À 24 ans, j'ai la chance d'occuper deux emplois. Bien que cela me tienne en action durant toute la semaine, il y a des moments où je regrette mon passé pas si lointain d'étudiant où je pouvais
passer des journées entières dans les livres et sortir comme un fou. Aujourd'hui, mon travail de gérant et de designer m'occupent plus qu'il ne le faudrait. Alors, inutile de mentionner que
lorsqu'arrive le vendredi soir, je suis complètement éreinté. Une fois à la maison, j'aime profiter de mon temps, m'asseoir avec un bon café, lire quelques magazines et autres papiers d'actualité
pour me maintenir à jour. C'est ce que je fais actuellement, en attendant mon père.
Le vendredi, il arrive toujours du travail avec une bonne bouffe resto et quelques films qu'il a loué. On passe un bon temps, on se relaxe, on en a vraiment besoin! C'est aussi un moment
privilégié: comme nos emplois nous occupent énormément, nous n'avons pas la chance de se parler aussi souvent que nous en aurions envie. Le vendredi est donc un rituel sacré pour nous deux. Et
jamais on oserait le sacrifier pour un quelconque party ou autres manifestations du genre destinées à nous éloigner l'un de l'autre, ne serait-ce qu'un court moment. D'ailleurs, le voici qui
arrive.
— Salut Marc, me dit-il, les mains pleines de sacs. J'ai magasiné un peu cet après-midi, j'avais congé.
Il pose tous les sacs, range la bouffe et me lance un sac sur la table.
— Tiens, j'ai pensé à nous deux, me dit-il. Dis-moi si ça fait ton affaire.
Le sac contient évidemment des cassettes vidéo. "1001 cumshots" pis "The bears house"!
— Ouin, t'as vraiment envie de t'occuper ce soir! Eille, 238 minutes pis 114 minutes! C'est presque six heures de film!
Il s'approche de moi avec un sourire qui en dit long sur ses intentions, pose sa patte velue sur ma main, de son autre bras m'enlace, approche sa bouche de mon oreille - je peux sentir les poils
noirs et drus de sa moustache me gratter délicatement la nuque - et me dit de sa voix grave:
— Ouais. Pis défense de se toucher et de se déshabiller jusqu'à la fin des films, j'veux qu'on s'excite au boutte avant.
C'est ben mon père ça! Toujours des idées folles. J'aurais jamais la force de tenir pendant six heures!
Je vis avec lui depuis que ma mère nous a quitté, il y a près de vingt ans. Une longue histoire semble-t-il. J'étais un peu trop jeune pour me souvenir de quoi que ce soit, mais il paraît qu'elle
s'est tapé une mémorable crise d'hystérie lorsque mon père lui a présenté son amant. Il s'en souvient encore comme si c'était hier:
"Je sais même pas comment j'ai fait pour ne pas être traumatisé; elle criait, éructait, pleurait de rage et cassait tout dans la maison... Une vraie poule à qui on vient de couper la tête!"
répète-t-il encore parfois, le sourire aux lèvres pour montrer que c'est de l'histoire ancienne et qu'aujourd'hui, on en rit.
Il faut dire que mon père avait alors 20 ans, et ma mère 19. Dans les années soixante-dix, on ne présentait pas son chum à sa femme comme certains s'y risquent aujourd'hui!
J'ai passé toute ma vie à apprendre avec lui et c'est avec lui que j'ai appris la vie. Et comme la sexualité étant loin d'être un sujet tabou, on en parlait ouvertement dès mes 10 ans. Il m'a
montré à me masturber, il m'a appris à connaître mon corps, le développer, l'entraîner, le peaufiner, jusque dans les moindres détails. Et la relation que nous avions était très intime. Aucune
sexualité entre nous, mais une proximité exceptionnelle qu'enviaient beaucoup de mes amis.
Jusqu'à l'âge de seize ans, Louis, le gars qui a causé la rupture familiale, vivait avec nous. Lui et mon père s'entendaient à merveille. Et c'est sur la musique de leurs ébats amoureux que j'ai
connu mes premières crosses. J'avais même été jusqu'à creuser un trou dans le mur mitoyen qui séparait les garde-robes respectifs de nos chambres. Ainsi lorsqu'ils baisaient et que la porte de
leur garde-robe était ouverte, je pouvais les observer en me crossant comme un fou. Chaque fois, j'arrivais à un orgasme d'une force inexplicable. Et à plusieurs reprises j'aurais donné ma vie
pour me retrouver dans leur lit. Parce que le plaisir qu'ils se donnaient semblait irréel. Parce que j'aurais voulu y participer. Leurs baises étaient d'une intensité difficile à imaginer: ils
criaient, s'enlaçaient violemment, grognaient, s'embrassaient à pleine bouche, perdaient la tête, étaient vulgaires comme des porcs et hurlaient comme de pures bêtes. Le tout se terminait avec
une force et une brutalité qui appartient seulement qu'à ces mâles qui savent jouir et qui aiment vraiment le cul. Ils se glaçaient le visage, leurs cheveux et leur torse poilu de leur dèche
chaude et odorante. Du cul pur, total et extatique.
Je ne crois pas que je cherchais une affection quelconque à les observer; je ne voulais pas non plus prendre la place de Louis. Je voulais être avec eux. Je devinais le plaisir sur leur visage et
je l'enviais. Le désir d'y être était tellement grand! L'envie folle qui nous ferait faire n'importe quoi pour réaliser notre désir, c'était ça: j'aurais été jusqu'à me tuer pour accéder à ce
lit. C'était tellement puissant qu'il m'arrivait d'être étourdi, presque au bord de l'évanouissement.
Et le pire, c'est qu'ils savaient pour le trou! Je l'ai su des années plus tard au beau milieu d'une baise avec mon oncle. C'est lui qui me l'a annoncé: d'après lui, ils connaissaient l'existence
de ce trou depuis presque le tout début! Louis et mon père s'en donnaient à cœur joie alors! Ils se savaient observés et cela les excitait à mort. Mon oncle m'a avoué qu'ils leur arrivaient
d'utiliser aussi le trou pour m'observer à leur tour. Durant toutes ces années, un désir réciproque se cachait de part et d'autre de la cloison et trouvait le moyen de se maintenir via un simple
trou. Une toute petite altercation dans le mur, mais un symbole d'une grande signification!
J'ai aussi compris que lorsqu'ils désiraient plus d'intimité, qu'ils ne voulaient pas faire un show et qu'ils faisaient l'amour au lieu de baiser, ils fermaient la porte du garde-robe. Ça, je
n'avais pas le droit d'y participer, même en tant que voyeur. De toutes manières, à treize ou quatorze ans, ce n'est pas la chose qui nous intéresse!
Louis nous a quitté la journée de mon seizième anniversaire. Après 12 ans de vie commune, leur relation s'est affaiblie, le désir s'est affaissé. Cela n'a étonné personne; ils se sont quittés en
bons termes et Louis est devenu un ami de la famille. Tout simplement.
Dès l'âge de onze ans, je passais une partie de mes étés à la campagne avec mon oncle André. Gay lui aussi, il s'assumait depuis des lustres.
"J'ai pas voulu attendre comme ton père," me disait-il ironiquement, chaque fois qu'il devait faire référence à son coming out.
Il faut dire qu'André n'y était pas allé de main morte: il n'avait que quinze ans et il voulait choquer. Il s'était fait une joie de laisser traîner quelques revues gaies où il était lui-même
modèle principal. La journée où ses parents ont demandé des explications, il s'est contenté de présenter vulgairement son chum: un pur bum ramassé au coin d'une rue, à la réputation douteuse et
pour lequel il n'avait aucune affection. Très tôt, il s'était fixé un but dans la vie: toujours choquer, à n'importe quel prix. Il a réussi!
Ces étés passés en sa compagnie étaient toujours formidables. Il me faisait découvrir d'autre chose que la trépidante vie urbaine: une philosophie toute nouvelle m'était présenté et elle me
permettait d'affronter l'existence d'une nouvelle façon. C'était un campagnard, un vrai. Mais pas un passéiste qui cultive ses légumes et son blé de manière ancestrale. Au contraire! Il m'a
montré un visage de la campagne aussi éloignée de la ville que des ennuyantes vaches et navets habituels.
"La campagne, ça bouge mon gars. Pis t'es ici pour faire un homme de toé."
Depuis qu'il ne travaillait plus que huit mois par année, il passait tous ses étés ici à se mettre en forme et pratiquer des activités que j'avais toujours trouvées d'un formidable ennui jusque
là: chasse, pêche, camping, jogging, musculation et séances de beuveries particulièrement solides. Il était convaincu que la ville ne formait pas un homme et que la campagne, telle qu'il la
concevait, me donnerait ce petit plus nécessaire pour exister vraiment.
Je dois avouer avoir trouvé cela ennuyant comme la pluie... Les deux premiers mois. Cependant, au fur et à mesure que le temps avançait, s'instaurait une intimité entre nous. Et elle, que
j'appréciais vraiment. Sa vision du monde m'inspirait et je trouvais en lui une source d'influence que je jugeais bénéfique. Je n'irais pas jusqu'à dire que je devenais aussi macho que lui, mais
j'appréciais la vision du monde qu'il avait: c'était un humaniste qui respectait les valeurs des autres mais qui avait les siennes et auxquelles il tenait.
À l'été de mes 15 ans, la relation que nous avions à pris un tournant. Un soir, au milieu d'une discussion, il a brusquement changé de sujet en me demandant:
"Marc, c'est quoi ton fantasme le plus fou?"
Je ne savais pas du tout quoi répondre! Il nous arrivait souvent de parler de sexualité, d'aborder des sujets assez chauds au point où nous nous retrouvions totalement bandés tous les deux. Il
nous était même arrivé de regarder quelques films pornos ensemble. Mais sa question me prenait de court.
"Tu sais pas quoi répondre? Dis moé qu'est-ce qui t'excite chez un homme. Qu'est-ce qui te fait bander juste à en parler?"
Je commençais alors une description assez détaillée du type de gars avec qui j'aimerais vraiment baiser. Je décrivais littéralement mon père:
"Un grand gars... Bâti... Oui, ben faite. Ben musclé, où le corps est totalement formé par les muscles, des pectoraux saillants, des épaules solides pour ben m'envelopper pis des bras où on voit
les veines saillantes tenter de se faire un chemin sous la peau. Ah pis un gars poilu, juste pour sentir son torse se frotter contre le mien pis promener mes doigts entre les poils de ses pecs.
Une bonne moustache épaisse pour me faire gratter le cul pis pour la voir s'engouffrer dans le poil autour de ma graine. Un gars qui shoote fort, j'aurais vraiment envie d'être couvert de dèche.
Mais surtout, j'voudrais un gars avec une attitude mâle. Là en ce moment, je feel pour un gars qui prend les choses en main, qui va me conduire là où y veut. Ouin, c'est à peu près ça..."
Je lui avais dit ça avec un réel intérêt et effectivement, je me retrouvais bandé. Pendant ma description, alors que j'avais les yeux fermés, il s'était caressé et avait sorti sa queue qu'il
avait commencée à crosser lentement. J'eus la surprise de ma vie en ouvrant les yeux! Non seulement ma description l'a excité, mais il s'est aussi reconnu: il est à quelques différences près, le
sosie de mon père. Le reste s'est passé comme il devait sans doute se dérouler: quelques mots sensuels murmurés à l'oreille pour nous exciter d'avantage et la magie du lit s'était accomplie toute
seule. C'était mon premier amant, c'était ma première baise. Post coïtum animal triste dit-on. Eh bien, il n'avait pas connu mon oncle André certain! Lui qui connaissait tous les chapitres de
l'amour entre hommes se proposait alors de me montrer toute sa connaissance. J'ai passé le reste de l'été dans ses bras, plus souvent la tête couchée entre ses pectoraux à discuter de choses
belles et cochonnes qu'à apprendre à pêcher à la mouche ou autres imbécillités du genre. Nous sommes restés tout l'été l'un contre l'autre. C'est avec lui que j'ai appris le plaisir du cul.
Car le cul, il l'aimait vraiment. Il ne faisait pas qu'en parler, il le faisait, il le pratiquait et y excellait. J'apprenais à sucer correctement une queue trop grosse pour notre bouche, comment
donner et recevoir du plaisir en me faisant enculer à fond; je goûtais au plaisir des trips à plusieurs, de toutes les positions, de toutes les occasions. Il lui arrivait souvent de me prendre au
moment où je m'y attendais le moins: au beau milieu du jardin alors que j'étais en train de cueillir quelques légumes pour le souper; à la barre fixe lorsque je m'entraînais; pendant mon bain, où
il entrait déjà bandé et me pénétrait sans avertissement. Il me filmait aussi pour que je puisse conserver un bon souvenir de mes vacances et que je puisse avoir quelque chose à me mettre sous la
dent lors des longues soirées d'automne. Cet été-là reste gravé dans ma mémoire à tout jamais.
Dieu merci, il ne restait pas en campagne à l'année longue. De septembre à avril il était en ville et il lui arrivait souvent de venir à la maison. Ou alors je me déplaçais pour aller le
rejoindre chez-lui. C'est d'ailleurs lors d'une de ces nuits où nous pratiquions une baise torride et essoufflante qu'il s'arrêta d'un coup sec (il avait l'habitude des surprises) pour me dire:
— T'sais, le trou dans ton garde-robe?
— Quoi? Comment-ça qu't'es au courant?
— Marc, ça fait longtemps que je l'sais! Pis si j'le sais, c'est ben parce que ton père le sait aussi!
— Ok, dis-je avec un sentiment d'inquiétude, qu'est ce que tu veux savoir?
— Tu vas m'raconter c'que t'as vu. Dis moé comment ton père est faite, comment Louis, le beau Louis, le baise. Dis moi toutte c'que t'as vu. Moé ça m'excite au max.
Il avait recommencé à me fourrer lentement et m'embrassait en me mangeant délicatement les lèvres ce qui rendait ma description difficile. D'autant plus qu'avec le goatee dont il était équipé, il
m'échauffait suffisamment pour que j'aie de la difficulté à me concentrer sur ce qu'il voulait savoir. Mon discours était entrecoupé de "Mmm", de "oh, wow, j't'e ferai la même chose mon bébé", de
grognements et de cris qui sortaient de sa bouche lorsqu'une description était particulièrement réussie et réaliste. Je lui racontais tout en détail: à quel point ils étaient bandants quand ils
baisaient, mon désir de me faire planter par mon père, les cris presque inhumains de leur jouissance, leur attitude virile, etc. Et tout en m'embrassant sur les lèvres, nos jeux de langue nous
permettant de goûter l'autre de plus en plus passionnément, il passa sa main dans mes cheveux:
"T'es un crisse de vicieux mon jeune, me dit-il en souriant tout en continuant de m'embrasser, J'pense ben qu'un jour tu vas l'avoir ton père. Y m'a dit qu'ça l'excitait de se faire r'garder.
J'pense que t'es pas l'seul à être excité. Pis j'donnerais n'importe quoi pour être avec vous autres quand ça va arriver."
Il m'englobait avec ses bras puissants et je sentais le poil de ses avants bras me chatouiller le visage pendant que ses doigts allaient se perdre dans mes cheveux. Nous étions chauffés au
maximum; désormais, les mots étaient inutiles, j'avais su dire les choses qu'il fallait pour nous exciter totalement. Sa queue entrait et sortait avec une lenteur qui venait chercher mon plaisir
petit à petit. Nous sentions l'orgasme monter avec force et tous les muscles de son corps se sont contractés pour, l'espace d'un instant, me donner l'illusion que je me faisais fourrer par le
plus grand monstre sexuel que la terre ait connue.
Louis était parti depuis bientôt trois ans et personne ne s'était pointé dans la vie de mon père. Ah! Quelques nouvelles baises faisaient leur apparition ici et là, mais rien de trop sérieux.
Elles disparaissaient habituellement aussi vite qu'elles étaient arrivées. En d'autres termes, la vie sexuelle de mon père était des plus drabes. On était loin des nuits enflammées observables du
trou du garde-robe! De mon côté, André était maintenant déménagé à Québec, ce qui constitue le bout du monde pour un résident de Montréal qui n'a pas le temps de se déplacer de 300km à tous les
soirs pour assouvir ses pulsions.
Depuis le départ de Louis, mon père avait changé. Il était plus enjoué, plus moqueur et la proximité qui caractérisait la relation que nous avions développée s'était approfondie d'avantage. Il
préférait occuper son temps pour des choses qui l'intéressaient vraiment que de courir à travers la ville à la recherche de LA baise. Il partageait donc son temps entre le travail, quelques amis,
son entraînement musculaire et moi. Nous partions souvent en voyage pour quelques jours, histoires de passer du bon temps et de discuter de tout et de rien.
Un soir, alors que je rentrais relativement tard du travail, j'entrais dans le salon et je n'entendis aucun bruit.
"Pourtant toutes les lumières sont allumées!", me dis-je.
Je devinais que mon père était en pleine séance de fourrage où il exerçait son rôle de "top" à merveille encore une fois. Effectivement en m'approchant de ma chambre, les cris étaient assez
révélateurs. Seulement, en entrant dans ma chambre, j'ai constaté que sa porte était ouverte. Bizarre, habituellement la porte est toujours fermée. Je m'approchais alors avec avidité de la
chambre pour... me rendre compte que mon père, complètement nu, cuisses entrouvertes, queue érigée et gland violacé se crossait avec une sensualité que je ne lui connaissais pas. À travers le
tapis de poils de son torse, je pouvais voir son pec droit se contracter à chaque fois que le bras amorçait un mouvement vers le haut. Idem pour les nombreux poils noirs qui dissimulaient les
puissants muscles de ses avants bras. En observant plus attentivement, je voyais l'ensemble de ses muscles se contracter à chaque spasme que lui envoyait sa crosse solide.
Il lâcha sa prise quelques instant pour se retourner vers la porte. Je me suis éloigné aussitôt. Mon père et moi avons peut-être un passé de voyeur, il est réciproque et connu autant de lui que
de moi, mais je n'ai pas vraiment le goût de me faire voir! Ouf! Il ne s'était levé du lit que pour aller s'allumer une cigarette. Encore plus bizarre: il ne s'est jamais masturbé en fumant. Il
lâcha sa queue à nouveau pour prendre la télécommande du vidéo et il fit jouer le film. J'ai rapidement fait le lien: c'est de là que venaient les bruits de tout à l'heure! Et il a recommencé à
se caresser mais encore plus passionnément. Non pas qu'il allait plus vite ou plus fort. Non, il semblait réagir avec plus d'intensité.
Et j'ai tout compris: mon cœur s'est mit à battre au plus fort et je suis entré en toute vitesse dans ma chambre.
"Ce film-là, y faut que j'le r'trouve, il faut que j'le retrouve au plus vite."
Je devais avoir l'air d'un vrai fou: en train de fouiller dans mon bureau comme un débile à la recherche d'une cassette vidéo, en tentant de faire le moins de bruit possible. "Elle est pas là!"
constatais-je. Je ne pouvais plus me contenir. J'approchais du fameux trou de mon garde-robe. Fiou! La porte est ouverte! Immédiatement une érection du tonnerre est apparue entre mes jambes. Je
l'savais! Mon père était en train d'écouter une cassette sur laquelle on retrouve plusieurs séances de baise que j'ai eue avec André. Et la séance de fourrage sensuel où j'explique mon désir pour
mon père s'y retrouve.
En regardant par le trou je vois les reins de mon père se cambrer; la main droite caressant la base de sa queue hypertendue; sa main gauche, large, solide et poilue, caresser ses pectoraux ou
descendre jusqu'entre ses fesses pour forcer son cul à s'ouvrir; sa bouche entrouverte, surplombée par une moustache bien épaisse que j'ai absolument besoin de goûter un jour; et ses cuisses
solides, rondes, musclées comme un hockeyeur, et aussi poilues, se contractant au fil des spasmes commandés par l'orgasme à venir.
Il y était. Il était en train de m'écouter dire à André ce que je pensais de lui. Des bribes de conversations parvenaient à mon oreille:
"juste à penser à lui, chus bandé comme un porc......tu vas l'avoir ton père......J'veux être là quand ça va arriver......J't'e ferais la même chose bébé..."
Inutile de mentionner à quel point j'étais excité! N'en pouvant plus et ayant peur de perdre ce moment privilégié, j'ai fait un vacarme dans ma chambre pour indiquer à mon père que j'étais arrivé
et que j'étais bien là. Je suis sorti de ma chambre et j'ai cogné à la porte de la sienne.
— Oui, entre Marc, me dit mon père.
En ouvrant la porte, je me rends compte qu'il a arrêté le vidéo. Il s'est réfugié sous les couvertures.
— Ça va? lui dis-je.
— T'arrive ben tard?
— Trop de travail ce soir. Un client à besoin d'une vitrine de présentation pour lundi. J'avais pas le choix de rester (vite, Marc! Pense vite! Trouve un moyen de diriger la conversation sur tu
sais quoi!). Et toi, tu faisais quoi? Tu regardais un film?
Il m'a regardé avec un sourire évident. Il savait.
— Oui, un bon p'tit film.
Décidément, il ne voulait pas faire les premiers pas! Je me suis couché sur le lit, juste à côté de lui.
— Tu sais, les vendredis soirs j'suis ben fatigué. Faut ben que j'me trouve quelque chose de straight à faire.
Il passa sa main dans ses cheveux. Je pouvais voir son biceps se contracter, son épaule aux muscles striés répondre avec agilité aux mouvements qu'il commandait à son bras. Ce simple geste me fit
bander et je me suis tourné sur le côté, lui faisant face pour bien lui montrer à quel point ce que j'avais entre les deux jambes était digne de lui. Il en prit conscience, j'en suis sûr et
s'alluma une autre cigarette. Il semblait vraiment nerveux. De mon côté, je ne savais plus quoi dire.
— Je profite de ma soirée pour mon plaisir personnel, si tu vois ce que je veux dire!
Une perche! Vite, il faut que je saute dessus. Mais j'ai trop peur de tout gâcher. Je ne sais pas quoi répondre, étant probablement aussi nerveux que lui. J'attends trop longtemps. Il repasse sa
main dans ses cheveux. J'en bave presque...
— Je sais que tu sais pour le trou, me dit-il calmement.
— Depuis longtemps?
— Depuis que je sais qu'André te l'a dit. Je lui avais demandé de se fermer la trappe, mais il était pas capable j'imagine! Et tu l'as appris d'une belle manière en plus!
— Ça te choque?
Il se tourne vers moi et me regarde pour la première fois. L'insécurité se lit dans ses yeux. Il semble s'y mêler peur et désir. Je le laisse faire. Il sourit nerveusement, me prends la main avec
ses deux grosses pattes velue (je manque presque de m'évanouir) et me dit:
— Écoute Marc, je sais plus quoi faire. Ça fait huit ans que je sais que tu me veux. Huit ans que ce trou là existe. Huit ans que tu te crosses au beau milieu de ton garde-robe; huit ans que je
fais pareil. Quand tu venais fourrer dans ta chambre avec mon frère, au lieu de me frustrer comme beaucoup l'auraient fait, j'me cachais dans le garde-robe pour te r'garder. Pis y'a la
culpabilité. Peut-être que j'aurais pas du te laisser baiser avec mon frère. Peut-être que j'aurais du stopper ça au début aussi. Ça fait huit ans qu'on baise ensemble sans se toucher, Marc. J'ai
trop peur de c'que ça pourrait donner. D'un autre côté tu connais très bien mes goûts, mon désir, mon envie, pis j'm'en cache pas. Je l'sais pus c'que j'veux Marc. J'ai peur.
Ça a sorti tout seul. Un peu plus et il me mettait à pleurer j'en suis sûr. Mon père ayant toujours été d'un pragmatisme frappant, j'étais déconcerté par cette déclaration. Que pouvais-je bien
lui dire? Et surtout, qu'est-ce qu'un gars de 19 ans peut bien raconter pour rassurer son père de 35 ans! Je décidais d'opter pour la logique. Je l'appellerai par son prénom. Fini les p'pa! Ainsi
j'aurai au moins la possibilité de mettre une distance provisoire. Je me lançais:
— François, pourquoi t'as peur? Tu veux juste que j'te fasse jouer le jeu de la conquête, c'est ça? T'es pus juste un fantasme de jeunesse t'sais. Si tu savais combien de fois j'ai faillis
m'jeter dans ton lit et de t'crier "Viole-moé, baise-moé! Fait quelque chose, chus pus capable!" Pis t'as pas à avoir peur pour André. J'ai passé un moment génial avec lui pis j'en suis pas
traumatisé pour autant. Je savais ce que je faisais, il le savait, tu le savais. Tout le monde était d'accord. J'vois pas pourquoi tu t'énerves avec ça! Si j'étais complètement déséquilibré, j'te
dirais: "OK. T'as raison." Mais là! François, ça fait neuf ans que j'rêve d'être l'autre bord du trou, avec toi. Sais-tu c'que ça veux dire?
Son regard était changé. J'imagine que je l'avais convaincu! Il reprit ma main, l'approcha de sa bouche et embrassa délicatement mes doigts. Ah! ce doux contact des lèvres et de la moustache sur
ma main. Son regard se ne détachait plus du miens. J'avais gagné. De sa grosse patte, il caressa ma nuque en passant ses doigts dans mes cheveux. J'étais en extase.
— Chus vraiment fier d'avoir un gars comme toi.
Ces mots marquèrent la fin de la conversation. Ses lèvres s'approchèrent enfin des miennes. Il m'enlaçait avec ses bras et nos mains prenaient le temps de découvrir la passion commune que nous
partagions depuis presque 10 ans, celle du corps de l'autre.
En m'embrassant il me parlait tout comme son frère l'avait fait avec moi il y a quatre ans.
— Ça mon gars, c'est la chose que je veux depuis tellement longtemps. J'ai tellement envie de t'embrasser, de te faire jouir comme je faisais jouir Louis.
Un véritable frisson me courait le long de l'épine dorsale, à chaque fois qu'il appuyait sa main dans mon dos. Lui grognait de satisfaction.
J'ai enlevé la couverture sous laquelle il se cachait depuis mon entrée dans la chambre. J'avais peine à y croire. Ce corps que j'avais désiré depuis tant d'année était là, devant moi. Et il
était consentant! Je me suis assis sur son bassin, sa queue bandée comme un cheval entre mes cuisses. Il s'est relevé pour m'embrasser. Je pouvais voir tous ses abdominaux se contracter sous
l'effort de se tenir droit. Il était vraiment un dieu. Je passais mes mains dans les nombreux poils de ses pecs; il se cambrait la tête vers l'arrière. Et sa langue s'enfonça à nouveau dans ma
bouche. Il eut quelques difficultés à enlever ma chemise et lorsque je fus torse nu, il posa ses mains sur mes pectoraux. Ma queue, compressée sous mes jeans me faisait horriblement mal. Jamais
je n'avais bandé comme ça. Et pendant que ses mains m'électrisaient, je tentais d'enlever ma ceinture. Le reste s'en suivit.
Collé contre la montagne de muscles de mon père, il murmurait à mon oreille:
— Je sais que t'en as vraiment envie. J'vas t'faire jouir au max mon bébé.
Chaque geste qu'il posait impliquait un muscle quelconque. Ainsi, il était toujours possible pour moi de contempler à quel point il était viril. Sa moustache à mon oreille continuait de me lancer
de chaudes et suaves vulgarités.
— J'vas t'faire connaître le goût de mon cul; mon gars, prépare toé à hurler. J'vas t'faire crier mon bébé. Hein, tu vas crier... Dis moi-le qu'tu vas déverser ton jus au fond d'ma gorge. J'veux
qu'tu connaisse le plaisir du cul pur. Du vrai cul viril. Astheure, y'a juste moé qui vas pouvoir te faire jouir comme un vrai salaud. Attends d'avoir ma graine chaude au fond de ton cul...
N'en pouvant plus, je suis descendu jusqu'à sa queue: un véritable monstre surnaturel. Je devais, pour la prendre au complet, ouvrir ma gorge au maximum afin qu'elle descende jusqu'à
l'oeœsophage. J'avais la queue de mon père au plus profond de moi et j'attendais qu'elle explose.
— Vas-y mange-la. Arrrgh! Suce-la comme tu le faisais avec la queue d'André.
Quand je remontais le long de sa queue pour aller chercher un peu d'air, je portais une attention particulière à son gland. Un vrai casque luisant, plus dur que du caoutchouc. Et la véritable
odeur d'une transpiration de mâle qui monte au nez. Je m'attardais sur le pourtour de son gland de cheval. Et je l'entendais gémir:
— C'est ça mon gars, mange la queue par où t'es déjà passé. Mange la grosse graine de ton père. Oh yeah! Tu vas être couvert de ma grosse dèche gluante. Argh, oui, t'en as envie hein mon gars!
T'as l'goût qu'ton père musclé t'envoie sa décharge dans la face pis qu'ça coule dans ton cou pis jusque sur tes pecs?
Il s'est retourné pour saisir ma queue avec ses lèvres, il l'engouffrait parfaitement. Le contact de ses lèvres épaisses et humides sur mon gland bouillant m'apaisait quelque peu. Je quittais sa
graine pour le regarder me sucer. L'image de sa moustache épaisse glissant profondément sur ma queue venait chercher les dernières gouttes d'énergie qui me restait. Je m'effondrais sur le dos,
pris soin de placer un oreiller derrière ma tête afin d'être plus à l'aise pour regarder mon père me manger. Mes jambes relevées, il glissait brutalement un de ses gros doigts dans mon cul. Il
s'amusait. À chaque fois que mon gland sortait de sa bouche, j'avais droit à un concert de grognements virils qui m'en disait long sur la satisfaction qu'il éprouvait à manger la graine de son
fils.
Avec deux doigts dans mon cul, mon père remonta m'embrasser tout en continuant de s'amuser avec ma prostate. Il connaissait bien la manipulation de cet organe et il savait s'en servir. Alors
qu'il m'embrassait le front, il me dit tout bas:
— Prépare-toé à recevoir ma queue, si t'as jamais jouis sans t'crosser, c'est à soir que tu vas l'vivre. Tu vas connaître le summum de l'extase entre deux hommes. J'te réserve ça depuis tellement
longtemps...
Et ses paroles se perdirent dans ma bouche en même temps que sa langue et sa passion.
Il retira ses doigts; se coucha sur moi. Sa queue toute raide entre mes jambes dégageait une chaleur si brûlante.
— Vas-y, p'pa, fourre-moé.
Une fois relevé. Il plaça sa queue à l'entrée de mon cul.
— T'as le goût de l'avoir hein? T'as veut mon bébé?
Et il est entré comme un ogre. Son bat me défonçait le cul à une vitesse impressionnante. Et il forçait pour entrer encore plus en avant. Comme s'il était possible d'ajouter quelques pouces à sa
graine déjà immense. À chaque poussée, j'avais la tête qui flashait. Il releva mes jambes et vint coller ses lèvres sur les miennes. Je pouvais sentir chacun des muscles de son dos travailler et
ses abdominaux se coller sur les miens avec violence. Je passais mes mains sur ses épaules et ses pecs, lui pinçait le bout des pecs et pouvais l'entendre jouir.
— Arghhhh, mon gars, tu sens mon gland te déchirer l'intérieur, hein. T'aime ça quand ton père viril de fourre à plein cul hein? T'es un crisse de cochon mon gars!
Ses couilles battaient contre mes fesses avec force et lourdeur; un claquement se faisait entendre à chaque fois qu'il entrait à fond. Il avait chaud, il gémissait. Les poils de son torse étaient
tous mouillés et la transpiration lui dégoûtait du menton. On s'embrassait à pleine bouche et sa moustache humide glissait derrière mes oreilles. Entre deux grognements, il me dit de sa voix
grave:
— Pis mon gars, j'vas t'achever hein?
— Arghhh, p'pa, j'vas v'nir!
— On vas v'nir ensemble mon bébé, me dit-il.
Il était complètement bandé. Son corps entier n'était qu'érection. Les veines de ses bras, pourtant déjà saillantes, semblaient vouloir sortir complètement de son corps. Je pouvais presque voir
son pouls à travers la peau. J'étais totalement collé contre lui quand il me cria:
— J'vas v'nir mon gars. T'es tu prêt?
— Arhh, oui men, vas-y défonce-moé l'cul à fond. Vas-y rentre là. FOURRE MOÉ LÀ AU FOND!
— AH, T'AIMES ÇA LA SENTIR TE DÉFONCER LE CUL MON GARS. T'AIME ÇA TE FAIRE DRAINER LE CUL PAR LA CRISSE DE GROSSE QUEUE DE TON PÈRE! ARGHHH! MARC, ARGHHHHH! J'VAS CRACHER! AH OUI MON BÉBÉ, VIENS,
VIENS AVEC MOÉ...
— ARGHHH! P'PA! CRISSE OUI! RENTRE LA AU FOND ARGHHHHH!
— AH OUI MON BÉBÉ ARGHHHHHHHHHHHHHHHHH, ARGHHHHH MON HOMME ARGHHHH!
On avait le torse complètement mouillé j'avais shooté mon jus sans avoir à me toucher. Mon père s'est retiré pour me cracher son jus dans la face.
— AHH, MON GARS PRENDS-LE ARGHHH! OUI, MANGE LA CRÈME DE TON OSTIE D'COCHON D'PÈRE! ARGHHHHHH!!!
De gros jets chauds et lourds sortaient avec force de son gland violacé. La graine explosait très haut dans les airs pour retomber dans mes cheveux ou sur mes joues. Le jus s'écoulait alors sur
mon front ou dans mon cou et jusque sur les draps du lit. Son sperme onctueux s'était aussi déversé dans ma bouche et je le conservais pour le lui redonner. Mon père avec le torse complètement
collé de mon sperme s'est effondré sur moi, les poils de nos deux torses se sont mêlé à notre dèche. J'embrassais mon père avec avidité pendant qu'il caressait mon cul comme pour l'apaiser.
Nous avons passé le reste de la nuit à parler et à s'embrasser lentement. Chacun écoutant les confidences de l'autre, chacun découvrant encore plus profondément la parfaite beauté d'un amour qui,
bien qu'interdit, était tellement présent que rien au monde ne pouvait nous empêcher de l'explorer encore d'avantage.
Au fait, le visionnement des six heures de films XXX s'est bien déroulé: je ne me suis pas endormi et je n'ai pas sauté sur mon père pour le violer; j'ai pu tenir jusqu'au bout. Par contre, je
n'ai jamais été aussi excité de ma vie. Et je vous raconte pas le flot de sperme! De toute manière, aucun mot, aucune phrase, aucune idée aussi bien exprimée soit-elle ne pourrait décrire avec
autant d'intensité cette jouissance inhumaine. Si vous voulez connaître la chose, je vous conseille ça: crossez-vous lentement pendant six heures, laissez la sève monter plusieurs fois mais ne la
laissez pas s'enfuir, le tout avec votre père. Par la suite, laissez ses larges mains velues courir sur votre queue pendant que vos lèvres volent vers sa bouche affamée. Vous m'en donnerez des
nouvelles!
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