vu venir. Vincent a pilé net, à l'aide d'un sérieux coup de frein. Juste à temps pour éviter l'accrochage.

— Tu ne peux pas faire attention ? Enculé !

L'insulte a surgi d'elle-même. Vincent un garçon poli, mais il a eu vraiment peur et il n'a jamais pu accepter l'égoïsme irresponsable de certains de ses concitoyens. Malheureusement pour lui, le chauffard a entendu l'insulte. L'insulte suprême pour Thomas.

Qui est Thomas ? Thomas a 35 ans. Marié depuis sept ans, il est le mari comblé d'Inès et le bienheureux père d'Enzo, 6 ans et de Lilou, 3 ans. Ambitieux et déterminé, il dirige depuis cinq ans sa propre agence qu'il dirige de main de maître. Sportif (rugby et musculation), il est grand, très grand (1m96), châtain aux yeux marrons. Tout le monde le respecte... Y a intérêt. Thomas est susceptible et ne supporte pas la contradiction. Il a toujours raison, c'est un dogme. Ce n'est tout de même pas de sa faute si les autres ont toujours tort...

Vincent redémarre tranquillement, pour lui l'incident est clos. Mais pour Thomas, il commence. Il suit la voiture en lui faisant des appels de phares. Vincent commence à s'inquiéter. Mon dieu, je suis tombé sur un déséquilibré, comme dans "Duel" le film de Steven Spieleberg que j'ai vu à la télévision la semaine dernière. Vincent décide de s'engager sur un petit chemin dans les bois en se disant que l'autre continuera sa route sur la voie principale. Tragique erreur ! La voiture le suit. le petit chemin s'avère être un cul de sac, il donne sur un champ cultivé, impossible de continuer sans s'embourber. Je suis coincé... L'Audi se gare derrière la Renault, en travers, bloquant volontairement le passage.

Vincent voit sortir Thomas de son véhicule, et il commence à prendre peur... C'est la première fois que crains un homme, mais est-ce un homme ou un géant ? Cependant il faut bien que je descende aussi, je ne vais tout de même pas me verrouiller dans la Renault en espérant que ce fou furieux ne s'en prenne pas à la voiture. Je ne suis pas un lâche.

— Tu m'as traité d'enculé ?

— Euh... Je ne le pensais pas, j'ai eu peur. C'est de votre faute aussi, vous téléphoniez en con...

— Je t'emmerde ! Je fais ce que je veux dans ma voiture !

— Il y a des règles et...

— J'emmerde les règles !

— Ecoutez. Je suis plein de bonne volonté. Si je vous ai offensé, je vous en demande sincèrement pardon. Pardon. Je n'aurais pas dû vous manquer de respect sous le coup de l'émotion. Maintenant, pouvez-vous déplacer votre auto, je vais être en retard au travail. Il faut que je reste calme. Mon calme va finir par le tranquilliser. C'est inévitable. Et puis l'intelligence vainc toujours la force brute, non ?

— Tu m'as traité d'enculé ! Personne n'avait jamais osé auparavant... Tu crois que tu vas t'en sortir comme ça ?

— Ecoutez, monsieur... Je ne m'en sortirai jamais... Mais qu'est ce qu'il recherche à la fin, ce type ? Pourquoi aussi l'ai-je traité d'enculé ? En tant que tintinophile, j'aurais pu choisir coloquinte, anacoluthe ou mérinos mal peigné. Les conséquences n'auraient pas été les mêmes...

— Je ne suis pas PD ! Les PD, je les encule...

— C'est juste une insulte courante, j'aurais tout autant pu dire connard ou abruti.

— Tu me traites de connard, maintenant ? Je vais t'apprendre la politesse, trouduc. À genoux !

Vincent n'a aucune envie de s'humilier devant cet homme préhistorique. Ni de salir son pantalon au niveau des genoux. D'un autre côté, je n'ai pas envie non plus de se faire casser le nez et de perdre deux ou trois dents, cette brute est capable de tout Surtout du pire. La mort dans l'âme, il obéit donc. Il s'attendait à des excuses humiliantes, à genoux devant le géant irascible. Mais Thomas ouvre son pantalon et baisse son boxer, découvrant une queue molle mais déjà imposante. Vincent a peur de comprendre. Il est cent pour cent hétéro. Bon d'accord, à l'âge de 15 ans, je me suis branlé devant un film porno avec mon meilleur pote Antoine. Je me souviens bien avoir été plus intéressé par la grosse bite d'Antoine que par le film, mais nous ne nous sommes pas touchés. Il n'a jamais poussé plus loin l'expérience.

— T'as pas compris ce que j'attends de toi ? Il faut que je te fasse un dessin ?

— S'il vous plaît, monsieur... J'ai un peu d'argent sur moi...

Il ne finit pas sa phrase. Thomas a été assez patient, il attrape Vincent par les oreilles et lui enfonce sa bite dans la bouche. Elle fait combien ? 20-22 centimètres ? C'est bien ma chance de tomber sur un type monté comme un acteur porno... J'ai l'impression que je vais m'étouffer, je crois bien que je vais vomir mon petit-déjeuner... L'homme lui baise la gueule avec violence, comme un forcené, sans le laisser respirer. J'ai honte aussi de pomper un inconnu sur ce petit sentier, comme une pute... Cependant, nous ne nous connaissons jamais réellement, malgré l'illusion que nous ne sommes pas des étrangers pour nous-mêmes. Vincent a la surprise de sentir sa queue se redresser dans son boxer, et oui, il bande ! Il se fait horreur. Qu'est ce qui m'arrive ? Il y a encore dix minutes, il n'aurait jamais imaginé que le fait de se faire baiser la gueule par un gros connard pouvait l'exciter. C'est pourtant le cas.

— Ouais, c'est bon, tu fais des progrès... Tu apprends vite, p'tite salope.

C'est vrai. Thomas est moins brutal, s'enfonce moins loin, et Vincent en profite pour jouer avec sa langue, titiller le gland, lécher le méat... Inconsciemment ? Il ne s'est pas rendu compte du passage de l'acte subi à l'acte volontaire. Tout à coup, Thomas le ressaisit par les oreilles et s'enfonce à nouveau à fond comme s'il cherchait à rentrer tout entier dans sa bouche. Il comprend aux gémissements de son agresseur, qu'il va jouir. Oh merde. Le salaud me remplit la bouche de son jus. C'est chaud et très amer. Je comprends pourquoi Alice n'avale pas quand elle me suce... Mais il va donc pas s'arrêter de juter ? Il va me noyer la gueule. Il a une alliance. Que fait sa femme ? Elle ne lui vide jamais les couilles ?

— Lèche bien le gland, qu'il ne reste aucune trace.

— Je peux partir maintenant ?

— Non !

— Pourquoi ? Vous avez lavé votre honneur, non ?

— Tu m'as traité d'enculé, par de suceur de bites ! C'est plus grave. Tu dois comprendre que je suis obligé de t'enculer !

Non, je ne comprends pas !

— Mais je ne suis pas PD ! Et vous non plus ! Laissez-moi partir !

— Pour prouver que je ne suis pas PD, il faut que je t'encule. C'est de ta faute. D'ailleurs, les PD enculent les PD, les hétéros enculent les hétéros ! C'est logique. Retourne-toi et baisse ton pantalon et ton slip.

Baisser mon pantalon et mon slip ? Mais il va voir que je bande ! Vite, comment faire pour débander ? Penser à la mère d'Alice... Oh merde, je suis trop excité, même cela ça ne marche pas...

— Mais tu bandes ? Tu me dégoûtes ! Allez, appuie-toi contre le capot de ta bagnole.

Il approche son gland de l'anus encore inviolé. Vincent serre les fesses. 22 centimètres dans le cul ? Je ne veux pas finir aux urgences. S'il n'y arrive pas, il finira par débander et se lasser.

— Ça ne rentre pas. Tiens, lèche mes doigts, je vais t'ouvrir le cul...

J'ai intérêt à bien lubrifier avec ma salive.

— Eh, pas deux doigts en même temps !

— En fait j'en ai mis trois, connard ! Je crois que tu es prêt...

— Non !

— Si !!

— Aïe ! Vous me faîtes mal, sortez, s'il vous plaît !

— D'accord - fait Thomas en rigolant.

Il sort sa bite d'un seul coup et la rentre brutalement. Il recommence une dizaine de fois avant de se mettre à pilonner le petit cul de toutes ses forces. Ca brûle ! Il me déchire ! Et je bande encore... Thomas n'a jamais pu prendre par derrière Inès, alors il prend son pied sans penser à la douleur de sa victime. Il le baise sauvagement comme il ne l'a jamais fait auparavant. Quel plaisir de donner de violents coups de rein sans avoir à respecter son partenaire... Vincent n'est qu'un trou. Voire deux.

— J'ai mal ! Elle est trop grosse...

— N'aie pas peur, je vais bien t'ouvrir ! Ouais, je sais, j'ai une grosse bite, et j'en suis fier ! Les salopes en sont folles... Retourne-toi ! Allonge-toi sur le dos sur le capot. Tiens, tu bandes encore ? Sale hypocrite, pauvre petite pute !

Vincent est sur le dos, ses jambes sur les épaules musclées de son assaillant. Il détourne la tête, il a peur que Thomas ne lise son plaisir sur son visage.

— Alors, qui c'est l'enculé ?

— C'est moi...

— Regarde-moi dans les yeux ! Tu aimes ma grosse bite de mâle, enculé ?

— ...

— Réponds, salope !

— Oui...

— Oui quoi ?

— J'aime me faire baiser par votre gosse bite... Le pire, c'est que c'est vrai !

— Je suis trop gentil. Je vais te faire jouir du cul. Branle-toi, enculé !

— Non, s'il vous plaît...

— Tu bandes, ma petite pute ! Je ne peux pas te laisser comme ça ! Aller, crosse-toi !

Vincent se masturbe. Sa bite a-t-elle déjà été aussi dure ? Le plaisir qui naît dans son cul se répercute dans tout son corps... Il a honte mais c'est bien. Mieux que bon... Il se dit qu'Alice n'en saura jamais rien, alors il s'abandonne au bonheur d'être un enculé bien baisé par une queue monstrueuse. Qui reconnaîtrait dans cette truie Vincent, le compagnon attentionné, l'employé modèle, l'ami fidèle, un exemple de responsabilité ? Thomas sent monter son plaisir, il s'enfonce à fond et éjacule sa jute brûlante dans le cul dévasté, ce qui entraîne le propre orgasme de Vincent. Il se vide de ton son jus et il reçoit des giclées sur son visage. Cela ne lui était jamais arrivé. Mon Dieu ! Il m'a rempli comme une femelle ! Non, comme une pute... Quelle honte ! Quel pied...

— Oui, salope, je te remplis le cul de mon jus de mâle ! Enculé...

Thomas se retire. Il a envie maintenant d'uriner. Alors il ne se gêne pas. Il pisse sur Vincent qui est toujours sur le capot de son auto.

— Je te nettoie, sale pute ! Tu pourrais me remercier...

— Merci... C'est chaud et plutôt agréable, l'odeur ne me dérange pas, au contraire...

— Quelle lopette ! Tu me dégoûtes... Prends ça !

"Ça", c'est un gros mollard en pleine gueule.

Thomas estime qu'il a assez prouvé qu'il était un vrai mâle, il se rhabille, monte dans son véhicule et s'en va sans un mot, sans un regard. Il aurait pu au moins me dire au revoir... Ou me remercier... Ou me laisser son numéro de téléphone... Vincent descend du capot, constate les dégâts, et se demande comment il va faire. On l'attend à son travail... Il décide de téléphoner pour expliquer qu'il est malade et qu'il sera donc absent toute la journée. Ensuite, il glisse un doigt dans son cul, le ressort et regarde fasciné le foutre frais. Il n'y tient plus, il lèche ce doigt. Il rebande aussi sec. Il a honte, mais il a aimé ce qu'il a subi. Aura-t-il bientôt l'occasion de revivre une expérience aussi enrichissante ? La bite lui manque déjà. Ses trous sont déjà en manque.

Tout s'est passé si vite. Trop vite pour Vincent...

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Mardi 24 juillet 2 24 /07 /Juil 23:52

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J'avais raconté dans un récit précédent comment mon père avait été violé par des potes arabes dans une cave de cité.

Son image de père de famille puritain et très strict en avait pris un coup. Bien sûr, il ignorait que j’avais assisté à sa mise en abattage et que je savais qu’il y avait pris goût. En effet, j’avais appris qu’il retournait fréquemment dans la cave de sa révélation. Là, il y subissait les assauts réguliers des lascars du coin.

Mon père était encore un bel homme. Depuis qu’il avait pris goût à son état de femelle soumise, il s’habillait plus cool. De temps en temps, du haut de l’appart de mon mec, je le voyais arriver dans la cité pour venir se faire troncher. J’étais fier de voir les regards salaces des petites frappes se poser sur son corps appétissant. J’étais fier de le voir s’exhiber sans complexe devant ceux qu’il avait méprisé longtemps. J’étais surtout très heureux qu’il ait changé sa façon de voir les choses aussi radicalement.

Ce jour-là, justement, je suis à la fenêtre de la chambre. Je viens de faire l’amour et je jette un œil à l’extérieur. Je vois mon père entouré d’une dizaine de jeunes mecs. Tous majeurs bien sûr! Mon père n’a rien d’un pédophile, bien au contraire! Ce sont les vrais petits mâles bien virils qui l’attirent. Il est là en bas, excité comme une puce. Jamais je ne l’avais vu comme ça, avec sa tenue presque branchée. J’avoue, avec une certaine honte, que j’ai eu une érection en le voyant. Autrefois, il aurait été hors de question que moi je sorte habillé comme ça. Aujourd’hui, lui, ne s’en prive pas!

J’ai vraiment l’impression qu’il sort faire le trottoir. Je me rends compte que mon père est devenu un sacré exhibitionniste! Moi, je bande ferme. Je suis un sacré voyeur qui aime voir son père se dépraver. En bas, les mecs l’abordent sans hésiter et certains vont jusqu’à lui toucher les fesses ou le paquet. Je me dis qu’il doit y avoir d’autres personnes qui regardent cette scène. Certaines doivent s’en offusquer et peut-être téléphoner aux flics. Je m’en fous car les flics ne se déplacent que rarement ici.

Je suis tout de même heureux lorsque je les vois tous prendre la direction du bâtiment C, là où il y a une cave accueillante. La pensée qu’il va se déshabiller devant tous ces mecs me fait bander. Je sais qu’il va se faire «monter» à la chaîne et que ça va durer un bon moment. Mon mec a appris certains détails des partouzes auxquelles mon père se joint. Au début, il s’était fixé certaines limites mais d’après les derniers échos, il les a largement dépassées.

— Je suis inquiet! dis-je à mon mec.

— Pourquoi?

— Après ce que Ahmed t’a raconté... Mon père qui va de plus en plus loin... J’ai l’impression qu’il pète un plomb... Il est prêt à tout!

— On dirait que le père c’est toi!

J’enfile mes vêtements et je descends dare-dare vers la cave. Lorsque j’y arrive, ça gueule beaucoup. Rachid me barre la route.

— Aujourd’hui c’est payant!

— Hein?

— Oui, payant... Et no capote!

Je me doutais d’un truc pas net. Cette bande de tarés a décidé mon père à participer à un plan jus... un plan bareback. Je hurle que je veux passer. Ahmed s’amène et essaye de me calmer. Il m’emmène loin de la cave.

— Tu vas te calmer, mec!

— Je ne veux pas que mon père se fasse contaminer.

— T’es malade ou quoi? Tu nous prends pour des assassins!

— Rachid a dit que c’était no capote.

Il me tend une liasse de billets. Il y en a pour 400€.

— C’est quoi ça?

— C’est ce que ton père va gagner en faisant ses 20 passes.

— Mais mon père n'est pas une pute!

— Faut le dire vite, oui...

— Arrête tout!

— Il est trop tard, mec! C’est toi qui nous l’a amené. Tu as lancé la machine. On ne peut plus l’arrêter ton «father». Ténébro le tient par le cul. Il y a dans la cave au moins une bonne dizaine de mecs qui font la queue. Il y en a autant qui vont encore s’amener.

Comme je finis par me calmer en apprenant que mon père ne risque pas de se faire plomber, Ahmed me ramène en bas.

— Tu peux regarder d’ici! me dit-il. Tu connais l’endroit, non?

Effectivement, c’est d’ici que j’ai regardé le premier passage de mon père en ces lieux. Là-bas dans l’autre cave, trois mecs s’occupent de mon paternel déjà à moitié à poil. Le premier lui maintient les bras tandis que le deuxième lui a enfourné son sexe dans la bouche. Le troisième lui caresse le cul puis les tétons.

— Bonne chienne! Très bonne chienne! Tète bien, ma chienne!

Une fois que les trois mâles ont fini de se faire pomper par mon père chacun leur tour, ils lui arrachent ses derniers vêtements.

Des mains avides palpent son cul, caressent sa raie chaude et humide et malaxent ses tétons dressés. Contrairement à son premier abattage, il ne se débat pas. Il subit avec bonheur. Il gémit de plaisir. Je ne bouge pas et je reste à mater, une fois de plus. Je me sens moins coupable. Je suis pourtant plus inquiet. Je me demande à juste titre jusqu’où tout cela ira! La scène, loin de m'épouvanter, me file tout de même une gaule pas possible. Voir ces porcs abuser de mon géniteur m'excite plus que jamais.

Un quatrième gars entre dans la danse. Il lui roule un patin baveux en lui torturant les tétines. Mon père gémit de plus en plus fort d'autant qu’une première bite s’enfonce virilement dans son fion bien graissé.

— C'est bon, les mecs, la salope est prête!

Là, c’est le début du travail à la chaîne. Les mecs défilent. Ils ne font pas dans la dentelle et se contentent de tirer leur coup rapidement en pénétrant l’anus de mon père. Ils le bourrent et déchargent très vite leur jus sur ses fesses, son torse ou sa figure. Arrive le tour du Maître Ténébro. Mon père le supplie à genoux de le baiser. Ténébro, un peu plus habitué, fait durer le plaisir. Il lime sa proie longtemps et à la hussarde.

Ahmed s’avance et pose une paire de pinces munies de poids sur les tétons de mon père. C’est là que je me rends compte qu’il doit être particulièrement sensible au niveau des seins car il jouit intensément. Il geint tout son plaisir comme une truie.

Ténébro le retourne sur le dos et lui écarte les fesses exposant son trou du cul à la vue de tous.

— Je vais le finir en beauté, les gars!

— Ouais! Éclate-lui le fion, mec!

Il plonge à nouveau son énorme sexe et le sodomise sauvagement. Le corps de mon père accompagne les coups de boutoir et s’agite dans tous les sens. La baise dure trente minutes au moins. Mon père doit avoir le cul en compote. Après plusieurs assauts, l’enculeur épuisé finit par décharger en un long râle de jouissance. C’est une véritable explosion!

Ahmed revient vers l’endroit où je me trouve.

— Alors qu’est-ce que tu en penses?

— Je n’en reviens pas... Il accepte tout...

— Ton père est devenu une bonne truie, mon gars! On ne va pas le lâcher.

— Il a fini là?

— Tu rigoles!!! Il a à peine fait la moitié de ses «clients»!

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Mardi 24 juillet 2 24 /07 /Juil 18:00

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Ça fait un moment que les études me pompent et que je me heurte à l’incompréhension familiale. Dans ma tête, j’ai la ferme intention de passer une année sabbatique. Mon père qui est médecin et qui a une haute opinion de lui-même ne l’entend pas de cette oreille. Depuis un an, c’est-à-dire l’époque de mon coming-out, nous nous disputons sans arrêt pour un oui et pour un non. Ma mère qui a quitté mon père depuis cinq ans est moins agressive avec moi, elle m'a engueulé pour la forme mais finalement, comprend très bien qu'à 18 ans, on ait d'autres préoccupations que les études.

Depuis trois mois, je me suis trouvé un copain très chaud qui a six ans de plus que moi. Mourad est Tunisien et il vit dans un quartier peu sûr. Je passe régulièrement le voir dans son appartement mais je n’y ai pas encore passé une nuit complète. Mon père me fait trop peur. Je le sens capable de me faire du mal. Il me bassine constamment avec ses grandes théories sur la vie, le travail et la famille. Il veut que ma sœur et moi réussissions dans la vie et que nous devenions des gens bien aux yeux de tous. Il peut fanfaronner, lui. Qu’a-t-il fait de sa famille?

Un jour, mon père m’a suivi. Il devait soupçonner que j’avais un petit ami et que j’avais avec lui des relations sexuelles. Il devait me soupçonner de fréquenter quelqu’un qu’il ne juge pas «comme il faut». Il m'a donc suivi jusqu'à la cité. En entrant dans le bâtiment où vit mon mec, je l’ai repéré au loin et j’ai fait semblant de rien. Furieux, je suis allé voir deux copains de Mourad et je leur ai expliqué la situation.

— Je ne veux pas qu’on lui fasse de mal mais j’aimerais qu’on lui foute la trouille...

Mon père était habillé, comme d'habitude, d’un costume trois pièces irréprochable. Une tenue qui ne cadrait pas vraiment avec l’endroit où il m’avait suivi.

Ahmed, un de potes de Mourad, est sorti du bâtiment et s’est dirigé vers mon père.

— Jeune homme!? a crié mon père.

— Ouais! J’peux faire un truc pour vous?

Mon père a sorti deux billets et a posé sa question:

— Un jeune homme vient d’entrer là-bas. Il a dix-huit ans et s’appelle Antoine. Ça vous dit quelque chose?

— Ah oui, Antoine, le pédé!

— Euh... c’est ça...

— Si vous voulez le sauter, faudra patienter... Il est allé rejoindre son mec! Il est passé près de moi pour acheter du shit car je dois l'avouer, cet Antoine et son mec aiment faire l'amour sous l'effet de la drogue. Je peux vous dire qu’ils leur arrive de gueuler comme des porcs!

Mon père a commencé à s’énerver et a voulu sauter à la gorge du beur. C’est à cet instant que sont apparus tous les autres.

— Qu'est ce que tu viens foutre ici, sale bourge, tu ferais mieux de te casser et vite fait!

— Je suis venu chercher mon fils et le ramener chez nous!

— Ah oui? Et ton fils, il est d’accord avec ça?

— Laissez-moi passer, bande de...

— Bande de quoi, papy?

— Ce n'est certainement pas des petits loosers de votre espèce qui vont m'empêcher d'accomplir mon devoir de père de famille.

— Oh, putain, mais vous entendez ce conard nous traiter de loosers! Pour qui il se prend, lui? On va lui montrer qui on est, nous!

Ils sautèrent sur mon père d’un coup et il eut beau gueuler, il se retrouva immobilisé. Deux des gars le saisissent par les bras et l'entraînèrent de force dans une cave humide de la cité. Mon père se débattait mais ne pouvait rien faire contre ces jeunes gars solides et vigoureux. Cachés derrière une fenêtre au deuxième étage, j’entendais les cris de mon père hors de lui. Je suis alors descendu à la cave... Je voulais voir...

La cave était répugnante. Les murs étaient recouverts de graffitis et il y règnait une odeur d’urine et de tabac à vous faire vomir. Les cris avaient repris de plus belle. Dans la cave, il y avait un hispano tatoué du nom de Ténébro. Ce mec me faisait peur rien qu’en le voyant.

— Eh, les gars, vous l'avez chopé où cette pute?

— On sait que tu préfères les vraies chattes mais, désolé, mec, on n’a trouvé que ça!

— Après tout, un trou est un trou.

Mon père s’était tu. Il devait vraiment se sentir mal.

— Figure-toi que cette salope est soit disant venue chercher son fils et elle nous a insultés! lança Ahmed.

— Beau costard! Mais il va falloir l’enlever!

J’ai entendu un bruit de crachat. Mon père venait plus que certainement de cracher à la figure de l’hispano. Putain, ça allait mal finir!

— On veut faire le malin et bien on va te montrer!

Que pouvais-je faire? La situation était plus que claire. Pouvais-je intervenir pour empêchant mon père de se faire violer où laisser faire en guise de punition pour m'avoir suivi?

De toutes manières, c’était trop tard. Les gars l’avaient entraîné dans leur antre et ils le jetèrent sur un matelas pourri.

— Je vous préviens... eut-il le temps de dire.

Un coup vola et lui arracha un cri. Il ne dit plus rien. J’étais là, à une dizaine de mètres, et j’observais. Il y avait suffisamment d’ombre pour qu’on ne me voit pas. Mon père sanglotait alors qu’on lui arrachait ses vêtements. Il se retrouva en slip et chaussettes. Les mecs riaient et faisaient leurs commentaires douteux. Ils lui ont écarté les bras et il a été maintenu avec fermeté par deux mecs. Il appelait doucement au secours en se débattant.

Ténébro s’est approché et lui a craché à la figure:

— Je te le devais, salope! Tu peux crier tant que tu veux. Crois-moi, c’est stupide... même si on t’entend, personne n'osera rien dire ici, par peur des représailles. Alors tu peux toujours gueuler comme une truie, tu arriveras juste à t’ épuiser... Garde tes forces pour d’autres choses!

Les choses prenaient des proportions que je n’avais pas imaginées. J’aurais peut-être pu m’interposer entre Ahmed et ses compagnons et leur intimer l'ordre d'arrêter mais une pulsion perverse m'empêcha d'intervenir. J’étais à la fois excité, paralysé et subjugué par la scène qui se déroulait devant mes yeux. Mon père s’est retrouvé là, au milieu des arabes, complètement à poil. Il crachait sa haine et son dégoût sous les injures de ses bourreaux. C’était la première fois que je le voyais ainsi.

Les mecs l’ont d’abord chahuté puis les choses sérieuses ont débuté. Mon père s’est retrouvé avec une bite d’Arabe dans la gueule. Il a bien menacé et même essayé de mordre mais lorsque Ténébro lui a donné un coup de poing sur le nez, il s’est calmé. Au bout d’un moment, je me suis retourné pour vomir. Je n’étais pas fier de moi. Pourtant, une part de moi était satisfaite... C’était comme un exorcisme... Mon père qui détestait les pédés et les Arabes se faisait baiser la gueule et le cul par ceux-ci. Je le découvrais en tant que femelle soumise, contrainte et dominée. Lui, d'habitude si arrogant, si fier et imbu de lui même! Je ne revenais pas de ce que je voyais... Mon père, à quatre pattes, gémissant, en train de se faire baiser comme une chienne par une bande de jeunes maghrébins.

— Allez, salope, pompe mieux que ça! Tu en es capable!

Ça faisait plus de vingt minutes que mon père subissait les assauts de ces grosses bites. Je constatait qu’il bandait et surtout qu’il avait fini par ne plus se révolter. Baisé par devant et par derrière, il subissait. Cette vision provoqua en moi une bouffée de chaleur et je sentis ma queue se raidir comme jamais. J’aurais presque voulu me toucher et me libérer de cette excitation contre nature.

Dans l’autre cave, Ahmed s’amusait à soupeser et à malaxer les deux couilles pendantes de mon père. Celui-ci était passé par tous les stades: d’abord les cris et la révolte; ensuite les pleurs et les soubresauts... enfin il semblait résolu.

Mon père goba la bite de Ténébro qui lui tenait les oreilles pour imprimer son rythme. Il tétait avec conviction et ressemblait à un bébé assoiffé de lait.

Ténébro serait le dernier à baiser celui qu'il considérait comme un sale con de bourge doublé d’ une salope à révéler. Il avait décidé de faire de lui sa truie.

— Ça suffit pour le pompage! Ma bite en veut plus, salope! Couche-toi!

Il le força à s'allonger sur le matelas crasseux. Ne voulant pas se faire pénétrer par une bite aussi grosse et aussi longue, mon père tenta à nouveau de se débattre mais deux potes d’Ahmed l’immobilisèrent et lui écartèrent largement ses cuisses.

Ténébro inspecta la raie qui avait déjà été visitée et préparée par cinq ou six autres bites. Il déboutonna son pantalon pour laisser son énorme sexe turgescent se dérouler sur sa paire de burnes rasées. La vue de cet engin en excita plusieurs qui ne pouvaient plus tenir. Un des Arabes éjacula sur le visage de mon père et une partie de son sperme chaud coula sur ses yeux et dans son nez.

Je n’oublierais jamais cette image: mon père complètement à poil sur le matelas avec les jambes écartelés, attendant d’être sailli par un étalon arabe. Ténébro passa sa main dans la raie poilue de sa victime:

— Hé, on dirait qu'elle mouille, la salope. Je savais qu’elle finirait par aimer ça, se faire baiser à la chaîne comme une pute.

Il pénétra mon père avec violence et le laboura longtemps de son énorme sexe. L’exercice dura fort longtemps et le plus curieux, c’est que mon père ne put contenir son plaisir. Il couina, gémit jusqu'à hurler de bonheur. À l’instar des autres voyeurs, j’ai commencé à me masturber devant cette scène surréaliste. Mon père, ce xénophobe, devenait une salope à arabes et prenait son pied à se faire violer. Ténébro retira enfin sa queue du trou béant de mon père et ordonna à ses copains de le mettre à quatre pattes.

— Je veux le finir comme une chienne! C’est juste ce qu’il est...

Il introduisit à nouveau son énorme sexe dans le cul ouvert et pilonna avec hargne. Un autre Arabe présenta sa bite et mon père le suça. On peut même dire qu’il le fit avec délectation. Il l’ engouffra goulûment au fond de sa gorge. Le «sucé» le saisit par les cheveux et lui imposa sa cadence. Les autres gars qui n’avaient plus à l’immobiliser décidèrent de participer. Mon père les y encouragea même.

— Profitez bien de la salope! Allez-y... fourrez-moi à la crème!

J’étais bouche bée. La scène dura plus d'une heure, les mecs se relayant dans les deux trous offerts. Mon père d’abord non consentant était devenu à ma grande surprise une pute très réceptive. Il suçait à tout va et se laissait pénétrer.

J'avais éjaculé depuis longtemps lorsque l’abattage de mon père se termina. Je me sentais tout penaud de m'être branlé en voyant mon père se faire violer puis prendre son pied. Tout en se rhabillant, Ténébro lui lança:

— Tu reviens quand tu veux et tu seras accueilli comme tu le mérites... en bonne pute!

Je me suis éclipsé avant qu’ils quittent la cave et je suis rentré chez nous. Lorsque mon père est rentré, il fit semblant de rien. Aujourd’hui, nos rapports ont changé. Nous nous entendons beaucoup mieux et nous avons une meilleure complicité. Il tolère mon mec et m'encourage à la fréquenter. Je sais qu’il retourne régulièrement dans la cave pour recevoir sa dose de coups de bites. Mon père est un cochon et j’en suis très fier.

 

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Mardi 24 juillet 2 24 /07 /Juil 17:35

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Le mariage de mon cousin a eu lieu le 12 septembre dernier dans le centre da la France. Nous avons deux ans écart, il a 24 ans et j'en ai 26. Je prévois deux semaines avant d'aller acheter quelques fringues pour le mariage. Je n'arrive pas à me décider si je dois prendre un costume ou alors simplement un jeans et chemise pour être plus cool. Je n'aime pas trop les grandes cérémonies. J'appelle mon cousin qui est déjà en effusion à l'idée de son mariage pour savoir ce qu'il en pense. Tout de suite, il opte pour le jean et la chemise. C'est un grand amateur de jeans. D'ailleurs, lui et sa copine sont toujours en jeans. Je dois dire que cette décision m'enchante pour mon porte monnaie, cela me gênait beaucoup d'acheter un costume juste pour son mariage.

Je descends vite en ville visiter les petites boutiques de marque. Après plusieurs essais, je tombe sur un jean noir avec une superbe coupe et assez moulant. Le vendeur me trouve une chemise en jean noire qui s'accompagne bien avec le reste. Je trouve tout ceci un peu trop jeans à mon goût. Le vendeur insiste. C'est un homme d'une cinquantaine d'années en costume. J'ai du mal à me décider. Je n'arrive pas à imaginer ce que cela donne tout en jeans. Il me propose de s'habiller comme moi pour me montrer. Il revient avec le même jean et la même chemise dans une taille différente, car on peut dire qu'il a un peu de bedaine. Il s'assied et quitte son pantalon de costume. Il a un slip blanc à poche. Je m'aperçois qu'il bande. Je me retourne car je me sens un peu gêné. J'entends la fermeture éclair du jean qui monte. Je me retourne. Il quitte sa chemise et son maillot de corps. Il a le torse poilu. Vraiment, il a tout pour me déplaire. Une fois habillé en jeans, il est déjà mieux.

Un client entre dans la petite boutique. Le vendeur un peu effrayé crie au client de patienter. Il se déshabille pour remettre ses affaires, j'en fais de même. Je quitte la chemise, je suis torse nu. Je m'amuse un peu à l'allumer en restant avec mon mini slip blanc. Je le sens craquer tout en étant énervé par ce client qui attend. Lorsque je me baisse pour ramasser le jean, je sens ses mains se poser sur mes fesses. Ses doigts longent l'élastique de mon slip jusqu'à l'entrejambe. Je le laisse jusqu'à toucher mes bourses.

Il se précipite vers son client comme si rien était. Je me rhabille et je vais jusqu'à sa caisse. Je le sens stressé, il essaie de faire fuir son client. Je demande à payer. Il ne peut faire qu'autrement que de me donner mon ticket de caisse et d'accepter mon argent. Je quitte le magasin en souriant.

En début de semaine, mon cousin me téléphone pour m'annoncer qu'il va enterrer sa vie de garçon. Il m'explique que c'est un week-end entier sans sa future femme, entre copains. Je saute de joie à l'idée de me retrouver entre mecs. Mon cousin sait ce que je suis. Il accepte très bien.

Le samedi arrive. On commence par la tournée des apéros chez les uns et les autres. La fête commence. Mon cousin s'est aussi mis en jean avec un polo blanc. Nous sommes dix copains, surtout des copains d'enfance. On finit l'après-midi chez lui. Sa future femme est partie le week-end chez ses parents après nous avoir préparé un bon repas. Je m'étais mis à côté de mon cousin. Je lui versais du vin dès que son verre se vidait. Nous avons fini très tard. Tout le monde était très fatigué. Mon cousin avait bien bu. Tout le monde s'est petit à petit éclipsé vers leur couchage.

J'ai pris mon cousin en lui passant son bras à mon cou pour le porter jusqu'à sa chambre. Je l'ai allongé sur le lit. Je lui ai retiré son polo. J'admirais son torse presque imberbe. J'ai dégrafé son jean bouton par bouton. Je lui quittais. Il avait un slip gris à ceinture élastique. Je commençais à caresser le long des élastiques. Il se mit à bander, il me prit pour sa femme. Ceci commençait à vraiment m'exciter. Mes doigts s'enfonçaient sous les élastiques. Je découvrais ce sexe encore caché sous le tissu du slip. Je me suis déshabillé en gardant que mon slip et me suis allongé à côté de lui après pris soin d'allumer la petite lampe de chevet pour plus d'intimité. Ma main parcourait lentement son torse jusqu'à son sexe. Il commençait à gémir. Mes bisous sur son corps claquaient doucement. Je glissais ma main sous son slip. Il avait un sexe pas trop conséquent. Je l'embrassais sur la bouche, il eut un petit recul, il comprit que c'était moi. Soit par manque de force, soit par plaisir, il ne me repoussait pas. Je lui chuchotai à l'oreille que j’allais lui laisser son meilleur souvenir avant son mariage.

Je me couchais sur lui ma bouche vers son slip. Je retirai délicatement son slip jusqu'aux genoux. Je passais ma langue autour de son sexe bien raide. Je sentais sa tête dans mon entrejambe, son petit nez frais sur mes bourses. Je baissais mon slip pour glisser mon sexe entre ses lèvres. Sa bouche s'ouvrit. Je sentais sa langue sur le bout du gland. Je bandais dur. Je léchais tout son sexe du bout jusqu'à ses bourses puis je remontais. Lui, commençait à me sucer doucement. Je retirais complètement son slip pour pouvoir glisser ma main entre ses fesses. Je parcourais le long de sa raie avec mon index. Je le sentais frissonner sous mon torse. Mon index s'arrêtait sur l'entrée de son petit trou. Mon doigt forçait un peu l'entrée. Il gémissait de plaisir. Plus le temps passait, plus il me suçait correctement. Mes doigts élargissaient son petit cul.

Sur la table qui se trouvait dans la chambre, parmi les produits de beauté de sa copine, j'aperçus un flacon d'huile solaire. Je l'attrapais sans qu'il s'en aperçoive. Je commençais à lui badigeonner les couilles avec le produit, son plaisir devint intense. Ses mains me caressaient maintenant les fesses. J'enduis sa raie de ce liquide glissant. J'avais de plus en plus envie de lui. Je ne pensais plus du tout que c'étais mon cousin sur le point de se marier.

Une fois bien préparé, je me retournais pour m'installer. Je glissai sous lui en tirant ses jambes sur moi. J'ai pris son sexe dans ma main pour le branler. L'autre main, dirigeait mon sexe vers son petit trou. Je caressais sa raie avec mon gland. J'ai joué ainsi très longtemps jusqu'à que mon gland disparaisse dans son trou. Je le caressais sur les bourses, entre les cuisses. Mon sexe s'enfonçait avec la plus grande douceur au fond de ses entrailles. Il me dit tout en délirant de ne pas l'enculer. Je lui expliquais que c'était fait. Je passais mes mains sous son dos pour le redresser vers moi, il s'accrocha à mon cou. Il me dit que l'on aurait pas dû. Pour le faire taire, je l'embrassais sur la bouche. Je le sentais se détendre, apprécier cela. Je roulais mon pouce sur le bout de son sexe. Je sentais des mouvements saccadés venant de son corps. Il gicla très fort. Son jus m'arriva jusque dans le cou. Je ne pus me retenir très longtemps et giclai en éclatant de rire. Les autres se réveillèrent dans un demi-coma et crurent que mon cousin délirait, je leur ai crié de se rendormir que je m'occupais de lui.

Une semaine plus tard, il se maria. Nous n'avons encore jamais reparlé de cet événement, mais je peux dire que cela nous a rapproché.

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Lundi 23 juillet 1 23 /07 /Juil 23:18

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Je vis avec Marc depuis deux ans maintenant. Je l'ai rencontré il y a quelques années, et nous sommes tombés amoureux l'un de l'autre. Il était à l'époque marié avec une femme que je n'ai jamais rencontrée. Elle est partie le jour où Marc avait demandé le divorce lui annonçant son homosexualité par la même occasion. Nous habitons un mas provençal, discret et à l'abri du regard d'éventuels voisins. Nous regardons grandir les enfants de Marc. Il y a les jumeaux, Marion et Florent, qui ont seize ans et Jérémy qui, lui vient juste de fêter ses dix ans. Eux non plus n'ont pas revu leur mère depuis deux ans.

Moi, j'ai trente-neuf ans. Marc en a quarante-cinq. Il est grand et sec, doux et tendre. Je suis plus petit que lui, mais j'ai plus de cheveux. À la maison, nous ne nous cachons pas pour se donner des marques d'affection, même si on préserve tout ce qui relève de l'intime.

Ce dimanche matin, nous sommes tranquilles, dans notre lit. La maison, pour un dimanche, est étrangement calme. Rituellement, le dimanche matin, nous nous retrouvons tous dans notre chambre pour chahuter. Jérémy passe le week-end chez un copain et Marion a invité son petit-ami. Pensant être tranquilles, nous nous embrassons Marc et moi. Nous enlevons nos sous-vêtements et je commence à le sucer. J'aime sucer Marc. J'aime lorsque je le fais jouir de cette manière, et j'ai bien l'intention de goûter à son sperme. Cependant, la porte s'ouvre sur un Florent, en boxer, portant un plateau repas. Surpris, le temps semble s'arrêter pour nous trois. Marc est le premier à réagir en cachant sa nudité en remontant le drap. Je me sens rougir. Marc dit à Florent :

— Bonjour Flo, ne reste pas planté là et apporte le plateau. Excuse-nous, mais comme la maison était calme on ne pensait pas que nous serions dérangés.

— Désolé, repris Flo, je vous laisse.

Instinctivement, je me lève et je prends le plateau des mains de Flo que je pose sur le lit et je le saisis par le poignet et l'invite à venir prendre le petit déjeuner avec nous. Je suis complètement nu et je bande encore. Marc se pousse un peu pour laisser une place à Florent entre nous. Marc reste protégé par le drap mais son érection est toujours visible. Je m'installe à côté de Florent. La gêne est toujours là. Marc dit :

— Tu sais Florent, ce n'est pas grave.

— Enfin, reprend-il, je vous ai vu en train de...

— De se donner du plaisir, achève Marc. Tu ne te donnes jamais du plaisir ?

— Si, mais...

— Et ta sœur, continue Marc, tu crois qu'elle fait quoi là...

Marc parle avec douceur. Il a un bras autour des épaules de Florent. Je regarde le père et le fils. Ils sont beau tous les deux. Florent est un adolescent ravissant. Il a grandi très vite. Il est très mince mais commence vraiment à s'étoffer depuis quelques temps. Il est aussi brun que son père est blond. Par contre, ils ont les mêmes yeux verts. Son boxer aussi s'était rapidement étoffé ces derniers temps. Il ne dissimule plus son joli paquet. D'ailleurs Florent sait choisir avec goût ses boxers, toujours très colorés, et visiblement une taille au dessous de sa taille réelle.

— Papa, demande Flo, ça fait quoi de faire l'amour entre hommes ?

— C'est difficile à dire, tu l'as déjà fait ou pas avec une fille ?

— Non. Jamais, mais en fait, je crois que je suis gay, comme vous. Quand je vous vois vous embrasser, je ne peux pas m'empêcher de vous regarder. Le soir, j'écoute les bruits venant de votre chambre et je me branle pensant à vous.

Je regarde Florent pendant sa confession. Je vois son père qui caresse délicatement les cheveux de Florent qui sanglote. Je dépose un baiser sur sa joue puis sur son épaule. Il nous dit :

— Je veux faire l'amour avec vous.

Je suis surpris de sa demande. Mais encore plus de la réaction de son père. Marc embrasse Florent sur la bouche. Leurs langues s'emmêlent et la main de Marc descend vers le ventre de Florent. À la vue de ce spectacle je rebande immédiatement. Le boxer de Florent est déformé par son érection. Je pose une main sur son paquet. Il gémit. Je descend son boxer et libère sa bite. Je décalotte son gland et l'entoure de mes lèvres. Ma langue découvre chaque centimètre carré de sa bite raide.

Florent est maintenant penché sur la bite de Marc. Je suce Flo qui suce Marc. Florent s'y prend pas trop mal, mais est un peu brutal. Je lache la queue de Florent et remonte vers la bite de Marc. Je suce mon ami en même temps que Florent. Nos langues se croisent et s'emmêlent sur le gland de Marc. Nous nous caressons mutuellement. Florent semble très détendu.

Marc se lève. Florent se rabat sur ma bite. Marc le fait mettre à genoux, écarte les fesses de Florent et y colle sa langue. Je sens que Florent prend du plaisir à sa fellation qui se fait de plus en plus langoureuse. Marc se redresse et présente son gland à l'entrée de l'anus de Flo. Il pousse. Florent accepte la bite de Marc entre ses fesses mais l'intromission se révèle plus douloureuse qu'il l'avait prévu et arrête sa fellation et souffle fort. Je l'aide à se détendre en le caressant et en l'embrassant. Puis Marc commence peu à peu à bouger. Pendant quelques minutes, Florent se concentre sur sa douleur qui devient peu à peu plaisir. Il reprend sa fellation. Je lui caresse les cheveux. Il me branle en même temps qu'il me suce. Il apprend vite. Marc a amplifié le mouvement. Il me regarde et me sourit. Il me montre sa bite qu'il a entièrement sortie du cul de Flo pour la replonger aussitôt au fond. Florent éjacule sur ma jambe, je sens le liquide chaud dégouliner le long de mon mollet. Je sens à mon tour monter la jouissance. Je dis à Flo que je vais venir. Je retire ma bite de sa bouche et commence à me branler. Son visage est à deux doigts de ma bite quand j'éjacule. Mon sperme s'étale sur sa tête et son visage, des filets de sperme s'accrochant à ses cheveux, sur son front, son nez, ses lèvres.

Marc arrête sa sodomie. Florent s'écroule sur le dos contre moi. Marc approche sa queue du torse de Florent et commence à se masturber en direction du visage déjà souillé de notre amant. Il faut peu de temps avant que le sperme de Marc ne vienne se mêler au mien sur le visage de Florent.

On s'allonge à côté de Florent et on l'embrasse. On le nettoie de toute trace de sperme. Florent s'est déjà endormi. Nous l'enlaçons et l'embrassons et posons chacun une main sur sa bite. Nous le rejoignons rapidement dans son sommeil réparateur.

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Dimanche 22 juillet 7 22 /07 /Juil 20:05

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Quentin n'en pouvait plus. Il était 3 heures et demi du matin et le bar gay dans lequel il travaillait pendant l'été ne s'était toujours pas vidé. Il devait encore nettoyer les tables, servir des bières et des martinis, ne pas faire attention aux clins d'oeil et aux mains qui caressaient ses fesses "accidentellement". Au début, cela lui plaisait. Quentin était une belle allumeuse et il aimait l'attention que les clients du bar lui portaient. Il avait pour habitude de porter des jeans très moulants, quand ce n'était pas des pantalons de lin quasi transparents, le but étant évidemment que les regards se concentrent sur ses belles fesses rondes et rebondies. Mais au bout d'un mois à être considéré comme de la viande par les clients et à avoir l'impression d'être interchangeable avec les autres serveurs, Quentin en avait assez.

Aux alentours de 5 heures du matin, le bar était quasiment vidé. Il ne restait que quelques clients et les serveurs s'occupaient essentiellement de ranger le bar pour le lendemain. Pendant qu'il s'occupait des cendriers, un homme lui demanda:

— "Vous aviez pas l'air d'être enchanté de travailler aujourd'hui jeune homme. C'est dommage, vous aviez un si joli sourire..."

— "Merci... C'est gentil," répondit Quentin.

Le jeune serveur détailla l'homme. La trentaine, brun, les cheveux courts, un peu plus grand que lui, et beaucoup plus musclé. Le genre de mecs qui kiffait les petits minets comme Quentin.

— "Évidemment" se dit Quentin, "il voit un blond aux yeux bleus, un jean un petit peu moulant, et il croit avoir à faire à une pute."

Malgré les apparences, Quentin ne se faisait pas baiser souvent. La plupart du temps, il se faisait draguer, répondait aux avances plus ou moins poussées de ses prétendants et quittait ces derniers au moment fatidique où ils désiraient que leur pénis entre dans l'un des trous de Quentin. Ce dernier entendait beaucoup d'insulte, mais il s'en fichait. Il aimait rendre fous les hommes qui le désiraient, et plus Quentin jouait la salope, plus ils étaient frustrés, et plus Quentin prenait son pied.

— "Romain" dit le client avec un sourire.

— "Quentin" répondit le serveur.

— "J'imagine que tu n'as rien à faire après ton service, Quentin?"

— "Bien sûr que si!" répondit Quentin, regardant Romain droit dans les yeux. Ce dernier ouvrit la bouche mais Quentin l'interrompit. "Je dois venir chez toi et me faire baiser comme une pute..."

Romain eut un petit sourire satisfait.

— "On dit que l'habit de fait pas le moine... Mais tu es bien la salope que tu as l'air d'être. En revanche, je ne t'ai pas autorisé à me tutoyer..."

— "Je suis désolé... Monsieur..." dit Quentin. "Taré" pensa-t-il.

— "Bien. Je t'attends donc. Fais vite."

Romain sortit du bar. Quentin soupira. Il en avait vu des fantasmes bizarres, le vouvoiement était loin d'être le pire. Il finit donc de nettoyer les cendriers, rangea la vaisselle, dit au revoir à ses collègues et sortit du bar, qu'il devait revoir le lendemain. Nul trace de Romain. Quentin soupira et décida de rentrer chez lui.

Il avait à peine commencé de marcher qu'une voiture noire le dépassa et s'arrêta. Un homme en costume en sortit.

— "Par ici je vous prie," dit l'homme en ouvrant la portière arrière.

— "C'est une blague?" pensa Quentin.

Il jeta un coup d'oeil à l'arrière de la voiture. Romain siégeait comme un roi, un verre à la main sur un énorme fauteuil de cuir de 4 places. Assez impressionné, il monta. La portière se referma derrière lui. Romain le regardait avec des yeux perçants. Il jaugeait Quentin. Sans cesser de l'observer, il servit au serveur un verre. Quentin le but. La voiture démarra. Les deux hommes ne s'échangèrent aucun mot. Romain se contentait d'observer Quentin. Ce dernier buvait son verre et n'en menait pas large. Peu à peu, il se sentait très mal à l'aise. Il avait très chaud. Romain l'observait toujours. Les yeux de Quentin se fermait peu à peu et il finit par s'endormir.

Lorsqu'il se réveilla, il ne se rappelait plus vraiment ce qu'il s'était passé. Il essaya de se lever mais ses bras étaient solidement attachés au lit sur lequel il était.

— "Alors ma belle... Bien dormi?"

Quentin sursauta. Romain était assis dans un coin de la pièce. Il se leva et s'approcha du lit.

— "On va bien s'amuser maintenant que t'es réveillée ma chérie," murmura-t-il à l'oreille de Quentin.

Ce dernier tenta de se débattre, de chasser Romain avec ses pieds, de hurler, mais rien ne se passait. Son corps ne lui obéissait pas. Ses membres n'était que du chiffon et il arrivait à peine à produire un gémissement plaintif et pathétique. Romain s'allongea sur Quentin et l'embrassa à pleine bouche. Il chercha de ses doigts la raie des fesses du serveur qu'il avait kidnappé et introduisit un doigt sec dans son anus.

— "Mh... Comme je les aime : serrée et humide..."

Quentin ne pouvait que lancer des regards implorants, il n'était capable d'aucune résistance. Romain regardait son amant contraint droit dans les yeux avec un sourire narquois.

— "Tu vois, ces fesses et surtout cette chatte sont faites pour accueillir un mâle. La façon dont tu marches, dont tu te trémousses, dont tu parles... Tout ça, c'est un ensemble qui fait que tu es une femelle, peu importe ce que tu as entre les jambes. Tu es physiologiquement et psychologiquement fait pour qu'on t'engrosse, salope... Mais je sais pas pourquoi, t'arrives pas à comprendre ça... Donc tu crois que tu peux t'amener avec ton gros cul de pute devant nous sans nous le donner... Hé ben je suis là pour t'expliquer un truc connasse... Ta chatte nous appartient et on va pas se gêner pour l'utiliser..."

Romain ajouta un doigt. Quentin sentit une vive douleur. Il était très serré et Romain n'avait pas pris la peine d'utiliser la moindre goutte de gel. Ce dernier fit de vifs va-et-vient, tout en embrassant Quentin sur la bouche, dans le cou.

— "T'as même une belle bouche de suceuse..." murmura Romain. Il se redressa sur le lit et approcha sa bite de la bouche de Quentin. Celui-ci tenta de la fermer mais Romain lui mit une baffe et ouvrit la bouche de Quentin sans grande difficulté. Il introduisit son pénis et baisa la bouche du serveur. Des larmes se mirent à couler sur les joues du jeune homme.

— "Fais pas ta princesse... Je sais que tu kiffes avoir la bouche pleine... T'es faite pour ça ma belle..."

Romain fit quelques va-et-vient dans la bouche, puis se rallongea sur le corps de son amant. Il lui écarta les jambes et mit son gland au bord de l'anus. Sans que Quentin ne puisse faire quoi que ce soit, Romain entra en poussant un râle de plaisir.

— "Oh putain ta chatte..."

Romain commença un léger va-et-vient qui se transforma rapidement en limage profond. Les cris de douleur que voulait hurler Quentin, s'entendaient comme des gémissements plaintifs. Bien entendu insensible, Romain continuait ce ramonage, s'arrêtant parfois pour gifler Quentin en lui demandant de fermer sa gueule. Au bout d'une dizaine de minutes, Romain sortit de l'anus de Quentin, retourna ce dernier comme une poupée, et le réencula.

— "On dirait vraiment une meuf de dos, tu sais, avec tes hanches... Si tu veux éviter qu'on te confonde, faudrait commencer un régime ma chérie..."

Ainsi, en levrette, Romain défonça Quentin, lui claquant le cul, lui tirant ses cheveux blonds, l'insultant de pute, de salope, de chienne, parlant de sa chatte comme un bien lui appartenant. Romain criait de plus en plus fort, frappait Quentin de plus en plus fort et entrait de plus en plus profondément dans le corps de ce dernier quand il finit par jouir, libérant un flot de sperme dans les entrailles de Quentin.

— "Hé ben ma salope, je t'ai bien engrossé là. Si tu me fais pas un mouftard avec ce que je t'ai mis, je sais pas ce qu'il faut."

Si Quentin était rempli de sperme, il était vidé mentalement. La douleur, l'humiliation et l'impossibilité de toute résistance l'avait rendu dans un état quasi animal. Il ne se rendit même pas compte que Romain lui fit une piqûre. Il ne se rendit même pas compte qu'il s'endormait.

Quand il se réveilla, il avait mal partout. Il arriva peu à peu à se redresser puis à se lever du lit. Il observa la pièce. Il n'y avait qu'un lit, défait, un fauteuil en cuir, et dans un coin, un miroir avec au pied, un tas de vêtement. Il s'approcha du miroir. Il se regarda. Il avait la tête de quelqu'un qui avait dormi des jours et qui n'avait pas vu la lumière du soleil depuis trop longtemps. Du sang avait coulé sur ses cuisses. Sur le tas de vêtements, il y avait un mot:

"Lave-toi, mets les vêtements et laisse toi faire. Nous préférons te posséder consciente. Si tu désobéis, tu seras droguée à nouveau. Fais ton choix. R."

"Comment ca? Nous? C'est quoi ce cauchemar? Putain... PUTAIN DE MERDEEEEEE!!! À L'AIIIIIIIIIIIIDE!!!"

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Samedi 21 juillet 6 21 /07 /Juil 23:41

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En fin de troisième, alors que je me préparais à passer les épreuves du Brevet, j'allais souvent réviser avec un camarade de classe. Thierry vivait seul avec son père dans une maison non loin du collège. Son père étant souvent absent, nous disposions de toute la maison mais le plus souvent, nous nous installions dans la chambre de mon ami pour travailler.

Quel que soit le lieu où nous travaillions, dans la chambre c'était l'occasion d'attouchements ambigus. La table de travail par son exiguïté nous obligeait à nous asseoir côte à côte. Thierry ne ratait pas une occasion de prendre appui sur mes cuisses, frôlant mon sexe. Combien de fois, sous prétexte de me montrer un texte, s'est-il levé, venant se placer derrière moi, en profitant pour frotter sa verge contre mon dos? Quand nous nous installions sur le lit, à la moindre occasion nous nous chevauchions pour passer de l'autre côté.

Pour nous détendre de nos heures studieuses, nous nous affrontions dans de pseudo-matches de catch sur ce même lit. Nous posions alors la chemise et nous livrions à un corps à corps continu, roulant parfois par terre sans lâcher prise, restant emmêler. Le but était d'arriver à immobiliser l'autre, l'écraser sous notre corps, le gagnant donnant alors un gage à son malheureux rival.

Thierry fit évoluer ces jeux "innocents" en m'accueillant un jour en short. Le temps particulièrement torride de cette journée pouvait justifier cette tenue mais sa sensualité et l'odeur de la peau chaude m'échauffèrent les sens dès le départ. Le contact de ses jambes nues quand nous étions assis au bureau m'incitait à m'appuyer moi aussi contre elles quand je me levais. La forme de ce vêtement me laissait deviner que je n'étais pas le seul que cette situation faisait bander. Quand un appel téléphonique éloigna Thierry de sa chambre, je profitai de son absence pour humer son pyjama, m'enivrant de son odeur.

Quand il revint, j'étais en train de fouiller dans ses sous-vêtements. Comme il me jetait un regard interrogateur, je lui demandais, innocemment, s'il ne pourrait pas me prêter un short, la chaleur étant vraiment intenable. Je rajoutais en toute ingénuité que celui qu'il portait était très sexy. Il me proposa de l'essayer. Avant que je n'aie eu le temps de refuser, ce que je n'avais nullement l'intention de faire, il avait ôté son short apparaissant dans un mini slip mettant en valeur un appareil génital qui ne demandait qu'à sortir faire un petit tour. Pendant que je posais mon pantalon, il caressait discrètement la bosse que formait son slip, puis il m'aida à enfiler son short, en profitant pour me peloter les fesses.

— Il est vraiment confortable.

— Il ne te serre pas trop me demanda-t-il, saisissant l'occasion de me palper le sexe.

— Non, le tissu est léger et souple, il moule bien.

— Oui effectivement il te moule bien. Tu peux le garder. Je vais rester en slip.

— Bon et bien merci.

Cette fois pour travailler, nous nous installâmes sur le sol. Nous étions assis face à face, je m'appuyais contre le mur alors que Thierry était assis en tailleur contre le lit. Au bout d'un moment, il déplia ses jambes envoyant un de ses pieds entre mes cuisses, contre mon sexe. Nous continuâmes un moment à simuler un travail assidu pendant que de la pointe du pied, il me massait l'entrejambe.

Cette situation ne pouvant s'éterniser, il me proposa un petit combat. Après le bas, nous tombâmes le haut, pour la première fois nous nous affrontions aussi peu vêtu, tous les deux en slip. Nous nous observâmes un moment nous tournant autour. Il passa le premier à l'attaque m'empoignant par surprise les parties génitales à travers le tissu, il me renversa sur le lit. Avant que je n'aie eu le temps de réagir j'étais immobilisé, allongé sur le lit, Thierry à cheval sur mon dos. Pendant un moment, nous restâmes dans cette position, je sentais son sexe bien dur contre mes fesses, discrètement par de petits mouvements de va-et-vient, il frottait sa bite contre mon cul.

— Quel gage tu vas me donner? lui demandai-je.

— Tu vas te branler devant moi.

— Tu regardes, mais tu ne touches pas, implorai-je hypocritement.

— J'ai gagné. Tu n'as pas à poser de conditions. Tu obéis.

Me retournant comme une crêpe, il me finit de déshabiller, attachant mon slip en trophée à son bras. S'étendant à côté de moi sur le lit, pendant que je commençais à secouer mon dard, il me pétrissait les couilles.

— Hum! Elles sont pleines de foutre tes couilles me susurra-t-il à l'oreille, en me titillant le lobe. Vas-y, pompe pour faire monter le jus.

Il se mit à cheval sur moi, tête-bêche, son slip bien gonflé juste au-dessus de mes yeux. Encore très inexpérimenté, je ne compris pas l'invitation.

— Laisse-moi prendre le manche. Quand tu as envie d'une bonne branlette de derrière les fagots, n'hésite pas à me le demander. Je te donnerai avec plaisir un coup de main.

Quand il me sentit prêt à jouir, il attrapa mon sexe dans sa bouche, avalant les jets de sperme que je lançais.

Ce soir là nous en restâmes là dans ce domaine, mais le lendemain quand il vint m'ouvrir la porte, il ne portait qu'un string, le triangle de tissu moulait son sexe et, quand il se retournait, je voyais le cordon qui disparaissait entre ses fesses.

— Le gage que je t'ai infligé hier m'a inspiré une idée de distraction. C'est le jeu du maître et de l'esclave. Chacun notre tour, nous interpréterons le rôle du maître, l'autre étant l'esclave et obéissant à tous ses ordres.

— Des ordres de la même veine que le gage d'hier, si j'en juge par ta tenue!

— Oui! Tu paraissais aimer ça. Pour que tu comprennes mieux la règle, aujourd'hui je serai le maître.

— Bon d'accord cela me convient. Je me déshabille?

— Non. Viens, on va travailler.

— Mais j'ai trop chaud.

— Tu y prends goût petit vicieux à t'exhiber. Allez viens! On va s'installer dans le salon aujourd'hui.

— Ton père ne risque pas de nous surprendre?

— Ce ne serait pas pour lui déplaire, mais il est absent. Pose ta chemise et installe-toi dans le canapé.

Je vais te bander les yeux. On va faire travailler tes autres sens. Tiens cette sucette pour te faire patienter. Hum qu'elle est bonne! Sa forme ne te fait pas penser à un autre objet? Comprenant l'allusion, je laissais une de mes mains descendre caresser mon entrejambe.

— Oui! Tu vois la ressemblance. La différence avec la sucette, c'est que plus tu le suces plus il y en a. Goûte donc la différence.

Son sexe vint remplacer entre mes lèvres le sucre d'orge. Je m'amusais à le léchouiller et à le mordiller.

Il me fit relever et finit de me déshabiller. J'avais toujours les yeux bandés. Il me caressa les fesses entre lesquelles il lança un doigt inquisiteur. Il me murmura à l'oreille.

— Tu ne t'es jamais fait enculer?

— Non mais toi tu as l'air d'avoir plus d'expérience?

— Oui! J'ai même eu déjà plusieurs partenaires, mais ils étaient toutes les fois plus expérimentés que moi. Je sens que tu as envie d'essayer. Si tu m'offres ton pucelage, je t'apprendrai à m'enculer. Tu verras, ce sera plus plaisant pour toi la première fois si c'est moi plutôt qu'un adulte avec un gros membre.

— Tu t'es déjà fait sodomiser par une grosse bite?

— Oui j'ai un ami qui en a une belle. Maintenant qu'il m'a ouvert à son calibre, c'est bon mais au début j'ai dégusté.

— Il t'a forcé la première fois?

— Non, non, j'en avais trop envie. Il m'avait laissé mijoté, c'est moi qui l'ai supplié de me la mettre. Si tu veux, je te le présenterai. Mais en attendant je sens que tu as envie de goûter à ma bite.

Il me fit incliner devant lui, en m'accoudant sur le bureau. Les jambes écartées, les fesses cambrées je lui présentais au mieux mon cul. Passant ses doigts dans sa bouche à plusieurs reprises, il entreprit de m'humecter la rondelle. Quand il la sentit bien se dilater, il força le passage de mon anneau culien, faisant pénétrer d'abord une phalange, puis deux. Il remua alors son doigt dans la chaleur de mon cul me faisant émettre un petit gémissement de satisfaction. Devant ma réaction, il décida alors de tenter d'y mettre deux doigts... Je les sentis forcer ma rosette, une petite douleur envahit mon cul pour très vite se dissiper quand les deux doigts plongèrent dans mon trou offert et soumis...

Il les ressortit tout poisseux, contemplant un instant le trou béant entre mes fesses puis les replongea à nouveau dans mes entrailles. Il s'amusa ensuite à les faire coulisser, restant parfois de longues secondes enfoncés profondément dans mon cul, les faisant bouger. Ses deux doigts qui s'activaient ainsi en moi, se croisant, se décroisant, se pliant me caressant l'intérieur du cul m'excitaient énormément.

Enfin il présenta sa queue encore humide de ma salive devant mon petit trou. Je sentis le gland palpiter à l'entrée de mon intimité, mon sphincter s'ouvrant sous la pression de sa tige. Mon cul se dilatait pour absorber son membre au fur et à mesure de son avancée. Il fut bientôt totalement en moi, je sentais ses couilles s'écraser sur mes fesses C'est ainsi que pour la première fois de ma vie, mais pas la dernière, je me fis enculer. Il est vrai que depuis, j'ai connu des bites plus grosse que celle de Thierry à l'époque, mais pour une première, je la sentais passer. Cependant il était assez doué pour me faire aimer cela.

— Déjà la dernière demie journée de ce week-end.

— Heureusement, j'ai les bourses à sec. Tu m'as pompé toute ma sève.

— Ne crois pas cela. Tu as besoin d'un petit stimulant. Je connais un endroit qui devrait te redonner du tonus: le jeu de miroirs dans la chambre de mon père.

— Tu es fou! S'il nous surprend?

— Ton inquiétude mettra du piquant à la situation et moi cela me fait fantasmer l'idée qu'il puisse te voir en train de m'enculer dans sa chambre.

M'empoignant la queue, il me tira vers cette partie de la maison que je ne connaissais pas encore. Nous pénétrâmes dans une grande pièce dont toutes les parois et le plafond étaient recouverts de glaces. Thierry se retournant écrasa sa bouche contre la mienne, lâchant mon sexe il m'enlaça pendant que sa langue pénétrait à la recherche de la mienne. La vue de ces corps répétés à l'infini eut rapidement raison de mon abstinence, mes mains allèrent se poser sur ses fesses.

Sentant que j'avais repris de la vigueur, mon ami se mit à quatre pattes sur le tapis, frétillant du cul.

— Tu es une vraie chienne en chaleur.

— Oh oui! Fourre-moi ta bite dans mon petit trou, il est brûlant, il a besoin d'être arrosé. Allez mon petit pompier, enfile-moi ta lance d'arrosage.

Sa soumission provoquait en moi des pulsions de violence. Je lui passais autour du cou une ceinture qui traînait sur une chaise et lui administrais une fessée énergique avant de lui enfoncer brutalement mon glaive entre ses fesses chaudes de la correction.

Je sentis une main qui me palpait les fesses. Relevant la tête, je découvrais dans la glace le reflet du père de Thierry tout vêtu de noir, il était entré dans la pièce sans que je l'entende. Comme je cherchais à me redresser, me demandant comment j'allais me tirer de cette situation embarrassante, sa main accentua sa pression sur mes fesses pendant que l'autre venait appuyer ma nuque m'incitant à continuer mon va-et-vient. Je croisais le regard de Thierry dans la glace, il n'était pas surpris par cette intrusion, je commençais à comprendre ses allusions quand je craignais que son père ne nous surprenne. J'étais tombé dans un traquenard.

Portant sa main à sa braguette, son père fit jaillir une bonne grosse bite de mâle en rut. Sans me quitter des yeux, il commença à la branler, décalottant un gland turgescent brillant de la présence de présperme. La vue du reflet dans le miroir de cette énorme bite tout contre mes fesses me fascinait. J'étais hypnotisé par les mouvements de ce gros hochet. Passant devant, il présenta son vit devant le visage de son fils. Celui-ci ouvrit docilement la bouche et engloutit le gland. Son père, le laissant s'amuser avec, se pencha vers moi, et me susurra à l'oreille:

— Tu l'as vue cette belle queue? Je vais la fourrer dans ton joli petit cul bien étroit.

— Elle est bien trop grosse! Elle ne pourra pas entrer.

— Oh si! Dès que Thierry va l'avoir lubrifiée, je vais te l'enfiler toute entière. Il est sûr que tu vas la sentir passer mais mon gentil petit fiston m'a ouvert la voie, il ne me reste plus qu'à l'élargir à mon gabarit.

— Donne la lui à sucer papa, qu'il en sente bien toute l'ampleur. Il fait la fine bouche mais je suis sûr qu'il va en raffoler. Papa est un artiste du sexe, tu vas voir tout le plaisir qu'il sait donner avec son mandrin.

J'enfilais à fond ma queue dans le cul de mon ami et me pencher pour goûter celle de son père. Ce dernier me caressait la nuque m'encourageant à bien avaler son sexe pour bien l'humecter. Jugeant son état satisfaisant, il revint derrière moi, s'accroupit pour glisser sa langue entre mes fesses cherchant à préparer le terrain. Il poussa son exploration également vers mon sexe qui avait repris son mouvement dans l'anus de Thierry. Je m'immobilisai quand je sentis son gland contre mon orifice. M'empoignant fermement par les hanches, il commença à m'enfoncer son gourdin. Je sentais mon cul éclater, mes sphincters se dilataient pour laisser pénétrer l'intrus. Je poussai un cri de douleur, protestant vivement; je cherchais à lui échapper, mais il me maintenait fermement en place. Coincé entre son fils et lui, je ne pouvais me soustraire à sa volonté.

— Vas y, crie si cela peut t'aider à avaler le suppositoire; ça m'excite. Oh que c'est bon! Voilà bien longtemps que je n'avais pas pénétré dans un fourreau aussi serré. Même mon fiston avait trouvé le moyen de se faire éclater le cul avant que j'y touche.

Il sut me travailler le cul assez lentement pour que je finisse par prendre goût à cette pénétration et mes cris se transformèrent en gémissement de plaisir.

— Tu devrais aller tondre la pelouse Thierry pendant que je finis de défoncer le cul de Guillaume. Notre voisin est là. Vous allez lui offrir une représentation somptueuse. Te voir passer la tondeuse à poil lui fait déjà prendre son pied. Mais aujourd'hui, nous allons profiter de la présence de ton ami pour compléter notre spectacle et l'inciter à y participer.

Mon ami se libéra de mon étreinte, me laissant suspendu à la bite de son père. Pendant qu'il commençait à tondre, son père, tout en continuant son mouvement de va-et-vient dans mes entrailles, m'expliquait la situation:

— Un jour où Thierry se croyant seul, se baladait sur la pelouse la queue à l'air, il a découvert que le voisin le matait, caché derrière ses rideaux. Le mouvement régulier du rideau laissait supposer qu'il se branlait en le regardant. Depuis, on veille à alimenter régulièrement ses fantasmes en espérant le voir un jour passer à l'action. Cela ne te gêne pas d'aller lui montrer la disponibilité de Thierry et son ouverture d'esprit?

— L'ouverture de son cul plutôt!

— Tu as vu comme il est bon? Il faut que tu viennes passer les vacances avec nous. J'ai loué un studio avec une seule chambre mais un grand lit. On pourrait t'organiser un stage intensif avec mon fiston, tu verras on a beaucoup d'imagination quand il s'agit de baise.

Pendant que nous échangions ces propos, il finissait de décharger entre mes fesses.

— Allez, à toi d'entrer en scène. Va le rejoindre!

En sortant dans le jardin, je pris un râteau avec lequel je rassemblais l'herbe tondue. De temps en temps, je m'arrêtais pour me gratter les couilles. Passant à proximité de mon ami, je m'amusais à lui taquiner les fesses avec le bout du manche du râteau, il se cambrait me permettant de lui entrer le bout. Quand il eut finit de tondre, je lui taillai une pipe avant que l'on rentre rejoindre son père.

Ce soir-là, j'eus un peu de mal à les laisser, mais ma vie venait de prendre un grand tournant. Un jour, je vous raconterai peut-être nos vacances...

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Samedi 21 juillet 6 21 /07 /Juil 18:24

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Aujourd’hui, j’ai 54 ans et, croyez-moi, j’ai bien profité du «sexe» et de ses plaisirs! Mon parcours a commencé lorsque j’avais 17 ans et j’ai vite trouvé ma voie. Ma famille faisait partie de la bourgeoisie dijonnaise. Nous habitions une villa cossue entourée d’un grand jardin pas trop loin du centre-ville. Des soirées mondaines étaient organisées régulièrement chez des amis de mes parents. Nous assistions à certaines de ces «soirées». Il s’agissait surtout d’occasions où les femmes pouvaient parader dans leurs plus belles tenues et où les hommes discutaient d’argent et de femmes. Moi, j’avais à peine dix-sept ans. L’un de mes frères, Jean-Yves, vingt ans, grand, blond, avec de beaux yeux bleus était très séduisant. Mon second frère, en pension dans la région parisienne, était rarement là.

Un soir, alors que les parents étaient invités à une réception, nous les jeunes nous avons été réunis au deuxième étage pour une soirée entre juniors. Nous sommes restés seuls toute la soirée et une bonne partie de la nuit. Vers minuit, nous avions bu un peu de punch - agrémenté secrètement de cognac par, Robert, le fils de nos hôtes - et je me suis mis un peu à l’écart. Je pensais à quelque chose que j’avais vu le jour précédent. Mon frère est venu vers moi. J’étais pensif.

— Que se passe-t-il? À quoi penses-tu?

— Il ne se passe rien. Je suis fatigué.

— Mais, je te connais bien, quand tu fais cette tête, c’est que quelque chose te contrarie. Allons dis-moi ce qui ne va pas!

— Ecoute, c’est un truc qui me trotte... Avant-hier, nous étions tous à nos activités hors de la maison et j’ai dû rentrer pour prendre un livre que j’avais oublié. En passant devant la porte de la chambre des parents, j’ai entendu un petit gémissement. La porte était entrouverte. Je sais que c’était mal mais j’ai regardé...

— Rassure-toi, j’aurais fait pareil!

— Je croyais voir nos parents en train de... Enfin, tu comprends!

— Je comprends!

— J’ai vu les fesses de papa qui bougeaient d’un mouvement lent mais régulier entre des cuisses que je croyais être celles de maman. Le lit craquait, ça gémissait. Après un moment, papa s’est levé et... merde... c’était pas maman...

— Tu veux rire?!

— J’en ai l’air, tiens! C’était Reynaldo, notre jeune valet de chambre. Il était à poil et il s’est mis à quatre pattes sur le lit. Papa s’est mis derrière lui et il lui a enfoncé sa queue dans son...

— Dans son cul?

— Oui.

— Ça doit faire rudement mal! Le plus étonnant c’est que Reynaldo n’a pas crié de douleur mais qu’au contraire, il paraissait apprécier ce que papa lui faisait.

— Il l’enculait, frérot!

— C’est ça «enculer»?!

— Y’a des gens qui apprécient ce genre de rapports, frangin! Continue à raconter... ça m’intéresse...

— Après quelques instants, ils se sont mis à gémir tous les deux et se sont effondrés sur le lit. Reynaldo s’est mis à genoux et papa lui a dit qu’il était «une bonne salope»... Curieux, non?

— Tu comprendras plus tard!

— Papa a saisit sa saucisse et l’a mise dans la bouche du valet. C’était bizarre. Sa langue passait et repassait dessus et papa disait toujours «Suce, salope!» Ils se sont ensuite effondrés sur le lit et se sont endormis. J’ai quitté la maison sans bruit.

— Papa fait des «trucs» avec un mec! Merde alors!

— Ce qui m’a étonné c’est de voir comme la quéquette de papa était grosse... Je l’ai déjà vu faire pipi dans le fond du jardin, elle n’était pas si énorme.

— Ça mon vieux, c’est le mystère de l’anatomie!

— Comment un sexe si petit peut-il devenir si gros?

— Ne me dis pas que tu n’as jamais bandé? Ta queue n’est jamais devenue dure et grosse?

— Si un peu... mais pas comme celle de papa!

— C’est normal! Tu n’es pas encore adulte!

— Toi bien?

— Quoi, moi bien?

— Ben, ta queue grossit comme ça... et devient énorme?

— J’ai pas trop à me plaindre de ce côté!

Jean-Yves m’a entraîné loin des autres vers le grenier et il m’a montré. En frottant sa queue, elle s’est mise à grossir assez fort. J’étais épaté...

— Touche-la! m’a demandé mon frère.

— Tu crois! Je ne crois pas que ça soit bien...

— C’est pas un péché. Allez...

— Woaw! Elle est longue et dure. Comment peut-elle entrer dans un aussi petit trou qu’un trou du cul?

— Veux-tu que je te montre comment cela se passe?

— Euh!.... Oui!

— Enlève ton pantalon...

— Mais...

— Ne discute pas tant! Tu en meurs d’envie... On est seuls! Pas de témoins!

Sans plus attendre, il s’est déshabillé de son côté et m’a regardé baisser mon pantalon.

— Ne sois pas si timide! Je t’ai déjà vu nu, frangin! Tu vois, tous les hommes ont un sexe comme celui-ci: modeste au repos. Pour qu’il change de dimension, il faut le stimuler. Parfois, le simple fait de penser à un truc cochon suffit pour qu’il grandisse.

— Regarder des photos, par exemple?

— Voilà! Mais souvent, un contact physique est nécessaire.

Jean-Yves posa sa main sur mon sexe. Au début, elle ne bougea pas puis elle me caressa délicatement. Les doigts glissèrent sur la peau pour la faire coulisser. Je trouvais ça très agréable. Mon sexe se mit à réagir.

— Veux-tu aller plus loin dans les explications, frangin? Comme par exemple, savoir comment une grosse saucisse peut s’enfoncer dans un petit trou?

— J’aimerais savoir, oui!

— Alors on continue...

Jean-Yves se plaça derrière moi, me caressa le dos et les fesses et me murmura à l’oreille de ne pas faire de bruit pour ne pas que les autres sachent où nous nous cachions. Je me suis laissé aller aux caresses de mon grand frère. Je sentais son membre dur qui frappait contre les fesses. De temps en temps, il entrait entre mes fesses, dans la raie et cognait contre mon trou du cul. Les caresses qu’il me prodiguait étaient formidables et je sentais ma verge grossir, durcir.

Son sexe, lui, était énorme, prêt à exploser et mon frère soufflait comme un bœuf. Il semblait fort excité.

— Respire à fond! me dit-il.

Et il amena son gland rouge de désir contre mon anus. Il le positionna puis s’ enfonça sauvagement, en moi, jusqu'aux couilles. Surpris par la rapidité de son geste, empalé pour la première fois, je souffrais horriblement et, malgré ses paroles de réconfort, je voulais très vite me soustraire à sa pénétration. Il m’était impossible de lutter contre lui et sa force... donc je ne pouvais pas éviter ses assauts virils.

— J’ai très mal! Arrête... Jean-Yves, je t’en prie...

— Calme-toi, ça va passer... C’est toujours comme ça la première fois... après, tu vas voir, c’est délicieux!

Ses coups de queue puissants se sont calmés jusqu’à ce qu’il sente que je m’habituais à sa queue.

— Ça va mieux?

— J’ai moins mal, oui. C’est trop gros.

— Tu voulais savoir.

— Pourquoi Reynaldo n’a pas mal, lui?

— Parce que ce n’était pas la première fois que papa l’enculait... La première fois est toujours douloureuse et, puis, après ça rentre sans problème. C’est même très bon...

Jean-Yves, tout en me parlant, accéléra le rythme et me lima en cadence. À bout de force, il libèra enfin sa semence sur mes reins et mes fesses.

— Eh oh! Où êtes-vous?

C’étaient nos amis qui nous cherchaient. Nous nous sommes tus. Nous croyions qu’ils étaient tous partis et nous avons commencé à nous rhabiller. Le fils de nos hôtes est apparu en haut des marches du grenier. Il souriaient.

— En voilà des petits cochons! Je me doutais bien de quelque chose mais... là... ça dépasse mes espérances... Surtout restez bien à poil! Jean-Yves, j’espère que tu accepteras de me laisser «couvrir» ton frère? Il a l’air d’avoir un bon trou...

Mon frère s’écarta pour laisser la place à Robert. Agrippé à mes hanches, il entra d’un coup sec et donna de grands coups de boutoir. Comme son sexe était moins gros que celui de Jean-Yves, je n’ai pas ressenti de forte douleur. Son sexe entrait et sortait rapidement entre mes fesses et, finalement, il se retira et m’éjacula sur les fesses.

— Je n’ai pas pu tenir plus longtemps! gémit-il en soupirant. On devrait en faire profiter les «autres»! ajoute-t-il.

Ce garçon parlait de moi comme d’un objet... un objet à plaisir. Il ne s’adressait qu’à mon frère pour proposer qu’on m’exhibe devant les autres jeunes invités. Effrayé par la situation, j’ai refuse et je me suis énervé. J’ai alors senti la main de Robert se poser sur mon sexe qui était toujours tout dur.

— C’est ridicule de se buter ainsi! Regarde comme tu bandes. Tu es très excité par la situation. Si c’est à cause des parents, crois-moi, tu n’as rien à craindre. Ils ont d’autres choses à faire. Si tu savais ce que ton père fait au mien... Allez viens te montrer comme ça! On va bien s’occuper de toi et te donner du plaisir. Écoute, voilà ce que je te propose... Tu te rhabilles et on descend. Aux autres, on va leur montrer un show très sexe où ton frère et moi on va te soumettre gentiment. Je suis certain que ça te plaira...

— Qu’en dis-tu, frangin? m’a dit Jean-Yves.

Vous dire que je n’étais pas excité serait mentir. Je l’étais plus que tout. Les deux enculages de mon frère et de Robert m’avaient drôlement mis en appétit et j’étais très excité. Je me suis donc revêtu et je suis descendu avec eux.

— Eh mais qu’est-ce que vous foutiez, vous trois? a demandé un invité.

— On faisait des découvertes dans le grenier.

— Robert, merde, y’a plus rien à boire! a crié un autre.

— Attendez une minute, je vais arranger ça...

Robert a disparu un court moment vers le bas de la maison puis est revenu avec des «munitions».

— Du gin!!! T’es fou! a rigolé mon frère.

— Pour ce qui va suivre, il est préférable d’être dans un état second... Si tu vois ce que je veux dire...

Il a versé deux bouteilles de jus d’orange et deux de gin dans le plat à punch.

— Buvez mes amis!

Jean-Yves m’a serré l’épaule comme pour m’encourager.

— Es-tu prêt pour le spectacle? m’a-t-il demandé.

J’ai rougi et agité la tête.

— Mes amis, cette soirée sera agrémentée d’un show d’un nouveau genre. J’espère que vous aimerez...

Il m’a attiré vers lui. Il a posé ses lèvres sur les miennes. J’ai entendu un chuchotement dans la petite assemblée des spectateurs. Robert m’a donné l’ordre de sortir son membre de son pantalon. Je l’ai fait. Il ne bandait pas encore. Il s’est penché et m’a murmuré de le lécher et de l’introduire dans ma bouche de salope. Nouveaux chuchotement. Je me suis accroupi et je l’ai pompé avec ardeur. J’aimais ça et ça se voyait. Après un long moment, il m’a demandé d’arrêter et m’a dit de me relever pour baiser mon pantalon et m’enlever mon caleçon. Il a exhibé ainsi mon cul nu à tous et m’a forcé à me baisser pour bien ouvrir ma raie. Il m’a alors fait asseoir sur son sexe raide qui est entré du premier coup dans mon conduit brûlant. Il me tenait par les hanches et me faisait remonter et descendre le long de sa bite tendue. Les autres avaient commencé à se caresser. Jean-Yves m’enleva les derniers vêtements pour que je sois nu et offert à tous. J’en ai profité pour l’embrasser au passage et nos langues se sont mêlées. Robert était très excité et un peu brute.

— Mmmm t’es une drôlement bonne salope! Comme ton père, hein! Il adore aussi se faire mettre par des grosses bites de mâles excités!

Tout à coup, il m’a crié que sa jouissance allait arriver et il s’est déversé en moi. C’était bien avant qu’on ne parle du SIDA et nous n’utilisions pas de capotes. Jean-Yves a pris le relais et m’a baisé plus de vingt minutes. Les autres formaient un cercle autour de nous en buvant du gin. Certains s’avançaient pour me caresser les fesses, les tétons ou m’embrasser. J’étais le jouet du jour!

— Mais je vois qu’on s’amuse ici aussi!

Je blêmis. C’était la voix du père de Robert.

— C’est tout jeune et ça veut déjà faire comme les grands. Dites-moi, les gars, faudrait pas vous y prendre de travers et lui faire mal à ce gamin. Ce genre d’initiation c’est important! Faut pas le dégoûter du sexe.

Il s’adressa à Jean-Yves et Robert qui étaient les aînés puis, en se malaxant le sexe, il s’ approcha de moi, me retourna à quatre pattes et m’enfonça son gourdin dans le cul puis il se retira et recommença. Comme je gémissait de douleur, il s’écria:

— Ton père crie aussi mais, lui, c’est pour que je continue. Sois patient! Ton cul est encore tout neuf et il doit s’habituer au calibrage. Tu vas sûrement aimer ça autant que ta salope de père. Je t’assure que, lui, il en redemande. Il est là, au rez-de-chaussée, en train de se faire enculer par notre serviteur noir.

— Justement, il en a fini avec moi... Je venais voir si personne ne pouvait le remplacer!

Robert s’est approché de mon père et d’un coup a plongé sur son pantalon pour en extirper un membre bien bandé. Il l’a glissé dans sa bouche et en s’aidant de la main a entamé un mouvement rythmé pour faire monter son jus. Mon père a souri.

— Nous avons décidément des enfants extraordinaires.

— Tu l’as dit! a répondu notre hôte en me limant de plus belle.

Jean-Yves s’est mis ouvrir la chemise de notre père pour lui titiller les tétons. Tous les autres jeunes étaient stupéfaits par ce qu’ils voyaient et ne savent pas quoi faire. L’alcool aidant, ils ont commencé à se réchauffer et ont enlevé certains de leurs vêtements. Quand Jean-Yves fut bien en forme, il écarta Robert, plia mon père en deux et se plaça derrière lui. C’était bizarre de voir mon père prêt à recevoir la bite de son fils aîné! Jean-Yves se fraya un passage entre les fesses poilues et donna un coup de reins.

De son côté, Robert et un autre invité avaient jeté leur dévolu sur un des plus jeunes qui criait tout son désarroi. Se faire enculer à dix-sept ans ça fait parfois peur.

— Laissez-moi! Je vous en prie... Je ne veux pas, je n’ai jamais fait cela, j’ai peur, non, arrêtez!

— Ne t’énerve pas ainsi, mon mignon, tu vas trouver ça génial... Regarde leurs têtes à tous. Tu ne vois pas comme ils s’éclatent... Même nos parents!

Le jeunot fut très vite à poil et couché sur le dos au milieu du buffet. Son visage grimaçait sous les coups de butoir de Robert puis de l’autre.

— Tu m’en laisses un peu, hein, fiston? lança son père.

— Oui, ‘pa!

Au bout d’un long moment, le père de Robert se retira de mon trou et voulut essayer l’autre garçon. Robert encouragea son pote à m’enculer sauvagement.

— Tu sais, Michel, une bonne salope ne jouit qu’à la dure. Pas de pitié pour les trous de salopes... Ils sont fait pour être baisé à fond et sans répit.

Le père s’installe devant le garçon tremblant.

— Elle est trop grosse, m’sieur! La vôtre est trop grosse. J’ai déjà eu si mal avec... AIE...

C’était trop tard. L’homme lui avait écarté les cuisses, caresse le trou avec de la salive et introduit son gros membre dans l’ouverture serrée.

— Ça fait maaaaaaaaaaaaaaaaaal!

— Ça fait mâle, oui! lança Robert en rigolant.

Mon père se mit à jouir sous les coups de reins de mon frère tandis que le père de Robert jouissait lui aussi dans l’anus qu’il venait d’élargir.

Dix jours plus tard, nous étions invités chez un collègue de mon père. Juste avant de partir, le téléphone sonna. C’était la meilleure amie de maman qui nous annonçait que son mari venait d’être hospitalisé d’urgence. Pas question pour ma mère d’abandonner son amie et d’aller s’amuser à la soirée. Mon père décida d’annuler.

— Non, tu vas me conduire à l’hôpital et puis tu n’auras qu’à te rendre à cette soirée. Je sais que c’est très important pour toi...

Nous sommes montés dans le break de papa et, après avoir fait un crochet à l’hôpital, nous sommes arrivés chez l’ami de papa. C’est lui qui est venu nous ouvrir tout sourire...

— Ta femme n’est pas là?

— Elle est désolée. Un contretemps.

— Décidément, il ne fallait pas de femmes à cette soirée... L’épouse de Guillaume a une crise d’arthrose et est restée chez eux. Ce sera donc une soirée d’hommes!

À cet instant, j’aurais dû comprendre ce qui se tramait. La soirée a débuté par un repas léger puis nous avons bu et parlé. Vers 23h, le collègue de papa s’est avancé vers son valet, un italien bien baraqué et lui a palpé les parties à travers le pantalon. L’italien lui a tendu ses lèvres. Nous nous sommes tous regardés et nous avons vu notre hôte commencer à déshabiller son domestique. Jean-Yves s’approchant d’eux a baissé le pantalon de notre hôte pour lui sucer le gland. L’excitation est montée en flèche. Guillaume, un autre adulte, s’est approché de moi.

— Voyons un peu si tu es si bonne salope qu’on le dit!

Mon père lui a fait un clin d’œil.

— Il a encore beaucoup à apprendre, Guillaume. Nous sommes là pour ça, non?

— Effectivement.

— Et il sera sûrement meilleure salope que moi.

— Ça va être difficile, mon chéri! lui répondit Guillaume en l’embrassant.

Papa et Jean-Yves entouraient l’italien et le collègue vicelard, les caressant et leur enlèvant leurs derniers vêtements.

— Je veux ta queue en moi, mon amour! dit mon père à son collègue.

— Tu vas l’avoir à fond, ma salope.

— Tu vas me faire la même chose qu’hier au bureau?

— En mieux, mon amour!

Et mon père se fit caresser la croupe par l’autre. Jean-Yves s’est penché pour sucer le valet et Guillaume a terminé de me mettre à poil. L’ambiance était très très chaude. Pendant que l’italien poilu se faisait toujours sucer, notre hôte s’est placé derrière mon père et a introduit son membre bien tendu dans son trou non lubrifié. Papa a gémi mais c’était de désir. Le baiseur a commencé des mouvements de va et vient qui faisait trembler tout le corps de mon père.

— Tu veux la même chose que ta salope de père, c’est ça?

— Oui, monsieur! ai-je répondu.

Jean-Yves se faisait sucer par le valet qui se faisait astiquer le membre par mon père et, moi, je recevais le membre imposant de Guillaume. Quel bonheur!

Pendant que nous baisions, on a sonné à la porte d’entrée. Le collègue de papa l’a abandonné un instant et a enfilé un peignoir pour aller ouvrir. J’ai entendu des voix. Lorsqu’il est revenu, il était accompagné de deux policiers en uniforme.

— On a vu de la lumière et on s’est dit... ça partouze sûrement chez notre cher Marc.

— Vous avez bien pensé! Mettez-vous à l’aise...

Excités par le spectacle que nous leur offrions, ils se sont déshabillés rapidement et se sont mis à se caresser à travers leur slip. Ils restèrent un moment à contempler nos ébats en se masturbant, puis rapidement ils participèrent à l’action. Guillaume en attira un vers nous.

— Je l’ai bien préparé. Il est tout chaud et bien lubrifié... Essaie-le!

Le plus jeune des policiers s’est approché et il m’a pénétré d’un coup. J’ai laissé échappé un petit cri de surprise mais je n’ai pas vraiment eu le temps d’avoir mal. Guillaume avait effectivement bien ouvert mon cul. Mon frère avait quitté la bouche de l’italien et s’était dirigé vers nous.

— Tu aimes ça, te faire sauter par un policier? Hein, frangin? Tu sens bien sa grosse matraque te défoncer le trou...

— Il est très bon ton frère! dit le jeune policier. Aussi bon que toi lorsque je t’ai eu pour la première fois...

— Tu entends, frangin? Ce joli policier qui te prend à fond m’a aussi enculé, un soir, dans une ruelle... J’avais adoré la sensation de sa grosse tige qui coulissait en moi!

C’est à ce moment que notre père sentant qu’il allait jouir a hurlé son bonheur. Notre hôte s ‘est retiré de son cul et a joui lui aussi en envoyant son sperme sur le dos de papa. Le policier s’est également retiré de mon trou dilaté et a joui sur mes fesses. L’autre flic plia Jean-Yves en deux et lui claqua les fesses:

— En voilà un qui adore le bon jus de flic!

En regardant mon frère se faire enculer, je me suis mis à me masturber lentement. C’était très excitant et aussi un peu frustrant. J’avais pris goût au fait d’être enculé et j’aimais être «rempli» en permanence. Je me suis avancé vers le visage de Jean-Yves et j’ai frappé sa bouche avec mon sexe tendu. Il a ouvert les lèvres et je l’ai introduit à l’intérieur. Il a passé la langue sur mon gland tout en gémissant sous les coups de reins du policier.

— Toutes de bonnes salopes dans cette famille!

Mon père a souri en nous regardant. J’ai pris la tête de mon frère entre mes mains et j’ai imprimé un mouvement de va et vient. Guillaume s’est dirigé vers mon père et l’a entraîné vers une autre pièce. Mon regard les a suivi. Je n’osais pas les suivre. Mon frère a lâché ma queue.

— Si tu en as envie, suis-les! Vas-y, frangin!

Le jeune policier caressait le collègue de papa et l’autre enculait mon frère. J’ai quitté le living avec cette scène excitante en mémoire. Je bandais très fort à l’idée de découvrir mon père dans une situation particulière. Je suis descendu à la cave où j’entendais des bruits bizarres... des cliquetis... En bas, au bout d’un petit couloir, je suis arrivé dans une pièce aménagée avec des accessoires dont j’ignorais l’utilité. J’ai compris d’où venait le bruit de chaînes que j’avais entendu. Guillaume avait placé mon père sur une espèce de «berceau» de cuir suspendu par des chaînes au plafond. Les jambes de mon père étaient remontées et attachées par des courroies de cuir également. Le cul de mon paternel était bien visible et offert à Guillaume qui lui écartait bien les cuisses et lui léchait le pourtour du trou.

— Approche, fils, ici c’est l’antre des salopes!

— Regarde ce qu’on peut faire à un homme pour lui donner du plaisir... ajouta Guillaume. Un jour, tu aimeras qu’on te le fasse!

Lorsque l’anus de mon père fut luisant de salive, Guillaume se releva et positionna alors son pénis à l’entrée de son cul. Il glissa son gros gland tout rouge entre les fesses, en caressant le torse de mon père. D’un coup sec et bien viril, il introduisit toute sa tige dans l’anus accueillant. Papa gémit.

— Baise-moi Guillaume! Baise ta salope...

— MA salope! La salope de tout le monde, oui! ironisa l’enculeur.

Voilà comment j’ai découvert ce qu’était une «salope» au masculin. Voir mon père et mon frère baiser entre eux et avec d’autres hommes m’a ouvert un autre horizon... J’ai trouvé ma voie cette année-là... Je ne l’ai jamais quittée... L’homme de 35 ans qui vient de quitter mon appartement après m’avoir copieusement arrosé de son urine et de son sperme vous le confirmera: je suis une excellente salope... comme papa!

 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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