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fan de histoires de mec

Jeudi 9 août 4 09 /08 /Août 19:39

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Nous sommes en hiver 2010. Mon nom est John et j’ai 35 ans. Ma vie a basculée en juin 2000 lorsque j’ai fait la connaissance d’un homme pervers et de son fils. Avant cet événement, j’étais l’homme parfait, le mari parfait, un père parfait pour un enfant de quatre ans. Un passé et un présent exemplaire… jusqu’à ce que je baise le p’tit Jim, 15 ans, et que je devienne tout aussi accroc et vicieux que son père. Pendant les trois années suivantes, j’ai continué ces soirées immorales, comme on les nommait, jusqu’à ce que Jim soit devenu majeur et que, soudain, son père n’entende plus parler de lui. Ensuite, j’ai perdu ces habitudes de baiser les garçons. Mais, pendant ce même temps, ma femme a décidé de divorcer, sachant fort bien que j’avais une liaison avec quelqu’un d’autre, sans savoir qui c’était. Elle a pris mon fils, Étienne, alors âgé de six ans, et est parti vivre en Europe avec sa famille en compagnie de son nouveau mari.

Je ne les ais plus revu... Puis, en été 2009, mon ex m’a fait une visite surprise. Elle m’appelle un jour pour me dire:

— John! Dieu merci, je dois te parler!

— Qu’est-ce qui se passe?!

— C’est Étienne! Ce petit idiot d'adolescent et ne m’écoute plus! J’en ai ras-le-bol de ses éternelles crises de larme et de solitude!

— Mais c’est ton problème, ma chère! C’est toi qui a tenu à l’avoir à toi toute seule quand il avait six ans et que tu es partie en France, sans t’occuper à savoir si mon fils allait me manquer!

— «Notre» fils, je te corrige! Bah, et puis, à quoi bon! Il est le portrait craché de son père! Maintenant, si tu veux bien, je te rends «ton» fils! Il n’arrête pas de dire qu’il veut aller retourner vivre avec son père donc je te le remmène!

— T’es pas sérieuse?!

— TRÈS! Mais t’inquiète, je vais tout m’arranger pour qu’il puisse revenir vivre au Québec. Mon mari est bon dans ces trucs, donc t’auras pas à t’occuper de tout ça! Je te demande juste une chose: tu prends ton fils et tu t’en occupes!

J’étais bouche bée! Mais bon… pas très surpris! Mon fils est arrivé quelques temps plus tard, juste avant de commencer l’école secondaire. Ouf! Quelle claque j’ai eu en le voyant! La dernière photo que j’avais eue de lui, il avait dix ans. Maintenant, à 13 ans, il n’est plus tout à fait un enfant! Enfin, il a un visage d’enfant, dans un sens, avec des traits plus vieux et… qu’est-ce qu’il a grandi! Il m’arrive déjà au menton, moi qui suis grand! Après quelques jours, je remarque que mon ex m’a menti ou me connaissait mal! Mon fils ne me ressemble pas du tout, mais présente des signes de solitude exagéré: j’ai toujours été plus social, et lui sort rarement de sa chambre, toujours devant son ordinateur, ne fait pas de sport… Enfin, je crois que la vraie raison était qu’il lui rappelait trop, à elle, qui je suis. Alors tant pis pour elle, c’est moi qui aurai la chance de l’élever et d’en faire un parfait petit mini-moi! Ce fût plus facile que je croyais: après un temps, il se tenait toujours avec moi, s’intéressait à ce que je faisais. En plus qu’il soit solitaire, j’ai remarqué aussi qu’il était extrêmement timide.

Un matin, alors que je me branlais dans le lit, mes mains bien glissantes sur mon membre juteux de précum, Étienne est entré dans la chambre sans cogner. Surpris, j’ai mis les couvertures. Encore plus surprenant, il m’a demandé ce que je faisais! Le pauvre, à 13 ans, il ne savait rien du sexe, même pas de la masturbation! Il disait que sa famille en France lui avait appris que ce n’était pas bien, que s’il se réveillait un matin avec du sperme dans son lit, c’est que le Diable était venu lui rendre visite… Ah, les conservateurs religieux… Je suis moi-même croyant mais bon, je reste réaliste!

Puis, je me suis rappelé que mon fils allait bientôt avoir 14 ans, en février prochain. Je repensais déjà au p’tit Jim, dépucelé par son père le jour de ses 14 ans. Soudain, des idées très vicieuses me sont venues en tête et je savais que je tenais de quoi pour apprendre à mon fils des trucs pervers qu’il adorera!

Le premier soir

Nous nous retrouvons donc en février 2010. Nous revenons d’une fête dans la famille, chez mes parents. Il est 21h.

— Bonne fête encore, fiston! T’es content de ta soirée?

— Oui!

Je le sers dans mes bras et je lui donne en cadeau un lecteur CD. Il est tout content et va essayer sa musique sans revenir de sa chambre. Depuis, j’avais un peu oublié toutes les perversités qui m’étaient venues en tête quelques mois auparavant. Après avoir fait du ménage et regardé la télévision une heure, je vais dans ma chambre, sur mon ordinateur, pour voir mes e-mails. Je ne sais pas comment ça se produit, mais par erreur, je clique sur le dossier d’e-mails où je gardais mes anciennes correspondances avec le père du p’tit Jim.

Le lien fatal me revient… les 14 ans du p’tit Jim dépucelé par son père… et maintenant mon propre fils qui a le même âge…

Comme possédé et tremblant, je me dirige vers la chambre de mon fils et j’ouvre la porte. Je le vois étendu dans son lit, en train de dormir… Et quand il dort, il dort dur! Je m’approche pour lui mettre les couvertures du lit bien confortablement sur lui et je me penche pour lui donner un bec sur le front.

Alors que je commençais tout juste à avoir un certain regret d’être si pervers, de bander pour mon fils adolescent, je vois sa belle bouche entrouverte, avec des lèvres rouges et pulpeuses, sa langue toute mignonne et humide à l’intérieur. L’érection que je perdais quelques secondes plus tôt, de par mon regret, me revient plus fort que jamais. Je commence à me caresser la bosse et j’avance mes lèvres de celles de mon fils pour lui faire un bec, puis un deuxième. J’ose sortir la langue et lui lécher la bouche doucement…

Étienne ne réagit pas du tout. Parfait! Il a le sommeil profond. Doucement, j'enlève les couvertures de sur son corps mince et imberbe. Je caresse de mes mains masculines son torse frêle, son sexe par-dessus son sous-vêtement, le creux de ses cuisses où repose sûrement un beau petit anus vierge, ses jambes et finalement ses pieds, encore recouverts de ses bas. Je les retire pour voir de beaux petits pieds mignons tout propres et je me mets à les lécher sans me retenir. Pendant que ma langue parcours la plante du pied et que ma bouche suce ses orteils, je sors ma queue de mon jeans et je commence à me branler. Puis, avec le gland tout humide de précum, je frotte mon membre sensible sur son pied dont la peau est très douce, me donnant des frissons dans tout le corps avec ces sensations extra.

Je remonte tout doucement et je soulève son sous-vêtement. Son pénis d’ados repose en dessous, d’une grosseur normale pour son âge. Ce n’est pas la partie de son corps qui m’intéresse le plus, mais puisque ma langue est vicieuse ce soir, elle ose tout de même lécher le propre sexe de mon fiston. Puis, ma bouche l’englobe au complet et je le suce, dans le but de lui donner une érection, ce qui ne tarde pas. Je le suce encore un moment, mais puisque ce n’est pas mon genre, je ne fais que le branler pendant que je lui suce un mamelon, puis l’autre.

Bientôt, son pénis durcit un peu plus dans mes mains et se met à jouir alors qu'il dort encore profondément, chose que je ne croyais pas possible. Je remets le sous-vêtement par-dessus et j’attends voir. Il ne réagit pas plus pendant que le tissu s'imbibe de son jeune sperme. Ma propre queue est bandée à fond. Il faudrait bien que je m'en occupe... Doucement, j’approche le gland de la bouche de mon fiston. J’étale le précum sur ses douces lèvres puis j’ose entrer un peu mon membre à l’intérieur.

Mmmm… quelle sensation, quelle perversité… Je fais quelques va-et-vient secrètement dans sa bouche tandis que je masturbe la hampe de ma main. Lorsque je suis sur le bord de jouir, dans un acte blasphématoire intense, je me retire vivement et j’éclabousse tout son beau corps de garçon mignon, en retenant mes cris. Voilà mon propre garçon tout souillé du sperme de son papa. Sans essuyer son corps pervertis, je remets les draps sur lui et je vais prendre ma douche avant de dormir paisiblement.

Le deuxième soir

Le lendemain, Étienne ne me reparle pas de la nuit passée, ni de toutes ces taches de sperme sur son corps. La journée se passe bien. Le soir venu, ma queue est déjà toute en érection à l’idée de recommencer. Mais, cette fois, je veux qu’Étienne participe volontairement à cette séance.

Alors qu’il va se coucher, après s’être lavé, je vais le voir dans sa chambre et je m'assois sur le lit pour avoir une discussion de père et fils.

— Étienne, tu te rappelles quand tu es entré dans ma chambre, un matin, et que tu as vu que je touchais mon pénis?

— Oui.

— Tu sais, ça me faisait beaucoup de bien. C’est comme ça que le sperme sort, comme ce qui t’arrive quand tu dors.

— Maman me disait que c’était juste pour faire des bébés.

— Oui, bien sûr! La toute première fonction du sperme, c’est de faire des bébés! Mais, tu sais, faire sortir le sperme de notre pénis c’est aussi un besoin. Tu sais très bien que manger c’est un besoin important pour rester en vie et être heureux, hein?

— Oui.

— Bien, c’est pareil avec la masturbation. C’est quand on touche notre pénis pour faire sortir le sperme. C’est un besoin tout aussi important que de manger et de dormir!

— Est-ce qu’il faut le faire souvent?

— Ça dépend. Il y a des hommes qui le font pas souvent, et d’autres très souvent, car ils aiment ça. Et quand tu ne le fais pas, le corps trouve le moyen de le faire sortir lui-même, comme quand tu te réveilles le matin et que tu vois que c’est sorti pendant la nuit. Tu comprends?

— Oui.

— Maintenant, tu sais aussi que pour faire des bébés, l’homme doit être avec une femme, n’est-ce pas?

— Oui, maman m’a dit.

— Très bien. Maintenant, ce qu’elle ne t’a pas dit, et qu’il est bon que tu saches, c’est aussi que les hommes peuvent satisfaire leurs besoins sexuels seuls, mais aussi avec d’autres femmes, d’autres hommes, et même des garçons comme toi!

— Ah oui?!

Étienne démontre un intérêt fort intéressant pour ce que je viens de dire.

— Oui, s’ils le veulent! Moi, je ne suis pas quelqu’un qui peut aider un autre homme ou un autre garçon comme toi.

— Comment ça?

— Parce que moi, je préfère qu’on m’aide. Je n’aime pas toucher les autres pénis car je préfère toucher le sexe des femmes, mais j’aime bien qu’on touche le mien, que ce soit aussi par un garçon. Tu comprends?

— Je crois.

— Mettons que je te demande de m’aider… tu voudrais, si je te montre?

— Oui! Beaucoup! Je crois!

— Mais si moi je ne peux pas t’aider, ça te dérangerait?

— Oh non, pas du tout! Je n’ai pas envie que tu vois mon pénis, je serais trop gêné. Et si je veux me toucher, je le ferai moi-même. Mais j’aimerais bien t’aider.

S’il savait ce que j’ai fais, la veille, avec son pénis tout pudique… Mais bon, maintenant je l’ai de mon côté. Il ne me reste qu’à l’emmener à l’action! Je sais qu’il adorera!

— Tu voudrais m’aider ce soir? Je suis sûr que tu aimerais ça.

— Oh oui!

— Tu n’es pas trop fatigué?

— Non! Allez, commençons!

Il me fait rire!

— Ok, Étienne. Alors… commençons par ceci. Moi je reste debout, et toi, sur ton lit, viens près de moi, à genoux. Devant moi.

Il obéit à tout ce que je demande, il fait confiance à son papa après tout.

— Très bien. Maintenant, touche la bosse par-dessus mon pantalon. Oui, comme ça. Ça va, jusqu’à présent? Tu es à l’aise?

— Oui. Ensuite, je fais quoi?

— Détache mon pantalon.

De ses belles petites mains d’ados, il détache maladroitement le bouton de mon jeans, puis dézippe le devant.

— Très bien. Touche maintenant à mon sous-vêtement. Tu sens la bosse?

— Oui. C’est chaud et ça l’air gros.

— C’est normal, je suis plus vieux. Tu veux voir ce qu’il y a en dessous?

Il me sourit et rougit:

— Oui, montre-moi.

— C’est toi qui vas aller voir. Baisse mon sous-vêtement.

Il s’exécute. Ma queue en érection, grosse et mesurant sept pouces et demie, lui saute presque à la figure.

— Woah! Ton pénis est vraiment gros!

— Tu l’aimes?

— Oui, il est beau!

— Il a aimé que tu le touches, c’est pour ça qu’il a grossit. Touche-le encore…

Il prend ma queue dans ses deux mains et l’entoure en la regardant attentivement. De mes mains, je lui montre comment faire un va-et-vient avec ma hampe, puis je le laisse faire.

— Fais coulisser la peau sur le gland. Oui, comme ça…

— Je fais bien?

— Oui très bien… Mais tu voudrais faire encore mieux?

— Oui!

— Alors… lèche le gland.

Il fait une drôle de face, puis me demande:

— T’es sûr? Mais c’est pas propre!

— Mais si, c’est propre. Pourquoi tu dis ça?

— Maman dit que c’est pas propre.

— Ta maman n’a pas de pénis et moi si. Alors je sais mieux qu’elle, tu ne crois pas?

— Oui, dit-il en souriant.

Puis, il sort la langue et va lécher mon gland comme un petit chaton. Woah… c’est super… Il y a longtemps la dernière fois, et que ce soit mon propre fils qui le fasse, ça m’excite encore plus.

— Tu vois, c’est pas sale.

— Non, et c’est tout doux.

Une goutte de précum sort. De mon doigt, je la recueille et vais la porter à la bouche de mon fils.

— Ouvre.

— C’est quoi? De l’urine?

— Mais non! Tu vas voir, c’est bon…

Sans attendre sa réaction, je mets le doigt entre ses lèvres et il suce doucement pour goûter à mon miel.

— Mmm… c’est salé.

— Tu aimes?

— Oui!

— Si tu veux, tu peux sucer mon pénis, comme tu viens de faire avec mon doigt, au lieu de le lécher.

— C’est gros.

— Mais ça va entrer dans ta bouche, tu vas voir. C’est comme un gros bonbon… Tu le suceras sans toucher de tes dents, ok? Parce que ça peut me faire mal.

— Ok.

Il avance sa tête et met mon gland entre ses lèvres chaudes et douces. Tout de suite, il commence une succion bien agréable. De ma main gauche, je lui caresse la tête, pendant que je masturbe la hampe de ma main droite.

— Mmmm c’est bon, mon cœur. Va un peu plus loin dans ta bouche… Oui… Oui, voilà, continue, suce moi bien… Ah tu es très doué, mon chéri.

Il me regarde de ses yeux d’ange pendant qu’il me suce, pour voir s’il me satisfait. Mes encouragements le rendent heureux. Il est vraiment content de faire plaisir à son papa. Sa bouche est délicieuse sur mon gland, prêt à exploser.

— Je t’aime mon cœur…

En réponse, il me suce d’avantage, m’emmenant doucement vers la jouissance. Égoïstement, ne pensant qu’à mon plaisir, je lui prends soudainement la tête entre mes deux mains et je pousse ma queue dans sa gorge, ce qui lui fait lever le cœur momentanément. Je ne voudrais pas qu’il soit malade, mais je tenais vraiment à ce que ma queue s’enfonce dans sa gorge, me donnant des sensations extra…

— Pardonne-moi, chéri.

Il me fait un sourire gêné avant de lécher la hampe puis le gland encore, pendant que je me masturbe.

— Mon chéri… Tu veux goûter à mon lait?

— Hein?

— Ouvre ta bouche mon amour…

Sans attendre, il ouvre les lèvres, juste à temps pour le premier jet de sperme qui vient heurter le fond de sa gorge, puis un deuxième, et un troisième qui noient sa jeune langue. Il en avale quelques gorgées pendant que le reste coule sur son menton. Pendant cette grosse jouissance, je perds la tête. Je repousse Étienne sur son dos et je relève ses jambes en lui tenant les chevilles d’une main. De l’autre, je guide ma queue sur son trou imberbe et tout offert. Les dernières gouttes de sperme le mouille pendant que je force l’entrée intime avec mon gland, encore très dur.

— Aaahh papa!

— Tu vas voir fiston…

— Non papa, j’ai peur!

— Arrête, tu vas voir, c’est merveilleux…

— Papa…

Je ne réussis pas à entrer le gland, mais je mets un doigt et, aidé du sperme, celui-ci entre. Je fais un va-et-vient, puis fais la même chose avec deux doigts.

— Mon p’tit chéri, tu voudras pu que j’arrête, tu vas aimer, ma p’tite salope…

— Mmmmm…

Il commence à gémir: bon départ! Je ne pensais pas me rendre si facilement jusque là… Après trois doigts dans son trou et quelques dizaines de minutes de préparation, je mets mon gland sur sa chatte d’amour. Je pousse, encore et encore… En quelques minutes, je me retrouve presque tout en lui.

— Tu aimes, mon chéri?

— Oh papa oui…

Je commence un va-et-vient dans son petit trou tout ouvert pour moi, pendant que je lui lèches les pieds, ses mollets, et que je lui caresse le torse. Son petit corps est à moi! Ma queue le prend de toute sa longueur et de toute sa grosseur maintenant, pendant que mes couilles lui frappent le cul.

— Han! Han! Ah c’est bon! Prends tout en toi mon amour! Aahh ma pute! Han!

Il ne semble pas savoir ce que veux dire «pute» mais ce n’est pas encore nécessaire pour le moment. Le contraste de son petit corps et du mien qui est musclé et plus grand me fait jouir plus rapidement que je l’ai cru. Je me mets à éjaculer dans son cul chaud, je le souille intérieurement, tout en hurlant mon bonheur. Puis, je me retire et penche mon visage entre ses belles fesses. Sa chatte est toute humide, rougie par mon passage, et bien ouverte. Ma langue se met à le lécher abondamment pendant qu’il gémit encore plus.

— Oh papa, oh! C’est bon!

Ses jambes qui sont remontés sur mes épaules et mon dos bougent de plaisir. Finalement, je me mets à sa hauteur et l’embrasse d’un french kiss pervers.

— Tu as aimé, mon chéri?

— Oh oui papa, je suis tout étourdi…

— Mmmm c’est bien…

Car c’est loin d’être fini!

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Jeudi 9 août 4 09 /08 /Août 10:51

risoamaro 1288207233

— Le voilà donc ce petit trou dont on me parle depuis si longtemps!

Sammy frissonna en entendant la voix de son prof d’éducation physique. Il se retourna très vite.

— On prétend qu’il n’est plus vierge depuis pas mal de temps... Même le proviseur m’en a parlé... Il m’a chargé d’y voir un peu plus clair dans tout ça!

Sammy baissa la tête et posa les mains sur son bas-ventre dénudé.

— Tu sembles bien pudique tout à coup... Tu trembles! Pourquoi? C’est moi qui te rends si nerveux?

— Un peu, m’sieur.

— Sois un homme que diable! Tu as 19 ans, non?!

— Non... je les aurai dans trois mois!

— Dis-moi, c’est la vérité ce qui se raconte sur toi?

— Quoi donc, m’sieur?

— Ne joue pas l’innocent avec moi. Ça te va très mal! Je vais reformuler ma question différemment... Est-ce que tu couches avec tous les mecs qui te le proposent?

— Pas avec tous, m’sieur. Y’en a qui me dégoûtent.

— Ah bon! Les vieux?

— Non! Pas spécialement. Et puis, c’est quoi «vieux» pour vous?

— Comme moi!

Sammy sentit une douce chaleur s’emparer simultanément de ses joues et de son bas-ventre. Il eut du mal à cacher son érection gênante.

— C’est plutôt ceux-là qui m’attirent alors!

Le prof avala sa salive. Le garçon n’aurait pas pu être plus direct. Il venait de lui déclarer qu’il était prêt à coucher avec lui. Avec ses presque 19 ans, Sammy avait tout le charme nécessaire pour faire tourner les têtes... et il ne s’en privait pas. Le prof écarta doucement les mains du garçon pour découvrir un beau service trois pièces. La bite était déjà en grande forme.

— Tu démarres vite, toi!

— Au quart de tour, M’sieur!

— On va voir ça...

Le prof avança son visage à quelques centimètre de celui de Sammy. Celui-ci détourna un peu les yeux d’un air gêné.

— Tu n'embrasses pas, Sammy? interrogea le prof.

— Si... J’aime ça en plus...

Le prof s'approcha du jeune homme qu’il embrassa sur les lèvres.

— Et tu embrasses très bien!

— Merci, M’sieur!

— Je sais que tu aimes baiser avec des mecs comme moi... je veux dire de mon âge... mais... je voudrais un peu pimenter notre «première fois»!

Sammy ne comprenait pas trop au le prof voulait en venir. Il ouvrit de grands yeux surpris.

— Je suppose que tu es ouvert à toutes les expériences?

— Oh oui!

— Bien!

Il est allé ouvrir la porte de son bureau et a appelé.

— Xavier, tu peux venir!

Un beau garçon de mon âge est alors apparu. Sammy ne l’avait jamais vu jusque là.

— Xavier, je te présente Sammy! Sammy, voici Xavier, mon fils! Il a les mêmes goûts que moi en matière de baise... Il t’a vu sur photo et il a carrément flashé. J’ai voulu lui faire ce petit cadeau. Baisez là, tout de suite, devant moi... je vous rejoindrai le moment venu! OK?

Xavier s’est avancé et a embrassé Sammy. Sa bouche était chaude et humide. Sa langue fouillait entre ses lèvres. Le prof s’est installé sur une banquette et s’est mis à se caresser. Xavier et l’élève ont prolongé leur baiser, tandis que Xavier posait sa main sur ses fesses.

— Suce-moi! murmura Xavier à son oreille.

Il recula un peu pour lui permettre de s'agenouiller devant lui; ce qu’il fit sans perdre une seconde. Il orienta leur duo face à la banquette car il voulait aussi permettre à son père de bien voir le déroulement des événements. Sammy s’est attaqué aux boutons de sa braguette et a découvert un jockstrap rouge dont la poche était bien garnie.

— Putain d’engin! a-t-il soupiré.

Il a levé les yeux vers Xavier. Il souriait.

— Vas-y! Goûte! Déguste!

Xavier semblait ravi de s'exhiber devant son père. Ce n’était pas la première fois qu’il faisait ça à coup sûr. Le prof restait silencieux et matait en se touchant la bite à travers son pantalon.

Après avoir beaucoup joué avec le sexe de Xavier à travers la poche du sous-vêtement, Sammy n’a pu résister plus longtemps à l’envie de la sortir et de la voir enfin. Il fut ébloui par la beauté du long sexe en érection. Il pensa que l’engin n’était pas encore dans sa forme maximale. Il branla doucement la bite non circoncise, sous les yeux de son prof. La vue de son élève masturbant son fils accroissait encore le plaisir du professeur dont le visage s’empourprait. Sammy aspira la queue de Xavier au fond de sa gorge et la pompa un long moment, alternant douceur et vigueur. Lorsqu’il sentait monter la jouissance, il calmait sa fellation... Pas trop vite! Il voulait que ce beau moment dure encore et encore. Il jeta un œil du côté de la banquette où le prof avait sorti sa grosse queue pour la branler. Cette queue était aussi longue et encore plus épaisse que celle du fils. Sammy eu presque un frisson en la voyant.

— Elle t’effraye? demanda Xavier.

— Un peu, oui!

— Tu ne dois pas en avoir peur. Moi, elle ne m’a donné que du plaisir et du bonheur. Mon père est un artiste du sexe... Tu verras, tout à l’heure, lorsqu’il nous baisera... ça va être fantastique!

J’ai repris mon pompage de bite. Xavier gémissait en appuyant sur le haut de mon crâne. Il voulait que le prenne sa bite bien à fond.

— Lève-toi!

Xavier a déshabillé doucement Sammy. Il dénudait chaque partie de son corps face à son père, toujours voyeur. L’autre lui rendit la pareille. Ils se sont donc retrouvés complètement nus au milieu des vestiaires à s’embrasse en collant leurs corps dénudés l’un contre l’autre. C’était jouissif. Tout en se roulant une pelle magistrale, ils lorgnaient régulièrement vers le père de Xavier qui s’agitait sur la banquette.

— Allez, ne soyez pas timides... Venez la toucher... Venez vous en occuper... Elle est à vous!

Xavier a dit à son partenaire:

— Viens!

Il est allé s’installer entre les cuisses ouvertes de son père et s’est mis à caresser l’énorme bite turgescente. Sammy a posé un genou sur la banquette, s’est penché et a embrassé son prof. Le baiser de ce dernier était plus mâle que celui de son fils. Il était plus avide et gourmand. Xavier s'enhardit jusqu'à emboucher le membre de son père. Avec sa main droite, il lui pinçait un téton et avec la gauche flattait les bourses pendantes. Le prof regarda Sammy droit dans les yeux:

— Je veux te baiser! Je veux vous baiser tous les deux et vous arroser de mon foutre chaud.

Xavier était plié en deux sur le bureau de son père. Sammy avait eu l’honneur de lubrifier sa rosette avec sa bouche. Le trou était luisant et serré.

— Il est serré! Tu es certain de pouvoir accueillir la bite de ton père? Elle est si grosse!

— Mon trou peut accueillir sans difficulté la pine de mon père! répondit Xavier. Le tiens pourra le faire aussi. Nos culs ont cette chance incroyable d’être très élastiques. Viens m’embrasser pendant qu’il me baise!

Pour Sammy, l’excitation montait en flèche. Cette situation pour le moins inhabituelle le transcendait complètement. Pourtant, Dieu sait qu’il avait souvent baisé un peu partout et un peu avec tout le monde... enfin tout ce qui avait une grosse bite! Sammy s’agenouilla derrière son prof et lui titilla la rosette avec le bout de la langue. Lorsqu’il s’arrêtait, c’était pour admirer la grosse queue du prof qui coulissait dans le cul graissé de son fils. Le père et le fils gémissaient doucement: l’un parce qu’il se faisait bien baiser, l’autre pour les douces caresses prodiguées par la langue experte de son élève.

— Vous êtes vraiment deux petits cochons! ironisa le prof. Je suis ravi de vous avoir fait vous rencontrer. Je suis sûr qu’on va pouvoir organiser des choses incroyables avec vous deux...

— Oui... du style «Les trois petits cochons»! gémit Xavier.

— On pourrait en trouver un troisième aussi vicelard que vous...

— Ça va être dur, ça! a conclu Sammy.

— Avec ta grosse queue, tu seras notre «grand méchant loup», hein, pa?

Les coups de reins du père s’accentuèrent jusqu’à ce que son fiston lui demande une pause.

— J’ai un autre trou à honorer de toute façon! Viens remplacer Xavier...

Sammy s’est laissé guider par le prof. Xavier, épuisé, s’est installé sur la banquette pour regarder son nouveau copain de baise se faire défoncer la rondelle. Sammy sentait les doigts frais du prof qui caressaient le pourtour de son anus. Il faisait des cercles pour exciter et assouplir l’endroit. Sammy se retourna et vit qu’il portait ses doigts à la bouche pour les lubrifier à la salive. L’homme applique le lubrifiant naturel sur sa rondelle palpitante avant d’y pénétrer avec un puis deux doigts. Sammy releva la jambe pour rendre l’accès plus facile.

— Tu as vraiment un cul d’enfer, mon petit gars!

Sammy était très décontracté et excité. Il entendit claquer la capote sur la bite et celle-ci coulissa dans sa raie chaude. Il lui fallut quelques minutes de patience avant de sentir le gland forcer l’entrée. La douleur fut vive mais il s’y attendait. La bite était si grosse. Un autre aurait dit d’arrêter. Lui, il voulait sentir cet engin le défoncer.

— Ça va? demanda le prof.

— Oui! mentit-il.

Il avait l’impression que tout le sexe est en lui mais, en passant la main entre ses fesses, il constata qu’il n’en était pas à la moitié. Sammy était tendu mais l’homme qui l’enculait lui donnait quelques conseils...

— Cambre-toi bien... Pousse vers moi... pousse son trou vers ma bite et respire! Respire bien à fond et la douleur passera vite...

Ce fut le cas. Sammy n’avait probablement jamais été «visité» par engin si gros et si long. Sa longue tige glissait maintenant en rythme dans le trou lubrifié du jeune homme béat. Sammy écouta les conseils et la sensation changea. La douleur se mua doucement en plaisir. Et quel plaisir! Il avait l’impression que son cul était en train d’adopter la queue, qu’il se moulait autour d’elle et il encouragea son amant à aller plus loin. Xavier s’approcha et prit la queue de Sammy dans sa main. Il ne la branla pas vraiment, mais lui procura de douces caresses et des baisers sensuels. Maintenant, dans son cul, les va-et-vient étaient rapides et puissants. Sammy ne put contenir ses râles plus longtemps. Après dix bonnes minutes, le prof se retira. La sensation fit un choc au jeune homme! La queue de son enculeur lui manquait déjà.

— Ne t’inquiète pas, je n’en ai pas fini avec toi! Couche-toi sur le dos!

Le prof ramena ses jambes en l’air de chaque côté de son buste. Ses pieds se posèrent sur les épaules de celui qui allait encore l’honorer. La bite retrouva son chemin et son rythme de baise. Sammy regarda Xavier.

— C’est bon? demanda Xavier qui se caressait en regardant.

— Délicieux! Maintenant qu’il est en moi, je le garde! a répondu Sammy.

— Petite salope! a lancé Xavier en riant. Bon, allez, je suis partageur... Et puis, mon père est vachement résistant... Tu pourras te le faire de temps en temps!

— Eh, les petits cochons, fermez vos groins!

À suivre...

 

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Jeudi 9 août 4 09 /08 /Août 10:05

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Le voilà donc ce petit trou dont on me parle depuis si longtemps!

Sammy frissonna en entendant la voix de son prof d’éducation physique. Il se retourna très vite.

— On prétend qu’il n’est plus vierge depuis pas mal de temps... Même le proviseur m’en a parlé... Il m’a chargé d’y voir un peu plus clair dans tout ça!

Sammy baissa la tête et posa les mains sur son bas-ventre dénudé.

— Tu sembles bien pudique tout à coup... Tu trembles! Pourquoi? C’est moi qui te rends si nerveux?

— Un peu, m’sieur.

— Sois un homme que diable! Tu as 19 ans, non?!

— Non... je les aurai dans trois mois!

— Dis-moi, c’est la vérité ce qui se raconte sur toi?

— Quoi donc, m’sieur?

— Ne joue pas l’innocent avec moi. Ça te va très mal! Je vais reformuler ma question différemment... Est-ce que tu couches avec tous les mecs qui te le proposent?

— Pas avec tous, m’sieur. Y’en a qui me dégoûtent.

— Ah bon! Les vieux?

— Non! Pas spécialement. Et puis, c’est quoi «vieux» pour vous?

— Comme moi!

Sammy sentit une douce chaleur s’emparer simultanément de ses joues et de son bas-ventre. Il eut du mal à cacher son érection gênante.

— C’est plutôt ceux-là qui m’attirent alors!

Le prof avala sa salive. Le garçon n’aurait pas pu être plus direct. Il venait de lui déclarer qu’il était prêt à coucher avec lui. Avec ses presque 19 ans, Sammy avait tout le charme nécessaire pour faire tourner les têtes... et il ne s’en privait pas. Le prof écarta doucement les mains du garçon pour découvrir un beau service trois pièces. La bite était déjà en grande forme.

— Tu démarres vite, toi!

— Au quart de tour, M’sieur!

— On va voir ça...

Le prof avança son visage à quelques centimètre de celui de Sammy. Celui-ci détourna un peu les yeux d’un air gêné.

— Tu n'embrasses pas, Sammy? interrogea le prof.

— Si... J’aime ça en plus...

Le prof s'approcha du jeune homme qu’il embrassa sur les lèvres.

— Et tu embrasses très bien!

— Merci, M’sieur!

— Je sais que tu aimes baiser avec des mecs comme moi... je veux dire de mon âge... mais... je voudrais un peu pimenter notre «première fois»!

Sammy ne comprenait pas trop au le prof voulait en venir. Il ouvrit de grands yeux surpris.

— Je suppose que tu es ouvert à toutes les expériences?

— Oh oui!

— Bien!

Il est allé ouvrir la porte de son bureau et a appelé.

— Xavier, tu peux venir!

Un beau garçon de mon âge est alors apparu. Sammy ne l’avait jamais vu jusque là.

— Xavier, je te présente Sammy! Sammy, voici Xavier, mon fils! Il a les mêmes goûts que moi en matière de baise... Il t’a vu sur photo et il a carrément flashé. J’ai voulu lui faire ce petit cadeau. Baisez là, tout de suite, devant moi... je vous rejoindrai le moment venu! OK?

Xavier s’est avancé et a embrassé Sammy. Sa bouche était chaude et humide. Sa langue fouillait entre ses lèvres. Le prof s’est installé sur une banquette et s’est mis à se caresser. Xavier et l’élève ont prolongé leur baiser, tandis que Xavier posait sa main sur ses fesses.

— Suce-moi! murmura Xavier à son oreille.

Il recula un peu pour lui permettre de s'agenouiller devant lui; ce qu’il fit sans perdre une seconde. Il orienta leur duo face à la banquette car il voulait aussi permettre à son père de bien voir le déroulement des événements. Sammy s’est attaqué aux boutons de sa braguette et a découvert un jockstrap rouge dont la poche était bien garnie.

— Putain d’engin! a-t-il soupiré.

Il a levé les yeux vers Xavier. Il souriait.

— Vas-y! Goûte! Déguste!

Xavier semblait ravi de s'exhiber devant son père. Ce n’était pas la première fois qu’il faisait ça à coup sûr. Le prof restait silencieux et matait en se touchant la bite à travers son pantalon.

Après avoir beaucoup joué avec le sexe de Xavier à travers la poche du sous-vêtement, Sammy n’a pu résister plus longtemps à l’envie de la sortir et de la voir enfin. Il fut ébloui par la beauté du long sexe en érection. Il pensa que l’engin n’était pas encore dans sa forme maximale. Il branla doucement la bite non circoncise, sous les yeux de son prof. La vue de son élève masturbant son fils accroissait encore le plaisir du professeur dont le visage s’empourprait. Sammy aspira la queue de Xavier au fond de sa gorge et la pompa un long moment, alternant douceur et vigueur. Lorsqu’il sentait monter la jouissance, il calmait sa fellation... Pas trop vite! Il voulait que ce beau moment dure encore et encore. Il jeta un œil du côté de la banquette où le prof avait sorti sa grosse queue pour la branler. Cette queue était aussi longue et encore plus épaisse que celle du fils. Sammy eu presque un frisson en la voyant.

— Elle t’effraye? demanda Xavier.

— Un peu, oui!

— Tu ne dois pas en avoir peur. Moi, elle ne m’a donné que du plaisir et du bonheur. Mon père est un artiste du sexe... Tu verras, tout à l’heure, lorsqu’il nous baisera... ça va être fantastique!

J’ai repris mon pompage de bite. Xavier gémissait en appuyant sur le haut de mon crâne. Il voulait que le prenne sa bite bien à fond.

— Lève-toi!

Xavier a déshabillé doucement Sammy. Il dénudait chaque partie de son corps face à son père, toujours voyeur. L’autre lui rendit la pareille. Ils se sont donc retrouvés complètement nus au milieu des vestiaires à s’embrasse en collant leurs corps dénudés l’un contre l’autre. C’était jouissif. Tout en se roulant une pelle magistrale, ils lorgnaient régulièrement vers le père de Xavier qui s’agitait sur la banquette.

— Allez, ne soyez pas timides... Venez la toucher... Venez vous en occuper... Elle est à vous!

Xavier a dit à son partenaire:

— Viens!

Il est allé s’installer entre les cuisses ouvertes de son père et s’est mis à caresser l’énorme bite turgescente. Sammy a posé un genou sur la banquette, s’est penché et a embrassé son prof. Le baiser de ce dernier était plus mâle que celui de son fils. Il était plus avide et gourmand. Xavier s'enhardit jusqu'à emboucher le membre de son père. Avec sa main droite, il lui pinçait un téton et avec la gauche flattait les bourses pendantes. Le prof regarda Sammy droit dans les yeux:

— Je veux te baiser! Je veux vous baiser tous les deux et vous arroser de mon foutre chaud.

Xavier était plié en deux sur le bureau de son père. Sammy avait eu l’honneur de lubrifier sa rosette avec sa bouche. Le trou était luisant et serré.

— Il est serré! Tu es certain de pouvoir accueillir la bite de ton père? Elle est si grosse!

— Mon trou peut accueillir sans difficulté la pine de mon père! répondit Xavier. Le tiens pourra le faire aussi. Nos culs ont cette chance incroyable d’être très élastiques. Viens m’embrasser pendant qu’il me baise!

Pour Sammy, l’excitation montait en flèche. Cette situation pour le moins inhabituelle le transcendait complètement. Pourtant, Dieu sait qu’il avait souvent baisé un peu partout et un peu avec tout le monde... enfin tout ce qui avait une grosse bite! Sammy s’agenouilla derrière son prof et lui titilla la rosette avec le bout de la langue. Lorsqu’il s’arrêtait, c’était pour admirer la grosse queue du prof qui coulissait dans le cul graissé de son fils. Le père et le fils gémissaient doucement: l’un parce qu’il se faisait bien baiser, l’autre pour les douces caresses prodiguées par la langue experte de son élève.

— Vous êtes vraiment deux petits cochons! ironisa le prof. Je suis ravi de vous avoir fait vous rencontrer. Je suis sûr qu’on va pouvoir organiser des choses incroyables avec vous deux...

— Oui... du style «Les trois petits cochons»! gémit Xavier.

— On pourrait en trouver un troisième aussi vicelard que vous...

— Ça va être dur, ça! a conclu Sammy.

— Avec ta grosse queue, tu seras notre «grand méchant loup», hein, pa?

Les coups de reins du père s’accentuèrent jusqu’à ce que son fiston lui demande une pause.

— J’ai un autre trou à honorer de toute façon! Viens remplacer Xavier...

Sammy s’est laissé guider par le prof. Xavier, épuisé, s’est installé sur la banquette pour regarder son nouveau copain de baise se faire défoncer la rondelle. Sammy sentait les doigts frais du prof qui caressaient le pourtour de son anus. Il faisait des cercles pour exciter et assouplir l’endroit. Sammy se retourna et vit qu’il portait ses doigts à la bouche pour les lubrifier à la salive. L’homme applique le lubrifiant naturel sur sa rondelle palpitante avant d’y pénétrer avec un puis deux doigts. Sammy releva la jambe pour rendre l’accès plus facile.

— Tu as vraiment un cul d’enfer, mon petit gars!

Sammy était très décontracté et excité. Il entendit claquer la capote sur la bite et celle-ci coulissa dans sa raie chaude. Il lui fallut quelques minutes de patience avant de sentir le gland forcer l’entrée. La douleur fut vive mais il s’y attendait. La bite était si grosse. Un autre aurait dit d’arrêter. Lui, il voulait sentir cet engin le défoncer.

— Ça va? demanda le prof.

— Oui! mentit-il.

Il avait l’impression que tout le sexe est en lui mais, en passant la main entre ses fesses, il constata qu’il n’en était pas à la moitié. Sammy était tendu mais l’homme qui l’enculait lui donnait quelques conseils...

— Cambre-toi bien... Pousse vers moi... pousse son trou vers ma bite et respire! Respire bien à fond et la douleur passera vite...

Ce fut le cas. Sammy n’avait probablement jamais été «visité» par engin si gros et si long. Sa longue tige glissait maintenant en rythme dans le trou lubrifié du jeune homme béat. Sammy écouta les conseils et la sensation changea. La douleur se mua doucement en plaisir. Et quel plaisir! Il avait l’impression que son cul était en train d’adopter la queue, qu’il se moulait autour d’elle et il encouragea son amant à aller plus loin. Xavier s’approcha et prit la queue de Sammy dans sa main. Il ne la branla pas vraiment, mais lui procura de douces caresses et des baisers sensuels. Maintenant, dans son cul, les va-et-vient étaient rapides et puissants. Sammy ne put contenir ses râles plus longtemps. Après dix bonnes minutes, le prof se retira. La sensation fit un choc au jeune homme! La queue de son enculeur lui manquait déjà.

— Ne t’inquiète pas, je n’en ai pas fini avec toi! Couche-toi sur le dos!

Le prof ramena ses jambes en l’air de chaque côté de son buste. Ses pieds se posèrent sur les épaules de celui qui allait encore l’honorer. La bite retrouva son chemin et son rythme de baise. Sammy regarda Xavier.

— C’est bon? demanda Xavier qui se caressait en regardant.

— Délicieux! Maintenant qu’il est en moi, je le garde! a répondu Sammy.

— Petite salope! a lancé Xavier en riant. Bon, allez, je suis partageur... Et puis, mon père est vachement résistant... Tu pourras te le faire de temps en temps!

— Eh, les petits cochons, fermez vos groins!

À suivre...

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Mercredi 8 août 3 08 /08 /Août 21:13

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l était 17 heures lorsque je rentrai à la maison, mon père devait être en train de faire de la musculation au sous-sol. Nous vivions seuls tous les deux depuis que ma mère était partie de la maison. Mais aujourd’hui j’étais un peu inquiet. Amoureux d’un mec de ma classe j’avais décidé de le dire à mon père. Je ne savais pas quelle allait être sa réaction, mais je devais le faire.

— Papa, je suis rentré.

— Salut, fiston, rejoins-moi je suis au sous-sol.

— Je me prépare et j’arrive.

Dans ma chambre, je quittai pantalon et chemise et passai rapidement un short sur mon slip. Devant le miroir je me regardai, j’étais plutôt bien foutu pour mes 18 ans, très sportif, mon corps s’était rapidement étoffé ces derniers mois. Et c’est torse nu que je descendis rejoindre mon père.

Allongé sur le sol, torse nu et en slip, celui-ci terminait une série d’abdominaux, ses muscles se dessinaient sous sa peau, de la sueur dégoulinait de son front. Tout son corps brillait de transpiration, les poils de sa poitrine étaient humides et collés à son torse massif et son slip humide, mouillé par l’effort, moulait son sexe épais. À la fin de sa série, il s’assit en me suivant des yeux.

Je fis quelques étirements et commençai une série de pompes à côté de lui. Pendant que mes pectoraux et mes triceps se contractaient sous l’effort je pensais à ce que j’allais lui dire. Il fallait que je le fasse le plus vite possible, sinon j’allais me dégonfler une fois de plus. Me redressant pour me mettre sur mes genoux, je regardai mon père droit dans les yeux.

— Papa ?

— Oui Fabien ?

— Faut que je te parle...

— Qu’y a-t-il, fiston ?

Et là d’un trait je me lançai :

— Je suis gay.

Il me regarda sans répondre, n’osant plus dire un mot, je scrutai la moindre émotion sur ses traits. Une légère crispation au niveau de sa bouche. Son regard ne me quitta pas. Assis en tailleur, les cuisses écartées, Il se redressa légèrement en prenant appui sur ses mains. Dans ses yeux, je n’y vis que de l’incompréhension puis de la colère.

— Alors comme ça mon fils est un pédé !!!

J’en eus le souffle coupé, la phrase s’insinua dans mon cerveau et provoqua une brusque montée d’adrénaline. Comment osait-t-il me parler de cette manière, il n’avait donc aucun respect ? Je sentis mon corps bouillonner de fureur, mon cœur battait la chamade en expulsant le sang à travers mes artères et mes veines pour venir gonfler mes muscles. En répondant à une pulsion dévorante, je me jetai sur lui avec un grand cri de rage et une violence extrême.

Il me reçut comme un boulet de canon, mon corps percuta le sien et ses bras plièrent sous le choc. Tout l’air de ses poumons se vida d’un coup. J’accusai également le coup et la violence du contact entre nos deux torses se cognant l’un à l’autre résonna dans ma cage thoracique. Je voulais l’humilier car les mots qu’il m’avait dits m’avaient profondément choqué. Et qu’est-ce qui était le plus humiliant pour mon père ? Perdre la face et s’avouer vaincu. Je me retrouvai couché sur lui, mes mains s’emparèrent de ses poignets pour les amener au-dessus de sa tête pendant que mes cuisses s’écartaient pour ne pas lui laisser le temps de m’enserrer entre les siennes. Mon visage surplombait le sien, il me regardait avec un air mauvais.

— Tu crois que tu vas t’en tirer comme ça. Je vais te montrer ce que c’est qu’un homme, un vrai…

Au même instant j’ouvris la bouche pour laisser tomber un filet de salive qui atterrit sur ses lèvres encore entrouvertes. Il rugit, je sentis son corps se tendre sous le mien, pendant que tous ses muscles se gonflaient. Une force surhumaine grandissait en moi. Mes abdos contractés s’écrasaient contre les siens pendant que mon bassin le clouait au sol. Prenant appui sur ses pieds, il ruait comme un taureau pris au piège. Aussitôt je poussai mon bassin contre le sien en me faisant le plus lourd possible. Son visage était rouge et ruisselant sous l’effort, ses pectoraux luisants et gonflés à bloc se frottaient contre les miens. Une douce chaleur commença à envahir mon corps, la domination que j’avais sur mon père à cet instant m’excita au plus haut point. À l’intérieur de mon short, mon sexe commença à se tendre, je ne pus m’empêcher de frotter ma bosse grossissante contre le paquet bien épais de mon père. Je sentis un léger frémissement me répondre à travers le tissu de son slip, ma queue durcie par cette excitation qui me gagnait s’écrasa contre le sexe épais de mon père qui répondit en grossissant de plus en plus.

— Alors papa, t’aimes pas les pédés ???

Ce jeu commençait à me plaire, mon père m’excitait comme un dingue. Le fait de le sentir se débattre sous le poids de mon corps provoqua en moi un sentiment étrange, comme si j’en avais rêvé depuis toujours. C’est vrai que depuis très longtemps j’aimais regarder son corps fort et viril se couvrir de sueur lors des efforts répétés qu’il faisait pendant ses longues séances de musculation. Mon regard se posait immanquablement sur son slip afin de dévorer des yeux le volume de son sexe qui se dessinait sous le tissu. Le contact chaud de ses mains lorsqu’il corrigeait ma position quand j’effectuais un mouvement qu’il venait de m’apprendre. Quand j’étais plus jeune, il me prenait dans ses bras puissants pour m’emmener dans ma chambre, et arrivé devant mon lit, il me lançait sur le matelas. Aussitôt il se jetait sur moi, me recouvrant doucement de son corps pour ne pas me faire mal et me chatouillait de longues minutes pendant lesquelles je frétillais sous lui en hurlant de rire. Mon bonheur était complet. Maintenant, quelque chose était en train de se passer au plus profond de moi. J’étais allé trop loin pour arrêter ce que j’étais en train de faire. Il fallait finir ce qui était commencé.

Les ruades de mon père devenaient de plus en plus fortes, ses yeux, dans son visage impénétrable me regardaient fixement. Je ne pus résister à l’envie puissante de poser mes lèvres sur sa bouche poissée par ma salive. Son corps remua de plus belle, ma langue força sa bouche qui s’entrouvrit légèrement. Son souffle pénétra dans ma gorge et je sentis sa salive se mêler à la mienne. Nos deux langues se touchaient et rapidement se livrèrent un duel chaud et humide. Mon slip se mouilla instantanément lorsque quelques gouttes d’excitation commencèrent à perler de mon sexe raide. Profitant de cet instant, il concentra toute sa force dans ses bras et d’un coup réussit à se libérer les poignets de mes mains glissantes. Ses bras se refermèrent violemment autour de mon corps et il commença à serrer. J’étais pris dans un étau, mes pectoraux se gonflèrent pour résister à cette étreinte, mes mains s’appuyèrent sur ses épaules et j’essayai de me soulever en poussant fortement sur mes bras. Je sentis les mains de mon père trembler dans mon dos et au bout de quelques secondes de combat féroce, la pression se relâcha d’un coup. Je roulai sur le côté en me redressant pendant que lui faisait de même et nous nous retrouvâmes à genoux l’un en face de l’autre.

— Alors, mon petit pédé, tu croyais m’avoir aussi facilement. Regarde-toi, ta queue déborde de ton short. Je te fais tant d’effet que ça ?

— Et toi alors, regarde la forme de ton slip, il est prêt à craquer !

Il baissa les yeux vers son sexe et, furieux de voir son corps le trahir, se rua sur moi. Nous nous sommes attrapés mutuellement à bras le corps comme deux ours se livrant bataille. C’est à celui qui serrerait le plus fort, nos corps humides étaient collés l’un à l’autre. Mes mains s’étaient rejointes dans le bas de son dos et je l’attirai de toutes mes forces contre moi. Mon père avait sa tête appuyée contre mon épaules et j’entendais son souffle de plus en plus fort, Nous nous agrippions l’un à l’autre.

Soudain, une de ses mains agrippa le bord de mon short et tira de toutes ses forces. N’étant plus très solide le short se déchira rapidement libérant mon slip gonflé à bloc. Ce nouveau contact entre nos deux slip déformés par deux sexes en érection me fit frissonner de plaisir. Mais j’en voulais plus, apparemment lui aussi. Cédant à une impulsion irrépressible, chacun glissa une main sous le slip de l’autre et le dernier rempart qui empêchait nos queues d’entrer en contact céda d’un coup. La chaleur et la dureté de sa tige contre la mienne m’arracha un gémissement de bonheur. La sensation était telle qu’il me fallait toute ma concentration pour ne pas jouir sur le champ. Du côté de mon père, son bâton de chair vibrait contre le mien, mais il faisait tout son possible pour assourdir les gémissements qui remontaient du plus profond de ses entrailles. Je continuai de pousser mon torse contre le sien de manière à le faire tomber en arrière, mais cramponné à moi, il résistait avec puissance. La musculation lui avait forgé un corps d’athlète et malgré mes 20 ans de moins j’avais toute les peines du monde à le faire plier. Mais ma jeunesse m’apportait ce qu’il avait un peu moins, la résistance. Au bout de 5 minutes d’un combat acharné il glissa et tomba sur le dos, m’entraînant avec lui.

Aussitôt au sol, il enroula ses cuisses autour de mon bassin pendant que ses bras se refermèrent autour de mon torse. Glissant mes mains sous lui je le ceinturai étroitement à mon tour. Il posa ses pieds à plat sur le sol et poussant sur ses cuisses volumineuses décolla son bassin du sol et nous souleva. Le poids de mon corps contrait son effort, son sexe dur comme du bois s’écrasait contre le mien. C’en était douloureux mais mon excitation était à son comble. Me décollant légèrement, je me laissai retomber violemment sur lui. Ses cuisses lâchèrent aussitôt et je m’écroulai sur lui.

Il essaya d’imprimer un mouvement de balancier à nos deux corps enlacés afin de nous faire basculer sur le côté. Je contrai ce mouvement en me plaquant le plus lourdement possible à son corps. Son visage devenait rouge, mais il ne voulait rien lâcher. Dans un sursaut de désespoir il donna un grand coup de rein qui nous fit basculer sur le côté et il se retrouva enfin sur moi. Mes cuisses entourèrent aussitôt sa taille et doucement, par la force de mes abdominaux, je montai mon bassin contre le sien qui essayait de me maintenir au sol.

— Tu vois bien Fabien, tu n’auras jamais le dessus sur moi !

Sans lui répondre, je resserrai mon étreinte et son torse se retrouva fortement comprimé contre le mien. Sa respiration se fit plus difficile. Prenant appui sur ses mains, il essayait de se libérer, mais à bout de souffle, il se laissa tomber contre moi.

— Alors on fatigue papa ?

Son visage tout près du mien, il ruisselait sur moi, sa poitrine était trempée de sueur et nos tétons glissaient l’un sur l’autre. Je ne pus empêcher ma queue de se durcir davantage. Celle de mon père répondit aussitôt.

— Tu aimes ça, avoue !

— Jamais, je ne suis pas pédé comme toi...

— Alors pourquoi tu bandes ?

Sans répondre, il se mit à gesticuler comme un forcené entre mes bras. Mais je ne relâchai pas, c’était si jouissif de le tenir à ma merci, sentir son corps puissant s’agiter sur moi, pendant que son sexe continuait à s’affoler contre le mien. Dans ses yeux je décelai une détresse infinie de ne pas arriver à me soumettre à sa force, mais il y avait quelque chose d’autre, c’était certain. Je commençai à bouger doucement mon bassin en le soulevant légèrement afin que le contact entre nos deux queues soit encore plus fort. J’ondulai sous lui de manière à masser son bas-ventre.

— Fabien, ne fais pas ça, je t’en prie !

Dans un dernier effort il réussit à se dégager en roulant sur lui-même pour éviter ce contact si charnel. Nos deux corps se retrouvèrent séparés, il eut juste le temps de se mettre à quatre pattes lorsque je me jetai sur lui l’enserrant entre mes bras. Sous le choc on bascula sur le côté, nous roulâmes ensemble et je finis par me retrouver couché sous lui, mes bras se glissèrent sous ses aisselles et je croisai mes mains derrière sa nuque. J’écartai mes cuisses pour les enrouler autour de sa taille. Ma queue humide et durcie par cette envie folle de lui faire l’amour, se retrouva coincée sous ses fesses. Il remuait sur moi et ses deux lobes bien fermes frottaient sur ma verge, cette sensation décupla mon excitation et mon gland laissa perler quelques gouttes de plaisir. Profitant de mon excitation, il réussit à me faire lâcher prise et grâce à nos deux corps trempés de sueur, glissa entre mes bras pour se tourner face à moi. D’un coup de bassin je nous fis rouler au sol, le privant d’une position dominante.

Mon père ne remua même pas, je me retrouvais sur lui, le bloquant de mes bras et mes cuisses contre moi. Ses yeux étaient suppliants, sa bouche luisante. Ma bouche se posa tendrement sur ses lèvres chaudes et humides. Dans ma poitrine, mon cœur battait comme un fou. Il répondit à mes baisers en s’ouvrant à ma langue qui s’engouffra dans cette cavité humide et chaude. Elles fondirent l’une contre l’autre pour se caresser langoureusement, son sexe de plus en plus dur se frottait contre le mien. Un profond râle de plaisir remonta le long de sa gorge pendant qu’il aspirait ma langue au plus profond de sa bouche. Je relâchai la pression de mes bras et jambes et commença à parcourir ses flancs de mes doigts avides de sa peau. Que son corps était beau, viril et tellement excitant. Je me dégageai délicatement de lui pour admirer ce père tant adoré. Il était là sous moi, me regardant avec ses yeux humides, sa main se glissa derrière ma tête pour m’attirer à lui et m’embrasser sauvagement. Il me dévorait littéralement, sa langue envahissait ma bouche où nous échangions nos salives. Me tirant doucement par les cheveux, il plongea ses yeux dans les miens.

— Oh mon Fabien, comment ai-je pu te cacher cela jusqu’à maintenant. C’est pour cette raison que ta mère est partie. Toute ma vie j’ai réfréné ces envies qui me consumaient depuis si longtemps.

— Tais toi papa, on va rattraper le temps perdu, j’en ai trop envie !

Il me serra dans ses bras et mes derniers mots se perdirent dans sa bouche. D’un coup il nous retourna, je me laissai faire. Une fois sur moi, il me plaqua au sol avec force. Son corps se faisait lourd sur le mien, tous ses muscles étaient en action, son bassin donnait de grand coup et je sentais sa barre d’acier se cogner à la mienne. Toute sa peau était en contact avec la mienne, et nos corps ondulaient avec passion. D’une main décidée il m’écarta les cuisses afin de me caresser l’entrejambe, un de ses doigts se posa sur mon anus et commença à me masser le trou par des mouvements circulaires. Appuyant un peu plus, une première phalange perfora mon œillet pendant que des spasmes de bonheur traversaient tout mon corps. Son doigt allait et venait de plus en plus vite, de plus en plus profondément, je râlais de plaisir.

— Oh, papa, prends moi…

— Tu vas voir fiston, comme ton père va bien s’occuper de toi...

Après un dernier passage, son doigt se retira. Il se redressa et je l’entendis cracher dans sa main, un instant plus tard je sentis la dureté de son sexe se cogner contre mon trou. J’écartais les jambes un peu plus pour lui laisser de la place.

- Viens vite, j’en peux plus !

Son gland lubrifié par sa salive, en força l’ouverture. Lentement il fit coulisser sa hampe pour me faire découvrir toute la longueur et la puissance de sa queue énorme, je la sentis m’envahir totalement. Il resta ainsi un long moment. Mes mains s’agrippaient à ses fesses et je l’attirai violemment contre moi pour sentir toute la longueur de sa bite. Il se retira tout doucement jusqu’à ce que son gland sorte et avant que mon anus ne se referme, il s’enfonça à nouveau au plus profond de moi. Aux coins de ses yeux, des larmes de bonheur apparurent, il souriait et était heureux, tout comme moi.

Il fut prit d’une frénésie et commença à me pénétrer de plus en plus fort, de plus en plus vite. À chaque allée et venue sous cet assaut, je m’accrochais à ses épaules et me laissais envahir par le plaisir en m’offrant totalement à lui, sans aucun barrage, sans aucune résistance, avec une soif de lui tellement immense. Nos yeux ne se quittaient plus, sa bouche se rua sur la mienne pour m’embrasser goulument. Empalé sous la violence de ses coups de boutoir, je sentais ses couilles claquer contre mes fesses à chaque pénétration, ce qui m’arrachait des cris de plaisir. Une douce chaleur irradiait mon ventre lorsque son membre caressait mes entrailles de toute sa longueur. De profonds gémissements sortaient de sa bouche, il se cambra un peu et sa queue s’enfonça encore plus profondément. Chaque fois que son membre quittait la chaleur de mon ventre, un manque insoutenable me submergeait. Mes mains cramponnées à ses fesses le ramenaient aussitôt au plus profond de moi. Mon sphincter dilaté par son volume, se resserrait autour de sa hampe pour en sentir tout les reliefs.

Son souffle s’accélérait tandis que je sens la chaleur de mon sperme remonter le long de ma queue. Mon gland cracha de longs jets de semence pendant que des cris de jouissance ininterrompus sortaient de ma gorge. Un dernier coup de rein me fit hoqueter de bonheur, et dans un dernier râle mon père inonda mon conduit d’un bouillonnement de sperme chaud.

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Mardi 7 août 2 07 /08 /Août 15:24

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C'était une nuit froide de janvier, je revenais de la fac, quand j'aperçus sur le trottoir en face de moi, arriver deux blacks qui me regardèrent de la tête aux pieds. Je n'avais pas l'allure d'un petit pd, mais plutôt d'un étudiant pressé qui revenait d'une journée de cours harassante.

Les deux blacks, plutôt bien foutus, j'ai dû les mater un peu trop, tant et si bien qu'ils se retournèrent et l'un d'eux, derrière moi m'a mis la main sur l'épaule et me dit :" Dis moi gars, tu as maté mon copain un peu trop toi... tu serais pas un pd en chaleur par hasard ? Tu voudrais pas nous sucer la pine ? " Je restais estomaqué devant tellement d'audace, et j'eus soudain la trouille de ma faire violer en pleine rue, ce qui allait arriver...

Ils m'entourèrent et me poussèrent sous une porte cochère et sortirent leur bite. L'un bien monté, environ 20cm bien grosse me parut bonne, mais l'autre mandrin me fit peur, plus de 25cm, longue et bien épaisse... un vrai gourdin que je me mis à sucer de suite, car poussé par son copain, j'avalais le gland qui me fit tousser tellement il était gros... Une main sur le cul, le jeans défait, l'autre se mit à fouiller mon cul d'un doigt d'abord,me sentant serré... J'étais pris au piège sous une porte cochère avec deux blacks fortement membrés, une bite dans la bouche et le gland de l'autre sur mon trou haletant...

Me voyant dans une bonne disposition, celui de derrière commença à me lécher le cul avec sa langue râpeuse et le deuxième me défonçait la gueule... Un bruit à proximité de là où nous nous trouvions, les firent se lever, se rhabillèrent et m'embarquèrent dans le couloir de l'immeuble, nous étions chez eux... On descendit alors quelques marches et on se retrouva dans les caves de l'immeuble. Ils ouvrirent la porte d'une cave, me poussèrent à l'intérieur et fermèrent la porte à clé, me laissant seul à l'intérieur. Je commençais à flipper. Au bout de trente minutes, ils revinrent avec deux autres mecs, deux blacks aussi, plutôt balaises... Cela me fit penser que j'allais servir de vide-couilles à quatre blacks... je me sentais défaillir, quand l'un d'eux, me prit la gueule et m'enfonça son mastard dans la bouche... Les autres se déshabillèrent, ils me déshabillèrent ensuite et celui que j'avais en bouche se déshabilla également.

Les deux autres étaient bien monté également, et me dirent :"Tu vas nous servir de vide-couilles mec, on a envie que tu nous pompes et ensuite on t'encule..." Me voilà prévenu... À poil sur un matelas crade, la bite dans la bouche, deux d'entre eux commencèrent à me pisser dessus pendant que le quatrième me léchait la rondelle, il recevait de la pisse sur lui... Soudain, après avoir fini de me pisser dessus, ils sortirent une bouteille de poppers et me gazèrent avec pendant une petite minute, et je me mis à décoller, offrant mes deux trous à leurs jeux pervers. Ils se succédèrent alors dans ma bouche et mon cul offert et dilaté par le poppers et la salive du grand black...

Durant plus de trois heures, je subis leurs assauts virils, me sodomisant et me trouant la bouche de leurs grosses queues odorantes... Sans capote, je fus limé et dosé plusieurs fois, de mon trou s'échappait leur sperme, qu'ils tassaient chacun leur tour, graissé par leur foutre, ils pouvaient me limer plus facilement. Ils me faisaient ensuite nettoyer leur grosse queue par ma langue et me pissais afin de lâcher leur reste de pisse... Souillé de sperme et de pisse, ils me laissèrent repartir finalement, tout en retenant mon adresse afin de me rappeler pour une autre orgie de sexe à plusieurs.

À la porte de la cave, avant de partir, chacun me cracha sur la gueule, le glaviot dégoulinant sur mes joues et les cheveux souillés de pisse et de sperme.

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Lundi 6 août 1 06 /08 /Août 22:12

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Je rentrais chez moi tant bien que mal, le trou explosé, des crachats sur la gueule que j'essuyais avec mon tee shirt et du sperme dégoulinant de mon cul, cela me faisait une auréole sur mon jeans.

Il était tard quand je rentrais chez moi, je n'habitais pas tout près de là où je fus sodomisé et la route me parut interminable. Soudain, une voiture s'arrêta à ma hauteur et je reconnus au volant un des blacks qui avait abusé de moi dans la cave. Il ouvrit sa vitre et me demanda où j'allais. Il avait sans doute attendu que je parte pour me suivre et voulait sans doute recommencer une autre partie de baise…

Ce mec me demanda: « Tu vas où mec ? Je peux te conduire chez toi si tu veux, on connait ton adresse de toute façon, j'ai encore envie de ton cul de blanc bec... » Quoi dire à une telle demande, rien, je me laissais faire par mes hormones et mon désir d'être une chienne à blacks, je montais donc en voiture et on démarra. Ce mec avait été amené par les deux blacks qui m'avait enfermé dans la cave. Il était grand, fortement charpenté par de la musculation et bien monté avec une bite de 23cm. Dans la cave, il m'avait d'abord pissé dessus et envoyé sa purée dans ma bouche avant de me défoncer le cul dans toutes les positions. Ce mec savait y faire pour faire couiner une pute. Il me regarda monter en voiture et compris mon désir d'être une pute à blacks. Il me regarda d'un air entendu, et mit aussitôt sa main sur ma cuisse et mon cul. Je voyais la bosse se former sous son jeans, et il me prit la tête pour me faire courber sur cette bosse afin de humer la bonne odeur de foutre et de pisse que je lui avait fait sortir quelques minutes plus tôt. Il voulait continuer le plaisir seul avec moi encore quelques temps. Il me dit : « Tu sais mec, tu es une bonne pute, j'ai envie de te faire le trottoir mec et de me servir de toi pour mes besoins personnels de sexe. Je recherche un cul blanc comme le tien pour mes potes aussi et servir de vide-couilles. » Il me dit cela coincé sur sa bosse par sa main, et je pus répondre à son offre et me contentant de grogner, il me dit: « De toute façon tu n'as pas le choix, mec ! »

Et il me laissa respirer un peu, je le regardais et lui demandais : « Mais je vais pas être une pute à blacks toute ma vie, j'ai mes études à faire… » Je commençais à avoir peur... Il me regarda alors et me prit la gorge avec sa main et me dit : « T'es à nous maintenant mec, tu n'as plus rien à dire, on va faire de toi ce que l'on veut, mais t'inquiète pas, tu continueras à faire ta vie de ton côté mais côté cul, tu es notre pute et à notre merci. Quand on aura besoin de toi pour nous vider les couilles, tu seras obligé de venir nous les vider, c'est clair, petite pute ? » C'était très clair pour moi maintenant, j'allais servir de vide-couilles à des blacks superbement montés et cela me faisait bander, il le vit et me dit : « Tu vois, tu bandes déjà salope, tu aimes l'idée d'être offert à des mâles et d'être troué et enfoutré... Salope... »

On s'arrêta devant chez moi, il coupa le contact et on descendit. On monta les deux étages pour arriver devant le porte de mon studio, il me mit la main au cul de suite devant la porte et me fit mettre à genoux devant lui avant d'ouvrir. Il sortit alors sa queue et me la mit en bouche. Je sentais son sexe grossir dans ma bouche et le fait d'être sur le palier et qu'un voisin pouvait me voir ainsi à la merci d'un beau black me faisait bander. Il me prit les clés de mes mains, ouvrit la porte et me fit entrer dans mon appart. J'allumais la lumière et vit mieux mon black et maître maintenant… Il avait environ la trentaine, 1m85 pour 90kg environ de muscles, bien charpenté et monté 23cm bien dure et large.

Il s'avança de moi, m'enleva mon blouson, mon tee shirt taché et mon jeans. En boxer, il me fit mettre à genoux devant sa queue et me la rentra de nouveau dans la bouche, me l'enfonçant dans la gorge. J'étouffais, mais voulant faire plaisir à mon nouveau maître, je me mis à saliver dessus pour le faire glisser profondément dans ma gueule de lope et je m'attaquais au gland volumineux qui laisser couler une quantité impressionnante de mouille. Il était proche de l'éjaculation quand il me prit la tête de ses deux mains et m'enfonça son sexe à fond et se mit à décharger une coulée de foutre, avec laquelle je m'étouffais, recrachant une bonne partie, j'eus des hauts-le-coeur, mais repris aussitôt la queue en bouche pour avaler le reste de sa décharge. Six gros jets plus tard au fond du gosier, il me dit que j'étais à lui maintenant, que j'étais sa femelle et que quand il aurait besoin de moi, il m'appellerai à n'importe quelle heure et que je devrais obéir à ses ordres.

Il me dit son nom : il s'appelait Mohamed, et habitait la cité chaude de la ville où je faisais mes études. Il essuya son sexe sur mon visage, me cracha un dernier glaviot dans la bouche et je nettoyais sa queue avec. Il rangea sa bite dans son jeans, et me flatta la tête, en me disant avoir la chance de baiser une bonne pute qui avale tout et d'en faire une bonne chienne à blacks.

« Je te rappelle mec, très bientôt, j'ai des potes du Cameroun qui arrivent bientôt et ils voudront sans doute un peu de sexe pour se vider les couilles du voyage, tu seras bien docile avec eux… Je te rappelle, bâtard... »

 

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Lundi 6 août 1 06 /08 /Août 00:50

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Cette histoire s'est passés il y a 2 ans à peu près. Je voyais mon cousin parfois, le weekend-end notamment. Il nous arrivait de se taper des queues ensemble devant un bon film porno ou les gonzesses se faisait défoncer la chatte par Rocco... Mais rien de plus ! On jutait et puis finito, des trucs de cousins quoi ! Mais ce jour là, ce ne fut pas pareil.

On était les deux dans sa chambre, tout le monde dormait dans la baraque. Il était une ou deux heures de mat' et après un bon film d'horreur, une branle s'imposait ! Alors on met un film de cul bien hard comme à chaque fois. J'avais déjà remarqué ses effluves de mâle, il n'était pas très pote avec la douche mais aujourd'hui, c'était encore pire que d'habitude. Un truc de malade, à vous faire réveiller un mort. On avait donc nos deux queues en main, il était plutôt bien monté, 20 centimètres, épaisse et bien poilue, comme j'aime. Il se doutait sûrement que j'kiffais les chums, mais jamais il n'aurait tenté quelque chose sur moi, par peur de ma réac'. Mais là moi, j'avais grave envie de sa queue, ses odeurs de mâle m'excitaient un max ! Alors je m'décidai...

— Ça te dit que je te suce ?

Et là aucune réponse, il avait plutôt l'air surpris. Et d'un coup sec, il me choppa par les cheveux, on était encore allongés l'un contre l'autre, moi tenant ma queue à pleine main. Il plaça ma tête en dessous de son visage, au niveau de son ventre, et m'ordonna d'ouvrir la bouche. Je m'exécutais ! Et là, il va chercher au fond de sa gorge le mollard du siècle, un truc énorme qu'il me lâche en plein dans la bouche. Et il me dit :

— Commence par avaler ça !

Et là, c'est moi qui fût surpris ! Le salaud, il avait décidé de me faire ma fête, depuis le temps que je l'attendais ! Après avoir avalé son mollard, il me laisse à peine le temps de reprendre mes esprits et me place la gueule contre le mur afin que je puisse le sucer pensais-je... Il se mit face à moi, à genoux sur le lit, et me décolla une baffe monumentale. Ce qui me fit basculer sur le côté. J'étais ailleurs, comme sur une autre planète. Il empoigna encore une fois mes cheveux et me replaça contre le mur, face à lui. C'est là qu'il entreprit de me bourriner la gueule avec sa queue. Il plaça le bout de son gland juste devant mon visage. J'avais déjà la gueule grande ouverte. Mais lui ne le voyait pas de cet œil. J'avoue que le goût de fruits de mer avariés dont certains parlent me sauta au nez. Il avait un long prépuce qu'il n'avait pas complètement décalotté. Il le fit juste devant mes yeux, et là, je voit apparaître sur son gland une masse blanchâtre qui traînait une odeur forte à la limite de la gerbe. C'est à cet instant que j'ai regretté d'avoir ouvert ma gueule plus tôt... Il me regarda droit dans les yeux et me dit :

— Tu voulais un mec, ben chui là. Alors maintenant tu vas pas faire ta mijaurée et tu vas faire ce que je te dis ou sinon ça va mal aller pour toi !

Je ne pouvais alors plus rien faire ! J'étais obligé d'aller jusqu'au bout de cette expérience. J'ouvris donc à nouveau la bouche. Il prit de ses doigts un peu de fromton de sa queue et les enfonça le plus possible dans mon nez. Afin que je garde son odeur pestilentielle pendant tout l'acte. Et je me mis donc à le sucer. C'était assez étrange car je me suis mis à apprécier ce goût âpre, à kiffer cette odeur extrême de mâle. Il me laissa quelques secondes pour m'habituer à sa queue, mais cela ne dura pas ! Il reprit vite les choses en main. Tenant sa queue dans une main, et appuyant ma tête contre le mur, il commença des va-et-vient d'un rythme éffreiné. Plus fort que le bourrinage de chatte de nos films favoris. Ma bouche ne suivait pas tant il était rapide et allait profond. Il me défonçait littéralement la gueule. Quand il était bien à fond dans ma gorge, il restait quelques secondes en poussant des cris bestiaux. Ça le faisait kiffer de me voir souffrir. Mais moi j'adorais ça. Je m'appliquais du mieux possible. Il alternait en me faisant bouffer ses grosses couilles poilues. Ça le faisait triper que je les prenne les 2 en bouche en même temps. Il pouvait se branler bien tranquille sur ma gueule pendant que ses burnes étaient bien au chaud dans ma bouche de pute. Cela a duré une bonne vingtaine de minutes. Vingt minutes de pilonnage intensif. Mais il avait pas envie que cela se termine de si tôt. Alors il me dit :

— Bon grosse salope de cousin, ça fait six jours que j'ai pas juté ce soir, et j'ai envie que ça dure pour pouvoir te noyer dans mon sperme.

L'expression était exagérée mais ça m'excitait grave rien que d'y penser. Il s'alluma alors une clope et me dit de venir à côté de lui. On parla un peu, lui racontant ce que je kiffes chez les mecs et lui me disant que c'est sa première expérience. Qu'il aimerait faire ça avec sa meuf mais qu'elle veut pas se soumettre à lui.

— Et ça fait longtemps que t'as envie de ma queue ?

— Ben ouais, ça fait déjà pas mal de temps que tu me donnes envie. Avec toutes nos branles et tout. Mais là, ce qui m'a plu c'était ce gland fromageux, comment tu fais ça ?

— Je t'expliquerai plus tard comment faut faire mais pour le moment, tu vas aller dans le bain et m'attendre bien gentiment !

— Mais je vais pas sortir à oilpé, traverser le couloir alors que les parents et ton frère dorment juste à c...

J'ai pas le temps de finir ma phrase qu'il m'a déjà coller un coup de poing dans le ventre, me pliant en deux.

— Tu fais ce que je te dis et c'est tout !

Je m'exécutai avec précaution tout de même et allai jusqu'à la salle de bain qui était de l'autre côté du couloir. J'étais à poil. Je savais ce qui m'attendrait là bas, il avait envie de m'arroser de sa pisse bien chaude et peut être même m'en faire avaler. Le rêve ! Je laissai la lumière éteinte. Au bout de quelques minutes, j'entendais une porte s'ouvrir ! Enfin, mon cousin va continuer mon larvage ! Mais je fus très surpris ! C'était le petit frère de 16 ans qui entrait dans la pièce.

— J'ai tout entendu ce que vous faîtes, et vu que ça m'a donné la gaule, tu vas me servir de vide-couilles.

Il sortit alors sa queue. Il était déjà bien pourvu pour son âge mais ne puait pas autant que son frère, dommage ! Je m'exécutai à sucer cette queue, il est venu en 5 minutes environ, et a juté bien au fond ma gorge. Il n'avait pas autant de poigne que mon maître mais il était plaisant ! Il repartit vite fait dans sa chambre en me lançant un petit "Merci C'zin !"

J'entendis alors mon cousin sortir de sa chambre. Il vint directement devant moi, il ne bandait plus mais que sa queue était épaisse et lourde au repos ! Il m'ordonna alors de prendre sa queue entière dans ma bouche, je le fis. Il me promit une pluie de mandales si je n'avalais pas tout. Il se concentra et commença à m'inonder la bouche de sa pisse fumante et puante, je m'attelai à tout boire ce précieux liquide. Quelques gouttes tombèrent tout de même dans la baignoire, il me les fit laper. Il me dit ensuite de m'allonger sur le dos dans la baignoire, que j'allais devoir lui décrasser son trou qui d'après lui était bien gras et que j'aimerais ça. En effet, j'ai aimé décrasser son cul. J'avais jamais fait ça, mais j'ai adoré cette odeur particulière.

— Et t'aimes aussi te faire enculer comme une chienne ?

— Ben ouais bien sûr ! lui répondis je sans vergogne.

On retourna alors dans sa chambre pour qu'il donne une raclée à mon petit cul ! Et il n'y alla pas de main morte ! Il me fit mettre à 4 pattes, mollarda une ou deux fois sur mon cul enfonçant son index au plus profond. Et lorsqu'il décida que mon cul était prêt, il posa son gland sur ma chatte de pute et d'un coup sec, entra son dard bien au fond de mon fondement. Au plus profond de mes entrailles. Je poussai alors un hurlement. Il m'engueula de plus belle et décida de retirer ses chaussettes et de m'en coller une bien au fond de la gueule pour que mes hurlements soient retenus. Au moins pour ceux qui dorment. Bien que le frère doit être en train de se branler en nous écoutant. Il pillona alors mon cul pendant des dizaines de minutes. J'avais le derrière en feu, jamais on ne m'avait enculé aussi fort ! Il se retira et vint se placer devant moi, je me mis alors au niveau de sa queue, il me frappa sur la tête et me dit :

— Lèche-moi les pieds sale garce. Après t'auras mon jus !

J'étais à 4 pattes devant mon cousin qui s'est assis sur son lit, il continuait à se toucher la teub pendant que je lui bouffais les pieds. Je passais entre chaque doigt de pieds, pour récupérer tous les morceaux et les odeurs de son 45 fillette. Il prit alors une barre chocolatée près de son lit, se mit à la bouffer. Je me demandais pourquoi faire. Je compris vite lorsqu'il me fit ouvrir la bouche pour tout recracher dedans. J'étais sa pute, son urinoir et maintenant sa poubelle. Je kiffe ! Il me dit qu'il n'est pas loin de juter.

— Fous-toi allongé sur le dos sur le lit, ta gueule en dehors du matelas que je puisse prendre ta bouche comme une chatte et y foutre toute ma sauce

Je pris la position qu'il souhaitait et il enfourna sa teub dans ma bouche pour un dernier pillonage en règle ! Au bout de 2 minutes, il déchargea alors, le gland sur mes lèvres. Je pris de grandes giclées dans ma gueule. Il juta énormément, c'était impressionnant. Mais je me délectais de cette liqueur. Il en coula bien sûr par terre. Il reprit doucement ses esprits. Mon cousin me fixait droit dans les yeux, peut-être se rendait il compte qu'il vient de grave m'humilier.

— Je veux quand même que tu jutes p'tite salope ! Alors tu vas commencer par laper tout le jus sur le sol et viendra t'asseoir sur ça !

Il montrait du doigt sa lampe torche qui avait un diamètre assez large. Je lapai donc toute la semence perdue, et vînt m'asseoir sur la lampe. Il prit alors pour la première fois ma queue en main, et me branla pendant que mon cul coulissait sur sa torche. Je mis quelques secondes à juter tant j'étais excité par tout ce qui venait de m'arriver. Je restai immobile, mon cul empalé, et mon jus tout autour. La main de mon cousin était recouverte de sperme, il me la fit nettoyer comme une chienne.

Tout à coup une ombre apparût derrière la porte...

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Dimanche 5 août 7 05 /08 /Août 22:39

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je m’appelle Yves et j'ai 28 ans. Je suis brun et j’ai un physique d’adolescent. Je n’ai pas très bien vécu le divorce de mes parents et je rêvais d’indépendance. J'ai arrêté mes études assez tôt pour chercher un emploi et me loger. J'ai réussi à décrocher un petit job de secrétariat dans une société d’import export. Il me permet tout juste de boucler mes fins de mois. En quelques mois, mon sérieux, ma ponctualité ont joué en ma faveur. Le patron m’a fait venir dans son bureau pour me faire une proposition. Sa secrétaire devant s'absenter pour un congé maternité, il me proposa d’assurer l’intérim.

— Je préfère cette solution! m’a-t-il dit. Tu connais la boîte et tu te familiariseras plus vite qu’une personne étrangère à la société.

Le patron est un type qui en impose et, sans en avoir peur, je peux affirmer qu’il m’impressionne. Devoir travailler en direct avec lui, me faisait vraiment peur et m’angoissait. Mais, d’un autre côté, mon salaire allait augmenter de 40%... Ce qui n’était pas négligeable!

— Je te donne deux jours pour y réfléchir et prendre ta décision! N’oublie pas que pour tenir ce poste, j’ai besoin d’une personne disponible!

J’ai donc accepté le travail et je suis entré en fonction trois jours plus tard. Au bout de quinze jours, alors que nous étions les deux derniers dans les bureaux, il m’a parlé:

— Jusqu’ici, je suis très content de ton travail...

— Y a-t-il un «mais», monsieur?

— Non... Quoique! Il me reste à évaluer certaines de tes aptitudes. Pour travailler avec moi, il faut être entièrement dévoué.

— Je sais, monsieur. Je pense que...

— Chut! Tu ne dois jamais contredire un de mes ordres. Es-tu prêt à l'accepter?

— Euh... oui, monsieur... Je vais essayer de...

— Ce n'est pas suffisant d’essayer. Il me faut du concret.

J’étais un peu paumé. Tous ces propos étaient bizarres.

— Le travail de la société m'accapare énormément. Je n'ai pas le temps de mener une vie personnelle et intime en parallèle.

— Je comprends que vous exigiez de votre secrétaire.

— Ta gueule!

Il a écarté son siège à roulettes du bureau. Sa queue jaillissait de sa braguette ouverte.

— Allez! Suce!

Tel un animal apeuré devant un prédateur, je me suis laissé hypnotiser par son engin monstrueux. Je l’ai pris en bouche.

— Tu aimes?

— Oui, monsieur.

— Continue à pomper et réponds à mes questions en agitant la tête. Es-tu prêt à ne plus porter de sous-vêtement sous ton pantalon?

J’ai agité la tête pour dire oui.

— Es-tu prêt à me sucer à quatre pattes sous ce bureau pendant que je reçois des clients?

— Oui, monsieur!

— Enlève ton pantalon pour me sucer!

J’ai obtempéré directement.

— Tu as un beau cul. Donc, tu as bien compris... plus de slip ni de caleçon... Cul nu sous ton pantalon! Je veux que tes fesses soient immédiatement accessibles.

— Oui, monsieur!

Il a ouvert un tiroir et posé un large gode sur son bureau.

— Enfonce-toi ça au fion!

— C’est... c’est très gros... je...

— Ne pas contredire un seul de mes ordres!!! As-tu déjà oublié tes résolutions? Je vais te punir pour ça. Debout sur mon bureau et descends doucement sur cet autre gode...

Ce deuxième gode était beaucoup plus grand et gros. J’avais très peur. J’ai pourtant réussi à me l’enfoncer jusqu’à la garde et à m’agiter dessus;

— C’était ta première impertinence! Au bout de trois ce sera le licenciement immédiat sans même la possibilité de retrouver ton ancien poste. Tu es à mon entière disposition. Est-ce bien clair?

— Oui, monsieur!

Je commençais à me rendre compte de ce qui m’arrivait. J’allais devenir un jouet sexuel pour un homme vicieux et sadique. Il m’a retourné sur ses genoux pour me donner la fessée. J’ai un peu gémi de douleur et puis j’ai trouvé la sensation plus supportable.

— Je vois que tu commences à t’habituer. Tu vas sûrement aimer devenir ma petite pute docile, ma petite salope perverse. Je vais te faire progresser dans ton rôle d’objet pour le plaisir!

Il m’ordonna de m’installer à quatre pattes sur son bureau et il me contourna. Je ne le voyais plus; j’étais inquiet. Il ôta le gode pour le remplacer par autre chose.

— Voici TON bouche-trou. C’est un butt plug qui devra toujours être en place sur ce lieu de travail. Il sera enlevé lorsque j’ai envie de me servir de ton trou.

Il poussa bien le plug à fond. Soudain, sa main claqua violemment sur mon cul. Il recommença. Comme j’avais émis un léger cri de surprise mêlé à un autre de douleur, il pousse mon slip en boule dans ma bouche. La fessée reprit jusqu’à me tirer des larmes. Seul mon père qui était très sévère m’avait déjà donné ce type de châtiment.

— Un cul de salope, ça doit être net sans poil! Pour demain, tu vas me nettoyer ta raie et la rendre impeccable!

J’ai agité la tête.

— Ton cul est bien rond et musclé. Ça c’est bien! Tu fais de la musculation?

J’ai agité la tête pour dire non.

— Réponds!

La bouche encombrée par mon slip, j’ai du fournir un effort incroyable pour sortir un son correct de ma gorge.

— Non, mechieu. Che fais de la natachion.

— Très bien! Quand, j'en aurai fini, avec toi, aujourd’hui, je te donnerai le reste de ta journée. Tu iras t’occuper de ton corps. Tous les soins à y apporter sont écrits sur cette liste. Lève-toi.

Je me suis dressé sur la table.

— Au sol! Descends! Je t’interdis de perdre ton plug et de le tenir avec tes mains. Sers-toi de ton cul pour le serrer.

Je suis descendu en essayant de garder le bouche-cul. J'étais debout devant lui, les yeux baisés.

— Il y a aussi ces tétons qui sont bien minuscules! On va arranger ça!

Il sortit, d’un tiroir de son bureau, deux petites pinces reliées par une double-chaîne argentée.

— Je sais que n'es pas encore habitué à tous les traitements que je te réserve. Tu finiras par tellement les apprécier que tu en redemanderas. Sais-tu à quoi servent ces pinces?

— Non, mechieu!

— Elles servent à travailler les tétons, à les faire «bander»... Tu vas, toi-même, en poser une sur chacun de tes tétons. Tu vas voir, au début, la douleur est assez forte mais, ensuite, ça va te plaire! La seule chose, c’est qu’on ne peut jamais oublier qu'on les porte.

Il m’a tendu les pinces et, les yeux remplis d’angoisse, j’allais devoir les placer sur mes pointes sensibles. Le froid de l'acier me fit frissonner. Elle était maintenant ouverte, prête à emprisonner mon téton. La douleur fulgurante m’arracha encore des larmes. Il était en face de moi, terrible.

— C'est une épreuve très difficile, mais je suis sur que tu vas la réussir. Tu les garderas toute cette première journée. Demain, je veux voir tes pointes déjà bien dures et dressées. Tu pourras les retirer chez toi... pour la nuit! C’est à moment là que la douleur sera la plus forte.

— Oui, mechieu!

— Bien, nous allons continuer l'interrogatoire. Combien d'hommes as-tu connus jusqu'à maintenant?

— Aucun, mechieu!

— Aucun? Tu as pourtant l’air d’une fameuse petite salope... Soit! J’espère que tu ne me mens pas... sinon...

— Non, mechieur! Ch’est juré!

— Quand as-tu fait l'amour, la dernière fois?

— Il y a quinche jours!

— Avec une femme donc?

— Oui, mechieu!

— De la société?

— Oui, mechieu!

Un large sourire a éclairé son visage et il a pris quelques notes.

— Son prénom!

— Marianne.

— Tiens donc...

Nouveau sourire.

— Tu te branles souvent?

— Oui, mechieu.

— C'est à dire? Une fois par semaine, tous les trois jours, tous les jours?

— Tous les chours, mechieu!

— Plusieurs fois par jour?

— Cha arrive, mechieu!

— Tu t'es déjà branlé au bureau?

— Oui, mechieu.

— Où?

— Dans les toilettes, mechieu.

— Seul?

— Oui, mechieu!

— Tu étais excité par quelque chose de précis?

— Non, mechieu!

— À partir de maintenant, je t'interdis de te branler sans en avoir obtenu mon autorisation. Ici, chez toi ou ailleurs. Est-ce assez clair?

— Oui, mechieu.

— Si tu as été bien obéissant toute la journée, je te téléphonerai cette nuit chez toi pour te demander de te branler. Ce sera comme ça, tous les jours...

— As-tu déjà pompé une bite?

— Non, mechieu!

— Tu vas te rattraper! Tu me suceras deux ou trois fois par jour et tu avaleras mon foutre chaud jusqu'à la dernière goutte. Il arrivera certains jours que mon jus soit ton unique nourriture. J'aimerai te voir travailler toute la journée devant moi en sachant ton estomac uniquement rempli de mon sperme. Tu vas devenir un petit être pervers et tu seras enculé régulièrement. Ton petit trou servira plus que tous les autres. Il sera même forcé en permanence par des accessoires que je te ferai découvrir.

Je l’écoutais accumuler des horreurs sur moi, sur ce que j’allais devenir. J’étais KO!

— Tu vas devenir une vraie petite pute au trou toujours ouvert et accessible. C’est clair?

— Oui, mechieu!

— Avant que je te lâche, tu vas me prouver que tu as tout compris. Dis moi une chose... demande-moi une chose que tu n’as jamais demandée à personne...

— Quoi donc, mechieu?

— Cherche bien. Réfléchis!

— Demande-moi de «prendre» quelque chose que tu n'as jamais donné.

Je suais. J’angoissais.

— Allez... grouille... Quelle partie de ton corps n’as-tu jamais offerte à un homme?

— Mon anus, mechieu!

— Tu vois comme tu peux être malin! Tu vas me demander de te baiser!

— Oui, mechieu! Baichez-moi...

— Ouh la! Tu vas le demander mieux que ça. Beaucoup mieux!

— Mechieu, voulez-vous me baicher?

— J'ai dit... mieux que ça.

— Mechieu, auriez-vous la bonté de bien vouloir m'enculer.

— C'est mieux, mais fait un effort. Essaie d’éviter les punitions. N’oublie pas que tu n'es plus qu'une petite pute. Encore mieux que ça!

J’ai pris sur moi et je lui ai servi ce qu’il voulait.

— Mechieu, ch'il vous plait, enfilez-moi par mon petit trou de pute. Défonchez-moi mon trou de salope. Enculez votre petite pute choumise!

J’avais un peu de mal à comprendre ce qui m’arrivait, ce qui me poussait à satisfaire les désirs de cet homme autoritaire. J’étais nu. J’avais des pinces accrochées aux tétons et un plug au cul. Cet homme avait fait de moi une larve, une lopette soumise... et ce n’était que le début!

— Approche-toi du bureau. Comme ça... Écarte bien les cuisses et penche-toi en avant, le torse sur le bureau.

Une fois de plus, j’ai directement répondu à ses ordres pour lui être agréable... et sûrement aussi pour éviter toute punition. La position qu’il venait de me faire prendre me rappela douloureusement mes tétons meurtris par les pinces. Je sentais mon cul, envahi par le plug, pris de contractions. Le patron ouvrit un de ses tiroirs d'où il sortit un tube de gel. Il passa derrière moi, ôta le plug et me badigeonna le trou de lubrifiant. Je me mis à frissonner autant d’excitation que de peur. Je savais ce qui allait suivre. C’était moi qui l’en avait supplié! Il massa doucement mon anus puis il introduit un doigt dans mon sphincter. Au bout d’un moment, il était passé par deux, trois puis quatre doigts. J’allais bientôt avoir toute sa main profondément plantée dans mon petit trou. Je souffrais, j’avais des larmes plein les yeux. Il retira ses doigts et j'entendis alors le zip de son pantalon. Un claquement me fit comprendre que la capote était en place.

— Tu vas l’avoir, mon cochon! Tu vas bien en profiter de ma bite!

Son gros gland se posa sur mon anus et lentement il en força l’entrée. Malgré le travail de ses doigts, il rencontra une certaine résistance, puis mon sphincter se détendit et son sexe s'enfonça jusqu'aux testicules.

— Respire! Respire à fond! J’y suis...

Il resta un instant sans bouger, puis il commença à s’agiter en moi. Ses mouvements d’abord assez doux devinrent plus rapides. Mon corps projeté vers l’avant, obligeait mes tétons harnachés de pinces à se frotter contre le bureau. Mes larmes inondaient mon visage, mon cou et ma poitrine.

— C’est bon, hein, sale pute? C’est bon, la bite bien dure de ton Maître?

Il ressortit complètement de mon anus endolori pour s’y réintroduire immédiatement. Il procéda ainsi jusqu'à exploser dans mes entrailles. Il ahanait comme un porc. Une de ses mains s’était glissée sous moi et il commença à caresser ma queue. Il m'amena ainsi au bord de l'orgasme mais il s’arrêta brusquement.

— Tu ne mérites pas de jouir maintenant! Il te faudra attendre...

J’étais au bord de l’évanouissement. Il enleva sa capote et essuya son sexe sur mes fesses.

— Debout! Bien droit devant moi!

Je sentais sa semence ruisseler sur mes fesses et mes cuisses.

— Je t'interdis de t'essuyer. Tu le feras ce soir quand tu seras rentré chez toi. Remets tes vêtements et va porter les mémos dans les bureaux.

— Pas dans chette tenue, mechieu!

— Si! Si, petite salope...il faut bien t'habituer à ta condition.

— Mais «ils» vont voir que...

Sa main frappa violemment ma joue et je me suis écroulé à ses pieds.

— Aujourd’hui ou un autre jour, ils finiront par savoir... comme ils ont su pour toutes mes salopes! Après toi, il y en aura d’autres... C’est moi le patron ici!

J’ai porté la main à ma bouche pour enlever mon slip roulé en boule. J’ai reçu une nouvelle claque.

— Pas avec cha dans la bouche?

— Bien sûr que si!

Je me suis relevé et j’ai commencé à pleurer toutes les larmes de mon corps. Il n’a pas plié. Assis à son bureau, il m’a regardé me rhabiller, prendre les mémos et me diriger vers la porte.

— Enlève le slip de ta bouche!

Je me suis retourné. J’hésitais.

— À la prochaine rouspétance, c’est à poil avec ton plug que tu feras ton travail à chaque étage!

— Bien, mechieu!

J’ai ôté le slip et l’ai jeté dans la poubelle qu’il me montrait.

— De toutes façons, tu n’en auras plus besoin! Va porter les mémos... Avant de rentrer chez toi, tu reviendras ici pour reprendre la même position que tout à l'heure. Je devrai te remettre le butt plug!

De retour après mon travail de coursier, il me remit donc le plug puis me questionna encore.

— Tu as déjà été fessé, n’est-ce pas?

— Il y a longtemps. Mon père le faisait pour me punir, monsieur!

— Il te fessait sur tes vêtements?

— Oui, monsieur.

— Avec moi, ce sera cul nu! Tu finiras aussi par aimer ça... Tes fesses seront celles d'un esclave. À partir d'aujourd'hui, elles seront frappées régulièrement à la cravache. Tu seras fessé tous les jours. Si c’est nécessaire, je le ferai devant témoins! Pour commencer, choisis le nombre de coups que tu crois mériter!

J’étais une fois de plus coincé entre l’envie d’être raisonnable et la peur d’être trop modeste.

— Dix, monsieur!

— C’est trop peu... J’avais pensé à quinze mais comme tu n’en voulais que dix... je vais monter à vingt! Vingt pour moi et dix pour toi... ça fera trente! Tu prendras aussi l’habitude de dire «merci» après chaque coup...

— Oui, monsieur!

Il me donna l’ordre d'allonger les bras sur le bureau. Il me montra la cravache et il leva son bras armé pour l'abattre violemment sur mon cul. Mon cri fut perçant.

— Alors?

— Merciiiiiii, monsieuuuur!

— Premier oubli! C’était un coup pour rien...

Il recommença avec autant de violence mais en s'efforçant de frapper un autre endroit.

— Merci, monsieur!

— C’est mieux!

Au bout de dix coups, mes fesses étaient en feu et chaque coup m’envoyait valdinquer sur la tablette du bureau.

— Écarte-toi du bureau! cria-t-il. Sans plier les genoux, penche-toi en avant pour essayer de toucher tes genoux avec ton nez. Mieux que ça! Encore plus, sale pute! Maintenant, tu vas garder cette position en saisissant tes fesses avec tes mains pour bien écarter ta raie.

Il reprit son travail de bourreau, m’obligeant à lui offrir la partie charnue de mon cul à sa cravache. Il frappa dix fois ma raie écartelée et mon anus envahi par le plug.

— Nous en resterons là pour aujourd’hui!

Épuisé, je suis tombé à genoux en gémissant.

— Ah non, pas de ça avec moi! Assume! Assume, sale pute! Cette place, c’est ton choix! Puisque tu es à genoux, restes-y! Prends ceci...

Il m’a fourré sa pine dans ma bouche et je l’ai sucé.

— Bras derrière le dos! Bois tout!

Il a commencé à me pisser à la gueule et, le regardant dans les yeux, j'ai ouvert les lèvres pour que son urine inonde ma bouche.

— Ce sera ton repas de ce soir!

— Merci, monsieur!

— Je pense que tu as parfaitement compris ce que j'attendais de toi. Je pense que nous ne nous sommes pas trompés et que cela nous promet de belles perspectives. Tu aimes souffrir, tu vas être servi. Tout ce que tu as vécu aujourd’hui n'est que le début...

 

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Dimanche 5 août 7 05 /08 /Août 17:39

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J’ai commencé à être attiré par les garçons vers 11 ou 12 ans. Je fantasmais vaguement sur les mecs de ma classe, mais ce n’était pas véritablement sexuel, c’était plutôt une envie de les connaître, d’être intime avec eux. Enfin avec certains d’entre eux, pas tous ! J’étais attiré par les cancres, qui foutaient le bordel, qui charriaient les élèves…

Plus tard, à 14 ans, j’ai vu un documentaire sur l’homosexualité à la télévision. J’ai tout de suite compris mes « fantasmes » : j’étais gay. J’aimais les hommes. J’ai commencé à me branler, en pensant toujours à mes camarades de classe, qui changeaient souvent mais m’excitaient maintenant sérieusement.

Mes parents ayant divorcé quelques années plus tôt, j’habitais alors avec mon père et mon frère. Je n’étais pas très proche d’eux, mon frère avait 2 ans de plus que moi et m’ignorait complètement, mon père était un hétéro macho qui s’intéressait avant tout aux matchs de foot et aux soirées bière avec ses potes. J’étais frêle, le teint pâle, je me foutais complètement de tout ce qui touchait au sport, je lisais beaucoup : je n’avais rien en commun avec lui. Nous ne nous parlions pas beaucoup.

Pourtant, arrivé à l'âge de 16 ans et à force de penser aux mecs, je sentais le besoin de me confier. Mes amis au collège n’auraient pas compris, en auraient parlé à tout le monde, je me serais fait emmerder : je ne pouvais pas leur dire que j’étais gay. J’ai alors pensé en parler à mon père. Après tout, j’étais son fils, il comprendrait certainement mon besoin d’en parler avec lui, il chercherait à me conseiller, à m’aider à accepter. Peut-être même que cela nous rapprocherait : quoi de mieux qu’un secret à partager pour lier deux personnes ?

Alors, un soir que mon frère était sorti avec des amis, j’allais trouver mon père dans le salon. Il regardait un match à la télé, je m’assis en face de lui.

— Papa, je dois te parler.

— Attends une minute, Luc, c’est bientôt la mi-temps.

J’attendais patiemment. Quand les pubs commencèrent, il se tourna vers moi.

— Je t’écoute. Qu’est-ce qui se passe ?

— C’est un peu difficile. C’est… intime. Je ne sais pas comment te le dire.

— Ah, je vois très bien ! J’attendais que tu m’en parles depuis longtemps !

J’étais abasourdi. Il savait ? Il avait deviné ? Je n’avais rien fait qui puisse lui faire comprendre ! Certes, je n’avais pas un physique très masculin, mais je n’avais pas une attitude efféminée, du moins je n’en avais pas l’impression.

— Tu es au courant ? Mais Papa, je…

— C’est rien, fiston. C’est normal à ton âge. Tu vois des filles, t’es attiré par elles… Il y en a une qui te plaît en particulier ? Si t’as besoin de conseils, surtout n’hésite pas à me demander. Je m’y connais bien, tu sais !

Soudain, j’étais déçu. Ça m’avait étonné de croire qu’il savait que j’étais gay, mais ça m’arrangeait bien. Ça aurait été simple ! Mais là, il fallait lui expliquer, et j’avais peur de sa réaction.

— Non Papa, ce n’est pas ça. Je… Je ne sais pas comment dire… Je crois que… Je crois que j’aime les garçons.

Voilà, c’était dit. Ouf. Il n’a pas réagit tout de suite. Il me regardait, fixement mais son regard était vide. Comme si je ne parlais pas français. Au bout d’un temps qui m’a semblé durer 107 ans, il a ouvert la bouche.

— T’es pédé ?

— Quoi ? Non, enfin je ne sais pas !

— T’aimes les mecs ou pas ? Réponds !

— Oui, enfin je crois ! Papa, je…

Il devenait agressif. Il s’est levé, m’a attrapé par le col de ma chemise. Il criait :

— T’es pédé ou t’es pas pédé ? Réponds ! Dis-le !

— Papa, arrête, tu me fais mal ! Lâche-moi, s’il te plait !

— Je veux pas d’un fils pédé, t’as compris ? Tu vas filer dans ta chambre, et t’en sortiras quand t’auras compris qu’il n’y a pas de pédé dans ma famille ! Casse-toi !

Il m’a lâché. Je me suis effondré par terre, j’avais les larmes aux yeux. J’ai couru jusqu’à ma chambre en pleurant.

Les jours suivants, mon père ne m’a pas adressé la parole. Il évitait d’être à la maison en même temps que moi, et quand il me croisait il détournait les yeux ou me lançait un regard dur et méprisant. Au bout de presque deux semaines de ce traitement, il est venu me trouver dans ma chambre. Il semblait très mal à l’aise, et toujours aussi froid.

— Luc, écoute-moi. Ce que tu m’as dit l’autre jour, je ne veux plus jamais en entendre parler. Je vais faire comme si j’avais rien entendu, et de ton côté tu vas tout de suite arrêter de penser aux mecs. Tu vas te trouver une fille, tu vas la baiser et tu seras aussi hétéro que n’importe qui. C’est compris ? T’as un mois pour faire ce que je te dis. Je viendrai t’en reparler dans 4 semaines, tu me diras où tu en es.

Je n’ai rien répondu. Pendant un mois, nous ne nous sommes pratiquement pas parlé. Ses paroles m’avaient choqué. Je savais que j’aimais les hommes, et que ça ne changerait pas. Ce qu’il m’avait dit m’avait fait réagir : il voulait me faire changer, mais son ton, ses ordres, avaient l’effet inverse : je voulais m’assumer, et je voulais qu’il m’accepte tel que j’étais. Par moments, quand on me dit noir, je réponds blanc.

Quatre semaines après cet « entretien », mon père m’a à nouveau adressé la parole. Il est entré dans ma chambre, un mercredi soir, vers 22 heures :

— Alors ? T’en es où ?

— Papa, je dois être franc avec toi. Je suis comme je suis, j’aime les garçons, je le sais. Je ne peux pas changer ça. Je suis désolé si ça te fait de la peine.

Il m’a regardé d’un drôle d’air. Il n’avait plus un petit garçon apeuré face à lui, mais un petit mec qui voulait s’imposer. Son ton s’est fait plus doux.

— Et comment tu le sais ? Tu as déjà essayé ? Tu as déjà… couché avec un mec ?

— Non.

Il y a eu un silence. Il s’est redressé, son regard était à nouveau plus dur.

— Bon. Ok. Alors je sais comment te faire comprendre. Viens avec moi.

Il est sorti de ma chambre, je l’ai suivi. Qu’est-ce qu’il voulait ? Il a pris les clefs de la voiture, on est sorti de l’immeuble. Je me suis assis à côté de lui dans la voiture, on a roulé pendant un bon quart d’heure. Il a pris l’autoroute. On ne se parlait pas. Il s’est garé sur une aire de repos. Il n’y avait rien : quelques camions, une ou deux voitures, un petit bâtiment qui abritait les toilettes. Nous étions début juin, il faisait doux. Mon père est sorti de la voiture, a ouvert le coffre.

— Viens là.

Il m’a bandé les yeux avec un bout de tissu. Je ne comprenais rien. Je n’osais pas poser de question. C’était peut-être un exercice, un test, un jeu, je ne savais pas. Je n’étais pas vraiment inquiet, j’étais avec mon père, il ne pouvait rien m’arriver. Il m’a poussé en avant. J’ai marché, il me guidait en me poussant droit devant. J’ai soudain senti une odeur de pisse m’envahir les narines. On devait être dans les toilettes de l’aire. Mon père m’a poussé très brutalement, je suis tombé. Il m’a agrippé, a commencé à m’enlever ma chemise, j’ai crié et je me suis débattu. Il criait plus fort, tout en me tenant les poignets par une main :

— Ta gueule ! Arrête de bouger !

Il m’a giflé, tellement fort que j’étais à moitié sonné. Il m’a entièrement déshabillé, puis m’a traîné sur quelques mètres. Je sentais le froid du carrelage contre ma peau, et quelque chose d’aussi froid et dur m’a cogné la tête. En tâtonnant avec mes pieds, j’ai compris que j’étais dans une des cabines des toilettes. Avec un autre bout de tissu, mon père m’a attaché les mains à la poignée de la porte. Il m’a donné un coup de pied dans le ventre.

— Tu bouges pas. Tu vas comprendre ce que c’est, être un pédé.

J’ai entendu ses chaussures claquer contre le carrelage. Il s’éloignait. Il avait laissé la porte de la cabine ouverte. Je suis resté comme ça, un peu sonné, ne comprenant rien. Quel était le rapport entre être « pédé », comme il disait, et être attaché nu dans des toilettes publiques ? Ça me dépassait complètement. Je ne voyais rien. Je l’ai appelé, criant « Papa ! Papa ! », mais rien ne me répondait. J’ai finis par me taire, pensant que c’était ça ma punition, qu’il allait me laisser comme ça toute la nuit, que je n’avais qu’à attendre. J’ai essayé de me détacher, mais les nœuds était trop serrés.

Au bout d’un certain temps, peut-être dix minutes, peut-être une demi-heure, j’ai entendu des pas. J’ai appelé : « Papa ? » mais personne n’a répondu. Un bruit de fermeture éclair, un mec pissait quelque part, peut-être aux urinoirs. Le bruit s’est arrêté. Les pas se sont approchés. Je sentais une présence juste devant moi. J’avais peur. Je n’osais pas bouger, pas parler.

Le type est resté immobile quelques secondes, puis, soudain, j’ai senti un jet chaud sur mon corps. Le jet m’arrosait partout, sur les jambes, sur le torse, sur le visage. Quelques gouttes sur mes lèvres, une odeur spécifique : c’était de la pisse ! Ce mec était en train de me pisser dessus ! J’étais tellement abasourdi que je n’ai pas réagi. Ça a duré une trentaine de secondes. Il ne m’a pas touché, il se contentait de se vider la vessie sur mon corps. Et je le laissais faire. Parfois même, je passais ma langue sur mes lèvres pour avaler un peu de pisse. Je ne savais pas pourquoi je faisais ça, le goût n’était pas terrible, mais ça ne me déplaisait pas. Quand le jet s’est terminé, l’homme est parti, comme ça, sans un mot.

J’étais trempé, je puais la pisse, nu et offert à la vue de n’importe qui. Et ça m’excitait.

À suivre…

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Dimanche 5 août 7 05 /08 /Août 05:09

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Après avoir dit à mon père que j’étais gay, ce qu’il avait très mal pris, il m’avait attaché nu dans les toilettes d’une aire d’autoroute, les yeux bandés. Un mec m’avait pissé dessus, et ça m’avait plu.

J’ai attendu encore de longues minutes sans que rien ne se passe. Par terre, yeux bandés, trempé de pisse, mains attachées à la poignée de la porte par un tissu assez long pour me permettre de me déplacer dans la cabine des toilettes, mais trop court pour que je puisse m’éloigner.

Des pas se sont à nouveau approchés, se sont arrêtés pas loin de moi. Il y a eu un silence, une main s’est posée sur mon corps, m’a retourné, a caressé mon cul. Un bruit de fermeture éclair. J’ai senti la queue du mec contre mes fesses. Elle était molle, chaude. Il s’est frotté un peu contre moi. Le gars m’a encore retourné, vers lui cette fois. Sa queue s’est posée sur mon visage. J’ai automatiquement ouvert la bouche, et la bite est entrée entre mes lèvres. Elle avait commencé à durcir, j’ai sucé. C’était agréable, je la sentais gonfler entre mes joues, je suçais, sans réfléchir, sans me demander comment faire : c’était assez naturel.

Le type, qui était resté debout, a mis une main derrière ma tête, pour me donner le rythme. Il a commencé à baiser ma bouche, sa bite allait et venait jusqu’au fond de ma gorge, il devenait brutal. Sa queue me semblait énorme. Je n’avais pas de point de comparaison, mais je supposais qu’il était très bien monté parce que je m’étouffais, j’avais parfois des haut-le-cœur ; mais je tenais bon. Le mec gémissait, me donnait des baffes, parfois il sortait sa bite de ma bouche pour me gifler le visage avec sa queue. Il s’est mis à me parler, me traitant de salope, m’ordonnant de tirer la langue, d’ouvrir la bouche ; il maintenait sa queue enfoncée dans ma gorge, une main toujours derrière ma tête, pendant de longues secondes.

Puis il m’a ordonné : « Retourne-toi salope ! A quatre pattes ! ». J’ai obéi. Je savais ce qui m’attendait. J’avais peur, je me doutais que ça devait faire mal, mais j’en avais envie. Le type a craché sur la raie de mon cul, il a frotté sa queue raide sur mes fesses avant de positionner son gland à l’entrée de mon cul. Il a commencé à pousser. Du haut de mes 16 ans, encore tout vierge, j’étais très serré. J’ai tout de suite eu mal, j’ai crié. Le gars m’a frappé, me donnant des baffes, des fessées, m’ordonnant de fermer ma gueule. Il donnait de grands coups de bite pour la faire entrer entièrement ; de mon côté j’avais toujours mal mais je commençais à aimer ça. J’ai alors arrêté de crier pour commencer à gémir. Je ne savais pas très bien si je gémissais de douleur ou de plaisir, je crois que c’était les deux à la fois. En tout cas, le type semblait n’en avoir rien à foutre, et quand sa queue a été toute entière dans mon cul, il a aussitôt commencé des va et vient brutaux, la sortant presque entièrement pour me la remettre d’un coup au plus profond de moi, faisant claquer ses couilles contre mes fesses, râlant, haletant, me tenant fermement les hanches entre ses mains. Il continuait de temps en temps à me claquer le cul, ou à me donner des baffes, ou même à m’agripper par les cheveux pour me tirer la tête en arrière, ou au contraire pour la coller contre le sol plein de pisse. Il m’insultait toujours, me traitant de salope, de vide-couilles, de pute…

Je gémissais de plus en plus ; je me faisais défoncer par une vraie bête mais j’aimais ça. Ça n’a pas duré longtemps : au bout de deux ou trois minutes, il a crié de façon sauvage, j’ai senti sa bite gonfler encore et j’ai compris qu’il se vidait en moi. Il s’est calmé, il est resté dans mon cul quelques secondes. Je sentais son souffle sur ma nuque, je n’osais pas bouger. Il s’est ensuite retiré de mon cul, m’a attrapé la tête et m’a retourné vers lui pour m’enfoncer sa queue molle dans la bouche. Il a dit : « Lèche, nettoie-moi ça. ». J’ai léché, sucé, il y avait du sperme dessus, j’ai passé ma langue partout pour nettoyer son sexe. Son sperme avait un goût amer, un peu salé, c’était pas désagréable.

Il s’est levé, je le sentais toujours à côté de moi et j’ai entendu le bruit de son jet de pisse qui coulait dans la cuvette des toilettes. Quand il a eu fini de pisser, il a à nouveau fourré sa queue dans ma bouche. Je l’ai encore nettoyé, avalant les dernières petites gouttes de pisse. J’ai entendu le bruit de sa braguette qu’il refermait, il m’a craché dessus et est parti.

J’étais terriblement excité. Je venais de me faire baiser, par un mec que je n’avais même pas vu. Je ne savais rien de lui. Je n’avais même pas pu toucher son corps, à peine son jean quand je le suçais ; j’avais eu vaguement l’impression qu’il était plutôt costaud, et je n’en étais même pas sûr. Quel âge avait-il ? Est-ce qu’il était beau mec ? Ou très laid ? Gay ? Bi ? Peut-être même hétéro, avec juste une envie de se vider les couilles… Et le précédent, celui qui m’avait pissé dessus sans même me toucher ? Je ne savais rien de ces deux mecs, qui m’avaient soumis, humilié, et dont l’un avait été le premier à me baiser. Je ne savais qu’une chose : tout ça m’avait plu.

J’en étais là de mes réflexions, quand j’ai entendu des voix à l’extérieur :

— Hé Roger ! Je vais pisser, et on reprend la route ?

— Ok ! Grouille, on est pas rendu !

A nouveau, des pas. Une braguette qui s’ouvre, un jet de pisse, dans un urinoir probablement… La braguette qui se referme. Des pas… qui s’arrêtent brusquement. Un silence.

— Roger ! Viens voir ça !

— Quoi ? Putain magne, qu’on reparte !

— Viens, je te dis !

Le fameux Roger entre à son tour dans les toilettes.

— Oh putain, c’est quoi ça ?

— Je crois que c’est un petit pédé qui veut de la bite.

— Ben je vais lui en donner, moi ! Tu nous laisses ?

— Ok, tu me préviens quand t’as fini ?

— Ouais, ouais.

Le premier type sort. Roger s’approche de moi. Je ne le vois pas, évidemment, les yeux aveuglés par mon bandeau. Il me parle :

— Ben alors petit pédé, qu’est-ce que tu fous là ? T’as envie de te faire mettre ? Tu veux ma bite ?

Je fais « oui » de la tête. J’entends sa braguette s’ouvrir, il s’approche encore, j’ouvre la bouche. Il fout sa queue toute molle dans ma bouche. Elle pue, un mélange de pisse et de sueur, elle est courte et fine, je sens des tas de poils à la base. Mes deux mains sont toujours attachées l’une à l’autre par le tissu accroché à la poignée de porte, mais je les monte machinalement à ses couilles pour les caresser. Elles sont très poilues. Ses cuisses sont énormes ; je sens son gros ventre contre mon crâne. Sa queue durcit dans ma bouche, il place une main derrière ma tête pour m’imposer son rythme. Sa petite bite ne me donne pas de mal à la sucer, et très vite l’odeur et le goût dégueulasses disparaissent. Je pense alors que j’ai dû déjà avaler toutes les traces sales qui trainaient sur cette queue, et cette pensée me dégoûte et m’excite à la fois. Il ne dit rien, mais j’entends son souffle s’accélérer, et un liquide épais et chaud m’envahit la gorge. Il jouit dans ma bouche. J’avale tout, en le suçant toujours. Il débande, je lèche encore un peu mais il se retire déjà. Il s’éloigne. J’ai encore le goût de son sperme sur ma langue. J’espère que son ami viendra le remplacer.

Ça ne loupe pas : j’entends ses pas qui s’approchent. Il m’attrape par les cheveux, lève mon visage vers lui, enlève mon bandeau. Mes yeux mettent une ou deux secondes à s’habituer, je le distingue : il est grand, au moins 1m80, costaud, musclé sous son marcel, avec un peu de ventre. Il est assez poilu. Je lui donne une bonne quarantaine d’années, peut-être pas loin de 50. Il n’est pas moche, mais pas vraiment beau : son visage n’inspire pas confiance. Il sourit, d’un sourire cruel. Il se racle la gorge et me crache un gros mollard sur le visage, ça coule sur mes lèvres et dans mon cou. Il me parle :

— T’as l’air d’être une bonne salope toi ! T’as quel âge ?

— 16 ans.

— Qui est-ce qui t’a attaché là ?

— Mon père.

— Putain c’est une famille de pervers ça ! Tu te fais baiser par ton père ?

— Non.

— Alors pourquoi il t’a mis là ?

— Pour me punir d’être gay.

— Ah ouais ? Ben je vais te punir alors… Allez, ouvre la bouche, salope !

Je lui obéis, il sort sa queue, pas extrêmement longue, 16 ou 17 centimètres a priori, mais très épaisse, et déjà en érection. Il me la fourre direct dans la bouche, et je commence à le sucer. Mais il ne me laisse pas vraiment faire : il me donne des baffes, me tire les cheveux, me crache dessus, m’insulte, parfois il sort sa queue de ma bouche, me frappe avec… Je me fais malmener dans tous les sens et ça m’excite tellement que je gémis sans cesse. Il est lui aussi très excité, il me coince la tête contre le mur et me baise la bouche sans ménagement, enfonçant sa queue au plus profond de ma gorge ; j’en ai les larmes aux yeux, j’ai envie de vomir, j’étouffe, mais il s’en fout complètement.

Au bout d’un moment, il me lance :

— Allez, j’en ai marre de te niquer la gueule. Je vais m’occuper de ton cul.

Et il me donne un grand coup de pied qui me renverse. Je m’affale par terre. Il me redresse, me tenant entre ses bras, me fait mettre à quatre pattes. J’ai la tête pratiquement dans la cuvette des toilettes, une odeur épaisse de pisse m’envahit les narines. Il commence à me doigter le cul.

— T’es toute humide, la pute ! Tu t’es fait baiser ?

— Oui, tout à l’heure.

— Par qui ?

— Je ne sais pas, je ne l’ai pas vu.

— Un inconnu ? Il t’a bien rempli la chatte en tout cas. C’est bien, ça sera plus pratique pour te baiser.

Il positionne alors son gland contre mon trou et m’enfonce aussitôt sa queue toute entière dans le cul. Malgré ma baise de tout à l’heure, je suis toujours serré et j’ai très mal. Je hurle, alors il m’attrape par les cheveux et m’enfonce la tête dans la cuvette. J’ai le visage dans l’eau pisseuse, je ne peux plus respirer, et surtout je ne peux plus crier. J’essaie de me débattre, mais j’ai toujours les mains liées l’une à l’autre sous mon ventre, et le poids du mec sur mon corps : je suis incapable de lutter. Après quelques secondes, il me sort la tête de l’eau :

— Alors salope, t’as fini de gueuler ?

Je gémis douloureusement :

— Oui, oui !

Il commence alors à me pilonner, brutalement, faisant coulisser sa large queue dans mon trou, me frappant toujours les fesses, et m’insultant sans cesse. Je m’y habitue rapidement et je couine comme une femelle, cambrant naturellement mon cul pour mieux le lui offrir. Il m’a baisé comme ça pendant dix bonnes minutes, avant de se mettre à pousser de longs râles rauques en se vidant dans mes entrailles.

— Ah salope c’est bon ! T’as un bon cul, putain !

Il a retiré sa bite, l’a essuyée sur mes fesses.

— Comment tu t’appelles, la pute ?

— Luc.

— Ton père te fait souvent baiser comme ça ?

— C’est la première fois.

— Ok. Je vais te laisser un mot à lui donner. Je te préviens, si tu lui donnes pas et que je te retrouves, je te frappe ! C’est compris ?

— Oui. Je lui donnerai.

Il a rapidement écrit un petit mot sur un papier qu’il a sorti de sa poche. Il a posé le papier sur le réservoir de la chasse d’eau.

— Fous ta gueule dans la cuvette, en la tournant de profil vers moi.

J’ai obéis. Il m’a alors pissé sur la tête. Machinalement, j’ouvrais la bouche pour avaler un peu de sa pisse. Quand il a eu terminé de se vider la vessie, il a tiré la chasse, ma tête toujours dans la cuvette, me nettoyant au passage le visage et les cheveux.

Il est parti aussitôt, sans un mot de plus. Je me suis précipité sur le papier qu’il avait laissé : « Si t’as besoin de punir ton fils, je suis là. C’est une bonne pute et j’ai souvent besoin de me vider les couilles ». Et son numéro de portable qui suivait.

A suivre…

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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