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fan de histoires de mec

Mercredi 11 juillet 3 11 /07 /Juil 23:51

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Je ne peux m’empêcher de vous raconter l’histoire qui me lie à mon frère. À l’époque, j’avais 19 ans et Chip en avait 17. Nous sommes châtains tous les deux et le sport nous a permis de développer notre musculature si bien que nous sommes plutôt bien foutus. Je sortais souvent en boîte avec différentes copines, n’ayant aucun problème à en changer lorsqu’une commençait à m’agacer. Chip lui avait sa blonde attitrée, une certaine Cindy.

Ce que j’aimais avec mes compagnes, c’était de leur lécher leur chatte puis de passer à leur rosette. Je pouvais rester longtemps à passer ma langue sur la peau boursouflée de leur anus. Plus les fesses de ma copine étaient fermes, plus elles m’attiraient.

C’est un jour que tout a basculé. Alors que je passais devant la chambre de mon frère, celui-ci en slip se trouvait à quatre pattes en train de chercher quelque chose par terre. Son postérieur était bien remonté vers moi. Je fus soufflé par la beauté et la fermeté de ses fesses. Je ne pus m’empêcher de siffler.

— Quel cul ! Ta copine doit apprécier !

— Quoi ? Me demanda-t-il interloqué.

— Y venir fourrer sa langue !

— T’es malade !

Mon frère ne semblait pas connaître ce plaisir entre partenaires.

— Me dit pas que ta copine ne t’as jamais léché le cul ?

— Ben non, c’est dégueulasse ! La tienne te le fait ?

— Souvent même, j’adore. Moi ça m’excite grave de leur lécher à mon tour.

— Ah bon ?

Je ne sais toujours pas ce qui m’a pris mais je lui proposai alors d’essayer.

— Si tu veux, je te le fais.

— Heu…

— Juste pour que tu connaisses la sensation.

Je me suis alors approché de lui, ai posé mes mains sur ses hanches et fait glisser son slip, découvrant ses fesses parfaitement dessinées et imberbes. J’y ai posé mes lèvres et ai écarté lentement les deux globes pour libérer son trou. Il s’allongea alors sur le lit, relevant ses fesses pendant que je plantai ma langue en lui. Il ne fut pas long à gémir, il faut dire que j’avais de l’expérience en la matière. Moi je bandais dans mon jean mais je préférai lui lécher le cul. Je l’ai ainsi travaillé cinq bonnes minutes puis nous nous sommes arrêtés là.

— Putain frérot, il va falloir que je demande à Cindy de me faire pareil.

Quelques jours plus tard, il vint me voir en me disant que Cindy avait refusé et qu’il en était dégoûté. Je lui proposai alors de recommencer l’aventure. Moi je trouvais son cul tellement bandant que je n’allais pas hésiter à recommencer. Il ne fut pas long à se foutre à poil et à me tendre ses fesses. La séance dura bien plus longtemps, je pouvais le voir se branler et jouir dans sa main.

On recommença de nombreuses fois. Je bandais à chaque fois, lui se branlait et moi je restais à lui lécher la rosette. Mais petit à petit, je pris l’habitude de sortir ma queue de mon jean et de me branler à mon tour. Lui était sur le lit à quatre pattes et moi par terre. Il ne pouvait deviner ce que je faisais, trop occupé à son plaisir. Au fur et à mesure de nos séances, je faisais davantage entrer ma langue en lui pour bien l’ouvrir.

Un soir, alors que nous étions seuls, lui m’offrant son cul, je n’ai pu résister. Je me suis glissé sur le lit, ai ouvert mon jean et me suis approché de son corps, la queue au garde à vous.

— Chad ! Que fais-tu ?

— Chut, je vais te faire connaître une sensation encore meilleure.

Sans plus attendre, je lui ai glissé ma queue dans son trou et me suis collé à lui. Je l’avais tellement travaillé de ma langue que je n’eus aucune difficulté. Il gémit rapidement.

— Oh putain !

— T’aimes ça ma queue dans ton cul ?

— Oh bordel c’est trop bon.

— Un si bon cul de salope, c’est fait pour les queues.

Je l’ai littéralement défoncé, profitant au maximum de son trou. Je devenais un animal. C’était la première fois que j’enculais un mec mais c’était jouissif, surtout le fait que ce soit mon frère.

— Vas-y encule-moi !

J’ahanais dans son dos.

— Fais de moi une chienne.

Il aimait les mots salaces, ce qui m’excitait davantage encore.

— Je vais faire de toi ma femme, mon frère chéri.

Je le fis s’allonger sur le dos, face à moi et suis venu lui fourrer ma queue dans son trou. Ses yeux étincelaient de désir. Il se branlait comme un fou pendant que je le possédais.

— Je vais te féconder.

Nous jouîmes ensemble, moi en lui et lui sur son ventre.

Depuis ce jour, j’ai pu profiter souvent du plus beau cul du monde.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Mardi 10 juillet 2 10 /07 /Juil 19:14

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J'avais aménagé avec deux potes, Ben et Eric. Ce soir là, on organisait une petite soirée. Ben était venu avec sa copine du moment, Alice, une petite branleuse que je ne pouvais pas supporter. Nous avions bu pas mal de bière quand Alice partit aux toilettes. À son retour, elle nous critiqua en disant qu'on voyait bien qu'on était entre mecs, les toilettes n'étaient pas propres. Ben devenait parfois mauvais quand il avait un peu bu. Il m'accusa d'avoir pissé par terre.

Malgré un petit pic de tension, l'ambiance se calma mais à un moment il fallut que j'aille épancher ma vessie. Je surpris alors un regard d'Alice à mon pote. Ce dernier m'empêcha de passer. J'avais super envie donc j'essayai de forcer le passage mais Ben me bloqua. Nous entreprîmes une petite lutte où vicieusement, il commença à me chatouiller. Je ne pus résister et me pissai dessus. Alice se moqua de moi en me traitant de tous les noms. Eric, qui n'avait rien dit car il était déjà bien éméché, intervint et avant que j'aie eu le temps de dire quelque chose, se mit à me pisser dessus. J'avais en ligne de mire sa belle tige et je ne bougeai pas, stoïque. Il n'en fallut pas plus pour que je me fasse traiter de pédé, de mateur dans les douches et tout y passa. Je rigolais bêtement car j'étais légèrement bourré.

Eric s'était un peu mouillé mais j'étais complètement trempé. Comme lui, je défis mon pantalon et enlevai mon tee-short pour me retrouver en boxer qui était lui aussi humide. Du coin de l’œil, je reluquai Eric au corps splendide et qui ne se rhabillait pas, complètement bourré. Je vis également que Ben avait commencé à peloter sa copine. Au regard de cette dernière, je devinais qu'elle avait remarqué avant moi que je bandais. En effet, ma barre était bien visible sous le tissu humide mais je n'arrivais pas à discerner ce qui m'excitait.

Elle demanda à Ben de me punir. Ce dernier avait reçu un peu de pisse sur ses chaussures, il me demanda de les essuyer. Je le fis, à genoux devant lui, mais il décida de les retirer et je me retrouvai face à des chaussettes pas clean. L'odeur me monta à la tête. Il me plaça ses pieds sur la bouche et emporté par mon élan, je lui retirai ses chaussettes. Ben m'ordonna alors de lécher ses pieds. Je m'exécutai avec bonheur. Quand elle vit que son copain y prenait du plaisir, elle sentit qu'elle était allée trop loin mais plutôt que calmer les choses elle se cassa. Mon pote était furieux.

— Dire que j'ai pas baisé depuis au moins deux semaines! lança-t-il.

— Fais comme moi, t'as qu'à te branler! dit soudain Eric, affalé sur le canapé et qui avait sorti sa queue.

Mon excitation monta d'un cran. Je savais qu'ils étaient tous les deux 100% hétéros mais dans l'état de la situation, je m'approchai de son sexe à découvert. Je laissai passer quelques instants, comme pour le laisser admettre ce qui allait survenir puis je me mis à le pomper. Jamais je n'aurais cru cela possible. Eric écarta les cuisses et remonta un peu les jambes me faisant signe qu'il voulait que je descende vers sa raie velue et parfumée. Je m'approchai de son anus et y enfonçai autant que je pus ma langue. Ben avait commencé à se branler de son côté et s'assit à côté d'Eric. Je lui prodiguai la même caresse buccale en m'enivrant de leurs odeurs de mecs.

Ensuite je me mis à alterner les fellations. Quand je pouvais, j'essayais de gober simultanément leurs deux gros glands. Ils éjaculèrent tous les deux sans prévenir. Leurs spermes mélangés dans ma bouche me coulaient sur le menton et le torse.

Nous n'étions pas encore dégrisés, ils me positionnèrent alors pour me baiser à tour de rôle en me traitant de tous les noms. Ben arriva deux fois encore à la jouissance et Eric, une fois. Ils avaient même essayé sans succès une double pénétration sur moi. Le tout s'était accompli en continuant à boire et j'avais fini par m'abrutir sur le tapis qui était dans un état indescriptible.

Quand je me réveillai le lendemain vers 16h, je fus troublé par cette odeur de fauve. J'avais encore une sensation de chaleur dans le cul et je vis les traces séchées et colorées sur le haut de mes cuisses. Je filai à la douche. Eric et Ben avaient disparu. Ils revinrent le soir même, l'un était parti dans sa famille, l'autre s'était réconcilié avec sa copine. Pas un mot ne fut échangé sur le délire de la veille.

Pendant les jours qui suivirent, je fantasmai à mort sur l'occasion qui permettrait de recommencer, sachant qu'on devait refaire une soirée arrosée le vendredi suivant. Qu'allait-il arriver?

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Mardi 10 juillet 2 10 /07 /Juil 17:46

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Aujourd'hui, j'ai rendez-vous avec un homme mûr pour sucer pour la première fois. J'ai 18 ans et je suis bi. Pendant longtemps, j’ai fantasmé sur le fait de sucer une grosse bite mais je n’ai jamais sauté le pas et il y a un mois, j’ai posté une annonce pour trouver ma première bite. Cet homme a vu mon annonce sur le net. Il m'a envoyé un mail pour avoir plus d’infos et savoir si j'étais OK vu son âge (50 ans). Il s’est décrit comme un homme d’expérience prêt à initier un jeunot.

On s’est donné rendez-vous dans une rue tranquille dans la ville où on habite tous les deux avant d’aller chez lui. Il arrive en voiture deux minutes après moi. Je monte. Il me demande si je suis toujours OK. Je lui fais signe que oui. Il démarre et après cinq minutes, on est chez lui. Il referme la porte d’entrée derrière moi et me dit de me mettre à l’aise. Il se prend un verre de whisky et se met dans le fauteuil.

— Bon on va passer aux choses sérieuses maintenant, me dit-il.

Je lui réponds avec un petit oui timide. Cet homme bedonnant (90 kg), mûr et poilu, m'excite énormément.

— À genoux et vient me renifler l’entrejambe.

Je m’exécute tout en tremblant d’hésitation et me mets à quatre pattes. Je m’avance vers lui en bougeant bien mes fesses et pose ma tête entre ses cuisses. Je renifle son paquet. Ça sent l'homme. D'une main, il m'agrippe la tête et me l’enfonce encore plus au fond des cuisses. Je devine la forme de sa bite à travers la pression quelle exerce sur mon visage. De l’autre main, il me malaxe les fesses à travers mon jean. On me dit souvent que j’ai un beau cul, un cul de fille.

— Hum, regarde comment je te malaxe les fesses fillettes. T’aimes ça être dans les mains d’un vieux pervers.

Il m’enlève mon jean et voit les dessous féminins qu’il m’avait demandé de mettre; à savoir: un string, des bas et une porte-jarretelle.

— À qui tu as piqué ces dessous de coquine?

— À ma grande sœur.

— C’est une salope comme toi on peut dire, elle a dû en sucer des bites! Tu t'es déjà branlé sur ta sœur?

— Non jamais!

Je sens sur ma bouche que son sexe a pris du volume, il commence à respirer plus fort.

— Enlève-moi mon pantalon, me dit-il.

Je m’exécute tout en tremblant alors qu’il me malaxe et me gifle les fesses de plus en plus fort. Il tire sur mon string et joue avec en le faisant claquer contre mon trou. Son slip cache une bite impressionnante, il commence à bander très dur, on devine facilement la taille de son engin à travers le fin tissu. Il prend ses deux mains et m'appuie sur la tête:

— Lèche.

Je lèche sa queue à travers son slip. Je me demande ce que je fais. Je suis en train de lécher le slip d’un homme qui pourrait être mon père! Je veux partir et lui demande de me relâcher, je ne suis plus sûr de rien, je ne suis pas gay, j’ai une petite copine que j'aime. Mais il refuse:

— Maintenant que tu m'as excité, tu ne crois pas que tu vas t’en sortir comme ça en me laissant avec mon chibre en érection?

D'une main, il continue sa pression sur mon crâne pour me maintenir la tête, de l’autre, il fait glisser son slip. Sa bite jaillit et vient toucher mes lèvres, son gland embrasse mes lèvres. Il bande dur et doit mesurer 20 cm. Il retire sa chemise et laisse apparaître son gros ventre poilu.

— Tu sais ce qu’il te reste à faire.

J'hésite mais je me rends compte que ma bite est sortie du string en dentelle que je porte tellement elle est dure. D'une main, je le branle alors que son gland touche mes lèvres.

— Ouvre! me dit-il tout en se relevant.

Sa bite rentre doucement dans ma bouche. Ça y est, j’ai ma première bite dans la bouche, et quelle bite!

— Allez, SUCE! Suce… suce!

Il me baise la bouche en me maintenant la tête entre ses deux mains imposantes.

— Ouvre plus grand. Avale à fond. Fais tourner ta langue. Tu aimes ça salope? Réponds-moi!

— Oui.

— T'aimes ça sucer des bites de 50 ans hein! C’est bien ça! T’avais vraiment envie de sucer toi!

Il continue de me baiser la bouche en m’insultant de salope en me maltraitant la tête entre ces mains de bucherons. Il me dit:

— Bon, tu vas me lécher un peu les couilles!

Ce que je fis, j’avais ses couilles velues dans la bouche. Il les a enfoncées en appuyant dessus. Après quelques minutes de ce supplice, il me relâche et me demande de le suivre. Il nous emmène dans son bureau et s’assoit sur une chaise.

— Va en dessous, j’ai un truc à faire. Lèche-moi les couilles pendant que j’écris un mail pour le boulot.

Je les lèche, elles sont velues et sentent assez fort. Je pose la langue dessus, lèche, suce et aspire ses bourses.

— C'est bien, tu sais que tu sais y faire salope. Regarde, je bande pour toi chienne. Mets-toi à quatre pattes.

J’enlève mon polo et me mets en position. Il passe sa bite sur tout mon corps, mon dos, mes bras, entre mes fesses et mon string, dans le cou, partout. Il tapote sa bite sur mon visage.

— Allez, reprends ton boulot et suce-moi à fond pétasse.

J’aspire son gland, lèche sa bite et l’enfonce au plus profond de ma gorge. Je sens son gland toucher le fond de ma gorge. Sûrement pas assez pour lui vu qu’il force et me baise la bouche. Il va de plus en plus vite je sens qu’il va jouir, il me tient fermement la tête alors que j’essaie de retirer sa bite.

— Tiens salope, prend mon nectar, chienne. Oh oui! T'es bonne, sale pute. Je t'ai dépucelé la bouche salope. Et ce n’est surement pas la dernière bite que tu vas admirer. Ooooohhhh... avale, avale. T’aimes ça le sperme, sale pute soumise. Tu es bonne que pour servir les hommes et sucer leurs bites.

Son sperme jaillit dans ma bouche. Il est chaud et sent assez fort. Il me tient le haut de la tête et le menton et me force à avaler. Il me représente sa bite.

— Nettoie la salope.

Je m’exécute et lèche son gland et le sperme qui reste. Elle est toute propre.

— Tu vois que tu aimes ça, tu bandes comme une salope. Mets mes couilles et ma bite dans ta bouche. Tout devrait rentrer maintenant quelle est débandée.

Il me fait accroupir sous le bureau avec son sexe mollasson dans ma bouche alors qu’il s’assoit à sa chaise.

— Garde tout ça en bouche chienne, je dois répondre à un mail.

Après cinq minutes, je sens un petit peu de pisse sortir de son pénis. Il me demande de tout avaler. J’avale sa pisse, ça me dégoute. Je me lève et commence à remettre mon jean.

— Tu crois pas que tu vas partir seulement maintenant? Je n’ai joui qu’une fois! Regarde, c'est toi sur la vidéo. Je nous ai filmés. Je pourrais l’envoyer à ta mère et ta copine, qu’en dis-tu?

— Non svp, elles ne savent pas que je suis bi; j'ai honte...

— Allez, excite moi! Alors bouge, caresse tes bas. Fais baisser doucement ton stringounet.

Je fais tout ce qu’il me demande. Il rebande à nouveau.

— Viens là, à quatre pattes, ton cul contre mes jambes. Salope, chienne. Regarde comment ma bite coulisse entre tes fesses sales suceuse de bite. Tu la veux dans ton petit trou de vierge salope? Je bande rien qu’à imaginer que je vais te dépuceler le cul, pétasse. Dis-moi que tu la veux?

— Je ne veux pas, lui dis-je en pleurant. On s'était mis d’accord sur une pipe c’est tout et vous êtes déjà allé trop loin. Je dois m'en aller, je suis désolé.

— Non non avaleuse de sperme, tu veux que je montre à ta mère comment t’avales? Je t'encule contre cette vidéo. Prends ce coussin, mets-le par terre et pose ta gueule de pute dessus.

Je m’exécute. Il tire mes fesses vers lui et pose une capote sur son pénis long de 20 cm. Il pose son gland sur mon anus et attend quelques secondes. Il regarde mon bas-ventre et voit que mon string est tendu à son maximum.

— Ça te plait même si tu ne veux pas l’admettre. Ton moi intérieur sait ta vraie nature: suceuse de pénis!

Alors que je lui réponds un "non svp" étouffé par mon coussin, il pousse un grand coup. Son gland et une partie de sa bite entrent dans mon trou vierge. Je crie en relevant la tête, il me gifle et me renvoie la tête contre le coussin. Je pleure alors qu'il continue à pousser pour faire rentrer ses 20 cm dans mon trou. Après de nombreux va-et-vient, je sens son ventre sur mon cul. L’enfoiré a glissé ses 20 cm en entier dans mon trou sans mon véritable accord.

— Hum... t'es toute serrée salope, j’adore dépuceler des petites pédales comme toi. Je suis bien au chaud, j’ai envie de rester là sans bouger. Tu aimes avoir une grosse bite au trou?

— Ça fait mal.

— Mais tu bandes dur pédé. Je vais te branler un peu pour que tu jouisses, ensuite je t'enculerai sévère pour que tu jouisses uniquement du cul.

Alors qu’il avait toujours sa bite entière dans mes petites fesses de femelles, il me branla quelques minutes. Je ne tardais pas à éjaculer. Il me fit lécher mon propre sperme en m’appuyant sur la tête. J'étais véritablement dégoûté. Maintenant que j’avais joui, je n’étais plus du tout excité, je me sentais mal et j'avais envie de vomir. Pendant ce temps, mon anus s’était légèrement resserré sur son sexe. Il reprit ses mouvements et m'irrita l’anus tellement il me baisait fort. Je ne prenais aucun plaisir, la douleur était trop présente.

— T'es trop bonne chienne, j’ai l’impression d’avoir le cul d'une chienne entre les mains, j’adore tes fesses de fillettes.

Clap clap clap, ses couilles tapaient sur mon cul.

— Arrêtez svp, ça me brûle.

— C’est normal pour une première fois. Je te dépucelle avant que de nombreux hommes profitente de toi, sale pédé. Dis-moi que tu es honoré que j’aie accepté de m’occuper de ton trou suceuse.

— S'il vous plaît...

— Dis-le à ton maître, salope.

— Merci maître.

— Merci pour quoi pute?

— Merci de me sodomiser, de me permettre de sucer.

Sur cette dernière phrase, il me gifla.

– C’est bien chienne, t’apprends vite.

Il continua à baiser "ma petite chatte" comme il disait durant des minutes qui me paraissaient interminables. Il allait de plus en plus vite. Il se retira et enleva d’un geste rapide la capote qu’il portait. Il m'agrippa les cheveux et vint placer ma tête sous ses couilles.

— Demande-moi ma semence, avaleuse de sperme.

— SVP!

Il me gifla et mit ses deux couilles dans ma bouche.

— Garde-les au chaud et nettoie-les avec des petits coups de langue.

Il se branla sur mon visage et éjacula sur mon front, mon nez mes lèvres, mes cheveux. J'en ai partout.

— Souris.

Je ne l'avais pas vu venir, il me prit en photo avec l’appareil qui était sur son bureau.

— Si tu ne veux pas que j’imprime cette photo à ta copine, tu vas récupérer le sperme avec cette cuillère et l’avaler.

— SVP...

— Ne discute pas sinon, je n’hésiterai pas!

Je récupérai tout le sperme et l’avalais. J'eus un haut-le-cœur, je voulais vomir.

— Tu vois que tu aimes le sperme pute. Suis-moi, va te laver.

Il m’enleva mon string et mes bas et me fit mettre dans la baignoire.

— Rince-toi.

Je pris le pommeau de douche et passa L'eau sur tout mon corps. Il coupa l' eau et m’attrapa l’épaule pour me mettre face a lui.

— Ouvre la bouche et ferme les yeux.

Un jet de pisse chaude arriva sur ma tète, mes cheveux, j’en reçus dans la bouche. Je recrachai tout de suite. Il s’arrêta de pisser et me gifla.

— Tu dois avaler ma pisse comme une véritable salope le ferait.

Il m’attrapa le menton et m'ouvrit la bouche. Il glissa son pénis débandé dans ma bouche et fit se refermer mes lèvres.

— Je vais y aller doucement pour que tu aies le temps de tout avaler sale pisseuse.

Il pissa ainsi des petits jets en se retenant. Il veilla à ce que j’avale bien. Il eut vite fini heureusement mais j’avais avalé toute sa pisse. Il partit en me demandant de déposer un doux baiser sur son gland. Je le fis et refermai mes lèvres dessus. Je fis coulisser son gland doucement puis Il me laissa me doucher et partir. Je n’ai rien dit en partant mais ce pervers m'a lancé un "à bientôt salope!" en me pelotant une dernière fois le cul et en tirant sur la ficelle de mon string. J'ouvris la porte et repartis vers chez moi en boîtant à moitié.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Lundi 9 juillet 1 09 /07 /Juil 23:48

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Cela faisait deux ans que je n’avais revue Ali. Nous étions très liés; surtout côté cul, puis il s’en est allé voird’autres cieux. Nous partons boire un pot et il me raconte sa vie; il habite en banlieue dans un HLM et travaille à Paris. Il a fait connaissance d’un ami et il m’invite pour me le présenter. Je lui dis que je suis toujours intéressé par une bonne partie de fesses. Il me propose d’aller aux WC avec lui dans ce bistro; ils sont au fond de la cour. Nous voilà partis. Arrivé dans le wc, il baisse mon short et me pose sa queue sur ma rondelle. Je m’enfonce moi-même à fond. Sa queue est toujours aussi grosse et longue, j’en profite pleinement. Puis il m’empoigne aux hanches et commence à me labourer le cul à fond. Il jouit très vite, moi aussi. Je me retourne et prends sa bite en bouche. Il adore se faire sucer! Puis nous repartons, moi avec son adresse.

Le samedi, je pars chez lui. Il m’a demandé d’être habilé très sexy. Je suis avec un short très court qui me rentre dans les fesses, rien en dessous. Un petit pull troué sur les seins et j’arrive chez lui mais il n’y a plus de numéros. Je commence à chercher. J’aperçois un groupe de jeunes, je leur demande un renseignement. Un grand gars me propose de m’amener chez Ali. Je suis très content.

Nous arrivons devant l’immeuble. Le gars me dit: "Viens, je vais te montrer." Nous descendons au sous-sol et là il me coince contre le mur et me dit: "Alors! Tu aimes te faire baiser?" et me mettant la main au cul, je ne sais que répondre. Je lui dis oui, il sort sa queue énorme et me force à le sucer très vite. Il pilonne ma bouche à fond puis il décharge dedans son jus tout chaud. Je m’aperçois qu’il bande toujours. Il me retourne et veut m’enculer. Je proteste mais j’ai trop envie de sentir son gourdin en moi. Je me retourne bien et lui présente mes fesses. Sa queue est très dure et pousse sur ma rosette. Il entre d’un coup puis il m’encule à fond sur toute la longueur de sa bite. Je jouis comme un fou tellement il est bon. Il décharge en moi et me dit: "Viens, on va chez Ali." Arrivé chez mon pote, il me dit: "Tu as fait connaissance de mon copain? Super!"

Le soir, ils m’ont baisé dans leur lit, tantôt dans dans la bouche, tantôt dans le cul et ils ont fini à deux dans mon cul. Je me suis endormi avec la queue d’Ali dans les fesses jusqu’au matin.

Au réveil, nous déjeunons. Ali me demande si je ne suis pas trop fatigué. Bien sûr que non... Il me dit:

— Ce matin, nous allons faire un footing en forêt, tu veux?

— Ok!

Nous voilà partis, moi avec mon short de pute, lui en jogging. Arrivé dans les bois, il me dit: "T'as envie de te faire baiser?" Moi je suis toujours partant. On s’enfonce dans la forêt plus épaisse et là je vois un groupe de gens qui sont tous à poil. Ali me dit: "Mets-toi à l’aise, ils sont en promenade avec leurs chien et se retrouvent souvent ici." Tout le monde baise... tout le monde!

— Je les ai prévenus que tu étais insatiable...Ils sont ravis d’avoir une pute à leur service, enfin si tu veux?

— Oui bien sûr!

— Alors je vais t’attacher à cet arbre et tu feras ce que l’on demande...

Deux beaux noirs me mettent à poil et quand je suis attaché, ils baladent leurs queues sur ma bouche et l’autre sur mon cul. L’assistance m’entoure puis il se déchaîne la pine dans la bouche. Je dois sucé le noir et l’autre m’encule à fond. Ils y vont en cœur; je prends un pied formidable! Ils déchargent en moi, je suis rempli puis c’est l’hallali! Tous sur moi, dans mon cul qui reste béant et ouvert, ma bouche est distendue par les queues et remplie de sperme. En deux heures, je n’en peux plus.

Ils font une pause puis un gars vient avec son chien et dit:

— À quatre pates! Monchien va te lécher la chatte, tu veux?

— Pourquoi pas! dis je.

En position, je sens le museau du chien s’approcher puis sa langue râpeuse qui lèche ma raie. Le maître se place devant et sort sa queue pour que je le suce. Hum c’est super! Puis le maître contracte ses fesses, je le sens prêt à jouir. Il dit au chien: "Monte!" et le chien monte sur moi. Je sens sa pine dure comme l’acier pousser sur ma rosette. Je ne veux pas mais le maître insiste: "Tu as dit tout!" Ça y est, le chien entre en moi de suite. C’est bon, le maître lui se libère de son jus. Le chien m’encule. Soudain je suis défoncé. Il a entré sa boule, mon cul s’éclate. Je sens son sperme couler en moi. Je jouis sans me toucher. Le chien se retire puis les autres amènent le leurs et je suis devenu la chienne de service. J’avais le cul en feu, les chiens se défoulaient et les maîtres se faisaient sucé. J’avais la bouche pleine de sperme, le corps inondée de jute, mon cul débordait de jus de chien.

Les maîtres ont voulu me laver et j’eus droit à la douche dorée de ma vie. Ils me pissaient dans le cul, la bouche et sur le corps. Ils étaient ravis. Tous ont remercié Ali. Il y en a un qui lui a laissé son adresse pour me recevoir. Il a une ferme et beaucoup d’animaux. Ali lui a promis de m’emmener.

Nous sommes repartis, moi puant le sperme et la pisse et Ali qui contait ses euros. Il me dit: "Nous irons à la ferme, là tu vas te régaler." Je lui promis de venir...

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Samedi 7 juillet 6 07 /07 /Juil 22:50

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Un soir chez un pote hétéro que je connais depuis de longue date mais qui ne sait pas que j'ai un côté lopesa, on fumait le "k...". J'étais bien defoncé, on rigolait mais sa meuf commençait à tiquer alors vers 21h, j'ai dit: "Tchao! a+."

Il habite en cité dans le 93. J'ai descendu les neufs étages et en sortant de l'ascenseur, je vois 6 rebeus dans le hall qui tchatchent. Je commence à partir en jetant un bref coup d'oeil car je kiffe bien les rebeus... L'un d'eux me regarde, voit mes yeux bien éclatés et me fait la remarque du genre: "Oh t'as fumé toi!" Je lui souris et acquiesse tout en allant vers la porte.

Je dois préciser que je suis vrai bogosse céfran et que je fais bien kiffer les keums généralement. Kaled, c'est son prénom, me propose de ne pas partir tout de suite et de rester fumer avec eux. Un peu méfiant mais intéressé et avec l'idée d'avoir l'occase d'en connaître un de plus près, je fais demi-tour et reviens vers eux. On parle un peu, je commence à vouloir rouler un zbir mais ils me disent qu'il y a trop de passage ici, qu'ils vont dans l'escalier. Je les suis, bien confiant car ce sont mes potes maintenant, surtout Majid que je kiffe grave; une masse le gars, les autres aussi mais lui c'est un truc de ouf.

On arrive dans une cave que je comprends abandonnée par leurs locataires, genre squat mais tranquille: un caddie, un vieux matelas pourri d'oréoles de moutrave bien dégueu dans un coin. Je roule mon "k...", je suis cool, ils sont sympas, on rigole bien... sur tout et rien. Karim et Samir me regardent bizarre, avec des yeux de vicelards mais ça me plaît. Je les trouve de plus en plus kiffant et je ne peux pas m'empêcher de zieuter leurs braguettes et ça semble très prometteur; surtout la bosse de Majid et 2-3 autres que j'ai repérés.

Au bout de 15-20 minutes, ils parlent rebeus et moi je comprends qu'dalle. Kaled passe derriere moi et me tate le cul. Je lui dis: "Oh! Qu'est-ce tu fais?" Il me dit: "Vas-y, joue pas ta chochotte!" et là devant moi, Majid baisse son fut et je vois un calibre mon gars, ouf! Elle gonfle à vue d'oeil, elle devient énorme, au moins 23x6 ou 7. Mon réflexe est d'exploser de rire mais excité car défoncé. Je m'en tape je me mets à genoux direct.

Alors là, ils sont devenus ouf de chez ouf. En fait, ils étaient pas sûr que j'allais vouloir mais en deux secondes, j'avais six bonnes grosses teubs d'arabes rien que pour moi, du 19cm à 23cm (Majid la plus monstueuse). Y'a pas à dire, les rebeus sont les meilleurs, même Saïd et Karim qui étaient plutot timides, se sont lâchés direct.

J'ai commencé à pépon de partout. J'en voulais grave mais une bouche pour six, c'est pas évident. Ça sentait la biroute mortel, je sais pas si ils se lavent tous les jours la teub mais bon, m'en fous: trop kiffant. Je pompais bien à fond et Kaled a éjaculé dans ma gorge. J'ai pas eu le temps de retenir koi que ce soit. Il a une teub de 20cm mais bien épaisse genre 7. J'avais la bouche en feu. Majid voulait que j'enlève mon jean, je préfèrais juste le mettre aux genoux mais lui voulait l'enlever complètement pour bien m'écarter les jambes et me foutre sur le matelas pourri. J'étais pas chaud car trop crade mais vu la masse, je ne pouvais plus reculer. Je me suis fait déchirer le cul par Majid, je hurlais mais lui continuait et les autres me baisaient la bouche pour que je la ferme. J'en ai pris plein le cul. En fait ils ont pratiquement tous craché sur mon trou d'balle sauf Said; je crois qu'il m'a fait une faciale. Après, ils ont vraiment joué. C'est Majid qui a commencé à me pisser dessus et j'étais assis sur le matelas, le cul à l'air, et les six rebeus autour à moutrave sur moi. J'étais un peu dégoûté mais bon, j'ai cru que je reverrais jamais le jour. Ils ont rigolé, m'ont dit que j'avais assuré comme lopesa et que si je repassais par là, que je jette un oeil dans la cave au cas où.

Je suis arrivé sur le parking de la cité vers 0h15 en étant parti de chez mon pote vers 21h. Quand j'ai vu l'heure, je suis devenu ouf! Une fois dans ma voiture, je réalisais ce qui venait de m'arriver et j'étais finalement content de moi. Mon pote ne sait rien de cette aventure et les rebeus ne savent pas d'où je venais car ma voiture était garée de l'autre côté des fenêtres. Mon pote pensait sûrement que j'étais chez oim depuis belle lurette.

Un grand merci à mes six rebeus trop bien teubés et surtout Majid que je kiffe trop.

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Samedi 7 juillet 6 07 /07 /Juil 19:02

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Pour des raisons que je ne connaîtrai qu'à mes dix-huit ans, dès mes dix ou onze ans, moi, le petit Vincent, je semblais gêner mes parents, surtout certains week-ends. Ils avaient trouvé le filon pour m'éloigner de la maison familiale : m'envoyer chez mon tonton Michel, le plus jeune frère de papa, qui habitait à dix minutes.

Heureusement, je m'entendais très bien avec tonton Michel, il m'aidait pour mes devoirs et mes leçons, il jouait beaucoup avec moi, trouvait toujours de quoi m'occuper, et les fins de semaine passaient même trop vite, au point que j'attendais avec impatience ma prochaine visite chez lui.

 

Chez tonton Michel, je pouvais me promener tout nu si je le voulais, et lui aussi se mettait régulièrement en tenue de peau. Tonton Michel me lavait tous les soirs sous la douche ou dans la baignoire, j'adorais ça, et quand un jour, il m'a dit que j'étais assez grand pour me laver tout seul, j'ai tellement pleuré qu'il m'a promis qu'il continuerait à me laver aussi longtemps que je le voudrais.

Quand il me lavait, c'était en entier bien sûr, et c'était la seule fois où il touchait mon zizi, pour vérifier si je décalottais bien, car j'avais quelques difficultés de ce côté-là et je n'avais pas envie de me faire opérer, il faisait ça très doucement, vu que ça me faisait mal, mais je savais que c'était pour mon bien. A part ça, jamais il ne jouait avec mon zizi, d'ailleurs, je ne l'aurais pas laissé faire.

J'aimais bien jouer à me battre avec tonton Michel, il avait toujours le dessus et je me retrouvais coincé sous lui, j'aimais bien. Un jour, je lui ai dit que je voulais jouer au prisonnier, il m'a ligoté les mains et les chevilles avec des bouts de tissu, j'ai adoré ça.

J'avais un lit dans la chambre d'amis, mais je dormais tout le temps avec tonton Michel, on était tout nu, et je me blottissais dans ses bras, je me sentais protégé de tout. Parfois le matin, mon zizi était tout dur et celui de tonton Michel aussi, il m'a dit que c'était tout à fait normal, que ça arrivait quand on devait faire très fort pipi, ou quand on tripotait trop son petit truc. Je n'ai jamais vu tonton Michel se tripoter, mais moi, je le faisais souvent et il m'a dit que je pouvais le faire quand j'en avais envie, même devant lui. La vie était toute simple, je pouvais être moi-même, je n'avais rien à cacher à tonton Michel, je pouvais lui parler de tout, et il répondait honnêtement à toutes mes questions.

Comme tout gamin, il m'arrivait de faire des bêtises, même si je connaissais le tarif : une fessée ; je devais me mettre nu si je ne l'étais pas, je devais me coucher, mon ventre sur sa cuisse gauche et mes jambes sur sa cuisse droite, mon zizi étant coincé entre ses jambes, puis la fessée commençait. Il n'y allait pas de main morte, tonton Michel, mais j'acceptais cette punition car elle était méritée et juste, je me mettais vite à crier, à pleurer, mais il continuait, et si je gigotais trop, il entravait mes poignets et mes chevilles d'une bande de tissu, et le décompte recommençait à zéro. Malgré la douleur sur la peau de mes fesses, mon zizi devenait tout dur à chaque fois, et après la fessée, tonton Michel me consolait dans ses bras, et c'étaient les seules fois où il caressait doucement mes fesses et mon ventre.

 

Quand j'ai eu treize ans, j'avais de plus en plus souvent envie de me tripoter, tonton Michel m'a expliqué comment faire aller mes doigts le long de ma tige, et j'ai ressenti quelque chose de tout nouveau pour moi, comme si une boule s'était formée dans mon ventre, c'était tellement fort que j'ai crié, faisant sourire tonton Michel. Il m'a expliqué comment les garçons étaient faits, que j'allais commencer mon adolescence, que j'aurais bientôt du sperme, des poils, et tout et tout, il m'a donné les noms justes pour chaque chose ayant trait au sexe. Quand je lui ai demandé comment c'était le sperme, et s'il voulait bien me le montrer, il a dit que je devais patienter un peu, mais qu'il me le montrerait quand je serais plus grand.

J'ai donc continué à me masturber pour avoir des orgasmes secs, c'est comme ça qu'il avait appelé ça, je le faisais parfois plusieurs fois par jour, ce qui irritait mon engin. Quelques mois plus tard, je lui ai dit que je le tremperais bien dans du beurre pour que ça glisse mieux, et là, il a eu une idée, il a commencé à se masturber pour la première fois devant moi, j'ai enfin pu voir du sperme, il l'a récupéré et en a enduit mon sexe, puis il m'a dit de me masturber, c'était nettement mieux qu'à mains nues, et c'est ce jour-là que j'ai eu pour la première fois du jus qui est sorti, pas beaucoup, bien sûr, mais j'étais devenu un homme sous les yeux de tonton Michel, je n'ai jamais été aussi fier de moi.

Il m'a pris dans ses bras, m'a caressé sur tout le corps, et un peu aussi sur ma tige. Le lendemain, il est venu avec un tout petit pot en plastique avec un couvercle, il a dit qu'on y mettrait chacun son sperme, et qu'on garderait ça précieusement en souvenir de ma première éjaculation, il s'est masturbé, a enduit ma tige de son sperme et en a déposé un peu dans le petit pot, et c'est lui qui m'a masturbé et y a déposé tout ce qui est sorti de moi, c'était encore mieux que quand je le faisais moi-même.

Au fur et à mesure des week-ends passés chez lui, j'ai très vite grandi, en taille, et entre les jambes. Quand j'ai eu l'idée de demander à mes parents si je pouvais aller tous les week-ends chez tonton Michel, j'avais aussi décidé d'aller chez les scouts le dimanche, ce qui était une bonne raison d'aller chaque semaine chez mon tonton, car il y avait une troupe scoute tout près de chez lui, et en fait, mes parents n'ont émis aucune objection, au contraire, cela semblait bien leur convenir. Je partais donc chaque vendredi soir chez lui et il me conduisait à l'école le lundi matin, j'avais des vêtements chez lui. Et bien sûr, à chaque congé ou période de congés, j'étais tout le temps chez lui.

Tonton Michel me caressait sur tout le corps de plus en plus souvent, et quand j'avais envie de me masturber, je lui demandais de sa bonne huile qu'il me donnait avec plaisir. Parfois je lui demandais de me masturber, et le jus que je donnais devenait impressionnant en quantité ; un jour, je lui ai demandé si je pouvais le toucher lui aussi, et sans vraiment attendre sa réponse, je l'ai d'abord touché timidement, puis j'ai commencé sur lui les mouvements qui me faisaient tellement de bien, et je l'ai fait éjaculer, tout heureux de ma prouesse, puis j'ai mis son sperme sur mon sexe et je lui ai demandé de me masturber, ce qu'il a fait. Depuis lors, on se l'est fait l'un à l'autre presque chaque fois, et de plus en plus en même temps, c'était dans le salon, dans la douche ou la baignoire, ou au lit avant de nous endormir.

J'avais de plus en plus envie de l'embrasser, j'ai commencé par des baisers près de la bouche, puis sur les commissures de ses lèvres, et quand nos lèvres se sont enfin collées les unes aux autres, j'ai sorti ma langue pour les lécher, il a ouvert la bouche et sa langue a caressé la mienne et j'ai exploré sa bouche, comme il a découvert la mienne. Ce soir-là, je me suis mis sur son ventre, et j'ai fait se toucher nos queues, nous avons joui tous les deux, puis j'ai continué à me frotter à lui, on avait du sperme partout.

Je continuais à aimer mes petits jeux du prisonnier, et je le suppliais de me masturber quand il m'avait attaché, je voyais qu'il bandait aussi fort que moi. Et un jour, au lieu de me masturber, il a pris ma queue dans sa bouche et m'a fait jouir par le mouvement de ses lèvres, et il a tout avalé, je n'ai jamais crié aussi fort de plaisir. Un autre jour, il a approché sa queue de ma bouche, j'ai hésité un peu pour entrouvrir mes lèvres, mais quand son gland a touché mes lèvres, j'ai sorti ma langue pour le lécher, puis j'ai avancé ma tête d'un coup, je voulais avoir toute sa queue en bouche, et je l'ai sucée comme un fou, j'allais enfin connaitre son goût, j'ai gardé son jus dans ma bouche pour l'avaler lentement petit à petit. Je lui ai quand même dit que je n'aimais pas trop sentir ses poils sur ma langue, il m'a dit que je pouvais l'attacher et le raser, ce que je ne me suis pas fait prier de faire, j'ai aussi rasé mon pubis et mes bourses, car ma pilosité commençait à devenir importante, puis je me suis mis au-dessus de lui, mais à l'envers, et on s'est sucés tous les deux en même temps, on a encore joui, c'était phénoménal. Je l'ai détaché puis on s'est endormis corps contre corps, bouche contre bouche.

Je lui ai demandé un jour s'il voudrait bien me donner la fessée, comme quand j'étais petit, ça ne l'a pas surpris, je crois même qu'il s'y attendait. J'ai dû choisir le nombre de claques par fesse, j'ai choisi vingt ! Il m'a attaché les poignets derrière le dos et les chevilles et m'a fait mettre en place, ma queue bandait déjà entre ses cuisses. A la quinzième claque, je l'ai supplié d'arrêter, mais il a continué, et c'est en pleurant et criant que j'ai joui par terre. Il m'a détaché, pris dans ses bras, et m'a caressé comme il le faisait il y a quatre ou cinq ans, j'ai encore éjaculé une fois sous ses doigts.

A quinze ans, chez les scouts, je m'étais fait quelques amis de "jeu", tonton Michel m'avait permis de les faire venir à la maison, ils venaient maximum à deux et dormaient dans la chambre d'amis. Ils ont très vite appris à rester nus et à jouer avec leur corps devant tonton Michel. Rapidement, on a "joué" à quatre, mais un jour, l'un d'entre eux a demandé à tonton Michel s'il m'avait déjà enculé, on a rougi tous les deux en répondant non, mais j'ai dit à tonton Michel que j'en avais envie, il m'a dit que lui aussi en avait envie, mais que pour la première fois, on le ferait que quand on ne serait rien qu'à deux.

En réalité, on ne l'a pas fait tout de suite, tonton Michel m'a expliqué qu'on devait se découvrir mutuellement à cet endroit-là, on a commencé par s'enfoncer mutuellement un doigt dans l'anus, puis on l'a refait quand on se suçait en 69, ça décuplait le plaisir de l'orgasme. Puis on est passés petit à petit à deux, puis trois doigts ; il m'a léché et m'a appris à le faire entre ses fesses aussi. Je m'impatientais de plus en plus et le suppliais d'entrer en moi. Il m'a fait coucher sur le dos, j'ai relevé mes jambes, il a approché sa bouche et a léché mon petit trou, je gémissais de plaisir, puis avec ses doigts, il a mis du lubrifiant sur et dans mon petit trou, en y allant avec trois doigts, puis il m'a regardé dans les yeux, tout mon visage l'invitait à me pénétrer, son gland s'est approché, je sentais que tonton Michel tremblait d'émotion tout autant que moi. Au premier contact, j'ai senti un bien-être total, je me suis relâché le plus possible et il a essayé de faire entrer son gland, ce ne fut pas aisé, il a dû s'y reprendre à plusieurs reprises, puis, soudainement, le gland est entré, mais j'avais eu mal, tonton Michel a caressé tout doucement ma queue puis il a pu s'enfoncer beaucoup plus facilement jusqu'au bout, et quand j'ai senti ses boules toucher mes fesses, j'ai crié un "youpi" de soulagement, mais surtout de joie, tonton Michel possédait son neveu, j'étais tout à lui. Quand il a vu que j'acceptais totalement son sexe en moi, il a commencé à me limer doucement, épiant chacune de mes réactions, chacun de mes gémissements, il m'a fait l'amour, les yeux dans les yeux, lentement, profondément, intensément. Pendant plus de trente minutes, nos corps ont joué la danse de l'amour, et j'ai joui sans qu'il ne me touche, il m'a suivi de quelques secondes, nos cris de plaisir ont envahi la chambre. On s'est embrassés, serrés et j'ai chuchoté à son oreille "tonton Michel, je t'aime, je veux toujours être avec toi", il m'a répondu qu'il attendait que je lui dise ça depuis si longtemps, qu'il m'avait toujours aimé depuis que j'étais petit.

C'est le lendemain que je lui ai rendu la pareille, j'ai pu entrer en lui très facilement ; pendant près de trois quarts d'heure, ma queue a exploré ses muqueuses intimes, je voulais qu'il jouisse avant moi, et j'y suis arrivé, et quand je me suis vidé en lui, j'ai senti un bonheur à nul autre pareil. J'ai plongé ma bouche vers son ventre, et lui ai léché tout son sperme, avant qu'il ne me nettoie la queue avec sa langue. Nous avons décidé que le lendemain, nous éjaculerions dans le petit pot de ma première éjaculation, comme pour nous jurer fidélité l'un à l'autre. On l'a donc sorti du congélateur et il est resté toute la nuit et une partie de la journée suivante au milieu de la table de la cuisine. Il a éjaculé de ma main et moi de la sienne, et le petit pot a été rempli. Nous nous sommes embrassés et serrés pendant plus de deux heures, nous disant notre amour. C'est de ce jour que "tonton Michel" est devenu "Michel", et moi, je n'étais plus son petit neveu mais son amoureux Vincent.

A ma demande, Michel m'attachait de plus en plus souvent, puis il me fessait, me masturbait, me fourrait sa queue en bouche et s'y vidait, ou m'enculait, parfois sauvagement. Mes cris de douleur l'excitaient, et moi, je jouissais de lui être totalement soumis, d'offrir tout mon corps à ses caprices. De la fessée, on est passés au martinet, il me bâillonnait pour étouffer mes cris, d'autres fois, il me bandait les yeux, je ne pouvais pas savoir ce qu'il allait me faire.

Dans sa cave, il a fixé un anneau au plafond, et deux au sol, écartés de cinquante centimètres, il m'y attachait, bras en l'air, soit debout, soit à genoux, et il profitait de mon corps à sa guise, c'étaient des moments grandioses pour moi. Il attendait parfois des heures avant de me faire jouir jusqu'à ce que ma queue me fasse trop mal, puis il me détachait et on se faisait de longs et tendres câlins.

J'amenais de plus souvent des amis scouts à la maison, on était souvent à la cave, j'étais attaché devant eux, et Michel s'occupait de mon corps. Quand le scout était un peu dominant, Michel me laissait entre ses mains, et quand le scout était de nature plus soumise, Michel l'attachait aux mêmes anneaux face à moi, ou dos à dos. Je m'arrangeais pour qu'ils viennent à deux, un dominant et un soumis, et les deux dominants s'occupaient des deux soumis. Tout y passait : le rasage des sexes, le martinet jusqu'à ce que nous criions et pleurions, les gifles, les godes de plus en plus gros que Michel avait achetés, les cages de chasteté que nous devions porter pendant des heures et qui nous faisaient horriblement mal quand nous bandions, et Michel et mon copain scout ne se gênaient pas pour faire l'amour sous nos yeux.

Parfois, nous devions nous mettre à quatre pattes, avec un gode double dans le cul, tandis qu'ils nous faisaient les sucer jusqu'à éjaculation. Parfois aussi, on devait se coucher sur le dos, bouche ouverte, et ils nous couvraient et nous abreuvaient d'urine, puis, nous devions nous lécher tout le corps avec la langue. Quand parfois, l'un d'entre nous se refusait à obéir, Michel versait une goutte d'éther sur le gland, ce qui le faisait hurler de mal, mais calmait immédiatement ses velléités.

Quand nous étions enfin libérés, mes deux copains faisaient l'amour dans leur chambre, et Michel et moi dans la nôtre, ou alors les deux couples faisaient l'amour dans le salon.

J'essayais chaque fois de trouver d'autres grands scouts pour participer à nos jeux, on se retrouvait parfois à huit ou dix dans la cave, et les deux soumis étaient livrés aux frasques des dominants. Un jour, les chefs de la troupe ont eu vent de nos activités du samedi, et j'ai réussi à les faire venir. Ils avaient dix-huit et dix-neuf ans et étaient tous les deux de nature plutôt soumise, nous les avons attachés et les huit scouts présents sont devenus pour l'occasion tous dominants, je vous laisse imaginer que nous donnions libre cours à nos envies, nous avons dû les bâillonner et ils ont eu droit à l'éther, car ils ne voulaient pas nous obéir en tout. Pour le final, à huit, nous avons enculé et fait goûter notre sperme à nos chefs. Nous les avons détachés quand ils nous étaient entièrement soumis, puis nous les avons caressés, doigtés, branlés et sucés pour leur donner un maximum de plaisir. Ce sont eux qui ont passé la nuit dans la chambre d'amis, et Michel et moi les avons entendu s'aimer durant une partie de la nuit. Ils sont revenus souvent, même sachant qu'une dizaine d'autres scouts seraient présents, ils ont pu enculer leurs scouts aussi.

 

Michel et moi continuions à nous aimer de toutes les façons possibles, nous ne pouvions plus nous passer de la présence de l'autre, Michel continuait à me laver tous les jours, comme il me l'avait promis quelques années plus tôt, mais maintenant, on se lavait mutuellement, à mains nues, bien sûr. Nous pensions de plus en plus à pouvoir vivre en permanence ensemble, mais avions peur d'en parler à mes parents.

Quand j'ai eu dix-huit ans, mes parents ont voulu me parler de choses sérieuses. Ils m'ont avoué que, depuis toujours, ils allaient dans des clubs échangistes ou invitaient des amis à la maison. Et qu'en plus, ma grande sœur, depuis qu'elle avait eu dix-huit ans, participait à ces orgies. Ils m'ont demandé si, maintenant que j'étais majeur, je voulais y participer.

Je me suis plié en deux de rire, et je leur ai dit que ça ne m'intéressait pas du tout, et que j'avais trouvé chaussure à mon pied ; je leur ai raconté sans trop de détails l'amour qui nous unissait, tonton Michel et moi. Ils n'ont pas eu l'air étonnés, d'ailleurs c'eût été malvenu de leur part d'émettre la moindre critique sur mon homosexualité et sur Michel qui m'avait entouré de tout son amour depuis mon enfance, et m'avait accompagné sur les chemins de mon adolescence. Par contre, ils semblaient ennuyés que je ne veuille pas participer à leurs jeux sexuels, mais j'ai vu un large sourire apparaître sur leur visage quand j'ai annoncé que je voulais aller vivre avec tonton Michel.

Le lendemain, ils ont invité Michel pour dîner, et nous avons embarqué toutes mes affaires, ne laissant qu'un minimum dans ma chambre, pour les fois où Michel et moi viendrions dormir chez eux, ils ont promis qu'ils mettraient un grand lit pour nous deux.

 

J'ai aujourd'hui quarante ans et Michel dix de plus, nous parlons souvent de mes années d'enfance où il avait totalement respecté mon intimité, et d'adolescence où il avait accompagné ma découverte du plaisir, il me lave toujours, il me soumet à ses caprices pour notre plus grand plaisir, et nous faisons l'amour chaque jour, en alternant un jour sur deux, car les réserves s'épuisent plus vite qu'à quinze ans, mais on n'en a cure, on s'aime comme au premier jour.

FIN.

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Samedi 7 juillet 6 07 /07 /Juil 18:12

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J'ai rencontré une petit lope que je nommerai T. sur le net il y a quelques mois. On a vite tissé des liens. On s'est balancés des défis tous plus hards et humiliants les uns que les autres, que ce soit chez soi ou à l'extérieur. Et un jour, on décida de se voir en réel...

Le premier défi que je lançais à ma salope le 15 août était plutôt simple, il fallait que je vois sa motivation, que je vois à quel point il avait envie que je le domine, que je sois son maître. Je lui ai donc demandé de me montrer sa sale queue bien fromageuse, pissant dans un verre à pied sa pisse bien fumante, dégoulinant de partout, et d'ensuite y plonger sa bite, ses burnes et finir par boire ce breuvage de pisse et de from (peut-être le meilleur cocktail au monde) en entier. Photos à l'appui, mon T. a effectué toutes les tâches demandées... Comme la bonne salope qu'il est ! J'en attendais pas moins de lui !

Pour le récompenser, je lui ai donné le droit de me filer un défi que je réaliserai en une semaine mais en contrepartie, il devait réaliser mon deuxième défi. Et là, on a placé les barres très hautes...

J'avais pour défi de me rendre en forêt, skets au pieds, habillé comme une tepu, pas de boxer comme la p'tite lopsa que je suis. Je devais ensuite me foutre à oilpé, sniffer mes aisselles, mollarder sur ma queue, montrer mon trou à jus surplombé du mot "LOPE" à 4 pattes dans les herbes, pisser sur mon boxer, le bouffer, me crader de boue sur le corps puis de juter sur un tronc et bouffer ma dèche. Nan, il ne m'a pas loupé sur ce coup-là ! Mais pour lui montrer la putain de chienne que je suis, j'ai tout fait ce qu'il m'a dit, fait toutes les photos demandées par mon master que je surkiffe...

Mon défi pour lui était de se rendre chez un de ses potes, d'aller dans son garage et de faire la pute dans sa bagnole. Je lui ai obligé : des plans de son cul de tapette sur le capot, d'autres à l'arrière de la caisse, des pinces à linge sur sa pine de fiotte, d'engouffrer le levier de vitesse dans sa bouche, de se baillonner et encorder dans le coffre de la bagnole, de foutre sa sale queue dans le pot d'échappement, de se crader ensuite le corps avec le noir de moteur, et enfin de juter sur le tableau de bord avant de tout bouffer son foutre dégueulasse. Cette pute a fait tout ce que je lui avait demandé. J'étais abasourdi !

Ces photos nous ayant grave excité, nous voyant très obéissants l'un l'autre, on a de suite organisé une rencontre en réel... J'ai invité T. en mes contrées pour une soirée et nuit de folie. Son train arrivera à 19h37 et repartira le lendemain à 9h46, nous étions lundi et la rencontre était prévue pour samedi. Cinq jours pour me crader, cinq jours pour remplir des bouteilles de ma pisse bien jaunâtre du matin, la plus forte, cinq jours avant de donner à T. une leçon qu'il ne sera pas prêt d'oublier... Je me préparai donc toute la semaine en vue du samedi de folie qui m’attendait ! J’avais un esclave à la maison !

On avait donc pris rendez-vous à la gare vers 19h40, il arriva juste avec un sac. Il portait une tenue de racaille bien kiffante avec ses TN encore plus pourraves que sur les photos. Une p’tite gueule de bâtard et une bonne odeur dès que je m’approchai à deux mètres de lui. Je fais facile une tête de plus, ça va être bien cool pour l’engrosser ! Je lui décrochai vite fait un sourire et je lui dis que j’ai envie de pisser… Il comprend de suite cette petite pute ! Direction les chiottes de la gare où traînait une putain d’odeur de pisse et de merde mélangée monumentale. Je le traînai dans une grande cabine où on prendra bien le temps de s’amuser.

Je lui dis de s’asseoir sur les chiottes ! « Maintenant, tu vas tout boire ce que je t’envoie dans la gueule ! En même temps, je m’en branle, c’est pas moi qui sortirai de la gare couvert de pisse et puant si tu bois pas tout ! » Il tendit donc sa putain de langue et moi je sortis mon steak bien fumant. Vous imaginez pas l’odeur de ma queue les mecs ! Cinq jours sans lavage, à environ 3 branles par jour, c’est impressionnant ! À vivre au moins une fois dans sa life ! Le p’tit T. n'est pas du tout effrayé par l’odeur, il est tellement habitué à se prendre des bitos fumants. Et donc, là je m’approche de sa bouche et je commence à lui foutre de bons jets bien épais de pisse dans sa face. Il essaie de tout avaler cette salope mais il y a quand même quelques gouttes qui tombent sur son survêt’ à ce con. Tant pis pour lui ! C’est pas mon problème… Il a évidemment interdiction de toucher à ma teub ! C’est réservé pour plus tard et seulement si ce connard est sage !

On sort ensuite des chiottes et de la gare. Il est 20h30, il fait évidemment nuit mais il fait encore bon dehors. On se dirige alors vers ma caisse parce que j’habite à 20 minutes de la gare. Et à pieds, c’est un peu chaud, quoique ma p’tite salope le ferait rien que pour moi ! Vous vous doutez bien de ce qui va se passer. On a 20 minutes de route, on passe par une forêt, trop de choses me viennent dans la tête ! On monte donc tous les deux dans ma voiture, lui côté passager, je lui demande si il a fait ce que je lui ai demandé. En effet, il avait obligation de ne rien porter en dessous sous ses fringues. C’était le cas, je lui demandai donc de retirer son bas de jogging pour la route, de toute façon, on s’arrêtera en chemin ! Il fit donc ce que je lui dis ! Il bandait cette petite connasse, je pris donc ses couilles et les serrai bien fort pour lui montrer un peu qui était le chef ici !

Je démarre la bagnole, et fait environ 10 bornes, de temps en temps, je me trompais par inadvertance entre le levier de vitesse et la petite teub de ma salope. Je lui serrai bien pour entendre un cri qui me faisait tripper. Il couine comme une chienne ma parole. Durant ces dix bornes, je lui ai également dit de respirer mon odeur de queue, il s’est donc penchée et humait l’odeur de mes boules et de mon zob.

Arrivés vers la forêt, il y avait peu de circulation par ici, on était vendredi soir, il était 20h passées et personne à l’horizon. Je descendis donc de la bagnole et dis à mon esclave de faire de même. Je vous rappelle qu’il porte seulement un T-shirt, une veste et ses TN. Et il s’amène tranquille, l’air de rien. Il a peur de rien ce mec. On avance donc un peu dans la forêt, pas très loin, ça sert à rien. Là je demande à cette salope si elle a pas envie de pisser, elle me répond que ouais ! Là je lui en décroche une qui le met à terre ! On dit : « Oui, maître, on t’a pas appris à répondre ça à l’école des salopes soumises en manque de teubs odorantes en permanence ? » Je lui dis de se relever, je lui explique ce qu’on va faire. Puis le laisse debout devant moi. Je me baisse alors au niveau de sa queue, ce sera la seule fois où il me verra de haut. Il a pour mission de pisser de façon à ce qu’une fois ma bouche pleine de sa pisse, je puisse lui redonner directement dans sa bouche. Je fis donc une dizaine de voyages de sa teub à sa bouche, il adorait ça ! Il en redemandait. Mais quelle pute !

T. m'avait dit que sa queue cachait toujours une bonne couche blanchâtre de fromton. Alors pour vérifier cela, je me baisse une dernière fois, décalottai sa queue puante et pris dans ma bouche tout le from accumulé de la semaine ! L’enculé, il se fout pas de nos gueules ! Sa queue est une vraie machine à from ! Impressionnant ! Toute la masse blanche et odorante en bouche, il sait ce qu’il va devoir en faire. Il ouvre donc sa gueule de bâtard, et je lui recrache dedans. « Montre moi ce from ma salope ! » Il ouvre bien grand sa bouche. « O.K, alors t’avales surtout pas, il reste environ 10 minutes de route, tu vas monter dans le coffre de la bagnole et arrivé chez moi, tu devras être habillé et me montrer tout ce from que t’auras gardé bien férocement dans ta bouche ! » Il me fait un oui de la tête, il ne peut faire que ça de toute façon. Je le fais donc monter dans le coffre bien tranquillement et lui balance son pantalon qui va, j’en suis sûr, en chier pour l’enfiler dans le noir et dans le coffre. Je teste un peu son potentiel de salope.

Je suis pas sympa, je prends des petites routes, avec des bosses, des trous pour que ma salope se sente bien dans son rôle de soumise. Et dire qu’il doit garder son from dans la gueule. On arrive 10 minutes plus tard dans mon bled de banlieue, je rentre la bagnole dans mon garage perso puis referme la porte. Je vais ensuite ouvrir le coffre à ma pute. Il se lève, il est habillé le pantalon à l’envers, ce qui lui vaut un bon coup de point dans le ventre, ce qui à pour effet de lui faire cracher tout le from qu’il conservait depuis un quart d’heure. Heureusement pour sa gueule, il n’a pas craché sur moi. C’est tombé directement sur le béton du garage. Je lui fais donc nettoyer sa merde et avaler. Il avale ça comme une chienne avec son regard qui mérite bien plus de fromton ! Je lui accroche ensuite les mains dans le dos et lui dis de monter les escaliers. J’habite au troisième.

Il est environ 21h, et mon p’tit esclave est paniqué au fait de croiser quelqu’un, menottes au poignet. « Même si tu croisais une bande de petites racailles, ils te feront le cul, rien de plus, t’aimes ça donc arrête de baliser salope ! Alors maintenant monte, sinon c’est un doberman qui te montera dans la soirée… »

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Samedi 7 juillet 6 07 /07 /Juil 17:36

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Je pense qu’il a compris, il monta donc les 3 étages à pieds, moi je pris l’ascenseur bien tranquille. J’ouvris donc la porte de chez moi et la fermai à nouveau. T. arriva quelques secondes plus tard, je lui dis de l’ouvrir avec sa bouche. Qu’il avait l’habitude de toute façon de prendre des longs trucs dans sa gorge. Il entra et je lui plaçai un bandeau sur les yeux, c’est beaucoup plus excitant lorsque l’esclave ne sait pas ce qu’on lui prépare !

Je plaçai mon bâtard sur une chaise, accrochant ses jambes aux pieds de celle-ci, afin qu’il ne puisse plus du tout faire de mouvements. Je le laissai là quelques minutes, je regardai cette face de con qui n’attendait que ma bite à renifler et à sucer ! Je commençai par me mettre face à lui sur une chaise. Je lui donner à renifler et lécher mes TN d’abord, puis mes cho7 ensuite. Elles sentaient un truc de malade. Cela fait 5 mois que je porte les même cho7 pour mon footing hebdomadaire ! Imaginez un peu l’état et l’odeur. Il reniflait à plein nez l’odeur de son maître, je lui ordonnai après, de les retirer avec ses dents, chose qu’il n’eut pas de mal à faire ! Ça devait être quelque chose qu’il avait déjà fait ! En 10 ans de bouffage de ieps, il avait dû en apprendre des choses ! Il avait donc désormais accès à mes pieds ! Petite précision, je fais du 45 (pour 1m92, normal) et mes pieds ont toujours pué, depuis que je suis tout petit. C’est un régal pour mon esclave, il couine déjà alors que je ne l’ai même pas encore piné. Ce bouffage de pieds dure pas mal de temps, faut dire qu’il a matière à bouffer cette salope...

Je me lève ensuite et me place au-dessus de lui. Ma teub est à environ 20cm de sa gueule mais il ne le sait pas, je lui dis de mettre sa tête en arrière et d’ouvrir bien grand. Je lui lâche quelques mollards bien glaireux dans sa face de suceuse de bites. Dès qu’un crachat tombe dans sa bouche, il l’avale direct ! Il croit quoi le mec ? Que quelqu’un va lui reprendre ? Ça me fait bien marrer donc je continue encore un peu. Après ça, il est temps de passer aux choses sérieuses : ma teub !

Je défais mon jogging Nike, me reste que mon boxer ! Enfin si on peut encore appeler ça un boxer. Vous savez l’histoire des mes chaussettes, le boxer a la même histoire ! Une putain d’odeur quoi, mais T. l’a déjà senti aux chiottes de la gare. J’enlève aussi mon haut, je suis totalement à oilpé alors que ma salope est encore toute habillée ! Le monde à l’envers quoi ! Je décidai donc de lui retirer son pantalon à la con, ses TN, et ne pouvant lui retirer son T-shirt, je le déchirai pour avoir accès à ses tétons de gamin que j’allais pouvoir bien triturer.

Je lui place alors un sparadrap sur sa bouche, qu’il ait juste l’odorat pour son maître. Je pris donc mon 19 par 6 en main et commençai à me branler un peu. De l’autre main, je plaçais délicatement quelques pinces à linge sur des endroits fatidique de mon esclave (prépuce, tétons et couilles) afin de l’entendre couiner un peu. Ça me fait bander d’entendre des petites salopes comme elles geindre devant un mec d'à peine 22 ans. C’est le kiff absolu ! Entre 2 pinces à linge, je lui colle quelques baffes pour le remettre en place, je ne bande pas encore a fond mais il est temps que je décalotte.

— Respires bien ma salope, ceci est l’odeur du maître que tu vénères.

Je me pose donc à 2 centimètres de sa petite gueule et je décalotte. Putain la masse de sperme et de pisse séché sous mon gland. Jamais j’avais produit autant que ça ! J’en connais un qui va encore se régaler. En tout cas, pendant ce temps là, il plane complètement, il est comme sous poppers...

Après avoir bien respiré mon odeur âcre et forte de mec en chaleur, je retirai le scotch de sa bouche et le bandeau de ses yeux. Fallait qu’il voie ça ! Je retirai aussi une à une les pinces à linge sur son corps. Il avait pour ordre de ne pas lâcher le moindre cri à chaque enlèvement et de me regarder fixement ! Ce qu’il fît, retenant parfois ses cris dans sa gorge. C’était marrant de le voir souffrir intérieurement comme ça.

Les pinces à linge retirées, il était encore attaché à la chaise et il n’avait pas encore vu ma teub décalottée, il n’allait pas être déçu mon T. ! Je lui demandai donc de fixer un peu ma queue. Et je décalottai lentement afin de lui montrer que moi aussi je suis un sacré producteur de from. Ses yeux étaient écarquillés devant tant de from ! Et l’odeur bordel ! C’est difficile de la décrire sur du papier mais c’est plus que fort.

Je récoltai un peu de from sur ma bite que je lui collai dans les narines, qu’il garde mon odeur durant ce plan ! C’est important aussi qu’il se rappelle qui est le maître. Il put donc ensuite goûter à ma teub. Il savait comment sucer notre ami, mais j’allais lui apprendre ma manière. Ma salope me suçait mais n’allait pas vraiment jusqu’au bout ! En fond de gorge, et moi, les gorges profondes me donnaient la gaule plus que tout au monde. Je repris donc les choses en main. Je lui tenais les cheveux d’une main, de l’autre je tenais sa gorge ! Et ma queue était bien enfoncée. D’abord avec des petits mouvements pour l’habituer à la taille de l’engin, puis au bout de quelques minutes, je lui enfonçai complètement ma bite. Quelques fois, il était si enfoncé qu’il était sur le point de gerber !

— Fais pas ta connasse ! T’a du en voir des plus grosses des queues ! Tu va dire quoi quant tu l’aura au fond de ton cul salope ???

Alors il avalait ma queue tant bien que mal, je lui rendis sa tête au bout d’une bonne demi heure de bourrage intensif qui m’avait mis en appétit… J’en voulais désormais à son cul. Je le détachai de la chaise et lui enlevai ce qui lui tenait les mains.

— Tu as dix minutes pour préparer ton cul à ma queue. Dans dix minutes, je t’encule que tu sois prêt ou non !

Je le tirai donc par les cheveux jusque dans ma chambre, et le laissai mariner. Pendant ce temps là, j’avais quelques SMS à envoyer, et je continuai de me branler tranquille sur le canapé au salon. Je décomptais le nombre de minutes qu'il lui restait avant de s'en prendre plein le cul et je lui gueulais ! « 5 minutes », « 2 minutes » et enfin « J'arrive salope ! » J'arrive dans la chambre, il avait quelques doigts dans le boule, je bandais bien fort et j'avais envie de bien lui niquer son cul de tarba…

Je lui dis de se mettre en position comme pour m'offrir son cul. T. se place donc ventre collé au lit avec le cul bien cambré et les jambes à terre...Je plaçai donc mon gland sur son trou déjà bien open, je lâchai un mollard sur ma queue, histoire que j'ai pas mal. Son plaisir à lui, je m'en branle ! Je lui demande si il est prêt, n'attendant même pas sa réponse, je pousse d'un coup de rein et me retrouve totalement enfoncé à l'intérieur de ce mec qui m'avais fait giclé pas mal de fois de ses photos et récits. S'en suit des dizaines de minutes de bourrage de cul en règle. Je le faisais changer de positions. Allongé face contre terre et mon pied droit sur sa gueule, debout contre le mur, à 4 pattes comme la chienne qu'il est ! Et tellement d'autres. Je m'arrêtai à un moment au bord de la jouissance. Mon esclave était en sueur, moi aussi d'ailleurs. On alla prendre une douche ensemble pour nous rafraîchir !

Vous vous doutez bien que cette salope s'est directement foutu accroupi dans la douche afin que je lui pisse dessus. Ce que j'ai fait. Cette pute ce mec, j'ai rarement vu ça je vous jure. On prend une douche bien tranquille, ce qui nous permet de parler un peu. Il me raconte qu'il a rarement vu un mec comme moi, qui le domine et l'humilie autant que ça. D'habitude il est plus actif mais là, rien qu'en voyant ma queue, il a envie de se foutre à genoux. Je lui raconte que je le kiffe trop en tant que petite salope soumise, et que c'est un des meilleurs bâtards qu'il m'a été donné de larver ! Trêves de confidence, j'avais toujours pas juter et faut que je lui englue la face...

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Samedi 7 juillet 6 07 /07 /Juil 16:49

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Il est 2 heures du matin, je décide donc de me poser tranquillement sur le canapé avec une bière bien pénard. La mission de ma salope est de me faire jouir. Jamais un mec a réussi de ses mains ou de sa bouche à me faire juter. Alors on va voir si mon T. aura la mâchoire assez endurante pour me faire juter. Je suis posé et ma salope est à 4 pattes devant moi, il commence un bouffage de couilles en règle pour me redonner la gaule. Ce qu'il réussit à faire en quelques secondes, puis je lui colle ma queue dans la bouche...Je lui envoie quelques mollards parfois, pour bien l'encourager. Il mettra environ 30 minutes à me faire monter le jus ! J'imagine pas comme il a du souffrir, mais c'est le rôle des putes.

Et là, je sens que le jus commence à monter dans ma teub. Je lui hurle d'arrêter, je me mets debout, et commence à bien branler ma queue au dessus de sa langue tirée au maximum...Et dans un râle de plaisir, je lui lâche dix bons jets de foutre bien chaud dans sa face de connard...Je crois qu'il a tout bouffé, il s'est même léché le coin des lèvres. Je prends dans mes doigts le reste de foutre qui lui reste sur le visage et lui fait bouffer. Il avale tout ! C'est incroyable. Il est désormais 3 heures passées, faut qu'on dorme un peu. Que ma salope se repose avant demain ! Il ne sait pas encore ce que je lui ai réservé avant son départ à 9h46 mais je suis certain qu'il allait aimer ! Je le conduis donc dans ma chambre, on se mit sur le lit, je lui ai dit qu'il avait le droit de juter sur ma teub, il mit à peine 2 minutes à bander et à jouir ! Je lui ai alors dit que son oreiller était prêt, et qu'il devait biberonner toute la nuit. Il dormira ma teub dans sa bouche, et n'a plutôt pas intérêt à lâcher le morceau.

J'avais mis mon réveil à 7 heures du mat', ça fait peu de sommeil mais c'est pas grave. C'est pas tous les jours que je reçois T. quand même ! J'ai ris en me réveillant lorsque je retrouvai mon p'tit mâle avec son no-nos dans la bouche comme si sa vie en dépendait. J'ai adoré ! Le réveil l'a même pas éveillé, je décidai donc de choisir une solution un peu plus gore. Comme tous les matins, j'avais envie de pisser, et quoi de mieux que de pisser dans un chiottes ? C'est donc tout en douceur que je commençai à pisser et l'effet voulu fut immédiat ! Ma salope fut réveillée direct et faisait le dégouté à limite recraché ma pisse ! L'enculé ! Je me forçai donc à arrêter de pisser et de le foutre sur le dos ! Je plaçai ensuite ma queue dans sa bouche. « Je voulais juste te réveiller de manière originale, mais puisque tu as l'air de ne pas aimer ça, tu vas tout boire ce que je vais te donner ! » Il but toute ma pisse du matin, bien jaunâtre, bien puante. Après cela, on se lève tranquille. On a un rendez vous dans 30 minutes dans des chiottes publics, mais mon esclave ne le sait pas encore. Il pense juste qu'on va se balader avant son train. Il va pas être déçu !

Je lui roulais quelques pèles, puis on alla dans ma caisse et direction mes chiottes publics favoris ! Pourquoi favoris ? Parce que ce sont des chiottes plutôt immenses et qu'on peut fermer à clef. Vous imaginez pas le nombre de plans que j'ai fait dans ses chiottes, et le nombre de jeunes puceaux que j'ai fait hurler ! Cet endroit était à 5 minutes à pieds de la gare, on pose la caisse et on arrive à 8h30 dans les chiottes. Juste à l'heure que je leur avais dit de rappliquer ! Eux ? C'est 2 potes bon quetards, que je connais depuis plusieurs années. Le premier c'est un rebeu, avec une bonne queue bien large et surtout une putain d'odeur de couilles qui me fait monter aux rideaux à chaque fois. Le second, c'est un pote de baise régulier. Je leur ai dit que j'avais une pute à mes ordres, ils ont tout de suite dit O.K. Voilà le plan que j'avais imaginer : mes potes seraient là quand on arrive moi et ma pute, et là on se fait un putain de concours de mollards sur cette salope pour savoir qui l'enculera en premier. Le seul hic : il nous reste qu'une heure ! Alors faudra faire vite.

On arrive donc dans les chiottes, je ferme à clef, qu'on soient pas dérangés, je dis à mon petit bâtard de se positionner à torse poil à genoux contre le mur. On se place alors à environ 3 mètres de mon esclave ! Le jeu est simple : il ouvre grand la gueule et on crache un bon gros mollard à tour de rôle jusqu'à ce qu'un des mecs vise au fond de sa gorge. On commence donc, au bout d'une trentaine de mollards lâchés, c'est Karim qui lui vise au fond de sa gorge. C'est donc à lui que revient l'honneur d'enculer T. en premier. Il lui fait baisser son fût et commence à lui fourrer quelques doigts. Il lui bourre en même temps sa queue dans la gueule afin qu'il bande un max avant de l'enculer. De mon côté, je me fais bouffer la teub par Antoine parce que nous aussi on compte bien se farcir le cul de la pute ! On est dérangé par un bon gros couinement. C'était mon esclave qui se prenait les 20cm de Karim à sec. Il la sentait passé ! Mais je suis sûr qu'il adorait ça. On lui a ensuite rempli tous les trous, Antoine se faisait sucer par ce four à queue et il me suçait en même temps ! S'en est ensuite suivi une double pénétration sur cette salope qui couinait pire qu'une truie ! Ça ne dura pas très longtemps vu que sa bouche était remplie par la 3ème queue encore inoccupée. On changea une ou deux fois de rôles, que nous puissions gouter à tous les trous de cette salope ! On l'a ensuite noyé dans la jute ! Pour un baptême, c'était un baptême ! Il a tout avalé jusqu'à la dernière goutte...C'est limite si il en redemandait pas !

Après avoir remercié mes deux potes, on a pris la route de la gare, on arriva même sur les quais dix minutes à l'avance. C'est à cet instant que j'eus une idée ! Je pris mon T. par le bras et me dirigeai vers le hall afin d'acheter un billet de train pour le weekend end suivant. Sur un même format, de vendredi soir 20h33 au samedi matin 9h56. Sauf que cette fois ci, je monte de Besançon à Paris.

— Tu vois ma salope, c'est un billet pour Paris la semaine prochaine. Étant donné ton potentiel d'esclave, j'ai envie que tu me domines ! Tu auras environ 11 heures pour faire de moi ce que tu veux ! Compris ?

Et je lui collai une baffe dans la gueule. Il a juste approuvé de la tête mes paroles et me roula la plus grosse galoche du siècle.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Samedi 7 juillet 6 07 /07 /Juil 00:08

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Je vais vous raconter comment j'ai transformé mon meilleur ami soit-disant hétéro en vraie pute... Attention, cette histoire est rigoureusement vraie et j'invite ceux qu'elle aura fait bander à me contacter par e-mail et je leur prouverais par l'image la transformation de mon pote en salope...

Il a 27 ans, il s'appelle S... et je le connais depuis huit ans. Je me suis tout de suite intéressé à lui car c'est un beau mec, imberbe à l'allure de petite frappe, la peau douce, le corps lisse et finement musclé. Dès qu'on s'est rencontré, il s'est pris d'amitié pour moi et je ne lui ai pas caché que je le trouvais hyper-sympa mais qu'en plus il me faisait bander. Pendant 5 ans, je le voyais presque tous les jours mais il ne s'est jamais rien passé entre nous pourtant c'était pas faute d'essayer! Mais petit à petit je sentais chez lui une forme d'exhibitionnisme soumis, un plaisir à me montrer son corps de jeune voyou que je réussissais à le convaincre de poser pour moi, les premières fois à torse nu, puis complètement nu, il y a de ça environ 3 ans.

Plus je le connaissais plus je sentais en lui la salope inassouvie. Nous n'avions toujours pas de rapports sexuels mais je savais qu'il possédait en lui le désir de se soumettre à l'homme bien que ce soit un tombeur de gonzesses impressionnant. Peu à peu, je modifiais mon langage en lui parlant, le traitant souvent de salope qui allait se faire mettre un jour etc. et parallèlement, il acceptait de faire des photos de plus en plus osées, se coupant les poils de plus en plus courts à ma demande, puis se rasant entièrement cul compris... J'ai maintenant plus de 500 photos témoignant de la transformation d'un jeune hétéro en salope soumise aux mâles.

Et il y a environ 3 mois, je lui ai fait savoir en termes extrêmement crus que je n'allais pas lui demander son avis pour lui faire vivre son baptême de queues, qu'il était une salope qui m'excitait depuis 8 ans et qu'il allait me payer au centuple ma frustration. Ça le faisait rire, souvent il se caressait le cul en me disant: "T'aimerais bien me défoncer le trou, hein?" Et il éclatait de rire... Je lui dis alors: "OK un de ces jours je te fais ta fête à plusieurs, mais tu vas en baver salope!" Il m'a regardé, s'est massé la bite à travers le pantalon et m'a dit avec un grand sourire enjôleur: "Chiche!" Là j'ai su que j'avais quartier libre!

Il y a deux mois, l'heure de lui révéler son tempérament de salope soumise avait sonné. Nous avions loué un chalet à la montagne pour y passer une semaine de détente. Durant les semaines qui ont précédé ces vacances, j'ai fait la tournée des bars gays SM avec une photo de ma pute le cul bien rasé et exposé afin de recruter trois mecs qui auraient envie de se défouler une nuit entière sur lui. J'ai pas eu de peine à trouver, la simple vue d'une photo de mon pote excitant déjà au plus au point la plupart des mecs.

Les vacances venues, j'ai prétexté un rendez-vous afin que S monte seul au chalet. Il ne se doutait pas que le lendemain il ne serait plus qu'une chienne... qu'il rêvait d'être, je le savais! Le soir venu nous sommes partis à quatre dans ma voiture afin de rejoindre mon pote et de lui faire sa fête. Les mecs étaient hyper-excités, j'adorais ça. Nous sommes arrivés devant le chalet, je le voyais par la fenêtre...

Et voilà le récit de la nuit....

Je rentre, je t'entends qui monte les escaliers. "C'est qui ces mecs?" Je sens dans ton expression et le ton de ta question que t'as déjà compris! Ma réponse fuse: "C'est des potes à moi qui vont t'en faire baver un max. Hé petite pute tu croyais que je plaisantais ces derniers temps?" Je vois que t'as peur, ça m'excite. D'un seul coup, tu fonces au bas des escaliers. Un des mecs te poursuit, te saisit sans ménagement par les cheveux, tire en arrière, tu tombes à genoux. "Calme, petite pute, tu vas te faire du mal..."

Tu cries un peu, t'essayes de te débattre. J'adore t'entendre gémir, j'en rêve depuis si longtemps. Le mec qui te tient toujours solidement par les cheveux s'agenouille derrière toi, te passe la main sous le menton et te renverse la tête en arrière. "Viens là ma chienne montre ma ta gueule de salope de près." Il te renifle la nuque, te lèches les joues, te passe ses gros doigts sur tes lèvres pulpeuses de petite pute. Ça fait deux minutes qu'ils sont là et tu es déjà à notre merci, je bande comme un cerf.

Il se relève, te traîne par les cheveux au salon. Tu suis tant bien que mal à quatre pattes. Il te redresse contre une poutre du chalet, te forces à lever les bras et te menotte les poignets derrière la poutre. "D'abord on va te travailler ta gueule de slave." Il s'approche, d'une main saisit tes cheveux et de l'autre te pince les joues: "Vas-y ouvre, ouvre cette petite gueule." Tu fais signe que non de la tête. La baffe tombe instantanément. Je vois tes larmes gicler, ça me fait bander. Le mec se place derrière toi, te place un doigt dans chaque narine et tire vers le haut. "Alors cette gueule, tu vas l'ouvrir?" Tu gémis et petit à petit ta bouche s'ouvre... Un autre des mecs te rentre directement trois doigts au fond de la gorge, tu suffoques. Il t'attrape la langue et tire. Le troisième te saisit les deux oreilles et les tords d'un coup sec. Te voir te faire pareillement humilier et travailler la gueule me rend fou. Je bande comme un cerf. Un des mecs se tourne vers moi: "Il a déjà bouffé de la queue?" Je réponds par la négative. "Alors à toi l'honneur!" Je me fais pas prier.

T'es là offert, les oreilles tordues, la gueule grande ouverte. Je sors ma queue et je rentre d'un coup à l'intérieur jusqu'au fond. Tu suffoques. Ils te relâchent un peu et je commence à te limer la gueule à fond. "Enfin ma petite pute depuis le temps que j'attendais ça!" Je regarde tes yeux de chien mouillés par les larmes, je t'écrase ma bite au fond de la gorge, puis je la ressors, te saisis par les oreilles et te la frotte y compris les couilles partout sur ta gueule de salope. "Hein c'est ça que tu voulais, tiens profites!" Puis je bloque ta tête en te tenant par le menton et je te jute dessus un bon sperme bien épais partout sur tes yeux, ton menton, tes oreilles et même dans les cheveux. Je me retire. Je te regarde. Tu pleures doucement mais je vois une bosse sur ton jeans... Je savais que t'étais une chienne.

"Bon c'est pas tout ça, on a encore un sacré boulot pour transformer cette pute en vraie carpette." Les trois mecs s'avancent vers toi. Ils ont leur engin dehors et te giflent la gueule avec, te la passent dans les cheveux, tentent de se mettre à deux dans ta bouche, bref ils te baisent la gueule à fond comme un cul. "Dis que t'es une pute!" L'un t'as saisi par les cheveux "Allez! Dis à voix haute que tu es une pute!" Je vois dans tes yeux que tu voudrais résister mais.. Il te tient toujours les cheveux, tu es toujours à genoux, les mains au-dessus de la tête, les poignets menottés derrière la tête, ton torse offert. D'un seul coup il t'arrache le t-shirt, ton splendide poitrail apparaît, lisse, finement musclé, superbe (vous en aurez la preuve en photo). Il pousse un sifflement d'admiration. "Putain quel beau poitrail de slave." Un autre s'approche, te saisit les deux pecs à pleines mains et les tords d'un coup. Tu hurles. L'autre continue: "Dis que t'es une pute!" Du coup l'autre te saisit le bout des seins, les allongent indéfiniment puis les fait rouler sous ses doigts. On entend un faible: "J'suis une pute." "Plus fort!" Une baffe part et la tu hurles: "Je suis une pute!" Je vois ton renflement gonfler d'un coup. Enfin tu l'as sorti. Tu reconnais ta condition et ça te fait bander. "OK salope, alors on va te montrer comment on traite les putes..."

Je me recule, je te regarde les seins déjà rougis par le bref traitement qui leur a été administré, le visage gluant de mon sperme encore frais, t'es beau! "Ok on va tout de suite le mater pour qu'il sache bien où est sa place." Je regarde la scène, m'abstenant d'intervenir. Les trois mecs se déshabillent complètement, ils bandent tous à mort. Eux ils ne me font pas triquer, mais le fait qu'ils en veuillent à ma pute me rend dingue! Ils s'approchent de toi, toujours à torse nu et t'enlèvent les menottes. Tu tentes de te relever mais un balayage de jambes te fait rouler sur le tapis et là, ils se jettent sur toi. T'es plus qu'un bout de viande qu'ils se disputent. L'un te force à te mettre sur le dos, te saisit la gueule et te pose méthodiquement son gros cul sur ta petite gueule tout en immobilisant tes épaules en posant ses genoux sur chacune d'elles. Je me dis que tu as vraiment la bouche dans un cul, je t'entends gémir.

Pendant ce temps, les deux autres te saisissent chacun une jambe afin de t'empêcher de gigoter. Tu es complètement immobilisé. "Hé! À toi l'honneur de nous faire découvrir la bite de ta chienne." Je m'avance, prends mon temps, m'agenouille et entreprends te déboucler ta ceinture puis un à un les boutons de ton 501 sautent. Tu gémis plus fort, tentes de bouger, tu sais que tu es bientôt définitivement offert. Ton short apparaît et d'un seul coup j'empoigne le jeans et les shorts et les descends jusqu'au genoux. Ta bite que je connais, gicle, mate, pas spécialement grosse mais si douce et prête à être durement maltraitée. Tu bandes à moitié. Les trois autres se ruent dessus, l'attrapent, la tordent, la tirent, celui qui est sur ta gueule transpire à grosses gouttes, te tirent les couilles jusqu'au milieu du ventre "Alors salope, c'est quoi ces poils, comment tu oses?" C'est vrai que tu es imberbe sur tout le corps mais tu as une bonne toison quand même.

Il s'excite, te frotte son cul de plus en plus fort sur la gueule, ton corps musclé s'agite de plus en plus pour tenter de se dégager. "Ok M, tire lui la bite au max vers le bas, on va lui montrer ce qu'on fait des poils des slaves!" Le mec se fait pas prier t'attrapes la bite et la tire à te l'arracher en direction des genoux. Ta toison pubienne est complètement dégagée. Celui qui est sur toi l'empoigne de son énorme main et, j'en crois pas mes yeux, te l'arrache à la force du poignet. Tu pousses un hurlement de douleur, ton corps se cambre et en trois secondes ton sexe a perdu les trois quarts de ses poils. Mais ta bite d'un coup durcit, je comprends qu'on est toujours sur le bon chemin.

Celui qui est sur ta gueule se relève, tes poils dans la main, t'empoigne la gueule et te force à ouvrir ta bouche de pute en serrant un max chaque mâchoire. D'un coup il enfouit ta propre touffe de poils dans le fond de ta gorge: "Tiens! Avale! Mange ça salope, ç'est les derniers poils de ta vie..." Tu te débats, suffoques, mais je te vois péniblement déglutir. Pendant ce temps, les deux autres t'ont retiré complètement ton pantalon, et entreprennent de terminer le travail en arrachant les poils restant touffes par touffes tout en te fessant vigoureusement tes petites fesses de pute qui elles n'ont pas un poil. Tu bandes de plus en plus fort, ça me rassure...

L'histoire de cette nuit est encore longue, si elle vous plaît, je vous invite à me contacter et je vous prouverais par des photos bandantes et sans équivoque que cette jeune salope existe vraiment. Et croyez moi vous ne serez pas décus car ce mec fait bander un max de monde.

Je tiens à préciser que nous avons une complicité de tous les instants et que la nuit que je vous raconte n'était destinée qu'à lui révéler à lui-même ce que j'avais perçu depuis longtemps. J'avais mis des règles extrêmement précises pour le déroulement de la soirée et si j'avais le moindre doute je stoppais tout. Je respecte et j'aime trop ce mec pour risquer de lui faire du mal. Mais depuis deux mois nous vivons un vrai rêve me prouvant que je me suis pas trompé. C'est un effet un vrai slave!

Je continuerais mon récit prochainement.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 1 commentaires
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