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fan de histoires de mec

Vendredi 20 juillet 5 20 /07 /Juil 18:02

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Quelques semaines plus tard, je me rendis compte qu’un de mes copains de longue date se comportait étrangement avec moi. Je n’avais plus peur d’assumer mon homosexualité, je m’habillais donc un peu plus moulant qu’avant, plus sexy, comme mon père adorait que je m’habille, pour mettre mon beau corps en valeur. Et de temps en temps je tortillais un peu du cul en marchant. Rien de bien grave, et quand il m’arrivait de me faire chambrer par mes camarades, je leur répondais du tac au tac. Voyant qu’ils ne me mettaient pas mal à l’aise et que je m’assumais sans difficulté ni gêne, ils ne recommencèrent pas et me laissèrent en paix. Cela renforça même les liens que j’avais avec eux, puisque cela devenait un sujet de blagues et de taquineries de leur côté autant que du mien.

Tout allait donc pour le mieux, si ce n’était Jérôme qui s’éloignait de moi peu à peu. J’en étais très attristé, et je l’invitai donc à venir s’expliquer à ma maison, lui racontant que mon père nous laisserait tranquille puisqu’il serait dans son bureau. Je dus insister pas mal, mais finalement il vint. Arrivés chez moi, après avoir bu un verre, je lui demandai tout de go pourquoi je le rendais mal à l’aise. Il rougis soudain, et je compris, en voyant son trouble, que je ne le laissais pas indifférent. Ne laissant rien paraître, je lui dis que nous serions mieux dans ma chambre, il vint et s’assit sur un coin de mon lit. Doucement, je m’assis derrière lui et commençai à lui masser le dos. D’abord très tendu, stressé et cambré, il se laissa ensuite faire, et petit à petit je vins à bout de ses résistances, en l’embrassant dans le cou, en le caressant doucement le torse à travers sa chemise.

Il fermait les yeux et soupirait de plaisir, il était magnifiquement beau, avec ses cheveux foncés, sa peau halée et ses muscles tendres que je sentais distinctement. Je l’embrassai alors sur la bouche, il se laissa faire d’abord, puis me rendis le baiser, ce long baiser d’amoureux que nous échangèrent. Je le caressai sur le torse, lui enlevai sa chemise, et m’assis sur son jeans tendu. Je me mis ensuite langoureusement nu. Puis je le débarrassai des quelques vêtements qui lui restaient. Une fois nu tous les deux, nous nous frottâmes longuement le pubis l’un contre l’autre. Puis je le branlai, je le suçai, et, dans un soixante-neuf fabuleusement érotique, nous avons tous les deux joui presque en même temps dans la bouche l’un de l’autre.

Il rentra chez lui, visiblement content de son après-midi, et me jura qu’il repasserait le lendemain, voire même sans doute pour la nuit. Je courus évidemment raconter tout ça à mon père, ce qui l’excita au plus haut point. Il me laissa finir mon histoire en s’astiquant lentement, puis, voyant qu’il n’en pouvait plus, je vins m’asseoir sur lui et m’empaler sur sa queue énorme. Après quelques aller et retour, il jouit toute sa semence dans mon cul et je jouis une deuxième fois, dans sa bouche. Un peu calmé (mais rien qu’un peu!) nous nous mîmes d’accord sur un plan pour «piéger» le beau Jérôme le lendemain soir (rien de bien grave, rassurez vous).

À 19h, donc, mon ami arrive à la maison, nous mangeons tous les trois, avec mon père, tranquillement, puis mon père se lève, se met torse nu pour, dit-il, «se mettre à l’aise», et il va au salon pour «voir le match de foot». Jérôme, hyper intimidé par les muscles saillants et le beau torse de mon paternel, a une bosse dans le pantalon qui ne laisse présager que du bon. Avec un clin d’œil lubrique, je lui dis qu’on devrait aller prendre une douche. Il est évidemment d’accord, et, ne se doutant de rien, il m’accompagne à la salle de bain.

Une fois arrivé là, nous nous déshabillons tendrement en nous embrassant puis, une fois entièrement nu, je lui dit que j’ai oublié quelque chose dans ma chambre, et que je reviens tout de suite. Sans qu’il s’en aperçoive, je prends ses vêtements et les miens et les emporte dans ma chambre, pour revenir ensuite à pas feutrés jusqu’au couloir, à côte de la porte de la salle de bain. Mon père arrive, sans bruit, lui aussi et entre d’un coup sec après m’avoir jeté un clin d’œil plein de sous-entendus. J’entends Jérôme pousser un hoquet de surprise, chercher ses vêtements, et mon père lui demander d’une voix d’ogre ce qu’il fait là, nu comme un ver. Lui ne sait que répondre, je l’imagine rougir, et pense qu’il doit être on ne peut plus mignon, dans cette position insolite.

Je me déplace un peu pour pouvoir voir sans être vu, et j’observe Jérôme tenter de cacher sa nudité comme moi il y a quelques semaines. Mon père le traite de tous les noms, le prend par le bras (pas trop violemment) et le pousse sous la douche et allume celle-ci en lui disant que, de toute façon, il est là pour ça. Jérôme obéit, il n’a pas le choix, et mon père, après s’être mis nu en un temps record, le rejoint sous le jet d’eau chaude. Jérôme est mort de trouille et il ne se calme pas en voyant l’énorme mandrin de mon père le menacer du haut de son érection. Mon père l’agenouille en silence mais avec une main ferme et l’oblige à le sucer. Mon père est donc face à l’entrée de la salle de bain, avec Jérôme à ses pieds en train de lui prodiguer une fellation qui doit être fameuse, à en juger par les cris du sucé.

Moi aussi nu, j’entre alors en silence, mon père coupe le jet d’eau et, comme convenu avec mon père, je me mets à pisser sur Jérôme, sur son dos, sur ses belles fesses. Lui n’est d’abord qu’à peine surpris de sentir un autre jet de liquide chaud sur lui, et est entièrement accaparé par la pipe qu’il fait à mon père. Puis il se rend compte de quelque chose, se retourne, et reçoit mon jet de pisse jaune et brûlant sur la gueule. D’abord dégoûté, il voit que c’est moi, il se rassure, et sans doute se dit comme mon père et moi, que la situation est très excitante, il reçoit donc en gémissant mon urine sur le visage. Puis, quand j’ai fini, c’est mon père qui prend le relais. Comme je frotte ma pine toute molle d’avoir pissé contre le visage de Jérôme, nous recevons tous les deux de la pisse chaude et puante de mon père, lui sur la gueule, dans la bouche, il avale et il a l’air d’aimer ça, et moi sur ma pine qui grossit de plus en plus.

Ensuite, mon ami se lève et il vient se frotter à moi, je lui lèche le visage plein d’urine, je caresse son corps trempé et mon père colle sa queue érigée contre ses fesses et se masturbe ainsi, le gland contre la rosette de Jérôme. Nous sortons alors de la douche, je colle mon copain contre le mur et, après lui avoir léché le trou de cul, je le pénètre violemment, dans un cri de sa part comme de la mienne. Ensuite, mon père vient derrière moi, malaxe mes couilles qui se balancent pendant que j’encule mon second amant puis il m’enfourne aussi, sans préparation, d’un grand coup brutal. Je hurle, d’abord de douleur, puis de plaisir. Nous formons une brochette d’enculades et nous jouissons tous les trois dans d des gémissements sans retenue. Epuisés, nous allons nous reposer, sentant que le lendemain, nous pourrons profiter pleinement de notre envie de sexe jamais assouvie. Nous dormons tous les trois dans le grand lit de mes parents, enlacés, après nous être encore baisé; Jérôme m’a enculé pendant que je suçais mon père, puis mon père a enculé Jérôme alors que je m’occupais de la queue de ce dernier.

Le lendemain, après une baise matinale, Jérôme est rentré chez lui et mon père a eu un nouveau plan lubrique dans la tête. Il n’a rien voulu me dire, il m’a juste fait monté dans sa voiture, un bandeau sur les yeux, en me promettant une belle surprise. Très curieux, j’ai patienté, il m’a fait sortir de la voiture, m’a emmené sur un chemin assez caillouteux jusqu’à un intérieur qui ne sentait pas très bon... J’ai mis du temps à me rappeler où j’avais déjà senti cette odeur, puis il m’a enlevé le bandeau et les souvenirs me sont revenus aussitôt: nous étions dans le box de notre cheval, un étalon noir, magnifique, que nous avions acheté longtemps auparavant et qui nous aimait autant que nous l’aimions. Voyant mon père tout excité, je me suis dit qu’il voulait que nous baisions dans le foin, dans l’odeur de bêtes, et même devant notre étalon, et je me suis rendu compte que cette idée m’excitait pas mal aussi...

Mon père m’a ordonné de me déshabillé et d’être son esclave. Emoustillé par ce petit jeu, je me suis plié à ses désirs et je me suis mis à genoux, nu sur la paille fraîche, devant lui qui avait enfilé une salopette sur sa peau nue, sa grosse queue pointant par l’ouverture de l’entre jambe. Il me cria de faire un tour à quatre patte, jusque sous le ventre de Nuage, notre cheval. Je savais qu’il n’y avait aucun risque de ruade, car il me connaissait bien et qu’il était doux comme un agneau avec nous.

Une fois sous son flanc, mon père m’ordonnai de caresser son ventre d’un coté à l’autre, ce que je fis avec plaisir, Nuage soufflant de plaisir. Ensuite il me cria de lui caresser les bourses. Je le regardai, surpris, puis me dis «après tout, pourquoi pas? C’est un mâle comme les autres finalement!» Je commençai donc à lui effleurer doucement les burnes, qu’il avait noires, puis, pris par le jeu, et par l’excitation grandissante, je commençai à les humer et me surpris à aimer ça. La bite de mon cheval commençait à sortir de son fourreau, à grandir et grossir, et mon esprit autant que ma volonté m’échappait totalement. Je me demandais ce que je faisais, j’étais honteux de mes actes, mais tellement excité que je voulais à tout pris continuer, jusqu’au bout, jusqu’à ce que je pourrais faire de plus lubrique! Mon père n’en espérait peut-être pas tant, mais je commençai ensuite à lécher amoureusement les énormes mandarines, puis la hampe sans fin de mon étalon adoré. Jamais je n’avais connu une aussi grosse bite et je bandais à m’en faire mal tellement cela m'échauffait les sens.

Mon père se mit alors nu aussi, et vint s’occuper de l’énorme pine de notre cheval. Lécher une tel engin était jouissif et nous n’osions pas nous toucher de peur de jouir sur le champ. Nuage n’en pouvait plus, il soufflait par les naseaux, s’agitait, et soudain, sa bite se mit à tressauter dans tous les sens, je la branlai du mieux que je pouvais, avec mes deux mains, et il jouit! Sa semence de cheval gicla sur la paille, sur mon père, sur moi, il y en avait des litres! j’en avais jusque sur les cheveux et mon père en avait plein le visage et le ventre. Je me roulai sur lui pour m’en étaler sur lui et l’embrasser à pleine bouche. Le sperme de Nuage sentait bon, il était brûlant, nous en avions partout et nous nous léchâmes le corps pour nous nettoyer et, surtout, nous soulager. Nous éjaculâmes tous les deux en peu de temps, tellement l’excitation avait été grande.

Puis nous allâmes nous coucher sur la paille, pas loin de Nuage qui se remettait très bien de ses émotions. Petit à petit, nous recommençâmes à nous toucher, à nous caresser et nous étions repartis pour baiser quand l’étalon se manifesta bruyamment en hennissant; il en voulait encore. Nous nous délaissâmes donc pour retourner vers le cheval, sa queue était à nouveau bandée bien dur, très longue, elle était magnifique. Mon père s’occupait de lui lécher le gland, qui avait la grosseur d’un melon, et il se frottait à cet organe magnifique, pendant que, passé derrière Nuage, je lui léchai l’arrière des couilles. Puis, voyant qu’il levait la queue d’une manière suggestive, j’eu une idée totalement insensée. Je remontai avec ma langue le long de son périnée, puis j’arrivai à son trou de cul. Il était bien serré, mais je le léchai sans vergogne. Je le léchais, je le léchais, et je bandais de plus en plus dur de voir que cela excitait énormément Nuage, son anus s’ouvrait de plus en plus, plus il était mouillé, plus il s’ouvrait, comme une fleur, prêt à recevoir un cadeau...

Mon père, sentant que l’étalon prenait un plaisir immense, me demanda ce que je lui faisais. Quand je lui dit, il vint me regarder, la langue dans le trou du cheval, tout en le masturbant. Sentant que le cheval allait jouir, il lui lâcha la bite et me dit de l’enculer. J’ouvris de grands yeux, et mon père me dit qu’il l’avait déjà fait, étant adolescent, il avait l’habitude d’enculer le cheval qu’il avait alors, et cela procurait énormément de plaisir, autant à l’animal qu’à l’humain. Je rentrai donc un doigts, puis deux, puis toute ma main dans l’anus dilaté de Nuage qui, manifestement, prenait son pied royalement. Je bougeai mon poing dans son trou du cul puis, je la sortis, pleine de crottin. Totalement excité, et n’en revenant pas de ce que je faisais, j’étalai toute la merde du cheval sur mes fesses, puis sur mon ventre et mon bas ventre, j’approchai ma queue de son anus, et je pénétrai mon étalon doucement, jusqu’au bout, jusqu’à la boule de crottin qui se terrait au fond de ses intestins. Nuage trépignait de se sentir enculer, et mon père, sentant qu’il allait à nouveau jouir, se mit sous lui pour recueillir ses litres de jus sur son corps.

Quand il en fut remplit, il vint m’en enduire et m’enculer à l’aide de ce lubrifiant. Avec tous ces stimulants, je jouis très vite dans le cul de Nuage, puis m’en retirai. À temps, car il devait visiblement chier. Ce qu’il fit, après avoir essayé de s’éloigner, mais d’un geste je lui avait fait comprendre de rester près de moi. Il envoya donc toute sa merde à mes pieds, et je me couchai sur le monticule puant, sous les yeux de mon père qui rebandait dur. Il se coucha sur moi, nous nous couvrîmes de crottin, puis je me mis ventre dans la merde, la tête dedans, et mon père m’encula jusqu’à jouir une dernière fois. Je jouis dans la merde et nous nous endormîmes ainsi.

Après quelques heures, nous nettoyâmes le box puis nous rentrâmes à la maison, tout en nous promettant de revenir pour des parties de jambes en l’air torrides, et qui sait, peut être y emmènerions nous Jérôme?

 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Vendredi 20 juillet 5 20 /07 /Juil 17:05

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Il y a quelques années, alors que j'étais étudiant, je logeais dans une chambre universitaire. À cette époque pas si lointaine, les chambres n'étaient pas aussi confortables que maintenant. Nous avions seulement un petit évier, les toilettes et les douches étaient communes, enfin il y avait le côté homme et le côté femme. Les toilettes étaient grandes et nombreuses, les douches prolongeaient l'alignement des wc. Elles étaient dans une pièce unique les unes à côté des autres. Les lampes du plafond étaient rarement changées et donc souvent en panne; le soir, le coin douche était relativement sombre presque plongé dans le noir. J'appréciais beaucoup d'aller me doucher et je choisissais toujours les heures d'affluence afin de pouvoir mater un maximum. Certains jeunes hommes ressentaient de la gêne et se douchaient rapidement sans lever les yeux. D'autres n'avaient aucun complexe et se lavaient leurs intimités avec une pointe d'exhibition.

Une fin d'après-midi, j'étais sous la douche, nu, l'eau coulant sur mon corps. Je ressentis une petite claque sur mes fesses.

— Alors encore ici, Vic.

Je me retournai et me trouvais en face de Jacques.

Jacques était un jeune homme de 1m70 avec un corps couvert de muscles longs et saillants. Il avait de beaux cheveux noirs, frisés et coupés courts. Ses yeux étaient d'un noir profond. Il avait un visage très viril, une belle petite gueule. Ses fesses étaient bien musclées et rebondies et son sexe était d'une assez belle taille. Je fantasmais à l'idée de le voir en action. Nous nous croisions souvent et à chaque fois il me faisait un petit sourire. Mais c'était la première fois qu'il se permettait une telle familiarité.

— Oh oui encore, répondis-je en offrant encore plus ma croupe.

Il se pencha vers moi. Je pouvais sentir la chaleur de son corps. La pointe de son sexe touchait mes fesses.

— Avec plaisir, mais reviens prendre une douche un peu plus tard. En général après minuit, l'agitation n'est plus la même et le savon ne sert plus uniquement pour se laver.

Il se pencha au dessus de mon épaule:

— Fais attention, tu commences à bander.

— Arrête tes conneries sinon il faudra que tu m'aides à ce que ma queue reprenne une taille normale.

— Je n'ai pas le temps maintenant, mais si cela t'intéresse, il y a un mec pas mal qui attend dans les derniers chiottes. Si tu aimes les mecs, je suis certain que celui-ci sera à ton goût.

Il parlait avec beaucoup trop de sous-entendus. Il devait connaître ma préférence pour les garçons.

— J'apprécie toutes les expériences originales.

Jacques partit se sécher. Je restais avec mon début d'érection que j'avais beaucoup de mal à contenir. Rapidement, en cachant mon sexe du mieux que je le pouvais, je me dirigeais vers les toilettes. Il fallait que je me satisfasse, sinon je ne pourrais pas terminer ma douche.

Inconsciemment, je poussais la porte des dernières toilettes. Un jeune homme était assis sur le siège, il était nu et avait du mal à cacher sa queue turgescente. Il était brun avec des yeux noisettes et un torse puissant et fort viril. Il me fit un signe de la tête. J'hésitais un quart de seconde puis j'entrais et fermais la porte derrière moi.

Je m'approchais et passais une jambe de chaque côté de lui. J'insérerais ma queue grossissante dans sa bouche. Il avala goulûment mon chibre. Pendant qu'il me pompait, ses mains pétrissaient mes fesses, puis un doigt commença à titiller mon anus. Je sentais son majeur coulisser en moi. Je me penchais un peu et pris sa bite dans ma main droite. Il bandait dur et fort. Sa queue avait une taille honorable. Il mettait à présent deux doigts dans mon cul. Il faisait cela avec douceur et savoir faire et pour lui faciliter le travail je me cambrais un peu mettant ma croupe en valeur. Je me redressais, me serrais contre son torse et je descendais le long de son corps jusqu'à ce que je sente la pointe de sa queue toucher mes fesses. Je m'empalais lentement sur son chibre que je sentais entrer et vibrer en moi. Je me retrouvais assis sur ses cuisses, son membre entièrement en moi, nos torses l'un contre l'autre, bouche contre bouche. Je montais et descendais le long de son torse, faisant aller et venir de plus en profondément sa queue en moi. Il me laboura le cul pendant quelques minutes puis les mouvements de son bassin devinrent plus saccadés, plus allongés et profonds. Il expulsa son sperme qui me brûla les entrailles.

Je me redressais, me désempalant. Non seulement je n'avais pas joui, mais je bandais encore plus fort. Je relevais la tête et je vis un blondinet aux yeux bleus qui regardait par dessus le mur des toilettes. Je lui montrais ma bite dans toute sa fierté et lui fis, avec la tête, signe de me rejoindre.

Mon partenaire sortit. J'attendais quelques secondes pour savoir si le blondinet allait venir. Il poussa la porte, une serviette autour de la taille. Il était très mince et je pouvais presque compter ses muscles et ses côtes. Je lui arrachais sa serviette et me pressais contre lui, mon membre dressé, pressé contre son ventre plat. Je l'embrassais farouchement, caressant son corps de mes mains. Puis je lui caressais les fesses. Il se cambrait afin de m'offrir une meilleure prise. Je me mis à genoux, je pus voir que les poils de son pubis étaient aussi d'un blond très clair. Je le retournais et lui écartais les fesses. Il avait le cul rasé et le trou bien large. Cette salope devait aimer se faire labourer et devait pratiquer cette discipline fort régulièrement. Je le pénétrais de ma langue. Il se penchait en avant, se cambrant un maximum tout en gémissant de plaisir. Plus je léchais son trou, plus il tortillait du fion et plus j'étais excité. Je me redressais et le pénétrais d'un coup. Il laissa échapper un petit cri. Son fion était large mais pas assez pour mon chibre. Son cul était un tunnel pour le plaisir. Je faisais beaucoup d'efforts pour ne pas jouir trop vite. Je m'accrochais à ses hanches et faisais des va-et-vient rapides et puissants. Il répétait sans cesse "Oui, vas-y. Défonce-moi. C'est bon. Plus fort."

Je sentis monter en moi la vague électrique annonçant l'expulsion de ma purée. J'avais l'impression que mes couilles explosaient se vidant de tout leur sperme, tel un barrage se rompant et lâchant l'eau qu'il retient. J'avais l'impression de le remplir de ma semence.

Comme je me retirais, je vis qu'il avait aussi jouit.

— Je loge à la chambre 520, me dit-il.

— Alors à bientôt, répliquais-je.

Puis je ressortis terminer ma douche.

Je retournais à ma chambre, la serviette autour de la taille. Comme j'essayais d'ouvrir la porte de ma chambre, ma serviette glissa, me laissant nu au milieu du couloir. L'étudiant qui occupait la chambre d'en face, arriva. Il émit un petit sifflet. Je me retournais, toujours à poil. Il était assez mignon, style étudiant américain. Grand, blond les yeux bleus, son corps viril et élancé était musclé. Il se prénommait Georges.

— Et là, tu ne vois pas le reste en action.

Je me penchais pour ramasser mes clés, cambrant les reins afin de bien exhiber mon cul.

— Ce que je vois me suffirait, dit-il, en ouvrant la porte de sa chambre.

— Fais-moi un signe et le tout est à toi.

Comme signe cela te suffit.

Je me retournais, il laissait son chibre pendre en dehors de sa braguette, une bite longue et grosse de 16cm au repos.

— Mazette que j'aimerais voire tout cela dans une meilleure forme.

Il s'écarta de la porte afin de me laisser le passage. Je n'hésitais pas et le rejoignais. Il ferma la porte derrière moi.

— Maintenant prépare-toi. Ça va être la fête de ton petit cul.

Il retira son tee-shirt. Son torse était musclé et fort, comme je l'avais supposé. Il enleva ses chaussures, il ne portait pas de chaussette, ni de slip sous son jean moulant. Les poils de son pubis étaient plus foncés que ses cheveux.

Il s'approcha de moi, me serra contre son corps. Ses mains prirent tout de suite la direction de mes fesses qu'il pétrissait. Il me souleva de terre, je passais mes jambes de chaque côté de son corps. Il me porta à son lit. Il m'allongea me gardant les jambes en l'air. Il m'écarta les fesses et fourra sa langue dans mon fion. Une langue longue et pointue qui me pénétrait loin dans le cul. Il se redressa, je vis son membre dur encore plus gros, encore plus long, énorme avec quelques veines gonflées sur le pourtour. Le gland était énorme et rouge. Je passais mes jambes sur ses épaules. Il appuya son gros gland sur ma rondelle puis commença à enfoncer son tube dans mes entrailles.

Je redressais la tête pour regarder cette énorme queue pénétrer en moi. Je serrais les dents sous la douleur de cette pénétration anormale mais aussi sous le plaisir intense que me procurait la dilatation de mon anus. Je voyais ce bras de bébé s'enfoncer en moi juste qu'à la garde. Il prenait son temps afin que je ne souffre pas trop. Il se mit à faire des mouvements de va-et-vient d'abord lentement puis plus rapidement. À chaque fois il enfonçait sa bite au fond de mon cul, le plus profondément possible. Je sentais ses couilles battre contre mes fesses. Il se retira et me fit me mettre à genoux, le ventre sur le lit, le cul à sa merci. J'écartais les jambes et me cambrais afin de lui offrir mon trou dilaté. Il m'encula d'un coup. Ses mouvements étaient rapides et forts. À chaque fois le lit tapait contre le mur. Il ahanait bruyamment. Tout d'un coup, de la chambre voisine, un coup fut frappé contre le mur.

— Calmez vous, j'aimerais réviser en silence.

Mon partenaire répliqua:

— Tu n'as qu'à nous rejoindre.

— J'arrive.

Ses coups de butoir continuèrent de plus belle. Après son passage ma cheminée serait une gare routière.

Le voisin entra et nous regarda. C'était un jeune homme appelé François. Il porta immédiatement sa main à son jean. Georges éjacula dans mon cul, me remplissant de sa semence chaude. Il devait bien en déverser plus d'un verre. Il se retira, me mit une petite claque sur les fesses puis dit:

— Allez je vous laisse, je vais prendre une douche.

François s'approcha, ôta sa chemise et se mit à genoux. Il me lécha le cul, lapant le sperme qui s'en écoulait. Il m'écartait bien les fesses afin de pouvoir atteindre le fond de mon trou. Il finit de se déshabiller. Je me retournais et m'asseyais sur le lit. Il s'approcha de moi et fourra sa queue dans ma bouche. Je sentais la chaleur et l'excitation de son corps passer à travers sa bite. Il éjacula très vite.

— N'avale pas.

Il m'embrassa. Son sperme se mêla à nos salives. Il se mit à genoux sur le lit m'offrant sa croupe.

— Baise moi.

Je me mis debout et l'enfourchais d'un coup. Il gémit sous l'impulsion forte qui lui explosait le cul. Il disait des insanités, voulait que je l'insulte, se comportait pire qu'une chienne en chaleur. Je lui défonçais le fion violemment. J'attrapais sa crinière noire et lui tirait la tête en arrière. À chaque fois je ressortais presque entièrement ma queue de son trou et m'y enfonçais d'un coup sec. J'entrais une dernière fois au fond de ses entrailles et j'éjaculais, déversant ce qui restait de mon fluide. Je me retirais.

Il s'enfonça les doigts dans son cul, les ressortait couverts de mon sperme et léchait goulûment sa main. Je le laissais et retournais me reposer dans ma chambre. J'avais besoin d'une douche mais je décidais de me reposer auparavant. Je me réveillais vers minuit et demi. Je retournais me laver. En approchant des douches, j'entendais qu'il y avait beaucoup d'animation. Je passais ma serviette autour de mon cou. La salle de douche était plongée dans une pénombre assez importante et je pouvais voir plus d'une dizaine de formes en action.

Sitôt que j'entrais dans la salle, des mains parcoururent mon corps et arrachèrent la serviette qui me protégeait. Des mains passaient sur mon torse tâtant mes muscles, d'autres caressaient mon sexe, certaines les fesses et même quelques doigts tentaient de pénétrer mon trou. Un homme prit ma tête à deux mains et m'embrassa.

— Salut Vic, prêt pour la fiesta.

C'était Jacques. Il me fit me pencher en avant, m'exhibant sa queue grossissante: une bite grosse, bien droite avec quelques petites veines et surtout très longue.

— Suce-moi et montre bien ton cul. Il faut d'abord que mes copains t'élargissent sinon je ne pourrais jamais te baiser.

Je commençais à le pomper. Sa queue était bonne mais d'une taille vraiment monstrueuse. Une langue glissa le long de la raie de mes fesses. J'écartais les cuisses et me cambrait afin de bien offrir ma croupe. La langue s'enfonça entre mes fesses pour atteindre mon anus. La langue du mec qui me léchait était longue et elle pénétra dans mon trou agilement. Je la sentais bouger dans mes entrailles. Pendant ce temps, Jacques continuait à engouffrer son membre dans ma bouche. La langue se retira, un doigt pris sa place. Un doigt qui fouilla un peu dans mon intimité, puis un deuxième vint le rejoindre, puis un troisième. Le mec essaya d'enfoncer sa main mais mon cul n'était pas assez large.

Néanmoins il continua à travailler mon cul quelques minutes. Puis il retira sa main, se releva et m'enfourcha d'un coup enfonçant dans mon cul sa bite qui était grosse mais peu longue. Je sentais mon anus encercler sa queue. Il alternait les cadences. Une fois il faisait des va-et-vient rapides, puis il ralentissait. Il sortait complètement sa queue et l'enfonçait violemment d'un coup dans mon trou. Pendant se temps, je continuais à sucer Jacques. Mon pénétreur commença à s'exciter, ses mouvements étaient moins rythmés, plus désordonnés. Il expulsa sa jute en moi, réchauffant ainsi mes entrailles. Un autre le remplaça.

— Je vais te nettoyer le cul.

Il prit une savonnette et posa le petit bout devant mon trou et commença à appuyer sur ma rosette. Il poursuivit ce travail lentement jusqu'à ce que la savonnette soit presque entièrement en moi avalée par mon cul. Mon fion, huilé par la savonnette, était glissant comme une patinoire.

— Attends, je vais te nettoyer aussi l'intérieur du cul.

Il se redressa et m'encula, poussant dans mes entrailles la savonnette avec sa bite. Mon anus se referma d'un coup sur sa queue. Il me lima le fion rapidement, entrant et sortant vivement. Sa bite glissait facilement grâce au savon. À chaque fois qu'il enfonçait sa queue il poussait un peu plus la savonnette, c'était douloureux et bon à la fois. Il se retira d'un coup et me fit mettre sur le dos, les cuisses posées sur son torse, le cul en hauteur, offert. Il plongea sa queue d'un coup dans mon cul. Un couple se mit juste au-dessus de moi: un se faisant prendre et l'autre le sodomisant avec vivacité. Je pouvais voir ce que l'on était en train de me faire. Je regardais avec avidité cette belle queue qui s'enfonçait dans ce trou goulu. L'enculeur jouit. insatisfait l'enculé s'accroupit m'offrant son cul à lécher. Son trou était bien large et ma langue pouvait entrer loin en lui. J'arrivais même à lécher quelques gouttes du sperme de son précédent baiseur. Il se redressa et s'empala sur ma queue. Mon enculeur se retira. Il avança doucement derrière le jeune que je pénétrais et essaya de faire entrer sa queue en même temps que la mienne. Nous étions deux en lui. Il gueulait de douleur et de plaisir, surtout que tous les deux nous bougions rapidement nos queues.

— Enfonce moi ta main dans le cul, me dit l'avaleur de bite.

Il se dégagea de nos bites et se mit à genoux. Je fis ce que plus tard on nomma Fist Fucking. Je me mis à genoux et je lui enfonçais ma main dans les entrailles. Un autre homme se mit à côté du premier fist fucké et me demanda de lui mettre mon autre main. Pendant ce temps mon enculeur avait repris sa position initiale, me faisant bien jouir du cul. Un quatrième garçon s'allongea sur le sol et se mit à me sucer alors qu'un cinquième se mit en face de moi afin que je le turlutte. J'étais avec mes deux mains occupées dans deux culs différents, ma queue dans la bouche d'un inconnu, ma bouche bouffant le membre d'un autre et mon cul limé par une bite d'enfer. Alors que je jouissais, le garçon me déchargea dans la bouche et mon enculeur envoyait sa purée brûlante dans mes entrailles. J'enlevais mes mains des fions où très rapidement de grosses bites prirent leur place.

Après une telle séance je préférais retourner à ma chambre pour me reposer car après tout j'avais des cours à suivre le lendemain matin. Comme j'arrivais devant ma chambre, Jacques me rejoignit

— Alors à nous deux maintenant.

J'ouvris la porte de ma chambre, m'écartant pour laisser passer Jacques. Sitôt la porte fermée, Jacques laissa tomber sa serviette, exhibant sa nudité, son corps viril, son membre encore gonflé de sang. Il m'arracha ma serviette et m'attira contre lui. Nos deux corps étaient serrés l'un contre l'autre, nos torses chauffés par l'envie. Sa langue pénétra ma bouche. Il avait une langue fine, pointue, ferme et très agile. De sa main gauche il caressait mon dos, de la main droite, il pétrissait mes fesses. Il me fit mettre à genou et enfila sa grosse queue dans ma bouche. J'avalais avidement cet énorme queue que ma bouche ne pouvait contenir en entier. Je sentais les veines qui couraient le long de son membre turgescent. Mes sens étaient affolés par le plaisir que de pomper Jacques et par l'odeur légère et parfumée dégagée par son pubis.

Jacques me releva et me fit mettre à genoux sur mon lit, les cuisses bien écartées afin d'avoir le cul bien ouvert. Il attaqua ma rosette avec sa langue, pénétrant mon trou de sa pointe fine. Ses mains étaient accrochées à mon bassin, son visage enfoui entre mes fesses. Il dégustait mon trou comme on lèche une bonne glace; passant et repassant la langue, mordillant à pleines dents.

— T'es pas assez ouvert pour que je te pénètre avec la langue.

Il se redressa et présenta son membre turgescent à mon anus. Il força un peu pour faire pénétrer son gland. Il accrocha ses mains à ma taille, me tenant bien fermement, puis d'un coup s'enfonça jusqu'à la garde. Je criai de surprise et de douleur.

— Eh du calme.

— Ce n'est qu'un bon moment à passer.

Il prenait plaisir à aller et venir vigoureusement, sortant complètement sa queue et l'enfonçant à nouveau à fond dans mon cul.

Après quelques minutes de cet intense va-et-vient, qui je devais le reconnaître, me procurait un intense plaisir, il se retira et se remit à genouix derrière moi. Mon trou était bien dilaté et il enfonça sa langue en moi. Je devais reconnaître que sentir cette langue longue et pointue se mouvoir en moi, me déclenchait une sensation incroyable à laquelle je ne m'attendais pas. La pointe de sa langue titillait toutes les zones érogènes de mon cul. Après quelques secondes, mes sphincters se resserrant, il me fit m'allonger sur le lit et me couvrit se son corps, en profitant en même temps même temps pour caler à nouveau sa bite dans mon cul.

J'étais complètement soumis, écrasé par son corps musclé, pénétré par ce mâle énergique. Je me sentais bien, coincé, chauffé par son corps magnifique et excité par sa vibrante queue. Nous basculâmes sur le côté afin que je puisse me branler en même temps qu'il continua son limage viril. Nous jouïssâmes ensemble. Il laissa son membre gonflé dans mon cul.

— Je peux rester dormir avec toi.

— Évidemment, répondis-je avec entrain, encore sous le choc extatique du plaisir.

Nous nous endormîmes, moi calé contre son torse, sa bite toujours dans mon cul.

Dans la nuit, je me réveillais sentant Jacques bouger. Sa queue était toujours dans mon trou et il était en train de faire des basculements de bassin afin de se branler dans mon cul. Je sentais son sexe grossir en moi. La sensation était étonnante et affolante. Son sexe grossissait et se développait dilatant mon trou en même temps. Immédiatement, j'avais une érection. Jacques empoigna ma bite et la serra fortement. Il s'accrochait à mon mât tout en m'enculant. Dans un mouvement plus fort et plus profond, sa lance cracha en moi une nouvelle fois son chaud liquide me faisant jouir en même temps.

Nous nous endormîmes, mais chacun de son côté du lit.

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Jeudi 19 juillet 4 19 /07 /Juil 22:45

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Ma sœur s’est mariée dans un petit village loin de chez mon père et moi (ma mère était morte 2 ans auparavant). Nous y sommes bien sûr allés et avons pris une chambre dans un hôtel. Comme j’avais 15 ans, je n’ai pas assisté la veille du mariage à l’enterrement de la vie de garçon de mon futur beau-frère.

Mon père est rentré dans la chambre vers 2h du matin. J’ai senti et vu à ses gestes et... son haleine qu’il avait beaucoup bu. Il est rentré dans mon lit et s’est collé à moi contre mon dos. J’ai senti la bosse de son slip contre mes fesses et ça m’a tout de suite excité car je savais déjà que j’étais attiré par les mecs, mais je me suis dit "pourvu qu’il ne s’en rende pas compte". Pas manqué, il a placé sa main devant mon corps, en plein sur ma queue bien dure, il a grogné dans le sommeil qui le prenait déjà... «Mon pédé de fils bande!» puis il a ronflé.

Au petit matin, je me suis réveillé avant lui et j’ai pu constater que l’alcool avait eu de l’effet. Tous les draps étaient tombé, son slip était parti et il bandait. Je n’en croyais pas mes yeux, je n’ai pas pu m’empêcher de le toucher. D’abord doucement, puis je me suis enhardi, jusqu’à ce que j’entende terrifié mon père dire: "Suce-moi." Je le regarde, il dormait encore. Et s’il rêvait qu’il était avec une femme?

J’ai continué sur ma première bite et quelle bite! Mon père a joui dans ma bouche et je venais de lever la tête quand il a ouvert brusquement les yeux. Du coup j’ai tout avalé et c’était bon. Mon père semblait un peu comateux, il disait quel rêve! S’il avait su...

Le mariage a eu lieu normalement et le soir pendant le bal, ma sœur m’a demandé d’aller chercher son mari qui devait être à la cave. Ce n’était pas urgent. Comme je n’arrivais pas à le trouver, j’ai fureté un peu. J’ai eu le choc de ma vie. Des gémissements m’avaient attiré vers un local isolé: mon nouveau beau-frère était à moitié couché sur le ventre sur une table pendant que mon père le sautait.

Ce dernier n’a pas semblé surpris de me voir. Il a dit: "Entre vite et approche." Mon père m’a débraguetté et m’a dit: «Fais voir ton cul, petit salaud qui suce son père sans sa permission.» Il a redressé mon beau-frère et m’a ordonné de le sucer, ce que j’ai fait mais avant qu’il ne jouisse, mon père m’a fait me mettre sur le dos sur la table, m’a fait mettre les cuisses en V et a demandé à mon beau-frère de me sauter tout pendant qu’il continuait à le limer; pour connaître la famille dans son entier a-t-il ajouté.

Mon beau-frère pris en sandwich, a joui dans mon cul, puis s’est retiré et mon père qui s’était réservé s’est terminé en moi. On s’est roulé une super pelle à 3 et on s’est séparé après que mon père ait fait promettre à mon beau-frère, bien introduit dans notre famille désormais, de se réserver pour d’autres petites fêtes du même genre...

 

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Jeudi 19 juillet 4 19 /07 /Juil 16:35

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L’histoire que je vais maintenant raconter s’est déroulée cet automne. Alors que je revenais de Paris où j’avais passé une semaine chez mes parents, je décide de faire une halte sur une aire d’autoroute pour me libérer d’un besoin pressant. J’avais une envie de pisser que je ne pouvais plus contenir. Je m’arrête donc et fonce vers le bloc des sanitaires.

En entrant, je remarque un jeune mec à côté des lavabos mais n’y prête aucune attention. Je pénètre dans les toilettes et sans demander mon reste, me vide la vessie. Putain que ça fait du bien! J’ai l’impression que je ne vais jamais m’arrêter. Et finalement si.

Je sors alors des chiottes et me dirige vers les lavabos pour me laver les mains et en profiter pour me rafraîchir un peu la gueule. On a beau être fin septembre mais le soleil tape et il fait bien chaud. Arrivé devant les lavabos, mon regard croise celui du jeune mec. Il semble avoir à peine quinze ans (il en avait en réalité 17), les cheveux courts et vêtu d’un jean assez large et d’un polo, style skater. Il ne fait rien de particulier, appuyé contre l’un des lavabos. Un peu troublé, je me lave les mains tout en continuant de le mater dans la glace.

Au moment de vouloir m’essuyer les mains, je cherche désespérément une serviette ou autre, mais en vain. C’est alors que le gamin me demanda dans un français approximatif si j’avais une clope. Surpris, je mis du temps à réagir mais finis par lui en offrir une. Le dialogue s’instaura alors et il me dit qu’il allait vers le nord. Cela tombait bien, c’était aussi ma destination. Il cherchait quelqu’un pour l’emmener et était prêt à rendre service s’il le fallait. À partir de cet instant, je ne sais pas ce qui s’est passé mais les idées les plus folles ont commencé à tourbillonner dans ma tête. Et pas que dans ma tête. Je m’entendis lui répondre que j’étais d’accord pour l’aider à faire une partie de la route mais à une seule condition: il allait devoir faire exactement ce que je voulais. Je n’en revenais pas moi-même d’avoir dit cela! Et le pire est qu’il me répondit avec un grand sourire qu’il était d’accord. Je ne pense pas qu’à ce moment il savait ce qui l’attendait.

Nous reprîmes donc la route ensemble. Ce môme m’excitait vraiment et j’avais envie de me taper un délire avec lui, de le transformer en un jouet sexuel. Tout en conduisant, je l’observais de la tête aux pieds, et je sentais ma queue gonfler dans mon pantalon. Nous discutions de choses et d’autres lorsque je lui demandais de remonter son polo pour me montrer son ventre et ses seins. Il se tourna alors vers moi et je pus lire dans ses yeux une interrogation. Voyant qu’il ne réagissait pas plus, j’attrapais son polo de la main droite et alors que je le lui remontais, il commença à se débattre, empêchant ma manœuvre. Il me dit qu’il n’était pas homo et qu’il ne voulait pas faire ça. La situation m’excitait de plus en plus. Tout en continuant de conduire, je le saisis alors par les cheveux et lui intimais l’ordre de faire ce que je venais de dire s’il ne voulait pas que je lui en colle une. Il essaya de se reculer mais l’espace de la voiture ne le lui permettait pas. Il était pris au piège et ne pouvait pas faire grand chose. Voyant qu’il ne bougeait pas plus, je lui balançais une claque à réveiller un mort. Par réflexe il porta ses mains sur sa joue mais il était trop tard.

— Vire ton polo et dépêche-toi, sinon t’en reprend une!!!

Dés lors, il comprit qu’il n’avait plus le choix. Il défit sa ceinture de sécurité et lentement, il s’exécuta.

— Le t’shirt aussi!!! Je veux te voir à poil!!!

Le ton était donné et je m’étonnais moi-même. Tout allait si vite que je perdais carrément le contrôle de la situation. Il était maintenant torse nu, ses affaires en boule sur ses genoux, le regard droit devant, fixant la route. Je le laissais dans cet état un instant puis attrapais ses affaires pour les jeter à l’arrière de la voiture.

— Maintenant vire ton froc.

— Non, non, s’il vous plait je veux descendre.

— Trop tard mon gars, il fallait réfléchir avant!!! Allez, vire-moi ton froc!!!

Comme il ne réagissait pas, je lui envoyais une deuxième baffe en travers de la gueule. Cela eut pour effet de le faire se recroqueviller prêt de la porte. J’en profitais alors pour lui mettre une main au paquet en attrapant sa bite à travers la toile de son jean. De peur de recevoir une autre baffe, il ne bougea pas, se protégeant le visage. J’en profitais pour lui malaxer le paquet. Très vite, je lui défis sa ceinture et fit sauter les boutons de se braguette. Je glissais une main à l’intérieur de son pantalon et je sentis sa queue sous la toile de son slip. L’endroit était humide et il faut dire qu’il était pas trop mal monté. Je malaxais sa bite et ses couilles pendant un moment avant de lui redemander de retirer ses fringues. Voyant qu’il ne pouvait pas faire grand chose d’autre, il s’exécuta. Il descendit son jean à mi cuisses et me regarda.

— Retire tout, entièrement!! Je t’ai dit de te mettre à poil. Tu comprends pas le français? Allez magne-toi.

Il retira alors ses baskettes, puis son jean et son slip. Je saisis alors l’ensemble pour l’envoyer valdinguer à l’arrière avec le restant. Il était maintenant complètement nu et entièrement à ma merci.

— Écartes les jambes!!!

Toujours de la main droite je lui attrapais la bite et commençais à jouer avec. Je le masturbais, lui tirais les couilles après les avoir bien malaxées entre mes doigts. Rouge de honte, il se laissait faire, laissant échapper de temps en temps de petits cris, sûrement dus à la douleur. Il faut dire que je n’y allais pas de main morte, surtout lorsque je lui ai décalotté le gland d’un coup sec. Je le pelottais tant que je pouvais, lui pinçant les seins, les cuisses, les couilles. Puis je lui ai demandé de bien écarter les jambes pour me présenter son cul. Sans préambule, je lui enfonçais un doigt dans le cul qu’il avait bien serré. Ma bite me faisait mal et il était temps que je trouve un endroit pour m’arrêter. Je repérais une nouvelle aire d’autoroute et fort heureusement celui-ci était pratiquement vide. Je choisis l’endroit le plus à l’écart prêt d’un sous bois et arrêtais la voiture. Je me suis alors tourné vers lui. Il était en train de pleurer, le visage écarlate par les coups qu’il avait pris.

— Descends! On va aller faire un tour!!

— Mais...

— Ta gueule, descends si tu veux pas que ça soit moi qui t’éjecte!!

J’ouvris sa portière et le poussai dehors. Je sortis à mon tour et l’attrapant par les cheveux je le conduisis sous les arbres, à l’abri des regards. Poussant des petits cris il suivi tant bien que mal. Je le poussais ventre à terre et lui écartai les jambes pour bien voir son trou du cul. Je crachais alors sur sa rondelle et lui enfilais deux doigts d’un coup. Comme il n’était pas préparé, je sentis une résistance et forçai un peu plus pour le pénétrer. Il poussa un cri de douleur me demandant entre deux pleurs d’arrêter. Il ne se doutait pas que cela m’excitait encore plus. J’entamais alors des va-et-vient avec mes doigts, lui écartant les fesses de ma mains libre. Il gigotait et essayait de résister à l’intrusion mais rien n’y faisait. J’enfonçais mes doigts bien au fond de son cul et les ressortaient complètement pour les réintroduire de nouveaux. Très vite, je rajoutais un puis deux doigts. J’étais en train de lui éclater le cul et je n’avais plus qu’une envie c’était d’y mettre la main complète. Mes quatre doigts lui pilonnait les entrailles avec force, sans tenir compte de ses plaintes et de ses pleurs.

Alors que je tentais de lui introduire le pouce, il essaya de se dégager et je le saisis par les cheveux, tirant fortement en arrière pour le maintenir en place. À grosses doses de salive, j’arrivais à faire entrer ma main dans ses entrailles et lui labourait le cul. Ce mec avait un cul vraiment élastique et ma main entrait et sortait assez facilement. Il n’allait pas oublier cet instant de si tôt. Il pleurait toujours mais restait calme et j’en profitais alors pour lui attraper la bite et pour le masturber. À mon grand étonnement sa queue se mit à gonfler. Sans retirer ma main de son cul je le fis s’allonger sur le dos. Sa queue était maintenant tendue vers le ciel, droite comme un I. Je continuais de le fister et en même temps le branlais lorsque je me rendis compte qu’on nous observait.

Un mec était là, gros, type routier, une queue énorme à la main en train de se branler. Je lui ai alors fait signe de s’approcher. Il s’agenouilla devant le gosse et lui attrapa la tête pour lui enfiler son pieu dans la gorge. En de grands va-et-vient violents, il lui défonça la bouche de sa grosse pine. Le môme manquait de s’étouffer à chaque pénétration tellement la queue était énorme et longue. Cela ne dura pas très longtemps. Le mec se retira pour éjaculer sur la gueule du gamin. Il en avait partout et le sperme lui dégoulinait sur les joues. Je ne pus me retenir plus longtemps et devant cette vision j’éjaculais dans mon slip sans me toucher. Je retirais alors ma main du cul de mon jouet et me relevai. Je sortis ma pine encore gluante et lui pissai dessus. Il ne bougeait pas, allongé sur le côté il recevait ma pisse sur lui sans rien dire. Celle-ci ce mélangea avec le sperme du routier.

Puis je l’ai ramené à la voiture. Avant qu’il ne remonte, je lui ai attaché les mains dans le dos et je l’ai bâillonné. Je l’ai fait prendre place sous le tableau de bord côté passager. J’en avais pas fini avec lui, surtout quand je me suis aperçu qu’il avait la queue bien tendue et bien grosse, et qu'il souriait. Ce petit con était en train de prendre son pied finalement... Quel acteur!

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Mercredi 18 juillet 3 18 /07 /Juil 21:20

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À l'époque, je savais que j'étais très gay particulièrement porté sur le muscle, mais je n'avais pas encore découvert le cuir. J'avais 22 ans, super entraîné par trois soirées sportives chaque semaine, j'étais fort, bien sculpté, et je le savais. Je portais les cheveux longs, comme tous les mecs de mon âge. J'étais en permanence en jeans, qui avaient eu le malheur de ne pas grandir avec moi et étaient toujours trois tailles trop serrées, délavés à mort, d'autant que je les rodais longuement au papier de verre, surtout pour mettre mon paquet en valeur.

Un beau jour, je me décide à passer aux puces pour essayer un jeans en cuir. Je boucle la moto à un arbre, et cherche une de ces petites boutiques qu'il y a là bas, qui vendent des articles très orientés. Je marchais quasiment toujours en santiags, j'en avais plusieurs paires. Je les aimais très voyantes. Celles-là étaient rouge vif. Elles me donnaient toujours une démarche chaloupée et bruyante, le talon cognant le sol à chaque pas... dix centimètres de talon biseauté, c'est pas anodin!

Je rentre. Un mec jeune et bien foutu m'accueille. Je lui dis que je cherche un jeans serré et bien luisant. Il me sort ma taille et un autre une taille plus serrée, car il me prévient que cela se détend. On engage la conversation, on finit par sympathiser. Il me demande enfin pour quoi je veux les utiliser: "Moto ou soirées entre copains?" Je dis: "Les deux bien sûr!" avec un regard appuyé.

Il comprend et me sort ce qu'il appelle la coupe spéciale: en les essayant, je comprends: la raie arrière me rentre complètement entre les fesses, le paquet dépasse carrément devant, hyper moulé. Le jeune vendeur me dit qu'il vaut mieux les porter sans rien dessous, pour le confort. Je le prends mais encore une taille plus serrée, je veux qu'ils restent très moulants. J'ai un mal de chien à le fermer, mais j'y arrive. C'est dingue l'impression! Un panard total, je me mets à bander comme un cheval, et cela se voit en détail dans ce jeans là!

Je paye, je sors et tout de suite je me heurte presque à deux mecs qui entraient. Tous deux plus agés que mes 22 ans, mais beaucoup plus musclés aussi, minces et immenses. Eux aussi, tiags, perfecto, jeans cuir. Ils sont beaux. Je suis mo- même un peu gêné car je sais que je suis parfaitement indécent avec ce jeans si serré et qui finalement met tout en valeur.

Il baissent le regard et l'un d'entre eux me fait un petit sifflement: "Ça te fait de l'effet! " Je lui dis que oui, et que ce soir c'est pas moi qui vais réagir le plus fort. L'autre s'approche et profitant qu'il y avait personne dans la boutique, me prend le paquet à travers le jeans et le masse gentiment. Je bande comme un fou et je commence à éjaculer dans le jeans! Les deux s'en aperçoivent et me proposent d'aller vider les concombres chez eux pas loin, avec quelques copains.

J'accepte avec empressement et nous voilà partis, moi roulant les hanches avec mes tiags, ce qui faisait rouler mes couilles de façon hallucinante. Tout en éjaculant un peu plus à chaque pas, je les remarque qui commencent à bander aussi. Je prends peur car c'est des vrais étalons, leurs paquets gonflent à chaque instant de façon incroyable.

On arrive chez eux. Il y en a déjà plusieurs autres, nous sommes bien une demi douzaine en tout. Tous aussi musclés, habillés en cuir hyper moulants, les cheveux longs à très longs. L'air de fauves en rut. Vu la chaleur, ils sont torses nus. Ils me dévisagent et on m'annonce comme la nouvelle recrue! Je les salue et on ne perd pas de temps.

Je retire à regrets mon cuir, comme je suis nu dedans, c'est vite fait. Les tiags volent dans un coin de la pièce, et je reviens au milieu d'entre eux. Les amuse gueules d'abord. Ils me font agenouiller au milieu d'eux en cercle, leurs paquets à hauteur de mes yeux. Tous sont énormes. Ils se rapprochent de moi et je suis cerné par ces couilles et ces pines qui gonflent démesurément.

Je lèche tous ces cuirs, appréciant les tailles du contenu au passage. L'un se dégage, une pine fine et longue sort en force. Je lève les yeux pour voir à qui elle est, je ne vois que des pectoraux énormes qui me bouchent presque la vue! Ses couilles restent prisonnières dedans le cuir, il arrive à peine à les sortir. Elles jaillissent enfin, elles sont complètement épilées et grosses comme des mandarines. Il me prend la tête par les cheveux et me rentre de force la pine dans la bouche.

C'est le signal de la ruée, du viol collectif. En un clin d'oeil, tous ont dégainé et me sautent dessus avec des rugissements de taureaux en rut furieux. J'ai la bouche pleine du premier, on me l'attache dessus avec des coins en liège entre les dents, au cas où... Un autre sort un pine incroyablement longue et me vise le cul. Un peu d'huile et il m'encule sauvagement d'un coup jusqu'à la garde. Gay j'étais, soite, mais pas très entraîné! Ça fait mal et ils me rassurent en me disant que je vais m'habituer si je ne crispe pas. Tout n'est qu'un simulacre, le viol y est bien mais reste contrôlé. Il faut simplement que j'accepte de jouer le jeu du jouet sexuel aussi longtemps qu'ils le veulent.

Un autre se branle sur ma figure déjà bien écrasée contre le premier. Je vois un gros braquemart qui va et vient, violet et énorme, puis il éclate en m'engluant la figure. J'avale. C'est bon, très bon, je le leur dis. Ils en redoublent de fureur sexuelle et celui qui m'a enfilé se met à me limer comme un dingue. Je suis secoué douloureusement de tous côtés, je m'abandonne. Je me croyais fort, je ne résiste pas à ces montagnes de muscles parfaits qui me défoncent. Ils apprécient mes hanches très étroites, me forcent à tour de rôle, me remplissent le cul et la gorge sans ménagements aucuns. Je ne peux rien faire que compter les coups, et surtout avaler assez vite.

Celui qui me lime me remonte loin dans le cul, c'est très agréable, il frotte directement sur la prostate au passage, déclenchant des ondes électriques qui me laissent crevé. Au bout d'un long moment, il éjacule. Je sens une marée chaude m'envahir au plus profond. Il se calme, lime encore un peu en faisant des cris rauques, je ne pense pas que ce serait le moment de l'interrompre... Le super mâle en plein rut, couvrant sa femelle, sauf que je me sens pas vraiment femelle mais aussi mâle qu'eux. Simplement pas dans la même position.

Il se retire enfin, après ce festival. Il est remplacé par un autre qui rentre une pine dirais-je standard, sauf qu'elle est si dure que je crois qu'ils me mettent un gode. Mais non, il y a bien un mec derrière. Je note qu'il est plus mince que les autres, ses couilles sont rasées, assez grosses. Il est pourtant d'une force incroyable. On l'appelle "Champion" car il est champion de triathlon comme je l'apprendrai plus tard. Il a des hanches étroites comme celles d'un adolescent, des jambes musclées et fuselées, dures comme du bois. Il est très jeune. On m'apprendra qu'il a à peine 17 ans et pourtant sa force est dingue. C'est du genre nerveux et sec. Il a peu d'expériences sexuelles et je vois que cela l'impressionne, il en bande que plus et est d'une avidité qui fait rigoler tout le monde. Complètement nymphomane en fait, il dit que s'il se branle pas deux fois par jour, cela coule tout seul... Il va pouvoir y aller de bon coeur!

Il me choppe et me triture entre ses bras, frottant son sexe contre moi, partout, frénétiquement. Il s'approche de mon cul et devient incontrôlable. Il rentre avec un cri de soulagement et commence tout de suite à limer. Ses couilles montent et descendent à toute vitesse. Il éjacule vite mais presque en continu. Il m'encule vicieusement, sortant lentement et rentrant le plus vite et le plus fort possible. Je sens sa pine me ramoner les intestins sans ménagement. Il finit par s'agripper à mes hanches et en limant comme un forcené, il se décharge par longs coups.

Je me retourne pour voir à qui c'est le tour et là j'ai peur. Une espèce de géant, peint en cuir, me dépassant de presque deux têtes, s'approche, un objet long comme une pine de cheval déjà bandée en majesté. Large comme une armoire, des hanches ridiculement petites, des muscles énormes et saillants sans rien pour les contrarier. J'apprends qu'il a été champion de body-building jusqu'à ce qu'il se fasse virer de son équipe car il sautait ses collègues, plus près du viol que de la simple baise. Lui aussi est en santiags. Des muscles énormes jouent librement et on les voit à travers le cuir comme s'il était à poil. Son torse est sans un atome de graisse et impressionnant.

Il me prend les hanches et me soulève simplement comme si j'étais une poupée gonflable. Il place sa pine géante et turgescente sous moi et m'empale brutalement en me laissant retomber dessus! La première fois, je crie de surprise et de douleur. Cela ne sert à rien, il s'en fout, il veut se décharger dans moi et me montrer que je ne suis qu'à peine plus qu'un trou pour foutre. Je suis écartelé sans pouvoir me dégager car il me tient en place. Plus je me débats, plus il jouit. Il me dit que je suis très serré, je lui réponds qu'il doit pas en trouver souvent des trop larges pour lui! Je sens mon intestin remonter sous la pression qu'il applique et en plus, il se met à limer en me re-soulevant pour me laisser retomber. Au bout d'un moment, il nous couche, moi à plat ventre et lui me couvrant le dos. Je ne peux lui résister en rien. Il n'arrête pas de me limer pendant qu'un des autres nous filme en gros plan avec un camescope. Je suis laminé par cette bête de 140kg, dont plusieurs d'objets sexuels.

Pour me faire taire, un autre me met sa pine dans la bouche et m'encule jusqu'à l'oesophage. J'ai le nez dans ses poils pubiens, qui sentent bon le fauve. La seule chose que je peux voir est une rafale d'abdos en plaque de chocolat impressionnants et un ceinturon à boucle énorme. Il lime dedans, très pénible, puis me remplit l'estomac d'un coup. Le prochain me met ses couilles monstrueuses dans la bouche puis se branle sur mon visage. Vision étonnante, une grosse pine qui va et vient en très gros plan. Puis je sens que le foutre arrive en flots et me revoilà englué dans une marée chaude et épaisse. J'en ai partout et pourtant, je ne sens plus que mon cul éclaté et défoncé par mon géant qui continue à me limer de sa façon particulière. Il m'écrase le torse dans son effort sexuel, sa sueur dégouline sur moi. Pourtant, je disparais entre ses bras. C'est fantastique de sentir qu'un tel mâle me remplit de son meilleur jus et y laisse sa force. Il gonfle encore et soudain, c'est l'explosion, de longs flots chauds m'envahissent, à longs traits, accompagnant le mouvement de cris sourds et satisfaits.

Il reste en place, un peu calmé. Un sympa met mes couilles en bouche et me suce gentiment. Je ne peux plus bander tellement je suis rempli par tous les bouts mais c'est une sensation bien agréable. Il attarappe mes couilles avec les dents et tire gentiment. C'est fameux mais cela ne me fait que comme des décharges électriques supplémentaires car je crois qu'il mord un peu fort dedans. J'en ai donc trois sur moi en même temps. Deux autres se mettent en travers sur moi et se branlent entre moi et celui qui me suce, entre moi et celui qui me couvre.

Ils sont restés en cuir tout le temps, j'ai pu apprécier comme c'est beau le cuir gonflé de muscles au travail. C'est irremplaçable � mon avis. Le jeans est pas mal mais c'est tellement répandu que cela ne veut plus rien dire. Un cuir hyper moulant et même dans une foule tout le monde sait qu'il y a des couilles dedans. Pour moi, un cuir noir et moulant sur des santiags, c'est ce qu'il y a de mieux et de plus évocateur! Qu'on se le dise! Que tous les mecs qui ont des couilles et envie de s'en servir et qui veulent que cela se sache, se fringuent comme ça! On ira plus vite à se reconnaître! Tant pis pour les abdos kronembourg qui ne le savent pas!

Le géant finit par sortir, il m'attire les intestins en même temps en faisant ventouse, c'est pénible. Le foutre qu'il y a laissé lubrifie bien le tout alors cela reste possible. Cela fait sloutch en sortant. En le regardant, je me demande comment cela a pu entrer: il a une pine grosse comme un bras ordinaire.

Je leur dis que je suis prêt à être fisté. Ils sont surpris car il y a peu de volontaires pour ce jeu là. Un autre avec des cheveux noirs et longs se rapproche, il a une main fermée. Je lève le cul et je le regarde s'enfoncer sans efforts. Je n'ai même pas mal vu la préparation... Il va jusqu'au coude. Et je le sens m'attraper l'intestin à la main et tirer comme s'il voulait me vider par l'intérieur! Il lâche et visite mon intérieur. Je suis groggy et les vois se remettre à bander. N'en pouvant plus d'attendre, les derniers se baisent sauvagement. Ils se relayent devant moi pour être léchés et sucés, parfois ils m'enculent la gorge profondément, juste pour passer le temps.

Au troisième fistage, ils arrêtent et décident que c'est bon. Ils se branlent tous une dernière fois sur moi, me couvrant rapidement d'une épaisse couche gluante. Ils expliquent que je suis un peu trop sonné et ne réponds plus très bien.

Ils me tendent mon cuir tout neuf. Il est lourd du sperme qu'ils y ont copieusement mis à l'intérieur en m'expliquant qu'il faut le laisser sécher comme ça sur moi pour qu'il prenne sa taille exacte, comme un film de peinture noire. Cela sent fort pendant quelques jours mais si on porte du cuir en général, on n'est pas gêné par des détails comme ça. Je glisse dedans facilement et suis soulagé qu'il me tienne le cul refermé car je ne sens plus rien et je sens que cela coulerait pas mal si il n'était pas bien serré!

Ce soir là, j'en ais pris en tout douze, dont le fameux géant. Je n'ai jamais rêvé de telles brutes sexuelles. Infatigables, toujours pleins, ils me disent que la prochaine fois, ils seront plus vicieux et plus sexuels. C'était pour eux qu'un galop d'essai...

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Mercredi 18 juillet 3 18 /07 /Juil 18:04

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Voici comment s’est passé ma première fois avec un mec. J'avais 20 ans.

Mon nom est Sam, je suis à moitié algérien et français. À l’époque, je vivais chez ma mère et pour les grandes vacances, je décidai de monter deux mois chez mon cousin Joris (25 ans, sportif, boxe et muscul, 1m81, 75 kg, brun et super bogoss).

Fin juin, j'arrivais chez lui avec une simple valise. Il me laissa le canapé comme lit. Après quelques jours de recherche de taff, je ne trouvais rien sauf un simple boulot chez McDo, le rêve quoi, ça ne gagnait pas grand chose. Le soir, je lui ai raconté ma journée, mais il en avait rien à faire, lui ce qu'il voulait, c'était être prêt pour son combat de boxe ce weekend. Il était juste en survêt et torse nu en train de faire des pompes, et moi j'étais en train de le matter grave. Pourtant à l’époque, je n'avais jamais couché avec un mec.

Le soir du combat, il rentra complètement défoncé. Il avait bien sûr gagné et il avait bien fêté ça avec ses potes. Moi j’étais en train de dormir, je pigeais rien de ce qu il me disait.

— Ça va Joris? Ton combat s’est bien passé?

— Je l'ai défoncé grave, ce bâtard!

Il avait le visage quand même un peut gonflé, il avait dû s'en manger plus d’une bonne quand même.

— Et après avec les pote, on est allé en boîte fêter ça, et il y avait une putain de meuf! Trop bonne, avec un bon p’tit cul!!!

Il s’avança vers moi, me regarda le cul.

— Limite comme le tien Sami, et il me plota le cul.

— Oui mais je suis pas une meuf Joris! Bon allez, bonne nuit cousin! Il est super tard et je suis cassé et en plus je taff moi demain!

— Tu as rien foutu de la journée et tu es cassé!!! Tu pourrais au moins t’occuper de moi un peu! Putain!

Il puait l’alcool, je l'aidais à lui retirer ses basket, son jean. J'étais assez gêné car il ne portait pas de slip et je voyais sa queue. Elle ne bandait même pas mais elle était super grosse avec de bonnes couilles mais il y avait pas un poil. Joris me regarda:

— Allez cousin, suce moi, j'ai vu que tu arrêtais pas de mâter la dernière fois! Allez pompe moi, putain je suis trop chaud!

— Oui c’est ça Joris, bonne nuit!

En vérité, j'en avais grave envie, mais bon, je me cassais asse vite car je commençais à avoir ma queue raide dans mon boxer.

Deux minutes plus tard, je n'entendais plus rien. Il devait être en train de dormir. Moi je bandais toujours. J'ai commencé à me branler et quelques minutes plus tard, j'avais joui et je m'endormais en pensant à mon cousin et sa queue.

Quand d'un coup on m'arracha les cheveux et je me pris une baffe dans la gueule, je tombai au sol.

— Tu es vraiment une pute comme toutes les filles. Tu mates et tu fais rien!

Et là, je me pris un coup de pied dans les côtes. Il me prit la tête, me mit un bon coup de poingt dans la geule. Je tombais sur le canapé complètement sonné.

— Comme j'ai pas sauté cette pute en boîte, c’est toi que je vais sauter. Tu as le même cul et tu dois être encore plus serré qu’elle du cul.

Je pigeais vraiment rien de ce qu'il pouvait se passer. Je sentis mon caleçon partir à une vitesse et il me le mit direct dans la bouche.

— Et ne gueule pas trop fort, tu vas voir je suis sûr que tu vas l'aimé, toute les filles l'aiment ma queue. Je vois pas pourquoi pas toi.

J’avais le corps posé sur le canapé, le cul et les jambes qui dépassaient, il me cracha sur mon cul.

— En plus tu es comme les filles, tu n'as pas de poil, je kiff trop ça!

Il me cracha sur ma rondelle, il y mit un doigt et là déjà j'avais mal. Il avait l'air d'avoir une putain de grosse queue, j'ai su plus tard qu'elle faisait 22 cm et super épaisse. Il commença à me travailler le cul avec un deuxième puis un troisième.

— Ça y est, tu es enfin prête salope, tu vas aimer j'en suis sûr, et même tu en redemanderas encore plus.

Il approcha son gland de ma rondelle et poussa d'un coup sec jusqu'au bout. Je me mis à gueuler comme si j'avais reçu un coup de poignard, même mon caleçon n'arrêtait pas le son de ma voix. Il me prit la tête et me la plaqua face contre le canapé pour étouffer les cris, mon cul était déchiré en deux. Il me mit un coup de poingt dans le côté, ce qui me bloqua la respiration.

— Putain tu vas aimé être ma pute je te jure, tu vas être accro de ma queue!

Et il commença à me ramoner le cul. J'avais tellement mal que je n'entendais limite plus tout les insultes qu'il était en train de me dire. Il était en train de me pistonner de plus en plus fort, je sentais ses couilles me taper le cul. Il me claquait les fesses avec force que j’en oubliais le mal que me faisait mon cul.

Il se retira d’un coup, il me prit par les cheveux et me fouta debout contre le mur. Je chialais comme un môme, lui disait plutôt comme une bonne meuf qui vient de se faire dépuceler. Il me retira mon caleçon de la bouche, m'écarta les jambes et pointa sa queue contre mon cul encore en feu. Il rentra encore une fois d'un coup, mais cela me fit moins mal que la première fois.

— Allez salope! Bouge ton cul sur ma queue!

Il me claqua encore une fois le cul. Les mains posées contre le mur, je commençais à bouger mon cul d’avant en arrière, lui posait les siennes sur les mienne et parlait comme une pute dans le creux de l’oreille.

— Tu aimes ça hein? Dis le moi.

Je n'arrivais pas à sortir un seul mot mais je començais à trouver un certain plaisir.

— Allez Sam, dis le moi, tu aimes te faire mettre?

En réponse, j'accélérais le mouvement de mon cul sur sont pieu.

— Oui c’est ça salope, bouge bien ton cul. Ça prouve que tu aimes ça. Allez plus vite!

Je commençais à gémir de plus en plus, je sentais que j'allais jouir sans même me toucher. Joris lui ne parlait plus mais il me pilonnait de plus en vite et de plus en plus fort quand il se raidit et m’écrasa la gueule contre le mur et là, je sentis une vague de chaleur dans mon cul. Moi les mains toujours bloquées par les siennes, je me mis à jouir et déchargeais tout contre le mur et poussai un râle en même temps.

Joris se retira de mon cul sans rien dire et repartit dans sa chambre et ferma la porte. Moi, les jambes en coton, je glissais contre le mur. Je me mis à pleurer. J’avais le cul en feu et qui coulait du sperme de mon cousin et j'avais la joue posée contre le mur dans mon sperme.

Je réussis à peine à dormir cette nuit là et le lendemain matin, je partis direct bosser au McDo. Mais je me disais: Putain, comment ça va se passer ce soir quand je vais rentrer du taffe?

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Mercredi 18 juillet 3 18 /07 /Juil 12:14

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Robert et Denis sont deux voisins de quartier. Robert est camionneur et Denis travaille dans le domaine de l'informatique. Ils ont tous deux la quarantaine et ont de grands enfants. Robert est très fier de son camion et il passe beaucoup de temps à le bichonner, souvent avec l'aide de ses deux fils aînés, âgés de 21 et 18 ans. Ils sont alors souvent en shorts ou en maillots, torses nus. Denis reluque alors souvent par sa fenêtre, admirant ces jeunes éphèbes, car il a toujours rêvé en secret de connaître les plaisirs au masculin.

Et c'est justement son voisin Robert qui allait lui en donner l'occasion sans le savoir... Ils se sont rencontrés un jour au dépanneur du coin. Pendant que Denis arpentait les allées, il entendit Robert raconter au proprio du dépanneur que sa femme le talonnait depuis quelques semaines pour lui faire laver les fenêtres de leur maison, mais qu'il avait cette tâche en horreur. Lorsque Denis s'avança à la caisse, il salua son voisin et lui dit qu'il avait entendu sa conversation et qu'il était prêt à lui offrir son aide pour se débarrasser au plus vite de cette tâche ardue.

Robert accepta aussitôt avec joie l'offre de Denis et lui demanda quand il était disponible. Celui-ci lui répondit qu'il pouvait y aller le samedi suivant. Déçu, Robert lui mentionna qu'il partait pour le week-end avec sa femme et son plus jeune fils, mais que ses deux plus vieux y seraient. Il ajouta que s'il acceptait de s'acquitter de cette tâche seul, il était prêt à le payer pour ses services. Denis s'empressa d'accepter en lui spécifiant qu'il refusait d'être payé. Il ajouta que s'il avait besoin d'un camion, il ferait appel à lui.

Les jours passaient et déjà, le mercredi suivant, Denis comptait les jours, anxieux de pouvoir pénétrer dans l'intimité de ces deux beaux garçons. Il ne s'imaginait pas toutefois qu'il allait la pénétrer à ce point...

Le samedi arriva enfin. Denis se pointa tôt chez Robert, avant qu'il ne fasse trop chaud. C'est le plus jeune des deux aînés, Alexandre, qui vint lui ouvrir la porte. Il ne devait pas être réveillé depuis bien longtemps, car il ne portait qu'un caleçon. OUF!!! Denis lui dit:

— Je viens laver vos fenêtres. J'espère que je ne t'ai pas réveillé?

Alexandre lui répondit:

— Non. Mon père nous avait prévenus. J'étais en train de déjeuner dans lacuisine. Entrez.

Denis le suivit pour remplir son seau d'eau et préparer ses affaires. Pendant qu'il s'affairait, il observait Alexandre du coin de l'oeil. Il regardait les dessins animés à la télé tout en mangeant avec appétit. Celui de Denis grandissait aussi...

Lorsque son matériel fut prêt, Denis dit à Alexandre qu'il préférait commencer par les fenêtres de la façade, à cause de l'orientation du soleil. Alexandre lui répondit:

— La première chambre est celle de mon frère Mathieu. Il dort encore, maissuivez-moi, je vais le réveiller.

Denis lui dit:

— Ne le dérange pas alors. Je peux très bien commencer par une autre pièce.

Alexandre répondit:

— Non, non! Mon père nous a bien prévenu de vous laisser travailler à votreguise.

Denis suivit donc Alexandre dans le corridor menant aux chambres à coucher, admirant ses superbes fesses bien moulées dans son caleçon blanc. Alexandre ouvrit la porte de la chambre de son frère Mathieu, et les deux entrèrent.

Mathieu dormait profondément, étendu sur le dos. Les couvertures ne le couvraient que jusqu'à la taille. Il avait le torse plus découpé que celui de son frère. Il était vraiment très beau, ainsi endormi. Denis se serait volontiers glissé sous les couvertures avec lui...

Alexandre lui tapota l'épaule en lui disant de se lever. Comme celui-ci tardait à réagir, Alexandre tira d'un coup sec sur les couvertures, découvrant Mathieu, en caleçon lui aussi, mais aussi bandé qu'un étalon. WOW!!! Denis pensa en lui-même que dans une telle situation, il se serait immédiatement caché. Mathieu n'eût aucun réflexe de pudeur. C'est vrai qu'à quatre hommes dans une maisonnée, certaines choses deviennent plus familières. Mathieu se leva tout bonnement, salua Denis, et sortit de sa chambre, suivant Alexandre.

Denis commença son travail, non sans avoir des tiraillements entre les jambes. Il entendit la douche couler dans la salle de bain et en conclu qu'un des gars devait y être. Une vingtaine de minutes plus tard, Denis ayant terminé de nettoyer cette première fenêtre, sortit dans le corridor pour se diriger vers la seconde chambre à coucher. En passant devant la salle de bain, il remarqua que la porte était restée entrouverte. Il y risqua discrètement un oeil. Ce qu'il vit le fit figer sur place...

Alexandre était assis sur la toilette dont le couvercle était rabaissé. En baissant les yeux, Denis constata qu'il portait encore son caleçon, mais qu'il était bandé au max et qu'il se caressait la queue. S'avançant encore un peu, sans bruit, pour avoir un meilleur angle de vue, la surprise de Denis fut encore plus grande. Mathieu était debout devant Alexandre, complètement nu, la queue fièrement dressée. Mathieu s'approcha d'Alexandre et celui-ci lui empoigna la queue et commença aussitôt à le sucer.

Denis savait que l'inceste existait, mais là, il en avait une preuve plus qu'évidente. À voir la façon dont ils s'amusaient ensemble, ce n'était sûrement pas la première fois. Denis bandait comme un taureau en rut. Son caleçon était déjà mouillé de précum...

C'est à cet instant même qu'Alexandre tourna la tête en direction du corridor. Trop occupé à regarder leurs ébats, Denis n'avait même pas remarqué que l'ado le regardait. Alexandre dit à Mathieu:

— On a un spectateur!!!

Loin d'en être traumatisé, Mathieu dit alors à Denis au-travers de la porte:

— Si ça t'excite à ce point, entre! Plus on est de fous, plus on s'amuse!

Denis, hébété, ne savait trop comment réagir. Mathieu ouvrit alors complètement la porte et vint près de Denis. Sans aucune hésitation, après avoir regardé la bosse qui déformait son pantalon, il porta sa main à l'entrejambe de Denis, saisissant sa queue qui en tressaillit. Le regardant droit dans les yeux, d'un ton frondeur, il lui dit:

— Tu vois bien que ça te tente. T'es bandé comme un cochon!

Denis ne pouvait nier un fait plus qu'évident. Mathieu l'attira dans la salle de bain. Il repris sa position devant Alexandre, qui recommença à le sucer de plus belle. Pendant ce temps, Mathieu défit le bouton du pantalon de Denis, baissa sa fermeture-éclair, puis son caleçon, sortant sans autre préambule à l'air libre cette queue bien bandée. Denis regardait Alexandre s'enfoncer la queue de Mathieu tout au fond de la gorge, pendant que celui-ci le masturbait, s'attardant sur son frein.

Aucun doute, il savait comment y faire. Mathieu dit à Alexandre:

— Suce-le. Il en meurt d'envie!

Alexandre empoigna fermement la queue de Denis et la porta à sa bouche. Ahhh! Il l'aspira littéralement bien au fond, le suçant de divine façon. Denis en avait les jambes molles. Pendant ce temps, Mathieu entreprenait de lui enlever ses vêtements. Il commença par lui enlever son t-shirt. Se plaçant derrière lui, il lui pinça les mamelons qui durcirent aussitôt. Il se pencha vers eux et commença à les sucer, donnant à Denis des frissons sublimes. Puis, il lui enleva ses baskets et son jean. Il ne lui restait plus que ses chaussettes et son caleçon. Il lui caressa ensuite les fesses, toujours bien fermes malgré son âge. Puis, il faufila sa main sous l'élastique pour les saisir et les pétrir.

Il lui enleva ensuite son caleçon. Sa main se fit baladeuse, passant des fesses, à la raie, pour continuer entre les jambes et venir masser les couilles de Denis, qu'Alexandre suçait toujours avec ardeur. OUF! Denis était excité au max et il sentait déjà monter les prémices de la jouissance. Voulant prévenir, il dit à Alexandre:

— Je vais venir!!!

Plutôt que de se retirer, celui-ci s'acharna de plus belle sur sa queue, pendant que Mathieu se mit à lui faire tournoyer un doigt autour de l'anus.

— Ahhh! Ouiiii!!!

Denis se mit à jouir comme un malade, déversant sa dèche dans cette bouche si accueillante. Alexandre avala tout, lui pourléchant même la queue pour ne rien perdre. Mathieu dit ensuite à Denis:

— Il y a longtemps qu'on s'amuse ensemble tous les deux, mais c'est la premièrefois qu'on partage ça avec quelqu'un d'autre. Et c'est encore plus bandant! Viens, on va aller continuer ça dans ma chambre!

Alexandre, portant encore son caleçon fortement distendu par sa queue bandée, Mathieu, complètement nu, toujours bandé comme un fier étalon, et Denis ont franchi le corridor menant à la chambre, à la queue-leu-leu... Mathieu fit asseoir Denis sur le bord du lit, puis lui présenta sa queue. Sans hésiter, Denis la saisit et commença à la sucer. Mathieu semblait apprécier ses faveurs car il râlait déjà. Ce gars-là était du genre expressif et il disait tout haut ses pensées:

— Ouiii! Vas-y mon homme. Tu suces vraiment bien. Continues! J'aime ça!!!

Tout en s'occupant de Mathieu, Denis tendit le bras et saisit Alexandre par l'élastique de son caleçon en l'attirant vers lui. Il tira sur l'élastique, découvrant sa queue, magnifique, quoiqu'un peu moins longue et épaisse que celle de Mathieu. Denis empoigna ce spectre fièrement dressé et l'attira vers sa bouche. Il s'amusa ainsi de longues minutes, suçant tantôt l'un, tantôt l'autre. Sa propre queue ne tarda pas à retrouver sa forme et Mathieu la caressa pendant que Denis les suçait.

Alors que Denis avait la queue de Mathieu en bouche, Alexandre s'agenouilla et vint lécher les couilles de son frère. Celui lui dit:

— Ahh! Ouiiii!!! Vas-y, p'tit frère. Mange-les mes grosses couilles. Tu sais àquel point j'aime!!!

Alexandre promenait délicatement la pointe de sa langue sur chaque testicule, en dessinant soigneusement le pourtour, pour ensuite les aspirer un à un dans sa bouche et les suçoter doucement. Mathieu se cabra soudainement et dit:

— Oui! Oui! Les gars... je vais jouir!!!

Denis n'eût même pas le temps de réagir. Il reçut cinq longs jets rapides de dèche tout au fond de la gorge. Il n'avait d'autres choix que d'avaler, mais il ne trouva pas le goût désagréable. Lorsque Mathieu eût fini de se vider, il se pencha vers Denis et lui administra un formidable french-kiss. Il ne restait plus que les couilles d'Alexandre à vider. Celui-ci regarda Denis et lui dit:

— J'aimerais bien t'enculer. On s'est toujours contentés de se sucer seulementet j'ai envie d'essayer ça!

Denis lui répondit:

— Je veux bien essayer de te faire plaisir, mais vas-y très très doucement, jesuis vierge!!!

Denis monta sur le lit et se mit à quatre pattes. Mathieu s'installa sous lui et commença à sucer sa queue qui rebanda prestement. Alexandre se masturba quelques instants, en les regardant. Il avait le gland inondé de précum. Il en recueillit sur le bout de son doigt, et en lubrifia la rosette de Denis, faisant tournoyer son doigt tout autour. Mathieu le suçait avidement. Puis, Alexandre introduisit lentement son doigt dans la grotte de Denis. Le premier effet de surprise passé, les sensations devenaient de plus en plus intenses.

Il lui lima ainsi le cul pendant quelques instants, prenant le temps de bien le dilater. Puis il se plaça à genoux derrière lui. Denis sentit son gland prendre la place du doigt. Il le faisait tournoyer autour pour achever de le lubrifier. Il poussa un peu, réussissant à faire pénétrer son gland. Denis se sentait écartelé. Alexandre attendit que les muscles se relâchent. Lorsqu'il le sentit suffisamment détendu, il commença à pousser lentement. Denis le sentait s'introduire en lui, ses muscles se resserrant autour de la queue du jeune homme. Mathieu le suçait sans relâche, et l'effet combiné de leurs gratifications le transportait au septième ciel...

Alexandre n'en pouvant plus saisit Denis parla taille et commença à le baiser fougueusement. Mathieu de son côté l'astiquait de plus en plus rapidement. Au moment où Alexandre déversa son torrent, inondant le cul de Denis de sa dèche si chaude, celui-ci atteignit l'orgasme, emplissant la bouche de Mathieu. Quelle partie de cul!!!

Ils se sont ensuite retrouvés tous les trois sous la douche, riant et blaguant. Denis pouvait poursuivre le travail que lui avait confié son voisin, mais il promit aux jeunes hommes qu'ils allaient remettre ça très bientôt...

SoftDan, 8 décembre 1998

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Mardi 17 juillet 2 17 /07 /Juil 23:12

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Tout ça a commencé quand j'étais jeune, à 16 ans. J'étais déjà accro du sexe, je me branlais deux à trois fois par jour, je ne pensais qu'à ça et je regardais tout sur le sujet sur mon ordi, à la télé. Mon père bien entendu avait connaissance de tout et me surveillait sans que je m'en rende compte.

Un jour, il m'a acheté un petit chien. J'étais bien sûr fou de joie. C'est moi qui s'en occupais pour l'élever et la nuit, il me rejoignait dans mon lit. C'était un genre de berger allemand mêlé à du labrador, il était presque tout noir. Il aimait se blottir contre moi et il me tenait au chaud. Il cherchait toujours à téter mes doigts et c'est là que j'ai eu une idée géniale: un soir dans mon lit, je me branlais comme d'habitude et le chien me regardait faire. Ma queue coulait un peu et j'ai mis ma queue devant son museau pour voir sa réaction. Il s'est mis à me lécher le gland à grands coups de langue; c'était doux et chaud, j'ai aimé ça et je l'encourageais en mouillant mon gland. Il lapait tout le jus qui coulait et il entreprit de lécher mes couilles, c'était super bon, je me branlais en même temps. Sa langue était douce, il fouillait entre mes cuisses et reniflait mon cul avec insistance. J'ai écarté les jambes le plus grand possible et il s'est mis à me lécher. Il entrait sa langue dans mon trou, c'était jouissant au bout et j'ai lâché mon sperme sur moi en gémissant de plaisir. Le chien a tout léché et a nettoyé ma queue de toute trace de jus. C’était génial, plus besoin de papiers mouchoirs. Mon père m’emmerdera plus avec ça!

Presque tous les soirs, le chien me faisait plaisir et parfois le jour aussi quand j’étais seul. Cela a duré jusqu’à la mort du chien, je venais d’avoir 16 ans quand il s’est fait frapper par une voiture. J’ai eu beaucoup de peine.

Aujourd’hui j’ai 18 ans, je suis assez beau mec, avec un super body taillé au couteau et un fessier à faire rêver. Je vais avec qui me plaît, surtout les gars et les hommes assez jeunes. Les filles elles, elles sont trop compliquées, il faut leur faire la cour, les sortir au restaurant etc etc... Tandis qu’avec un gars, c’est pas long: tu lui mets la main au paquet avec un beau sourire et c’est parti.

Aujoud’hui en rentrant chez moi, j’ai eu toute une surprise: un beau chien noir vient à ma rencontre. Un labrador de 2 ans environ, il s’appelle Rex et il est à mon père. Rentré à l’intérieur, mon père me dit qu’il est très doux et surtout très affectueux en me faisant un clin d’œil et il a un petit sourire malicieux: "En tout cas, je suis certain qu’il sera aussi fin que celui que tu as déjà eu!" Je comprends vite.

Cela confirme les doutes que j’avais sur mon père. Parfois le chien couchait avec lui quand ma mère n'était pas la, et sans doute que le chien lui faisait la même chose qu’à moi. Je crois qu’il est aussi vicieux que moi et je ne sais pas pourquoi, mais ça le rend plus sympatique à mes yeux et je le regarde d’un meilleur œil.

C’est vrai qu’il est fin Rex. Il m’aime beaucoup et on joue souvent ensemble. Il me renifle souvent les parties mais pas plus, ça me rappelle des souvenirs de jeunesse.

Une année a passée, ma mère est partie avec un autre homme depuis un mois et mon père se sent bien seul. Il pourrait se faire une compagne s’il le voulait, il paraît encore très bien à 40 ans, il se tient toujours en forme et quand je le vois torse nu, je le trouve très attirant et désirable. J’aimerais bien me faire tasser dans un coin par lui.

Une nuit, j’ai entendu du bruit et des gémissements dans sa chambre qui est près de la mienne. Je me doutais de ce qui se passait, vu que Rex était avec lui. Je me suis levé et j’ai été jusqu’à sa chambre. Sa porte était entrouverte et je voyais mon père couché sur le dos et le museau de rex entre ses jambes. Ça m'a super excité et j’ai continué à regarder sans être vu. Mon père prenait son pied avec le chien, il était bandé au max et je l’ai trouvé très beau dans cette position. C’était très érotique et j’ai bandé bien raide puis j’ai commencé à me branler et ça n'a pas été long, j’ai déchargé dans ma main pour ne pas laisser de trace et je suis parti me coucher en douce.

Le lendemain matin, je vais aux toilettes et en passant devant sa porte, sans faire de bruit, je jette un coup d’oeil. Il est debout, nu, dos à moi, et le chien est couché sur le lit en face de lui et grâce au miroir, je peux voir le chien qui lèche sa queue et mon père a l’air d’aimer ce que Rex lui fait car ça n'a pas été long que papa a juté dans sa gueule et Rex a tout léché le sperme et nettoyé sa queue. Je me sauve au toilette avant d’être découvert. Quand je me décide à sortir dix minutes plus tard, il est dans la cuisine en slip et prépare le déjeuner. Je me dépêche à m’asseoir car je bande presque juste à le voir comme ça et ce qui n’arrange pas mon cas, Rex qui est en dessous de la table vient me renifler le paquet et me lèche les cuisses et veut entrer sa langue dans mon slip, ce qui me fait bander bien dur. Il pousse avec son museau sur ma queue. Par chance, mon père ne remarque rien et s’installe en face de moi pour déjeuner. J’ai beau tasser le museau du chien, il insiste toujours et je deviens de plus en plus excité. J’ai la queue presque sortie dans l’ouverture du slip, par chance mon père m’offre de faire mon déjeuner.

Je pensais m’éclipser en douce mais il se retourne pour jaser et c’est à ce moment que Rex réussit à la sortir complètement et commence à la lécher. Je ne tiens plus en place tellement que j’aime. J’ai peur que mon père remarque mon excitation mais à voir son sourire en coin, je crois qu’il a tout compris et ce satané chien qui ne veut pas lâcher ma queue. J’ai atteint un tel dégré d’excitation que je me contrôle plus et ça paraît car mon père le voit très bien. Ses mains ont disparu sous la table et je devine qu’il se branle en me regardant. Puis il enlève son slip et le dépose sur la table à ma vue. Je fais comme lui et maintenant plus rien ne peut m’arrêter. Quand je suis dans cet état là, je deviens vicieux.

Je me dis dans ma tête: "Tu veux voir et bien regarde!" Je pousse la chaise pour qu’il me voit bien et je lui montre ce que son chien me fait. Ça lui fait de l’effet car il se lève et vient vers moi, la queue dans la main, tout en continuant de se branler. Il est tout près maintenant, j’ai sa queue tout près de ma bouche. Il veut que je le suce et excité comme je suis, je le fais avec plaisir et ce n’est pas long qu’il jouit dans ma bouche, ce qui déclanche ma propre jouissance dans la gueule de Rex et sans m’en rendre compte, j’ai tout avalé le sperme de mon père qui en était lui, bien content. Il continuait à bouger dans ma bouche en tenant ma tête pour bien montrer sa domination. J'ai continué à le manger en jouant avec ses couilles puis j’ai caressé ses belles fesses. J’étais prêt à les lui lécher s’il me l’avait demandé. Je passais mes doigts dans sa raie, ça l'a fait bander encore bien dur et moi aussi j’étais prêt à recommencer mais pas ici.

On est allé dans le salon, il m'a fait asseoir les fesses sur le bord du sofa, les jambes bien écartée, a appelé Rex et celui-ci s’est mis à me lécher mon petit trou pendant que mon père mettait ma queue dans sa bouche pour me sucer. Aussitôt qu’il s’est aperçu que Rex a bien préparé la place, il s’est installé entre mes jambes et se prépare à me pénétrer. Nos regards se croisent et le lui fais signe que oui, je suis prêt. Au fond de moi, c’est ce que je désirais depuis longtemps! Il est entré facilement en moi et commence à me pistonner et déjà le plaisir se fait sentir et devient de plus en plus intense. Je ne tiendrai pas longtemps, surtout qu’il me branle en même temps. Il me fouille dans les moindres recoins avec sa grosse queue, il fait tout pour me faire jouir et ce n’est pas long que je viens. Je lui donne tout ce que j’ai dans les couilles pendant que lui se vide en moi. Il n’en finit plus de jouir, je sens son jus couler sur mes cuisses, il est complètement parti dans son plaisir, il me traite de petit pervers qui aime se faire enculer par son père, de suceur de bites et que dorénavant, je devrai obéir à mon père et faire tout ce qu’il veut et moi je ne demandais que ça.

Remis de nos émotions, on est allé prendre une douche ensemble et mon père est devenu très affectueux avec moi. Il me serrait dans ses bras et pour la première fois, il cherchait mes lèvres et dans un interminable baiser, nos lèvres se sont unies.

Les journées se passent bien. Maintenant que mon père a goûté à mes fesses, il les veut presque à tous les soirs et moi un jour, je me promets d’avoir les siennes car "Monsieur" dit qu’il est trop mâle pour se faire enculer. Foutaise! Je suis certain qu’il aimerait et qu’il en redemanderait. Je l’aurai bien un jour, ça j’en suis certain! Et ses fesses vont s’en rappeler...

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Mardi 17 juillet 2 17 /07 /Juil 16:36

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Bonjour, je m'appelle Yohan, j'ai 16 ans. Mes parents ont divorcé et je vis avec mon père, 42 ans, et mon frère Julien, 21 ans.

Un jour que je rentrais du lycée, j'entendis des gémissements dans la chambre de mon frère (mon frère est bi et avait un copain a l'époque) et comme je n'avais jamais vu deux hommes faire l'amour, j'ai décidé de jeter un coup d'oeil. Mon frère était de dos et je le vis sodomiser quelqu'un. La vue de ces deux hommes m'excitait beaucoup alors j'ai mis ma main dans mon boxer et je me suis caressé en les regardant. J'étais à genoux et je me caressais, tout en m'enfonçant le majeur dans mon cul chaud et humide. Je me mordais les lèvres pour que l'on entende pas mes gémissements. Quand mon frère eut joui dans l'anus de son partenaire, l'homme se retourna et se mit à le sucer... Cet homme était en fait mon père. Je poussai un petit cri d'étonnement. Mon père se releva et ouvrit la porte: il me trouva à genoux, la main dans le caleçon; je ne pouvais plus bouger, j'étais pétrifié.

— Alors il te plaît le spectacle? Tu ne préfères pas y participer plutôt que de te caresser comme un égoiste?

Il me prit par le bras et m'amena dans la chambre. Julien me prit par les bras, mon père m'arracha complètement mes vêtements. Il me mit mes jambes autour de sa taille et enfonça violemment son sexe en moi. Je jouis presque instantanément, envoyant mon sperme sur mon ventre. Il m'allongea par terre et commença ses va-et-vient en moi et mon frère me tenait les mains; je ne pouvais plus bouger. Mon père faisait des va-et-vient de plus en plus rapides et de plus en plus violents. Je gémissais de plaisir, j'étais en train de me faire violer par mon père et mon frère et je me suis surpris à aimer ça.

— Regarde-moi ça! Il a l'air d'aimer ça en plus... Quelle salope! dit mon père.

Je poussais des cris de plaisir à chaque coup de reins. Mon frère me lâcha et enfonça son sexe dans ma bouche et je l'ai sucé longuement tout en lui caressant les couilles. Je lui suçais tendrement le gland et je le masturbais, puis j'enfonçais tout son sexe dans ma bouche et le pompais et il finit par jouir dans ma bouche. J'avalais tout sans en laisser à côté.

Ensuite mon père sortit son sexe et éjacula sur mon ventre. Mon frère lécha tout le sperme que j'avais sur le corps et me l'apporta aux lèvres et il m'embrassa très tendrement et lentement puis il se mit sur moi, me pénétra et fit contrairement à mon père, des va-et-vient beaucoup plus lents. Il me caressait le ventre et me suçait les tétons. Mon père se mit derrière lui et lui léchait l'anus et le sodomisa. Je mouillais comme une vraie fontaine, je ne m'arrêtais plus. Mon frère m'embrassa fougueusement. Il était complètement sur moi et m'enlaçait. Lui et moi avons gémi en même temps. Il me jouit dans le cul pendant que je me branlais. Je sentis son sperme en moi, les coups de reins de mon père étaient de plus en plus violents dans le cul de mon frère qui lui faisait de même dans mon cul. Je jouis encore une fois et mon père aussi.

Papa sortit son sexe et vint s'allonger à côté de nous. Mon frère sortit de mon cul et le suça. Je les regardais en me caressant.

— Ne reste pas comme ça, aide ton frère!

Je m'approchais de son sexe et pendant que mon frère le pompait, je suçais tendrement les couilles de mon père. Julien lui léchait le gland et je suçais la base de son sexe. Puis mon frère me laissa la bite pour moi tout seule, se mit derrière moi et m'enfonça son sexe dans mon cul. Il fit des mouvements d'abord lents et me caressait tendrement. Mon père me fit accélérer la cadence sur son sexe. Julien accéléra ses mouvements de reins, je commençais à crier, mon père vint m'embrasser.

— Alors petite salope, ce n'est pas mieux de participer plutôt que de rester dans ton coin?

Mon frère se retira de mon cul. J'enjambais mon père et Julien fit entrer le sexe de mon père dans mon trou. Je faisais des va-et-vient sur sa bite. Julien se mit derrière moi et m'enfonça son sexe dans mon anus à son tour. Il m'embrassa le cou et me malaxait les fesses; mon père me caressait, me pinçait les tétons, me traitait de pute et de salope. J'avais mal au cul mais sentir les deux bites en moi m'excitait comme jamais.

Ce soir là, mon cul et ma bouche ont reçu chacun le sperme de mon frère et de mon père et depuis à la maison, nous ne faisons plus que ça...

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Mardi 17 juillet 2 17 /07 /Juil 14:55

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Depuis toujours mon frère m'attirait. Il se promenait toujours dans des tenues suggestives qui mettaient en valeur son corps parfait. Il ne se souciait pas des remontrances de ma mère qui le trouvait un peu trop impudique. Stéphane – c’est mon frère de 19 ans – avait dû remarquer mon émoi lorsque je le voyais à moitié nu et il en abusait. Était-ce pour s’amuser à mes dépens ou pour m’inviter à des jeux à deux? De plus en plus, je remarquais qu'il exposait ses cuisses et son bas-ventre. Je constatais que cela ne lui déplaisait pas de voir mon regard de convoitise à son égard.

Le matin, c’était la course à la salle de bain et il réussissait toujours en l’investir en premier. Il y passait de longs moments et j’attendais comme un con devant la porte; porte qu’il laissait entrouverte à plusieurs reprises de sorte que je puisse l’admirer pendant sa toilette. Son petit cul bien ferme et rond était toujours serré dans des boxers noirs ou gris. Sa poitrine musclée portait quelques poils finement couchés sur sa peau bronzée. Toutes ces visions m'excitaient terriblement. J’étais en érection presque en permanence. Plus j'étais gêné et plus il jouait son petit jeu pervers. Le soir, dans mon lit, je repassais les images entrevues et je me branlais avec force pour trouver le calme.

Un jour d’été alors que je somnolais encore, il est entré dans ma chambre, afin, me dit-il, de m'emprunter une chemise. Comme d’habitude, il ne portait presque rien et se dandinait comme une pute en chaleur.

— Je peux?

J’ai fait «oui» de la tête.

— Maman n’a pas eu le temps de m’en repasser une et... comme elle est déjà partie...

Il ouvrit mon placard et se mit à chercher. Comme il me tournait le dos, je voyais ses deux fesses bien rondes qui s’agitaient face à moi. Je me suis mis à bander et j’ai porté ma main machinalement sur ma bite.

— Eh, mec! T’as de chouettes fringues, toi! Tu les mets jamais tes frusques!

— Si!

Il sortit trois ou quatre chemises qu'il mit devant lui pour voir dans la glace l'effet obtenu. L'une d'elle retint son choix. Il se retourna et me demanda mon avis.

— Pour plaire, celle-ci, tu crois qu’elle convient?

Je n’avais encore rien répondu qu’il avait déjà enfilé le vêtement.

— Comment trouves-tu qu'elle me va?

— Elle te va très bien...

— Vrai?

— On dirait qu'elle a été faite pour toi!

Il s’agita comme une puce au pied de mon lit et mon excitation redoubla. Ma main se crispa sur ma bite et j'eu un spasme.

— Tu as un problème? dit-il. Tu as l’air tout bizarre.

— Non, ça va!

Il s'assit à côté de moi sur le lit. Son regard s'arrêta sur la bosse que faisait ma main sous les draps et s'inclina vers moi.

— Réaction du matin? murmura-t-il.

— On peut dire ça, oui!

— Moi, ça m’arrive tout le temps.

— Je sais oui.

J’en avais peut-être dit trop. Son regard devint fixe et il sourit vicieusement:

— Tu as souvent envie de me toucher, hein?... ça t'excite de me voir comme ça, à moitié à poil...

— Tu divagues!

— T’es pas excité en me regardant?!!! Alors c'est quoi cette bosse sous ton drap?

Il plongea sa main sous les draps jusqu'à ma queue. Il la palpa avec douceur.

— Ah mon, salaud... c'est pour ça que tu as la main sous les draps... pour te toucher la bite et te caresser... je te fais bander!

J’étais blême. Il tira le drap et me découvrit en entier. Il se pencha et prit ma bite dans la main droite.

— Je ne me doutais pas que tu en avais une aussi grosse! Putain, frangin, tu bandes comme un âne...tu as une sacré trique! C’est moi qui te fais cet effet?

— Toi ou autre chose! Tout ce qui est beau m’excite!

En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, il avait viré son boxer et était à poil comme moi. Il bandait ferme lui-aussi.

— Vas-y, mets-moi ta main sur mon paquet...

Je le devinais très excité. Il ouvrit les jambes en grand. Je me penchais et mis ma bouche sur sa bite pour l’embrasser.

— Tu as déjà fait des trucs comme ça? Je veux dire avec des mecs?

— Un peu, oui!

— Tu te sers de ta bouche?

— Alors mon putain de salaud, suce moi bien à fond!

— Et toi, tu l'as déjà fait?

— À ton avis?

— Oui bien sûr, avec des gars de ma classe et aussi avec des types à la sortie de l’école...

— Tu rigoles?

— Pas du tout!

— Comment, tu vas avec des types? Des adultes?

— Bien sûr, ce que tu peux être naïf! Où est le mal... Ils me filent du fric et puis je les touche, je les suce et je les fais jouir.

— Tu as déjà baisé avec eux?

— Oui... plus d'une fois... et puis merde avec tes questions. Tu me pompes, oui ou non? Regarde ma grosse tétine comme elle est belle... elle te fait bander, hein, mon salaud... tu l’auras dans ton trou tout à l'heure... Oui, je vois tes yeux qui brillent d’envie... Tout à l’heure, je vais baiser ma salope de frère... j'ai envie de ton cul!

Je me suis penché sur sa bite et l’ai prise en bouche.

— Allons, suce-la bien... Je veux qu’elle bute au fond de ta gorge! Il faut que tu apprennes si tu veux devenir un homme.

Stéphane m’avait bien baisé et nous reposions tous les deux sur mon lit. Il avait les yeux fermés et je le regardais. J’étais amoureux, c’était clair! Je me suis penché au-dessus de son torse et je lui ai donné de petits baisers.

— Hé, tu fais quoi là?

— Je t’embrasse.

— T’es malade ou quoi? C’est un truc de pédé, ça!

— Et ce que nous venons de faire alors c’est quoi?

— J’avais besoin de me vider les burnes. Un trou c’est un trou.

— Stéphane, tu es vraiment de mauvaise foi.

— Je ne veux pas passer pour une tapiole!

— Qui te demande de le faire? Nous sommes là, à l’abri des regards, à nous donner du plaisir.

— Mais tu m’embrassais!

— Parce que, moi, ça me donne du plaisir! Pas toi?

— Je ne sais pas.

— On va réessayer!

Je l’ai embrassé sur le torse, les tétons, le menton, les joues, le front, le nez et j’ai terminé sur sa bouche. Je tenais sa bite à l’œil: elle s’est dressée assez vite. Pendant qu'il se branlait la tige avec sa main droite et me caressait le trou du cul de la main gauche, j’ai continué à lui rouler des bonnes pelles bien humides.

— Tu aimes que je te branle le cul, hein, ma petite salope de frère?

— Y’a qu’à voir comme tu me fais triquer.

Il m’a mis un doigt dans le cul et a continué ses caresses. Je me tortillais de plaisir. C’était trop bon.

— Merde! Putain de bordel, c'est bon ce que tu me fais, Stéphane... J’ai tout le temps envie de toi! Ah oui, continue...

— J’ai un truc plus gros pour te faire du bien!

— Allez, viens maintenant, mets-moi ta bite dans le fion! J'ai envie! Tu n’imagines pas à quel point!

— T’as raison... s’embrasser c’est géant... ça me fait durcir le gourdin!

— Stéphane, mon mâle... viens vite, baise-moi!

Je me suis installé au-dessus de lui, le chevauchant au niveau du bassin. J’ai pris sa queue entre mes doigts et l’ai guidée jusqu'à mon trou qui n’en pouvait plus. Il s’est enfoncé doucement.

— Mmmm, ton fourreau est délicieux. J’en veux encore et encore...

— C’est mieux qu’une chatte de fille?

— J’te crois. Les filles sont trop coincées côté cul. Là, toi, tu te lâches... Tu es prêt à tout pour te faire une bite. T’es un mec avec une chatte!

— J’adore le compliment.

Il m’a pris par la taille et a commencé à me baiser en allant bien profond en moi. Moi, très salope, j’ondulais du cul. Je me penchais sur lui et lui donnais un baiser profond auquel il répondait avec passion. Nos langues se mélangeaient, se suçaient. C’était un feu d’artifice!

— Mon frère! Comme ta bite est bonne...

— J’en ai autant à dire pour ton cul, frangin! T’es une bonne chiennasse!

— Vas-y, donne moi des coups de bite! Ne ménage pas mon trou... Il en veut! Baise-moi bien profond...

Mon cul lui aspirait quasiment la tige et il se mit à me caresser la mienne. Un bien-être profond m'envahissait. Je n'étais plus qu’un trou, un trou qui n'aspire qu'à jouir.

— Oh Steph! Mon chéri... Ta queue est bonne. Elle me rend dingue. Vas-y! Baise ta chiennasse, encule-la plus fort.

Là, j’ai senti mon frère mûr pour cracher.

— Tu m’excites comme c’est pas possible, frangin! Je vais jouir... Oh oui, je largue ma purée... Viens! Jute avec moi... ah putain... je viens... ah bordel, je jouis...

Nous avons joui de concert et ce fut inoubliable... mieux que la première fois... plus intense...

Il a regardé sa montre et a juré.

— Midi! Putain, maman va rentrer! Tu imagines si elle nous chope comme ça! La honte...

Il est allé dans la salle de bain faire un peu de toilette. J’ai entendu couler la douche et je suis allé le rejoindre.

— Je peux t’accompagner?

— Et si maman rev...

— Calme! J’ai fermé la porte de la salle de bain!

— Oui mais tout de même...

J’étais déjà sous le jet brûlant à lui savonner le dos. Il était tendu.

— Eh bien mon cochon, ce que tu m'as mis... tu m'as fait jouir comme jamais. J’en ai le cul en bouillie!

— Tu as aimé à ce point? dit-il avec une pointe de fierté.

— J’espère qu’il y aura d’autres fois!

Il m’a tourné contre le mur et il s’est collé à moi par derrière. Il bandait encore.

— Viens que je te lave ta chatte de mec!

— Prends-en bien soin, mon frère, elle t’appartient maintenant.

— Je sais. Elle n’est qu’à moi... rien qu’à moi...

Et depuis ce matin d’été je suis la salope de mon frère...

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