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fan de histoires de mec

Mardi 2 octobre 2 02 /10 /Oct 23:08

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Mardi

J'arrive mardi matin à l'appartement de Kevin avec un immense sourire et la peur au ventre tout de même. J'ai vu de quoi il était capable et j'imaginais le pire pour les jours à venir. Quand je suis rentré chez moi hier soir, je n'ai pas arrêté de penser à ce mec, j'ai dû me branler au moins cinq fois durant ma soirée. Ce mec est le mec que j'attends depuis des années. Le mec capable de me faire bander rien qu'en m'adressant un mot. Ce qui arrive évidemment dés mon entrée dans l'appartement. Kevin est là à m'attendre dans l'entrée. Il est en peignoir encore, il faut dire qu'il n'est que huit heures. Il est simplement posé contre sa commode, le peignoir un peu ouvert. Il me salue et me dit juste « À quatre pattes ! » Évidemment, j’exécute sans contrer aucun de ces ordres, j'imagine à quel point cet homme musclé peut être violent. À quatre pattes devant lui, j'entends un raclement de gorge. Il va chercher sa morve au plus profond de son être, une fois ses joues bien gonflées par un mollard qui s'annonce énorme, il crache le contenu de sa bouche au sol. « J'ai toujours des glaires à cracher le matin, mais je doute que ça te gêne... Allez, avale moi ça sale pute ! » Malgré le goût de gerbe qui commence à monter dans ma bouche, je reste dubitatif devant ce putain de glaviot. Je sais que d'une manière ou d'une autre, je devrai l'avaler. Alors autant y aller de soi-même plutôt que d'énerver ce mâle en rut. Je m'approche de ce mollard dégouttant, rien que l'odeur me donner un haut-le-cœur, ce qui semble ne pas plaire à Kevin qui commence à m'insulter et me coller quelques coups de pieds au cul. Plutôt bien passés, on voit que Monsieur semble habitué à frapper. Je me jette donc sur ces glaires pour les avaler sans plus rechigner. Je lape comme un chien et j'avale. C'est passé.

« Très bien, bon, on va prendre un petit déjeuner ensemble et ensuite, tu iras travailler, car tu as encore du boulot dans mon séjour. Faut pas que je te paie à rien foutre ! Bon, maintenant laisse moi te mettre ton joujou du jour. » Et là il sort de sa commode un collier de chien ainsi qu'une laisse. Il me demande alors d'enlever mon T-shirt de boulot, bien pourave et déjà bien puant vu le nombre de jours que je le porte, ainsi que mon pantalon bleu. Je fais donc ce qu'il me dit. Il passe alors derrière moi, afin de m'enfiler mon nouveau collier. Celui d'un chien. Le sien. Il est totalement noir en cuir, et je dois vous dire que c'est assez kiffant finalement de le porter. Il accroche ensuite la laisse à l'attache du collier et me dit de le suivre uniquement à quatre pattes. Que je n'ai en aucun cas intérêt à me relever, sinon je le paierais très très cher. Je n'ai pas saisi de suite pourquoi il insistait tant mais mon regard se projetant sur le couloir menant à la cuisine. Celui-ci était jonché de punaises, évidemment à l'envers. Je découvrais alors une nouvelle facette de Kevin : il était sadique. Il prit l'autre bout de la laisse, et même en voyant la terreur dans mes yeux, il avança à travers son couloir tout en évitant les punaises, tandis que moi, même si j'ai pu éviter les premières punaises de mes mains, mes genoux n'ont pas eu cette chance. Il accéléra alors ses pas afin que je n'aie pas le temps de voir où je pose mes mains. C'est ainsi qu'arrivé à la cuisine, huit punaises s'étaient plantées dans mes jambes, dont trois à chacun de mes genoux, et j'ai réussi à en enfoncer deux dans ma main droite et une de la main gauche. J'avais morflé, et j'ai gueulé comme un dingue. Mais à aucun moment, il ne s'est arrêté, à aucun moment il ne semble avoir eu pitié de mes cris de douleurs incessants. À quatre pattes toujours au milieu de la cuisine, j'étais criant de douleur, et je n'avais qu'une envie : enlever les punaises de mon corps afin que celui-ci puisse cicatriser, mais Kevin ne le voyait pas de cet œil. Il avait envie d'un petit déjeuner...

Le petit déjeuner était prêt sur la table, en tout cas, celui pour une personne. Il sorti alors une gamelle d'un placard, je compris alors très vite son stratagème. Il me mit un café dans la gamelle, puis un jus d'orange et il termina par me dire qu'il fallait bien un peu de croissants également... Il en mit alors dans sa bouche, avant de recracher tout le contenu dans ma gamelle. « Ton petit déjeuner est servi ! » me lança-t-il. Je n'avais plus qu'à déguster, ce n'était pas si dégueulasse que ça. Les trois ingrédients sont comestibles, même si la température de la mixture était entre chaud et froid, je la terminai assez vite. Lui me regardait depuis sa chaise. Il prenait son temps pour déjeuner tranquillement, mais je voyais à la bosse de son peignoir que cette situation l'excitait un maximum. Le déjeuner terminé, il retira ma laisse et me dit de monter sur la table, de m'allonger sur le dos. C'est alors qu'il fit la chose la plus étonnante qu'il n'ait encore faite. Il prit soin de moi. Il retira une à une les punaises plantées dans mes membres et essuya sur chaque plaie le sang coulant. À la suite de cela, il me dit de me reculer, afin que ma tête soit offerte à lui, en dehors de la table.

« Je te préviens, si tu en perds une goutte, ce ne sont pas des punaises que je vais t'enfoncer mais ce sera des aiguilles que je t'enfoncerai dans le cul ! » Il cala alors son sexe mou au fond de ma gorge et l'assaut commença. Il me pissa en bouche bien profondément, ce goût acre s'incrustait dans ma bouche, ce qui m'excitait au plus haut point. J'avalais évidemment tout ce qu'il me donna. Je suis là pour ça. « Bon, il est 8h30, c'est l'heure de ma douche. » Et alliant le geste à la parole, il retira son peignoir, me fit descendre de la table et prit ma place et me commanda de lécher tout son corps de haut en bas, sans rien oublier. Vingt minutes après, il se retourna et le manège reprit, de ses orteils à la nuque, je le recouvrais de ma bave. Il est neuf heures, il me dit qu'il a envie de chier. Mais qu'avant ça, je dois lui récurer le trou bien en profondeur. Il me demanda alors de me replacer et il grimpa au dessus de moi, c'est alors que je pus introduire ma langue au plus profond de son cul. Je fus étonné la première fois qu'il me péta à la gueule, mais je m'habituais assez vite à cette humiliation. Il me lâcha une bonne dizaine de pets avant de me dire d'arrêter. Que si je continuais, il me chierait dans la bouche. Il me dit alors de rester à cette place pendant qu'il allait chier. Il revint deux minutes plus tard, assez fier de lui. Il reprit alors la même place et je devais récurer son cul qu'il ne semblait pas avoir pris la peine d'essuyer... Je n'avais encore jamais vu quelque chose d'aussi dégueulasse. Mais j'assume le fait d'être une grosse chienne, et la grosse salope de Kevin. Je récurais son cul. Puis il me dit qu'il allait se doucher et travailler. Et que je devais en faire de même. C'est alors que je me rhabillais pour reprendre et continuer mes travaux. Je retournais donc au séjour ou les nombreux travaux m'attendaient encore, j'avais en effet plus que quatre jours pour terminer ce chantier. Et il y avait encore du boulot ! Je m'y attelle alors.

Une demi-heure après, je vois revenir Kevin, tout pimpant. À vrai dire, il était à tomber. Il portait un costume trois pièces, des chaussures de ville aux pieds, et cela lui donnait une carrure et un réel charisme... Bref, plus je découvrais ce mec, à plus je le kiffais. Comme chaque jour, il devait se vider les couilles avant de partir au boulot. Il me commanda alors de me mettre à genoux et de le faire jouir, telle la pute que j'étais, d'après ses mots. Je pus alors découvrir de tout prêt sa queue gorgée de sang. Une bonne grosse queue et ses couilles toujours aussi pendantes et bandantes ! Je le suçais alors, comme j'aimais tant le faire. Jusqu'au moment où il me prit les cheveux pour mener la cadence, et reprendre son rang de « Maître ». La pipe dura dix minutes avant qu'il ne juta des litres de foutre qui me recouvrirent la gueule. J'en pris en bouche, et me délectais de ce jus de mâle totalement délicieux.

« Très bien ma chienne. Tu t'occupes bien de moi. Pose ça ! » me dit-il alors que j'avais pris un chiffon pour essuyer ce jus agglutiné à mon visage. « Tu gardes ça sur toi, ou alors tu le bouffes, mais c'est un nectar précieux que tu ne peux en aucun cas jeter ! Je file au boulot petite chienne, et je dois t'annoncer une mauvaise nouvelle, je pars en déplacement demain matin et ce pour deux jours. Tu ne me reverras donc pas avant vendredi matin, où je pourrais profiter de toi complètement. Tu es toujours d'accord pour vendredi soir ? Tu t'es arrangé bâtard ? » Je lui répondis par la positive, et ajoutai que j'avais déjà hâte d'y être. Mais il n'écoutait déjà plus mes paroles, tant ce mec n'en a absolument rien à faire de mes sentiments. Il prit sa veste et sortit. Juste avant de partir il me lança une phrase plus qu’électrisante : « Tu as intérêt d'être à la hauteur avec les mecs qui te rendront visite ici, sinon je te promets que tu vas avoir beaucoup de mal à retourner au travail lundi. » Et il ferma sa porte, sans que je puisse réagir...

 

Mercredi & jeudi

Mercredi matin. Kevin m'avait laissé la clé de chez lui pour les deux jours ou je devais être seul... Enfin seul, c'est ce que je croyais... Même si Kevin était physiquement absent, il m'avait laissé quelques instructions sur le bar que j'ai pu avoir dés le mercredi matin. En plus de cela, il avait choppé mon numéro de portable, je ne sais par quel moyen mais c'est ainsi que dès mercredi après-midi, je recevais quelques ordres de lui, me disant qu'il m'avait préparé mes deux repas du midi, et que ceux-ci se trouvaient dans le frigo....

Arrivé à jeudi soir, j'avais dû vider trois paires de couilles chez Kevin. Retraçons ces deux jours en détails. Je me mis au travail dés le mercredi matin très tôt en arrivant, je savais que je devais finir ce chantier le plus tôt possible, mon « maître » étant chez lui vendredi, et quand il est présent ici, je bosse beaucoup moins. C'est à 10h30 lorsque j'allais me boire un café dans la cuisine que j’aperçus son mot sur le bar : « Hey ma lopette ! J'espère que tu as bien avancé dans le boulot que tu dois faire chez moi. Et tâche de beaucoup avancer que vendredi, il ne te reste que les finitions, qu'on puisse bien profiter de la journée et de la nuit qui s'offrent à nous ! Mis à part ça, je rentrerai que dans la nuit de jeudi à vendredi, alors d'ici là, j'ai quelques contacts qui passeront sûrement pendant ces deux jours, pour t'occuper un peu... Sur ce, ciao bâtard ! »

Je me doutais bien qu'il avait l'intention de me faire loper par d'autres vu ce qu'il m'avait dit auparavant. Je retournais donc travailler sans même prendre un café, je ne voulais pas perdre de temps. Je reçus ensuite un MMS à 11h30 d'un numéro inconnu. J'ouvris ce message et compris vite que l'auteur n'étais autre que Kevin. Je vis alors sa queue en train de pisser dans ce qui semble être une paella ainsi que ce petit message : « Ton repas est servi dans le frigo ! Bon appétit ma lopette ! Tu en a largement assez pour deux jours». Je me dirigeai alors vers son frigo pour saisir un immense Tupperware comprenant ce qui était bien une paella. L'odeur me monta alors directement aux narines, mais rien que le fait de lui obéir m'excitai alors je pris une assiette dans le meuble et m'en servis une bonne platée. Ça crève de bosser comme un forcené toute la matinée. Je le mis à chauffer dans le micro-ondes avant de passer à la salle de bain pour me nettoyer les mains. Je ne résistai pas au plaisir de sniffer une de ses paires de chaussettes et un de ses calbars laissés exprès dans sa salle d'eau. Un bon amuse-bouche avant cette paella Kevin.

Je retournai dans la cuisine pour déguster mon plat préparé par le maître. La paella avait un goût étrange mais pas désagréable. Je pensais dès lors à Kevin et la trique me gagnait. Ce mec m'excitait tant. Je finis assez rapidement de manger pour retourner à mon travail. À 13h, la sonnette retentit, j'allais donc ouvrir, la peur au ventre mais la queue dressée au maximum dans mon bleu de travail. J'ouvris la porte d'entrée, et je vis deux petits rebeus beaucoup plus petits que moi. Je croyais alors à une blague mais lorsque le plus grand me balança directement un mollard dans la gueule sans me dire quoique ce soit, je compris que ces deux mecs étaient la pour s'occuper de moi...

« Alors c'est toi la petite salope de Kevin ? Très bien ! Fous toi à poil, on est pressé mec ! » me dit le plus petit. J’exécutai les ordres et me plaçai directement à genoux devant ces deux mecs qui ne mirent pas très longtemps à sortir leurs deux queues circoncises mais puantes à souhait. Je pris la première en bouche mais une claque monumentale dans la gueule. « Tu sniffes mais tu prends pas encore en bouche. » J'ai donc sniffé leurs deux queues et au bout de quelques secondes je reçus une première rasade de pisse. J'ouvris bien grand la bouche pour recevoir le précieux liquide doré que les deux arabes m'offraient. Après une bonne pisse, on passe à une bonne pipe. Ou plutôt deux. Leurs queues n'étaient pas énormes, mais agréables à sucer. Je dirais que pendant vingt minutes, je passais d'une queue à l'autre avant qu'ils m'ordonnent de me placer allongé sur le dos, la bouche grande ouverte. Ils vinrent les deux me juter dans la bouche. Jus abondant que j'avalais goulûment. Puis les deux mecs partirent sans rien dire, me laissant ainsi allongé au milieu de couleur d'un appartement qui n'était même pas le mien. Je suis une pute, une vraie. Je ne fus plus dérangé de la journée et partit de chez Kevin à 18 heures, les travaux ont bien avancés aujourd'hui, et il me reste à poser le plafond, les plinthes et le parquet en deux petits jours, c'est amplement faisable.

Je reçus des nouvelles de Kevin qu'au lendemain par SMS. Il m'a alors demandé de mes nouvelles, et savoir surtout si ses deux potes rebeus m'avaient bien recouvert de jus bien gras... Et me disait aussi qu'il devait rester de la paella, et qu'il m'en donnera la recette complète au soir... Enfin, il m'annonce que j'aurais aussi une visite en fin de journée. Je me mis donc au travail tranquillement mais en avançant au maximum. Je mangeais la paella. Je touchais à mon but de la journée, il me restait deux mètres carrés de plancher à installer lorsque la sonnette retentit. J'allais ouvrir pour voir qui allait encore me baiser. Je vis alors un homme, la quarantaine bien tassée, mais très bien conservé pour son âge. Il ne dit rien et entra dans le couloir, il semblait bien connaître l'appartement puisqu'il me demanda directement de le suivre dans la salle de bain. Ce que je fis sans broncher. Il désigna la baignoire du doigt, je m'y mis allongé dedans. Il sortit sa queue bien massive au repos et se mit à pisser des rasades de pisse. Le manège dura un bon moment, il avait dû carburer à la bière toute la journée. J'étais en bleu de travail mais je pense qu'il n’en avait absolument rien à faire. J'étais réellement trempé de la tête aux pieds.

« À mes bottes petit chien ! » me lança-t-il. Je sortis de la douche, à quatre pattes et me mis à lécher ses santiags noires. Je trouvais ça terriblement excitant. Je récurais bien ses bottes, et il semblait apprécier. En effet lorsque je portais un regard à son visage, il se pinçait les lèvres d'une manière si sexy. Sa queue bandée devait bien mesurer vingt centimètres de long, pour une largeur de cinq bons centimètres. Au bout de plusieurs minutes, il en eut marre de mater mon cul sans pouvoir y avoir accès. C'est ainsi qu'il passa de ma langue à mon cul. Il prit le soin de cracher dans sa main et de mettre le contenu sur mon trou déjà bien ouvert tant l'excitation était forte. Il rentra alors sa queue d'un coup avec difficulté tout de même. Je n'ai pas trop l'habitude de prendre des bites dans le cul, c'est plus moi qui les mets d'habitude, mais j'acceptais ce poste avec grand plaisir. Il râla de plaisir une fois sa queue bien à fond. C'est alors que je sentis un liquide chaud me remplir. Ce mec me pissait à l'intérieur du cul, je n'étais pas habitué à ce traitement, mais ce n'était pas si désagréable. À réitérer. Toujours en bandant, il me remplissait le bide de sa pisse, c'était impressionnant, jamais je n'avais réussi à pisser en bandant. Mais ce mec avait de l'expérience. Une fois vidé de sa pisse, et sans ressortir il me baisa pataugeant dans le liquide doré qu'il avait lâché juste avant. Il ne ressorti uniquement pour lâcher son jus dans ma bouche bien gourmande. Sa queue était clean et encore mouillée par sa pisse, c'était réellement succulent bien que très étonnant. J'avalais cette monumentale dose de jus qu'il me mit en bouche. Il remonta son boxer et son short et me laissa une seule phrase en sortant : « Nettoie tout ça, mon fils n'aime pas que son appartement soit dégueulasse. »

Et il partit... Je n'en revenais pas ! Je viens de me taper le père de mon idole. Quelle famille de queutards ! Je me remis au travail, pour finir ce que j'avais commencer, pour que Kevin voit ce soir en rentrant que les travaux sont quasiment terminés. Puis je partis de chez lui. Je savais qu'en quittant la pièce, que le lendemain matin, il serait là. Et que j'aurais la chance de le subir toute la journée mais aussi toute la nuit. Je rentrai tranquillement chez moi, je reçus un MMS sur la route, que j'attendis de rentrer pour l'ouvrir. J'ai bien fait car une fois ce MMS ouvert, j'ai gerbé à n'en plus finir. En effet ce MMS contenait les mots suivants : « Et voilà le deuxième ingrédient ! À demain ma salope adorée » et une photo était jointe. Kevin avait alors deux doigts dans la bouche et vomissait dans le plat qui avait été mon repas ces deux derniers midis...

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Mercredi 26 septembre 3 26 /09 /Sep 10:58

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J'ai 34 ans, je fais 1m72, 85kg, musclé. Je revenais d'une troisième mi-temps, la nuit était tombée, une nuit d'août chaude et humide. L'autoroute était déserte à cette heure-ci. Il me restait encore une centaine de kilomètres à parcourir, j'étais fatigué et j'avais envie de pisser. Un panneau m'indiqua une aire de repos; je décidais de m'y arrêter.

L'aire de repos était vide, seul un poids lourd de déménagement était stationné. Je me dirigeais vers les chiottes pour me soulager; elles étaient vides. Devant l'urinoir, j'ouvris ma braguette à boutons, je défis ma ceinture et je me mis à pisser. La chaleur était étouffante, j'étais en sueur, l'odeur de pisse m'excitait.

Je me mis à me caresser; d'une main je me branlais doucement, de l'autre, je jouais avec mes tétons. J'étais parti dans mon plaisir, je ne faisais plus attention à rien, mon pantalon tomba sur mes chevilles.

— Hé les mecs! Vous avez vu cette salope qui se paluche.

Trois hommes se tenaient derrière moi, visiblement les déménageurs: 30-35 ans, 1m90, 95kg, musclés. Joe, Marc et Fred.

— Faut pas te gêner, tu veux qu'on aide? dit Fred.

Je voulais remonter mon pantalon mais...

— Tu vas pas t'arrêter! T'as pas joui, dit Fred.

— On va t'aider, dit Joe. Branle toi salope!

— Il est en sueur, faut le doucher, dit Marc.

Ils avaient tous les 3 sorti leur bites, énormes, j'en avais jamais vu aussi longue et grosse. Marc se mit à me pisser sur le cul, la pisse coulait le long de mes jambes et trempait mon pantalon et mon slip. Je voulus m'écarter mais...

— Ne bouge pas, t'as aucune chance; on est 3, tu vas être bien gentil, dit Fred.

Je me mis à transpirer encore plus, mais pas par la chaleur.

— Fous-toi à poil ou on te cogne, dit Fred.

Ils étaient 3 baraqués, je n'avais aucune chance effectivement. Je retirais mon tee-shirt, mon pantalon et mon slip humide de pisse. Je m'apprêtais à les ranger loin de l'urinoir...

— Non bâtard, tes fringues dans l'urinoir et toi à plat ventre dedans, dit Marc.

Fred et Joe se mirent à me pisser dessus de la tête aux pieds.

— Tourne toi, ouvre la bouche. Je suis sûr que t'as soif, dit Joe.

— Regardez! Il bande ce salaud, dit Marc.

Ils étaient déssapés tous les 3, leurs corps musclés ne me laissaient pas de marbre. J'étais trempé de pisse, j'avais le goût dans la bouche, l'odeur dans le nez, ça m'excitait. Marc se coucha sur le dos et me dit:

— Suce moi bâtard...

Je me jetai sur sa matraque de chair chaude et odorante. Comme j'étais à quatre patte, Fred se mit à me bouffer le cul et Joe à me sucer; j'étais aux anges. Marc mouillait abondamment, Fred me préparait le cul avec sa langue et 2 doigts.

— Son cul est large, on va pouvoir l'enculer à deux. Empale toi sur Marc, dit Fred.

Je me relevais et présentais ma rosette à la matraque de Marc; une douche chaleur envahit mon cul; j'étais empalé jusqu'à la garde, je ne pus m'empêcher de gémir de plaisir. Marc présenta à son tour son énorme bite et poussa.

— Haaaaaaaaaarrrrrrrr! Non pitié, c'est trop gros!

Je criais, la douleur était à la taille de leur bite, pourtant je ne voulais pas qu'ils se retirent.

— Hum... hum... hummmmm...

La douleur se transformait en plaisir intense, je gémissais sans pouvoir m'arrêter.

— Regarde cette salope, il prend son pied, il est en train de mouiller comme un malade! Ça me coule sur le ventre, dit Marc.

— C'est une chienne en chaleur, je vais chercher le matos et Roger! dit Joe.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Lundi 24 septembre 1 24 /09 /Sep 14:03

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Soissons, le 20 mars 2012

 

Ma petite Maman chérie,

Pour commencer, joyeux printemps ! C'est avec un grand plaisir que je viens te donner de mes nouvelles. J'espère que tu te portes bien et que Mamie va mieux. Ici tout se passe bien pour moi. Quand tu as dû partir de toute urgence rejoindre Mamie après son infarctus, j'ai bien vu que tu avais peur de me laisser seul avec Bruno. Je reconnais que j'ai eu du mal au début à accepter que tu remplaces Papa par un autre homme et que la coabitation entre nous n'a pas été toujours facile. Je ne voulais pas qu'il se prenne pour mon père et je le rendais responsable de votre divorce, mais maintenant que je suis grand (déjà 17 ans !), je comprends que les choses de la vie ne sont pas si simples. Et certains événements survenus depuis ton absence m'ont fait évoluer... Tu es ma mère mais tu es aussi une femme, je l'admets désormais et Bruno est un beau-père plutôt cool.

Cool il l'a été dès le début de ton absence. Il se promène dans la maison avec un vieux slip blanc pour tout vêtement ! Il m'a demandé si cela me gênait, j'ai bien sûr répondu par la négative. Pas de fausse honte entre hommes ! Je me suis moi-même mis à l'aise, mais avec des boxers colorés, plus sexy à mon goût. Je m'amusais en silence en distinguant des traces jaunâtres sur le devant du vieux slibard : pas vraiment la classe ! MDR ! D'autant plus que l'élastique un peu lâche laissait apercevoir parfois les couilles poilues ! PTDR ! Son gros paquet compensait cette absence de glamour. Je ne suis pas gay, mais je suis curieux comme tous les gars. J'ai bien remarqué que l'on se mate tous dans les vestiaires et sous les douches, pour se rassurer ou comparer. Je me demande même si les hommes ne sont pas plus obsédés par la bite que les femmes. Tous les hommes. A propos, dis donc jolie Maman, tu ne serais pas une petite coquine ? Il est plutôt bien doté, le Bruno. Je me suis même demandé si tu n'avais pas quitté Papa parce qu'il ne te satisfaisait plus sexuellement ! J'espère que tu n'es pas choquée de mes propos, mais en t'écrivant je peux te dire des choses que je n'oserais jamais formuler face à face. Je ne suis plus un enfant, tu n'es pas une hypocrite et nous connaissons tous deux les vertus incomparables de la franchise. Tu m'as appris à ne pas mentir, aussi vais-je te dire toute la vérité. Je t'aime trop, Maman, et je te respecte trop encore pour te cacher quoi que ce soit, pour occulter le moindre détail.

Le lendemain soir de ton départ précipité, j'ai surpris Bruno en train de se masturber devant un film porno ! Je n'ai pas été choqué, ce sont des choses naturelles, si tu pouvais voir les vidéos que je regarde sur mon ordi, le soir dans ma chambre ! Oh, tu serais étonnée, ma petite Maman chérie. Quand il s'est rendu compte de ma présence, il ne s'est pas dissimulé, ne s'est pas excusé. J'ai beaucoup apprécié son honnêteté, le fait qu'il assume. Tu sais que pour moi rien ne vaut l'honnêteté et que le pire crime est l'hypocrisie. Je suis un garçon moderne, rien ne me choque. Nous sommes en 2012, tout de même ! Il m'a fait un grand sourire qui m'a incité à m'asseoir à ses côtés sur le canapé blanc. Je lui ai demandé en riant s'il était déjà en manque, il me répondit sur le même ton, par l'affirmative, en précisant qu'il avait d'énormes besoins sexuels. Ce qui confirme mon hypothèse, petite coquine !

En garçon libéré et décomplexé, je l'ai félicité sur la taille de son engin. Il m'a dit qu'il faisait 21 centimètres, je ne l'ai pas cru. Il ne faut pas exagérer, tout de même ! Il m'a alors demandé de mesurer, et il avait raison ! Tu l'avais déjà mesuré, Maman ? Je n'étais pas gêné par le fait de toucher sa bite, ce n'est pas sale et c'est un morceau de chair comme un autre. Mais je n'avais pas prévu que ce contact me ferait bander ! Bruno s'en est rendu compte illico, vu que j'étais en boxer (tu sais, celui avec des bananes, que tu m'as acheté chez Carrefour le mois dernier). Il m'a dit de l'enlever, qu'on était entre hommes et que je serais plus à l'aise. J'étais flatté que Bruno me considère comme un homme, Papa me prend toujours pour un petit garçon, il est gentil, mais parfois il fait ch.... Nous avons donc regardé le film en nous branlant. Une fausse blonde siliconée se faisait prendre par deux Blacks. Je me demande toujours pourquoi les actrices porno gardent leurs chaussures rouges à talons aiguilles quand elles baisent. Cela ne doit pas être très pratique... Tu le sais, toi, Maman ? Tu fais la même chose ?

Bruno a dit que le dernier à juter aurait un gage. J'ai accepté, car je suis un peu joueur et je me demandai quel serait ce gage. Je suis assez curieux, aussi. La curiosité intellectuelle est une grande qualité. Il a gagné, ce n'était pas très juste car il avait commencé à se branler bien avant moi. Tu ne devineras jamais en quoi consistait le gage ? Lui nettoyer la bite avec ma langue ! Il m'a lancé çà avec un air de défi. J'ai cru voir qu'il s'attendait à ce que je proteste, mais je ne suis pas un dégonflé. Ah, il voulait me mettre mal à l'aise, et bien c'est moi qui allais le surprendre ! Je me suis jeté littéralement sur sa bite et j'ai commencé à activer ma langue. Il a poussé un grand cri, son gland après l'orgasme était très sensible. Il avait fixé le gage, tant pis pour lui ! Il a essayé de repousser ma tête, mais je ne me suis pas laissé faire. Non, mais ! Je l'ai torturé un long moment et il a fini par se rendre. Il avait bien juté, le salaud, j'ai tout récolté avec ma petite langue rose, puis en le fixant dans les yeux, j'ai ouvert ma bouche pleine de foutre, avant de la fermer et de la réouvrir, vide cette fois ! Tu vas rire, je venais de tout avaler ! Ce n'était pas très bon, c'était chaud et très amer, mais je voulais lui prouver que j'étais plus fort que lui et que s'il voulait me destabiliser, il n'y arriverait pas. D'ailleurs son regard sur moi avait brusquement changé, sans doute était-il impressionné par mon audace et mon absence de préjugés.

Bruno a été très sympa, comme je n'avais pas joui, il m'a branlé. Il m'a dit que j'avais une belle tige. Ce compliment de la part d'un superbe étalon m'a comblé de plaisir. Bruno est vraiment sympa ! J'ai joui rapidement sur ses doigts, que j'ai ensuite léchés en le défiant du regard. Il m'a dit que je suçais bien. Je me suis mis en colère, je ne l'avais pas sucé comme un PD, je l'avais nettoyé suite à un défi, cela n'a rien à voir ! Il m'a donné facilement raison. La soirée s'est ensuite passée plus classiquement, mais dans une bonne humeur accrue. Bruno n'était plus seulement mon beau-père, il était aussi mon pote. Dans la nuit, je me suis réveillé hyper-excité en pensant à cette scène d'anthologie, et j'ai dû me caresser pour pouvoir me rendormir, enfin apaisé. Même au lycée, j'ai dû aller me branler deux fois aux toilettes car j'avais la trique en permanence, ce qui est douloureux, tu peux me croire.

Le lendemain soir, il m'a demandé en riant si je voulais voir un DVD. J'ai tout de suite compris qu'il pensait à un film de boules. J'ai accepté bien sûr, au nom de la complicité familiale. Nous étions déjà bien plus à l'aise. Il a mis ma main sur sa bite et j'ai fait de même. La masturbation est ainsi plus intéressante... Nous nous sommes rendus compte que nous n'avions pas les mêmes façons de nous caresser, c'était à la fois amusant et enrichissant. Il a ensuite fait pression sur ma tête pour que je le suce. J'en avais envie, mais je n'osais pas. Je me suis laissé faire, sans fausse honte, je reconnais que j'attendais ce geste. J'en ai été bien récompensé car il m'a rapidement interrompu pour me pomper à son tour. C'était une grande première pour moi, j'ai adoré immédiatement. Il me suçait le dard, me léchait les testicules avant de me le caresser l'anus avec sa langue. Je ne sais pas Maman si on te l'a déjà fait, mais c'est divin ! La peau est si sensible à cet endroit... Vraiment, je te le recommande, tu le mérites !

Il m'a mis à quatre pattes, la tête tournée vers la télé. J'étais ému. Je ne voyais pas ce qui se passait derrière mon dos, mais je devinais bien que j'allais perdre mon pucelage anal. Je pensais garder ce pucelage toute ma vie la veille encore, et là j'étais prêt à me faire casser la rondelle, j'en avais envie plus que tout autre chose au monde. Le vie est étrange, tu ne trouves pas, Maman ? Le proverbe a bien raison, il ne faut pas dire "fontaine, je ne boirai pas de ton eau". J'ai bu le jus de mon beau-père et celui de... Mais j'anticipe, je te le dirai plus bas. Tu vas être bien surprise, ma chère Maman... Bruno m'a encore léché l'orifice secret un bon moment pendant que je regardais un brune se faire prendre par trois types en mêmes temps. Impressionnant ! J'étais un peu jaloux. Elle avait trois trous à combler, moi seulement deux. Je ne sais pas si tu te rends compte de ta chance, petite veinarde ! Un doigt, puis deux, se sont introduits. Je ne me suis pas plaint lorsque le gland a forcé mon petit trou. Je suis un homme maintenant, j'ai supporté la longue et lente pénétration de l'engin monstrueux. J'ai gémi mais je n'ai pas crié. Tu aurais été fière de ton fiston !

Rapidement Bruno a oublié que j'étais puceau et il m'a défoncé de toutes ses forces. Et tu es bien placée pour savoir qu'il est fort ! J'ai dégusté, ça je peux le dire, et dans tous les sens du terme. Il s'est amusé à sortir sa bite et à la rentrer brusquement. Après quelques allers-retours, mon trou ne se refermait plus et il rentrait son sexe en moi sans coup férir. Il m'a demandé où je voulais qu'il jouisse, et je lui ai dit de me remplir le cul. C'est venu tout seul, mais j'avais un peu honte et j'étais soulagé qu'il ne voit pas mon visage. Il a explosé dans mes entrailles et cette explosion a provoqué la mienne. Je sentais dans mon ventre son liquide chaud qui me remplissait et me fécondait. J'ai compris que je n'oublierai jamais ce moment-là. Il s'est effondré sur moi et je suis tombé à plat ventre. Nous sommes restés ainsi longtemps enlacés, sa bite toujours enfoncée dans mon cul qui coulait. Nous avons fini tout de même par nous relever et nous sommes embrassés. Je n'avais jamais imaginé embrasser un homme, mais j'ai tout de suite aimé. Sentir sa langue exploratrice, sa force, sa barbe de trois jours qui irritait ma peau, m'a fait rebander aussitôt. Nous avons dormi ensemble cette nuit-là dans votre lit. Enfin, quand je dis dormir, tu me comprends, Maman adorée...

Tu dois être bien satisfaite d'apprendre que ma première fois se soit si bien passée. J'imagine que tu devais être un peu inquiète à ce sujet, te voilà rassérénée. Tout s'est passé en famille, je connais ton attachement aux valeurs familiales traditionnelles. Je m'en suis moqué plus d'une fois, tu t'en souviens sûrement. C'est normal, je suis jeune, mais tu peux voir qu'en fin de compte, je les respecte. Je reconnais de bonne grâce que tu avais raison. Famille, je t'aime ! Cela doit être inscrit dans les gênes, telle mère tel fils !

Bien sûr, d'aucuns diront que ce dépucelage par mon beau-père n'est pas très normal. Mais tu sais comme moi que "normal" signifie seulement "qui correspond à des normes", et que les normes changent suivant les époques et les pays. Heureusement, ce qui était normal au Moyen-Age ne l'est plus de nos jours, et les normes à Soissons ne sont pas les mêmes qu'en Papouasie. Tout est subjectif. Il ne faut donc pas juger les autres. Je dirais plutôt que mon dépucelage est normal, mais pas très traditionnel, c'est tout. Tu n'es pas de mon avis, petite Maman ?

Je ne me sens pas gay. Bruno m'a expliqué que l'effet d'une queue sur une prostate est irrésistible et que le plus homophobe des machos, une fois dépucelé, supplierait pour qu'on continue à le défoncer. C'est vrai que j'adore maintenant avoir une grosse queue vigoureuse dans le cul. On ne pas peut pas limiter son plaisir. Ce qui est bon est juste, non ? Te voilà sans doute rassurée sur ma sexualité, mais je ne préoccupais pas, tu es si cool ! Je sais combien tu es tolérante et ouverte d'esprit. De toute façon, je ne vois pas pourquoi un homme qui fait l'amour avec un autre homme, serait moins viril que celui qui couche avec une femme. Au contraire, cette lutte entre deux mâles pleins de testostérone, ces deux forces qui se toisent, s'affrontent et se compénètrent, qui y a-t-il de plus viril ? Une question me taraude l'esprit cependant. Les femmes n'ont pas de prostate, il me semble, mais dans les films elles adorent se faire prendre par derrière. Elles simulent ou elles éprouvent vraiment du plaisir ? Je te le demande à toi, ma chère Maman, car tu es la plus à même répondre à ce genre de question. Je ne suis pas sûr que Mamie apprécierait cette question, il est vrai qu'elle est d'une autre époque.

Tu vas rire ! Je me sentais mal à l'aise avec Bruno, ce mec qui était un étranger, qui remplaçait mon père et vivait avec nous. J'avais peur de me sentir exclu dans ma propre maison. Et bien figure-toi qu'il m'a dit que ce qu'il préfère chez toi, c'est moi !!! Cocasse, hein ? Depuis le début, mes lèvres bien dessinées et mon cul musclé l'ont séduit ! Souvent, quand il fait l'amour avec toi, il pense à moi ! Qui l'aurait deviné ? Il me l'a confié en riant. Il attendait depuis des mois l'occasion de m'initier. Tu n'as plus à t'inquiéter, tant que je vis à la maison, il n'est pas prêt de te larguer ! Et Bruno n'est plus un étranger ! Une bite dans le cul, ça crée des liens... Bruno a de gros besoins sexuels, mais ne t'inquiète pas, il me défonce plusieurs fois par jour, et je peux te jurer que je ne laisse pas une goutte de sperme dans ses couilles ! Je le vide bien à fond, tu peux me faire confiance. Il ne risque pas de te tromper avec une femme !

Tu ne devineras pas ce qui s'est passé il y a trois jours. Papa a voulu nous faire une surprise et c'est lui qui a été surpris ! Bruno était en train de me baiser férocement, comme à son habitude, et il a tout vu par la fenêtre! Tu aurais vu la tête de Papa ! Il était tout rouge et bafouillait des propos incohérents. C'était à mourir de rire... Je comprenais quelques insultes et autres gros mots, lui qui me reprend dès que je dis des grossièretés ! Il a voulu se jeter sur Bruno pour le frapper, mais ce dernier, plus fort, a eu rapidement le dessus. Il l'a ceinturé par derrière avec ses bras musclés. J'en ai profité pour baisser son pantalon. Il bandait ! J'ai fait glisser son slip devenu trop petit et je l'ai sucé avec ardeur et déjà une certaine expérience. Il a joui dans ma mignonne petite bouche sans tarder. Avaler le sperme de son propre père, qu'imaginer de plus excitant ? Est-ce une forme de cannibalisme ?

Son sperme avait un goût différent de celui de Bruno. Tous les hommes ont-ils un goût unique ? Je crois que personne ne s'est "penché" sérieusement sur le sujet. Il faudra que j'avale le jus de centaines de mecs pour tirer des conclusions incontestables. Je pourrais même peut-être rédiger une étude ? Qui me rendrait célèbre ! J'aimerais tellement être celui dans la famille qui laisse notre nom à la postérité ! Tu pourrais aussi m'aider, avec ton expérience ! Le goût du sperme a-t-il changé avec la pollution, les habitudes alimentaires différentes ? Est-il le même suivant les régions, les pays ? Dis-moi tout, Maman ! Bien-sûr, je te remercierai dans la préface. Mamie pourra quant à elle nous parler des années 50 et 60. Elle m'adore et ne peut rien me refuser. D'ailleurs, elle est toujours prête à évoquer de vieux souvenirs pendant des heures. Je vous imagine, Papa, Bruno, Mamie et toi assis sur le canapé blanc du salon en train de m'admirer quand je passerai à la télé ! J'imagine votre fierté ! Et la jalousie des voisins ! Oh, je crois bien que je viens d'avoir une idée géniale ! Le sperme développerait-t-il les capacités intellectuelles ? Qu'en penses-tu, Maman ? Tu es la femme la plus intelligente que je connaisse...

Papa était un peu honteux de m'avoir rempli la bouche de son jus chaud, mais il était calmé. Je l'ai embrassé avec amour. Il a posé quelques questions, il voulait savoir depuis quand Bruno me fourrait. Nous lui avons répondu avec plaisir. Je me suis demandé s'il n'était pas un peu jaloux de Bruno, s'il n'aurait pas voulu me dépuceler lui-même. Je le comprends, après tout je suis son fils unique, il avait donc une option sur mon cul, tu ne penses pas, Maman ? Il a recommencé à bander, excité par nos réponses. Bruno a guidé sa bite vers mon cul. Il a fermé les yeux en murmurant "non", pour la forme, mais s'est laissé faire. Quel bonheur ! Après avoir eu sa queue dans ma bouche, je l'avais dans les fesses ! Trop cool ! Il s'est rapidement déchaîné et m'a baisé comme un possédé ! Sa bite est moins longue que celle de Bruno, mais plus large. Donc, tout aussi efficace. Mais je ne t'apprends rien Maman ! Il était tellement fasciné par mon joli petit cul qu'il ne s'est pas rendu compte que Bruno, la queue en rut, s'approchait dangereusement de son propre derrière. Ses cris lors de l'intromission du terrible engin dépuceleur étaient autant causés par la douleur que la surprise, la honte et la rage. Il m'a un peu déçu : quand je me suis fait dépuceler, moi, j'ai mis un point d'honneur à tout supporter en silence ! Il a bien essayé de se libérer, mais nous l'en avons empêché. Il a fini une fois de plus par se rendre. Et il ne l'a pas regretté. Il m'a rempli le trou mignon à ras bord quand Bruno a éjaculé dans son cul qui s'ouvrait enfin à l'amour. J'ai de la chance par rapport à Papa de découvrir le plaisir anal à 17 ans et non comme lui à 42 ans. Je vais pouvoir en profiter plus longtemps. J'ai moi-même joui sans me toucher. Je dois reconnaître, ma chère petite Maman adorée, que tu sais choisir tes hommes ! Félicitations, petite coquine !

Papa rougissait, il était devenu un enculé, et ce devant son fiston. Je l'ai embrassé et Bruno est venu se joindre à nous. Se rouler une pelle à trois, je ne croyais pas cela possible, mais nous y sommes arrivés. Pour terminer la soirée en beauté, j'ai baisé Papa pendant qu'il suçait Bruno. J'étais si fier de pénétrer mon père, cet homme musclé et poilu, tellement plus fort que moi. Entendre ce colosse pousser des petits cris de plaisir, le voir se cambrer et encaisser mes coups de reins rageurs, il n'y a rien de plus jouissif. Grâce à l'ouverture effectuée par Bruno, je pouvais sortir ma bite de son trou et l'enfoncer d'un seul coup sans rater la cible. Son cul est chaud, doux, parfait. Papa est resté manger et nous avons bien déconné. Une soirée entre hommes réconciliés par la bite et en famille, que demander de plus ? Nous avons dormi tous les trois dans le lit conjugal, serrés mais tellement heureux ! Quel charmant tableau. Dommage que tu n'aies pas pu nous voir...

Bruno, qui a toujours de bonnes idées, m'a conseillé d'inviter un pote à venir dormir à la maison. J'ai choisi Arthur, mon ami d'enfance. Tu le connais, un pur bogosse. Il se vante toujours de ses conquètes féminines, il était temps que son cul lui donne autant de plaisir que sa bite. Avant de comprendre ce qu'il lui arrivait, Arthur s'est retrouvé avec la bite de Papa dans la bouche et celle de Bruno dans le cul ! Mon moment préféré a été lorsque Bruno me prenait pendant que Papa tringlait mon pote. Nous nous embrassions tous les deux. Je lisais le plaisir dans ses yeux. La honte et le plaisir, mais surtout la honte du plaisir. Comme il avait prévu de rester toute la nuit, nous nous sommes bien amusés, tu peux me croire. Papa a dormi avec Bruno et moi avec mon copain. Arthur m'a pris et moi aussi je suis entré en lui. C'était génial, l'apothéose d'un amitié vieille de 10 ans. Il reviendra dormir chez nous souvent, si tu le veux bien. Ses parents sont d'accord. Ils nous font confiance, ils prétendent que j'ai toujours eu une influence bénéfique sur leur fils. Je sais que toi aussi tu l'apprécies. Quant à Papa, il est plus heureux que jamais. Je ne souviens pas l'avoir vu si épanoui quand il était avec toi. Il devait lui manquer quelque chose. Il sourit, chantonne et siffle comme jamais. Il fait vraiment plaisir à voir. Je suis fier d'avoir un père tel que lui. Il aimerait bien revenir s'installer à la maison. Bruno et moi sommes d'accord. La maison est grande, dis oui, s'il te plaît gentille Maman !

Bon, je te quitte, je dois me faire un lavement. Bruno a invité son patron et il affirme que grâce à moi, le poste de numéro deux dans l'entreprise, libre depuis peu, sera pour lui. Bruno pense que son patron qui n'a jamais baisé avec un mec, va avoir une révélation en me baisant à fond et qu'il ne pourra plus rien lui refuser. Si ce n'était pas le cas (mais j'ai confiance en mes capacités), les photos que Bruno prendra dans le feu de l'action sauront bien le convaincre. En tout cas, je vais donner le meilleur de moi-même, mon cul et ma bouche avides. Je suis un peu stressé par la responsablité, mais c'est important la famille. Chacun doit s'impliquer pour le bien-être de tous. Vous avez tant fait pour moi, il est normal que je participe à mon tour. J'aimerais tant être pour toi le fils idéal... Sur ces bonnes paroles je te dis à bientôt et je te fais de très gros bisous.

Ton fils qui t'aime et t'embrasse tendrement, Benjamin.

 

P.S. Tu peux montrer la lettre à Mamie. Je sais qu'elle s'inquiète facilement, et qu'elle doit se faire du soucis de me savoir seul avec Bruno. Elle croit que les hommes sont incapables de se faire à manger (c'était le cas de Papy !) et doit nous imaginer en train de mourir de faim. Il ne faut pas qu'elle stresse, avec ses problèmes cardiaques...

P.P.S. Ah, j'oubliais ! Bruno m'a dit qu'avec un cul comme le mien, il y avait de l'argent à se faire. J'en connais une qui va avoir un beau cadeau pour la fête des mères !

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 1 commentaires
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Mardi 18 septembre 2 18 /09 /Sep 23:04

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Tim s’arrête devant un hangar. Il me dit de descendre, qu’il va me présenter à ses potes. Il dit ça avec un curieux sourire. Je laisse paraître ma surprise: on devait aller directement à son studio. Tim me prend tendrement par l’épaule, m’entraîne vers le portail: «Mes potes sont très gentils.» Il frappe la tôle ondulée. Trois petits coups. Elle coulisse... «C’est Axel la Castagne,» dit Tim. Il parle du garçon qui vient d’ouvrir: face poupine mal rasée, nez de boxeur. Deux lampes à suspension éclairent le hangar, accrochées à des poutres. Elles font luire une longue botte penchée sur une banquette. L’autre botte est par terre. «Danke l’Écraseur,» me fait Tim, toujours son bras sur mon épaule. L’Écraseur a le coude sur le genou, le poing sous un menton buté. Visage en longueur semé de poils blonds. «Eh, Rodolphe, regarde un peu le ped que nous a dégoté Tim!» Axel est allé secouer le garçon aux bottes brunes, couché sur la banquette. Rodolphe relève la tête avec un léger grognement. Il a un regard de chat avec des sourcils châtain clair. Une fossette au menton souligne la férocité sournoise de la bouche. Je sens le regard de Rodolphe sur moi. — Tim, tu me fais voir ton ped? Tim m’entraîne vers le garçon aux bottes brunes qui a relevé le buste. — Mets-toi à genoux, mon poulet, pour que je voie si mon copain a eu bon goût. Tim m’appuie sur l’épaule. — Montre à Rodolphe ta belle petite gueule, mon chéri. Je m’agenouille. La main de Rodolphe glisse sur mon front, caresse ma joue. — Une peau de jeune fille. Elle a une peau de jeune fille, la chérie. La main de Rodolphe s’écarte soudain, se rabat en une gifle qui me secoue la tête. Je fais un mouvement pour me relever mais Tim appuie sa main sur mon épaule et Rodolphe me caresse les cheveux. — Calme, ma petite chérie, calme. Elle a une peau qui marque, la poulette! Tout ce que j’aime. Aussitôt la main gantée de Rodolphe me claque l’autre joue sur toute sa largeur. Ma joue s’enflamme et Rodolphe a une petite moue vicieuse. Ses sourcils se relèvent candidement. Soudaine gifle à la volée. Mes deux joues brûlent. Je commence à bander. — Mmmmm! tu sais qu’t’as une belle gueule à claques, ma poulette. Je regarde Tim en suppliant. — Sois gentil, mon chéri. Fais plaisir à mon copain. Il aime donner des petites tapes aux tapettes mais il n’est pas méchant. Avant que Tim ait fini, coup sur coup, Rodolphe m’envoie deux énormes baffes avec un sourire jouisseur. Je titube sur les genoux, sens les larmes qui me viennent aux yeux. — Putain, Rodolphe, elles étaient belles, celles-là! Le commentaire est d’Axel, une jambe pliée sur la banquette, à gauche de mon tourmenteur. Nouvelle baffe. Rodolphe m’examine avec une curiosité amusée. — Elle va pas tarder chialer, ma petite poule. À peine un répit avant une nouvelle paire de baffes. La douleur me creuse les joues. J’implore d’une voix pleurarde: — Arrêtez! Rodolphe me caresse les cheveux: — Ma petite tantouze, ma petite merde, on t’a pas appris à dire: «s’il vous plaît, Monsieur!» Nouvelle paire de baffes posément appliquées. — Arrêtez, s’il vous plaît, Monsieur. — Lèche ma botte, mon petit déchet. Je sens un pied de botte sur mon genou. Tim m’appuie sur l’épaule. Rodolphe a posé la main sur ma tête et essaie de me la faire plier. Je résiste. Axel frappe son poing contre sa paume. — Attends, Rodolphe, c’est à mon tour. Je vais lui travailler le ventre à cette lope. Rodolphe m’a pris l’oreille: — Relève-toi, ma poule. Mon copain veut s’entraîner. J’essaie de me débattre mais Tim m’a saisi le bras, me le maintient en le tordant derrière mon dos. Il me présente à Axel, debout, ses jambes bottées écartées devant moi. La Castagne se cambre avec une moue jouisseuse en cognant son poing contre sa paume. Le poing part d’en bas. La langue d’Axel la Castagne lui gonfle la joue charnue. Le regard brille. Je ploie sous le coup qui m’enfonce l’estomac. La douleur est viscérale et vibrante. La joue gonflée d’Axel se gondole d’un sourire. L’autre poing est en position. Le regard s’attendrit. Le poing s’enfonce près de mon sexe dressé. Je sens la bite de Tim contre mon cul. Sa main me caresse la nuque. Il me murmure à l’oreille: «Tu m’excites, chéri!» Axel cogne avec un sourire tendre, irrésistible. Les coups sont mats, comme ralentis, presque langoureux. La voix de Danke: «Il est à moi après.» Danke a toujours la main sous le menton, le coude sur le genou, la botte sur la banquette. Le dégoût de son regard que je surprends m’effraie et me fascine. Axel me fouille le ventre de son poing, penché vers moi, le regard luisant: — OK, j’te l’laisse. — Attention, Messieurs, notre ami Danke s’excite. Ça va barder! susurre Rodolphe. — Ne me l’abîme pas trop, fait Tim en m’enlaçant par derrière et en frottant sa bite raide contre mon cul. — Le beau Tim est amoureux, ricane Rodolphe. Axel écarte le pouce, prend mes joues en étau, me tord la gueule: «Je m’en doutais que Tim finirait par défendre les fiotes.» Il dit ça sur un ton faussement mauvais où je sens un désir. Tim me serre en me caressant le crâne: — Tu dis ça, mec, parce que tu brûles de t’la faire. Danke aussi, j’parie! — Bande de pédés, lâchez-moi cette larve. J’vais vous montrer comment ça dresse une lope, un vrai mec! Danke a ôté son pied de la banquette et s’est redressé. Tim me caresse toujours: — Eh Danke! t’étais d’accord pour qu’on s’lève un ped et qu’on s’amuse un peu avec. Ça te va de jouer les purs. J’ai pas levé ce bourge pour qu’on l’esquinte à fond et qu’on ait après les keufs au cul! — Calmos, Tim. J’vais pas t’la massacrer ta fiote. J’vais simplement la transformer en chienne. — T’as une baguette magique? fait Axel, rigolard, pendant que Tim me lâche — Ouais, j’en ai une les mecs et j’vais vous la montrer! Danke se dirige vers un sac beige posé sur la banquette. Il en sort un fouet noir, luisant, énorme. — Asseyez-vous, les mecs. Le spectacle commence! Danke est au milieu du hangar. J’ai la gorge nouée devant cette mince brute à cheveux ras qui prend appui en arrière sur la haute cambrure de sa botte. Danke la tapote négligemment des boucles du grand fouet. — Avance-toi sous la lampe, le ped! Je m’avance à pas lents, n’osant respirer à peine, envoûté déjà par le dresseur au fouet qui dédaigne de me regarder, le visage penché de biais, la moue superbe. — Déssape-toi! Non, je ne vais me rendre comme ça. J’ai envie de résister. J’ai même un sourire ironique malgré ma frayeur. Axel l’a vu: — Il s’fout d’ta gueule, ton ped! La moue de Danke s’accentue aussitôt. Sa main libère la lanière, recule, revient, monte, faisant se dresser, se tordre le serpent noir dans un claquement qui me bouleverse. Je ne bouge pas pourtant. Ça y est! L’œil de Danke est sur moi à me faire frissonner. Ses jambes se plient. Son bras tourne. Déjà j’ai la main à mon col, mais c’est trop tard. Une ligne de douleur oblique s’inscrit sur mon ventre dans le cinglement du fouet. Je gémis: — Pitié, j’obéis. Je commence à déboutonner nerveusement ma chemise. Danke a repris sa position première. Même moue dans son visage penché de biais. Même posture de dompteur superbe pour faire claquer le long fouet de cuir. — Doucement, fiote! J’veux qu’tu déssapes comme une pute qui fait son strip. La bande ricane. Je me déboutonne plus lentement. Danke me regarde, la lèvre toujours gonflée, le fouet nerveux: — Déhanche-toi. J’esquisse juste un mouvement de hanche. Danke a projeté le bras de l’arrière. Déjà la lanière file vers moi et me cingle les côtes. — Déhanche-toi comme une pute, j’ai dit! J’ôte ma chemise en me déhanchant. La moue de Danke commence à se fondre dans un sourire satisfait, atroce. Je bande un maximum. Danke a un grand mouvement tournant du bras; la lanière vole vers moi presque doucement, s’enroule autour de mon buste, caressante. Je sens que ma queue mouille et j’ouvre la bouche. — Tire la langue, salope! Je tire la langue, l’œil rivé à mon maître en défaisant la ceinture de mon pantalon. À nouveau Danke fait claquer le fouet sur le côté mais d’un geste plus ample qui lui fait dresser complètement le bras au-dessus de la tête. — Continue de te déhancher, ma pute. Je me déhanche et Danke continue de faire claquer le fouet rythmiquement, comme pour battre la mesure de ma danse lascive. Tim siffle d’admiration. Axel râle: — Ô la pute! Oh! Faudra qu’tu m’la laisses, Danke! Oh! la fête que j’vais lui faire! J’ai ôté mon pantalon, mon gland pointe au-dessus de mon slip. Je fais des cercles avec ma tête comme avec mon cul en tirant la langue, excité comme jamais, tandis que le fouet claque et reclaque. Enfin j’ôte mon slip. J’offre à tous les regards ma bite debout dont le gland me frôle le nombril. Danke a arrêté de faire claquer le fouet. Son regard, son sourire prennent quelque chose de lascif. Le bras dressé, il vise mon sexe pour y faire atterrir la lanière. Et, quand la mèche vient couler sur mon ventre, il me semble qu’il prend possession de moi. Sa voix est voilée et presque douce quand il dit: — Maintenant, tu vas te mettre à quatre pattes! Mais je n’ai pas envie de me mettre à quatre pattes. J’ai envie d’être indocile et je fais non de la tête en souriant. Danke me sourit comme en écho. — Tu veux te faire prier, ma petite fiote? C’est ça, tu veux te faire prier? J’ai croisé les avant-bras, mains sur les épaules. Je me sens plus nu que jamais devant mon dompteur botté qui s’apprête à me faire ployer sous les coups de fouet. Le cœur battant, je le vois prendre la posture, chercher l’élan, faire voler le long muscle de cuir avec un sourire grondeur. La lanière s’enroule cinglante autour de mes épaules et la mèche me brûle la main. Mais la douleur n’est rien à côté du regard dominateur de Danke, de l’arrogance souveraine de sa mâchoire, de la calme maîtrise avec laquelle il s’apprête à me cingler à nouveau de son grand fouet. Je me jette à quatre pattes, subjugué. Le menton buté de Danke pointe crânement pour marquer son triomphe. Il corrige la pose pour faire claquer le fouet à la verticale. — Au pied, le chien! Cours au pied! J’ai les genoux, les mains sur le ciment froid et dur, les yeux pas plus haut que les grandes bottes de Danke qui se dressent en face. À ma gauche, j’entrevois celles de Rodolphe et d’Axel qui s’allongent, semelles levées, devant la banquette. Je sens ma queue lourde et dressée vers mon ventre. Axel fait: «Putain! C’te lope!» Je suis déjà aux pieds de Danke, la tête entre ses bottes. Je lève vers son menton un regard soumis et je remarque soudain le gonflement de sa verge. Danke me met le talon de sa botte sur le crâne: — T’as déjà vu les chiens coller les genoux par terre? J’vais t’apprendre à te tenir à quatre pattes, ma bête! Danke m’appuie le talon sur la nuque et me cingle les cuisses pendant que je décolle les genoux. Il ôte son pied enfin, mais c’est pour me botter la fesse. — Le cul! J’veux un cul cambré! Ouais, comme ça... Là tu commences à ressembler à un chien. Bon, maintenant tu vas tourner autour de moi. Gaffe à ton cul, ma bête! J’obéis à mon maître, je commence à tourner, cul en l’air, autour de lui mais je n’ai pas fait trois pas que le fouet me cingle les côtes. — Mieux que ça le cul! Cul cambré, j’ai dit. — Il gaze le Danke! fait Axel. — C’est rien ça, tu vas voir t’à l’heure... Allez, plus vite maintenant le chien! Plus vite! Le fouet de Danke claque, en l’air d’abord, puis à nouveau sur mes côtes. Je m’efforce d’aller plus vite, je halète, je gémis sous le fouet qui me cingle à nouveau. — Bien. Couché maintenant. Couché mieux que ça. Gueule à terre. Danke m’écrase la tête de sa botte pour mieux me faire comprendre. Et, aussitôt, coup de pied au cul. — Allez, debout sur tes pattes, le clebs! Allez, on court! Stop. Couché. Bien. On rampe jusqu’aux bottes du maître maintenant. Je rampe les couilles pleines, la queue raidie contre le ciment froid jusqu’aux bottes de Danke. — Il lèche maintenant, le chien. Il lèche les bottes de son maître. J’aurais léché sans que mon maître demande tant je me sens à sa botte maintenant. — Il est content le chien, alors il remue le cul. Mieux que ça. Et il lèche en même temps. Je lèche à pleine langue, en remuant le cul, la haute tige noire, luisante et musquée, en levant les yeux de temps en temps vers le regard jouisseur de Danke penché vers moi, au-dessus du gonflement de sa verge. — Il aboie, le chien, pour montrer qu’il est content. Il aboie. Je fais un timide: «Ouah! ouah!» Et j’entends rigoler sur la banquette. — Il est aphone, ton clebs! ricane Rodolphe. Danke me prend l’oreille, plante sur moi ses yeux bleus, parle d’une voix blanche, sifflante: — Tu vas aboyer, ma salope! Tu vas aboyer pour qu’on t’entende à deux kilomètres! Il recule en délovant le fouet à grands gestes, se cambre sur ses bottes, jambes écartées, mouline du bras avant de faire claquer le fouet devant lui. J’aboie vraiment alors, un aboiement sonore et plaintif, mais la lanière, envolée à nouveau, se rabat sur mon dos, atrocement cinglante. — Aboie plus fort, chienne! Alors j’aboie de toutes mes forces: «OUAH! OUAH! OUAH! OUAH!» Le hangar en raisonne. Tim, Axel et Rodolphe jubilent. — Allez, cours en rond en aboyant, le chien! Je cours à quatre pattes, aboyant à m’essouffler. C’est Rodolphe qui sort sa bite le premier, bientôt imité par Axel et Tim. De grosses bites dressées dans l’ombre. La bouche de Danke se gondole. Il fait claquer le fouet en paradant avec des postures de cosaque. J’aboie toujours, toujours courant à quatre pattes. Les autres jeunes machos font des «ouais» d’excitation en se branlant, avachis sur la banquette. Je cambre mon cul, émet des jappements langoureux, me sentant chienne de tout le corps. Danke a sorti sa bite à son tour sans même arrêter de faire claquer le fouet. Elle se relève au-dessus de moi comme une matraque dressée. Mon dompteur replie la lanière maintenant, bouche entrouverte. — Au pied, chienne! J’avance jusqu’aux bottes de mon maître. — Fais ta belle ma chienne, pattes avant pliées. Ouais, c’est ça, t’es une bonne chienne. Tu vas avoir droit à la bite de ton maître. Après t’iras sucer mes potes. Ouvre ta gueule. J’ouvre la gueule. Danke y fourre sa trique à m’étouffer. Je hoquette. Danke retire sa queue, mais c’est pour m’envoyer une baffe étourdissante. — Essaie de dégueuler, ma salope. J’te ferai bouffer ton dégueulis à coups de fouet! Danke m’a empoigné les cheveux. — Rouvre ta gueule. J’ouvre. La trique de Danke s’engouffre, s’enfonce de force tandis que ma tête est maintenue par la poigne, avancée, reculée, avancée. Je respire à fond. J’arrive à pomper comme il faut mais la grande bite s’enfonce encore plus dans ma gorge. Ça se soulève plus bas. Une bave tiède et cailloteuse remonte, fuse, éclabousse la braguette de Danke. — Ah! le fumier de porc! Il m’a dégueulé dessus! Danke a retiré sa bite. Il m’a envoyé coup sur coup deux baffes foudroyantes qui me donnent envie de pleurer. — Tu vas nettoyer ton dégueulis, ma petite chienne. Tu vas le lécher à fond. J’ose faire non de la tête, bouche fermée. — Axel, viens prendre mon fouet. Axel accourt, prend le fouet que lui tend Danke. J’entrevois sa mine réjouie. Je tourne la tête pour lui voir prendre ses marques. On dirait un gamin avec un jouet tout neuf. Un gamin maladroit: le fouet claque mal. Je souris. Axel me couve du regard, tendrement, la bite dressée. — Prends ton temps. Fais bien grimper la lanière, puis rabats-la d’un coup sec. Axel se passe la langue sur ses lèvres, s’applique, fléchit le genou en balançant le bras, rabat le fouet en un claquement formidable. Et déjà la lanière remonte pour une deuxième, puis une troisième détonation. J’abandonne ma tête à la poigne de Danke qui me plaque la bouche et le nez sur l’étoffe visqueuse, à hauteur de sa bite. — Vise les reins! Le coup me fait me tordre et gémir. Je tire la langue à fond, la presse sur le vomi nauséeux. Mais déjà le fouet siffle, déjà à nouveau la lanière cingle. Tout en continuant de lécher, je gigote et me tors pour tâcher de parer les cuisantes morsures. — Elle commence à comprendre la chienne, on dirait. — Ouais, elle lèche pas mal! Le fouet se calme un peu. J’ai le nez enfoncé sur la cuisse de Danke et je lèche, en m’étouffant presque, l’étoffe râpeuse. — Quand elle t’aura nettoyé, c’est moi qui vais continuer le dressage. Je sens que j’vais en faire une super chienne à vos bottes, les mecs! Axel conclut ces paroles jubilantes par une série de claquements de fouet qui me font frémir. Danke me pousse le crâne vers le bas. — À quatre pattes, carogne! Nettoie les dégueulasseries qu’t’as fait sur mes bottes. C’est vrai: il y a des giclures de bave sur le cuir lisse qui reluit. Je les lèche avec volupté. — Lèche plus fort, chienne. J’veux sentir ta langue sur mon mollet à travers ma botte. T’entends? Axel, fouette-moi cette larve pour lui faire activer la gueule. À quatre pattes, je lèche de toutes mes forces la tige gonflée tandis que le grand fouet me cingle les reins. Je lève les yeux. Mon maître se branle, grimace d’une volupté qui me bouleverse. Ses joues se creusent, sa bouche s’arrondit, ses lèvres saillent, un gros crachat fuse et atterrit sur mon front. — Couche-toi sur le dos, ma petite larve. J’obéis. Danke frotte une semelle sur mon front en se branlant, puis la pose sur ma bouche. — Lèche mon mollard sur la semelle de ma botte, carpette. Axel s’est approché. Tim et Rodolphe l’ont rejoint. J’ai la tête un peu penchée pour lécher la semelle et je devine d’autres bottes au bout de mon regard qu’obstrue le massif pied de cuir. Ma langue tâte la gluance du crachat, le picotement râpeux de la semelle. Danke respire bruyamment. J’essaie de me branler mais une botte m’écrase le poignet — On t’a permis de toucher à ta queue, ma petite fiote? La voix est celle de Rodolphe. Danke souffle plus fort. La semelle pivote en m’écrasant la gueule. Une pluie tiède me tombe sur le ventre tandis que la botte se retire. — Fiuuuut! Elle m’en aura fait juter, cette larve! — Tu veux dire qu’elle t’a vidé les couilles! — On en reparlera. Pour l’instant, j’vous la laisse, les mecs. Axel qui s’est reculé fait claquer le fouet. — Elle est à moi maintenant! — Laisse la souffler. C’est Tim qui s’interpose. Il sort un mouchoir de sa poche, s’accroupit, commence à me nettoyer doucement. — Maman poule et son poussinet! La plaisanterie est de Rodolphe. Tim ne se laisse pas démonter: — Mais oui, c’est mon poussinet ça, hein? J’vous l’ai apporté tout chaud. Tim m’a retourné, s’est mis à califourchon sur mon dos, me caresse. — Ils ont pas été gentils avec toi mes copains, hein! Putain, il a de sacrées marques! Faudrait y aller mollo avec le fouet, les mecs! Axel rigole: — Ah, l’enfoiré! Tu bandais peut-être pas quand Danke le cinglait tout à l’heure! — Touché, la Castagne. Mais Danke, il sait se servir d’un fouet, lui, mon bébé! J’parie qu’c’est toi qu’as fait c’bobo à mon poussin. — Yaouh! OK! OK! J’vais faire gaffe! J’ai vu les marques rouges sur ma poitrine et j’imagine celles sur mon dos où les caresses de Tim raniment une douleur délicieuse. Il me retourne à nouveau, se lève pour mettre une capote, se remet à califourchon sur moi, commence à me pincer les seins, à les enfoncer en tournant, d’une manière terriblement excitante. Il sourit. Il a les yeux verts et dorés, des poils blonds sur ses joues charnues. Ma queue dressée se courbe contre son ventre, je sens la sienne entre mes cuisses. Il me retourne. J’offre mon cul. Devant moi, Axel, jambes écartées, tient son fouet des deux mains; il plie les genoux pour me mettre sa bite dans la gueule. Je le pompe pendant que Tim m’encule. — Elle en veut cette chienne! Tim me laboure le cul. Axel me tire les cheveux. J’arrive à le pomper comme il faut, la bouche pleine, le cul plein. Et je l’ouvre encore, mon cul, pour sentir jusqu’au fond la queue de Tim. Axel s’est dégagé, dirige ma tête vers son regard: — Tu vas être ma chienne maintenant. Dis-le qu’tu vas être ma chienne! Je ne réponds pas, haletant sous le butoir de Tim qui m’agrippe les épaules, me les ploie, m’étreint enfin dans la jouissance. À peine m’a-t-il libéré qu’Axel fait claquer le fouet. — Au pied, chienne! Je cours aux bottes d’Axel, la queue relevée, encore plus soumis d’avoir eu le cul défoncé, excité par l’impatience juvénile de mon nouveau maître. Quand je suis arrivé à ses pieds, il se recule d’un pas rapide, tapotant ses bottes de son fouet. — Allez, ma chienne, on bondit vers son maître. Je bondis, viens me coller la tête contre les bottes d’Axel. Il me caresse le crâne. Puis il recommence le manège. — Allez, plus vite! C’est bien, ça, ma chienne. On lèche les bottes de son maître maintenant. Je lèche le pied des bottes, le menton à terre. — Super. File jusqu’à la porte maintenant, et reviens à fond de train quand je te sifflerai. Axel accompagne son ordre d’un claquement de fouet formidable. Je pars à quatre pattes vers la porte, attends, me retourne quand mon maître siffle, vraiment comme on siffle un chien. Axel est accroupi, il tient de la main gauche un bâton à l’horizontale. — Allez, saute ma chienne, saute! Je saute au-dessus du bâton et, comme je cours encore, j’entends le fouet claquer au milieu d’applaudissements. — Stop! Pas mal! Mais t’es encore trop lourde, ma bête. J’veux t’voir foncer quand j’te siffle. Je me précipite au sifflement mais je m’essouffle. Le bâton est plus haut, je le touche des jambes en sautant. Rodolphe se marre. Danke fait: — Tu vois le boulot pour l’assouplir, cette lope. Axel qui s’est relevé me donne des coups de botte dans le cul, sur les côtes. — Feignasse! Sac à bûches! J’vais t’assouplir, moi! Il lance le bâton vers le fond du hangar. — T’as intérêt à t’magner pour me rapporter le bâton dans la gueule! Je file aussi vite que je peux jusqu’au bâton, le mords, reviens le bâton dans la gueule vers mon maître qui me toise, bouche bée, les yeux souriants. Je pose le bâton devant ses bottes. Axel me caresse, me flatte la nuque. — Tu vois, ma chienne, quand tu veux! Maintenant tu vas courir vers le bâton en aboyant. Axel relance le bâton. Je vais le chercher sans me presser, sans aboyer, bandant plus fort à l’idée de provoquer mon maître. Quand je reviens, le bâton dans la gueule, j’ai les yeux rivés au visage d’Axel, à sa moue, à son regard qui me dévore. Je pose le bâton à ses bottes comme si de rien n’était. Axel me caresse plus tendrement la nuque. — Comme ça, tu veux te foutre de ma gueule, ma petite chienne! Tu veux te foutre de ma gueule! Sa bite est au plus haut. De l’autre main, il agite les boucles de son fouet. Il se recule posément. Son regard brille. Je me recroqueville, implore: — Pitié, maître! Je ne recommencerai plus, maître! Le grand fouet m’enveloppe, cinglant. Axel me fouette à gestes larges, le sourire épanoui, maîtrisant parfaitement le muscle de cuir tandis que je me roule d’un côté, de l’autre pour échapper à ses morsures. — Aboie, chienne! J’aboie, mêlant mes aboiements au sifflement du fouet qui ondoie, clapote, cingle mon dos et mes cuisses. — Demande pardon. — Pardon, maître! Pardon, maître! — Rampe jusqu’à mes bottes! Je rampe, comprimant ma queue raide, jusqu’aux bottes d’Axel qui se cambre, jambes écartées. Il a lové le fouet, il tient les boucles parallèles à sa bite en les secouant. — Axel, j’ai envie de m’occuper de ton clebs une seconde. C’est Rodolphe qui a parlé entre deux gorgées de bière. Axel ramasse le bâton. Rodolphe écarte les bottes. Le bâton atterrit sous la banquette — Va chercher, chienne! Je pars à quatre pattes, pas trop vite, vaguement apeuré de m’approcher de Rodolphe. Il a posé sa bière et je pressens à sa mine ce qu’il me faudra endurer. La baffe que je reçois quand je suis à sa portée est terrible. Elle me fait tomber sur le côté. Rodolphe se penche: — On se relève, mon toutou. Je supplie du regard en me relevant mais c’est pour recevoir sur l’autre joue une baffe qui me fait tomber encore. C’est trop, je me recule mais le fouet d’Axel me cingle par derrière. — Rapporte le bâton, j’ai dit. J’essaie de plonger furtivement la tête entre les bottes de Rodolphe, mais il rapproche ses genoux, me la coince, m’empoigne les cheveux. Son regard est tendre et féroce, son sourire goguenard. Il dodeline en me dévisageant. Il prend son temps pour me baffer: une gifle ajustée, appliquée avec toute la largeur de la main. — Aboie. Il dit ça lentement, doucement. J’aboie. Rodolphe fait une moue satisfaite. Il me gifle de l’autre main, tout aussi posément. — Aboie. J’aboie et ça continue. Mes joues me piquent et me brûlent mais ma queue est dressée. Je me sens terriblement bien à recevoir les baffes de Rodolphe même si je pleure en aboyant. Rodolphe reprend une gorgée de bière. Sa bite qui était dressée retombe un peu. Il m’empoigne les cheveux à nouveau et soudain me pisse sur le visage, un jet puissant, tiède. — Ouvre ta gueule de chienne! Mais je reste bouche fermée. La pisse me coule sur tout le buste. Rodolphe me recule la tête, finit de pisser par terre, puis il me tire par les cheveux jusqu’à plaquer ma tête sur le sol. — Lèche la pisse de ton maître, ma petite larve. En disant ces mots, il presse ma nuque du pied de sa botte. Axel fait claquer le fouet. — Lèche la pisse de mon pote, chienne! Je lèche, je lèche la flaque de pisse. Rodolphe s’est levé. Danke s’est rapproché. Axel accourt. Tim le suivra. Je lèche étendu de tout mon long maintenant et, tout autour de la flaque de pisse, les hautes bottes se dressent et reluisent. La pisse s’est mêlée aux salissures dans une boue douçâtre. On veut voir ma gueule, je la retourne, je l’offre aux regards de mes maîtres qui se branlent. Ils ont frotté leurs semelles dans la boue pisseuse. Ils me les font lécher tour à tour en me laissant me branler maintenant, déchet pisseux étendu à leurs pieds, approchant avec eux d’une jouissance terrible, de la pluie lactescente et chaude où se noie mon souvenir...

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Mardi 18 septembre 2 18 /09 /Sep 10:38

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— Tonton, tu veux pas me sucer? me quémande-t-il.

Je craque devant son air implorant et surtout devant sa belle queue dressée. Tant pis, je vais attendre mon tour. J'enfourne sa tige au plus profond, à la limite de l'écoeurement. À entendre ses gémissements immédiats, ça lui fait de l'effet, d'ailleurs je n'ai même pas le temps d'attendre, sa bite durcit encore et ses abdos se contractent, qu'il m'éjacule dans la bouche. Il s'abat en arrière sur le dos en me disant qu'il est vidé dans tous les sens du terme. Je lui montre ma bite qui espère toujours qu'on lui prête attention. Il me fait un sourire charmeur et me dit:

— Tu m'excuses mais j'en peux plus. Si tu veux te branler, je vais te regarder.

Je suis déçu de m'être fait avoir par un petit jeune, mais il fallait s'y attendre. Je commence à m'astiquer en le caressant, ce qu'il accepte, mais ne semble guère le concerner car il somnole déjà. Je laisse tomber et mes souvenirs m'envahissent, je me revois lors de ma première fois avec Andrew.

J'avais 18 ans moi aussi, j'étais parti aux États-Unis pour un stage linguistique. Manque de bol à mon arrivée, la famille d'accueil prévue avait fait faux bond. Le professeur responsable, Andrew N., avait dû me recevoir à l'improviste. Chargé de tout un département de son établissement, c'était un notable de la ville, président d'un club de sport. Il avait, comme moi maintenant, 45 ans. Marié, père de quatre filles dont une de mon âge. Il représentait l'Américain typique: blond, grand, bien bâti, homme décidé, aux mâchoires carrées, allant à la messe tous les dimanches.

Je pris l'une des chambres des filles et me pliai facilement à leurs habitudes. La prière avant les repas, l'hygiène au maximum, la vie saine avec du sport le week-end, bref un mois de vie très différente de ce que je connaissais en France. Très vite, je me pris d'admiration pour Andrew et commençai à être attiré par son magnétisme. Inconsciemment au début puis de manière plus résolue ensuite, je me mis à le draguer, d'abord par des postures et un intérêt soutenu par tout ce qu'il disait puis par des gestes de plus en plus provocants. Par exemple, un jour que nous revenions d'avoir couru, je pris ma douche après lui en veillant à ce qu'il voit que je bandais. Une autre fois qu'il était venu dans ma chambre, je restai allongé sur le lit en remontant une jambe, laissant voir sous mon short très échancré - je faisais exprès en plus de ne pas porter de slip - mon sexe.

Quand il m'apprit des rudiments de golf et de base-ball, je le laissai me prendre en main littéralement, quitte à le solliciter. Le sentir contre moi m'électrisait. Mais j'avais gardé le meilleur pour la fin, j'avais réussi à ramener dans mes bagages un magazine porno gay en prévision de branlettes si cela devait s'avérer nécessaire. Un autre soir qu'il était venu dans ma chambre, je surjouai celui qui s'est fait découvrir et, de manière complètement voyante, je cachai le magazine sous mon oreiller en réussissant à rougir...

Peu de temps après, Andrew devait m'emmener à un rassemblement des Français venus comme moi en stage. Même si je ne connaissais pas la route, je compris qu'on s'éloignait de la destination prévue. De plus, Andrew restait muet. À un moment, il prit un petit chemin, puis un autre et nous arrivâmes dans la clairière d'une forêt. Je me dis que cela allait être la loterie, soit je me faisais jeter pour mon comportement, soit...

Andrew souleva son pull et sortit mon magazine qu'il avait calé sous sa ceinture. Il me demanda si je comprenais de quoi il s'agissait. Pour une fois, je ne fis pas l'ingénu, je lui dis que j'avais des envies et que cela me faisait du bien. Je tournai les pages et lui expliquai que tel mec en photo me plaisait, tel récit m'excitait. Il m'écoutait bouche bée.

Je décidai alors de passer à l'attaque et lui passai la main sur le paquet en me disant, s'il me file une claque, vu sa force, je suis mort. Mais je constatai qu'il bandait, que c'était un beau morceau et qu'il ne réagissait pas. Je m'enhardis et ouvris sa braguette. Alors, il commença à m'aider et défit sa ceinture, je découvris sous son caleçon blanc immaculé XXL qui lui descendait quasiment jusqu'aux genoux l'objet de mon attention; et quel objet! Il était doté d'une énorme bite qui grossissait à vue d'oeil, à la fois longue et épaisse. Je m'empressai de la mettre dans ma bouche mais je n'arrivais même pas à tourner la langue autour du gland. Toujours est-il que je me mis à le lécher et que très vite il jouit, en saccades abondantes d'un sperme épais et très blanc. Il semblait catastrophé, il avait tâché ses vêtements, et surtout répétait sans cesse que c'était mal. J'étais ravi.

Il finit par me conduire au rassemblement et nous nous retrouvâmes le soir dans la famille. Il me glissa à un moment qu'il viendrait me voir. J'attendis après être couché et il entra discrètement. Il se mit à me parler de manière ininterrompue, il avait eu tort, il ne fallait pas que cela se sache, il me demandait pardon, il allait falloir que je parte, il ne savait pas comment faire.

Quand il eut fini, je restai silencieux et m'approchai de lui. Je me blottis dans ses bras et commençai à le caresser. Son corps musclé, son sexe, tout me faisait envie. J'étais en tee-shirt et en caleçon, je les retirai. Il hésita puis se déshabilla à son tour. Je le vis pour la première fois entièrement nu. Ses pectoraux étaient saillants et couverts d'une légère toison blonde qui descendait en fine colonne sous son nombril et son sexe toujours aussi impressionnant montait plein de vigueur. Après un premier baiser, je retentai une fellation. Après nous être mis en 69, il commença à me pomper, assez maladroitement mais j'étais trop content de ma victoire. Rapidement, nous avons joui de concert. Dans le moment de repos qui suivit, je m'attardai sur son corps, mis mon nez sous ses aisselles, lui léchai le corps dont l'odeur m'enivrait. Nous étions hélas arrivés à la fin du séjour. Il n'y eut qu'une autre fois avant le retour.

Nous devions nous revoir quelques semaines plus tard à l'été, car il avait projeté un voyage "en amoureux" avec sa femme Sharon à Paris. J'allai donc à leur rencontre à Roissy dans un premier temps et dès que je le revis, je sus qu'il fallait absolument qu'on recouche ensemble. Même si ce n'était pas très romantique, nous prétextâmes une envie pressante pour nous retrouver serrés dans une cabine des toilettes de l'aéroport et, sans nous préoccuper de quoi que ce soit, avons repris le cours interrompu de notre histoire.

Je devais leur servir de guide, aussi je les rejoignis chaque matin. L'objectif était de se retrouver au moins cinq minutes, le temps de jouir rapidement. Il fallut faire preuve d'imagination et surtout bien surveiller, mais nous y arrivâmes presque tous les jours même lorsqu'ils rencontrèrent une Américaine âgée avec laquelle ils sympathisèrent et qui s'avéra être un boulet pour nos escapades. Je commençai à flipper devant leur retour dans leur pays. Mais la veille du départ, la femme d'Andrew décida de faire du shopping avec sa nouvelle amie. Il ne dit rien, mais pensa comme moi que c'était l'occasion de passer du bon temps ensemble et d'explorer enfin nos corps. Il dit à sa femme que nous irions de notre côté faire une visite qui ne l'intéressait pas.

Mais en fait, une fois que nous fûmes séparés, je rebroussai chemin avec lui pour retourner à la chambre. Celle-ci n'avait pas encore été refaite, il était 10h du matin, nous nous étions donné jusqu'au déjeuner et avions placé la fameuse pancarte "Do not disturb". Nous avons commencé par prendre une douche ensemble où nous nous sommes branlés et sucés mutuellement. Ensuite je l'ai suivi dans les draps qui l'avaient accueilli avec Sharon. Il me dit en riant qu'il allait enfin inaugurer le lit car avec sa femme, ils n'avaient quasiment fait l'amour que pour avoir des enfants. Il m'avait de plus appris qu'elle ne supportait pas la taille de sa queue. J'avais donc l'honneur de lui offrir mon intimité.

Après beaucoup de caresses, de gel, le grand moment arriva. J'avais un peu d'appréhension, même si j'appréciais la sodomie. Dûment encapuchonné, il présenta son monstre à l'entrée de mon cul. Le seul fait d'appuyer son gland m'excita et me fit m'ouvrir encore plus. Le passage au millimètre de sa bite fut long et un peu douloureux, mais cette sensation s'estompa vite d'autant qu'Andrew faisait des pauses. Il suait, à cause de l'excitation, de l'attention extrême. Il me tenait les jambes écartelées, à la limite du supportable et je voyais sa tige engloutie dans mes entrailles. À un moment où il jugea qu'elle était assez entrée, il débuta un léger va-et-vient. Je voyais qu'il découvrait un plaisir inconnu et je bandais extrêmement dur. Puis petit à petit, il réussit à être presque entièrement en moi. J'étais plein et heureux. Il réserva son éjaculation et nous essayâmes plusieurs positions. À un moment, je réussis à m'asseoir sur sa bite, j'étais au septième ciel. Cela faisait si longtemps que nous nous retenions que nous allions jouir d'une minute à l'autre.

Nous étions si absorbés par cette imminence que ce fut la stupeur quand nous y parvînmes dans un cri mutuel, au moment même où nous remarquâmes que la femme d'Andrew était là, bouche bée, à nous regarder, un profond air de dégoût sur le visage. Nous n'avions même pas entendu qu'elle était entrée! Elle tourna les talons et Andrew se retira prestement de moi, en manquant de peu de déchirer son préservatif plein. Il jurait tout en s'habillant, moi j'étais encore sous le coup du bonheur procuré.

Andrew ne revit pas sa femme tout de suite, elle avait repris le premier avion et ne voulait plus lui parler. Ils divorcèrent immédiatement et elle lui demanda une pension faramineuse, en exigeant qu'il quitte le territoire américain s'il ne voulait pas qu'elle révèle tout et lui colle un procès. À la fin de l'été, je me retrouvai avec Andrew, à la recherche d'un emploi en France. Mes parents ignoraient ce qui s'était passé, ils savaient juste quelle était sa fonction. Étant professeurs d'université, ils lui trouvèrent vite un poste d'enseignant en anglais et espagnol en fac. Ce fut un peu plus dur lorsqu'ils apprirent à mes 18 ans qu'il était mon amant et que nous allions habiter ensemble. Depuis nous avons vécu une vie de couple heureuse et épanouie, nous accordant la liberté mutuelle et Andrew a pu découvrir tout ce qui lui manquait dans sa vie sexuelle.

Mais si je reviens à mon neveu et notre première nuit, j'ai un peu la haine le lendemain. De plus, c'est le jour du retour d'Andrew. J'en parle avec Arthur qui me dit qu'il va partir. En effet, il n'a jamais apprécié mon copain, trop masculin, trop directif et puis à 65 ans maintenant, il n'a aucune chance de lui plaire. Hélas pour lui, Andrew prend le vol précédent à celui qu'il nous a annoncé. Je suis heureux de le voir débarquer par surprise à la maison, je vais pouvoir reprendre mes bonnes vieilles habitudes sexuelles. Nous nous embrassons langoureusement après ce mois de séparation, mais Andrew, qui lit en moi, devine tout de suite qu'il s'est passé quelque chose, ce que je lui révèle sur le champ. Il éclate de rire:

— C'est un peu comme toi avec moi, tu m'as dragué, sauf que pour nous ça a bien fini. Tu vas voir, je vais punir ce petit salaud! ajouta-t-il.

Et comme par hasard, c'est après avoir dit ces mots que mon neveu fait son apparition. Il n'a pas l'air ravi de voir Andrew mais comme il est poli, il reste avec nous au salon. Mon copain, qui est assis contre moi sur le canapé, fait exprès de m'embrasser régulièrement et de me caresser au fur et à mesure de la conversation.

À un moment, il me pétrit l'entrejambe. Évidemment, ça me fait de l'effet et je constate qu'Arthur n'y est pas indifférent. Mon compagnon nous quitte quelques instants, mon neveu en profite pour se moquer de moi et me dire que j'ai de la chance, je vais passer à la casserole. Mais quand il revient, surprise, Andrew est en maillot de bain hyper moulant où l'on distingue très bien sa grosse barre semi-rigide. Arthur déglutit et nous dit qu'il va nous laisser.

— Pourquoi? demande Andrew tout en se mettant la main dans le slip, laissant apparaître pas mal de chose. Il se lève et s'approche de lui.

Je suis toujours admiratif devant son corps superbe qui est assez intimidant. Arthur semble touché lui aussi, comme fasciné. Andrew est presque collé à lui et lui demande, de but en blanc, s'il a apprécié de baiser tonton. Mon neveu rougit et ne dit rien, Andrew lui donne alors une claque en ajoutant qu'il a été malpoli de n'avoir rien donné en retour et, en quelques secondes, le prend par le bras, lui fait une clé et le fait se coucher sur la table de salon. Il me demande d'aller chercher notre petit sac de gadgets que nous avons dans notre chambre. Une fois récupéré, il en sort deux godes de bonne taille, mais surtout une paire de menottes qui lui permettent de river Arthur au radiateur. Les choses s'enchaînent assez rapidement. Tout en continuant à le maintenir couché à angle droit sur la table, Andrew lui descend le pantalon et le slip, lui enduit la rosette puis son sexe de gel et présente sa grosse queue devant le petit trou vierge. Rien que le fait de pousser juste le gland le fait hurler, j'en ai mal pour lui. Mais il sait y faire et arrive à perforer mon neveu qui ne cesse de crier en pleurant. Une fois le membre entré aux trois quarts, il commence un va-et-vient qui m'excite beaucoup. La vue de ce sexe luisant qui entre et ressort me fait quasiment mouiller, c'est comme si je l'avais en moi, je bande hyper fort.

Mon copain me fait approcher et me fait signe de prendre la place. Je m'exécute, l'élargissement me donne de la facilité. Je sens qu'Andrew se positionne alors derrière moi et je suis pris en sandwich. Il me donne le tempo pour que nos queues pilonnent en même temps. Arthur ne dit plus rien, écrasé qu'il est par nos deux corps qui le dominent. Je ne tarde pas à jouir, Andrew éjaculant aussi en moi à la suite. Le cul d'Arthur est béant, il y a un peu de mon sperme qui coule le long de ses cuisses. Nous le laissons attaché quand tout à coup il nous insulte:

— Salauds, vous m'avez violé.

Mais il n'est pas crédible, il a un petit sourire qui se dessine au coin de ses lèvres et puis il finit par porter ses doigts à son anus endolori pour terminer par mettre dans sa bouche le nectar qu'il y a récolté, de manière très provocante. Andrew rebande, il a toujours faim de sexe, et il propose de remettre cela...

 

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Samedi 15 septembre 6 15 /09 /Sep 03:28

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Je viens de faire enregistrer mes bagages et il me reste un peu plus d'une heure à patienter avant de pouvoir embarquer. J'ai hâte de me retrouver dans l'avion et de décoller. À vrai dire, j'ai plutôt hâte d'atterrir. Cette semaine de vacances a été épuisante... Mes journées et surtout mes nuits ont été bien remplies... comme mes deux trous! L’endroit que j’ai visité est superbe, peuplé de mâles tous aussi superbes! Mâles bourrés de testostérone, poilus et pourvus de grosses bites... et de couilles bien pleines.

Assis sur une banquette dans la zone d’embarquement, j’écoute un peu de musique dans mon lecteur MP3. Évidemment, je n’entends pas les annonces faites dans les diffuseurs... Je m’aperçois cependant qu’une certaine effervescence gagne l’endroit...

Une main se pose sur mon épaule. Une hôtesse me parle. J’enlève mes écouteurs...

— Monsieur, il faut que vous quittiez cette zone immédiatement... il y a une alerte à la bombe dans l’aéroport...

J’ai un frisson qui me parcourt le long du dos.

— Dirigez-vous vers cette porte... Une de mes collègues va vous indiquer la marche à suivre...

J’essaie de ne pas me laisser envahir par la panique. J’y arrive assez bien. En moins de dix minutes, j’ai quitté l’aéroport et je me retrouve assis dans un camion militaire avec des voyageurs un peu perdus... comme moi. Un enfant hurle, une vieille dame geint, deux jeunes types posent constamment des questions... Des Légionnaires aux mines fermées se dressent un peu partout, arme au poing.

Deux heures se sont passées et un responsable de la sécurité annonce que l’aéroport sera fermé pour 24h. Nous allons être logés dans les hôtels les plus proches qui disposent de chambres libres...

À minuit trente, je fais partie d’un petit groupe pour qui on n’a pu trouver une chambre.

— Nous sommes désolés mais les hôtels sont complets. Vous serez logés à la caserne!

Dans un premier temps, j’accueille la nouvelle avec une certaine réserve puis, finalement, je me rends compte que ça peut être amusant de se retrouver dans un univers masculin...

Mon regard a croisé plusieurs fois celui d’un soldat qui est tout à fait bandant. Il m’a même semblé qu’il me souriait en passant sa langue sur ses lèvres. J’imagine ce beau mâle en train de m’enculer sur une table du mess des officiers. À cette pensée, je sens ma queue qui commence à prendre vie dans mon bermuda. Elle grossit et durcit et me voilà dans le camion militaire avec une bonne trique. Je ne sais plus où poser les yeux.

Nous roulons encore une vingtaine de minutes et nous arrivons enfin à la caserne. Partout, je vois des beaux Légionnaires en tenue de combat... Ces machos savent-ils qu’une salope vient d’entrer dans leur «monde». Je me sens prêt à me donner à fond à tous...

— Le temps d’organiser votre logement, nous allons vous servir une collation!

Moi, je sais déjà de quel type de collation j’ai envie.

— Pourriez-vous m’indiquer où se trouvent les toilettes?

Un militaire me montre un couloir et indique qu’il faut tourner à gauche. J’ai la vessie bien remplie. Je me rends très vite à un urinoir et à peine ai-je commencé à pisser que j'entends la porte claquer. Un militaire entre. Il vient s’installer à côté de moi, se débraguette, déballe son engin et se met à pisser. Mes yeux glissent vers sa bite.

— Bon... soir! dit-il un peu nerveusement.

Je lui réponds. Je vois qu’il lorgne sur ma bite qui se met à raidir.

Le militaire est plutôt beau mec. Il doit mesurer 1m85 environ, est brun et poilu... large d’épaules... Il a fini de pisser, se secoue la queue, la remballe et file vers les lavabos. Je ne tarde pas à le suivre. Je choisis un lavabo assez éloigné du sien. Pendant que je me lave les mains, je l’entends bouger derrière moi. Il vient se coller dans mon dos en frottant sa queue contre mon cul. Je suis assez étonné de constater qu’il parle le français...

— Alors, comme ça, on aime regarder les militaires?

— Euh... oui...

— T'aimes la bite, c'est ça? Si y'a que ça pour te faire plaisir, on va t'en donner!

Pendant qu'il me disait ça, il m’a fait une clé de bras et m’a immobilisé.

— Tu es prêt pour un voyage au pays du sexe hard?

— Je n’attends que ça... Maître!

J’avais lâché le mot qu’il fallait... Mon militaire vicelard m’a attaché les mains derrière le dos puis m'a fait sortir des toilettes en ayant bien pris soin de regarder si personne n’arrivait. Il m’a poussé jusqu’au fond du couloir. Là, il a ouvert une porte métallique et m’a fait entrer. La pièce était assez grande – type garage – et j’ai directement vu le mec qui m’avait lâché un sourire dans le camion. Il attendait calmement, appuyé contre une paroi, le pantalon en accordéon sur les chevilles... en train de se branler. J’en suis resté bouche bée.

— Je t’avais dit qu’il y aurait de bonnes choses pour toi... pour tes trous surtout!

Le mec qui se branlait était vraiment très beau. Le voir s’astiquer ainsi m’a tout de suite excité au plus haut point.

— Je te présente Khaled! 1m80, 77 kilos et une bite de 21cm!

— Woaw!

— Comme tu dis! Personne ne s’est encore plaint de son engin... En plus, il sait très bien s’en servir... Tu aimes les beurs, je parie?

— J’aime tous les mecs pourvu qu’ils s’occupent de moi comme d’une salope!

Là, il m’a donné une baffe!

— Alors, ferme ta grande gueule de pouffe! Si on te donne la permission de l’ouvrir ce sera juste pour pomper... OK?

J’ai fait oui de la tête.

Khaled n’avait pas dit un mot ni bougé d’un centimètre. Il était là et me regardait droit dans les yeux en continuant d'astiquer sa grosse saucisse. La porte s’ouvrit et un troisième soldat fit son entrée. Il était plus petit et râblé avec un air hyper vicelard. Il demanda si quelqu’un d’autre devait venir.

— Pas pour l’instant. On va commencer le dressage à trois! Ce sont les ordres du chef!

Le dernier arrivé ferma la porte à double tour, me saisit sous le menton et me cracha à la figure.

— Le petites putes, nous on sait s’en occuper!

— Ouais! On les dresse bien.

Il a sorti sa bite et me l’a claquée au visage.

— T'en voulais, t'en auras! Pompe-la! Tu veux de la bite, en voilà...

— Allez! Ne perds pas ton temps, salope... Taille une bonne pipe à mon pote! T'as vu cette belle queue? Elle donne envie, hein?

Je me suis retrouvé illico face à cette queue lourde et épaisse. J’ai ouvert largement la bouche pour la gober et la sucer. Le militaire s’est mis à gémir au contact de mes lèvres. Sans me vanter, je sais que je suis une bonne pompeuse. Dès que j’ai commencé à jouer avec ma langue sur son gland, ses gémissements ont redoublé et il s'est totalement laissé allé. Le beur se branlait en nous regardant et le troisième poussait ma nuque par derrière. Je n’avais aucun désir de résister car la situation me plaisait. Je l’avais même espérée dans mes rêves les plus fous. Voulant vivre une expérience de dressage musclé, j’ai joué le jeu et j’ai tenté un peu la rébellion. J’ai eu très vite droit à une nouvelle baffe, à des injures et un volée de crachats sur la figure.

Mes mains étaient toujours attachées dans le dos. Le beur s’est approché et il m’a ordonné de lui renifler la bite. Je n’ai pas réagi directement et j’ai reçu ma troisième gifle.

— Tu te prends pour qui, la pute? Ici, t’es à l’armée et tu vas obéir aux ordres... ou il t’en cuira.

— Tu viens d’où, sale pute?

— De France...

— T’es pas le premier Français qu’on dresse... On sait que vous aimez ça, les bites! Vous aimez aussi qu’on vous oblige...

— Ouais...

Gifle et injures.

— T’as pas le droit à la parole. Surtout pas pour dire «ouais»! Avec la permission, tu as droit à «Oui, Maître!» C’est tout! Allez respire la bite de Khaled! C’est de la bonne teub d’Arabe, ça!

J’ai respiré la queue bandée de Khaled jusqu’à ce qu’il m’autorise à la lécher puis la pomper. Durant une trentaine de minutes, j’ai avalé leurs trois bites odorantes et bien dures. J’imaginais déjà l’effet qu’elles me procureraient lorsqu’ils décideraient de m’enculer à la chaîne. J’espérais que d’autres soldats se joindraient à eux pour un long abattage... jusqu’au matin...

Le temps glissait doucement et j’étais toujours au service de trois beaux militaires vicieux. Sans aucune explication, ils m’abandonnèrent dans la pièce sombre et humide et s’éclipsèrent. Je suis resté là un bon moment, seul, nu, effrayé et excité à la fois... Lorsque la porte s’est ouverte, j’ai vu entrer un militaire d’une quarantaine d’années. J’ai tout de suite pensé qu'il s’agissait du supérieur des trois autres soldats. Il a tourné un peu autour de moi sans dire un mot. Je le regardais timidement. Ce mâle était mince et musclé à la fois, bien conservé et très viril. Il s’est débarrassé de sa chemise puis de son pantalon et s’est planté, jambes écartées, devant moi.

— Montre ce que tu sais faire!

Je me suis mis à genoux devant lui et mes mains ont saisi ses chevilles. Remontant doucement, elles ont commencé à parcourir ce corps magnifique. J'ai caressé les puissantes cuisses poilues, pour remonter vers les fesses musclées et poilues elles aussi. Il ne disait rien. Il respirait fort. Pour finir cette exploration, j’ai tendu les bras et j’ai caressé son torse musclé et poilu puis titillé ses tétons dressés. Sa bite dressée cognait mon visage et je l’ai embouchée. Il m’a pissé dans la bouche puis sur le visage. Quel pied intégral! Je pompais une bite énorme qui m’arrosait de sa chaude pisse et je caressais un corps vraiment parfait. Il s’est tourné et m’a offert sa raie à bouffer. J’y ai mis mes mains et la langue tout à son service. Écartant les deux lobes charnus, j’ai fait glisser ma langue dans la raie duveteuse et chaude. Le bouton de rose était serré et la pointe a eu du mal à le forcer. Il a gémi. Pendant que je m’occupais de ce cul divin, un autre gradé est entré. Il s’est appuyé contre la table à notre gauche. J’ai continué mon travail de salope. Son caleçon sur les chevilles, l’autre militaire se branlait en matant le spectacle. J’ai happé la bite de mon beau poilu et je l’ai pompée par l’arrière. Son cul cambré se frottait contre mon nez. Son odeur virile m’envahissait. L’autre s'est finalement approché et a frappé sa queue contre mon dos. Elle était dure, plus courte et plus fine que celle que j'avais en bouche. J’avais maintenant deux belles tiges à honorer. Le premier gradé a pris ma tête et l’a tournée en direction de la bite de son pote.

— Pompe sa bite!

Trop timidement à son goût, sans doute, j’ai aspiré doucement l’autre tige. Il m’a baffé la gueule.

— Un peu de conviction, salope! Bouffe sa queue bien à fond comme tu l'as fait pour la mienne! Je veux la voir disparaître complètement dans ta bouche de petite salope!

Je me suis exécuté directement. Il avait l’impression de me forcer mais il n’en était rien car j'ai toujours aimé pomper un mec. Je prends un pied d'enfer quand j'ai le plaisir de sentir une queue raide et chaude dans ma bouche. Je sais que c’est le prémisse à l’enculade. Un trou est rempli avant l’autre. Aujourd’hui serait faste car je présumais que mes deux trous allaient se faire remplir en même temps. Le sommet de l’extase! J’ai donc mis mon énergie à pomper l’autre bite. Je ne me lassais pas d'entendre son propriétaire gémir sous mes coups de langue.

— Dis que tu aimes ça! a crié celui que je suçais.

— J'adore ça!!! ai-je hurlé.

— On est tombé sur une toute grosse salope. On va bien l’utiliser.

Excité par ses promesses, je me suis mis à le pomper avec beaucoup de conviction. J’ai gobé sa queue au maximum, la laissant heurter le fond de ma gorge et me donnant des haut-le-coeur que je réprimais. Par derrière, l’autre mec me caressait le cul et les cuisses en me traitant de tous les noms.

— On va bien remplir ce trou, ma salope! Ton trou, ta putain de chatte... Tu vas couiner en jouissant sous nos coups de bites! Il y aura nous puis tous les autres. Si tu es là, c’est pour servir...

À leurs pieds, je passais d'une queue à l'autre en essayant de les satisfaire l'un et l'autre. C’est là que la deuxième salve de pisse éclata. De concert, ils me larguèrent leur liquide doré à la gueule. Les deux jets m’inondaient visage, cou, torse et la pisse ruisselait sur les cuisses écartées. C’était très bon.

— Continue à sucer! disaient-ils. Bois! Profite! Ici, on ne te donnera à boire que notre pisse et notre jus blanc...

Je savais que la nuit serait longue et humide...

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Vendredi 14 septembre 5 14 /09 /Sep 01:08

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J’ai rencontré Marc (on va l’appeler comme cela pour l’histoire car en fait je ne connais même pas son prénom) un matin en sortant de boîte pas très loin de la place Clichy, dans laquelle je venais de m’éclater pendant quatre heures à danser au rythme de la Techno et de la House. En sortant, alors que le jour commençait à poindre, un mec m’aborda au moment où je montais dans ma voiture. En lui jetant un coup d’œil, je me rendis compte que j’avais croisé son regard plusieurs fois dans la soirée mais sans plus. Il était quelconque, dans la quarantaine, avec un léger embonpoint, pas trop dans mon genre. Il me demanda si je pouvais le déposer à Asnières et comme c’était ma direction, je lui répondis oui. Il me guida alors pour arriver jusqu’à chez lui. Un pavillon de banlieue au fond d’une impasse. Au moment de le déposer, il me proposa de venir boire un verre chez lui pour me remercier. Moi je n’avais qu’une envie, c’était d’arriver le plus vite possible chez moi pour me pieuter, d’autant que j’avais déjà pas mal picolé. Malgré tout, et devant son insistance, j’acceptais son offre.

Il me fit entrer et m’installa dans un canapé. Le décor était sobre, sans trop de décoration. Il sortit alors une bouteille de whisky et me servit un verre. La discussion s’engagea sur des banalités et je sentais la fatigue monter de plus en plus, ainsi qu’une envie de pisser. Je lui demandais alors si je pouvais emprunter ses toilettes, ce qu’il m’autorisa. Après m’être soulagé, je revins dans le salon et nous reprîmes la discussion, jusqu’au moment où je me suis senti partir. Ma vue commença à se brouiller, mes oreilles à bourdonner et je ne sentais plus mes muscles, bien qu’entièrement conscient. Plus le temps passait et plus je me rendais compte qu’il m’était difficile de parler. Je comprenais tout ce que me disait le mec mais j’étais comme dans un état second. Je n’arrêtais pas de me dire qu’il fallait que je me lève et que je parte mais c’est comme si mon corps ne répondait plus. Enfin presque car lorsque Marc me fit remarquer qu’il faisait chaud et que je ferais mieux de retirer mon pull, je lui souris béatement et m’exécutais.

Puis il se leva et débarrassa la table basse qui se trouvait devant nous. Il me regardait en rigolant et en me disant qu’on allait bien s’amuser ensemble, tout en me resservant un verre que je pris inconsciemment. Il quitta la pièce quelques instant pour revenir avec un sac de sport qu’il déposa à côté de la table maintenant vide. Puis il s’approcha de moi et d’une voix basse, m’ordonna de retirer mon t-shirt, ce que je fis. Il se mit alors à me caresser les seins en malaxant mes tétons entre ses doigts. Je le laissais faire, incapable de réagir. Au fur et à mesure, ses caresses se firent de plus en plus brusques et son souffle devenait de plus en plus rauque. Son sourire s’était transformé en un espèce de rictus et ses ordres retentissaient dans ma tête.

— Lève et toi et allonge toi sur la table!

Docile, je m’allongeais le dos sur la table, comme un pantin. Celle-ci était assez grande pour que je puisse m’y installer de la tête aux reins. Il s’empara alors du sac et l’ouvrit pour en sortir des cordelettes, à l’aide desquelles il m’attacha les mains et les chevilles aux pieds de la table. Dès lors, j’étais vraiment devenu son prisonnier. Il allait pouvoir faire ce qu’il voulait de moi et aucune résistance n’était possible. Il se recula et sortit un appareil photo de son sac. Il prit quelques clichés tout en se caressant la bite au travers de son pantalon.

Puis il attrapa ma ceinture qu’il défit prestement au même titre que les boutons de ma braguette. Il fit glisser mon pantalon jusqu’à mes chevilles, puis mon slip. Au fur et à mesure qu’il me déshabillait, il prenait des photos. Dans le silence de la pièce, on n'entendait plus que son souffle qui s’accélérait et le crépitement de l’appareil. Une bosse s’était formée au niveau de son entrejambe. Nu, attaché sur la table, je le regardais alors se mettre à poils doucement, le sourire aux lèvres. Lorsqu’il baissa son pantalon, une grosse queue jaillie. Elle est bien droite et bien grosse, couverte de veines, le gland bien décalotté. Il se masturba quelques instants puis s’approcha de moi et se positionnant au dessus de ma tête me présenta son cul.

— Lèche moi la rondelle! Enfonce ta langue dans mon trou!

Je fis ce qu’il me demanda sans réfléchir et lui nettoyai sa rondelle avec ma langue. Pendant ce temps, il attrapa ma bite et mes couilles et commença à jouer avec. Puis il se releva et disparut un moment pour revenir avec une bombe de mousse et un rasoir.

— Je vais te faire une beauté. Tu vas te retrouver avec des couilles de nouveau né!

Sur ses paroles, il répandit de la mousse sur mes poils pubiens et ceux de mes couilles et me rasa. Puis je sentis le rasoir remonter sur mon torse et sous mes aisselles, puis descendre sur mes cuisses. Il était en train de me raser entièrement et moi je ne disais rien, plongé dans cette espèce d’inconscience. Lorsqu’il eut terminé, il me détacha, finit de me déshabiller et m’ordonna de m’allonger sur le ventre. Aussitôt dit, aussitôt fait, et je me retrouvais de nouveau ligoté mais cette fois dans l’autre sens, lui offrant mon cul. Je sentis de nouveau le rasoir me parcourir pour éliminer tous mes poils. Alors qu’il me rasait la rondelle, je sentis un doigt s’enfoncer en moi.

— Putain, tu vas avoir un cul d’enfer!

Lorsqu’il eut terminé, je l’entendis fouiller dans son sac. Il s’approcha de moi et me mit un bandeau sur les yeux. Puis il me fit ouvrir la bouche et y enfonça sa bite.

— Vas-y, pompe moi la queue! Vide-moi les couilles!

Sa bite était énorme et j’avais bien du mal à écarter les lèvres pour la faire entrer. Il m’attrapa alors par la nuque et me baisa la bouche. Son gland venait buter au fond de ma gorge à chaque assaut. Après quelques va-et-vient, il se retira et je sentis son sperme s’écraser sur ma figure en de grands jets. Alors que je sentais le sperme couler le long de mes joues et sur ma bouche, il introduisit un objet entre mes lèvres. Au début je pensait que c’était de nouveau sa bite, mais bien vite je compris qu’il s’agissait d’autre chose quand je le sentis me fixer une lanière derrière la tête. J’étais complètement à sa merci, attaché sur la table, les yeux bandés et la bouche pleine, le cul bien offert.

Je sentis alors qu’il me passait une crème sur le cul, jouant avec ma rondelle. C’était froid mais à priori, cela facilitait la pénétration car je sentais ses doigts me pénétrer un à un. Il était en train de me travailler le cul et devait sûrement utiliser un gel. Lorsqu’il décida que j’étais prêt, il retira ses doigts et je sentis s’enfoncer un objet. Le truc devait être énorme car malgré mon état de coma, je ressentis la douleur. Après quelques minutes, je sentis le gode ou autre glisser dans mes entrailles.

— Et voilà petite pute tu es prêt! Ça va vraiment être ta fête et mes potes vont se régaler! Tu vas rester comme ça bien sagement le temps que je revienne avec eux. Et après tu auras intérêt à obéir. Tu feras tous ce qu’ils voudront!

Je l’entendis se rhabiller et partir. Il me laissa seul et je finis par m’endormir sans m’en rendre compte.

Lorsque je me suis réveillé, j’avais complètement perdu la notion du temps et la première chose que je ressentis fut une sensation bizarre. J’avais beau essayer d’ouvrir les yeux mais je n’y voyais rien. Une douleur me lançait en provenance de mes fesses et je ne pouvais plus bouger les lèvres. Un moment de panique s’empara de moi et je me demandais alors si je ne dormais pas encore. Une douleur vive aux poignets et aux bras me fit comprendre que non. Je ne compris pas de suite la position dans laquelle je me trouvais mais je finis par comprendre que j’étais allongé sur une table, les poignets et les jambes attachés. Ma panique augmenta encore plus lorsque je voulus crier et que je n’entendis aucun son de ma bouche. On m’avait aussi rempli la bouche pour me bâillonner. Plus j’essayais de me débattre et plus la douleur était vive aux poignets. Je tentai alors de me calmer et de réfléchir. Où étais-je? Quelle avait été ma dernière destination? Et comment j’avais fais pour me retrouver dans cette situation. Petit à petit, les souvenirs mes revinrent en mémoire. Ce type que j’avais ramené et qui m’avais offert un verre.

Tout à coup, j’entendis une porte qui s’ouvre et des pas. Le bruit d’un interrupteur que l’on actionne mais toujours le noir complet pour moi. Et puis sa voix:

— Regarder les gars ce que je vous ai préparé! Vous allez pouvoir vous éclater.

Je l’entendis se rapprocher de moi et je sentis une main se plaquer sur mon cul et commencer à me malaxer les fesses.

— Putain de cul qu’il a. De le voir se trémousser hier soir en boîte, j’en ai eu la gaule toute la nuit.

En guise de réponse je tentais de bouger pour lui faire lâcher prise mais le salaud savait que je pouvais rien faire et se mit a rire.

— Bouge tant que tu veux, cela nous excite. Faut que je te dise que t’es bien accroché et que tu risques pas de te sauver. On a envie de ton cul et rien ne peut nous empêcher de jouer avec.

Sa main était toujours sur mon cul et ses attouchements se faisaient de plus en plus précis. Elle glissait le long de ma raie occupée pour passer entre mes jambes et venir me saisir mes couilles pour les malaxer. La douleur qu’il m’infligeait me forçait à resserrer les jambes, mais cela m’était impossible. J’étais impuissant et il en profitait. Son manège dura un moment. Son souffle s’accélérait à mesure que ses mains me pétrissaient. Mes couilles me faisaient mal d’être serrées de la sorte et plus je tentais de me dégager, plus il me pétrissait.

Je pensais qu’il allait alors ce calmer mais je fus surpris lorsque je reçus une claque sur les côtes. La douleur fut vive et vint se rajouter aux autres. Mais je n’étais pas à la fin de mon supplice et d’autres suivirent un peu partout. Je crois bien qu’aucune partie de mon corps ne fut épargnée. J’avais les fesses qui brûlaient à mesure que les claques pleuvaient. Je n’en pouvais plus, il dut le ressentir car tout s’arrêta aussi vite que cela avait commencé.

— Alors les gars, qu’est-ce que vous en pensez? Et en plus, il est entièrement rasé! Et le plugg qu’il a dans le cul doit lui avoir ouvert la rondelle un max.

— Putain, le pied. Moi qui n’a pas eu de plan depuis une semaine, je vais lui faire sa fête. La salope, regarde moi ça. J’ai déjà la queue qui gonfle.

Je sentis alors des mains sur mes fesses qui se dirigèrent ensuite vers mes couilles et autres parties de mon corps.

— Retire lui son plugg que je vois sa rondelle bien écartelée, et que j’admire son cul.

— Ouais et moi je lui vire son baîllon. J’ai trop envie d’y enfoncer ma bite.

— Allez-y les gars il est à vous. Moi je vais prendre quelques photos.

— T’inquiètes, on va lui faire sa fête.

Je sentis alors que l’on me retirait ce que j’avais dans la bouche et pus alors respirer un grand coup. Le répit fut de courte durée car très vite, j’entendis descendre une braguette et un gland se positionner et forcer mes lèvres pour pénétrer ma bouche.

Je crus hurler de douleur lorsque l’on me retira d’un coup sec le plugg que j’avais dans le cul, tellement la douleur fut vive. Mais de ce côté-là aussi le repos fut bref. Des doigts se mirent à me fouiller le cul et je les sentais glisser facilement. Je devais avoir le cul béant.

— Putain c’est plus un cul qu’il a c’est un hall de gare. Je viens de lui enfoncer quatre doigts sans problème et il y a encore de la place. Il va me bouffer la main cet enculé.

— Ouais et moi il est en train de me bouffer la queue entièrement cette salope. Un vrai trou à bite. Vas-y, fiste-lui le cul, j’suis sûr qu’il n’attend que ça.

— Tu m’étonnes, il me l’avale entièrement. Je suis en train de le défoncer avec le poignet et ça glisse comme dans du beurre. Putain Marc, tu nous l’as super bien préparé.

Je savais alors maintenant que j’avais entièrement la main de celui qui était derrière moi dans mon cul et qu’il m’enculait avec son avant bras. La douleur était atroce mais je ne pouvais rien faire ou dire, toujours attaché et une bite me pilonnant la gorge, à la limite de l’étouffement.

— Marc, passe-moi la bouteille de whisky que je lui enfonce dans l’cul.

L’autre retira alors sa main de mes entrailles et je sentis alors le goulot se présenter sur ma rondelle et coulisser en moi. À mesure que la bouteille me pénétrait sans trop de problème, je sentais mes sphincters s’écarter pour laisser le passage à ce gode improvisé. Je m’étais déjà fait prendre plusieurs fois par de gros calibres, mais là c’était autre chose et je ne pensais pas qu’un jour cela m’arriverait. Et pourtant, après quelques minutes, je sus que la bouteille était bien en moi car celui qui me l’avait introduite était en train de m’enculer avec.

Je sentis celui que je suçais accélérer le mouvement et ne tarda pas à avoir la bouche remplie de sperme. Après m’avoir forcé à nettoyer sa bite, il se retira et laissa la place qui fut de nouveau prise d’assaut. Mais cette fois, la bite qui se présenta était molle. On me força à ouvrir la bouche et je fus surpris lorsqu’un jet chaud se mit à couler. On était en train de me pisser dans la bouche et sur la gueule. Au milieu des rires, j’entendais le crépitement de l’appareil photo.

Ils jouèrent avec moi pendant un temps que je suis incapable de définir et je ne sais pas combien de mecs me sont passés dessus. Lorsqu’ils en eurent assez, ils me firent de boire quelque chose et je retombais de nouveau dans les vappes. Lorsque je me suis réveillé, j’étais dans ma voiture. Mon corps n’était que douleur et j’avais bien du mal à remettre les choses en place. Petit à petit, j’essayais de reconstruire les dernières heures de ma vie. Après avoir récupéré un maximum de mes capacités, je décidai de rentrer chez moi. Je n’avais qu’une envie, prendre une douche pour tout oublier.

Arrivé chez moi, je me déshabille rapidement et là je m’aperçois que je suis entièrement rasé. Ce que je pensais avoir été un rêve ne l’était pas. Cela se confirma quelques jours plus tard lorsque je reçus une enveloppe contenant des photos. Je me suis alors branlé comme un fou en les regardant...

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Lundi 10 septembre 1 10 /09 /Sep 23:45

diabolos X 1272793107yboy.coco.fr-4320

Comme demandé, j'attends nu sur mon lit, un plug de taille moyenne bien en place et en vue dès la porte de la chambre franchie car si je ne verrai pas qui est avec mon maître, ceux-ci découvriront leur objectif en franchissant la porte.

Depuis près d'un an que nous nous sommes rencontrés sur le net puis après quelques séances de "prise en main", je suis maintenant sous son influence car il a trouvé comment satisfaire mes besoins sexuels et m'a révélé mon penchant de soumis. Je sais juste que ce soir, il ne sera pas seul – il m'a annoncé qu'ils seraient plusieurs avec lui – et il m'a donné l'ordre de prendre un RTT lundi car 3 jours pour me remettre ne seraient pas de trop. Cette dernière remarque m'a fait un peu flipper, mais je sais que je peux lui faire confiance.

Ça y est, j'entends la serrure de mon appartement, puis des voix. Mon maître entre dans la chambre et me présente comme la "pute à dispo de ce soir" ; aux bruits de pas, ils sont bien nombreux, il me semble entendre des bruits de respiration tout autour de mon lit que j'ai dû tirer au centre de la pièce aujourd'hui.

En précisant que toutes les pénétrations, tant anales que buccales, se feront avec capote et que celles-ci se trouvent au quatre coins du lit, tout comme les poubelles pour les éliminer, il commence à jouer avec le plug et me demande si j'ai suivi ses ordres à la lettre: lavement suivi d'une lubrification en profondeur à l'aide d'un gode puis mise en place du plug. Après ma réponse positive, il me retire le plug, quelqu'un se capote puis me pénètre d'un coup jusqu'au fond – heureusement que je suis bien préparé. Mon maître prend la parole et dit que c'est ainsi que l'on pénètre une pute ; la soirée promet d'être longue. Mon maître se retire immédiatement de mon cul et une nouvelle bite me pénètre immédiatement – elle est plus courte mais plus large que la sienne. Mon enculeur précise que je sais bien recevoir une queue même si je suis encore un peu étroit et précise avec un rire sadique que ce ne sera plus le cas à la fin de la soirée.

Au moment où je tente de protester, une autre queue me rempli instantanément la bouche, je suis comblé. Il semble que mon maître n'a choisi que des queues volumineuses... car ces deux là ainsi que celles qui suivent, elles sont nombreuses et changent si souvent d'orifice que j'en perds le compte, sont soit épaisses, soit longues soit les deux.

On sonne à ma porte, mon maître quitte la chambre et une nouvelle personne entre, salue les présents puis une queue plus fine m'est donnée à sucer et cela me paraît étrange, mais pas pour longtemps car après que l'un d'entre eux se soit glissé sous moi et m'ait pénétré, mon maître précise que nous changeons d'étape et que je vais vivre ma première double pénétration anale et que pour se faire, je ne devais pas avoir de queue en bouche afin de laisser libre cours à mon corps.

Après quelques mouvements du lit, je sens qu'une deuxième queue, celle plus fine qui vient de quitter ma bouche, se glisse sur celle déjà en moi. Au bout de quelques tentatives, le gland passe mon sphincter en m'arrachant un cri. Après quelques secondes d'arrêt, la queue poursuit sa pénétration ; une fois au fond, mes enculeurs s'immobilisent et mon maître me demande de décrire mes sensations. Le fait de sentir deux verges est bien plus intrigant que ne l'est la douleur de la pénétration, je ne suis pas sûr que les deux queues ensemble aient forcément un diamètre supérieur au plus gros des godes que j'ai dû accepter dans mon cul depuis que je connais mon maître. Le peu d'air qui glisse entre la forme des deux queues et mon sphincter crée une sensation de "chaud-froid" qui est loin d'être désagréable.

Puis les deux queues se mettent à coulisser en moi et dès que mes partenaires ont cadencé leurs mouvements, je sens monter en moi une jouissance comme je n'ai encore jamais connue. N'ayant rien à faire de ma jouissance, ils continuent à me pilonner jusqu'à ce que l'un puis l'autre s'enfonce jusqu'à la garde en moi puis se retirent lentement. Mon trou ne reste pas longtemps inoccupé, une première bite – bien épaisse celle-là me perfore d'un coup et je sens très rapidement le lit bouger sous moi et une deuxième – tout aussi large – la rejoint. Je ne peux m'empêcher de pousser un hurlement, bientôt étouffé par une autre queue ; cela ne semble ne pas vouloir s'arrêter et je perds le compte des pénétrations. Au bout de ce qui me semble une éternité, mon maître annonce une pause tout en précisant que cela ne me concerne pas : je vais étrenner un nouveau plug permettant de conserver mes "progrès" de ce soir. La mise en place n'est pas exempte de douleur.

Ils me laissent seul ; ils doivent avoir pris de quoi se restaurer car je n'ai rien eu à préparer. En leur absence, et malgré la douleur, je m'endors, toujours les fesses en l'air et la tête écrasée sur mon lit.

Je me réveille en un hoquet : une queue est au fond de ma gorge et m'étouffe presque. Mon maître demande à celui qui me baise la gueule d'y aller mollo, car c'est de mon cul que l'on s'occupe ce soir.

Le plug est retiré délicatement et je sens plusieurs doigts qui testent l'élasticité de ma caverne. L'un des hommes dit que je ne suis pas encore prêt et qu'il faut continuer avec les doubles pénétrations. Mon maître acquiesce et je suis en un instant à nouveau embroché par deux queues.

Après quelques pénétrations supplémentaires, la porte sonne à nouveau et mon maître dit que se sont "les jumeaux démolisseurs". Devant mon air interrogatif, l'un des hommes présents m'explique qu'il ne s'agit pas de vrais jumeaux, mais que leurs queues le sont et que je comprends sûrement à quoi la deuxième partie de la dénomination peut faire référence.

Il est interrompu par une voix grave qui demande si la pute est prête. Mon maître répond par un simple tout est OK mais que le double risque de "coincer" un peu au début. La voix demande à ce que mon cul soit tiré vers le bord du lit et que l'on me mette un bâillon. Une fois cela fait – et après un bruit de pochette de préservatif – il annonce: "attention, j'arrive!" J'ai à peine le temps d'évaluer la taille du gland, qu'il m'a pénétré d'un coup avec une queue énorme et longue. Sans attendre un instant, il se met à me pilonner brutalement puis se retire complètement et laisse sa place à son "jumeau". Je me pose la question comment je vais pouvoir prendre ces deux queues ensemble en moi.

La réponse est donnée par mon maître au bout de quelques instants quand il annonce qu'il va me mettre un peu de pommade anesthésiante sur ma rondelle. Une sensation de froid se diffuse lentement et avant que je puisse m'habituer, je sens le lit bouger, puis suis soulevé par les hanches et enfoncé sur l'une de ces queues monstrueuses. Mon maître propose de faire en premier un test avec lui avant de laisser le deuxième me pénétrer.

Malgré la pommade, je pousse un hurlement étouffé par le bâillon. Après quelques va et vient, mon maître décide que je suis prêt et cède sa place. Le deuxième gland force – mon cul résiste – la pression se fait plus intense et d'un coup, tout le gland est en moi. Ils ne bougent pas durant de longs instants puis le deuxième Priape commence sa lente pénétration. Une fois qu'il est tout au fond, il s'immobilise – et c'est mon corps qui réclame, en ondulant, que les deux formidables queues se mettent à bouger, bien que leurs mouvements m'arrachent des cris.

Les commentaires fusent ; on parle de l'ouverture de mon cul, de mon obéissance, de ma facilité de progression. Mon maître précise que ce sera tout pour ce soir, que la séance sera terminée après la jouissance des "jumeaux", qui elle tarde me semble-t-il à venir. Puis je sens une première queue me quitter puis la deuxième. Je suis retourné sur le lit puis je sens des flots de sperme me couvrir le torse.

Mon maître s'occupe de ma toilette, me passe différentes pommades sur le cul et me félicite une fois que tous les autres sont partis. Une fois qu'il m'a mis au lit, je comprends pourquoi il a exigé que je prenne mon lundi.

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Lundi 10 septembre 1 10 /09 /Sep 22:49

diabolos X 1272793107yboy.coco.fr-4320

Chouette, enfin les vacances ! J'ai trois semaines à ma seule disposition et bien que je n'aie pas les moyens de partir, ce repos va me faire du bien. "Mon" maître ayant quitté ma ville définitivement, sans volonté de poursuivre notre relation et m'ayant laissé carte blanche, je suis totalement libre de mes mouvements. Après deux longues nuits pour me reposer, je commence à arpenter les lieux de drague, à la recherche de sexe et, pourquoi pas si l'occasion s'en présente, d'une relation quelque peu plus suivie.

Au bout de quelques heures, je suis prêt à jeter l'éponge et à me rendre dans un sauna quand une main se pose sur mon épaule. Je n'ai ni vu ni entendu arriver l'homme qui me saisis comme ça et me pose la question si je suis prêt à le suivre chez lui. Avant de répondre, je me retourne et me retrouve face à un homme massif, du muscle mais pas que, de ma taille, chauve avec de yeux d'un bleu très clair. Il "pue" le sexe; il ne semble être fait que pour le sexe… tout à l'opposé de moi qui ne pratique qu'un peu de vélo et de natation et suis de ce fait beaucoup plus fluet.

Je bégaie un "oui" à peine audible et compréhensible et il me propose d'aller boire un verre afin de faire un peu connaissance avant. Pour des raisons pratique, il me propose de boire ce verre chez lui, je ne le sais pas encore, mais le piège vient de se refermer sur moi.

Il habite un pavillon en périphérie de la ville, une impression de calme et quiétude se dégage de l'extérieur. Une fois le hall passé, l'intérieur est lui beaucoup plus sombre: cuir, bois brut et chaines sont les éléments principaux du décor. Il me fait comprendre qu'il est déjà trop tard pour reculer. Il m'offre le verre promis en me questionnant sur mes pratiques sexuelles, mes préférences tout en éludant les réponses à mes questions. De mes réponses, celles qui l'ont fait le plus sourire sont ma préférence pour la soumission ainsi que le fait que j'aie déjà expérimenté la double pénétration, avec différents partenaires et que j'en aie tiré, malgré tout, grand plaisir.

Puis il me demande de débarrasser les verres et de ne ressortir de la cuisine qu'entièrement dévêtu, après avoir mis toutes mes affaires dans la petite malle qui se trouve à côté de la porte du garage, que je dois fermer à l'aide du cadenas qui se trouve sur la table et dont seul lui a la clé. Je ne lui montre pas mon hésitation, mais la tentation de fuir, une fois la cuisine atteinte, est grande. Mon besoin de sexe prenant le dessus, j'exécute l'ordre donné et retourne nu au salon en baissant la tête en signe de soumission.

Il attend de nombreuses minutes avant de s'adresser à moi. Il commence par m'ordonner de me mettre à genoux puis m'annonce qu'après un test de "résistance" il décidera s'il me garde pour la durée de mes vacances ou s'il me met dehors et qu'en cas de révolte de ma part, ce sera nu.

Dans le silence qui suit, je me permets de lui dire "je suis à votre disposition, Maître, et ferai tout mon possible pour vous plaire" puis me tais et attends. Il prend son temps puis se lève et me dit que c'est la dernière fois que j'ai eu le droit de parler sans y être autorisé et que dès cet instant c'est lui qui décide de tout. Je fixe le sol et ne dit rien.

Il me demande de m'approcher, ce que je fais à quatre pattes; dès qu'il le peut, il m'attache un collier de cuir autour du cou, puis une laisse et se lève. Je le suis en direction du sous-sol. Une fois au bas des escaliers, il ouvre la porte de son donjon, pièce que je ne vais pas quitter dans les semaines qui suivent. Avant même que je puisse commencer à appréhender ce nouvel environnement qu'il me donne sa queue à "bouffer" – en fond de gorge. Une fois complètement érigée, je manque de m'étouffer car elle est à son image : large (et de longueur appréciable). Au vu de ses soupirs, je ne dois pas trop mal m'en sortir; puis il s'immobilise avec juste son gland dans ma bouche, m'ordonne de tout prendre mais m'interdit d'avaler immédiatement. Une fois qu'il a jouis, il m'amène un bol et me demande de tout cracher, puis m'engueule d'avoir accepté de mettre ma vie en danger ! Il me précise que j'ai maintenant l'obligation de me rincer la bouche et que dès à présent tout sera SSR. Si j'apprécie son souci pour ma santé, je suis déçu du fait qu'il se soit laissé aller si vite, j'aurai préféré plus d'endurance.

D'ici à ce que j'ai fini de me laver, il bandait à nouveau ! Il m'a dit de ne pas bouger car il souhaitait faire connaissance avec mon autre trou. Après un léger doigtage nécessaire pour mettre le gel, il a enfilé une capote et m'a pris en un seul grand coup, de toute la longueur de sa queue – ce qui après quelques va et viens est devenu des plus agréables. Après près de 15 minutes, il s'est retiré, m'a félicité et demandé de me mettre dans le sling accroché au centre du donjon. Il m'a à nouveau pénétré, mais brièvement seulement puis m'a annoncé qu'il allait tester un peu plus mes capacités. Il a amené un chariot fermé et en a ouvert les portes – hors de ma vue – puis m'a annoncé: "voilà n°1" – et j'ai senti un gode légèrement plus gros que sa bite me pénétrer, une fois en place au fond de mon trou, il l'a laissé en place et a quitté le donjon.

Il est revenu quelques temps plus tard en annonçant qu'il allait changer le gode et passer progressivement jusqu'à n°4 en attendant l'arrivée des autres, ce qu'il fit. N°2 étant plus long que n°1, n°3 plus épais que le précédent et n°4 à nouveau plus long; puis il varia l'ordre dans lequel il plongeait les godes dans mon cul jusqu'à ce qu'une cloche sonne. Il me laissât avec le n°4 bien en place.

Il est revenu accompagné d'au moins trois hommes (aux voix entendues). Il rentre seul dans la pièce, me bande les yeux avant que j'aie eu le temps de voir (ou compter) ses accompagnants et m'annonce que les règles édictées avant notre venue dans le donjon restent valables, tout comme l'annonce après la première pipe. Avec ces derniers mots, je sens une queue sous latex qui force ma bouche, rejointe peu après par une autre venant remplacer le gode. Puis je suis rapidement abandonné et je les entends murmurer…

Deux mains me tirent hors du sling et me guident vers un matelas ou je suis mis à quatre pattes. Je sens le tout bouger et un des hommes se place sous moi et me pénètre; une queue rejoint mes lèvres puis une autre tente de rejoindre la première dans mon cul, qu'elle pénètre au bout de deux ou trois tentatives. Les hommes se relaient dans mes trous puis je sens que la bite qui tente et réussi à rentrer en deuxième dans mon cul est plus épaisse: il s'agit sûrement de mon Maître. Ils se retirent tous et j'ai le droit à une douche de sperme sur mon torse après m'être retourné. Un gode plus gros que les précédents est entré dans mon cul – et il entre sans trop forcer. Il est équipé de sangles qui l'empêchent de ressortir.

Mon maître me demande d'attendre qu'ils soient tous sortis pour enlever mon bandeau et me doucher puis de l'attendre dans le sling.

A son retour, je suis déjà somnolant vu la longue attente. Il m'annonce une dernière épreuve avant un peu de sommeil, détache le gode et le bouge dans mon cul endolori par ce qu'il a déjà subis ce soir. Il est rapidement remplacé par un plus épais imitant un poing qui rentre difficilement. Mon maître me donne un peu de poppers et mon cul accepte l'intromission avec légèrement moins de difficultés. Voyant cela, mon maître dit qu'il va changer ses plans: je vais dormir avec un gros plug dans le cul et mon premier fist sera pour demain matin. Aussitôt dit, aussitôt fait… Il précise que je dormirais entravé dans le donjon sur un petit tapis qui me servira de matelas. Il m'installe et me laisse seul une fois qu'il est certain que je ne peux pas me libérer seul.

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Lundi 10 septembre 1 10 /09 /Sep 03:00

 

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Mon cul endolori me réveille. Je sens tous mes muscles, tant à cause des activités de la veille que par "l'inconfort" de ma position pour dormir. Par contre, mes entraves ont été défaites pendant la nuit, sans que je m’en aperçoive… Je m'autorise à me soulager et remets le gode en place après un court lavement. À peine suis-je à nouveau en place que mon Maître entre dans le donjon. Il me félicite du lavement et de mon obéissance, mais me rappelle fermement les règles : pas d'initiative personnelle. Pour me punir, il commence par me fouetter – et je dois compter les coups et le remercier pour chacun. Une fois qu'il en a assez, il me baise la gueule avant de me gicler sur le visage puis me laisse à nouveau seul, mais attaché et godé par « n°4 ». Il me dit qu'il me faudra attendre encore un peu pour savoir s'il peut être satisfait de moi.

Après une attente qui me semble interminable, il revient accompagné d’un homme – une vraie montagne de muscles – masqué. Je suis frustré car il porte un pagne qui m’empêche de voir ses attributs. Ils me « tâtent » sans douceur, me pincent les seins, posent des pinces à linge sur le corps, puis deux petites pinces métalliques, reliées par une petite chaîne, viennent orner mes tétons. Mon Maître retire le gode et me prend, puis le deuxième fait de même ; sa queue est plus courte que celle de mon Maître, mais nettement plus épaisse. Ils alternent pendant un bon moment, puis le gode en forme de poing est présenté devant ma rondelle qui l’accepte nettement mieux que la veille au soir, ce qui semble les réjouir au plus haut point !

Mon Maître me félicite et me dit que la dernière épreuve va commencer : il met des gants chirurgicaux, se graisse les mains puis mon trou. Il commence à entrer progressivement trois doigts pour débuter, puis quatre et enfin cinq ; il me travaille le cul circulairement jusqu’à ce qu’il soit suffisamment dilaté pour faire entrer sa main jusqu’au poignet. Sa main tente de continuer sa progression, mais elle ne peut aller bien loin, ce qu’il ne manque pas de relever. Il la ressort et entre à nouveau – et répète plusieurs fois sa manœuvre. Puis le deuxième homme enfile également une paire de gants et annonce qu’il va tenter de faire de même – ce qui va être douloureux étant donné la différence de taille entre les mains des deux hommes… Mais possible comme la suite me le démontrera.

Après cette séance, mon Maître m’ordonne de me doucher puis d’enfiler un jock-strap. Nous remontons au rez-de-chaussée où mon Maître me donne une liasse de papiers et m’ordonne de tout lire et compléter consciencieusement : il y a un questionnaire médical, un des pratiques sexuelles déjà effectuées, un pour les phantasmes, un autre pour les pratiques qui me rebutent et bien entendu, un contrat d’asservissement. Je me mets à la tâche, et ce n’est qu’une fois le contrat signé que je me permets de relever la tête, conscient que ma vie va changer… Je me demande tout de même pourquoi j’ai dû remplir tous ces questionnaires, car il est bien précisé dans le contrat que le seul qui a le droit de décider de quoique ce soit est mon Maître. Le seul pouvoir qui m’est laissé est le mot-stop « constitution » (choix de mon Maître), mais qui a comme conséquence que je me retrouve dans la minute qui suit devant la porte, dans la tenue que je porte au moment où je le prononce, avec l’obligation de le quitter définitivement ! Dans un premier temps, le contrat est de la durée de mes vacances. À la fin de celles-ci, je retournerai chez moi et aurai 24 heures pour me décider à signer le contrat définitif et – si je le fais – trois mois pour quitter travail, appartement, etc. pour entrer à son service, avec un contrat de travail en bonne et due forme, en temps que secrétaire particulier et personnel de maison.

Ces deux semaines et demie de vacances ont été éprouvantes pour moi. J’ai constamment été poussé à mes limites, tant sexuellement qu’en terme de travail : tenue du ménage, cuisine, courrier, etc. Mais cela m’a énormément plus ! Alors, maintenant que je suis de retour dans mon appartement, j’ai commencé par préparer mes lettres de congé, puis ai signé mon contrat définitif, je n’ai pas de famille à avertir de mon changement de vie, seulement quelques amis – il ne me faut pas oublier de supprimer mes traces sur les réseaux sociaux, etc. puis dans trois mois, rejoindre celui qui sera mon Maître et que je ne vois, pour l’instant, que pour les week-ends.

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