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fan de histoires de mec

Mercredi 13 janvier 3 13 /01 /Jan 10:18

vilareal

Les examens approchant, je sors de cours ce soir-là à 22h30, crevé d'avoir révisé toute la journée et impatient de retrouver mon mec à la maison. Je pense à lui dans le bus, à sa gueule de petite racaille macho, à ses abdos si parfaitement dessinés, à sa queue circoncise de rebeu mais aussi à l'amour infini que je lui porte. J'ai quitté la maison familiale pour m'installer avec lui très tôt et depuis, installé dans le petit deux-pièces qu'il a pu louer après avoir arrêté ses études pour commencer un boulot de réparateur en informatique, nous ne pouvons plus nous quitter. Il est capable d'une incroyable tendresse comme d'une vraie brutalité de mec de cité dominateur et c'est justement ce paradoxe que j'adore en lui.

En arrivant devant notre porte, j'entends des rires et je remarque une odeur de beuh qui se dégage jusque dans le couloir. Putain ! J'avais oublié sa soirée avec ses potes… Moi qui rêvais de me lover dans le canapé, c'est mort.

J'ouvre la porte, ils sont là, 6 rebeux entre 22 et 26 ans, avec leur look de racaille, casquette, jogging, baskets, leur verre de sky dans une main et leur joint dans l'autre. Mehdi, mon mec, lève la tête et sourit :

-       Ça va ma poule ? On parlait de toi justement !

-       Ah ouais ? J'ai bien fait d'arriver avant que ça devienne méchant alors !

-       Mais nan t'inquiète on parlait de vendredi soir dernier. Je disais que Karim t'avait méchamment abîmé, tu te souviens ? Hein Kamel ?

Près de la télé, Kamel acquiesce. Je l'aime bien Kamel, il est plutôt timide et doux comparé à ses potes mais il est mignon comme tout et il a une bonne queue. Le vendredi précédent, il m'avait baisé en plan à 3 avec mon mec et un autre, que je connais pas très bien mais que Mehdi adore. C'est vrai que putain, quand j'y repense, ce Karim était plus que domi : c'était un vrai violent. Non seulement il m'avait défoncé à coup de bite bien hard, mais en plus il me foutait des baffes, des fessées et des coups de pied de malade. J'avais morflé ce vendredi-là…

Ce soir, à part mon mec bien sûr, je ne connais que Kamel, le gentil. Les 4 autres, je ne les ai jamais vus. Ah si, celui qui est sur la droite peut-être, le grand baraqué tout en gris. Je crois que je l'ai croisé déjà. D'ailleurs Mehdi fait les présentations :

-       Les mecs, je vous présente ma poule ; ma poule, je te présente Jordan, Jean-Luc et Ahmed. Et Steph tu le connais non ? Il était là au nouvel an.

Ah oui, c'est ça. Le grand baraqué du nouvel an qui avait fini par embarquer une espèce de pouffiasse à gros seins. Je regarde vite fait les 3 autres, Jordan, super grand, très maigre, avec une barbe mal rasée et des dents déjà pourries ; Jean-Luc, assez looké avec ses strass sur la casquette ; Ahmed, un géant qui doit peser bien 100 kilos mais qui a une bonne tête.

Mon mec revient à son sujet :

-       Les gars je vous dis pas comment Karim il s'était défoulé. Mais bon c'est un pote, c'est normal, j'allais pas le priver de ça quoi.

Kamel sourit, Jean-Luc et Ahmed se marrent. Jordan, lui, ne dit rien mais lance à mon mec :

-       Mais sérieux ça te fait pas chier que ton mec se fasse tirer par d'autres keumés ? Moi ça me foutrait les boules que ma nana aille voir ailleurs.

-       Mec c'est pas d'autres keumés, c'est mes potes. Je partage. Ça me fait plaisir. Je me fais pas chier avec une meuf parce que j'ai besoin d'une bonne salope au lit ; j'en ai trouvé une je vais pas la garder que pour moi. Je suis un communiste moi !

Ils se marrent et moi avec. Bref, enfin je suis quand même crevé et je lance :

-       Bon, je vais me coucher, suis naze. Faites pas trop de bruit.

-       Attends ma poule, prends juste un verre.

Mais je vois déjà Jean-Luc, le looké, qui reprend :

-       Eh mais sérieux, si t'es ok Mehdi moi je veux bien me vider les couilles, hein ! Suis pas pédé mais t'as l'air de dire que c'est comme une meuf, quoi !

-       Mais mec c'est mieux qu'une meuf, répond mon Mehdi. Et si t'es cho vas-y, fais-toi plaiz. La chambre est à côté.

Et merde… Moi qui voulais me pieuter… Mais déjà Jean-Luc s'est levé, ses mouvements faisant briller ses strass dans la lumière du salon :

-       Bon ben les gars, à plus hein ! Mehdi t'es sûr de toi là ?

-       Putain fais pas chier et éclate-toi. T'inquiète tu peux y aller, il a l'habitude.

-       T'as des capotes ?

-       Ouais si tu veux, dans la table de nuit. Mais je te fais confiance, t'es pas obligé.

Jean-Luc passe près de moi, me fait un clin d'œil. Je passe une main sur l'épaule de Medhi qui me sourit en disant : « à tout de suite ma poule. »

 

J'entre dans notre chambre, Jean-Luc referme la porte et direct vient m'appuyer sur les épaule pour me faire mettre à genoux. Aussitôt je baisse son jogging et commence à lécher son boxer. Le paquet est plutôt prometteur. Je sens les mains de Jean-Luc sur ma tête qui me caressent les cheveux et me plaquent la bouche contre sa queue qui commence déjà à durcir.

-       Vas-y sale pute lèche bien ma queue ! Fais-moi bien bander, je vais te la mettre profond. Tu kifes les queues de rebeux hein ? T'es une bonne salope, ça se voit sur ta gueule. Je vais te déboîter la mâchoire.

Je surkife sa façon de me parler. D'une main je baisse son boxer et voit surgir une belle bite circoncise, bien longue, pas ultra large, bien mise en valeur sur des poils entretenus et de belles couilles rondes. Je me jette sur sa bite et direct il m'impose son rythme, bloquant ma tête de ses mains et faisant de grands mouvements du bassin pour me niquer la bouche en continuant à me traiter de salope, de bonne suceuse, de petite pute. Ses gestes font cliqueter sa chaîne en toc dorée. Sa bite est super douce, elle me pénètre bien jusque dans le fond de la gorge et je peux m'éclater à alterner les fonds-de-gorge avec des mouvements plus soft.

Après 5 bonnes minutes de suce, il se penche vers mon cul, passe une main sous mon jean et commence à me doigter pendant que je lui lèche les couilles. Puis je me relève, j'ai à peine le temps de virer mes fringues qu'il me jette sur le lit en lançant « Vas y sale chienne fous-toi à quatre pates que je te nique la chatte ! »

J'obéis aussitôt et je sens direct sa queue coulisser sur mes fesses ; il joue quelques secondes comme ça en crachant sur ma raie, en me doigtant pour lubrifier mon cul avec sa salive, puis il crache sur sa bite et je sens son gland qui se positionne. Je me cambre à fond, son gland essaie d'entrer, il y arrive pas ; je me prends une fessée, puis deux, il me dit de bien m'ouvrir pour accueillir sa queue ; je fais du mieux que je peux mais j'y peux rien si je suis serré. Il crache encore, me fous quelques doigts, puis je sens qu'il s'impatiente et il choisit la méthode forte : d'un coup, c'est tout son gland qui me pénètre brutalement. Je crie, d'une main il m'enfonce la tête sur le lit puis force encore pour faire entrer le reste de sa queue en une fois. Je sens ses couilles sur le bas de mes fesses et ses va-et-vient commencent aussitôt. Je me fais bien niquer par toute la longueur de sa bite qu'il fait coulisser toute entière dans mon cul, la sortant complètement, me le remettant profondément tout d'un coup, puis me baisant comme un chien, par petits à-coups avant de reprendre ses mouvement plus amples. Sa queue me fait du bien, une bonne bite de rebeu comme je les aime, assortie de ce côté macho des petites racailles de cité qui se croient super puissants parce qu'ils ont arrêté le lycée et fument des joints dans leur cave. Ses mots aussi me font du bien, ses insultes, les compliments qu'il se fait sur « sa méga bite qui me défonce bien », les compliments qu'il me fait sur « ma bonne chate de vide-couilles à doser »… Et effectivement ça ne tarde pas, je l'entends respirer plus vite, un peu plus fort, sa queue gonfle un peu dans mon cul et son râle quand il largue son jus dans mon ventre avant de s'effondrer sur mon dos…

Pendant quelques secondes il ne bouge pas, puis se retire et me lance : « Vas y nettoie-moi la queue vite fait. »

Je m'agenouille par terre et ma tête vient entre ses cuisses alors qu'il s'est assis sur le bord du lit. Il a déjà débandé mais sa queue est toujours très longue. Je suce bien son gland pour avaler les toutes dernières goutes de sperme, je lèche soigneusement toute sa bite, puis il se relève, remonte son jogging qu'il n'avait même pas enlevé et me dit en ouvrant la porte : « Putain c'est vrai que t'es bonne toi ! ».

 

J'ai à peine le temps de m'allonger sur mon lit que la porte s'ouvre à nouveau, laissant passer Jordan, le grand maigre, et Ahmed, celui qui est vraiment gros. Je souris en les voyant tous les deux l'un à côté de l'autre : deux racailles rebeux avec leurs gabarits tellement différents. Ahmed prend mon sourire pour une invitation et me lance :

-       Ton mec nous a dit qu'on pouvait venir aussi.

-       Ouais bien sûr, pas de problème.

Je suis fatigué mais je peux pas résister à un truc à trois. D'ailleurs Jordan s'avance déjà en se caressant le paquet à travers son survet. Je me remets à quatre pates sur le matelas, il choppe ma tête et la plaque contre ses couilles. C'est un vrai truc chez eux de me faire sniffer leur teub alors qu'elle est même pas sortie ! Je sors ma langue et commence à lécher par-dessus le tissu. La bosse est plutôt prometteuse. A côté, Ahmed a sorti sa queue et se branle déjà en matant. J'ai pas envie d'attendre, à deux mains je descends le fut et le caleçon de Jordan et prends en bouche sa queue à demi-molle. Elle pue un peu la pisse mais je connais mon taf. Il doit le sentir parce qu'il bande direct dans ma bouche et commence à me la baiser. Je joue avec ma langue sur son gland, je caresse ses couilles en même temps ; putain j'en reviens pas du morceau : j'ai la gueule complètement remplie et il en reste encore un bon tiers ! Et vachement épais avec ça. Je vais déguster s'il me nique, celui-là ! Je jette un coup d'œil à côté vers Ahmed qui s'est approché, pantalon sur les chevilles : c'est tout l'inverse, sa bite est bien raide mais assez courte et pas très large. C'est drôle, ça contraste avec son corps massif et sous son gros ventre ultra poilu ça a l'air encore plus petit. Après tout je m'en fous, une queue est une queue et j'ai aussi envie de lui. Il se branle toujours pendant que Jordan me défonce la bouche en silence. Après quelques minutes, je me recule moi-même pour m'occuper de la teub d'Ahmed, qui voyant ça s'écrie : « Putain t'aimes vraiment trop la bite toi ! » ; et aussitôt il me fourre la sienne entre les lèvres. Je le pompe comme une chienne pour bien lui montrer qu'il a raison, en même temps je sens les mains de Jordan qui commencent à me caresser le cul après avoir enlevé toutes ses fringues. C'est tellement bon d'avoir un mec devant et un mec derrière ! Dans ces moments-là je me dis que je suis vraiment fait pour ça. Ahmed aussi me le dit, me traitant de pute à queues, de bonne chienne à tourner, de sac à foutre. Il me claque la gueule avec ses grosses mains, me tient le menton pour que je le regarde en le suçant et me lâche de gros mollards sur le visage, qui coulent sur ma peau et s'écrasent sur mes draps. Derrière moi, Jordan me glisse deux doigts dans la chatte. Je l'entends chercher quelque chose, il ouvre la table de nuit et attrape une capote, déchire l'emballage et se la met rapidement sur la queue. Il place son gland sur mon trou et s'exclame :

-       Et merde…

-       Qu'est-ce qui t'arrive mec ? lui fait Ahmed en me baisant toujours la gueule.

-       J'ai craqué le préso ; attends j'en prends un autre.

Ce qui fait, mais il n'est manifestement pas doué parce qu'il le pète aussi en se le mettant trop vite.

-       Fais chier putain.

-       Vas y t'emmerde pas baise-la à cru cette pute.

-       Ouais mais je sais pas, c'est un pédé quand même.

-       Et alors ça fait quoi ? C'est une pute, Mehdi il a dit qu'on pouvait y aller.

-       Vas y t'as raison.

J'ai à peine le temps de me cambrer qu'il m'enfonce tout son gourdin dans le cul. Je gémis grave mais suis étouffé par la petite bite d'Ahmed qu'il maintient toute entière dans ma bouche. Ils se mettent à me baiser en rythme, moi avançant vers le gros ventre d'Ahmed en me tenant d'une main à ses larges cuisses poilues quand Jordan vient jusque dans le fond de ma chatte, puis reculant quand il se retire avant de la replonger toute entière. Jordan me tient fermement par les hanches, s'agrippe violemment à la peau de mes fesses mais ne dit toujours pas un mot ; Ahmed, lui, m'insulte copieusement en se faisant plaisir dans ma bouche qu'il baise vraiment comme une chatte. Je sens ses couilles contre mon menton, c'est bon, je me sens bien, la gueule et le cul remplis par des bites de beurs en chaleur qui ne pense qu'à se vider les couilles dans mon corps, le corps du mec de leur pote qui lui-même n'a pas une seconde pensé à me demander mon accord avant de leur dire de me sauter. Je suis sa pute, je suis leur pute, et j'aime ça. Ils le savent d'ailleurs et ne se privent pas d'en profiter, me défonçant brutalement dans tous les sens avant de décider d'inverser les rôles.

Jordan se retire de mon cul d'un coup et vient devant moi pendant qu'Ahmed passe derrière. Je me jette sur la grosse bite de Jordan et le suce avec gourmandise ; c'est kiffant de passer de l'une à l'autre, si différentes. Je sens la queue d'Ahmed qui s'enfonce en moi, malgré le passage de celle de Jordan je me sens bien rempli, c'est peut-être dû au fait qu'il m'écrase avec son poids, il est penché par dessus-moi, ses grosses cuisses collées contre les miennes, son ventre sur mon dos, il me baise très vite, par des petits mouvement saccadés, en respirant très fort ; sa sueur coule de son corps et s'écrase sur ma peau. Il s'est arrêté de m'insulter. Je glisse un regard vers la droite ; le grand miroir sur le mur renvoie l'image de mon petit corps blanc tout mince, baisé d'un côté par un gros rebeu luisant et de l'autre par un grand maigre, à la peau plus foncée encore, qui fait coulisser son sexe gigantesque entre mes lèvres. Jordan m'a attrapé par les cheveux et me fait pomper sa queue à toute vitesse, l'enfonçant le plus loin possible dans ma gorge ; je kife cette façon bien macho de me démonter la gueule, je lève les yeux vers lui, il a un sourire pervers, presque sadique en me regardant le sucer, puis il relève la tête, la penche en arrière, ferme les yeux et se met à gémir doucement avant de lâcher toute sa sauce dans ma bouche tout en continuant à me faire pomper sa queue. A peine quelques secondes plus tard, Ahmed se lâche aussi, mais dans ma chatte, me remplissant de son sperme en s'effondrant complètement sur moi. J'avale consciencieusement tout en pensant que le jus d'Ahmed rejoint celui de Jean-Luc au fond de moi. Jordan s'est assis sur le lit, face à moi, sa bite toujours dans ma bouche, que je nettoie doucement. Nous restons tous les trois sans bouger pendant une minute. Je me sens tellement bien, je voudrais rester comme ça toute la nuit. Il ne manque que les mains de mon mec pour me caresser le corps et ce serait parfait. Ahmed est le premier à se relever, sa bite molle se retirant de mon cul dans un bruit mouillé ; presque aussitôt Jordan sort de ma bouche et se lève aussi. Ahmed lance « Putain ça fait du bien d'avoir les couilles vidées » en remontant son survet pendant que Jordan cherche ses fringues ; Ahmed me sourit en me disant « Allez à plus ! », Jordan me fait un check et ils sortent de la chambre.

J'entends des exclamations, des rires dans le salon, j'ai hâte que Mehdi me rejoigne pour passer la nuit avec lui. Rien ne se passe pendant plusieurs minutes à part les rires et les conversations qui continuent. Je commence à m'endormir.

 

Je suis réveillé par une voix dans mon oreille : « Ma poule ! T'es encore en forme ? » ; j'ouvre les yeux, c'est lui, mon mec, penché vers moi, qui me tend un verre d'eau : « Vas y rince toi la bouche ». J'obéis puis il m'embrasse. J'aperçois derrière lui Kamel, debout, l'air toujours aussi timide. C'est pourtant pas la première fois qu'il est invité dans notre chambre. Mon mec me murmure : « S'il te plait bébé, Kamel veut juste se faire sucer. Ok ? »

Ben oui ok. Evidemment ok. Je peux pas dire non à mon mec. Je lui dis jamais non d'ailleurs, il le sait. C'est pour ça qu'il ne pose jamais la question, ou alors pour la forme, par politesse, ou pour me faire comprendre qu'il faut que je m'active.

 

Je fais un sourire à Kamel qui, rassuré, s'approche. Mehdi va s'installer dans le fauteuil pour nous mater. Je le regarde du coin de l'œil en commençant à caresser le torse de Kamel qui a viré son t-shirt. Il me caresse tendrement la tête en sortant sa bite. Il bande déjà, ses 18 centimètres me frôlent la joue, j'ouvre la bouche et lèche son gland, puis descends jusqu'à ses couilles pour passer ma langue tout le long de sa queue avant de toute prendre d'un coup entre mes lèvres pour lui faire un fond-de-gorge direct. Il gémit doucement, je sais ce qu'il aime mon Kamel, je l'ai déjà sucé un nombre incalculable de fois, et il m'a baisé presque autant. Quand Mehdi n'a pas confiance dans certains mecs qui lui demandent de me sauter, mais qu'il n'est pas là pour rester à côté, c'est Kamel qu'il envoie me protéger. Sous ses airs timides, il est capable de bien cogner et m'a déjà sauvé deux fois de connards qui voulaient me tabasser. Alors je lui dois bien de me donner à fond sur sa queue. Il n'a pas besoin de me tenir la tête ou de me tirer par les cheveux pour que je le pompe avec passion et il le sait. Il me laisse faire. J'en profite pour y aller à mon rythme, alternant les moments où je suce tranquillement son gland en caressant ses couilles avec des temps plus rapides, plus profonds, pendant lesquels le contact du fond de ma gorge avec le bout de sa bite lui arrachent des gémissements rauques de plaisir. Quand je sens qu'il est sur le point de jouir, j'enchaîne les fonds-de-gorge puis finis par ne le sucer qu'avec son gland le plus profondément enfoncé dans ma bouche, ne faisant que des petits mouvements très rapides jusqu'à ce que je sente sa queue se gorger de sperme et lâcher sa crème qui tombe directement dans mon estomac. Il est agité de petits soubresauts en giclant, se vidant de ses dernières goutes de jus toujours calé dans ma bouche pendant que ma langue lui caresse la base du gland. Il se retire, on se sourit, il se penche pour me faire un smack.

Je vois Mehdi qui se branle tranquillement à côté, souriant. Il lance à son pote : « Tu connais le chemin mec. » Kamel sort de la chambre en refermant la porte derrière lui. Mon mec s'approche, d'une main puissante il me fout à quatre pates sur le lit et, toujours debout, m'enfonce brusquement toute sa queue dans le cul. Ses couilles s'écrasent contre mes fesses et il me baise sauvagement en gueulant « Putain de salope, t'as la chatte bien lubrifiée ! C'est trop facile de te baiser avec tout ce jus de rebeu là ! Je vais te mettre ma dose moi aussi, t'es à moi tu m'entends ? Je tasse bien tout le sperme dans ta chatte et je te remplis sale pute ! »

Je sais ce qu'il veut dire. C'est à lui de me baiser en dernier. Il ne me laisse jamais m'endormir sans son jus dans les entrailles si d'autres m'ont rempli avant lui. Il me rappelle qu'il est mon boss. Même si je n'ai pas besoin de ça pour le savoir, je ne dis rien, trop excité à l'idée qu'il s'apprête à jouir, lui aussi, à l'intérieur de moi. Il ne tarde pas à le faire, ses jets puissants giclant sur les parois de mon cul, se mêlant à ceux de ses potes, avant de s'écrouler à côté de moi, ses bras autour de mon corps, pour nous endormir tous les deux.

En sombrant dans le sommeil, j'ai une pensée pour Steph, le grand baraqué, le seul de ces 6 rebeux qui ne m'ait pas baisé ce soir. Mais la bite de mon mec encore en moi compense largement toutes les autres.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : babaslebatard - Voir les 0 commentaires
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Samedi 9 janvier 6 09 /01 /Jan 12:44

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Bonjour à tous, voici mon histoire qui j'espère vous plaira.

Je suis un jeune minet d'à peine 20 ans, mince, brun aux yeux marrons. Un physique qui plait assez facilement dans le milieu gay, et surtout chez les plus âgés.

Cette histoire (mélange de fiction est de réalité) vous montrera ce que j'aime et ce que je suis.

Un jour, chaud comme la braise j'avais besoin de virilité, d'autorité, de testostérone. J'étais déjà depuis un moment sur une application de rencontre gay et un mec habitant pas loin de chez moi (ville en picardie) vint me parler: 35 ans, papa de deux enfants, en plein divorce. Il cherche un trou à défoncer, un minet à avoir à ses pieds. Il est grand, 1,85m brun cheveux très courts, musclé et une bite à faire baver n'importe qui!

Après avoir échangé quelques photos (plus ou moins suggestives et lui montrant ma docilité) et après l'avoir bien chauffé, l m'ordonne de lui donner mon adresse pour qu'il vienne chez moi.

Je lui donne et il me répond:

 "je suis là dans 15 minutes, prépare toi et attends moi comme il se doit salope. Je te veux nu, ça m'excite de savoir qu'un jeune cul de pute m'attend et laisse la porte ouverte je rentrerai moi-même."

Tout fou, je me déshabille (heureusement, ma toilette était déjà faite) et me met de suite face à la porte, à quatre pattes la tete regardant le sol en attendant mon baiseur. Attendre sans savoir depuis combien de temps je suis comme ça me rend encore plus salope, mon excitation est à son plus haut point.

J'entends des pas dans les escaliers, puis, juste devant moi, sans regarder je sens la porte s'ouvrir d'une manière affirmée, je sens sa présence, il est là, debout devant moi, grand, musclé, viril, dominateur. Sans le voir je suis déjà soumis à lui, sa présence m'impressionne et je ne bouge pas.

- quelle bonne petite pute, tu marques un point à m'attendre comme ça, t'es sexy salope

- merci

Et Bim, une gifle dans la gueule

- merci qui sale pute ??

- merci maître

- c'est mieux, allez lèche moi les pieds maintenant

Je me jète alors sur ses pieds, je suis au paradis. Je lui lèche à grands coups de langue ses bottines, et j'en profite pour le regarder, je vois d'abord son jeans légèrement moulant lui faisant des cuisses magnifiques et musclé avec son gros paquet moulé tellement il est imposant, puis je vois une chemise mise dans son pantalon, moulante et cintrée, développant ses pectoraux puissants d'homme viril, jeune père de famille prenant soin de lui. Et son visage, carré aux yeux noirs profonds et vicieux. Je le vois légèrement sourire et suis rassuré, il est satisfait.

Il me fait avancer vers le salon, moi le suivant à quatre pattes, il s'installe dans un fauteuil et je remarque qu'il a apporté un petit sac.

- viens ici ma chienne, j'ai quelques jouets pour toi, ferme les yeux.

Je les ferme est je sens qu'il m'attache un collier et une laisse. Il se dirige ensuite vers mon cul tout épilé, il malaxe mes fesses et me rentre directement quelque chose dans l'anus. Surpris je me contracte, mais sa fessées et sa voix dominante m'ordonnant de me détendre m'oblige à accepter l'objet, je ne comprends pas très bien.

Toujours habillé, il tire la laisse et me dirige vers un miroir pour me contempler, et là je vois que le plug est une queue de chien. Je bouge mon cul comme une grosse chienne et suis ravi de ce très bel objet. Je me jète sur ses pieds en le remerciant.

Retournés au salon il m'ordonne:

- lèche mon paquet salope.. oui... comme ça c'est bien, t'es une bonne grosse pute. T'aimes ça les bites de vrai homme; t'es qu'une sous merde, un vide-couille, voilà, montre moi que tu aimes ça.

Enfin il m'autorise à ouvrir son magnifique paquet. Sa bite tant attendue me saute au visage et je la lape tel un chien. Pendant se temps, il me tate les fesses, fait bouger ma queue de chienne et m'insulte.

Puis, il retire le plug queue de chien et me doigte, me fais lécher ses doigts, et me doigte encore et encore.

- retourne toi salope, le meilleur arrive

Il appuie ma tête contre le sol et en même temps me pénètre d'un coup sec( heureusement sa bite était lubrifiée de ma salive) et me bourine jusqu'au fond avec une énergie folle.

- oh ouais, quel bon cul bien serré, t'es une vraie pute toi, t'aimes ça salope ?

- merci maître, je suis vide-couille, servez vous de moi, je suis à vous

S'en suit une séance de baise folle dans toutes les positions, il s'amuse à tirer sur la laisse et parfois je suis au bord de l'étranglement mais j'aime ça, je suis à lui, son corps me domine, son esprit me domine, il est magnifique et je suis fais pour être soumis à des hommes comme lui, virils, plus âgés et expérimentés, dominants et brutaux.

Après 25 minutes d'enculade, il sort de mon trou tout élastique et tire sur la laisse pour mettre monvvisage sous sa bite. Il me remet le plug queue de chienne dans le cul.

Il finit de se branler et jute tout son jus de mâle dominant sur ma petite gueule de pute.

- branle toi, tu as 1 minute pour juter petite chienne

je suis tellement excité qu'en 30 seconde je jute tout sur le sol et il me plaque contre mon sperme

- lèche, je ne veux plus aucune trace, dépêche toi grosse pute

Pendant que je nettoie le sol de chez moi, je sens quelque chose de chaud m'arriver dessus, il me pisse dessus!!!

- continue de lécher, lèche et bois tout ma pisse, c'est un cadeau

Quand il a eut fini de pisser, il referma sa braguette et ne s'étend pas déshabillé pour me baiser, pris une photo de moi et partit.

- à bientôt salope, reste prêt à tout n'importe quand, tu es à moi.

Et il referme la porte. Je suis nu, à quatre pattes le cul cambré avec ma queue de chienne, mon collier et ma laisse à lécher sa pisse. Et surement par réelle soumission, je finis de tout lécher comme une bonne petite chienne.

Voilà, si vous avez aimé mon histoire n'hésitez pas à m'envoyer de nombreux mails: futocouli1

A bientôt :)

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Mercredi 30 décembre 3 30 /12 /Déc 13:47

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A 18 ans, j'étais au lycée à Lille en Terminale S. La journée de cours s'achève et je sors du bahut en fumant ma clope. A l'entrée, un camion est garé, un mec d'une trentaine d'années, black, assez grand, m'interpelle :

-"Tu aurais du feu s'il te plait?

-"Oui" je lui tends mon briquet. Il allume sa clope en me remerciant.

-"Tu es élève ici?" me demande t il.

-"Oui." Il m'explique qu'il venait de livrer une marchandise au lycée. On discute un peu, il me semble très sympathique.

-"Ca doit pas être marrant de rouler tout le temps seul

-"Oui, j'aimerai avoir de la compagnie de temps en temps. Tu fais quoi là, tu veux faire un tour?

-"Ben, je vais rentrer chez moi

-"Je vais jusqu'à Bethune et revient sur Lille après, si tu veux tu peux m'accompagner?" Je ne sais pas pourquoi mais son invitation m'intriguais...Je tél à ma mère pour lui dire que je passais chez un pote avant de rentrer à la maison.

-"Cool, c'est la première fois que je monte dans un camion comme ca!"

On monte dans son bahut, qui me parait très haut, on a l'impression de tout dominer à cette hauteur et il démarre direction Béthune.

-"Tu t'appelles comment?

-"Léo et toi?

-"Djibril. T'as une copine Léo?

-"Euh...non." J'étais gêné par la question sachant que je préférais les mecs. "Et toi?"

-"Je suis marié ouais, mais je la vois que le week end avec mon boulot de routier...donc la semaine j'aime m'amuser, tu vois, j'aime pas avoir les couilles pleines...."

Je ne savais pas trop comment réagir à ce que je venais d'entendre...j'avais presque l'impression que c'était une invitation mais bon....peut être me faisais je des histoires tout seul....

-"Mais tu fais comment du coup pour rencontrer des filles?

-"J'ai pas dit que c'était des filles que je rencontrais la semaine...." Voilà qui était plus clair....Je ne le voyais plus de la même manière désormais.

-"Ah ok...tu es bi alors? " je lui demandais

-"Ouais, on peut dire ça comme ca....et toi t'aimes quoi?

-"Euh...ben....

-"Je suis sûr que t'aimes la bite Léo....Je le sens...." J'étais très gêné et mon silence approuvait ce qu'il demandait.....

-"Et tu as beaucoup d'expérience avec les mecs?

-"Euh...un peu...

-"Hmmm c'est intéressant ça.....Ca fait deux jours que j'ai pas juté tu sais...." en disant ça, il s'était mis à se toucher le paquet....

-"T'aimes sucer? te faire prendre?

-"Euh...oui ca va....

-"T'aimes les grosses bites?

-"J'en ai eu qu'une fois une grosse et oui j'ai bien aimé...." Il avait désormais baissé sa fermeture éclair de son pantalon et passé la main dedans.....La nuit commencait à tomber doucement, je regardais du coup de l'oeil son paquet....

-"Ca te dit de me faire plaisir Léo?

-"Euh...pourquoi pas...."

Djibril sort alors sa bite....Je lache un léger cri d'extase devant son membre impressionnant.....

-"Donnes ta main" Il me saisit la main et la pose sur sa bite, toujours en conduisant....Je suis impressionné devant la largeur de son chibre....il a au moins 22 cm de bite !!!

-"Alors, comment tu la trouves?

-"Euh...grosse!" Je le branlais doucement....

-"Viens, détaches toi et assis toi entre mes jambes

-"C'est pas dangereux?

-"Non, t'inquiètes". Il avait enlevé son pantalon complétement, sa grosse bite trônait entre le siège et le volant.....

Je me détache et m'insère entre ses jambes, dans le peu d'espace disponible....Il m'attrappe la tête et me plaonge sa queue dans la bouche.

-"Suces moi salope"

J'avais jamais sucé une si grosse queue....j'avais du mal à tout rentrer et j'y arrivais d'ailleurs pas....

-"Hmmm...oui comme ça, vas y.....suces là à fond...." Je bandais aussi comme un fou....Putain je sucais une bite de black dans un camion en roulant le kiff!

Au fur et à mesure, je m'habitue au diamètre de l'engin, je le pompe bien, je bave de partout....

-"T'es une bonne suceuse tu vois, t'aimes bien la bite de black hein?

-"Oui...slurp slurp....

-"Continues bébé, suces....plus fort ...encore...." je le pompe de longues minutes, je commence à avoir mal au dos dans cette position inconfortable mais dans le même temps ca me fait bien tripper...

-"Ouvres bien la bouche salope...vas y...je vais cracher et je veux pas salir mon bahut ok?? " Il me bloque même la tête et m'enfonce son gourdin en fond de gorge, je manque de m'étouffer....pas le choix que d'avaler....

-"Oh oui...Putain....avales salope...avales ma sauce!!!!!" Je recois de longs jets de foutres épais et crémeux en pleine gorge....je les avale comme je peux, essaye de reprendre ma respiration....putain le salaud il éjacule des litres en plus....J'avale tout....puis lui lèche de nouveau son gros gland....

-"Quelle pute je kiffe....Vas y rassieds toi à ta place"

Je reprends ma place, j'avais transpiré tellement je m'étais donné à fond. Djibril avait toujours le pantalon baissé, sa grosse queue avait dégonflée mais était toujours aussi impressionnante, elle reposait sur son siège entre ses grosses cuisses musclées.

-"J'aime les petites putes blanches comme toi, qui se donnent bien à fond...On arrive dans 20 minutes. Baisses ton froc

-"Euh..comment ça?

-"Enlèves ton pantalon et ton slip salope"

J'aimais sa façon de parler....Je baisse mon pantalon, et mon petit boxer blanc.....Mes 16 centimètres sont à l'air libre dans la cabine du routier qui roule toujours....heureusement qu'il fait nuit!

-"Ok, mets toi un peu de côté, ton cu tourné vers moi"

Je m'execute, me tourne un peu vers lui...

-"Plus haut le cu salope! "

Il me claque les fesses avec sa grosse main de black.

-"Hmm un bon cu de pute ça! Il glisse alors un doigt plein de gel dans mon petit trou serré....

-"Ohh le petit trou de pute....Tu t'es pas fait baisé depuis quand?

-"Euh ca fait longtemps....

-"Hmmm, on va bien ouvrir tout ça, rapproches toi de moi" Il remet du gel et renfonce son doigt dans mon cu....Puis un second....Il me pénétre le trou avec ses doigts doigts, tout en conduisant son camion d'une main.....Il passe les vitesses entre deux, laissant mon cu reprendre ses esprits entre deux doigtés....Je sens que je suis bien ouvert...Je prends même du plaisir à me faire toucher le trou comme ça....

-"Tu t'es déjà pris une grosse queue comme la mienne?

-"Non pas aussi grosse....

-"Ok tu vas voir tu vas kiffer..." Je sais pas quand et comment il comptait me la mettre mais j'étais excité.

-"Ouvres la boite à gants et prend le gode dedans bébé".

Je m'execute, et sors un gros gode en plastique de la taille de sa bite d'ailleurs....

-"Tiens, mets du gel dessus et godes toi devant moi...

-"C'est gros..." je lui dis en enduisant le gode de gel....

-"Oui, mais c'est ce que tu va ste prendre dans la chatte mon petit...."

Je me remets de côté, les fesses tournées vers mon conducteur black et me rentre doucement le gode qui m'écarte bien le cu...

-"Voilà, comme ça.....Vas y enfonces le, n'ai pas peur...." J'avais rentré que 15 cm et déjà j'avais un peu mal....

-"Allez, plus fort Léo!!" Il l'avait attrappé d'une main et l'avait enfoncé dans mon cu

-"Aie!! doucement!!!

-"T'inquiètes, vas y bébé, continues" Il me l'avait planté à fond le bâtard......Je le ressors doucement complètement....

-"Fais moi voir ta chatte " Il me touche le trou, ses doigts, deux ou trois je sais pas glissent dans mon trou bien lubrifié et ouvert...

-"Putain c'est bon, vas y continues à te goder bébé" Il s'était mis à rebander et se branlait même en m'observant me goder à ses côtés...Je m'étonnais à prendre mon pied comme ça....je couinais même dans le camion, en gémissant doucement avec ce gros gode dans le cu.....

-"T'as vu comme ma bite est bien grosse? Elle est pour toi. On arrive, Je te baise et après tu m'aides à décharger."

On arrive à proximité d'un hangar où il devait décharger sa marchandise, il se gare en marche arrière, la bite dressée toujours entre les cuisses, et moi à côté avec ce gros gode dans le cu.

-"Vas-y enlèves ton gode" me demande t il. Je l'enlève, il me tourne un peu, et se rapproche de moi, m'éffleure un peu le cu bien ouvert et m'empale direct sa grosse bite de black dans le cu. Il y va fort...très fort même....le camion bouge au rythme de

ses pénétrations...

-"Tu la sens bien ma queue?

-"hmm...oui....oh...oui....." j'avais du mal à parler tellement c'était fort. A vrai dire, je n'avais jamais pris aussi gros dans le cu je crois mais malgré tout, elle passait bien, il pouvait la ressortir et la reglisser à fond sans capote dedans.....

-"Putain t'es bonne toi...viens me la resucer un peu bébé"

Il s'était rassis sur son siège, sa grosse pine humidifiée par les sécrétions d'excitation de ma chatte ....Je me rapproche toujours affamé de la bête et l'avale en bouche....Il me doigte avec 2/3 doigts en même temps, je sens que j'ai le trou ouvert comme jamais.

-"Allez je vais me vider dans ta chatte et on décharge, il faut se dépêcher"

Il me rallonge alors comme il peut sur mon siège et vient me replanter son gros dard....Là, ce n'est plus de la baise mais carrément un défouloir, sa bite c'est un marteau piqueur...

-"Prends ça sale puuuuuuuttttteeeeeeeeee!!!! " Je pense qu'il m'avait rempli de son jus....Il ralentit et se retire doucement....Putain mon cu relache la grosse saucée.....j'ai le cu inondé de jus...
-"Viens me la nettoyer bébé et après on y va". Je reprends sa bite toute blanchie de son sperm et la nettoie bien à fond...Je m'impressionnais à faire la pute de cette façon mais j'étais excité comme jamais...

-"C'est bien Léo...allez on décharge et on rentre! "

Le déchargement m'épuisa comme jamais après cette baise intense....Le chemin du retour fut beaucoup plus calme....je pense avoir dormi tout le trajet, épuisé!!

En me redéposant, il me dit :

-"Si tu veux refaire une livraison avec moi, no blèm...j'ai des potes routiers aussi si tu veux...."

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Samedi 26 décembre 6 26 /12 /Déc 16:01

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Je m'appelle Guillaume. J'ai 19 ans et je suis le fils unique d'une famille catholique et assez conservatrice. Mes parents ne savent pas que j'ai un penchant particulier pour les hommes, et c'est très bien comme ca.

Ils sont donc croyants et vont à l'église tous les dimanches. Depuis l'été 2015, la crise des migrants s'est accentuée, et les prêtres dans les églises ont été invités à proposer aux fidèles d'accueillir des migrants syriens chez eux. C'est ce que mes parents ont fait. Pour le meilleur et pour le pire visiblement.

Le 23 octobre, nous voilà donc en route mes parents et moi pour l'église afin de chercher les deux réfugiés syriens qui doivent venir habiter chez nous. A notre arrivée, le prêtre nous présente deux hommes, je dirais la quarantaine, typés orientaux. Ils ne se ressemblent pas plus que ca.

"-Ah bonjour. Voici donc Ahmed et Tarek. Ils ne parlent pas français, uniquement arabe et anglais. Je vous les confie. Que Dieu vous garde."

Sympa le prêtre, pas tres bavard. Enfin bon je réfléchis pendant que mon père leur montre la voiture et charge les maigres bagages dans le coffre. Mes parents ne parlent pas anglais, je suis donc le seul à pouvoir faire l'intermédiaire. Ca va être l'éclate totale ... En voiture je me retrouve donc derrière entre ces deux hommes virils. Le contraste est assez grand, entre les deux mâles barbus et moi, petit minet maigre sans un poils de barbe avec encore une peau de bébé. Ils sentent assez forts, visiblement le prêtre ne leur a pas proposé de douche depuis un bout de temps. J'avoue que c'est pas du tout mon genre d'homme, donc je ne fantasme pas sur eux.

Ma mère dit alors :

"- tu sais Guillaume, ils vont dormir dans la chambre d'amis, mais tu vas devoir partager ta salle de bain avec eux."

Et merde, j'y avais pas pensé à ça.

Les jours ont passé, ils logeaient à la maison sans vraiment être présent aux activités familiales. En fait, on ne les voyait pa beaucoup, ils passaient leur temps dans leur chambre ou dehors à sortir en ville.

Un jour, je me suis retrouvé seul dans l'appartement. Je n'avais pas baisé depuis longtemps et je bandais pour un rien. J'ai eu une envie de me branler assez forte. Je suis entré dans la chambre des syriens. Et ce que j'ai vu m'a excité au plus haut point. Des affaires sales partout sur le sol, et notamment des slips sales par terre. Je me suis assis sur leur lit et j'ai reniflé un slip qui avait été blanc. Il était plutôt jaunâtre maintenant, et il sentait très fort. Des traces de pisses, des poils noirs, et une odeur de jus et de pisse. Il ne m'en fallu pas plus pour me filer une gaule d'enfer. Ma bite de 14 cm en érection était dur comme jamais tandis que je reniflais. L'idée de poser mon nez et ma langue là où ces hommes avaient mis leur bite était tout bonnement jouissive. Je me branlais énergiquement jusqu'à cracher mon jus dans ma main. Evidement je le léchais pour ne pas en perdre une goutte. J'adore le gout du sperme, le mien particulièrement.

Souvent j'ai refais cette expérience tandis que j'étais seul à la maison. Tout du moins je pensais être seul. Un jour, Tarek est entré discrètement dans l'appartement et a passé sa tête par la porte. Il m'a vu avec son slip sur le nez et ma bite dans ma main.

La conversation qui suit a eu lieu en anglais, mais je vous la traduit.

"-qu'est ce que tu fais là ? T'es sérieux à renfiler mon slip ? Ah mais en fait t'es un petit pd ? Je le savais en te voyant marcher comme une meuf dans ton jean hyper serré !

J'essayais de me justifier.

- Non mais je voulais voir si ton slip était sale pour le mettre à la machine.

- C'est ça prend moi pour un con. Je t'ai vu, et j'ai pris une photo avec mon portable. Tu veux que tes parents soient au courant de ce que tu fais ?

- Non s'il vous plait, pas ça. Je ferai tout mais pas ça. Dis-je en sanglotant.

- Putain et tu pleures comme une meuf. Tu sais, j'ai pas baisé depuis longtemps, alors tu vas commencer par me sucer la bite."

Je tentais de refuser, mais il s'est approché et m'a forcé. Je ne faisais pas le poids, je pèse 50 kilos, lui beaucoup plus. Il m'a colé ma tête contre son paquet, et même à travers son jean je pouvais sentir une odeur particulièrement excitante. Il a baissé son jean et son slip en même temps et sa lourde et grosse bite est venu taper contre ma joue. Je me suis pris une espèce de biffle sans que ca soit vraiment volontaire.

Sa bite était grosse, circoncise, et beaucoup plus imposante que mon petit zizi. J'ai alors ouvert la bouche sans trop savoir pourquoi j'obéissais, et j'ai sucé. C'était pas ma première fois loin de là, je suis gay donc j'ai déjà couché mais quand même. Ce mec me répugnait, mais sa bite m'excitait.

J'ai sucé docilement, jusqu'à ce qu'il éjacule partout sur mon visage et sur mes cheveux blonds. Je l'ai vu prendre une photo de mon visage souillé.

"- Ca c'est la preuve que t'es une salope. Si tu m'obéis tes parents ne verront rien. Mais Ahmed doit être au courant maintenant.

J'étais trop sonné pour répliquer quoi que ce soit.

-Aller dégage de ma chambre."

Plus les jours passaient, plus j'étais excité en repensant à ce qui venait de se passer.

Mes parents partirent pour une semaine en Italie. J'étais donc seul avec mes deux syriens dans l'appartement. A peine mes parents eurent-ils fermé la porte d'entrée, que Tarek gueula dans tout l'appartement :

"- Guillaume ! Viens ici !

Je me dépêchais de le rejoindre.

Il était là avec Ahmed. Ils parlaient en arabe, je comprenais rien du tout.

-Deshabille toi ! me lança Ahmed.

J'obéis jusqu'à me retrouver nu comme un ver.

- Putain regarde sa petite bite ! Il est ridicule, on dirait même pas un garçon.

- T'as raison, il est comme tous les européens.

Et ils rigolaient entre eux, j'été humilié et rouge de honte.

Ce jour là j'ai du les sucer, mais également me faire enculer et boire beaucoup de jus.

Mais ce n'était pas terminé. J'ai du leur préparer à manger, leur lecher les pieds, les aisselles transpirantes et devenir leur boniche.

Au fond j'aimais ça, être un larbin. Le lendemain, ce fut la même chose, si ce n'est que maintenant je n'avais plus le droit de m'habiller dans l'appartement. Je devais être nu tout le temps. Et puis Tarek a fouillé dans ma chambre et il a trouvé de l'argent. Il l'a pris, volé en quelque sorte. Mais je n'ai pas bronché. Le Lendemain il m'ont demandé d'aller à la banque pour retirer de l'argent. Je l'ai fais, et j'ai du leur donner.

Cette semaine fut éprouvante, je n'ai presque pas dormi, ils ne se lavaient plus, ils étaient sales et moi j'obéissais. Je faisais le ménage, la lessive, le repas, les courses, et je devais leur donner 50 euros par jour à chacun. Ils avaient des photos et des vidéos de moi, je n'avais pas le choix.

Ils m'ont même rasé entièrement, m'ont craché dessus, et une fois même pissé dessus.

J'étais humilié, mais à ma place de pute à migrants.

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Lundi 21 décembre 1 21 /12 /Déc 18:15

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Bonsoir

 Jeune étudiant de 22 ans, passif mais pas inactif, brun 1m77 72 kg typé et beau cul. Je vais vous raconter le meilleur plan de ma vie.

 

Je rencontre Meka sur un site de rencontre gay. Ils est a 400m de chez moi, de passage chez de la famille dans le nord est.

Il a 40 ans, chauve 1m80 70 kg type lascar avec jogging et TN, bien foutu, bite 18cm bien épaisse.

 

Je l'invite à venir chez moi pour me loper. Au bout de 20min il était LÀ. Bon 1ère fois : baise normal, petit hic, pas de lubrifiant, j'avais mal lors de la pénétration, et vu que lui la capote le serrait c'était rapide mais je lui ai promis que ça se reproduirai.

 

Promesse tenue. Un soir, même chose, contacte sur le site, chez moi en 20 min.

Cette fois ci il était en Marcel bleu, quand j'ai vu le Marcel j'ai mouillé direct. A peine rentré je l'embrasse et il me rend mon baiser sauvagement

 

Moi : putain tu es sexy tu gardes ton Marcel pendant que tu me démontes

Lui : ok

 

Je lui arrache tout ses vêtements, bien sur sans le marcel et il fait pareil.

Je le suce un peu (car j'aime pas trop ça) pour le faire bander, en quelques minutes, son soldat était déjà prêt

 

Je me suis armé de mon lubrifiant et d'une capote, je la lui mets et me pénètre d'un coup

Surpris, ça ne m'a pas fait mal. A partir de là j'ai pris cher, des coup de bite tellement intenses que je pouvais plus m'empecher de hurler.

 

Il me mit sa main sur ma bouche car je faisais trop de bruit mais il ne pouvait pas continuer longtemps à me limer car la capote le serrait un peu

Je décide alors de la lui faire virer. il me regarde d'un air content et me dit : oh toi je vais te féconder comme une pute.

 

En entendant ça, je mouille encore plus. Allongé sur le dos, les jambes en l'air, je le vois entrain de me démonter et je sens bien la peau de sa belle bite dans mon trou.

Il entamme des vas en viens tellement violents que j'en pleurais de plaisir, ma bouche grande ouverte il me crache dedans, me fout une baffe et m'ordonne de me taire.

 

Je m'exécute et je lui lance : vas y t'arrête pas connard baise ce cul enfoiré de merde

 

Il me met sa main sur la bouche encore et me crache au visage.

Je sentis sa queue se raidir et ses coup s'accélérer, je le vois lever la tête au ciel il gémis et je sens un jet de foutre chaud dans mes entrailles, j'en profite pour juter à mon tour sur mon ventre.

Il sorti sa queue de mon trou se rhabilla puis reparti sans rien me dire.

 

L'enfoiré m'a ensuite bloqué sur l'appli, mais je ne sais pas pourquoi mais le fait qu'il me baise au jus puis me jette comme ça m'excite encore plus.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : babaslebatard - Voir les 0 commentaires
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Mercredi 16 décembre 3 16 /12 /Déc 08:27

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Bonjour,

Cette histoire mes arrivé il y a quelque année.

Moi je suis Nicolas un jeune de 18 ans et je débute ma carrière dans la vie et aussi au niveau du sexe car je ne suis plus chez mes parents qui ne savent pas que je suis gay. Grace au pole emploi de ma ville j'ai eu une mission de longue durée dans le Nord (59), nourrit blanchit et logé.

Parfais pour commencer et puis surtout m'éloigner de mes parents et pourquoi  pas trouver un gars comme moi qui aime les hommes. Car oui je n'ai pas encore à ce jour eu la moindre expérience avec un mec et encore moins une fille, alors que la moitié de mes potes de cité eux ont déjà niker des centaines de filles !!

Je n'ai jamais osé franchir le pas avec une fille et je me sentais déjà attiré par les garçons mais je ne le faisais pas voir car c'est très mal vu dans notre cité les gays.

Donc me voila parti pour Lille en sachant juste que j'allais atterrir dans un foyer pour travailleur, logé gracieusement par mon employeur et sachant aussi que le lendemain je commençais mon boulot dans le TP (travaux publique).

Je n'ai même pas eu le temps de découvrir la ville de Lille car je commençais tôt le lendemain.

Arrivé devant le foyer pour décharger mes affaires et m'installer dans ma nouvelle chambre. Je découvre qu'il y a plein de maghrébins et de blacks qui squattent devant l'entrée du foyer.

Que de vieux arabes et blacks habillés en tenue de chantier ! Rien d'excitant, j'espérais qu'il y avait quelques jeunes de mon âge pour faire connaissances et pourquoi  pas aller plus loin !

Je m'installe donc dans ma petite chambre pour passer la nuit, j'étais fatigué avec le voyage et je mets donc mon réveil pour 7 heures pour rejoindre le chantier juste a coté.

J'ai eu du mal à dormir cette nuit-là, j'entendais des pas dans le couloir, comme si les gars déambulaient dans les étages à la recherche de plan cul !

Le lendemain, dispo et frais après une bonne douche collective ! Hé oui je me suis retrouvé avec 8 maghrébins dans les douches, j'ai vu quelques regards se posé sur mes fesses blanche.

Arrivé au travail je constate que tous les vieux maghrébins qui étaient dans mon foyer travaillaient également avec moi. Super ! Pas de jeunes j'étais vert !

Apres le boulot, je me suis pris une bonne douche pour mater les queues car même si j'ai fait mon coincé le midi, je ne pouvais pas me retenir quand je vois des sexes d'hommes.

Un marocain d'une cinquantaine d'année était déjà en train de se laver, il avait une énorme queue d'arabe, bien épaisse et il me voit lui regarder la queue. Lui matte mon cul imberbe et se caresse la queue. Puis il me demande de le suivre, et là, j'atterris dans sa chambre le cul cambré sur son lit sans que je comprenne vraiment ce que je suis en train de faire !!

Le vieil arabe se prive pas pour me défoncer le cul, alors encore vierge, il me tenait la bouche pour ne pas que je crie, il me laisse partir une fois qu'il s'est vide dans mon cul, je me sentais souiller, sale, comme violé, sauf que j'avais quand même apprécie de me faire bourrer comme sa pour la première fois, me sentir une vrai salope entre ses mains.

J'avais toujours rêvé d'une première fois en douceur mais bon ! Le soir après avoir mangé dans le réfectoire ou plusieurs mecs m'observer du coin de l'œil est regarder un peu le foot sur la télé, j'ai regagné ma chambre et deviné qui me suit ?

Le vieux maghrébin qui m'avais sauté dans l'après midi, il  force un peu ma porte au moment ou je volais la fermée. Il rentre et me sors son gros zeb en me demandant que je mette à genoux. C'est la première fois que j'allai goûter une queue avec toutes les idées que je m'étais fait !

Il me dit direct que je suçais bien et que j'étais une bonne coquine, une bonne salope avec son vieil accent arabe et moi je prenais mon pied à le pomper.

Sauf que une fois parti un autre mec cogne à la porte pour me dire qu'il était au courant de ce que le vieux m'avait fait et que si je me faisait pas baiser, il va tout raconter aux autres pensionnaires du foyer de travailleur.

Lui aussi me baisa comme un vrai chienne que je suis maintenant et me cassa le cul avant de partir il fait rentrer un africain de 45 ans qui avait déjà la queue à la main et qui me pina direct sans que j'ai eu le temps de dire quoi que ce soit !

Le lendemain je me sentais honteux en les voyants au boulot ! Depuis ils sont 8 arabes et blacks à venir me troncher chacun leur tours le tout discrètement. Je suis devenu leur vide couille, leur salope et ça me plait et c'est surtout super réel.

 PS : Dans se foyer de travailleur, j'y suis restais 5 ans, parce que mon employeur ma renouveler mon contrat plusieurs fois.

Peut être que je vous raconterais pourquoi mon employeur ma renouveler mon contrat pendant 5 ans.

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Samedi 5 décembre 6 05 /12 /Déc 12:25

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Le meilleur ami de mon père est plutôt bel homme, beur, la quarantaine, grand brun…

J'ai souvent fantasmé en pensant à lui et sur la teub de son beau-frère, elle est XXL au travers de son short… miam.

Un jour il me demande si ça me plairai de partir 2 mois en vacance avec lui et son beau-frère. Ils avaient loué une petite maison en Espagne sur la côte.

Sautant sur l'occasion de me retrouver en vacances avec ces deux beaux apollons j'acceptais avec grand plaisir.

Nous partîmes donc en voitures deux semaines plus tard, je suis un grand jeune homme, tout juste 18 ans, j'ai les yeux bleu, cheveux noirs avec des lèvres à faire fondre n'importe quelle fille, mais dommage pour elles je suis 100 % gay !!!

 

Dans la voiture, je dormis un long moment car nous étions partis vraiment très tôt. Le beau-frère de l'ami de mon père, appelons les Paul et Alberto me dévisageait durant mon sommeil, je le sais car je m'étais réveillé… Il disait à Alberto que j'étais trop bandant…

Arrivés à la maison, après avoir fait un tour du domicile je m'aperçus qu'il n'y avait qu'un lit dans la maison et que dans une petite pièce sans fenêtre trônait une cage. En plaisantant je leur dis que je prendrais la cage, mais ils me répondirent que se serais ma chambre pour le séjour. Je ne m'aperçus pas que Paul m'arrachait mes vêtements en me précisant que je n'aurais pas besoin de les porter, à la place de mon boxer il remonta un petit string noir en cuir bien dans ma petite raie.

Il fut énormément surpris que je m'étais mise à bander, et il lança à l'attention de Alberto que j'étais une bonne petite pute assoiffée de bites et qu'ils allaient bien s'amuser avec pendant ces 2 mois.

Alberto nous appela pour le souper, mais il n'y avait seulement deux couverts, avec un sourire vicieux il me dit de passer sous la table si je voulais manger. Me résignant, il défaisait les boutons de son jeans pour m'enfoncer un pieu de 25 sur 5 cm inutile de vous dire que j'ai failli m'étouffer. Après une heure d'une pipe très mouillée, il me saisit par les cheveux et me gicla 6-7 jets salés au fond des amygdales.

Puis on sonna et la porte s'ouvrit sur 5 jeunes supers beaux qui disaient m'avoir loué pour la nuit. Je vis des liasses de billets quitter la poche de Mahomet pour finir dans les mains d'Alberto. Durant le trajet en voiture ils m'enfoncèrent un plug taille 4 et me dirent que leur nouvelle esclave allait se faire prendre par toute leur cité et me forcèrent à sucer un jeune rebeu qui me lâcha sa sève bien au fond.

 

A la cité je dus me mettre à genou pendant qu'ils me jutaient dans la bouche. Ensuite L'un d'eux me força à boire son urine et me dit que si une goutte perlait sur mes lèvres de suceuse, mon cul ne s'en remettrait pas… Après avoir tout bu et manqué de vomir un autre me mit son pieu à sec dans le fondement et me laboura pendant 1 heure, il était endurant le salaud, après son éjaculation, environ 50 rebeus de la cité me rentrèrent leurs chibres et à la fin ceux-ci coulissaient comme dans du beurre.

De retour à la maison je me fis mettre par Paul qui fait environ 30cm sur 8. Putain il a du forcer et je pleurais quand il m'a dit d'avaler son foutre…

Pendant c'est 2 mois, j'ai été la pute de Paul et d'Alberto, et de beaucoup d'autres mecs pars qu'ils ont continuer a me louer a d'autres mecs de divers cité, des ouvriers chantiers….

A la fin des 2 mois j'avais le cul et la bouche défoncé comme jamais.

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Jeudi 10 avril 4 10 /04 /Avr 12:07

raclette5

En 2007, je m'étais inscrit sur un site un peu hard, Xtremboy. J'ai pratiqué ponctuellement le SM mais à cette époque, j'avais surtout dans l'idée de rencontrer des passifs un peu soumis pour des baises plus hard que la moyenne. C'est en mai que j'ai été contacté pour la première fois par un mec d'une trentaine d'année dont le pseudo était un truc du genre «Bâtard69».

 

Après deux ou trois échanges de messages, je lui demandai ses trips. Il voulait être surtout bousculé. Ce n'était pas un problème. J'aime les rapports un peu violents si le partenaire en a envie bien sûr. Je me souviens avoir fait durer le plaisir. Je lui ai demandé de se décrire en détails, de m'envoyer des photos de sa gueule et j'ai fini par lui donner mon numéro de téléphone. Il ne traîna pas et m'appela tout de suite :

«Salut. Tu recherches quoi ?»

«Un bon petit passif, salope, soumis.»

«T'as vu mes photos, je peux te plaire ?»

«Ouais, t'es mignon.»

«Tu es libre quand ?»

«Maintenant. Tu reçois ?»

«Oui...»

 

Il me donna son adresse. Il habitait le sixième pas très loin de chez moi. J'enfilai un caleçon, un jean et un tee shirt blanc, mon blouson en cuir, des baskets et je me mis en route. Volontairement, je ne lui avais pas donné mon prénom et ne lui avais pas demandé le sien.

 

L'immeuble n'avait pas d'interphone. Je montais l'escalier et entrai dans l'appart dont la porte était entrouverte. L'appartement était un peu obscur mais je pouvais le voir. Il était nu, à quatre pattes dans le couloir comme je lui avais ordonné. Il était petit, trapu, mignon, il me plut tout de suite. Je m'approchai. Il se releva un peu et commença à sniffer ma braguette ce qui me fit bander instantanément. Je décidai de le me la jouer dominateur. Je lui pris la tête et lui frottait contre ma braguette sans considération pour lui. Il bandait comme un malade.

 

«Tu veux sucer ma queue ?»

Pour toute réponse, il sortit sa langue et descendit le long de ma jambe jusqu'à ma basket et commença à lécher.

«T'aimes les skets garçon ?»

«Ouais...»

«Lèche !»

Il ne se fit pas prier. Je l'entraînai jusqu'au salon que je pouvais apercevoir et m'installai sur le canapé, jambes écartées. Il se vautra à mes pieds et commença à lécher consciencieusement l'un de mes baskets alors que je posai mon autre pied sur sa nuque.

«Bouffe !»

Tandis que je le bloquais dans cette position humiliante, je défis les boutons de ma braguette. Je ne tenais plus dans mon jean tant ma bite était raide.

 

«Viens sucer...»

Il se redressa un peu. Sa queue était très raide et humide, je pouvais voir son gland mouiller terriblement. Il sortit sa langue tout en me regardant et lécha mon boxer. Je me souviens même de ce que je portais. C'était un dim bleu électrique et sa salive le trempa en une seconde ce qui m'excita encore plus. Délicatement, il baissa mon pantalon et mon boxer, je me soulevai légèrement pour le laisser faire. Il commença à passer sa langue sur mes couilles.

«Applique-toi. Fais-moi bander.»

Il obéit. Chacun de ses coups de langue faisait durcir ma queue encore plus fort. C'était trop bien. J'adorai.

«Enlève mes pompes !»

Mon ton était dur, un peu vulgaire. J'aime ce genre de plan et je joue mon rôle à fond. Il fit ni une ni deux et retira mes baskets en en sniffant l'intérieur longuement. Il sortit une petite fiole de poppers d'un tiroir de la table basse qu'il respira en même temps. Il me le tendis. Je le relevai et le giflai légèrement :

«Comment ça tu te sers avant moi ???»

«Pardon...»

La claque le fit bander encore plus fort. Je lui crachai sur le visage. Il ouvrit la bouche et je récidivai. Je remarquai ses pupilles dilatées. Il s'était déjà défoncé au poppers avant mon arrivée.

 

Je respirai à mon tour. Je bandais comme un malade lorsqu'il embrassa mes pieds en chaussettes. Il remonta et me suça avec un savoir-faire terrible. Je lui mis les mains sur la tête et le fit sucer en fond de gorge. C'était excellent. Il suffoquait un peu mais ne lâchait pas ma queue. Je lui claquai les fesses assez brutalement. Le poppers décuplait mon désir. Il était vraiment très mignon et me plaisait beaucoup. Je lui titillai le trou. Il s'ouvrit presque trop facilement mais j'étais si excité que je n'eus qu'une envie, le baiser à fond.

«Mets-moi une capote.»

Tel un petit clebs, il obéit et déchira l'emballage d'un préservatif qui se trouvait sur le tapis. Il l'enfila sur mon sexe avec sa bouche.

«Allez, à quatre pattes !»

Il monta sur la table basse et cambra son cul.

«C'est de la bite que tu veux ?»

«Oui Monsieur...»

Le «Monsieur» me surprit un peu mais je trouvai ça excitant. Je lui crachai dans le cul et lui massai le trou. Il grognait.

«Ta gueule !»

J'entrai en lui sans aucun problème. Je le saisis par les hanches et commençai à le pilonner. Il me tenait les cuisses avec ses pieds. Mon jean en bas des jambes me gênait un peu mais je ne voulais pas ressortir de son cul. Il se retourna pour me regarder et je le giflai à nouveau.

«Encore ?»

«Oui Monsieur.»

 

Il haletait, soufflait. Je lui interdis de se branler tant que j'étais dans son cul. J'y allai plus fort. Il gémissait mais pas d'une manière efféminée. Bâtard il était mais viril quand même. Je me souviens m'être demandé quel âge il pouvait bien avoir. Au début j'aurais dit la trentaine mais il faisait un poil plus jeune. Je me retirai pour ne pas jouir dans la capote et la jetai sur le tapis.

«Bouffe-moi les couilles !»

Il s'exécuta. C'était trop bien. Très excitant. Je n'eus pas à me toucher tant que ça pour lui éjaculer sur le visage. J'étais un peu mort mais je trouvai encore la force de lui pincer très fortement les tétons. Il jouit presque illico sur la table basse. Je lui donnait une petite claque sur la tête et remontai mon calbut et mon jean. Je remis mes baskets et retrouvai mon blouson puis sortit sans lui dire un mot.

 

Quelques heures plus tard. Il me laissa un message sur le site. «Merci, c'était super. Je peux te recontacter ?»

 

J'acceptai et nous nous sommes revus plusieurs fois dans les mêmes conditions puis je suis reparti bosser quelques temps sur Paris et je le perdis de vu

 

STANLYON

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Mardi 18 mars 2 18 /03 /Mars 10:46

1v

Le premier contact viril poilu me propose la venue d'un bogosse bon chiotte,

 

le bon chiotte suggère que s'ajoute au trio un quatrième qui lui est bon producteur.

 

Le plan s'organise et je suis alors contacté par texto par deux gars du sud débarquant à Paris les culs pleins en tn.

 

Je me dis que ça commence à faire beaucoup, assez inhabituel autant de scatos chos dispos en même temps.

 

Le premier mek n'est pas ok pour les deux derniers, merde, ça commence à foirer.

 

Du coup je propose deux séances à 30 minutes d'interval.

 

Là je ne sais pas si je serai plutôt donneur ou receveur.

 

Le chiotte paraît bien gourmand et motivé, il a faim, je ne veux pas lui voler son festin.

 

Quand il arrive, il s'installe rapidement en position allongé, bouche prête a servir, le 4ème et le 3ème arrivent synchros.

 

Le 4ème est le premier à se faire bouffer le cul, c'est trop beau à mater et les deux prennent bien du plaisir.

 

Il pousse et est bon chieur, le chiotte est bien gavé d'entrée, le troisième se positionne et se met à chier.

 

Même avec son grand appétit, j'admire le beau chiotte car je ne me serais pas vu bouffer autant de merde, à ce moment il lui reste encore 3 culs à vider.

 

Alors que le couple arrive, le mec viril poilu nous quitte, les deux se dessapent et commencent à se faire plaize ensemble.

 

Le chiotte veut à présent me bouffer le cul, ce n'est pas ma pratique la plus courante mais sa gueule et son corps sont hyper attrayantes :p

 

Quel talent, des sensations de oufs pendant qu'il lèche, que je pousse, il continue de bouffer, 3 culs à la suite et il a encore faim.

 

Les deux autres lui débourent a leur tour de bien beaux et gros étrons. Ils lui passent les semelles des tn à lécher, puis la chaussette.

 

Ils lui tassent la merde en bouche avec leux belles teubs, ils lui donnent leur pisse (et à moi aussi hummmm...).

 

L'un d'eux débourre encore et voyant le beux chiotte la bouche archi-pleine je m'en vais coller ma bouche à la sienne et aspire une partie d'étron.

 

Jolies scènes entre pigs, chacun à pris son pied. Une telle réunion ne se produit pas tout les jours, mais encore une fois merci au site qui nous à bien aidé à nous réunir :))

 

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Samedi 8 mars 6 08 /03 /Mars 08:52

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Salut les mecs. Moi c'est Romain de Roubaix, dans le Nord.

J'ai 22 ans, un look bien lascars, un petit mètre 70 bien hétéro, alors qu'en faites, jsuis accro à la bite.

 

Des mecs, jm'en fait depuis mes 16 ans. Mon trip, faire juter les hétéros. A coté, jsuis un gars cultivé, qui kiff sortir, fumer, boire. Une vie d'hétéro quoi !

Mes kiffs ? Jouer le macho pendant que le mec me pilonne. La pisse, le jus, la soumission, les molards. Jkiff être salis par le mac.

Y'a un mois, voilà que j'arrive à mes fins. Purger un hétéro bien bandant, à qui jpensais grave quand jme branlais.

 

Le mec, c'est Vincent. Un gars dmon age. Le mec est bien grand, 185 sur. Pas gros, jcrois qu'il a de beaux ptit abdos. Vincent, personne sait si il a eu des copines. Il en parle pas. Et de mon point de vue, c'est un PD. Jsais pas, les quelques manières, les regards. Jsuis perplexe.

 

Ca fait 1 ans que jtraque les fautes qu'il pourrait commettre, mais le peu qu'il fait, c'est des fautes d'hétéro.

Y'a un mois, l'actif qui mbaisais m'a prit la tête, et j'ai pas eu de news de lui. Jfile sur le tchat, cherche de bon gars bien foutu et bien monté. Que dalle, les mecs viennent, se la joue viril et jute 3 goutes en 3 secondes.

 

Dégouté, et incroyablement exité. Jme touche en cours, jregards ce Vincent pendant que mes doigts chatouillent mon trou. C'est bon, j'attaque !

Le Lundi aprem, c'est Projet. On est par groupe, chacun dans son coin, et on doit faire un projet. Libre de mouvement, on peut sortir, téléphoner, pisser...

 

Je surveille Vincent, car je sais qu'il a toujours envie de pisser, c'est là que j'attaquerai ! 15h30. Vincent sort. 10 secondes après lui, je le suis. La tension monte, j'espère qu'il sera seul dans les chiottes. 15h32

 

Vincent est sur l'urinoir, on est seul ! il y'a une ligne de 15 au moins, mais je choisis celui à coté.

Vincent semble gêné. Le bruit de sa pisse m'excite, je regards sans aucune discrétion dedans. Sa bite au repos est belle. Pas très longue, un bon 19, allez, 20.

"Qu'es-ce tu fais ?" me lance t'il ! Le problème avec la pisse, c'est que ça s'arrête pas quand t'as envie ! Vincent ne peut que me tenir du regards le temps qu'il arrête.

 

"Jregards si elle est plus grosse que moi !" Je lui répond. Je me recule, la main branlant, et montre ma bite. 17cm, jme ferais bien chier avec une bite comme la mienne dans le cul. Vincent regard, et me répond "Nan, elle est plus petite la tienne"

 

Grave excité, j'approche un doigt, et le place sur le jet de sa pisse. "Qu'es-ce que t'as !"

Ce doigt, plein de pisse, je l'apporte en bouche, grave vide.

Vincent me regard, choqué, pas un mot, pas un geste.

 

La pisse s'arrête, "si jte demande de nettoyer..." "donne" le coupant. Je tire Vincent dans un chiotte bien fermé. Sa bite pue la pisse, excellent. Je la porte en bouche, ferme les yeux. J'apprécie ce nectar. Ma langue tourne, sur cette teub qui ne bande pas. Je caresse ces couilles, pendant que mon autre main me branle.

 

Sa bite durcit, je le branle et le suce. C'est vraiment 20 que je mange. Vincent souffle tout bas "elle est grosse PD ? Ca va, c'est pas trop dur ?"

Trop drôle des actifs comme ça. Je lève les yeux et le regard droit dans les siens. J'avale jusqu'au couille cette petite bite de 20cm. C'est tellement bidon, que ma langue sort d'un petit ou 2 cm pour toucher ses couilles. Vincent se mord les lèvres. Il veut gémir. Ca bite gonfle. Je sors, et ravale tout jusqu'au couille. Encore et encore.

Kiffant ce bogoss. Ces couilles sentent le jus. Je sniffe, mais voilà qu'un gars de son groupe le cri dans les chiottes "Vincent?"

On arrête, et ne bouge plus. Le mec finit par partir.

 

Vincent ce met à se branler "Je jute et on y va."

Non ! Je lui réponds. "Jvais tlaisser mon num, Lundi pro t'envoies un message et je t'emmène dans un endroit vide, jvais avaler ta pisse et tu vas m'enculer."

 

On sort, la bouffe de l'aprem semble m'avoir rassasié pour quelques jours. Je lui pose mon num sur la table. Et je patiente une semaine.

Dimanche, je reçois un message "salut gros, toujours ok pour demain ?"

Appel direct, et le préviens, "t'as juté depuis ?"

Vincent à juter le soir même, en repensant à ça.

 

Dégouté, il va le payer.

 

Lundi aprem, message "j'ai envie". Je le regards, d'un coup de tête, lui fait comprendre de me suivre. Dans le couloir, je me retourne et le voit regarder mon cul. Mes mains passent dessus, une dedans. Prépare toi !

A 2 pas de notre salle, un escalier, qui mène à un couloir, et des salles toujours ouvertes. Cette partie, facilement accessible n'est plus utilisée, et à vrai dire, personne n'y fait vraiment gaffe. Bon nombre de couilles m'ont remplies là.

 

"T'es sérieux !" me lance t'il. "Laisse tombé, trop chaud"

 

Je m'interpose, le chope par les couilles, et lui ordonne "Ici, c'est moi qui décide, et ici, on se vide !"

Vincent ne bronche pas. Je ferme la salle avec le verrou de l'intérieur, et ordonne à Vincent de se foutre à poil.

 

Je fais pareil, et me doigte devant lui pour montré que j'ai grave envie de me faire troncher ma race !

Vincent s'avance devant moi, ca bite est molle "jsuis hétéro avant tout" prévient t'il

"Pisse est j'm'occupe de toi.

 

Sa bite s'avance dans ma bouche. On attends quelques dizaines de secondes avant que mon bonheur n'arrive. Elle est grave chaude ! Son goût n'est pas mauvais, un peu sucré, j'espère que son jus sera salé !

Les rales de plaiz se font entendre, il relève ma tête pour voir ma gueule de pute avaler sa pisse sans broncher. Je caresse ses couilles, sa bite bande.

La pisse coule, encore et encore, il a prévu le coup l'actif ! Agacé d'avaler, j'engouffre sa teub au fond de ma gorge. La pisse coule toute seul. J'ai aucun goût, je sens juste le liquide couler. Dommage, c'est moins bon. Vidé, je me met à le sucer. Sa bite ne doit plus sentir la pisse. Vincent fait des va et vient dans ma bouche.

 

Je ressort, m'allonge sur les tables, "viens, et fais genre d'enculer ma bouche". Vincent se met par dessus, et je glisse sa teub entre mes dents. Il va vite le bâtard. Ma gorge salive tellement c'est sec. Il gémit. J'écarte mes jambes, et glisse un doigt.

Vincent comprend, je sens son nez passer. Sa langue court direct à mon trou.

 

Vincent mfait un annulingus. Et il est pas mauvais l'actif ! La salive déborde, ça coule sur mon visage. Vincent ralentit, j'en profite pour qu'il se retire.Je me relève, me penche. Essuie avec sa bite ma salive. Et me retourne.

Penché, sa bite, bien mouillé est prête à rentrer.

 

Il ne bouge pas, on sent qu'il sait pas comment faire. Je fou de force sa bite dans mon cul, et enfin, Vincent commence ses vas et viens. Décu quand même, 20cm c'est beaucoup pour beaucoup. Mais moi, ca me chatouille. Je me branle, en l'insultant. "Alors batard, t'arrive pas mfaire mal !"

 

"Hum oui, saute moi le puceau, donne ton jus ! Défonce ma chatte l'hétéro, vas y chattouille mon cul !"

Vincent fou des claque, crache sur mon dos et met des fessés.

Ma semence monte. L'envie d'avoir sur jus dans le cul est trop fort. Je jute sur la table. Une bonne petite quantité. Jme recule, il se recule mais continue de se branler avec ma chatte. Mon nez sent cette bonne odeur de jus. Je lèche ma semence. J'avale. Cette vue doit t'exiler, car il se met au fond.

 

J'écarte mon cul, sa semence coule en moi. Une chaleur dans le cul, c'est trop bon. Je ne débande pas tellement jkiff. Je gémit moi aussi. Vincent reprend ces vas et viens. Je l'arrête et le fait sortir pour le sucer.

 

C'est bon, jdis pas, mais si il m'encule encore, son jus va sortir. Et ce soir quand jvais mbranler, jvais pas avoir de jus à lécher. A genoux, je lui nettoies la teub. Du jus sur le gland, pas grand chose mais assez pour me faire plaiz. Il débande. Il a kiffé, car en me relevant, l'hétéro m'a embrasser.

 

Et il en avait du jus! Le soir, pendant ma branle, j'ai senti, et j'ai kiffé ma race. A tel point que je l'ai appelé.

"Putin t'es bon quand même, tu l'as mit bien profond !"

"Ouai merci, t'es 100% pd au faites ? t'es quand même bi ?"

"Nan jsuis un enculé à 100% Un vide male."

 

Le lundi suivant, Vincent ne m'a pas envoyé de message.

Le bogoss est vraiment hétéro.

Mais bon, depuis, jme suis trouvé un couple sur Roubaix. Un beau rebeu verso, et un black actif TTBM. Et la salope en bouffe beaucoup du jus !

 

J'ai pas fini de kiffer ma race !

 

VIDEMALE

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