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fan de histoires de mec

Jeudi 15 novembre 4 15 /11 /Nov 14:05

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Cela faisait quelques années que je faisais du baby-sitting chez les voisins. Ils ont un fils unique, Corentin, il a trois ans et demi de moins que moi. Je l'ai gardé régulièrement depuis ses 11 ans ou 11 ans et demi. C'était un super gamin, d'une gentillesse à toute épreuve, serviable, très câlin, même avec moi, presque tout le temps sur mes genoux, et le soir, je devais rester près de lui jusqu'à ce qu'il s'endorme. Peu avant ses 14 ans, il a commencé à être plus distant, j'avais bien vu qu'il avait largement entamé son adolescence, je me suis rappelé qu'à 13 ans, j'étais comme lui, froid et surtout en révolte contre tout et tous. Les séances de baby-sitting sont devenues un peu plus compliquées, il fallait batailler pour le mettre au lit et éteindre la lumière, et pour qu'il termine ses devoirs avant de plonger sur ses manettes de jeu, ça relevait de la bataille de Trafalgar, mais malgré ces quelques difficultés, on restait bons copains.

A côté de ça, la pudeur n'a jamais été son fort ; quand il revenait de la douche, il restait à poil et prenait plaisir à se dandiner sous mes yeux, et son adolescence n'a rien changé à son attitude, pire il venait mettre à la hauteur de mon visage son sexe bandé, parfois même en se touchant légèrement pour en entretenir la raideur et mimer une masturbation. Je ne pouvais pas ne pas le voir, j'étais la plupart du temps assis sur le canapé et il exécutait sa petite danse obscène, debout à un mètre de mes yeux. Il fallait chaque fois que je hausse le ton pour qu'il aille, soit enfiler un pyjama, soit se diriger vers sa chambre pour qu'il se couche, et là, il redevenait le petit garçon, je devais lui caresser le dos, juste le dos, jusqu'à ce qu'il s'endorme.

Je n'avais aucun, mais alors vraiment aucun intérêt pour les personnes de mon sexe, je trouvais même ça dégoûtant que des hommes puissent s'aimer et faire des « choses » entre eux, de plus, pour moi, Corentin était un gosse que je gardais pour gagner de l'argent, point-barre.

Mais je serais malhonnête si je disais que ses danses du ventre et du zizi sous mon nez ne créaient aucun trouble chez moi, c'est pour cela d'ailleurs qu'en l'attendant revenir de sa douche, je mettais systématiquement un coussin entre le livre que je lisais et mes cuisses, et il est arrivé plusieurs fois qu'après l'avoir mis au lit, je passe un « certain temps » sur la cuvette des WC. J'avais 17 ans et lui 14, je mettais ça sur le compte des hormones, jusqu'au baby-sitting du mois passé.

Il venait de fêter ses 15 ans, et moi j'en avais 18. Je devais le garder tout le week-end, ses parents étant partis pour un city-trip à Prague du vendredi soir au dimanche soir. Il m'a refait sa danse du ventre, mais cette fois en décalottant complètement son gland sous mes yeux. Il avait un magnifique sexe, plus beau que le mien, orné d'une petite touffe de poils bien sympa, mais je ne voulais pas le savoir. Il m'a demandé de venir le border, ce qui sous-entendait lui caresser le dos, je lui ai répondu que j'allais d'abord prendre une petite douche vite fait, vu que j'avais vraiment trop chaud (!). Je suis revenu de la douche, les reins ceints par une serviette, Corentin semblait à l'orée du sommeil, mais il a gémi en m'entendant approcher de lui, je me suis donc assis comme d'habitude sur le bord de son lit, il était nu comme à l'accoutumée, son dos vers moi, et je l'ai caressé comme je le faisais depuis des années pour qu'il s'endorme.

Et d'un coup, il crie, je suis surpris et me lève promptement, ma serviette tombe, il se retourne vers moi et me prend en photo avec son téléphone.

— Et alors, Théo, tu fais de l'exhibition comme ça avec tous les gamins que tu gardes pendant les week-ends ?

— Corentin, c'est quoi, ça ?

— Et en plus, tu leur caresses les fesses ?

— Corentin, tu sais que ce n'est pas vrai.

— Peut-être, mais si je le dis à mes parents, c'est moi qu'on croira, pas toi.

— Tu es devenu fou ?

— Non, juste que je n'aime pas quand tu me tripotes le cul et les couilles.

— Mais, Corentin, je ne t'ai jamais tripoté !

— C'est moi qu'on croira !

— Arrête, Corentin, ce n'est pas drôle, et je le vois qui s'empare de son téléphone portable.

— Corentin, tu fais quoi, là ?

— Tu le vois bien, je téléphone à mes parents.

— Corentin, arrête tes conneries, s'il te plaît.

— Demande-moi ça mieux.

— Corentin, je te supplie de ne pas appeler tes parents, si tu leur dis ça, je suis mort.

— Je veux bien attendre un peu avant de les appeler, Théo, mais tu vas faire ce que je te dirai, tout ce que je te dirai.

— Corentin, arrête, ce n'est pas drôle.

Le gamin a remis son téléphone contre sa joue.

— Bon, ok, tu veux quoi ?

— Branle-toi devant moi, fous ton sperme dans la paume de ta main et tu bouffes tout.

— Corentin, tu es fou ou quoi ?

— C'est ça ou je téléphone !

— Bon, ok.

J'ai commencé à me masturber devant ce sale gosse, il continuait à prendre des photos avec son foutu téléphone, surtout quand j'ai juté dans ma main et que j'ai avalé mon propre jus.

— C'est bien, Théo, et maintenant, tu vas me sucer.

— C'est bon, Corentin, ça suffit maintenant, j'ai fait ce que tu m'as demandé.

— Tu te tais et tu suces, m'a-t-il répondu en approchant son téléphone de son visage.

J'ai approché ma bouche de son entrejambe, que pouvais-je faire d'autre ? Je l'ai mis en bouche et je l'ai amené à jouir. Quand j'ai senti qu'il venait, j'ai voulu me retirer, mais sa main sur ma tête m'en a empêché et j'ai dû avaler son sperme jusqu'à la dernière goutte, il n'a lâché ma tête que quand sa queue est redevenue molle. Pendant cette fellation, il avait continué à prendre des photos.

— Théo, quand je me réveillerai demain, je t'appellerai et tu viendras me faire la même chose sans dire un seul mot.

— Corentin, arrête, s'il te plaît !

Son regard dur et intransigeant a fait que j'ai quitté sa chambre pour la chambre d'amis sans rien dire. J'ai mis plus de deux heures pour m'endormir, cherchant une solution pour sortir du merdier où je me trouvais, je n'en ai trouvé aucune, il me tenait par les photos qu'il avait prises dans toutes ces situations qui me compromettaient sans appel. Quelques minutes avant que je puisse m'endormir, je me suis dit qu'il me tenait par les couilles, que je ne pouvais rien faire d'autre que lui obéir, et j'ai assumé cette réalité avant de confier mes yeux et mon corps à Morphée.

Le matin m'est parvenu de sa chambre un appel bref « Théo, ici ». Il m'a reproché de m'être mis en pyjama, il m'a fait déshabiller, précisant que je devais rester à poil toute la journée. Il m'a fait mettre à genoux, mains derrière le dos, tête en arrière et bouche ouverte, il m'a pissé dans la bouche et j'ai tout dû avaler, il riait et moi je pleurais. Il m'a obligé à me mettre à genoux sur le lit, il voulait voir mon trou de cul, j'ai dû écarter mes fesses avec mes mains, jamais je n'avais connu pareille humiliation. Il a caressé l'entrée de mes intestins avec son index, je le suppliais d'arrêter, de ne pas entrer son doigt, mais ses caresses étaient si agréables que mes sphincters se sont détendus. J'ai crié de douleur quand son doigt est entré, il a commencé à trifouiller à l'intérieur comme on tourne avec une cuiller dans un pot de yaourt,je voulais qu'il retire son doigt, mais ce qu'il me faisait devenait agréable, j'en éprouvais encore plus de honte, ma queue s'est mise à durcir, il avait trouvé un endroit à masser qui me donnait des sensations étranges jusqu'au bout du gland, j'ai dû me rendre à l'évidence, j'aimais ce qu'il me faisait.

— Tu bouges bien ton cul, hein, petite salope, dis-moi que tu aimes ça.

— Oui.

— Mieux que ça.

— Oui, Corentin, j'aime ça.

— Supplie-moi de continuer.

— S'il te plaît, Corentin, continue, c'est trop bon.

— Dis que tu es une salope et que tu aimes mon doigt dans ton cul.

— Je suis une salope, j'aime ce que tu me fais.

J'avais à peine dit ça qu'une sensation étrange a parcouru mon bas-ventre, de ma queue à peine bandée est sorti mon sperme, sans à-coup comme si je me vidais sans pouvoir m'arrêter. Je me suis affalé sur le lit, mon ventre dans mon jus.

— Regarde ma queue et dis que tu l'aimes bien et que tu voudrais que je la foute dans ton cul.

Je ne sais pas ce qui m'a pris, mais c'est sorti comme ça. Je lui ai dit que j'aimais sa queue, qu'elle était belle, que j'avais toujours aimé le voir nu, que depuis des années, je devais me retenir pour ne pas la toucher, la caresser, que je bandais quand je lui caressais le dos, que son jus était bon et que j'en voulais encore, que je voulais la sentir en moi, que je voulais qu'il me sodomise.

Comment avais-je pu dire ça, je me suis mis à pleurer, et à genoux, je lui ai demandé d'oublier ce que je venais de lui dire.

— Trop tard, tu l'as dit, et je te la mettrai, mais avant, c'est Patrick que va te la mettre.

— Patrick ?

— Tu connais bien, Patrick, non ? Tu fais aussi du baby-sitting chez lui.

— Mais Patrick a 14 ans.

— Et alors ? Il a envie de te voir à poil, de te tripoter et de mettre sa queue dans ton cul.

— Corentin, s'il te plaît, avec toi je ferai tout ce que tu voudras, mais ne fais pas venir Patrick.

— Trop tard, je lui ai téléphoné, il va bientôt arriver, en attendant prépare le petit-déjeuner.

Je savais que je n'y couperais pas, Corentin l'avait décidé et il ne changerait pas d'avis, je me sentais totalement perdu, j'étais devenu le jouet de Corentin et j'allais être celui de Patrick. Mes pensées étaient confuses, partagées entre l'horreur du comportement de Corentin et le fait que ma totale soumission ne me déplaisait pas totalement.

Quand Patrick est arrivé, j'ai dû lui ouvrir la porte, il m'a fait mettre les mains sur la tête et a examiné et palpé toutes les parties de mon corps comme on examine un esclave avant de l'acheter : il a mis ses doigts dans ma bouche, il a pincé mes tétons à m'en faire mal, il a pris ma queue en main et l'a tripotée, décalottée jusqu'à ce que je bande devant lui, il m'a fait faire demi-tour, j'ai dû me pencher en avant en écartant mes fesses, il m'a entré son doigt dans l'anus, puis il m'a donné une petite claque sur les fesses, et j'ai dû le déshabiller entièrement. Quand j'ai vu son sexe, je n'ai pu que m'extasier devant sa taille, sa queue fine était plus longue que la mienne, il m'a fait mettre à genoux et m'a obligé à la prendre entièrement en bouche pour la faire bander, puis il m'a relevé en me tirant par les cheveux, il a arraché un poil de mon pubis, ce qui m'a fait crier, plus de surprise que de mal, et son verdict a été : « trop de poils, on va enlever tout ça ». Ce gamin voulait faire disparaître les signes de ma virilité auxquels je tenais le plus : ma toison pubienne, et je savais que j'y passerais. Puis il s'est détourné de moi pour rejoindre Corentin qui avait tout photographié, j'ai pu déjeuner avec eux, mais je devais me taire. Corentin a raconté à Patrick tout ce qui s'était passé de puis hier soir, n'omettant aucun détail, jusqu'à son pipi du matin où je lui avais servi d'urinoir. Ma honte était à son maximum, mais ... je n'arrêtais pas de bander à en avoir mal. Corentin l'a vu, j'ai dû me mettre debout face à eux, ils voulaient voir en permanence ma queue raide, et ils ont voulu que je me caresse devant eux pour la tenir droite. A 18 ans, me toucher devant deux gamins de 14 et 15, c'était de la folie, de la pure folie, mais le plus grave, c'est que je commençais à apprécier ça.

Après le petit-déjeuner, Corentin a allumé son ordinateur tandis que Patrick m'a emmené dans la salle de bain ; du cou aux chevilles, tout mon corps est passé par les lames du rasoir jetable qu'il maniait comme un pro, devant et derrière, et je l'ai laissé faire sans dire un mot. J'étais plus nu que nu quand Patrick m'a emmené devant Corentin qui a passé sa main sur l'entièreté de mon corps, je bandais devant lui, mais ça ne m'a pas trop dérangé, j'avais accepté que mon corps soit à lui. Corentin nous a dit qu'il avait créé un espace web où il avait mis un blog avec toutes les photos qu'il avait prises de moi, il les a fait défiler sous les yeux lubriques de Patrick qui, régulièrement, se tournait vers moi en me disant « tu es vraiment une bonne salope, toi, une vraie petite pute ». Et Corentin de renchérir « j'ai envie de donner l'adresse de ce blog aux copains à l'école ».

 

Ils m'ont ensuite fait mettre à genoux, mains derrière le dos, à côté du lit, je devais les regarder se toucher, s'embrasser, se lécher, se sucer, se mettre un doigt ou la queue dans le derrière. Je n'aurais jamais cru que deux garçons puissent se toucher comme ça, et malgré ma position d'esclave pour eux, je bandais ferme, j'en arrivais presque à espérer qu'ils me disent de les rejoindre, mais après une demi-heure, ils ont quitté le lit, me laissant planté là. Puis Patrick a claqué sur mes fesses, tandis que Corentin m'a dit « allez, la petite salope, à quatre pattes sur le lit ». Je me suis exécuté, j'ai dû plier les bras pour avoir la tête sur le drap, mon intimité exposée à leurs regards, leurs quatre mains me touchaient, parfois caressaient mes fesses, parfois les tapaient de la paume de la main, ils touchaient et tiraient mes bourses, ma queue, ils examinaient des yeux et des doigts mon anus, et j'ai senti comme un liquide gras déposé sur mon trou et introduit par des doigts à l'intérieur.

Corentin est venu devant moi, m'a remis sur les mains et m'a dit « tu me suces, mais tu ne me fais pas jouir », j'ai mis sa queue en bouche tandis que derrière moi, je sentais le gland de Patrick à l'entrée de mon corps, il a forcé l'entrée lentement mais inexorablement, j'avais mal, mais c'était trop bon, il a empoigné mes hanches et a martelé mon cul faisant à chaque mouvement coulisser mes lèvres sur la queue de Corentin, il a déversé son jus d'ado dans mon ventre en hurlant, puis ils ont changé de place, j'avais en bouche la queue de Patrick encore pleine de son sperme et du jus de mon cul, et Corentin s'est introduit en moi, il m'a fait plus mal que Patrick, leur queue ayant un gabarit différent, j'étais une salope mais j'aimais cette sensation entre mes fesses, je gémissais sourdement. Corentin y allait sauvagement, brutalement, comme pour bien me montrer qu'il était le maître, tandis que Patrick poussait son gland tout au fond de ma gorge. J'ai senti que j'allais jouir devant ces deux gamins, je voulais tout faire pour empêcher ça, mais le plaisir a été le plus fort, j'ai éjaculé comme jamais tandis que Corentin se vidait en moi et que Patrick m'envoyait encore une dose de sa liqueur dans ma gorge.

C'était trop pour moi, je me suis effondré sur le lit en pleurant à chaudes larmes, en les suppliant d'en finir avec tout ça. J'ai senti leurs mains sur mes cheveux, la nuque, le dos, les fesses le dos des cuisses, elles me caressaient tendrement, je ne comprenais plus rien, ils ont couvert mon dos de baisers tendres.

— Qu'est-ce qui se passe ?

— Théo, on t'aime.

— Vous appelez ça aimer ? Vous m'avez traité comme une pute.

— On t'aime tous les deux, et c'est le seul stratagème qu'on a trouvé.

Je me suis mis sur le dos, et Corentin m'a embrassé sur la bouche, sa langue a caressé mes lèvres, je les ai ouvertes et j'ai embrassé mon Corentin à pleine bouche tandis que Patrick embrassait et léchait mon ventre et mon sexe, puis il est venu près de ma bouche, m'a embrassé tendrement à son tour, ensuite les trois bouches se sont rejointes, et on s'est léchés, sucé les bouts de langue, alors qu'ils caressaient ma queue tous les deux.

Quand on s'est calmés, ils se sont blottis tout contre moi, j'ai passé mes bras sous leur épaule pour les serrer très fort.

— Vous m'avez bien eu, tous les deux.

— On savait que tu avais envie de nous, a dit Corentin, je savais que tu bandais quand je me mettais nu après la douche.

— Et moi, depuis que je suis devenu ado, tu étais dans la salle de bain à chacune de mes douches, et ton short était gonflé.

— Et moi qui pensais être discret.

— Tu ne nous en veux pas ?

— Non, mes petits amours.

— Ce soir et demain, ce sera à toi d'honorer nos petits culs.

Corentin a décroché le téléphone qui sonnait et il m'a passé l'appareil. C'était la mère de Patrick qui me demandait si je pouvais le garder en même temps que Corentin jusqu'au dimanche soir. Les deux gamins rigolaient, ils avaient bien préparé leur coup.

Ce week-end de baby-sitting a été le plus beau de ma vie et il y en a eu encore beaucoup par la suite, chez Corentin ou chez Patrick, parfois je « gardais » les deux pour qu'ils ne fassent pas de ... bêtises.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Jeudi 15 novembre 4 15 /11 /Nov 11:09

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Je n'en revenais pas de toutes ces belles grosses queues. Plus je tournais les pages et plus elles paraissaient énormes. Je me branlai plus vite car je ne voulais pas que mon oncle me trouve me masturbant dans le fond de la grange en regardant une revue porno gay. Depuis que j'etais en famille d'accueil chez lui, je n'avais pas eu beaucoup le chance de baiser car j'étais assez occupé avec les travaux de la ferme et il me restait peu de temps pour les sorties. De toute façon, comme disait mon oncle et ma tante: "à ton âge, 15 ans, il n'est pas très bon de traîner en ville avec des copains." Je les trouvais un peu sévère mais c'était mieux que le centre d'accueil où j'étais avant. La seule chose qui me dérangeait un peu, c'est que quelques fois la nuit, je les entendais se disputer et au matin, mon oncle en avait pour l'avant-midi à être de mauvaise humeur. J'étais tellement concentré sur mon excitation que je n'entendis pas mon oncle arriver.

Quand je le vis debout devant moi, je crus mourir de honte. J'étais pétrifié. Il parut aussi stupéfait que moi. Il prit le magazine dans ses mains, regarda quelques pages vitement et le lança sur moi. D'une voix dure, il me dit:

— Tu sais, il y a des endroits plus discrets pour se donner du plaisir.

J'étais mal à l'aise, ne sachant quoi répondre. Je ne pouvais quand même pas lui dire qu'en plus de me branler dans la grange, je le faisais presque tout les soirs dans mon lit en pensant à lui. Depuis mon arrivée, combien de fois avai-je fantasmé sur lui. Bien des fois en le voyant travailler dans la grange, je devais me contrôler, tellement j'étais en érection, pour ne pas me cacher dans un coin pour me soulager. Étant bel homme, grand, cheveux noirs courts, épaules larges, torse et jambes musclés. Pour travailler dans la grange, il portait toujours un jeans usé moulant qui laissait paraître des belles fesses rondes et d'après son entrejambe, il devait être bien membré. Voyant par mon silence que j'étais troublé, il me dit en radoucissant un peu sa voix:

— Nous allons devoir avoir une bonne discussion et pas plus tard que ce soir. En attendant, dépêche-toi de remettre tes pantalons et termine ton ouvrage.

Le soir venu, il vint me voir dans ma chambre et s'approcha de moi.

— D'abord, je voudrais m'excuser si je t'ai parlé un peu durement cet après-midi. Comprends bien que je ne m'attendais pas du tout à ça. Comme je trouvais que tu étais long à revenir, je voulais voir ce qui t'arrivait.

— Je sais. Je suis vraiment désolé et je te promets que cela n'arrivera plus.

— Je te crois. Mais dis-moi, as-tu déjà baisé avec homme ou ça a toujours été au stade de la masturbation?

J'étais encore plus mal à l'aise. Je baissai les yeux et lui répondis faiblement:

— Oui, j'ai déjà baisé avec un homme.

— Vraiment?

Il paraissait encore plus stupéfait que cet après-midi.

— Ça s'est passé quand?

Je ne savais pas si je devais répondre, j'avais peur qu'il se fâche.

— L'année dernière, au centre d'accueil.

— Tu faisais ça avec ton camarade de chambre?

— Non, c'était avec le gardien de nuit.

Hébété, il se laissa tomber sur le pied de mon lit et me regardant, il me demanda:

— Il te forçait à le faire?

— Au début oui. Il me forçait à le sucer et il m'enculait. Les premières fois je n'aimais pas tellement ça mais par la suite, c'est moi qui allait le trouver.

Mon oncle se releva lentement, semblant ahuri par ce que je venais de lui dire. Il me regarda un moment sans rien dire et me demanda:

— Et depuis que tu habites ici, as-tu couché avec un homme?

— Non, pas depuis que je suis ici. Je n'ai pas eu de relation sexuelle depuis presque un an.

Après l'état de choc passé, il me dit que ma vie sexuelle ne le regardait pas mais il me demanda d'être prudent pour que ma tante et les gens du village n'en sachent rien. J'étais heureux de lui avoir tout avoué et encore plus qu'il n'était pas faché.

Pendant les 2 semaines qui suivirent, je ressentis une drôle de sensation. À chaque fois que nous travaillions dans la grange, j'avais l'impression qu'il avait toujours les yeux fixés sur moi. Quand je le regardais, il détournait son regard. Je me convainquais que c'était mon imagination. Le vendredi, ma tante nous annonça qu'elle partait le soir même pour aider sa belle-soeur qui avait accouché. Resté seul avec mon oncle, je passai la soirée à écouter de la musique et me couchai tôt car je devais travailler seul une partie de la journée car mon oncle avait des choses à régler en ville.

Au début de l'après-midi, revenu de la ville, il vint me rejoindre dans la grange. Il était torse nu et portait son jeans usé. Je détournai vite mes yeux sentant ma queue se reveiller. Alors que je m'affairais, je remarquai qu'il se tenait debout, adossé à une poutre et il me regardait, une bière à la main. Après un moment, il me fit signe de m'approcher.

— Tiens, prends une gorgée, ça va te rafraîchir.

En prenant la bouteille, mes yeux se posèrent sur sa bosse dans son jeans, je remarquai qu'il était en érection.

— Tu sais, depuis 2 semaines, je ne cesse de penser à ton histoire.

Je lui redonnai la bouteille, ne sachant trop où il voulait en venir. Il but la dernière gorgée et la jeta par terre.

— Veux-tu être gentil avec moi?

Je le regardai perplexe.

— Je veux bien mais que veux-tu dire par être gentil?

Au lieu de me répondre, je le vis mettre sa main sur sa braguette et descendre sa fermeture-éclair.

— Fais moi comme tu faisais à ton gardien: suce moi!

Je n'en croyais pas mes oreilles. Mes fantasmes allait-ils devenir réalité?

— Mais mon oncle, si ma tante...

— Laisse faire ta tante. Elle se fout bien du sexe. Pour elle, une fois par mois c'est suffisant. Allez, cesse de discuter, prends ma queue dans ta bouche et suce moi bien.

Je m'accroupis devant lui, baissai son jeans et je vis apparaître sa grosse queue, au moins 20 cm, bien dure devant mes yeux. Je laissai d'abord glisser ma langue le long de son sexe chaud. Du bout de la langue, je frottais son gland qui durcit. Sa queue réagissait à chacun de mes coups de langue. Je l'entendais gémir, me dire comment c'était bon. J'ouvris grandement ma bouche et engouffrai sa grosse queue. Je pompai d'abord doucement afin de déguster sa verge. Mes lèvres montaient et descendaient le long de son sexe. Il posait ses mains sur ma tête et je voyais le bas de son corps se trémousser tellement il aimait ça. Après l'avoir sucé un bon moment, il me releva et m'amena vers le fond de la grange et alors qu'il enlevait son jeans, il me dit de faire comme lui.

— Tu suces vraiment bien, c'est à mon tour de te faire plaisir.

Il me fit mettre à quatre pattes sur une botte de foin et doucement, il rentra sa grosse queue bien au fond dans mon anus. Sa queue allait et venait en moi. Cette fois, il n'était pas seul à gémir. Il me défoncait d'abord lentement et encouragé par mes cris, il augmenta le rythme. Il me tenait fermement par les hanches et je la sentais bien au fond. Nos gémissements se mêlait les uns aux autres tellement nous jouissions. Après avoir éjaculé, il retira son sexe et le remit dans ma bouche. Je le suçai en le masturbant et il jouit dans ma bouche.

Fort content de cette nouvelle expérience, il me demanda souvent de le sucer ou de m'enculer quand nous étions dans la grange. Je ne refusais jamais tellement il me faisait jouir. C'est 2 ans plus tard que tout cessa car je quittai mon oncle et ma tante pour vivre ma vie. Encore aujourd'hui, il m'arrive de me branler en pensant à lui, même si j'ai une vie sexuelle bien remplie.

 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Mardi 13 novembre 2 13 /11 /Nov 13:11

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Je suis l'amant de mon ami d'enfance, le beau Frédéric, de ses 1.75 et son poids de 59 kl, musclé comme un beau sportif, ces cheveux bruns/blonds bouclés et ses beaux yeux bleus et surtout son beau gros 20 cm uncut que j'adore sucé et avalé, lui préférant surtout défoncer mon petit cul, qu'il a eu juste pour et vierge.

Comme il me dit, mon surnom amical, qu'il m'a donné, bout d'cul. Me va bien de mes 1.80 pour 60 kl  j'ai les cheveux  noirs d'un noir charbon et un beau 18 cm, qu'il aime bien manger.

Presque tous les jours, au retour de nos cours, Frédéric passe chez moi, dans ma chambre, sans ce douché, comme il dit, il aime ma senteur de bout d'cul et de mon cul, qu'il aime lécher en bon 69, avant de me pénétré à fond de son beau gros 20 cm. Pour me faire hurler, plus je gueule, plus ca le rend mâle et viril.

Ce jour là. Il était grimpé par-dessus moi et m'enculait à fond de son super 20 cm grognant que j'avais, un si beau petit cul chaud, me faisant crier,

— Encore plus à fond, encore, oui Prend moi Frédéric, je suis à toi mon amour.

Comme j'ai entendu mon père me crié?

— Martin, que fais-tu là.

— Papa...

— Mon fils est entrain de se faire baisser par un autre homme.

— Mais, papa, je...

— En plus, tu lui dis, encore et encore. Donc tu aime ça

— Oui, papa, je suis GAI...

Frédéric étais déjà à remettre ses jeans, quand mon père lui à dis.

— C'est bien ton nom, le jeune, qui encule mon propre fils, dans ma maison.

— Frédéric, Monsieur.

— Alors Frédéric, reste à poil et fini ce que tu as commencé.

— Mais, Monsieur, ça pas de sens.

— Je t'es dis fini ton travail, en homme où préfère tu, que ton père vienne nous rejoindre, pour lui permettre de voir son fils enculé mon fils.

— Non, Monsieur pas ça, s.v.p.

— Alors. Montre-moi, ton savoir-faire.

Frédéric, rouge comme une tomate trop mûre, débandé, revient vers le lit, ne sachant quoi faire... Mon père, nous dit sucé vous en 69 et après encule mon fils, que je vois ça, les préférences sexuels de mon fils. Nous avons commencé un 69 et à se sucé, nous avons re-bandé raide et mon père m'à dit d'offrir mon cul a Frédéric, je me suis levé, debout bien penché et offrant mon cul a Frédéric, mon père c'est approché de moi et m'a dis, de son timbre de voix calme.

— Si mon fils, peut sucer un homme, il peut sucer son père.

Il baissa ses pantalons et sorti un super très gros 8" qu'il me mit dans la face et j'ai ouvert ma bouche, pour lui mangé sa belle grosses queue bandé raide, tout en lui cajolant ses deux grosses couilles poilus, tout en étant bien enculé pas mon amant Frédéric, mon père se tourna, pour que je lui lèche et mange son cul poilu...

Frédéric a crié.

— Je vais jouir...

— Non, pas si vite mon gars, si tu peux enculé mon fils, tu peux te faire enculer par son père, installe-toi comme Martin.

— Mais Monsieur, je ne...

— Pas de MAIS, penche toi et offre ton cul a son père, oubli pas que mon fils viens de cette queue là, alors pour apprécié encore plus mon fils, tu te dois de sentir et goûter la queue qui la conçu, alors penche-toi.

Frédéric, tout penaud, se pencha me regardant dans les yeux, lui qui n'avait jamais été enculé, mon père se cracha dans la main, se passa la main sur son gros gland et dans la craque des fesses de Frédéric et aussitôt lui poussa sa queue dans son cul vierge, bien à fond, d'un seul coup... Frédéric, ne dis pas mot, mais a voir les grimaces dans sa face, j'ai compris sa douleur, il en avait les yeux tout mouillés, dans un silence total, mon père lui a littéralement défoncé son cul vierge et il a continué son manège de va et vient pendant plus de dix minutes et même Frédéric avait retrouvé son sourire que j'aime tant, mon père lui a dis tourne-toi, maintenant tu va avalé le sperme qui à engendré mon fils que tu aime tant, Frédéric se tourna et se mit a sucé la grosse queue de mon père qui lui donna de 5 a 6 grandes giclées de sperme a avalé et Frédéric avala tout en silence. Mon père dit.

Maintenant a toi mon fils de goûter a la queue de ton père, met toi à quatre pattes et il m'encula aussitôt a fond de son gros 22 cm, (super de sentir en soi, la propre queue qui vous à créé) il me défonça virilement pendant de longues minutes avant de me faire tourner et de me faire avaler le même sperme qui avait fais de moi, ce que je suis.

Mon père remis ses pantalons et nous dis.

— Mes enfants aimés vous, comme vous le mérité, mais de grâce, laissé votre mère hors de ça, baissé autant que vous voulez. Mais soyez prudent, mes fils.

— Merci, papa.

— De rien mon fils et je te demande, juste une chose, n'oublie pas que ton père aussi aime le sexe, surtout que ta mère est devenue frigide.

— Pas de problèmes papa, quand vous voudrez, n'est-ce pas Frédéric.

— Oui, monsieur, quand vous voudrez.

— Parfais, je vais vous organiser une fin de semaine de pêche à trois, que vous n'oublierez pas de si tôt...

Cette extraordinaire fin de semaine de pêche, ou nous n'avons même pas pêché, est à venir... Mon père nous avais préparé toute un fin de semaine inoubliable.

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Dimanche 11 novembre 7 11 /11 /Nov 19:36

raclette10

On ne roule pas sur l'or mais grâce au nouveau boulot de ma mère on s'en sort un peu mieux, elle vient d'être embauchée comme attachée de presse d'une grosse marque de voiture américaine. grâce à ses études, elle parle très bien l'anglais quand à moi je me débrouille plutôt bien grâce aux cours que je suis le mercredi après-midi avec mon prof d'anglais, il s'appelle Henry, a 25 ans et est très cool car il me donne ses cours gratuits à domicile. Nadir travaille toujours à l'hôpital et depuis une semaine il n'avait pas baisé ma mère car je ne l'entendais plus crier la nuit alors que d'habitude je l'entendais gémir un bon moment de la nuit sans se soucier de moi, leur relation était devenue normale à la maison.

 

Ma mère a complètement changer de look, de son niqab de maman religieuse elle est passée à maman cougar et elle porte plus souvent des jupes est des dècolletés qui font bien ressortir son importante poitrine, elle dit que c'est à cause de son boulot sinon elle ne l'aurait pas eu. J'y croyais pas mais bon je m'en foutais.

 

On était au mois de mai, la dernière semaine Nadir rentra chez lui à Montpellier, j'avais fini mes cours et je faisais la larve en restant chez moi, c'était un mardi il était 15h, j'étais dans le salon en caleçon je regardais la télé. je me lève faire une douche et m'habiller car mon prof d'anglais n'allait pas tarder à arriver, j'étais douché habillé et mon prof sonna. j'ouvre la porte et il est vêtu d'un short minable blanc et d'un tee short blanc. Ce qui m'impressionnait c'était que son short était tellement petit qu'il lui serrait l'entrejambe, ce qui formait une grosse bosse au niveau de sa bite.

On va dans ma chambre et on s'installe sur mon bureau, il commence par me donner un exercice que je fis. J'étais en plein dans mon exercice quand je sentit sa main sur ma cuisse, mon cœur battait à 100 à l'heure, je ne dis rien et continuai l'exercice et mon prof lui remontait doucement jusqu'à ce que sa main empoigne ma bite, je le regarde et lui dit :

- Monsieur, vous faites quoi, enlevez votre main !

- Tranquille Abdel je veux te donner du plaisir c'est tout !!!

Il me prend ma main, je le laisse faire sans dire un mot et il la pose sur sa bite qui était déjà toute dure.

Je ne savais pas quoi faire et décidai de céder, je commençais à lui appuyer sur sa bite et la libère de son short. il était assis sur la chaise et moi j'étais as genoux entre ses jambes sa bite dans ma main, il me caresse les cheveux et me dit :

- Vas-y Abdel suce ton prof, tu verras c'est super bon !!

Je descends et commence à lui sucer sa queue, j'y croyais pas j'avais une bite dans la bouche et je trouvais ça plutôt cool jusqu'à ce que ma mère entre dans la chambre et me trouve en train de tailler une grosse pipe as mon prof d'anglais. j'étais mort de honte, je me lève et ma mère me met une grosse gifle et me dit :

- Ah ! Tu n'as pas honte de sucer une bite, tu me dégoutes espèce de salope, grosse putain va !!!! Adresse moi plus la parole !!!!

Elle me remit une grosse gifle et me crache sur le visage avant de repartir derrière mon prof qui lui se sauva directement.

 

 

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Samedi 10 novembre 6 10 /11 /Nov 22:50

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J´avais environ 16 ans, l´histoire commence alors que ma sœur était partie et ma mère était à l´hôpital. Mon père m´avait cloué au sol et naturellement a tenté de rentrer en moi; étant le plus fort, il a réussi à me clouer au sol en tenant mes jambes au-dessus de ma tête et naturellement il s´est introduit en moi. Je m´étais juré vengeance et en plus il avait dit une chose qui n´était pas tombé dans l´oreille d´un sourd. «Si tu veux m´enculer, il faudrait que je sois saoul et que je ne sente rien.» Ce jour là, il m´a avoué être bisexuel.

Le temps s´est écoulé jusqu´au jour où j´ai été invité par mon père à l´accompagner à son club de quilles qui fêtait je ne sais plus trop quoi! Puisqu´il m´avait averti quelques jours avant, j´avais pris des dispositions.

Naturellement, j´avais grâce à mon père quelques notions sur le sexe. Alors que la nuit s´avançait, mon père voulait rentrer à la maison, mais dans quel état! Impossible de marcher seul. Il a fallu que je le soutienne et naturellement pendant le chemin du retour, j´en profitais pour caresser ses fesses. Nous devions passer par le cimetière et j´en profitais pour le conduire aux toilettes où j´avais grâce à mon mobil fait venir un copain. J´allais maintenant jouir de ma vengeance.

Je le déshabillais et l´asseyais sur mon copain qui le prit ainsi ensuite il l´allongea sur le sol et nous avons pissé sur lui. Ensuite mon copain mit sa queue dans la bouche de mon père et quand celui-ci sentit cela, il commença à têter comme un fou. Quand mon copain eut fini, il partit mais moi aussi j´avais envie aussi. Je mis la mienne dans sa bouche et cela lui plaisait.

Il fallait quand même rentrer à la maison, et nous devions encore traverser un petit bois que je connaissais bien. Arrivé à la petite clairière, je le couchais sur le ventre et lui descendais son pantalon. J´avais pris soin d´emmener un dildo de mon père (25x5cm) que naturellement je mouillais avec ma salive et je l´enculais avec ce dildo. Au départ, il me suppliait d´arrêter mais petit à petit, ses cris devinrent des gémissement. Maintenant qu´il était prêt, je pus moi-même le prendre.

Il était vraiment temps de rentrer.

Naturellement, il y avait pris goût et moi aussi, c´est pourquoi quand ma mère n´était pas là, il en profitait, et moi j´aimais sa queue maintenant et surtout la sentir en moi. J´aimais aussi son jus dans ma bouche mais aussi sur mon visage. Non seulement chez nous mais dans la voiture, le bois, même des parties organisées où avant, je prenais soins de le faire boire ainsi nous pouvions abuser de mon père avec des élèves de ma classe et quand tous étaient vidés et mon père bien plein, je lui donnais ce qu´il aimait bien: ma pisse à boire et naturellement mon bon jus de jeune mâle.

Mon père est mort j´avais à peine 18 ans, mais entre 16 et 18 ans, ce fut pour moi les plus beaux moments de satisfaction.

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Dimanche 4 novembre 7 04 /11 /Nov 21:53

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cette histoire s’est déroulée il y a quelques années en Irlande, où, à l’âge de 20 ans, j’avais décidé de passer une année à l’université pour perfectionner mon anglais. La famille d’accueil qui m’avait reçu était composée de quatre personnes: Gabriel, le père avait une cinquantaine d’années, il était marié avec Marjorie et ils avaient deux enfants, Paula, qui avait le même âge que moi et suivait les mêmes cours et Sean qui en avait 15 ans.

Je fus un peu surpris par la climat familial en arrivant mais je réussis à m’y habituer. Gabriel avait été séminariste et même je crois bien prêtre, puis il avait rompu ses vœux. L’ambiance du foyer était donc très pieuse, voire austère. C’était plutôt le genre col de chemise fermé jusqu’en haut, prière avant tous les repas et messe bien sûr le dimanche. Par ailleurs, Marjorie était une maniaque absolue du ménage et de la propreté. Tout brillait dans la maison, y compris ses habitants. J’avais donc réussi à me plier à ses rites, cela avait même freiné ma sexualité qui n’était pas très développée. Si en France j’avais l’habitude de me branler dès que je bandais, notamment le soir ou le matin, ici j’avais à peu près arrêté, de peur de laisser des traces compromettantes.

Je n’arrivais pas trop à m’intéresser à des vraies relations sexuelles avec des filles, je n’avais couché que deux fois. Pour la forme, j’avais tenté de draguer Paula mais cette dernière était un vrai bloc de glace avec moi. Assez rarement, la famille avait fait des repas de fête, dont bien sûr pour Noël, où exceptionnellement on avait droit de boire ces délicieux whiskys locaux. Bref, l’année s’écoula, relativement terne, et je commençais à me préparer à passer l’examen final, attendre les résultats, puis fêter mon départ.

On y arriva doucement et puis un jour fut fixé. Je sentais que Marjorie stressait car elle voulait que tout soit impeccable. Sean, qui m’avait toujours semblé triste, le paraissait de plus en plus. Quant à Gabriel, il restait toujours aussi distant. Le soir venu, je contemplai l’organisation de la salle à manger. La table avait été poussée contre un mur, on y avait placé des sandwiches, un saladier contenant un liquide alcoolisé. Il y avait quelques cotillons. Ils étaient tous installés dans le coin salon sur le canapé et se levèrent pour venir m’embrasser. J’allai avec Paula dans la cuisine pour l’aider au service quand celle-ci me glissa dans l’oreille que pour que ce soit plus fun, elle avait corsé le cocktail. Cela m’émoustilla un peu, il y allait avoir de quoi s’amuser. Et en effet, Gabriel se servait copieusement, en ne m’oubliant pas.

À un moment, il voulut me faire goûter une liqueur traditionnelle locale. Tous me regardèrent avec curiosité ou amusement quand je commençai à déguster. C’était à la fois doux et onctueux mais traître car je sentis une grande chaleur en moi. Petit à petit, j’avais de plus en plus soif et seul l’alcool me rassasiait. Paula avait mis la musique et dans un brouillard naissant, je la voyais qui commençait à danser. À un moment, il me sembla qu’elle avait enlevé tee-shirt et sous-tif. Quelques minutes plus tard, je la vis soulever sa jupe. Je crus qu’elle y glissait un objet. Ce fut ensuite le trou noir.

Quand je repris conscience, avant même d'ouvrir les yeux, je sentis que j'étais allongé sur quelque chose de dur, que j'étais entravé et quelque chose me passait sur les lèvres. Une odeur très forte finit par me faire émerger. Je crus être dans un rêve, cela m'arrivait souvent d'en faire d'érotiques, mais je finis par prendre conscience que Gabriel me passait sa queue en semi-érection sur le visage. Je voyais son slip un peu abaissé et à voir la couleur, je compris l'origine de la senteur. En fait, j'étais allongé nu sur la table, mes mains et mes pieds attachés par des cordages. J'étais placé de telle façon que ma tête pendait un peu en arrière, ce qui me permettait de voir Gabriel par en dessous, du haut de ses cuisses à son torse puisqu'il avait sa chemise ouverte. Mes jambes pendaient dans le vide de l'autre côté, mes fesses étant juste sur le rebord.

Quand il vit que j'étais éveillé, Gabriel commença à bander. Son gland décalotté laissait voir qu'il n'avait aucune hygiène intime. Cela me surprit, mais ce n'était pas cela qui me préoccupait le plus. Qu'allait-il m'arriver? Il me saisit alors par le cou et parvint à me faire ouvrir la bouche où il engouffra son gourdin qui durcit encore en y entrant. Je n'eus même pas le réflexe de mordre et de toute façon, je crus pendant quelques secondes que j'allais étouffer. Intuition naturelle? Je sentis ma langue appuyer le dard et monter le long du gland. De toute façon cela ne dura pas longtemps quand j’aperçus sa crème se déverser en moi. Il se retira, son sperme épais commençant à me dégouliner le long des commissures. L'alcool devait faire de l'effet car je trouvais ça tout à fait normal, je me sentais extérieur à moi-même.

Sa bite n'avait pas eu le temps de ramollir qu'il se dirigea vers mon cul et reprit son manège. Il me la passait de haut en bas dans la raie. Tout en m'injuriant copieusement il me cracha sur l'anus et quand il estima qu'il était prêt, il me perfora d'un coup net. Je ne pus m'empêcher de hurler, des larmes me montèrent aux yeux. Malgré ma vision brouillée, je vis quelqu'un se relever du canapé où il devait être allongée, c'était Paula qui nous regardait en souriant bêtement. Son père se déchaîna en moi. Pour que ça glisse mieux, il versait du reste du punch qui était dans le saladier et pour faire taire mes cris qui s'étaient transformés en gémissements; il m'en faisait couler aussi dans la bouche. En effet, la chaleur du ramonage me procurait des sensations extraordinaires. Je m'étais mis moi aussi à bander et sans me toucher, j'éjaculai par de longs jets dont l'un vint s'écraser sur mon visage. Gabriel était rouge vif. Dans un dernier ahanement, il se retira pour s'écraser sur moi. Je sentais son sperme chaud s'étendre sur mon ventre. Il partit et s'affala sur le fauteuil où 30 secondes plus tard il se mit à ronfler.

Tout à coup, je sentis les liens se distendre et je parvins à me libérer. Je marchai en écartant les jambes car j'avais le cul bien éclaté pour m'approcher du canapé où était Paula. Lorsque je la vis, je fus soufflé par le spectacle. Marjorie était couchée, les yeux révulsés, se passant la langue mécaniquement sur la bouche comme si elle était en transe pendant que sa fille la léchait avec avidité tout en se doigtant. Elles jouissaient toutes les deux en symbiose et cela m'excitait. Je voulus m'approcher mais Paula me repoussa. Une certaine nausée due à l'alcool s'empara de moi et je décidai de monter à ma chambre en titubant.

Il y eut un second trou noir et quand j'ouvris les yeux je me retrouvai allongé sur mon lit. Combien de temps s'était passé depuis l'épisode de tout à l'heure? De plus, Sean était lové contre moi, je sentais sa jeune verge bien dure qui frémissait contre ma cuisse. La tournure des événements devenait extraordinaire, sortais-je d'un rêve? En recommençais-je un? Il entreprit de me lécher le cul et je compris malgré la douceur et la fraîcheur de sa langue que celui-ci avait bel et bien été forcé. Je me décidai à l'arrêter et lui posai des questions.

— C'est ton père qui m'a fait ça? Je ne l'ai pas imaginé?

— Non, m'avoua-t-il. Mais je suis là pour que tu lui pardonnes; prends-moi à ton tour.

Sa tendresse m'avait excité, et tout ce temps passé sans me vider régulièrement les burnes me poussèrent à accepter son offre. Je voulais être plus attentif que son père. J'ouvris ses petites fesses musclées qui cachaient un petit trou imberbe. J'appuyai par petits coups pour qu'il puisse petit à petit me laisser entrer. Quand j'y fus, j'étais délicieusement serré. J'entrepris de le pilonner de plus en plus fort. L'envie me poussait à devenir plus exigeant. Je le voyais se serrer les lèvres, je lui fis mordre un de mes doigts. J'accélérai alors encore la cadence et je finis par me répandre en lui. En passant ma main pour lui caresser le sexe, je me rendis compte qu'i avait joui aussi. Je pris tout de même son sexe en bouche pour le lui nettoyer. Il avait un goût frais et je dirais, fleuri. Je lui fis remarquer que par rapport à son père, c'était le jour et la nuit. Il avoua alors que Gabriel, par croyance, ne se touchait jamais le sexe, ni lorsqu'il se lavait, ni même lorsqu'il pissait, de même il ne changeait de sous-vêtements que très peu. Nous finîmes par nous endormir après bien des révélations.

Quand je me réveillai, je m'aperçus que j'avais retrouvé mon pantalon de pyjama habituel. Je descendis prendre mon petit-déjeuner et ils étaient tous les quatre à table comme d'habitude. Nous fîmes la prière et je commençais à penser que j'avais décidément rêvé. Mais alors pourquoi lorsque je m'assis sur les chaises pourtant confortables, je sentis une douleur m'élancer aux fesses?

 

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Dimanche 4 novembre 7 04 /11 /Nov 00:07

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J’étais sorti avec Sylvain (j’étais désormais avec Anna), un lycéen comme moi n’avait pas forcément encore choisi vers quel sexe il se destinerait. D’ailleurs, ça ne me gênait pas et c’était de notoriété publique. Anna le comprenait très bien et quand nos relations devinrent plus poussées, elle me présenta à David, son père. Ce dernier vivait seul, de petits boulots, on aurait cru un ado attardé malgré ses 42 ans. Je sympathisai rapidement malgré quelques détails qui ne me plaisaient pas trop. Il draguait ouvertement les amies de sa fille, me parlait beaucoup de sexe dans nos discussions particulières avec force détails, parfois bien gras. Je savais qu’il lisait des revues de sexe, regardait beaucoup de films X, était souvent branché sur Internet sur des sites pornos.

Nous avions décidé de faire se rencontrer nos familles respectives, si bien que l’été suivant, on loua une maison à la campagne. David entreprit de séduire ma mère et il y parvint car un soir que je me promenais seul à attendre Anna, je le vis entre les jambes écartées de maman en train de la lécher. Et dire que mon père ne se rendit compte de rien!

Deux jours après, j’étais en train de nettoyer la douche, enfermé dans la cabine, quand j’entendis quelqu’un entrer et fermer la porte derrière lui. Comme il y avait également des WC, je sortis pour prévenir de ma présence. C’était David; il ne fut même pas décontenancé. Il baissa son short, s’assit sur les toilettes et commença son œuvre. Il avait une revue X dans les mains et était venu pour se branler. Il se prit sa queue qui était décalottée et bien droite et commença son va-et-vient. J’étais interloqué. Il me dit qu’entre mecs, ce n’était pas gênant, qu’il se masturbait une à trois fois par jour depuis qu’il était ado, qu’il l’avait fait plus d’une fois devant d’autres, notamment dans son club sportif et que je n’avais qu’à le faire aussi, ça l’exciterait moins qu’une fille se doigtant mais c’était toujours entraînant. C’était un rapide car il éjacula rapidement et se réajusta aussi vite. Il me dit en partant: "Tu devrais faire pareil, je parie que tu as la gaule!" Et en sortant, il me saisit le paquet qui en effet était à l’étroit. Je restai seul comme un idiot et je poursuivis mon nettoyage. En regardant dans la cuvette des WC, je vis qu’il y avait encore une petite coulée de sperme. J’y mis mon doigt et je l’approchai de mon nez. Ça me rappelait mes quelques expériences gaies.

Cet épisode renforça «l’affection» de David vis-à-vis de moi. Il me parlait désormais souvent de ses branlettes, me demandait quand je le faisais, la taille de ma queue, etc...

À l’issue des vacances, Anna et moi ne nous retrouvâmes pas dans la même classe. Elle eut de nouveaux amis et plus particulièrement Sonia et Franck. Sonia était superbe et me troublait, mais que dire de Franck qui faisait craquer toutes les filles et sans doute bien des garçons. Sonia et Franck n’étaient pas ensemble et je compris que ni Anna, ni son père n’y étaient comme moi insensibles. David m’avoua qu’il voulait la baiser et était prêt à un plan à trois avec ces deux-là. Anna s’écarta de moi petit à petit. Et puis un jour elle me dit qu’elle voulait rompre pour aller avec Franck. J’étais déçu mais nous restâmes amis et je continuai à voir son père. Ce dernier avait essayé pas mal de trucs pour séduire Sonia.

Comme j’étais désormais célibataire, j’entrai dans son jeu et lui proposai un plan à quatre ou cinq pour l'émoustiller. Il me dit qu’il allait mettre ça au point puis un jour il abandonna. Je vis qu’il avait changé. Tout en restant obsédé, il était davantage réservé. Nous allions tous les cinq à la piscine une fois par semaine et je découvris les raisons de son changement.

Franck mettait toujours un temps fou pour arriver au bassin. Or ce jour là, au moment d’entrer dans l’eau, David prétexta une excuse pour retourner au vestiaire. Je laissai les filles plonger et je le suivis quelques minutes plus tard. Arrivé dans les cabines, une seule était fermée, je me penchai pour regarder et vis qu’il y avait deux personnes. Les bruits n’étaient pas équivoques: gémissements et frottis. Je n’eus pas à attendre longtemps, caché dans une autre cabine. Je vis sortir Franck et David. Il avait donc des rapports sexuels avec le petit ami de sa fille. J’enquêtai auprès de cette dernière. Elle m’avoua que Franck n’était pas intéressé par le sexe et qu’ils n’avaient pas encore couché ensemble.

Le week-end suivant, nous étions à nouveau tous les cinq. Anna et Sonia partirent se coucher et je sentis que David me poussait à faire pareil. Je fis semblant de suivre ses conseils et attendit un peu. En fait, il regardait le porno de la nuit avec Franck et à un moment, ils se mirent à baiser. David encula Franck puis lui demanda de le sucer. Je montai dans ma chambre quand je surpris d’autres bruits. J’étais vraiment naïf: Sonia et Anna couchaient ensemble! Décidément, ils me cachaient un peu trop de choses et je sentais ma part homo qui revenait.

Je repris mes questions auprès d’Anna, elle m’avoua quand je lui révélai ce que je savais. C’était son père qui, s’étant cassé les dents sur Sonia, avait dit à cette dernière d’essayer avec elle et que s’étant montrée très entreprenante, elle avait cédé et ne le regrettait pas. Je lui demandai alors si elle savait pour son père et Franck. Elle m’informa alors qu’il avait vécu avec des mecs avant de se marier avec sa mère.

Nous étions arrivés aux vacances de Noël. Franck était parti temporairement, David avait un intérim d’animation commerciale et il m’avait fait recruter en job étudiant. Il était déguisé en père Noël et accueillait les enfants sur une estrade à qui je donnais des cadeaux quand je ne faisais pas aussi un petit spectacle. Ce jour là, je jouai un grand enfant qui venait déposer sa liste. Je vins, devant tout le monde, m’asseoir sur les genoux du père Noël. Je lui demandai comme prévu ce que je voulais, tous nos petits spectateurs riaient. Mais David me répondit tout bas à l’oreille que j’étais assis sur ses parties intimes et que ça le faisait bander. Il croyait me provoquer une fois de plus? La situation me plaisait, si bien que je commençai à me dandiner pour accentuer les frottements et le plus discrètement possible je posai ma main et me mis à masser sa bite que je sentais palpiter sous son grand pantalon rouge. Il me traita de grosse vicieuse mais il ne pouvait pas s’y soustraire. Je tenais là une petite vengeance d’avoir été laissé sur le carreau et faire ça incognito m’excitait.

Lorsque nous nous retrouvâmes à la loge, David était mi en colère, mi content. "On aurait pu nous voir!" me disait-il. Et puis après un temps d’arrêt: "Maintenant je suis super excité!" J’avais perdu toutes mes inhibitions et lui lançai que je pouvais remplacer Franck. Sans réfléchir plus, je me mis à genoux et entrepris de le sucer. J’avais la queue du père Noël dans la bouche et sa barbe blanche frottait le haut de ma tête pendant que j’étais à l’œuvre!

Le soir-même nous retrouvâmes tous les deux pour une partie de sexe qui fut mémorable, et que l’on ouvrit, dès son retour de vacances, à Franck, puis à d’autres garçons et filles de tous âges.

 

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Samedi 3 novembre 6 03 /11 /Nov 10:02

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(*la teub de mon oncle)

Cette histoire s'est déroulée il y a bien des années, à une époque où on n'avait pas toutes les possibilités actuelles de voir (photos, films, sites) ou d'entendre parler des homos. Bref, j'avais 16 ans, j'étais passionné par la nature et je me suis retrouvé à partir une semaine en camping sauvage avec mon oncle Paul, en semi-montagne. Paul était un grand gaillard de presque deux mètres, super musclé, sportif, il jouait dans un club de rugby, était très poilu avec la touffe qui dépassait du col de ses chemises ou de ses pulls, toujours l'ombre d'une barbe naissante et une grosse moustache. J'étais très naïf et émerveillé par sa virilité.

Le premier soir de camping après le repas, je n'avais pas hésité à lui caresser le poil sous le menton et ma main avait glissé sur son torse puissant. Ça m'avait électrisé tandis que lui rigolait. Le même soir, je lui fis la bise avant de dormir, comme je faisais à mes parents chaque soir et je me fis traiter de bébé.

Le lendemain, un brusque changement de température me donna si froid, qu'il décida d'accrocher nos deux sacs de couchage ensemble. Je fus un peu troublé de voir entrer son grand corps musclé et couvert de poils, juste vêtu d'un mini-slip d'où dépassait une forte toison dans le duvet. Je me suis réveillé le matin blotti contre lui, la tête sur sa poitrine et la queue en érection. En se réveillant, il heurta ma bite et rigola. Je vous ai dit que j'étais naïf, je lui ai répondu droit dans les yeux: ça te fait rire mais pas moi, je ne sais pas ce qui m'arrive, ça le fait de plus en plus souvent, d'ailleurs quand je pense à toi ça augmente et cette nuit j'ai rêvé de toi et ça me serrait dans mon slip.

Il m'a regardé un peu interloqué et m'a proposé de me montrer comment faire pour faire retrouver à mon sexe son état «naturel»; il m'a branlé doucement et très peu de temps après, j'avais deux gros jets qui ont éclaboussé mes vêtements posés à quelques mètres. C'était la première fois, je me sentais tout bizarre. Nous n'en avons pas parlé de la journée mais le soir quand je me suis retrouvé avec lui dans le duvet, ça a recommencé. Toujours aussi idiot, j'ai demandé à Paul la même chose que le matin mais il a grommelé: "Tu peux le faire toi même." Je me suis donc exécuté en prenant garde d'avoir un mouchoir pour récupérer ce liquide inconnu.

Mais au petit matin, en bougeant, j'ai senti que c'était Paul qui avait besoin que je m'occupe de son sexe et avant même qu'il ne se réveille, j'ai commencé à le branler. J'étais très impressionné par sa taille, ce poil, ces deux grosses couilles que j'avais sorties de ce son slip trop petit. Il s'est réveillé soudainement en arrêtant ma main et en me disant: "Mais qu'est-ce que tu fais?" J'étais tout content de moi, alors je lui ai répondu: "Mais je te rends la pareille, il ne faut pas?" et j'ai repris sur le champ mon travail. Il a dégorgé quelques secondes plus tard, mais sans jet, il avait plein de sperme entre son nombril et sa queue. Très curieux, j'ai mis ma main dedans et je l'ai étalé un peu. Il m'a demandé alors de chercher une serviette.

Il a fini par m'expliquer qu'on pourrait continuer à le faire tous les deux mais qu'il ne fallait pas le dire. J'étais ravi! J'ai attendu le soir et là ça c'est passé différemment. Paul me branlait, je lui ai dit que ça allait venir quand il a pris ma bite dans sa bouche et a tout récupéré. Je sentais les poils de sa moustache, quelle extase! Il est sorti de la tente pour cracher et j'avis envie de lui faire la même chose, même si sa «sucette» m'impressionnait. Il était là allongé nu sur son duvet, je me suis couché sur lui, j'avais la tête au niveau de ses aisselles. Je me suis laissé emporter, tout a été naturel, je lui ai léché le dessous des bras, c'était dense, humide, puis il m'a fait arrêter sur ses seins. Après, ma langue a tenté de se frayer un passage entre ses poils pour arriver au nombril. Paul gémissait.

Arrivé à sa queue, il a pris ses couilles entre ses mains et a remonté ses jambes. J'avais en ligne de mire son gros dard et sa raie où le poil humidifié m'attirait, j'y ai passé la main puis surmontant mon appréhension, j'ai commencé à le lécher. Il s'est légèrement cambré et je me suis retrouvé face à son anus. Il m'a alors redressé la tête et m'a fait prendre sa bite en bouche, je ne pouvais engloutir que le gland d'où perlait un peu de precum. Nous nous sommes mis en 69 et là j'étais complètement grisé, sans plus savoir ce qui se passait. Nous nous sommes embrassés, puis avons repris nos fellations simultanées. J'ai joui rapidement dans sa bouche. Il est venu alors se servir de mon sperme pour me lubrifier l'anus puis il a approché son sexe énorme qui était prêt à exploser. J'ignorais tout jusqu'à cette soirée, j'ai tout découvert d'un coup. Il a glissé en moi doucement, centimètre par centimètre et sans même faire de va-et-vient quand tout a été entré il a joui. J'ai senti son bonheur.

Nous avons continué toute la nuit, il m'a laissé le prendre, malgré mon sexe plus petit que le sien, car il voulait faire de moi un homme.

À la fin du séjour, Paul a retrouvé sa femme et ses enfants et moi je ne souhaitais que partager ce nouveau savoir.

 

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Mercredi 31 octobre 3 31 /10 /Oct 13:57

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*mon pére 

Bonjour, je me présente, je m'appelle Dave et j'ai présentement 19 ans. Je suis un très beau jeune homme. Bien sûr, je vais me faire un plaisir de me décrire pour votre plaisir messieurs!!!

Je suis assez grand, c'est à dire 1.80, je pèse 65 kl et je suis musclé. J'ai les cheveux noirs et les yeux vert. Je porte des lunettes, mais puisque je n'aime pas le style que ça me donne, mes verres sont teinté. Je porte toujours les cheveux coupés courts et je n'ai pas de barbe ni de moustache. J'ai un peu de poils sur le torse, les bras et les jambes. Juste assez pour que je sois doux au toucher. Et bien sûr, j'ai un sexe qui, sans être énorme m'est vraiment utile quand je me trouve dans un lit. Il fait 18 cm et je suis circoncis!!!

Maintenant que vous avez ma description, je peux maintenant passer à l'histoire que je voulais vous raconter! Celle-ci c'est passé il y a 5 ans environ. J'avais 14 ans, bientôt 15. Cela ne faisait pas longtemps que j'avais découvert les plaisir de la masturbation, et je dois avouer que je m'y adonnais maintenant à coeur joie!!! Étant assez sportif, j'avais eu à plusieurs reprises la chance de voir mes meilleurs amis à poils dans les douches. C'est à ce moment que j'ai réalisé que je ne pouvais détacher mes yeux d'un corps d'homme nu. J'adorais les voir se laver, se caresser doucement et même parfois bander dans les douches! Dès que je voyais qu'un de mes amis bandait, je me rapprochais de lui pour avoir une meilleur vue sur son engin! Et dès que j'avais fini de me laver, je courais dans les toilettes pour me branler, et je me vidais les couilles en pensant à eux!!!

Malheureusement, jamais je n'ai osé approcher un de mes amis, ni même le toucher "sans le faire exprès". Je me contentais donc de mes fantasmes. Mais je vais laisser mes fantasmes de côté pour en revenir à mon histoire principale.

Mon père et ma mère sont divorcé depuis 2 ans et je vis chez mon père une semaine sur deux tout comme mon frère de 17 ans. Un nuit que j'étais chez mon père et que je ne pouvais pas dormir, je me suis levé pour aller me prendre un verre de lait dans la cuisine. Sans faire le moindre bruit, je suis allé boire et manger un morceau. J'avais presque fini dans la cuisine quand j'ai entendu quelqu'un se déplacer dans la maison. Puisque j'étais nu et que je ne voulais pas qu'on me vois ainsi, je me suis caché dans un coin noir de la cuisine. Tout à coup, je vois un grand corps dans la cuisine, puisque mon père et mon frère ont la même silhouette, je ne pouvais encore voir qui c'était. Quand la porte du frigo s'est ouverte, j'ai enfin pu voir qui c'était. Il s'agissait de mon père! Mon dieu! J'ai faillis laissé échapper un cri de surprise et d'excitation quand je me suis rendu compte qu'il était nu! Son corps était fantastique, il était musclé et il n'avait pas un poil sur le corps! Jusqu'à son sexe qui était rasé de près! Et sa queue! Il avait une queue superbe, je me suis dit qu'il devait environ avoir 20 cm de queue circoncis et elle était même pas bandée!!!

Moi cependant, j'étais bandé comme un petit diable de mes 18 cm d'alors et je mourrais d'envie d'aller me branler. Ce que j'ai fait une fois que mon père est parti de la cuisine!

Deux jour plus tard, j'avais encore une insomnie et je ne pensais qu'à une chose. La queue de mon père m'obsédait! Je voulais la voir encore! Je me suis dit que, puisqu'il était nu pour aller à la cuisine, il devait dormir nu! Je suis donc allé dans sa chambre sur la pointe des pieds! Le diable devait être avec moi, puisque en effet, il dormait nu, mais j'ai pu m'en rendre compte sans difficulté puisqu'il était sur le dos et il n'avait pas la couverture sur lui. Et mon dieu! Il était bandé! Je voyais pour la première fois de ma vie mon père bandé, ce qui m'a donné une érection terrible! Il devait bien avoir 9" de queue une fois bandé, mais elle était pas tellement large. Je me suis doucement approché du lit pour mieux voir et j'ai pu voir quelques gouttes d'un liquide clair sur le bout du gland. Je savais ce que c'était puisque j'en faisais déjà moi-même, c'était du précum. Je ne pus m'empêcher de toucher à la belle grosse queue de mon père. D'abord doucement, avec le bout de mes doigts, j'ai touché la base de sa queue et j'ai remonté jusqu'au bout du gland et j'ai touché son précum. J'en ai pris sur mes doigts et je les ai portés à ma bouche. Hummmm!! C'était bon, salé pas mal, mais bon.

J'ai finalement décidé de prendre la queue de mon père à pleine main pour essayer de le masturber un peu. On aurait dit que sa queue devenait de plus en plus grosse dans ma main. Mais ce que j'avais oublié, c'est que mon père avait un sommeil assez léger. Il s'est subitement réveillé et m'a regardé droit dans les yeux avant de me donner une bonne claque sur le bras.

— Tu fais quoi la toi mon salaud? m'a-t-il dit.

— Je suis désolé papa. C'est que je crois que je suis attiré par les garçons et surtout par toi.

— Non, c'est pas vrai! Mon fils est une tapette! Tu vas voir mon petit maudit! Je vais te guérir une fois pour toute de cette maladie, me dit-il avec un rictus mauvais sur les lèvres.

Il m'a empoigné par le bras, m'a bousculé sur le lit et s'est placé par dessus moi, assis sur mon torse. Il m'étouffait un peu à cause de son poids. J'avais sa belle grosse queue juste devant ma face et il s'est encore approché pour que je prenne sa queue dans ma bouche. Il a poussé et m'a fait mal aux lèvres, j'ai donc dû les ouvrir et il en a profité pour tout me pousser dans la bouche, c'était tellement gros, que je me suis étouffé!

Il a eu pitié de moi ou a eu peur que je le morde, toujours est-il qu'il est ressorti de ma bouche pour me laisser tousser, mais il est tout de suite après revenu à la charge. Heureusement, je commençais à être habitué et j'ai pu l'accepter plus facilement. C'était la première pipe que je donnais et elle me faisait mal aux lèvres, mais j'aimais ça quand même. Sa queue était dure, chaude dans ma bouche! Je jouais avec son gland dans ma bouche. Il s'est donc aperçu que j'aimais ça et il est allé de plus en plus vite pour me faire mal. Mais cela avait l'effet contraire sur moi, je me branlais très fort en le suçant!

Tout à coup, un orgasme puissant m'a donné un énorme frisson dans tout le corps et je me mis à jouir. J'ai éjaculé tellement fort que mon père en a eu dans le dos.

— Maudit! a-t-il crié. Tu aimes ça on dirait mon petit salaud! Alors, je vais devoir faire autre chose pour te guérir de cette cochonnerie de maladie de fifi!

Il est ressorti de ma bouche et m'a tourné sur le dos. J'ai eu terriblement peur, car je savais ce qu'il voulait faire puisque j'avais déjà vu des revue où des gars s'enculaient.

— Non papa, fais pas ça! Lui ai-je dis en pleurant. Ça va me faire trop mal!

— Tu sais très bien que toutes les fifis font ça mon ti-salaud. Alors, même si tu as mal, je m'en fiche, ça va t'apprendre à être tapette.

Alors, il m'a pris par les hanches et m'a poussé tout son gros 9" de queue dans les reins. J'ai lâché un très gros cri de douleur, mais mon père s'en fichaist. Il me donnait des claques sur les fesses et me fourrait comme un diable. Tout à coup, j'ai commencé à avoir moins mal et je me suis remis à bander. Mon père s'en est aperçu et comprenant que j'aimais ça, il a commencé à me branler en même temps. Je crois qu'il avait compris que je ne changerais pas.

Il m'enculait terriblement fort et j'aimais ça. Tellement que je lui ai joui dans la main. Ça m'a fait serrer tellement fort les fesses qu'il en a crié de plaisir. Il m'a étendu tout mon jus de jeune homme dans la face et s'est retiré d'un seul coup de mon cul pour se mettre devant moi. Il m'a forcé à le sucer encore et il m'a joui dans la bouche. Que c'était bon. C'était plus salé que le pré-cum et beaucoup plus épais. J'ai essayé de tout boire, mais ça me coulait sur le menton.

— Je vois que tu as aimé mon petit fifi. Puisque je peux pas te guérir, je vais en profiter tout les soir maintenant.

— Ok papa. J'aime tellement ça, lui ai-je répondu.

Et il m'a dit de sortir et d'aller me coucher. En me retournant, j'ai cru voir une ombre bouger et je suis sûr que c'était grand frère. Je me suis donc dit que je devais absolument lui faire connaître tout ça! Mais ça, c'est une autre histoire.

Si vous voulez la connaître, dites-le moi.

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Mardi 30 octobre 2 30 /10 /Oct 00:07

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Je m’appelle Julien. Je suis brun, 1m84, mince mais pas musclé.

Mes premières relations sexuelles eurent lieu lorsque j’étais au lycée en seconde. J’étais un élève plutôt réservé, et cette année là j’étais devenu le bouc-émissaire des mecs de ma classe. Je crois c’est parce que j’étais devenu gros et que je m’entendais bien avec les professeurs vu que j’étais assez bon élève, d’où les surnoms dont on m’affublait quotidiennement : le gros, le mange-boule, le lèche-cul, le bourrelet… Le moment le plus critique pour moi était lors des cours de sport : j’étais toujours choisi en dernier, ils ne m’incluaient jamais dans le jeu (sauf en tant que gardien de but au foot, histoire de me recevoir les ballons dans la gueule et d’avoir une victime au cas où mon équipe perdrait le match) et ils se moquaient toujours de moi en endurance.

Un élève de ma classe en particulier semblait avoir une dent contre moi, Igor. Il prenait plaisir à m’humilier à chaque fois qu’il me voyait, en soulignant bien que je n’avais aucun ami, contrairement à lui qui était constamment entouré des élèves les plus cool de la classe, voire du lycée. Il n’était pas le plus beau, mais il avait un petit truc en plus qui faisait craquer les filles, ou les garçons comme moi qui se cherchaient encore. Il était brun, aussi grand que moi, avec un regard et un sourire qui me paraissait souvent pervers, voire sadique. J’aurais fait beaucoup pour qu’il change d’avis sur moi et qu’il me prenne sous sa protection.

Les mois passaient, tous identiques jusqu’au jour où le prof de latin était tombé malade. C’était un samedi matin, en février, et il faisait plutôt froid. Comme je n’avais pas d’autres cours, je me décidais de rentrer chez moi. Mais avant, je devais passer aux WC, à cause d’une envie pressante. Comme je croyais que j’allais être en retard en cours, j’étais parti de chez moi sans avoir pissé et là, je ne pouvais plus me retenir. Les cours ayants commencé, il n’y a personne dans la cour ; j’allais donc être tranquille aux WC le temps de faire la vidange. Je m’installe devant l’un des urinoirs pour pisser. Les WC étant dans la cour de récréation, il fait un froid de canard et j’ai bien du mal à prendre ma bite qui n’était déjà pas bien grande. Quand enfin j’y arrive et que je me mets à pisser, un mec se met devant l’urinoir à côté de moi. C’est Igor. Lui aussi n’avait pas eu cour de latin, mais je ne pensais pas le revoir de sitôt. Il ne pisse pas et se tourne vers moi en me disant :

— Il fait froid hein ?

— Heu… oui…

— J’ai envie de pisser là, tu y arrives toi ?

— Oui Igor…

— Montre !

À cet instant, il me prend la bite et dirige mon jet de pisse sur mon torse. Heureusement, j’avais presque fini, mais quelques jets de pisse étaient quand même arrivés sur sweat-shirt. J’étais interdit, sur le cul, incapable de réagir. C’était la première fois qu’on me touchait la queue et j’étais terrifié par le fait de m’être pissé dessus. Igor souriait et me tenait toujours la queue dans la main, en la serrant de plus en plus.

— Tu as une petite bite tu sais ? J’ai eu du mal à la prendre. Oh ! Regarde ce que tu as fait, tu m'as mis de la pisse sur la main. Il va falloir réparer ça.

Il m’a alors tiré les cheveux et foutu un coup derrière les jambes pour que je tombe à genoux devant lui. J’ai eu très mal et j’étais paniqué en pensant au drame que ce serait si quelqu’un nous surprenait, moi la bite à l’air libre à genoux devant lui. Tirant plus fort sur les cheveux, il m'a fait lécher sa main couverte de ma pisse. C’était à vomir et je me sentais sali comme jamais je l’avais été. Voyant que je ne me laissais quand même pas faire, il essuya sa main sur mon visage et me crachat à la gueule. Puis, il me tira jusqu’à l’une des cabines, la plus éloignée de la porte d’entrée. Il pointa alors un doigt inquisiteur en direction du mon sexe. Je me suis rendu compte avec effroi que je bandais.

— Je vois que ça t’excite le mange-boule. T’es PD ? En tout cas j’avais raison, tu as vraiment une toute petite bite. Bon maintenant tu vas faire ce que je vais te dire si tu ne veux pas que je raconte à tout le monde que tu t’es pissé dessus aujourd’hui. Tu vas te foutre à poil, à genoux les mains derrière la tête, et tu vas boire toute ma pisse sans en laisser tomber une goûte. Car je te préviens, si tu n’es pas coopératif, je te pisse dessus et tu devras rentrer chez toi recouvert de pisse.

Je ne sais pas ce qui m’a pris, mais je lui aie obéi. Je me suis déshabillé entièrement et j’ai pris la position demandée. J’avais peur de rentrer chez moi couvert de pisse et je pensais naïvement que peut-être il allait plus m’apprécier si je lui obéissais. Il a sorti sa bite ; elle était au repos mais déjà me semblait énorme en comparaison de mon petit asticot ; surtout elle était poilue alors que je n’avais que quelques poils qui se battaient en duel. Elle sentait mauvais et quand il a commencé à décalotter, j’ai vu des traces blanchâtres. Il a engouffré sa queue dans ma bouche et a commencé à pisser doucement pour me laisser le temps d’avaler. Le goût était fort, et je n’arrivais que difficilement à avaler. Le gros de sa pisse débordait pour atterrir sur mon menton et dégouliner sur tout mon corps. Une fois fini, il s’est cassé.

Je suis resté plusieurs minutes nu sur le carrelage froid de la cabine. Après m’être essuyé avec du papier toilette, je me suis rhabillé pour rentrer le plus vite chez moi et me prendre une douche en tentant de ne pas croiser mes parents. Mais quelle ne fut pas ma surprise quand je l’ai vu m’attendre à la sortie des WC.

— Ecoute Julien, je suis désolé de ce qui vient d’arriver. Je ne sais pas ce qui m’a pris. Viens chez moi, il n’y a pas mes parents. Tu prendras une douche, je te filerais des vêtements et je te ferai à manger. Je te promets que rien de tel n’arrivera plus. Ok ?

Il avait l’air sincère. Avec le risque de croiser mes parents alors que je puais la pisse, et le fait que c’était peut-être enfin l’opportunité de devenir ami avec lui ; j’ai accepté.

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