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fan de histoires de mec

Mardi 17 juillet 2 17 /07 /Juil 16:36

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Bonjour, je m'appelle Yohan, j'ai 16 ans. Mes parents ont divorcé et je vis avec mon père, 42 ans, et mon frère Julien, 21 ans.

Un jour que je rentrais du lycée, j'entendis des gémissements dans la chambre de mon frère (mon frère est bi et avait un copain a l'époque) et comme je n'avais jamais vu deux hommes faire l'amour, j'ai décidé de jeter un coup d'oeil. Mon frère était de dos et je le vis sodomiser quelqu'un. La vue de ces deux hommes m'excitait beaucoup alors j'ai mis ma main dans mon boxer et je me suis caressé en les regardant. J'étais à genoux et je me caressais, tout en m'enfonçant le majeur dans mon cul chaud et humide. Je me mordais les lèvres pour que l'on entende pas mes gémissements. Quand mon frère eut joui dans l'anus de son partenaire, l'homme se retourna et se mit à le sucer... Cet homme était en fait mon père. Je poussai un petit cri d'étonnement. Mon père se releva et ouvrit la porte: il me trouva à genoux, la main dans le caleçon; je ne pouvais plus bouger, j'étais pétrifié.

— Alors il te plaît le spectacle? Tu ne préfères pas y participer plutôt que de te caresser comme un égoiste?

Il me prit par le bras et m'amena dans la chambre. Julien me prit par les bras, mon père m'arracha complètement mes vêtements. Il me mit mes jambes autour de sa taille et enfonça violemment son sexe en moi. Je jouis presque instantanément, envoyant mon sperme sur mon ventre. Il m'allongea par terre et commença ses va-et-vient en moi et mon frère me tenait les mains; je ne pouvais plus bouger. Mon père faisait des va-et-vient de plus en plus rapides et de plus en plus violents. Je gémissais de plaisir, j'étais en train de me faire violer par mon père et mon frère et je me suis surpris à aimer ça.

— Regarde-moi ça! Il a l'air d'aimer ça en plus... Quelle salope! dit mon père.

Je poussais des cris de plaisir à chaque coup de reins. Mon frère me lâcha et enfonça son sexe dans ma bouche et je l'ai sucé longuement tout en lui caressant les couilles. Je lui suçais tendrement le gland et je le masturbais, puis j'enfonçais tout son sexe dans ma bouche et le pompais et il finit par jouir dans ma bouche. J'avalais tout sans en laisser à côté.

Ensuite mon père sortit son sexe et éjacula sur mon ventre. Mon frère lécha tout le sperme que j'avais sur le corps et me l'apporta aux lèvres et il m'embrassa très tendrement et lentement puis il se mit sur moi, me pénétra et fit contrairement à mon père, des va-et-vient beaucoup plus lents. Il me caressait le ventre et me suçait les tétons. Mon père se mit derrière lui et lui léchait l'anus et le sodomisa. Je mouillais comme une vraie fontaine, je ne m'arrêtais plus. Mon frère m'embrassa fougueusement. Il était complètement sur moi et m'enlaçait. Lui et moi avons gémi en même temps. Il me jouit dans le cul pendant que je me branlais. Je sentis son sperme en moi, les coups de reins de mon père étaient de plus en plus violents dans le cul de mon frère qui lui faisait de même dans mon cul. Je jouis encore une fois et mon père aussi.

Papa sortit son sexe et vint s'allonger à côté de nous. Mon frère sortit de mon cul et le suça. Je les regardais en me caressant.

— Ne reste pas comme ça, aide ton frère!

Je m'approchais de son sexe et pendant que mon frère le pompait, je suçais tendrement les couilles de mon père. Julien lui léchait le gland et je suçais la base de son sexe. Puis mon frère me laissa la bite pour moi tout seule, se mit derrière moi et m'enfonça son sexe dans mon cul. Il fit des mouvements d'abord lents et me caressait tendrement. Mon père me fit accélérer la cadence sur son sexe. Julien accéléra ses mouvements de reins, je commençais à crier, mon père vint m'embrasser.

— Alors petite salope, ce n'est pas mieux de participer plutôt que de rester dans ton coin?

Mon frère se retira de mon cul. J'enjambais mon père et Julien fit entrer le sexe de mon père dans mon trou. Je faisais des va-et-vient sur sa bite. Julien se mit derrière moi et m'enfonça son sexe dans mon anus à son tour. Il m'embrassa le cou et me malaxait les fesses; mon père me caressait, me pinçait les tétons, me traitait de pute et de salope. J'avais mal au cul mais sentir les deux bites en moi m'excitait comme jamais.

Ce soir là, mon cul et ma bouche ont reçu chacun le sperme de mon frère et de mon père et depuis à la maison, nous ne faisons plus que ça...

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 1 commentaires
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Mardi 17 juillet 2 17 /07 /Juil 14:55

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Depuis toujours mon frère m'attirait. Il se promenait toujours dans des tenues suggestives qui mettaient en valeur son corps parfait. Il ne se souciait pas des remontrances de ma mère qui le trouvait un peu trop impudique. Stéphane – c’est mon frère de 19 ans – avait dû remarquer mon émoi lorsque je le voyais à moitié nu et il en abusait. Était-ce pour s’amuser à mes dépens ou pour m’inviter à des jeux à deux? De plus en plus, je remarquais qu'il exposait ses cuisses et son bas-ventre. Je constatais que cela ne lui déplaisait pas de voir mon regard de convoitise à son égard.

Le matin, c’était la course à la salle de bain et il réussissait toujours en l’investir en premier. Il y passait de longs moments et j’attendais comme un con devant la porte; porte qu’il laissait entrouverte à plusieurs reprises de sorte que je puisse l’admirer pendant sa toilette. Son petit cul bien ferme et rond était toujours serré dans des boxers noirs ou gris. Sa poitrine musclée portait quelques poils finement couchés sur sa peau bronzée. Toutes ces visions m'excitaient terriblement. J’étais en érection presque en permanence. Plus j'étais gêné et plus il jouait son petit jeu pervers. Le soir, dans mon lit, je repassais les images entrevues et je me branlais avec force pour trouver le calme.

Un jour d’été alors que je somnolais encore, il est entré dans ma chambre, afin, me dit-il, de m'emprunter une chemise. Comme d’habitude, il ne portait presque rien et se dandinait comme une pute en chaleur.

— Je peux?

J’ai fait «oui» de la tête.

— Maman n’a pas eu le temps de m’en repasser une et... comme elle est déjà partie...

Il ouvrit mon placard et se mit à chercher. Comme il me tournait le dos, je voyais ses deux fesses bien rondes qui s’agitaient face à moi. Je me suis mis à bander et j’ai porté ma main machinalement sur ma bite.

— Eh, mec! T’as de chouettes fringues, toi! Tu les mets jamais tes frusques!

— Si!

Il sortit trois ou quatre chemises qu'il mit devant lui pour voir dans la glace l'effet obtenu. L'une d'elle retint son choix. Il se retourna et me demanda mon avis.

— Pour plaire, celle-ci, tu crois qu’elle convient?

Je n’avais encore rien répondu qu’il avait déjà enfilé le vêtement.

— Comment trouves-tu qu'elle me va?

— Elle te va très bien...

— Vrai?

— On dirait qu'elle a été faite pour toi!

Il s’agita comme une puce au pied de mon lit et mon excitation redoubla. Ma main se crispa sur ma bite et j'eu un spasme.

— Tu as un problème? dit-il. Tu as l’air tout bizarre.

— Non, ça va!

Il s'assit à côté de moi sur le lit. Son regard s'arrêta sur la bosse que faisait ma main sous les draps et s'inclina vers moi.

— Réaction du matin? murmura-t-il.

— On peut dire ça, oui!

— Moi, ça m’arrive tout le temps.

— Je sais oui.

J’en avais peut-être dit trop. Son regard devint fixe et il sourit vicieusement:

— Tu as souvent envie de me toucher, hein?... ça t'excite de me voir comme ça, à moitié à poil...

— Tu divagues!

— T’es pas excité en me regardant?!!! Alors c'est quoi cette bosse sous ton drap?

Il plongea sa main sous les draps jusqu'à ma queue. Il la palpa avec douceur.

— Ah mon, salaud... c'est pour ça que tu as la main sous les draps... pour te toucher la bite et te caresser... je te fais bander!

J’étais blême. Il tira le drap et me découvrit en entier. Il se pencha et prit ma bite dans la main droite.

— Je ne me doutais pas que tu en avais une aussi grosse! Putain, frangin, tu bandes comme un âne...tu as une sacré trique! C’est moi qui te fais cet effet?

— Toi ou autre chose! Tout ce qui est beau m’excite!

En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, il avait viré son boxer et était à poil comme moi. Il bandait ferme lui-aussi.

— Vas-y, mets-moi ta main sur mon paquet...

Je le devinais très excité. Il ouvrit les jambes en grand. Je me penchais et mis ma bouche sur sa bite pour l’embrasser.

— Tu as déjà fait des trucs comme ça? Je veux dire avec des mecs?

— Un peu, oui!

— Tu te sers de ta bouche?

— Alors mon putain de salaud, suce moi bien à fond!

— Et toi, tu l'as déjà fait?

— À ton avis?

— Oui bien sûr, avec des gars de ma classe et aussi avec des types à la sortie de l’école...

— Tu rigoles?

— Pas du tout!

— Comment, tu vas avec des types? Des adultes?

— Bien sûr, ce que tu peux être naïf! Où est le mal... Ils me filent du fric et puis je les touche, je les suce et je les fais jouir.

— Tu as déjà baisé avec eux?

— Oui... plus d'une fois... et puis merde avec tes questions. Tu me pompes, oui ou non? Regarde ma grosse tétine comme elle est belle... elle te fait bander, hein, mon salaud... tu l’auras dans ton trou tout à l'heure... Oui, je vois tes yeux qui brillent d’envie... Tout à l’heure, je vais baiser ma salope de frère... j'ai envie de ton cul!

Je me suis penché sur sa bite et l’ai prise en bouche.

— Allons, suce-la bien... Je veux qu’elle bute au fond de ta gorge! Il faut que tu apprennes si tu veux devenir un homme.

Stéphane m’avait bien baisé et nous reposions tous les deux sur mon lit. Il avait les yeux fermés et je le regardais. J’étais amoureux, c’était clair! Je me suis penché au-dessus de son torse et je lui ai donné de petits baisers.

— Hé, tu fais quoi là?

— Je t’embrasse.

— T’es malade ou quoi? C’est un truc de pédé, ça!

— Et ce que nous venons de faire alors c’est quoi?

— J’avais besoin de me vider les burnes. Un trou c’est un trou.

— Stéphane, tu es vraiment de mauvaise foi.

— Je ne veux pas passer pour une tapiole!

— Qui te demande de le faire? Nous sommes là, à l’abri des regards, à nous donner du plaisir.

— Mais tu m’embrassais!

— Parce que, moi, ça me donne du plaisir! Pas toi?

— Je ne sais pas.

— On va réessayer!

Je l’ai embrassé sur le torse, les tétons, le menton, les joues, le front, le nez et j’ai terminé sur sa bouche. Je tenais sa bite à l’œil: elle s’est dressée assez vite. Pendant qu'il se branlait la tige avec sa main droite et me caressait le trou du cul de la main gauche, j’ai continué à lui rouler des bonnes pelles bien humides.

— Tu aimes que je te branle le cul, hein, ma petite salope de frère?

— Y’a qu’à voir comme tu me fais triquer.

Il m’a mis un doigt dans le cul et a continué ses caresses. Je me tortillais de plaisir. C’était trop bon.

— Merde! Putain de bordel, c'est bon ce que tu me fais, Stéphane... J’ai tout le temps envie de toi! Ah oui, continue...

— J’ai un truc plus gros pour te faire du bien!

— Allez, viens maintenant, mets-moi ta bite dans le fion! J'ai envie! Tu n’imagines pas à quel point!

— T’as raison... s’embrasser c’est géant... ça me fait durcir le gourdin!

— Stéphane, mon mâle... viens vite, baise-moi!

Je me suis installé au-dessus de lui, le chevauchant au niveau du bassin. J’ai pris sa queue entre mes doigts et l’ai guidée jusqu'à mon trou qui n’en pouvait plus. Il s’est enfoncé doucement.

— Mmmm, ton fourreau est délicieux. J’en veux encore et encore...

— C’est mieux qu’une chatte de fille?

— J’te crois. Les filles sont trop coincées côté cul. Là, toi, tu te lâches... Tu es prêt à tout pour te faire une bite. T’es un mec avec une chatte!

— J’adore le compliment.

Il m’a pris par la taille et a commencé à me baiser en allant bien profond en moi. Moi, très salope, j’ondulais du cul. Je me penchais sur lui et lui donnais un baiser profond auquel il répondait avec passion. Nos langues se mélangeaient, se suçaient. C’était un feu d’artifice!

— Mon frère! Comme ta bite est bonne...

— J’en ai autant à dire pour ton cul, frangin! T’es une bonne chiennasse!

— Vas-y, donne moi des coups de bite! Ne ménage pas mon trou... Il en veut! Baise-moi bien profond...

Mon cul lui aspirait quasiment la tige et il se mit à me caresser la mienne. Un bien-être profond m'envahissait. Je n'étais plus qu’un trou, un trou qui n'aspire qu'à jouir.

— Oh Steph! Mon chéri... Ta queue est bonne. Elle me rend dingue. Vas-y! Baise ta chiennasse, encule-la plus fort.

Là, j’ai senti mon frère mûr pour cracher.

— Tu m’excites comme c’est pas possible, frangin! Je vais jouir... Oh oui, je largue ma purée... Viens! Jute avec moi... ah putain... je viens... ah bordel, je jouis...

Nous avons joui de concert et ce fut inoubliable... mieux que la première fois... plus intense...

Il a regardé sa montre et a juré.

— Midi! Putain, maman va rentrer! Tu imagines si elle nous chope comme ça! La honte...

Il est allé dans la salle de bain faire un peu de toilette. J’ai entendu couler la douche et je suis allé le rejoindre.

— Je peux t’accompagner?

— Et si maman rev...

— Calme! J’ai fermé la porte de la salle de bain!

— Oui mais tout de même...

J’étais déjà sous le jet brûlant à lui savonner le dos. Il était tendu.

— Eh bien mon cochon, ce que tu m'as mis... tu m'as fait jouir comme jamais. J’en ai le cul en bouillie!

— Tu as aimé à ce point? dit-il avec une pointe de fierté.

— J’espère qu’il y aura d’autres fois!

Il m’a tourné contre le mur et il s’est collé à moi par derrière. Il bandait encore.

— Viens que je te lave ta chatte de mec!

— Prends-en bien soin, mon frère, elle t’appartient maintenant.

— Je sais. Elle n’est qu’à moi... rien qu’à moi...

Et depuis ce matin d’été je suis la salope de mon frère...

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Mardi 17 juillet 2 17 /07 /Juil 09:45

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À 40 ans, je dresse depuis quelques temps maintenant, Jordan, un blondinet peu poilu de 18 ans. Nous nous sommes rencontrés un soir au bistrot du village. Nous étions les deux derniers clients et j'ai engagé la discussion en lui payant un verre. Je savais qu'il ne travaillait pas et au bout d'un moment, je lui ai proposé d'effectuer contre rémunération de petits travaux pour moi. Il accepta et ses premières tâches furent :

laver ma voiture

tondre mon gazon

repeindre mes volets, etc...

Après quelques temps, Jordan me fit comprendre qu'il aimerait bien gagner plus de sous. Je lui proposai de devenir mon escort boy. Il réfléchit un instant et malgré qu'il sortait avec Amandine, 17 ans, il accepta en se jurant de séparer ses deux liaisons. Et c'est ainsi qu'il allait devenir mon esclave.

Le premier soir, je le fis mettre à poil. Il avait un corps musclé avec une belle bite bien proportionnée et une paire de couilles énormes. Je pris sa queue entre mes mains et en lui écrasant ses couilles, je le masturbais énergiquement; il éjacula assez rapidement. Depuis ce jour, il m'accompagne quand je le lui ordonne, il doit être à mon service quand j'en éprouve le besoin. Parallèlement, il vit toujours son histoire d'amour avec sa copine.

Jusqu'au jour où je fus avec Jordan et sa copine invité pour l'anniversaire de la mère de mon petit giton. Il y avait donc là sa mère, son beau-père, sa copine, sa soeur, son beau-frère, la belle-mère de sa soeur et une voisine. La soirée était déjà bien avancée quand je décidai de passer à l'action.

— Jordan, viens ici.

Il s'approche de moi en m'implorant du regard.

— Il est temps, je crois, que tu expliques à tout le monde le sens de notre relation...

Il était rouge de honte et ne savait plus où regarder.

— Allez, vas-y, explique leur !

Il commença à balbutier et non sans mal, expliqua sa situation.

Le silence régna dans la salle, sa copine avait les yeux en pleurs. Pour leur prouver qu'il disait vrai, je lui ordonnai de se mettre en slip, il s'exécuta sans broncher et se retrouva donc en sous-vêtement devant la moitié de sa famille et de sa copine, avec laquelle il avait maintes fois fait l'amour. Je l'attirais vers moi, baissai brutalement son slip et lui claquai ses fesses; il bandait comme un taureau. Je le fis s'installer en travers de mes genoux et lui administrais devant tout le monde une fessée magistrale en lui demandant de compter chaque tape à haute voix. En se relevant, il était toujours rouge de honte mais n'en bandait pas moins. Sa copine ne savait plus que faire.

Ensuite je fis monter ma petite salope sur la table à quatre pattes, je lui lubrifiais abondamment son trou de balle et annonçai à l'assemblée que j'allais dépuceler le cul de mon esclave en lui faisant un fist fucking. C'en était trop pour Amandine qui s'enfuyait en criant. Je commençais ma pénétration avec un, puis deux, puis l'ensemble de ma main dans le cul de ma salope en astiquant de plus en plus vite. Jordan criait, pleurait, haletait, il était en transe et bandait comme un taureau. Je pris sa queue entre mes doigts et tout en limant son trou avec mon bras, je le masturbais énergiquement avec l'autre main. Tout d'un coup, Jordan lâcha un grognement profond et son corps se raidit et en même temps, il lâcha sa purée sur la table. Il transpirait comme un cochon. Je lui ordonnais de lécher son foutre, ce qu'il fit en s'appliquant comme une petite chienne.

Depuis ce jour, Amandine a quitté son copain et je ne compte plus les dérouillées qu'il s'est pris devant sa famille. En effet, sa maman ne rate pas une occasion pour dénoncer les fautes de son fils et à chaque fois, il est fessé entièrement nu devant elle et à chaque fois, il bande comme la salope qu'il est !

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Mardi 17 juillet 2 17 /07 /Juil 00:00

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Alors que je marche dans la rue, un homme me touche les fesses. Tandis que je me retourne pour protester, la main reste sur mes fesses, ne laissant aucun doute sur le désir de l'individu. Lorsque mes lèvres s'ouvrent pour protester, je ne peux dire qu'un "Monsieur, monsieur". Je suis ému que l'homme ait remarqué en moi la soumise. Mon trouble ne lui échappe pas, il me saisit par le bras et m'attire vers un porche sous lequel il entre. Là, il me sort sa queue en érection et m'ordonne de le sucer. Je m'exécute. Il semble satisfait car il me prend par les cheveux.

— Je ne m'étais pas trompé sur toi, petite salope, t'aimes les bites, hein ?

J'acquiesce.

— Viens avec moi, ma bagnole n'est pas loin.

Je suis l'homme jusqu'au parking proche de là et nous montons dans sa voiture. Il m'ordonne de le sucer puis démarre. Nous roulons une dizaine de minutes, je ne vois rien de la route car je suis penché à sucer sa bite, qui est très belle soit dit en passant. La voiture s’arrête.

— On est arrivé, descends !

Nous sommes dans un quartier résidentiel. Il me fait entrer dans un jardin. À peine passé le portail, il me fait déshabiller.

— Donne tes vêtements !

Je les lui donne. Il retourne à la voiture et jette mes fringues sur le siège arrière.

— Ici, t'en auras pas besoin.

Puis il me demande de le sucer encore et me doigte sévèrement. Je gémis.

— Ouais, t'as l'air d'une bonne chienne, on va voir ça.

Il m'attire vers la maison, mais c'est au garage qu'on va.

— Je fais pas entrer les putes chez moi, me précise-t-il.

Le garage est grand ; il y a un coin outillage, normal, et au fond un canapé et une petite table de salon ainsi qu'un frigo. Il me fait agenouiller sur le canapé.

— Écarte tes genoux et pose ta tête sur le siège.

Je m'exécute. Il commence à me bouffer le cul, puis à me doigter. Je gémis de plus en plus fort, c'est trop bon.

— T'aimes ça, salope ! T'es vraiment faite pour les bites, toi !

Là-dessus, il se dirige vers un placard, en sort de l'huile et des godes, revient et commence à jouer avec mon cul. Les godes sont de bonne taille. Au début, c’est trop bon et je gémis, mais il les manipule de plus en plus vite. J'ai du mal à tenir, j'essaie de dégager un peu mes fesses et d'interposer mes mains, ce qui le met en colère.

— Donne-toi, donne-toi salope, viens chercher ce que tu aimes, là.

La fessée tombe, mais j'adore ça, j'en gémis de plaisir et il le remarque.

— C'est pas vrai ! T'aimes ça toi... Attends un peu.

Il retourne au placard et en sort des cordelettes. Je ne suis pas chaud pour être attaché, mais là je ne sais plus où j'en suis. Par ailleurs l'homme est costaud, et en plus je n'ai pas mes vêtements. Je ne peux pas partir à poil !

Il me met les mains dans le dos et me demande d’attraper le coude du bras opposé dans mes paumes. Je m’exécute et il fixe mes avant-bras l’un contre l’autre. Une autre cordelette passe dans le creux de mon genoux. Il fait plusieurs tours, écarte ma jambe et fixe l'autre coté de la cordelette au pied du divan. Il fait pareil avec l'autre genou. J'ai les cuisses très écartées. Je crois que c'est fini, mais non, il saisit mes chevilles et les remonte vers l'extérieur de mes cuisses, ce qui a pour effet d'écarter mes fesses davantage. Je suis inquiet, je ne sais pas comment ça va se terminer, je ne bande plus. Il le remarque et reprend un gode, puis il me travaille doucement.

— T'inquiète pas, c’est comme ça que t'es belle. Je vais te faire jouir, salope. Non seulement tu vas t’en souvenir, mais tu vas en redemander.

Il me gode, j'adore ça. Je bande à nouveau et me remets à gémir. Il est content de lui. J'entends le bruit d'un vibro. Bientôt je sens l’objet qui rentre dans mon cul. C'est trop bon. Je ne m’arrête plus de gémir. L'homme est assis sur la table basse, il a allumé une cigarette et admire son œuvre : la pute attachée qui gémit dans son garage avec un vibro dans le cul !

Il finit sa clope et allume son portable. Je n'entends pas tout, mais je devine qu'il vante ses exploits, sûrement à l'un de ses potes. Je sens qu’il agite le vibro dans mon cul. C’est trop bon, je gémis de nouveau.

— Plus fort, salope, m’ordonne-t-il.

Il a mis le portable devant moi. Je gémis de nouveau. Nouvel échange avec son copain, puis il colle le portable à mon oreille. Une voix au bout du fil me dit qu'elle va venir me défoncer. Je suis inquiet. Il raccroche.

— T’inquiète pas, il est sympa, il te fera pas de mal.

L'homme essaie de me rassurer, je veux le croire... Mais il décroche à nouveau son téléphone et appelle un autre de ses potes. Je me dis : " Ils seront trois à me baiser, j'ai jamais fait de double pénétration, j'espère qu'ils ne chercheront pas à le faire." L'homme agite encore le gode, une vague de plaisir me prend et m'arrache un gémissement. Il me gode encore puis se met à me redonner des fessées. Je comprends qu'il fait écouter le bruit des fessées au téléphone. À nouveau, il plaque le téléphone sur mon oreille, cette fois l'homme promet d'amener un martinet pour corriger la putain désobéissante que je suis.

Trois coups sont tapés à la porte du garage. Le premier homme est déjà là. Il se dirige directement vers moi et sort sa bite. Il me doigte. Je gémis et entre sa bite dans ma bouche. J’entrevois mon tortionnaire qui est encore au téléphone. Ça n'en finira donc pas... Bientôt ce sont quatre hommes, je crois, qui sont là. Ils discutent, rient, se font sucer l'un après l'autre. Ils entrent leur bite profondément, je tousse plusieurs fois. Il y a un black parmi eux. Sa queue me semble longue, mais pas plus grosse que les autres. Je suis godé en permanence, c'est trop bon. Il est clair qu'ils veulent me maintenir en extrême excitation, mais sans que je jouisse, pour pouvoir passer tous leurs caprices. Je me rends compte que je bande même sans pouvoir me masturber.

À un moment, l'un d'entre eux demande à celui qui m'a récupéré s'il m'a lavé. Ils veulent que je sois lavé de l’intérieur. L'homme revient bientôt avec une bouteille d'eau en plastique et une bassine. Je veux protester, mais celui que je suce s'en rend compte et tient sa bite dans ma bouche en guise de bâillon. Je sens le contact froid de la bouteille contre mon cul, puis l'eau froide qui entre tandis que j'entends les craquements caractéristiques de la bouteille en plastique qu'on écrase. La pression augmente dans mon ventre, je suis pris d'une forte et irrésistible envie de chier. La bouteille se retire. Quel soulagement ! L'eau doit couler de mon cul, ils semblent apprécier. Une poigne prend mes cheveux et me relève. La bouteille est devant mes yeux, il manque à peine un dixième de la contenance.

— Je suis sûr que tu peux mieux faire.

Je veux protester, mais une bite revient se caler dans ma bouche. Je sens la bouteille de nouveau contre mon cul, c'est froid et la pression monte. J'ai envie de chier. Des mains tiennent mes hanches, je ne peux pas me retirer. L'homme a arrêté d'appuyer.

— C'est bon, hein ? Tu vas en prendre encore, va !

Je sens qu'il appuie la bouteille contre mon cul pour éviter les fuites. La pression monte encore. Bientôt, ça fuit par les bords du goulot. Les hommes apprécient.

— Ouais ! Belle femme-fontaine.

— Vas-y ! Mets-en encore, élargis ce cul.

La bouteille s'enlève, l'eau gicle dans la bassine.

— Salope, on va te faire un cul super accueillant.

Je sens quelque chose d’autre plaquer contre mon cul. Un bruit de sifflement puis la pression remonte à nouveau. L’envie de chier me reprend. Je ne vois pas ce qu'ils font, je suis inquiet. Le sifflement s’arrête. L'objet est plaqué fortement contre mon cul. Je gémis et je souffle à n’en plus pouvoir. Si la bite n’était pas dans ma bouche, je crierais.

— Garde tout, salope, ou gare à toi.

Puis l'objet s'enlève et des doigts se bousculent pour obturer mon anus. Je sens une queue entrer. La bite se retire de ma bouche et mes gémissements deviennent des cris répétitifs. Les hommes sont satisfaits et m’encouragent en m’insultant à hurler d’avantage. Celui qui a introduit son gland ne bouge plus. Je suppose que c’est mon maitre, enfin, celui qui m’a cueilli en ville. Mais je n’en suis pas sûr.

— Vas-y, donne-lui son coup de piston à cette salope, fait une voix.

Je continue à crier. La bite avance dans mon cul, ce qui fait monter encore la pression et redoubler mes hurlements. Heureusement, ça fuit par les côtés, c'est glissant ! De la mousse à raser! Les mecs m'ont rempli le cul de mousse à raser. Il va finir de rentrer sa bite puis les mecs vont me baiser le cul et la bouche à tour de rôle. Ils vont passer des bites et des godes dans mon cul hyper glissant et ouvert. Ça va durer je ne sais combien de temps, jusqu'à ce que l'un d'entre eux décroche encore son téléphone. Un nouveau plan ! Je ne sais pas ce qu'ils mijotent.

Je sens un gant de toilette passé sur mes fesses pour enlever la mousse, puis un gode est introduit dans mon cul et fixé par un ruban adhésif. La bite qui m'empêche de parler est remplacé par un bâillon en forme de boule qu’ils m’attachent par une sangle qui m'entoure la tête. L'homme a amené un chariot de déménagement devant le canapé. Du bruit se fait entendre à l'extérieur. La porte du garage s'ouvre. Une camionnette est stationnée, portière arrière ouverte. Ils roulent le canapé jusqu’à la camionnette et le placent à l'arrière. J'ai peur. On part. Mon « maître » est resté avec moi, il me caresse, tente de me rassurer.

— T'as pas encore joui, petite salope. Tu vas voir, tu vas pas regretter.

On s’arrête, puis marche arrière. Le canapé est sorti de la camionnette. Un autre garage ! Je vois d’autres hommes. La lumière est forte. Je ferme les yeux.

— Regarde ici.

J'ouvre les yeux. Une caméra est devant moi, j’aperçois un projecteur. J'entends la porte du garage qui se referme, le canapé est posé. Je vois des tapis par terre, c’est comme un studio. J’y crois pas ! Ils vont filmer... Je me dis : "Tant pis, bien malin celui ou celle qui me reconnaitrais dans cette situation..." Je n'ai pas le temps de réfléchir, on me prend par les cheveux.

— Écoute, petite pute. On va enlever le bâillon et tu vas gémir. Il paraît que tu fais ça bien. Et tu dis oui à tout, OK ? Gare à toi si tu sors une connerie qui me fait bousiller ma bande. OK ?

J’acquiesce.

— Allez, on y va.

Tout d'abord il ne se passe rien. Pas de discussion, peu de bruit, je devine que la caméra tourne autour de moi pour filmer la pute à son arrivée. Puis je sens le bâillon que l'on enlève et quelqu’un remue le gode à travers le ruban adhésif. C’est bon, je gémis. Celui qui m'a donné les ordres me fait signe de gémir plus fort. J'obtempère. Soudain le ruban adhésif est arraché de mon cul. Je hurle sous l'effet de la brûlure. Pour faire cesser mes cris, une bite entre dans ma bouche et va taper au fond de ma gorge. L'homme me tient par les cheveux et claque ma joue de l'autre main. Je sens des mains qui écartent mon cul. Un contact piquant contre mon trou ne me trompe pas : on me bouffe le cul ! J'adore ça. La bite dans ma bouche se retire pour me laisser gémir de plaisir. Puis je sens un gode que l'on introduit. C'est trop bon, je gémis de plus belle.

Celui qui avait sa bite dans ma bouche relève ma tête en me tirant par les cheveux et entreprend de m’embrasser sur la bouche. Je me laisse faire. Puis il tient mon visage en face de lui. Je garde la bouche ouverte, je continue de gémir. Je le regarde. C’est un bel homme, la quarantaine, musclé, il est nu. Il me claque encore la joue tandis que je gémis. Toujours droite, gauche, ma tête va de droite à gauche, je prends alors conscience qu’il y a du monde dans le garage, beaucoup de monde. Je vois des flash, des photos. Il y a quinze, peut-être vingt personnes qui sont là. Les projecteurs sont sur moi. Je comprends que je suis donné en spectacle ! D’ailleurs, il me semble que certains se masturbent. J’entends un bruit derrière moi qui me rappelle une perceuse à petite vitesse. La camera filme mon visage. Je suis inquiet. Une main tapote mes fesses, un gode entre dans mon cul toujours hyper glissant. Il bouge, s’agite. Les secousses sont fortes, c’est bon. Je gémis. Le bruit accélère, je gémis plus fort. Et plus ça accélère, plus c’est bon, plus je gémis...

— T’es une vrai chienne, me dit l’homme en face de moi.

J’acquiesce.

— Dis-le que t’es une chienne !

Je répète : "je suis une chienne."

— Plus fort, que tout le monde entende.

Je répète plus fort. Le gode sort de mon cul. Il est monté sur une perceuse à percussion qu’un mec vient présenter devant moi pour ajouter à mon humiliation. Toute l’assistance a vu ce truc me donner du plaisir, mais je ne reconnais aucun des hommes qui étaient avec moi précédemment. Des mains agrippent mes hanche mais aucune bite ne me pénètre. Mes hanches et mes épaules sont soulevées et je suis posé par terre. Deux autre hommes enlèvent le canapé.

— Tu aboies comme une chienne aussi ? Aboie !

J'obtempère, faiblement.

— Plus fort.

Je pousse un aboiement plus fort. Ça semble leur plaire. Je sens qu’un collier est passé autour de mon cou. Je ne suis pas tranquille, je suis prêt à pleurer. Un homme pose une gamelle à un mètre devant moi.

— Allez ! Va laper, me dit celui qui tient le collier.

J’avance. C’est pas facile sans les mains et sur les genoux, avec les chevilles relevées. Un homme me tient par les cheveux, ce qui m'aide. Il y a un liquide blanc au fond de la gamelle. Je lape, je n’ai pas le choix. Je n’ai pas mes mains pour me tenir et mon visage s’écrase dans la gamelle. Du lait ! Je suis rassuré et je l’aspire plus que je le lape. Je suis repris par les cheveux et relevé. À ce moment, je sens un liquide couler entre mes fesses.

— Une bonne chienne comme ça, qu'est ce que vous en pensez ? Faut la saillir, non ? Faut l'engrosser ?

La question s’adresse à l’assistance. Des oui, des noms d’oiseaux fusent tandis qu’un homme vêtu de kaki fait son entrée avec deux énormes dobermans. Là j’ai vraiment peur.

— T'en fais pas, ils sont dressés, me glisse l’homme à coté de moi. Attention, ne dis pas non ! Ne foire pas le spectacle, salope, on t’a prévenue !

Je suis pas rassuré. L’homme amène un des chiens devant moi. Il me lèche le visage. Je suis partiellement rassuré, ça n’a pas l’air d’un tueur. Puis il se couche par terre, sur le côté. L'animal est en érection !

— Suce, m’ordonne son maître.

Je m’approche de la pine longue et fine du chien, je la mets dans ma bouche et commence à la sucer comme je peux. Ce n'est pas cette taille qui va me faire mal. Je sens une langue passer sur mon anus. L’autre chien ! J’entends son maître l’encourager. Je sens les pattes sur mon bassin, puis le chien retombe. Une brûlure se fait sentir sur ma fesse, sûrement un coup de cravache.

— La femelle, baisse-toi !

Je m’exécute. Les photos fusent. L’assistance semble apprécier ce genre de spectacle. Le chien est debout à nouveau. Je sens ses pattes contre mes côtes, puis son pénis qui tape contre mon périnée, le bord de mon anus et au troisième ou quatrième coup qui entre complètement. Le chien s’excite comme un fou et bourre mon anus. Il doit jouir assez vite et se retire, sûrement satisfait. Dans tout ça, j’ai complètement oublié de sucer l’autre animal qui est resté docilement à mes pieds. Son maître l’appelle et c’est à son tour d’envoyer la purée dans mon anus. Je gémis comme une chienne, c’est le cas de le dire.

Finalement les chiens partent. Je me dis que le spectacle est fini. Je suis épuisé, je n’en peux plus d’être attaché, je me laisse tomber sur le coté, seule chose que je puisse faire. Mais à ma surprise, la boule est remise dans ma bouche. Je veux protester, mais voilà qu’on me gode à nouveau. J’ai pas encore joui, je suis encore excité et je me calme. Le gode est introduit dans mon cul puis un ruban adhésif vient à nouveau l’immobiliser. J’espère que les mecs du premier coup vont me récupérer. Mais l'homme qui semblait mener le spectacle annonce que si quelqu’un veux m’amener c’est 50 euros. Je veux protester, mais impossible, dans la position où je suis. Je vois les hommes qui discutent. Plusieurs veulent m’amener, finalement ce sont deux rebeux qui me prennent avec eux. J’ai peur. Ils sortent du garage et m’amènent dans la rue. Il fait nuit. Pour me porter, ils sont aidés par d’autre hommes qui viennent sûrement aussi d’assister au spectacle. Bien sûr, les mains baladeuses ne manquent pas, ce qui me semble de moindre importance. Ils ouvrent le coffre de leur BMW et me mettent dedans, une couverture semblant posée là à cet effet. Apparemment, ils avaient prévu de repartir avec ... la chienne du spectacle.

La voiture démarre. Je les entends qui parlent, mais je ne comprends pas. J’ai peur. Bientôt la voiture s’arrête. Il me semble qu’on est descendu dans un parking souterrain. Le coffre s’ouvre et une couverture est jetée sur moi. Ils m’extirpent du coffre. Je ne sais pas combien ils sont, au moins quatre. Ascenseur, puis appartement. La couverture est enlevée. Je suis dans une salle de bain. Le ruban adhésif est enlevé, précautionneusement cette fois. Ils enlèvent le gode et j’ai droit à un autre lavement. Nettement moins sévère que le premier, presque agréable ! Puis ils libèrent mes jambes et m’enlèvent le bâillon en me faisant signe de me taire.

— Voilà. Alors tu restes là, gentiment. Tu baises, tu gémis bien et montres que t'es bonne, puis demain matin, on te laisse partir ! OK ?

C’est pas comme si j’avais la choix. Je dis : "OK" puis ils me conduisent jusqu'à un matelas posé à même le sol et me baisent tous les quatre, mais à tour de rôle. Je les trouve doux et gentils par rapport aux hommes que j’ai croisés au cours des heures précédentes. Puis d’autres hommes vont se succéder dans cette pièce qui me semble vide à part le matelas. Et je vais gémir comme je sais le faire, je vais baiser. Les hommes m'insultent mais aucun n’est violent. Je comprends qu’ils sont au courant pour le spectacle. Je comprends aussi que ces quatre-là ont mis photo et vidéo sur Internet et me louent pour la baise.

Plus tard dans la nuit, il doit y avoir un creux car ils arrivent tous les quatre dans la chambre, nu et excité. L’un s’allonge sur le matelas et me demande de m’asseoir sur sa bite. Un second me prend la tête et m’embrasse puis me fait le sucer et exige que je prenne aussi la queue de son copain à côté. J’ai les mains toujours attachées si bien qu’ils peuvent faire comme ils veulent. Et j’ai bientôt deux bites dans la bouche, deux bites que je tête du mieux que je peux. Je sens des doigts élargir mon cul. J’aime ça. Puis bientôt le quatrième, qui se tient derrière moi, entre aussi sa bite dans mon cul. Deux dans la bouche et deux dans le cul ! Finalement, c’est une double double pénétration que j’ai. Puis ils tournent à tour de rôle dans mon cul. Je gémis. Ils ont laissé ma bouche libre pour m’entendre, m’entendre et me filmer, à tour de rôle. Finalement je jouis. Le jour commence à se lever et à ma grande surprise, ils me rendent mes vêtements. Ils me proposent de me déposer. Je leur demande où je suis. I y a une station de métro pas loin. Je les remercie et leur dis que je vais marcher un peu pour rentrer, j’en ai bien besoin. Ils vont jusqu'à me laisser leur numéro, en me disant de les appeler si je manque de sexe. Je souris et promets de les appeler. Je sors sur le palier.

— Fais gaffe aux mecs que tu rencontres, me dit l’un d'eux.

Je lui fais un signe de la main. Oui, j’ai bien compris l’avertissement. Mais je sais que quand je serai à nouveau excité, je me jetterai à nouveau avec délice dans la gueule du loup.

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Lundi 16 juillet 1 16 /07 /Juil 21:11

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Depuis toujours, j’ai toujours apprécié mon oncle. Il était gentil avec moi, très affectueux. Quelques années plus tard, il m’invite chez lui pour mes 19 ans. Je ne refusai pas car je l’avais un peu perdu de vue. Il vint me chercher et nous partîmes dans sa campagne.

Sur l’autoroute, il s’arrête pour pisser et moi aussi. J’avais un petit short moulant qui me faisait un beau cul et cela n’avait pas air de le laisser indifférent. Il sortit sa grosse en me la montrant; je lui dis qu’elle était grosse. Moi je dus baisser mon short pour pisser et mettre mon cul à l’air, Quand il eut fini, il me demanda si je savais sucer et il me présenta sa queue. Depuis ses années, j’avais acquis une bonne technique. Et le cul à l’air, je l’ai sucé. Au moment de jouir, il me retourne et présente sa queue sur mon trou. Je me suis enfoncée moi-même dessus tellement j’avais envie. Il m’a enculé à fond au milieu des chiottes.

Un gars est entré. Voyant la scène, il a sorti sa queue et me l’a enfilée dans la bouche. Quel sandwich! Ils ont joui ensemble puis nous sommes repartis. Il m’a complimenté sur mon savoir faire et m’a promis de superbes vacances.

Arrivé chez lui, je partis me doucher car j’étais rempli de sperme. Il vient avec moi pour me laver et il en profite pour m’enculer encore. Une fois lavé, il me fait venir dans sa chambre. Là, je découvre tout un tas d’accessoires. Il sort un plug énorme, me retourne à quatre pattes et m’enfonce le plug dans les fesses après m’avoir bien graissé. Ce soir, nous recevons mes voisins; tu restes comme cela, ils ont l’habitude.

Je vois arriver nos voisins: une superbe femme et un noir gigantesque. Il est en djellaba et elle est habillée en porte-jarretelles, string, sans soutien-gorge - d’ailleurs, elle n’en avait pas besoin -, et un déshabillé noir transparent. Moi je fis le service avec un pantalon fendu sur le cul, on voyait le plug, et torse nu.

La soirée commença par moi. Je dus montrer mon plug à madame qui l'a retiré et m'a doigté les fesses en disant à son mari: "Il est déjà bien ouvert!" J’étais à quatre pattes devant elle. "Écarte son déshabilé!" dit son mari. Et je vois dans le string une queue superbe et très tendue: elle fait au moins 20 sur 5. Cette charmante dame est un travelo! Elle sort sa queue et me demande de la sucer. Je m’exécute avec plaisir. Pendant ce temps, mon oncle en profite pour m’enculer à fond et le mari sort sa matraque et commence à se branler. Elle est énorme! "23 sur 7!" me dit-il. "Tu vas te régaler..." Moi j’ai un peu peur mais sa femme m’enfile sa pine au fond de la gorge et jouit et mon oncle m’arrose copieusement le boyau.

Le mari étant tendu à fond propose à mon oncle de m’enculer. Sa femme prend une pommade pour me lubrifier le cul quoique avec ce que m’a mis l’oncle, je suis bien graissé! Ils m’installent sur le divan et le mari vient se placer derrière moi. Mon oncle m’ouvre les fesses au maxi et sa femme présente son gourdin au bord de mon trou. Il commence à pousser et me demande de pousser aussi sur mon cul, comme pour chier. Je sens la bite entrer en moi. Elle me remplit et soudain, il pousse plus fort et m’ouvre en deux. J'en ai le souffle coupé! Pendant ce temps, sa femme s’est placée sous moi et me suce à fond. Mon oncle la suce aussi et le mari commence son va-et-vient. Il prend son temps, il faut que je sente toute la longueur entrer en moi. Une fois à fond, il accélère la cadence. Je jouis comme une salope tellement il me défonce et enfin il se vide en moi. Quand il se retire, sa femme me suce le cul, lui vient vers ma bouche et enfonce sa queue dedans. Je suis repu! Mon oncle me dit: "Tu es si salope que demain, on t’emmène à l’étable."

Le lendemain, nous voici partis à l’étable. Il y a un âne, deux chiens et un cheval. Je suis à poil; la femme aussi, sa queue pend sur sa cuisse. Elle me pelote le cul et me dit: "Je vais t’enculer un peu avant que je ne puisse plus!" Je me penche en avant, elle m’encule d’un coup. C’est bon d’être baisé par une femme bien montée! Son mari sort sa queue et l’encule aussi. Elle est prise entre deux, elle adore; nous jouissons comme des fous.

Après la femme se met à quatre pattes et mon oncle amène les chiens. Ils ont l’habitude car il y en un qui se couche sur le dos. La femme s’empale sur cette queue toute rouge et l’autre la monte comme une chienne; elle est prise par deux chiens ensemble. Mon oncle m’amène vers l’âne et me dit: "Caresse-le un peu, il aime..." Je m’agenouille et lui prends la bite qui grandit à chaque va-et-vient puis le mari se met derrière moi et m’encule. Depuis hier, il entre d’un coup maintenant et il me décharge dans les fesses. La queue de l’âne s’allonge, la femme jouit comme une chienne avec ses animaux et moi je jouis d’être divinement enculé. Puis mon oncle me dit: "Tu vas te faire baiser par l’âne!" Je ne veux pas mais deux coups de ceinture dans la raie me persuade facilement. Lui et le mari m’installent sous l’âne et ils prennent sa queue et la présente entre mes fesses. Je me décontracte au maxi. La femme me suce et me dit: "Laisse-toi faire, c’est très bon!"

L’âne commence à bouger et son gourdin entre en moi. Heureusement que le mari avait fait le passage car l’âne s’enfonce d’un coup de 25 cm. Je veux crier mais mon oncle a enfourné sa queue dans ma bouche, résultat: je ne peux crier et l’âne s’enfonce encore. Je croyais qu’il allait m’ouvrir en deux! Il se met à limer et je commence à aimer. Il va de plus en plus vite, il va m’éclater. J’en peux plus et enfin, il se vide. Je suis rempli, je crois que cela va ressortir par ma bouche! Quand il se retire, mon cul est défoncé et très ouvert. Le sperme coule à flot, la femme me lèche le cul pour boire le sperme de l’âne. Moi je suis défoncé, remplie de sperme.

Nous rentrons à la maison prendre un peu de repos. Mon oncle me dit que demain, je m’occuperai des autres bêtes.

Nos amis restent à coucher. La femme veux que je l’encule et son mari en profite pour m’enculer aussi. Nous nous endormons comme cela.

Le lendemain, après un solide déjeuner, nous retournons à l’étable. Flore, la femme, va directement vers les chiens et se met en position. Elle aime être prise par ces deux animaux. Mon oncle caresse la queue du mari qui ne cesse de grandir. Moi, je suis à quatre pattes en train de me branler. Puis Paul, le mari, vient vers moi et il m’encule à fond. Comme mon oncle m’avait bien préparé avant, il entre dans mon cul comme dans du beurre. Il me defonce à grands coups de queue! Flore jouit sur les deux chiens et mon oncle me décharge son jus tout chaud dans la bouche.

Ils sont prêts à m’emmener vers l’étalon. Moi je rechigne un peu. Paul me prend sur ses genoux et me fesse comme un bébé. Il m’installe sous l’animal que Flore est en train de sucer. Sa queue et très longue et très grosse. J’ai un peu peur mais mon oncle me dit: "Je vais te fister un peu avec une graisse spéciale." Il me prend les fesses avec sa main, je suis étonné de voir comment mon trou s’ouvre! Il a entré toute sa main. Il me dit: "Tu es prêt pour le cheval!" Paul m’installe et Flore prend la bite du bourrin et la présente au bord de mon cul. Elle est dure et chaude, je m’avance un peu et elle entre doucement. Mon cul s’ouvre puis l’animal pousse un peu et là mes amis, je suis rempli de 20 cm et il pousse encore 10 cm; je crois qu’elle va sortir par ma bouche! Il commence un peu ses va-et-vient et mon cul s’ouvre à fond. Je jouis tellement que je ne sens pas la première giclée de son sperme puis il me remplit de son jus. Cela me fait jouir encore plus. Il ressort mon cul, relache tout le sperme englouti. Flore se précipite vers moi pour prendre cette douche et mon oncle me dit: "Tu as aimé?" Je lui fais signe que oui en me levant difficilement mais je lui ai demandé de rester chez lui plus longtemps et d'inviter les voisins qui étaient très heureux d’avoir trouvé une nouvelle pute à remplir.

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Lundi 16 juillet 1 16 /07 /Juil 03:37

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Le couple d’ami qui m’entretenait aussi bien côté cul que côté bouche proposa à mon oncle de m’envoyer faire un stage au couvent des sœurs qui se trouvait pas très loin. Ils connaissaient le directeur du couvent qui leur avait demandé à me connaître. Mon oncle se dit que c’était là un moyen de gagner un peu d’argent. Il accepta.

Je fus conduis au couvent où m’attendait le père supérieur et la mère supérieure. Ils ont demandé aux amis si je savais ce que j’allais faire, ils répondirent non. Je ne pouvais entrer sans passer une visite médicale poussée! La mère supérieure m’emmena dans le cabinet et me fit déshabiller. Une fois à poil, elle s’aperçut que j’avais un gros gode dans les fesses qu’elle retira sans ménagement puis elle demanda:

— Il est profond?

— Très! répondis le copain.

Elle me fit allonger sur une table génécologique avec les jambes bien relevées puis elle relève sa bure et vient s’asseoir sur ma bouche.

— Voyons comment il suce!

J’avais ses poils de chatte qui rentraient dans ma bouche et elle mouillait comme une salope. Pendant ce temps, le copain lui en profita pour m’enculer à fond. C’était super! La femme suçait le cul de son mari quand arriva le père supérieur qui en profita pour enculer la femme. Tout le monde était rempli! Après cet intermède, je découvris la queue du père qui était énorme, un vrai cheval! Après avoir enculé la femme, il vint m’enculer aussi et la soeur se faisait baiser par la femme. L’examen fut concluant, ils veulent me garder une semaine.

Le soir, je fus présenté à l’assemblée, habillée d’une bure trouée pour laisser passer ma queue, mon cul. Je dus parcourir la salle pour me montrer et me faire monter au passage car les moines étaient tous noirs et membrés comme des ânes. En un rien de temps, je fus remplie de sperme autant dans la bouche que dans le cul. Après avoir satisfait tout le monde, 23 quand même, je fus attaché à quatre pattes au milieu de la pièce et un moine amena deux gros chiens que je dus d’abord sucer et puis me faire monter. Leurs queues étaient très raides mais elles entraient facilement; avec ce que j’avais pris dans le cul, ça glissait bien! Je sentais le chien et ils m’ont demandé d’aboyer comme une chienne. Je pris un peu de repos tout en continuant de recevoir du sperme dans ma bouche.

Puis, en fin de soirée, cela a débordé. Ils voulaient m’enculer à deux, à trois, enfin tous! Un des moines qui devait faire au moins 2m se mit sur le dos et je dus sucer son manche de pioche énorme. Il était très raide, je me suis empalé dessus, il m’a défoncé à fond puis il m’a penché en avant pour que je suce un moine puis je sentis une queue énorme aussi s’appuyer sur mon cul. La place était prise mais il a voulu entrer aussi et petit à petit, mon cul s’est ouvert encore plus. Pour finir, j’étais enculé par des moines avec des matraques énormes. Ils ont déchargé un flot de spermes; je n’en pouvais plus.

Après un temps de répit, ils ont inspecté mon cul et m'ont emmenée à l’écurie où se trouvait un cheval. Ils m’ont fait sucer le cheval qui m’a rempli de sperme tellement il en avait puis avec un sac sur le dos, ils m’ont installé sous le cheval et ils ont branlé la bête. Sa queue énorme reprit de la vigueur et je la sentais battre sur mon cul. Un moine présenta la queue au bord de mon trou et le cheval m’encula d’un coup. J’ai cru que j’étais fendu en deux avec trente centimètres de chair bien chaude dans mon cul. Il allait et venait puis il s’enfonça plus et je reçus une décharge de sperme énorme. Puis il se retira, emmenant avec lui une grosse quantité de jute. J’étais mort, les moines me ramenèrent dans une chambre et ils m’ont enfoncé une bouteille de coca d’un litre dans le cul et je dus dormir avec. J’étais trop fatigué pour protester puis j’aime bien être défoncé.

Les autres jours de la semaine, ils m’ont baisé sans arrêt, même avec les chiens. Le chien m’enculait en même temps que son maître. Mon cul était très ouvert car cela ce terminait toujours de la même façon.

À la fin de semaine, ils m’ont attaché sur une croix et ils se sont vidés les couilles les uns après les autres puis ils m’ont fouetté avec un fouet spécial qui est fait da lanière très longues et larges. Le moine était très adroit car il m’a fouetté que dans la raie qu’ils avaient pris soin d’écarter au maximum. Je sentais les lèvres de mon cul se gonfler et quand il s’arrêtait, un moine m’enculait. Quel délice! Je venais de découvrir qu’un coup de fouet dans la raie du cul provoquait la jouissance...

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Lundi 16 juillet 1 16 /07 /Juil 00:11

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En revenant du travail, mon père m'avait surpris en train de regarder une cassette porno SM gay. En voyant des mecs à poil en train de baiser, il était entré dans une colère noire et m'avait envoyé dormir dans le garage sur un matelas pliant.

— Je ne peux plus tolérer la présence d’un être pervers sous mon toit!

Au milieu de la nuit, je fus réveillé par la lumière du garage.

— Debout gros cochon!

— Papa!?

— Tais-toi... J’ai à te parler. Je m’attendais à découvrir ça un jour... J’ai toujours su que tu étais un...

— Je ne l’ai pas voulu, ‘Pa!

— Ta gueule, espèce de malade! J'ai regardé la cassette que tu visionnais. Pas très net tout ça! Visiblement les mecs soumis ça t'excite! C’est ça, ça t’excite?

—...

— Réponds moi!

— Oui, un peu.

— Un peu, tu parles! C’est quoi qui t’excite...

—...

— Allez, déballe-moi ce que tu as sur le coeur. Je t’en donne l’occasion.

— C’est venu comme ça... Je n’ai pas chercher...

— C’est les grosses bites qui t’excitent?

—... oui!

— Le jus qui te coule sur la gueule?

— Aussi.

— Qu’on te donne des ordres?

— Personne ne l’a encore fait. C’est juste un fantasme!

— Ta nature est ainsi faite, hein? Moi, je crois que tu es dépravé et pervers. Les mecs comme toi en veulent toujours plus. La masturbation est insuffisante pour les satisfaire alors ils passent à l’acte n’importe où et avec n’importe qui. Tu as envie de te faire démolir par un malade?! C’est ça?

— Non, je...

— Je t’ai dit de la fermer. Personne ne t’a donné des ordres. Ça va changer... Pour éviter de te voir tomber sur des malades, je suis prêt à satisfaire tes fantasmes...

Je n’en revenais pas. Mon père me proposait de... Non, ce n’était pas possible!

— Je vais te dire ceci: si j’accepte de m’occuper de toi, tu as intérêt à y mettre du tien!

— Papa, je...

— Tu vas signer ceci. J’ai rédigé un contrat. Je te laisse le temps de le lire. Ce contrat c’est une chance pour un garçon comme toi! Je vais devenir ton Maître... ta Loi... Il va falloir que tu me mérites!

Mes yeux balayaient la feuille où il avait dressé ses règles. Mon père avait pensé à tout. Je n’en revenais pas encore.

— Ta décision!?

— Je... Papa, tu...

— Stop! J'exige d'abord que tu me vouvoies et m'appelle Maître en privé.

— Bien entendu!

— En public le vouvoiement suffira. Je vais me charger de toute ton éducation. Je te choisirai tes vêtements. Tu as toujours eu des goûts vestimentaires douteux. En ce qui concerne la maison, si tu décides de continuer à vivre ici avec mes règles, tu t'occuperas de la plupart des tâches ménagères. En bas de la page, j'ai laissé de la place pour ajouter quelques petites choses au fur et à mesure quand elles me viendront à l’esprit!

— Oui, ‘pa!

Sa main claqua. Une gifle venait de m’atteindre au visage.

— Oui, Maître!

— Oui, Maître! Pardonnez-moi, Maître!

— Voilà qui est mieux. Essaie de te rappeler de cette leçon. La prochaine fois, je ne serai pas aussi magnanime. Les punitions suivantes risquent d’être plus lourdes. J'espère que tu as compris. Signe ce contrat ou fous le camp immédiatement de MA maison.

Je n’ai pas eu le loisir d’hésiter longtemps. Avec mes 18 ans et ma carrure de pain baguette, que pouvais-je faire en dehors de ma maison?

— Je vais signer le contrat, Maître!

— Bien, mets-toi à poil maintenant.

Je me suis donc dénudé. Mon père s’est mis à tourner autour de moi en ricanant. J’étais pétrifié.

— Ton trou a déjà servi?

— Euh...

— Réponds vite ou je te cogne.

— Oui.

— À quatre pattes, je vais l’essayer...

En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, j’étais à quatre pattes et il m’enfonçait sa queue dans le cul. Il n’a pas été tendre avec moi. J’ai eu droit à une bonne enculade virile et brutale. Je gémissais de mal mais il ne s’est pas occupé de ça. Il ne portait pas de capote et il m’a dosé le cul avec une bonne rasade de jus.

— Mets ça!

Il m’a tendu le tablier que notre femme de ménage mettait pour faire son travail.

— Je vais dire à Simone de ne plus venir! Ce sera inutile d’avoir deux femmes de ménage en même temps.

Il s’est esclaffé en me voyant ainsi vêtu. Comme la situation avilissante m’excitait un peu, j’ai commencé à bander. Mon sexe tendu déformait le tablier.

— Je vais remédier à cette bosse disgracieuse. Une boniche ne doit pas montrer ses envies. Tu peux comprendre ça, ma chienne?

— Oui, Maître!

— N’est-ce pas mieux que dans tes putains de films, ça?

— Si, Maître!

— Pour revenir à tes envies, ta seule envie dorénavant sera de me faire plaisir.

— Oui, Maître!

— Enfile ce cycliste moulant en tirant bien ta petite queue en arrière que je ne la voie pas. Ce serait triste de devoir la couper!

Il s’est mis à rire aux éclats. J’ai frissonné.

Ce jour-là, j’ai travaillé comme un forcené dans la cuisine pour tout faire briller. Mon père m’a surveillé sans faillir à sa tâche de Maître. Vers 17h30, il m’a dit d’enlever mon tablier et d’enfiler un manteau. Il m’a emmené dans un magasin de vêtements que tient un de ses amis. Ce type est aussi fêlé que lui.

J’ai voyagé dans le coffre de la voiture. Je portais toujours le cycliste. À cette heure-là, dans notre petite ville, tout était désert. Il m’a fait sortir du coffre et a crié:

— File droit, hein!

Je me suis rapidement dirigé au rayon Hommes quand il m’a rattrapé et m’a conduit au rayon Femmes. J’ai vu à son sourire que son copain était au courant de ce qui se passait. Il lui a demandé s’il connaissait mes mensurations ou s’il fallait les reprendre.

— C’est la première fois que j’achète des vêtements pour ma petite salope!

J’ai baissé la tête, j’étais rouge de honte.

— Mon vendeur va s’occuper de vous! a dit le patron.

Le vendeur, qui n’est autre que son fils, semblait très amusé en prenant mes mesures et il proposa plusieurs modèles de vêtements féminins que je dus essayer dans une cabine. J’ai essayé une dizaine de vêtements et sous-vêtements que mon père a achetés. Rien que des frusques de pute! J’étais effondré...

— Vous la trouvez comment ma pute? a demandé mon père au vendeur.

— Très excitante dans cette tenue.

— Vous auriez envie de la baiser?

— Tout à fait!

— Alors faites-le! Baisez-la dans la cabine d’essayage. Ne vous gênez surtout pas.

Le marchand m’a fait un clin d’oeil et a fermé la porte du magasin.

— Hugo, le client est roi! Fais ce que demande monsieur! a-t-il dit à son fils.

Hugo a sorti sa queue, y a déroulé une capote puis m’a collé contre la paroi de la cabine pour me l’enfiler jusqu’aux couilles. Il respirait fort en me donnant ses coups de reins bien virils. Comme je gémissais, il m’a demandé:

— Tu aimes, hein?

— Oui, j’adore. Elle est bien dure. Je la sens bien jusqu’au fond.

Pas de préambule! Pas d’état d’âme! Lorsque le fils a eu terminé, le père l’a suivi. Pendant ce temps, mon père continuait à me choisir des vêtements.

— Je voudrais que ma pute essaie ce short en jeans. Lorsque son cul sera libéré...

Le marchand se cabra et jouit à son tour. Ses mains se crispèrent sur mes hanches jusqu’à y laisser leur empreinte. Le cul douloureux, je suis sorti de la cabine et Hugo m’a tendu le short en jeans. Il était très serrant mais c’était ce que mon père voulait.

— J’aimerais que la couture arrière soit défaite. Ainsi il pourra le porter tout en exhibant sa raie de salope.

En quittant le magasin, papa a laisse notre adresse au fils du marchand qui a promis de venir nous livrer nos achats après sa journée de travail.

— Tu pourras bien t’occuper de cette petite chienne! Je suppose que ça te fait envie?

— Oh, oui, monsieur!

— Tu m’as l’air d’aimer le sexe!

— Beaucoup, oui!

— Filles? Garçons?

— Les deux!

— Tu trouves aussi que les mecs sucent mieux?!

— Oui.

— Ma pute va bien te pomper. Tu viendras?

— Je ne veux pas rater ça pour tout l’or du monde.

— À l’occasion, si ça t’a plu, tu pourras même nous amener des amis à toi...

De retour à la maison, j’ai du m'habiller avec quelques sous-vêtements que nous avons ramenés nous même: slip de dentelle et bas noirs.

— Comment vais-je donc bien pouvoir t'appeler maintenant? Il te faut un nom à la mesure de ta condition! Tu es bien d’accord?

— Oui, Maître!

— Lopette. C’est bien Lopette! Tu aimes?

— Oh oui, Maître!

— Tu pourrais dire merci pour ce divin surnom.

— Merci, Maître!

— Allez, file à la cuisine nous préparer un bon repas!

— Oui, Maître...

Je me suis très vite mis au travail et alors que j’étais à la cuisine en train d'éplucher des légumes, papa est venu se mettre derrière moi. Il a passé entre mes fesses puis mes cuisses et m’a caressé le sexe déjà tendu.

— Tu bandes encore, ma petite chienne. Je devrais être très fâché d’avoir une petite femelle désobéissante! Ça t'excite d'être traitée comme une boniche, hein? Allez, à quatre pattes... Viens me lécher la bosse à travers le pantalon!

Mon père bandait très ferme et j’ai commencé à frotter mon nez et mes joues contre sa grosse bosse.

— Mmmmm, c’est si dur!

— Qui t’a permis de donner ton avis?

Une gifle magistrale m’a rappelle à l’ordre. Désormais je ne pouvais plus avoir d’avis, d’envie, de désirs... À genoux devant mon père et Maître, je lèche sa braguette tandis qu'il me saisissait les cheveux et accélérait le mouvement.

— Tu fais bien ça, ma pute! On voit que tu regardais beaucoup de films cochons... Mais je constate avec horreur que tu bandes encore plus! Allez! me dit-il, viens avec moi à la salle de bain. Ôte ta culotte.

Il fit couler de l'eau froide, presque glacée et me passa le pénis sous l'eau. Ce qui arrêta rapidement mon érection indésirable.

— Je n'allais quand même pas te laisser comme cela! Nous allons avoir de la visite. Tu sais le beau garçon du magasin?

— Oui, Maître!

— Il t’a déjà bien baisé, n’est-ce pas? Il va bien s’occuper de toi, tu sais! Il avait l’air très excité. Bon maintenant je vais te maquiller, ce ne sera pas du luxe! Une pute ça doit être excitant! Regarde bien comment il faut s'y prendre car dans quelques jours il faudra que tu te débrouilles toute seule.

Mon père m’a maquillé. C’était difficile à tolérer mais je n’avais pas le choix.

J’ai repris la préparation du repas qui fut prêt quand la sonnette de la porte d'entrée retenti.

— Va ouvrir, Lopette!

Je tremblais autant d’excitation que de peur. La personne qui venait de sonner pouvait très bien être un voisin ou un ami. J'ai donc ouvert le regard bas. C’était Hugo, le type du magasin.

Hugo est un beau garçon très viril et entreprenant. Dès qu’il est entré, il me passe une main sur les fesses et me sourit. Je le trouve craquant. Je lui roule une pelle.

— Qui t'a donné la permission de l'embrasser? Tu n'es qu'une salope qui ne sait que se faire baiser. Tu mériterais que je téléphone à tous mes amis pour qu’ils viennent te prendre, t'enculer les uns après les autres. Tu n’est bon qu’à faire ça, la pute.

Mon père est furieux et il m’ assène une gifle magistrale, m'attrape par les cheveux et me tire vers la cuisine.

— Suivez-moi, jeune homme!

Papa m’installe à genoux au centre de la cuisine.

— Jeune homme, ne le laissez jamais refaire ce qu’il a fait! Punissez-le...

Hugo est un peu perdu mais très vite il va se prendre au jeu. Ce garçon est un vrai vicelard. Il se place devant moi et me gifle plus fort que mon père. Puis, il me tend sa main:

— Lèche! Lèche la main qui t’a puni...

— Tu apprendras qu'à partir de maintenant, tu ne roules de pelles à personne. À personne, entends-tu?

— Oui, Maître! Lève-toi.

Il me prend par le bras et me plie en deux au-dessus de la table de cuisine. Je me rends compte que j'ai une érection qui ne doit pas passer inaperçue. Je crains des retombées. Ai-je la permission de bander?

— Jeune homme, aujourd’hui, vous pourrez tout utiliser sauf ceci... son trou... Je sais qu’il en meurt d’envie, qu’il veut votre queue bien dure au fond de sa chatte... Il n’en sera rien ce soir! Pour éviter toute tentation, vous allez lui fourrer ce plug dans l’endroit interdit.

— Bien, Monsieur! a répondu Hugo que je sentais tout aussi déçu que moi.

— Vous êtes déçu, n’est-ce pas? demanda papa.

— Un peu mais il a un autre trou. Il y a tant de choses à faire avec une bonne salope.

— Vous avez raison. La salope est à vous...

Mon père est resté en retrait et a regardé Hugo s’occuper de moi. Celui-ci a directement pris la direction des «opérations».

— Accroupis-toi... face à moi.

— Oui, Maître!

— Suce! Salive bien avant de recevoir ce plug dans le fion.

Je me suis donc agenouillé devant lui. J’ai reçu une autre gifle.

— J’ai pas dit à genoux... Accroupis... cul cambré...

J’ai ajusté ma position. J’ai avancé la tête vers le plug qu’il me tendait. J’ai ouvert la bouche et j’ai sucé longuement le plug. Lentement, en le regardant droit dans les yeux, je faisais coulisser le plug dans ma bouche et je le lubrifiais de ma salive. Mon père s’est appuyé contre la table à un mètre de nous. Je sentais son regard vicieux analyser chaque geste, chaque attitude. Dans ma position accroupie, j'écartais les cuisses et ma raie s’ouvrait largement.

— C’est bon! Fourre-le dans ta chatte!

Je n’osais pas quitter le regard d’Hugo et, toujours en le regardant droit dans les yeux, je me suis entré le plug dans le cul. L’engin étant assez gros, j’ai eu certaines difficultés à l’accepter du premier coup. Mon père est intervenu:

— Tu traînes, salope! Tu vas te prendre une râclée...

Le plug est entré complètement en m’arrachant un petit cri de douleur. Un sourire se dessine sur le visage de mon nouveau Maître.

— Fais gonfler ma bite!

À travers la toile du pantalon, d’abord avec mon visage puis avec mes mains, j’ai palpé sa bite. Rien qu’en le touchant de cette façon, je devinais que son sexe était magnifique. Dur, long et vigoureux.

— Suce ma grosse banane!

J’ai pu enfin sortir sa queue bien raide et je l’ai embouchée.

— Branle-toi le cul avec le plug... mais attention, en douceur! a dit mon père.

— Merci, Maître!

J’avais donc les deux trous remplis et en phase de limage. La bite de Hugo coulissait vigoureusement entre mes lèvres pour envahir le fond de ma gorge et mon cul était rempli par ce plug bien rond. Mon père ne perdait évidemment pas une miette de la scène.

— On va prendre la voiture et aller faire ça en extérieur! a lancé mon père.

La tête du brave Hugo!

— Pardon?

— Si tu veux t’occuper de MA lope, va falloir accepter certaines conditions, jeune homme! Allez, en route!

Nous sommes donc montés dans la voiture. Papa à l’avant et nous à l’arrière. J’ai reçu l’ordre de pomper à quatre pattes, mon cul presque collé à la vitre. Heureusement, il n'y avait pas grand monde dans les rues à cette heure-là! Mo père prenait tout de même un malin plaisir à passer dans les endroits qui risquaient d’être plus fréquentés.

— Il suce bien?

— Oui, M’sieur!

— Il la prend au fond...?

— Le plus souvent, oui!

— C’est pas le plus souvent qu’il doit le faire, c’est toujours! S’il manque à son devoir, tu le punis!

— D’accord!

Je me suis appliqué à sucer le mieux possible Hugo qui trouillait autant que moi. Il bandait bien mais je le sentais tendu. De mon côté, dans ma position, j’avais peur de perdre mon plug. Je sentais les contractions de mon cul qui essayait de le maintenir bien en place.

— Tu es capable de jouir plusieurs fois de suite? demanda mon père.

— Oui. J’ai une bonne capacité de récupération! répondit le garçon.

— Alors, jouis-lui dans et sur la gueule dès maintenant... Je veux qu’il soit inondé tout au long de la nuit.

Et Hugo a joui. Son foutre bien épais a d’abord envahi ma gorge puis son gland a laissé de longues traînées gluantes sur mon visage extatique. Mon père l’a félicité.

— Tu avais les couilles bien pleines, dis donc!

— C’est toujours comme ça...

— Tu as bien joui?

— Oui, il pompe super bien.

Cette déclaration me fit grand plaisir. J’étais heureux de lui avoir procuré du plaisir.

Nous nous sommes arrêtés à un feu rouge. À notre niveau, le conducteur d’une autre voiture matait mon cul et son plug. Mon père a ouvert la vitre et lui a proposé de nous suivre. L’homme a accepté.

Nous nous sommes arrêtés à l’orée d’un bois où ont été installées des aires pour pique-niquer. Nous avons quitté la voiture pour nous diriger à pieds vers un de ces endroits. Moi, complètement nu, un plug enfoncé dans le cul, un collier de chien au cou. Dans ce genre de situation, l’excitation aidant, je me rends compte que j’arrive à devenir quelqu’un d’autre. Mon père avait pris un sac avec des accessoires dans le coffre de la voiture. L’homme de l’autre voiture nous suivait à quelques mètres. Il devait se demander où mon père nous entraînait... mais l’appel de la bite est plus fort que tout...

Mon père et Hugo m'ont installé sur une table en bois au milieu d’une clairière.

— Écarte les jambes! Je veux voir ton cul et ton plug.

J’ai obéi. L’homme regardait Hugo me caresser le cul.

— Si vous voulez que la salope vous suce, c’est OK! Passez de l’autre côté!

L’homme a contourné la table et s’est débraguetté devant moi. J’ai dû me pencher pour pouvoir gober sa bite. J’étais un peu déçu de la mollesse de son engin. J’avais du boulot pour en faire un beau mastard. Au bout de vingt minutes, la bite n’avait quasiment pas durci. Mon père est intransigeant dans ces cas-là.

— Si t’es pas capable d’offrir une queue potable, tire-toi, conard! Ma lope ne sert pas à des couilles molles!

Le type s’est tiré vite fait.

— Mets-toi sur le dos! a ordonné mon père.

Il a attiré Hugo un peu à l’écart et lui a parlé.

— Hugo va s’occuper de toi!

Et mon père est parti. J’étais seul au milieu d’un bois, nu, pluggé, avec un inconnu. Celui-ci m’a position au bord de la table, cul bien en vue, les jambes repliées. Il a ouvert le sac et m'a attaché à l'aide de fines cordes.

— Tu vas passer un bon moment ainsi! Tous les mecs que ton père va ramener vont pouvoir t'admirer...

Hugo m’a enlevé le gode et m’a enculé. Il s’est agité en moi comme un forcené mais n’a pas joui.

— Ça, ce sera notre secret! On est bien d’accord?

— Oui, Maître!

Il m’a embrassé.

— J’aimerais avoir une salope comme toi rien qu’à moi...

Nous avons attendu mon père.

Il est arrivé...

À suivre...

 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Dimanche 15 juillet 7 15 /07 /Juil 01:16

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Ma vie était devenue un enfer. Certes, j’aimais être soumis mais, là, j’étais particulièrement servi. Mon père n’avait pas de limites et il usait et abusait de moi. Depuis des semaines, je n’avais plus dormi dans mon lit. J’avais droit à une couverture dans un coin du garage ou le chenil lorsqu’il ne faisait pas trop froid.

Cette nuit-là avait été courte car mon père m’avait loué à deux vicelards jusqu’à quatre heures du matin. J’avais passé ma courte nuit au milieu des chiens. Mon père en avait trois. Trois mâles assez féroces. Mon père me réveilla vers sept heures.

— Oh! Regardez-moi ça comme c'est mignon. Il bande en dormant. C’est la soirée que tu as passée hier qui te fait cet effet? Tu n’en as pas eu assez? Allez, arrête de trembler, je ne te veux aucun mal…

En réalité, mon père agissait avec moi comme avec un chien peureux qu’il voulait dresser et apprivoiser.

— Tu as été brave et je pense que tu as droit à un peu de plaisir. Viens!

Il attacha la laisse à mon collier et me fit sortir du chenil. Les trois chiens levèrent la tête mais ils ne firent rien de plus. Mon père m’emmena dans la salle de bain où il retira le plug de mon cul.

— Prends une douche et viens me retrouver dans le living à quatre pattes.

Il était doux et calme. J’avais intérêt à bien suivre tous ses ordres si je voulais que ça continue. J’ai donc pris une douche. Ô merveille! J’ai apprécié mais je n’ai pas voulu abuser. En dix minutes maximum, j’étais lavé, essuyé et en route pour le living. Mon père était assis dans le canapé. Il avait enlevé son pantalon et branlait sa grosse queue en regardant un film porno. Sur l’écran, une femme à gros nichons se faisait baiser par deux blacks et un chien.

— Allez, grimpe sur mes genoux et viens t'empaler sur ma queue dressée!

Je ne le nierais pas; j’étais excité par la situation. Mon père glissa la main dans ma raie.

— Mmmmm, cette petite chatte est déjà dégoulinante de désir. Elle aime la bite, hein?

— Oui, Maître!

Mon père entra au plus profond de mon trou et me lima longtemps. C’était agréable! Lorsqu’il accéléra, ses injures redoublèrent. Il haletait en hurlant:

— Je vais jouir. Je vais remplir ma pute!

Son excitation était très forte. La mienne l’était également. Ma condition de salope me convenait parfaitement lorsque je la vivais de cette façon. J’étais un objet de désir. Je l’acceptais. J’étais là pour donner du plaisir. Je ne vivais plus que dans cette optique. Satisfaire des mâles était ma raison de vivre.

— Putain de trou de pute…

Mon père feulait. Ses doigts pinçaient mes tétons. Je sentais la douleur, associée au plaisir qui montait en moi. Je n’allais pas résister longtemps à ce traitement. J'ai fini par exploser. Je me suis senti défaillir. Mon père aurait pu se fâcher car l’ordre de jouir n’était pas venu de lui. Il continua ses mouvements encore quelques secondes puis jouit dans mon trou.

Nous nous remettions à peine de notre jouissance lorsque le téléphone sonna. Mon père décrocha:

— Oui, c’est moi! Ah oui, Antoine! Comment vas-tu? Il est libre, oui! Ok, je te le réserve pour ce soir. Il y aura du monde? Ah oui, tout de même!

Mon père a raccroché et s’est adressé à moi:

— Ce soir, tu auras des clients! Bon d'abord, nous allons aller t'acheter de quoi t'habiller décemment. Tu ne peux quand même pas te présenter à tes premiers clients dans cette tenue…

Je n’ai évidemment pas osé poser de question à mon père. J’ai compris qu’à partir de là, il allait monnayer mes services pour se faire un peu de fric.

Après nos achats, mon père m’a préparé comme une chienne: collier clouté, plug, ceinture... Nous nous sommes rendus dans un immeuble très chic où mon père s’est adressé au gardien pour qu’on nous annonce chez Monsieur Z. J’étais pétrifié de gêne devant cet homme qui ne semblait pas trop surpris de me voir ainsi harnaché (et à moitié nu). Monsieur Z devait recevoir beaucoup d’invités spéciaux comme moi. Le gardien a pris le téléphone et a appelé:

— Une visite pour vous, Monsieur Z! Oui, je les fais monter… Vous pouvez monter au cinquième! On vous attend…

Je crois que le gardien m’a fait un clin d’œil en se touchant la braguette. Mon père m’a tiré par la laisse jusqu’à l’ascenseur et nous sommes montés à l’étage indiqué. La porte du pallier était ouverte et nous sommes entrés. Dans le living, il devait y avoir une dizaine de mecs. Mon père m’a fait entrer.

— Installez la chienne sur la table! a dit une voix sévère.

Tous ces mecs me regardaient avec envie et l’un d’eux s’avança vers mon père pour lui demander quelque chose tout bas à l’oreille. Mon père a souri et répondu:

— Sans problème, Monsieur Z! C’est vous le client… Je viendrai la rechercher deux heures plus tard.

— C’est parfait! Finalement, nous serons une vingtaine… Une location normale risquait d’être juste… a conclu Monsieur Z.

Monsieur Z s’approcha de moi et me frotta son paquet gonflé contre le nez.

— On va te remplir par tous tes trous avec nos grosses bites bien dures. Sens-moi ça si c’est ferme!

J’ai poussé un grognement. Sans doute parce que j’étais horriblement angoissé et perdu au milieu de ce groupe de mâles excités et prêts à tout. Il m’a caressé la tête et je l’ai agitée en grognant à nouveau. Une main m’a immobilisé la nuque. J’avais mal. L’homme s’adressa à mon père:

— Votre chienne pousserait-elle des grognements de désapprobation? Dans ce cas, elle mériterait vraiment une bonne punition!

— Je le crains, Monsieur. J’essaie de bien la dresser mais vous connaissez les jeunes chiennes… Elles sont parfois rebelles! lui répondit mon père.

— Nous allons arranger ça! Laissez-nous… s'exclama l'homme.

— D’accord! répondit mon père vers qui je lançais un regard éploré.

Il ne me regarda même pas en partant. Un homme très viril au regard très vicieux s’avança vers Monsieur Z et lui dit:

— C’est une très belle salope que tu nous as trouvé là, Piotr!

— Vous allez pouvoir lui baiser tous les trous et vous satisfaire sans tarder. Il se pencha et me regarda droit dans les yeux:

— Nous avons très envie de toi depuis que tu es dans le «catalogue»! Chaque fois que je voyais ta photo, ça me faisait bander comme un âne. Là, maintenant, tu es là… offert à mes désirs… et à ceux de mes invités! C’est formidable de penser à tout ce qu’on va pouvoir te faire! En plus, je t’ai loué pour six heures…

J’ai frissonné. J’ai entendu que quelqu’un fermait une porte. J’étais prisonnier de ces hommes en rut. Plusieurs mecs m’avaient coincé contre la table basse et commençaient à me caresser sur tout le corps. Quand je dis caresser, c’était tout autant palper, pincer que malmener. Monsieur Z ordonna qu’on m’étende sur le dos et qu’on relève mes cuisses. Il s’installa à genoux entre mes cuisses et me lécha la rosette tout en me branlant avec ses doigts qu’il me mettait de temps en temps dans le cul.

— Souple mais toujours très serré! Le catalogue ne mentait pas… Une très belle chatte!

— Son Maître l’a bien rasée pour accueillir nos queues et elle mouille d’enfer...

— Sa bouche a l’air accueillante également...

— Oui, il paraît qu’elle suce comme une pro et elle aime tellement ça qu’elle avale tout.

Les commentaires fusaient autour de moi. Je n’étais qu’une «chose à plaisir» et les mecs s’agglutinaient pour en user et en abuser.

— Ralph, sors ta queue! Je veux la voir te sucer à fond. Ça me fait bander de la voir tailler une bonne pipe à mon meilleur ami! Allez vas-y, fourre-la de ce côté, je m’occupe de l’autre!

Le mec a ouvert son pantalon et libéré une queue déjà bien tendue. Elle n’était pas très longue mais épaisse avec un gros gland qui commençait à pointer. Un autre mâle l’a prise en main et a commencé à la branler doucement au-dessus de mon visage. On m’a enlevé mon bâillon et j’ai dégluti en voyant le gland qui grossissait à vue d’œil. Le mec avait de grosses couilles bien pleines qui se balançaient en frôlant mes yeux.

— Lèche les couilles pour commencer! me dit-il.

J’ai hésité.

— Lèche! Vite! Ou c’est la punition assurée…

J’ai obéi.

— Alors, Ralph, elle est douce la langue de ma chienne?

— Très douce… habile…

J’ai pris mon travail à cœur, redoutant une punition comme celles que mon père m’imposait en cas de rébellion. J’ai léché et sucé les couilles du mec. Du côté de mon cul, je sentais un gland qui frottait la raie. J’allais me faire trouer…

— Putain, Piotr! C’est une vraie salope! Elle me fait tellement bander que je crois que je vais tout lui envoyer dans la figure.

— Retiens-toi… On va lui baiser les deux extrémités en même temps… Elle va te pomper le gland. Allez, salope, enfourne ce beau morceau.

J’ai ouvert la bouche et j’ai aspiré le gland. Je me suis mis au pompage et le mec gémissait de plaisir en me tenant par les cheveux. L’engin grossissait encore dans ma bouche et m’étouffait presque. Je prenais son gland entre mes lèvres, le faisais ressortir pour lui lécher ses grosses couilles bien dures. Il se cabra assez rapidement et, n’en pouvant plus, m’envoya de longs jets de sperme au fond de la gorge. Il avait joui avec puissance et abondance. J’étais gluant de sperme.

— Putain de merde, cette salope m’a vidé les couilles comme jamais. C’est super bandant de se faire pomper au milieu de ses potes excités. À vous, les gars! Moi, faut que je recharge mes batteries…

Un mec qui devait avoir 60 berges mais qui était bien conservé le remplaça.

— Tu lui as envoyé une sacré dose, Ralph! Il est recouvert de ta chantilly!

Les mecs se marrèrent. L’hôte arrêta de jouer avec son gland dans ma raie et m’ordonna d’écarter les cuisses.

— Écartez-les lui à fond! dit-il en se débarrassant de son pantalon.

Il mit à l’air sa grosse queue bien gonflée et vint se planter entre mes jambes. Il me prit les chevilles et planta son sexe bien dur dans ma rosette lubrifiée de salive. Celle-ci s’ouvrit sous la poussée et j’ai poussé un petit cri.

— Une chienne qui miaule! ironisa un invité. Normal! C’est une chienne avec une chatte…

Petits rires. Monsieur Z entrait et sortait de mon cul. Sa tige forçait mes chairs intimes sans ménagements et je sentais cette chose énorme qui me ramonait le trou. Il buta au fond de mon cul et puis se mit à me pistonner sans faiblir. Je me mis à gémir.

— Elle prend bien, la salope! Elle couine mais elle avale. Elle est vraiment bandante avec sa petite chatte rasée qui me serre bien la queue…

— Bourre-la, Piotr! Nique la chienne comme elle le mérite!

— Elle te plaît cette queue?

Comme je ne répondais pas, un mec m’a foutu une baffe et a posé à nouveau la question:

— Elle te plaît cette queue?

— Oui.

— Pourquoi elle te plaît?

— Elle… elle est bien grosse!

— Exactement! Tiens prends-la et donne-moi tes tétons, je vais te les faire grossir.

Piotr me limait tout en roulant les pointes de mes seins entre ses doigts. Il les pinçait à me faire mal et je faisais une horrible grimace en essayant de réprimer un cri de douleur.

— Une bite dans sa gueule! Tout de suite! ordonna-t-il.

Le mec de 60 ans enfonça sa bite très longue dans ma gorge. Il prit le relais et se mit à pincer, tirer mes tétons qui durcissaient sous ses doigts. Je me laissais aller à cette baise bestiale et mon corps se mit à jouir de toutes ces caresses… Oui, je m’abandonnais complètement en gémissant comme une chienne pendant qu’on me baisait par les deux trous et qu’autour de moi des mecs se branlaient en m’injuriant.

Mon baiseur sortit de ma chatte. Il écarta bien mes cuisses et demanda à un de ses amis de me la bouffer. Celui-ci se mit à me lécher le fion boursouflé et sa langue me fouilla profondément. Je jouissais comme une bête au milieu de tous ces mecs bien montés qui allaient bien profiter de mon corps. La tête entre mes cuisses, le «rimeur» me bouffait le trou. Je voyais des bites dressées qui attendaient leur tour. Elles se touchaient, me frôlaient, frappaient mon corps et jouissaient parfois sur mon visage.

Le temps passa très vite et lorsque tout le monde eut joui deux ou trois fois, Monsieur Z me livra au gardien de l’immeuble. Il bandait comme un âne. Il me refit un clin d’œil. Sa queue était bien longue et épaisse. Il la planta dans mon cul bien élastique et lima. Il se retira vite puis y replongea. Il recommença ce petit jeu plusieurs fois, encouragé par les autres mecs.

— Mammoud, baise lui la gueule maintenant!

Le gardien changea de côté. Il posa son gland sur mon visage avant de le glisser entre mes lèvres et l’enfonça au fond de la gorge. Il me tenait par les cheveux. L’engin, déjà énorme, grossissait entre mes lèvres et j’avais du mal à le sucer complètement. Monsieur Z se planta à nouveau dans mon cul. Pour la quinzième fois ou seizième fois, j’étais pris en sandwich. J’entendais soupirer le gardien d’aise et m’encourager à bien le pomper alors que j’avais mon arrière train rempli par le patron.

— Cette pute est vraiment faite pour baiser. Je pense que je vais la «louer» plus souvent… Elle a des trous si accueillants… conclua Monsieur Z.

 

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Samedi 14 juillet 6 14 /07 /Juil 23:40

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Mes vacances d'été quand j'avais 18 ans m'ont donné l'occasion de visiter mon grand-père pendant une semaine. Mon grand-père et son ami, le juge Wasson, allaient m'emmener pour quelques jours à leur cabane de pêche. Au niveau de ma puberté, j'étais assez en retard et n'avais encore aucun poils pubien: j'étais très mince et la peau douce.

Quand nous sommes arrivés, je suis allé nager tandis qu'ils se douchaient et, une fois revenu, je les ai trouvés se reposant sur des transats, uniquement vêtus de leurs shorts larges. Grand-père m'a dit de leur apporter à chacun un cigare. Je suis resté à leur côtés pendant qu'ils les fumaient tranquillement. Mon grand-père appellait son ami "juge" même si ce n'était pas son prénom mais son titre. Le juge est allé à la salle de bains et a laissé la porte ouverte: je pouvais voir son énorme bite pendant qu'il faisait pipi. J'ai essayé de ne pas regarder mais il m'a surpris en train de l'observer. Quand il a eu fini, il a marché jusqu'à moi, serrant le cigare dans des ses dents; il m'a pris fermement par le bras, m'a amené jusqu'à mon grand-père et lui a dit ce que j'avais fait. Mon grand-père m'a alors forcé à me mettre à ses genoux, a abaissé mon short, de telle manière que mon cul nu a été exposé et m'a fessé un coup. Juge s'est assis à côté de lui sur le sofa et placé ma tête dans son entrejambe. Je pouvais sentir son membre gonflé appuyer contre mon visage pendant que grand-père donnait une fessée à mon cul nu. Grand-père a commencé à frotter mes fesses roses, apaisant la morsure de sa fessée, ses doigts caressant la fente de mon cul.

Après peu de temps, le juge a abaissé ses shorts et mon visage a été niché dans ses poils pubiens épais, sa main tenant mon visage contre lui. Grand-père a tâté par dessous et a trouvé ma petite bite, la tenant et la branlant: la rugosité de sa main sur mon entrjambe imberbe et lisse était merveilleux. La bouche de grand-père a touché mon cul sensible, sa langue envoyait des frissons vers le haut de mon épine dorsale. Ses mains ont séparé mes fesses et sa langue a touché mon trou vierge. J'ai haleté de plaisir, effrayé, mais incapable d'arrêter l'une ou l'autre d'entre elles. Grand-père m'a pris et m'a étendu sur le dos sur la table, son short est tombé à terre et j'ai vu sa grande bite, le prépuce recouvrant complètement le gland.

Quand le juge est revenu, il avait un réservoir souple en caoutchouc avec un tuyau sur l'extrémité. Grand-père a tenu mes jambes vers le haut et le juge a mis quelque chose sur mon trou. J'ai senti une sensation de froid pendant qu'il poussait l'extrémité du tuyau en moi; il m'a fait un peu mal au début, mais il était doux. Il a libéré la bride et l'eau chaude précipitée à l'intérieur de moi, ils m'ont ordonné de me détendre et de retenir tout à l'interieur de moi.

Après un moment, il m'a dit d'entrer dans la salle de bain et de tout libérer. Le juge est entré, m'a mis dans la douche et m'a lavé, mes yeux regardant constamment sa grande bite non circoncise. Il m'a séché et m'a porté à la chambre à coucher, m'a étendu sur le dos et a attaché mes mains aux coins du lit. Grand-père est venu dans la chambre et s'est mis à genoux au-dessus de moi, fumant toujours son cigare. Il a posé doucement sa bite sur mes lèvres, un liquide sortait de l'extrémité. Il m'a dit d'ouvrir ma bouche et a commencé à pousser sa bite dedans, le goût du liquide était salé et il était glissant. J'ai ouvert aussi grand que je pouvais mais seulement environ la moitié de sa grand bite a pu entrer. Il m'a dit de sucer et de maintenir mes dents à l'écart, ses hanches allaient lentement d'avant en arrière. J'ai pensé que j'allais vomir tellement il le poussait profondément dans ma bouche.

Juge est venu sous moi et a mis plus de lubrifiant sur mon petit trou, en travaillant lentement, son doigt entrant chaque fois un peu plus à l'intérieur de moi. Ma bite était si bandée et j'étais si excité que je suis venu pendant que son doigt glissait dans et hors de moi. Le juge a pris ma bite dans sa bouche et la sensation était si bonne que j'ai immédiatement bandé à nouveau. Il a ajouté un autre doigt, cette fois, qui était bien plus douloureux d'abord mais qui est vite devenu une sensation merveilleuse au fur et a mesure que je me détendais.

Grand-père a pris mes jambes sous ses bras. Le juge a mis un oreiller sous mes fesses. Il s'est tenu au bas du lit, observant grand-père que je suçais de plus en plus passionément et a allumé un nouveau cigare. J'ai senti quelque chose pousser contre mon trou serré et vierge. Mes cris perçants de douleur ont été étouffés par la bite de grand-père quand il est entré en moi. Son entrée douce et lente a vite fait se muer la douleur en plaisir pendant qu'il allait et venait dans mon cul imberbe. Grand-père se trouvait sur le haut du lit, juge tenant mes jambes vers le haut et, de cette manière entrait sa bite toute entière à l'interieur de moi. Ses va-et-vient étaient maintenant rapides et profonds, ses boules gifflant mon cul rose encore et encore, pendant qu'il s'enfonçait profondément en moi. Je sentais bien sa bite extrêmement dure dans mes entrailles. Grand-père s'est retiré de ma bouche et s'est assis sur une chaise pour observer son ami qui me baisait pour la première fois. Le juge a commencé à gémir, mordant dur sur son cigare, sa bite a grandi encore un plus en moi, il a poussé ses hanches plus fort et plus violemment, poussant chaque fois sa bite plus à l'intérieur de moi et soudain son corps s'est tendu. Il a grogné pendant que son sperme chaud jaillissait de sa bite, dans mon cul.

Grand-père a allumé son cigare pendant que le juge se retirait de moi. M'observant, il a grimacé pendant qu'il frottait sa grand bite épaisse. Il m'a fait tourner et m'a forcé à me mettre à quattre pattes et s'est mis à genoux derrière moi, sa bite serrée contre mon trou d'où dégoulinait le foutre de son ami. Le juge s'est assis dans la chaise et a observé pendant que grand-père poussait sa bite en moi. Il m'a baisé avec un rythme profond et lent d'abord, puis fort et rapide, ses boules faisant un bruit de claquement chaque fois qu'il s'enfonçait en moi. Juge s'est mis devant moi et a poussé sa bite dans ma bouche, m'intimant d'être un bon garçon et de la sucer pour la lui rendre toute propre. J'ai pensé que sa bite avait un goût salé et était couverte de son sperme pendant qu'il poussait de plus en plus loin entre mes lèvres. Je pouvais sentir la bite de grand-père devenir de plus en plus grande et dure pendant qu'il me baisait profondément. Il a grogné et haleté pendant que sa bite me martelait comme un marteau piqueur. Il a poussé un cri au moment où son jus chaud m'a rempli les intestins. Ma bite était si dure et j'étais si excité à cause de toutes ces stimulations, entre le plaisir que me donnait la bouche de Juge et les sensations de grand-père en moi que je suis venu en même temps que mon grand papa.

Grand-père a fait glisser sa bite hors de moi et il a poussé un plug dedans, me disant qu'il me maintiendrait ouvert toute la nuit de sorte que plus tard quand nous sommes allés au lit, il a pu dormir avec sa bite en moi toute la nuit. Ils m'ont délié les mains mais ils ne m'ont pas permis de m'habiller. Plus tard cette nuit, quand il a été temps d'aller dormir, j'ai été mis entre grand-père et juge; juge a mis sa bite dans ma bouche et m'a ordonné de la sucer jusqu'à ce qu'il vienne; Grand-père a tiré le gode de mon trou et a poussé sa bite épaisse en moi. Grand-père m'a baisé très lentement pendant que je suçais la bite du juge. Assez vite, il a saisi ma tête et l'a tirée vers le bas sur lui, forçant sa bite dans ma gorge. Son sperme chaud a rempli ma bouche. Il m'a dit de ne pas laisser la moindre goutte s'écouler sur mon menton! Finalement j'ai réussi à tout avaler et son jus a laissé dans ma bouche un goût délicieux. Grand-père m'a baisé fort jusqu'à ce qu'il vienne encore en moi puis ils m'ont serré jusqu'à ce que nous nous endormions.

J'ai été réveillé par la bite de grand-père me baisant encore, mon cul toujours rempli de sperme de la nuit précédente. Il n'a pas duré très longtemps et bientôt, sa main branlant ma queue, il a joui encore en moi. Il m'a serré contre lui après, en restant profondément enfoncé dans mon trou. Il a chuchoté dans mon oreille qu'il allait me donner une surprise spéciale. La sensation de son pipi chaud s'écoulant en moi était tellement jouissive que je suis venu d'un coup, la bite de mon grand-père serrée par mon trou étroit pendant qu'il éliminait le dernier jet de pipi chaud. Il sortit sa bite de moi et m'a dit d'aller à la salle de bains pour libérer l'urine.

Juge est entré et m'a pris dans la douche avec lui. Après qu'il m'ait lavé, il m'a séché au loin et m'a dit de m'habiller - nous allions à la pêche. Après, nous reviendrions à la cabane pour encore plus d'amusement. Mais c'est une autre histoire...

 

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Samedi 14 juillet 6 14 /07 /Juil 22:06

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Mon père m’avait conduit pour les vacances chez un de ses amis, Georges. Le Georges en question était divorcé et vivait dans une maison isolée au bord d’un lac. J’avais 20 ans et Papa était mon amant depuis 3 ans. Il avait fait de moi une bonne petite pute toujours avide de sexe. Mon attirance pour les hommes de 40 à 50 ans était forte. Les minets de ma génération ne me tentaient absolument pas.

Lorsque nous sommes entrés dans le living, Papa m’a dit, tout de suite, de me foutre à poil et de me mettre à quatre pattes sur la table basse où Georges avait mis une toile cirée noire. Je me suis exécuté. Georges me regardait en tournant autour de la table.

— Il est encore plus mignon qu’avant! dit-il. Avec les années qui passent, j’avais un peu peur qu’il ne soit devenu trop adulte... Non, là, vraiment... c’est un beau petit mâle! Juste ce qu’il faut de poils sur les cuisses et finement musclé!

— Tu as vu sa cambrure? dit mon père. Il avale des queues de 25cm au moins par devant et par derrière.

— Je pense qu’avec mes amis, il aura de quoi «avaler». J’espère qu’il est en grande forme parce que le week-end sera éprouvant pour son cul et sa gorge.

— Il est endurant. Il a déjà été pris en main par un groupe de quinze mecs en rut. Il est performant, Georges.

— Je suis prêt à le croire.

— Allez essaye-le! Encule-le! N’hésite pas!

— Je ne vais pas me priver!

Et Georges ouvrit son peignoir pour apparaître à poil. Et quand je dis «à poil», chez lui, il y en a du poil! Son pieu gigantesque me claqua sur le cul puis il glissa dans ma raie pour faire monter la pression.

— Tu aimes? me demanda mon père.

— Oui, ‘pa! C’est trop bon!

— Tu vas l’avoir bien au fond, jusqu’à la garde, mon petit.

Ce fut le cas, sans préparation, son gel, sans douceur... Un coup de reins et l’engin me percuta le cœur! Je ne pus réprimer un petit cri de surprise et, je l’avoue, de douleur. Les larmes me coulèrent sur les joues mais je ne bronchais pas. Stoïque! Mon père vit que j’essayais de rester calme et que je respirais plus fort. Il me présenta sa queue bien dure et je me mis à la téter, retrouvant rapidement mon calme.

— C’est le truc avec mon fiston, Georges! Je lui donne ma bite et il se met à téter. Il en oublie le reste. Très souvent, c’est ainsi qu’il s’endort... avec ma queue en bouche.

— Chez Tonton Georges, il n’aura pas beaucoup l’occasion de dormir.

— Ne me l’épuise tout de même pas! dit papa en souriant.

— C’est mon attraction du week-end! Les invités seront là dès 22 heures et, crois-moi, ils auront les couilles bien pleines et des idées bien salaces en tête.

— Tu entends mon chéri? Tu entends ce que dis Tonton Georges? Tu vas bien t’amuser ici avec tous ces messieurs et leurs grosses pines. Tu es heureux? Suce, mon chéri, suce la grosse queue de ton papa.

Je levais mon regard vers mon père et il me sourit. Sa main se posa sur ma nuque et me força à avaler plus loin.

— N’oublie pas, chéri... Je te l’ai souvent dit: tu dois sentir le gland cogner au fond de ta gorge. Sans quoi, ta pipe est mal faite!

Georges s’acharnait sur mon petit cul et pistonnait presque avec rage. Il voulait me montrer qu’avec lui on doit savoir subir en silence. Il se retira, vint se placer à côté de papa et me jouit sur la gueule. Je sentais son jus épais me dégouliner sur les paupières, le nez jusqu’au menton.

— Bonne pute! dit-il. Très bonne petite pute, Michel. Regarde-moi comme c’est beau englué de sperme.

Mon père fut fier de ce compliment et m’embrassa goulûment, léchant au passage un peu du sperme de Tonton Georges et le mêlant à nos salives.

— Je vais donc te le laisser, Georges. Fais-en bon usage et n’oublie pas que je te le confie. Pas de plans foireux... Mon bébé est clean!

— Aie confiance, Michel, il sera en de bonnes mains.

Mon père m’abandonna aux caprices sexuels de Tonton Georges. Celui-ci me fit prendre une douche puis, ayant repris des forces, il me dit qu’il voulait tester son nouveau fauteuil. Au milieu du salon déjà préparé pour l’orgie du soir, il me montra un fauteuil de cuir noir dont les accoudoirs avaient été modifiés. Il s’assit dans ce fauteuil et m’invita à m’installer à genoux dans les cornières installées de part et d’autre.

— Allez, descends doucement vers ma bite, fiston! Empale-toi doucement et fais le travail comme un chef!

Le principe était donc d’amener l’enculé à se limer lui-même sur le braquemart de son enculeur. C’était fatiguant mais excitant. Grâce aux cornières sur les accoudoirs, j’avais une bonne stabilité et je n’avais qu’à me concentrer sur l’effort.

— Tu vas voir comme tes cuisses et ton cul vont se muscler! me dit-il le sourire aux lèvres.

— Mmmm c’est bon!

— Tu aimes ça, mon chéri, hein? Dose bien tes efforts et varie ton enculade. Vas-y progressivement...

Nous étions en plein effort lorsqu’on frappa à la porte et Georges cria d’entrer. Trois mâles de son âge apparurent dans l’embrasure de la porte et entrèrent dans la pièce principale. Pas de bonjour, de salut... Ils entrèrent directement dans la danse. L’un me caressa les tétons. L’autre m’offrit sa queue à sucer. Le dernier se déshabillait déjà. La soirée promettait d’être juteuse!

— Je vous avais promis un morceau de choix, les mecs!

— Tu n’as pas menti, Georges. Il est superbe.

— Et si doux à enculer. Il a déjà été baisé des dizaines de fois et pourtant il reste très serré. Un petit trou bien élastique qui peut s’ouvrir largement et retrouver sa forme ensuite.

— Un ange!

J’écoutais ces quatre mecs parler de moi comme d’un objet en m’empalant sur la tige de mon oncle Georges. Il ne se laissa pas jouir et proposa à Will de prendre sa place. Avec Will, je fus placé dans l’autre sens, dos à lui. De cette façon, je pouvais sucer en alternance les trois autres queues que l’on m’offrait. C’était délicieux de sentir mon corps livré aux fantasmes de ces quatre mâles virils et terriblement vicieux.

Je chevauchais toujours ce cher Will en me positionnant bien au-dessus de sa verge tendue. Il ne restait pas inactif et me caressait le pourtour de ma fente avec le bout des doigts.

— À moi, maintenant! dit Robert.

Avec son crâne rasé, il avait un air un peu rustre et sauvage. Il tint son membre raide dans sa pogne et le plaça correctement à l’entrée de mon anus bien élargi. Je posais mes mains sur les genoux de mon étalon et d’un coup de reins il s’enfonça en moi. Putain, la jouissance!

— Regardez-moi ce minou gourmand! dit Tonton Georges. Il n’en a jamais assez.

— Nous non plus, Georges. Il va devoir assurer toute la nuit...

— N’ayez crainte, il le fera.

Excité comme une puce par leurs propos, j’ai commencé à coulisser plus rapidement sur le «dick» de Robert. Ses mains englobaient mes fesses et les caressaient en douceur. Moi, j’avais envie de conjuguer douceur et brutalité. J’ai donc accélèré le rythme et mon cul faisait des bruits de succions en aspirant puis rejetant le membre baiseur. Je sentais Robert proche de la jouissance tout comme moi.

— Pas trop vite, les gars! dit Tonton Georges.

— Ce cul me pompe le jus, Georges! C’est la pute la plus performante que j’ai baisée depuis longtemps.

J’entendais gémir Robert comme une bête sauvage.

— Allez, changement de position!

Nous avons quitté le fauteuil et les hommes m’ont porté jusqu’à la table. Georges m’a installé sur le dos et a posé mes jambes sur ses épaules. Une position que j’adore puisqu’elle me permet de voir celui qui me nique et de lui rouler un patin baveux et sensuel. Georges commença à me pénétrer violemment pour la troisième fois en deux heures. Lorsque je passais ma langue sur mes lèvres ou que je couinais de plaisir, il me défonçait de plus belle. Les autres se branlaient autour de nous, attendant leur tour.

— Will, donne-moi ce coussin! demanda Tonton Georges.

Il poussa le coussin sous mes reins pour relever un peu mon bassin et voir ma rosette toute écartelée. La position était meilleure, il arriva à s’enfoncer plus profondément dans mon trou.

— Tu la prends mieux là?

— Je la sens mieux, Tonton Georges. C’est un peu douloureux mais ça va passer...

— C’est parce que tu l’avales en entier, jusqu’à la base des couilles.

À chaque coup de butoir qu’il me donnait, la douleur faisait place au plaisir.

— Vas-y, Tonton, vas-y! Baise-moi à fond!

Je serrais les fesses au maximum pour mieux sentir sa virilité me remplir. Samir, un arabe très vicieux, prit la relève. C’était le seul que je n’avais pas encore pris. Sa bite devait être la plus grosse et j’étais heureux d’avoir déjà été préparé par les autres lorsqu’il m’encula.

Chez Oncle Georges, mon séjour fut instructif mais épuisant!

 

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