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fan de histoires de mec

Mercredi 4 juillet 3 04 /07 /Juil 14:37

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Je rêvais depuis longtemps de devenir une bonne chienne, une pute à jus, soumise à toutes les queues que mon Maître me présenterait. Le problème était de trouver ce Maître. Et ça, ce n’était pas évident! Je me suis mis à fréquenter les lieux glauques... J’ai surfé des heures sur des sites hards... Après de nombreuses recherches, il m’a semblé avoir trouvé, enfin, la perle rare. Le mec avait la petite quarantaine, un look skin et sport, dominateur, bien foutu et pourvu d’une longue et large bite bien dure.

Il m’a proposé une première rencontre et on s'est vu sans baiser. Il m’a observé et questionné. Nos fantasmes respectifs coïncidaient assez bien. Il voulait une lope à son service et il m’a fait comprendre que les moments de cul avec lui seraient dénués de tendresse et de pitié.

— Tu n’es que de la viande, mec! Deux trous avec de la viande autour! Point! Avec moi, pas de blabla...

Son attitude m'excitait encore plus. Je voulais vraiment devenir SA chose. Il me fixa donc un premier rendez-vous «baise». J’ai attendu deux jours avant ce baptême du sexe avec lui. Rien qu'en pensant à ce qu’il allait me faire, mon coeur battait la chamade et mon fion mouillait et se dilatait.

— Aucun regret? Tu es toujours décidé à aller jusqu’au bout de tes fantasmes? m’a-t-il demandé.

— Oui.

— Oui qui?

— Oui, Maître!

— J’ai tout prévu pour que cette nuit soit inoubliable pour toi. Suis moi...

Il m’emmena sur un chantier désert où il avait fait venir des potes à lui.

— Tu vas connaître la meilleure nuit de ta vie, petite pute! Fous-toi à poil... Garde seulement tes boots, cockring et ton collier de chien! Installe-toi sur ces palettes... à quatre pattes, cul bien cambré...

Une fois bien installé, chatte en l'air. il prit soin de me mettre un bandeau sur les yeux et de me graisser le fion avec du gel.

— Tu ne bouges pas. Je vais chercher du mâle pour ton trou.

Je suis resté là plus de dix minutes à attendre. L’excitation était très forte. Quelqu’un pouvait me surprendre là dans cette position. Enfin, il revint avec plusieurs mecs. La sarabande commença dans mon cul: une première queue, une deuxième, une troisième... le poppers me rendait glouton et je mouillais du fion. Je sentais des giclées sur tout mon corps et le jus que je me prenais me rendait accroc.

— T’en veux encore?

— Oui, encore! J’en veux plus!

J’avais la rondelle de plus en plus dilatée, coulante de mouille et les mecs défilaient avec différents calibres mais généralement de bonne taille. Ils se succédaient en m'insultant de traînée, me crachant sur le dos. Je recevais du sperme et de la pisse. J’étais en état de grâce.

Mon maître ne me laissa jamais seul avec les mecs. Maintenant, ils arrivaient d’eux même, sans doute par le bouche-à-oreille. Mon Maître me titillait le fion entre les queues et il me faisait pomper son gros zob quand j'avais l'arrière occupé.

— On ne laisse jamais un trou vide trop longtemps! me dit-il.

Il me donnait une claque s'il n'était pas satisfait, me faisant sentir toute sa force et sa supériorité.

C’était vraiment la première fois que je jouissais de la chatte aussi fort. J’avais le fion dégoulinant et bien ouvert. Quelle sensation incroyable de soumission!

 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Mercredi 4 juillet 3 04 /07 /Juil 12:46

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Mon voisinage est très familier avec mon style de vie. Ils savent que je suis gai, ils savent que j'ai des amis qui viennent parfois à la maison et que nous ne faisons pas que parler de football et de trucs du genre. Je ne me cache pas du fait que je sois gai, et mon quartier l'accepte assez bien. Même les jeunes ne m'embêtent pas avec ça. Ils savent que lorsque qu'il y a un gars à la maison, il doit être mon amoureux. Le fait qu'il se peut qu'il n'y soit que pour une journée, peut-être qu'ils ne le savent pas... Mais ils n'ont pas à tout savoir sur ma vie!

En tous cas. L'histoire que je veux vous raconter s'est passée il y a quelques temps déjà. Pendant l'été, je m'assure de nettoyer ma Jeep au moins une fois par semaine. Elle devient très sale car j'adore faire des tours dans le bois et sur pleins de terrains cahoteux. Or, quand je la nettoie, le fils de mes voisins vient me voir pour me parler d'actualité, de sports, et de pleins de trucs du genre. Il se nomme Lee (il est asiatique) et il doit avoir 15 ou peut-être 16 ans. Je dois dire que c'est un garçon assez joli, mais juste dans le sens qu'un enfant est "cute".

Soudainement, il commença à me poser des questions sur un gars qui était venu il y a quelques jours à le maison. Je sus immédiatement de quel homme il parlait. Je l'ai ramassé dans un bar et, pour quelques raisons que ce soit, il semblait qu'on s'aimait assez pour qu'il soit resté ici pendant quelques jours. Je ne me rappelle plus de son nom, mais Lee semblait s'en souvenir. Il me parlait de lui comme s'il l'avait connu depuis de nombreuses années!

Pendant la conversation, j'ai compris que Kevin (c'est le nom du gars que j'ai ramassé) avait pris contact avec le quartier. Il ne m'en avait pas parlé mais on ne se parlait pas beaucoup d'une façon ou d'un autre. Nous étions trop occupés à explorer nos corps! Mais j'ai compris qu'il avait été faire des avances à Lee. Je n'en croyais pas mes oreilles! Est-ce que Lee me niaisait? Pouvait-il monter tout ça? Il a du voir ma confusion, alors il m'a calmé en me disant qu'il ne sétait rien passé entre les deux. Il a dit qu'il avait dit à Kevin un "NON" fort et clair, assez pour qu'il ne recommence pas.

Ça m'a agacé un moment. J'ai essayé de dire à Lee à quel point j'étais désolé mais il m'a dit que ce n'était pas nécessaire. Soudainement je me suis demandé pourquoi Lee me parlait de cela. Lorsque je lui ai demandé, il m'a répondu qu'il croyait que Kevin l'attirait, mais qu'il connaissait quelqu'un de mieux...

Je l'avais vu marcher sur la rue avec une fille qui s'appelait Rosy donc j'ai pensé qu'il parlait de celle-ci. Comment est-ce qu'on parle à un garçon de 15 ans d'une fille? Je n'ai jamais eu d'expérience hétérosexuelle alors je lui ai dit je ne connaissais que les garçons. Il m'a surpris en me disant qu'il voulait en connaître plus à ce sujet. Comment c'est d'avoir du sexe avec un gars, quand j'ai su que j'étais gai, comment je l'ai dit à ma famille, si les gais passent leur temps à s'enculer ou s'il y a autre chose... Tous les types de questions m'ont été posées et je connaissais toutes les réponses, mais était-ce le bon moment pour parler de ça au fils de mes voisins?

C'est alors que j'ai eu une idée: je lui ai dit d'en parler à ses parents. Un regard triste apparut sur son visage. Son père était policier d'état et sa mère était connue pour cruiser les gars du quartier, alors ni un ni l'autre étaient là à la maison la plupart du temps. Lui et sa soeur devaient souvent se garder eux-mêmes. Lee et Ann étaient contents lorsque leur père revenait, ce qui procurait à la maison une autorité responsable.

J'ai dit à Lee que je devais terminer de laver la Jeep et qu'ensuite, on prendrait quelque chose à boire et que je pourrais peut-être lui dire quelque chose. Il était d'accord et il m'a aidé. Vingt minutes plus tard, il étrait assis dans mon salon. Il s'était assis dans mon fauteuil, je me suis donc assis sur le canapé. Je lui ai demandé ce qu'il voudrait boire.

— Je prendrais une bière si ça ne te dérange pas.

— Tu es sûr?

— Je peux boire de la bière, je le fais avec des amis des fois.

— Je ne veux pas que ton père sache que tu as bu de la bière dans ma maison!

— Il n'a pas besoin de le savoir! Maintenant, parle-moi plus de toi.

J'étais un peu gêné. Lee était devant moi, et j'étais sur le point de lui parler des gais.

— Tout ce que je veux savoir, c'est ce que vous faites entre vous, dit Lee.

— Et bien, on fait plein de trucs. Par exemple, on pourrait être assis, se parler et se regarder un peu... "croche"...

— Comme ça?" Lee me fit un regard indescriptible.

— Oui, un peu comme ça, répondis-je, en ayant l'air normal, mais je crois que Lee avait remarqué mon air surpris.

— Je suppose que je réussis bien là-dedans, dit-il en riant et prenant une gorgée de bière.

— Nous aimons aussi connaître l'autre un peu mieux avant de commencer à s'explorer.

Lee me regarda comme tout à l'heure, puis il se leva pour venir s'asseoir à côté de moi. Puis, il me dit:

— Salut! Je m'appelle Lee. C'est quoi ton nom?

Je n'en croyais pas mes oreilles. Ce devait être un réve! J'ai osé jeter un regard au paquet que Lee transportait entre ses jeunes jambes et j'ai remarqué qu'il était vraiment bandé... à ce moment, j'ai décidé de reprendre le contrôle. J'avais l'information nécessaire et j'ai décidé de continuer le petit jeu auquel nous jouions.

— Salut, je suis Roy et je crois que tu es vraiment sexy, lui répondis-je

J'ai alors mis ma main sur son genou pour le sentir. Ses jeans étaient chauds. Je l'ai regardé dans les yeux. Ils étaient magnifiques. Pourquoi je ne l'ai pas remarqué avant? Le bout de sa langue dépassa de sa bouche. Il voulait que je l'embrasse. Et je l'ai fait.

J'étais assis dans mon propre salon, en train d'embrasser le fils de mes voisins. Et Lee semblait aimer cela, car il m'embrassait comme s'il était en extase pour la première fois de sa vie. Le t-shirt qu'il portait devait me faire un chemin. Je voulais goûter à sa poitrine. Ma langue parcourut sa poitrine, et Lee commença à gémir lorsque je me suis attaqué à ses mamelons. J'aimais les libérer de la couche de sueur qui recouvrait ce garçon. Ce gars était et goûtait bon...

— Pourquoi laisses-tu tout cela arriver? lui dis-je. Pourquoi me rends-tu si chaud?

— Tu ne comprends pas Roy? Je t'aime! Je t'aime depuis le début. Depuis que t'es arrivé ici je te regarde. Plus je te vois, plus je te veux!

— J'ai toujours cru que tu sortais avec cette Rosy.

— C'est parce que j'étais sûr que vous étiez capable de repérer les bons gars!

— En général on peut, mais je ne t'ai pas remarqué, je ne sais pas pourquoi...

— Bon, on se connaît. C'est le moment que tu me montres ta queue!

Ce garçon ne perdait pas de temps avec moi... et j'adorais ça. Alors j'ai décendu mes jeans et ma queue est sortie d'elle-même.

— OK Lee, tu as ce que tu attendais. Suce cette queue!

— Ce n'est pas ce que j'avais en tête.

— Alors quoi, tu veux juste le regarder?

— Non, je veux que tu me fasses une faveur. Ceci est quelque chose qui hante mes fantasmes depuis très longtemps. Tu dois me promettre que tu ne riras pas de moi.

Il me rendait curieux et plus chaud en même temps.

— Je veux que tu m'ammènes dans ta salle de bains et que tu me pisses desus...

— Quoi? Je veux dire... vraiment Lee, je ne peux pas.

— Allez Roy, ne gaspille pas ce moment! Tu peux faire de moi ce que tu veux. tout ce que je désire, c'est sentir ta pisse chaude qui coule sur mon corps.

Pour être honnête, je n'ai jamais rien fait de semblable dans ma vie. Je ne savais pas si je devais aimer ou non ce moment. Je voulais seulement avoir du sexe avec ce garçon, pas lui pisser dessus. Je crois que je n'aimais pas l'idée, et en plus ma queue était encore en pleine érection semblait vouloir faire sortir du liquide blanc, pas jaune... Mais Lee était plus fort. Il m'ammena à la salle de bain et se déshabilla, à l'exception de son slip moulant blanc.

— Pendant que je suis couché sur le sol, mouille-moi, ne néglige aucune partie de mon corps, je veux goûter et sentir ton urine, alors n'oublie ma tête!

J'ai essayé de pisser mais ce n'est pas venu. Lorsque ma queue fut a demi-bandée, un jet jaune de pisse atterrit sur la poitrine de Lee. À ce même moment, Lee prit ses mains et se massa avec ma pisse. J'ai décidé de rendre les choses plus amusantes... J'ai laissé mon liquide courir sur tout son corps. J'ai pissé sur son slip, avec résultat de me révéler sa queue, ce qui m'excita davantage. À la fin, j'ai pissé sur son menton, alors il pouvait faire ce qu'il voulait. Et oui, il ouvrit la bouche! Dieu, que j'aimais ça. J'aimais pisser sur ce garçon. Ça me donnait une sensation de pouvoir et j'aimais le côté sale de mon esprit que je développais.

Lorsque Lee fut complètement couvert de ma pisse, je l'ai regardé pour voir ce qu'il faisait. Il aimait tellement ça qu'il en avait oublié tout aux alentours. Tout ce qu'il faisait, c'était de tourner, en essayant de sentir sur lui le plus de pisse qu'il le pouvait. Puis, il se mit sur le ventre et il commença à lécher l'urine qui était sur le sol. Il était présentement en train de nettoyer mon plancher avec sa langue! Son slip était toujours sur lui et j'ai décidé de les lui enlever. Lee me laissa faire. Une magnifique queue se montra à moi et j'ai regardé Lee avec un air très satisfait.

— Tu as vu qu'il n'y avait rien là, me dit Lee. Maintenant c'est ton tour!

Avant que je n'aie pu dire quoi que se soit, Lee était debout et il me poussait vers la toilette. Il m'assit sur celle-ci et se tint devant moi avec cette magnifique queue. Je n'avais pas assez de temps de m'habituer à l'idée. Une seconde plus tard un jet de pisse jaune sortit de sa queue. J'avais toujours quelques vêtements sur moi mais je m'en foutais. Tout devint mouillé, et je sentis la pisse traverser mes vêtements. Pendant que je le regardais, j'ai remarqué ma pisse qui dégoulinait toujours de son corps. Dieu, qui aurait cru que ce petit jeu m'aurait amusé à ce point?!? Tout à coup, j'ai senti une main derrière ma tête et j'ai vu la queue de Lee qui s'approchait de mon visage.

— Maintenant, tu vas goûter à quelque chose de bon. Ne gaspille pas le moment, fais juste boire, comme tu boirais ta bière.

J'aimais son style. D'habitude c'était moi qui dominait, mais j'aimais qu'il me domine. J'étais aussi son jouet, alors je ne pouvais pas lui répliquer. L'urine goûtait bizarre au début mais j'ai goûté sa vraie saveur peu de temps après. La sensation que donnait le fait de sucer Lee et nos deux pisses mélangées était indescriptible. Lorsque le jet s'est éteint, j'ai senti Lee aller et venir lentement. Il prévoyait envoyer sa dèche juste après sa pisse. Sa queue était toujours dans ma bouche, et je le laissais me défoncer tranquillement. J'étais au paradis! Et quand la dèche arriva dans ma bouche, je dois dire que le goût était le meilleur que j'ai eu de ma vie.

Après que Lee eu dèché, il recula et j'ai pu voir sa queue à nouveau. Je devais sortir ma propre queue. Je ne pouvais plu attendre. Alors que je commençais à me masturber, Lee me fit un show que je ne pourrai jamais oublier. Il a commencé à se pisser dessus avec sa queue. Sa propre pisse se mêlait à la mienne, et je l'ai vue arriver entre ses mamelons, descendre sur sa queue et ses couilles, puis finalement le long de ses longues jambes. Ce fut trop pour moi. J'ai dèché comme je n'avais jamais dèché auparavant. J'ai envoyé mon jet dans les airs et ma petite salope essaya même d'en attraper avec sa bouche. Je n'ai jamais eu une expérience aussi excitante que celle-ci. Nous avons décidé de reprendre notre souffle une minute, puis nous avons ramassé.

Je regardais Lee pendant qu'il prenait sa douche. Je crois que ce fut la première fois que j'étais amoureux d'un garçon aussi jeune. Il n'avait que 15 ans mais agissais comme s'il connaissait tout. Lorsqu'il partit, il me donna une brève léchée sur l'oreille. Il m'a remercié et j'ai pensé que ce fut la seule relation qu'il allait y avoir entre nous deux. Merci mon Dieu, j'avais tort!

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 1 commentaires
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Mercredi 4 juillet 3 04 /07 /Juil 12:40

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Depuis le remariage de ma mère, je vis avec mon beau-père et mon demi-frère. Le climat familial est quelque peu tendu, nous ne sommes pas ce qu'on pourrait appeler une famille modèle. Nous vivons dans un petit appartement situé dans un quartier pauvre d'une grande ville, et ma mère s'absente souvent plusieurs semaines pour son travail. Mon beau-père me laisse habituellement tranquille, il travaille souvent tous les jours et revient très tard la nuit, complètement bourré.

Mon demi-frère a 26 ans, 8 de plus que moi. Il a un diplôme en mécanique, mais il ne s'est jamais trouvé d'emploi. Il mesure 1m75, il a les cheveux noirs, les yeux noirs, il s'entraînait donc il est musclé, mais depuis qu'il a arrêté il a pris un peu de ventre. Quand il est à la maison, il est dans sa chambre, le demi sous-sol de l'appartement, et il boit en regardant la télé. Ma chambre est beaucoup plus petite. C'était un grand débarras, il y a de la place pour mon lit et ma penderie, un bureau et c'est tout. Étant donné que c'est mon beau-père qui paie l'appartement, je suis chanceux de pouvoir rester même si j'ai eu 18 ans le mois passé.

Je mesure 1m60, et je suis plutôt mince, les cheveux blonds, imberbe, et ma queue fait 14 cm bandé. Pas trop top pour impressionner les filles. J'suis beau quand même, mais je n'ai jamais eu de copine. Je suis un peu gêné, je n'ai pas beaucoup d'amis. Je termine mes sciences pour entrer en fac de médecine l'an prochain. Ma mère ne veut pas que je travaille, donc elle me donne ce qu'elle peut pour mes dépenses.

Ce matin, en me levant, je vois une note sur la table. Ma mère est partie pour deux semaines, elle a dit qu'elle a laissé de l'argent à Alex (mon demi-frère) pour qu'il me la donne: "Je ne voulais pas la laisser sur la table, tu connais ton beau-père..." Merde, je connais aussi mon demi-frère. Autant dire que cet argent, je l'aurai pas. J'entends un genre de râle étrange venant de la chambre du fond, mon beau-père se lève, je cache le mot. Il ouvre la porte de la chambre, il est aussi grand que son fils, l'exacte réplique avec vingt ans de plus. Il porte un slip blanc et un t-shirt. Il s'approche de moi, en se grattant l'intérieur du slip, il sent la dèche, il vient de se crosser. Il sort sa main et me fout deux petites claques sur la joue. Il prend deux secondes pour me regarder de haut en bas, je porte un boxer noir moulant.

— Ça va toi ce matin? Criss que t'es maigre.

— Oui, ça va.

— Ta mère est partie, non? Ha. Écoute, moi aussi je pars, je vais à la chasse avec mon frère pour quelques jours. Tu vas t'occuper de la maison?

Il sait très bien que son bon à rien de fils ne fera rien pour entretenir la maison.

— Oui, je vais... faire le ménage là.

— En tout cas c'est mieux d'être propre quand je reviens.

— Oui, si c'est pour m'empêcher de te voir la face pendant quelques jours, ça vaut la peine.

— Petite merde haha.

Il me claque la joue "affectueusement". Cette fois, je sens quelque chose d'humide sur ma joue. Il avait encore un peu de dèche qui lui était restée de sa crosse matinale. Je me retiens de lui exprimer mon dégoût jusqu'à ce qu'il parte, puis je cours me laver le visage à la salle de bain. Puis j'ouvre le réfrigérateur. Merde. Plus rien à manger. Bon, je dois aller voir si Alex est réveillé, et essayer de le convaincre de me donner l'argent que ma mère lui a remis pour moi.

Je cogne à la porte du demi sous-sol: pas de réponse. Je vais voir s'il est réveillé, puis sinon, j'attendrai. En ouvrant la porte, je sens un mélange de bière, de sperme, de sueur et de je ne sais quoi. De façon surprenante, l'odeur ne m'est pas tant désagréable, je me suis un peu habitué à l'odeur d'Alex depuis que je vis avec lui. La seule petite lucarne du sous-sol est couverte avec un drap, il ne fait pas très clair. Doucement, je l'appelle, avec une voix un peu tremblotante parce que je suis un peu intimidé par lui :

— Alex, t'es réveillé?

Pas de réponse, je l'entends respirer. Il dort profondément. Je ne sais pas pourquoi, mais je descends le reste de l'escalier. Arrivé en bas, je regarde un peu le déluge: Des vêtements partout, des bouteilles de bière, un équipement de hockey accroché à la porte de la garde-robe (la seule activité physique qu'Alex pratique, à part baiser des filles louches) et Alex dans son lit. Il est sur le dos, bien écarté, avec une camisole blanche usée et un slip qu'il doit porter depuis 3 jours. Il a une bosse dans son slip, je me surprends à la regarder pendant quelques secondes, puis je vois sur sa table de "travail" un verre rempli de bière. Comme il y a de la vaisselle à faire, je décide de prendre le verre et de retourner en haut en attendant qu'il se réveille. Je prends le verre et je m'apprête à mettre le pied sur la première marche...

— Ça fait longtemps que tu me mattes? (Je n'avais pas remarqué qu'il s'était réveillé)

— N... Non, heu, je veux dire, je voulais savoir si t'étais réveillé, p... parce que...

— Ça fait que tu viens me voler mon urinoir, christ de dégueulasse.

— Ton urinoir?

Je regarde le verre de bière que j'ai à la main, et ce qu'il y a dedans, ce n'est pas de la bière, ça sent la pisse et je me rends compte que ça sent fort.

— Désolé, je pensais que c'était de la bière... Je... je vais remonter faire la vaisselle... pis redescendre tantôt...

Je pose le verre sur la table, et je cours remonter l'escalier

— T'oublies pas quelque chose? Dit Alex, Vide-le pis lave-le, tu me le ramèneras en redescendant.

Au lieu de protester, ce qui serait normal, je prends le verre et je remonte. Je le pose à côté du lavabo. Je tremble, j'ai des sueurs froides. Je ne sais pas pourquoi, mais Alex m'intimide vraiment. Peut-être parce qu'il est le genre de mec que je voudrais être, plein d'assurance, qui a du succès avec les filles. En même temps non, c'est un trou de cul qui ne fait rien de sa vie. Mais pourquoi je tremble comme ça alors? Et merde, pourquoi je lui lave son verre plein de pisse? Avant de le vider, je le sens un peu, c'est une odeur rance, comme celle que j'ai sentie en entrant dans le sous-sol, mais en concentré. J'ai honte, je vide le verre dans le lavabo et je lave la vaisselle. Après, je vais enfiler un t-shirt et un jeans serrés. À peine revenu dans la cuisine, j'entends Alex qui m'appelle. Je prends son "urinoir" et je descends. Autant être gentil avec ce malade si je veux mon argent.

En arrivant en bas, je le vois assis dans son lit, il a enfilé des bas sales et tachés.

— Donne-moi le verre.

— Merde... T... Tu vas pas...

— T'es malade. T'as beaucoup trop envie de la voir, ma queue. Tu penses que j'vais la montrer à une tapette comme toi?

— J'suis pas... t'es cave[1]... Ma mère t'a donné de l'argent pour moi, y'a rien à manger et j'dois aller...

— Ouais, je sais. Dommage, tu mangeras la semaine prochaine. Ou t'as qu'à aller faire ta pute sur le trottoir. J'pense que ton petit cul pognrais[2] bien avec les vieux pervers. Haha, t'es fait, mon gars.

— Pis toi, tu vas manger quoi? T'es... t'es même pas capable de te faire cuire...

— J'vais aller au resto du coin, t'es con ou quoi? J'en ai de l'argent, moi.

Je déteste qu'il me coupe la parole chaque fois que j'essaie de dire quelque chose. On dirait qu'à chaque fois, je me sens plus nerveux. Il a une espèce de sourire fendant, les cheveux courts en bataille. Le genre de gars que je détestais au secondaire, mais en version adulte et encore plus raté. Je fuis son regard, mais je sais qu'il sait que je suis nerveux. Ça parait dans son visage qu'il a une idée derrière la tête.

— J'ai une idée, dit-il, mon père est parti pour quelques jours, non? Il t'a sûrement demandé de t'occuper de l'appart. Alors, c'est ça le deal. Tu fais la bonne. Tu fais ce que je te dis de faire, je te paie.

— T... Tu le sais que je vais le faire anyway, le ménage. Donne-moi juste mon argent et t'auras même pas à parler.

Il a un rire inquiétant, puis il dit : - Mais c'est bin plus drôle si je te bosse, et comme tu l'as dit, tu le ferais anyway.

Ma nervosité fait temporairement place à l'exaspération : - Okay, fais-toi plaisir.

— Okay, tapette, ramasse mon linge pis lave-le.

C'est rapide. De l'exaspération naissante je repasse à la nervosité, en plus d'avoir un genre de début d'excitation dans le bas-ventre. Le ton de son ordre, sa voix autoritaire en étant calme, agressive et virile... C'est la nervosité, sûrement. Je ne peux pas être excité. Je ne suis pas gai, il peut m'appeler "tapette" tant qu'il veut, quand je crosse ma petite bite, c'est pas du tout à des mecs que je pense. Et encore une fois, au lieu de protester, j'obéis. Il s'assit sur le bord de son lit et me regarde faire. Je prends le panier à linge, je ramasse les vêtements. Alex porte ses vêtements plusieurs fois avant de les laver. Ils sentent la sueur, la bière...

— T'es con ou quoi? Celui-là, je l'ai porté une fois. Sens-les avant de les mettre dans le panier.

— Quoi? Au pire je les lave tous, on s'en fout.

— Je te paie pas pour chiâler, tu veux bouffer? Alors tu fais comme je dis.

Il a raison. Je ramasse un vêtement au hasard. Merde, son jock-strap de hockey. J'hésite quelques instants, puis je le sens rapidement. Il sent vraiment fort la sueur... et la pisse? Pas de doute, il a pissé dans son jock-strap. Pendant ce temps, Alex se marre. J'ai vraiment honte. Mais l'odeur provoque une espèce de picotement dans mon boxer. Après avoir tout ramassé, je me dirige vers l'escalier.

— T'en oublie un...

Il pointe un slip entre ses deux pieds. Non, il ne se penchera pas pour me le donner. Je m'approche et je le prends. Au même moment, il se lève, et le boxer qu'il porte se frotte sur mon visage. Je disais qu'il le portait depuis trois jours? Mettez-en quatre. Et en plus, il s'est crossé dedans ce matin, un peu de dèche reste collée sur mon nez. Je lève la tête, il est beaucoup trop grand. Je suis à ses pieds, littéralement. J'aurais envie de le tuer en ce moment, mais je suis tétanisé. Il a les yeux à moitié fermés et il rit. Je pense perdre connaissance quand je vois qu'il a MON blackberry dans la main.

— Pendant que tu t'amusais à sniffer mes vêtements, j'ai pris des photos. Je viens de les envoyer sur une adresse fantôme. Après, j'aurai qu'à faire suivre à ta mère, à mon père, à tes 2 ou 3 petits amis connards qui trainent trop ici à mon goût, et à quelques autres personnes aussi. Ça serait pas mal drôle, non? Comme ça, tout le monde saurait que t'es rien qu'une criss[3] de salope qui trippe à sniffer mes vieux boxers. T'en dis quoi?

Je suis solidement dans la merde. Je ne peux pas le laisser faire ça. Je le supplie, et, comble du pathétique, je me mets à pleurer, à genoux devant lui. Il a une drôle d'étincelle dans les yeux, quelque chose de pas du tout rassurant. Et il a toujours son sourire malveillant.

— T'es vraiment une petite merde, j'ai presque pitié de toi. Mais ça me donne une idée, tiens. Si tu veux pas que j'envoie ces photos à personne, faudra que tu sois ma bonne, pis que tu fasses tout ce que j'te demande, même les choses les plus dégradantes, t'as compris?

Il a un petit rire sardonique, je le connais, il est complètement malade, je ne peux pas accepter ça.

— T... Tu veux pas qu'on essaie de s'arranger...

Il me fout une claque puissante sur la gueule. Je suis presque sonné. Il se met à crier

— JE T'AI PAS DEMANDÉ TON AVIS, JE T'AI DEMANDÉ SI T'AVAIS COMPRIS QU'À PARTIR DE MAINTENANT T'ES MA BONNE, TAPETTE.

Il prend mon blackberry et il commence à appuyer sur les touches. J'ai pas le choix. J'ai trop honte.

— Oui... je suis ta bonne, mais s'il-te-plaît n'envoie les photos à personne.

— J'vais faire ce qui me plaît, tapette. Et si tu me fais une autre demande, j'envoie aussitôt les photos. J't'explique: C'est moi qui commande. Tu ne poses pas de questions, tu fais seulement ce que je te dis. C'est pas trop dur pour ta petite tête de fif, ça?

— ... J'ai compris.

— Maintenant, il va falloir te trouver un costume qui convient à une petite merde comme toi. Lève-toi pis bouge pas.

Je me lève en tremblant, je sue à grosses gouttes. Il est toujours en camisole et boxers devant moi. Je suis au niveau de ses aisselles. Poilues, avec une odeur de mec qui a oublié son déo pendant quelques jours. Il reste là devant moi quelques instants, il me fixe intensément mais je fuis son regard. Tout à coup, il empoigne le col de mon t-shirt avec ses deux mains, il m'étrangle un peu puis d'un mouvement sec il le déchire. Je pousse un petit cri aigu. Ensuite, il prend une paire de ciseaux qui traîne pas trop loin et me les tend.

— Découpe ton jeans.

— Je... je peux juste l'enlever...

— DÉCOUPE-LE CÂLICE

Et il me crache au visage. Je porte d'instinct ma main à mon visage pour l'essuyer, mais il m'arrête en me tordant le bras.

— Tu laisse couler ça, une petite merde comme toi mériterait bien pire que deux crachats dans face.

Et il me crache encore dessus. En me concentrant pour ne pas trembler, je découpe mon jeans et je me retrouve en boxers devant Alex. À côté de lui, je suis ridicule. La force avec laquelle il a déchiré mon t-shirt, la façon dont il m'a tordu le bras. Je suis terrorisé et comme captivé par lui en même temps.

— Découpe tes boxers, maintenant.

J’hésite quelques instants, assez pour recevoir une nouvelle baffe. Je suis sûr d’avoir les marques de sa main sur la joue. Je comprends que je n’ai pas le choix. Mes boxers tombent par terre. Je suis nu, imberbe, et si bandé ma queue fait 14 cm, à plat c’est tout aussi ridicule. D’ailleurs, Alex rit maintenant très fort. Il en profite pour prendre une photo. Je sais que je ne dois pas protester.

— T’ES UNE VRAIE TAPETTE TOÉ CRISS, dit-il en continuant à rire, T’AS VRAIMENT UNE P’TITE QUEUE!

Il cesse de rire soudainement et sort de dessous les couvertures un collier et une laisse en cuir usé qui appartenaient sûrement à un chien qu’il a eu. D’ailleurs, sur la médaille, il est écrit « Propriétaire : Alex ». Il m’enfile le collier autour du cou, et je me remets à pleurer. Il prend ensuite la laisse et la tire vers le bas avec un mouvement sec

— À QUATRE PATTES, MA CHIENNE.

Il me guide et m’emmène ensuite en haut. Mes genoux s’éraflent sur l’escalier et il s’en fout, il ne fait que tirer plus fort. Il m’emmène jusqu’à la chambre de mon beau-père. (Ma mère dort dans une autre chambre, qui était avant un bureau, mon beau-père a donc la chambre des maîtres à lui tout seul.) En entrant dans la chambre, je sens la même odeur que dans le sous-sol, en plus musqué. J’ai horriblement peur. Alex me tire jusqu'à la garde-robe. À l’intérieur, plusieurs vêtements sur le sol et une odeur de dèshe incroyablement puissante.

— Ça c’est les torchons à dèshe de mon père, comme toi tu vas devenir le mien. À chaque crosse, mon père prend un vieux slip ou des shorts et se décharge dedans. Comme ça, il peut les garder toute la nuit et pas avoir froid au cul. Salope, tu les prends dans ta gueule un par un et tu me les montres, je vais choisir ta tenue d’esclave.

L’odeur est repoussante, j’en prends un qui ne semble pas trop pire dans ma gueule. Alex rit et, bien sûr, il prend une photo. Je lui montre un short de sport noir bien taché, une camisole jaunie et bien odorante, et il tire soudain sur la laisse.

— CELUI-LÀ, DANS LE FOND.

Je m’avance jusqu’au fond et je prends un slip blanc troué, taché et bien garni de dèshe séchée dans ma gueule. Ma salive trempe le slip et je peux goûter au sperme de mon beau-père. J’ai un haut-le-cœur, mais à l’idée de cette humiliation, j’ai presque une érection et ça me dégoûte.

— MET LE SLIP.

Je le mets ou du moins ce qui en reste. L’élastique est trop grand et il est troué de partout. On peut encore clairement voir mon trou et ma queue.

— Tu es bien obéissante, salope, mais maintenant j’ai envie de pisser. Tiens, dit Alex en me donnant un verre pareil à celui du sous-sol, c’est l’urinoir de mon père, tiens le devant toi pour que je me soulage. Si tu lâches le verre, tu sais ce qui t’attends. ET TU ARRÊTES DE TREMBLER.

Je suis rouge de honte. Par la fente de son boxer, Alex sort une queue au repos et pourtant presque plus grande que la mienne lorsqu’elle est en érection. Il la place au-dessus du verre et presque aussitôt un flot jaune foncé sort de sa queue. Il n’a pas relevé la peau de son prépuce, bien sûr il a fait exprès. Résultat, le quart de la pisse se retrouve sur moi. Quelques gouttes viennent jusqu’à mes lèvres, c’est amer et dégueulasse.

— Petite merde, t’en a pris la moitié sur toi, criss. Même pas capable de faire ce qu’on te dit. Tant pis. Bon, j’ai faim. Tu m’attends dans cette chambre, et tu ne te lave pas, c’est compris? T’inquiètes, cette semaine tu vas sentir la pisse en masse, et la dèshe aussi, quand ça me tentera de me servir de toi comme dompe à sperme.

Et il part en claquant la porte. Je fonds en larmes. Je ne peux pas comprendre ce qui m’arrive. Je suis devenu la salope de mon demi-frère, cette espèce de malade mental m’a pissé dessus. Et le pire, c’est qu’il fait ça par pure méchanceté : il n’a même pas eu d’érection. Parlant de cela, depuis qu’Alex est sorti de l’appartement (j’ai entendu la porte du couloir) j’ai une érection terrible. L’odeur de sa pisse, l’odeur du slip de mon beau-père. Sans penser, je me mets par terre sur le dos, en gardant la laisse. La main dans le slip, je crosse ma petite queue et pas plus d’une minute plus tard, j’éjacule dans le torchon que je porte. Puis je m’endors, exténué.

Lorsque j’ouvre les yeux, il est une heure de l’après-midi au cadran. Presqu’aussitôt, j’entends la porte de l’appartement s’ouvrir. Mon cœur fait trois tours. Qui sait ce qu’Alex va faire de moi? J’entends des pas dans le couloir, la porte de la chambre s’ouvre. Merde. Mon beau-père, qui est moins allé à la pêche que dans le bar au coin de la rue, entre complètement saoul dans la chambre. Il me regarde quelques instants, sans comprendre ce qui se passe. Puis il voit que je porte une laisse et son torchon à dèshe, et il voit aussi qu’il est humide. Il se jette sur la laisse et la tire vers le haut pour me forcer à me lever et se met à gueuler à deux pouces de mon oreille. Il empeste la bière et la sueur.

— OSTIE DE FIF, JE LE SAVAIS QUE T’ÉTAIS UN OSTIE DE DÉGUEULASSE. J’VIENS D’AVOIR DES BELLES PHOTOS DE TOI, T’ES UN OSTIE DE MALADE. TU VEUX DE LA QUEUE? TU VEUX ÊTRE UNE PETITE MERDE? TU VAS EN ÊTRE UNE. DIS-LE QUE T’ES UNE SALOPE, ALLEZ!

En pleurant, je lui réponds que oui, je suis une salope.

à continuer...

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Mardi 3 juillet 2 03 /07 /Juil 23:25

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Bonjour à mes lecteurs, voilà je m’appelle Christophe, j’ai 15 ans, je mesure 1m75 pour 64 kg. Assez bien foutu, je suis musclé pour mon âge. Brun d’origine italienne, j’ai quelques poils sur le torse, jambes, et une grosse touffe à mon sexe de 16 cm.

J’habitais dans le sud avec toute ma famille, à Nice exactement: mon père, ma mère et ma petite sœur de 8 ans. Il y a quelques mois, nous avons accueilli mon grand-père, le père de mon papa, car il vivait seul et voulait de la compagnie. Une veille de vacance, ma mère alla passer avec ma petite sœur une semaine tranquille chez des amis à Marseille, mais le manque de voiture faisait que mon père était forcé de les accompagner et de revenir après.

— Bon, écoute Christophe, j’emmène ta mère et ta sœur à Marseille, on en a pour 2h de route pour l’aller seulement alors je ne serai pas là avant 19h au moins. Tu t’occupes bien de ton grand-père, j’t'embrasse.

Il était 14h, j’avais tout l’après-midi pour m’occuper de mon grand-père. Ma famille partit sur le champs. Mon grand-père s’appelait Jacques, il avait 67 ans et pour son âge, je le trouvais terriblement beau. Ses cheveux grisonnants donnaient un air mature très beau. Pour son âge il était encore très en forme et adorait tous les matins faire du vélo pendant deux heures. Il était donc bien foutu pour son âge, oh oui!

— Papy, aujourd’hui je serai entièrement à ta disposition, je ferai tout ce que tu veux.

En disant ça, je ne savais pas encore ce qui allait m’arriver mais ce n’est pas pour me déplaire.

— Viens Chris, si tu es à ma disposition, tu dois te mettre en tenue.

Etonné, je suivis Jacques jusqu’à sa chambre. Il ouvrit son placard et sortit une sorte de blouse blanche, un pantalon blanc, c’était en faite une tenue d’infirmier. Il sortit aussi la casquette. J’enlevai alors mon pantalon et mon t-shirt. J’étais en boxer noir devant lui qui moulait mon paquet.

— Eh bien, c’est une jolie bosse que tu as là. Mais le noir ça ne va pas faire, ça se verra à travers le pantalon blanc.

Il me passa un slip blanc et me dit d’enfiler ça. Je mis la blouse pour commencer puis un peu gêné je baissai mon boxer et ma queue tomba dans le vide.

— Dis moi pour ton âge tu es bien velu et ton sexe est joli.

— Merci papy, je dois t’avouer que pour ton âge tu ferais craquer encore pas mal de monde.

J’enfilai le slip blanc puis le pantalon. Ça y est j’étais l’infirmer et en quelque sorte je venais d’enfiler le costume du pauvre soumis que je ne pensais pas encore. On retourna dans le salon, et une chaleur intense m’envahit, je me sentais bien dans ce costume. Mon grand-père me dit que je devrai lui faire prendre la douche plus tard. Et contre toute attente, papy me demanda de lui faire un câlin alors que ce n’est pas dans ses habitudes. Étant le serviteur de monsieur je m’exécutais. Je m’avachis dans le canapé devant la télé, serré fort contre lui. Je sentais une odeur de mâle qu’il dégageait. J’étais appuyé contre son torse, il était dur et je sentais à travers le tissu des formes généreuses.

Après quelques minutes de câlins, Jacques me dit de déboutonner ma chemise, que ça me donner un air plus sexy. Je ne reconnaissais plus mon grand-père, il avait vécu toute sa vie avec une femme et je me demandais s’il voulait s’essayer au mec. Moi j’étais 100% gay et ce petit jeu de séduction entre nous commençait à m’exciter. Je déboutonnai deux boutons et quelques poils de mon torse sortirent.

— Encore un ou deux s’il te plaît, me dit-il.

— Comme tu veux, je suis ton homme.

Il me demanda de m’approcher de lui, ce que je fis, puis il passa sa main dans la chemise au niveau du haut de mon torse et il caressait mes poils et mon tétons droit. J’étais en plein délire, mon grand-père me caressait.

— Allez je veux prendre ma douche.

Je partis dans la salle de bain, allumai le jet à bonne température. Je n’avais pas de cabine de douche mais une baignoire. J’allais chercher Jacques dans le salon et lui dis qu’il pouvait venir. Une fois dans la salle de bain, je lui déboutonnai entièrement sa chemise et je lui retirai sans qu’il ne fasse une geste; son ventre était assez plat et très peu poilu. Ses pectoraux ressortaient un peu, il avait dû être très musclé dans sa jeunesse. Ce qui me fit sourire, c’est la ligne de poils qui partait de son nombril pour finir dans le pantalon, elle était grisonnante. Je m’empressais de baisser la braguette puis de lui enlever son pantalon. Il était dans un slip lui moulant le paquet. Il se mit dos à moi et baissa son slip, ses fesses n’étaient plus aussi ferme mais elles tenaient encore la route. Une très légère érection se fit sentir. Il se mit sous l’eau avec le jet, je lui passais sur le corps et lorsqu’il se retourna, je vis enfin sa verge pendante, elle faisait 6–7 cm, circoncise, couverte d’une grosse touffe de poils avec des couilles pendantes revêtues d’une couche de poils. Une fois trempé, je lui passai du savon sur le corps et quand j’arrivai à son cul, je passai juste du savon sur les fesses mais il me dit d’en mettre aussi dans son trou. Étonné, j’y plongeai un doigt; c’était très agréable puis je passai sur sa queue, je l’astiquais avec mes mains.

— Tu fais ça super bien. Allez, rejoins moi, je sais que tu en meurs d’envie.

Je montai dans la baignoire et il me poussa au fond. Je tombai, habillé, dans la baignoire. Il m’aspergea avec le jet douche, mes vêtements blancs devenaient transparents. J’enlevai mon pantalon et mon slip laissait apparaître mon sexe.

— J’ai oublié d’aller aux toilettes avant, alors ouvre la bouche.

J’ouvris grand et il visa avec sa queue. Un long et fin jet de pisse me remplit la bouche et il m’en mit de partout, ma chemise était imbibée de pisse. Je recrachai son urine, c’était pas encore pour moi. Puis il me dit:

— Allez! Viens faire plaisir à papy et pompe moi.

Sans attendre, j’engloutis son dard, ma langue courait sur sa longue queue de 17 cm, je le suçais avec enthousiasme. Je goûtais à une queue vielle de 67 ans et elle était en pleine forme. Moi aussi ma bite avait gonflé et je me branlais en même temps. Sa bite commença à se contracter alors je me retirai et remontai. Jacques me prit la bouche et me roula une pelle. Ma langue se battait avec la sienne. Le jet douche continuait à couler.

— Après une bonne pipe, tu vas me déchirer le cul, je compte sur toi.

L’horloge indiquait déjà 17h45 mais j’en avais rien à faire et je n’y prêtai pas attention. Mon grand-père se mit à genoux et engloutit ma queue. C’était le dieu, il avait sûrment dû le faire auparavant. La sève commençait à monter alors après 10 bonnes minutes de pompage intensif, Jacques me dit:

— Prend moi Christophe et fais moi jouir comme une pute.

Pas le temps de finir sa phrase, il posa ses mains sur le mur, les jambes écartées et mon dard fusa dans son cul. Je lui arrachais des râles de plaisirs, je le pistonnais, ma queue faisait des va-et-vient, je ressortais ma bite puis la replantais. Mes mains sur ses reins, je continuais avec autant de fougue.

Les clefs de la serrure tournaient et mon père entra dans la maison mais avec le bruit de la douche, on n’y fit pas attention.

— Hello, il y a quelqu’un? Papa? Christophe?

Le bruit de la salle de bain l’attira, il arriva devant la porte. Il l’ouvrit et la vision. Il me vit en train d’enculer son père.

— Mais qu’est-ce que vous faite tous les deux?

Mon grand-père réagit tout de suite.

— Viens Alain, on s’amuse bien avec ton fils. Il m’éclate le cul et toi, il va te sucer. Tu v’as voir, comme je te faisais quand t’avais 20 ans.

Surprise! Mon père avait déjà niqué avec un homme... et c’était son père.

— D’accord mais aucun mot à ta mère, c’est bien compris?

— Compte sur moi papa.

Il se fout à poils en deux secondes, mon papa était très poilu, le contraire de son père: un petit bidon très excitant recouvert de poils bruns, des aisselles gonflées de poils, ses jambes, bras, poils de bite en grosse touffe et ses fesses aussi. Sa queue était déjà en érection, un bon 20 cm. Il entra dans la baignoire et ma langue partit dans la bouche de mon père puis très vite je m’attaquais à son gland turgescent. Ma bouche avala sa bite et papa faisait des mouvements de balancement. Il me déchirait la bouche, son énorme dard me transperçait mais j’adorais ça. Pendant ce temps, il roulait une pelle à mon grand-père. Puis je joignis les deux bites dans ma bouche.

Ces deux glands me portaient dans les airs. Quelques minutes après, ces deux glands me giclèrent dans la bouche et sur le visage. J’étais plein de sperme. Alors mes deux dépuceleurs me relevèrent et passèrent leurs langues sur mon visage. On se roula une pelle à trois. C’était très excitant. Une fois la douche finie, on se rhabilla, moi avec de nouveaux habits car la veste puait la pisse et le sperme, alors direction la machine à laver.

On passa une semaine torride. Il n’y avait pas un jour sans qu’on fasse l’amour et on l’a fait partout. Et lorsque ma mère revint à la maison, je le faisais plus avec mon grand-père.

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Mardi 3 juillet 2 03 /07 /Juil 22:18

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J’avais 14 ans quand un copain m’a initié au plaisir de la queue. On se branlait ensemble et de temps, il promenait sa belle queue sur moi. Elle était belle et très grosse, il avait déjà 17 ans. Un jour dans le foin, il me l’a mise dans la bouche et naturellement, je l’ai sucée. Ce devait être inné chez moi. Il m’a rempli le bouche de son jus tout chaud et j’ai tout avalé. Nous avons recommencé plusieurs fois, il en profitait pour me mettre un ou deux doigt dans les fesses. J’aimais ça; il s’en aperçut et en promenant sa queue tendue sur mes fesses, il s’est mis contre mon trou et s’est enfoncé d’un coup jusqu’au fond. J’ai hurlé tellement ça chauffait dans mon cul! Il est resté sans bouger et il a déchargé son jus et il est resté dans mon cul. Je commençais à bouger pour me relever, ça l’a fait bander et il m’a limé le cul comme un grand. Il entrait et sortait sur toute sa longueur. Je ne pus protester et comme j’appréciais de plus en plus, il se donnait à fond. Très vite, je sentis ma jouissance venir et je déchargeais sous moi et lui il me déchargeait dans le cul. Nous avons continué souvent! Un jour, il a même amené un copain et c’est comme cela que je suis devenu une bonne pute!

À 20 ans, seul à Paris, j’ai continuée à me faire baiser et un jour, j’ai rencontré Ali dans le métro. Il y avait beaucoup de monde, c’était l’été, j’avais un short moulant qui me faisait un cul d’enfer. Très vite, j’ai senti sa queue se frotter contre mes fesses. Je mouillais; il a passé sa main sur ma queue à travers le slip et il m’a dit: "Tu veux te faire baiser?" J’ai dit oui. Il m’a tiré au fond du wagon à travers le monde. J’étais contre le mur et beaucoup de monde regardait mais sans se douter. Il a baissé mon short et il a mis sa queue qui était énorme sur mon anus et j’ai tendu mes fesses. La pénétration fut longue. Il me fendit en deux tellement il était gros et moi je jouissais sûr! Lui, cela n’a pas duré longtemps car il avait très envie. Il déchargea un flot de sperme et s'est retiré. J’ai remonté mon short et je suis descendu à la station. Le sperme avait taché mon short, on pouvait deviner que j’en avais pris plein le cul!

Je n’avais pas vu qu’il était descendu aussi. Il vient vers moi et me dit que je suis une pute. Je lui dis qu’avec une queue comme la sienne, je résiste pas. Il me propose d’aller chez lui, je lui dis ok. À peine arrivés dans le couloir, il enlève mon short et me tape sur le cul en me disant: "Là où on va, tu n’as pas besoin de short!" J’étais à poil du bas dans le couloir. On a croisé trois arabes qui le connaissaient et ils lui ont demandé si sa pute était pour eux. Il a dit: "OK, dans une heure."

Arrivés chez lui, il me couche sur sa table et il m’encule, les jambes bien relevées. J’en prends plein le cul, il est énorme, sa queue doit faire au moins 22cm sur 7! Il me défonce comme une chienne. Je n’en peux plus, je jouis sur mon ventre et lui m’inonde les intestins.

— Tu aimes ça! me dit-il. Tu veux essayer mes copains?

— Oui, après un peu de repos...

— Je vais t’attacher sur mon lit, comme ça il te prendront pour une salope à tout faire, tu veux? Et après, on passera la nuit ensemble.

Rien qu’à l’idée de rester avec lui, j’ai accepté.

Me voilà attaché à genoux, les cuisses ouvertes, à quatre pattes sur le lit. Il appelle ses copains et leur dit: "Ma pute est à vous!" Ils se sont défoulés, les vaches! J’ai été enculé, rempli de sperme partout, dans la bouche, le cul, puis ils se sont mis à deux, m’ont détaché et j’ai dû m’empaler sur une des queues. Il y en un qui est venu devant moi. Il m’a pris les bras et m’a donné sa queue à sucer. Elle avait un gout de mélange de sperme car c’était le dernier à m’avoir enculé. Je l’ai sucé pendant que je m’empalais sur la queue de l’autre. Puis un troisième est venu et il a mis sa queue sur mon trou dilaté par l’autre et il s’est enfoncé aussi. J’avais la chatte comme un trou béant, ces deux queues qui me baisaient le cul faisaient de drôles de bruits de succion. Ils ont joui en moi ensemble, moi j’étais aux anges. Mon cul était resté ouvert et le jus coulait de moi.

Il y en un qui est parti en disant que j’étais une chienne en chaleur et qu’il fallait me défoncer autrement. Ses copains m’ont attaché sur le lit comme avant et ils ont attendu qu’il revienne. Il est venu avec deux chiens, des molosses et il a dit: "Pour une chienne, il lui faut des mâles!" et un chien est monté sur le lit et il a senti ma chatte. Ils m’ont mis une couverture sur le dos et aidé le chien à me baiser. Sa queue était comme un os dur et il limait à toute vitesse. Moi je tendais mon cul pour qu’il rentre bien à fond et il a joui en rentrant sa boule et en m’éclatant le cul. Pendent ce temps, Ali se faisait sucer par moi sa grosse matraque. Quand le chien a déculé, l’autre est venu à sa place et il a recommencé. J’étais tellement échauffé que je n’ai rien dit quand ils m’ont pissé dans la bouche et sur moi. Le chien a vite joui. Sa boule était très grosse, quand il est sorti mon cul a fait un bruit comme un bouchon de champagne. Un gars est venu et m’a pissé dans le cul béant le sperme et sa pisse ressortait et coulait sur le lit puis ils m’ont détaché et amené à la douche. Je me suis lavé seul, j’étais crevé.

Ali, comme promis, m’a gardé toute la nuit et il m’a enculé au petit matin en me faisant promettre de revenir. D’ailleurs, il a pris mes papiers pour connaître mon adresse. Je suis revenu plusieurs fois et j’ai servi de réceptacle à sperme pour eux. Il m’a proposé de faire quelques photos chez des amis à la campagne. Nous y sommes allés ensemble, il m’a présenté au maître de maison comme étant une bonne salope à baiser. Ils ont fait des photos avec leurs invités et moi, pris de partout, bouche et cul rempli!

Puis ils m’ont amené à l’étable pour faire d’autres photos. Ils m’ont mis nu et le maître m’a demandé d’aller vers l’âne qui se trouvait dans un box. Il m’a dit: "Touche lui sa queue, elle va sortir; on te prend en photo." Je caresse l’âne, il devait avoir l’habitude: sa queue commençait à sortir. Elle était belle, grosse comme celle d’Ali mais plus longue. Il m’a dit: "Suce-le un peu, il aime ça." J’approchais sa queue de ma bouche et je lui donnais quelques coups de langue. Elle grossissait encore puis il a déchargé d’un coup; j’en avais partout dans la bouche. Les flashes m’ont mitraillé.

Ils m’ont demandée de rester sous l’âne et de le caresser encore et sa queue regrossissait de plus belle. Un lad est venu et m’a installé sur un banc à plat ventre puis ils m’ont attaché et ils ont placé le banc sous l’âne. Je sentais sa queue battre sur mon cul. Ali vint vers moi et me dit: "Je vais guider l’âne en toi, sois calme, tu ne risques rien." Il m'a enduit avec une pommade et il a amené la queue de l’âne sur mon anus déjà bien ouvert puis il a entré la queue de l’âne un peu. Lui s’impatientait d'entrer et d’un coup, l’âne m’a enculé sur 25cm au moins! Les invités étaient fous de joie, ils disaient: "Encore! Elle peut en prendre plus!" Mon cul était distendu au maximum. Ali laissa l’âne entrer encore puis il a commencé à me limer. J’étais enculé par un âne et j’aimais cela, incroyable! L’âne a déchargé dans mon cul et sa queue est ressortie comme un ressort en me faisant évacuer un flot de sperme. Tous les invités m’ont félicité, certains m’ont léché le cul avec le sperme de l’âne; j’étais anéanti. Le maître m’emmena dans une chambre et il me lava puis il me dit: "Voilà ton lit, repose toi."

Le lendemain, je ne vis pas Ali. Il était parti chez lui au Maroc et le maître m’avait acheté, m’a-t-il dit.

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Mardi 3 juillet 2 03 /07 /Juil 20:05

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Mes vacances d'été quand j'avais 18 ans m'ont donné l'occasion de visiter mon grand-père pendant une semaine. Mon grand-père et son ami, le juge Wasson, allaient m'emmener pour quelques jours à leur cabane de pêche. Au niveau de ma puberté, j'étais assez en retard et n'avais encore aucun poils pubien: j'étais très mince et la peau douce.

Quand nous sommes arrivés, je suis allé nager tandis qu'ils se douchaient et, une fois revenu, je les ai trouvés se reposant sur des transats, uniquement vêtus de leurs shorts larges. Grand-père m'a dit de leur apporter à chacun un cigare. Je suis resté à leur côtés pendant qu'ils les fumaient tranquillement. Mon grand-père appellait son ami "juge" même si ce n'était pas son prénom mais son titre. Le juge est allé à la salle de bains et a laissé la porte ouverte: je pouvais voir son énorme bite pendant qu'il faisait pipi. J'ai essayé de ne pas regarder mais il m'a surpris en train de l'observer. Quand il a eu fini, il a marché jusqu'à moi, serrant le cigare dans des ses dents; il m'a pris fermement par le bras, m'a amené jusqu'à mon grand-père et lui a dit ce que j'avais fait. Mon grand-père m'a alors forcé à me mettre à ses genoux, a abaissé mon short, de telle manière que mon cul nu a été exposé et m'a fessé un coup. Juge s'est assis à côté de lui sur le sofa et placé ma tête dans son entrejambe. Je pouvais sentir son membre gonflé appuyer contre mon visage pendant que grand-père donnait une fessée à mon cul nu. Grand-père a commencé à frotter mes fesses roses, apaisant la morsure de sa fessée, ses doigts caressant la fente de mon cul.

Après peu de temps, le juge a abaissé ses shorts et mon visage a été niché dans ses poils pubiens épais, sa main tenant mon visage contre lui. Grand-père a tâté par dessous et a trouvé ma petite bite, la tenant et la branlant: la rugosité de sa main sur mon entrjambe imberbe et lisse était merveilleux. La bouche de grand-père a touché mon cul sensible, sa langue envoyait des frissons vers le haut de mon épine dorsale. Ses mains ont séparé mes fesses et sa langue a touché mon trou vierge. J'ai haleté de plaisir, effrayé, mais incapable d'arrêter l'une ou l'autre d'entre elles. Grand-père m'a pris et m'a étendu sur le dos sur la table, son short est tombé à terre et j'ai vu sa grande bite, le prépuce recouvrant complètement le gland.

Quand le juge est revenu, il avait un réservoir souple en caoutchouc avec un tuyau sur l'extrémité. Grand-père a tenu mes jambes vers le haut et le juge a mis quelque chose sur mon trou. J'ai senti une sensation de froid pendant qu'il poussait l'extrémité du tuyau en moi; il m'a fait un peu mal au début, mais il était doux. Il a libéré la bride et l'eau chaude précipitée à l'intérieur de moi, ils m'ont ordonné de me détendre et de retenir tout à l'interieur de moi.

Après un moment, il m'a dit d'entrer dans la salle de bain et de tout libérer. Le juge est entré, m'a mis dans la douche et m'a lavé, mes yeux regardant constamment sa grande bite non circoncise. Il m'a séché et m'a porté à la chambre à coucher, m'a étendu sur le dos et a attaché mes mains aux coins du lit. Grand-père est venu dans la chambre et s'est mis à genoux au-dessus de moi, fumant toujours son cigare. Il a posé doucement sa bite sur mes lèvres, un liquide sortait de l'extrémité. Il m'a dit d'ouvrir ma bouche et a commencé à pousser sa bite dedans, le goût du liquide était salé et il était glissant. J'ai ouvert aussi grand que je pouvais mais seulement environ la moitié de sa grand bite a pu entrer. Il m'a dit de sucer et de maintenir mes dents à l'écart, ses hanches allaient lentement d'avant en arrière. J'ai pensé que j'allais vomir tellement il le poussait profondément dans ma bouche.

Juge est venu sous moi et a mis plus de lubrifiant sur mon petit trou, en travaillant lentement, son doigt entrant chaque fois un peu plus à l'intérieur de moi. Ma bite était si bandée et j'étais si excité que je suis venu pendant que son doigt glissait dans et hors de moi. Le juge a pris ma bite dans sa bouche et la sensation était si bonne que j'ai immédiatement bandé à nouveau. Il a ajouté un autre doigt, cette fois, qui était bien plus douloureux d'abord mais qui est vite devenu une sensation merveilleuse au fur et a mesure que je me détendais.

Grand-père a pris mes jambes sous ses bras. Le juge a mis un oreiller sous mes fesses. Il s'est tenu au bas du lit, observant grand-père que je suçais de plus en plus passionément et a allumé un nouveau cigare. J'ai senti quelque chose pousser contre mon trou serré et vierge. Mes cris perçants de douleur ont été étouffés par la bite de grand-père quand il est entré en moi. Son entrée douce et lente a vite fait se muer la douleur en plaisir pendant qu'il allait et venait dans mon cul imberbe. Grand-père se trouvait sur le haut du lit, juge tenant mes jambes vers le haut et, de cette manière entrait sa bite toute entière à l'interieur de moi. Ses va-et-vient étaient maintenant rapides et profonds, ses boules gifflant mon cul rose encore et encore, pendant qu'il s'enfonçait profondément en moi. Je sentais bien sa bite extrêmement dure dans mes entrailles. Grand-père s'est retiré de ma bouche et s'est assis sur une chaise pour observer son ami qui me baisait pour la première fois. Le juge a commencé à gémir, mordant dur sur son cigare, sa bite a grandi encore un plus en moi, il a poussé ses hanches plus fort et plus violemment, poussant chaque fois sa bite plus à l'intérieur de moi et soudain son corps s'est tendu. Il a grogné pendant que son sperme chaud jaillissait de sa bite, dans mon cul.

Grand-père a allumé son cigare pendant que le juge se retirait de moi. M'observant, il a grimacé pendant qu'il frottait sa grand bite épaisse. Il m'a fait tourner et m'a forcé à me mettre à quattre pattes et s'est mis à genoux derrière moi, sa bite serrée contre mon trou d'où dégoulinait le foutre de son ami. Le juge s'est assis dans la chaise et a observé pendant que grand-père poussait sa bite en moi. Il m'a baisé avec un rythme profond et lent d'abord, puis fort et rapide, ses boules faisant un bruit de claquement chaque fois qu'il s'enfonçait en moi. Juge s'est mis devant moi et a poussé sa bite dans ma bouche, m'intimant d'être un bon garçon et de la sucer pour la lui rendre toute propre. J'ai pensé que sa bite avait un goût salé et était couverte de son sperme pendant qu'il poussait de plus en plus loin entre mes lèvres. Je pouvais sentir la bite de grand-père devenir de plus en plus grande et dure pendant qu'il me baisait profondément. Il a grogné et haleté pendant que sa bite me martelait comme un marteau piqueur. Il a poussé un cri au moment où son jus chaud m'a rempli les intestins. Ma bite était si dure et j'étais si excité à cause de toutes ces stimulations, entre le plaisir que me donnait la bouche de Juge et les sensations de grand-père en moi que je suis venu en même temps que mon grand papa.

Grand-père a fait glisser sa bite hors de moi et il a poussé un plug dedans, me disant qu'il me maintiendrait ouvert toute la nuit de sorte que plus tard quand nous sommes allés au lit, il a pu dormir avec sa bite en moi toute la nuit. Ils m'ont délié les mains mais ils ne m'ont pas permis de m'habiller. Plus tard cette nuit, quand il a été temps d'aller dormir, j'ai été mis entre grand-père et juge; juge a mis sa bite dans ma bouche et m'a ordonné de la sucer jusqu'à ce qu'il vienne; Grand-père a tiré le gode de mon trou et a poussé sa bite épaisse en moi. Grand-père m'a baisé très lentement pendant que je suçais la bite du juge. Assez vite, il a saisi ma tête et l'a tirée vers le bas sur lui, forçant sa bite dans ma gorge. Son sperme chaud a rempli ma bouche. Il m'a dit de ne pas laisser la moindre goutte s'écouler sur mon menton! Finalement j'ai réussi à tout avaler et son jus a laissé dans ma bouche un goût délicieux. Grand-père m'a baisé fort jusqu'à ce qu'il vienne encore en moi puis ils m'ont serré jusqu'à ce que nous nous endormions.

J'ai été réveillé par la bite de grand-père me baisant encore, mon cul toujours rempli de sperme de la nuit précédente. Il n'a pas duré très longtemps et bientôt, sa main branlant ma queue, il a joui encore en moi. Il m'a serré contre lui après, en restant profondément enfoncé dans mon trou. Il a chuchoté dans mon oreille qu'il allait me donner une surprise spéciale. La sensation de son pipi chaud s'écoulant en moi était tellement jouissive que je suis venu d'un coup, la bite de mon grand-père serrée par mon trou étroit pendant qu'il éliminait le dernier jet de pipi chaud. Il sortit sa bite de moi et m'a dit d'aller à la salle de bains pour libérer l'urine.

Juge est entré et m'a pris dans la douche avec lui. Après qu'il m'ait lavé, il m'a séché au loin et m'a dit de m'habiller - nous allions à la pêche. Après, nous reviendrions à la cabane pour encore plus d'amusement. Mais c'est une autre histoire...

 

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Lundi 2 juillet 1 02 /07 /Juil 17:29

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Je m’appelle Yves et j'ai 28 ans. Je suis roux et j’ai un physique d’adolescent. Je n’ai pas très bien vécu le divorce de mes parents et je rêvais d’indépendance. J'ai arrêté mes études assez tôt pour chercher un emploi et me loger. J'ai réussi à décrocher un petit job de secrétariat dans une société d’import export. Il me permet tout juste de boucler mes fins de mois. En quelques mois, mon sérieux, ma ponctualité ont joué en ma faveur. Le patron m’a fait venir dans son bureau pour me faire une proposition. Sa secrétaire devant s'absenter pour un congé maternité, il me proposa d’assurer l’intérim.

— Je préfère cette solution! m’a-t-il dit. Tu connais la boîte et tu te familiariseras plus vite qu’une personne étrangère à la société.

Le patron est un type qui en impose et, sans en avoir peur, je peux affirmer qu’il m’impressionne. Devoir travailler en direct avec lui, me faisait vraiment peur et m’angoissait. Mais, d’un autre côté, mon salaire allait augmenter de 40%... Ce qui n’était pas négligeable!

— Je te donne deux jours pour y réfléchir et prendre ta décision! N’oublie pas que pour tenir ce poste, j’ai besoin d’une personne disponible!

J’ai donc accepté le travail et je suis entré en fonction trois jours plus tard. Au bout de quinze jours, alors que nous étions les deux derniers dans les bureaux, il m’a parlé:

— Jusqu’ici, je suis très content de ton travail...

— Y a-t-il un «mais», monsieur?

— Non... Quoique! Il me reste à évaluer certaines de tes aptitudes. Pour travailler avec moi, il faut être entièrement dévoué.

— Je sais, monsieur. Je pense que...

— Chut! Tu ne dois jamais contredire un de mes ordres. Es-tu prêt à l'accepter?

— Euh... oui, monsieur... Je vais essayer de...

— Ce n'est pas suffisant d’essayer. Il me faut du concret.

J’étais un peu paumé. Tous ces propos étaient bizarres.

— Le travail de la société m'accapare énormément. Je n'ai pas le temps de mener une vie personnelle et intime en parallèle.

— Je comprends que vous exigiez de votre secrétaire.

— Ta gueule!

Il a écarté son siège à roulettes du bureau. Sa queue jaillissait de sa braguette ouverte.

— Allez! Suce!

Tel un animal apeuré devant un prédateur, je me suis laissé hypnotiser par son engin monstrueux. Je l’ai pris en bouche.

— Tu aimes?

— Oui, monsieur.

— Continue à pomper et réponds à mes questions en agitant la tête. Es-tu prêt à ne plus porter de sous-vêtement sous ton pantalon?

J’ai agité la tête pour dire oui.

— Es-tu prêt à me sucer à quatre pattes sous ce bureau pendant que je reçois des clients?

— Oui, monsieur!

— Enlève ton pantalon pour me sucer!

J’ai obtempéré directement.

— Tu as un beau cul. Donc, tu as bien compris... plus de slip ni de caleçon... Cul nu sous ton pantalon! Je veux que tes fesses soient immédiatement accessibles.

— Oui, monsieur!

Il a ouvert un tiroir et posé un large gode sur son bureau.

— Enfonce-toi ça au fion!

— C’est... c’est très gros... je...

— Ne pas contredire un seul de mes ordres!!! As-tu déjà oublié tes résolutions? Je vais te punir pour ça. Debout sur mon bureau et descends doucement sur cet autre gode...

Ce deuxième gode était beaucoup plus grand et gros. J’avais très peur. J’ai pourtant réussi à me l’enfoncer jusqu’à la garde et à m’agiter dessus;

— C’était ta première impertinence! Au bout de trois ce sera le licenciement immédiat sans même la possibilité de retrouver ton ancien poste. Tu es à mon entière disposition. Est-ce bien clair?

— Oui, monsieur!

Je commençais à me rendre compte de ce qui m’arrivait. J’allais devenir un jouet sexuel pour un homme vicieux et sadique. Il m’a retourné sur ses genoux pour me donner la fessée. J’ai un peu gémi de douleur et puis j’ai trouvé la sensation plus supportable.

— Je vois que tu commences à t’habituer. Tu vas sûrement aimer devenir ma petite pute docile, ma petite salope perverse. Je vais te faire progresser dans ton rôle d’objet pour le plaisir!

Il m’ordonna de m’installer à quatre pattes sur son bureau et il me contourna. Je ne le voyais plus; j’étais inquiet. Il ôta le gode pour le remplacer par autre chose.

— Voici TON bouche-trou. C’est un butt plug qui devra toujours être en place sur ce lieu de travail. Il sera enlevé lorsque j’ai envie de me servir de ton trou.

Il poussa bien le plug à fond. Soudain, sa main claqua violemment sur mon cul. Il recommença. Comme j’avais émis un léger cri de surprise mêlé à un autre de douleur, il pousse mon slip en boule dans ma bouche. La fessée reprit jusqu’à me tirer des larmes. Seul mon père qui était très sévère m’avait déjà donné ce type de châtiment.

— Un cul de salope, ça doit être net sans poil! Pour demain, tu vas me nettoyer ta raie et la rendre impeccable!

J’ai agité la tête.

— Ton cul est bien rond et musclé. Ça c’est bien! Tu fais de la musculation?

J’ai agité la tête pour dire non.

— Réponds!

La bouche encombrée par mon slip, j’ai du fournir un effort incroyable pour sortir un son correct de ma gorge.

— Non, mechieu. Che fais de la natachion.

— Très bien! Quand, j'en aurai fini, avec toi, aujourd’hui, je te donnerai le reste de ta journée. Tu iras t’occuper de ton corps. Tous les soins à y apporter sont écrits sur cette liste. Lève-toi.

Je me suis dressé sur la table.

— Au sol! Descends! Je t’interdis de perdre ton plug et de le tenir avec tes mains. Sers-toi de ton cul pour le serrer.

Je suis descendu en essayant de garder le bouche-cul. J'étais debout devant lui, les yeux baisés.

— Il y a aussi ces tétons qui sont bien minuscules! On va arranger ça!

Il sortit, d’un tiroir de son bureau, deux petites pinces reliées par une double-chaîne argentée.

— Je sais que n'es pas encore habitué à tous les traitements que je te réserve. Tu finiras par tellement les apprécier que tu en redemanderas. Sais-tu à quoi servent ces pinces?

— Non, mechieu!

— Elles servent à travailler les tétons, à les faire «bander»... Tu vas, toi-même, en poser une sur chacun de tes tétons. Tu vas voir, au début, la douleur est assez forte mais, ensuite, ça va te plaire! La seule chose, c’est qu’on ne peut jamais oublier qu'on les porte.

Il m’a tendu les pinces et, les yeux remplis d’angoisse, j’allais devoir les placer sur mes pointes sensibles. Le froid de l'acier me fit frissonner. Elle était maintenant ouverte, prête à emprisonner mon téton. La douleur fulgurante m’arracha encore des larmes. Il était en face de moi, terrible.

— C'est une épreuve très difficile, mais je suis sur que tu vas la réussir. Tu les garderas toute cette première journée. Demain, je veux voir tes pointes déjà bien dures et dressées. Tu pourras les retirer chez toi... pour la nuit! C’est à moment là que la douleur sera la plus forte.

— Oui, mechieu!

— Bien, nous allons continuer l'interrogatoire. Combien d'hommes as-tu connus jusqu'à maintenant?

— Aucun, mechieu!

— Aucun? Tu as pourtant l’air d’une fameuse petite salope... Soit! J’espère que tu ne me mens pas... sinon...

— Non, mechieur! Ch’est juré!

— Quand as-tu fait l'amour, la dernière fois?

— Il y a quinche jours!

— Avec une femme donc?

— Oui, mechieu!

— De la société?

— Oui, mechieu!

Un large sourire a éclairé son visage et il a pris quelques notes.

— Son prénom!

— Marianne.

— Tiens donc...

Nouveau sourire.

— Tu te branles souvent?

— Oui, mechieu.

— C'est à dire? Une fois par semaine, tous les trois jours, tous les jours?

— Tous les chours, mechieu!

— Plusieurs fois par jour?

— Cha arrive, mechieu!

— Tu t'es déjà branlé au bureau?

— Oui, mechieu.

— Où?

— Dans les toilettes, mechieu.

— Seul?

— Oui, mechieu!

— Tu étais excité par quelque chose de précis?

— Non, mechieu!

— À partir de maintenant, je t'interdis de te branler sans en avoir obtenu mon autorisation. Ici, chez toi ou ailleurs. Est-ce assez clair?

— Oui, mechieu.

— Si tu as été bien obéissant toute la journée, je te téléphonerai cette nuit chez toi pour te demander de te branler. Ce sera comme ça, tous les jours...

— As-tu déjà pompé une bite?

— Non, mechieu!

— Tu vas te rattraper! Tu me suceras deux ou trois fois par jour et tu avaleras mon foutre chaud jusqu'à la dernière goutte. Il arrivera certains jours que mon jus soit ton unique nourriture. J'aimerai te voir travailler toute la journée devant moi en sachant ton estomac uniquement rempli de mon sperme. Tu vas devenir un petit être pervers et tu seras enculé régulièrement. Ton petit trou servira plus que tous les autres. Il sera même forcé en permanence par des accessoires que je te ferai découvrir.

Je l’écoutais accumuler des horreurs sur moi, sur ce que j’allais devenir. J’étais KO!

— Tu vas devenir une vraie petite pute au trou toujours ouvert et accessible. C’est clair?

— Oui, mechieu!

— Avant que je te lâche, tu vas me prouver que tu as tout compris. Dis moi une chose... demande-moi une chose que tu n’as jamais demandée à personne...

— Quoi donc, mechieu?

— Cherche bien. Réfléchis!

— Demande-moi de «prendre» quelque chose que tu n'as jamais donné.

Je suais. J’angoissais.

— Allez... grouille... Quelle partie de ton corps n’as-tu jamais offerte à un homme?

— Mon anus, mechieu!

— Tu vois comme tu peux être malin! Tu vas me demander de te baiser!

— Oui, mechieu! Baichez-moi...

— Ouh la! Tu vas le demander mieux que ça. Beaucoup mieux!

— Mechieu, voulez-vous me baicher?

— J'ai dit... mieux que ça.

— Mechieu, auriez-vous la bonté de bien vouloir m'enculer.

— C'est mieux, mais fait un effort. Essaie d’éviter les punitions. N’oublie pas que tu n'es plus qu'une petite pute. Encore mieux que ça!

J’ai pris sur moi et je lui ai servi ce qu’il voulait.

— Mechieu, ch'il vous plait, enfilez-moi par mon petit trou de pute. Défonchez-moi mon trou de salope. Enculez votre petite pute choumise!

J’avais un peu de mal à comprendre ce qui m’arrivait, ce qui me poussait à satisfaire les désirs de cet homme autoritaire. J’étais nu. J’avais des pinces accrochées aux tétons et un plug au cul. Cet homme avait fait de moi une larve, une lopette soumise... et ce n’était que le début!

— Approche-toi du bureau. Comme ça... Écarte bien les cuisses et penche-toi en avant, le torse sur le bureau.

Une fois de plus, j’ai directement répondu à ses ordres pour lui être agréable... et sûrement aussi pour éviter toute punition. La position qu’il venait de me faire prendre me rappela douloureusement mes tétons meurtris par les pinces. Je sentais mon cul, envahi par le plug, pris de contractions. Le patron ouvrit un de ses tiroirs d'où il sortit un tube de gel. Il passa derrière moi, ôta le plug et me badigeonna le trou de lubrifiant. Je me mis à frissonner autant d’excitation que de peur. Je savais ce qui allait suivre. C’était moi qui l’en avait supplié! Il massa doucement mon anus puis il introduit un doigt dans mon sphincter. Au bout d’un moment, il était passé par deux, trois puis quatre doigts. J’allais bientôt avoir toute sa main profondément plantée dans mon petit trou. Je souffrais, j’avais des larmes plein les yeux. Il retira ses doigts et j'entendis alors le zip de son pantalon. Un claquement me fit comprendre que la capote était en place.

— Tu vas l’avoir, mon cochon! Tu vas bien en profiter de ma bite!

Son gros gland se posa sur mon anus et lentement il en força l’entrée. Malgré le travail de ses doigts, il rencontra une certaine résistance, puis mon sphincter se détendit et son sexe s'enfonça jusqu'aux testicules.

— Respire! Respire à fond! J’y suis...

Il resta un instant sans bouger, puis il commença à s’agiter en moi. Ses mouvements d’abord assez doux devinrent plus rapides. Mon corps projeté vers l’avant, obligeait mes tétons harnachés de pinces à se frotter contre le bureau. Mes larmes inondaient mon visage, mon cou et ma poitrine.

— C’est bon, hein, sale pute? C’est bon, la bite bien dure de ton Maître?

Il ressortit complètement de mon anus endolori pour s’y réintroduire immédiatement. Il procéda ainsi jusqu'à exploser dans mes entrailles. Il ahanait comme un porc. Une de ses mains s’était glissée sous moi et il commença à caresser ma queue. Il m'amena ainsi au bord de l'orgasme mais il s’arrêta brusquement.

— Tu ne mérites pas de jouir maintenant! Il te faudra attendre...

J’étais au bord de l’évanouissement. Il enleva sa capote et essuya son sexe sur mes fesses.

— Debout! Bien droit devant moi!

Je sentais sa semence ruisseler sur mes fesses et mes cuisses.

— Je t'interdis de t'essuyer. Tu le feras ce soir quand tu seras rentré chez toi. Remets tes vêtements et va porter les mémos dans les bureaux.

— Pas dans chette tenue, mechieu!

— Si! Si, petite salope...il faut bien t'habituer à ta condition.

— Mais «ils» vont voir que...

Sa main frappa violemment ma joue et je me suis écroulé à ses pieds.

— Aujourd’hui ou un autre jour, ils finiront par savoir... comme ils ont su pour toutes mes salopes! Après toi, il y en aura d’autres... C’est moi le patron ici!

J’ai porté la main à ma bouche pour enlever mon slip roulé en boule. J’ai reçu une nouvelle claque.

— Pas avec cha dans la bouche?

— Bien sûr que si!

Je me suis relevé et j’ai commencé à pleurer toutes les larmes de mon corps. Il n’a pas plié. Assis à son bureau, il m’a regardé me rhabiller, prendre les mémos et me diriger vers la porte.

— Enlève le slip de ta bouche!

Je me suis retourné. J’hésitais.

— À la prochaine rouspétance, c’est à poil avec ton plug que tu feras ton travail à chaque étage!

— Bien, mechieu!

J’ai ôté le slip et l’ai jeté dans la poubelle qu’il me montrait.

— De toutes façons, tu n’en auras plus besoin! Va porter les mémos... Avant de rentrer chez toi, tu reviendras ici pour reprendre la même position que tout à l'heure. Je devrai te remettre le butt plug!

De retour après mon travail de coursier, il me remit donc le plug puis me questionna encore.

— Tu as déjà été fessé, n’est-ce pas?

— Il y a longtemps. Mon père le faisait pour me punir, monsieur!

— Il te fessait sur tes vêtements?

— Oui, monsieur.

— Avec moi, ce sera cul nu! Tu finiras aussi par aimer ça... Tes fesses seront celles d'un esclave. À partir d'aujourd'hui, elles seront frappées régulièrement à la cravache. Tu seras fessé tous les jours. Si c’est nécessaire, je le ferai devant témoins! Pour commencer, choisis le nombre de coups que tu crois mériter!

J’étais une fois de plus coincé entre l’envie d’être raisonnable et la peur d’être trop modeste.

— Dix, monsieur!

— C’est trop peu... J’avais pensé à quinze mais comme tu n’en voulais que dix... je vais monter à vingt! Vingt pour moi et dix pour toi... ça fera trente! Tu prendras aussi l’habitude de dire «merci» après chaque coup...

— Oui, monsieur!

Il me donna l’ordre d'allonger les bras sur le bureau. Il me montra la cravache et il leva son bras armé pour l'abattre violemment sur mon cul. Mon cri fut perçant.

— Alors?

— Merciiiiiii, monsieuuuur!

— Premier oubli! C’était un coup pour rien...

Il recommença avec autant de violence mais en s'efforçant de frapper un autre endroit.

— Merci, monsieur!

— C’est mieux!

Au bout de dix coups, mes fesses étaient en feu et chaque coup m’envoyait valdinquer sur la tablette du bureau.

— Écarte-toi du bureau! cria-t-il. Sans plier les genoux, penche-toi en avant pour essayer de toucher tes genoux avec ton nez. Mieux que ça! Encore plus, sale pute! Maintenant, tu vas garder cette position en saisissant tes fesses avec tes mains pour bien écarter ta raie.

Il reprit son travail de bourreau, m’obligeant à lui offrir la partie charnue de mon cul à sa cravache. Il frappa dix fois ma raie écartelée et mon anus envahi par le plug.

— Nous en resterons là pour aujourd’hui!

Épuisé, je suis tombé à genoux en gémissant.

— Ah non, pas de ça avec moi! Assume! Assume, sale pute! Cette place, c’est ton choix! Puisque tu es à genoux, restes-y! Prends ceci...

Il m’a fourré sa pine dans ma bouche et je l’ai sucé.

— Bras derrière le dos! Bois tout!

Il a commencé à me pisser à la gueule et, le regardant dans les yeux, j'ai ouvert les lèvres pour que son urine inonde ma bouche.

— Ce sera ton repas de ce soir!

— Merci, monsieur!

— Je pense que tu as parfaitement compris ce que j'attendais de toi. Je pense que nous ne nous sommes pas trompés et que cela nous promet de belles perspectives. Tu aimes souffrir, tu vas être servi. Tout ce que tu as vécu aujourd’hui n'est que le début...

 

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Lundi 2 juillet 1 02 /07 /Juil 00:06

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Ce soir j’ai rendez-vous chez lui. Sa femme l’a quitté depuis plusieurs mois déjà et, pour reprendre ses mots, il a « bien besoin de se vider les couilles ». C’est une des choses qu’il m’a avouées lors de nos conversations sur un site internet. Voici d’ailleurs de brefs extraits tirés de nos échanges, question de donner une idée des rapports virtuels que nous avons entretenus avant la rencontre de ce soir :

 

1ère discussion :

 

LUI : Alors, comme ça, tu cherches quelqu’un de directif et dominant ?

 

MOI : Oui et ce serait d’ailleurs ma première fois avec un homme. J’espère rencontrer un mâle viril qui saurait prendre les devants pour me soumettre à son plaisir.

 

LUI : Tu ne serais pas déçu avec moi, tu peux me croire. J’ai une belle bite qui cherche une bouche et un cul à défoncer toute la nuit.

 

MOI : Si ce n’est pas indiscret, elle ressemble à quoi ta belle bite ?

 

LUI : Un beau 9 pouces (23 cm), bien épaisse et bien dure.

 

Après plusieurs autres conversations sur le même ton, au cours desquelles j’ai notamment appris qu’il avait 45 ans (j’en ai 22), qu’il était récemment divorcé et sans enfant, cinq jours ont passé sans que j’aie de nouvelles de lui ou de réponse à mes messages. Jusqu’à ce que :

 

MOI : Pourquoi est-ce que tu ne me réponds pas ? J’ai fait quelque chose de mal ? Je t’ai manqué de respect ? Si c’est le cas, je m’en excuse et ferai tout pour me faire pardonner ! Tout ce que je souhaite, c'est que tu me soumettes à ta grosse bite, que tu l’enfonces entre mes lèvres quand tu veux et comme tu veux, que tu défonces ma gueule ou mon cul quand ça te plaît. Quand je suis avec toi, je t'appartiens. En passant, au moment où je tape ces lignes, j'ai un plug dans le cul et en l’insérant, j'imaginais que c'était toi qui me l'enfonçais pour bien me préparer à ta queue.

 

LUI : Je vois que tu es prêt, p’tite pute, et que tu as compris ce que j attendais de toi. J’ai bien hâte de voir si tu seras à la hauteur avec ma queue dans ta bouche. Tu as besoin de tout avaler et ne t’inquiète pas, je vais m assurer de bien t’enfoncer ton plug pour que tu sois prêt a recevoir ma queue bien dure. Et si tu ne répond pas a mes exigences, je vais te traiter de tous les noms. Je te veux salope, soumise et p’tite pute. D’ailleurs, dorénavant, tu m’appelles « monsieur » et tu me vouvoies, c’est clair ? Je ne suis pas un de tes potes, je suis celui auquel tu dois obéir. Tu te présentes jeudi soir à ma porte avec ton plug dans le cul. À 20h. Et ne sois pas en retard sinon tu le regretteras.

 

MOI : Oui, monsieur, je ferai tout pour satisfaire. Merci, monsieur.

 

 

 

C’est ainsi que je me retrouve à appuyer sur le bouton de sonnette d’un bungalow de banlieue, avec un plug planté dans les fesses depuis près d’une heure, soit le temps qu’il m’a fallu pour arriver jusqu’ici en autobus. Je suis tellement fébrile que je peine à rester en place devant la porte en attendant que celle-ci s’ouvre. Et ce plug ne fait rien pour arranger les choses. Je le sens qui me chatouille à chacun de mes mouvements. Enfin, la porte s’ouvre et je le vois pour la première fois. Bel homme, d’apparence soignée malgré un début de barbe qui lui donne un air un peu bourru qui n’est pas pour me déplaire, environ ma taille (180 cm), mais plus large d’épaules, cheveux poivre et sel, il porte des pantalons noirs et une chemise à manches longues rouge vin, comme s’il revenait tout juste de son travail.

 

Sans un sourire, il dit : « C’est bien, tu es à l’heure ».

 

Je devine qu’il a préparé cette phrase et qu’il la retourne dans sa tête depuis quelques heures déjà. Il m’invite d’un geste à entrer à l’intérieur. Pendant que j’enlève mon manteau et mes souliers, nous n’échangeons aucun mot. Une gêne atroce me paralyse et ralentit considérablement mes mouvements. Les mots salaces que nous avons échangé me semblent appartenir à un autre univers et je me demande ce que je suis venu faire ici. Une folle envie de rebrousser chemin me saisit brusquement et je m’apprête à m’excuser lorsqu’il dit, d’une voix grave et calme qui ne souffrirait aucun refus : « Viens t’asseoir au salon ».

 

Comme un automate, je le suis à travers la cuisine jusqu’au salon où il m’invite à m’asseoir à sa gauche sur le divan. Il me tend un verre d’alcool fort. « Tiens, bois-ça ». Même si son ton est posé, je sais que je n’ai pas intérêt à discuter. Je prends le verre de sa grosse main et le porte doucement à mes lèvres. J’ignore de quel alcool il s’agit, mais la minuscule gorgée que j’avale me brûle la gorge. « Bois-le au complet. Ça te détendra. » Je me force alors à ingurgiter le contenu du verre et me met ensuite à tousser plusieurs fois. Lorsque je reprends mes esprits, je réalise qu’il a posé sa main sur ma cuisse et qu’il la caresse avec fermeté. Un peu comme on caresserait un chien. L’alcool commence rapidement à faire effet : une grande chaleur envahit mon corps, je me décrispe et profite de la caresse que je reçois. Sa main remonte près de mon entrejambe. Une partie de moi trouve que tout ça va trop vite alors qu’un autre tente de me persuader de profiter de l’occasion qui s’offre à moi de découvrir de nouvelles expériences. Et je dois l’admettre : j’ai envie d’écouter cette dernière partie de moi.

 

Il doit remarquer à mon attitude que je me relaxe, car il prend ma main et, sans dire quoi que ce soit, en fixant ses yeux bleus dans les miens, il la pose sur sa braguette. Contrairement à ce que son calme olympien suggérait, je sens une bosse de bon augure sous mes doigts, ce qui m’incite la tâter avec application. Après seulement quelques secondes, une barre distend son pantalon. Je suis fier de moi. Je l’excite.

 

Il prend alors mon menton de sa main et me tourne la tête vers lui. Au moment où j’entrouvre mes lèvres, m’attendant à un baiser, il enfonce deux de ses doigts dans ma bouche et les fait aller et venir doucement, presque langoureusement.

 

- Oui, c’est ça, ma belle, me murmure-t-il. Suce-les et lèche-lès comme tu vas sucer et lécher ma bite très bientôt. »

 

Ses doigts se retrouvent rapidement recouverts de salive tandis que je m’efforce de ne pas cesser de caresser sa queue à travers son pantalon. Ma soudaine féminisation me pousse à mettre davantage d’ardeur à double travail

 

- Tu en veux un troisième ? me demande-t-il, sans doute satisfait de mon entrain. Sans attendre de réponse, il ajoute son annulaire à son majeur et son index et continue de me fouiller la bouche. Je vais bien te préparer la gueule, tu vas voir, ajoute-t-il en augmentant la cadence de ses mouvements. Un filet de bave s’étire maintenant de mes lèvres distendues à mon chandail, mais il ne ralentit pas pour autant.

 

Soudain, après avoir brièvement ajouté un quatrième doigt qui a de la difficulté à se frayer un chemin dans ma bouche, il retire sa main, verse à nouveau de l’alcool dans mon verre et me le tend. « Bois ». J’obéis et parviens à ne presque pas tousser, mais à peine ai-je terminé que je reçois une puissante gifle qui me fait pousser un cri de douleur et de surprise.

 

- Lorsque je te fais un cadeau, tu me remercies, compris ? annonce-t-il d’une voix forte.

 

- Excusez-moi. Merci beaucoup.

 

- Merci qui, p’tite pute ?

 

- Merci monsieur. Je ne vous décevrai plus, monsieur.

 

- C’est mieux comme ça. Maintenant, tu te lèves, tu te déshabilles et tu te mets à quatre pattes devant moi, comme la chienne que tu es. Et vite !

 

Je m’empresse d’obéir, retirant mes chaussettes, mon chandail, mes pantalons et mes boxers, puis je positionne en chienne devant lui. J’aime la tournure que prennent les événements et j’ai particulièrement hâte sentir sa queue sur mes lèvres.

 

- Ferme les yeux et ne les ouvre pas avant que je te l’aie ordonné. Colle les genoux et soulève ton cul. Cambre-toi.

 

Je l’entends se lever du divan et se mettre à tourner lentement autour de moi. Je me sens comme une esclave qui se ferait jauger par un riche Romain de l’Antiquité. Je suis offerte en pâture à sa lubricité.

 

- Je vois que tu as fais ce que je t’avais demandé, dit-il en tapotant le plug enfoncé dans mon cul. Tu es une bonne chienne, n’est-ce pas ?

 

- Oui, monsieur. Je ne demande qu’à vous satisfaire selon votre bon désir.

 

Sans crier gare, il retire d’un coup sec le plug de mon cul qui fait entendre un son plutôt gênant, puis crache dans mon conduit avant de replacer le plug d’un coup.

 

- Déjà tout ouvert, ça promet pour plus tard. Tu te godes souvent, salope ?

 

- Oui monsieur, quelques fois par semaine. Sinon je suis trop excitée et je ne me contiens plus.

 

- Avec des objets ou des dildos ? N’ouvre pas tes yeux ! tonne-t-il en claquant mes fesses qui se mettent instantanément à brûler.

 

- Pardons, monsieur. Au début, c’était un tube de bonbons, puis une vieille brosse à cheveux, puis le manche du débouche-toilette. Mais depuis que j’ai acheté des godes sur internet, je n’utilise que ça.

 

- Ils sont comment, tes godes ?

 

- L’un est assez petit. 15 cm par 3,5 et diamètre, je dirais, et l’autre est très gros : 25 cm par 6 cm de diamètre. Je n’ai jamais réussi à l’accueillir au complet.

 

- La prochaine fois que tu viens me voir, tu les apportes. On verra si tu ne peux pas l’accueillir une fois que je t’aurai bien préparée.

 

- Oui, monsieur. Avec plaisir, monsieur.

 

- Maintenant, toujours en gardant les yeux fermés, tu va te mettre à genoux, ouvrir la bouche et sortir ta langue. Et mets tes mains dans ton dos.

 

Après quelques minutes où il continue sa lente ronde autour de moi agenouillée, je le sens s’arrêter devant moi. Avec une lenteur toute calculée pour m’exciter davantage, il ouvre la braguette de son pantalon.

 

- N’ouvre surtout pas les yeux, p’tite pute, sinon tu peux dire adieu à ton cadeau. Et crois-moi, tu le regretterais.

 

Sentir sa queue chaude devant moi et ne pas pouvoir y toucher constitue un vrai supplice. Je dois me retenir de toutes mes forces pour ne pas tenter de la happer avec les lèvres. Je n’en reviens pas. Juste à m’imaginer agenouillée devant un homme qui tient sa queue tendue devant moi, je bande comme un fou.

 

Il appuie alors ses deux mains sur le dessus de ma tête et se met à me fouetter le visage avec sa bite. En riant, il fait claquer sa queue sur ma joue puis sur l’autre, la fait glisser sur ma peau, sur mes lèvres et ma langue, me donne de légères tapes sur les paupières avec son gland énorme. Oui, énorme ! Étourdi par les coups venant de toutes parts et à toute vitesse, je suis intérieurement ébahi par la masse qui me heurte. C’est long, chaud et dur, un peu comme une baguette de pain frais, mais en plus lourd ! Les coups qui pleuvent sur moi cessent enfin et je reçois un nouvel ordre : « Ouvre les yeux, maintenant ».

 

Une belle queue de plus de vingt centimètres jaillissait des pantalons noirs et se dressait fièrement devant moi. Son gland décalotté trônait sur le membre épais et veiné qui disparaissait dans une touffe de poils noirs. Cette queue est incroyablement belle et une telle impression de puissance émane d’elle que je réalise que le mâle à qui elle appartient pourrait faire de moi ce qu’il veut.

 

- Je vois tes yeux de petite chienne qui brillent. Tu la trouves comment ma queue ?

 

- Elle est magnifique, monsieur. Imposante et magnifique, monsieur.

 

- Allez, sors ta langue pour me montrer que tu es contente. Oui, comme ça, c’est bien. Tu la veux, hein, ma bite ? Tu veux ton os ?

 

- Oh oui, monsieur, j’adorerais.

 

- C’est tout ? Je te croyais plus affamée…

 

- S’il vous plaît, monsieur, je vous en supplie. Permettez-moi de lui toucher et de la cajoler, je vous en prie.

 

- C’est bien, ma belle, tu es une bonne chienne, murmure-t-il affectueusement en croisant ses mains dans son dos. Viens goûter ta grosse sucette.

 

Sans attendre davantage, je m’empresse de lécher son gland doux et chaud, puis, après l’avoir bien caressé avec ma langue, je fais glisser son gland sur mes lèvres jusqu’à le gober. J’entends Monsieur qui soupire de plaisir pendant que je suçote son gland comme une friandise glacée tout en promenant ma langue sur toute sa surface. Concentrée dans ma besogne, je ne sens pas ses deux mains se placer de chaque côté de ma tête jusqu’à ce qu’il m’ordonne de lever les yeux vers lui, ce que je fais en lui lançant un regard mi-apeuré, mi-excité, tout en conservant sa bite dure comme de la pierre dans ma bouche. En appuyant sur mon crâne, il me force à entamer un mouvement de va-et-vient le long de sa grosse queue et, progressivement, j’arrive en avaler de plus en plus, mais elle est tellement large que je peine à dépasser la mi-longueur.

 

- Oui, vas-y, salope, avale ma queue. Comme ça, c’est bien. Je vais te montrer comment une pute doit satisfaire son maître, tu vas voir, me dit-il en ressortant complètement sa queue luisante de ma bouche et en la balançant devant mon visage.

 

Aussitôt, comme par un réflexe de chienne prête à tout que j’étais devenue, j’essaie de happer sa grosse bite avec mes lèvres, ce qui vaut une gifle aussi brutale que puissante.

 

- Pas de ça avec moi. Moi seul décide quand tu as droit à ma queue. Toi, tu gardes la bouche ouverte et tu attends aussi longtemps que je le souhaite que j’aie envie d’y entrer. Et garde tes mains dans ton dos ou je te les attache. Oui, comme ça. Une bonne chienne bien obéissante, prête à tout pour recevoir son os, voilà ce que tu seras quand j’en aurai fini avec toi.

 

Après m’avoir donné quelques coups sur le visage avec sa matraque pleine de ma bave, il me relève à nouveau le visage pour que je le regarde dans les yeux. Le contraste entre moi agenouillée sur le plancher, bouche ouverte, regard suppliant, nue à ses pieds, et lui encore habillé avec sa belle et grosse queue qui tressaute devant moi, est saisissant et merveilleusement excitant. Je me sens vraiment comme sa pute, comme un objet conçu uniquement pour son plaisir. S’il en allait maintenant, je crois que j’en pleurerais.

 

- Quand je suis face à toi, je veux que tu me regardes, petite salope ! Je veux voir tes yeux de chienne en chaleur soumise pendant que je te défonce la gueule, me dit-il en arborant un sourire carnassier.

 

Aussitôt dit, aussitôt fait, il m’enfonce sa queue dans la bouche le plus loin possible et l’y laisse plusieurs secondes qui me paraissent une éternité. Je sens son gros gland se frayer un chemin dans ma gorge pendant que Monsieur oscille des hanches pour bien faire pénétrer son gourdin. Prise de haut-le-cœur, j’essaie de me libérer de cette intrusion, mais ses bras puissants me maintiennent la tête. Une bouffée de chaleur m’envahit jusqu’à ce que la bite noueuse se retire enfin d’un coup sec.

 

Pendant plusieurs minutes, en m’imposant un rythme irrégulier certainement destiné à prouver qu’il fait de moi ce que bon lui semble, Monsieur fait ainsi coulisser sa magnifique queue entre mes lèvres jusqu’à ce que je réussisse à retenir mes haut-le-cœur. Voyant que je m’améliore, il effectue des va-et-vient de plus en amples et de plus rapides, à tel point que des larmes coulent sur mes joues. À chacun de ses vigoureux coups de boutoir, son gland tout gonflé vient cogner mon palais et ma gorge, ce qui ne manquerait pas de me déstabiliser si Monsieur ne me tenait pas aussi fermement la tête. Un long filet de bave s’échappe de ma bouche distendue et coule sur le plancher où une flaque s’est formée. Une dernière fois, Monsieur m’enfonce sa bite et, pour marquer le coup, insiste pour me la faire avaler en entier, tant et si bien que, malgré mes haut-le-cœur en partie contenus, ses poils pubiens parviennent à chatouiller mon nez pendant quelques secondes avant que Monsieur ne retire lentement sa queue de ma bouche rendue pâteuse par ce travail de fouille en profondeur. J’aurais aimé qu’il déverse en moi son nectar, mais j’imagine que ça aurait été pour lui comme un aveu de faiblesse, comme une atteinte à sa supériorité sur moi, son jouet de plaisir.

 

- Je dois avouer, me dit-il en branlant doucement son engin d’une main et en me caressant les cheveux de l’autre, que cette mise en bouche m’a pas mal excité. Tu es vraiment une chienne obéissante.

 

- Merci monsieur.

 

- Mais ce n’est pas terminé, ma belle, ajoute-t-il en enlevant sa chemise. Tu sais ce qui arrive aux petites chiennes comme toi une fois qu’elles ont bien excité leur mâle ? Tu le sais ?, me demande-t-il en allant s’asseoir dans le fauteuil à l’autre extrémité du salon.

 

- Oui, monsieur. Enfin, je crois savoir, monsieur.

 

- Alors viens me voir. Et n’oublie pas ta condition de chienne.

 

Je m’approche tant bien que mal, à quatre pattes, du fauteuil où est assis monsieur. J’avoue que j’ai un peu mal aux genoux, mais le plaisir que je ressens à obéir (comme en témoigne la queue bandée jusqu’à la douleur qui ballotte entre mes cuisses) surpasse cette souffrance superficielle.

 

- Déshabille-moi, m’ordonne-t-il à mon arrivée devant lui, alors que j’approchais ma tête de sa queue toujours raide.

 

En regardant Monsieur dans les yeux, je lui enlève alors ses souliers et ses chaussettes, puis remonte vers sa taille pour défaire sa ceinture et baisser ses pantalons. J’en profite pour admirer son torse découpé recouvert de poils noirs tirant au gris. Malgré qu’il soit deux fois plus âgé que moi, il est clairement plus en forme et fort que moi qui suis plutôt mince. Quant à ses jambes, elles sont aussi musclées que celles d’un cycliste, et légèrement poilues. Heureusement, sa bite a ramolli quelque peu, ce qui me permet de retirer son caleçon sans trop de difficulté. Soudain, mes yeux ne peuvent s’empêcher d’être attirés par les deux belles grosses couilles qui pendent lourdement sous la queue de Monsieur, étendue sur le côté comme une sirène sur un rocher au bord de l’eau.

 

- Viens jouer avec, p’tite pute. Je vois que tu en meures d’envie.

 

Nul besoin qu’il précise ce avec quoi je dois jouer. Ma langue et mes lèvres partent à la rencontre de ces couilles rasées pendant que d’une main, je branle doucement la bite qui les surmonte. Celle-ci retrouve d’ailleurs rapidement sa rigidité.

 

Après quelques secondes qui me permettent de gober tour à tour les deux belles noix à ma disposition, Monsieur se penche au-dessus de moi retire, avec une lenteur insupportable, le plug de mon cul. Il l’approche alors de ma bouche et me force à l’avaler pour bien le lubrifier, après quoi il s’en sert pour me défoncer lentement le cul.

 

- Tu es toute propre à ce que je vois, c’est bien. Reprends ma queue, maintenant. Oui, lubrifie-la bien, tu ne le regretteras pas. Moi, je continue à t’ouvrir. Lèche mes doigts, un peu. Oui, reprends ma queue encore un peu, me dit-il en enfonçant sans trop de difficulté ses trois doigts recouverts de salive dans mon cul.

 

Après quelques minutes de préparation de mon cul et cette pipe plus douce que la précédente, la bite de Monsieur a retrouvé toute sa dureté. Soudain, sans prévenir, il se lève du fauteuil et passe derrière moi. Il rapproche alors mes genoux et penche mon corps vers l’avant en me poussant sur le dos, jusqu’à ce que ma tête donne contre le plancher et que mes fesses soient bien relevées dans les airs.

 

- Quel cul tu as, sale chienne ! me félicite-t-il en me frappant sur les fesses avec sa lourde queue. Et juste pour moi, en plus !

 

Tandis que je demeure toujours le visage contre le plancher, je sens son gland énorme s’approcher de mon anus et s’y enfoncer doucement avant de ressortir complètement. Monsieur répète la manœuvre à quelques reprises jusqu’à ce que je lâche un faible :

 

- Allez, s’il vous plaît !

 

- Qu’est-ce que tu viens de me dire, espèce de chienne ? Tu me donnes des ordres, maintenant, c’est ça ? Tu crois que j’en ai quelque chose à foutre de toi ?

 

- Non, monsieur. Pardon, monsieur. Je n’ai pas fait exprès, monsieur…

 

- Qu’est-ce que tu es, dis-moi ? Hein ? Qu’est-ce que tu es pour moi ?

 

- Je suis votre petite salope personnelle, monsieur. Je suis votre chienne, votre pute, votre…

 

- Alors voilà ce qu’on fait aux salopes dans ton genre, me dit-il en enfonçant brutalement son énorme gourdin au fond de mon cul et en l’y conservant immobile. Tu le sens bien, maintenant, que tu es une salope ? Hein, tu le sens bien ?

 

- Aaarrghh ! Oui, monsieur, merci, monsieur.

 

La douleur fulgurante du début se mélange bientôt avec la satisfaction de sentir ses couilles appuyer contre mon périnée. Sa queue me semble encore plus grosse que lorsqu’elle me défonçait la gorge et je peine à respirer. Enfin, Monsieur saisit mes hanches et entame un mouvement de va-et-vient qui va en s’accélérant. Bien vite, je sens toute la longueur de sa queue qui coulisse en moi à toute vitesse pendant que ses couilles tapent contre mon cul en produisant un son de castagnettes. Parfois, sa queue ressort complètement et Monsieur en profite pour cracher dans mon anus sans doute ouvert et me planter à nouveau son gourdin au plus profond de moi, ce qui ne manque pas de me faire gémir comme une femme.

 

- Tu la sens bien, ma grosse queue, salope ?

 

- Oh oui, monsieur. Merci, monsieur !

 

Après plusieurs minutes de ramonage intense, Monsieur s’extirpe de mon cul, se relève et me jette un regard satisfait.

 

- Au pied, chienne. On va dans ma chambre.

 

Arrivés devant son grand lit, moi toujours à quatre pattes et Monsieur debout, il me soulève et me jette à plat ventre sur les draps. Sans que j’aie le temps de réagir, il glisse un coussin sous mes fesses et m’enfonce à nouveau sa bite dans le cul. À chacun de ses puissants coups de boutoirs, je sens tout le corps en sueur de Monsieur qui s’abat sur moi et me cloue au lit. Il me possède ainsi pendant plusieurs minutes en me traitant de tous les noms obscènes qui lui viennent à l’esprit et je finis par jouir sans même me toucher, ce qui est une première pour moi. Tout s’embrouille autour de moi tandis que je jouis comme une femelle en train de se faire saillir. La contraction de mon cul, à cet instant, finit par avoir raison des résistances de Monsieur qui, en grognant, se plaque contre moi et déverse un flot de sperme dans mon cul. J’ai l’impression que le déluge ne s’arrêtera jamais, que sa semence me sortira bientôt par la bouche si ça continue. Je me sens véritablement inondée et Monsieur, après avoir brièvement repris son souffle, me retourne sur le dos et approche sa bite poisseuse de mes lèvres.

 

- Nettoie-la bien, salope. J’aime dormir avec la bite propre.

 

Je glisse alors ma langue dans les moindres replis de sa queue encore ramollie et m’efforce de ne rien laisser derrière, pour que Monsieur soit fier de moi. Elle est aussi belle au repos qu’en érection et, une fois le nettoyage terminé, je passe quelques secondes à caresser les couilles de Monsieur tout en suçotant son gland. Je dois ressembler à une païenne qui adore fiévreusement son idole.

 

- C’est bien, ma belle, dit-il en me flattant affectueusement la tête, tu es une bonne bête obéissante. Va prendre une douche, c’est la première porte à gauche en sortant. Reviens me rejoindre après.

 

Pendant que je me savonne, j’expulse la semence que mon mâle viril a déposée en moi et tâte mon cul pour évaluer les dommages qu’il a subis. À ma grande surprise, il est encore tout ouvert, mais pas douloureux. Les quelques attouchements que j’effectue me font à nouveau bander et une dizaine de va-et-vient sur ma queue suffisent étrangement à me faire jouir.

 

Je ressors ensuite de la salle de bain et me dirige vers le lit. Monsieur ronfle déjà, ce qui me fait penser qu’il ne disait pas tout à fait la vérité en disant qu’il me défoncerait toute la nuit. Peu importe, je me blottis contre son corps chaud et puissant. Presque sans le vouloir, ma main descend lentement vers son entrejambe et je fais rouler doucement ses couilles entre mes doigts.

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Dimanche 1 juillet 7 01 /07 /Juil 22:42

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18 ans ! Cela se fête. C’est bien ce que j’ai fait ce soir. Je ne suis pas resté avec mes parents comme à mon habitude car j’ai préféré sortir avec Élise. Nous sommes ensemble depuis six mois. Nous nous entendons à merveille. C’est un petit bout de femme blonde qui devrait s’inscrire pour des castings de mannequin. Pourtant elle ne pense qu’aux études. Moi, c’est plutôt le contraire. Si je pouvais me passer des études je ne m’en sortirais pas plus mal. Je préfère largement courir sur les terrains de sport que rester devant des livres toute une après-midi. Pourtant nous nous complétons à merveille. Peut-être que mon côté mauvais garçon l’a attirée de suite. Moi, c’est son petit minois et son cul parfait qui m’ont donné envie de la connaître davantage. Entre mes matchs d’entrainement et mes séances dans une salle de muscu, je trouve toujours un moment pour passer du temps avec elle. Ce qui est agréable, c’est que notre complicité affective a lieu aussi au lit. Elle n’a jamais été farouche, si bien que j’en profite. Il faut dire qu'à notre âge, on a toujours envie de faire l’amour. Elle me touche à peine la cuisse que je me mets à bander. Parfois, cela devient même un jeu. En cours, assis l’un à côté de l’autre, elle pose sa main sur ma jambe et la remonte doucement jusqu’à ce que je devienne rouge.

Comme c’était mon anniversaire aujourd’hui, j’ai souhaité passer la soirée avec elle. Ses parents, Marc et Claudine, nous ont proposé de manger chez eux. Sa mère est un véritable cordon-bleu, et voulant me faire plaisir, elle m’a fait mes plats préférés : pâtes carbonara et mousse au chocolat. Après le repas, repus, nous avons passé la fin de soirée dans la chambre d’Élise. Celle-ci m’avait préparé une petite surprise. Elle avait acheté une tenue très sexy, et après un petit striptease, elle m’a sauté dessus. Oh bien sûr, je me suis laissé faire, je n’allais pas refuser cette invitation à la débauche. Ce qui est bien avec Marc et Claudine, c’est qu’ils sont assez ouverts. Ils sont conscients que les jeunes de maintenant sont plus à l’aise avec leur sexualité, si bien qu’ils nous ont toujours laissés nous faire l’amour chez eux. Il y a une seule règle qui m’agace, mais je la respecte vu qu’ils nous laissent une certaine liberté. Je ne dois pas dormir chez eux et à minuit je dois être parti.

Comme d’habitude, donc, j’ai quitté mon Élise pour rentrer chez moi. Le repas avait été un peu arrosé, donc je me suis retrouvé à naviguer dans la rue au rythme de la marée, si je puis dire. Arrivé chez moi, je me suis dirigé vers ma chambre. Toutes les lumières étaient éteintes. Mes parents devaient dormir. J’ai monté les escaliers, me suis dévêtu en restant en boxer et me suis jeté sous les couvertures. Après une journée de cours, l’entrainement, un repas copieux et une soirée endiablée, j’avais besoin d’un repos bien mérité. Il ne m’a pas fallu longtemps pour m’endormir.

Léger souffle glacial… Draps qui se soulèvent… Un poids sur moi… Sensation d’étouffement…

Réalisant ce qui se passe, je me réveille. Quelqu’un est sur moi. Je vais pour crier lorsqu’une main se pose sur ma bouche. Je sens des cuisses contre les miennes, un souffle chaud dans mon cou, un objet raide sur mes fesses. Je commence à prendre peur. Je me demande qui c'est. On m’oblige à tourner le visage vers mon oreiller afin d’étouffer mes cris. J’essaie de me débattre, mais la personne sur moi pèse lourd et semble savoir bloquer quelqu’un. Je peux à peine respirer. Une main se glisse sur mes fesses. Je devine des cuisses poilues autour des miennes. Mon boxer se retrouve sous mes fesses et un doigt vient titiller ma rondelle. Cette sensation est étrange. Je veux m’extraire, mais je n’y arrive pas. Cela se passe vite, mais je sens quelque chose me pénétrer. On me fouille. La douleur est atroce. Mon anus est sec et on me l’explore d’un doigt puis de deux. L’homme sur moi essaie de m’écarter les muscles anaux. Moi, je me contracte comme je peux, mais je n’arrive pas à résister. Je sens le souffle chaud sur mon cou, je devine un parfum que je connais, mais je n’arrive pas à me rappeler à qui il appartient.

Les doigts sont enfin sortis, j’espère la délivrance. Le poids se fait plus léger, se déplace même. Était-ce un cauchemar ? L’homme se rallonge sur moi, je sens de nouveau une sensation sur ma rondelle. Il force. Son souffle s’accélère. Je suis déchiré. Je veux hurler mais l’oreiller m’en empêche.

— Putain, depuis que j’attends !

Je reconnais la voix de mon père. C’est cet homme à qui je dois tout qui me viole. Son chibre progresse lentement en moi.

— 18 ans que je désire te baiser ! 18 ans !

Je le sens s’appuyer sur moi.

— Putain ! Je suis à fond. Dans ce cul vierge.

Le dégoût me prend. Je sens des larmes emplir mes yeux. La douleur est atroce. Je le sens bouger. Il va pour se retirer, mais au lieu de sortir complètement, il recommence sa pénétration. Je réalise que je suis en train de me faire enculer. J’ai honte. Je ne peux rien faire. Mon père me bloque.

— Tu vas être une bonne salope pour ton père, hein ?

Comment veut-il que je réponde ? Il me coince.

— Baiser un petit mâle comme toi, c’est le pied.

Je sens son souffle sur mon cou, il me lime par de grands coups de boutoir. À chaque fois qu’il se retrouve au fond de moi, je sens son gland sur ma prostate. La sensation est étrange. Bien malgré moi je bande.

— Prends ça, petite salope, me dit-il.

Son rythme s’accélère, je l’entends lâcher un gémissement. Il a dû jouir car il ne bouge plus. Il est enfoncé en moi pourtant. Je sens enfin ma délivrance venir. Encore planté en moi, il me glisse à l’oreille :

— Tu ne diras rien à personne. J’ai découvert tes petits cachetons dans ton bureau. Cela serait du plus mauvais effet si on apprenait que tu te dopes dans ton équipe. Et puis, qui croirait un môme face à un flic ?

J’étais pris. J’allais devoir me taire et rester seul avec ma honte. En effet, mon père est un flic respecté. Qui me croirait ? Et je m’étais mis dans une sale merde en utilisant des produits pour améliorer mes performances.

Il se retire et me laisse là à pleurnicher dans mon oreiller, comme un gosse. Je ne peux arrêter mes larmes. La douleur de mon anus est insupportable. J‘ai l’impression qu’il m’a déchiré. Je sens même du liquide le long de mon cul. Je touche, mais ce n’est que son sperme qui s’écoule lentement. Il a dû se vider après des jours d’abstinence. J’essaie de penser à autre chose, mais malgré moi mes pensées me ramènent à cet instant et je m’aperçois que je bande toujours…

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Dimanche 1 juillet 7 01 /07 /Juil 17:16

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Le matin même de mon viol, je suis resté au lit, attendant que tout le monde parte. J'avais peur que ce soit ma mère et ma sœur qui partent les premières, laissant mon paternel seul avec moi dans la maison. Je me blottissais dans mes draps, pleurant doucement pour ne pas attirer de monde. Je sanglotais comme il y avait longtemps que je ne l'avais pas fait en me blottissant dans les bras de ma mère. Quand tout le monde fut parti, j'ai pris une douche pendant de longues minutes, ma savonnant encore et encore, essayant de faire partir cette sensation de dégoût qui m'envahissait. Je ressentais encore une douleur vive à l'anus même si je n'avais pas saigné. Je m'habillai d'un vêtement chaud prêt à partir en cours mais je n'eus pas le courage d'affronter le regard de mes camarades. J'avais l'impression que ce qui m'était arrivé pouvait se lire sur mon visage. Je décidai alors de retrouver Elise et l'attendis devant chez elle.

Elle me rejoint peu avant midi pour manger chez elle. Elle est surprise de me retrouver là.

— Ben, mon chéri ? Qu'est-ce que tu fais là.

— Il fallait que je te voie.

Elle essaie de savoir pourquoi je ne suis pas venu en cours mais je reste muet. Comment lui avouer que je me suis fait violer ? Que mon père est un pervers ? J'arrive à la décider de rester ensemble toute la fin de la journée. Quand ses parents rentrent, nous ne leur disons rien. Je reste pourtant taciturne. Même si la présence d'Elise m'a permis de me sentir bien, je garde en mémoire ce souvenir qui de toute façon se rappelle à moi à cause de la douleur que je ressens encore aux fesses. Nous passons une partie de la soirée dans sa chambre. Je ne cherche que sa chaleur. Je me blottis dans ses bras, la tête sur son sein à écouter son cœur battre. Des images défilent à la télévision mais je ne fais pas attention. Parfois sa main passe sous mon t-shirt. D'habitude cela m'aurait excité et je lui sauterais déjà dessus. Là, je n'ai envie de rien. Tout du moins pas de sexe. Je désire juste qu'elle me berce pour redevenir un enfant, oublier...

Pourtant, elle se fait insistante et je suis obligé de répondre à ses avances. J'ai peur qu'elle ne me pose des questions auxquelles je ne voudrais pas répondre. Je la laisse faire. Bientôt, ma chemise est ouverte, mon t-shirt enlevé, elle passe sa main sur mon torse ce qui réveille mon sexe endormi. Je l'embrasse doucement, faisant glisser mes lèvres sur sa peau de velours. Son doux parfum enivre mes narines. Mes mains glissent à leur tour sur ses cuisses. Elles les écartent doucement pour me laisser la place. Je me déplace afin de me caler face à elle. Son sourire est charmeur comme à son habitude. Elle passe ses mains sous mon pantalon pour rejoindre mes fesses. Je me contracte, elle le sent. Je vois dans ses yeux qu'elle s'interroge, mais je lui souris, ce qui semble la rassurer. Pourtant, je ressens quelque chose qui me dérange. Vite fait, elle fait glisser mon pantalon. Je suis bandé. Je suis excité mais je me sens sale aussi, si bien que je souhaite que tout cela se termine rapidement. À peine ai-je mis la capote que je suis en elle. J'alterne des va-et-vient lents avec d'autres plus rapides. Je la regarde dans les yeux essayant de lui sourire. Je contracte les fesses de peur qu'elle ne s'en approche et découvre quelque trace qui aurait pu rester, pourtant j'ai comme une sensation de manque. Tout en la besognant, je pense à mon père. J'accélère le rythme et, dans un râle discret, je jouis, elle non. Je l'abandonne ainsi, frustrée, mais honteux je ne la regarde plus. Je me rhabille puis fuis sa présence malgré ses appels. J'ai les yeux qui piquent, je suis prêt à pleurer de nouveau mais je fonce hors de la maison.

Où vais-je aller ? Je viens de laisser ma copine. À la maison ? Pas question, il y a mon père. Pourtant il fait froid. Le vent me glace davantage encore. Je n'ai qu'une solution, rentrer chez moi et éviter mon père. Il y a bien ma mère. Elle devrait pouvoir éviter que cela ne se reproduise.

Arrivé, je traverse le couloir, essayant d'éviter mes parents. Pourtant, ils m'attendent. Voilà la réprimande qui s'abat sur moi. J'aurais dû prévenir. J'aurais dû rentrer plus tôt. Des "tu aurais dû..." s'abattent les uns après les autres. Mon père ajoute :

— C'est pas parce que t'es majeur que tu dois faire le con. Tant que tu es chez nous tu respectes nos règles.

Je les écoute d'une oreille, les yeux baissés mais sa phrase m'a percuté. Et si tout cela m’était arrivé pour me punir ? Et s'il m'avait pris de force car je l'avais déçu ? Et si je l'avais mérité ? Mon visage se décomposait. Ma mère semble s'en apercevoir et me demande ce qu'il se passe. Je ne peux que bredouiller que je suis désolé et m'enfuis de nouveau pour gagner ma chambre. Je me jette sur mon lit comme un gamin de huit ans pour me blottir dans mes draps, simple protection de tissu.

Des minutes s'écoulent, je sens mes pleurs ralentir lorsque j'entends qu'on frappe à ma porte. Mon cœur accélère, mon père ouvre la porte. Mon bourreau s'approche, s'assoit sur mon lit et pose sa main sur mon dos. Je me contracte.

— Ta mère a voulu que je vienne voir ce qu'il se passe.

Je ne réponds pas.

— T'es au courant que t'as fait une bêtise ? Et que cela mérite une punition ?

Je me redresse pour le regarder dans les yeux, avec un air qui se veut méchant mais son sourire me désarme. Je retrouve le père aimant et protecteur que j'ai eu jusqu'à présent. Des souvenirs refluent dans ma mémoire. C'est l'homme qui m'a élevé, qui m'a protégé, qui m'a rendu fort. Je comprends qu'il a voulu me punir de mes travers. Je pense que cette punition était méritée. Je vais pour me blottir dans ses bras lorsqu'il ouvre sa braguette pour en sortir cette queue qui m'a défoncé la veille. Je vais pour reculer, mais il m'attrape par le cou et me dirige vers son membre raide.

— Tu croyais quoi ? Que t'allais pouvoir l'éviter ?

Il me colle à sa queue. Je sens son odeur.

— Ouvre la bouche.

Je refuse d'obéir. Je veux que tout cela s'arrête. Il me tire par les cheveux et me fait le regarder bien en face.

— Je t'ai déjà prévenu ! T'as intérêt à m'obéir. Ouvre ta gueule !

Je l'ouvre. Il me crache au visage. Sa salive atteint même ma langue. Puis il me replonge la tête vers sa queue. J'accepte enfin de la prendre bien malgré moi. Le goût n'est pas désagréable. Il joue avec ma tête pour que je le pompe. J'ai du mal. C'est ma première fois.

— Pas avec les dents ! Fais gaffe.

Il vient de me donner une idée pour me venger. Je fais exprès d'utiliser mes dents. C'est alors que je reçois une baffe qui m'étourdit presque.

— Pas avec les dents, bordel.

Je crois que je viens d'apprendre une nouvelle leçon. Je m'applique cette fois. J'en viens même à jouer avec ma langue autour de sa queue. Sa poigne se desserre. Il me caresse presque le visage alors que j'avale sa queue. Il commence des petits mouvements dans ma bouche afin que son sexe aille de plus en plus loin.

— Bien, petite salope. Doucement, c'est bien.

Un nouveau sentiment se fait jour. Je crois que je suis fier de lui faire plaisir. J'en bande même. Je sens ma queue coincée dans mon pantalon. Il me repousse pour me faire allonger. Il se place au-dessus de moi et me plante sa queue dans la bouche.

— Une belle petite gueule de PD, ça.

Il s'enfonce profondément jusqu'à la glotte. Je sens que je vais vomir mais il me dit de respirer. Il va de plus en plus loin, accélérant parfois.

Puis il se redresse, me fait asseoir et m'oblige à ouvrir grand la bouche alors qu'il me gicle quatre épais jets de sperme sur la langue.

— Oh putain, que c'était bon. Hop ! Hop ! Hop ! T'avales pas, tu mâches avant.

Je lui obéis, alors qu'il se reboutonne et me laisse là. J'ai la queue en feu. Je me recouche, ouvre mon pantalon, sors ma queue et me branle en dégustant son sperme. Je l'imagine encore dans ma bouche. C'est étrange mais je dois me faire une raison, j'ai aimé qu'il se serve de ma bouche pour jouir. Je ne suis pas long à jouir, inondant mon torse de mon propre jus.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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