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fan de histoires de mec

Mercredi 31 octobre 3 31 /10 /Oct 13:57

*FFaBBius 1309436327tumblr mbue569LLW1qg4n09o1 500

*mon pére 

Bonjour, je me présente, je m'appelle Dave et j'ai présentement 19 ans. Je suis un très beau jeune homme. Bien sûr, je vais me faire un plaisir de me décrire pour votre plaisir messieurs!!!

Je suis assez grand, c'est à dire 1.80, je pèse 65 kl et je suis musclé. J'ai les cheveux noirs et les yeux vert. Je porte des lunettes, mais puisque je n'aime pas le style que ça me donne, mes verres sont teinté. Je porte toujours les cheveux coupés courts et je n'ai pas de barbe ni de moustache. J'ai un peu de poils sur le torse, les bras et les jambes. Juste assez pour que je sois doux au toucher. Et bien sûr, j'ai un sexe qui, sans être énorme m'est vraiment utile quand je me trouve dans un lit. Il fait 18 cm et je suis circoncis!!!

Maintenant que vous avez ma description, je peux maintenant passer à l'histoire que je voulais vous raconter! Celle-ci c'est passé il y a 5 ans environ. J'avais 14 ans, bientôt 15. Cela ne faisait pas longtemps que j'avais découvert les plaisir de la masturbation, et je dois avouer que je m'y adonnais maintenant à coeur joie!!! Étant assez sportif, j'avais eu à plusieurs reprises la chance de voir mes meilleurs amis à poils dans les douches. C'est à ce moment que j'ai réalisé que je ne pouvais détacher mes yeux d'un corps d'homme nu. J'adorais les voir se laver, se caresser doucement et même parfois bander dans les douches! Dès que je voyais qu'un de mes amis bandait, je me rapprochais de lui pour avoir une meilleur vue sur son engin! Et dès que j'avais fini de me laver, je courais dans les toilettes pour me branler, et je me vidais les couilles en pensant à eux!!!

Malheureusement, jamais je n'ai osé approcher un de mes amis, ni même le toucher "sans le faire exprès". Je me contentais donc de mes fantasmes. Mais je vais laisser mes fantasmes de côté pour en revenir à mon histoire principale.

Mon père et ma mère sont divorcé depuis 2 ans et je vis chez mon père une semaine sur deux tout comme mon frère de 17 ans. Un nuit que j'étais chez mon père et que je ne pouvais pas dormir, je me suis levé pour aller me prendre un verre de lait dans la cuisine. Sans faire le moindre bruit, je suis allé boire et manger un morceau. J'avais presque fini dans la cuisine quand j'ai entendu quelqu'un se déplacer dans la maison. Puisque j'étais nu et que je ne voulais pas qu'on me vois ainsi, je me suis caché dans un coin noir de la cuisine. Tout à coup, je vois un grand corps dans la cuisine, puisque mon père et mon frère ont la même silhouette, je ne pouvais encore voir qui c'était. Quand la porte du frigo s'est ouverte, j'ai enfin pu voir qui c'était. Il s'agissait de mon père! Mon dieu! J'ai faillis laissé échapper un cri de surprise et d'excitation quand je me suis rendu compte qu'il était nu! Son corps était fantastique, il était musclé et il n'avait pas un poil sur le corps! Jusqu'à son sexe qui était rasé de près! Et sa queue! Il avait une queue superbe, je me suis dit qu'il devait environ avoir 20 cm de queue circoncis et elle était même pas bandée!!!

Moi cependant, j'étais bandé comme un petit diable de mes 18 cm d'alors et je mourrais d'envie d'aller me branler. Ce que j'ai fait une fois que mon père est parti de la cuisine!

Deux jour plus tard, j'avais encore une insomnie et je ne pensais qu'à une chose. La queue de mon père m'obsédait! Je voulais la voir encore! Je me suis dit que, puisqu'il était nu pour aller à la cuisine, il devait dormir nu! Je suis donc allé dans sa chambre sur la pointe des pieds! Le diable devait être avec moi, puisque en effet, il dormait nu, mais j'ai pu m'en rendre compte sans difficulté puisqu'il était sur le dos et il n'avait pas la couverture sur lui. Et mon dieu! Il était bandé! Je voyais pour la première fois de ma vie mon père bandé, ce qui m'a donné une érection terrible! Il devait bien avoir 9" de queue une fois bandé, mais elle était pas tellement large. Je me suis doucement approché du lit pour mieux voir et j'ai pu voir quelques gouttes d'un liquide clair sur le bout du gland. Je savais ce que c'était puisque j'en faisais déjà moi-même, c'était du précum. Je ne pus m'empêcher de toucher à la belle grosse queue de mon père. D'abord doucement, avec le bout de mes doigts, j'ai touché la base de sa queue et j'ai remonté jusqu'au bout du gland et j'ai touché son précum. J'en ai pris sur mes doigts et je les ai portés à ma bouche. Hummmm!! C'était bon, salé pas mal, mais bon.

J'ai finalement décidé de prendre la queue de mon père à pleine main pour essayer de le masturber un peu. On aurait dit que sa queue devenait de plus en plus grosse dans ma main. Mais ce que j'avais oublié, c'est que mon père avait un sommeil assez léger. Il s'est subitement réveillé et m'a regardé droit dans les yeux avant de me donner une bonne claque sur le bras.

— Tu fais quoi la toi mon salaud? m'a-t-il dit.

— Je suis désolé papa. C'est que je crois que je suis attiré par les garçons et surtout par toi.

— Non, c'est pas vrai! Mon fils est une tapette! Tu vas voir mon petit maudit! Je vais te guérir une fois pour toute de cette maladie, me dit-il avec un rictus mauvais sur les lèvres.

Il m'a empoigné par le bras, m'a bousculé sur le lit et s'est placé par dessus moi, assis sur mon torse. Il m'étouffait un peu à cause de son poids. J'avais sa belle grosse queue juste devant ma face et il s'est encore approché pour que je prenne sa queue dans ma bouche. Il a poussé et m'a fait mal aux lèvres, j'ai donc dû les ouvrir et il en a profité pour tout me pousser dans la bouche, c'était tellement gros, que je me suis étouffé!

Il a eu pitié de moi ou a eu peur que je le morde, toujours est-il qu'il est ressorti de ma bouche pour me laisser tousser, mais il est tout de suite après revenu à la charge. Heureusement, je commençais à être habitué et j'ai pu l'accepter plus facilement. C'était la première pipe que je donnais et elle me faisait mal aux lèvres, mais j'aimais ça quand même. Sa queue était dure, chaude dans ma bouche! Je jouais avec son gland dans ma bouche. Il s'est donc aperçu que j'aimais ça et il est allé de plus en plus vite pour me faire mal. Mais cela avait l'effet contraire sur moi, je me branlais très fort en le suçant!

Tout à coup, un orgasme puissant m'a donné un énorme frisson dans tout le corps et je me mis à jouir. J'ai éjaculé tellement fort que mon père en a eu dans le dos.

— Maudit! a-t-il crié. Tu aimes ça on dirait mon petit salaud! Alors, je vais devoir faire autre chose pour te guérir de cette cochonnerie de maladie de fifi!

Il est ressorti de ma bouche et m'a tourné sur le dos. J'ai eu terriblement peur, car je savais ce qu'il voulait faire puisque j'avais déjà vu des revue où des gars s'enculaient.

— Non papa, fais pas ça! Lui ai-je dis en pleurant. Ça va me faire trop mal!

— Tu sais très bien que toutes les fifis font ça mon ti-salaud. Alors, même si tu as mal, je m'en fiche, ça va t'apprendre à être tapette.

Alors, il m'a pris par les hanches et m'a poussé tout son gros 9" de queue dans les reins. J'ai lâché un très gros cri de douleur, mais mon père s'en fichaist. Il me donnait des claques sur les fesses et me fourrait comme un diable. Tout à coup, j'ai commencé à avoir moins mal et je me suis remis à bander. Mon père s'en est aperçu et comprenant que j'aimais ça, il a commencé à me branler en même temps. Je crois qu'il avait compris que je ne changerais pas.

Il m'enculait terriblement fort et j'aimais ça. Tellement que je lui ai joui dans la main. Ça m'a fait serrer tellement fort les fesses qu'il en a crié de plaisir. Il m'a étendu tout mon jus de jeune homme dans la face et s'est retiré d'un seul coup de mon cul pour se mettre devant moi. Il m'a forcé à le sucer encore et il m'a joui dans la bouche. Que c'était bon. C'était plus salé que le pré-cum et beaucoup plus épais. J'ai essayé de tout boire, mais ça me coulait sur le menton.

— Je vois que tu as aimé mon petit fifi. Puisque je peux pas te guérir, je vais en profiter tout les soir maintenant.

— Ok papa. J'aime tellement ça, lui ai-je répondu.

Et il m'a dit de sortir et d'aller me coucher. En me retournant, j'ai cru voir une ombre bouger et je suis sûr que c'était grand frère. Je me suis donc dit que je devais absolument lui faire connaître tout ça! Mais ça, c'est une autre histoire.

Si vous voulez la connaître, dites-le moi.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Mardi 30 octobre 2 30 /10 /Oct 00:07

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Je m’appelle Julien. Je suis brun, 1m84, mince mais pas musclé.

Mes premières relations sexuelles eurent lieu lorsque j’étais au lycée en seconde. J’étais un élève plutôt réservé, et cette année là j’étais devenu le bouc-émissaire des mecs de ma classe. Je crois c’est parce que j’étais devenu gros et que je m’entendais bien avec les professeurs vu que j’étais assez bon élève, d’où les surnoms dont on m’affublait quotidiennement : le gros, le mange-boule, le lèche-cul, le bourrelet… Le moment le plus critique pour moi était lors des cours de sport : j’étais toujours choisi en dernier, ils ne m’incluaient jamais dans le jeu (sauf en tant que gardien de but au foot, histoire de me recevoir les ballons dans la gueule et d’avoir une victime au cas où mon équipe perdrait le match) et ils se moquaient toujours de moi en endurance.

Un élève de ma classe en particulier semblait avoir une dent contre moi, Igor. Il prenait plaisir à m’humilier à chaque fois qu’il me voyait, en soulignant bien que je n’avais aucun ami, contrairement à lui qui était constamment entouré des élèves les plus cool de la classe, voire du lycée. Il n’était pas le plus beau, mais il avait un petit truc en plus qui faisait craquer les filles, ou les garçons comme moi qui se cherchaient encore. Il était brun, aussi grand que moi, avec un regard et un sourire qui me paraissait souvent pervers, voire sadique. J’aurais fait beaucoup pour qu’il change d’avis sur moi et qu’il me prenne sous sa protection.

Les mois passaient, tous identiques jusqu’au jour où le prof de latin était tombé malade. C’était un samedi matin, en février, et il faisait plutôt froid. Comme je n’avais pas d’autres cours, je me décidais de rentrer chez moi. Mais avant, je devais passer aux WC, à cause d’une envie pressante. Comme je croyais que j’allais être en retard en cours, j’étais parti de chez moi sans avoir pissé et là, je ne pouvais plus me retenir. Les cours ayants commencé, il n’y a personne dans la cour ; j’allais donc être tranquille aux WC le temps de faire la vidange. Je m’installe devant l’un des urinoirs pour pisser. Les WC étant dans la cour de récréation, il fait un froid de canard et j’ai bien du mal à prendre ma bite qui n’était déjà pas bien grande. Quand enfin j’y arrive et que je me mets à pisser, un mec se met devant l’urinoir à côté de moi. C’est Igor. Lui aussi n’avait pas eu cour de latin, mais je ne pensais pas le revoir de sitôt. Il ne pisse pas et se tourne vers moi en me disant :

— Il fait froid hein ?

— Heu… oui…

— J’ai envie de pisser là, tu y arrives toi ?

— Oui Igor…

— Montre !

À cet instant, il me prend la bite et dirige mon jet de pisse sur mon torse. Heureusement, j’avais presque fini, mais quelques jets de pisse étaient quand même arrivés sur sweat-shirt. J’étais interdit, sur le cul, incapable de réagir. C’était la première fois qu’on me touchait la queue et j’étais terrifié par le fait de m’être pissé dessus. Igor souriait et me tenait toujours la queue dans la main, en la serrant de plus en plus.

— Tu as une petite bite tu sais ? J’ai eu du mal à la prendre. Oh ! Regarde ce que tu as fait, tu m'as mis de la pisse sur la main. Il va falloir réparer ça.

Il m’a alors tiré les cheveux et foutu un coup derrière les jambes pour que je tombe à genoux devant lui. J’ai eu très mal et j’étais paniqué en pensant au drame que ce serait si quelqu’un nous surprenait, moi la bite à l’air libre à genoux devant lui. Tirant plus fort sur les cheveux, il m'a fait lécher sa main couverte de ma pisse. C’était à vomir et je me sentais sali comme jamais je l’avais été. Voyant que je ne me laissais quand même pas faire, il essuya sa main sur mon visage et me crachat à la gueule. Puis, il me tira jusqu’à l’une des cabines, la plus éloignée de la porte d’entrée. Il pointa alors un doigt inquisiteur en direction du mon sexe. Je me suis rendu compte avec effroi que je bandais.

— Je vois que ça t’excite le mange-boule. T’es PD ? En tout cas j’avais raison, tu as vraiment une toute petite bite. Bon maintenant tu vas faire ce que je vais te dire si tu ne veux pas que je raconte à tout le monde que tu t’es pissé dessus aujourd’hui. Tu vas te foutre à poil, à genoux les mains derrière la tête, et tu vas boire toute ma pisse sans en laisser tomber une goûte. Car je te préviens, si tu n’es pas coopératif, je te pisse dessus et tu devras rentrer chez toi recouvert de pisse.

Je ne sais pas ce qui m’a pris, mais je lui aie obéi. Je me suis déshabillé entièrement et j’ai pris la position demandée. J’avais peur de rentrer chez moi couvert de pisse et je pensais naïvement que peut-être il allait plus m’apprécier si je lui obéissais. Il a sorti sa bite ; elle était au repos mais déjà me semblait énorme en comparaison de mon petit asticot ; surtout elle était poilue alors que je n’avais que quelques poils qui se battaient en duel. Elle sentait mauvais et quand il a commencé à décalotter, j’ai vu des traces blanchâtres. Il a engouffré sa queue dans ma bouche et a commencé à pisser doucement pour me laisser le temps d’avaler. Le goût était fort, et je n’arrivais que difficilement à avaler. Le gros de sa pisse débordait pour atterrir sur mon menton et dégouliner sur tout mon corps. Une fois fini, il s’est cassé.

Je suis resté plusieurs minutes nu sur le carrelage froid de la cabine. Après m’être essuyé avec du papier toilette, je me suis rhabillé pour rentrer le plus vite chez moi et me prendre une douche en tentant de ne pas croiser mes parents. Mais quelle ne fut pas ma surprise quand je l’ai vu m’attendre à la sortie des WC.

— Ecoute Julien, je suis désolé de ce qui vient d’arriver. Je ne sais pas ce qui m’a pris. Viens chez moi, il n’y a pas mes parents. Tu prendras une douche, je te filerais des vêtements et je te ferai à manger. Je te promets que rien de tel n’arrivera plus. Ok ?

Il avait l’air sincère. Avec le risque de croiser mes parents alors que je puais la pisse, et le fait que c’était peut-être enfin l’opportunité de devenir ami avec lui ; j’ai accepté.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Lundi 29 octobre 1 29 /10 /Oct 23:05

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je me suis senti mal pendant tout le trajet qui nous amenait chez lui. J’avais l’impression que tout le monde savais que j’étais recouvert de pisse. Igor ne faisait rien pour me changer les idées puisqu’il ne me parlait pas du tout. J’ai supposé qu’il s’en voulait et qu’il se taisait dans un silence coupable.

Heureusement, il habitait à seulement quelques rues. Une fois chez lui, il m’a expliqué qu’il vivait avec sa mère uniquement, ses parents étant divorcés. Il m’a immédiatement montré où était la salle de bain et donné une serviette et des vêtements propres qu’il a été cherché dans sa chambre. Je me suis alors enfermé dans la salle de bain pour me doucher. Je l’ai entendu mettre de la musique assez forte. Je me suis savonné au moins quatre fois pour me sentir moins sale. Mais quand je suis sorti de la douche, il était là. Je ne l’avais pas entendu ouvrir la porte que j’avais pourtant verrouillée. Avant que je puisse cacher ma nudité avec une serviette, je l’ai vu s’armer d’un appareil photo. Les flashs ont crépités et je me suis cassé la figure dans la douche. Il en profita pour me prendre sous toutes les coutures, ne s’inquiétant même pas si je m’étais fait mal en tombant. Puis il est reparti.

Je me suis relevé tant bien que mal, séché et habillé en vitesse. Puis je suis allé le voir dans sa chambre, les larmes aux yeux. Pas de trace de l’appareil photo. Il était assis sur son fauteuil de bureau, les jambes croisées, et me jetait un regard suffisant. Sans que je puisse en placer une il me dit :

— Je t’ais pris en photo. Je t’ai à poil complet. Si tu ne veux pas qu’elles arrivent dans les mains des élèves du lycée, il va falloir être très gentil avec moi. Tu as compris ?

Je suis resté coi pendant une bonne minute. Je ne savais plus quoi penser, ni faire. Il m’avait pissé dessus ce matin et maintenant photographié alors que j’étais complètement nu. Me coupant dans mes pensées chaotiques, il réitéra sa question. Je n’avais qu’à répondre un petit « Oui ».

— Ok, mais je ne suis pas ton pote sac à pisse. Tu me dis oui monsieur ou oui maître. Ok ?

— Oui monsieur.

— Bien. Fous toi à poil, tu ne crois pas que tu vas rester dans mes vêtements une minute de plus quand même ?

Pendant que je me déshabillais une nouvelle fois devant lui, il m’expliqua ce que je devais faire :

— Une fois à poil, tu vas te mettre par terre et faire le beau comme un chien avec la langue pendante.

J’étais donc devant Igor, moi à poil et lui habillé, en plein milieu de sa chambre à faire le beau. Il m’a alors tiré les cheveux pour me faire lécher les pieds. Je suis passé entre ses orteils et heureusement ils n’étaient pas sales ; comme c’était le matin, il avait dû se prendre une douche avant de partir en cours. Puis j’ai dû me branler devant lui assis, les jambes écartées.

— Tu as vraiment l’air d’une chienne en chaleur. Regarde-moi dans les yeux pendant que tu te branles connasse. Dis que tu es une salope.

— Je suis une salope.

— PLUS FORT CONNASSE.

— JE SUIS UNE SALOPE.

Pendant que je me branlais en le regardant, il titillait mes couilles avec ses pieds. J’ai eu du mal à bander car la situation était trop impressionnante et invraisemblable pour moi. Il s’est bien passé vingt minutes pour que j’arrive à bander, et dix autres pour éjaculer sur mon torse. J’avais du sperme partout sur le ventre et j’étais exténué. Ma jouissance avait été très forte et j’avais même poussé quelques petits couinements qui l’ont fait sourire.

— Bien maintenant, comme tu as pris du plaisir grâce à moi, tu vas m’en donner. Prends la dans la bouche, fais la grossir et suce.

Sa queue n’a pas tardé à grossir dans ma bouche. Elle prenait de plus en plus de place et parfois j’avais des envies de vomir. Mais à chaque fois que j’essayais de la retirer, il me l’enfonçait. Je me suis donc appliqué à le sucer comme il voulait puisque je voyais bien que je ne pouvais rien faire d’autre. Il avait toujours des trucs blanc sur son gland qui sentaient mauvais, j’ai dû les lécher et j’en avais partout dans la bouche. Je n’arrivais pas a prendre sa queue entièrement dans la bouche quand elle a été bandée à fond. Après quelques minutes, il a joui dans ma bouche et m’a demandé de tout avaler après lui avoir montré que j’avais tout pris en bouche en faisant le beau la gueule ouverte. Son sperme était très salé, j’ai failli vomir mais je me suis retenu : qui sait ce qu’il m’aurait fait si j’avais eu le malheur de le faire ?

Après quelques secondes, le temps de reprendre mon souffle. Il m’a jeté mes vêtements souillés de pisse à la gueule pour que je les mette. Puis il m’a foutu à la porte. Je suis rentré chez moi comme ça et heureusement, je n’ai pas croisé ma mère. Je me suis une nouvelle fois douché, j’ai changé de vêtements et mis ceux du matin au lave-linge. Une fois en partie revenu de mes émotions, je me suis rendu compte que je n’ai pas arrêté de bander depuis que je suis parti de chez Igor. J’ai dû me soulager et toutes mes pensées allaient sur ce qui s’était passé avec Igor.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Lundi 29 octobre 1 29 /10 /Oct 15:07

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Je m’appelle Lionel et j’ai vingt-et-un ans. et je vis en province. Je n’ai jamais eu beaucoup de mecs parce que je suis très timide. Et aussi parce que je fantasme toujours sur des mecs que je n’ose pas aborder et qui me font peur. Je veux dire les hommes très virils, les motards, les moustachus au système pileux très développé, les grandes baraques pleines de muscles. J’ai beau me raisonner, il n’y a qu’eux qui m’excitent à mort. Parfois, je vais mater discrètement dans un café qui est connu comme le rendez-vous des motards. Après, je vais me branler sur mon lit ou dans les chiottes du café si c’est trop urgent. Je croyais que j'étais très discret et que personne ne m’avait remarqué. Mais ça a changé, samedi.

J’avais passé une heure dans le café devant une bière, un peu à l’écart, comme je le fais toujours. Un motard est entré dans le bar et j’ai senti mon cœur s’emballer. Ce mec était vêtu d’une combinaison de cuir noir vraiment très moulante, fermeture-éclair ouverte sur une poitrine velue et large. Le casque intégral à la main, il a enlevé ses gants et j’ai vu ses mains larges et musclées. Au moment où il commandait un demi, on a entendu le choc un peu sourd d’une bécane qui tombe ou que l’on cogne. Le mec est sorti. Je le voyais depuis la fenêtre. Un autre motard avait bousculé sa moto. Il n’y a pas eu beaucoup de mots mais une baston rapide. J’ai vu “mon” motard envoyer son poing dans la gueule de l’autre, esquiver quelques coups et balancer son poing une nouvelle fois dans la gueule de l’autre, et lui fendre la lèvre en lui disant:

— Maintenant tu te tires ou je t’écrase la gueule!

L’autre mec est parti en titubant et "mon” motard est rentré dans le bar pour boire sa bière comme s’il ne s’était rien passé. Moi, j’avais la bite dressée dans mon pantalon, prête à exploser. Je me faisais mon cinéma: je me disais que c’était l’homme qu’il me fallait. Mais, en même temps, réellement j’ai peur de ce genre de mec violent. Je ne vous raconte pas le choc de ma vie lorsque, alors que je sortais discrètement du café, ce type m’a accosté. J’ai pâli. Il m’a dit:

— T’as un faible pour les gros durs?

J’ai bafouillé que non et je suis devenu écarlate, et je me suis payé la honte de ma vie. Je l'ai entendu rire. Il m’a pris par le bras et m’a poussé vers sa bécane.

— Je t’emmène faire un tour!

Il m’a dit ça d’un ton tellement autoritaire que je n’ai rien rétorqué.

On s’est arrêté à une dizaine de kilomètres de Nîmes. Plus j’avais peur, plus j’avais la bite qui remuait. Quand on est arrivés chez lui, je tremblais comme une feuille. Il m’a dit:

— Tu te fous pas à poil? Faut que j’le fasse?

Et moi j’étais paralysé. Il s’est approché de moi. J'ai pensé que j'allais me faire cogner, j’ai baissé la tête. Il m’a pris la tête entre ses mains et m’a dit:

— T’as peur de quoi?

Avant que j’ai eu le temps de répondre, j’ai senti ses lèvres se refermer sur les miennes. Sa bouche toujours soudée à la mienne, il a commencé à me déshabiller, sa main est venue sur ma ceinture et m’a attrapé la queue à travers le caleçon, j’ai cru que j’allais décharger. Sa main était très chaude et très dure aussi. Elle est passée sous le caleçon et est remontée doucement vers l’anus. En sentant les doigts passer dessus, je me suis un peu contracté. Mon motard m’a dit:

— T’as encore peur? Tu sais pourtant que je vais te mettre, et que tu vas gueuler de plaisir!

Il m’a dessapé complètement, et puis lui s’est ensuite mis à poil. Je ne m’étais pas trompé; il était vraiment très beau et très musclé. Il m’a demandé que je lui taille une pipe. J’ai pris dans la bouche son membre très gonflé, aux veines saillantes. Il sentait encore l’odeur du cuir de la combinaison, et puis il m’a fermement renversé sur le plancher. Il faisait chaud et je commençais à transpirer. Il a plongé sa main entre mes cuisses, et j’ai senti qu’il avait mis du lubrifiant au bout de ses doigts, un gel un peu froid sur mon anus et les doigts qui massaient autour très doucement. J’ai commencé à gémir, peut-être parce que je ne m’attendais pas à cette douceur, c’était comme décuplé.

Je sentais qu’un doigt appuyait un peu plus sur les bords de la rosette et glissait dans mon cul très facilement. Je me suis fait branler le cul de cette façon avec deux et trois doigts, et c’était de plus en plus excitant. J’avais envie de me faire mettre. J’ai remonté les fesses un peu. J’avais encore un peu la trouille, mais le désir était plus fort que tout.

À ce moment-là, j’aurais pu me faire défoncer le fion avec une bouteille, je crois, sans rien dire. Mais c’est un long sexe chaud que j'ai senti me pénétrer, très très lentement et très profondément. J'avais l'impression qu'on ne m'avait jamais enculé comme ça. C’était une sensation nouvelle. Il m’enculait fermement mais doucement à la fois. Il a commencé à aller et venir en moi, et, avec une main, à me branler la queue. Je sentais le foutre qui me montait dans la queue. J’ai déchargé tout de suite, et au moment où je déchargeais, il a accéléré les mouvements de sa queue dans mon cul. Ce fut génial.

Après, il a continué à me limer plus tranquillement, et ma bite a repris du volume. J’avais l’impression que je ne serais jamais rassasié! J’avais envie que ça dure encore longtemps. Je voulais encore sentir sa main me branler la bite. Il me la serrait de plus en plus fort à mesure qu’il était prêt à jouir, et il a craché en moi en me la broyant presque. Moi aussi j’ai craché. Il s’est écrasé de tout son poids sur moi. Et puis il a commencé à me lécher la sueur sur la peau. C’était très doux. Il m’a léché partout sur le corps. Et je sentais que le plaisir allait se rallumer encore.

On s’est caressés longtemps, presque sans bouger. Je n’en pouvais plus. Je crois que de la tendresse comme ça, j’avais jamais eue. Au bout d’un moment, on rebandait tous les deux comme des cerfs. On a baisé tout l’après-midi et il m’a appris des choses. On doit se revoir ce soir. Quand je le vois, je suis fier. Avec son allure, il fait peur. Mais maintenant je sais que c’est un vrai mec très tendre quand il baise.

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Lundi 29 octobre 1 29 /10 /Oct 13:30

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Je n’avais jamais fait l'expérience avant. Le contact du caoutchouc noir. Ça m’a plu. Avant d'aller plus loin, que je me présente: Alex, vingt-neuf ans, parisien. Je suis bien foutu, plus blond que châtain, yeux noisette, et plus minet que butch survitaminé.

À propos du latex, c’est le toucher qui m'a lait bander en premier. J'étais dans un petit bar de la rue de Turgot près de Montmartre quand j’ai vu le type en question y entrer. Sur le coup, je n’ai pas fait trop attention, je me suis dit qu'il n'était pas mal avec ses joues mal rasées et ses yeux verts en amande, mais peut-être un peu mastoc. C’est au sous-sol, dans la minuscule backroom, que je me suis mis à genoux. Quand j'arrive, je passe tout de suite ma main au niveau des braguettes pour tâter les calibres. Quand ça vaut le coup, je me baisse et je me sers; c’est assez rare de tomber sur une bite qui refuse qu'on la salive un peu. Quand j'ai ouvert la braguette du mec au regard vert, j’ai été surpris de tomber sur une espèce de short en latex noir qu’il portait sous son jean crade. C’était complètement déformé par une monstrueuse bandaison. J'ai commencé à caresser et à mordiller la grosse bosse, persuadé qu’au bout d’un moment il baisserait le short pour que je puisse le sucer vraiment. Mais j’y ai pris goût à lécher cette souple matière. J’ai trouvé que l'odeur se mariait bien avec l'odeur habituelle des bites. Si il avait finalement voulu retirer son short, c'est moi qui l'aurais refusé. J'ai commencé à bien palper le braquemart, à prendre plaisir à le sentir s'agiter comme un gros serpent derrière la matière noire. Rien que le renflement suffisait à m'exciter, c'était pas croyable. Je passais et repassais ma langue sur le latex déformé, ça m'excitait de plus en plus. J’ai fini par sortir ma bite pour me branler un peu. J’ai levé la tête, et j'ai vu le type me sourire sans dire un mot. J'ai commencé à imaginer la bite, couverte d'une pellicule de sueur. Puis je me suis mis à la prendre avec mes mains pour la faire bouger à l'intérieur, pour la frotter contre la paroi souple, ensuite à pincer le gland en même temps. Le mec soupirait d'aise, la tête appuyée en arrière contre le mur.

Puis il me relève, et je m’aperçois qu'il porte un tee-shirt en latex sous son bomber. C'est un débardeur un fait, et d'autorité il me colle le nez sous ses aisselles, mais avec douceur, presque de la tendresse. L'odeur, forte, su mélange avec celle du caoutchouc. Je suis contre lui, et il me frappe le cul à coups lents et réguliers. Ensuite il s'est penché un peu pour me mordre les tétons comme une brute. J'avais conscience d'être le centre d'intérêt de la backroom, d'être la chienne de l’endroit, de me donner au plus macho comme une bonne salope, et que tout le monde allait me prendre pour une pute quand je remonterais. J'ai gueulé, moitié souffrance, moitié plaisir teinté d'un peu d'exhib. Ses grosses pognes me malaxent le cul, et je sens ma bite frotter contre la sienne, seulement séparées par la frontière du latex. Tout d'un coup, il m'a dit: “On va dans les chiottes, t'as l’air d'un bon lécheur de trous, toi! Vas-y, passe-moi la langue, montre-moi que tu mouilles de la gueule...”

J'étais hyper-excité. J’ai suivi de la langue le contours de ses bonnes fesses musclées derrière le latex, et j'ai pointé ma langue, durcissant le bout pour tenter d'atteindre son trou de balle que j’imaginais bien poilu et moite de sueur. Mais ça ne l’a pas trop amusé, on a fini par remonter. Il m’a payé une bière et m'a proposé d’aller rue Keller. J’ai accepté, et on y est allé vite avant que le bar ne ferme à deux heures. C'est là que j'ai vécu ma véritable initiation. Après m'avoir fait boire une double vodka et m’avoir fait respirer du poppers, il m’a fait mettre à genoux au fond du bar et il m'a fait avancer comme une chienne. Dès qu’il voyait un autre client en latex ou en cuir, il me le faisait renifler, il me claquait le cul en me disant qu’il allait bientôt s’en occuper. Ça le faisait marrer. Bien qu'excité par ce mâle, je me sentais honteux d’être traité comme un esclave devant tout le monde. Mais quand j’ai vu dans ce bar des mecs qui se faisait marcher dessus ou d'autres qui se faisaient arroser dans les chiottes sans que personne ne les juge, je me suis laissé aller à lécher tous les glands à ma portée. Je me suis fait remplir la gueule, je me suis frotté contre toutes les paires de bottes, j’ai caressé tous les latex présents. J’ai fini par jouir presque sans me toucher tellement j’étais allumé. Quand le bar a fermé, Guy m’a emmené chez lui, dans le Douzième. Là, il m’a ordonné de passer un jockstrap en latex et des grandes bottes de chasse kaki. C'est là qu’il m'a défoncé la rondelle tout en lenteur en me faisant sucer un énorme gode en caoutchouc noir. J’ai pris un pied pas possible à me faire limer par sa grosse matraque odorante. C'est après que j’ai vu une cagoule et un masque à gaz près du lit. Il m’a proposé de me pisser dessus dans la baignoire, mais là, j’ai refusé. Ça et les masques, on verra peut-être plus tard. Je ne me sens pas encore prêt à aller jusque là.

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Dimanche 28 octobre 7 28 /10 /Oct 01:15

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Tu m'as demandé de raconter... alors voilà ce qui c'est passé:

Un soir, il y a 2 mois environ, on se prépare à sortir, puis à un moment, tu changes de ton et tu exiges que je me laisse faire. Tu me fais mettre à genoux dans un coin du salon avec les mains sur la tête. Tu mets un bandeau sur mes yeux. Ça sonne à l'interphone, tu y vas et tu dis: "Ok il est presque prêt, on descend." Il est tard, dans les 23h/minuit...

Tes mains prennent mon bras et me forcent à me lever. Tu me passes les menottes devant et tu déposes un imper dessus afin que l'on ne les voit pas. Tu trifouilles dans la chambre et tu reviens avec un truc que tu mets dans la poche de ton blouson. On quitte l'appartement, l'ascenseur, et on traverse le jardin; tu me guides car j'ai les yeux bandés. Je suis juste vêtu d'un jeans sans rien dessous et d'un t-shirt.

On arrive à une voiture, tu ouvres la porte arrière et tu me pousses à l'intérieur en m'ordonnant de m'allonger sur la banquette. Tu fais le tour et tut t'assoies à côté du conducteur que tu embrasses:

— Ça va?

— Tu vois il est prêt...

— On y va?

Et c'est parti... la voiture roule, fais des tours, je ne peux plus savoir où on est. Elle s'arrête, vous descendez tous les deux. Je suis seul dans cette voiture et là, je commence vraiment à mouiller de trouille et d'excitation. Je vous entends revenir en discutant avec quelqu'un: un accent assez prononcé... La porte s'ouvre et tu me tires dehors. Je trébuche, je suis toujours aveuglé et toi et ton copain me prenez chacun sous un bras. Précédés du type avec un accent, on s'enfonce je ne sais où, dans un terrain qui me paraît herbeux ou plein de terre...

Une porte qui s'ouvre et je distingue une légère lueur, des respirations... La porte se referme sans que nous soyons entrés. On s'éloigne, une autre porte. Vous me poussez contre une table. Je sens le rebord contre mon pubis. Les menottes sont enlevées.

— Écarte les mains, penche-toi et allonge-toi le plus possible sans soulever tes pieds.

Des cordes autour de chaque poignet et je me sens étiré, solidement attaché aux pieds de la table. Je commence à vraiment avoir peur. Je sens tes mains qui tâtonnent, qui passent sous mon ventre et qui tirent le jeans vers le bas. Tu m'obliges à soulever une jambe, je sens que ma chaussure est enlevée et que tu enlèves une des jambes du jeans. Je suis exposé; le cul bien en arrière, le pantalon baissé. Une légère lueur me montre qu'il y a un peu d'éclairage. Je sens ta présence, celle de ton copain et sans doute une troisième personne.

Tu ouvres ton blouson et je sens que tu prends le fameux paquet que tu as récupéré avant de partir de la maison. Tout à coup, je t'entends dire: "Écarte lui les fesses, s'il te plait." Des mains dures m'écartèlent et je sens un contact froid et glissant; tu es en train de me graisser le cul. Tu entres les doigts, tu masses et tu répartis bien le gel tout autour et à l'intérieur... Tu poses le tube sur la table à côté de moi.

— Donne moi les préserv', on va en ouvrir une douzaine... Ça y est, il est prêt. Dis à ton pote le chef qu'il peut y aller...

Je te sens te mettre à côté de moi, tu as ta main sur mon dos, mais de toute façon, je ne peux pas bouger... À ce moment, le mec avec l'accent te remercie, j'entends un froissement d'étoffe... Le claquement du préserv' sur la tige et craaaaaaaac, je me prends une queue dans le cul! Il rentre à fond et commence à limer, il accélère et me défonce à grands coups de queue... Quelques minutes, une sensation de chaleur à travers le préserv'... il se retire et je l'entends qui enlève le préserv et qui s'essuie...

— Une bonne salope! dit-il. J'appelle les autres...

Et ça recommence, la porte s'ouvre etc... Un froissement ou une glissière qui s'ouvre, un préserv qui claque sur une queue, une sensation brûlante de la queue qui me défonce les entrailles... Je ne les compte plus, je suis vanné.. Ma queue est dure.

Tout à coup, plus rien... Ton copain te dit: "Bon il est plein de gel et il a le cul en choux-fleurs... Mais sa bouche? Hein?" Et toi tu réponds: "Vas-y, tu verras, il suce comme une vraie reine..." Et voilà, une grosse tige qui m'écarte les lèvres et qui plonge à fond... Il lime, il lime, puis je sens le préserv qui se remplit de foutre chaud...

C'est fini... tu me détaches. Les yeux sont toujours bandés, tu remets les menottes remonte le pantalon, remets les chaussures, l'imper. La porte qui s'ouvre, sensation de frais... J'ai du mal à marcher: je suis ankylosé et j'ai le cul en compote. Ton ami et toi, vous discutez:

— Tu as vu, il s'est pris les bites de tout le chantier et il y en avait au moins 3 ou 4 qui avaient des super bites... Faudra le ramener quand il y aura d'autres ouvriers. Tu sais ils sont seuls et leur famille est loin... Un petit cul de salope comme ça, ils adorent se vider les couilles dedans... Faudra que je vois avec Ahm... s'ils aimeraient pas aussi lui défoncer la glotte avant de le tirer... Tu ne crois pas?

— P'tain tu avais raison, une bonne salope...

La voiture, la porte, la maison... Il est parti et je ne sais même pas qui il est. Tu me remets au coin. Je n'ai toujours pas joui. J'ai mal d'envie de partir, mais toi, tu n'es pas d'accord.

— Alors petite pute? Tu t'en as pris plein le fion? Hein petite salope... Et en plus, tu y as pris du plaisir alors que tu n'aurais pas dû... En plus t'es toute sale, espèce de cochonne... Attends!

Tu m'enlèves les menottes mais en gardant le bandeau, et tu m'ordonnes de me foutre complètement à poil. J'entends le plastique que tu déplies, tu m'obliges à m'allonger dessus: sensation du plastique froid...

— Tu es une petite salope deguelasse... Je vais te laver moi...

Et tu commences à pisser... partout, sur moi sur mon corps, dans ma bouche que tu me forces à fermer tout en parlant.

— Voilà, maintenant tu es bien propre hein? Et attends demain, ce n'est pas fini, tu vas voir ton cul...

Je crois que tu seras satisfaite, c'est vraiment comme ça que ca c'est passé non?

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Mardi 23 octobre 2 23 /10 /Oct 11:09

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C'était un samedi midi après le repas au réfectoire. Je devais être un des seuls à attendre mon père. J'errais dans les couloirs désertés du collège en essayant d'ailleurs de me rappeler s'il devait venir me chercher ou si je devais prendre le car. J'avais l'esprit particulièrement embrouillé: mauvaise semaine, mauvaises notes.

Je croisai soudainement le principal au détour d'un couloir. Ce dernier me regarda puis me demanda si tout allait bien, si j'avais bien travaillé. Je fondis instantanément en larmes. Un peu surpris, le principal me prit par l'épaule et, tentant sans succès de me consoler, m'emmena avec lui dans son bureau. Une fois arrivés, il reprit son questionnement qui devint plus insistant. Ce n'était pas normal de pleurer comme ça, j'avais dû faire une bêtise disait-il. Je ne sais ce qui me passa par la tête mais tout à coup, je lui dis que ça n'allait pas parce que j'étais pédé. Il y eut un blanc puis il vint s'asseoir à côté de moi.

Sans un mot il prit ma main et se mit à jouer avec mes doigts. Cela dura quelques instants, j'avais l'impression qu'il voulait vérifier si elle était mobile ou en parfait état de marche. Puis tout à coup, il la plaqua contre sa braguette. J'eus un mouvement de recul mais il me tenait si fermement le poignet qu'il m'était impossible de la retirer. Sous le tissu un peu rêche du pantalon de costume, je sentais une barre bien ferme. De sa main libre, il se débraguetta et fourra la mienne à l'intérieur. C'était chaud et je sentis un peu d'humidité sur son slip. C'était lui qui dirigeait la manœuvre.

Je malaxais à mon corps défendant sa bite qui ne demandait qu'à sortir. Il m'ordonna de ne pas bouger et retourna à son bureau d'où il sortit ce qu'il réservait - comme il le dit - aux élèves de mon genre. C'était une menotte qu'il fixa à un des montants métalliques de la banquette où nous étions. J'étais contraint par le lien à être assis. Il baissa son pantalon et, me prenant par les cheveux, me colla le visage sur son slip. Celui-ci était un peu petit et son gland dépassait. Je ne savais ce que je devais faire mais intuitivement, partagé entre la peur et l'excitation, je me mis à le lécher. Il enfourna alors son sexe dans ma bouche.

Nous étions tellement pris par l'action que nous n'avions pas vu Monsieur X, mon prof de sport, arriver. Le principal sursauta mais fut vite rassuré: "Ah! Ce n'est que toi... Regarde ce beau morceau qu'on a à disposition. Tu peux en faire ce que tu veux." Monsieur X était plus jeune et avait 25-30 ans, il baissa son pantalon de survêtement. Je distinguais sa bite encore molle restée dans son sous-vêtement hyper moulant et quasi-transparent. Il commença par finir de me déshabiller et me suça quelques instants. Je ne mis que quelques minutes à bander bien dur. Il ôta alors son sous-vêtement, découvrant son sexe complètement rasé. Il commença par se doigter puis me suçant les doigts, les fit pénétrer dans son cul. J'avais toujours la bite du principal dans la bouche mais je n'arrivais plus me concentrer, ce qui me valut une claque retentissante. X me positionna alors pour s'enfourcher sur ma queue pendant que j'essayais de m'améliorer. Vu leurs grognements de satisfaction, j'y arrivais!

Quand on entendit frapper à la porte, que le principal avait fermée à clé après l'intrusion de X, mes "agresseurs" suspendirent leurs action.

— C'est Auguste, monsieur le principal.

— Si c'est vous, entrez! répondit-il. Vous avez le double des clés.

Auguste était le concierge de l'établissement. Une force de la nature, un peu demeuré sur certains points. Seulement, il n'était pas seul. J'entendis la personne qui était derrière parler. Elle ne pouvait qu'avoir compris la situation vu les tenues du principal et de Monsieur X. Moi, j'étais masqué par eux. Donc j'entendis dire:

— Tiens tiens, une punition méritée?

Je faillis défaillir, c'était papa qui venait me chercher. Il sembla un peu décontenancé en me voyant sur le prof et en pleine "dégustation". Le principal tenta de se justifier mais mon père l'arrêta tout de suite.

— Vous n'avez fait que votre devoir. Je vais vous regarder à l’œuvre jusqu'à ce que vous estimiez que ce petit voyou soit suffisamment humilié.

Ma bite s'était recroquevillée et était sortie du cul de X. Cela sembla l'énerver. Heureusement, Auguste s'était déshabillé pendant que nous parlions et je pus découvrir qu'il avait une bite énorme qu'il approchait dangereusement de moi. Ouf, ce fut pour pénétrer X qui se mit à râler de plaisir pendant que le principal se mit à appuyer son gland contre mon cul pour me sodomiser. Il le fit assez doucement. Avec l'aide du tableau X/Auguste qui m'excitait, je fus vite assez lubrifié. Puis Auguste me présenta sa bite pendant que X se faisait prendre par le principal. Je ne faisais plus attention à papa quand je remarquai tout à coup qu'il avait la main dans la pantalon et que celui-ci était plus que distendu. Mais je me remis à l'ouvrage.

J'avais le principal dans le cul, X que j'avais recommencé à baiser, Auguste dans la bouche. Nous approchions de la jouissance, mon père s'était approché. X gémissait de plus belle et finit par éjaculer pendant que le principal se vidait en moi en petits spasmes. Je sentis contre mon palais le jet chaud et épais d'Auguste. Il ne restait plus que papa qui se branlait et me juta sur le visage. Je dus nettoyer leurs parties après cette séance et s'ils eurent droit à la douche. Mon père m'interdit de me laver jusqu'au lendemain...

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Dimanche 21 octobre 7 21 /10 /Oct 00:33

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Je suis profondément vicieux, et je suis persuadé que beaucoup de mecs ayant de hautes responsabilités sont au pieu de vraies salopes soumises. Je suis dans une profession où l’on bouge, délégué médical, et je supporte de moins en moins ces toubibs qui vous méprisent mais qui ne crachent pas sur une petite corruption le cas échéant quand on leur demande d’acheter nos produits. Ça fait cinq ans que j’ai envie de prendre ma revanche, d’inverser les rôles, de soumettre un toubib, de le voir à quatre pattes, le cul ouvert en train de faire la pute.

À chaque fois que je me déplace dans une ville importante, je cherche sur le réseau des mecs à responsabilités à humilier. Mais les occases sont rarissimes. Pourtant, cette fois-là, je n’en ai pas cru mes oreilles. J’avais annoncé: “Mec, trentaine, baraqué, bonne bite, de passage sur Lyon, cherche mec genre toubib à humilier et soumettre.” Et j’ai reçu la réponse d'un mec, toubib à Lyon, qui se fait baiser et soumettre. J’ai regardé dans mes fiches, il y figurait. J’ai appelé pour lui proposé mon produit, il a refusé de me recevoir. J’ai la haine, soudain: je sais ce qu’il me reste à faire, je vais me le faire!

Peu de temps après, je suis dans la salle d’attente de son cabinet. La porte s’ouvre. Le toubib, un grand mince à lunettes dorées, teint mat, cheveux noirs et courts, sympa et tout sourire, me fait entrer dans son bureau. Je joue le jeu et lui donne l’adresse de mon hôtel à Lyon. Quand il me demande ma profession, je réponds “délégué médical”. Il me demande pour quel labo, puis il me dit qu'il faudrait définir le cadre de ma visite, marketing ou information. Je lui dis que j’ai mal au dos, et on passe dans la salle d’examens. Je me dépoile et je bande un peu. Au fil de l’examen, ma bite prend de plus en plus de volume, et lorsque le médecin, perplexe, me palpe une à une les vertèbres, ne trouvant rien d’anormal, elle se retrouve totalement à l’horizontale. J’ai sa bouche à bonne hauteur. Je le prends alors par les cheveux et le plaque contre ma queue. Il me regarde d'un drôle d'air, ne dit rien.

— Sucez ma bite, Docteur!

Il ouvre sa bouche et commence à me pomper, il fait ça bien, il a l’air d’aimer ça. Je le mets debout et lui demande de se désaper façon strip-tease. “Bougez bien vos fesses, Docteur!” Il a un beau cul, bien ferme, de petites fesses, et il commence à se prendre au jeu. Je lui donne une claque, il se trémousse comme une vraie femelle. Je décide de le fesser, et je claque de plus en plus fort. Ce type est une vraie salope, il en redemande. Je vais chercher ma ceinture, et je lui en balance une dizaine de coups. Il aime, la chienne! Docile et obéissant!

— Vous savez, Docteur, que vous êtes une bonne salope? Que diraient vos patients et vos confrères s’ils connaissaient vos goûts, hein?

Ses fesses prennent une belle couleur. Je prends un lacet de ma chaussure et lui attache les mains dans le dos. Pour le punir de s’être touché, je le fais marcher à quatre pattes, puis je le fais tomber, je lui file des coups de pieds au cul. Il me regarde avec des yeux curieux. Ce mec est vraiment soumis... Avec mon autre lacet, je fais un nœud coulant et lui enserre les couilles, puis je les tire en arrière. Je commence à lui ouvrir l'anus d’un doigt. Il me désigne capotes et gel au-dessus d’un placard. Je vais me l’enculer! Je passe un préso et pousse ma tige contre sa rondelle pour l’enfoncer direct! Il se retrouve plaqué contre le mur. Je l’embrasse dans le cou et lui souffle: “Elle est bonne, ma bite, hein?”

Il est rouge. J’accélère le rythme, puis je ressors brusquement mon manche. Je le saisis par les cheveux et lui fais avaler ma queue: “Nettoyez-moi bien la bite!” En fait, il a l’air d’avoir un cul nickel! Il enfourne ma bite et me suce à fond. “Stop! Sur la table!” Je le fais allonger sur la table d’examens, ramène les écarteurs et lui place les pieds dedans. “Où sont les spéculums?” Il hésite et me répond: “Dans le poupinel.” Je prends le plus gros; je le sens inquiet. “OK! Mettez-le vous-même!” Le geste est professionnel, il se le place, tranquille. Je vois son cul aspirer le spéculum brillant. Je commence à tourner la molette. C’est géant! C’est la première fois que je vois l’intérieur d’un cul. Il sent que ça me fait de l’effet, et me demande d’allumer le spot. L’intérieur est rose vif, lisse, je suis fasciné. Je touche: c’est chaud, satiné, sublime. Il frissonne. Je plonge mon dard entre les lames du spéculum, et je ressens un plaisir dingue. Je le regarde, il prend son pied! Je me retire pour souffler dans sa béance. Il remue lascivement, les yeux fermés, et suce son pouce. Je m’approche et lui roule une pelle. Il se donne vraiment, il est offert, on dirait une nana amoureuse quand ses bras m’entourent. Et si je versais de l’eau dans ce trou grand ouvert? Il m’indique le frigo. À côté des vaccins, il y a des canettes de bière. J’en prends une, lui en donne une gorgée, et je vide le reste au travers du spéculum. Il gémit, soupire que c’est bon. C’est magique de voir le liquide ressortir par le cul. J’ai comme des vertiges. Les sensations sont très fortes. Il parle doucement pour m'inviter à poursuivre: “Vous savez qu’il y a des mecs qui, lorsqu’ils chopent un pédé, lui enfoncent une canette dans le cul?... Ça m’est arrivé dans un train avec des marins bourrés...”

J’ai compris ce qu’il veut! Je retire le spéculum, j’agite une seconde canette de bière et la lui glisse dans le cul. Il soupire, se déhanche, saisit la canette et se l’agite pour qu’elle entre complètement, lève le bassin, retire la canette vide, la met à sa bouche pour aspirer la mousse. J’en suis estomaqué. C’est complètement indécent, du hard inimaginable! Il parle tout seul, il s’insulte: “Oui, je ne suis qu’une chienne, qu’un trou à remplir, allez-y, traitez-moi comme je le mérite!” Il se tire lui-même sur les couilles, se griffe le ventre, se pince les seins. J’ai pris un gant et me le badigeonne de gel. Je rentre facile trois doigts d’emblée; la bière gicle! “Défonce-moi le cul avec ta main!!” “Oui, Docteur!!” Il veut se faire fister, il se donne, il pousse, il veut que ça rentre. Ça y est! Le poignet est passé. Je me sens aspiré dans son cul. Il n’en peut plus et mouille un max.

— Alors, Docteur, c’est ça qui vous fait jouir, hein?

Il approuve et bouge son cul, tirant sur ses couilles. Je n’en reviens pas d’avoir trouvé un mec pareil! Je suis inquiet, je ne voudrais pas le blesser, mais c'est lui qui me rassure et qui me guide. Je commence à le ramoner alors qu’il me regarde dans la glace. Il tente d’étouffer ses cris, il est en train de sentir l’orgasme arriver direct. Il me dit: “Je vais jouir, je vais jouir!!” Je le regarde, étonné.

J’ai envie de pisser et le lui dis. Il me réponds: “Ouais, vas-y! Sur moi!” Mon jet commence à couler. À voix basse, il me demande de l’arroser, de le traiter comme il le mérite. C’est alors que j’ai une crampe au bras qui est toujours enfoncé dans son cul. Je le retire un peu trop vite, mais ça ne le gêne pas. Il écarte ses fesses avec ses mains et me supplie de lui pisser dans la raie. Je vise le trou béant. Il est déchaîné, il se caresse de partout. À peine ai-je fini de pisser qu’il m’avale la queue et commence à me sucer.

— Doucement, Docteur, doucement!

Il se lève et s’empare d’une capote. Il a envie qu’on le baise à mort. Je lui file des claques, il me demande d’y aller plus fort.

— Je crois que je vais vous baiser, Docteur...

Je l'emmène dans la salle d'attente, toujours vide, et je commence à l’enculer. Il est super-excité, car on pourrait être surpris. Je le ramone bien, ça glisse à l’aise. Puis je le fais retourner à son cabinet, toujours enculé par ma queue, et je le tire à fond sur son bureau. Je lui tire sur les couilles et le branle à lui faire mal. Il essaie de m’empêcher de le faire jouir. Je l’engueule, je le baffe, et soudain il crache sa sauce. Sa jute se répand sur des papiers de son bureau. Ça m’excite! Je le relève et le ramène à la salle d’examens. Il a débandé. Pas moi! Je lui fourre ma bite au cul. Il n’en peut plus.

— Alors, Docteur, on n’a plus trop envie? C’est pourtant maintenant qu’on va s’éclater! J’adore baiser un mec qui a déjà joui...

Quand je l’encule, je le sens hypersensible. Il n’arrête pas de se tortiller, de gémir, d’haleter. Ça rentre, ça sort, le délire! Je le traite de pédé, de salope, de putain, de trou à bites. Je lui dis que je n’ai jamais vu un garage à pines comme le sien, que c’en est écœurant. Il me sussure qu’il aime trop ça. Je lui crache dessus, je lui file des gnons. Il me dit “merci"! Son corps est tout luisant de bière, de gel, de pisse, de foutre. Je vais jouir! Ça monte! Je me retire, j’arrache la capote, et je lui gicle ma sauce sur la gueule. Il est content de me voir jouir, il se masse avec ma jute, mais il comprend moins lorsque je me saisis d'une autre capote et que je le reprends aussi sec! Il est à quatre pattes et je l’encule d’un rythme régulier. Il ne dit plus rien, il se laisse faire sans réagir. Je m'excite en lui décrivant les scenarii les plus crades.

— J'aimerais, Docteur, vous faire baiser à la chaîne, dans un chantier, vous foutre sur le trottoir...

Il répond oui à chaque fois, il m’affirme qu'il est prêt à tout, que je peux faire de lui ce que je veux. Je le change de position, sur le dos, lui place les pieds dans les écarteurs, et je le reprends aussi sec! Je transpire à grosses gouttes, lui également. J’accélère et je le branle. Je vais jouir encore une fois. Je m’enfonce aussi loin que je peux en lui, et j’éjacule en criant. Lui, il gémit, remue la tête comme un dingue et se met à pisser quand je me retire. Puis il tressaute encore un peu et reste inerte sur la table.

Je reprends mes esprits et caresse ce corps que j’ai martyrisé. Je regarde l’heure: il est plus de vingt-deux heures! On se lave au lavabo, et je souris quand je le vois passer la serpillière à poil. Son trou du cul est encore rouge, ses fesses également.

— Regarde-toi dans la glace!

Il se regarde, se penche et admire son anus boursouflé. Il sourit, ne dit rien. On s’assoit sur les tomettes, par terre, pour fumer une cigarette. Il finit par me dire: “C’est extraordinaire! Je n’ai jamais joui comme ça! Je suis prêt à recommencer, tu sais y faire! Et puis j’aimerais vraiment qu'un mec s’occupe de moi! “ Je lui caresse les cheveux, je suis bien. Il se penche sur ma bite, la suce encore, mais moi, je suis incapable de rebander. Ce toubib m’a épuisé. On se rhabille et il me demande: “On déchire le dossier?” “Pourquoi, lui réponds-je, j’avais vraiment mal au dos! Mais le traitement semble avoir été efficace...”

Dans quelques mois, je dois logiquement passer à Lyon. J’ai quelques idées pour lui et son cul...

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Vendredi 19 octobre 5 19 /10 /Oct 08:56

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Pour ma première visite seul dans Paris, je n’avais que 18 ans et je m’en rappelle comme si c’était hier. C’était en plein été et le soleil était au rendez-vous. À l’aide d’un plan, je faisais mon possible pour essayer de me diriger vers le Trocadéro en métro. C’était en plein les vacances et les wagons étaient remplis de monde. C’est avec difficulté que je me frayais une place au milieu d’une foule plutôt composée de touriste.

Au moment de la fermeture des portes une bousculade me projeta et je me suis retrouvé coincé comme une sardine. Je n’avais aucun endroit pour m’accrocher et j’avais bien du mal à tenir mon équilibre. Cette situation dura pendant le trajet de deux stations le temps pour moi d’établir une stratégie pour me rapprocher d’une barre centrale. Cela tomba bien car la station dans laquelle nous arrivions devait intéresser beaucoup de monde car il y eut une ruée vers l’extérieur. J’en profitais donc pour attraper la barre en me faisant bousculer par la même occasion par un mec dont je ne fis pas tout de suite attention. La seule chose que j’avais remarqué, c'est qu’il devait avoir dans les quarante ans et qu’il était de type algérien.

Le compartiment se remplit aussi vite qu’il s’était vidé mais cette fois-ci, je ne lâchais pas ma prise. Très vite nous nous sommes retrouvés de nouveau compressés. Je me suis retrouvé coincé entre une femme qui s’était incrustée entre moi et la barre et quelqu’un dans mon dos dont j’avais peur d’écraser les pieds; et cela ne rata pas. Le démarrage fut assez brusque et malgré mon point d’attache, je faillis perdre l’équilibre. En voulant me récupérer, ce qui devait arriver arriva. J’ai alors tourné la tête pour m’excuser et je me suis rendu compte que c’était le mec qui m’avait bousculé tout à l’heure et qui me répondit par un grand sourire. Après tout, je me suis dit que c’était un prêté pour un rendu. Mais bien vite, au fil du tangage du métro, je compris la raison de son sourire.

Je n’y avais pas fait attention au début mais je me suis rendu compte que le mec avait placé ses mains sur mes fesses et qu’il profitait du roulis pour se placer correctement et au fur et à mesure, accentuer ses attouchements. Il avait réussi à placer une des ses mains au niveau de la raie de mes fesses et il ne se gênait pas pour la faire coulisser de haut en bas. Je me suis senti devenir rouge pivoine en me disant que tout le monde devait s’en rendre compte, mais autour de moi chacun vaquait à ses occupations ou était perdu dans ses pensées. Ce qu’il faut dire aussi, c’est qu’avec cette chaleur, je ne portais qu’un short de foot sur un slip en coton et un maillot de basket que j’avais laissé retomber par-dessus, autrement dit, pas grand chose. Cela avait l’air de plaire au mec car ses caresses se faisaient de plus en plus insistantes.

Arrivés à la station suivante, je n’ai pas pu bouger car bien évidemment, personne ne descendit. Le métro fut à peine reparti qu’il se remit à l’œuvre mais ce coup-ci, je sentis encore mieux sa main, qu’il avait dû retourner entre temps paume vers moi, se plaquer entre mes fesses. Un de ses doigts se faisait de plus en plus inquisiteur, glissant bien entre mes globes. J’avais beau me contracter pour essayer de lui faire comprendre que cela ne m’attirait pas, mais cela ne changeait rien, bien au contraire. En effet, sa main se glissa sous mon maillot et remonta vers le bas de mon dos pour tirer sur l’élastique de mon short et essayer de le baisser. Du coup, je passais discrètement une main dans mon dos pour l’en empêcher mais il comprit cela autrement et me l’attrapa pour la plaquer sur son sexe. À travers la toile de son pantalon, je sentis une barre bien épaisse qu’il me forçat à caresser, me tenant fortement. Heureusement, il avait oublié sa première idée et je me suis dis qu’à la prochaine station, je ferais mine de vouloir descendre pour me placer autre part, mais je n’en eus pas l’occasion.

En effet, sa main se glissa entre mes jambes et remonta sous le short jusqu’à mon slip sous lequel il n’hésita pas à glisser ses doigts. Je pensais bêtement qu’il allait se retirer à l’arrêt du métro mais il n’en fit rien, malgré un nouveau mouvement de voyageur qui descendaient. Il m’avait seulement lâché la main et il me tirait en arrière. De la place s’était libérée au fond du wagon où il m’attirait. Placé de la sorte, il pouvait agir tranquillement et ne s’en priva pas. Avant même que le métro ne reparte, il attrapa de nouveau l’élastique de mon short et de mon slip à deux mains et tira dessus pour les descendre. Heureusement que le maillot que je portais était bien long, quoique cela lui facilita la tâche. J’avais l’impression d’avoir mon short à mi-cuisses lorsqu’il fit glisser un doigt vers mon anus. Avec la chaleur et la transpiration, rien ne fut plus aisé pour lui pour atteindre son but; ni non plus à commencer à me pénétrer.

Pris de panique, je n’osais plus bouger de peur de nous faire remarquer. Dans ma tête c’était le brouillard le plus complet. Même en serrant les fesses, je sentis son doigt s’introduire en moi. Il n’y allait pas par quatre chemins et un second ne tarda pas à venir rejoindre le premier. La douleur commençait à se faire sentir, d’autant plus que c’était la première fois que j’avais ce genre d’expérience, étant encore puceau. J’avais l’impression qu’il essayait de me soulever de terre à chaque fois que ses doigts entraient en moi. Il ne s’arrêtait même pas entre les stations et je n’avais qu’une hantise: c’était que quelqu’un s’aperçoive de quelque chose.

Et je n’étais pas au bout de mes surprises. Profitant d’une nouvelle bousculade, de sa main libre il me saisit la mienne pour la ramener sur son sexe. Et la surprise fut de taille. Premièrement il avait baissé sa braguette pour sortir sa queue et le pieu que j’avais en main me semblait énorme en taille et en circonférence. Il me força alors à le branler et à lui caresser les couilles, tout en continuant à me doigter le cul. Je n’avais qu’une envie, c’est qu’il jouisse au plus vite mais à priori il avait une autre idée et me le fit comprendre très vite. Sa main vint remplacer la mienne mais c’était pour diriger sa queue vers mon cul. Il avait à peine retiré ses doigts que je sentis son gland se présenter et forcer l’entrée de mon cul. Comme cela ne rentrait pas du fait de ma résistance, de l’étroitesse de mon cul malgré la préparation, et surtout de la grosseur de son engin, il passa ses deux mains sous mon maillot pour m’attraper par la taille et m’attirer vers lui par des coups secs. À force de tentatives, son gland me pénétra et je faillis lâcher un cri tellement la douleur fut atroce. Je me mordis les lèvres au sang pour m’en empêcher, mais ne put rien faire pour empêcher les larmes de me venir aux yeux.

Et cela continua au fur et à mesure de sa pénétration. Je crus que cela n’allait jamais s’arrêter et qu’il allait me transpercer. Lorsque je fus plaqué complément à lui, et que je sentis son pubis contre mes fesses, il s’arrêta et me laissa reprendre mes esprits. Mais la pause fut de courte durée et il entama des va-et-vient par saccades, autant que le lui permettait le lieu et la position. J’avais l’impression d’avoir une barre de fer énorme dans le cul et même si la douleur avait diminué, elle reprenait de l’ampleur à chaque assaut. Cela dura pendant plusieurs stations dont je suis incapable de dire le nombre, à tel point que je ne savais même plus où j’étais jusqu’à ce que je sente ses mains se contracter sur mes hanches et m’attirer encore plus fort vers lui.

Je sentis son sexe gonfler encore plus et à cet instant je devinais qu’il était en train de se vider en moi. Il ne ressortit pas tout de suite, profitant encore un peu de la situation. Lorsqu’il se retira, il avait encore la gaule et moi je n’osais toujours pas bouger. Il s’essuya sur mon maillot et me laissa remonter mon short et mon slip comme je pus. Je sentais son sperme s’échapper de mon cul qui devait être béant et tout dégoulinant.

La station suivante, il me demanda pardon à voie haute de sorte que je puisse le laisser passer comme si de rien n’était. Il partit sans même se retourner. Je restais une station de plus dans le wagon pour retrouver mes esprits et me demander si je n’avais pas rêvé. Mais non, la réalité était bien là, entre la douleur bien présente et mon slip tout trempé de sperme. Je venais de me faire violer en plein milieu d’une foule par un beur et je n’avais pas résisté.

Pour une première découverte de Paris, je peux dire que j’ai été servi et avec du recul c’est peut être cela qui me donna envie de recommencer l’expérience... mais là c’est d’autres histoires.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Jeudi 18 octobre 4 18 /10 /Oct 15:14

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Après ma première expérience dans le métro avec un rebeu inconnu, j’ai eu vite envie de recommencer. Cette aventure, quoique périlleuse, m’avait plue et m’avait donnée envie de la recommencer. Rien que de prendre le métro, j’en avais la gaule. Et ce n’est que quelques temps plus tard que je pus revivre cette expérience, à la fin de l’été. Ce jour là, j’avais revêtu la même tenue que la fois précédente, pensant que cela allait me porter chance.

C’était un jour de grève et le métro était bondé. Très rapidement, je cherchais du regard un beur qui attendait de prendre le métro et cela n’était pas très compliqué étant donné que je me trouvais sur une ligne généralement utilisée par des ouvriers. J’en repérais un et me plaçais à ses cotés en attendant l’arrivée du métro. Il avait dans la quarantaine, légèrement bedonnant, du genre bon père de famille. Lorsque nous nous sommes engouffrés dans le wagon, je me suis aussitôt placé devant lui, plaquant mes fesses contre son pubis. Au démarrage du métro je le vis passer une main devant moi pour s’appuyer contre la porte afin de maintenir son équilibre. Je me reculais alors un peu contre lui et profitais du roulis pour me frotter contre son bas ventre.

À la station suivante, je descendis pour laisser la place à ceux qui voulaient descendre et en profitais pour jeter un regard vers le type. Il me regardait avec un léger sourire. Je remontais alors et me repositionnais devant lui. À peine les portes refermées, je recommençais à me frotter contre lui en appuyant un peu plus mes fesses contre sa bite. De son côté, il se rapprocha de moi et je le sentais donner des petits coups de reins. La station suivante, je descendis et mon regard se dirigea directement vers la bosse qui commençait à apparaître au niveau de sa bite. Il ne faisait d’ailleurs rien pour la cacher.

Lorsque le métro redémarra c’est lui qui vint se placer contre moi et je sentis une des ses mains se placer sur mon côté droit, me forçant à me plaquer contre lui, ce que je fis sans me faire prier. Devant la tournure des événement, et pris d’un désir fou de sentir sa bite, je glissais une main derrière mon dos pour la placer sur sa bite. Très vite, je trouvais son mandrin bien dur que je commençais à caresser au travers de son pantalon. L’homme se laissait faire et semblait bander de plus en plus. Nous étions tellement rapproché que je sentais son souffle sur ma nuque. À la station suivante, de peur de perdre la place, je ne bougeais pas. Un tas de monde se rua dans la wagon nous obligeant à reculer. Par bonheur il était resté derrière moi. Je n’attendis même pas que le métro reparte pour me saisir de sa bite et recommencer à le branler. Excité au plus haut point, j’étais obligé de mettre ma main libre sur ma queue bien bandée pour éviter que la personne qui se trouvait devant ne pense que cela soit pour elle.

Je lui malaxais le paquet en l’imaginant et il se laissait faire. Il avait glissé une main sous mon maillot et me caressait le ventre. Puis il glissa sa main dans mon short et dans mon slip pour attraper ma queue. Je le laissais faire, heureux comme un pape. Il me titillais le gland entre ses doigts, après me l’avoir décalotté. Pour ma part, j’avais descendu la fermeture-éclair de son pantalon et j’avais glissé avec difficulté mes doigts dans l’antre humide. Mes doigts rencontrèrent un slip sous lequel je sentais sa queue énorme. Malheureusement pour moi, avant d’arriver à la station suivante, il se recula et repoussa ma main. Lorsque les portes s’ouvrirent, il me poussa et sortit. Je n’ait même pas eu le temps de réagir qu’il était parti, sûrement arrivé à destination.

Lorsque le métro repartit, c’est déçu que je me laissais transporter.

Mais cela ne dura qu’un court instant car très vite je sentais que l’on s’intéressait de nouveau à mes fesses. En effet, je sentais un doigt qui essayait de se glisser vers mon trou. Profitant des reflets de la vitre de la porte, je regardais alors qui se trouvait derrière moi. Je vis que c’était un black d’une trentaine d’années. Celui-ci devait avoir repéré notre manège et se disait qu’il avait sa chance. Et il n’avait pas tort!

Très vite ma queue se redressa. Décidément c’était mon jour de chance! Comme avec le premier, je me reculais pour venir plaquer mes fesses contre le pubis du deuxième prétendant. Celui là était plus téméraire que le premier et il glissa rapidement une main dans mon short et dans mon slip pour me caresser le cul. Habilement, il plaça un doigt sur ma rondelle et après quelques tentatives, le fit pénétrer. Je fis tout mon possible pour lui faciliter la tâche au maximum et c’est avec plaisir que je sentis son doigt coulisser entre mes sphincter. J’avais de nouveau une main dans le dos à la recherche d’une queue que je sentais au travers de la toile du pantalon de survêtement. Elle paraissait du double de celle de rebeu de tout à l’heure. L’autre se laissait peloter en même temps qu’il me doigtait le cul avec maintenant deux doigts. Le problème est que nous arrivions au terminus et que nous allions devoir arrêter là notre délire. C’est une deuxième fois avec regret que je lâchais ce que je désirais temps.

Nous sommes alors sortis du métro et il passa devant moi. Décidé de ne pas me faire avoir une seconde fois, je décidais de le suivre, et il s’en rendit compte très vite, à moins qu’il n’attendait que ça. Nous nous sommes retrouvés à l’extérieur et il se dirigea rapidement vers un bâtiment. Nous rentrons dans une cage d’escalier et il se dirige vers l’ascenseur. Les jambes flageolantes, je le suis quand la porte s’ouvre. Sans un mot, il attend que la porte se referme et il appuie sur le bouton conduisant au garage.

Nous nous retrouvons rapidement au sous sol et je continue de le suivre. Après quelques hésitations, il se dirige vers un endroit peu éclairé où se trouvent les poubelles. Il s’appuie alors contre le mur et me laisse arriver. Sans attendre, je descends son survêtement et son caleçon et attrape sa bite à pleine main. Elle est énorme au repos et j’imagine déjà la taille qu’elle fera par la suite. Je me mets à genoux devant lui et engloutis son gland. Il ne tarde pas à se mettre à bander et effectivement sa queue prend des proportions phénoménales. Il ondule du bassin pour bien faire coulisser son pieu entre mes lèvres. J’ai beau l’avoir attrapé avec les deux mains, j’ai encore bien du mal à éviter que son gland vienne percuter le fond de ma gorge.

D’un coup, il me redresse et me baisse mon short et mon slip. Pendant qu’il remonte mon maillot et me le retire, je finis de me mettre à poil complètement. Je suis tellement excité que lorsqu’il m’attrape la bite, je lui jouis dans la main. Il me retourne alors et se sert de mon sperme pour me lubrifier la rondelle. Ses doigts n'ont aucune difficulté pour entrer dans mon cul. Voyant cela, il présente son gland et part à-coups, force mon entrée. Je serre les dents tellement la douleur est forte et son pieu énorme. Je le sens glisser dans mes entrailles petit à petit, m’écartelant les fesses.

Il sait y faire et je ne tarde pas à sentir son ventre se coller à mon dos. Une fois entièrement en moi, il attend un peu avant d’entamer des va-et-vient, tout en me mordillant le cou. Je bande de nouveau comme un turc en sentant son piston coulisser dans mon cul et ses mains me caresser les seins. Son mouvement s’accélère de plus en plus, jusqu’au moment où il m’attrape par la taille et m’empale vigoureusement, s’enfonçant au plus profond de moi pour éjaculer dans un râle...

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