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fan de histoires de mec

Dimanche 15 juillet 7 15 /07 /Juil 01:16

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Ma vie était devenue un enfer. Certes, j’aimais être soumis mais, là, j’étais particulièrement servi. Mon père n’avait pas de limites et il usait et abusait de moi. Depuis des semaines, je n’avais plus dormi dans mon lit. J’avais droit à une couverture dans un coin du garage ou le chenil lorsqu’il ne faisait pas trop froid.

Cette nuit-là avait été courte car mon père m’avait loué à deux vicelards jusqu’à quatre heures du matin. J’avais passé ma courte nuit au milieu des chiens. Mon père en avait trois. Trois mâles assez féroces. Mon père me réveilla vers sept heures.

— Oh! Regardez-moi ça comme c'est mignon. Il bande en dormant. C’est la soirée que tu as passée hier qui te fait cet effet? Tu n’en as pas eu assez? Allez, arrête de trembler, je ne te veux aucun mal…

En réalité, mon père agissait avec moi comme avec un chien peureux qu’il voulait dresser et apprivoiser.

— Tu as été brave et je pense que tu as droit à un peu de plaisir. Viens!

Il attacha la laisse à mon collier et me fit sortir du chenil. Les trois chiens levèrent la tête mais ils ne firent rien de plus. Mon père m’emmena dans la salle de bain où il retira le plug de mon cul.

— Prends une douche et viens me retrouver dans le living à quatre pattes.

Il était doux et calme. J’avais intérêt à bien suivre tous ses ordres si je voulais que ça continue. J’ai donc pris une douche. Ô merveille! J’ai apprécié mais je n’ai pas voulu abuser. En dix minutes maximum, j’étais lavé, essuyé et en route pour le living. Mon père était assis dans le canapé. Il avait enlevé son pantalon et branlait sa grosse queue en regardant un film porno. Sur l’écran, une femme à gros nichons se faisait baiser par deux blacks et un chien.

— Allez, grimpe sur mes genoux et viens t'empaler sur ma queue dressée!

Je ne le nierais pas; j’étais excité par la situation. Mon père glissa la main dans ma raie.

— Mmmmm, cette petite chatte est déjà dégoulinante de désir. Elle aime la bite, hein?

— Oui, Maître!

Mon père entra au plus profond de mon trou et me lima longtemps. C’était agréable! Lorsqu’il accéléra, ses injures redoublèrent. Il haletait en hurlant:

— Je vais jouir. Je vais remplir ma pute!

Son excitation était très forte. La mienne l’était également. Ma condition de salope me convenait parfaitement lorsque je la vivais de cette façon. J’étais un objet de désir. Je l’acceptais. J’étais là pour donner du plaisir. Je ne vivais plus que dans cette optique. Satisfaire des mâles était ma raison de vivre.

— Putain de trou de pute…

Mon père feulait. Ses doigts pinçaient mes tétons. Je sentais la douleur, associée au plaisir qui montait en moi. Je n’allais pas résister longtemps à ce traitement. J'ai fini par exploser. Je me suis senti défaillir. Mon père aurait pu se fâcher car l’ordre de jouir n’était pas venu de lui. Il continua ses mouvements encore quelques secondes puis jouit dans mon trou.

Nous nous remettions à peine de notre jouissance lorsque le téléphone sonna. Mon père décrocha:

— Oui, c’est moi! Ah oui, Antoine! Comment vas-tu? Il est libre, oui! Ok, je te le réserve pour ce soir. Il y aura du monde? Ah oui, tout de même!

Mon père a raccroché et s’est adressé à moi:

— Ce soir, tu auras des clients! Bon d'abord, nous allons aller t'acheter de quoi t'habiller décemment. Tu ne peux quand même pas te présenter à tes premiers clients dans cette tenue…

Je n’ai évidemment pas osé poser de question à mon père. J’ai compris qu’à partir de là, il allait monnayer mes services pour se faire un peu de fric.

Après nos achats, mon père m’a préparé comme une chienne: collier clouté, plug, ceinture... Nous nous sommes rendus dans un immeuble très chic où mon père s’est adressé au gardien pour qu’on nous annonce chez Monsieur Z. J’étais pétrifié de gêne devant cet homme qui ne semblait pas trop surpris de me voir ainsi harnaché (et à moitié nu). Monsieur Z devait recevoir beaucoup d’invités spéciaux comme moi. Le gardien a pris le téléphone et a appelé:

— Une visite pour vous, Monsieur Z! Oui, je les fais monter… Vous pouvez monter au cinquième! On vous attend…

Je crois que le gardien m’a fait un clin d’œil en se touchant la braguette. Mon père m’a tiré par la laisse jusqu’à l’ascenseur et nous sommes montés à l’étage indiqué. La porte du pallier était ouverte et nous sommes entrés. Dans le living, il devait y avoir une dizaine de mecs. Mon père m’a fait entrer.

— Installez la chienne sur la table! a dit une voix sévère.

Tous ces mecs me regardaient avec envie et l’un d’eux s’avança vers mon père pour lui demander quelque chose tout bas à l’oreille. Mon père a souri et répondu:

— Sans problème, Monsieur Z! C’est vous le client… Je viendrai la rechercher deux heures plus tard.

— C’est parfait! Finalement, nous serons une vingtaine… Une location normale risquait d’être juste… a conclu Monsieur Z.

Monsieur Z s’approcha de moi et me frotta son paquet gonflé contre le nez.

— On va te remplir par tous tes trous avec nos grosses bites bien dures. Sens-moi ça si c’est ferme!

J’ai poussé un grognement. Sans doute parce que j’étais horriblement angoissé et perdu au milieu de ce groupe de mâles excités et prêts à tout. Il m’a caressé la tête et je l’ai agitée en grognant à nouveau. Une main m’a immobilisé la nuque. J’avais mal. L’homme s’adressa à mon père:

— Votre chienne pousserait-elle des grognements de désapprobation? Dans ce cas, elle mériterait vraiment une bonne punition!

— Je le crains, Monsieur. J’essaie de bien la dresser mais vous connaissez les jeunes chiennes… Elles sont parfois rebelles! lui répondit mon père.

— Nous allons arranger ça! Laissez-nous… s'exclama l'homme.

— D’accord! répondit mon père vers qui je lançais un regard éploré.

Il ne me regarda même pas en partant. Un homme très viril au regard très vicieux s’avança vers Monsieur Z et lui dit:

— C’est une très belle salope que tu nous as trouvé là, Piotr!

— Vous allez pouvoir lui baiser tous les trous et vous satisfaire sans tarder. Il se pencha et me regarda droit dans les yeux:

— Nous avons très envie de toi depuis que tu es dans le «catalogue»! Chaque fois que je voyais ta photo, ça me faisait bander comme un âne. Là, maintenant, tu es là… offert à mes désirs… et à ceux de mes invités! C’est formidable de penser à tout ce qu’on va pouvoir te faire! En plus, je t’ai loué pour six heures…

J’ai frissonné. J’ai entendu que quelqu’un fermait une porte. J’étais prisonnier de ces hommes en rut. Plusieurs mecs m’avaient coincé contre la table basse et commençaient à me caresser sur tout le corps. Quand je dis caresser, c’était tout autant palper, pincer que malmener. Monsieur Z ordonna qu’on m’étende sur le dos et qu’on relève mes cuisses. Il s’installa à genoux entre mes cuisses et me lécha la rosette tout en me branlant avec ses doigts qu’il me mettait de temps en temps dans le cul.

— Souple mais toujours très serré! Le catalogue ne mentait pas… Une très belle chatte!

— Son Maître l’a bien rasée pour accueillir nos queues et elle mouille d’enfer...

— Sa bouche a l’air accueillante également...

— Oui, il paraît qu’elle suce comme une pro et elle aime tellement ça qu’elle avale tout.

Les commentaires fusaient autour de moi. Je n’étais qu’une «chose à plaisir» et les mecs s’agglutinaient pour en user et en abuser.

— Ralph, sors ta queue! Je veux la voir te sucer à fond. Ça me fait bander de la voir tailler une bonne pipe à mon meilleur ami! Allez vas-y, fourre-la de ce côté, je m’occupe de l’autre!

Le mec a ouvert son pantalon et libéré une queue déjà bien tendue. Elle n’était pas très longue mais épaisse avec un gros gland qui commençait à pointer. Un autre mâle l’a prise en main et a commencé à la branler doucement au-dessus de mon visage. On m’a enlevé mon bâillon et j’ai dégluti en voyant le gland qui grossissait à vue d’œil. Le mec avait de grosses couilles bien pleines qui se balançaient en frôlant mes yeux.

— Lèche les couilles pour commencer! me dit-il.

J’ai hésité.

— Lèche! Vite! Ou c’est la punition assurée…

J’ai obéi.

— Alors, Ralph, elle est douce la langue de ma chienne?

— Très douce… habile…

J’ai pris mon travail à cœur, redoutant une punition comme celles que mon père m’imposait en cas de rébellion. J’ai léché et sucé les couilles du mec. Du côté de mon cul, je sentais un gland qui frottait la raie. J’allais me faire trouer…

— Putain, Piotr! C’est une vraie salope! Elle me fait tellement bander que je crois que je vais tout lui envoyer dans la figure.

— Retiens-toi… On va lui baiser les deux extrémités en même temps… Elle va te pomper le gland. Allez, salope, enfourne ce beau morceau.

J’ai ouvert la bouche et j’ai aspiré le gland. Je me suis mis au pompage et le mec gémissait de plaisir en me tenant par les cheveux. L’engin grossissait encore dans ma bouche et m’étouffait presque. Je prenais son gland entre mes lèvres, le faisais ressortir pour lui lécher ses grosses couilles bien dures. Il se cabra assez rapidement et, n’en pouvant plus, m’envoya de longs jets de sperme au fond de la gorge. Il avait joui avec puissance et abondance. J’étais gluant de sperme.

— Putain de merde, cette salope m’a vidé les couilles comme jamais. C’est super bandant de se faire pomper au milieu de ses potes excités. À vous, les gars! Moi, faut que je recharge mes batteries…

Un mec qui devait avoir 60 berges mais qui était bien conservé le remplaça.

— Tu lui as envoyé une sacré dose, Ralph! Il est recouvert de ta chantilly!

Les mecs se marrèrent. L’hôte arrêta de jouer avec son gland dans ma raie et m’ordonna d’écarter les cuisses.

— Écartez-les lui à fond! dit-il en se débarrassant de son pantalon.

Il mit à l’air sa grosse queue bien gonflée et vint se planter entre mes jambes. Il me prit les chevilles et planta son sexe bien dur dans ma rosette lubrifiée de salive. Celle-ci s’ouvrit sous la poussée et j’ai poussé un petit cri.

— Une chienne qui miaule! ironisa un invité. Normal! C’est une chienne avec une chatte…

Petits rires. Monsieur Z entrait et sortait de mon cul. Sa tige forçait mes chairs intimes sans ménagements et je sentais cette chose énorme qui me ramonait le trou. Il buta au fond de mon cul et puis se mit à me pistonner sans faiblir. Je me mis à gémir.

— Elle prend bien, la salope! Elle couine mais elle avale. Elle est vraiment bandante avec sa petite chatte rasée qui me serre bien la queue…

— Bourre-la, Piotr! Nique la chienne comme elle le mérite!

— Elle te plaît cette queue?

Comme je ne répondais pas, un mec m’a foutu une baffe et a posé à nouveau la question:

— Elle te plaît cette queue?

— Oui.

— Pourquoi elle te plaît?

— Elle… elle est bien grosse!

— Exactement! Tiens prends-la et donne-moi tes tétons, je vais te les faire grossir.

Piotr me limait tout en roulant les pointes de mes seins entre ses doigts. Il les pinçait à me faire mal et je faisais une horrible grimace en essayant de réprimer un cri de douleur.

— Une bite dans sa gueule! Tout de suite! ordonna-t-il.

Le mec de 60 ans enfonça sa bite très longue dans ma gorge. Il prit le relais et se mit à pincer, tirer mes tétons qui durcissaient sous ses doigts. Je me laissais aller à cette baise bestiale et mon corps se mit à jouir de toutes ces caresses… Oui, je m’abandonnais complètement en gémissant comme une chienne pendant qu’on me baisait par les deux trous et qu’autour de moi des mecs se branlaient en m’injuriant.

Mon baiseur sortit de ma chatte. Il écarta bien mes cuisses et demanda à un de ses amis de me la bouffer. Celui-ci se mit à me lécher le fion boursouflé et sa langue me fouilla profondément. Je jouissais comme une bête au milieu de tous ces mecs bien montés qui allaient bien profiter de mon corps. La tête entre mes cuisses, le «rimeur» me bouffait le trou. Je voyais des bites dressées qui attendaient leur tour. Elles se touchaient, me frôlaient, frappaient mon corps et jouissaient parfois sur mon visage.

Le temps passa très vite et lorsque tout le monde eut joui deux ou trois fois, Monsieur Z me livra au gardien de l’immeuble. Il bandait comme un âne. Il me refit un clin d’œil. Sa queue était bien longue et épaisse. Il la planta dans mon cul bien élastique et lima. Il se retira vite puis y replongea. Il recommença ce petit jeu plusieurs fois, encouragé par les autres mecs.

— Mammoud, baise lui la gueule maintenant!

Le gardien changea de côté. Il posa son gland sur mon visage avant de le glisser entre mes lèvres et l’enfonça au fond de la gorge. Il me tenait par les cheveux. L’engin, déjà énorme, grossissait entre mes lèvres et j’avais du mal à le sucer complètement. Monsieur Z se planta à nouveau dans mon cul. Pour la quinzième fois ou seizième fois, j’étais pris en sandwich. J’entendais soupirer le gardien d’aise et m’encourager à bien le pomper alors que j’avais mon arrière train rempli par le patron.

— Cette pute est vraiment faite pour baiser. Je pense que je vais la «louer» plus souvent… Elle a des trous si accueillants… conclua Monsieur Z.

 

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Samedi 14 juillet 6 14 /07 /Juil 23:40

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Mes vacances d'été quand j'avais 18 ans m'ont donné l'occasion de visiter mon grand-père pendant une semaine. Mon grand-père et son ami, le juge Wasson, allaient m'emmener pour quelques jours à leur cabane de pêche. Au niveau de ma puberté, j'étais assez en retard et n'avais encore aucun poils pubien: j'étais très mince et la peau douce.

Quand nous sommes arrivés, je suis allé nager tandis qu'ils se douchaient et, une fois revenu, je les ai trouvés se reposant sur des transats, uniquement vêtus de leurs shorts larges. Grand-père m'a dit de leur apporter à chacun un cigare. Je suis resté à leur côtés pendant qu'ils les fumaient tranquillement. Mon grand-père appellait son ami "juge" même si ce n'était pas son prénom mais son titre. Le juge est allé à la salle de bains et a laissé la porte ouverte: je pouvais voir son énorme bite pendant qu'il faisait pipi. J'ai essayé de ne pas regarder mais il m'a surpris en train de l'observer. Quand il a eu fini, il a marché jusqu'à moi, serrant le cigare dans des ses dents; il m'a pris fermement par le bras, m'a amené jusqu'à mon grand-père et lui a dit ce que j'avais fait. Mon grand-père m'a alors forcé à me mettre à ses genoux, a abaissé mon short, de telle manière que mon cul nu a été exposé et m'a fessé un coup. Juge s'est assis à côté de lui sur le sofa et placé ma tête dans son entrejambe. Je pouvais sentir son membre gonflé appuyer contre mon visage pendant que grand-père donnait une fessée à mon cul nu. Grand-père a commencé à frotter mes fesses roses, apaisant la morsure de sa fessée, ses doigts caressant la fente de mon cul.

Après peu de temps, le juge a abaissé ses shorts et mon visage a été niché dans ses poils pubiens épais, sa main tenant mon visage contre lui. Grand-père a tâté par dessous et a trouvé ma petite bite, la tenant et la branlant: la rugosité de sa main sur mon entrjambe imberbe et lisse était merveilleux. La bouche de grand-père a touché mon cul sensible, sa langue envoyait des frissons vers le haut de mon épine dorsale. Ses mains ont séparé mes fesses et sa langue a touché mon trou vierge. J'ai haleté de plaisir, effrayé, mais incapable d'arrêter l'une ou l'autre d'entre elles. Grand-père m'a pris et m'a étendu sur le dos sur la table, son short est tombé à terre et j'ai vu sa grande bite, le prépuce recouvrant complètement le gland.

Quand le juge est revenu, il avait un réservoir souple en caoutchouc avec un tuyau sur l'extrémité. Grand-père a tenu mes jambes vers le haut et le juge a mis quelque chose sur mon trou. J'ai senti une sensation de froid pendant qu'il poussait l'extrémité du tuyau en moi; il m'a fait un peu mal au début, mais il était doux. Il a libéré la bride et l'eau chaude précipitée à l'intérieur de moi, ils m'ont ordonné de me détendre et de retenir tout à l'interieur de moi.

Après un moment, il m'a dit d'entrer dans la salle de bain et de tout libérer. Le juge est entré, m'a mis dans la douche et m'a lavé, mes yeux regardant constamment sa grande bite non circoncise. Il m'a séché et m'a porté à la chambre à coucher, m'a étendu sur le dos et a attaché mes mains aux coins du lit. Grand-père est venu dans la chambre et s'est mis à genoux au-dessus de moi, fumant toujours son cigare. Il a posé doucement sa bite sur mes lèvres, un liquide sortait de l'extrémité. Il m'a dit d'ouvrir ma bouche et a commencé à pousser sa bite dedans, le goût du liquide était salé et il était glissant. J'ai ouvert aussi grand que je pouvais mais seulement environ la moitié de sa grand bite a pu entrer. Il m'a dit de sucer et de maintenir mes dents à l'écart, ses hanches allaient lentement d'avant en arrière. J'ai pensé que j'allais vomir tellement il le poussait profondément dans ma bouche.

Juge est venu sous moi et a mis plus de lubrifiant sur mon petit trou, en travaillant lentement, son doigt entrant chaque fois un peu plus à l'intérieur de moi. Ma bite était si bandée et j'étais si excité que je suis venu pendant que son doigt glissait dans et hors de moi. Le juge a pris ma bite dans sa bouche et la sensation était si bonne que j'ai immédiatement bandé à nouveau. Il a ajouté un autre doigt, cette fois, qui était bien plus douloureux d'abord mais qui est vite devenu une sensation merveilleuse au fur et a mesure que je me détendais.

Grand-père a pris mes jambes sous ses bras. Le juge a mis un oreiller sous mes fesses. Il s'est tenu au bas du lit, observant grand-père que je suçais de plus en plus passionément et a allumé un nouveau cigare. J'ai senti quelque chose pousser contre mon trou serré et vierge. Mes cris perçants de douleur ont été étouffés par la bite de grand-père quand il est entré en moi. Son entrée douce et lente a vite fait se muer la douleur en plaisir pendant qu'il allait et venait dans mon cul imberbe. Grand-père se trouvait sur le haut du lit, juge tenant mes jambes vers le haut et, de cette manière entrait sa bite toute entière à l'interieur de moi. Ses va-et-vient étaient maintenant rapides et profonds, ses boules gifflant mon cul rose encore et encore, pendant qu'il s'enfonçait profondément en moi. Je sentais bien sa bite extrêmement dure dans mes entrailles. Grand-père s'est retiré de ma bouche et s'est assis sur une chaise pour observer son ami qui me baisait pour la première fois. Le juge a commencé à gémir, mordant dur sur son cigare, sa bite a grandi encore un plus en moi, il a poussé ses hanches plus fort et plus violemment, poussant chaque fois sa bite plus à l'intérieur de moi et soudain son corps s'est tendu. Il a grogné pendant que son sperme chaud jaillissait de sa bite, dans mon cul.

Grand-père a allumé son cigare pendant que le juge se retirait de moi. M'observant, il a grimacé pendant qu'il frottait sa grand bite épaisse. Il m'a fait tourner et m'a forcé à me mettre à quattre pattes et s'est mis à genoux derrière moi, sa bite serrée contre mon trou d'où dégoulinait le foutre de son ami. Le juge s'est assis dans la chaise et a observé pendant que grand-père poussait sa bite en moi. Il m'a baisé avec un rythme profond et lent d'abord, puis fort et rapide, ses boules faisant un bruit de claquement chaque fois qu'il s'enfonçait en moi. Juge s'est mis devant moi et a poussé sa bite dans ma bouche, m'intimant d'être un bon garçon et de la sucer pour la lui rendre toute propre. J'ai pensé que sa bite avait un goût salé et était couverte de son sperme pendant qu'il poussait de plus en plus loin entre mes lèvres. Je pouvais sentir la bite de grand-père devenir de plus en plus grande et dure pendant qu'il me baisait profondément. Il a grogné et haleté pendant que sa bite me martelait comme un marteau piqueur. Il a poussé un cri au moment où son jus chaud m'a rempli les intestins. Ma bite était si dure et j'étais si excité à cause de toutes ces stimulations, entre le plaisir que me donnait la bouche de Juge et les sensations de grand-père en moi que je suis venu en même temps que mon grand papa.

Grand-père a fait glisser sa bite hors de moi et il a poussé un plug dedans, me disant qu'il me maintiendrait ouvert toute la nuit de sorte que plus tard quand nous sommes allés au lit, il a pu dormir avec sa bite en moi toute la nuit. Ils m'ont délié les mains mais ils ne m'ont pas permis de m'habiller. Plus tard cette nuit, quand il a été temps d'aller dormir, j'ai été mis entre grand-père et juge; juge a mis sa bite dans ma bouche et m'a ordonné de la sucer jusqu'à ce qu'il vienne; Grand-père a tiré le gode de mon trou et a poussé sa bite épaisse en moi. Grand-père m'a baisé très lentement pendant que je suçais la bite du juge. Assez vite, il a saisi ma tête et l'a tirée vers le bas sur lui, forçant sa bite dans ma gorge. Son sperme chaud a rempli ma bouche. Il m'a dit de ne pas laisser la moindre goutte s'écouler sur mon menton! Finalement j'ai réussi à tout avaler et son jus a laissé dans ma bouche un goût délicieux. Grand-père m'a baisé fort jusqu'à ce qu'il vienne encore en moi puis ils m'ont serré jusqu'à ce que nous nous endormions.

J'ai été réveillé par la bite de grand-père me baisant encore, mon cul toujours rempli de sperme de la nuit précédente. Il n'a pas duré très longtemps et bientôt, sa main branlant ma queue, il a joui encore en moi. Il m'a serré contre lui après, en restant profondément enfoncé dans mon trou. Il a chuchoté dans mon oreille qu'il allait me donner une surprise spéciale. La sensation de son pipi chaud s'écoulant en moi était tellement jouissive que je suis venu d'un coup, la bite de mon grand-père serrée par mon trou étroit pendant qu'il éliminait le dernier jet de pipi chaud. Il sortit sa bite de moi et m'a dit d'aller à la salle de bains pour libérer l'urine.

Juge est entré et m'a pris dans la douche avec lui. Après qu'il m'ait lavé, il m'a séché au loin et m'a dit de m'habiller - nous allions à la pêche. Après, nous reviendrions à la cabane pour encore plus d'amusement. Mais c'est une autre histoire...

 

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Samedi 14 juillet 6 14 /07 /Juil 22:06

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Mon père m’avait conduit pour les vacances chez un de ses amis, Georges. Le Georges en question était divorcé et vivait dans une maison isolée au bord d’un lac. J’avais 20 ans et Papa était mon amant depuis 3 ans. Il avait fait de moi une bonne petite pute toujours avide de sexe. Mon attirance pour les hommes de 40 à 50 ans était forte. Les minets de ma génération ne me tentaient absolument pas.

Lorsque nous sommes entrés dans le living, Papa m’a dit, tout de suite, de me foutre à poil et de me mettre à quatre pattes sur la table basse où Georges avait mis une toile cirée noire. Je me suis exécuté. Georges me regardait en tournant autour de la table.

— Il est encore plus mignon qu’avant! dit-il. Avec les années qui passent, j’avais un peu peur qu’il ne soit devenu trop adulte... Non, là, vraiment... c’est un beau petit mâle! Juste ce qu’il faut de poils sur les cuisses et finement musclé!

— Tu as vu sa cambrure? dit mon père. Il avale des queues de 25cm au moins par devant et par derrière.

— Je pense qu’avec mes amis, il aura de quoi «avaler». J’espère qu’il est en grande forme parce que le week-end sera éprouvant pour son cul et sa gorge.

— Il est endurant. Il a déjà été pris en main par un groupe de quinze mecs en rut. Il est performant, Georges.

— Je suis prêt à le croire.

— Allez essaye-le! Encule-le! N’hésite pas!

— Je ne vais pas me priver!

Et Georges ouvrit son peignoir pour apparaître à poil. Et quand je dis «à poil», chez lui, il y en a du poil! Son pieu gigantesque me claqua sur le cul puis il glissa dans ma raie pour faire monter la pression.

— Tu aimes? me demanda mon père.

— Oui, ‘pa! C’est trop bon!

— Tu vas l’avoir bien au fond, jusqu’à la garde, mon petit.

Ce fut le cas, sans préparation, son gel, sans douceur... Un coup de reins et l’engin me percuta le cœur! Je ne pus réprimer un petit cri de surprise et, je l’avoue, de douleur. Les larmes me coulèrent sur les joues mais je ne bronchais pas. Stoïque! Mon père vit que j’essayais de rester calme et que je respirais plus fort. Il me présenta sa queue bien dure et je me mis à la téter, retrouvant rapidement mon calme.

— C’est le truc avec mon fiston, Georges! Je lui donne ma bite et il se met à téter. Il en oublie le reste. Très souvent, c’est ainsi qu’il s’endort... avec ma queue en bouche.

— Chez Tonton Georges, il n’aura pas beaucoup l’occasion de dormir.

— Ne me l’épuise tout de même pas! dit papa en souriant.

— C’est mon attraction du week-end! Les invités seront là dès 22 heures et, crois-moi, ils auront les couilles bien pleines et des idées bien salaces en tête.

— Tu entends mon chéri? Tu entends ce que dis Tonton Georges? Tu vas bien t’amuser ici avec tous ces messieurs et leurs grosses pines. Tu es heureux? Suce, mon chéri, suce la grosse queue de ton papa.

Je levais mon regard vers mon père et il me sourit. Sa main se posa sur ma nuque et me força à avaler plus loin.

— N’oublie pas, chéri... Je te l’ai souvent dit: tu dois sentir le gland cogner au fond de ta gorge. Sans quoi, ta pipe est mal faite!

Georges s’acharnait sur mon petit cul et pistonnait presque avec rage. Il voulait me montrer qu’avec lui on doit savoir subir en silence. Il se retira, vint se placer à côté de papa et me jouit sur la gueule. Je sentais son jus épais me dégouliner sur les paupières, le nez jusqu’au menton.

— Bonne pute! dit-il. Très bonne petite pute, Michel. Regarde-moi comme c’est beau englué de sperme.

Mon père fut fier de ce compliment et m’embrassa goulûment, léchant au passage un peu du sperme de Tonton Georges et le mêlant à nos salives.

— Je vais donc te le laisser, Georges. Fais-en bon usage et n’oublie pas que je te le confie. Pas de plans foireux... Mon bébé est clean!

— Aie confiance, Michel, il sera en de bonnes mains.

Mon père m’abandonna aux caprices sexuels de Tonton Georges. Celui-ci me fit prendre une douche puis, ayant repris des forces, il me dit qu’il voulait tester son nouveau fauteuil. Au milieu du salon déjà préparé pour l’orgie du soir, il me montra un fauteuil de cuir noir dont les accoudoirs avaient été modifiés. Il s’assit dans ce fauteuil et m’invita à m’installer à genoux dans les cornières installées de part et d’autre.

— Allez, descends doucement vers ma bite, fiston! Empale-toi doucement et fais le travail comme un chef!

Le principe était donc d’amener l’enculé à se limer lui-même sur le braquemart de son enculeur. C’était fatiguant mais excitant. Grâce aux cornières sur les accoudoirs, j’avais une bonne stabilité et je n’avais qu’à me concentrer sur l’effort.

— Tu vas voir comme tes cuisses et ton cul vont se muscler! me dit-il le sourire aux lèvres.

— Mmmm c’est bon!

— Tu aimes ça, mon chéri, hein? Dose bien tes efforts et varie ton enculade. Vas-y progressivement...

Nous étions en plein effort lorsqu’on frappa à la porte et Georges cria d’entrer. Trois mâles de son âge apparurent dans l’embrasure de la porte et entrèrent dans la pièce principale. Pas de bonjour, de salut... Ils entrèrent directement dans la danse. L’un me caressa les tétons. L’autre m’offrit sa queue à sucer. Le dernier se déshabillait déjà. La soirée promettait d’être juteuse!

— Je vous avais promis un morceau de choix, les mecs!

— Tu n’as pas menti, Georges. Il est superbe.

— Et si doux à enculer. Il a déjà été baisé des dizaines de fois et pourtant il reste très serré. Un petit trou bien élastique qui peut s’ouvrir largement et retrouver sa forme ensuite.

— Un ange!

J’écoutais ces quatre mecs parler de moi comme d’un objet en m’empalant sur la tige de mon oncle Georges. Il ne se laissa pas jouir et proposa à Will de prendre sa place. Avec Will, je fus placé dans l’autre sens, dos à lui. De cette façon, je pouvais sucer en alternance les trois autres queues que l’on m’offrait. C’était délicieux de sentir mon corps livré aux fantasmes de ces quatre mâles virils et terriblement vicieux.

Je chevauchais toujours ce cher Will en me positionnant bien au-dessus de sa verge tendue. Il ne restait pas inactif et me caressait le pourtour de ma fente avec le bout des doigts.

— À moi, maintenant! dit Robert.

Avec son crâne rasé, il avait un air un peu rustre et sauvage. Il tint son membre raide dans sa pogne et le plaça correctement à l’entrée de mon anus bien élargi. Je posais mes mains sur les genoux de mon étalon et d’un coup de reins il s’enfonça en moi. Putain, la jouissance!

— Regardez-moi ce minou gourmand! dit Tonton Georges. Il n’en a jamais assez.

— Nous non plus, Georges. Il va devoir assurer toute la nuit...

— N’ayez crainte, il le fera.

Excité comme une puce par leurs propos, j’ai commencé à coulisser plus rapidement sur le «dick» de Robert. Ses mains englobaient mes fesses et les caressaient en douceur. Moi, j’avais envie de conjuguer douceur et brutalité. J’ai donc accélèré le rythme et mon cul faisait des bruits de succions en aspirant puis rejetant le membre baiseur. Je sentais Robert proche de la jouissance tout comme moi.

— Pas trop vite, les gars! dit Tonton Georges.

— Ce cul me pompe le jus, Georges! C’est la pute la plus performante que j’ai baisée depuis longtemps.

J’entendais gémir Robert comme une bête sauvage.

— Allez, changement de position!

Nous avons quitté le fauteuil et les hommes m’ont porté jusqu’à la table. Georges m’a installé sur le dos et a posé mes jambes sur ses épaules. Une position que j’adore puisqu’elle me permet de voir celui qui me nique et de lui rouler un patin baveux et sensuel. Georges commença à me pénétrer violemment pour la troisième fois en deux heures. Lorsque je passais ma langue sur mes lèvres ou que je couinais de plaisir, il me défonçait de plus belle. Les autres se branlaient autour de nous, attendant leur tour.

— Will, donne-moi ce coussin! demanda Tonton Georges.

Il poussa le coussin sous mes reins pour relever un peu mon bassin et voir ma rosette toute écartelée. La position était meilleure, il arriva à s’enfoncer plus profondément dans mon trou.

— Tu la prends mieux là?

— Je la sens mieux, Tonton Georges. C’est un peu douloureux mais ça va passer...

— C’est parce que tu l’avales en entier, jusqu’à la base des couilles.

À chaque coup de butoir qu’il me donnait, la douleur faisait place au plaisir.

— Vas-y, Tonton, vas-y! Baise-moi à fond!

Je serrais les fesses au maximum pour mieux sentir sa virilité me remplir. Samir, un arabe très vicieux, prit la relève. C’était le seul que je n’avais pas encore pris. Sa bite devait être la plus grosse et j’étais heureux d’avoir déjà été préparé par les autres lorsqu’il m’encula.

Chez Oncle Georges, mon séjour fut instructif mais épuisant!

 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Samedi 14 juillet 6 14 /07 /Juil 18:25

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Cher Martial,

J'aurais pu te téléphoner ou être encore plus moderne et te parler sur MSN mais avec ce que j'ai à te raconter, je serai plus à l'aise sur une simple feuille de papier car je cherche encore les mots pour te décrire ma situation... Il y a quelques jours, j'ai fait une découverte assez ahurissante sur l'un de mes élèves de terminale et il me faut absolument la partager avec quelqu'un digne de confiance, aussi j'ai pensé a toi, mon vieux camarade.

Quand je suis rentré chez moi ce soir là après ma journée de boulot, j'étais loin de savoir que je ramenais dans ma valise une telle révélation. Comme chaque soir, j'embrasse ma femme, ouvre le courrier, jette un coup d’œil à mes fils qui se bagarrent sur leur console de jeux puis je m'installe à mon bureau pour corriger les copies que j'ai ramassées dans la journée: une interro banale, rien de bien excitant mais c'est assez fastidieux, l'ensemble de la classe est relativement bon à part quelques éternels cancres qui n'apprennent leurs leçons que pendant les 5 minutes d'inter-classes précédant l'interro, je suis assez surpris par la copie de Mario d’ailleurs; j'ai toujours cru qu'il faisait partie de la catégorie des cancres mais voilà que depuis la fin des dernières vacances, ses notes ont augmenté de 10 points! Passer de 4 à 14, ça n'est pas banal! Je me demande par quel miracle il a bien pu sortir la tête hors de l'eau... J'en parlerai avec mes collègues en salle des prof, peut-être que quelqu'un sait quelque chose à ce sujet?

Une fois les copies corrigées, je jette un coup d’œil aux quatre cahiers d’élèves que j'ai ramassé au hasard durant la dernière heure. Je demande régulièrement à plusieurs élèves de me confier leur cahier de cours pour une journée afin de vérifier leur bonne tenue et leur propreté. Même s'ils sont en terminale Scientifique, ça n'est pas une raison pour délaisser l'Histoire après tout et s'ils veulent pouvoir se relire à la fin de l'année pour passer leur BAC, alors il vaut mieux que leurs cahiers soient correctement tenus. Ce soir, j'ai les cahiers de Marie, d'Aziz, d'Emmerick et de Guillaume.

Les deux premiers cahiers sont sans grandes surprise, Marie est méticuleuse tandis que les cours de Guillaume sont remplis de graffitis et de ratures. J'en arrive au cahier d'Emmerick (la surprise!), l'un des meilleurs élèves de la classe que tu apprécierais certainement. C'est un jeune garçon blond, assez fin, le visage rond et des grands yeux marrons, il est assez calme en classe et ne rechigne jamais à travailler contrairement à la majorité de ses camarades mais il n'est pas non plus un intello qui ne vivrait que pour ses bonnes notes. C'est un élève dont j'apprécie les dissertations et qui n'est pas ennuyeux. Je pensais tout connaître de ce garçon modèle mais comme je me trompais! Son cahier est parfaitement tenu, les leçons sont biens copiées malgré un ou deux dessins dans la marge mais rien de grave. Je suis sur le point de le refermer lorsque je remarque quelques feuilles glissées entre la couverture et la fin du cahier. Ce sont des feuilles blanches à petits carreaux, légèrement chiffonnées pour certaines, sur lesquelles s'étale l'écriture ronde d'Emmerick. En haut de chaque feuille, la date est soigneusement renseignée : un journal intime!

Dans un accès de curiosité, j'en parcoure la première page. Je veux te dire que je me suis permis de le faire parce que d'ordinaire mes élèves ne laissent rien traîner dans leurs cahiers et je pensais donc qu'Emmerick me les avait destinées d'une quelconque façon... Mais voilà qu'en lisant cette première page, mes doigts se crispent et ma respiration se tait. Je ne peux pas te décrire la surprise et le choc qui m'ont cueillies à la lecture de ces quelques lignes...

Je ne voit pas d'autre moyen que de te transmettre ces pages de cahiers photocopiées par mes soins, lis les donc et tu comprendras ma surprise et mon embarras !

* * *

 

27/11 Samedi

 

Aujourd'hui Papa rentre de son congrès pour le travail, dés que je suis rentré de l'école je me suis débarrassé de mes vêtements, j'ai pris ma douche, je me suis fait un lavage et je me suis enfoncé un bon gros plug dans mon cul lubrifié. Car je sais que quand Papa rentrera à la maison ça fera plusieurs jours qu'il ne se sera pas vidé les couilles et je serai là pour qu'il se soulage en moi!

J'étais en train de préparer le souper quand Papa est rentré, nu comme un vers. J'ai retiré mon plug et je me suis précipité dans l'entrée. Papa ouvrait sa braguette quand je l'ai rejoint, il m'a juste plaqué au sol et j'ai senti sa grosse bite se glisser dans la raie de mes fesses. En bon fiston, j'ai soulevé mon cul et Papa m'a défoncé la chatte. "Hum tu as gardé ton cul bien ouvert pour moi, c'est bien mon fils!" J'étais très fier quand il a dit ça!

Après s'être vidé les couilles bien au fond de mes entrailles, Papa est allé chercher une surprise pour moi qu'il avait laissé à l'arrière de la voiture. Quand il est revenu dans la maison, il était accompagné d'un gros chien Rottwelleir. "Il s'appelle Démon !" Papa m'a dit. Alors que je servais le repas, Papa a plaisanté en disant qu'il espérait que le chien serait bientôt aussi bien dressé que moi ! On a bien rigolé et avant de passer au dessert, Papa m'a encore défoncé le cul. Pendant que j'étais entre ses jambes pour lui nettoyer la bite à coups de langue, Démon est venu lécher ma rondelle qui dégoulinait de sperme. Papa n'a rien remarqué mais j'ai adoré! Je me suis endormi alors que Papa venait de me baiser une troisième fois, j'avais ma tête posée sur son torse poilu et sa bite était encore dans mon petit cul, ça me manquait de m'endormir comme ça!

 

30/11 Mardi

 

Tout à l'heure, alors que j'allais servir le repas, Démon s'est glissé entre mes jambes et j'ai fait tombé le plat de spaghetti sur le carrelage. Papa était très en colère devant tout ce gâchis. Il a mis les pâtes dans la gamelle de Démon et m'a ordonné de manger à terre comme un chien. Alors que je commençais docilement à manger, Papa a pris le collier de Démon et me l'a attaché au cou. Puis il s'est préparé son repas et l'a dégusté à table alors que je mangeais à quatre pattes sur le sol de la cuisine. Dîner ainsi aux pieds de Papa m'a bien excité, surtout que j'étais obligé de lever mon cul en l'air pour pouvoir atteindre la gamelle. Démon était très troublé, il ne comprenait pas pourquoi j'avais son collier et pendant que je mangeais, il m'a gentiment léché le trou du cul. J'ai passé le reste de la soirée à quatre pattes, sans même penser à me relever. Papa était très fier de moi et très excité : il me l'a dit alors qu'il m'enculait avant de dormir.

 

07/12 Mardi

 

Papa a quelques problèmes au boulot et pour se détendre, on est allé au cinéma après avoir fini mes devoirs. Je ne portais aucun sous-vêtement et le plug que j'ai reçu à mon anniversaire était enfoncé dans mon cul. C'était très bizarre et excitant parce que dans la file d'attente du multiplex, j'ai rencontré Maxime et Jean qui sont dans ma classe. Ils se sont assis à côté de nous dans la salle de cinéma. Le film était pas très bon mais on s'est amusé quand même. Quand on est rentré, Démon nous a fait la fête et Papa a dit qu'il faudra lui racheter un collier puisque désormais c'est moi qui porte le sien! Grace au plug, mon petit cul était bien ouvert quand Papa m'a défoncé cette nuit. C'était le pieds!

 

25/12 Lundi

 

Hier c'était la veillée de Noël! Papy est venu nous rendre visite pour passer la veillée de Noël avec nous. J'était très content de le voir car je l'aime bien et en plus, j'adore avoir deux hommes exigeants à servir en même temps. Pendant que la dinde rôtissait, Papy m'a fait asseoir sur ses genoux et m'a raconté des histoires cochonnes sur l'enfance de Papa tout en me doigtant le petit trou avec ses gros doigts calleux. Il paraît que quand Papa avait mon âge, il s'enduisait le sexe de sucreries pour que son petit frère le suce : Nutella, pâte d'arachide, confiture ou miel, il offrait sa sucette à mon oncle presque tout les soirs. Et c'est justement un soir de Noël que Papy a découvert les cachotteries de ses deux fils et à partir de ce moment là, il a pris leur éducation en main, ce qui veut dire en gros que c'est sur son sexe qu'étaient les sucreries désormais et qu'il avait ses deux fistons à régaler. C'est aussi Papy qui a dépucelé le trou de mon tonton pour que lui et Papa puissent s'en servir comme vide-couilles. Ainsi j'ai appris que je n'étais pas le premier vide-couilles de mon père et que j'avais un modèle à égaler, voire à surpasser! En tout cas tout, ça a réussi à tonton qui est maintenant un militaire haut-gradé! Dommage qu'il n'ait pas pu se joindre à nous ce soir là!.

Mes deux hommes m'ont défoncé le cul avant de passer à table, le repas de Noël était très bon, je n'ai pas trop aimé les huîtres mais la dinde était délicieuse!

J'étais très excité quand j'ai ouvert mes cadeaux : une laisse, un gros plug qui se termine en queue de chien et une très belle gamelle en inox, le tout flambant neuf! Papa m'a dit que c'était parce que j'avais été une bonne chienne. Pour leur rappeler des souvenirs du bon vieux temps, je leur ai tout les deux taillé une pipe au miel! Quel délice!

 

06/01 Jeudi

 

Aujourd'hui Papa a racheté un nouveau collier pour Démon, un bel objet de cuir noir avec des pointes métalliques, moi je dois garder le vieux; ça fait plusieurs jours que je le mets autour du cou dès que je me déshabille en rentrant à la maison. Désormais je me déplace à quatre pattes la plupart du temps, cet état de soumission m’excite et Papa le sait. Pour le remercier d'être un si bon père, je lui ai léché les pieds tout à l'heure pendant qu'il regardait son match à la télé. Il a de grands pieds égyptiens et il est très sensible entre les orteils. Quand son équipe a marqué un but, il m'a prit par les cheveux et il m'a violé la bouche avec sa grosse queue. Pendant que je faisais tout pour lui tailler la meilleure pipe possible, Démon est venu derrière moi et m'a léché le cul. C'était très bon et Papa l'a encouragé. Après ça, Démon a voulu me monter comme une femelle, j'étais très excité et je lui ai tendu mon cul. Ses pattes avant ont un peu griffé mes hanches mais sentir son chibre me pénétrer était la plus belle des récompense. Démon s'est calé bien au fond de moi et a donné de petits coups de rein en se déchargeant. Papa est très content de moi, il m'a appelé sa "petite pute chérie" pendant qu'il se déchargeait une deuxième fois au fond de ma gorge et que Démon attendait que sa boule se dégonfle pour sortir de moi. Le soir, Démon a dormi dans notre lit, il a léché le sperme qui coulait de mon cul pendant que Papa m'enculait. C'était très bon!

 

10/01 Lundi

 

La prof d'espagnol n'est pas très sympa avec moi, pourtant mes notes sont correctes, j'ai voulu en parler à Papa mais il est rentré du boulot très fatigué, je me suis dépêché de lui servir à manger et il est allé se coucher sans méme me baiser. Même si Papa n'était pas là pour me surveiller, j'ai mangé dans ma gamelle en même temps que Démon. Ensuite je suis resté un peu dans le salon avec le chien pour jouer. À un moment, Démon m'a léché le sexe alors je lui ai rendu la pareille. C'est marrant, je commence à m'habituer au goût du sperme de chien!

 

16/01 Dimanche

 

Papa a eu un match de rugby amateur ce matin. J'ai assisté à la rencontre dans les gradins, je suis trés fier de mon pére. C'est une équipe de sportifs du dimanche, des quarantenaires qui essayent de garder la forme, certains sont ventripotents et un peu mous mais la plupart sont très mâles et très sexy. Le plus sexy de tous c'est Papa évidemment ! Dans l'équipe, il y a aussi monsieur Lebel un prof de chimie du lycée c'est marrant de le voir en dehors du cadre scolaire, il parait que c'est un ancien militaire, alors je suis trés fier parce que mon pére est plus fort que lui ! Ils se ressemblent tous les deux, mon pére est châtain clair avec les cheveux court, Lebel est blond avec les cheveux en brosse, ils ont tous les deux la même carrure d'armoire à glace mais le visage de mon pére est plus rond et plus harmonieux ; parfois je l'appelle mon "papa ours" ! D'ailleurs la barbe blonde qui recouvre les joues de mon pére lui donne à la fois l'air plus viril et plus doux que M. Lebel qui me fait penser à un aigle sévère, et puis je crois que mon pére a un corps plus poilu. J'adore m'endormir chaque soir sur ses pectoraux recouverts de fourrure blonde ! Mon moment préféré du match c'était bien sur lorsque tous ces sportifs ont pris leur douche collective, mes yeux se sont régalés !! Quelqu'un a dit que je ressemblais à un chien devant son os tellement je bavais, un éclat de rire et on passait à une autre blague, l'ambiance des vestiaires me plait vraiment !

Le soir venu Papa m'a fait grimper en voiture et m'as amené au bord du lac pour se balader, dés que je suis sorti de l'auto, il a attaché une laisse à mon collier. J'étais quasi-nu et les quelques types qu'on a croisé lors de la balade ont eu l'air d'apprécier ! J'étais très excité et Papa n'a pas hésité à m'enculer sur le gazon fraichement coupé, se servant de la laisse pour accentuer ses coups de reins. Un vigile qui faisait sa ronde autour du parc m'a proposé sa queue à téter, et ensuite Papa lui a offert mon cul. Sa bite était bien large, je me suis joui dessus assez vite !

 

19/01 Mercredi

 

Pour mon anniversaire, j'ai demandé à Papa si je pouvais lui lécher le trou du cul. On s'est bien installé sur le lit et il s'est assis sur ma bouche. Mon nez et ma langue étaient saturés de son odeur. J'ai du le lécher pendant une bonne demi-heure pendant qu'il se relaxait complètement. Ensuite il m'a défoncé en me demandant si je fantasmais sur d'autres hommes, je lui ai parlé du prof de sport monsieur Tiriac et du prof d'histoire-géo monsieur Duval. Papa était trés éxcité. Il a dit qu'il essayerait de réaliser les fantasmes de sa petite chienne préférée. On a passé une excellente journée et je me suis endormi heureux dans ses bras alors que son sexe était encore en moi.

21/01 Vendredi

 

Aujourd'hui je me suis fait réveillé par mon père : il m'a retourné sur le ventre pour pouvoir m'enculer, c'est ça qui m'a réveillé ! Sans ménagement il s'est enfoncé en moi au plus profond, il voulait juste soulager sa trique matinale et s'est la meilleure façon que je connaisse pour me réveiller heureux ! Après s'être servi de moi comme vide couille il a empalé ma bouche sur son sexe semi flasque et s'est mis a pisser. J'ai tout avalé c'était merveilleux. Il a continué à me traiter comme un chien jusqu'à ce que je parte au lycée. Le soir Pendant que je mange dans ma gamelle Démon a pris l'habitude de me lécher le cul pour récolter le sperme de Papa, il aime ça autant que moi !

* * *

 

Maintenant que tu as lu ce que j'ai lu ce soir là tu comprends mon trouble, et si je t’envoie cette lettre confidentielle c'est pour demander conseil à mon ami de longue date, à l'agent de police et au père de famille que tu es. Je ne saurais dire si ce que mon élève a couché sur le papier est la réalité ou juste des fantasmes d'adolescents. Et même si c'est réel il semble prendre un plaisir inouïe dans cette relation malsaine et interdite. Depuis cette découverte je suis comme assommé, abasourdi, j'en ai du mal à dormir la nuit et à rester concentrer le jour.

J'attends avec impatience les conseils que tu saura sans nul doute me prodiguer.

Ton vieil ami, Jean-Michel Duval.

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Vendredi 13 juillet 5 13 /07 /Juil 17:30

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Je vais vous raconter ce qui m’est arrivé durant mes études hôtelières où les stages pendant les grandes vacances étaient obligatoires. Je n’aurais jamais pensé prendre autant mon pied dans cet hôtel en banlieue de Strasbourg…

Jérémy, un bogosse de 17 ans, cuisinier stagiaire, me faisait grave bander avec sa gueule de petite frappe. Nous partagions tout les deux la même chambre réservée aux stagiaires où je pouvais profiter de la vue de son corps et surtout de ses odeurs de jeune mec un peu négligé. Nous nous entendions bien et rapidement, pour l’arranger, je lui ai proposé de laver son linge avec le mien, pour lui éviter de descendre à la blanchisserie… J’en profitais en fait pour sniffer ses chaussettes humides de sueur après une bonne journée de travail et surtout ses boxers imprégnés de sa bonne odeur de queue en me paluchant comme un malade. Mais ce qui devait arriver arriva, un jour il a fini le service en avance et m’a choppé dans la chambre, allongé sur mon lit, la bite à la main, un de ses slips dans la gueule…

— Enfin sur le fait ! J’étais sur que tu faisais autre chose que m’les laver mes fringues, j’men doutais tu sais. C’est vraiment dégueu putain ! Ça te plait çà ?

J’étais mort de honte, incapable de prononcer un mot, et je pensais tout de suite aux répercutions de mes actes, la tête de la directrice s'il allait se plaindre, la fin de mon stage…

— Ben continue, branle-toi là, fais voir c’que tu fais avec un slip sale !

Il s’assoit sur le bord du lit et me regarde avec un air pervers. Je branle timidement ma teub à moitié débandée sans trop oser continuer à bouffer son sous-vêtement.

— T’y mets pas de cœur là, applique-toi et nettoie-le partout...

Je m’applique à saliver là où sa teub était, en reniflant bien le tissu, mais ça ne semble pas le satisfaire et il m’arrache son boxer des mains.

— Putain ! J’savais pas qu’y avait des pédales aussi crades, ramène ta gueule à mes pieds !

Je descends au bord du lit, et je me retrouve à terre, le nez à quelques centimètres de ses pompes, qui au passage sont déjà bien odorantes. Sûr que ce salopard ne change pas de chaussettes en sortant de cuisine. Je garde les yeux baissés vers le sol en attendant la suite.

J’entends un fort raclement de gorge, et splatch !!! un gros gaviot s’écrase par terre entre ses pieds. Jérémy ne dit rien, il attend apparemment.

Je finis par me rapprocher de ce mollard qui tient plus de la grosse morve que du crachat. J’ai terriblement honte à l'idée de que je vais faire mais je continue à descendre et je tends les lèvres pour l’avaler. Aussitôt, il m’écarte énergiquement le visage :

— Tu lèches mais t’avales pas... Je veux te voir bouffer ma morve, bâtard !

Je mets ma gueule sur le côté et je lape. Putain y’a des morceaux gluants, et j'peux voir que ce porc vérifie bien que je les avale ! C’est la première fois que je fais çà et je bande au point d’en mouiller. Pendant que je lèche son gaviot, il me salive sur la gueule, ça me coule doucement sur le nez. Puis un autre sur la joue. Je me sens vraiment rabaissé, je me sens mal mais j'suis trop excité par la situation.

— Tu te dessapes maintenant, j'vois pas de quel droit tu serais habillé, y’a qu’un clebs pour faire çà ! A poil salope !

Je me débarrasse de mes vêtements qui vont valser à l’autre bout de la pièce. A peine ai-je terminé d’enlever ma dernière chaussette qu'il me plaque la gueule entre ses skets, le nez en avant, me tartinant les restes de son mollard dans le pif.

— J’ai une idée ! Puisque t’aimes sentir mes slips tu vas sûrement être heureux...

Jérémy va attraper une barre chocolatée qu’il commence à bouffer et dans un même temps prend une bouteille d’Evian à moitié pleine à côté de son lit. C’est la bouteille qui lui sert de pissotière quand il a la flemme de se lever pisser la nuit... Le liquide y est jaune foncé, trouble…

— Rien que pour toi, de la bonne pisse du matin, t’aimes çà non ? Y’a de l’odeur, çà doit te plaire !

Il me donne la bouteille, le salopard : un demi-litre de pisse froide ! J’ouvre et déjà c’est gerbant. Sans doute parce que je n’allais pas assez vite, il décide de "m’aider". Il prend la bouteille, coince ma tête entre ses genoux et commence à me faire boire, ses yeux bruns plantés dans les miens. Le goût est infect, si bien qu’à la troisième gorgée je suis pris d’une envie de vomir. Et je crache sa vieille pisse sur son futal.

— Putain ! Tu vas la boire c'te bouteille j'te dis !

Il retire ses skets et me colle le pif dans l'une d'elles. Ca schlingue le calendos à mort, c’est clair qu’il a fait exprès de bien transpirer dedans. Ses pieds ont dû macérer des heures pour que ça daube autant. Pendant ce temps, il vide le reste de la bouteille dans l’autre sket, et en me relevant la tête, me la colle sous le nez.

— Maintenant tu vas tout boire sinon tu vas beaucoup moins aimer ce que je vais te faire bouffer !

J’avale ce mélange gorgée après gorgée, putain que c’est crade !!! Mais j’aime le goût de ce mec, ses odeurs intimes, sa pisse... Ce petit jeu commence même à m’exciter à mort. Il pose la sket à terre et m’ordonne de continuer à lécher l’intérieur pour bien la nettoyer… Comme si c’était possible. Je m’applique, même si mon estomac n’est pas d’accord tellement ça pue. A chaque coup de langue, j’ai ce goût âcre et salé dans la bouche. Malgré la pisse, le parfum de ses pieds est toujours plus fort.

— Pour une fois qu’on se plaint pas que je pue des panards ! Maintenant tu vas bouffer mon calbut. Je garde toujours le même pour dormir, ça devrait être à ton goût !

Il descend son pantalon et je découvre son boxer noir tapissé d’auréoles blanchâtres, témoins de ses branlettes nocturnes. Les effluves de sa transpiration me rendent fou. Il l’a porté pendant plusieurs jours c’est sûr, je connais bien ce genre de tâches pour en avoir cradé moi-même... Je m’approche instinctivement et j’me colle dessus pour profiter de cette senteur de mec, de vrai gars pas lavé du gland, de son sperme et de sa pisse séchés. Putain, j’m'en fous plein les narines !!!

— T’es vraiment un bâtard, tu prends ton pied quand ça pue toi !

Avec ses deux mains, il me plaque contre son caleçon humide. Je me contente de couiner pour approuver et je me mets à lécher le tissu salé. L’odeur de son entrejambe est forte, je m’en imprègne autant que je peux. Sa main me caresse le cul, il me câline même la rondelle. Ce mec me rend dingue. Il continue à me branler le trou et essaie d’enfoncer son doigt. Je ne me fais pas prendre mais ce qu’il fait est trop bon, surtout avec un bon calbut à lécher… Je salive à donf pour le mouiller et avaler le jus de son entrecuisse. Son doigt rentre et sort de mon cul, il le retire et me le colle direct sous le pif. J’essaye de me retirer mais il me serre.

— Allez ouvre ! T’as qu’à être propre tu nettoies...

J’ai pas le temps de m’expliquer, il me l’enfourne direct dans la gueule. Ce pervers me regarde bien droit dans les yeux pour apprécier la réaction. C’est pas mon truc et ça se voit mais il s’en tape.

— T’es un bon chien, t’as bien mérité une boisson chaude !

Il fait glisser sa bite épaisse sous l’élastique détendu du boxer, et pose son gland recouvert d’un long prépuce sur ma langue. Rapidement, un jet fin coule et j’avale comme je peux cette pisse fortement salée et nauséabonde, mais c’est quand même meilleur directement à la source. Le jet s’accélère et je ne peux plus suivre. Sa pisse coule sur moi puis sur le sol.

— T'en fous partout, regarde par terre putain ! Nettoie bâtard !

Je m’exécute et essaye de laper comme un clebs le sol pisseux. Il ne manque pas d’appuyer ma gueule contre le carrelage et me trempe le visage de son urine.

— Tu finiras après. Tu fais que sucer des slips sales ou t’aimes aussi les bites crades ?

Ce qui ressemblait à une question n’en est pas une, il me remonte et direct il me présente sa queue sous le nez et commence à tirer sur son prépuce. C’est humide, je lèche sans réfléchir, mais déjà l’odeur me prend à la gorge, genre fruits de mers avariés. Il la décalotte complètement : une odeur de bite vraiment dégueulasse ! La base du gland est recouverte d’un genre de crème blanchâtre luisante de mouille. Il s’est pas lavé la teub depuis un bail, c’est clair ! Puis il essuie sa teub consciencieusement autour de ma bouche, comme pour voir si j’allais finir par craquer. D’instinct je lèche, et récupère un peu à chaque fois de son fromage de bite pour l’avaler. Il apprécie le salaud et me pine doucement le bord des lèvres, je peux me régaler de son odeur de bite de keum crade. Il finit par y aller franco et me pilonne la gueule comme une chatte.

Je peux sentir ses couilles chaudes et velues taper contre mon menton. Je salive comme un taré, sa bite est trop bonne, et l’odeur de ses poils pubiens un régal quand j’ai sa bonne queue au fond de la gorge ! Ses doigts récupèrent ma salive pour me la faire ravaler avec sa bite. Rapidement, il lâche de bons jets de foutre en grognant. J’avale de suite son jus salé. Puis il s’égoutte le gland sur ma gueule. Putain je pue méchamment ! Mais apparemment il aime bien çà aussi ce Jérémy...

— T’es vraiment taré pour aimer çà, et si tu veux pas que ça se sache à partir de maintenant tu me boufferas la queue dès que j’en aurais envie !

Et moi j’étais heureux d’avoir encore une semaine de stage à passer avec lui !

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Vendredi 13 juillet 5 13 /07 /Juil 14:28

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J'allais sur mes 17 ans lorsque je me suis fait dépuceler. Je connaissais déjà la masturbation, je spermais depuis maintenant quelques mois, mais je n'avais encore jamais eu l'occasion de faire autre chose, ni avec des filles, ni avec des garçons. Et tout cela s'est passé au moment le plus impromptu.

Je me baladais en pleine journée dans un centre commercial, une galerie marchande plutôt, et puis j'ai eu envie de pisser. Je n'aimais pas trop pisser dans les toilettes publiques, mais j'avais vraiment envie, et je me suis résolu à aller dans un de ces machins insalubres. J'y vais donc, et positionne devant un de ces urinoirs (j'aurais pu aller dans un box, mais j'étais fier de montrer à tout le monde que j'étais suffisamment grand pour pisser dans un urinoir). Il y avait quatre urinoirs, trois étaient occupés, et le reste de la pièce était vide. Les mecs qui occupaient les urinoirs avaient l'air de me regarder bizarrement, mais bon, j'avais tellement envie d'uriner que je ne me préoccupais pas des détails. Je baissai donc ma braguette devant le seul urinoir inoccupé, et sortai ma bite, puis pissai.

Pendant ce temps, les trois autres types se rhabillèrent, l'un d'entre eux se plaça devant la porte des toilettes, et le mec qui était à côté de moi vint se positionner derrière moi, faisant opposition à mon passage. Il dit au mec devant la porte:

— T'as le pass?

— Oui, je l'ai.

— Alors verrouille, il a l'air bien ce blondinet!

J'étais pris au piège. Le type derrière moi me retourna et me dit:

— Si tu ne gueules pas, tout ira bien pour toi. On t'aime bien, c'est tout, faut dire que les blonds aux yeux bleus, c'est notre truc, hein les mecs?

Les autres firent oui de la tête. C'est alors que tout commença.

Le mec qui était derrière moi (Patrick, ses deux amis étaient Antoine et Mathieu) commença à me palper les fesses et semblait intéressé par mon cul. Il commença par enlever ma chemise, puis mon baggy et mes chaussettes. J'étais en caleçon, et Patrick s'arrêta de me dévêtir pour me mater un peu. Il signala à ses potes que j'étais super bandant et qu'il allait enfin pouvoir s'amuser. De mon côté, je commençais à avoir très peur.

Il m'arracha mon boxer assez sauvagement, je dois dire, me caressa les cheveux puis me mit à genoux et m'ordonna:

— Suce-moi la queue, petit, on va bien voir ce que tu vaux.

Je ne voulais pas désobéir, j'avais peur. Je fis alors ce qu'il demandait. Je déboutonnai la braguette de son jeans, le baissai, puis baissai son boxer, dévoilant une queue à moitié bandée, qui me semblait énorme à l'époque. Je la pris en main et la branlai un peu, ce qui fit soupirer Patrick. Lorsqu'elle fut assez dure, je me mis à lui donner quelques coups de langue hésitants. Patrick commençait à s'énerver un peu, que je ne le pompe pas. Il me prit alors la tête, et m'enfonça son sexe au plus profond de ma gorge. Je faillis vomir, et je commençai à sucer avec dégoût la queue de Patrick. Après des minutes de pompage, je me rendis toutefois compte que c'était quelque chose que j'appréciais beaucoup, j'aimais sucer cette queue. Au moment où je réalisai cela, Patrick me demanda si j'avalais, et dit que de toute façon j'avais intérêt, parce que j'allais le faire. Il s'agita alors et je vis ses grosses couilles se contracter, avant de recevoir dans la bouche quatre bonnes giclées de liquide chaud, que je goûtai pour la première fois avec un plaisir incroyable. Patrick se retira et m'étala le sperme qui coulait encore de son gland sur le visage. Puis Patrick prit son portable et passa un coup de fil: "C'est bon, tu peux venir!"

Je me relevai, croyant que c'était fini, et leur dit que j'avais vraiment aimé ma première pipe. Je leur ai alors demandé mes fringues, pendant que j'allais me débarbouiller le visage à l'eau tiède. Je me penchai alors, et fis couler de l'eau, commençant à me débarbouiller un peu, lorsque je sentis qu'une main m'écartais les fesses, et qu'un doigt s'enfonçait dans mon anus. C'était celui de Mathieu. Patrick dit alors: "Tu crois qu'on va te laisser partir comme ça?"

Mathieu demanda alors comment il devait m'enculer, et ajouta que j'étais étroit. Les deux autres dirent: "À sec!" Je ne savais pas ce que cela voulait dire, mais je l'ai vite appris. Mathieu me demanda de me cramponner à l'évier, et me mit la main devant la bouche, pour étouffer les cris que j'allais faire. Antoine lui baissa alors son froc. La bite de Mathieu était de la même longueur que celle de Patrick, mais beaucoup plus large. Il se lubrifia un peu à la salive puis présenta son dard devant l'entrée de mon anus. Je serrai les dents.

Mathieu s'enfonça à sec et d'un trait en moi, jusqu'au couilles. J'eus si mal que je crus qu'il m'avait perforé. Mais là encore, après quelques va-et-vient, la douleur s'en alla et je pris mon pied, mon sexe gonflant démesurément entre mes jambes pendant que Mathieu me pilonait le cul. Il accéléra un peu ma cadence et ce fut trop: je me mis à me branler pendant qu'il me sodomisait violemment, je jouissais du cul, je voulais jouir de la queue. Il gémit alors, et se mit à me défoncer littéralement le fion. En même temps, ma queue hoqueta. Il s'enfonça une dernière fois en moi en me tirant les cheveux, et resta au fond de mon anus. Je le sentis alors déverser sa semence dans mes intestins, ce qui provoqua ma jouissance et me fit éjaculer aussitôt.

Mathieu se retira et me fit lécher son gland maculé en me répétant que j'étais un putain de bon coup. Patrick me mit alors à genoux et me dit qu'il avait une surprise pour moi et que je devais ouvrir la bouche et fermer les yeux. Je le fis bien sûr immédiatement, me répétant "Chouette, une autre bite à sucer!" Effectivement, un gland se posa sur ma langue, et je me mis à le lécher. Patrick dit alors: "Putain, ca vient!" J'étais étonné et déçu que ça finisse si vite, mais j'eus le réflexe de bouffer la queue de Patrick, pour avaler tout le précieux liquide. Et du liquide j'en ai eu, puisque Patrick ne m'éjacula pas dans la bouche, mais me pissa dedans. La force du jet m'étonna et me fit tousser, j'ai donc dû lacher la queue de Patrick et me faire asperger de pisse. C'était humiliant, mais assez marrant, comme truc, j'ai trouvé. Patrick se marra: "Je t'ai bien eu, hein, mon petit cochon!"

On frappa alors à la porte, cinq fois. Antoine demanda: "Al?" La voix derrière la porte répondit affirmativement, et Antoine le laissa entrer, refermant la porte derrière lui. Al était un grand balèze black qui me faisait un peu peur, j'admets. Il dit:

— Ça doit être lui. Putain, il vachement mignon, vous avez des goûts sûrs, le mecs. Il suce?

— Oui, répondit fièrement Patrick, il avale aussi, et se fait enculer.

Al, qui semblait enchanté, s'approcha de moi, et sans plus attendre, se mit à poil, dévoilant le plus gros sexe que j'aie jamais vu, même à ce jour. Il mesurait peut-être 23cm et était vraiment super gros. Ça m'excitait pas mal, cette queue monstrueuse, et Al ne m'avait même pas demandé de le sucer que je lui pompais déjà le noeud, ce qu'il apprécia énormément.

Lorsqu'il fut très raide, il me retourna, me mit en levrette, et poussa doucement son braquemart dans mon anus. C'était extrêmement douloureux, mais en même temps si jouissif que je ne criais même pas. Antoine vint se positionner devant ma bouche et me fit avaler son sexe, tout petit par rapport à celui du gros Al. Je voyais aussi Patrick et Mathieu en train de se crosser en nous matant. Lorsque Al fut enfoncé en moi jusqu'à la garde, il fit quelques va-et-vient, puis décula, laissa mon trou dilaté totalement vide. Il revint devant moi, et me fit signe de lécher son sexe et celui d'Antoine en même temps. La queue d'Antoine se mit à hoqueter en premier, et il cracha trois longs jets de semence dans ma bouche et sur mon visage. Patrick remplaça Antoine devant ma bouche, et je le léchai en même temps qu'Al. Patrick cracha vite son sperme, qui coulait sur mes lèvres et mon menton. Puis il laissa la place à Mathieu, qui après quelques minutes, cèda et cracha deux jets de foutre sur mon front et mon nez.

Il restait Al, qui n'avait pas encore craché la purée. J'avais beau le pomper pendant de longues minutes, lui lécher les burnes, l'avaler profondément, rien ne venait. Finalement, ses couilles se contractèrent, il plongea sa queue dans ma bouche et éjacula six longs traits de nectar dans mon gosier. J'étais aux anges.

J'étais recouvert de sperme et de pisse, et ça ne s'arrangeait pas puisque Mathieu, Antoine et Al me pissaient dessus à l'instant. Je me relevai et allai me dégourdir un peu les jambes. Al me pelotta alors, et je saisis sa verge, qui redevint dure lorsque je me mis à la branler. Je lui dis alors crûment: "J'ai envie de toi dans mon cul."

Sans attendre plus longtemps, le black me positionna à quatre pattes et se positionna au dessus de moi. Il s'enfonça cette fois d'un trait, mais j'acceptais maintenant bien sa queue. Je me branlais pendant qu'il m'enculait, et Antoine demanda à Al de me prendre en levrette, pour qu'il puisse me sucer, ce qu'il fit. C'était si bon que j'éjaculai presqu'immédiatement. Al, lui, m'encula pendant encore 20 bonnes minutes avant de tout me cracher dans les intestins. Je sentais sa purée s'éclater contre la paroi de mon intestin, et je jouis à nouveau.

Cette fois, je me relevai et j'allai me débarbouiller pour de bon. Les quatre bonhommes m'aidèrent à me nettoyer et me complimentèrent sur ma façon de baiser. Ils furent tous très étonnés d'apprendre qu'ils m'avaient dépucelé tant ils m'avaient trouvé expérimenté. Ils m'ont proposé de revenir n'importe quand pourvu que ce fût le weekend, qu'ils seraient toujours là.

Et je peux vous dire que je ne me suis pas fait prié et que depuis ce dépucelage particulier, je passe mes weekends au centre commercial!

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Vendredi 13 juillet 5 13 /07 /Juil 00:11

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Je suis une vraie petite salope! Jai des pulsions qui m'entraînent à rechercher l'aventure sexuelle... au risque de me faire plomber! (Cher lecteur, ne fais jamais cela!)

Ce soir, il fait chaud, la lune est à son premier quartier et la nuit est à peine éclairée. J'ai envie de sortir... Rémi me sodomise et me laisse une bonne dose de foutre dans le cul avant d'aller faire dodo chez papa et maman.

Je ne porte qu'un short très court et un tee-shirt. Je sens le lubrifiant (ce doit être son rôle) dans mes boyaux et j'espère bien qu'il servira!

Je prends le chemin qui longe le lac en direction de l'embarcadère. C'est là que j'espère rencontrer quelqu'un. Ce ne serait d'ailleurs pas la première fois!

Mes souhaits sont vite exaucés. Une lampe torche m'éblouit, je ne vois pas celui qui la tient.

— Alors, on se promène?

— Oui! La nuit est belle!

— Ta petite gueule est belle aussi!

—... Trop belle même!

C'est une autre voix qui vient d'ajouter cette remarque qui me fait frémir...

— Pourquoi trop belle?

— Parce que tu as du succès auprès des beaux garçons!

— Vous me connaissez?

— On t'a observé depuis quelques jours et on est ravis de te rencontrer ce soir.

Une troisième voix ajoute:

— Tu n'as jamais fait attention à nous, petit enculé! On n'est pas assez beaux pour toi!

Je n'ose plus rien dire, je me sens pris dans un guet-apens.

— Nous n'avons pas de charme, mais tu vas connaître nos queues. Elles sont énormes et tu vas frétiller du cul.

— Mais...

— Y a pas de mais qui tienne, tu vas nous obéir et tu peux gueuler autant que tu voudras, il n'y a personne aux alentours.

Cette fois, je suis bien coincé! Je ne peux pas reculer, ils sont trois et ce sont des costauds. Je l'ai voulu, je n'ai plus qu'à la fermer.

— Fous-toi à poil! Et vite!

Je m'exécute, le faisceau de la lampe parcourt mon corps...

— C’est un sacré beau p’tit bout ce môme!

— Il va payer pour sa beauté!

Je vais "payer"... Ils ne vont donc pas se contenter de m'enculer. J'en ai déjà vu des vertes et des pas mûres mais là, la peur m'envahit! Je ne peux attendre aucun secours, je suis livré à la lubricité de ces trois gars qui paraissent déterminés. L'un d'eux sort sa bite déjà très raide.

— Suce! Et que je ne sente pas tes dents!

Je me mets docilement à genoux pour enfourner ce gros calibre. J'espère ainsi calmer leur agressivité. Un autre m'enfonce un doigt dans le cul. Il sent la présence de foutre.

— Putain! Il est déjà mouillé cet enculé!

Il renifle son doigt.

— Et c'est du foutre! Voilà qui va nous encourager!

Le troisième me passe un nœud coulant au niveau des couilles et de la racine de la bite. Il serre très fort et tire sur la corde pour vérifier la solidité de l'attache.

— Aie! Tu vas tout m’arracher.

— Tant pis pour toi. T’as qu’à subir!

Je ne peux m'empêcher de hurler tant cela me presse les couilles.

— Tu peux gueuler! T'as pas fini de souffrir!

— Enlève tes godasses et suis-nous!

J'ai du mal à marcher à leur rythme, car je suis pieds nus et ils tirent trop sur la corde. Ils s’amusent à me faire traverser des massifs d’orties, celles-ci sont tellement hautes qu’elles me brûlent les couilles. Heureusement, ces piqûres ont toujours eu l’avantage de me faire triquer…

— Regardez! Ça lui plaît!

Ils me conduisent alors dans la vase. Ils tirent si fort que je m’étale de tout mon long dans la boue.

— Te voilà encore plus attirant comme ça!

Où veulent-ils m'emmener? J'ai laissé mes habits près du lieu de rencontre. Je suis entièrement à leur merci... et je bande! On s’arrête:

— À quatre pattes, comme un chien!

Je m'exécute et mon cul est subitement et violemment pénétré par un morceau très dur et très gros.

— Nonnnnnn! J'ai mal!

— Ce n'est rien par rapport à ce qui t'attend.

Il jouit en hurlant et laisse la place à une seconde bite qui ne tarde pas non plus à décharger. Le troisième me bourre le cul avec une ardeur peu commune.

— Tiens, prends ça salope!

J'en ai effectivement plein le cul et ça coule un peu.

— Viens- là!

Il éclaire un petit monticule de terre sur lequel je dois me coucher jambes en l’air et bien écartées. Je présente ainsi mon trou vite envahi par une main forçant l'introduction. C'est très douloureux, mais j'ai l'anus bien lubrifié par quatre doses de sperme et j'ai déjà une certaine expérience du fist. L'ennui, c'est que la main se transforme trop vite en poing qui plonge dans mes boyaux. Le fisteur me soulève le bassin. Cela devient très dur à supporter! Lorsqu'il se retire, c'est avec le poing fermé! Je n'en peux plus!

Le second fisteur se prend pour un boxeur: des coups de poing qui finissent par avoir raison de mon anus...

Je ne sais pas ce qu'a fait le troisième, car je me suis évanoui. Je me réveille sous un jet de liquide chaud. Ils me pissent sur la gueule.

— Ah! le revoilà! Bien dormi?

— Tu n'as pas profité de l'apothéose, si tu l'avais vu te soulever par le cul, presqu'à la verticale!

J'ai trop mal au cul. Ils m'ont certainement déchiré le sphincter. Je respire difficilement, car mon nez et ma bouche sont noyés par leur urine abondante. Je paye cher mon "insolente beauté"!

— On n'a pas fini, beau gosse!

Ils me portent jusqu'à un arbre couché, la tête en bas et les fesses en appui contre le tronc.

— Ah la jolie chiotte!

Je leur présente mon cul largement ouvert. Ma position est étudiée pour qu'ils puissent s'asseoir sur mon fessier. L’un après l'autre, ils chient dedans!

— Ouais! Que c'est bon!

Je sens leur merde dure et puante entrer sans trop de mal dans mes boyaux non habitués à contenir les déjections des autres, mais largement accessibles!

Le troisième a une grosse envie de chier, mais, même en tassant la merde déjà entrée, il n’a plus de place pour y pousser son étron!

— Ouvrez-lui la gueule! Voilà un trou qui m’intéresse.

Ils me maintiennent avec force les mâchoires ouvertes et c’est à la lumière de la torche que le chieur se lâche avec précision entre mes dents. C’est dégueulasse d’autant qu’ils m’obligent à mâcher le cadeau malodorant!

— T’aimes ça, petit dégueulasse? Avale!

Je ne peux pas parler, la bouche pleine. Je n’émets qu’un sourd grognement pour manifester mon dégoût.

— Ouf! Putain, ça fait du bien!

— Branlons-nous sur ce tas de merde et laissons-le!

Leur foutre chaud finit par gicler sur mon corps abandonné.

Ils disparaissent alors que la colère me prend et que je me jure de les retrouver et de leur faire payer ce qu'ils m'ont fait. Je pense à tous mes copains, Gérard, Julien et bien d'autres. Cette idée de vengeance me donne le courage de me lever et de prendre, difficilement, jambes écartées, le chemin du retour. Je ne peux pas retenir leur merde ni n'ai la puissance de l'expulser. Les excréments descendent lentement le long de mes cuisses. Je pue…

Un bain progressif dans le lac me permet de laver partiellement mes souillures. Je retrouve mes vêtements et mes chaussures, mais je n'ai pas la force de les enfiler. C'est tout nu que je regagne avec peine ma maison, ma douche et mon lit. J’ai du mal à m’endormir tant la douleur persiste et tant ma pensée est occupée par ce qui m’est arrivé!

Ce n'est que le lendemain que j'ai constaté l'étendue des dégâts:

— Ma bite et mes couilles violettes d'avoir été meurtries par la corde.

— Mon anus déchiré, du sang a coulé sur mes cuisses!

— Mes gencives et ma langue enflées par les souillures subies.

— Mon ventre, mes cuisses et mes hanches griffés.

Je fais appel à Gégé qui connaît un médecin qui va me réparer tout ça.

Et je jure de ne plus aller provoquer, seul, les sadiques du lac… Que je retrouverai… dans d’autres conditions où je serai en position de force.

 

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Jeudi 12 juillet 4 12 /07 /Juil 11:14

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Quand ce veuf, nouveau riche a engagé la nouvelle servante il a autorisé celle-ci à emménager avec son fils. Denis avait alors 15 ans et le maître de maison avait estimé qu’il pourrait être un compagnon d’étude et de jeu pour son fils qui venait lui d’avoir 16 ans. Le maître de maison n’appréciait pas trop les attitudes ‘nouveau riche’ de son fils et espérait secrètement que les origines modestes de Denis aurait un effet bénéfique sur son fils car même la sévérité avec laquelle il avait élevé Axel n’avait rien changé à sa mentalité de fils de riche.

Par contre, aux yeux de sa mère, la servante, Denis, son fils, avait beaucoup de chance ; ne vivrait-il pas dans une belle maison et dans une belle chambre car, monsieur Antoine avait décidé au grand dam de son fils, que Denis partagerait ses appartements comme il avait l’habitude de nommer les deux chambres et la salle de bain réservés pour son fils.

Axel ne discuta pas longtemps la décision de son père ; ce qui en fait était de très mauvaise augure……

Monsieur Antoine donna les instructions pour faire ajouter un lit dans la chambre d’Axel et Denis muni de son petit sac à dos et de sa petite valise – ses seuls bagages – prenait possession de sa nouvelle vie.

Dans les ‘appartements’, une pièce servait de chambre et l’autre pièce servait de salle d’étude, de salle de jeu mais aussi de salle à manger car, monsieur Antoine a toujours eu horreur d’avoir des enfants ou des ados à sa table.

— Mon cher Denis, ta présence m’irrite vraiment ; je ne comprends pas que mon père soit d’accord que tu fasses partie de ma vie, dit Axel. Pour moi, tu es un être inférieur et j’exige que dès le début de notre courte vie ensemble, tu m’appelles Maître et malgré les souhaits de monsieur mon père tu ne seras jamais mon égal, ni mon compagnon de jeu et surtout pas mon ami !

— Axel, ceci est totalement en contradiction avec les vœux de ton père.

Et Denis de se coucher sur son lit, les mains derrière la tête.

— Monsieur votre père me considère presque comme votre frère et…… .

Mais Denis n’a pas le temps de continuer qu’Axel qui est nettement plus costaud et sportif le vire du lit et il se retrouve au sol, le matelas sur lui. Axel, s’assoit dessus et dit :

— Tu n’as pas l’air de vouloir comprendre, mon grand nigaud.

Après une bonne dizaine de minutes, Axel se lève et lance

— tu as franchement intérêt à m’écouter en quittant la chambre.

Denis se contente de hausse les épaules, remet le matelas en place et se recouche sur son lit.

Quand Axel revient 15 minutes plus tard il a le sourire et pas 3 minutes après, on frappe à la porte ; c’est la servante….la mère de Denis.

— Excusez-moi monsieur Axel, pourrais-je parler à Denis en privé s’il vous plaît.

Il fait signe de la tête et Denis sort en compagnie de sa mère.

La mère et le fils s’éloigne un peu de la chambre et la mère sermonne son fiston.

— Denis, mon garçon, on est à peine une demi journée ici et je dois déjà entendre des remarques. Tu sais qu’il n’est pas facile de trouver un boulot de servante avec un fils à charge et ici, toi, tu as la chance de pouvoir vivre avec le fils du patron. C’est une occasion unique car monsieur Antoine t’a déjà inscrit au collège que son fils fréquente pour la rentrée de septembre. Tu as une chance unique ici. Te souviens-tu encore comment nous vivions précédemment ? As-tu envie que je perde ma place à cause de toi ? Non n’est-ce pas ! Alors je ne veux plus que tu fasses le difficile…

Denis semble étonné.

— Et que me reproche-t-il ce petit crétin ?

La mère gifle son fils en ajoutant :

— D’abord tu ne traites pas le fils de mon patron de cette façon. Ensuite, j’apprends que tu fais la fine bouche quant au choix de ton lit par exemple…

— Mais c’est un mensonge !

Et Denis d’encaisser une nouvelle gifle et sa mère ajoute :

— Je m’en moque et je t’ordonne de faire ce qu’on te demande, un point c’est tout. Tu as compris ?

— Oui, maman.

— D’autre part, ajoute-t-elle, avec mon accord bien sûr, monsieur Antoine te prendra en charge comme son propre fils en ce qui concerne la discipline et tes résultats scolaires et je te serai gré de suivre à la lettre le règlement intérieur que monsieur Antoine ou monsieur Axel te remettra.

Denis ne sait pas de quoi sa mère parle et sans rechigner, il regagne la chambre. Entretemps, Axel a vidé son sac et sa valise. Ses frusques traînent par terre et Axel, qui s’est emparé de son journal intime, commence à lire un extrait à haute voix.

Lundi 23 janvier 1988; j’ai douze ans aujourd’hui et je commence mon journal intime. Madame Ogez, la patronne de ma mère, m’a permis de manger avec le personnel et j’ai reçu une montre. Quand j’étais au lit vers 20 heures, j’ai joué avec mon zizi et à ma grande surprise, celui-ci est devenu dur et après pas mal de temps j’ai senti comme si mon estomac qui se tournait en moi et un liquide blanc est sorti de ma verge. J’avais chaud aux joues mais je me sentais très bien, heureux en fait.

— Ca c’est ta première branlette mon petit Denis !

31 mars 1989. Aujourd’hui, ma mère étant de service jusqu’à minuit, je suis resté tout l’après-midi habillé en servante. Je porte la robe de service de ma mère orné du petit tablier blanc. En-dessous de la robe, je suis à poil et je n’ai pas pu m’empêcher de me branler dans cette tenue et en pensant à René.

— Mais en plus il est pédé ! Je vais sûrement bien m’amuser avec toi, ma petite Denise, crie Axel.

1 juillet 1991. Ma mère a trouvé une nouvelle place. Je dois encore la suivre. J’en ai marre. Il paraît que son patron a des enfants. Ca ne peut pas être pire que ces 6 dernières années où je me suis retrouvé toujours entouré de vieilles tartes.

— Ici, ma petite Denise, pas de vieilles dames mais cela sera peut être pire tu sais.

Denis est furieux, il a envie de casser la gueule d’Axel mais il a promis à sa mère d’écraser et de subir. Aussi quand Axel referme son journal intime et qu’il prend la parole, Denis se tait et écoute :

— Je suppose que ta mère, ma servante, t’a parlé ?

— Oui.

— Je suppose que tu vas être raisonnable maintenant ?

Mais Denis ne répond pas ; il se contente de baisser la tête.

— Donc, à partir de maintenant, tu es ma servante personnelle. Ma petite Denise va s’occuper de tout pour moi, va faire tout ce que je demande : tu feras mon lit, tu mettras mon linge en place, tu m’apporteras boissons et nourriture. N’est-ce pas mon petit Denis ? Et bien plus encore, car comme un esclave, tu me serviras de souffre-douleur et de vide-couille ; et cela tu apprécieras mon petit Denis ; toi qui aime les garçons ! Et, quand tu ne seras pas assez obéissant à mon goût, j’irai voir ta mère. N’est-ce pas mon petit Denis. As-tu envie d’être giflé chaque jour par ta mère ? Non n’est-ce pas ?

— ...

— Et sache aussi que mon vieux ne vient jamais, au grand jamais dans nos apparts. Seule la bonne venait jusqu’à présent pour m’apporter mes repas et pour faire le ménage mais je vais convaincre mon vieux que nous allons – toi et moi - entretenir nous-mêmes nos chambres sous un prétexte quelconque et toi tu iras aux cuisines trois fois par jour pour aller chercher nos repas et tu nettoieras mes appartements privés. Mon paternel m’a aussi chargé de te dire que tu dois être dans son bureau avec moi chaque mercredi à 14 heures et chaque samedi matin à 8 heures. Je serai là aussi car ce sont les moments où le paternel règle ses comptes. Mais je prendrai le temps de t’expliquer ma petite servante. Mais revenons au temps présent. Comme il n’est que 15 heures et que le souper ne sera prêt que pour 19 heures, je dispose donc de 4 heures pour te mettre à ma main.

Axel s’approche de Denis qui était resté debout près de la porte. Tout en le regardant droit dans les yeux, il lui met sa main sur son paquet. Denis est surpris et essaye de se défendre mais déjà Axel menace d’aller se plaindre chez sa mère. Du coup, Denis lâche prise et cette fois, avec ses deux mains, Axel, lui défait sa braguette, passe sa main dans l’ouverture de son slip et prend sa bite molle en main, la serre fortement et se dirige vers la salle d’eau et Denis doit suivre évidemment. Axel sent bien que la bite de Denis ne reste pas indifférente au traitement. Et tout en gardant la bite en main, Axel demande à Denis d’enlever son pull, sa chemise, de déboutonner complètement sa culotte qui lui tombe sur les chevilles. Enfin Axel le lâche et l’oblige à ôter ses chaussures, ses chaussettes et enfin son caleçon. C’est un vrai caleçon classique blanc ; ce qui le fait sourire. Bien sûr, Denis a protesté quand il a dû enlever son caleçon mais à nouveau Axel l’a menacé et très gentiment Denis s’est retrouvé à poil devant son maître la queue raide à l’horizontale. Cela amusait fortement Axel qui frappait toutes les dix secondes sur la bite bandante pour la garder en forme.

— Sauf contre-ordre de ma part, tu resteras toujours à poil quand tu es ici ; c’est ta nouvelle tenue de servante, ma petite Denise.

Denis ne réagit pas. Alors, Axel, passe derrière lui et sans autre forme de procès frappe ses fesses à toute volée.

- Et bien tu ne réponds pas Denise ? Veux-tu une bonne correction ?

Et Denis de répondre :

— Je dois être tout nu quand je suis dans tes appartements.

Alors, Axel, l’attrape par le bras, le ramène dans la chambre s’assoit sur le lit et couche de force Denis sur ses genoux et une fois en place lui frappe les fesses très fortement et tout en frappant il lui rappelle que lui, Axel, est son Maître et qu’il veut entendre clairement ce mot maître dans la bouche de Denis.

Axel frappe tellement fort que Denis essaye de se protéger les fesses mais le fesseur l’en empêche et frappe maintenant de plus belle. Denis crie, hurle presque mais essaye de retenir ses larmes et ce n’est que lorsque enfin il a supplié 10 fois Axel, avec les mots, «pitié, maître, je vous en supplie maître» que la fessée s’arrête. Denis s’effondre en larme ; ses fesses font mal mais c’est surtout l’humiliation qui le vexe. Alors, Axel, veut le casser totalement, veut l’écraser. Il le pousse à terre et l’oblige à se mettre à genoux devant lui. Denis bande encore pas mal aussi Axel prend cette bite en main et commence à le branler. Denis tente bien mollement d’échapper à cette branlette forcée appliquée par son maître mais il se contente de pleurer encore plus et comme son excitation est très grande, il crache son nectar très rapidement et les deux premiers jets arrivent même sur les cuisses d’Axel qui ni une, ni deux, prend Denis par le cou et l’oblige à lécher son propre jus sur les cuisses d’Axel.

— Tu vois que j’ai été très gentil avec toi, n’est-ce pas ? J’aurais aussi pu t’obliger à te branler devant moi ; mais non, je t’ai fait jouir de mes mains. Avoue que tu es en compte avec moi maintenant.

— Oui, Maître, réponds Denis.

— Alors à toi maintenant.

Et Axel de se diriger vers son lit, d’obliger Denis de le dévêtir complètement, de se mettre à genoux entre ses jambes sur le lit et de le sucer longuement tout en douceur. La bite d’Axel était déjà dure avant que Denis le déshabille mais comme il s’est déjà fait plaisir 3 ou 4 fois aujourd’hui et la dernière fois juste avant l’arrivée de Denis dans sa vie, son plaisir est complet et de longue durée et quand il sent qu’il arrive au point de non retour, il bloque la tête de Denis sur sa queue et envoie tout son jus dans la bouche de son esclave. Il doit y avoir pas mal de foutre car Denis s’étrangle presque mais finit par tout avaler.

— Tu aimes ça, hé petit salaud, on le voit parce que cela te fait bander, dit Axel.

— Oui, Maître, répond Denis en baissant la tête.

Axel tenait absolument à humilier Denis au maximum ; c’est vrai qu’il avait déjà pensé à demander à son père d’avoir une sorte de majordome personnel mais maintenant qu’il avait un jeune esclave à sa disposition et cette présence qui l’irritait hier encore le faisait quasi bander en permanence maintenant. Et l’imagination ne lui manquait pas. Outre le fait d’obliger Denis à courir tout nu dans ses apparts, il lui avait imposé d’aller chercher leurs repas en cuisine chez sa mère vêtu uniquement d’un caleçon et lorsqu’ils sortaient Denis devait obligatoirement porter le boxer, les chaussettes que lui Axel portait la veille. Cela le faisait bander terriblement ! Il avait déjà emmené Denis dans son club de tennis très sélect et l’avait ouvertement présenté comme son ‘boy’ personnel et sous forme de boutade il avait lancé :

— Dommage il n’est pas noir mais c’est une vraie petite salope.

Il utilisait Denis comme ramasseur de balle et l’obligeait à courir pieds nus et torse nu sur le court. Et, dans les vestiaires, en présence de ses copains, il l’obligeait à se foutre à poil et à se mettre à genoux en attendant que son maître se lave. C’est dans les vestiaires également en présence de son meilleur copain Yves, qu’il a obligé Denis à boire sa pisse. Il venait de se laver et comme il avait un besoin pressant à satisfaire et surtout pour épater son copain il s’est mis devant Denis qui se trouvait à genoux, lui a ordonné d’ouvrir la bouche et très calmement il lui a pissé dans la bouche. Yves était surpris mais aussi excité car il n’a pas pu dissimuler sa queue bandante et sans gêne aucune il s’est mis à se branler devant Axel et Denis, l’esclave.

Denis, n’a pas du tout bronché. Il a subi en silence. Il était totalement humilié mais il ne voulait que sa mère doive chercher une autre place de gouvernante ou de servante à cause de lui. Il en voulait à mort à ce petit con d’Axel. Bien sûr, devant ses copains Axel n’abusait pas sexuellement de Denis ; non, il se contentait de le fesser ou de l’humilier de l’une ou l’autre façon. Axel ne voulait pas du tout passer pour un pédé aux yeux de ses copains mais se faire sucer ou enculer était bien plus excitant que de se branler tout seul ou en présence d’un autre garçon.

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Jeudi 12 juillet 4 12 /07 /Juil 01:41

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Il y a quelques années, je venais d'avoir 18 ans, et avec mes parents nous avons aménagé dans un lotissement de villa. Au collège, je me liais d'amitié avec José, un jeune Portugais de 18 ans qui vivait à la cité, distante de 100 mètres de ma maison, avec ses parents et son demi-frère Karim de deux ans son aîné. José et moi nous avions la même passion: le foot! Moi j'étais ni bon ni mauvais, José lui, il était un artiste du drible. Il m'invita à jouer comme remplaçant dans l'équipe de la cité. Je fis la connaissance des garçons de la cité qui jouaient dans l'équipe dont le capitaine était le frère de José. Il menait toute la bande de la cité et tous lui obéissaient. Il ne travaillait pas et traînait toute la journée avec ses potes.

Il mesurait 1m78, il avait de grands yeux marron, des cheveux très bruns bouclés, un torse fin mais musclé, des jambes longues et puissantes. Très rapide, nerveux, bagarreur et railleur, il en imposait. Moi, je suis petit (1m70), yeux verts, blond, pas très musclé, imberbe, d'apparence juvénile, on ne me donnait mon âge à cette époque-là.

Au vestiaire, après les matchs, je n'osais pas me foutre à poil de peur que l'on se moque de moi. Mon sexe mesure à peine 15cm, il est fin et courbé. Mes testicules ressemblent à des cerises perdues dans des bourses trop grandes, entourées de poils blonds peu nombreux et presque invisibles. Je prenais la douche le dernier et je gardais un maillot de bain pour éviter que quelqu'un me voit.

Je regardais les autres et matais leurs sexes pour comparer avec le mien. Celui de Karim était long 23cm, assez large 4.5cm, et sous la douche, il se caressait sans hésiter en criant: "Putain que c'est bon! Personne ne veut me sucer, ni me donner son cul!! Un dimanche où je remplaçais un joueur et grâce à moi, on a gagné. Karim hurla: "C'est le blondinet qui a marqué. On va lui faire sa fête."

À peine dans le vestiaire que Karim m'attrape et avec ses copains me foutent à poil. Ils me poussent sous la douche en riant et en criant: "On va te faire ta fête!" Je me débattais comme un fou et Karim dit: "C'est une blague!" José rigolait suivant son frère. J'ai eu très peur et en même temps j'ai ressenti un émoi qui me fit trembler quand Karim me tenait dans ses bras.

Fin d'année, mes parents partent pour 15 jours au ski, moi je reste à la villa seul. La journée, j'allais chercher José pour déambuler dans la cité ou en ville. Karim dans les caves bricolait des 'mobs' pour se faire un peu d'argent et bien d'autres choses. Il fumait. Ce samedi, quelques jours avant Noël, je monte à la cité pour chercher José quand je tombe nez à nez avec un copain de Karim qui me dit: "José est avec son frère dans la cave du fond. Va les voir. C’est tout droit et au fond tu prends à gauche, tu verras la lumière. Ils sont là." J'arrive devant la cave à demie fermée, j'entre. Karim est au fond penché sur une mob.

— Salut. José n'est pas là?

— Non il vient de partir. Tu tombes bien c'est mon anniversaire et j'ai envie de me faire sucer et de prendre le cul d’un bourge! C’est génial! À genoux et pompe!

Éclat de rire général.

— Vous êtes fou! Leurs dis-je en reculant.

Je me retourne pour foutre le camp quand je vois ses trois copains bouchant la sortie. Je me sens attrapé par Karim qui me retourne, me colle au mur et me bloque la tête, se penche pour me rouler une pelle. Je me débats et les autres m'immobilisent. Les lèvres de Karim écrasent les miennes, sa langue force ma bouche. Elle est chaude, dure. Je ne résiste plus et il en profite pour me rouler une pelle qui dure, qui dure jusqu'à me faire perdre la respiration, me mordillant au passage les lèvres jusqu'au sang. Je ressens un émoi, une envie folle qui fait gonfler mon sexe. Il lâche ma bouche, tâte à travers mon survêt mon sexe. Voyant ma réaction, il me dit:

— Je pense que tu aimes ça. Tu vas faire la meuf pendant ces vacances pour moi et mes potes!

Ses copains m'attrapent et m'amènent dans l'autre cave. En entrant je vis un lit, recouvert d'un duvet, un jerrican d'eau et une cuvette. Le goal de l'équipe me dit:

— À poil ou on te déshabille?

Sans réaction de ma part, ils m'arrachent mes vêtements. Tâtant mes fesses, mon anus, Pierre dit:

— Il est puceau, Karim va pas s'emmerder!

Ils prirent mes vêtements, sortirent en fermant la porte à clé. Seul dans le noir, je tremblais de froid et de peur. Je m'allonge sur le lit et me recouvre du duvet. Je fus réveillé par le grincement de la porte. La lumière s'allume et je vois Karim et les autres se diriger vers moi.

— Il est déjà prêt pour nous recevoir.

— Ouais! dit Karim. Je passe le premier.

Il s'assoit sur le bord du lit, me retourne et bloque ma tête bouche contre le matelas. Je sens sa main qui touche mes fesses, des mains qui attrapent mes chevilles m'obligeant à écarter les jambes, offrant mon cul à leurs envies. Tout en tâtant mon trou, il se penche vers moi et me dit:

— Tu es puceau. Tu vas te laisser faire ou on te pénètre à sec méchamment.

Je hurle de douleur quand il m'enfonce ses deux doigts dans mon anus brutalement sans préparation ni lubrifiant. Il s'arrête:

— Tu vois ce que ça fait? Imagine nos chibres. Laisse-toi faire et nous irons doucement.

— Tu nous branleras, tu nous suceras tu avaleras tout ce que l'on crache me dit Pierre en me montrant son sexe en érection.

— Tu seras notre salope! me crie Joe en me mettant une claque sur la tête pour que je le regarde en train de se branler.

À la hauteur de mes yeux, je vois un sexe énorme (27 sur 6.5cm). Ses poils sont abondants, très frisés, dégageant une odeur acide, faîte de relent de sperme, de pisse et de sueur, entourant une bourse gonflée contenant des boules comme des œufs. Son gland violacé crache sur ma figure un sperme épais en plusieurs jets. Je suis aveuglé par ce liquide qui coule le long de ma figure... Grand éclat de rire général.

— Sors ta langue, récupère-le et nettoie-moi, me dit Joe en me mettant son gland entre mes lèvres.

J'hésite. Karim se met à labourer mon intimité avec ses doigts pour me forcer à obéir. J'ai mal et en même temps, j'ai envie qu'il continue.

— Salope, me crie Karim. Va jusqu'à ses boules. Après tu te frotteras le visage avec ta main et tu la lécheras.

Je les prends une par une dans ma bouche et je les suce avalant des poils de son pubis. Avec ma langue je caresse son entrejambe, la glissant sous ses testicules, remontant jusqu’à la naissance de son membre, je le sens frémir. Son sexe devient très dur.

— Oh putain! crie-t-il. J’en peux plus... Je vais me l’enculer à sec.

— Non! dit Karim. Son cul est pour moi.

— Bien! répond-il. Je vais baisser sa bouche!

Et m’agrippant par les cheveux, il glisse son pénis dans mes lèvres et commence à limer s'enfonçant jusqu'au fond de ma gorge, butant sur ma glotte. J'ai l’impression qu’il veut s’enfoncer encore plus profond, que je l’avale entièrement. Chaque fois qu’il s’enfonce, j’ai envie de vomir. Je le sens grossir, m’obligeant à ouvrir au maximum ma bouche. D'un seul coup, il jouit en gémissant de plaisir. Sa semence est âcre, salée, épaisse. J'en ai plein la bouche et je me reprends à deux fois pour l'avaler. Il rit et me dit:

— Et bien, ma salope, tu t'es régalé! Tu m’as fait jouir deux fois. Allez-y les gars, il le fait mieux que ma dernière meuf!

La nuit ne faisait que commencer Karim qui se désape et me dit:

— Je vais prendre ta rondelle. Avec douceur puisque tu participes à nos envies, comme promis. Allez les gars préparez-le!

Des mains écartes mes fesses, malaxe mon anus, des doigts s'enfoncent dans mon intimité, on y crache dessus. Karim se glisse entre mes jambes; me mordille la nuque tout en me disant:

— Décontracte toi, tu vas aimer.

— Vas-y doucement! lui dis-je.

— Sûr! Ta rondelle va aimer.

Son gland appuie sur elle de plus en plus fort. Elle cède, il s'arrête pour laisser passer la douleur. Je le sens juste dans ma rondelle qu'il dilate puis d'un seul coup il s'enfonce en moi. Je me tends, je m'accroche au bord du lit, je gigote, mais tenu par les jambes, je sens ce membre dur et conquérant me défoncer! Je suffoque. J'ai comme des coups de poignard qui remontent de mes entrailles. Karim s'immobilise pour laisser passer la douleur.

— Décontracte-toi! me dit-il. Relâche tes muscles, cambre tes reins, cool mon frère. Cool!

Il m'attrape par les hanches, me soulève légèrement le cul pour me faire cambrer les reins. J'ai l'impression qu'un pieu enflammé remonte dans mes tripes! Cette sensation est douloureuse et très excitante. Karim se met à limer lentement puis il accélère le mouvement sans tenir compte de mes crispations. Je voudrais qu'il s'arrête, et j'ai envie qu'il continue. Mon sexe grossit et se met à bander à mort... Je gémis, et je ne sais plus si c'est sous l'effet de la douleur ou du plaisir. Dans mon cul, son pénis enfle, je sens qu'il va jouir. Moi aussi! Un flot de sperme remplit mes entrailles provoquant ma jouissance... Je lâche ma purée dans le matelas. Il sort, s'effondre à côté de moi, haletant.

Pierre m'attrape, me retourne, écarte mes jambes en mes les relevants. Il se positionne pour me pénétrer en me disant:

— Salope, écarte bien. J’arrive!

Finissant sa phrase, d'un coup sec, il me pénètre violemment! Son sexe (20 de long et 5 de large avec un gland rose et pointu) dilate encore plus mon anus. Il s'enfonce au plus profond sans douceur. Comme un bourrin, il lime avec des petits cris de joie, entrant et sortant de mon intimité, mettant le feu à mes entrailles. Son sexe enfle, se durcit. J'ai l'impression que tout va se déchirer! J'ai mal. Des jets puissants, brûlants, remplissent mon cul, recoulent entre mes jambes.

— Quel pied! me dit Pierre. Je reviendrai!

Paco, dit l'indien, s'approche du lit en se masturbant. Son sexe est fin, long, très recourbé vers le haut. Il me regarde, m'attrape par les cheveux, m'oblige à me mettre à quatre pattes, mon cul tourné vers lui, met son sexe à l'entrée de mon anus. Doucement, avec des gestes lents, il lime sans me pénétrer profondément, juste son gland qui rentre et sort. Il glisse facilement grâce au sperme qui continue à couler. Je le sens se raidir, prêt à jouir. Il sort son pénis et le fait glisser le long de ma raie, entre mes fesses. Ses boules cognent contre les miennes. D'une main il pince ma fesse gauche et de l'autre il se branle. Mon dos est aspergé par un liquide crémeux, chaud.

Pause dans mon calvaire qui ne me paraît pas si terrible. Je regarde Karim; il zyeute mon sexe avec un sourire vicieux et me dit:

— Tu apprécies notre partouze. Tu en as même joui!

— Ouais! Tu as vu! Avant, il faisait des manières, après il en redemandait, marmonne Pierre.

— Tu mériterais que toute la cité te passe dessus! rétorque Joe.

— Ton cul de bourge appelle nos chibres! finit par dire l'indien.

Ils s'en vont en refermant la cave, me laissant dans le noir plein de sperme dans le cul, sur le visage et le dos, avec son goût dans la bouche. Pour une première fois, j'ai été gâté. J'ai honte d'avoir pris mon pied avec Karim. Plus tard dans la nuit, la porte s'ouvre, la tête de José pointe. Il me regarde et me sourit:

— Toi aussi, tu as envie de me prendre. Je te croyais mon ami! Lui dis-je.

— Non! me répond-il. Je viens te chercher pour te ramener chez toi.

Sur ces mots il me tend mes habits.

— Magne-toi! me dit-il en ressortant de la cave et en partant le long du couloir.

Je m'habille à toute vitesse et je le rattrape.

À suivre...

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Jeudi 12 juillet 4 12 /07 /Juil 00:36

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Nous marchons dans l'étroit boyau qui longe les caves de la cité, vers la liberté. À la hauteur de la sortie, une main surgit de l'ombre agrippe mon épaule, pince le muscle et me force à tomber à genoux.

— Notre gazelle s'échappe! me dit une voix inconnue. Et moi qui veux la défoncer! Salope, tu ne vas pas t'en tirer comme ça!

Joignant la parole à l'acte il me donne un coup de genou en pleine poitrine. Sous le choc, je perds la respiration. José s'interpose! Il est immobilisé par une autre ombre surgie d'une cave. Un troisième larron apparaît et dit:

— Il est belliqueux le petit. Faut pas toucher à sa meuf! Tu vas voir quand Karim saura. Retournez à la «chambre».

Il me soulève par les cheveux et me traîne en me flanquant des coups au derrière. José est poussé par les deux autres à grands coups de pied.

— À poil! me dit l'inconnu. Fissa! Fissa! On a envie de te sauter. Tu es un bon garage à bite; Pierre me la dit!

— Et le faux frère? dit un autre.

— Comme sa pétasse! Répond celui qui me tient. Dans la cave il pourra la voir se faire niquer par des vrais mecs.

Je jette mes frusques au sol tandis que José se débat. Je rentre la tête basse et je vais m'asseoir sur le lit. Ils l'immobilisent, le déshabillent, jetant son survêt à côté du mien. Il est en caleçon, traîné par les épaules, coincé entre deux étagères, puis attaché au montant, les bras en l'air, les pieds écartés, face au mur. Momo sort son couteau, le passe entre la peau de José et son caleçon, coupant les tissus pour découvrir son cul. Il est musclé, rebondi avec une ligne de poil qui dépasse de sa raie. Je devine entre ses jambes ses boules et le bout de son pénis qui dépasse. J'imagine qu'il doit être long!

Un des mecs m'attrape d'une main par les cheveux, m'oblige à me mettre à genoux, tandis que de l'autre, il ouvre sa braguette, sort sa queue, se la caresse et vient me l'enfoncer jusqu'au fond de la bouche. Puis il saisit mes oreilles et commence à me faire l'amour en limant vigoureusement, butant sur ma glotte. Pendant ce temps, un autre se glisse derrière moi, écarte mes fesses et me pénètre violemment à sec. La douleur me fait serrer la bouche sur la queue de l'autre qui gémit et me file une gifle. Le troisième s'approche en se branlant, jouissant du spectacle. Ma bouche se remplit de sperme, mon cul réceptionne trois jets brûlants, et le dernier me jouit dessus. Quelle humiliation! Celui qui m'enculait me dit:

— Lave moi! Tu ne crois pas que je vais le mettre dans mon caleçon avec les traces de ta merde. Il faut qu'il soit nickel chrome!

Il lève la main, je m'exécute pour éviter les coups. Puis, on se met devant moi et on me dit:

— Ouvre ta bouche, je vais pisser...

Je baisse la tête et je fais signe que non. Un déluge de coups sur mon sexe, mes fesses, ma tête ponctua ce refus.

— Sale fiotte, sale pute, sale pédé, me crie le meneur. Tu vas voir ce que l'on va te faire. Rick aime les culs sales. Viens ici mon petit Rick!

Je sens un souffle chaud, humide sur mes fesses.

— C'est quoi?

Je hurle en me débattant.

— C'est un doberman, me dit-on. Tu vas aimer!

— Non, non, pas ça! Hurlais-je en gigotant comme un fou pour éviter d'être monté par le doberman.

On me tire brutalement la tête en arrière. Des petits yeux porcins dans une figure mal lavée, mal rasée, avec un sourire vicieux, cruel et une haleine qui empeste la bière, me fixent.

— Arrête de gigoter. Tu vas y passer à la casserole, me dit le meneur à qui appartient cette figure de cauchemar. Sinon je vais cogner!

Il se relève, lève le bras. Une douleur vive me fait sursauter quand la laisse du chien frappe mes fesses. Son bras armé s'abat une, deux, trois, quatre fois, cinglant de plus en plus fort mon cul. La peau rouge, j'abandonne. Je ne bouge plus! Les bras ballants, à genoux j'attends la suite des événements. Le meneurs regarde ses collègues et dit:

— Il faut qu'il le branle, qu'il le suce, pour le mettre en état de l'enculer.

— Bonne idée! lui répond une voix.

— Allez, pédale, attrape son sexe et branle! me crie le meneur en amenant le doberman devant moi.

Je reste prostré tout en murmurant: «Faites ce que vous voulez de moi. Je m'en fous!»

Silence dans la cave. Sur ma gauche, celui qui s'appelle Momo dit:

— Moi je sais ce qu'il faut faire, et il attrape un manche de balai, me regarde avec un sourire sardonique.

Je me recroqueville en attendant les coups. José hurle quand le manche le frappe à la hauteur des épaules. Puis Momo le glisse entre ses jambes écartées et frappe ses couilles. José a un hoquet, se crispe.

— Arrêtez. Je fais ce que tu veux, et disant cela, j'attrape la queue de Rick et je le branle.

— Tu vois, il veut pas que on abîme son mec!

— C'est pas mon mec! dis-je.

— On dit ça! Tu rates quelque chose. Pour son âge, il est bien monté.

— Allez suce maintenant! Rick attend...

Je me glisse sous le chien et je lèche sous son sexe des couilles au bout de son pénis. Je le prends dans ma bouche et je suce. D'un seul coup, le meneur m'attrape par les cheveux et me dit:

— Mets la tête sur le sol, le cul en l'air, mon chien va prendre son pied.

J'obéis! Il pose les pattes avant du chien sur mon dos, met son sexe sur mon anus. Drôle de sensation! Il est dur, pointu, fin et très recourbé. Il me fait mal. Il lime à une vitesse folle, mettant le feu à mes boyaux, haletant au dessus de moi, bavant sur mon dos. Je ne prends aucun plaisir à supporter cette enculade. Au bout de quelques minutes, Rick décharge. Tous rigolent autours de moi.

Ils sortent leurs sexes et à tour de rôle me pissent dans le cul pour me laver; disent-il. Puis ils s'en vont en criant: «On va faire passer le mot. Tu auras des visites!»

Pendant un long moment, je ne bouge pas. Aucuns bruits. Je me lève, me dirige vers la porte et doucement je l'entrebâille. J'attrape nos survêts. J'enfile le mien et je vais auprès de José que je détache. Il me dit, tourné vers le mur:

— Passe-moi mes vêtements...

Il les met puis se tourne vers moi et me dit:

— Attends, je prends un marteau et je te jure que personne nous ramènera ici! Allons-y!

On sort et on marche rapidement dans la nuit noire en direction de chez moi. Arrivés devant ma maison, José me regarde et me dit:

— Pas de connerie! Tu ne parles à personne de ta nuit! Sinon gare aux représailles, pour toi et ta famille!

— T'inquiètes, je ne me venterai pas de mon aventure ni à mes parents, ni à d'autres personnes!

— Tu as pris ton pied, alors tu n'as rien à dire.

— J'ai honte et j'ai mal! De plus j'ai envie de prendre un bon bain pour me laver de tout et oublier mes faiblesses! Tu rentres chez moi?

— Si, tu ne m’en veux pas?

— Pourquoi? Tu n'es pas responsable de tes amis!

J'ouvre la porte et nous rentrons. Je me rue dans la salle de bain; j'ouvre les robinets, je parfume à la folie l'eau du bain. Je cours à ma chambre et je jette mes vêtements, caleçon compris, au milieu de la pièce. Je me retourne et je vois José qui me regarde faire. Surpris, je cache mon sexe avec ma main.

— T'es pressé! me dit-il en souriant.

— Plus qu'un peu, lui rétorquais-je.

— Que caches-tu avec ta main?

— Je. Je. Hébé...

— Tu sais, je t'ai déjà maté sous la douche aux vestiaires! Il me semble petit!

— Ah oui? Dis-je en rougissant.

— Tout ce qui petit est mignon!

Il s'approche de moi, me pose ses mains sur mes épaules, se penche vers ma bouche et y dépose un baiser. Ses yeux brillent de plaisir. Avec un sourire narquois au coin des lèvres, il me dit:

— Je voulais te remercier pour ce que tu as fait dans la cave. C'était vraiment cool.

Je le regarde en souriant et je lui dis:

— J'en supportais assez sans que toi tu en subisses. C'est moi qu'ils voulaient!

Son sourire s'accentue, je vois ses dents briller et il me dit:

— Va te laver, je viens pour te savonner le dos...

Et joignant le geste à la parole, il commence à se déssaper. Son sexe pend le long de sa bourse, la dépassant. Sous mon regard, il commence à gonfler, à se tendre, pour former un pic. Il s'approche de moi, pose ses lèvres sur les miennes, sa langue fraye un passage, caresse la mienne, s'enfonce et remplit toute ma bouche. Je fonds. Je m'abandonne à ce baiser tendre et fougueux. Il passe ses mains dans mes cheveux caressant ma nuque d'une main, tandis que l'autre descend le long de mon corps, titillant au passage la pointe de mes seings, effleurant mes abdos, mon nombril, écartant mes mains pour saisir ma verge avec deux doigts, tandis que les trois autres jouent avec mes couilles. Je bande sous l'effet de cette caresse. Il me lâche, je recule.

Enfin, je peux le mater: un corps fin, taillé en V; une peau fine et mate; une touffe de poil très brun décore sa poitrine entre les deux pectoraux bien dessinés mais fins; de sous ses bras jaillissent des poils frisés mi-longs. Une ligne de duvet courre sur ses abdos pour finir dans une forêt vierge abondante, drue, qui entoure son sexe et ses bourses bien remplies par une paire de boules presque rondes, lourdes. Des jambes poilues et musclées achèvent ce tableau.

Je rougis quand je m'aperçois qu'il devine mon intérêt pour son corps. Ce qui m'a empêché de débander. Brutalement il me retourne, me met une claque sur les fesses et me dit: «Au bain!» Je cours me réfugier dans la baignoire. Il arrive majestueux, ses couilles ballottant entre ses jambes, son sexe droit à moitié décalotté, le sourire aux lèvres, heureux et content de mes réactions. Il entre dans la baignoire, se glisse dans mon dos, m'enserre avec ses jambes, dépose un baiser dans mon cou. Il prend du gel douche et commence à me frictionner le dos. Ses doigts dansent le long de mes épaules, de mes pectoraux, descendent le long des mes bras, remontent et caressent mes côtes, mes aisselles. Je m'abandonne sous l'effet de son jeu de main, rejetant la tête en arrière, m'appuyant de tout mon poids contre son corps. Je sens son membre dur. Ses mains se remettent en mouvement le long de mes côtes, arrive au pli de mes jambes, glissent vers mon pénis. De la droite, il s'en saisit et commence à me le décalotter.

— Il faut le laver, me dit-il en faisant jaillir mon gland.

Avec un doigt, il le frotte, le glisse sous mon prépuce, titille le nerf. L'autre main cherche mes boules, les attrape, les caresse, les palpe. Quel pied! Je sens que je vais partir dans l'eau tiède du bain! Je me crispe quand il m'embrasse dans le cou. J'explose, me vidant complètement. Il en profite pour accentuer son baiser, en faire un suçon. Heureux, amorphe, je me laisse faire. Il m'essuie et me pousse vers mon lit.

— Tu as un corps d'ado imberbe avec du duvet blond.

— Je ne fais pas mon âge...

— Comme tu dit. Ton sexe est mignon.

— Tu parles, il est si petit que j'en ai honte!

Je le regarde, bandant comme un taureau en rut au pied de mon lit:

— Tu veux me faire l'amour, que je te suce?

— Non! Après tes aventures, on verra demain si tu es remis de tes émotions! Je ne veux pas t'imposer des relations que tu regretteras ou que tu ne supporterais pas.

Sur ces mots, je sombre dans un sommeil agité où je rêve de mecs à poil qui m'attachent en m'écartant les bras et les jambes à quatre pattes, me défonçant la gorge avec leurs sexes gros comme mon avant bras, me prenant par la nuque pour que je les avale entièrement. Je n'y arrive pas. Une sensation me tire de mon cauchemar. Lentement j'émerge tout en me touchant: J'ai la trique et une tache blanche de foutre sur mon bas-ventre! José dort à mes côtés en chien de fusil, tourné vers moi. Il a dû se branler sur moi. Il bandait trop hier soir. Dans mon sommeil, il me semble que j'ai vu une ombre qui s'agitait. Cette vision a dû entraîner mon délire.

Curieux, je soulève légèrement le drap, je vois son pieu gonflé, dur. J'ai envie de le faire jouir! Je plonge ma main et doucement je le saisis. Tout en faisant attention à ne pas le réveiller, je le caresse, je le décalotte. Sur son gland violacé, quelques gouttes de sperme apparaissent. J'ai envie d'y goûter! Je glisse ma tête sous le drap jusqu'à son sexe, je lèche son bout, juste sur la fente, pour récupérer les gouttelettes. Je veux le faire jouir. Sans aucune retenue, je gobe son membre. Je le suce comme un esquimau, maladroitement, l'enserrant entre mes lèvres, ma langue caressant sa veine. Il grossit, occupe toute ma bouche, prêt à exploser.

Brusquement, sa main se pose sur ma tête, bloque mes mouvements. Ses jambes se soulèvent et s'écartent légèrement pour m'offrir complètement ses couilles. Il pousse ma tête vers ses boules pour que je les suce. Je m'exécute! Je les lèche à grands coups de langue, puis je la glisse entre sa bourse et ses jambes, descendant jusqu'à la naissance de son pénis. Je remonte le long de son dard. Je le reprends et je le mets de biais pour l'avaler entièrement. Dans un râle, il jouit à mort. J'en ai plein la bouche. Il se retire. Je déglutis pour avaler son jus. Son gland est encore congestionné, une goûte perle au méat. Je la récupère.

Je lève la tête et je contemple José en moitié endormi, qui sourit, heureux, les yeux mi-clos. Ma main est posée sur son sexe. Il se met à me caresser mes cheveux tendrement. Il pose ma tête au creux de son épaule tout en me murmurant:

— On est bien tous les deux. Tu t'es remis d'hier?

— Oui! Dis-je en retirant ma main de son sexe.

— Laisse-là où elle est! Il est pour toi et à toi!

— C'est vrai?

— Sûr! Tu ne l'as pas compris quand j'ai craché! C’était tellement bon! Tu veux que je te fasse un aveu: c’était la première fois!

— C'est la première fois qu'on te suce? Je suis heureux que ce soit moi qui l'ai fait.

En disant cela, je me pelotonne contre lui, remets ma main sur son sexe tandis que José glisse sa jambe entre mes cuisses, caressant au passage doucement mes boules, et plonge dans un sommeil profond. Je le regarde dormir, véritable visage d'ange heureux et amoureux; tout en somnolant sans bouger, gardant au chaud sous ma main son sexe. C'est tellement excitant que je finis par imaginer tout le plaisir qu'il va me donner et que je vais prendre: un pied d'enfer!

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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