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fan de histoires de mec

Jeudi 5 juillet 4 05 /07 /Juil 23:41

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J'ai 38 ans, je suis roux, poilu et j'ai des piercings sur le corps. Si dans la vie de tous les jours, j'ai l'air très sage, je suis en réalité un fan de pisse. J'ai toujours aimé boire de la pisse, que ce soit la mienne dans un verre, ou encore mieux, à même la queue d'un mec qui me le demande. J'avais déjà réalisé plusieurs fantasmes liés à la pisse. L'un des premiers que j'ai réalisés ce fut au Glove, un bar à cul du centre de Paris.

On était vendredi, c'était la soirée uro et je furetais dans le bar, assez excité par la totale liberté qui régnait dans le bar, moi ça m'a toujours fait bander de voir un mec se faire enculer au bar pendant que ses voisins discutent sans y prêter la moindre attention.

En traînant au sous-sol, j'ai repéré un mec plutôt trapu, comme j'aime, qui me matait en se caressant le paquet. Je me suis approché, il m'a dirigé vers sa queue et à partir de là, ses activités favorites consistèrent à m'enfoncer sa queue de bonne taille au fond de la gorge le plus longtemps possible, de me tirer les couilles comme un malade (je crois que c'est à cause de lui que je suis devenu fan du travail des couilles) et de me filer sa pisse à boire tout au long de cette soirée, le plus souvent d'ailleurs en pleine lumière. Mon regret pour cette soirée là fut de ne pas avoir été mis à disposition de plusieurs mecs qui voulaient me pisser au fond de la gueule.

Il m'a fallu attendre une autre rencontre, au Keller cette fois-ci, pour trouver un mec qui m'a transformé en urinoir. Il choisissait les queues, je buvais la pisse et/ou les pompait à la chaine parfois. J'avais aimé passer ma soirée à boire toutes ces pisses différentes, surtout de les prendre à même la queue, devant tout le monde en pleine lumière. Pour cette soirée, j'avais en plus les couilles lestées par 700g d'acier. J'ai pris un pied pas croyable.

Mais ce que j'ai préféré c'est quand j'ai passé une soirée chez deux mecs, à jouer les urinoirs.

J'avais vu leur annonce sur un site SM, ils étaient un couple de mecs, un peu plus jeunes que moi, et cherchait un mec pour leur boire la pisse. Je n'ai pas pu résister, vous vous en doutez.

Je suis arrivé, ils étaient déjà à poil, je me suis donc déshabillé tout de suite et je suis allé entre les jambes du premier qui avait envie de pisser, et ce fut le début d'une soirée de rêve. Ils savaient pisser lentement pour me laisser le temps d'avaler sans en perdre une goutte sur le tapis ou le canapé, et me laissaient le temps de respirer. Ils ont bu une quantité incroyable de bière tous les deux, et en ont donc pissé au moins autant. Je crois que je leur ai vidé au moins trois fois chacun la vessie. J'aimais cette ambiance où entre deux sessions de pisse, on discutait de tout et de rien, à poil sur le canapé ou les fauteuils, et sur un mot de leur part, je me retrouvais à genoux, avec la queue dans la bouche, à attendre avec impatience qu'il m'abreuvent.

Si moi je bandais comme un taré en buvant leur pisse, eux ne bandaient pas, et croyez-moi, boire de la pisse d'une belle queue qui ne bande pas, c'est super excitant. Je me suis vraiment senti rabaissé au rang de simple urinoir. À la fin, je me suis branlé et j'ai joui comme rarement. Et bien sûr, avant de repartir je suis allé pissé, mais dans les toilettes, car j'étais plein comme une outre.

Si vous cherchez un urinoir sur Paris, pensez à moi s'il vous plaît.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Jeudi 5 juillet 4 05 /07 /Juil 02:23

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J’habite depuis une paire d’années dans une tour HLM de ce que l’on appelle un quartier sensible. La cage d’escaliers est couverte de graffitis, obscènes pour la plupart, et les relents d’urine vous prennent à la gorge dès que vous passez la porte d’entrée. Je bande en imaginant tel ou tel mec de l’immeuble se débraguettant et se soulageant de son urée contre le mur.

Un soir, je surpris un des locataires au moment où il sortait son engin de la fermeture-éclair. “Je peux t’aider”, fis-je sur un ton désinvolte. Il se lança dans une explication plus ou moins vaseuse selon laquelle son chiotte était bouché et qu’il n’avait que cette solution pour pisser avant d’aller se coucher. “Dans le lavabo, c’est pas très hygiénique,” m’expliqua-t-il, embarrassé. Mais je n’avais que faire de ses justifications farfelues. Mes yeux ne quittaient pas son membre mou et gonflé. Je tentai le tout pour le tout. Je m’agenouillais sur une marche et présentais ma bouche ouverte prête à accueillir son robinet à pisse. J’attendais une réaction d’hostilité qui ne vint pas. Je me saisis alors de son sexe, d’abord du bout des lèvres, puis plus profondément. Je levais les yeux vers le gars et d’un clignement d’œil je lui fis comprendre que j’étais prêt à recevoir son flot d’urine. Il se relâcha et se libéra du liquide accumulé dans sa verge. Au fur et à mesure que la pisse s’écoulait dans mon gosier, je sentais que mon membre prenait de la vigueur.

Après avoir tari sa source, j’entrepris de le sucer avec l’espoir de lui faire connaître les bienfaits d’une bonne fellation masculine. Son excitation était à son comble car il ne fut pas long à faire jaillir le liquide de ses couilles. Ma réputation de vide-couilles allait se propager comme une traînée de poudre, en plus d’avoir été repéré comme fétichiste des chaussettes.

Les abords de l’immeuble laissaient à désirer quant à leur propreté. Certains se débarrassaient de leurs ordures, d’autres de leurs vieilles chaussettes déchirées, sales à avoir été portées des semaines et des semaines, odorantes à asphyxier un appartement. Je subodorais à quel type elles avaient appartenu, comment il les avait portées aussi salement sans gêner qui que ce soit pendant tout le temps qu’elles fermentaient à ses pieds. Je ramassais ces chaussettes crades et, enfermé chez moi, je les humais en rêvant à tous les mecs de l’immeuble qui me faisaient craquer. Je finissais par jouir, les chaussettes pressées contre mon nez.

J’avais une autre habitude: celle d’exposer mes chaussettes à sécher sur mon balcon. J’en étais particulièrement fier, elles étaient toutes siglées de célèbres marques de sport. Les p’tits jeunes de la cité en bavaient d’envie. Je les observais porter le regard vers l’alignement des chaussettes.

— Hey, mec, tu crois pas que tu frimes un peu, me lancèrent-ils un jour au pied de l’immeuble. Nous aussi, on aimerait bien mouiller des chaussettes Nike. Ça t’fait triquer, de la sueur de jeunes mâles? Les pédés, on a rien contre si c’est nous qui fixons les règles du jeu!

Je n’ai jamais pensé qu’ils m’attendaient pour que je les fournisse en chaussettes au vu des fringues qu’ils avaient les moyens de s’offrir...

Pour me faire comprendre qu’il était temps de les approvisionner, ils déposaient devant ma porte leurs chaussettes sales et usées dans un papier-journal ou un sac hermétique accompagnées d’un petit mot malicieux du style: “Urgent, Najib a les pieds nus”, “Vic attend un nouveau lot d’absorbeur de sueur”, “Du ferment à fromage pour Vivien”...

Ils prirent l’habitude de s’inviter chez moi dans leurs fringues super sexy. Leur premier geste était de se déchausser devant moi. Leurs chaussettes blanches dégageaient chacune une odeur différente. Ils me le faisaient remarquer sans pudeur. “Parfumé par brise de panards”, insistaient-ils. Ajouter à cela des rots et des pets retentissants et l’atmosphère de la pièce était rapidement viciée. Sans gêne, ils dévalisaient mon frigo de ses bières et de la bouffe avant d’aller s’affaler dans le canapé et de se goinfrer en visionnant des films de cul hétéros dans lesquels des chattes se faisaient perforer par des membres super montés de Blacks ou de beurs. Ils s’esclaffaient devant ces scènes torrides, se passant la main sur leur braguette afin de sentir leur sexe durcir sous le slip.

Je les matais les yeux ébahis et la queue dure comme un roc. J’aurais voulu me jeter à leurs pieds fumants pour en humer leurs vapeurs nauséabondes. Les bières achevées, ils s’attaquaient à mon bar à alcools, vidant indifféremment whiskys et cognacs avec la même célérité. Les filles sur l’écran continuaient à se faire défoncer par tous les trous et leurs queues finissaient par apparaître entre leurs mains. Ils avaient posé leurs pieds sur une table basse, j’avais donc tout loisirs de m’attarder sur leurs chaussettes colorées par la transpiration collante.

Quand ils se levaient du canapé, leur bite raide à la main, je croyais mon heure arrivée. Ils m’invitaient à m’agenouiller devant leur queue avec interdiction de les effleurer tandis qu’ils s’activaient à jouir en commentant les actions de la vidéo. Finalement, trois puissants jets de foutre viendront zébrer mon visage.

— Maintenant, tu peux nous filer des chaussettes propres. On va aller retrouver nos meufs et on voudrait pas avoir la honte avec nos chaussettes pourries!

Leur départ me laissait dépité et la queue en souffrance. Je ramassais leurs chaussettes, j’en caressais ma bite et me les passais sur le visage jusqu’à faire jaillir mon sperme dans une étrange sensation de délivrance et de plaisir.

Sur le même palier logeait Bertrand. En règle générale, il faisait appel à moi au moins une fois par semaine. Il frappait à ma porte en gueulant: “Allez, ma pute, viens prendre ta dose!”

J’arrive dans son appartement au moment où il s’installe sur la cuvette des chiottes pour se soulager. Sa bite est raide à exploser. Pendant que je l’embouche, il se libère de ses matières en même temps que je sens un liquide clair et chaud se déverser dans ma bouche. Sa pisse est tellement abondante que j’ai des difficultés à tout avaler. Je suis donc contraint de laisser du liquide couler sur mon menton et les cuisses de Bertrand. Il m’insulte en me crachant à la gueule; ses mollards s’écrasent sur mes joues et il prend plaisir à bien me les étaler.

Alors il m’ordonne de lui retirer ses pompes. C’est le moment le plus excitant. Je sais que je vais découvrir des chaussettes blanches parfumées d’une semaine.

— Tu aimes, n’est-ce pas? me dit-il avec une pointe de sadisme dans la voix. Lèche-les!

Et il me les fourre sous le nez. Je sniffe avec délectation et m’enivre de ses effluves. Quand Bertrand juge que mon humiliation est à son terme, il se lève, me retourne précipitamment et introduit avec force sa queue au fond de mon trou. Toute la longueur de sa bite épaisse et veineuse me perfore pendant de longues minutes. Petit à petit, je participe à son plaisir en m’empalant le plus profondément possible sur son gourdin. Sa purée s’éjecte alors avec une volonté de me faire hurler de douleur.

Le temps de reprendre mes esprits, Bertrand s’est torché. Il me congédie sans un mot, poussant du pied sa paire de chaussettes sales jusque sur le pas de sa porte. “Débarrasse-m’en!” me lance-t-il avant de me claquer la porte au nez.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Jeudi 5 juillet 4 05 /07 /Juil 02:00

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Un samedi matin vers 9h, j'émerge à peine de ma virée de la veille que le téléphone sonne. Mon maître est à l'autre bout du fil. Il me demande confirmation de ma dispo pour la semaine et si je suis bien en vacances comme prévu, ce à quoi je réponds par l'affirmative.

— Parfait connard! Reste près de ton tél, un pote à moi va t'appeler. Tu lui appartiendras, sans aucune limite, pour la semaine. Je te récupère dimanche soir. Ne me fais pas honte! Tu le paierais cher... Sac à jus!

Aussi sec, il raccroche.

Je fonce à la salle de bain. Je sais que dans un tel cas, je dois être nickel, prêt à l'utilisation. À peine 30 minutes plus tard, le tél sonne à nouveau et un mek, voix rocailleuse et directive, me demande si je suis bien la sous merde de Maître X. Je réponds par l'affirmative. Je suis à sa disposition dès à présent et jusqu'à ce qu'il me refile à mon maître, conformément aux ordres de ce dernier. Il me dit de préparer un sac avec mes papiers d'identité, mon portable et mes clefs, de m'habiller dans ma tenue habituelle de batard qui est une tenue skin. Je dois l'attendre porte ouverte chez moi, mes affaires prêtes ainsi qu'un café, à genoux, les mains derrière le dos, dans 15 minutes exactement... Il raccroche.

Je fonce mettre un café en route et préparer mes affaires. Je commence à m'habiller, je sers le café, pose le sucrier à côté ainsi qu'une cuillère. Je vais entrouvrir la porte et je commence à enfiler mes boots. Je termine à peine de mettre une boot que j'entends du bruit dans la cage d'escalier. Je me dépêche mais quand j'entends les pas s'approcher du salon, je ne suis pas prêt. Je me mets tout de même à genoux, mains derrière le dos. Les boots ne sont pas totalement lacées et mon fut n'est pas fermé.

Pas un mot. Je ne vois qu'un fut de cuir sur des boots à lacets blancs, et deux mains gantées de cuir. Un long silence. Le mek tourne autour de moi et soudain, je me prends un super coup de boots dans le dos. J'essaie de retenir un cri, mais celui-ci m'échappe tout de même. Le mec, toujours derrière moi, me relève la tête d'un coup en m'enfonçant trois doigts dans la gueule.

— Je veux pas entendre le son de ta voix, bâtard... Sauf pour répondre quand on te demande quelque chose ou pour remercier ton Maître.

Il s'installe dans le fauteuil et prends son café. J'entends le bruit de mon sac, il doit en vérifier le contenu.

— Termine de lacer tes boots, chiottard, avant que je te donne ton déjeuner. On est pressé, alors tu te magnes!

— Bien Maître.

Je lui tourne toujours le dos. Je termine de me préparer. Il fait quelque chose derrière moi mais je n'ose pas regarder. À peine ai-je terminé de mettre mes boots et de fermer mon fut que je me remets en position. D'une main, il me prend le menton et de l'autre, je le vois faire apparaître un bol face à moi. L'odeur âcre ne laisse aucun doute. Il a pissé dans le bol et me voilà servi pour le petit déjeuner... Je ne sais pas encore à ce moment là que ce sera l'une des seules boissons à laquelle j'aurai droit pour les huit jours à venir.

— Va laver ton bol, on se tire.

Je fonce à la cuisine. Lorsque je reviens, il a mon sac en mains avec les clefs. Je passe devant, il ferme à clefs et me fait avancer devant lui. Arrivé en bas de l'immeuble, il me fait mettre à genoux et me dit de l'attendre. À peine trois minutes après, une camionette s'arrête devant moi, mon nouveau Maître en sort, ouvre la porte arrière et me fait signe de monter. Il y a là une moto sur le côté, une cage au fonds avec un clebs et une deuxième plus petite à l'avant qu'il me désigne. Il me tend une pillule, une bouteille d'eau.

— Avale ça et à tout à l heure. Profite en pour bien te reposer...

Il ferme la cage et fout une couverture dessus. J'entends la porte claquer et c'est parti. Doucement je me sens partir, à la fois un peu décollé et un peu assomé; il a pas dû me filer que de la vitamine! Je tombe dans un demi sommeil.

Tout d'un coup, j'entends la porte qui s'ouvre. Il me sort de la cage, je suis un peu groggy. Il me fout un collier de cuir et je le suis. Nous sommes sur une aire d'autoroute, on s'enfonce dans une espèce de sous-bois. Quelques instants après, il me fait mettre à genoux et sors sa bite, un engin comme j'en avais rarement vu: longue, épaisse, très nervurée et surtout un gland dont je me demande si je pourrais l'engloutir! Je dois avoir l'air surpris pour qu'il me dise:

— Ton proprio t'avait pas prévenu!

Et il éclate de rire.

— Elle va te travailler la gorge et le cul toute la semaine cette bite de cheval! Et t'en auras d'autres, crois-moi. Astique connard et applique toi!

J'ai pas le temps de m'appliquer qu'il me prends la tête à pleines mains et s'enfonce en fond de gorge d'un coup sec, et se met à me limer la gueule, telle une chatte. De temps en temps, il ralentit le rythme, j'en profite alors pour lécher le gland du mieux que je peux. Infatiguable, ce manège dure un long moment. Deux meks se sont approchés et matent le spectacle. Le Maître leur fait signe d'approcher, les meks ne se font pas prier et arrivent en se caressant l'entrejambe et en sortant leur bites.

— Elle est à vous, une bonne gueule de pute. Amusez-vous les meks!

À peine s'est-il retiré de ma gueule que les deux autres présentent en même temps leur bite. Je vais de l'une à l autre, en léchant au maximum leur gland, et en caressant leurs couilles. Rapidement, l'un des meks s'enfonce d'un coup au fond de ma gueule et dans un râle qu'il essaie de contenir, se vide dans ma gueule. Il reste bien au fond pour être sûr que j'avale tout et ressort doucement afin que je lui nettoie la bite. Le deuxième ne se fait pas prier et se met à me baiser la gueule de plus belle. Quand il sent qu'il vient, il m'éloigne la gueule de sa bite afin de pouvoir se répandre sur mon visage. Il m'aspèrge de quatre gros jets de foutre qu'il étale copieusement avec son gland sur mes yeux, mon nez, mes cheveux, avant de me faire nettoyer son gland. Une fois propre, ils se tirent tous les deux. Je reste à genoux, mon maître qui matait la scène réapparait:

— Baisse ton fut et montre moi ton cul, sac à jus!

Je m'exécute. Il se fout derrière moi, me fait lécher un de ses doigts toujours ganté de cuir, j'essaie de le mouiller au max. Au bout de quelques secondes, ce doigt se retrouve sur ma raie et à peine le temps de me rendre compte que je suis quasi sec, mon maître m'enfourne son braquemard d'un seul coup au fond de mon cul. Je tente de hurler mais il me fait basculer la gueule au sol, écrasée dans la boue.

— T'es une bonne pute à jus. Après la gueule, on va te pourrir le cul!

Et sitôt dit, sitôt fait, je sens des jets de sperme puissants m'envahir le cul. Il ressort sa bite, je sens le foutre couler, il l étale sur mes fesses.

— Tu vas dans les chiottes batard. La première cabine porte ouverte, à genoux face vers le chiottard et fute baissé. Moi j'vais bouffer. T'en bouge pas avant que j'arrive.

Il m'entraîne vers les chiottes et en passant devant, me pousse vers la petite bâtisse; lui se tire pour aller manger. J'ai encore le goût âpre et crémeux du jus des deux meks dans la gueule. Quand deux motards arrivent, je ne sais plus quoi faire. Ils se marrent en me voyant et me mattent en discutant à voix basse. Un premier sort sa bite, vient sur moi et commence à pisser. Il ne vise pas la gueule mais veux simplement me crader les fringues. Quand il a terminé, il se dirige vers la porte des chiottes pour la bloquer. Son pote me prend par le collier et violement me fout la gueule dans la pisse qui est au sol.

— Nettoie p'tit pédé, tu fous quoi ici, tu fais la pute?

— J'attends mon Maître qui m'a dit de l'attendre ici!

— Ton maître? T'es pute, t'es slave?! Cool alors, tu vas être chiottard aussi puisqu'il te fout ici ton mek!

Je n ai pas le temps de répondre qu'il m'écrase la gueule sur le sol, il baisse son fut et se fout sur le cabinet. À peine quelques secondes après, j'entends le bruit bien reconnaissable d'un bel étron qui tombe dans la cuvette, puis un deuxième. Le motard se relève, m'attrappe par le collier et me dit:

— Nettoie-moi le cul avec ta geule!

Je m'exécute, le cul est relativement propre mais très fort d'une odeur de mek qui a sué dans son cuir. Je lèche et sniffe autant que possible. D'un coup, il me prend par le collier et me fout la geule dans la cuvette, je vois deux énormes merde flotter.

— Je veux te voir bouffer, je te lâche pas avant que la cuvette soit propre!

J'essaie d'attraper un premier étron qui m'échappe. Je recommence, je l'ai bien en gueule. Je relève la tête pour tenter de pouvoir l'avaler, les deux meks matent en se tordant de rire, en m'insultant de chiottard, de bouffeur de merde, je ne veux pas leur donner le plaisir de ne pas être à la hauteur et je me force à avaler d'un seul coup la merde.

— Bien connard... mais y'en a une deuxième alors termine ton taf!

J'y retourne mais je ne parviens pas à l'attraper, au bout de quelques secondes, le meks plonge sa main dans la cuvette, prend sa propre merde et me l'écrace sur la gueule, m'en foutant un max dans la bouche.

— Avale connard! Bouffe bien de la bonne merde de mek. On te donnera de la crème quand t'auras bien fini le plat de résistance.

Et il s'amuse à m'étaler le reste de merde sur le visage et les cheveux. Au bout de quelques minutes, j'ai avalé la totalité de la merde. Il me fout la gueule dans les chiottes et tire la chasse. À peine relevé, il m'enfourne sa bite de taille normale mais assez épaisse et crache son jus en à peine trois aller-retours.

— Content? Bien déjeuner?

Et il éclate de rire. L'autre s'approche se branle au-dessus de moi et m'enfourne d'un coup sa bite fine mais très longue direct en fond de george. Je sens le mek se vider de longs et épais jets, il devait pas s'être vidé depuis un moment! Ils me laissent là comme ça, total cradé, les fringues pleines de pisse, la gueule et les cheveux merdeux et la gueule à nouveau dosée.

Un mek entre dans les chiottes, me matte, va pisser à la pissotière tout en me matant. Je suis rouge de honte, je ne sais absolument plus comment réagir. Finalement, il referme sa fermeture-éclair et se barre sans me quitter un instant du regard; je crois qu'il hallucinait un peu! Mon Maître arrive:

— Alors il paraît que t'as bien déjeuner batard?

— Oui Maître.

— Qui t'a donné l'autorisation de bouffer ou de te faire utiliser sac à merde?

— Personne Maître, mais je pensais...

— Un batard ne pense pas, il obéit! Je t'avais dit de m'attendre, pas de provoquer les meks!

— Mais Maître, je...

Je n'ai pas le temps de finir ma phrase que je me prends un aller-retour qui m'assomme à moitié.

— Tu veux pas obéir, tu veux juste être un déchet? Parfait, je vais faire de toi le pire déchet que l'humanité n'aie jamais produite!

— Je...

— Ta gueule! Ton maître m'a confié la tâche de te mater et t'éduquer, il va pas être déçu, je vais lui rapporter la pire crevure qu'il aura jamais possédée.

Je ne sais plus comment réagir, je me sens las, moins que rien, je n'ai plus le courage de réagir, je ne peux plus lui dire que:

— Bien Maître, je serai ce que vous souhaitez...

— Tu seras quoi?

— Je serai une crevure, Maître.

— Et?

— Je serai un déchet, un réceptacle à foutre, un urinoir, une chiotte, Maître.

— Bien batard, mais crois-moi, tu seras encore pire que tu n'ose l'imaginer. Rhabille-toi correctement et retourne dans ta cage!

Je me relève, me remets au net tant bien que mal. Je vais pour me laver les mains quand mon Maître intervient:

— Tu fais quoi là connard?

— Je vais me nettoyer Maître.

— On n'use pas d'eau ou de savon pour un batard, tu restes dans l'état où tu t'es mis espèce de merde!

— Bien Maître.

Et je retourne me mettre en cage.

La route reprend, j'entends à plusieurs reprises le maître discuter au téléphone, je comprends qu'il parle de moi et à chaque fois, la finalité est un rendez-vous vers 18h je ne sais pas où. Je comprends aisément que ça va être ma fête en fin d'après-midi! Nouvel arrêt, le maître me fait sortir, on est dans un petit village de campagne, personne dehors, mortel! Une fontaine. Il me fait foutre dans la fontaine, fute baissé. D'un sac qu'il devait avoir avec lui, il sort une poire à lavement et entreprend de me faire un lavement. J'ai le cul plutôt propre, vu le lavement du matin, et je n'ai eu que le foutre de mon Maître. Sorti de la fontaine, il me fait remonter dans le camion.

— Fous-toi à poil et mets ça!

Il me tend un treilli complètement déchiré et qui tiendrait debout tout seul tellement il est crade, et un harnais. Je m'exécute, remets mes boots, il me remet le collier, des bracelets de cuir avec chaînes aux pieds et aux poignets, et une cagoule uniquement ouverte au niveau de la bouche. Me voilà aveugle. Il m'attrape, me refout dans ma cage, me fait avaler une pillule et boire une boisson que je trouve très amère. Je suis à sa merci! Il me casse complètement, je comprends que je vais être à sa totale merci...

On est reparti. Au bout d'un moment que je ne saurais évaluer, la camionette s'arrête, j'entends parler, crier, rire. Il y a l'air d'y avoir du monde mais je ne saisis pas du tout où je peux être, le nombre de personnes ou ce qui se passe réellement dehors. Je reste un long moment dans ma cage puis d'un coup, plus un bruit! J'entends la porte puis la cage qui s'ouvrent, et je suis pris violement par le collier et sorti. J'essaie de marcher mais je suis traîné avec force. Ils sont deux à me tenir. Je suis jeté au sol, ça pue, j'ai été jeté dans une marre à purin ou de bouse, je ne sais pas. On m attrape les poignets, les chevilles, je sens qu'on m'accroche. Un mek me tire la tête et me vide un verre dans la gueule, c'est le même produit que tout à l'heure. Puis plus rien! Au bout de quelques minutes, j'entends la voix du maître contre mon oreille, doucement:

— On est ici pour 24h, des meks sont venus de loin pour pouvoir t'utiliser. Tu est ici un objet, la moindre rebellion, le moindre faux pas et je te détruis, t'as bien compris sous race? T'as le droit à une récompense tout de même... tu peux gueuler autant que tu pourras! Ici personne ne t'entendra, ça ne fera qu'exciter plus tes utilisateurs.

Et il me refout la gueule dans le purin.

— Les meks, voilà la crevure promise. Elle est en formatage, vous avez tout droit sur elle. Ne vous retenez surtout pas, cette sous race est là uniquement pour votre plaisir, vos délires! Messieurs, 24h top chrono, il est à vous!

À peine a-t-il terminé de parler que mon abattage commence! En moins d'une minute, j'ai la gueule à fond sur un braquemard qui commence par pisser. Je sens un autre mek me limer direct le cul et quand un sort, un autre rentre immédiatement! Jamais on ne m'avait utilisé comme ça, je n'ai meme plus l'impression d'être un batard. Je ne suis même plus un trou, un slave, je suis simplement un objet qu'on utilise pour ses délires! Après je ne sais combien de bites, de litres de pisse, de doses de foutre dans le cul, la gueule, sur le corps, j'entends une cloche. Plus rien, plus personne ne me touche...

— C'est l'heure de bouffer, opération gavage!

On m'attrappe et mes liens sont tendus au max. Je ne peux plus faire mouvement. Des mains m'ouvrent et me maintiennent la gueule ouverte et je sens qu'on m'enfonce quelque chose dans la gueule. La douleur est extrême et je n'arrive même plus à gueuler. Je comprends vite qu'on m'enfile un tuyau et que le gavage, c'est ma gueule!

— Les meks, le chiotte est prêt!

Et rapidement, je sens le tuyau se remplir, la tête coincée entre les jambes d'un mek qui doit tasser la merde pour qu'elle entre bien. Et ça dure je ne peux dire combien de temps, mais à coup sûr, plus de deux heures. J'ai des douleurs atroces dans la gorges, je sens mon estomac se distendre, c'est le moment qu'un mek choisit pour me faire relever les jambes.

— Ma merde, je vais lui foutre directe au fond du cul!

Et sans préambule, je sens une main puis deux qui me travaille le cul, j'ai bien compris à la merde... On m'enfile deux tuyaux dans le nez et rapidement, je me sens total partir, je suis relié direct et sans possibilité de m'échapper à du popers. Je sens mon cul se distendre, les meks rigolent.

— J'ai plus de merde! File m'en que je le remplisse bien jusqu'au coude.

— Tiens, direct dans ta main mek, crade lui le cul avec ma merde!

Et ça délire autour de moi, je suis insulté de toute part, des dizaines de voix me traitent de tous les noms possibles. On m'enlève rapidement le tuyau que j'ai en gueule, j'ai mal mais je me sens libéré... Ça ne dure pas, le tuyau est de suite remplacé par un entonnoir. Après avoir été gavé par leur merde, je sens que je vais devoir prendre leur pisse...

— Apportez vos stock! On va le pourrir définitif.

Mon Maître vient me parler à l'oreille:

— Tous les meks présents ont apporté des stocks de foutre récupérés dans tous les bordels de leur régions. On va t'en gaver total et te pourrir avec de la bonne plombe. Je te fais une proposition: si tu veux une pause et manger un vrai repas, je te détache et tu bouffes par toi-même toute la plombe qu'on te présente comme un cadeau qui t'es offert par tes utilisateur en les remerciant un à un; ou on te gave à n'en plus finir de leur stock de plombe, de merde, de pisse et du lisier dans lequel tu patauges depuis hier soir!

Je comprends que ça fait déjà plusieurs heures que je suis là et j'ai un réel besoin de me reposer.

— Merci Maître, je boufferai la plombe de moi-même et remercierai mes utilisateurs.

— Messieurs! Détachez le sac à jus, vous allez pouvoir le nourir.

En quelques instants, je suis détaché. On me retire la cagoule. Il fait nuit, je ne vois que des spots assez puissants pointés dans ma direction. On me fait asseoir à une table, les yeux reprennent peu à peu de leur utilité et je suis effaré du nombre de meks présents. Ils sont au moins une bonne quarantaine! Tous les âges, toutes corpulences; un seul point commun: tous en cuir, la bite à l'air et bien crade. Le premier mek à se pointer est un mek qui ne m'est pas inconnu!

— Alors batard, je savais bien qu'un jour je t'aurais à ma botte! Tu te souviens?

— Non Maître.

— T'as refusé de me pomper dasn mon bar il y a quelques temps sous prétexte que j'avais la bite dégueu! Pourtant tout à l'heure, tu me l'as bien nettoyée! Depuis, j'ai récupéré toutes les capotes laissées par les clients...

Et il sort un sac énorme, rempli de capotes pleines!

— Y'a un mois et demi de capotes! Je veux te voir les bouffer une à une et m'en remercier, espèce de connard!

— Bien Maître.

Je commence par en prendre une, je n'arrive pas à retirer le noeud, on me donne un ciseau, je dois les couper et les bouffer! Je vide la première, elle est bien pleine, je la retourne pour bien lécher tous le jus et n'en pas gâcher! Et je regarde le mek:

— Merci maître.

— À ce rythme là, t'iras pas loin connard! J'vais te les couper moi et tu les avales entières avec le préso!

— Mais...

J'ai ps le temps de finir ma phrase que mon Maître qui est derrière moi m'a filé un coup de batte.

— Bien Maître.

Et il prend plusieurs présos et me les donne. Je les avale un à un avec du mal, en remerçiant à chaque fois. Il me fait accélérer le rythme de plus en plus, ça s'active autour de moi, les meks ont décidé de travailler différemment. Ils prennent tous des verres et des bols et commencent à vider les capotes qu'ils ont apportées. Ça change de mek, il arrive avec un gros bol rempli quasi jusqu'au bord!

— Allez batard, t'as encore faim? T'as envie de bonne dose de jus bien chargée? Déguste!

— Merci maître.

Et je m'exécute, j'avale le bol le plus vite possible. Je commence déjà à être dégouté alors que j'en suis qu'au deuxième mek! Je repose le bol.

— C'est quoi ça connard? Nettoie bien le bol, pas de gachis!

Et me voilà à lécher le bol, à ressuyer avec mes doigts la moindre trace de jus!

— Merci Maître.

Et j'enfile les bols, j'essaie de penser à autre chose, de bien respirer, l'envie de gerber est de plus en plus forte. Un mek se présente avec un bol bien rempli mais à l'allure vraiment rebutante; le jus qui est dedans parait jaune, très épais, comme s'il était pourri, indéfinissable.

— Cadeau spécial connard! Du jus de mek fermenté!

Rien que l'odeur me donne un haut-le-coeur! Mon Maître s'en aperçoit.

— Tu avales ça, tu remercies et t'auras droit à une pause.

— Merci Maître.

Je prends le bol, ferme les yeux et d'un coup, j'avale la totalité du bol, le ressuis vite, me lèche les doigts mais j'ai vraiment l'envie de gerber! Mon Maître prend un baillon et me baillone la gueule fermée, même si ça remonte, ça ne pourra pas sortir de ma gueule et je serai obligé de ravaler.

— Messieurs, une pause de qques minutes, la crevure n'est pas résistante, je m'en excuse.

Il vient me parler à l'oreille:

— Tu me fais honte! Tu vas la payer très cher ta pause!

Il m'entraîne dans la camionette, me fout dans ma cage. Je croyais avoir droit à manger un vrai repas, avoir une vrai pause, je comprends très vite que le repas promis, c'était les bols de jus et que la vraie pause n'etait qu'un rêve que je venais de caresser mais que j'allais payer très cher. Je me sens de plus en plus mal! J'ai envie de dégueuler, de chier, de pisser, mais je me retiens pour ne pas faire ça dans ma cage! Mais à un moment, je ne gère plus rien et malgré le baillon, je me vide entièrement de tous les côtés, je chie des kilos de merde, celle dont j'avais été gavée, je dégueule du jus à n'en plus finir et vide ma vessie qui était prête à exploser. Me voilà vide mais baignant dans mes excréments et mon dégueulis. Mon Maître arrive à ce moment là, je suis total vaseux!

— C'est quoi cette poubelle? Va chercher une cuvete et nettoie-moi ça de suite connard, t'as dix minutes.

Je m'exécute, je mets dans une cuvette tout ce que j'ai évacué et passe une serpillère dans la cage et le camion. Je me présente à mon maître.

— Puisque t'es incapable de respecter tes maîtres, on va te refourguer aux chiens, peut-être que eux pourront s'amuser avec toi!

Je n'ai ps le temps de réagir que je vois une dizaine des meks arriver avec leurs clebs! Deux meks m'installent sur un matelas posé au sol, m'accrochent les mains et me mettent en position afin que j'aie la croupe à hauteur pour les clebs et sans le moindre préambule, un clebs s'approche de moi, commence à me lécher le cul et d'un seul coup, grimpe sur moi. En quelques secondes, je sens sa bite se durcir dans mon cul et en mouvements rapides et saccadés, me limer comme une chienne et se vider dans mes entrailles! Rapidement, la bite ramollit et il ressort. Le mek suivant arrive avec son chien et le manège reprend! Quand le dernier est passé, j'ai le dos labourré pars des griffures, le cul qui dégouline et pense que cela va s'arrêter mais à première vue, ce n'était que le début et les clebs ont la queue raide et c'est reparti pour une tournée. Finalement, chacun d'eux me passera trois fois dessus. Un mek vient chercher les clebs, reste les dix meks autour de moi.

— On va bien tasser le jus de nos clebs maintenant, sale chienne!

Et les meks m'enfilent chacun leur tour, me remplissant toujours et encore de leur jus qui se mèle à celui de leurs clebs! Mais les autres meks ne restent pas dans leur coins, eux aussi ont envie de me tasser. Mon Maître arrive, me fout son pieds sur la gueule et me l'écrase sur le matelas. Il a décidé que je serais un cul à remplir et rien d'autre pour le moment. En effet, j'ai le cul continuellement rempli par une bite, parfois deux, qui veulent se vider, se revider pour bien me pourrir le cul.

— Messieurs, il nous reste 4h, je vous invite à venir punir la lope pour ses désobéissances et ses manquements à votre égard. Ne me l'abimez pas trop, c'est tout ce que je vous demande. Il n'en et qu'à son premier jour et je dois encore le former sept jours!

Et il éclate de rire. Un premire mek arrive, c'est le dernier dont j'ai bouffé le bol de jus crade.

— T'as pas aprécié mon jus connard, alors que pour une sous race comme toi, ça équivaut à du caviar! Alors tu vas me bouffer ça!

Il me présente une assiette remplie de merde, de foutre, de purin. Il pisse dedans et me donne une cuillère à soupe.

— Bouffe et apprécie chiottard, je veux que l'assiette soit propre!

Sa ténacité et son côté "jusqu'auboutiste" m'excite et je me surprends à prendre un réel plaisir à manger.

— Tu vois, c'est pas difficle!

Et mon Maître d'ajouter:

— Parfait, je sais de quoi te nourrir pour le reste de la semaine!

Un autre mek arrive:

— J'aime pas tes manières connard, tu ne te donnes pas à tes maîtres, tu les subis! Alors puis que tu veux les subir, tu vas goûter à mes boots et celles de mes potes!

Et quatre autres meks, skins rasés, lacets blancs (mais bien crade). m'attrappent et me jettent au sol et commencent une scéance de coups de boots, de crachats. Je hurle tout ce que je peux, les coups pleuvent. Ils évitent soigneusement la gueule mais tout le reste du corps subit des coups de plus en plus violents. N'en pouvant plus, je regarde fixement mon Maître.

— Pitié Maître, pitié.

— Pas de pitié pour une sous race qui fait mal son taf. Paie ton tribut à tes maîtres!

Et les meks de frapper encore plus fort! Mon Maître arrive, les meks se calment, mais c'est mon Maître qui me donne le coup de grâce en m'écrasant violement sa boots sur ma bite. Je hurle, un mek me met sa boots sur la gueule.

— Lève toi, me dit mon Maître.

J'essaie, j'ai mal partout, je n'arrive pas à me tenir debout.

— Attachez le au poteau puisqu'il peut pas tenir debout tout seul, ce connard.

Deux meks m'atrappent, me passent une chaîne dans le collier et les menotes de poignets et m'attachent à un poteau électique. J'entends des meks gueuler:

— Lattez le, fouettez le, qu'il paie le fait d'être un bon à rien!

Et ça commence, je sens des fouets, des paddles s'acharner sur mon dos, mes jambes, mes cuisses, mes bras. Ce sont les chaînes qui me tiennent, je ne suis plus cappable de la moindre réaction et cela dure et dure encore. Mon Maître met fin à la scéance.

— Messieurs, apportez les restes!

Je vois réapparaître la basssine de merde, de pisse et de dégueulis que j'avais remplie tout à l'heure. Les meks y rajoutent les capotes qui leur restaient et les vident. Et deux meks entreprennent de m'enduire le corps de ce mélange. Une fois total cradé, je suis détaché.

— Batard, va remercier chacun de tes utilisateurs et rentre dans ta cage!

Je m'excécute. À genoux, je passe de l'un à l 'autre, les remerçiant. Certains ne prêtent pas attention, d'autres en profitent pour me pisser dessus, me jouir une dernière fois dans la gueule, me filer un dernier coup de boots. Mon Maître m'attend à la fin, il me tend trois géllules.

— Prends ça, ce sont des antidouleurs et un somnifère, t'en as besoin et ce soir, tu bosses!

J'avale et me dirige vers ma cage où je m'installe. Mon Maître ferme la porte et j'entends crier, rire, discuter un bon moment, et ça se calme. Les meks doivent commencer à partir. Tout d'un coup, bruit de porte, démarrage. Mon Maître à décidé de partir! Je m'endors...

À suivre...

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Jeudi 5 juillet 4 05 /07 /Juil 01:13

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La descente aux enfers du plaisir

Je me réveille, je suis toujours dans ma cage et une forte odeur d’excréments et de pisse me prend le nez. Je suis toujours brinqueballé, ce qui signifie que nous roulons toujours. Je ne sais pas combien de temps j'ai dormi. Je reprends mes esprits, je sens mon cul endolori et mon corps courbaturé. Il me revient en tête que mon Maître m’a dit de me reposer car je devais bosser ce soir. Ça y est, je suis bien réveillé et tout me revient à l esprit. Je retombe dans mon état de larve et de sac à jus, sans même que mon Maître n’ait eu à intervenir. Je me souviens de ma nuit et autant excité qu’inquiet, je me demande ce qui m’attend, ce que comprenait mon Maître en me disant: «Ce soir, tu bosses!»

Ça fait une heure que je suis éveillé quand la camionnette stoppe. C’est le calme plat, je n'entends rien autour de moi, il y a peu de lumière. Au bout d’un long moment, la porte s’ouvre:

— Voilà votre pute, je vous l’ai fait préparé la nuit dernière.

— Ok, résistant? Obéissant?

— Aucun soucis, il est bien dans son rôle. Si il essaie d’en sortir, je vous laisse carte blanche pour le remettre en place, je serai là de toute façon.

— Ok, on va le foutre avec sa cage dans le monte charge et on descend au deuxième sous-sol. On a deux bonnes heures avant que la nuit commence et que les mecs arrivent...

D’un coup sec, on tire la cage dans laquelle je suis installé. Elle s'écrase au sol, je suis à moitié sonné par le choc. Mon Maître sort le chien, il sort du sac la cagoule et à travers les barreaux, me la met sans même me dire un mot. La cage est traînée, je sens le mouvement de l'ascenseur; c'est rapide. La porte s'ouvre, je sens de suite une odeur totalement nauséabonde. La cage est à nouveau traînée, j'entends des bruits de chaînes et rapidement, la cage se détache du sol, elle bouge dans tous les sens et s'immobilise.

— On va te nettoyer, connard, pour mieux te crader et que tu profites bien de ce que nous allons tous te donner cette nuit. Ça été du taf que d’organiser cette soirée, t'as intérêt à bien bosser sinon tu le paieras plus cher que tu ne peux même l'imaginer!

Je ne connais pas cette voix qui a un très fort accent rebeu, mais pas jeune de banlieue. Non, à l'ouie, le mek doit bien avoir la quarantaine au minimum.

— Ton Maître t'offre à nous, tu vas bouffer, subir, avaler, te faire élargir, doser, plomber par un bon cheptel de bons meks bien calibrés, aux couilles pleines. Prépare-toi chiottard...

J'entends un bruit d'eau et d'un seul coup, un jet puissant d’eau glaciale, on est en train de me laver au karcher. J’hurle tellement l'eau est froide et le jet douloureux. Mon Maître intervient:

— Qui t'a autorisé à parler connard? Foutez lui le jet dans le cul, ça va le calmer!

Moins de deux secondes après, je sens le jet puissant me nettoyer le cul en profondeur. Je n'ose plus dire le moindre mot. Au bout de quelques minutes, plus un bruit. Je tremble de froid après ma douche mais je dois avouer que je me sens mieux qu’avec ce cataplasme de merde, de foutre et de dégueulis qui me servait de seconde peau depuis ce matin!

La porte de la cage s'ouvre, je sens une main qui m’attrape le crâne pour me faire sortir et me traîne sans ménagement. On me retire ma cagoule et je me retrouve face à trois meks, tenue de chantier intégrale avec casque et à la place de l'outillage, des godes, des chaînes, etc, accrochés à la ceinture. Leurs visages sont cachés par un simple masque en plastique blanc. Un des mecs me tend un sac et me dit:

— Habille toi, pétasse!

Je sors du sac des sous-vêtements féminins rouges en fausse dentelle, des bas noirs, un corset rouge en faux cuir, une perruque blonde, des pompes avec des talons d’au moins 15cm, de longs gants noirs. Je m'exécute et me look en pute comme on m'en a donné l'ordre. Ces fringues ont déjà servis, vu leur état! J'avoue que la situation m'excite, je m'imagine dans quelles circonstances ils ont été cradés!

— À genoux!

Je viens me mettre à genoux devant mes lopeurs. On me met un collier, des bracelets cuir aux poignets et aux chevilles. Je sens que ça y est, leur fameuse «soirée» commence.

— Tu vas nous montrer de quoi t'es capable avant que les potes arrivent. Ouvre bien la gueule!

Les trois meks sortent leur queues et se mettent face à moi.

— On va bien se vider et on veut rien au sol, chiottard!

Et les meks commencent direct à pisser en visant ma gueule. J'essaie au maximum de boire ce qu’on me donne mais les trois jets s’entrecroisent et naturellement, la moitié de leur pisse coule sur moi et sur mes vêtements.

— On t'a dit de tout boire, espèce de dégueulasse! Nettoie le sol!

Et un mec m’écrase d’un seul coup de pompe sur le dos pour me foutre à plat-ventre et lécher le sol. L’un d’eux termine de se vider sur mon dos.

On m'attache une chaîne à mon collier, l’autre bout est accroché à un anneau fixé dans le sol. J’ai un rayon de 60 centimètres pour bouger. Il y a un matelas posé au sol, un vieux fauteuil, une table et une vieille baignoire. Mon Maître vient devant moi, me retourne un aller-retour dans la gueule avant de me donner un coup de genoux dans le ventre.

— Ça fait pas deux heures que t'es là que les meks se plaignent déjà de toi. T'es même pas capable de boire leur pisse! Si il y a la moindre plainte ce soir, c'est moi qui interviendrai et crois-moi, tu le regretteras. Fous-toi à genoux!

À moitié tordu de douleur, je m'exécute. Il me fout sa bite dans la gueule et se vide la vessie en jets puissants; j’ai à peine le temps de déglutir mais je sais que je ne dois en aucun cas laisser la moindre goutte couler. Quand il a terminé, il me retourne et m’encule d’un coup sec. Je sens son gland me déchirer le cul et me limer violement. J’ai envie de gueuler mais je me retiens. Très rapidement, il se vide en moi, se retire et me présente sa bite à nettoyer. La forte odeur de pisse et de jus m’excite plus encore que du poppers et je me délecte des restes de sperme sur le gland de mon Maître.

— Je vous l’ai lubrifié, il est à vous!

— Tu vas ouvrir les portes la haut, Momo?

— J’y vais et je passe au foyer prévenir tout le monde.

J’entends les portes claquer, un courant d'air frais, à la fois une sorte de calme et une sorte d’anxiété d’avant «je-ne-sais-quoi».

— Montre nous ton trou!

— Fous-toi à genoux et écarte bien ta boite à jus!

À peine en position qu’un des rebeu s’approche, me fout un doigt, puis deux. Il les remue, les écarte, les enfonce, les ressort et me les met dans la gueule.

— Elle est déjà bien lubrifié la pute, j’vais lui en rajouter. Ça sera pas de trop avant ce qu’elle va se prendre!

Il se fout derrière moi et me défonce d’un coup sec. L’autre rebeu vient me foutre sa bite dans la gueule et je vois mon Maître plus loin dans un canapé en train de mater tout en picolant une bière. Même gavé dans le cul et la gueule, l’ambiance me paraît faussement calme. Bizarrement, ce calme m’inquiète! Alors que les mouvements de va-et-vient se multiplient violemment dans ma gueule et mon cul, j’entends tout d’un coup une espèce de brouhaha. Je ne vois pas ce qui arrive mais j'entends le rebeu qui était allé ouvrir les portes.

— Voilà votre trou pour la nuit les mecs, elle fera tout ce que vous voulez. Vous pouvez la baiser, l'utiliser en chiotte, en slave, ne vous retenez pas et amusez vous! On l'a jusqu’à demain midi. Y'a un tél à votre dispo si vous voulez faire venir d’autres potes...

J’ai compris que je suis mis à l’abattage; je m'y attendais. Je ne vois toujours rien et suis toujours pris par les deux trous. Le rebeu qui me défonce le cul est de plus en plus violent dans ses mouvements, il râle, je sens qu’il va venir. Un mek s'approche, me saisit un téton qu’il tire violemment. Je veux hurler, ma gueule s'ouvre sur la bite que j’ai en bouche. Le mek en profite pour s’introduire totalement au fond de ma gorge et d’un coup, je me sens rempli en fond de gorge et au fond de mon cul. Les bites se suivent, toutes les formes, toutes les longueurs. La plupart que je prends en gueule ont un goût de de macération infernal, je sens le fromton sur le gland et les mecs me baisent la gueule, me remplissent de pisse et de jus sans s'interrompre. Mon cul en prend tout autant! Je suis quasi en totale roue libre quand je suis rappelé à l'ordre par une douleur infernale aux couilles. Une main énorme vient de me les empoignées et les écrase en tirant sur les bourses comme s’il voulait les arracher!

— C'est quoi cette femelle? À quoi ça lui ser?

— À rien, répond une autre voix. Arrache-lui ça!

J’hurle un non à réveiller un mort! J'essaie de m'extirper de ce merdier. D’un seul coup, je me sens être redevenu moi-même. Les drogues, le jus, la pisse, la merde avalée sont oubliées. Je ne pense plus qu’à mon intégrité. Mon Maître arrive devant moi, je me prends un super coup de poing dans la gueule. Je tombe au sol, il me fout un coup de boots en plein dans les couilles, j’hurle.

— Faites le taire!

Un gros mec vient me foutre sa main sur la gueule, je peux à peine respirer!

— Apportez une corde et descendez la moto!

Mon maître me lève en me tenant les couilles puis me fait mettre à quatre pattes.

— Venez vous laver les mains dans son cul!

Il m'enfonce un tuyau dans le cul, je sens l'eau glaciale couler et de suite, une main entrer d un coup, puis une deuxième!

— Allez-y, c'est un lavabo!

Et il éclate de rire!

— J’veux que vous ayez les mains propres pour le latter!

Et les mains se suivent. Je peux à peine respirer, mon Maître me maintient la gueule sur sa cuisse. J’entends du bruit, ce doit être les mecs qui arrivent avec la moto. Alors que j’ai deux mains dans le cul, mon Maître me relève d’un coup. Je me tiens aussi droit que possible. Il attache la corde à mes couilles et ma bite, en faisant plusieurs tours et des nœuds bien serrés. Il file l’autre extrémité de la corde au mec près de la moto.

— Encore une connerie, la moto t'arrache les couilles!

Le moteur est mis en marche! On m'attrape les mains, on y passe une chaîne et on m’accroche au plafond.

— Vous avez envie de vous détendre? Alors allez-y, lattez aussi fort que vous souhaitez! Une fois que vous l'aurez bien attendri, vous pourrez vraiment en faire ce que vous voulez sans qu’elle vous fasse chier.

Et les coups pleuvent, je me mords la langue pour ne pas hurler. Les mecs frappent n’importe ou, n’importe comment, je sens des poings, des chaussures, des ceintures, j'en reçois dans la gueule, les couilles. Au bout d’un moment qui me paraît interminable, je perds pieds et ne suis même plus capable de me retenir à mes menottes. Je tombe uniquement retenues par celles-ci qui par la chute sont au bord de m'arracher les mains. Les coups se calment, on me détache, mais une fois au sol, le balai des bites reprends. Je suis pris de toute part, je sens qu’on me pisse à nouveau dessus.

— On l'a peut être trop attendri ta femelle. Elle réagit à peine, elle fait chier!

La phrase n'est pas terminée que je suis ramené à la réalité par mes couilles. La moto s'est mise en marche et m'a fait faire au moins 3m d’un coup!

— Elle est réveillée. Allez-y…

C'est la voix de mon Maître.

— Allez cherchez vos clebs, ça va la réveiller!

Et c'est le défilé des mecs et de leurs clebs, chacun me baisant la gueule pendant que leur chien me monte, ou me tassant le jus que leur cleb vient de me larguer au fond du trou! Je sens autant leur bites que leurs pattes qui m’arrachent la peau. Puis ça se calme tout d'un coup. Les mecs partent les uns après les autres. Au bout d'un moment, il ne reste que mon Maître et les deux arabes qui nous ont accueillis.

— Tiens, voilà la caisse! dit l'un des arabes.

— Ok comme promis, vous aurez 30%, 35 payants, plus nous, les maîtres-chiens, on les a invité.

Et puis silence, ça compte!

— Pas mal! dit l'arabe.

— Merdique tu veux dire! Si elle avait fait son boulot, y'aurait eu le triple. C'est qu’une bonne à rien, juste capable de se plaindre. Tenez voilà votre part. Je vais dormir qques heures. J’vous le laisse, payez-vous en nature, j’veux pas savoir ce que vous lui faites. Foutez-le moi dans la camionnette pour 9h. Bye!

— Merci mec! À tout à l’heure.

J’entends le bruit de la porte. Je suis seul avec les deux reubeus, toujours allongé au sol, à moitié prostré. Les deux reubeus s'approchent.

— Ça va la pute?

— Oui Maître!

— Parfait alors. Tu nettoies tout, tu finiras par nos bites!

— Oui Maître!

Et me voilà à faire le ménage alors que je tiens à peine debout! Une fois terminé, les mecs me remplissent une dernière fois la gueule de leur jus et me remontent, me foutent dans le camion. Je suis total crade et ne suis plus qu’une douleur, mais la fatigue l'emporte et je m'endors, malgré tout heureux de ma condition...

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Mercredi 4 juillet 3 04 /07 /Juil 23:46

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Aujourd'hui, tout va mal: mon père a été convoqué par le Dirlo de mon bahut à cause d'une connerie.

Je fais en effet du football américain depuis plusieurs années au lycée. Ce n'est pas courant en France et je préfère cela au foot traditionnel. Je cherchais en fait le contact. J'aurais pu aussi faire du rugby mais le foot US m'attirait davantage. Peut-être à cause du casque, de l'équipement. Toujours est-il que je n'ai jamais regretté malgré les bleus. Grâce à ce sport, j'ai pu me muscler de façon assez harmonieuse. J'ai remarqué à plusieurs reprises que je ne laissais pas indifférents les filles... et certains gars!

Dans les vestiaires, ça mate pas mal. Du coup, comme je suis un peu exhib', j'aime bien montrer mon petit cul cambré aux mecs de l'équipe mais en tout bien tout honneur!

Sauf que, pour une fois, ça a dérapé: je n'ai rien vu venir. Tout à commencé aux vestiaires après le match. Avec un pote de l'équipe, vu qu'on avait gagné la partie, on s'est un peu saoulé la gueule. Oh, pas grand chose: quelques bières mais bon, on commençait lui et moi à avoir un peu chaud... et une envie de pisser phénoménale! Ce con a voulu tout d'abord pisser dans la douche. Et moi, je lui ai dis que c'était dommage que toute cette bonne bière soit perdue!Du coup, je me suis retrouvé à genoux pendant que mon pote me pissait dessus. J'avais la trique et j'ai sorti ma bite de mon survet'. De ma position, je matais ses belles jambes poilues et musclées. J'étais attiré aussi par sa queue mais je me suis abstenu d'y toucher. Peut-être à cause de la pisse... Je ne suis pas uro mais j'avoue avoir été très excité par ce contact chaud sur mon corps. Je me vois encore en train de me branler le chibre au-dessus de ses baskets qui puaient le mâle. Mon maillot puait également mais la pisse...

Je n'ai pas eu le temps de jouir: l'entraîneur, Monsieur F., a débarqué dans le vestiaire et il nous a vus, mon pote et moi. On s'est fait engueulé. Je ne sais pas ce qui l'a mis le plus en colère: le fait que mon pote ait pissé dans le vestiaire ou qu'il nous ait surpris dans cette position. Ou les deux! Je me suis relevé. L'entraîneur a exigé de mon pote qu'il nettoie le sol. Ce dernier ne se l'est pas fait répété deux fois. Pendant qu'il astiquait le sol, j'en profitais pour prendre une bonne douche sous la surveillance étroite de Monsieur F. Il a consenti à nous relâcher, non sans nous avoir fait la morale une nouvelle fois.

Une fois rentré chez moi, j'ai pu souffler un peu. Je n'ai évidemment rien dit à mes parents pour ne pas me faire engueuler une seconde fois.

Le surlendemain, alors que j'avais entraînement avec mes coéquipiers, les Red Foxes (nom dû à la couleur rouge de notre maillot), j'ai été averti par l'entraîneur que le directeur du lycée voulait me voir. Mon sang n'a fait qu'un tour! Cette baltringue m'avait dénoncé!

Alors que je me dirigeais vers le bâtiment administratif, je vis la voiture de mon père qui stationnait sur le parking. Bon! Les deux allaient me tomber dessus! Et moi qui portais encore ce stupide maillot rouge vif! Comme ça, ils me repéreraient de loin!

J'entrais dans le bureau après avoir été annoncé. Je n'en menais pas large. Mon père était déjà là. À mon arrivée, il me regarda sévèrement. Il avait été visiblement averti à son boulot et ça ne le mettait pas en joie d'avoir été obligé d'abandonner momentanément sa chère usine. Mon père est en effet à la tête d'une assez grande boîte. Je ne le vois pas très souvent mais c'est aussi bien car on se prend régulièrement la tête tous les deux. J'allais, une nouvelle fois, avoir droit à une petite séance, avec un témoin en plus! Le Dirlo me regardait avec un sourire en coin. Quel crétin tout de même! Ça devait le faire bander de voir un gars se faire remonter les bretelles par son père. Je n'en mesurai pas à quel point.

— Votre fils s'est donc vu surprendre avec l'un de ses camarades dans les vestiaires alors qu'ils pratiquaient tous deux des actes... dont je ne saurais les qualifier autres que bestiaux! entama le directeur à l'attention de mon père.

— Quels genres d'actes? interrogea mon père.

— Et bien, je dirais que votre fils se livrait à un petit jeu fort peu ragoûtant: il se faisait uriner dessus...

— Quoi? tonna mon père. Salaud! lança-t-il à mon attention.

—... et il se masturbait! ajouta vicieusement le dirlo.

J'étais atterré! Je n'osais plus regarder ces deux hommes qui me faisaient front. Mon père était écarlate. Il desserra légèrement sa cravate afin de reprendre un peu de contenance. Le directeur était, quant à lui, toujours aussi calme.

— Heureusement que Monsieur F. est intervenu à temps. Sans quoi, Dieu sait ce que ces deux-là auraient pu inventer! D'ailleurs, je me demande si...

— Si quoi? coupa mon père. Ne me dites pas qu'ils se sont... comment dire... touchés?

— Nous n'en savons rien, Monsieur F. ne peut être formel sur ce point! Je ne peux donc pas vous dire s'il y a eu ou non... pénétration, insista étrangement le directeur sur ce dernier mot.

Mon père demeura silencieux. Le directeur continua de sa voix doucereuse:

— Il y a peut-être un moyen d'en avoir le coeur net.

Mon père fixa le directeur droit dans les yeux. À ce moment, je crus qu'ils ne faisaient plus attention à moi. Seule comptait la vérité.

— Nous pouvons facilement vérifier... certains détails... qui pourraient nous amener à supposer... qu'il n'y a pas eu viol sur votre fils. Je sais bien qu'il est majeur mais vu les circonstances... laissa-t-il la phrase en suspend.

Sur un signe de tête de mon père, le directeur se leva de son bureau et le contourna. Il se tourna vers moi et m'ordonna:

— Approchez! Plus près! Voilà, maintenant allongez vous sur le bureau... Ne soyez pas empoté voyons! Nous perdons un temps précieux, votre père et moi! Bien, vous voyez quand vous voulez! Approchez, Monsieur, pour constater je vous prie, dit-il finalement à mon père.

Ce dernier approcha. Il fit alors une chose incroyable: tandis que le directeur dégrafait mon pantalon de sport, mon père me plaqua sur le bureau afin de m'empêcher de bouger. Comme je n'avais pas esquissé le moindre mouvement, le directeur ôta mon slip, laissant apparaître mon fessier. Moi qui aimais montrer mon cul, j'étais servi! Je me trouvais dans une position franchement humiliante: j'avais les jambes écartées pendant que le directeur inspectait méticuleusement mon anus! Ce faisant, il expliquait à mon père:

— Voyez! Pas de trace de pénétration! En revanche, vous constaterez que votre fils bande comme un salaud!

Je bandais en effet malgré la situation. Mon père remarqua mon érection et me dit:

— Mais c'est qu'il aime ça en plus!

— Je remarque même un peu de sperme au bout de son gland! D'ailleurs, je dois avouer que ce liquide séminal n'est pas fait pour me déplaire! dit le directeur en portant à sa bouche le doigt sur lequel il avait recueilli un peu de ma semence. Si vous me le permettez, cher Monsieur, j'aimerais comparer avec le vôtre! ajouta-t-il.

— Mais allez-y! répondit mon père tout en se débarrassant de son pantalon et de son slip.

Le directeur se mit à genoux et entreprit de sucer la grosse queue de mon père. Pendant que papa se faisait tailler le jonc par mon dirlo, j'en profitais pour me dévêtir à mon tour et me branler à la vue de ce spectacle bandant: j'admirais les savants coups de langue que prodiguait le principal sur le sexe trapu de mon père. Celui-ci grognait comme un porc, ce qui m'excitait bien. Les couilles de papa ne furent pas oubliées non plus. Puis, les deux hommes se tournèrent vers moi:

— À ton tour de sucer nos queues! me dit papa. Pour commencer, tu vas pomper Monsieur le directeur afin de t'excuser du ton comportement regrettable d'avant hier!

Je m'assis dans le siège du principal et, pendant que mon père poussait ma tête vers le sexe en érection de mon directeur, je me branlais vigoureusement, manquant de tâcher le beau cuir sur lequel j'étais assis.

— Oui, vas-y sale pédé! éructa dans un langage peu châtié mon directeur. Oui, continue à bien m'avaler devant ton père. Montre lui à quel point tu aimes la queue! Monsieur, votre fils suce divinement bien!

— Ah oui? Il suce bien? Montre-moi cela mon garçon, dit papa.

— Voyez comment il s'y prend parfaitement bien! Sentez-vous avec quelle agilité il passe sa langue sur votre gros mandrin. Et la façon qu'il a de lécher les couilles? Absolument divin! Si vous m'autorisez, Monsieur...

— Oui?

— Je souhaiterai que ce pédé nous suce de concert afin de ressentir au même moment le plaisir... vous voyez?

— Mais bien sûr, mon cher! Tu as entendu, fiston? Tu vas sucer papa et Monsieur le directeur en même temps. Voilà! Comme çaaaa! Putain, tu suces bien mon garçon! Oui, prends nos deux bites dans la bouche! Lèche, pédé, lèche bien nos queues! Ça sent l'homme, pas vrai? Ce n'est pas avec tes potes que tu pourras avoir ce genre de braquemart, hein? Profites-en, c'est ça, te branle pas trop vite, mon lapin sinon tu vas partir...

Je me masturbais en effet comme un malade! À genoux en train de tailler les queues de ces deux seniors dont l'un était mon propre père... Jamais dans mes rêves les plus fous je n'aurais imaginé une telle scène. Je les suçais alternativement: papa, puis le directeur, puis mon père à nouveau. J'insistais particulièrement sur la bite de papa. Le directeur le remarqua:

— Je crois que votre fils préfère votre queue à la mienne... sans doute l'esprit de famille! Peut-être l'appréciera-t-il davantage dans son cul...

— Mais vous avez raison, Monsieur! Allez relève toi, mon lapin! Tu vas voir ce que papa va faire à ton cul!

Je fus ramené à ma position première, à savoir allongé sur le bureau. Cette fois-ci, c'est papa qui passa derrière moi, non pas pour inspecter mon cul mais pour l'investir.

— Je vous confirme, Monsieur Le Directeur, que mon fils est parfaitement vierge de la rondelle! C'est qu'il est même serré, le salaud! Voyez son visage crispé! Il ne peut simuler! L'honneur est donc sauf! dit mon père pendant qu'il me pinait de plus belle.

— Vous voyez bien! Je vous avais bien dis que son anus était vierge! Quoique maintenant...

C'est sûr que maintenant, je ne l'étais plus! J'avais perdu mon pucelage dans ce bureau entre un directeur vicieux et un père incestueux. Je sentais celui-ci au plus profond de moi. Sa bite coulissait dans mon cul sans aucun effort. Papa m'enculait sous les encouragements de mon directeur:

— Oui, allez-y: jouissez lui dans le cul! Déversez donc votre sperme dans son fondement!

Et tandis que Monsieur le Directeur éjaculait sur mon dos, je sentis papa se contracter une dernière fois. Il lâcha de puissants jets de foutre qui me déclenchèrent un profond orgasme. Je larguais la purée, ne pouvant retenir un râle de jouissance.

L'année scolaire s'est bien déroulée. Mon équipe a remporté le tournoi inter-lycées. Mon père est beaucoup plus présent: il ne manque plus aucun de mes matchs et tient de m'encourager. À l'occasion de la remise de la coupe, mon directeur a serré la main de mon père en le félicitant sur mes compétences sportives.

Après quoi, papa et moi allâmes en direction des vestiaires, histoire de fêter cela avec une bonne bière!

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Mercredi 4 juillet 3 04 /07 /Juil 15:48

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C'était une nuit froide de janvier, je revenais de la fac, quand j'aperçus sur le trottoir en face de moi, arriver deux blacks qui me regardèrent de la tête aux pieds. Je n'avais pas l'allure d'un petit pd, mais plutôt d'un étudiant pressé qui revenait d'une journée de cours harassante.

Les deux blacks, plutôt bien foutus, j'ai dû les mater un peu trop, tant et si bien qu'ils se retournèrent et l'un d'eux, derrière moi m'a mis la main sur l'épaule et me dit :" Dis moi gars, tu as maté mon copain un peu trop toi... tu serais pas un pd en chaleur par hasard ? Tu voudrais pas nous sucer la pine ? " Je restais estomaqué devant tellement d'audace, et j'eus soudain la trouille de ma faire violer en pleine rue, ce qui allait arriver...

Ils m'entourèrent et me poussèrent sous une porte cochère et sortirent leur bite. L'un bien monté, environ 20cm bien grosse me parut bonne, mais l'autre mandrin me fit peur, plus de 25cm, longue et bien épaisse... un vrai gourdin que je me mis à sucer de suite, car poussé par son copain, j'avalais le gland qui me fit tousser tellement il était gros... Une main sur le cul, le jeans défait, l'autre se mit à fouiller mon cul d'un doigt d'abord,me sentant serré... J'étais pris au piège sous une porte cochère avec deux blacks fortement membrés, une bite dans la bouche et le gland de l'autre sur mon trou haletant...

Me voyant dans une bonne disposition, celui de derrière commença à me lécher le cul avec sa langue râpeuse et le deuxième me défonçait la gueule... Un bruit à proximité de là où nous nous trouvions, les firent se lever, se rhabillèrent et m'embarquèrent dans le couloir de l'immeuble, nous étions chez eux... On descendit alors quelques marches et on se retrouva dans les caves de l'immeuble. Ils ouvrirent la porte d'une cave, me poussèrent à l'intérieur et fermèrent la porte à clé, me laissant seul à l'intérieur. Je commençais à flipper. Au bout de trente minutes, ils revinrent avec deux autres mecs, deux blacks aussi, plutôt balaises... Cela me fit penser que j'allais servir de vide-couilles à quatre blacks... je me sentais défaillir, quand l'un d'eux, me prit la gueule et m'enfonça son mastard dans la bouche... Les autres se déshabillèrent, ils me déshabillèrent ensuite et celui que j'avais en bouche se déshabilla également.

Les deux autres étaient bien monté également, et me dirent :"Tu vas nous servir de vide-couilles mec, on a envie que tu nous pompes et ensuite on t'encule..." Me voilà prévenu... À poil sur un matelas crade, la bite dans la bouche, deux d'entre eux commencèrent à me pisser dessus pendant que le quatrième me léchait la rondelle, il recevait de la pisse sur lui... Soudain, après avoir fini de me pisser dessus, ils sortirent une bouteille de poppers et me gazèrent avec pendant une petite minute, et je me mis à décoller, offrant mes deux trous à leurs jeux pervers. Ils se succédèrent alors dans ma bouche et mon cul offert et dilaté par le poppers et la salive du grand black...

Durant plus de trois heures, je subis leurs assauts virils, me sodomisant et me trouant la bouche de leurs grosses queues odorantes... Sans capote, je fus limé et dosé plusieurs fois, de mon trou s'échappait leur sperme, qu'ils tassaient chacun leur tour, graissé par leur foutre, ils pouvaient me limer plus facilement. Ils me faisaient ensuite nettoyer leur grosse queue par ma langue et me pissais afin de lâcher leur reste de pisse... Souillé de sperme et de pisse, ils me laissèrent repartir finalement, tout en retenant mon adresse afin de me rappeler pour une autre orgie de sexe à plusieurs.

À la porte de la cave, avant de partir, chacun me cracha sur la gueule, le glaviot dégoulinant sur mes joues et les cheveux souillés de pisse et de sperme.

À suivre...

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Mercredi 4 juillet 3 04 /07 /Juil 15:03

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Je rentrais chez moi tant bien que mal, le trou explosé, des crachats sur la gueule que j'essuyais avec mon tee shirt et du sperme dégoulinant de mon cul, cela me faisait une auréole sur mon jeans.

Il était tard quand je rentrais chez moi, je n'habitais pas tout près de là où je fus sodomisé et la route me parut interminable. Soudain, une voiture s'arrêta à ma hauteur et je reconnus au volant un des blacks qui avait abusé de moi dans la cave. Il ouvrit sa vitre et me demanda où j'allais. Il avait sans doute attendu que je parte pour me suivre et voulait sans doute recommencer une autre partie de baise…

Ce mec me demanda: « Tu vas où mec ? Je peux te conduire chez toi si tu veux, on connait ton adresse de toute façon, j'ai encore envie de ton cul de blanc bec... » Quoi dire à une telle demande, rien, je me laissais faire par mes hormones et mon désir d'être une chienne à blacks, je montais donc en voiture et on démarra. Ce mec avait été amené par les deux blacks qui m'avait enfermé dans la cave. Il était grand, fortement charpenté par de la musculation et bien monté avec une bite de 23cm. Dans la cave, il m'avait d'abord pissé dessus et envoyé sa purée dans ma bouche avant de me défoncer le cul dans toutes les positions. Ce mec savait y faire pour faire couiner une pute. Il me regarda monter en voiture et compris mon désir d'être une pute à blacks. Il me regarda d'un air entendu, et mit aussitôt sa main sur ma cuisse et mon cul. Je voyais la bosse se former sous son jeans, et il me prit la tête pour me faire courber sur cette bosse afin de humer la bonne odeur de foutre et de pisse que je lui avait fait sortir quelques minutes plus tôt. Il voulait continuer le plaisir seul avec moi encore quelques temps. Il me dit : « Tu sais mec, tu es une bonne pute, j'ai envie de te faire le trottoir mec et de me servir de toi pour mes besoins personnels de sexe. Je recherche un cul blanc comme le tien pour mes potes aussi et servir de vide-couilles. » Il me dit cela coincé sur sa bosse par sa main, et je pus répondre à son offre et me contentant de grogner, il me dit: « De toute façon tu n'as pas le choix, mec ! »

Et il me laissa respirer un peu, je le regardais et lui demandais : « Mais je vais pas être une pute à blacks toute ma vie, j'ai mes études à faire… » Je commençais à avoir peur... Il me regarda alors et me prit la gorge avec sa main et me dit : « T'es à nous maintenant mec, tu n'as plus rien à dire, on va faire de toi ce que l'on veut, mais t'inquiète pas, tu continueras à faire ta vie de ton côté mais côté cul, tu es notre pute et à notre merci. Quand on aura besoin de toi pour nous vider les couilles, tu seras obligé de venir nous les vider, c'est clair, petite pute ? » C'était très clair pour moi maintenant, j'allais servir de vide-couilles à des blacks superbement montés et cela me faisait bander, il le vit et me dit : « Tu vois, tu bandes déjà salope, tu aimes l'idée d'être offert à des mâles et d'être troué et enfoutré... Salope... »

On s'arrêta devant chez moi, il coupa le contact et on descendit. On monta les deux étages pour arriver devant le porte de mon studio, il me mit la main au cul de suite devant la porte et me fit mettre à genoux devant lui avant d'ouvrir. Il sortit alors sa queue et me la mit en bouche. Je sentais son sexe grossir dans ma bouche et le fait d'être sur le palier et qu'un voisin pouvait me voir ainsi à la merci d'un beau black me faisait bander. Il me prit les clés de mes mains, ouvrit la porte et me fit entrer dans mon appart. J'allumais la lumière et vit mieux mon black et maître maintenant… Il avait environ la trentaine, 1m85 pour 90kg environ de muscles, bien charpenté et monté 23cm bien dure et large.

Il s'avança de moi, m'enleva mon blouson, mon tee shirt taché et mon jeans. En boxer, il me fit mettre à genoux devant sa queue et me la rentra de nouveau dans la bouche, me l'enfonçant dans la gorge. J'étouffais, mais voulant faire plaisir à mon nouveau maître, je me mis à saliver dessus pour le faire glisser profondément dans ma gueule de lope et je m'attaquais au gland volumineux qui laisser couler une quantité impressionnante de mouille. Il était proche de l'éjaculation quand il me prit la tête de ses deux mains et m'enfonça son sexe à fond et se mit à décharger une coulée de foutre, avec laquelle je m'étouffais, recrachant une bonne partie, j'eus des hauts-le-coeur, mais repris aussitôt la queue en bouche pour avaler le reste de sa décharge. Six gros jets plus tard au fond du gosier, il me dit que j'étais à lui maintenant, que j'étais sa femelle et que quand il aurait besoin de moi, il m'appellerai à n'importe quelle heure et que je devrais obéir à ses ordres.

Il me dit son nom : il s'appelait Mohamed, et habitait la cité chaude de la ville où je faisais mes études. Il essuya son sexe sur mon visage, me cracha un dernier glaviot dans la bouche et je nettoyais sa queue avec. Il rangea sa bite dans son jeans, et me flatta la tête, en me disant avoir la chance de baiser une bonne pute qui avale tout et d'en faire une bonne chienne à blacks.

« Je te rappelle mec, très bientôt, j'ai des potes du Cameroun qui arrivent bientôt et ils voudront sans doute un peu de sexe pour se vider les couilles du voyage, tu seras bien docile avec eux… Je te rappelle, bâtard... »

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Mercredi 4 juillet 3 04 /07 /Juil 14:37

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Je rêvais depuis longtemps de devenir une bonne chienne, une pute à jus, soumise à toutes les queues que mon Maître me présenterait. Le problème était de trouver ce Maître. Et ça, ce n’était pas évident! Je me suis mis à fréquenter les lieux glauques... J’ai surfé des heures sur des sites hards... Après de nombreuses recherches, il m’a semblé avoir trouvé, enfin, la perle rare. Le mec avait la petite quarantaine, un look skin et sport, dominateur, bien foutu et pourvu d’une longue et large bite bien dure.

Il m’a proposé une première rencontre et on s'est vu sans baiser. Il m’a observé et questionné. Nos fantasmes respectifs coïncidaient assez bien. Il voulait une lope à son service et il m’a fait comprendre que les moments de cul avec lui seraient dénués de tendresse et de pitié.

— Tu n’es que de la viande, mec! Deux trous avec de la viande autour! Point! Avec moi, pas de blabla...

Son attitude m'excitait encore plus. Je voulais vraiment devenir SA chose. Il me fixa donc un premier rendez-vous «baise». J’ai attendu deux jours avant ce baptême du sexe avec lui. Rien qu'en pensant à ce qu’il allait me faire, mon coeur battait la chamade et mon fion mouillait et se dilatait.

— Aucun regret? Tu es toujours décidé à aller jusqu’au bout de tes fantasmes? m’a-t-il demandé.

— Oui.

— Oui qui?

— Oui, Maître!

— J’ai tout prévu pour que cette nuit soit inoubliable pour toi. Suis moi...

Il m’emmena sur un chantier désert où il avait fait venir des potes à lui.

— Tu vas connaître la meilleure nuit de ta vie, petite pute! Fous-toi à poil... Garde seulement tes boots, cockring et ton collier de chien! Installe-toi sur ces palettes... à quatre pattes, cul bien cambré...

Une fois bien installé, chatte en l'air. il prit soin de me mettre un bandeau sur les yeux et de me graisser le fion avec du gel.

— Tu ne bouges pas. Je vais chercher du mâle pour ton trou.

Je suis resté là plus de dix minutes à attendre. L’excitation était très forte. Quelqu’un pouvait me surprendre là dans cette position. Enfin, il revint avec plusieurs mecs. La sarabande commença dans mon cul: une première queue, une deuxième, une troisième... le poppers me rendait glouton et je mouillais du fion. Je sentais des giclées sur tout mon corps et le jus que je me prenais me rendait accroc.

— T’en veux encore?

— Oui, encore! J’en veux plus!

J’avais la rondelle de plus en plus dilatée, coulante de mouille et les mecs défilaient avec différents calibres mais généralement de bonne taille. Ils se succédaient en m'insultant de traînée, me crachant sur le dos. Je recevais du sperme et de la pisse. J’étais en état de grâce.

Mon maître ne me laissa jamais seul avec les mecs. Maintenant, ils arrivaient d’eux même, sans doute par le bouche-à-oreille. Mon Maître me titillait le fion entre les queues et il me faisait pomper son gros zob quand j'avais l'arrière occupé.

— On ne laisse jamais un trou vide trop longtemps! me dit-il.

Il me donnait une claque s'il n'était pas satisfait, me faisant sentir toute sa force et sa supériorité.

C’était vraiment la première fois que je jouissais de la chatte aussi fort. J’avais le fion dégoulinant et bien ouvert. Quelle sensation incroyable de soumission!

 

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Mercredi 4 juillet 3 04 /07 /Juil 12:46

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Mon voisinage est très familier avec mon style de vie. Ils savent que je suis gai, ils savent que j'ai des amis qui viennent parfois à la maison et que nous ne faisons pas que parler de football et de trucs du genre. Je ne me cache pas du fait que je sois gai, et mon quartier l'accepte assez bien. Même les jeunes ne m'embêtent pas avec ça. Ils savent que lorsque qu'il y a un gars à la maison, il doit être mon amoureux. Le fait qu'il se peut qu'il n'y soit que pour une journée, peut-être qu'ils ne le savent pas... Mais ils n'ont pas à tout savoir sur ma vie!

En tous cas. L'histoire que je veux vous raconter s'est passée il y a quelques temps déjà. Pendant l'été, je m'assure de nettoyer ma Jeep au moins une fois par semaine. Elle devient très sale car j'adore faire des tours dans le bois et sur pleins de terrains cahoteux. Or, quand je la nettoie, le fils de mes voisins vient me voir pour me parler d'actualité, de sports, et de pleins de trucs du genre. Il se nomme Lee (il est asiatique) et il doit avoir 15 ou peut-être 16 ans. Je dois dire que c'est un garçon assez joli, mais juste dans le sens qu'un enfant est "cute".

Soudainement, il commença à me poser des questions sur un gars qui était venu il y a quelques jours à le maison. Je sus immédiatement de quel homme il parlait. Je l'ai ramassé dans un bar et, pour quelques raisons que ce soit, il semblait qu'on s'aimait assez pour qu'il soit resté ici pendant quelques jours. Je ne me rappelle plus de son nom, mais Lee semblait s'en souvenir. Il me parlait de lui comme s'il l'avait connu depuis de nombreuses années!

Pendant la conversation, j'ai compris que Kevin (c'est le nom du gars que j'ai ramassé) avait pris contact avec le quartier. Il ne m'en avait pas parlé mais on ne se parlait pas beaucoup d'une façon ou d'un autre. Nous étions trop occupés à explorer nos corps! Mais j'ai compris qu'il avait été faire des avances à Lee. Je n'en croyais pas mes oreilles! Est-ce que Lee me niaisait? Pouvait-il monter tout ça? Il a du voir ma confusion, alors il m'a calmé en me disant qu'il ne sétait rien passé entre les deux. Il a dit qu'il avait dit à Kevin un "NON" fort et clair, assez pour qu'il ne recommence pas.

Ça m'a agacé un moment. J'ai essayé de dire à Lee à quel point j'étais désolé mais il m'a dit que ce n'était pas nécessaire. Soudainement je me suis demandé pourquoi Lee me parlait de cela. Lorsque je lui ai demandé, il m'a répondu qu'il croyait que Kevin l'attirait, mais qu'il connaissait quelqu'un de mieux...

Je l'avais vu marcher sur la rue avec une fille qui s'appelait Rosy donc j'ai pensé qu'il parlait de celle-ci. Comment est-ce qu'on parle à un garçon de 15 ans d'une fille? Je n'ai jamais eu d'expérience hétérosexuelle alors je lui ai dit je ne connaissais que les garçons. Il m'a surpris en me disant qu'il voulait en connaître plus à ce sujet. Comment c'est d'avoir du sexe avec un gars, quand j'ai su que j'étais gai, comment je l'ai dit à ma famille, si les gais passent leur temps à s'enculer ou s'il y a autre chose... Tous les types de questions m'ont été posées et je connaissais toutes les réponses, mais était-ce le bon moment pour parler de ça au fils de mes voisins?

C'est alors que j'ai eu une idée: je lui ai dit d'en parler à ses parents. Un regard triste apparut sur son visage. Son père était policier d'état et sa mère était connue pour cruiser les gars du quartier, alors ni un ni l'autre étaient là à la maison la plupart du temps. Lui et sa soeur devaient souvent se garder eux-mêmes. Lee et Ann étaient contents lorsque leur père revenait, ce qui procurait à la maison une autorité responsable.

J'ai dit à Lee que je devais terminer de laver la Jeep et qu'ensuite, on prendrait quelque chose à boire et que je pourrais peut-être lui dire quelque chose. Il était d'accord et il m'a aidé. Vingt minutes plus tard, il étrait assis dans mon salon. Il s'était assis dans mon fauteuil, je me suis donc assis sur le canapé. Je lui ai demandé ce qu'il voudrait boire.

— Je prendrais une bière si ça ne te dérange pas.

— Tu es sûr?

— Je peux boire de la bière, je le fais avec des amis des fois.

— Je ne veux pas que ton père sache que tu as bu de la bière dans ma maison!

— Il n'a pas besoin de le savoir! Maintenant, parle-moi plus de toi.

J'étais un peu gêné. Lee était devant moi, et j'étais sur le point de lui parler des gais.

— Tout ce que je veux savoir, c'est ce que vous faites entre vous, dit Lee.

— Et bien, on fait plein de trucs. Par exemple, on pourrait être assis, se parler et se regarder un peu... "croche"...

— Comme ça?" Lee me fit un regard indescriptible.

— Oui, un peu comme ça, répondis-je, en ayant l'air normal, mais je crois que Lee avait remarqué mon air surpris.

— Je suppose que je réussis bien là-dedans, dit-il en riant et prenant une gorgée de bière.

— Nous aimons aussi connaître l'autre un peu mieux avant de commencer à s'explorer.

Lee me regarda comme tout à l'heure, puis il se leva pour venir s'asseoir à côté de moi. Puis, il me dit:

— Salut! Je m'appelle Lee. C'est quoi ton nom?

Je n'en croyais pas mes oreilles. Ce devait être un réve! J'ai osé jeter un regard au paquet que Lee transportait entre ses jeunes jambes et j'ai remarqué qu'il était vraiment bandé... à ce moment, j'ai décidé de reprendre le contrôle. J'avais l'information nécessaire et j'ai décidé de continuer le petit jeu auquel nous jouions.

— Salut, je suis Roy et je crois que tu es vraiment sexy, lui répondis-je

J'ai alors mis ma main sur son genou pour le sentir. Ses jeans étaient chauds. Je l'ai regardé dans les yeux. Ils étaient magnifiques. Pourquoi je ne l'ai pas remarqué avant? Le bout de sa langue dépassa de sa bouche. Il voulait que je l'embrasse. Et je l'ai fait.

J'étais assis dans mon propre salon, en train d'embrasser le fils de mes voisins. Et Lee semblait aimer cela, car il m'embrassait comme s'il était en extase pour la première fois de sa vie. Le t-shirt qu'il portait devait me faire un chemin. Je voulais goûter à sa poitrine. Ma langue parcourut sa poitrine, et Lee commença à gémir lorsque je me suis attaqué à ses mamelons. J'aimais les libérer de la couche de sueur qui recouvrait ce garçon. Ce gars était et goûtait bon...

— Pourquoi laisses-tu tout cela arriver? lui dis-je. Pourquoi me rends-tu si chaud?

— Tu ne comprends pas Roy? Je t'aime! Je t'aime depuis le début. Depuis que t'es arrivé ici je te regarde. Plus je te vois, plus je te veux!

— J'ai toujours cru que tu sortais avec cette Rosy.

— C'est parce que j'étais sûr que vous étiez capable de repérer les bons gars!

— En général on peut, mais je ne t'ai pas remarqué, je ne sais pas pourquoi...

— Bon, on se connaît. C'est le moment que tu me montres ta queue!

Ce garçon ne perdait pas de temps avec moi... et j'adorais ça. Alors j'ai décendu mes jeans et ma queue est sortie d'elle-même.

— OK Lee, tu as ce que tu attendais. Suce cette queue!

— Ce n'est pas ce que j'avais en tête.

— Alors quoi, tu veux juste le regarder?

— Non, je veux que tu me fasses une faveur. Ceci est quelque chose qui hante mes fantasmes depuis très longtemps. Tu dois me promettre que tu ne riras pas de moi.

Il me rendait curieux et plus chaud en même temps.

— Je veux que tu m'ammènes dans ta salle de bains et que tu me pisses desus...

— Quoi? Je veux dire... vraiment Lee, je ne peux pas.

— Allez Roy, ne gaspille pas ce moment! Tu peux faire de moi ce que tu veux. tout ce que je désire, c'est sentir ta pisse chaude qui coule sur mon corps.

Pour être honnête, je n'ai jamais rien fait de semblable dans ma vie. Je ne savais pas si je devais aimer ou non ce moment. Je voulais seulement avoir du sexe avec ce garçon, pas lui pisser dessus. Je crois que je n'aimais pas l'idée, et en plus ma queue était encore en pleine érection semblait vouloir faire sortir du liquide blanc, pas jaune... Mais Lee était plus fort. Il m'ammena à la salle de bain et se déshabilla, à l'exception de son slip moulant blanc.

— Pendant que je suis couché sur le sol, mouille-moi, ne néglige aucune partie de mon corps, je veux goûter et sentir ton urine, alors n'oublie ma tête!

J'ai essayé de pisser mais ce n'est pas venu. Lorsque ma queue fut a demi-bandée, un jet jaune de pisse atterrit sur la poitrine de Lee. À ce même moment, Lee prit ses mains et se massa avec ma pisse. J'ai décidé de rendre les choses plus amusantes... J'ai laissé mon liquide courir sur tout son corps. J'ai pissé sur son slip, avec résultat de me révéler sa queue, ce qui m'excita davantage. À la fin, j'ai pissé sur son menton, alors il pouvait faire ce qu'il voulait. Et oui, il ouvrit la bouche! Dieu, que j'aimais ça. J'aimais pisser sur ce garçon. Ça me donnait une sensation de pouvoir et j'aimais le côté sale de mon esprit que je développais.

Lorsque Lee fut complètement couvert de ma pisse, je l'ai regardé pour voir ce qu'il faisait. Il aimait tellement ça qu'il en avait oublié tout aux alentours. Tout ce qu'il faisait, c'était de tourner, en essayant de sentir sur lui le plus de pisse qu'il le pouvait. Puis, il se mit sur le ventre et il commença à lécher l'urine qui était sur le sol. Il était présentement en train de nettoyer mon plancher avec sa langue! Son slip était toujours sur lui et j'ai décidé de les lui enlever. Lee me laissa faire. Une magnifique queue se montra à moi et j'ai regardé Lee avec un air très satisfait.

— Tu as vu qu'il n'y avait rien là, me dit Lee. Maintenant c'est ton tour!

Avant que je n'aie pu dire quoi que se soit, Lee était debout et il me poussait vers la toilette. Il m'assit sur celle-ci et se tint devant moi avec cette magnifique queue. Je n'avais pas assez de temps de m'habituer à l'idée. Une seconde plus tard un jet de pisse jaune sortit de sa queue. J'avais toujours quelques vêtements sur moi mais je m'en foutais. Tout devint mouillé, et je sentis la pisse traverser mes vêtements. Pendant que je le regardais, j'ai remarqué ma pisse qui dégoulinait toujours de son corps. Dieu, qui aurait cru que ce petit jeu m'aurait amusé à ce point?!? Tout à coup, j'ai senti une main derrière ma tête et j'ai vu la queue de Lee qui s'approchait de mon visage.

— Maintenant, tu vas goûter à quelque chose de bon. Ne gaspille pas le moment, fais juste boire, comme tu boirais ta bière.

J'aimais son style. D'habitude c'était moi qui dominait, mais j'aimais qu'il me domine. J'étais aussi son jouet, alors je ne pouvais pas lui répliquer. L'urine goûtait bizarre au début mais j'ai goûté sa vraie saveur peu de temps après. La sensation que donnait le fait de sucer Lee et nos deux pisses mélangées était indescriptible. Lorsque le jet s'est éteint, j'ai senti Lee aller et venir lentement. Il prévoyait envoyer sa dèche juste après sa pisse. Sa queue était toujours dans ma bouche, et je le laissais me défoncer tranquillement. J'étais au paradis! Et quand la dèche arriva dans ma bouche, je dois dire que le goût était le meilleur que j'ai eu de ma vie.

Après que Lee eu dèché, il recula et j'ai pu voir sa queue à nouveau. Je devais sortir ma propre queue. Je ne pouvais plu attendre. Alors que je commençais à me masturber, Lee me fit un show que je ne pourrai jamais oublier. Il a commencé à se pisser dessus avec sa queue. Sa propre pisse se mêlait à la mienne, et je l'ai vue arriver entre ses mamelons, descendre sur sa queue et ses couilles, puis finalement le long de ses longues jambes. Ce fut trop pour moi. J'ai dèché comme je n'avais jamais dèché auparavant. J'ai envoyé mon jet dans les airs et ma petite salope essaya même d'en attraper avec sa bouche. Je n'ai jamais eu une expérience aussi excitante que celle-ci. Nous avons décidé de reprendre notre souffle une minute, puis nous avons ramassé.

Je regardais Lee pendant qu'il prenait sa douche. Je crois que ce fut la première fois que j'étais amoureux d'un garçon aussi jeune. Il n'avait que 15 ans mais agissais comme s'il connaissait tout. Lorsqu'il partit, il me donna une brève léchée sur l'oreille. Il m'a remercié et j'ai pensé que ce fut la seule relation qu'il allait y avoir entre nous deux. Merci mon Dieu, j'avais tort!

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 1 commentaires
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Mercredi 4 juillet 3 04 /07 /Juil 12:40

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Depuis le remariage de ma mère, je vis avec mon beau-père et mon demi-frère. Le climat familial est quelque peu tendu, nous ne sommes pas ce qu'on pourrait appeler une famille modèle. Nous vivons dans un petit appartement situé dans un quartier pauvre d'une grande ville, et ma mère s'absente souvent plusieurs semaines pour son travail. Mon beau-père me laisse habituellement tranquille, il travaille souvent tous les jours et revient très tard la nuit, complètement bourré.

Mon demi-frère a 26 ans, 8 de plus que moi. Il a un diplôme en mécanique, mais il ne s'est jamais trouvé d'emploi. Il mesure 1m75, il a les cheveux noirs, les yeux noirs, il s'entraînait donc il est musclé, mais depuis qu'il a arrêté il a pris un peu de ventre. Quand il est à la maison, il est dans sa chambre, le demi sous-sol de l'appartement, et il boit en regardant la télé. Ma chambre est beaucoup plus petite. C'était un grand débarras, il y a de la place pour mon lit et ma penderie, un bureau et c'est tout. Étant donné que c'est mon beau-père qui paie l'appartement, je suis chanceux de pouvoir rester même si j'ai eu 18 ans le mois passé.

Je mesure 1m60, et je suis plutôt mince, les cheveux blonds, imberbe, et ma queue fait 14 cm bandé. Pas trop top pour impressionner les filles. J'suis beau quand même, mais je n'ai jamais eu de copine. Je suis un peu gêné, je n'ai pas beaucoup d'amis. Je termine mes sciences pour entrer en fac de médecine l'an prochain. Ma mère ne veut pas que je travaille, donc elle me donne ce qu'elle peut pour mes dépenses.

Ce matin, en me levant, je vois une note sur la table. Ma mère est partie pour deux semaines, elle a dit qu'elle a laissé de l'argent à Alex (mon demi-frère) pour qu'il me la donne: "Je ne voulais pas la laisser sur la table, tu connais ton beau-père..." Merde, je connais aussi mon demi-frère. Autant dire que cet argent, je l'aurai pas. J'entends un genre de râle étrange venant de la chambre du fond, mon beau-père se lève, je cache le mot. Il ouvre la porte de la chambre, il est aussi grand que son fils, l'exacte réplique avec vingt ans de plus. Il porte un slip blanc et un t-shirt. Il s'approche de moi, en se grattant l'intérieur du slip, il sent la dèche, il vient de se crosser. Il sort sa main et me fout deux petites claques sur la joue. Il prend deux secondes pour me regarder de haut en bas, je porte un boxer noir moulant.

— Ça va toi ce matin? Criss que t'es maigre.

— Oui, ça va.

— Ta mère est partie, non? Ha. Écoute, moi aussi je pars, je vais à la chasse avec mon frère pour quelques jours. Tu vas t'occuper de la maison?

Il sait très bien que son bon à rien de fils ne fera rien pour entretenir la maison.

— Oui, je vais... faire le ménage là.

— En tout cas c'est mieux d'être propre quand je reviens.

— Oui, si c'est pour m'empêcher de te voir la face pendant quelques jours, ça vaut la peine.

— Petite merde haha.

Il me claque la joue "affectueusement". Cette fois, je sens quelque chose d'humide sur ma joue. Il avait encore un peu de dèche qui lui était restée de sa crosse matinale. Je me retiens de lui exprimer mon dégoût jusqu'à ce qu'il parte, puis je cours me laver le visage à la salle de bain. Puis j'ouvre le réfrigérateur. Merde. Plus rien à manger. Bon, je dois aller voir si Alex est réveillé, et essayer de le convaincre de me donner l'argent que ma mère lui a remis pour moi.

Je cogne à la porte du demi sous-sol: pas de réponse. Je vais voir s'il est réveillé, puis sinon, j'attendrai. En ouvrant la porte, je sens un mélange de bière, de sperme, de sueur et de je ne sais quoi. De façon surprenante, l'odeur ne m'est pas tant désagréable, je me suis un peu habitué à l'odeur d'Alex depuis que je vis avec lui. La seule petite lucarne du sous-sol est couverte avec un drap, il ne fait pas très clair. Doucement, je l'appelle, avec une voix un peu tremblotante parce que je suis un peu intimidé par lui :

— Alex, t'es réveillé?

Pas de réponse, je l'entends respirer. Il dort profondément. Je ne sais pas pourquoi, mais je descends le reste de l'escalier. Arrivé en bas, je regarde un peu le déluge: Des vêtements partout, des bouteilles de bière, un équipement de hockey accroché à la porte de la garde-robe (la seule activité physique qu'Alex pratique, à part baiser des filles louches) et Alex dans son lit. Il est sur le dos, bien écarté, avec une camisole blanche usée et un slip qu'il doit porter depuis 3 jours. Il a une bosse dans son slip, je me surprends à la regarder pendant quelques secondes, puis je vois sur sa table de "travail" un verre rempli de bière. Comme il y a de la vaisselle à faire, je décide de prendre le verre et de retourner en haut en attendant qu'il se réveille. Je prends le verre et je m'apprête à mettre le pied sur la première marche...

— Ça fait longtemps que tu me mattes? (Je n'avais pas remarqué qu'il s'était réveillé)

— N... Non, heu, je veux dire, je voulais savoir si t'étais réveillé, p... parce que...

— Ça fait que tu viens me voler mon urinoir, christ de dégueulasse.

— Ton urinoir?

Je regarde le verre de bière que j'ai à la main, et ce qu'il y a dedans, ce n'est pas de la bière, ça sent la pisse et je me rends compte que ça sent fort.

— Désolé, je pensais que c'était de la bière... Je... je vais remonter faire la vaisselle... pis redescendre tantôt...

Je pose le verre sur la table, et je cours remonter l'escalier

— T'oublies pas quelque chose? Dit Alex, Vide-le pis lave-le, tu me le ramèneras en redescendant.

Au lieu de protester, ce qui serait normal, je prends le verre et je remonte. Je le pose à côté du lavabo. Je tremble, j'ai des sueurs froides. Je ne sais pas pourquoi, mais Alex m'intimide vraiment. Peut-être parce qu'il est le genre de mec que je voudrais être, plein d'assurance, qui a du succès avec les filles. En même temps non, c'est un trou de cul qui ne fait rien de sa vie. Mais pourquoi je tremble comme ça alors? Et merde, pourquoi je lui lave son verre plein de pisse? Avant de le vider, je le sens un peu, c'est une odeur rance, comme celle que j'ai sentie en entrant dans le sous-sol, mais en concentré. J'ai honte, je vide le verre dans le lavabo et je lave la vaisselle. Après, je vais enfiler un t-shirt et un jeans serrés. À peine revenu dans la cuisine, j'entends Alex qui m'appelle. Je prends son "urinoir" et je descends. Autant être gentil avec ce malade si je veux mon argent.

En arrivant en bas, je le vois assis dans son lit, il a enfilé des bas sales et tachés.

— Donne-moi le verre.

— Merde... T... Tu vas pas...

— T'es malade. T'as beaucoup trop envie de la voir, ma queue. Tu penses que j'vais la montrer à une tapette comme toi?

— J'suis pas... t'es cave[1]... Ma mère t'a donné de l'argent pour moi, y'a rien à manger et j'dois aller...

— Ouais, je sais. Dommage, tu mangeras la semaine prochaine. Ou t'as qu'à aller faire ta pute sur le trottoir. J'pense que ton petit cul pognrais[2] bien avec les vieux pervers. Haha, t'es fait, mon gars.

— Pis toi, tu vas manger quoi? T'es... t'es même pas capable de te faire cuire...

— J'vais aller au resto du coin, t'es con ou quoi? J'en ai de l'argent, moi.

Je déteste qu'il me coupe la parole chaque fois que j'essaie de dire quelque chose. On dirait qu'à chaque fois, je me sens plus nerveux. Il a une espèce de sourire fendant, les cheveux courts en bataille. Le genre de gars que je détestais au secondaire, mais en version adulte et encore plus raté. Je fuis son regard, mais je sais qu'il sait que je suis nerveux. Ça parait dans son visage qu'il a une idée derrière la tête.

— J'ai une idée, dit-il, mon père est parti pour quelques jours, non? Il t'a sûrement demandé de t'occuper de l'appart. Alors, c'est ça le deal. Tu fais la bonne. Tu fais ce que je te dis de faire, je te paie.

— T... Tu le sais que je vais le faire anyway, le ménage. Donne-moi juste mon argent et t'auras même pas à parler.

Il a un rire inquiétant, puis il dit : - Mais c'est bin plus drôle si je te bosse, et comme tu l'as dit, tu le ferais anyway.

Ma nervosité fait temporairement place à l'exaspération : - Okay, fais-toi plaisir.

— Okay, tapette, ramasse mon linge pis lave-le.

C'est rapide. De l'exaspération naissante je repasse à la nervosité, en plus d'avoir un genre de début d'excitation dans le bas-ventre. Le ton de son ordre, sa voix autoritaire en étant calme, agressive et virile... C'est la nervosité, sûrement. Je ne peux pas être excité. Je ne suis pas gai, il peut m'appeler "tapette" tant qu'il veut, quand je crosse ma petite bite, c'est pas du tout à des mecs que je pense. Et encore une fois, au lieu de protester, j'obéis. Il s'assit sur le bord de son lit et me regarde faire. Je prends le panier à linge, je ramasse les vêtements. Alex porte ses vêtements plusieurs fois avant de les laver. Ils sentent la sueur, la bière...

— T'es con ou quoi? Celui-là, je l'ai porté une fois. Sens-les avant de les mettre dans le panier.

— Quoi? Au pire je les lave tous, on s'en fout.

— Je te paie pas pour chiâler, tu veux bouffer? Alors tu fais comme je dis.

Il a raison. Je ramasse un vêtement au hasard. Merde, son jock-strap de hockey. J'hésite quelques instants, puis je le sens rapidement. Il sent vraiment fort la sueur... et la pisse? Pas de doute, il a pissé dans son jock-strap. Pendant ce temps, Alex se marre. J'ai vraiment honte. Mais l'odeur provoque une espèce de picotement dans mon boxer. Après avoir tout ramassé, je me dirige vers l'escalier.

— T'en oublie un...

Il pointe un slip entre ses deux pieds. Non, il ne se penchera pas pour me le donner. Je m'approche et je le prends. Au même moment, il se lève, et le boxer qu'il porte se frotte sur mon visage. Je disais qu'il le portait depuis trois jours? Mettez-en quatre. Et en plus, il s'est crossé dedans ce matin, un peu de dèche reste collée sur mon nez. Je lève la tête, il est beaucoup trop grand. Je suis à ses pieds, littéralement. J'aurais envie de le tuer en ce moment, mais je suis tétanisé. Il a les yeux à moitié fermés et il rit. Je pense perdre connaissance quand je vois qu'il a MON blackberry dans la main.

— Pendant que tu t'amusais à sniffer mes vêtements, j'ai pris des photos. Je viens de les envoyer sur une adresse fantôme. Après, j'aurai qu'à faire suivre à ta mère, à mon père, à tes 2 ou 3 petits amis connards qui trainent trop ici à mon goût, et à quelques autres personnes aussi. Ça serait pas mal drôle, non? Comme ça, tout le monde saurait que t'es rien qu'une criss[3] de salope qui trippe à sniffer mes vieux boxers. T'en dis quoi?

Je suis solidement dans la merde. Je ne peux pas le laisser faire ça. Je le supplie, et, comble du pathétique, je me mets à pleurer, à genoux devant lui. Il a une drôle d'étincelle dans les yeux, quelque chose de pas du tout rassurant. Et il a toujours son sourire malveillant.

— T'es vraiment une petite merde, j'ai presque pitié de toi. Mais ça me donne une idée, tiens. Si tu veux pas que j'envoie ces photos à personne, faudra que tu sois ma bonne, pis que tu fasses tout ce que j'te demande, même les choses les plus dégradantes, t'as compris?

Il a un petit rire sardonique, je le connais, il est complètement malade, je ne peux pas accepter ça.

— T... Tu veux pas qu'on essaie de s'arranger...

Il me fout une claque puissante sur la gueule. Je suis presque sonné. Il se met à crier

— JE T'AI PAS DEMANDÉ TON AVIS, JE T'AI DEMANDÉ SI T'AVAIS COMPRIS QU'À PARTIR DE MAINTENANT T'ES MA BONNE, TAPETTE.

Il prend mon blackberry et il commence à appuyer sur les touches. J'ai pas le choix. J'ai trop honte.

— Oui... je suis ta bonne, mais s'il-te-plaît n'envoie les photos à personne.

— J'vais faire ce qui me plaît, tapette. Et si tu me fais une autre demande, j'envoie aussitôt les photos. J't'explique: C'est moi qui commande. Tu ne poses pas de questions, tu fais seulement ce que je te dis. C'est pas trop dur pour ta petite tête de fif, ça?

— ... J'ai compris.

— Maintenant, il va falloir te trouver un costume qui convient à une petite merde comme toi. Lève-toi pis bouge pas.

Je me lève en tremblant, je sue à grosses gouttes. Il est toujours en camisole et boxers devant moi. Je suis au niveau de ses aisselles. Poilues, avec une odeur de mec qui a oublié son déo pendant quelques jours. Il reste là devant moi quelques instants, il me fixe intensément mais je fuis son regard. Tout à coup, il empoigne le col de mon t-shirt avec ses deux mains, il m'étrangle un peu puis d'un mouvement sec il le déchire. Je pousse un petit cri aigu. Ensuite, il prend une paire de ciseaux qui traîne pas trop loin et me les tend.

— Découpe ton jeans.

— Je... je peux juste l'enlever...

— DÉCOUPE-LE CÂLICE

Et il me crache au visage. Je porte d'instinct ma main à mon visage pour l'essuyer, mais il m'arrête en me tordant le bras.

— Tu laisse couler ça, une petite merde comme toi mériterait bien pire que deux crachats dans face.

Et il me crache encore dessus. En me concentrant pour ne pas trembler, je découpe mon jeans et je me retrouve en boxers devant Alex. À côté de lui, je suis ridicule. La force avec laquelle il a déchiré mon t-shirt, la façon dont il m'a tordu le bras. Je suis terrorisé et comme captivé par lui en même temps.

— Découpe tes boxers, maintenant.

J’hésite quelques instants, assez pour recevoir une nouvelle baffe. Je suis sûr d’avoir les marques de sa main sur la joue. Je comprends que je n’ai pas le choix. Mes boxers tombent par terre. Je suis nu, imberbe, et si bandé ma queue fait 14 cm, à plat c’est tout aussi ridicule. D’ailleurs, Alex rit maintenant très fort. Il en profite pour prendre une photo. Je sais que je ne dois pas protester.

— T’ES UNE VRAIE TAPETTE TOÉ CRISS, dit-il en continuant à rire, T’AS VRAIMENT UNE P’TITE QUEUE!

Il cesse de rire soudainement et sort de dessous les couvertures un collier et une laisse en cuir usé qui appartenaient sûrement à un chien qu’il a eu. D’ailleurs, sur la médaille, il est écrit « Propriétaire : Alex ». Il m’enfile le collier autour du cou, et je me remets à pleurer. Il prend ensuite la laisse et la tire vers le bas avec un mouvement sec

— À QUATRE PATTES, MA CHIENNE.

Il me guide et m’emmène ensuite en haut. Mes genoux s’éraflent sur l’escalier et il s’en fout, il ne fait que tirer plus fort. Il m’emmène jusqu’à la chambre de mon beau-père. (Ma mère dort dans une autre chambre, qui était avant un bureau, mon beau-père a donc la chambre des maîtres à lui tout seul.) En entrant dans la chambre, je sens la même odeur que dans le sous-sol, en plus musqué. J’ai horriblement peur. Alex me tire jusqu'à la garde-robe. À l’intérieur, plusieurs vêtements sur le sol et une odeur de dèshe incroyablement puissante.

— Ça c’est les torchons à dèshe de mon père, comme toi tu vas devenir le mien. À chaque crosse, mon père prend un vieux slip ou des shorts et se décharge dedans. Comme ça, il peut les garder toute la nuit et pas avoir froid au cul. Salope, tu les prends dans ta gueule un par un et tu me les montres, je vais choisir ta tenue d’esclave.

L’odeur est repoussante, j’en prends un qui ne semble pas trop pire dans ma gueule. Alex rit et, bien sûr, il prend une photo. Je lui montre un short de sport noir bien taché, une camisole jaunie et bien odorante, et il tire soudain sur la laisse.

— CELUI-LÀ, DANS LE FOND.

Je m’avance jusqu’au fond et je prends un slip blanc troué, taché et bien garni de dèshe séchée dans ma gueule. Ma salive trempe le slip et je peux goûter au sperme de mon beau-père. J’ai un haut-le-cœur, mais à l’idée de cette humiliation, j’ai presque une érection et ça me dégoûte.

— MET LE SLIP.

Je le mets ou du moins ce qui en reste. L’élastique est trop grand et il est troué de partout. On peut encore clairement voir mon trou et ma queue.

— Tu es bien obéissante, salope, mais maintenant j’ai envie de pisser. Tiens, dit Alex en me donnant un verre pareil à celui du sous-sol, c’est l’urinoir de mon père, tiens le devant toi pour que je me soulage. Si tu lâches le verre, tu sais ce qui t’attends. ET TU ARRÊTES DE TREMBLER.

Je suis rouge de honte. Par la fente de son boxer, Alex sort une queue au repos et pourtant presque plus grande que la mienne lorsqu’elle est en érection. Il la place au-dessus du verre et presque aussitôt un flot jaune foncé sort de sa queue. Il n’a pas relevé la peau de son prépuce, bien sûr il a fait exprès. Résultat, le quart de la pisse se retrouve sur moi. Quelques gouttes viennent jusqu’à mes lèvres, c’est amer et dégueulasse.

— Petite merde, t’en a pris la moitié sur toi, criss. Même pas capable de faire ce qu’on te dit. Tant pis. Bon, j’ai faim. Tu m’attends dans cette chambre, et tu ne te lave pas, c’est compris? T’inquiètes, cette semaine tu vas sentir la pisse en masse, et la dèshe aussi, quand ça me tentera de me servir de toi comme dompe à sperme.

Et il part en claquant la porte. Je fonds en larmes. Je ne peux pas comprendre ce qui m’arrive. Je suis devenu la salope de mon demi-frère, cette espèce de malade mental m’a pissé dessus. Et le pire, c’est qu’il fait ça par pure méchanceté : il n’a même pas eu d’érection. Parlant de cela, depuis qu’Alex est sorti de l’appartement (j’ai entendu la porte du couloir) j’ai une érection terrible. L’odeur de sa pisse, l’odeur du slip de mon beau-père. Sans penser, je me mets par terre sur le dos, en gardant la laisse. La main dans le slip, je crosse ma petite queue et pas plus d’une minute plus tard, j’éjacule dans le torchon que je porte. Puis je m’endors, exténué.

Lorsque j’ouvre les yeux, il est une heure de l’après-midi au cadran. Presqu’aussitôt, j’entends la porte de l’appartement s’ouvrir. Mon cœur fait trois tours. Qui sait ce qu’Alex va faire de moi? J’entends des pas dans le couloir, la porte de la chambre s’ouvre. Merde. Mon beau-père, qui est moins allé à la pêche que dans le bar au coin de la rue, entre complètement saoul dans la chambre. Il me regarde quelques instants, sans comprendre ce qui se passe. Puis il voit que je porte une laisse et son torchon à dèshe, et il voit aussi qu’il est humide. Il se jette sur la laisse et la tire vers le haut pour me forcer à me lever et se met à gueuler à deux pouces de mon oreille. Il empeste la bière et la sueur.

— OSTIE DE FIF, JE LE SAVAIS QUE T’ÉTAIS UN OSTIE DE DÉGUEULASSE. J’VIENS D’AVOIR DES BELLES PHOTOS DE TOI, T’ES UN OSTIE DE MALADE. TU VEUX DE LA QUEUE? TU VEUX ÊTRE UNE PETITE MERDE? TU VAS EN ÊTRE UNE. DIS-LE QUE T’ES UNE SALOPE, ALLEZ!

En pleurant, je lui réponds que oui, je suis une salope.

à continuer...

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