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fan de histoires de mec

Samedi 15 septembre 6 15 /09 /Sep 03:28

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Je viens de faire enregistrer mes bagages et il me reste un peu plus d'une heure à patienter avant de pouvoir embarquer. J'ai hâte de me retrouver dans l'avion et de décoller. À vrai dire, j'ai plutôt hâte d'atterrir. Cette semaine de vacances a été épuisante... Mes journées et surtout mes nuits ont été bien remplies... comme mes deux trous! L’endroit que j’ai visité est superbe, peuplé de mâles tous aussi superbes! Mâles bourrés de testostérone, poilus et pourvus de grosses bites... et de couilles bien pleines.

Assis sur une banquette dans la zone d’embarquement, j’écoute un peu de musique dans mon lecteur MP3. Évidemment, je n’entends pas les annonces faites dans les diffuseurs... Je m’aperçois cependant qu’une certaine effervescence gagne l’endroit...

Une main se pose sur mon épaule. Une hôtesse me parle. J’enlève mes écouteurs...

— Monsieur, il faut que vous quittiez cette zone immédiatement... il y a une alerte à la bombe dans l’aéroport...

J’ai un frisson qui me parcourt le long du dos.

— Dirigez-vous vers cette porte... Une de mes collègues va vous indiquer la marche à suivre...

J’essaie de ne pas me laisser envahir par la panique. J’y arrive assez bien. En moins de dix minutes, j’ai quitté l’aéroport et je me retrouve assis dans un camion militaire avec des voyageurs un peu perdus... comme moi. Un enfant hurle, une vieille dame geint, deux jeunes types posent constamment des questions... Des Légionnaires aux mines fermées se dressent un peu partout, arme au poing.

Deux heures se sont passées et un responsable de la sécurité annonce que l’aéroport sera fermé pour 24h. Nous allons être logés dans les hôtels les plus proches qui disposent de chambres libres...

À minuit trente, je fais partie d’un petit groupe pour qui on n’a pu trouver une chambre.

— Nous sommes désolés mais les hôtels sont complets. Vous serez logés à la caserne!

Dans un premier temps, j’accueille la nouvelle avec une certaine réserve puis, finalement, je me rends compte que ça peut être amusant de se retrouver dans un univers masculin...

Mon regard a croisé plusieurs fois celui d’un soldat qui est tout à fait bandant. Il m’a même semblé qu’il me souriait en passant sa langue sur ses lèvres. J’imagine ce beau mâle en train de m’enculer sur une table du mess des officiers. À cette pensée, je sens ma queue qui commence à prendre vie dans mon bermuda. Elle grossit et durcit et me voilà dans le camion militaire avec une bonne trique. Je ne sais plus où poser les yeux.

Nous roulons encore une vingtaine de minutes et nous arrivons enfin à la caserne. Partout, je vois des beaux Légionnaires en tenue de combat... Ces machos savent-ils qu’une salope vient d’entrer dans leur «monde». Je me sens prêt à me donner à fond à tous...

— Le temps d’organiser votre logement, nous allons vous servir une collation!

Moi, je sais déjà de quel type de collation j’ai envie.

— Pourriez-vous m’indiquer où se trouvent les toilettes?

Un militaire me montre un couloir et indique qu’il faut tourner à gauche. J’ai la vessie bien remplie. Je me rends très vite à un urinoir et à peine ai-je commencé à pisser que j'entends la porte claquer. Un militaire entre. Il vient s’installer à côté de moi, se débraguette, déballe son engin et se met à pisser. Mes yeux glissent vers sa bite.

— Bon... soir! dit-il un peu nerveusement.

Je lui réponds. Je vois qu’il lorgne sur ma bite qui se met à raidir.

Le militaire est plutôt beau mec. Il doit mesurer 1m85 environ, est brun et poilu... large d’épaules... Il a fini de pisser, se secoue la queue, la remballe et file vers les lavabos. Je ne tarde pas à le suivre. Je choisis un lavabo assez éloigné du sien. Pendant que je me lave les mains, je l’entends bouger derrière moi. Il vient se coller dans mon dos en frottant sa queue contre mon cul. Je suis assez étonné de constater qu’il parle le français...

— Alors, comme ça, on aime regarder les militaires?

— Euh... oui...

— T'aimes la bite, c'est ça? Si y'a que ça pour te faire plaisir, on va t'en donner!

Pendant qu'il me disait ça, il m’a fait une clé de bras et m’a immobilisé.

— Tu es prêt pour un voyage au pays du sexe hard?

— Je n’attends que ça... Maître!

J’avais lâché le mot qu’il fallait... Mon militaire vicelard m’a attaché les mains derrière le dos puis m'a fait sortir des toilettes en ayant bien pris soin de regarder si personne n’arrivait. Il m’a poussé jusqu’au fond du couloir. Là, il a ouvert une porte métallique et m’a fait entrer. La pièce était assez grande – type garage – et j’ai directement vu le mec qui m’avait lâché un sourire dans le camion. Il attendait calmement, appuyé contre une paroi, le pantalon en accordéon sur les chevilles... en train de se branler. J’en suis resté bouche bée.

— Je t’avais dit qu’il y aurait de bonnes choses pour toi... pour tes trous surtout!

Le mec qui se branlait était vraiment très beau. Le voir s’astiquer ainsi m’a tout de suite excité au plus haut point.

— Je te présente Khaled! 1m80, 77 kilos et une bite de 21cm!

— Woaw!

— Comme tu dis! Personne ne s’est encore plaint de son engin... En plus, il sait très bien s’en servir... Tu aimes les beurs, je parie?

— J’aime tous les mecs pourvu qu’ils s’occupent de moi comme d’une salope!

Là, il m’a donné une baffe!

— Alors, ferme ta grande gueule de pouffe! Si on te donne la permission de l’ouvrir ce sera juste pour pomper... OK?

J’ai fait oui de la tête.

Khaled n’avait pas dit un mot ni bougé d’un centimètre. Il était là et me regardait droit dans les yeux en continuant d'astiquer sa grosse saucisse. La porte s’ouvrit et un troisième soldat fit son entrée. Il était plus petit et râblé avec un air hyper vicelard. Il demanda si quelqu’un d’autre devait venir.

— Pas pour l’instant. On va commencer le dressage à trois! Ce sont les ordres du chef!

Le dernier arrivé ferma la porte à double tour, me saisit sous le menton et me cracha à la figure.

— Le petites putes, nous on sait s’en occuper!

— Ouais! On les dresse bien.

Il a sorti sa bite et me l’a claquée au visage.

— T'en voulais, t'en auras! Pompe-la! Tu veux de la bite, en voilà...

— Allez! Ne perds pas ton temps, salope... Taille une bonne pipe à mon pote! T'as vu cette belle queue? Elle donne envie, hein?

Je me suis retrouvé illico face à cette queue lourde et épaisse. J’ai ouvert largement la bouche pour la gober et la sucer. Le militaire s’est mis à gémir au contact de mes lèvres. Sans me vanter, je sais que je suis une bonne pompeuse. Dès que j’ai commencé à jouer avec ma langue sur son gland, ses gémissements ont redoublé et il s'est totalement laissé allé. Le beur se branlait en nous regardant et le troisième poussait ma nuque par derrière. Je n’avais aucun désir de résister car la situation me plaisait. Je l’avais même espérée dans mes rêves les plus fous. Voulant vivre une expérience de dressage musclé, j’ai joué le jeu et j’ai tenté un peu la rébellion. J’ai eu très vite droit à une nouvelle baffe, à des injures et un volée de crachats sur la figure.

Mes mains étaient toujours attachées dans le dos. Le beur s’est approché et il m’a ordonné de lui renifler la bite. Je n’ai pas réagi directement et j’ai reçu ma troisième gifle.

— Tu te prends pour qui, la pute? Ici, t’es à l’armée et tu vas obéir aux ordres... ou il t’en cuira.

— Tu viens d’où, sale pute?

— De France...

— T’es pas le premier Français qu’on dresse... On sait que vous aimez ça, les bites! Vous aimez aussi qu’on vous oblige...

— Ouais...

Gifle et injures.

— T’as pas le droit à la parole. Surtout pas pour dire «ouais»! Avec la permission, tu as droit à «Oui, Maître!» C’est tout! Allez respire la bite de Khaled! C’est de la bonne teub d’Arabe, ça!

J’ai respiré la queue bandée de Khaled jusqu’à ce qu’il m’autorise à la lécher puis la pomper. Durant une trentaine de minutes, j’ai avalé leurs trois bites odorantes et bien dures. J’imaginais déjà l’effet qu’elles me procureraient lorsqu’ils décideraient de m’enculer à la chaîne. J’espérais que d’autres soldats se joindraient à eux pour un long abattage... jusqu’au matin...

Le temps glissait doucement et j’étais toujours au service de trois beaux militaires vicieux. Sans aucune explication, ils m’abandonnèrent dans la pièce sombre et humide et s’éclipsèrent. Je suis resté là un bon moment, seul, nu, effrayé et excité à la fois... Lorsque la porte s’est ouverte, j’ai vu entrer un militaire d’une quarantaine d’années. J’ai tout de suite pensé qu'il s’agissait du supérieur des trois autres soldats. Il a tourné un peu autour de moi sans dire un mot. Je le regardais timidement. Ce mâle était mince et musclé à la fois, bien conservé et très viril. Il s’est débarrassé de sa chemise puis de son pantalon et s’est planté, jambes écartées, devant moi.

— Montre ce que tu sais faire!

Je me suis mis à genoux devant lui et mes mains ont saisi ses chevilles. Remontant doucement, elles ont commencé à parcourir ce corps magnifique. J'ai caressé les puissantes cuisses poilues, pour remonter vers les fesses musclées et poilues elles aussi. Il ne disait rien. Il respirait fort. Pour finir cette exploration, j’ai tendu les bras et j’ai caressé son torse musclé et poilu puis titillé ses tétons dressés. Sa bite dressée cognait mon visage et je l’ai embouchée. Il m’a pissé dans la bouche puis sur le visage. Quel pied intégral! Je pompais une bite énorme qui m’arrosait de sa chaude pisse et je caressais un corps vraiment parfait. Il s’est tourné et m’a offert sa raie à bouffer. J’y ai mis mes mains et la langue tout à son service. Écartant les deux lobes charnus, j’ai fait glisser ma langue dans la raie duveteuse et chaude. Le bouton de rose était serré et la pointe a eu du mal à le forcer. Il a gémi. Pendant que je m’occupais de ce cul divin, un autre gradé est entré. Il s’est appuyé contre la table à notre gauche. J’ai continué mon travail de salope. Son caleçon sur les chevilles, l’autre militaire se branlait en matant le spectacle. J’ai happé la bite de mon beau poilu et je l’ai pompée par l’arrière. Son cul cambré se frottait contre mon nez. Son odeur virile m’envahissait. L’autre s'est finalement approché et a frappé sa queue contre mon dos. Elle était dure, plus courte et plus fine que celle que j'avais en bouche. J’avais maintenant deux belles tiges à honorer. Le premier gradé a pris ma tête et l’a tournée en direction de la bite de son pote.

— Pompe sa bite!

Trop timidement à son goût, sans doute, j’ai aspiré doucement l’autre tige. Il m’a baffé la gueule.

— Un peu de conviction, salope! Bouffe sa queue bien à fond comme tu l'as fait pour la mienne! Je veux la voir disparaître complètement dans ta bouche de petite salope!

Je me suis exécuté directement. Il avait l’impression de me forcer mais il n’en était rien car j'ai toujours aimé pomper un mec. Je prends un pied d'enfer quand j'ai le plaisir de sentir une queue raide et chaude dans ma bouche. Je sais que c’est le prémisse à l’enculade. Un trou est rempli avant l’autre. Aujourd’hui serait faste car je présumais que mes deux trous allaient se faire remplir en même temps. Le sommet de l’extase! J’ai donc mis mon énergie à pomper l’autre bite. Je ne me lassais pas d'entendre son propriétaire gémir sous mes coups de langue.

— Dis que tu aimes ça! a crié celui que je suçais.

— J'adore ça!!! ai-je hurlé.

— On est tombé sur une toute grosse salope. On va bien l’utiliser.

Excité par ses promesses, je me suis mis à le pomper avec beaucoup de conviction. J’ai gobé sa queue au maximum, la laissant heurter le fond de ma gorge et me donnant des haut-le-coeur que je réprimais. Par derrière, l’autre mec me caressait le cul et les cuisses en me traitant de tous les noms.

— On va bien remplir ce trou, ma salope! Ton trou, ta putain de chatte... Tu vas couiner en jouissant sous nos coups de bites! Il y aura nous puis tous les autres. Si tu es là, c’est pour servir...

À leurs pieds, je passais d'une queue à l'autre en essayant de les satisfaire l'un et l'autre. C’est là que la deuxième salve de pisse éclata. De concert, ils me larguèrent leur liquide doré à la gueule. Les deux jets m’inondaient visage, cou, torse et la pisse ruisselait sur les cuisses écartées. C’était très bon.

— Continue à sucer! disaient-ils. Bois! Profite! Ici, on ne te donnera à boire que notre pisse et notre jus blanc...

Je savais que la nuit serait longue et humide...

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Vendredi 14 septembre 5 14 /09 /Sep 01:08

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J’ai rencontré Marc (on va l’appeler comme cela pour l’histoire car en fait je ne connais même pas son prénom) un matin en sortant de boîte pas très loin de la place Clichy, dans laquelle je venais de m’éclater pendant quatre heures à danser au rythme de la Techno et de la House. En sortant, alors que le jour commençait à poindre, un mec m’aborda au moment où je montais dans ma voiture. En lui jetant un coup d’œil, je me rendis compte que j’avais croisé son regard plusieurs fois dans la soirée mais sans plus. Il était quelconque, dans la quarantaine, avec un léger embonpoint, pas trop dans mon genre. Il me demanda si je pouvais le déposer à Asnières et comme c’était ma direction, je lui répondis oui. Il me guida alors pour arriver jusqu’à chez lui. Un pavillon de banlieue au fond d’une impasse. Au moment de le déposer, il me proposa de venir boire un verre chez lui pour me remercier. Moi je n’avais qu’une envie, c’était d’arriver le plus vite possible chez moi pour me pieuter, d’autant que j’avais déjà pas mal picolé. Malgré tout, et devant son insistance, j’acceptais son offre.

Il me fit entrer et m’installa dans un canapé. Le décor était sobre, sans trop de décoration. Il sortit alors une bouteille de whisky et me servit un verre. La discussion s’engagea sur des banalités et je sentais la fatigue monter de plus en plus, ainsi qu’une envie de pisser. Je lui demandais alors si je pouvais emprunter ses toilettes, ce qu’il m’autorisa. Après m’être soulagé, je revins dans le salon et nous reprîmes la discussion, jusqu’au moment où je me suis senti partir. Ma vue commença à se brouiller, mes oreilles à bourdonner et je ne sentais plus mes muscles, bien qu’entièrement conscient. Plus le temps passait et plus je me rendais compte qu’il m’était difficile de parler. Je comprenais tout ce que me disait le mec mais j’étais comme dans un état second. Je n’arrêtais pas de me dire qu’il fallait que je me lève et que je parte mais c’est comme si mon corps ne répondait plus. Enfin presque car lorsque Marc me fit remarquer qu’il faisait chaud et que je ferais mieux de retirer mon pull, je lui souris béatement et m’exécutais.

Puis il se leva et débarrassa la table basse qui se trouvait devant nous. Il me regardait en rigolant et en me disant qu’on allait bien s’amuser ensemble, tout en me resservant un verre que je pris inconsciemment. Il quitta la pièce quelques instant pour revenir avec un sac de sport qu’il déposa à côté de la table maintenant vide. Puis il s’approcha de moi et d’une voix basse, m’ordonna de retirer mon t-shirt, ce que je fis. Il se mit alors à me caresser les seins en malaxant mes tétons entre ses doigts. Je le laissais faire, incapable de réagir. Au fur et à mesure, ses caresses se firent de plus en plus brusques et son souffle devenait de plus en plus rauque. Son sourire s’était transformé en un espèce de rictus et ses ordres retentissaient dans ma tête.

— Lève et toi et allonge toi sur la table!

Docile, je m’allongeais le dos sur la table, comme un pantin. Celle-ci était assez grande pour que je puisse m’y installer de la tête aux reins. Il s’empara alors du sac et l’ouvrit pour en sortir des cordelettes, à l’aide desquelles il m’attacha les mains et les chevilles aux pieds de la table. Dès lors, j’étais vraiment devenu son prisonnier. Il allait pouvoir faire ce qu’il voulait de moi et aucune résistance n’était possible. Il se recula et sortit un appareil photo de son sac. Il prit quelques clichés tout en se caressant la bite au travers de son pantalon.

Puis il attrapa ma ceinture qu’il défit prestement au même titre que les boutons de ma braguette. Il fit glisser mon pantalon jusqu’à mes chevilles, puis mon slip. Au fur et à mesure qu’il me déshabillait, il prenait des photos. Dans le silence de la pièce, on n'entendait plus que son souffle qui s’accélérait et le crépitement de l’appareil. Une bosse s’était formée au niveau de son entrejambe. Nu, attaché sur la table, je le regardais alors se mettre à poils doucement, le sourire aux lèvres. Lorsqu’il baissa son pantalon, une grosse queue jaillie. Elle est bien droite et bien grosse, couverte de veines, le gland bien décalotté. Il se masturba quelques instants puis s’approcha de moi et se positionnant au dessus de ma tête me présenta son cul.

— Lèche moi la rondelle! Enfonce ta langue dans mon trou!

Je fis ce qu’il me demanda sans réfléchir et lui nettoyai sa rondelle avec ma langue. Pendant ce temps, il attrapa ma bite et mes couilles et commença à jouer avec. Puis il se releva et disparut un moment pour revenir avec une bombe de mousse et un rasoir.

— Je vais te faire une beauté. Tu vas te retrouver avec des couilles de nouveau né!

Sur ses paroles, il répandit de la mousse sur mes poils pubiens et ceux de mes couilles et me rasa. Puis je sentis le rasoir remonter sur mon torse et sous mes aisselles, puis descendre sur mes cuisses. Il était en train de me raser entièrement et moi je ne disais rien, plongé dans cette espèce d’inconscience. Lorsqu’il eut terminé, il me détacha, finit de me déshabiller et m’ordonna de m’allonger sur le ventre. Aussitôt dit, aussitôt fait, et je me retrouvais de nouveau ligoté mais cette fois dans l’autre sens, lui offrant mon cul. Je sentis de nouveau le rasoir me parcourir pour éliminer tous mes poils. Alors qu’il me rasait la rondelle, je sentis un doigt s’enfoncer en moi.

— Putain, tu vas avoir un cul d’enfer!

Lorsqu’il eut terminé, je l’entendis fouiller dans son sac. Il s’approcha de moi et me mit un bandeau sur les yeux. Puis il me fit ouvrir la bouche et y enfonça sa bite.

— Vas-y, pompe moi la queue! Vide-moi les couilles!

Sa bite était énorme et j’avais bien du mal à écarter les lèvres pour la faire entrer. Il m’attrapa alors par la nuque et me baisa la bouche. Son gland venait buter au fond de ma gorge à chaque assaut. Après quelques va-et-vient, il se retira et je sentis son sperme s’écraser sur ma figure en de grands jets. Alors que je sentais le sperme couler le long de mes joues et sur ma bouche, il introduisit un objet entre mes lèvres. Au début je pensait que c’était de nouveau sa bite, mais bien vite je compris qu’il s’agissait d’autre chose quand je le sentis me fixer une lanière derrière la tête. J’étais complètement à sa merci, attaché sur la table, les yeux bandés et la bouche pleine, le cul bien offert.

Je sentis alors qu’il me passait une crème sur le cul, jouant avec ma rondelle. C’était froid mais à priori, cela facilitait la pénétration car je sentais ses doigts me pénétrer un à un. Il était en train de me travailler le cul et devait sûrement utiliser un gel. Lorsqu’il décida que j’étais prêt, il retira ses doigts et je sentis s’enfoncer un objet. Le truc devait être énorme car malgré mon état de coma, je ressentis la douleur. Après quelques minutes, je sentis le gode ou autre glisser dans mes entrailles.

— Et voilà petite pute tu es prêt! Ça va vraiment être ta fête et mes potes vont se régaler! Tu vas rester comme ça bien sagement le temps que je revienne avec eux. Et après tu auras intérêt à obéir. Tu feras tous ce qu’ils voudront!

Je l’entendis se rhabiller et partir. Il me laissa seul et je finis par m’endormir sans m’en rendre compte.

Lorsque je me suis réveillé, j’avais complètement perdu la notion du temps et la première chose que je ressentis fut une sensation bizarre. J’avais beau essayer d’ouvrir les yeux mais je n’y voyais rien. Une douleur me lançait en provenance de mes fesses et je ne pouvais plus bouger les lèvres. Un moment de panique s’empara de moi et je me demandais alors si je ne dormais pas encore. Une douleur vive aux poignets et aux bras me fit comprendre que non. Je ne compris pas de suite la position dans laquelle je me trouvais mais je finis par comprendre que j’étais allongé sur une table, les poignets et les jambes attachés. Ma panique augmenta encore plus lorsque je voulus crier et que je n’entendis aucun son de ma bouche. On m’avait aussi rempli la bouche pour me bâillonner. Plus j’essayais de me débattre et plus la douleur était vive aux poignets. Je tentai alors de me calmer et de réfléchir. Où étais-je? Quelle avait été ma dernière destination? Et comment j’avais fais pour me retrouver dans cette situation. Petit à petit, les souvenirs mes revinrent en mémoire. Ce type que j’avais ramené et qui m’avais offert un verre.

Tout à coup, j’entendis une porte qui s’ouvre et des pas. Le bruit d’un interrupteur que l’on actionne mais toujours le noir complet pour moi. Et puis sa voix:

— Regarder les gars ce que je vous ai préparé! Vous allez pouvoir vous éclater.

Je l’entendis se rapprocher de moi et je sentis une main se plaquer sur mon cul et commencer à me malaxer les fesses.

— Putain de cul qu’il a. De le voir se trémousser hier soir en boîte, j’en ai eu la gaule toute la nuit.

En guise de réponse je tentais de bouger pour lui faire lâcher prise mais le salaud savait que je pouvais rien faire et se mit a rire.

— Bouge tant que tu veux, cela nous excite. Faut que je te dise que t’es bien accroché et que tu risques pas de te sauver. On a envie de ton cul et rien ne peut nous empêcher de jouer avec.

Sa main était toujours sur mon cul et ses attouchements se faisaient de plus en plus précis. Elle glissait le long de ma raie occupée pour passer entre mes jambes et venir me saisir mes couilles pour les malaxer. La douleur qu’il m’infligeait me forçait à resserrer les jambes, mais cela m’était impossible. J’étais impuissant et il en profitait. Son manège dura un moment. Son souffle s’accélérait à mesure que ses mains me pétrissaient. Mes couilles me faisaient mal d’être serrées de la sorte et plus je tentais de me dégager, plus il me pétrissait.

Je pensais qu’il allait alors ce calmer mais je fus surpris lorsque je reçus une claque sur les côtes. La douleur fut vive et vint se rajouter aux autres. Mais je n’étais pas à la fin de mon supplice et d’autres suivirent un peu partout. Je crois bien qu’aucune partie de mon corps ne fut épargnée. J’avais les fesses qui brûlaient à mesure que les claques pleuvaient. Je n’en pouvais plus, il dut le ressentir car tout s’arrêta aussi vite que cela avait commencé.

— Alors les gars, qu’est-ce que vous en pensez? Et en plus, il est entièrement rasé! Et le plugg qu’il a dans le cul doit lui avoir ouvert la rondelle un max.

— Putain, le pied. Moi qui n’a pas eu de plan depuis une semaine, je vais lui faire sa fête. La salope, regarde moi ça. J’ai déjà la queue qui gonfle.

Je sentis alors des mains sur mes fesses qui se dirigèrent ensuite vers mes couilles et autres parties de mon corps.

— Retire lui son plugg que je vois sa rondelle bien écartelée, et que j’admire son cul.

— Ouais et moi je lui vire son baîllon. J’ai trop envie d’y enfoncer ma bite.

— Allez-y les gars il est à vous. Moi je vais prendre quelques photos.

— T’inquiètes, on va lui faire sa fête.

Je sentis alors que l’on me retirait ce que j’avais dans la bouche et pus alors respirer un grand coup. Le répit fut de courte durée car très vite, j’entendis descendre une braguette et un gland se positionner et forcer mes lèvres pour pénétrer ma bouche.

Je crus hurler de douleur lorsque l’on me retira d’un coup sec le plugg que j’avais dans le cul, tellement la douleur fut vive. Mais de ce côté-là aussi le repos fut bref. Des doigts se mirent à me fouiller le cul et je les sentais glisser facilement. Je devais avoir le cul béant.

— Putain c’est plus un cul qu’il a c’est un hall de gare. Je viens de lui enfoncer quatre doigts sans problème et il y a encore de la place. Il va me bouffer la main cet enculé.

— Ouais et moi il est en train de me bouffer la queue entièrement cette salope. Un vrai trou à bite. Vas-y, fiste-lui le cul, j’suis sûr qu’il n’attend que ça.

— Tu m’étonnes, il me l’avale entièrement. Je suis en train de le défoncer avec le poignet et ça glisse comme dans du beurre. Putain Marc, tu nous l’as super bien préparé.

Je savais alors maintenant que j’avais entièrement la main de celui qui était derrière moi dans mon cul et qu’il m’enculait avec son avant bras. La douleur était atroce mais je ne pouvais rien faire ou dire, toujours attaché et une bite me pilonnant la gorge, à la limite de l’étouffement.

— Marc, passe-moi la bouteille de whisky que je lui enfonce dans l’cul.

L’autre retira alors sa main de mes entrailles et je sentis alors le goulot se présenter sur ma rondelle et coulisser en moi. À mesure que la bouteille me pénétrait sans trop de problème, je sentais mes sphincters s’écarter pour laisser le passage à ce gode improvisé. Je m’étais déjà fait prendre plusieurs fois par de gros calibres, mais là c’était autre chose et je ne pensais pas qu’un jour cela m’arriverait. Et pourtant, après quelques minutes, je sus que la bouteille était bien en moi car celui qui me l’avait introduite était en train de m’enculer avec.

Je sentis celui que je suçais accélérer le mouvement et ne tarda pas à avoir la bouche remplie de sperme. Après m’avoir forcé à nettoyer sa bite, il se retira et laissa la place qui fut de nouveau prise d’assaut. Mais cette fois, la bite qui se présenta était molle. On me força à ouvrir la bouche et je fus surpris lorsqu’un jet chaud se mit à couler. On était en train de me pisser dans la bouche et sur la gueule. Au milieu des rires, j’entendais le crépitement de l’appareil photo.

Ils jouèrent avec moi pendant un temps que je suis incapable de définir et je ne sais pas combien de mecs me sont passés dessus. Lorsqu’ils en eurent assez, ils me firent de boire quelque chose et je retombais de nouveau dans les vappes. Lorsque je me suis réveillé, j’étais dans ma voiture. Mon corps n’était que douleur et j’avais bien du mal à remettre les choses en place. Petit à petit, j’essayais de reconstruire les dernières heures de ma vie. Après avoir récupéré un maximum de mes capacités, je décidai de rentrer chez moi. Je n’avais qu’une envie, prendre une douche pour tout oublier.

Arrivé chez moi, je me déshabille rapidement et là je m’aperçois que je suis entièrement rasé. Ce que je pensais avoir été un rêve ne l’était pas. Cela se confirma quelques jours plus tard lorsque je reçus une enveloppe contenant des photos. Je me suis alors branlé comme un fou en les regardant...

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Lundi 10 septembre 1 10 /09 /Sep 23:45

diabolos X 1272793107yboy.coco.fr-4320

Comme demandé, j'attends nu sur mon lit, un plug de taille moyenne bien en place et en vue dès la porte de la chambre franchie car si je ne verrai pas qui est avec mon maître, ceux-ci découvriront leur objectif en franchissant la porte.

Depuis près d'un an que nous nous sommes rencontrés sur le net puis après quelques séances de "prise en main", je suis maintenant sous son influence car il a trouvé comment satisfaire mes besoins sexuels et m'a révélé mon penchant de soumis. Je sais juste que ce soir, il ne sera pas seul – il m'a annoncé qu'ils seraient plusieurs avec lui – et il m'a donné l'ordre de prendre un RTT lundi car 3 jours pour me remettre ne seraient pas de trop. Cette dernière remarque m'a fait un peu flipper, mais je sais que je peux lui faire confiance.

Ça y est, j'entends la serrure de mon appartement, puis des voix. Mon maître entre dans la chambre et me présente comme la "pute à dispo de ce soir" ; aux bruits de pas, ils sont bien nombreux, il me semble entendre des bruits de respiration tout autour de mon lit que j'ai dû tirer au centre de la pièce aujourd'hui.

En précisant que toutes les pénétrations, tant anales que buccales, se feront avec capote et que celles-ci se trouvent au quatre coins du lit, tout comme les poubelles pour les éliminer, il commence à jouer avec le plug et me demande si j'ai suivi ses ordres à la lettre: lavement suivi d'une lubrification en profondeur à l'aide d'un gode puis mise en place du plug. Après ma réponse positive, il me retire le plug, quelqu'un se capote puis me pénètre d'un coup jusqu'au fond – heureusement que je suis bien préparé. Mon maître prend la parole et dit que c'est ainsi que l'on pénètre une pute ; la soirée promet d'être longue. Mon maître se retire immédiatement de mon cul et une nouvelle bite me pénètre immédiatement – elle est plus courte mais plus large que la sienne. Mon enculeur précise que je sais bien recevoir une queue même si je suis encore un peu étroit et précise avec un rire sadique que ce ne sera plus le cas à la fin de la soirée.

Au moment où je tente de protester, une autre queue me rempli instantanément la bouche, je suis comblé. Il semble que mon maître n'a choisi que des queues volumineuses... car ces deux là ainsi que celles qui suivent, elles sont nombreuses et changent si souvent d'orifice que j'en perds le compte, sont soit épaisses, soit longues soit les deux.

On sonne à ma porte, mon maître quitte la chambre et une nouvelle personne entre, salue les présents puis une queue plus fine m'est donnée à sucer et cela me paraît étrange, mais pas pour longtemps car après que l'un d'entre eux se soit glissé sous moi et m'ait pénétré, mon maître précise que nous changeons d'étape et que je vais vivre ma première double pénétration anale et que pour se faire, je ne devais pas avoir de queue en bouche afin de laisser libre cours à mon corps.

Après quelques mouvements du lit, je sens qu'une deuxième queue, celle plus fine qui vient de quitter ma bouche, se glisse sur celle déjà en moi. Au bout de quelques tentatives, le gland passe mon sphincter en m'arrachant un cri. Après quelques secondes d'arrêt, la queue poursuit sa pénétration ; une fois au fond, mes enculeurs s'immobilisent et mon maître me demande de décrire mes sensations. Le fait de sentir deux verges est bien plus intrigant que ne l'est la douleur de la pénétration, je ne suis pas sûr que les deux queues ensemble aient forcément un diamètre supérieur au plus gros des godes que j'ai dû accepter dans mon cul depuis que je connais mon maître. Le peu d'air qui glisse entre la forme des deux queues et mon sphincter crée une sensation de "chaud-froid" qui est loin d'être désagréable.

Puis les deux queues se mettent à coulisser en moi et dès que mes partenaires ont cadencé leurs mouvements, je sens monter en moi une jouissance comme je n'ai encore jamais connue. N'ayant rien à faire de ma jouissance, ils continuent à me pilonner jusqu'à ce que l'un puis l'autre s'enfonce jusqu'à la garde en moi puis se retirent lentement. Mon trou ne reste pas longtemps inoccupé, une première bite – bien épaisse celle-là me perfore d'un coup et je sens très rapidement le lit bouger sous moi et une deuxième – tout aussi large – la rejoint. Je ne peux m'empêcher de pousser un hurlement, bientôt étouffé par une autre queue ; cela ne semble ne pas vouloir s'arrêter et je perds le compte des pénétrations. Au bout de ce qui me semble une éternité, mon maître annonce une pause tout en précisant que cela ne me concerne pas : je vais étrenner un nouveau plug permettant de conserver mes "progrès" de ce soir. La mise en place n'est pas exempte de douleur.

Ils me laissent seul ; ils doivent avoir pris de quoi se restaurer car je n'ai rien eu à préparer. En leur absence, et malgré la douleur, je m'endors, toujours les fesses en l'air et la tête écrasée sur mon lit.

Je me réveille en un hoquet : une queue est au fond de ma gorge et m'étouffe presque. Mon maître demande à celui qui me baise la gueule d'y aller mollo, car c'est de mon cul que l'on s'occupe ce soir.

Le plug est retiré délicatement et je sens plusieurs doigts qui testent l'élasticité de ma caverne. L'un des hommes dit que je ne suis pas encore prêt et qu'il faut continuer avec les doubles pénétrations. Mon maître acquiesce et je suis en un instant à nouveau embroché par deux queues.

Après quelques pénétrations supplémentaires, la porte sonne à nouveau et mon maître dit que se sont "les jumeaux démolisseurs". Devant mon air interrogatif, l'un des hommes présents m'explique qu'il ne s'agit pas de vrais jumeaux, mais que leurs queues le sont et que je comprends sûrement à quoi la deuxième partie de la dénomination peut faire référence.

Il est interrompu par une voix grave qui demande si la pute est prête. Mon maître répond par un simple tout est OK mais que le double risque de "coincer" un peu au début. La voix demande à ce que mon cul soit tiré vers le bord du lit et que l'on me mette un bâillon. Une fois cela fait – et après un bruit de pochette de préservatif – il annonce: "attention, j'arrive!" J'ai à peine le temps d'évaluer la taille du gland, qu'il m'a pénétré d'un coup avec une queue énorme et longue. Sans attendre un instant, il se met à me pilonner brutalement puis se retire complètement et laisse sa place à son "jumeau". Je me pose la question comment je vais pouvoir prendre ces deux queues ensemble en moi.

La réponse est donnée par mon maître au bout de quelques instants quand il annonce qu'il va me mettre un peu de pommade anesthésiante sur ma rondelle. Une sensation de froid se diffuse lentement et avant que je puisse m'habituer, je sens le lit bouger, puis suis soulevé par les hanches et enfoncé sur l'une de ces queues monstrueuses. Mon maître propose de faire en premier un test avec lui avant de laisser le deuxième me pénétrer.

Malgré la pommade, je pousse un hurlement étouffé par le bâillon. Après quelques va et vient, mon maître décide que je suis prêt et cède sa place. Le deuxième gland force – mon cul résiste – la pression se fait plus intense et d'un coup, tout le gland est en moi. Ils ne bougent pas durant de longs instants puis le deuxième Priape commence sa lente pénétration. Une fois qu'il est tout au fond, il s'immobilise – et c'est mon corps qui réclame, en ondulant, que les deux formidables queues se mettent à bouger, bien que leurs mouvements m'arrachent des cris.

Les commentaires fusent ; on parle de l'ouverture de mon cul, de mon obéissance, de ma facilité de progression. Mon maître précise que ce sera tout pour ce soir, que la séance sera terminée après la jouissance des "jumeaux", qui elle tarde me semble-t-il à venir. Puis je sens une première queue me quitter puis la deuxième. Je suis retourné sur le lit puis je sens des flots de sperme me couvrir le torse.

Mon maître s'occupe de ma toilette, me passe différentes pommades sur le cul et me félicite une fois que tous les autres sont partis. Une fois qu'il m'a mis au lit, je comprends pourquoi il a exigé que je prenne mon lundi.

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Lundi 10 septembre 1 10 /09 /Sep 22:49

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Chouette, enfin les vacances ! J'ai trois semaines à ma seule disposition et bien que je n'aie pas les moyens de partir, ce repos va me faire du bien. "Mon" maître ayant quitté ma ville définitivement, sans volonté de poursuivre notre relation et m'ayant laissé carte blanche, je suis totalement libre de mes mouvements. Après deux longues nuits pour me reposer, je commence à arpenter les lieux de drague, à la recherche de sexe et, pourquoi pas si l'occasion s'en présente, d'une relation quelque peu plus suivie.

Au bout de quelques heures, je suis prêt à jeter l'éponge et à me rendre dans un sauna quand une main se pose sur mon épaule. Je n'ai ni vu ni entendu arriver l'homme qui me saisis comme ça et me pose la question si je suis prêt à le suivre chez lui. Avant de répondre, je me retourne et me retrouve face à un homme massif, du muscle mais pas que, de ma taille, chauve avec de yeux d'un bleu très clair. Il "pue" le sexe; il ne semble être fait que pour le sexe… tout à l'opposé de moi qui ne pratique qu'un peu de vélo et de natation et suis de ce fait beaucoup plus fluet.

Je bégaie un "oui" à peine audible et compréhensible et il me propose d'aller boire un verre afin de faire un peu connaissance avant. Pour des raisons pratique, il me propose de boire ce verre chez lui, je ne le sais pas encore, mais le piège vient de se refermer sur moi.

Il habite un pavillon en périphérie de la ville, une impression de calme et quiétude se dégage de l'extérieur. Une fois le hall passé, l'intérieur est lui beaucoup plus sombre: cuir, bois brut et chaines sont les éléments principaux du décor. Il me fait comprendre qu'il est déjà trop tard pour reculer. Il m'offre le verre promis en me questionnant sur mes pratiques sexuelles, mes préférences tout en éludant les réponses à mes questions. De mes réponses, celles qui l'ont fait le plus sourire sont ma préférence pour la soumission ainsi que le fait que j'aie déjà expérimenté la double pénétration, avec différents partenaires et que j'en aie tiré, malgré tout, grand plaisir.

Puis il me demande de débarrasser les verres et de ne ressortir de la cuisine qu'entièrement dévêtu, après avoir mis toutes mes affaires dans la petite malle qui se trouve à côté de la porte du garage, que je dois fermer à l'aide du cadenas qui se trouve sur la table et dont seul lui a la clé. Je ne lui montre pas mon hésitation, mais la tentation de fuir, une fois la cuisine atteinte, est grande. Mon besoin de sexe prenant le dessus, j'exécute l'ordre donné et retourne nu au salon en baissant la tête en signe de soumission.

Il attend de nombreuses minutes avant de s'adresser à moi. Il commence par m'ordonner de me mettre à genoux puis m'annonce qu'après un test de "résistance" il décidera s'il me garde pour la durée de mes vacances ou s'il me met dehors et qu'en cas de révolte de ma part, ce sera nu.

Dans le silence qui suit, je me permets de lui dire "je suis à votre disposition, Maître, et ferai tout mon possible pour vous plaire" puis me tais et attends. Il prend son temps puis se lève et me dit que c'est la dernière fois que j'ai eu le droit de parler sans y être autorisé et que dès cet instant c'est lui qui décide de tout. Je fixe le sol et ne dit rien.

Il me demande de m'approcher, ce que je fais à quatre pattes; dès qu'il le peut, il m'attache un collier de cuir autour du cou, puis une laisse et se lève. Je le suis en direction du sous-sol. Une fois au bas des escaliers, il ouvre la porte de son donjon, pièce que je ne vais pas quitter dans les semaines qui suivent. Avant même que je puisse commencer à appréhender ce nouvel environnement qu'il me donne sa queue à "bouffer" – en fond de gorge. Une fois complètement érigée, je manque de m'étouffer car elle est à son image : large (et de longueur appréciable). Au vu de ses soupirs, je ne dois pas trop mal m'en sortir; puis il s'immobilise avec juste son gland dans ma bouche, m'ordonne de tout prendre mais m'interdit d'avaler immédiatement. Une fois qu'il a jouis, il m'amène un bol et me demande de tout cracher, puis m'engueule d'avoir accepté de mettre ma vie en danger ! Il me précise que j'ai maintenant l'obligation de me rincer la bouche et que dès à présent tout sera SSR. Si j'apprécie son souci pour ma santé, je suis déçu du fait qu'il se soit laissé aller si vite, j'aurai préféré plus d'endurance.

D'ici à ce que j'ai fini de me laver, il bandait à nouveau ! Il m'a dit de ne pas bouger car il souhaitait faire connaissance avec mon autre trou. Après un léger doigtage nécessaire pour mettre le gel, il a enfilé une capote et m'a pris en un seul grand coup, de toute la longueur de sa queue – ce qui après quelques va et viens est devenu des plus agréables. Après près de 15 minutes, il s'est retiré, m'a félicité et demandé de me mettre dans le sling accroché au centre du donjon. Il m'a à nouveau pénétré, mais brièvement seulement puis m'a annoncé qu'il allait tester un peu plus mes capacités. Il a amené un chariot fermé et en a ouvert les portes – hors de ma vue – puis m'a annoncé: "voilà n°1" – et j'ai senti un gode légèrement plus gros que sa bite me pénétrer, une fois en place au fond de mon trou, il l'a laissé en place et a quitté le donjon.

Il est revenu quelques temps plus tard en annonçant qu'il allait changer le gode et passer progressivement jusqu'à n°4 en attendant l'arrivée des autres, ce qu'il fit. N°2 étant plus long que n°1, n°3 plus épais que le précédent et n°4 à nouveau plus long; puis il varia l'ordre dans lequel il plongeait les godes dans mon cul jusqu'à ce qu'une cloche sonne. Il me laissât avec le n°4 bien en place.

Il est revenu accompagné d'au moins trois hommes (aux voix entendues). Il rentre seul dans la pièce, me bande les yeux avant que j'aie eu le temps de voir (ou compter) ses accompagnants et m'annonce que les règles édictées avant notre venue dans le donjon restent valables, tout comme l'annonce après la première pipe. Avec ces derniers mots, je sens une queue sous latex qui force ma bouche, rejointe peu après par une autre venant remplacer le gode. Puis je suis rapidement abandonné et je les entends murmurer…

Deux mains me tirent hors du sling et me guident vers un matelas ou je suis mis à quatre pattes. Je sens le tout bouger et un des hommes se place sous moi et me pénètre; une queue rejoint mes lèvres puis une autre tente de rejoindre la première dans mon cul, qu'elle pénètre au bout de deux ou trois tentatives. Les hommes se relaient dans mes trous puis je sens que la bite qui tente et réussi à rentrer en deuxième dans mon cul est plus épaisse: il s'agit sûrement de mon Maître. Ils se retirent tous et j'ai le droit à une douche de sperme sur mon torse après m'être retourné. Un gode plus gros que les précédents est entré dans mon cul – et il entre sans trop forcer. Il est équipé de sangles qui l'empêchent de ressortir.

Mon maître me demande d'attendre qu'ils soient tous sortis pour enlever mon bandeau et me doucher puis de l'attendre dans le sling.

A son retour, je suis déjà somnolant vu la longue attente. Il m'annonce une dernière épreuve avant un peu de sommeil, détache le gode et le bouge dans mon cul endolori par ce qu'il a déjà subis ce soir. Il est rapidement remplacé par un plus épais imitant un poing qui rentre difficilement. Mon maître me donne un peu de poppers et mon cul accepte l'intromission avec légèrement moins de difficultés. Voyant cela, mon maître dit qu'il va changer ses plans: je vais dormir avec un gros plug dans le cul et mon premier fist sera pour demain matin. Aussitôt dit, aussitôt fait… Il précise que je dormirais entravé dans le donjon sur un petit tapis qui me servira de matelas. Il m'installe et me laisse seul une fois qu'il est certain que je ne peux pas me libérer seul.

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Lundi 10 septembre 1 10 /09 /Sep 03:00

 

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Mon cul endolori me réveille. Je sens tous mes muscles, tant à cause des activités de la veille que par "l'inconfort" de ma position pour dormir. Par contre, mes entraves ont été défaites pendant la nuit, sans que je m’en aperçoive… Je m'autorise à me soulager et remets le gode en place après un court lavement. À peine suis-je à nouveau en place que mon Maître entre dans le donjon. Il me félicite du lavement et de mon obéissance, mais me rappelle fermement les règles : pas d'initiative personnelle. Pour me punir, il commence par me fouetter – et je dois compter les coups et le remercier pour chacun. Une fois qu'il en a assez, il me baise la gueule avant de me gicler sur le visage puis me laisse à nouveau seul, mais attaché et godé par « n°4 ». Il me dit qu'il me faudra attendre encore un peu pour savoir s'il peut être satisfait de moi.

Après une attente qui me semble interminable, il revient accompagné d’un homme – une vraie montagne de muscles – masqué. Je suis frustré car il porte un pagne qui m’empêche de voir ses attributs. Ils me « tâtent » sans douceur, me pincent les seins, posent des pinces à linge sur le corps, puis deux petites pinces métalliques, reliées par une petite chaîne, viennent orner mes tétons. Mon Maître retire le gode et me prend, puis le deuxième fait de même ; sa queue est plus courte que celle de mon Maître, mais nettement plus épaisse. Ils alternent pendant un bon moment, puis le gode en forme de poing est présenté devant ma rondelle qui l’accepte nettement mieux que la veille au soir, ce qui semble les réjouir au plus haut point !

Mon Maître me félicite et me dit que la dernière épreuve va commencer : il met des gants chirurgicaux, se graisse les mains puis mon trou. Il commence à entrer progressivement trois doigts pour débuter, puis quatre et enfin cinq ; il me travaille le cul circulairement jusqu’à ce qu’il soit suffisamment dilaté pour faire entrer sa main jusqu’au poignet. Sa main tente de continuer sa progression, mais elle ne peut aller bien loin, ce qu’il ne manque pas de relever. Il la ressort et entre à nouveau – et répète plusieurs fois sa manœuvre. Puis le deuxième homme enfile également une paire de gants et annonce qu’il va tenter de faire de même – ce qui va être douloureux étant donné la différence de taille entre les mains des deux hommes… Mais possible comme la suite me le démontrera.

Après cette séance, mon Maître m’ordonne de me doucher puis d’enfiler un jock-strap. Nous remontons au rez-de-chaussée où mon Maître me donne une liasse de papiers et m’ordonne de tout lire et compléter consciencieusement : il y a un questionnaire médical, un des pratiques sexuelles déjà effectuées, un pour les phantasmes, un autre pour les pratiques qui me rebutent et bien entendu, un contrat d’asservissement. Je me mets à la tâche, et ce n’est qu’une fois le contrat signé que je me permets de relever la tête, conscient que ma vie va changer… Je me demande tout de même pourquoi j’ai dû remplir tous ces questionnaires, car il est bien précisé dans le contrat que le seul qui a le droit de décider de quoique ce soit est mon Maître. Le seul pouvoir qui m’est laissé est le mot-stop « constitution » (choix de mon Maître), mais qui a comme conséquence que je me retrouve dans la minute qui suit devant la porte, dans la tenue que je porte au moment où je le prononce, avec l’obligation de le quitter définitivement ! Dans un premier temps, le contrat est de la durée de mes vacances. À la fin de celles-ci, je retournerai chez moi et aurai 24 heures pour me décider à signer le contrat définitif et – si je le fais – trois mois pour quitter travail, appartement, etc. pour entrer à son service, avec un contrat de travail en bonne et due forme, en temps que secrétaire particulier et personnel de maison.

Ces deux semaines et demie de vacances ont été éprouvantes pour moi. J’ai constamment été poussé à mes limites, tant sexuellement qu’en terme de travail : tenue du ménage, cuisine, courrier, etc. Mais cela m’a énormément plus ! Alors, maintenant que je suis de retour dans mon appartement, j’ai commencé par préparer mes lettres de congé, puis ai signé mon contrat définitif, je n’ai pas de famille à avertir de mon changement de vie, seulement quelques amis – il ne me faut pas oublier de supprimer mes traces sur les réseaux sociaux, etc. puis dans trois mois, rejoindre celui qui sera mon Maître et que je ne vois, pour l’instant, que pour les week-ends.

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Dimanche 9 septembre 7 09 /09 /Sep 16:46

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Depuis des années, je suis attiré par cet homme que j'appelle papa. Nous ne vivons qu'à deux depuis bien longtemps. Je n'ai jamais connu ma mère et mon père n'a jamais conquis aucune autre femme. J'avais un peu de peine pour cet homme qui n'avait que la branlette comme vie sexuelle. Pourtant, il dégageait comme une énergie sexuelle, il régnait en sa présence une atmosphère libidineuse qui avait pour don de m'exciter. J'aimais ses odeurs. À la fin d'une journée de travail, il m'arrivait d'avoir des érections majestueuse quand il passait à proximité.

J'ai toujours qualifié notre relation de particulière. Il nous arrivais de dormir ensemble, ni lui, ni moi ne supportions la solitude, et quand il était possible de la rompre, nous ne pouvions nous en priver. C'est une habitude que nous avions pris quand j'étais enfant, quand l'orage grondait, je me blotissais contre lui, la nuit, dans son lit, dans ses draps chauffés par son corps puissant. Je m'y glissais en faisant attention de ne pas le réveiller.

Je me souviens encore quand il me faisait prendre mon bain, ses gestes délicats, ses attentions à bien me sécher... activité qui cessa quand la pudeur de l'adolescence se manifesta. Je ne comprenais pas encore ces distances qu'il prenait, il savait à quel point mon corps changerait. Aujourd'hui à 19 ans, j'ai hérité de son corps naturellement musclé, de sa pilosité qui m'a toujours excité. Je ne l'avais jamais vu nu, et j'étais intrigué de savoir si nous avions également la même bite, ce que je ne tarderais pas à connaitre.

J'ai loupé mon bac, selon mon père, à cause des fréquentaions que j'avais au lycée. Il ne me voyait pas finir ouvrier comme lui. Il m'inscrit dans un lycée privé, beaucoup plus loin, il m'y déposait et venait me chercher après son travail. Ce trajet du retour était un moment de détente et de franche rigolade. Nous parlions souvent de sexe, ses mots crus me chatouillaient l'esprit. Il ne se changeait pas au travail, il restait en bleu de travail, taché de graisse. La promiscuité de l'habitacle rendait ses odeurs de mâle plus prononcées. J'y ai connu de belles érections, je me masturbais dans ma chambre en rentrant, en nous mettant en scène sur le bord d'une route. Après des mois de branlette, je n'avais qu'un seule idée en tête: me taper mon père... Je n'avais jamais couché avec un homme et les seuls que j'ai vus nus posaient dans des revues pornos.

Un soir d'hiver, mon père vint me chercher au lycée, il faisait déjà nuit. Je montais dans la voiture, je l'embrassais sur la joue comme d'habitude. Alors que nous roulions, je ne parlais pas, mon silence l'inquiétait...

— Comment s'est passée ta journée au lycée? Tu n'as pas de problème j'éspère? Je te sens préoccupé...

— Non non, tout va bien au lycée...

— Alors qu'y a-t-il? Tu sais, on peut tout se dire... tu es amoureux?

— Non, c'est concernant ma sexualité...

— Enfin tu m'en parles! Alors dis moi! Si tu as des questions à poser, je peux t'aider!

— Voilà, depuis quelques années, tu dois savoir que mon corps a changé, je me demande si j'ai une bite normale...

Il se mit à rire...

— Qu'a-t-elle de spéciale ta queue, hein? Elle n'a pas grandi?

Nous éclations de rire...

— Si, justement, mais je ne l'ai jamais comparée à d'autres.

— Si c'est ça qui t'inquiète, ne t'en fais pas...

Nous arrivions devant le garage. La porte s'ouvre et nous entrons. Je pensais que nous reprendrions la discussion plus tard... Je me dirigeais vers la porte pour sortir et le laisser se changer, il m'attrapa le poignet:

— Reste un peu!

Il me regardait dans les yeux, je n'avais pas encore compris... Mon père s'asseya sur un tabouret, enleva ses chaussures de sécurité, ses chaussettes, puis sa chemise... Il resta un instant dans cette tenue, bien droit. J'osais à peine regarder son torse, ses pieds nus qui m'ont toujours excité, les odeurs de sueur mélangées à la graisse de ses vêtements.

— Tu voulais voir une bite, je ne veux pas que tu aies des doutes...

Il se dézippa le pantalon, enleva son bouton et d'un coup sec, baissa son froc et son slip. Papa me montrait enfin sa bite. Je bandais aussitôt.

— Allez mon fils, montre-moi la tienne, on va les comparer pour te rassurer.

Je n'osais lui montrer mon sexe bandé... Il s'approcha de moi, enleva ma ceinture et put constater ma bosse...

— C'est moi qui te fais bander?

Il me souria...

— Tu sais que je suis flatté...

Mon père s'accroupit devant moi, baissa mon pantalon puis mon caleçon, ma queue se dressa sous ses yeux, comme un diable qui sort de sa boite... Il se redressa devant moi, nous avions nos frocs sur les chevilles. Il passa ses mains autour de ma taille, me serra contre lui. Je sentais la queue de mon père, durcie, contre la mienne. Il m'embrassa dans le cou et me murmura au creux de l'oreille:

— Enfin ça arrive...

À ces mots, je lui pris les lèvres. Il m'attrapa par la nuque et prolongea le baiser en m'enfonçant sa langue dans ma bouche. J'étais dans un état second! Mes mains massaient son cul, je tournais des hanches pour frotter nos bites, mes doigts passaient dans sa raie, je caressais son trou de cul, portais son odeur à mes narines, je flanchais. sa respiration était halletante, papa était excité comme un fou. Il s'accroupit à nouveau, saisit ma bite à pleine main et la regarda un instant. Il se branlait en même temps. Je sentis ses lèvres sur mon gland, il n'en suçait que le bout; une sensation inconnue, un courant électrique qui allait jusqu'à mon trou de balle. Puis il enfonça ma queue profondément dans sa bouche et me pompa énergiquement. Mon père se releva, enleva entièrement son pantalon, puis le mien. Nous étions nus. Quand je voulus me baisser pour sucer sa queue, il m'en empecha, me dit qu'on ne s'occuperait que de ma queue. Il me branla d'une main, s'astiquait avec l'autre, nos lèvres collées. Papa dirigeait ma main vers son cul, je le doigtais, j'y entrais un doigt mouillé, il gémissait, puis un second, je triturais son anus avec délicatesse, il appréciait. Il se retourna, posa ses mains sur l'établi, mon père me présentait son cul, écartait les jambes; je pouvais voir ses couille pendre. Je me baissais à hauteur de son cul, je profitais enfin de l'odeur de ses fesses. Ma langue parcourut ses couilles jusqu'à son trou que je travaillais ensuite avec la langue. Je l'enfonçais bien dure, mon père gémissait sous les coups de langue.

— Tu peux y aller, mets ta bite dans le cul à papa!

J'approchais mon gland doucement, le posai sur sa rosette, il écartait ses fesses, puis d'un mouvement vers l'arrière, il s'empalla sur ma bite que j'hésitais à lui mettre. Mes mains sur ses hanches, je commençais à lui défoncer son cul, j'étais en train d'enculer papa, comme dans mes rêves. Il criait de plaisir, criait mon nom. Son dos était en sueur, je me baissais pour lui lécher.

— Jouis en moi, jouis dans le cul à papa!

J'éjaculais tout mon sperme dans son cul, de longues giclées de bonheur.

— Papa, c'est bon!

Puis vint son éjaculation, j'étais encore en lui, je n'avais pas débandé, je l'enculais encore. Mon père jouit d'un râle puissant. Nos corps étaient en sueur, il me serra ensuite dans ses bras, pour reprendre une respiration normale, puis me dit:

— Tu as une bite tout à fait normale, et même mieux que la moyenne. Tu as satisfait ton père...

J'étais heureux, j'avais enfin baisé papa, une première qui ne fut pas une dernière... même loin de là!

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Mercredi 29 août 3 29 /08 /Août 22:30

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J'ai 19 ans, macho et je suis bi occasionnel pour me faire sucer, pas plus. J'aime le corps d'une femme et tous ses atouts. Fier de mes 1.80 kl et de ma queue de 20 cm, j'ai dû baiser avec des filles 100 fois et me faire sucer par des mecs 20 fois.

Je revenais d'un bar de danseuses nues un peu ivre. Je conduisais trop vite et un sale flic me fit coller sur le bord de la route. Un grand 6 pieds et plus, de 200 lbs, s'approcha de ma voiture.

— Bonsoir, Monsieur, vous roulez vite ce soir.

— Tu crois? Moi pas.

— S'il vous plait, vos papiers Monsieur.

— Oui, oui énerve toi pas, le grand.

— Soyez poli Monsieur! Êtes vous en boisson, Monsieur?

— Oui, et ça te dérange le grand?

— Veuillez sortir de votre voiture, Monsieur.

— Oui, oui, énerve-toi pas.

— Sortez de votre voiture, immédiatement Monsieur!

Je suis sorti, lentement, étant plus ivre que je le pensais et en fanfaron je lui dis:

— Satisfait le grand?

— Soyez poli Monsieur.

— Poli mon cul! Tu veux quoi, un bon pourboire pour me laisser partir?

— Monsieur, je vous arrête. Vous êtes en état d'arrestation pour...

— Pourquoi? Tu veux combien d'argent comptant grand flic de mes deux?

Furieux, il me passa rapidement les menottes et il me dit:

— Ne dis pas un mot de plus, sinon ça va aller mal mon jeune.

Il me prit fermement par le bras, m'amena vers sa camionnette de policier, me poussa à l'intérieur et il y entra lui aussi. Il fixa les menottes au haut du toit de la camionnette et me dit:

— Je vais te montrer à vivre. Tu n'auras pas d'amende à payer mais tu vas te souvenir longtemps de cette nuit.

— Tu t'imagines me faire peur le grand?

— Te faire peur, non. Mais j'ai meilleur que ça à te faire connaître. Ta gueule, ti-con!

— Ta gueule toi-même grand idiot de flic de trou de cul.

Il m'a carrément baissé mes jeans et m'a poigné par les couilles, me les serrant fortement et me dit:

— Ta gueule ou je te les coupe, ti-con.

— Merde, Monsieur l'agent, vous me faites mal.

— Ce n'est qu'un début beau ti-mec... Tu es à moi pour la nuit. Mon shift de travail est fini.

— Ça veut dire quoi ça, Monsieur l'agent?

— Trop tard pour les politesses. Tu vas maintenant payer pour toutes les conneries que tu m'a dites...

— Mais, Monsieur l'agent, je m'excuse pour avoir déconné.

— Trop tard mon jeune. Avec un si beau cul que le tien, je vais m'en servir.

— Mais, je ne suis pas un gai, Monsieur l'agent.

— Demain matin quand je te libérerais, tu vas l'être.

— Mais, mes parents vont s'inquiéter de mon absence, Monsieur l'agent.

— Pour la dernière fois, je te le dis, tu es à moi pour la nuit et plus un seul mot. Ferme ta grande gueule et pour tes parents, tu trouveras la menterie que tu voudras ou tu leur diras simplement que tu as été baisé par un homme et que tu as aimé ça.

— Mais, Monsi...

J'ai reçu toute une claque sur les fesses de ses grandes mains. J'ai compris que je devais me la fermer.

Il m'a retiré mes Adidas, mes jeans, boxers et mes bas. Il m'a déchiré mon t-shirt et il a sorti d'autres paires de menottes et je me suis retrouvé poignets attachés au toit de la camionnette et les deux chevilles menottées de chaque côté, les deux jambes biens écartillées, le cul à l'air, pratiquement suspendu dans les airs, face au plafond suspendu par mes poignets. Je ne me comprends pas, ligoté dans cette position de sado/maso, j'étais bandé raide! Il prit mes Adidas et avec les lacets, il attacha les deux après les couilles ce qui m'étirait les couilles vers le bas et me faisait affreusement souffrir et je bandais raide quand même. En plus de mon propre poids, les menottes me faisaient très mal aux poignets.

Il s'est assis face à moi, prenant une bière et admirant son prisonnier avec un sourire qui ne faisait vraiment peur. Je me suis cru à ma dernière heure de ma courte vie. Il se prit une deuxième bière tout en se mettant à poil, gardant juste ses bas à ses pieds et merde, il avait une grosse queue molle de plus de 6 pouces qui lui tombait sur deux grosses couilles poilues.

— Là! Maintenant mon beau bébé, tu vas me sucer cette belle grosse queue, me la vider et tout avaler, sinon je te garantie que tu vas perdre tes deux couilles dont tu es si fier et surtout ne t'avise pas de me la mordre car tu vas le regretter pour le restant de tes jours. Tu te vois petit mâle macho comme toi pas de couilles? Finie ta vie sexuelle à tout jamais...

Je fis signe qu'oui, j'obéirai. Il s'approcha et étira son long prépuce de son énorme machin et me dit:

— Glisse-y ta langue et nettoie mon gland. C'est bien ça, maintenant suce-la-moi.

Il me mit son super gros 9 pouces bandés raides dans la gorge. Il me fit lécher et manger une à une ses deux grosses couilles poilues, me fit même lécher son cul poilu.

— Pousse ta langue dans mon cul, je veux la sentir.

Je lui poussais à fond ma langue dans son cul et je sentais son anus s'ouvrir à ma langue tellement que ma langue y entrait facilement. Il se tourna et je lui suçais son énorme queue et il me dit:

— Fais moi jouir et avale tout mon sperme, j'ai bien dit tout.

Je me suis mis à le sucer avidement pour le faire jouir rapidement mais ça prit plus de quinze minutes avant qu'il se mette à râler et me remplir la bouche de 6 a 7 grandes giclées de sperme épais que j'ai tout avalé rapidement! Il me dit:

— Tu suces vraiment bien mon jeune, je te remercie.

Il me releva la tête pas les cheveux et m'embrassa sur la gueule, sa grande langue de ma bouche...

Son radio/téléphone sonna. J'écoutais la moitié de la conversation.

— Oui. C'est bien toi Charles.

—...

— Oui, j'ai pogné le jackpot ce soir. Viens nous rejoindre.

—...

— Il a 19 ans, super beau corps, il suce comme un dieu et attends de voir ce beau petit trou de cul vierge, tu vas bander raide.

—...

— Je suis dans le chemin qui mène au dépotoir.

—...

— Parfait, je t'attends. Je t'en devais un beau petit mâle.

Il ferma son radio/téléphone et me regarda dans les yeux et me dit simplement:

— Avec la bière que j'ai bue, j'ai besoin de me vider la vessie et j'ai toujours rêvé de pisser dans une gueule, donc tu vas avaler mon urine sans en perdre une goutte, compris? Pense à tes couilles le jeune, les perdre à ton âge, ça gâche une vie.

Il me la mit dans la bouche et aussitôt, je goûtais à son urine âcre que je me forçais d'avaler rapidement. Il me dit:

— Vu que tu es bien soumis, je vais te soulager tes belles grosses couilles.

À genoux, il a défait les Adidas de mes couilles et se mit à me les manger, se les mettant les deux dans sa bouche et je sentais sa langue se promener sur mes couilles. Merde de merde, j'ai bandé encore plus raide tellement que cela était bon.

— Monsieur l'agent! Je m'excuse mais j'ai besoin d'uriner moi aussi après ce que j'ai bu ce soir.

— Pas de problèmes, le jeune, donne-le-moi ton pipi doré que je le déguste avant que notre visiteur arrive.

Il se glissa sous moi et mes 7 pouces toujours bandés dans sa bouche, je me suis vidé complètement la vessie et lui. Il continua à me sucer tout en m'enfonçant son index de mon cul, bien à fond. Il me suçait avidement, je ne puis me retenir plus, je lui ai donné de super grandes giclées de sperme tout en râlant fortement. Il avala tout ou presque car il se releva et m'embrassa à pleine gueule, me forçant à goûter à mon propre sperme.

Il à défait les menottes du plafond de la camionnette, me laissant sur le plancher de la camionnette, toujours les chevilles menottées. Il me dit:

— Mon beau petit mâle, relaxe 30 minutes avant que mon copain arrive pour la suite.

Une voiture arriva. Le policier ouvrit la porte de la camionnette pour y faire entrer un grand noir de 6 pieds, sûrement un mâle pervers et il paraît que les noirs ont de super grosses queues. Je ne riais plus quand il a commencé à me tâter les couilles et de son long doigt, à magasiner dans mon trou de cul et avec son sourire de pervers. Il se mit à poil.

C'est quand j'ai vu sa queue bandée raide de plus de 10 pouces et encore plus foncée que son corps bien brun, je ne regardais que cette énorme queue. Le noir me dit:

— Tu as l'air à aimer ma grosse queue, le jeune blanc?

— Non, elle est trop grosse!

— Fais-toi en pas, tu vas me sucer comme il faut avant que je te la plante dans ton petit trou de cul blanc.

Aussi vite dit, il me prit par les cheveux et il me poussa sa super grosse queue dans la gorge. Il goûtait âcre, il était sale de sa journée de travail. Il me tenait par les oreilles et me la fourrait à fond dans la gueule et dit à son copain: "Encule-le pendant qu'il me suce, ça va préparer son petit trou de cul à recevoir après une vrai grosse queue de nègre!" Sans condom ou lubrifiant, l'autre policier m'enfila son gros 8 pouces dans le cul. J'ai cru être éventré tellement qu'il me faisait mal mais il continuait à m'enculer virilement et à fond de sa grosse queue pendant que je suçais toujours le gros 10 pouces du noir. En gueulant, il se vide ses grosses couilles en plusieurs longs jets de sperme épais, me retenant avec sa queue dans la bouche pour me forcer à tout avaler à sa grande satisfaction et je me suis senti remplir le rectum du jus de l'autre policier qui grognait fortement lui aussi.

Le policier noir dit à son copain:

— Tu lui as bien lubrifié le cul de ton sperme avant que son petit cul goûte à la mienne?

— Oui, ça dégoutte même.

— Parfait ça!

Je me suis retrouvé couché sur le plancher de la camionnette, sur le côté. Il se mit un condom, me releva la jambe et me fourra son énorme grosse queue dans le cul d'un seul bon coup à fond. J'ai cru mourir là tellement qu'il me faisait mal. Une douleur indescriptible, mais merde je bandais quand même, en sentant son énorme machin me frotter la prostate. Plus je criais, plus il riait et m'enculait encore plus virilement. Il m'a enculé plus de quinze minutes en vrai mâle, bien à fond, avant d'éjaculer en grognant fortement et sortit son monstre de mon cul à mon grand soulagement et enleva le condom contenant une énorme quantité de sperme et m'enfila à nouveau sa grosse queue dans mon cul, me retenant fermement par les hanches, sa queue bien à fond et je me suis, senti remplir de... merde, il pisse dans mon cul! Il s'est complètement vidé sa vessie avant de la sortir et il m'obligea à avaler le contenu de son condom gluant de sperme.

Riant de me voir. Soumis complètement à leurs fantasmes. Ils ont pris d'autres bières et m'en ont même offert que j'ai pris vitement, 5 ou 6 en ligne...

Ce fut une nuit que je ne pourrai jamais oublier. Ils m'ont enculé plusieurs fois à tour de rôle, j'ai avalé du sperme comme je ne croyais pas être capable de la faire. Même le policier noir s'est assis sur ma queue pour me faire goûter à un trou de cul de négro comme il m'a dit. Ils m'ont même sucé, les deux et tous deux avaler mon sperme.

Je suis toujours amateur de belles filles, mais pour du vrai sexe, je suis rendu bisexuel et en suis fier. Rien de mieux à trois: fourrer une belle fille à gros seins et en même temps, une super belle grosse queue dans le cul. Oui, être enculé en fourrant, c'est l'extase totale.

Je peux juste dire merci à ces deux policiers pervers.

FIN

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Lundi 27 août 1 27 /08 /Août 23:28

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Pour ceux qui ne connaissent pas, je vais dresser le tableau. La faculté de Luminy à Marseille est loin de la ville, au milieu des collines et de la nature, à 15 minutes à pieds des calanques et de la mer. En ce beau samedi de fin mai, Hervé était venu réviser les mathématiques dans ma chambre de cité U en prévision du prochain partiel. Hervé habitait un minuscule studio au centre-ville qu'il partageait avec sa copine et il était venu en bus car ni lui ni sa copine n'avaient de voiture.

Vers 18 heures, les intégrales, les dérivées et les espaces à n dimensions commençaient à valser dans nos têtes, surtout que le soleil rayonnant au dehors nous faisait des appels de l'oeil de plus en plus insistants. On décide donc que ça suffit pour aujourd'hui et qu'on mérite une petite récompense. Je lui propose d'aller se baigner dans les calanques, il me dit qu'il n'a pas pris son maillot et je lui réponds que c'est pas grave, il suffira que l'on aille dans la partie nudiste. Hervé n'était pas pressé de renter puisque sa copine était absente pour le week-end. Je prends deux serviette et nous filons nous rafraîchir.

Le temps passe sans qu'on s'en rende compte, d'autant plus qu'à cette période de l'année, le soleil se couche tard. J'en profitais pour le mater quand il était étendu. Il me faisait bander depuis longtemps et je pouvais enfin le voir à poil.

On rentre enfin après le coucher du soleil. Il était déjà 20h30 et je l'accompagne au terminus de bus et je reste discuter avec lui en attendant l'arrivée d'un bus. Une demie heure était déjà passée quand une voiture qui rentrait de la ville s'arrête près de nous et nous informe qu'il y a un problème avec le bus et qu'il n'y en aura pas pendant un bon moment. La fenêtre de ma chambre donnant sur l'arrêt de bus, je propose à Hervé de monter et de surveiller depuis ma chambre; ainsi on pourra se rafraîchir car il fait soif.

Je sors deux bières, les dernières, du minuscule frigo que j'avais dans la chambre et on descend tout ça avec une vitesse impressionnante. N'ayant plus de bières, je sors une bouteille de rhum, une de sirop de canne et quelques citrons verts et on se prépare des ti'punch. Hervé apprécie beaucoup et s'enfile ti'punch après ti'punch, lui que je n'ai jamais vu boire. Il faut dire que cette boisson des Antilles est traîtresse. Douce mais forte en alcool, elle se laisse boire et assomme facilement. Moi je connais les effets alors je limite ma consommation mais Hervé lui se laissait prendre au piège. Après tout, j'étais bien content de ça.

À un moment il tente de se lever et s'écroule aussitôt, ne tenant pas sur les jambes. Il me dit «P'tain, j'ai envie de pisser!» Je lui dis que je vais l'aider puis j'attrape un bol qui me servait à réchauffer mon petit déjeuner et je lui dis de pisser dedans, que j'irais le vider ensuite dans les chiottes. Il me demande de me retourner pour que je ne voie pas, alors que tout à l'heure à la mer j'avais pu le mater tout à loisirs. La pudeur est un truc bizarre. Je l'entends pisser et je le vois aussi, car il n'a pas vu le miroir en face de lui qui me permet de ne rien rater. Je bande à fond.

Une fois terminé, je prends le bol et je pars vers les toilettes. Arrivé devant les lavabos, je ne peux me résoudre à jeter tout ça. Je commence par humer, l'odeur n'est pas très forte. Je porte le bol à mes lèvres et je goûte. Je bande comme un fou, je me tors pour ouvrir ma braguette et sortir ma bite. Je bois une nouvelle gorgée, puis une encore.

«Tu fais quoi là?» Je sursaute au point de faillir tout renverser. C'est la voix d'Hervé qui est à la porte du local! «Tu bois ma pisse?» Je suis sans voix. Ma bandaison a disparu plus vite que jamais mais je ne pense même pas à remettre ma bite dans le pantalon. Je dois être écarlate car je sens des gouttes de sueur me couler sur les tempes. «T'aimes ça?» Je ne réponds pas. Il insiste: «T'aimes ça?» Comme je ne réponds toujours pas, il me commande: «Alors bois!» Au bout d'un moment interminable où toutes les pensées du monde me passent par la tête mais à une telle vitesse que je ne retiens rien de tout ça, j'approche le bol de ma bouche et je bois. «Finis tout!» Et je continue à boire jusqu'à la dernière goutte.

«Je suis venu parce que j'ai besoin de chier mais peut être que tu aimes ça aussi?» Je m'en défends en lui disant que c'est pas du tout le cas. Alors il me dit: «Et si j'ai envie de te voir bouffer ma merde?» Je lui réponds que je ne le ferai pas, que c'est pas mon truc et que ça me dégoûte. Il me menace: «Et si je disais à tout le monde que tu bois de la pisse en cachette?» Je reste sans voix. «Alors?» Je réponds: «Alors quoi?» «Alors tu bouffes ma merde ou je dis à tous que tu bois la pisse.» Je suis estomaqué. Il va tout de même pas faire ça? «T'es prêt à parier?» qu'il me répond. Non... je ne suis pas prêt à parier!

On retourne dans la chambre. J'ai le ventre noué car je sais que je ne pourrai jamais faire ça. Il pose le bol par terre et baisse son pantalon; toute pudeur a tout à coup disparu. Il s'accroupit mais le pantalon le gêne alors il l'ôte puis s'accroupit à nouveau. Sa merde sort en quelques secondes à peine, abondante, odorante, molle et foncée comme une crème au chocolat. Le bol est rempli, il y a plus de merde qu'il n'y avait de pisse tout à l'heure. Il se relève, prend le bol et me le tend. Sa bite est tendue aussi. Il bande comme un âne. Il prend une cuillère dans l'évier et me la tend en me disant: «Bon appétit».

J'ai ce bol devant moi, la cuillère dans la main mais je ne peux rien faire. «Bouffe, sinon!» Je prends une cuillérée de merde et je l'approche de ma bouche. Je le regarde dans les yeux et il fait de même, puis alors que j'approche un peu plus la cuillère de ma bouche il me dit: «Bon allez, ça va! Jette ça, je plaisantais, je dirai rien...» J'ai la cuillère à quelques centimètres de ma bouche, je le regarde dans les yeux avec défi, j'ouvre la bouche, j'enfonce la cuillère rapidement et je la ressors vide. Dans mon pantalon ma bite est à nouveau au garde-à-vous. Lui est devant moi qui n'a pas dit un mot depuis mon geste. Toujours sans le lâcher des yeux, je prends une deuxième cuillérée et je la porte à ma bouche. Je n'ai rien avalé car définitivement, je ne peux pas, j'ai tout gardé dans la bouche. Le goût est atroce mais bizarrement ça me fait bander à fond. «C'est dégueu!» qu'il me dit. «T'aimes ça?» Je ne peux pas répondre car j'ai la bouche pleine mais je lui fais non de la tête.

Lui aussi bande à fond, une bite d'au moins 20 centimètres. «Avale!» Je ne peux pas. Il me saute dessus et n'a pas de mal à m'immobiliser par terre, il est tellement plus grand et fort que moi. Il est assis sur mon torse, une jambe de chaque côté de ma tête. S'ai sa bite bandée à portée de bouche, si au moins j'avais la bouche vide. «Avale!» insiste-t-il mais je ne peux pas. Il plaque une main sur ma bouche et presse sur mes joues, la merde ne peux pas sortir et je l'avale. Il prend une cuillérée et me la donne à manger. Soumis, j'ouvre la bouche et il la vide dedans. Quand j'ai la bouche pleine à nouveau, il presse sur mes joues en plaquant sa main sur ma bouche et j'avale. Il recommence, deux fois, trois fois, jusqu'à tout me donner.

Il me retourne alors violement, baisse mon fut et m'encule sans ménagement. Il me pilonne le cul et ne tarde pas à jouir. Moi je jouis en même temps que lui. Il s'écroule sur moi de tout son poids. Je suis écrasé et empalé par celui qui me faisait bander. Tout à coup, la nausée. J'ai bouffé de la merde, c'est dégueu. Les tabous qui avaient disparu alors que mon excitation était à son comble sont revenus au grand galop. Je tente de me dégager quand je l'entends ronfler. Il s'est endormi sur moi, moi écrasé par terre dans une situation très inconfortable, lui toujours raide et planté dans mon fondement.

On passera la nuit ensemble et une bonne partie du lendemain. Depuis, souvent le matin, il arrive alors que je dors encore et chie dans le bol pour mon petit déjeuner. Il m'encule aussi à l'occasion et se fait sucer. Il est question qu'il quitte sa copine.

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Samedi 18 août 6 18 /08 /Août 00:20

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Comme beaucoup de jeunes gens, j’ai traversé une période difficile durant mon adolescence qui s’est caractérisée chez moi par un violent rejet de la norme. Vers 13, 14 ans, j’ai commencé à fréquenter quelques skins et adopté leur look et leurs manières, au grand dam de mes parents. Il était aussi parfois difficile de supporter le regard suspicieux des profs et des adultes en général. J’aimais cependant ce sentiment d’appartenir à une bande, voire à une conférie. A partir de ma quinzième année, j’ai entamé une impressionnante série de fugues qui m’emmenèrent dans toute la France et même à l’étranger, ce qui me permit de vivre pleinement la découverte de mon homosexualité et de mes fantasmes déjà bien affirmés. C’est ainsi qu’alors que je venais de fêter mes 18 ans, je me trouvai dans le vieux Reims, non loin de la cathédrale. C’est dans cette zone que se retrouvaient les zonards et notamment les « frangins ». Je me revois avec ma paire de Docs, mon jean crado et mon éternel bomber’s noir, les tifs tondus, en train de déambuler dans ce quartier. Ca faisait déjà trois jours que je m’étais tiré de chez mes vieux et depuis je n’avais pas vu l’ombre d’une douche. Un jeune mec vêtu d’un sweat à capuche Lonsdale attira mon regard : il avait un visage ouvert et souriant, rien à voir avec la caricature du skin. Il était assis sur une barrière et buvait des gorgées de bière. Je m’approchai de lui et nous ne tardâmes pas à engager la conversation, solidarité de corps oblige. Il s’appelait Pascal et il avait le même âge que moi. Il me proposa de la bière et je lui offris une cigarette. J’appris que sa situation était encore moins enviable que la mienne dans la mesure où il n’avait absolument aucune famille et avait passé presque toute son existence en foyer. Je lui demandai s’il avait une idée d’endroit où passer la nuit. Il me dit alors qu’il connaissait un moyen de gagner du fric facilement et que cette somme nous permettrait non seulement de pouvoir dormir à l’hôtel mais encore d’avoir à bouffer toute la semaine.

« Ca consiste en quoi ?

_ Il s’agit de s’occuper d’un PD… Il paye bien… Je dois le voir aujourd’hui.

_ T’es quand même pas PD, mec ?

_Naan, j’aime les meufs. Mais je ne crache pas sur un peu d’argent de poche discrètement gagné… D’autant plus qu’il ne s’agit pas de sexe à proprement parler…»

Je continuai à tergiverser et arguai du fait que j’étais trop crade pour pouvoir prétendre séduire un amateur de jeunes. Mon pote me fit alors comprendre qu’au contraire nous étions absolument parfaits pour ce qui était prévu.

Pour l’instant, il refusa de m’en dire plus mais me demanda de lui faire confiance. Je réalisai que le jeune hétéro qu’il prétendait être appréhendait de se rendre seul à ce rendez-vous. Ainsi, en me proposant de l’accompagner, il était rassuré et le sacrifice financier était moins grand pour lui que s’il avait entraîné dans cette expédition 2 ou 3 frangins supplémentaires. Au fond, je trouvais la proposition à la fois mystérieuse et excitante. Et contrairement à Pascal, j’aimais les mecs, moi. Lors de mes pérégrinations, il m’était souvent arrivé de passer la nuit chez des types et j’avais constaté à quel point les skins, tout comme les militaires, excitent les homos. J’acceptai l’offre de mon nouveau pote et le suivit. Il est vrai que j’avais les couilles bien pleines et envie de me vider. Nous traversâmes une partie de la ville et je remarquai que nous nous trouvions maintenant dans les beaux quartiers, comme on dit. Pascal s’engagea dans une petite rue tranquille dans laquelle se trouvaient de superbes immeubles anciens. Il s’arrêta devant une belle et grande porte en bois, entra le code qu’il connaissait et nous fîmes notre entrée en ces lieux. Le spectacle de ces deux jeunes skins crasseux pénétrant dans un lieu aussi classe aurait surpris n’importe quel observateur. Mais le couloir était désert. Nous prîmes le grand ascenseur qui semblait nous attendre et sortîmes au cinquième étage. Pascal sonna deux coups brefs à l’une des deux portes qui se faisaient face. J’attendais avec impatience de voir la trombine du mec : je m’attendais à un vieux bourge, ou pire à un jeune moche, gras et dégarni. La porte s’ouvrit franchement et j’entendis une voix masculine et agréable déclarer :

« Bonsoir Pascal. C’est sympa d’être venu. Je vois que tu as amené un copain… Très bien… En plus, il est aussi charmant que toi… Entrez messieurs… »

Celui qui venait de parler ne ressemblait en rien au genre de client que je redoutais de voir. Il s’agissait d’un très beau gars d’une trentaine d’années, brun, masculin, pas le genre de type à en être réduit à payer en tout cas. J’étais pour le moins déconcerté…

L’appartement était très grand et somptueusement décoré. Le jeune mec d’origine modeste que j’étais n’en croyait pas ses yeux. Marc (c’était le prénom du propriétaire des lieux) nous offrit à boire. Des bières, bien sûr. Au bout de plusieurs bouteilles, j’avais bien évidemment envie de pisser. Je m’apprêtai à demander où se trouvaient les toilettes lorsque Pascal, semblant lire mes pensées, me fit signe de ne pas bouger et de me taire. Il se leva et regarda Marc d’un air méchant qu’il n’avait pas en temps ordinaire. Je compris que cela faisait partie du jeu. Marc eut un sourire satisfait et entreprit de se déshabiller : il ôta sa chemise blanche et dévoila un torse musclé et imberbe. Ses chaussures et son pantalon furent eux-aussi enlevés. Il ne portait plus qu’un slip blanc à poche. Il se mit à genoux. Pascal défit promptement les boutons de son pantalon et sortit sa queue. Je n’eus pas l’occasion d’admirer son engin : il l’enfonça promptement dans la gueule ouverte du beau Marc. Je m’attendais à la traditionnelle pipe mais je me rendis vite compte que Pascal ne bandait pas. En fait, il était en train de pisser dans la bouche accueillante du brun. Celui-ci semblait se régaler et ne perdait pas une goutte du liquide tiède. C’était donc ça ! Ce mec invitait des petits jeunes pour leur servir de pissotière. Et en plus il les payait grassement ! Je dois avouer que j’en avais vu d’autres. Ce que Pascal ignorait, c’est que j’avais déjà une certaine expérience des pratiques uro et que j’avais expérimenté tant comme donneur que receveur ! Une fois son pipi terminé, mon copain s’empressa de se retirer. Et je me hâtai de prendre la suite. Marc sembla apprécier l’odeur de ma tige mal lavée ; de plus, j’avais du mal à ne pas bander. Je me vidai donc dans sa gueule. Je dus bien lui verser près d’un litre de liquide jaune. Quelques minutes plus tard, l’affaire était pliée et je m’attendais à ce que nous mettions les voiles après avoir reçu notre récompense.

Marc s’était relevé. Il semblait satisfait. « On passe à la salle de bains pour la suite ? » Ce n’était donc pas fini. « Après l’apéro, le dîner », lança Pascal d’un air sarcastique. Je ne comprenais pas vraiment ce qu’il voulait dire.

La salle de bains était de grande taille. Marc ôta son slip. Pascal baissa son froc et son caleçon. Le brun s’était allongé sur le dos dans la gigantesque baignoire. Mon pote s’accroupit sur sa gueule. Je commençais à comprendre. Jusqu’à ce jour, je n’avais pas vraiment eu d’expérience scato. Ainsi, notre hôte était l’un de ces masos qui aiment se faire chier dans la bouche. Je n’en revenais pas … Cela me sembla totalement délirant… En même temps, le spectacle qui s’offrait à mes yeux était pour le moins excitant. J’étais placé de telle façon que je voyais le visage de Marc collé au cul lisse de Pascal. « J’y vais, je peux plus me retenir, mec. Allez, bouffe ma merde, PD. » Je vis une grosse merde sortir du trou et pénétrer dans la bouche ouverte, telle une bite noire. L’odeur devenait intense et je me rendis compte que je bandais. Le soumis mâchait l’étron voluptueusement… il semblait vraiment apprécier. Au bout d’une minute maximum, il avait tout avalé. Mon pote se releva en jurant après s’être fait nettoyer la rondelle à la langue. « Putain, j’espère que ça t’a plu parce que j’ai que ça aujourd’hui. Une seule bouse. Mais je suis sûr que mon pote va bien te remplir. » Je savais ce que j’avais à faire. Le seul truc qui me chiffonnait par rapport à Pascal, qui se diqait hétéro, c’est que j’avais le sexe en érection. Je ne pouvais dissimuler mon excitation. Mon cul était forcément odorant et je n’avais pas chié depuis deux jours. Autrement dit, j’étais plein de chez plein. Je sentis la langue de Marc s’immiscer dans les interstices de mon anus. Il dut remarquer qu’il était bien dilaté pour un soi-disant skin hétéro… Je décidai de forcer et je ne réussis dans un premier temps qu’à envoyer un gros pet bruyant qui fit rire Pascal alors que la langue de l’autre s’activait avec encore plus d’acharnement. Enfin, je sentis que ça venait. Une grosse merde passa à travers mon sphincter et échoua dans la bouche gourmande de Marc qui s’empressa de la mâcher et de l’avaler à toute vitesse. Il tentait vainement de respecter mon rythme mais il avait du mal. Je chiai une quantité impressionnante de bouse ce soir-là. Et de la bonne, bien dure ! Celui que je régalais n’en pouvait plus, je l’entendais grogner de façon presque hystérique entre deux bruits de mastication. Soudain il se mit à gémir longuement et je vis des flots de sperme jaillir de son sexe. Comme je l’ai déjà précisé, je bandais moi-même comme un âne. Tandis que sa langue achevait de nettoyer mon trou, je fus à mon tour pris de spasmes et je me vidai de mon foutre. Je ne m’étais même pas touché ! Pascal me regardait d’un air stupéfait.

Après nous être rhabillés, et avoir décliné l’offre de Marc qui nous proposait de prendre une douche et de profiter de son installation, nous partîmes, les poches pleines. Le mec avait vraiment été généreux.

Une fois dans la rue, Pascal me demanda ce que j’avais pensé de tout ça. « Intéressant. Tu avais raison, ça rapporte bien.

_Et puis, ça n’a pas eu l’air de te déplaire, mec.

_En fait, je pensais à autre chose, répondis-je d’un air gêné et pas très convaincant.

_Le problème, c’est que si tu montres au type que tu prends ton pied, il va être tenté de moins bien payer… »

Comme l’avait pronostiqué mon compagnon, nous avions de quoi nous payer l’hôtel et nous trouvâmes un petit établissement sympa. Après être sortis manger un morceau, nous étions de retour dans notre chambre. J’étais sur le point de me coucher. Auparavant, j’avais envie de me vider la vessie et même d’aller faire une petite crotte (rien à voir bien sûr avec ce qui avait précédé). Mais Pascal était dans le petit WC et cela faisait un certain temps que je ne l’entendais plus. Je l’appelai mais il ne répondait pas. J’avais trop envie de pisser. Je décidai d’aller voir ce qu’il faisait. J’étais uniquement vêtu de mon caleçon puant. J’ouvris la porte. Le spectacle qui s’offrit à mes yeux était étonnant. Mon pote était à genoux, la bouche ouverte. Il m’attendait. « Ainsi tu ne fais pas ça uniquement pour le fric…

_Toi non plus, il suffit de voir le pied que tu as pris tout à l’heure. Alors, s’il te plaît, remplis moi. J’en crève d’envie depuis que je t’ai vu dans la rue. »

Je ne me fis pas prier et à partir de ce moment Pascal devint mon chiotte régulier. Ce fut de plus le début d’une relation intense qui dure toujours.

 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Mardi 14 août 2 14 /08 /Août 16:42

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’étais invité au mariage d’un ami et après la mairie, le vin d’honneur et le repas, je commençais à m’ennuyer maintenant que le bal avait débuté dans la salle de l’hôtel qui accueillait la cérémonie. Le barman était mignon, je m’apprêtais à aller lui faire du gringue quand je me suis retrouvé nez à nez avec mon cousin. Nous avions presque 30 ans tous les deux et nous nous étions perdus de vue depuis l’été de nos 16 ans, où très proches l’un de l’autre, un soir, nous nous étions embrassés. Nous n’avions jamais voulu nous revoir depuis, sauf stricte obligation où l’on se contentait de se saluer, toujours un peu gênés, et je l’avais même perdu de vue depuis que nos routes avaient vraiment divergé, lui s’étant marié et moi ayant eu plusieurs mecs successifs.

Bref, ce soir-là, nous nous étions retrouvés ensemble dans les toilettes et j’allais sortir quand il me parla.

— Tu sais Jérémie, je n’ai pas oublié et je ne t’en veux pas.

— M’en vouloir de quoi Pierre? lui ai-je rétorqué.

— De ce que tu m’as fait, a-t-il ajouté.

Alors comme ça il m’accusait! Je n’eus pas le temps de réfléchir que je le pris par la nuque et essayai de l’embrasser. Au début, il garda les lèvres fermées puis il céda à ma pression. Je le relâchai alors et nous reprîmes notre souffle, muets tous les deux en train de se regarder.

Quelqu’un arrivait, il me poussa vers une cabine vide. Ce qui suivit se passa très vite, il se serra contre moi, m’embrassa, je sentais la bosse dans son pantalon. Il défit ma ceinture, baissa le mien puis le sien ainsi que son slip, dévoilant une belle queue bien raide. Pendant ce temps, on entendait le mec qui était entré chanter en pissant, il devait être bourré. Pierre glissa sa bite entre mes jambes et entreprit un très rapide va-et-vient, il haletait et m’embrassait fougueusement et mal, je le laissais faire. Tout à coup, je sentis qu’il s’était lâché, j’avais son sperme poisseux qui me coulait entre les jambes. Je lâchai un bref: "Merde t’es con!" Il eut l’air penaud et sortit précipitamment de la cabine en remontant son pantalon. Pendant ce temps, je me retrouvai à éponger sa jute avec le papier toilette.

Quand je sortis à mon tour, je remarquai que le mec arrivé entre temps était toujours là, lui aussi s’essuyait le pantalon avec des gestes pas trop coordonnés, il avait réellement trop bu. C’était le marié. Il n’avait quand même pas perdu tous ses esprits car il me dit:

— Jérémie, je rêve où tu étais avec Pierre dans la même cabine? Je l’ai vu sortir et toutes autres portes étaient grandes ouvertes.

Je changeai la conversation en me moquant de lui:

— Tu ne t’es pas loupé Arnaud, tu t’es pissé dessus! Sophie ne va pas être contente.

— C’est de sa faute à celle-là, a-t-il ajouté, elle était partie pendant 10 jours avant le mariage pour son boulot, après elle n’a pas voulu qu’on baise jusqu’à ce soir pour la nuit de noces. Résultat: le fait de danser contre elle m’a donné la trique et j’arrive pas à débander.

Je me suis moqué de lui en lui disant que ça ne se voyait pas. Il m’a pris la main et me l’a collé sur son paquet qui était un peu mouillé. Je sentais sa barre. Il avait envie de jouer? J’allais entrer dans son jeu.

— Je ne sens rien à part que t’es trempé, ou alors c’est que tu en as une toute petite! lui dis-je.

Il s’est déplacé alors vers une cabine et a défait sa ceinture et baissé son pantalon, son boxer blanc trempé ne cachait rien, on voyait sa tige et ses poils et après l’épisode Pierre, ça me donnait la trique. J’entrai alors moi aussi dans la cabine et je fermai la porte. Pris par une inspiration, je portai mon visage sur son sous-vêtement et commençai à le lécher. J’adorai le goût salé de sa pisse et la sensation de sa queue étranglée dans le tissu mouillé.

— Mais qu’est-ce que tu fais? me disait-il.

Et au lieu de me repousser, je sentais ses mains passer dans mes cheveux et me guider. Ne sentant pas plus de résistance, je sortis sa bite et l’engloutis, commençant à remonter et descendre sur sa hampe. Je pris garde au passage d’aller le plus loin possible et de bien lui enserrer le gland. Je le sentais devenir tout électrique avec des petits tremblottements dans les jambes. Il me largua une bonne dose de purée bien épaisse et je fis en sorte de jouer les garces en en faisant couler sur mon menton.

— Putain que ça fait du bien! me dit-il. Y'a pas à dire, tu sais faire. Merci, mais pas un mot.

Il semblait complètement dégrisé mais soulagé. Nous entendîmes alors une chasse d’eau à côté, nous espérions avoir été discrets et attendîmes quelques instants avant de sortir.

La soirée avançait et j’étais content de mon double coup quand Henri, le père du marié, vint me voir.

— Jérémie, il y a un problème, j’ai besoin de ton aide, accompagne-moi jusqu’à ma chambre, je vais t’expliquer pour qu’on trouve une solution.

Ne comprenant pas, je lui posai quelques questions auxquelles il ne voulut pas répondre. Arrivés à la chambre, il me balança une claque qui me fit reculer et tomber sur le lit. Henri avait été rugbyman. À 55 ans, c’était toujours une force de la nature, 1m90 environ et 100 kilos au moins.

— Espèce de salope, me dit-il, je sais ce que tu as fait à Arnaud, j’étais dans la cabine à côté et j’ai tout vu.

Il me prit par ma cravate et le col et par une torsion me força à me mettre au niveau de sa braguette.

— Si tu aimes ça et tu ne peux pas t’empêcher, tu vas goûter à la mienne.

De sa main libre, il se désajusta, laissant apparaître une bite coiffée d’un gros gland et deux grosses couilles bien pendantes. J’avais le nez dessus et en plus, ça sentait fort; il ne devait pas être trop clean. Il me pinça une oreille, ce qui me fit ouvrir la bouche où il introduit son engin. M’emprisonnant la tête de ses deux mains, il me faisait faire le mouvement à l’allure qui lui convenait. Son gland était un peu fromagé, je lui nettoyai le tout. J’attrapai de temps en temps une de ses grosses boules que je tétai avec application de peur de prendre un coup. Sa bite devenait de plus en plus dure et se collait à son ventre légèrement bedonnant et couvert de poils. Ce n’était pas le genre de mec qui m’attirait d’habitude mais il était bien doté.

Il me releva, me fit une clé et entreprit de me déshabiller. Je lui dis que je me laisserai faire. À peine nu, il me poussa sur le lit et se coucha sur moi, m’écrasant à moitié, il se cracha dans les mains et commença à me caresser l’anus puis à m’y introduire ses doigts baveux. J’allais passer à la casserole et vu la taille de l’engin, souffrir s’il n’y mettait pas un peu de tendresse. Il me tira par les jambes vers le bord du lit, j’étais sur le dos et écarta mes jambes en les soulevant. Il me mit son visage entre les fesses, je sentais sa langue gluante qui entrait. Il se déshabilla alors complètement - j’étais impressionné par son corps - et présenta son gland. Il le fit buter plusieurs fois contre mon trou tout en me triturant les seins. Henri devait avoir quelques habitudes... Au bout d’un instant, je le sentis pousser et entrer en écartelant mes fesses. Il y allait progressivement, ça allait. Puis, quand il se coucha sur moi, je compris qu’il y était en entier. Il faisait des petits mouvements en me disant qu’il prenait possession de mon corps. À vrai dire, il savait y tâter, j’étais très excité.

Le pilonnage commença, il me fit changer plusieurs fois de position. Il semblait pouvoir maîtriser son éjaculation et la mienne. À un moment, il se trouva couché le dos sur le lit et moi couché le dos sur lui, sa bite ne bougeait plus. Il m’enserrait des bras musclés, j’étais comblé quand j’entendis une clé ouvrir la porte. Henri me maintint et je vis Arnaud approcher. Il n’avait pas l’air ivre, mais avait une main dans le pantalon et semblait se palucher. Il nous regarda quelques instants et son père lui dit:

— Ça y est fiston, je te l’ai préparé.

Arnaud se déshabilla alors et arriva avec une queue bien considérable, comme lorsque je l’avais avalée précédemment. Son père lui dit de prendre un préservatif dans son pantalon. Une fois fait, il s’approcha de moi en se branlant document. Je crus qu’il voulait que je le suce, mais il approcha sa queue de celle de son père qui restait dure et immobile dans mon trou et se coucha sur moi, introduisant sa bite lui aussi. J’avais été bien travaillé mais il y eut quelques instants difficiles. Lors des première minutes, l’une des deux bites sortait souvent, faisant un petit splash à cause du caoutchouc puis ils trouvèrent leur rythme. Arnaud m’embrassait ou me suçait les seins pendant que son père, sous moi, me caressait. Au moment le plus chaud, Henri sortit sa bite et éjacula sur mon visage, pendant qu’Arnaud faisait la même chose sur mon cul et que de mon côté, sans même me toucher, j’éjaculai à gros jets sur mon ventre. Henri étala tout, j’étais couvert de sperme et commença à me lécher, plus particulièrement l’anus que j’avais béant.

Il me complimenta en me disant que j’étais vraiment bonne, meilleure encore que sa belle-fille qui épousait Arnaud ce soir-là.

 

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