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fan de histoires de mec

Lundi 9 juillet 1 09 /07 /Juil 23:48

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Cela faisait deux ans que je n’avais revue Ali. Nous étions très liés; surtout côté cul, puis il s’en est allé voird’autres cieux. Nous partons boire un pot et il me raconte sa vie; il habite en banlieue dans un HLM et travaille à Paris. Il a fait connaissance d’un ami et il m’invite pour me le présenter. Je lui dis que je suis toujours intéressé par une bonne partie de fesses. Il me propose d’aller aux WC avec lui dans ce bistro; ils sont au fond de la cour. Nous voilà partis. Arrivé dans le wc, il baisse mon short et me pose sa queue sur ma rondelle. Je m’enfonce moi-même à fond. Sa queue est toujours aussi grosse et longue, j’en profite pleinement. Puis il m’empoigne aux hanches et commence à me labourer le cul à fond. Il jouit très vite, moi aussi. Je me retourne et prends sa bite en bouche. Il adore se faire sucer! Puis nous repartons, moi avec son adresse.

Le samedi, je pars chez lui. Il m’a demandé d’être habilé très sexy. Je suis avec un short très court qui me rentre dans les fesses, rien en dessous. Un petit pull troué sur les seins et j’arrive chez lui mais il n’y a plus de numéros. Je commence à chercher. J’aperçois un groupe de jeunes, je leur demande un renseignement. Un grand gars me propose de m’amener chez Ali. Je suis très content.

Nous arrivons devant l’immeuble. Le gars me dit: "Viens, je vais te montrer." Nous descendons au sous-sol et là il me coince contre le mur et me dit: "Alors! Tu aimes te faire baiser?" et me mettant la main au cul, je ne sais que répondre. Je lui dis oui, il sort sa queue énorme et me force à le sucer très vite. Il pilonne ma bouche à fond puis il décharge dedans son jus tout chaud. Je m’aperçois qu’il bande toujours. Il me retourne et veut m’enculer. Je proteste mais j’ai trop envie de sentir son gourdin en moi. Je me retourne bien et lui présente mes fesses. Sa queue est très dure et pousse sur ma rosette. Il entre d’un coup puis il m’encule à fond sur toute la longueur de sa bite. Je jouis comme un fou tellement il est bon. Il décharge en moi et me dit: "Viens, on va chez Ali." Arrivé chez mon pote, il me dit: "Tu as fait connaissance de mon copain? Super!"

Le soir, ils m’ont baisé dans leur lit, tantôt dans dans la bouche, tantôt dans le cul et ils ont fini à deux dans mon cul. Je me suis endormi avec la queue d’Ali dans les fesses jusqu’au matin.

Au réveil, nous déjeunons. Ali me demande si je ne suis pas trop fatigué. Bien sûr que non... Il me dit:

— Ce matin, nous allons faire un footing en forêt, tu veux?

— Ok!

Nous voilà partis, moi avec mon short de pute, lui en jogging. Arrivé dans les bois, il me dit: "T'as envie de te faire baiser?" Moi je suis toujours partant. On s’enfonce dans la forêt plus épaisse et là je vois un groupe de gens qui sont tous à poil. Ali me dit: "Mets-toi à l’aise, ils sont en promenade avec leurs chien et se retrouvent souvent ici." Tout le monde baise... tout le monde!

— Je les ai prévenus que tu étais insatiable...Ils sont ravis d’avoir une pute à leur service, enfin si tu veux?

— Oui bien sûr!

— Alors je vais t’attacher à cet arbre et tu feras ce que l’on demande...

Deux beaux noirs me mettent à poil et quand je suis attaché, ils baladent leurs queues sur ma bouche et l’autre sur mon cul. L’assistance m’entoure puis il se déchaîne la pine dans la bouche. Je dois sucé le noir et l’autre m’encule à fond. Ils y vont en cœur; je prends un pied formidable! Ils déchargent en moi, je suis rempli puis c’est l’hallali! Tous sur moi, dans mon cul qui reste béant et ouvert, ma bouche est distendue par les queues et remplie de sperme. En deux heures, je n’en peux plus.

Ils font une pause puis un gars vient avec son chien et dit:

— À quatre pates! Monchien va te lécher la chatte, tu veux?

— Pourquoi pas! dis je.

En position, je sens le museau du chien s’approcher puis sa langue râpeuse qui lèche ma raie. Le maître se place devant et sort sa queue pour que je le suce. Hum c’est super! Puis le maître contracte ses fesses, je le sens prêt à jouir. Il dit au chien: "Monte!" et le chien monte sur moi. Je sens sa pine dure comme l’acier pousser sur ma rosette. Je ne veux pas mais le maître insiste: "Tu as dit tout!" Ça y est, le chien entre en moi de suite. C’est bon, le maître lui se libère de son jus. Le chien m’encule. Soudain je suis défoncé. Il a entré sa boule, mon cul s’éclate. Je sens son sperme couler en moi. Je jouis sans me toucher. Le chien se retire puis les autres amènent le leurs et je suis devenu la chienne de service. J’avais le cul en feu, les chiens se défoulaient et les maîtres se faisaient sucé. J’avais la bouche pleine de sperme, le corps inondée de jute, mon cul débordait de jus de chien.

Les maîtres ont voulu me laver et j’eus droit à la douche dorée de ma vie. Ils me pissaient dans le cul, la bouche et sur le corps. Ils étaient ravis. Tous ont remercié Ali. Il y en a un qui lui a laissé son adresse pour me recevoir. Il a une ferme et beaucoup d’animaux. Ali lui a promis de m’emmener.

Nous sommes repartis, moi puant le sperme et la pisse et Ali qui contait ses euros. Il me dit: "Nous irons à la ferme, là tu vas te régaler." Je lui promis de venir...

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Samedi 7 juillet 6 07 /07 /Juil 22:50

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Un soir chez un pote hétéro que je connais depuis de longue date mais qui ne sait pas que j'ai un côté lopesa, on fumait le "k...". J'étais bien defoncé, on rigolait mais sa meuf commençait à tiquer alors vers 21h, j'ai dit: "Tchao! a+."

Il habite en cité dans le 93. J'ai descendu les neufs étages et en sortant de l'ascenseur, je vois 6 rebeus dans le hall qui tchatchent. Je commence à partir en jetant un bref coup d'oeil car je kiffe bien les rebeus... L'un d'eux me regarde, voit mes yeux bien éclatés et me fait la remarque du genre: "Oh t'as fumé toi!" Je lui souris et acquiesse tout en allant vers la porte.

Je dois préciser que je suis vrai bogosse céfran et que je fais bien kiffer les keums généralement. Kaled, c'est son prénom, me propose de ne pas partir tout de suite et de rester fumer avec eux. Un peu méfiant mais intéressé et avec l'idée d'avoir l'occase d'en connaître un de plus près, je fais demi-tour et reviens vers eux. On parle un peu, je commence à vouloir rouler un zbir mais ils me disent qu'il y a trop de passage ici, qu'ils vont dans l'escalier. Je les suis, bien confiant car ce sont mes potes maintenant, surtout Majid que je kiffe grave; une masse le gars, les autres aussi mais lui c'est un truc de ouf.

On arrive dans une cave que je comprends abandonnée par leurs locataires, genre squat mais tranquille: un caddie, un vieux matelas pourri d'oréoles de moutrave bien dégueu dans un coin. Je roule mon "k...", je suis cool, ils sont sympas, on rigole bien... sur tout et rien. Karim et Samir me regardent bizarre, avec des yeux de vicelards mais ça me plaît. Je les trouve de plus en plus kiffant et je ne peux pas m'empêcher de zieuter leurs braguettes et ça semble très prometteur; surtout la bosse de Majid et 2-3 autres que j'ai repérés.

Au bout de 15-20 minutes, ils parlent rebeus et moi je comprends qu'dalle. Kaled passe derriere moi et me tate le cul. Je lui dis: "Oh! Qu'est-ce tu fais?" Il me dit: "Vas-y, joue pas ta chochotte!" et là devant moi, Majid baisse son fut et je vois un calibre mon gars, ouf! Elle gonfle à vue d'oeil, elle devient énorme, au moins 23x6 ou 7. Mon réflexe est d'exploser de rire mais excité car défoncé. Je m'en tape je me mets à genoux direct.

Alors là, ils sont devenus ouf de chez ouf. En fait, ils étaient pas sûr que j'allais vouloir mais en deux secondes, j'avais six bonnes grosses teubs d'arabes rien que pour moi, du 19cm à 23cm (Majid la plus monstueuse). Y'a pas à dire, les rebeus sont les meilleurs, même Saïd et Karim qui étaient plutot timides, se sont lâchés direct.

J'ai commencé à pépon de partout. J'en voulais grave mais une bouche pour six, c'est pas évident. Ça sentait la biroute mortel, je sais pas si ils se lavent tous les jours la teub mais bon, m'en fous: trop kiffant. Je pompais bien à fond et Kaled a éjaculé dans ma gorge. J'ai pas eu le temps de retenir koi que ce soit. Il a une teub de 20cm mais bien épaisse genre 7. J'avais la bouche en feu. Majid voulait que j'enlève mon jean, je préfèrais juste le mettre aux genoux mais lui voulait l'enlever complètement pour bien m'écarter les jambes et me foutre sur le matelas pourri. J'étais pas chaud car trop crade mais vu la masse, je ne pouvais plus reculer. Je me suis fait déchirer le cul par Majid, je hurlais mais lui continuait et les autres me baisaient la bouche pour que je la ferme. J'en ai pris plein le cul. En fait ils ont pratiquement tous craché sur mon trou d'balle sauf Said; je crois qu'il m'a fait une faciale. Après, ils ont vraiment joué. C'est Majid qui a commencé à me pisser dessus et j'étais assis sur le matelas, le cul à l'air, et les six rebeus autour à moutrave sur moi. J'étais un peu dégoûté mais bon, j'ai cru que je reverrais jamais le jour. Ils ont rigolé, m'ont dit que j'avais assuré comme lopesa et que si je repassais par là, que je jette un oeil dans la cave au cas où.

Je suis arrivé sur le parking de la cité vers 0h15 en étant parti de chez mon pote vers 21h. Quand j'ai vu l'heure, je suis devenu ouf! Une fois dans ma voiture, je réalisais ce qui venait de m'arriver et j'étais finalement content de moi. Mon pote ne sait rien de cette aventure et les rebeus ne savent pas d'où je venais car ma voiture était garée de l'autre côté des fenêtres. Mon pote pensait sûrement que j'étais chez oim depuis belle lurette.

Un grand merci à mes six rebeus trop bien teubés et surtout Majid que je kiffe trop.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Samedi 7 juillet 6 07 /07 /Juil 19:02

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Pour des raisons que je ne connaîtrai qu'à mes dix-huit ans, dès mes dix ou onze ans, moi, le petit Vincent, je semblais gêner mes parents, surtout certains week-ends. Ils avaient trouvé le filon pour m'éloigner de la maison familiale : m'envoyer chez mon tonton Michel, le plus jeune frère de papa, qui habitait à dix minutes.

Heureusement, je m'entendais très bien avec tonton Michel, il m'aidait pour mes devoirs et mes leçons, il jouait beaucoup avec moi, trouvait toujours de quoi m'occuper, et les fins de semaine passaient même trop vite, au point que j'attendais avec impatience ma prochaine visite chez lui.

 

Chez tonton Michel, je pouvais me promener tout nu si je le voulais, et lui aussi se mettait régulièrement en tenue de peau. Tonton Michel me lavait tous les soirs sous la douche ou dans la baignoire, j'adorais ça, et quand un jour, il m'a dit que j'étais assez grand pour me laver tout seul, j'ai tellement pleuré qu'il m'a promis qu'il continuerait à me laver aussi longtemps que je le voudrais.

Quand il me lavait, c'était en entier bien sûr, et c'était la seule fois où il touchait mon zizi, pour vérifier si je décalottais bien, car j'avais quelques difficultés de ce côté-là et je n'avais pas envie de me faire opérer, il faisait ça très doucement, vu que ça me faisait mal, mais je savais que c'était pour mon bien. A part ça, jamais il ne jouait avec mon zizi, d'ailleurs, je ne l'aurais pas laissé faire.

J'aimais bien jouer à me battre avec tonton Michel, il avait toujours le dessus et je me retrouvais coincé sous lui, j'aimais bien. Un jour, je lui ai dit que je voulais jouer au prisonnier, il m'a ligoté les mains et les chevilles avec des bouts de tissu, j'ai adoré ça.

J'avais un lit dans la chambre d'amis, mais je dormais tout le temps avec tonton Michel, on était tout nu, et je me blottissais dans ses bras, je me sentais protégé de tout. Parfois le matin, mon zizi était tout dur et celui de tonton Michel aussi, il m'a dit que c'était tout à fait normal, que ça arrivait quand on devait faire très fort pipi, ou quand on tripotait trop son petit truc. Je n'ai jamais vu tonton Michel se tripoter, mais moi, je le faisais souvent et il m'a dit que je pouvais le faire quand j'en avais envie, même devant lui. La vie était toute simple, je pouvais être moi-même, je n'avais rien à cacher à tonton Michel, je pouvais lui parler de tout, et il répondait honnêtement à toutes mes questions.

Comme tout gamin, il m'arrivait de faire des bêtises, même si je connaissais le tarif : une fessée ; je devais me mettre nu si je ne l'étais pas, je devais me coucher, mon ventre sur sa cuisse gauche et mes jambes sur sa cuisse droite, mon zizi étant coincé entre ses jambes, puis la fessée commençait. Il n'y allait pas de main morte, tonton Michel, mais j'acceptais cette punition car elle était méritée et juste, je me mettais vite à crier, à pleurer, mais il continuait, et si je gigotais trop, il entravait mes poignets et mes chevilles d'une bande de tissu, et le décompte recommençait à zéro. Malgré la douleur sur la peau de mes fesses, mon zizi devenait tout dur à chaque fois, et après la fessée, tonton Michel me consolait dans ses bras, et c'étaient les seules fois où il caressait doucement mes fesses et mon ventre.

 

Quand j'ai eu treize ans, j'avais de plus en plus souvent envie de me tripoter, tonton Michel m'a expliqué comment faire aller mes doigts le long de ma tige, et j'ai ressenti quelque chose de tout nouveau pour moi, comme si une boule s'était formée dans mon ventre, c'était tellement fort que j'ai crié, faisant sourire tonton Michel. Il m'a expliqué comment les garçons étaient faits, que j'allais commencer mon adolescence, que j'aurais bientôt du sperme, des poils, et tout et tout, il m'a donné les noms justes pour chaque chose ayant trait au sexe. Quand je lui ai demandé comment c'était le sperme, et s'il voulait bien me le montrer, il a dit que je devais patienter un peu, mais qu'il me le montrerait quand je serais plus grand.

J'ai donc continué à me masturber pour avoir des orgasmes secs, c'est comme ça qu'il avait appelé ça, je le faisais parfois plusieurs fois par jour, ce qui irritait mon engin. Quelques mois plus tard, je lui ai dit que je le tremperais bien dans du beurre pour que ça glisse mieux, et là, il a eu une idée, il a commencé à se masturber pour la première fois devant moi, j'ai enfin pu voir du sperme, il l'a récupéré et en a enduit mon sexe, puis il m'a dit de me masturber, c'était nettement mieux qu'à mains nues, et c'est ce jour-là que j'ai eu pour la première fois du jus qui est sorti, pas beaucoup, bien sûr, mais j'étais devenu un homme sous les yeux de tonton Michel, je n'ai jamais été aussi fier de moi.

Il m'a pris dans ses bras, m'a caressé sur tout le corps, et un peu aussi sur ma tige. Le lendemain, il est venu avec un tout petit pot en plastique avec un couvercle, il a dit qu'on y mettrait chacun son sperme, et qu'on garderait ça précieusement en souvenir de ma première éjaculation, il s'est masturbé, a enduit ma tige de son sperme et en a déposé un peu dans le petit pot, et c'est lui qui m'a masturbé et y a déposé tout ce qui est sorti de moi, c'était encore mieux que quand je le faisais moi-même.

Au fur et à mesure des week-ends passés chez lui, j'ai très vite grandi, en taille, et entre les jambes. Quand j'ai eu l'idée de demander à mes parents si je pouvais aller tous les week-ends chez tonton Michel, j'avais aussi décidé d'aller chez les scouts le dimanche, ce qui était une bonne raison d'aller chaque semaine chez mon tonton, car il y avait une troupe scoute tout près de chez lui, et en fait, mes parents n'ont émis aucune objection, au contraire, cela semblait bien leur convenir. Je partais donc chaque vendredi soir chez lui et il me conduisait à l'école le lundi matin, j'avais des vêtements chez lui. Et bien sûr, à chaque congé ou période de congés, j'étais tout le temps chez lui.

Tonton Michel me caressait sur tout le corps de plus en plus souvent, et quand j'avais envie de me masturber, je lui demandais de sa bonne huile qu'il me donnait avec plaisir. Parfois je lui demandais de me masturber, et le jus que je donnais devenait impressionnant en quantité ; un jour, je lui ai demandé si je pouvais le toucher lui aussi, et sans vraiment attendre sa réponse, je l'ai d'abord touché timidement, puis j'ai commencé sur lui les mouvements qui me faisaient tellement de bien, et je l'ai fait éjaculer, tout heureux de ma prouesse, puis j'ai mis son sperme sur mon sexe et je lui ai demandé de me masturber, ce qu'il a fait. Depuis lors, on se l'est fait l'un à l'autre presque chaque fois, et de plus en plus en même temps, c'était dans le salon, dans la douche ou la baignoire, ou au lit avant de nous endormir.

J'avais de plus en plus envie de l'embrasser, j'ai commencé par des baisers près de la bouche, puis sur les commissures de ses lèvres, et quand nos lèvres se sont enfin collées les unes aux autres, j'ai sorti ma langue pour les lécher, il a ouvert la bouche et sa langue a caressé la mienne et j'ai exploré sa bouche, comme il a découvert la mienne. Ce soir-là, je me suis mis sur son ventre, et j'ai fait se toucher nos queues, nous avons joui tous les deux, puis j'ai continué à me frotter à lui, on avait du sperme partout.

Je continuais à aimer mes petits jeux du prisonnier, et je le suppliais de me masturber quand il m'avait attaché, je voyais qu'il bandait aussi fort que moi. Et un jour, au lieu de me masturber, il a pris ma queue dans sa bouche et m'a fait jouir par le mouvement de ses lèvres, et il a tout avalé, je n'ai jamais crié aussi fort de plaisir. Un autre jour, il a approché sa queue de ma bouche, j'ai hésité un peu pour entrouvrir mes lèvres, mais quand son gland a touché mes lèvres, j'ai sorti ma langue pour le lécher, puis j'ai avancé ma tête d'un coup, je voulais avoir toute sa queue en bouche, et je l'ai sucée comme un fou, j'allais enfin connaitre son goût, j'ai gardé son jus dans ma bouche pour l'avaler lentement petit à petit. Je lui ai quand même dit que je n'aimais pas trop sentir ses poils sur ma langue, il m'a dit que je pouvais l'attacher et le raser, ce que je ne me suis pas fait prier de faire, j'ai aussi rasé mon pubis et mes bourses, car ma pilosité commençait à devenir importante, puis je me suis mis au-dessus de lui, mais à l'envers, et on s'est sucés tous les deux en même temps, on a encore joui, c'était phénoménal. Je l'ai détaché puis on s'est endormis corps contre corps, bouche contre bouche.

Je lui ai demandé un jour s'il voudrait bien me donner la fessée, comme quand j'étais petit, ça ne l'a pas surpris, je crois même qu'il s'y attendait. J'ai dû choisir le nombre de claques par fesse, j'ai choisi vingt ! Il m'a attaché les poignets derrière le dos et les chevilles et m'a fait mettre en place, ma queue bandait déjà entre ses cuisses. A la quinzième claque, je l'ai supplié d'arrêter, mais il a continué, et c'est en pleurant et criant que j'ai joui par terre. Il m'a détaché, pris dans ses bras, et m'a caressé comme il le faisait il y a quatre ou cinq ans, j'ai encore éjaculé une fois sous ses doigts.

A quinze ans, chez les scouts, je m'étais fait quelques amis de "jeu", tonton Michel m'avait permis de les faire venir à la maison, ils venaient maximum à deux et dormaient dans la chambre d'amis. Ils ont très vite appris à rester nus et à jouer avec leur corps devant tonton Michel. Rapidement, on a "joué" à quatre, mais un jour, l'un d'entre eux a demandé à tonton Michel s'il m'avait déjà enculé, on a rougi tous les deux en répondant non, mais j'ai dit à tonton Michel que j'en avais envie, il m'a dit que lui aussi en avait envie, mais que pour la première fois, on le ferait que quand on ne serait rien qu'à deux.

En réalité, on ne l'a pas fait tout de suite, tonton Michel m'a expliqué qu'on devait se découvrir mutuellement à cet endroit-là, on a commencé par s'enfoncer mutuellement un doigt dans l'anus, puis on l'a refait quand on se suçait en 69, ça décuplait le plaisir de l'orgasme. Puis on est passés petit à petit à deux, puis trois doigts ; il m'a léché et m'a appris à le faire entre ses fesses aussi. Je m'impatientais de plus en plus et le suppliais d'entrer en moi. Il m'a fait coucher sur le dos, j'ai relevé mes jambes, il a approché sa bouche et a léché mon petit trou, je gémissais de plaisir, puis avec ses doigts, il a mis du lubrifiant sur et dans mon petit trou, en y allant avec trois doigts, puis il m'a regardé dans les yeux, tout mon visage l'invitait à me pénétrer, son gland s'est approché, je sentais que tonton Michel tremblait d'émotion tout autant que moi. Au premier contact, j'ai senti un bien-être total, je me suis relâché le plus possible et il a essayé de faire entrer son gland, ce ne fut pas aisé, il a dû s'y reprendre à plusieurs reprises, puis, soudainement, le gland est entré, mais j'avais eu mal, tonton Michel a caressé tout doucement ma queue puis il a pu s'enfoncer beaucoup plus facilement jusqu'au bout, et quand j'ai senti ses boules toucher mes fesses, j'ai crié un "youpi" de soulagement, mais surtout de joie, tonton Michel possédait son neveu, j'étais tout à lui. Quand il a vu que j'acceptais totalement son sexe en moi, il a commencé à me limer doucement, épiant chacune de mes réactions, chacun de mes gémissements, il m'a fait l'amour, les yeux dans les yeux, lentement, profondément, intensément. Pendant plus de trente minutes, nos corps ont joué la danse de l'amour, et j'ai joui sans qu'il ne me touche, il m'a suivi de quelques secondes, nos cris de plaisir ont envahi la chambre. On s'est embrassés, serrés et j'ai chuchoté à son oreille "tonton Michel, je t'aime, je veux toujours être avec toi", il m'a répondu qu'il attendait que je lui dise ça depuis si longtemps, qu'il m'avait toujours aimé depuis que j'étais petit.

C'est le lendemain que je lui ai rendu la pareille, j'ai pu entrer en lui très facilement ; pendant près de trois quarts d'heure, ma queue a exploré ses muqueuses intimes, je voulais qu'il jouisse avant moi, et j'y suis arrivé, et quand je me suis vidé en lui, j'ai senti un bonheur à nul autre pareil. J'ai plongé ma bouche vers son ventre, et lui ai léché tout son sperme, avant qu'il ne me nettoie la queue avec sa langue. Nous avons décidé que le lendemain, nous éjaculerions dans le petit pot de ma première éjaculation, comme pour nous jurer fidélité l'un à l'autre. On l'a donc sorti du congélateur et il est resté toute la nuit et une partie de la journée suivante au milieu de la table de la cuisine. Il a éjaculé de ma main et moi de la sienne, et le petit pot a été rempli. Nous nous sommes embrassés et serrés pendant plus de deux heures, nous disant notre amour. C'est de ce jour que "tonton Michel" est devenu "Michel", et moi, je n'étais plus son petit neveu mais son amoureux Vincent.

A ma demande, Michel m'attachait de plus en plus souvent, puis il me fessait, me masturbait, me fourrait sa queue en bouche et s'y vidait, ou m'enculait, parfois sauvagement. Mes cris de douleur l'excitaient, et moi, je jouissais de lui être totalement soumis, d'offrir tout mon corps à ses caprices. De la fessée, on est passés au martinet, il me bâillonnait pour étouffer mes cris, d'autres fois, il me bandait les yeux, je ne pouvais pas savoir ce qu'il allait me faire.

Dans sa cave, il a fixé un anneau au plafond, et deux au sol, écartés de cinquante centimètres, il m'y attachait, bras en l'air, soit debout, soit à genoux, et il profitait de mon corps à sa guise, c'étaient des moments grandioses pour moi. Il attendait parfois des heures avant de me faire jouir jusqu'à ce que ma queue me fasse trop mal, puis il me détachait et on se faisait de longs et tendres câlins.

J'amenais de plus souvent des amis scouts à la maison, on était souvent à la cave, j'étais attaché devant eux, et Michel s'occupait de mon corps. Quand le scout était un peu dominant, Michel me laissait entre ses mains, et quand le scout était de nature plus soumise, Michel l'attachait aux mêmes anneaux face à moi, ou dos à dos. Je m'arrangeais pour qu'ils viennent à deux, un dominant et un soumis, et les deux dominants s'occupaient des deux soumis. Tout y passait : le rasage des sexes, le martinet jusqu'à ce que nous criions et pleurions, les gifles, les godes de plus en plus gros que Michel avait achetés, les cages de chasteté que nous devions porter pendant des heures et qui nous faisaient horriblement mal quand nous bandions, et Michel et mon copain scout ne se gênaient pas pour faire l'amour sous nos yeux.

Parfois, nous devions nous mettre à quatre pattes, avec un gode double dans le cul, tandis qu'ils nous faisaient les sucer jusqu'à éjaculation. Parfois aussi, on devait se coucher sur le dos, bouche ouverte, et ils nous couvraient et nous abreuvaient d'urine, puis, nous devions nous lécher tout le corps avec la langue. Quand parfois, l'un d'entre nous se refusait à obéir, Michel versait une goutte d'éther sur le gland, ce qui le faisait hurler de mal, mais calmait immédiatement ses velléités.

Quand nous étions enfin libérés, mes deux copains faisaient l'amour dans leur chambre, et Michel et moi dans la nôtre, ou alors les deux couples faisaient l'amour dans le salon.

J'essayais chaque fois de trouver d'autres grands scouts pour participer à nos jeux, on se retrouvait parfois à huit ou dix dans la cave, et les deux soumis étaient livrés aux frasques des dominants. Un jour, les chefs de la troupe ont eu vent de nos activités du samedi, et j'ai réussi à les faire venir. Ils avaient dix-huit et dix-neuf ans et étaient tous les deux de nature plutôt soumise, nous les avons attachés et les huit scouts présents sont devenus pour l'occasion tous dominants, je vous laisse imaginer que nous donnions libre cours à nos envies, nous avons dû les bâillonner et ils ont eu droit à l'éther, car ils ne voulaient pas nous obéir en tout. Pour le final, à huit, nous avons enculé et fait goûter notre sperme à nos chefs. Nous les avons détachés quand ils nous étaient entièrement soumis, puis nous les avons caressés, doigtés, branlés et sucés pour leur donner un maximum de plaisir. Ce sont eux qui ont passé la nuit dans la chambre d'amis, et Michel et moi les avons entendu s'aimer durant une partie de la nuit. Ils sont revenus souvent, même sachant qu'une dizaine d'autres scouts seraient présents, ils ont pu enculer leurs scouts aussi.

 

Michel et moi continuions à nous aimer de toutes les façons possibles, nous ne pouvions plus nous passer de la présence de l'autre, Michel continuait à me laver tous les jours, comme il me l'avait promis quelques années plus tôt, mais maintenant, on se lavait mutuellement, à mains nues, bien sûr. Nous pensions de plus en plus à pouvoir vivre en permanence ensemble, mais avions peur d'en parler à mes parents.

Quand j'ai eu dix-huit ans, mes parents ont voulu me parler de choses sérieuses. Ils m'ont avoué que, depuis toujours, ils allaient dans des clubs échangistes ou invitaient des amis à la maison. Et qu'en plus, ma grande sœur, depuis qu'elle avait eu dix-huit ans, participait à ces orgies. Ils m'ont demandé si, maintenant que j'étais majeur, je voulais y participer.

Je me suis plié en deux de rire, et je leur ai dit que ça ne m'intéressait pas du tout, et que j'avais trouvé chaussure à mon pied ; je leur ai raconté sans trop de détails l'amour qui nous unissait, tonton Michel et moi. Ils n'ont pas eu l'air étonnés, d'ailleurs c'eût été malvenu de leur part d'émettre la moindre critique sur mon homosexualité et sur Michel qui m'avait entouré de tout son amour depuis mon enfance, et m'avait accompagné sur les chemins de mon adolescence. Par contre, ils semblaient ennuyés que je ne veuille pas participer à leurs jeux sexuels, mais j'ai vu un large sourire apparaître sur leur visage quand j'ai annoncé que je voulais aller vivre avec tonton Michel.

Le lendemain, ils ont invité Michel pour dîner, et nous avons embarqué toutes mes affaires, ne laissant qu'un minimum dans ma chambre, pour les fois où Michel et moi viendrions dormir chez eux, ils ont promis qu'ils mettraient un grand lit pour nous deux.

 

J'ai aujourd'hui quarante ans et Michel dix de plus, nous parlons souvent de mes années d'enfance où il avait totalement respecté mon intimité, et d'adolescence où il avait accompagné ma découverte du plaisir, il me lave toujours, il me soumet à ses caprices pour notre plus grand plaisir, et nous faisons l'amour chaque jour, en alternant un jour sur deux, car les réserves s'épuisent plus vite qu'à quinze ans, mais on n'en a cure, on s'aime comme au premier jour.

FIN.

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Samedi 7 juillet 6 07 /07 /Juil 18:12

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J'ai rencontré une petit lope que je nommerai T. sur le net il y a quelques mois. On a vite tissé des liens. On s'est balancés des défis tous plus hards et humiliants les uns que les autres, que ce soit chez soi ou à l'extérieur. Et un jour, on décida de se voir en réel...

Le premier défi que je lançais à ma salope le 15 août était plutôt simple, il fallait que je vois sa motivation, que je vois à quel point il avait envie que je le domine, que je sois son maître. Je lui ai donc demandé de me montrer sa sale queue bien fromageuse, pissant dans un verre à pied sa pisse bien fumante, dégoulinant de partout, et d'ensuite y plonger sa bite, ses burnes et finir par boire ce breuvage de pisse et de from (peut-être le meilleur cocktail au monde) en entier. Photos à l'appui, mon T. a effectué toutes les tâches demandées... Comme la bonne salope qu'il est ! J'en attendais pas moins de lui !

Pour le récompenser, je lui ai donné le droit de me filer un défi que je réaliserai en une semaine mais en contrepartie, il devait réaliser mon deuxième défi. Et là, on a placé les barres très hautes...

J'avais pour défi de me rendre en forêt, skets au pieds, habillé comme une tepu, pas de boxer comme la p'tite lopsa que je suis. Je devais ensuite me foutre à oilpé, sniffer mes aisselles, mollarder sur ma queue, montrer mon trou à jus surplombé du mot "LOPE" à 4 pattes dans les herbes, pisser sur mon boxer, le bouffer, me crader de boue sur le corps puis de juter sur un tronc et bouffer ma dèche. Nan, il ne m'a pas loupé sur ce coup-là ! Mais pour lui montrer la putain de chienne que je suis, j'ai tout fait ce qu'il m'a dit, fait toutes les photos demandées par mon master que je surkiffe...

Mon défi pour lui était de se rendre chez un de ses potes, d'aller dans son garage et de faire la pute dans sa bagnole. Je lui ai obligé : des plans de son cul de tapette sur le capot, d'autres à l'arrière de la caisse, des pinces à linge sur sa pine de fiotte, d'engouffrer le levier de vitesse dans sa bouche, de se baillonner et encorder dans le coffre de la bagnole, de foutre sa sale queue dans le pot d'échappement, de se crader ensuite le corps avec le noir de moteur, et enfin de juter sur le tableau de bord avant de tout bouffer son foutre dégueulasse. Cette pute a fait tout ce que je lui avait demandé. J'étais abasourdi !

Ces photos nous ayant grave excité, nous voyant très obéissants l'un l'autre, on a de suite organisé une rencontre en réel... J'ai invité T. en mes contrées pour une soirée et nuit de folie. Son train arrivera à 19h37 et repartira le lendemain à 9h46, nous étions lundi et la rencontre était prévue pour samedi. Cinq jours pour me crader, cinq jours pour remplir des bouteilles de ma pisse bien jaunâtre du matin, la plus forte, cinq jours avant de donner à T. une leçon qu'il ne sera pas prêt d'oublier... Je me préparai donc toute la semaine en vue du samedi de folie qui m’attendait ! J’avais un esclave à la maison !

On avait donc pris rendez-vous à la gare vers 19h40, il arriva juste avec un sac. Il portait une tenue de racaille bien kiffante avec ses TN encore plus pourraves que sur les photos. Une p’tite gueule de bâtard et une bonne odeur dès que je m’approchai à deux mètres de lui. Je fais facile une tête de plus, ça va être bien cool pour l’engrosser ! Je lui décrochai vite fait un sourire et je lui dis que j’ai envie de pisser… Il comprend de suite cette petite pute ! Direction les chiottes de la gare où traînait une putain d’odeur de pisse et de merde mélangée monumentale. Je le traînai dans une grande cabine où on prendra bien le temps de s’amuser.

Je lui dis de s’asseoir sur les chiottes ! « Maintenant, tu vas tout boire ce que je t’envoie dans la gueule ! En même temps, je m’en branle, c’est pas moi qui sortirai de la gare couvert de pisse et puant si tu bois pas tout ! » Il tendit donc sa putain de langue et moi je sortis mon steak bien fumant. Vous imaginez pas l’odeur de ma queue les mecs ! Cinq jours sans lavage, à environ 3 branles par jour, c’est impressionnant ! À vivre au moins une fois dans sa life ! Le p’tit T. n'est pas du tout effrayé par l’odeur, il est tellement habitué à se prendre des bitos fumants. Et donc, là je m’approche de sa bouche et je commence à lui foutre de bons jets bien épais de pisse dans sa face. Il essaie de tout avaler cette salope mais il y a quand même quelques gouttes qui tombent sur son survêt’ à ce con. Tant pis pour lui ! C’est pas mon problème… Il a évidemment interdiction de toucher à ma teub ! C’est réservé pour plus tard et seulement si ce connard est sage !

On sort ensuite des chiottes et de la gare. Il est 20h30, il fait évidemment nuit mais il fait encore bon dehors. On se dirige alors vers ma caisse parce que j’habite à 20 minutes de la gare. Et à pieds, c’est un peu chaud, quoique ma p’tite salope le ferait rien que pour moi ! Vous vous doutez bien de ce qui va se passer. On a 20 minutes de route, on passe par une forêt, trop de choses me viennent dans la tête ! On monte donc tous les deux dans ma voiture, lui côté passager, je lui demande si il a fait ce que je lui ai demandé. En effet, il avait obligation de ne rien porter en dessous sous ses fringues. C’était le cas, je lui demandai donc de retirer son bas de jogging pour la route, de toute façon, on s’arrêtera en chemin ! Il fit donc ce que je lui dis ! Il bandait cette petite connasse, je pris donc ses couilles et les serrai bien fort pour lui montrer un peu qui était le chef ici !

Je démarre la bagnole, et fait environ 10 bornes, de temps en temps, je me trompais par inadvertance entre le levier de vitesse et la petite teub de ma salope. Je lui serrai bien pour entendre un cri qui me faisait tripper. Il couine comme une chienne ma parole. Durant ces dix bornes, je lui ai également dit de respirer mon odeur de queue, il s’est donc penchée et humait l’odeur de mes boules et de mon zob.

Arrivés vers la forêt, il y avait peu de circulation par ici, on était vendredi soir, il était 20h passées et personne à l’horizon. Je descendis donc de la bagnole et dis à mon esclave de faire de même. Je vous rappelle qu’il porte seulement un T-shirt, une veste et ses TN. Et il s’amène tranquille, l’air de rien. Il a peur de rien ce mec. On avance donc un peu dans la forêt, pas très loin, ça sert à rien. Là je demande à cette salope si elle a pas envie de pisser, elle me répond que ouais ! Là je lui en décroche une qui le met à terre ! On dit : « Oui, maître, on t’a pas appris à répondre ça à l’école des salopes soumises en manque de teubs odorantes en permanence ? » Je lui dis de se relever, je lui explique ce qu’on va faire. Puis le laisse debout devant moi. Je me baisse alors au niveau de sa queue, ce sera la seule fois où il me verra de haut. Il a pour mission de pisser de façon à ce qu’une fois ma bouche pleine de sa pisse, je puisse lui redonner directement dans sa bouche. Je fis donc une dizaine de voyages de sa teub à sa bouche, il adorait ça ! Il en redemandait. Mais quelle pute !

T. m'avait dit que sa queue cachait toujours une bonne couche blanchâtre de fromton. Alors pour vérifier cela, je me baisse une dernière fois, décalottai sa queue puante et pris dans ma bouche tout le from accumulé de la semaine ! L’enculé, il se fout pas de nos gueules ! Sa queue est une vraie machine à from ! Impressionnant ! Toute la masse blanche et odorante en bouche, il sait ce qu’il va devoir en faire. Il ouvre donc sa gueule de bâtard, et je lui recrache dedans. « Montre moi ce from ma salope ! » Il ouvre bien grand sa bouche. « O.K, alors t’avales surtout pas, il reste environ 10 minutes de route, tu vas monter dans le coffre de la bagnole et arrivé chez moi, tu devras être habillé et me montrer tout ce from que t’auras gardé bien férocement dans ta bouche ! » Il me fait un oui de la tête, il ne peut faire que ça de toute façon. Je le fais donc monter dans le coffre bien tranquillement et lui balance son pantalon qui va, j’en suis sûr, en chier pour l’enfiler dans le noir et dans le coffre. Je teste un peu son potentiel de salope.

Je suis pas sympa, je prends des petites routes, avec des bosses, des trous pour que ma salope se sente bien dans son rôle de soumise. Et dire qu’il doit garder son from dans la gueule. On arrive 10 minutes plus tard dans mon bled de banlieue, je rentre la bagnole dans mon garage perso puis referme la porte. Je vais ensuite ouvrir le coffre à ma pute. Il se lève, il est habillé le pantalon à l’envers, ce qui lui vaut un bon coup de point dans le ventre, ce qui à pour effet de lui faire cracher tout le from qu’il conservait depuis un quart d’heure. Heureusement pour sa gueule, il n’a pas craché sur moi. C’est tombé directement sur le béton du garage. Je lui fais donc nettoyer sa merde et avaler. Il avale ça comme une chienne avec son regard qui mérite bien plus de fromton ! Je lui accroche ensuite les mains dans le dos et lui dis de monter les escaliers. J’habite au troisième.

Il est environ 21h, et mon p’tit esclave est paniqué au fait de croiser quelqu’un, menottes au poignet. « Même si tu croisais une bande de petites racailles, ils te feront le cul, rien de plus, t’aimes ça donc arrête de baliser salope ! Alors maintenant monte, sinon c’est un doberman qui te montera dans la soirée… »

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Samedi 7 juillet 6 07 /07 /Juil 17:36

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Je pense qu’il a compris, il monta donc les 3 étages à pieds, moi je pris l’ascenseur bien tranquille. J’ouvris donc la porte de chez moi et la fermai à nouveau. T. arriva quelques secondes plus tard, je lui dis de l’ouvrir avec sa bouche. Qu’il avait l’habitude de toute façon de prendre des longs trucs dans sa gorge. Il entra et je lui plaçai un bandeau sur les yeux, c’est beaucoup plus excitant lorsque l’esclave ne sait pas ce qu’on lui prépare !

Je plaçai mon bâtard sur une chaise, accrochant ses jambes aux pieds de celle-ci, afin qu’il ne puisse plus du tout faire de mouvements. Je le laissai là quelques minutes, je regardai cette face de con qui n’attendait que ma bite à renifler et à sucer ! Je commençai par me mettre face à lui sur une chaise. Je lui donner à renifler et lécher mes TN d’abord, puis mes cho7 ensuite. Elles sentaient un truc de malade. Cela fait 5 mois que je porte les même cho7 pour mon footing hebdomadaire ! Imaginez un peu l’état et l’odeur. Il reniflait à plein nez l’odeur de son maître, je lui ordonnai après, de les retirer avec ses dents, chose qu’il n’eut pas de mal à faire ! Ça devait être quelque chose qu’il avait déjà fait ! En 10 ans de bouffage de ieps, il avait dû en apprendre des choses ! Il avait donc désormais accès à mes pieds ! Petite précision, je fais du 45 (pour 1m92, normal) et mes pieds ont toujours pué, depuis que je suis tout petit. C’est un régal pour mon esclave, il couine déjà alors que je ne l’ai même pas encore piné. Ce bouffage de pieds dure pas mal de temps, faut dire qu’il a matière à bouffer cette salope...

Je me lève ensuite et me place au-dessus de lui. Ma teub est à environ 20cm de sa gueule mais il ne le sait pas, je lui dis de mettre sa tête en arrière et d’ouvrir bien grand. Je lui lâche quelques mollards bien glaireux dans sa face de suceuse de bites. Dès qu’un crachat tombe dans sa bouche, il l’avale direct ! Il croit quoi le mec ? Que quelqu’un va lui reprendre ? Ça me fait bien marrer donc je continue encore un peu. Après ça, il est temps de passer aux choses sérieuses : ma teub !

Je défais mon jogging Nike, me reste que mon boxer ! Enfin si on peut encore appeler ça un boxer. Vous savez l’histoire des mes chaussettes, le boxer a la même histoire ! Une putain d’odeur quoi, mais T. l’a déjà senti aux chiottes de la gare. J’enlève aussi mon haut, je suis totalement à oilpé alors que ma salope est encore toute habillée ! Le monde à l’envers quoi ! Je décidai donc de lui retirer son pantalon à la con, ses TN, et ne pouvant lui retirer son T-shirt, je le déchirai pour avoir accès à ses tétons de gamin que j’allais pouvoir bien triturer.

Je lui place alors un sparadrap sur sa bouche, qu’il ait juste l’odorat pour son maître. Je pris donc mon 19 par 6 en main et commençai à me branler un peu. De l’autre main, je plaçais délicatement quelques pinces à linge sur des endroits fatidique de mon esclave (prépuce, tétons et couilles) afin de l’entendre couiner un peu. Ça me fait bander d’entendre des petites salopes comme elles geindre devant un mec d'à peine 22 ans. C’est le kiff absolu ! Entre 2 pinces à linge, je lui colle quelques baffes pour le remettre en place, je ne bande pas encore a fond mais il est temps que je décalotte.

— Respires bien ma salope, ceci est l’odeur du maître que tu vénères.

Je me pose donc à 2 centimètres de sa petite gueule et je décalotte. Putain la masse de sperme et de pisse séché sous mon gland. Jamais j’avais produit autant que ça ! J’en connais un qui va encore se régaler. En tout cas, pendant ce temps là, il plane complètement, il est comme sous poppers...

Après avoir bien respiré mon odeur âcre et forte de mec en chaleur, je retirai le scotch de sa bouche et le bandeau de ses yeux. Fallait qu’il voie ça ! Je retirai aussi une à une les pinces à linge sur son corps. Il avait pour ordre de ne pas lâcher le moindre cri à chaque enlèvement et de me regarder fixement ! Ce qu’il fît, retenant parfois ses cris dans sa gorge. C’était marrant de le voir souffrir intérieurement comme ça.

Les pinces à linge retirées, il était encore attaché à la chaise et il n’avait pas encore vu ma teub décalottée, il n’allait pas être déçu mon T. ! Je lui demandai donc de fixer un peu ma queue. Et je décalottai lentement afin de lui montrer que moi aussi je suis un sacré producteur de from. Ses yeux étaient écarquillés devant tant de from ! Et l’odeur bordel ! C’est difficile de la décrire sur du papier mais c’est plus que fort.

Je récoltai un peu de from sur ma bite que je lui collai dans les narines, qu’il garde mon odeur durant ce plan ! C’est important aussi qu’il se rappelle qui est le maître. Il put donc ensuite goûter à ma teub. Il savait comment sucer notre ami, mais j’allais lui apprendre ma manière. Ma salope me suçait mais n’allait pas vraiment jusqu’au bout ! En fond de gorge, et moi, les gorges profondes me donnaient la gaule plus que tout au monde. Je repris donc les choses en main. Je lui tenais les cheveux d’une main, de l’autre je tenais sa gorge ! Et ma queue était bien enfoncée. D’abord avec des petits mouvements pour l’habituer à la taille de l’engin, puis au bout de quelques minutes, je lui enfonçai complètement ma bite. Quelques fois, il était si enfoncé qu’il était sur le point de gerber !

— Fais pas ta connasse ! T’a du en voir des plus grosses des queues ! Tu va dire quoi quant tu l’aura au fond de ton cul salope ???

Alors il avalait ma queue tant bien que mal, je lui rendis sa tête au bout d’une bonne demi heure de bourrage intensif qui m’avait mis en appétit… J’en voulais désormais à son cul. Je le détachai de la chaise et lui enlevai ce qui lui tenait les mains.

— Tu as dix minutes pour préparer ton cul à ma queue. Dans dix minutes, je t’encule que tu sois prêt ou non !

Je le tirai donc par les cheveux jusque dans ma chambre, et le laissai mariner. Pendant ce temps là, j’avais quelques SMS à envoyer, et je continuai de me branler tranquille sur le canapé au salon. Je décomptais le nombre de minutes qu'il lui restait avant de s'en prendre plein le cul et je lui gueulais ! « 5 minutes », « 2 minutes » et enfin « J'arrive salope ! » J'arrive dans la chambre, il avait quelques doigts dans le boule, je bandais bien fort et j'avais envie de bien lui niquer son cul de tarba…

Je lui dis de se mettre en position comme pour m'offrir son cul. T. se place donc ventre collé au lit avec le cul bien cambré et les jambes à terre...Je plaçai donc mon gland sur son trou déjà bien open, je lâchai un mollard sur ma queue, histoire que j'ai pas mal. Son plaisir à lui, je m'en branle ! Je lui demande si il est prêt, n'attendant même pas sa réponse, je pousse d'un coup de rein et me retrouve totalement enfoncé à l'intérieur de ce mec qui m'avais fait giclé pas mal de fois de ses photos et récits. S'en suit des dizaines de minutes de bourrage de cul en règle. Je le faisais changer de positions. Allongé face contre terre et mon pied droit sur sa gueule, debout contre le mur, à 4 pattes comme la chienne qu'il est ! Et tellement d'autres. Je m'arrêtai à un moment au bord de la jouissance. Mon esclave était en sueur, moi aussi d'ailleurs. On alla prendre une douche ensemble pour nous rafraîchir !

Vous vous doutez bien que cette salope s'est directement foutu accroupi dans la douche afin que je lui pisse dessus. Ce que j'ai fait. Cette pute ce mec, j'ai rarement vu ça je vous jure. On prend une douche bien tranquille, ce qui nous permet de parler un peu. Il me raconte qu'il a rarement vu un mec comme moi, qui le domine et l'humilie autant que ça. D'habitude il est plus actif mais là, rien qu'en voyant ma queue, il a envie de se foutre à genoux. Je lui raconte que je le kiffe trop en tant que petite salope soumise, et que c'est un des meilleurs bâtards qu'il m'a été donné de larver ! Trêves de confidence, j'avais toujours pas juter et faut que je lui englue la face...

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Samedi 7 juillet 6 07 /07 /Juil 16:49

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Il est 2 heures du matin, je décide donc de me poser tranquillement sur le canapé avec une bière bien pénard. La mission de ma salope est de me faire jouir. Jamais un mec a réussi de ses mains ou de sa bouche à me faire juter. Alors on va voir si mon T. aura la mâchoire assez endurante pour me faire juter. Je suis posé et ma salope est à 4 pattes devant moi, il commence un bouffage de couilles en règle pour me redonner la gaule. Ce qu'il réussit à faire en quelques secondes, puis je lui colle ma queue dans la bouche...Je lui envoie quelques mollards parfois, pour bien l'encourager. Il mettra environ 30 minutes à me faire monter le jus ! J'imagine pas comme il a du souffrir, mais c'est le rôle des putes.

Et là, je sens que le jus commence à monter dans ma teub. Je lui hurle d'arrêter, je me mets debout, et commence à bien branler ma queue au dessus de sa langue tirée au maximum...Et dans un râle de plaisir, je lui lâche dix bons jets de foutre bien chaud dans sa face de connard...Je crois qu'il a tout bouffé, il s'est même léché le coin des lèvres. Je prends dans mes doigts le reste de foutre qui lui reste sur le visage et lui fait bouffer. Il avale tout ! C'est incroyable. Il est désormais 3 heures passées, faut qu'on dorme un peu. Que ma salope se repose avant demain ! Il ne sait pas encore ce que je lui ai réservé avant son départ à 9h46 mais je suis certain qu'il allait aimer ! Je le conduis donc dans ma chambre, on se mit sur le lit, je lui ai dit qu'il avait le droit de juter sur ma teub, il mit à peine 2 minutes à bander et à jouir ! Je lui ai alors dit que son oreiller était prêt, et qu'il devait biberonner toute la nuit. Il dormira ma teub dans sa bouche, et n'a plutôt pas intérêt à lâcher le morceau.

J'avais mis mon réveil à 7 heures du mat', ça fait peu de sommeil mais c'est pas grave. C'est pas tous les jours que je reçois T. quand même ! J'ai ris en me réveillant lorsque je retrouvai mon p'tit mâle avec son no-nos dans la bouche comme si sa vie en dépendait. J'ai adoré ! Le réveil l'a même pas éveillé, je décidai donc de choisir une solution un peu plus gore. Comme tous les matins, j'avais envie de pisser, et quoi de mieux que de pisser dans un chiottes ? C'est donc tout en douceur que je commençai à pisser et l'effet voulu fut immédiat ! Ma salope fut réveillée direct et faisait le dégouté à limite recraché ma pisse ! L'enculé ! Je me forçai donc à arrêter de pisser et de le foutre sur le dos ! Je plaçai ensuite ma queue dans sa bouche. « Je voulais juste te réveiller de manière originale, mais puisque tu as l'air de ne pas aimer ça, tu vas tout boire ce que je vais te donner ! » Il but toute ma pisse du matin, bien jaunâtre, bien puante. Après cela, on se lève tranquille. On a un rendez vous dans 30 minutes dans des chiottes publics, mais mon esclave ne le sait pas encore. Il pense juste qu'on va se balader avant son train. Il va pas être déçu !

Je lui roulais quelques pèles, puis on alla dans ma caisse et direction mes chiottes publics favoris ! Pourquoi favoris ? Parce que ce sont des chiottes plutôt immenses et qu'on peut fermer à clef. Vous imaginez pas le nombre de plans que j'ai fait dans ses chiottes, et le nombre de jeunes puceaux que j'ai fait hurler ! Cet endroit était à 5 minutes à pieds de la gare, on pose la caisse et on arrive à 8h30 dans les chiottes. Juste à l'heure que je leur avais dit de rappliquer ! Eux ? C'est 2 potes bon quetards, que je connais depuis plusieurs années. Le premier c'est un rebeu, avec une bonne queue bien large et surtout une putain d'odeur de couilles qui me fait monter aux rideaux à chaque fois. Le second, c'est un pote de baise régulier. Je leur ai dit que j'avais une pute à mes ordres, ils ont tout de suite dit O.K. Voilà le plan que j'avais imaginer : mes potes seraient là quand on arrive moi et ma pute, et là on se fait un putain de concours de mollards sur cette salope pour savoir qui l'enculera en premier. Le seul hic : il nous reste qu'une heure ! Alors faudra faire vite.

On arrive donc dans les chiottes, je ferme à clef, qu'on soient pas dérangés, je dis à mon petit bâtard de se positionner à torse poil à genoux contre le mur. On se place alors à environ 3 mètres de mon esclave ! Le jeu est simple : il ouvre grand la gueule et on crache un bon gros mollard à tour de rôle jusqu'à ce qu'un des mecs vise au fond de sa gorge. On commence donc, au bout d'une trentaine de mollards lâchés, c'est Karim qui lui vise au fond de sa gorge. C'est donc à lui que revient l'honneur d'enculer T. en premier. Il lui fait baisser son fût et commence à lui fourrer quelques doigts. Il lui bourre en même temps sa queue dans la gueule afin qu'il bande un max avant de l'enculer. De mon côté, je me fais bouffer la teub par Antoine parce que nous aussi on compte bien se farcir le cul de la pute ! On est dérangé par un bon gros couinement. C'était mon esclave qui se prenait les 20cm de Karim à sec. Il la sentait passé ! Mais je suis sûr qu'il adorait ça. On lui a ensuite rempli tous les trous, Antoine se faisait sucer par ce four à queue et il me suçait en même temps ! S'en est ensuite suivi une double pénétration sur cette salope qui couinait pire qu'une truie ! Ça ne dura pas très longtemps vu que sa bouche était remplie par la 3ème queue encore inoccupée. On changea une ou deux fois de rôles, que nous puissions gouter à tous les trous de cette salope ! On l'a ensuite noyé dans la jute ! Pour un baptême, c'était un baptême ! Il a tout avalé jusqu'à la dernière goutte...C'est limite si il en redemandait pas !

Après avoir remercié mes deux potes, on a pris la route de la gare, on arriva même sur les quais dix minutes à l'avance. C'est à cet instant que j'eus une idée ! Je pris mon T. par le bras et me dirigeai vers le hall afin d'acheter un billet de train pour le weekend end suivant. Sur un même format, de vendredi soir 20h33 au samedi matin 9h56. Sauf que cette fois ci, je monte de Besançon à Paris.

— Tu vois ma salope, c'est un billet pour Paris la semaine prochaine. Étant donné ton potentiel d'esclave, j'ai envie que tu me domines ! Tu auras environ 11 heures pour faire de moi ce que tu veux ! Compris ?

Et je lui collai une baffe dans la gueule. Il a juste approuvé de la tête mes paroles et me roula la plus grosse galoche du siècle.

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Samedi 7 juillet 6 07 /07 /Juil 00:08

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Je vais vous raconter comment j'ai transformé mon meilleur ami soit-disant hétéro en vraie pute... Attention, cette histoire est rigoureusement vraie et j'invite ceux qu'elle aura fait bander à me contacter par e-mail et je leur prouverais par l'image la transformation de mon pote en salope...

Il a 27 ans, il s'appelle S... et je le connais depuis huit ans. Je me suis tout de suite intéressé à lui car c'est un beau mec, imberbe à l'allure de petite frappe, la peau douce, le corps lisse et finement musclé. Dès qu'on s'est rencontré, il s'est pris d'amitié pour moi et je ne lui ai pas caché que je le trouvais hyper-sympa mais qu'en plus il me faisait bander. Pendant 5 ans, je le voyais presque tous les jours mais il ne s'est jamais rien passé entre nous pourtant c'était pas faute d'essayer! Mais petit à petit je sentais chez lui une forme d'exhibitionnisme soumis, un plaisir à me montrer son corps de jeune voyou que je réussissais à le convaincre de poser pour moi, les premières fois à torse nu, puis complètement nu, il y a de ça environ 3 ans.

Plus je le connaissais plus je sentais en lui la salope inassouvie. Nous n'avions toujours pas de rapports sexuels mais je savais qu'il possédait en lui le désir de se soumettre à l'homme bien que ce soit un tombeur de gonzesses impressionnant. Peu à peu, je modifiais mon langage en lui parlant, le traitant souvent de salope qui allait se faire mettre un jour etc. et parallèlement, il acceptait de faire des photos de plus en plus osées, se coupant les poils de plus en plus courts à ma demande, puis se rasant entièrement cul compris... J'ai maintenant plus de 500 photos témoignant de la transformation d'un jeune hétéro en salope soumise aux mâles.

Et il y a environ 3 mois, je lui ai fait savoir en termes extrêmement crus que je n'allais pas lui demander son avis pour lui faire vivre son baptême de queues, qu'il était une salope qui m'excitait depuis 8 ans et qu'il allait me payer au centuple ma frustration. Ça le faisait rire, souvent il se caressait le cul en me disant: "T'aimerais bien me défoncer le trou, hein?" Et il éclatait de rire... Je lui dis alors: "OK un de ces jours je te fais ta fête à plusieurs, mais tu vas en baver salope!" Il m'a regardé, s'est massé la bite à travers le pantalon et m'a dit avec un grand sourire enjôleur: "Chiche!" Là j'ai su que j'avais quartier libre!

Il y a deux mois, l'heure de lui révéler son tempérament de salope soumise avait sonné. Nous avions loué un chalet à la montagne pour y passer une semaine de détente. Durant les semaines qui ont précédé ces vacances, j'ai fait la tournée des bars gays SM avec une photo de ma pute le cul bien rasé et exposé afin de recruter trois mecs qui auraient envie de se défouler une nuit entière sur lui. J'ai pas eu de peine à trouver, la simple vue d'une photo de mon pote excitant déjà au plus au point la plupart des mecs.

Les vacances venues, j'ai prétexté un rendez-vous afin que S monte seul au chalet. Il ne se doutait pas que le lendemain il ne serait plus qu'une chienne... qu'il rêvait d'être, je le savais! Le soir venu nous sommes partis à quatre dans ma voiture afin de rejoindre mon pote et de lui faire sa fête. Les mecs étaient hyper-excités, j'adorais ça. Nous sommes arrivés devant le chalet, je le voyais par la fenêtre...

Et voilà le récit de la nuit....

Je rentre, je t'entends qui monte les escaliers. "C'est qui ces mecs?" Je sens dans ton expression et le ton de ta question que t'as déjà compris! Ma réponse fuse: "C'est des potes à moi qui vont t'en faire baver un max. Hé petite pute tu croyais que je plaisantais ces derniers temps?" Je vois que t'as peur, ça m'excite. D'un seul coup, tu fonces au bas des escaliers. Un des mecs te poursuit, te saisit sans ménagement par les cheveux, tire en arrière, tu tombes à genoux. "Calme, petite pute, tu vas te faire du mal..."

Tu cries un peu, t'essayes de te débattre. J'adore t'entendre gémir, j'en rêve depuis si longtemps. Le mec qui te tient toujours solidement par les cheveux s'agenouille derrière toi, te passe la main sous le menton et te renverse la tête en arrière. "Viens là ma chienne montre ma ta gueule de salope de près." Il te renifle la nuque, te lèches les joues, te passe ses gros doigts sur tes lèvres pulpeuses de petite pute. Ça fait deux minutes qu'ils sont là et tu es déjà à notre merci, je bande comme un cerf.

Il se relève, te traîne par les cheveux au salon. Tu suis tant bien que mal à quatre pattes. Il te redresse contre une poutre du chalet, te forces à lever les bras et te menotte les poignets derrière la poutre. "D'abord on va te travailler ta gueule de slave." Il s'approche, d'une main saisit tes cheveux et de l'autre te pince les joues: "Vas-y ouvre, ouvre cette petite gueule." Tu fais signe que non de la tête. La baffe tombe instantanément. Je vois tes larmes gicler, ça me fait bander. Le mec se place derrière toi, te place un doigt dans chaque narine et tire vers le haut. "Alors cette gueule, tu vas l'ouvrir?" Tu gémis et petit à petit ta bouche s'ouvre... Un autre des mecs te rentre directement trois doigts au fond de la gorge, tu suffoques. Il t'attrape la langue et tire. Le troisième te saisit les deux oreilles et les tords d'un coup sec. Te voir te faire pareillement humilier et travailler la gueule me rend fou. Je bande comme un cerf. Un des mecs se tourne vers moi: "Il a déjà bouffé de la queue?" Je réponds par la négative. "Alors à toi l'honneur!" Je me fais pas prier.

T'es là offert, les oreilles tordues, la gueule grande ouverte. Je sors ma queue et je rentre d'un coup à l'intérieur jusqu'au fond. Tu suffoques. Ils te relâchent un peu et je commence à te limer la gueule à fond. "Enfin ma petite pute depuis le temps que j'attendais ça!" Je regarde tes yeux de chien mouillés par les larmes, je t'écrase ma bite au fond de la gorge, puis je la ressors, te saisis par les oreilles et te la frotte y compris les couilles partout sur ta gueule de salope. "Hein c'est ça que tu voulais, tiens profites!" Puis je bloque ta tête en te tenant par le menton et je te jute dessus un bon sperme bien épais partout sur tes yeux, ton menton, tes oreilles et même dans les cheveux. Je me retire. Je te regarde. Tu pleures doucement mais je vois une bosse sur ton jeans... Je savais que t'étais une chienne.

"Bon c'est pas tout ça, on a encore un sacré boulot pour transformer cette pute en vraie carpette." Les trois mecs s'avancent vers toi. Ils ont leur engin dehors et te giflent la gueule avec, te la passent dans les cheveux, tentent de se mettre à deux dans ta bouche, bref ils te baisent la gueule à fond comme un cul. "Dis que t'es une pute!" L'un t'as saisi par les cheveux "Allez! Dis à voix haute que tu es une pute!" Je vois dans tes yeux que tu voudrais résister mais.. Il te tient toujours les cheveux, tu es toujours à genoux, les mains au-dessus de la tête, les poignets menottés derrière la tête, ton torse offert. D'un seul coup il t'arrache le t-shirt, ton splendide poitrail apparaît, lisse, finement musclé, superbe (vous en aurez la preuve en photo). Il pousse un sifflement d'admiration. "Putain quel beau poitrail de slave." Un autre s'approche, te saisit les deux pecs à pleines mains et les tords d'un coup. Tu hurles. L'autre continue: "Dis que t'es une pute!" Du coup l'autre te saisit le bout des seins, les allongent indéfiniment puis les fait rouler sous ses doigts. On entend un faible: "J'suis une pute." "Plus fort!" Une baffe part et la tu hurles: "Je suis une pute!" Je vois ton renflement gonfler d'un coup. Enfin tu l'as sorti. Tu reconnais ta condition et ça te fait bander. "OK salope, alors on va te montrer comment on traite les putes..."

Je me recule, je te regarde les seins déjà rougis par le bref traitement qui leur a été administré, le visage gluant de mon sperme encore frais, t'es beau! "Ok on va tout de suite le mater pour qu'il sache bien où est sa place." Je regarde la scène, m'abstenant d'intervenir. Les trois mecs se déshabillent complètement, ils bandent tous à mort. Eux ils ne me font pas triquer, mais le fait qu'ils en veuillent à ma pute me rend dingue! Ils s'approchent de toi, toujours à torse nu et t'enlèvent les menottes. Tu tentes de te relever mais un balayage de jambes te fait rouler sur le tapis et là, ils se jettent sur toi. T'es plus qu'un bout de viande qu'ils se disputent. L'un te force à te mettre sur le dos, te saisit la gueule et te pose méthodiquement son gros cul sur ta petite gueule tout en immobilisant tes épaules en posant ses genoux sur chacune d'elles. Je me dis que tu as vraiment la bouche dans un cul, je t'entends gémir.

Pendant ce temps, les deux autres te saisissent chacun une jambe afin de t'empêcher de gigoter. Tu es complètement immobilisé. "Hé! À toi l'honneur de nous faire découvrir la bite de ta chienne." Je m'avance, prends mon temps, m'agenouille et entreprends te déboucler ta ceinture puis un à un les boutons de ton 501 sautent. Tu gémis plus fort, tentes de bouger, tu sais que tu es bientôt définitivement offert. Ton short apparaît et d'un seul coup j'empoigne le jeans et les shorts et les descends jusqu'au genoux. Ta bite que je connais, gicle, mate, pas spécialement grosse mais si douce et prête à être durement maltraitée. Tu bandes à moitié. Les trois autres se ruent dessus, l'attrapent, la tordent, la tirent, celui qui est sur ta gueule transpire à grosses gouttes, te tirent les couilles jusqu'au milieu du ventre "Alors salope, c'est quoi ces poils, comment tu oses?" C'est vrai que tu es imberbe sur tout le corps mais tu as une bonne toison quand même.

Il s'excite, te frotte son cul de plus en plus fort sur la gueule, ton corps musclé s'agite de plus en plus pour tenter de se dégager. "Ok M, tire lui la bite au max vers le bas, on va lui montrer ce qu'on fait des poils des slaves!" Le mec se fait pas prier t'attrapes la bite et la tire à te l'arracher en direction des genoux. Ta toison pubienne est complètement dégagée. Celui qui est sur toi l'empoigne de son énorme main et, j'en crois pas mes yeux, te l'arrache à la force du poignet. Tu pousses un hurlement de douleur, ton corps se cambre et en trois secondes ton sexe a perdu les trois quarts de ses poils. Mais ta bite d'un coup durcit, je comprends qu'on est toujours sur le bon chemin.

Celui qui est sur ta gueule se relève, tes poils dans la main, t'empoigne la gueule et te force à ouvrir ta bouche de pute en serrant un max chaque mâchoire. D'un coup il enfouit ta propre touffe de poils dans le fond de ta gorge: "Tiens! Avale! Mange ça salope, ç'est les derniers poils de ta vie..." Tu te débats, suffoques, mais je te vois péniblement déglutir. Pendant ce temps, les deux autres t'ont retiré complètement ton pantalon, et entreprennent de terminer le travail en arrachant les poils restant touffes par touffes tout en te fessant vigoureusement tes petites fesses de pute qui elles n'ont pas un poil. Tu bandes de plus en plus fort, ça me rassure...

L'histoire de cette nuit est encore longue, si elle vous plaît, je vous invite à me contacter et je vous prouverais par des photos bandantes et sans équivoque que cette jeune salope existe vraiment. Et croyez moi vous ne serez pas décus car ce mec fait bander un max de monde.

Je tiens à préciser que nous avons une complicité de tous les instants et que la nuit que je vous raconte n'était destinée qu'à lui révéler à lui-même ce que j'avais perçu depuis longtemps. J'avais mis des règles extrêmement précises pour le déroulement de la soirée et si j'avais le moindre doute je stoppais tout. Je respecte et j'aime trop ce mec pour risquer de lui faire du mal. Mais depuis deux mois nous vivons un vrai rêve me prouvant que je me suis pas trompé. C'est un effet un vrai slave!

Je continuerais mon récit prochainement.

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Vendredi 6 juillet 5 06 /07 /Juil 23:50

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Là, ça devient du sérieux, je vois que tu commences à vraiment t'énerver, tu mords les doigts du mec qui t'enfourne tes poils dans la gueule. T'aurais jamais dû... Il voit rouge, t'attrape solidement par les cheveux et t'envoie deux baffes en croix: "Sale petite pute, je vais te mater!" Il te retourne comme une crêpe, te mets sur le ventre. Tu es maintenant complètement nu excepté une paire de chaussettes qui te donne un air encore plus humilié. Chacun t'attrape un bras et te le remonte sèchement dans le dos. M dit au troisième: "Attrape-lui sa petite bite de puceau par derrière et tords-la de toutes tes forces, on va lui montrer à cette salope!" Il glisse sa main sous ton ventre et sans ménagement fait apparaître ta bite entre tes fesses et il t'empoigne le paquet entier quasi-imberbe maintenant et tord comme un salaud. Tu hurles, ça devient violet. Je bande!

Et pendant ce temps les deux autres te remontent lentement les bras dans le dos. Je vois ton corps musclé qui se cambre sous la douleur. M te tient fermement par la nuque de sa main droite, tu as le visage aplati contre terre, je me déplace pour ne rien perdre du masque de ta souffrance. Il te crache sur les joues et étale sa salive avec sa pine. "Alors tu demandes pardon petite lope?" Celui qui te tire la bite entreprend de te baffer les fesses et tape de plus en plus fort. "Alors?" Ils remontent encore un peu tes bras le long de ton dos. Là, tu t'effondres en pleurs. M a pratiquement sa main entière à l'intérieur de ta bouche. J'ai jamais vu un mec humilié comme ça... Il ressort sa main. "Ok maintenant tu dis que tu es notre chienne qui demande pardon d'avoir mordu un de ses maîtres et qui veut se faire utiliser comme un tas de viande." Je me dis que c'est pas gagné d'avance mais deux trois torsions de poignets et de bites plus tard, tu prononces la phrase à la virgule près.

"Ok on va le préparer pour bien le travailler." Ils te remettent les menottes dans le dos et me demandent ou se trouve la salle de bain. Je le leur indique. M t'empoigne par les cheveux et te tire: "Rampe salope, on va te nettoyer jusqu'à ton dernier poil!" Tu rampes, les mains dans le dos, en te poussant avec les pieds, la gueule raclant le sol. L'un des deux autres te fouette tes petites fesses de salope avec sa ceinture. Tu gémis à chaque coup mais tu continues d'avancer.

On est dans la salle de bain. On t'enlève les menottes. Tu essayes de te redresser. Un des mecs te saisit par la taille, te soulève du sol et te bascule dans la baignoire. On t'enlève tes chaussettes, ton dernier habit. "Sur le dos pute!" Tu tentes de ressortir de la baignoire. "Ok salope, on va encore devoir t'apprendre à vivre." M s'installe à son tour dans la baignoire, te retourne sans ménagement sur le dos, le deuxième te saisit les poignets et te tire les bras en arrière de toutes ses forces. M est à califourchon sur ton torse. "Passe moi le pommeau de touche!" Je le lui tends, curieux de l'usage qu'il va en faire. "Ouvre la bouche espèce de pute!" Tu tentes de résister, il force le passage, t'as le pommeau en entier dans la gueule. "Vas-y ouvre!" Le troisième tourne brusquement le robinet d'eau froide. Ton corps se tend, tu suffoques. Je me dis qu'ils exagèrent mais de te voir paniquer me fait encore plus bander.

M rentre et sort le pommeau de ta bouche, tu te tords pour tenter d'éviter les flots d'eau qui te remplissent la gueule. Maintenant, il te douche le visage, les cheveux, la gueule, le nez, dans les oreilles tout en te pétrissant la gueule. "On va la rendre bien docile cette petite chienne." Le troisième t'a à nouveau saisi la bite et la tord à nouveau conmme un malade. Tu hurles comme un putois. On arrête l'eau. T'es trempé. "Ok rasage!"

On te tire hors du bain, je sens ton corps plus docile, je me dis que le dressage commence à se faire sentir. On te couche à même le carrelage. M pose encore une fois son gros cul sur ta gueule, tu essaies de détourner la tête mais il te la replace, de manière à ce que tu aies vraiment la bouche collée à son anus. Je trique comme une bête de me dire qu'il y à encore quelques heures, tu n'avais jamais eu le moindre contact avec un mec et que là tu as ta petite gueule de pute écrasée par un cul de mâle prêt à te transformer en chair à pâtée. Je veux finir ton épilation moi-même, j'en ai tellement rêvé.

Je t'étales un peu de crème sur le pubis, les couilles et dans ta raie. Tu n'as déjà presque plus de poils, arrachés il y a quelques minutes. Je prends mon temps, cours sur ton pubis avec le rasoir, ta peau lisse, blanche et douce apparaît dans toute sa splendeur. Je tire bien sur tes couilles pour ne pas te blesser et pour ne pas laisser le moindre poil. "Ok le cul maintenant." M qui est toujours sur ta gueule, face à ta bite, s'excite un max, t'empoigne le paquet et le remonte d'un coup sec en direction du nombril. Il se frotte la raie sur ta gueule à s'irriter le cul. Les deux autres t'empoignent chacun une jambe et les remontent également en direction de la tête. Ton trou du cul apparaît, splendide, offert comme je le rêve depuis des années.

Je ne peux m'empêcher de te fesser vigoureusement avant d'entamer le rasage de ton trou puis je me mets au travail, je t'entends hurler de douleur car M te tire sur la bite à te l'arracher. Nous sommes les quatre chauds comme des bêtes à te voir ainsi maltraité et impudiquement offert. Je termine le boulot. "Voilà la salope est prête, on peut commencer le boulot." M se soulève de ta gueule, se retourne, te tords les oreilles et gueule. "Vas-y, ouvre espèce de grosse pute, avale ma queue, lèche!" Il est comme fou, il t'enfourne sa grosse queue dans la bouche, te défonce complètement la gueule, tu es prêt de vomir, ta bouche fait un bruit de cul, tu es rouge, les larmes giclent. Je n'en perds pas une miette.

Pendant ce temps les deux autres s'acharnent sur ton corps maintenant lisse. Ils te tordent les seins, te pincent ton pubis tout blanc et tordent la peau jusqu'au rouge écarlate, ils te frappent le torse, le ventre. Tu tentes de bander les muscles pour atténuer les coups. M te défonce toujours la gueule. Ils hurlent. "T'es bonne salope, t'es fait pour ça, t'es de la viande à mâle, sale pute!" Moi je regarde, je laisse faire, je sais que tu te soumets peu à peu, résigné à ta condition de slave. M te ravage maintenant le visage avec sa bite. L'un t'a soulevé les fesses et l'autre entreprend de te mordre l'anus, Tu hurles de plus en plus fort, les coups pleuvent. Les deux te bouffent littéralement le cul, mordant à pleines dents dans tes fesses, tes couilles, ta bite et ton pubis. J'entends M râler de satisfaction. "Tiens, prends pute!" Je regarde. Ton beau visage est inondé de sperme épais, il te l'étale sur toute la surface de ta gueule, introduit ses gros doigts dans ta bouche pour te le faire avaler.

Pendant ce temps, les deux autres deviennent fous sur ton cul. Ils tirent sur tes fesses pour te dégager le trou "Regarde cette pute le trou serré qu'il a, on va le travailler et lui éclater son fion, en faire un vrai trou à bites!" M s'est relevé, tu fais mine de tenter de te relever également, il t'administre deux gifles en croix. "À terre salope!" Ton regard a changé, la soumission s'installe peu à peu. Les deux autres se branlent frénétiquement sur ton corps musclé. L'un jute sur ton poitrail, étale son sperme et l'autre vient par grandes giclées sur ta bite lisse et blanche de jeune salope. On se redresse, on te regarde couvert de sperme, tu pleures doucement, on rigole...

"Ok maintenant on va lui ouvrir le cul jusqu'à ce qu'il ait une chatte à la place du trou! Tu veux te relever?" M t'écrase ses docs sur la gueule. "Calme ma chienne, calme..."

La suite bientôt...

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Vendredi 6 juillet 5 06 /07 /Juil 23:32

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M te retourne sèchement sur le ventre et te remets les menottes. Il s'adresse à moi: "Trouve-moi un bon lit où on peut attacher solidement cette pute pour lui éclater tranquillement le cul." Je l'emmène dans une des chambres du chalet dotée d'un lit en fer à barreaux de 1m60 sur 2. Il te porte nu sur son épaule comme un vulgaire bétail de boucherie, un des deux autres ne peut s'empêcher de te tirer les cheveux et de te mettre les doigts dans la bouche pendant qu'on monte l'escalier. Il te lâche sur le lit comme un sac. "Parfait, on va pouvoir faire ça dans les règles de l'art!" dit M. Je me réjouis de connaître "ses" règles de l'art!

Il me demande d'aller chercher tes Docs et une paire de chaussette. Quand je reviens tu as un superbe collier de chien bien large autour du cou. Il me demande de t'enfiler les chaussettes et les Docs. Tu te débats un peu. L'un des deux autres se jette sur ta pine, te la tords à te l'arracher. Tu hurles de douleur. "Tu vas définitivement te calmer sale pute sinon on va réellement devoir te corriger." Tu sanglotes, la bite distendue mais tu ne bouges plus. Je t'enfile tes chaussures. "Voilà regardez moi cette graine de lope, le vrai look de salope qu'elle se trimbale." C'est vrai que tu es superbement bandant avec ton collier et tes chaussures. Par ces simples accessoires, tout ton corps musclé est mis en valeur et ta bite douce et rasée paraît prête aux pires maltraitances.

M t'enlève à nouveau les menottes. "Ok descends du lit, fous-toi à quatre pattes et montre-nous bien ton cul salope!" Tu ne bouges pas. M pète les plombs, il t'attrape par les deux oreilles, te tire au bas du lit, te fait rouler sur le sol. "À partir de maintenant tu es une larve qui obéit chaque fois que moi ou ton copain te donnont un ordre, c'est clair salope?" Tu réponds "oui" dans un hoquet. "Je vais te corriger pour te montrer que je ne plaisante pas." J'ai un peu peur qu'il te fasse trop mal mais je laisse faire, curieux.

Il te met sur le ventre, demande à un de ses potes de s'asseoir sur ton dos pour bien te plaquer à terre, les mains ramenées dans le dos, il nous demande de prendre chacun une de tes jambes et de les écarter. Tu es maintenant complétement immobilisé face contre terre, écartelé. Il glisse une main sous ton ventre et ramène ta bite et tes couilles entre tes fesses. Puis debout, il entreprend de t'écraser lentement, méthodiquement, la bite sous ses Docs. "Alors petite pute tu comprends qui est le maître?" Tu hurles de douleur. J'ai honte mais je bande de te voir ainsi supplicié. Il fait maintenant rouler ta queue sous ses chaussures en te traitant de chienne, de larve, de lope enfin tout ce qui lui passe par la tête. Puis il commence à t'écraser tout le paquet y compris les couilles. Tu couines comme un cochon qu'on égorge. Là pour la première fois, je lui fais signe de retirer son pied, je ne veux pas que tu t'évanouisses. Il le fait sans discussion. "T'es une carpette, mon essuie-pompes, salope!" Il s'essuie frénétiquement ses grosses chaussures sur tes fesses, si belles, si douces qui rougissent du traitement infligé.

"Ok slave, maintenant tu te mets à quatre pattes et tu cambres bien ton cul de chienne qu'on voie ton trou." On se retire. Lentement tu te mets à quatre pattes en pleurant. M te met une monstrueuse claque sur les fesses. "Cambre pute, écarte mieux!" Fasciné je te vois peu à peu cambrer le cul et écarter les jambes au maximum. Tu deviens une lope, j'adore... "Vas-y écarte tes fesses de larve avec les mains qu'on voie bien ton trou du cul." Tu t'exécutes sans broncher. M se déchaîne: "Maintenant dis que t'es qu'une salope qui veut qu'on lui travaille le cul à le faire péter!" Rien ne sort... Il se met devant toi, te relève brusquement la tête, t'empoigne par la machoîre t'envoies une baffe et te craches en plein milieu de la gueule. "Dis-le petite pute!" Il étale sa salive sur ta gueule, dans les cheveux. Il t'empoigne à nouveau les oreilles, tord, tord... "Alors?" Tu hurles: "Je suis une salope qui veut se faire travailler le cul à le faire péter!" "Eh bien voilà, tu vois quand tu y mets du tien, tout va bien!" dit M visiblement pas peu fier du travail déjà accompli... "Ok les mecs, on lui défonce le cul."

Il t'as déjà empoigné et lancé sur le lit: "Tenez-le pendant que je sors le matos..." On t'immobilise sur le lit. Il ouvre un grand sac et en sort de longs bouts de tissus. "On va le mettre en position pour lui écarteler le cul tranquillement." On t'attrape un bras et t'attache solidement le poignet à un des barreaux tout à l'extrémité gauche du lit puis le deuxième à l'extrémité droite. Puis on te noue un gros bout de tissu à chaque tibia et te ramène les jambes au maximum par dessus ton torse et les attache également à chaque exrémité, gauche et droite, du lit à hauteur des poignets.

Je me recule, la vision est spendide, on ne voit que tes fesses écartées et ton petit trou tout lisse au milieu prêt à se faire ouvrir... "Bon on va lui passer l'envie de bouger pendant qu'on le travaille." M t'a empoigné la bite et décalotté le gland qu'il attache méticuleusement avec un tissu très fin puis noue l'autre extrémité à la barre centrale au haut du lit lit en ayant bien pris soin de tirer sur ta bite au maximum. Tu hurles, il t'envoie une claque monumentale sur les fesses: "Ta gueule, pute!" Puis il prend ta couille gauche, l'attache également et fixe l'autre bout sur la barre du côté gauche du lit. Il fait pareil avec la droite de l'autre côté. Tu pleures comme un enfant. Tu as maintenant le sexe étiré vers trois directions et toujours ce cul prêt à l'emploi.

"D'abord on va chauffer tranquillement le cul de cette salope." M extrait de son sac un fouet composé de trois lanières en cuir. Et donne un premier coup. Tu hurles de douleur doublement torturé par les coups du fouet et les lanières qui distendent ta bite et tes couilles au moindre petit mouvement. T'es transformé en morceau de viande qui parle! M fouette maintenant vigoureusement tes petites fesses qui rougissent peu à peu. Il veut te soumettre complètement et te casser psychologiquement. "Dis que t'es un trou à bite!" Tu répètes maintenant mot à mot toutes les phrases qu'il t'ordonne de dire. "Sac à merde, vas-y, dis que t'es un sac à merde!" Tu hurles les phrases ordonnées. Je bande comme un taureau. "Supplie-nous de te défoncer le cul..." Tu nous supplies...

C'en est trop, je vais jouir... Je m'approche de ton visage ravagé par la souffrance, me place derrière toi à la tête du lit et lâche de longs jets de sperme sur ta petite gueule de slave soumis. Que c'est bon... J'étale le sperme sur ta bouche et tes yeux. "OK!" dit M, "je vais vous ouvrir le cul de cette pute en un temps record!"

Tu as le cul rouge vif à la limite du saignement. Je vois M qui sort de son sac du gel et une paire de gants de chirurgien. Je me dis que t'es plus vierge pour longtemps...

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Vendredi 6 juillet 5 06 /07 /Juil 23:09

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Il enfile les gants, étale un peu de gel sur les doigts et s'approche de ton cul. "Je vais transformer ce trou de femelle en bonne chatte bien ouverte". Il te caresse le trou avec les doigts, je vois dans tes yeux que t'attends la pénétration comme un chien attend sa correction. Il longe le bord de ton trou encore serré et d'un coup t'enfile un doigt directement au fond du cul. Tu tressautes. "Elle est bien chaude cette chienne, bien serrée, faut la travailler en profondeur!"

Déjà il introduit un deuxième doigt, puis directement un troisième. Là, tu hurles de douleur. "Ta gueule salope, t'es né pour te faire éclater le cul!" M s'excite comme un fou, il remue ses doigts à l'intérieur de ton petit cul rasé, tes couilles et ta bite distendus par les liens sont violets. Tu hurles.

Un des deux autres s'approche de ta gueule de slave, t'empoigne les cheveux: "Dis que t'aimes ça chienne, dis que t'en veux plus!" Tu hurles: "Non je vous en supplie, relachez-moi..." C'est trop bandant de t'entendre gémir et supplier. Pour toute réponse, M enfile un quatrième doigt en forçant comme un malade: "Regarde-moi c'te pute, en deux minutes je lui élargis déjà le trou." Il te travaille à mort. Tu te tortilles mais les liens qui retiennent tes organes génitaux font leur boulot et te lacèrent le sexe. Celui qui te tire les cheveux t'enfonce ses doigts dans la bouche, tu suffoques et les larmes giclent. Le troisième te pince et te gifle les seins et moi, je regarde ce spectacle où tu ressembles à un agneau lentement mis à mort...

M se redresse: "Bon Je vais définitivement dépuceler cette larve! Je te jure que cette pute va s'en souvenir toute sa vie..." Il nous fait signe de venir vers lui: "Allons boire une bière." Nous sortons de la chambre, te laissant le cul en l'air, le trou exposé et le sexe distendu et violet.

M me dit que c'est le meilleur batard qu'il aie jamais vu. Il me dit qu'il sent extrêmement bien ces choses là et qu'il est sûr qu'on peut t'emmener très loin. Il me propose de te dépuceler de manière très brutale afin de te casser physiquement et psychologiquement: "Tu verras après ça, on va pouvoir jouer avec cette petite pute comme t'aurais même pas imaginé le faire!" Je m'inquiète de savoir si physiquement c'est pas dangereux... il me dit que l'homme en général est hyper résistant et que ma pute est un vrai morceau de viande bien musclé et que t'as l'air d'avoir le paquet très solide.

On remonte à l'étage, tu pleures doucement. Je vois dans tes yeux que tu sais que tu vas y passer mais quelque part, tu sais qu'il le faut pour devenir la lope que tu as toujours été au fond de toi.

M donne ses ordres: "Ok toi à gauche, toi à droite et toi assis sur sa gueule de naze." Chacun se positionne, je m'assieds bien à plat sur ta gueule, je sens mon anus sur ta bouche. M met un peu de gel sur sa queue immense et s'approche de ton cul: "Voilà! À trois je lui éclate son cul de pute et vous tirez chacun à mort sur votre corde respective." Tu gémis... "Un, deux, trois!" On bande comme des taureaux. Il t'ouvre le cul d'un coup et s'enfonce jusqu'à la garde; pendant ce temps on tire sur les cordes comme des malades. Tu hurles comme jamais, ton sexe ressemble à des bouts de chair exangues, il te laboure le cul... "Allez les mecs, tirez, arrachez-lui sa bite de salope à cette femelle!" Je tire sur ma corde, ton gland est violet, tes couilles écartelées sont près d'exploser. M te claque les fesses, te pince le ventre et les cuisses en te traitant de sale pute.

Moi je me relève et tout en coninuant à tirer sur ma ficelle, je t'enfonce ma bite au fond de ta petite gueule de chienne. Je te défonce la bouche, te tords les oreilles, te gifle sans retenue, tous on profite de cette viande lisse douce et imberbe. Tu es secoué de tous côtés. Je te crache sur les joues et étale ma salive dans tes cheveux, je me réjouis déjà de pisser sur ta gueule de larve soumise...

M est en train de venir: "Tiens ma chienne, prends cette queue, je te déchire le cul sale pute!" Il se fracasse littéralement les hanches sur tes fesses. Moi je viens d'un coup au fond de ta gorge et les deux autres giclent leur jute sur ton poitrail brillant. M sort de ton cul, on relache les cordes, tu pleures comme un petit bébé et je contemple le spectacle. Tu es souillé de sperme, le sexe en feu, le trou béant d'où coule le sperme de M.

"Voilà détachez-le, maintenant c'est une lope à notre service!" dit M. On te détache de tes liens. Effectivement tu ne tentes aucun mouvement de fuite. M t'attrape par les cheveux et te tire par terre hors du lit: "À terre chienne et rampe pour nous, le cul bien en l'air en aboyant!" Tu t'exécutes, le cul et la bite bien dressés encore rouges de nos sevices... Tu glapis comme un chien. T'es un vrai slave. M triomphe: "Voilà! Qu'est ce que je vous avais dit... Maintenant on peut en faire ce qu'on veut et on va pas se priver de faire souffir ce batard!"

Là-dessus, il te flanque une claque sur les fesses à te casser les reins, t'attrape par la bite et te soulève de terre par le sexe. Je pose une doc sur ta gueule frottant le plancher. Je me hasarde: "C'est vrai ma salope, on va te finir..." Tu pleures, mais t'es un slave, un vrai de vrai!

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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