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fan de histoires de mec

Dimanche 9 décembre 7 09 /12 /Déc 02:15

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— Les garçons, au lit, il est l'heure... !

— Oh Papa, non... !

— Au lit, j'ai dit. Il y a école demain, non...?

Tous les soirs, se déroulait le même rituel, presque immuable. C'était comme s'ils eussent joué une scène, toujours la même, mais sans jamais s'en lasser. Ils semblaient tous trois, bien au contraire, y prendre un plaisir chaque soir plus intense, plus profond, lié précisément à la répétition. Loin de générer une quelconque lassitude, les gestes refaits encore et encore, les paroles cent fois redites, acquéraient une espèce de perfection formelle, qui se suffisait presque à elle-même et ancraient en eux leur sentiment d'appartenance réciproque. Leur amour. Le sens même des mots, des phrases, ne comptait pas. Seul importaient les regards, les frôlements, les attitudes. Leurs corps, leurs yeux, leurs mains tenaient pour eux le langage que, tous trois, ils aimaient tant à s'entendre parler.

Sébastien, assis sur la moquette et adossé au canapé entre les jambes paternelles, se leva le premier, dépliant avec lenteur son jeune corps souple et délié. L'activité physique intense de l'adolescence, skate-board, basket et autre VTT, avait déjà modelé le relief naissant de son torse et ses jambes, longues et fuselées, s'épanouissaient en de petites fesses serrées, rondes et haut perchées. Désirables.

Debout, il se retourna, souriant, vers son père toujours enfoncé dans le canapé, un bras passé autour des épaules de son frère Mathieu. Celui-ci, à regret, sentit le poids rassurant, la chaleur du bras de son père se retirer de ses épaules, alors que se défaisait l'étreinte dans laquelle il l'avait tenu la soirée durant, devant le film à présent terminé. Mathieu se leva à son tour, prenant appui sur les cuisses paternelles. Tout comme son frère, l'adolescent au corps bien formé, aux traits réguliers, était visiblement l'heureux dépositaire des mêmes gênes qui semblaient assurer aux spécimen mâles de la famille cet exceptionnelle vitalité et cette éclatante vigueur qui faisaient dire autour d'eux...

Les deux fils Jacquier, ils sont aussi réussis de leur personne que leur père... !

A quoi il se trouvait toujours quelqu'un pour rétorquer...

Pas étonnant, dites... Arnaud Jacquier, il en a quand même remporté quelques uns, des championnats de culturisme, hein !

Arnaud Jacquier, détournant les yeux de l'écran où défilait le générique du film qu'ils avaient regardé tous trois blottis l'un contre l'autre, se sentit, comme à chaque fois qu'il posait le regard sur ses deux fils, rempli d'orgueil, de fierté et d'amour paternels. Mathieu n'était le cadet de Sébastien que de dix mois et les gens les prenaient souvent pour des jumeaux. Il sourit aux deux adolescents si beaux.

Le rituel pouvait commencer.

Sébastien fit le tour du canapé et, dans le dos de son père, noua ses deux bras autour du cou puissant de celui-ci. Se penchant sur son visage, il déposa un baiser sur les lèvres épaisses d'Arnaud Jacquier qui avait renversé la tête en arrière pour le recevoir et, sans retirer ses lèvres, murmura, presque dans la bouche de son père :

Tu viendras nous dire bonsoir, Papa ?

— Quand est-ce que je suis déjà allé au lit sans vous dire bonsoir ? dit son père.

L'haleine paternelle, faite d'un léger parfum de tabac brun, de dentifrice mentholé et du goût familier de sa salive agissait comme un aphrodisiaque sur l'adolescent.

Mathieu, quant à lui, de deux doigts hardis, avait ouvert un bouton supplémentaire à la chemise de son père. Glissant la main dans l'échancrure, il s'attarda un peu sur les pectoraux épais d'Arnaud Jacquier, flattant d'un doigt léger un des gros mamelons d'homme. Comme à chaque fois, il se réjouit intérieurement que son père eut arrêté la compétition de culturisme, à présent. Ainsi, il pouvait conserver toute la superbe toison brune qui était la sienne, recouvrant son torse, son ventre, ses cuisses, ses avant-bras... et qui mettait si bien en valeur son corps puissant à la musculature plus lourde à présent, moins écorchée, comme disent les culturistes, mais si sensuelle, si mâle.

— Tu ne tarderas pas trop, dis Papa... ?

C'était une autre des phrases de leur rituel du soir. La réponse habituelle vint, soufflée plus que dite par la voix basse, chaude et virile de leur père.

— Montez dans votre chambre, les garçons. Je viens vous dire bonsoir tout de suite.

Sébastien avait rejoint Mathieu et les deux adolescents serrés l'un contre l'autre, chacun un bras passé autour de la taille de son frère, n'eurent pas besoin de se concerter. Leurs yeux ardemment plantés dans ceux de leur père qui les fixait tout aussi intensément, la réponse de chaque soir vint à leurs lèvres en un accord parfait.

— On t'attends. Viens vite, Papa.

.../...

Depuis leur plus tendre enfance, Sébastien et Mathieu partageait la même chambre. Ayant un peu grandi, leur père leur proposa tout naturellement d'avoir à présent chacun leur chambre. Les deux adolescents s'y refusèrent aussitôt d'une seule voix. Arnaud Jacquier n'insista pas et accéda de bonne grâce à la requête des garçons qui avaient souhaité occuper également le même lit. Dans la semaine, il avait fait livrer un immense lit bas, le plus grand qu'il avait pu trouver. Sébastien et Mathieu y dormaient, y jouaient, y étudiaient, y luttaient et d'une manière générale, l'utilisaient comme le terrain favori de tous leurs jeux.

Repensant à ce jour pas si lointain où, se jetant dans les bras l'un de l'autre, effrayés à l'idée que leur père voulût les séparer, les deux gamins s'étaient écrié ...

— Papa, oh non Papa... Sébastien et moi, on veut dormir ensemble... toujours !

— Oui Papa... avait ajouté Mathieu... moi, je ne peux pas dormir si je ne suis pas tout près de Sébastien, alors...

... Arnaud Jacquier, ayant éteint la télévision, puis toutes les lumières du rez-de-chaussée sauf la cuisine - ils avaient toujours soif et faim, après - gravissait lentement les marches qui menaient au premier étage. Il n'aurait pu être plus entièrement, plus totalement conscient du bonheur, de la chance qui était les siens. Il se sentait déborder d'amour pour les deux adolescents. La suite du merveilleux rituel de chaque soir l'attendait là-haut.

Dans la chambre dont il avait poussé la porte sans bruit, ne subsistait que la faible lueur des lampes de chevet de part et d'autre de l'immense lit bas des deux garçons. Silencieusement, il gagna sa place habituelle, un grand et confortable fauteuil dans un angle de la pièce plongé pour l'heure dans l'obscurité et d'où il pouvait jouir du spectacle qui s'offrait à lui sur le lit baigné d'ombres et de lumière douce et chaude.

Sur le lit, comme s'ils n'avaient pas remarqué la discrète entrée de leur père, vêtu chacun d'un slip et de chaussettes d'un blanc immaculé, Sébastien et Mathieu se faisaient face, assis sur leurs talons. Rapidement, presque furtivement, ils échangeaient de petits baisers sur les épaules, dans le cou, dans les cheveux, sur le visage. Leurs mains qui se cherchaient s'étaient rejointes et chacun déposait sur leurs doigts entre-mêlés d'autres baisers empressés. Bientôt, leurs bouches cessèrent leur exploration et leurs lèvres, graduellement, ne ciblèrent plus que leur visage, se concentrant sur leur front, leurs yeux clos, leur nez, leur menton. Leurs doigts se défirent et, chacun tenant le visage de l'autre entre ses mains, leur langue dardée hors de leur bouche s'effleurèrent d'abord, se touchant, se cherchant, se perdant pour mieux se retrouver, jouant une parade dont eux seuls connaissaient le scénario et qu'ils n'interrompaient brièvement que pour murmurer...

— Je t'aime, Mathieu...

— Je t'aime aussi, Sébastien...

Longtemps il s'embrassèrent ainsi, la langue hors de leur bouche. C'était leurs façon adolescente à eux de s'embrasser, les baisers appuyés, profonds, mouillés et passionnés étaient réservés à leur père. Celui-ci, tapi dans l'ombre de la chambre tel un grand fauve guettant ses proies, sentait son sexe se dresser dans son boxer qu'il avait gardé.

Les caresses des deux garçons, bien vite gagnèrent leurs bras, leur torse, leur dos. De temps à autre, tandis que l'un goûtait d'une langue avide le jeune torse lisse de son frère, s'attardant sur l'un des petits seins dressés par l'excitation grandissante, l'autre rejetait la tête en arrière et glissait alors un regard vers ce coin sombre de la chambre où ils savaient tous deux que leur père, même s'ils ne pouvaient le voir, se délectaient de leurs ébats, de chacune de leurs caresses. Les soupirs d'aise, alors, étaient destinés à leur géniteur.

Il y avait peu, Sébastien et Mathieu avaient découvert que leur père, même s'il n'en avait rien dit, mais les deux adolescents sentaient si bien ces réactions paternelles, aimait particulièrement à les voir se déshabiller. Aussi, lorsqu'ils l'attendaient ainsi au lit, n'étaient-ils jamais entièrement nus. Ce qu'Arnaud Jacquier aimaient particulièrement, c'était de voir ses deux fils se déshabiller, certes, mais plus encore de les voir se déshabiller... mutuellement. Il voyait là, à raison, une telle marque d'intimité incestueuse, de confiance fraternelle, d'amour adolescent... qu'il en était bouleversé et excité au plus haut point.

Les deux jeunes garçons, en un ballet d'un incroyable érotisme que l'on aurait pu croire chorégraphié à l'avance, sans cesser de se caresser, de s'embrasser, dépliaient à présent leurs membres souples. Sébastien, d'abord, fit lentement glisser le petit slip blanc de Mathieu le long de ses hanches étroites, le passant sous les fesses rebondies du garçon, le faisant glisser avec sensualité le long des cuisses lisses, puis des mollets de son frère cadet. Mathieu, à son tour, fit de même pour son frère, prenant grand soin de le placer en un angle où son père jouirait pleinement du spectacle des fesses du garçon se découvrant sous les doigts agiles de son frère.

En un même mouvement, les deux petits slips, adroitement lancés, atterrirent sur la moquette aux pieds d'Arnaud Jacquier. Les deux adolescents ne pouvaient toujours apercevoir leur père dans l'ombre. Ils adressèrent pourtant un sourire ravi et gourmand à leur invisible géniteur quand ils virent le fort avant-bras velu de celui-ci sortir de l'ombre et sa grande main se saisir des sous-vêtements de garçons qui, à leur tour, disparurent dans l'ombre. Il avaient pris soin de garder tous deux leurs courtes chaussettes blanches et c'était si beau, leurs longues jambes galbées à la peau lisses,douce et bronzées, leur corps entièrement imberbe - ni Sébastien ni Mathieu ne montraient encore le moindre signe d'une pilosité naissante en aucun endroit de leur peau sans défaut - vêtus seulement de ces chaussettes.

Sébastien et Mathieu roulèrent ensemble sur le lit, étroitement enlacés, reprenant leurs caresses et leurs baisers en des endroits nouveaux à présent révélés par leur effeuillage réciproque. Leurs doigts glissaient légèrement le long de leur raie à la peau si douce, effleurant leur anus. Leur langue lapait à petits coups rapides, au passage, leur jeune sexe dressé au dessus des petites bourses lisses encore. Il leur arrivait parfois, refermant leurs lèvres sur un gland happé à la faveur d'une roulade, de se sucer légèrement, mais très peu, comme subrepticement. Tout comme il arrivait à une langue dardée de se glisser un instant dans un anus se retrouvant soudain offert devant le visage. Mais rien de plus. Tous comme les vrais baisers mouillés, ces caresses profondes, appuyées, étaient réservées à leur père et les deux garçon le savaient fort bien, n'empiétant jamais lors de leurs jeux érotiques sur le terrain de chasse de leur père, le mâle dominant.

Non, c'était plutôt comme les jeux lubriques de deux jeunes chiots en chaleur, de deux petits faunes dans la nature, attendant le satyre qui, lui, saurait les satisfaire. Car les deux garçons savaient bien qu'ils ne pouvaient se donner mutuellement satisfaction. Nul ne possédait ce qu'il fallait pour cela, ce dont tous deux avaient tant besoin, ce qu'ils appelaient ainsi de tous leurs vœux, de toute leur parade amoureuse chaque soir pour les combler... le sexe majestueux que leur père, ce mâle lourd, puissant et si brun de poil portait entre ses cuisses épaisses. Il pouvait, lui, leur arracher des cris de bonheur rien qu'en les pénétrant avec sa langue ou l'un de ses doigts. Combien de fois ne les avait-il pas fait atteindre l'orgasme ainsi, simultanément, rien qu'avec un doigt dans leur anus, y compris en des endroits publics ?

Alors, pour l'heure, ils ne pouvaient que s'agacer ainsi mutuellement, prenant et faisant prendre à l'autre les poses les plus propices à exhiber aux yeux de leur père, là-bas dans l'ombre, les endroits les plus secrets de leur intimité qu'il caressaient ou se faisaient caresser complaisamment, s'accompagnant de rires excités et de soupirs d'aise qui étaient une musique aux oreilles d'Arnaud Jacquier.

Celui-ci, toujours carré dans le grand fauteuil, ne perdait rien du spectacle qui lui était si gracieusement offert. Humant de temps à autre les deux petit slips blancs de ses fils qu'il tenait sous ses narines et dont le parfum chaud et propre lui était un aphrodisiaque puissant, il jouissait de la beauté de ses deux jeunes fils qui, nus, se caressaient et s'embrassaient aussi effrontément sous les yeux de leur père.

Arnaud Jacquier n'avait jamais vraiment compris ce fantasme si répandu chez les hétérosexuels, qui consistait à assister aux ébats de deux lesbiennes. Le désir, le plaisir de ces femmes, lui semblait-il, l'excluait totalement, lui le mâle. Elles n'avaient aucun besoin de lui. Tandis que ses fils, ces deux adolescents... tout, absolument tout en eux lui criait leur désir, leur besoin de lui

Ce soir, comme c'était souvent le cas, Sébastien et Mathieu étaient toute tendresse, tout amour, tout érotisme adolescent l'un pour l'autre, si visiblement désireux d'attirer leur père qui viendrait bien vite les combler tous deux. Chacun de leurs gestes, chacune de leurs attitudes, chaque baiser, chaque caresse était une invitation à l'accouplement en direction du mâle dont les deux adolescents attendaient le bon plaisir. Mais cela n'était pas tous les soirs ainsi. Certains soirs de grande chaleur, Arnaud Jacquier avaient vu ses deux jeunes fils comme fous de désir, la bave aux lèvres, feulant comme des femelles en chaleur, ramper littéralement à ses genoux, leur croupe nue et offerte en l'air, appelant le mâle, cherchant, provoquant un accouplement contre-nature qu'ils souhaitaient sauvage, sans retenue. Comme il aimait ses deux fils pour cela aussi... comme il retrouvait bien en eux le tempérament si sexuel qui avait toujours été le sien.

La voix enamourée de Mathieu, son cadet, le sortit de sa rêverie. Le dos arc-bouté, les cuisses ouvertes, il ouvrait son petit anus à la caresse des doigts de son frère. Celui-ci, de temps à autre mouillait son index de sa salive et le replaçait à l'entrée du jeune garçon.

— Oui, oh oui Sébastien... oui, s'il te plait... je ne peux plus attendre !

Sébastien, plus raisonnable, déposait de petits baisers sur les lèvres de son frère, cherchant à l'apaiser tout en continuant de caresser doucement son petit trou.

— Chut, chut chéri... là, doucement... non, tu sais bien, c'est pour Papa, c'est seulement pour Papa...

Arnaud Jacquier sut alors qu'il était temps. Il se leva, quitta son boxer et, entièrement nu, sortit de l'ombre.

— Voilà Papa... souffla Mathieu. Les deux adolescents, une fois de plus, restaient sans voix au spectacle majestueux de leur père. Nu, lourdement musclé et si poilu. Sur le torse, les pectoraux, le ventre, le bas-ventre, les cuisses, les avant-bras... si dense était sa toison qu'on voyait à peine sa peau brune. Arnaud Jacquier, maintenant qu'il ne s'astreignait plus aussi sévèrement à un régime alimentaire de compétition, atteignait les 120 kg sur la balance. Ses énormes pectoraux retombaient sur son torse, les seins pointant vers le bas. Ses épaules, ses bras, ses cuisses... tout en lui ne montrait que puissance, épaisseur, force masculine. Son sexe ne faisait pas exception. Les deux frères, comme à chaque fois, en avaient le souffle coupé d'envie d'admiration, de désir. Le membre, raide et palpitant, au gland luisant et mouillé, se dressait à la verticale, veineux et agressif. Leur père flatta la bête de la main, lui faisant lâcher un peu plus de jus clair encore. Il s'avança vers le grand lit, tandis que les deux frères, leurs préliminaires si merveilleusement accomplis, chauds et prêts maintenant, se mettaient en position de recevoir leur père en eux.

Oui, décidément, il était temps, à présent.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Jeudi 6 décembre 4 06 /12 /Déc 11:50

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Mon portable sonne.

— Allo, m’sieur?

— Oui, c’est qui?

— Khem, le petit beur de l’autre soir. Je vous appelle d’une cabine... J’suis dans le coin.

Au bout de quelques secondes, je me rappelle de ce petit beur bien chaud à qui j’avais donné mon numéro de portable.

— C’est sympa de m’appeler. Ça veut dire que tu as pris ton pied l’autre soir!

— Oui, je voudrais vous revoir, m’sieur.

— Tu es libre ce soir?

— Non, maintenant! dit-il.

Je n’ai pas pour habitude de laisser les mecs fixer les rendez-vous mais, là, je sens l’excitation à 100%. Ce petit mâle est en manque de bite. Je suis en train de travailler chez moi, mais impossible de laisser passer cette occasion. Je lui donne mon adresse et lui dis de se pointer vite fait. Cinq minutes plus tard, j’ouvre la porte à ce petit mec hyper chaud. Il est là devant moi. Je prends un instant pour l’observer. Il a sa casquette à l’envers sur la tête, le regard vif, un look un peu racaille mais pas trop.

— Bonjour, m’sieur! me dit-il d’un air trop sûr de lui.

Il va falloir le remettre à sa place. Je tends la main et je lui attrape la bite à travers le survêtement. Il grimace un peu mais joue au fort.

— T’avais oublié ça?

— Quoi m’sieur?

— Que j’aime décider et imposer!

Je le tire contre moi et l’embrasse d’abord tendrement, puis goulûment. Ma langue s’infiltre dans sa bouche et la fouille sans ménagement. Il est tout à moi. Son regard a changé en vingt secondes. Il est venu pour subir. C’est son choix.

— Touche-moi la bite!

Il me palpe le paquet et caresse les contours bien dessinés de mon engin en grande forme. J’adore cette sensation: sentir ma queue dans une main qui se presse et vénère. Il est directement à genoux. Il connaît parfaitement la position adéquate. Je sens son visage qui se frotte contre mon bas-ventre. Ses mains s’agitent sur ma bosse, il baisse mon jogging avec sensibilité et sensualité.

— Doucement! Tu as compris?

— Oui, m’sieur!

Son regard me chavire. Je crois que j’en suis dingue. Il regarde jaillir ma bite et se retrouve face à elle. Il n’y touche pas. Il attend. Il sait que c’est «Monsieur» qui décide. Il la respire. Vénération. Cette langue palpitante rebondit contre mon ventre. Mon petit beur sait ce qui va lui arriver tout à l’heure. Elle entrera en lui pour l’emmener au paradis. Sa langue avance et reste en suspension. Je regarde. Je suis fier de lui. Il est beau et obéissant.

— Lèche!

Il me remercie des yeux. Il lèche le bout de mon engin légèrement humide. Il soulève la tête et me regarde. C’est comme une supplique. Il la voudrait toute en bouche, bien au fond de sa gorge.

— Vas-y! Pompe!

Il enfonce le gland tout en soutenant mon regard. Je n’y vois pas d’arrogance mais juste du respect et de la dévotion. Ce petit beur a été dressé à adorer la bite. Ses lèvres épaisses, comme celles de beaucoup de garçons de sa race, aspirent mon sexe tendu et le sucent avec conviction. Que penseraient ses potes s’il le voyaient ainsi, à genoux, à pomper un mec? Mon petit esclave tète. Il suce. Il aspire. Il lèche. Il mouille ma queue qui exulte. Un filet de bave s’échappe de sa bouche quand ma queue en sort.

— Tu fais ça bien! Continue! Si tu veux TA récompense, continue à t’appliquer.

— Bien, m’sieur!

— N’oublie pas de passer ta langue partout...

Ce gamin – c’est déjà un homme avec ses 19 ans mais il a des airs de gamin! – ne m’appartient pas. Il est juste à mon service; au service de mon plaisir. Le voir ainsi me rend tellement heureux. Je sais que ces moments resteront dans ma mémoire et me serviront, un jour, à enrichir mes plaisirs nocturnes et solitaires.

Sa bouche se trouve à hauteur de mes deux couilles poilues.

— Suce mes boules!

Je sais qu’il est prêt à tout. Je presse son crâne afin qu’il travaille à fond avec sa langue sur mon entrejambe.

— Ouais, vas-y, joue avec la pointe!

Je n’en peux plus. Je vais exploser. Il le sent et s’excite un peu trop.

— Calme! Calme-toi!

Je tente de faire durer le plus possible. J’ai l’habitude de prendre mon temps, mais la situation est vraiment trop excitante.

— C’est bon, m’sieur! Elle est bonne votre bite...

Ce gamin se délecte de ma bite. Il me regarde, me supplie de lui permettre d’aller plus loin. Je prends ma queue en main et passe et repasse mon gland sur son visage. Je la claque contre ses joues. Il ouvre bien grandes ses mâchoires et je titille ses lèvres.

— Prends-la à fond et garde-la!

Il l’enfourne et la garde au fond. Je devine que c’est dur pour lui. Il s’étouffe presque. Il a envie de vomir mais, pour moi, il tient.

— Bien, bien! respire!

— Merci, m’sieur!

Putain, quel pied.

— Je vais jouir, tu veux mon sperme?

— Oh oui, m’sieur, mais...

Je devine à quoi tient ce «mais».

— Elle reprendra vite des forces pour te récompenser.

— Merci m’sieur!

C’est dans son cul qu’il la veut. Il est venu pour la prendre dans ses deux trous. Il me sourit. Ses dents sont bien rangées, d’une blancheur éclatante. Il a une gueule d’ange. Des salves de mon liquide visqueux et onctueux jaillissent pour atterrir sur son visage et dans son cou. Un fil de sperme pend à son nez. Je le maintiens devant moi, frottant mon gland sur sa bouche.

— Tu aimes ça, hein?

— Oh oui, m’sieur. C’est trop bon.

— Lève-toi!

Il se relève. Je l’embrasse. Il se laisse guider en tout.

— Et vous, m’sieur, vous avez aimé? Vous m’avez trouvé bon? me dit-il d’un ton ingénu.

— J’ai adoré. Je t’ai promis la totale et je ne voudrais pas décevoir ton divin petit trou. Fous-toi à poil et mets-toi en position sur la table basse. Je me donne un quart d’heure pour recharger mes batteries. Sois prêt pour la suite!

— Oh oui, m’sieur!

En moins d’une minute, il est à poil et à genoux, bien cambré, sur ma table de salon. Il baisse délicatement la tête toujours en signe de soumission. Je vais et je viens dans la pièce. Je jette un œil sur sa rosette fraîchement rasée qui palpite doucement. Cet endroit de son corps est si délicat. Je lui donne une claque sur les fesses. Il gémit. Je sais qu’il aime ça. Je veux aussi lui donner du plaisir. Je lui en rends une autre, deux autres. Mes claques se succèdent de plus en plus fermes.

— Cambre-toi au maximum, je veux une vue imprenable sur ton petit cul...

Je bande déjà. Ce mec est trop excitant.

— Sur le dos!

Mon ordre a claqué dans l’air. Il relève ses jambes musclées et longues de lui même. Il s’offre. Je tâte la raie et lui tire un petit soupir d’aise. Je malaxe ses globes duveteux.

— Maintiens bien tes jambes!

Il les tient entre ses mains afin de me laisser une vue complète de son intimité. Il est très docile, complaisant. Il aime être pris dans des mains viriles.

— Dis-moi ce que tu attends?

— Votre queue, m’sieur! Votre grosse et belle queue bien dure... là juste dans mon petit trou... Il n’en peut plus, m’sieur! Mais il sait que c’est à vous de... décider...

Il parle de ce trou offert comme d’une personne. En fait, lorsqu’il est avec moi, il n’est plus que ça: un trou. Deux peut-être. Je pose ma langue sur les lèvres de son anus nickel et je le mouille jusqu’à ce qu’il soit bien lubrifié.

— Ouiiiiiiiiiii!

Il est aux anges. Il ferme les yeux et soupire au fur et à mesure que ma langue s’infiltre dans son intimité. Ma perversité contrebalance sa douce candeur. Il s’abandonne en toute confiance. Je repense à ses potes qui sont loin de l’imaginer dans cette position que beaucoup peuvent juger humiliante. Je tends la main et j’ouvre un tiroir. J’en sors un gode noir de grande dimension. C’est ma chair qu’il veut mais, moi, j’ai encore envie de jouer. Je pousse le gros gland de latex et il entre. Mon beur grimace. Je crache un peu de salive dans ma main. Il faut lubrifier plus.

— Tu as un sacré petit cul! Tu as de grandes possibilités!

— Merci, m’sieur!

— Tu sens bien ce gode qui te prépare...

— Oh oui, m’sieur...

— T’inquiète, je vais te combler, mais comme j’ai joui, il faut d’abord patienter avec ceci.

Il morfle. Je vois sa grimace. Pas de plainte. Il subit.

— Tu as mal?

— Non, m’sieur! Je suis capable d’en supporter plus... Je veux trop LA SUITE!

Je lui souris et continue avec douceur jusqu’à ce que son visage retrouve sa tranquillité.

— Tu peux te branler, tu sais!

— Merci, m’sieur!

Il n’avait pas osé jusqu’ici s’astiquer le dard, tendu à bloc. Le gode est fiché dans son cul jusqu’aux couilles. Ses yeux sont figés sur ma bite qui est à nouveau dans une grande forme. Il doit espérer que la suite vienne vite.

— Tu vas recevoir TA récompense!

— Oh merci! Merci beaucoup, m’sieur!

Le gode atterrit sur le canapé et mon petit beur aussi. Je ne lui laisse pas de répit. La place est directement remplie par ma queue recouverte d’une capote rose. Et c’est parti pour la bourre intensive. Il geint. Il réclame. Il en veut plus. Encore et encore. Je l’honore durant vingt longues minutes et nous jouissons de concert dans un long râle digne du brame au fond des bois. Il est repu. Il sourit. Je me relève. Il se redresse. Nos bouches se rejoignent et nos langues joutent. C’est trop bon.

— Il y a des serviettes dans la salle de bain!

Il va prendre une douche et j’observe pendant dix bonnes minutes ce corps splendide. L’eau ruisselle sur cette peau de soie aux senteurs épicées. Je m’avance pour lui laver le dos, les fesses, son trou du cul que je taquine avec un doigt. Il fait sa garce et me darde d’un regard hautain. Là, je lui permets tout. Il en profite.

— Vous voulez que l’on se revoit?

Il connaît déjà la réponse.

— Tu sais, tu peux me tutoyer? Tu connais mon prénom...

— Non, m’sieur! J’aimerais pas autrement.

— Tu m’as super bien pompé et j’ai adoré visiter ton petit cul serré.

— On va se revoir alors?

Je le quitte sur le pallier dans un dernier baiser. Il s’éloigne et je lui crie:

— Attends!

Je vais chercher mon vieux portable et son chargeur. J’écris le numéro sur un papier et je lui donne le tout.

— C’est pour toi!

— Pour moi?!!!

Ses yeux s’illuminent.

— Comme ça tu pourras m’appeler plus facilement et moi... aussi...

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Mercredi 5 décembre 3 05 /12 /Déc 21:35

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Salut tout le monde l'histoire que je vais vous raconter s'est passée il y a quelques mois. Je m'appelle Walid et j'habite Alger (Algérie), j'ai 23 ans et je suis fana des grosses queues, et ce jour là j'ai eu mon compte des grosses bites...

Bon comme tout étudiant je fais de l'auto-stop de temps en temps sur l'autoroute où je passe quotidiennement. Il y a pleins d'étrangers qui louent des villas, parmi eux, beaucoup d'africains. Je les vois toujours passer avec leurs airs paisibles, et je fantasme tout le temps sur eux, peut-être parce que je n'ai jamais eu le plaisir de dévorer une belle queue de black. Il m'est impossible de les approcher...

Ce jour là est particulier. Deux Blacks (qui sortent sûrement du travail) passent pour aller vers leurs demeures. Ils sont tous les deux assez baraqués, et moi je ne peux regarder ailleurs que sous leur ventre. J'espère peut-être repérer une bosse mal camouflée. Ils arrivent jusqu'à moi, et je ne peux m'empêcher de les dévorer des yeux. Un des deux remarquant mon manège, chuchote un truc a l'oreille de son copain. Je suis seul sur la route, ils s'approchent de moi, et avec un accent très africain, me demandent l'heure:

— 16 heures moins le quart.

— Tu habites loin?

— Un peu.

— Si tu le souhaites, tu peux venir chez nous te reposer un peu, on habite juste à côté.

À ce moment la, je sais avec certitude que les deux blacks visent tout autre chose et je leur dis: "Oui avec plaisir!" Je ne veux surtout pas rater une occasion pareille... La villa n'est pas très loin de l'autoroute, on rentre, il n'y a apparemment personne. La villa est vide. Et la! À peine la porte fermée, les deux blacks ouvrent leurs braguettes face a moi.

— Vous faite quoi?

— On a bien vu que tu nous mattais tout a l'heure, non?

— Vous vous trompez, je faisais seulement du stop c'est tout!

— Allez, tu n'as pas envie de ça...

Et puis les deux mecs sortent de leurs pantalons deux monstrueuses queues, qui commencent tout juste à gonfler mais qui semble déjà atteindre les 23cm! Jamais je n'avais vu de tels engins avec des glands énormes et deux paires de couilles si grosses que tu pourrais passer des heures à les bouffer toutes crues. Même un hétéro aurait craqué! Qu'est-ce que je peux faire face un spectacle pareil, à part prendre les deux bites en mains, et de les dévorer comme une chienne.

Je m'agenouille face à eux et m'approche de leurs queues. Je commence à lecher leurs couilles. Je passe de l'une à l'autre puis je remonte le long de la tige épaisse avec le bout de la langue jusqu'à ce que j'arrive au gland dont je fais le tour en salivant bien dessus. Pendant ce temps, je branle l'autre black. Je bouffe du zob comme jamais je l'ai fait et c'est tellement excitant que j'ai cru gicler rien qu'en suçant leurs teubs. Le plus musclé des deux se place derrière moi et me malaxe le cul à pleine main. Il me crache sur la rondelle car je sens sa salive dégouliner sur mes cuisses. Je sens sa bite appuyer sur ma rondelle. Il commence à faire entrer son énorme queue dans mon cul de beur. Je pompe à fond l'autre black. Face à mes hurlements, il commençe à devenir fou, me baise à donf la bouche avec sa bite de black. Je n'arrive pas à croire que je suis en train de me faire défoncer par deux bonnes queues de blacks! Tour à tour ils m'enculent à fond. Je suis déchiré, usé mais c'est tellement bon! Je gicle sans toucher ma queue mais seulement par le plaisir de sucer. Voyant cela, ils se placent face à moi et commencent à se branler pour enfin éjaculer sur mes lèvres pulpeuses. Je suis couvert de sperme et je les suce pour tirer les dernières gouttes de leurs bites.

Je me rhabille ensuite pour quitter cet endroit de luxure en remerciant auparavant les deux blacks pour leurs verres de sperme!

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Mardi 4 décembre 2 04 /12 /Déc 01:01

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Je suis routier, et je dois dire que c'est un métier super pour se faire des mecs! Il est rare que je passe une semaine sans me taper un petit loubard qui fait du stop. Moi-même, je suis plutôt style craignos: perfecto, jeans et tiags. Quelquefois, je porte également des chaps, ce qui ne laisse jamais indifférent.

Ce jour-là, j’avais plus d'une heure de repos à prendre. Je me trouve un bon endroit au bord d’une forêt pour garer mon bahut, et je descends me dégourdir un peu les jambes. Je m’enfonce dans un sentier et j’aperçois au loin un groupe de motos garées. La curiosité me pousse à m'approcher; sait-on jamais!

Arrivé à hauteur des bécanes, j'entends parler en contrebas. J’avance un peu, et j’aperçois une bande de vrais loubards en cuir (j’ai bien fait de mettre mes chaps aujourd’hui!). À première vue, ça ne se passe pas très bien entre eux. En effet, un mec est en train de se faire malmener par la bande. J'avance encore un peu sans me montrer. Putain, je commence à comprendre: le mec en question a dû les provoquer par sa dégaine. Outre le perfecto et le jean pourri, il porte des cuissardes noires en caoutchouc, très hautes, presque comme mes chaps. Je trouve ça super-bandant. En plus de ça, il a plutôt l'air bien foutu et avec une belle gueule.

Je me pose des tas de questions. Je suis à la fois excité par cette bande de loubards énervés et aussi par ce mec en mauvaise position dans ses grandes cuissardes. Après cinq minutes d’engueulade, j'arrive à comprendre (comme je l’avais pensé) que le mec en cuissardes les a provoqués en s'exhibant dans cette tenue, et en passant deux fois de suite devant eux en se caressant. Maintenant, il va trouver ce qu'il cherche. Au fur et à mesure que le ton monte, les coups commencent à tomber. Ce sont d'abord quelques bousculades, puis des coups de poings dans le ventre et des coups de pieds au niveau des cuissardes. Le mec ne peut pas se défendre. Ils sont six contre lui, mais il tient bon. À un moment donné, ils lui ont arraché son perfecto et son débardeur en caoutchouc. Putain, la baraque! Ventre plat, abdominaux bien dessinés et pectoraux gonflés sur un torse imberbe, un vrai culturiste! Tout à coup, un des loubards se ramène derrière lui avec une grosse chaîne à la main. Il lui en fout un coup sur le dos. Le mec fléchit et met les genoux à terre. Là, les coups de pieds redoublent.

Aussitôt, sans réfléchir, je saute dans leur direction. Deux loubards m’accueillent alors avec crans d'arrêt, poignards et chaînes en mains. Ils me maîtrisent sans problème et m'attachent à un arbre. «Tu vas pouvoir mater, mec, le spectacle commence!» Les quatre autres ont léché leur prise en me voyant, et le mec en cuissardes s'est relevé. Le plus grand de la bande (qui porte également des chaps) sort sa queue et pisse sur les cuissardes. Les cinq autres ont suivi. Ensuite, ils déboutonnent le jean du mec et lui en extirpe la queue. Ouah, incroyable! Après tout ce qu'il a subi, il bande à mort. Et quel pieu, au moins 25cm pointés vers leurs gueules. Je vous signale que malgré la situation scabreuse, je bande aussi. La vue de ce mec en cuissardes, affrontant ces loubards gainés de cuir moulant me fait craquer.

Un des mecs s'enfonce ce qu’il peut de la matraque dans la bouche, tandis que deux autres branlent le morceau qui ne peut être bouffé. Je n’ai jamais vu une aussi grosse queue! Ce mec est vraiment musclé de partout. Pendant ce temps, un autre loubard lui déchire l'arrière de son jean et lui farfouille le fion jusqu'à lui enfoncer la main complète. Le mec aux cuissardes essaye de se dégager, mais les lames de couteau pointent. Il se met alors à les insulter tout un poussant des râles de douleur. Pendant ce temps, deux autres mecs se branlent sur ses cuissardes. Plus il leur gueule dessus, plus ils s’activent. J’ai l'impression que sa queue grossit encore. Tout à coup, il se prend pratiquement tout l’avant-bras dans le cul. Ses muscles se durcissent et il envoie sa crème dans la bouche de l’autre qui recrache le jus sur ses cuissardes.

«C’est pas fini! crie l'un d'eux, je suis sûr qu’il n'a pas eu sa dose!» Le mec derrière continue à lui fouiller les entrailles. Les deux qui se liment le dard sur ses cuissardes finissent par se vider dedans. Aussitôt ils s'emparent de son pieu qui n'a pas débandé, et ils l'astiquent comme des dingues. Deux autres s'acharnent à nouveau sur les cuissardes pendant que le dernier lui farfouille la bouche, après avoir léché le foutre qui dégouline de ses cuissardes. Là, je crois que le mec prend vraiment son pied, ses râles ne sont plus que des râles de salope en rut. Malgré tout, il continue à les engueuler. Il doit aimer ça.

À peine cinq minutes plus tard, il envoie sa deuxième dose de foutre. Ils continuent à le branler un attendant que toute la bande se vide les couilles dans ses cuissardes. Après ça, ils décident quand même de se casser. Cette fois-ci le mec reste debout et réussit même à leur donner quelques coups.

Quand ils sont partis, il se tourne vers moi. Je le trouve vraiment craquant avec son jean arraché, son torse nu brillant de sueur et ses cuissardes qui frôlent mes chaps. La queue toujours un l'air, il me mate de bas en haut, je dois être à son goût. Tout en me laissant attaché, il me débraguette et sort mon pieu pour le dévorer. Je suis complètement ahuri en pensant à tout ce que ce mec vient de subir. Je crois qu’il va me détacher et se barrer, mais non, il n’en a pas encore assez. Il est vraiment résistant. Je dois le sucer et le branler. (Ça fait quand même la troisième fois.) Quel dard! Je ne peux mettre que le gland dans la bouche, mes mains sont à peine suffisantes pour envelopper le reste de la matraque. Comme l'autre mec tout à l’heure, je lui ai tout recraché sur ses cuissardes. Ensuite il me détache et on peut enfin parler un peu. Je ne comprends pas qu'il ait pu bander pendant tout ce temps. Il me répond que lorsqu'il porte ses cuissardes, il n’est plus lui-même et que sa queue ne débande jamais. Il me file son téléphone. On se revoit assez souvent. Il m’a donné une paire de cuissardes que je porte au-dessus de mes chaps, et on s'amuse à celui qui crachera son foutre le plus vite et le plus de fois possible dessus. Je dois avouer qu'il gagne toujours!

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Dimanche 2 décembre 7 02 /12 /Déc 23:55

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J’ai 46 ans, grand, brun, pas mal conservé grâce au sport hebdomadaire. Je n’ai plus jamais été attiré par les hommes depuis mon adolescence (pendant laquelle j’ai tout de même poussé les jeux sexuels jusqu’à me faire enculer plusieurs fois par jour par mon cousin), même si je dois avouer qu’il m’est arrivé quelques fois de me retourner sur un beau garçon, mais sans aucune arrière pensées. Marié depuis 24 ans, j’ai une fille de 19 ans qui est fiancée depuis l’âge de 17 ans.

L’été dernier, elle a décidé de mettre fin à sa vie de célibataire et a épousé Luc. Le jour où elle nous l’a présenté, j’ai compris que Luc était un de ces loupiots comme on en voit beaucoup dans les récits de votre site. Dès ce jour, il n’a cessé de me faire des avances auxquelles j’ai toujours tenu tête, en les repoussant.

Le jour de ses fiançailles, j’ai failli lui mettre mon poing dans la figure tellement il m’a énervé. Vulgairement, il a eut l’audace de me dire:

— Vous êtes le plus bel homme que je connaisse, j’aimerais faire l’amour avec vous!

Puis ce fut le calme jusqu’à leur mariage, bien qu’il n’hésitait pas à me flatter les fesses à la moindre occasion.

À peine un mois après leur mariage, un soir en rentrant chez moi, je découvre ma fille couchée au travers de la table de la salle à manger, jambes pendantes, en train de se faire prendre par son mari. J’ai eu un sursaut d’horreur, mais pas honteux. Luc me lance un coup d’oeil coquin, il sort de la chatte de ma fille, se décalotte à fond, et se tournant vers moi, me montre sa virilité en pleine érection, comme pour me dire: «C’est ça que je veux te mettre!» Ma fille, qui ne s’était rendu compte de rien, réclamait:

— Vas-y! Encore! Je t’en supplie, mets-la moi encore, je la veux!

Luc l’a renconnée d’une seule détente, ma vue lui avait chauffé le sang et quand il s’est cabré, à pas de loup, je me suis éloigné. Je rougis à la pensée que, de voir une telle scène, je suis excité. Mais ce qui me choque encore plus, c’est de me rendre compte que je suis beaucoup plus excité par la bite de mon gendre que par la chatte ouverte de ma fille.

Une demie heure plus tard, j’étais de retour. Luc, dans un fauteuil, regardait la télé. Moi je faisais le plus de bruit possible pour annoncer mon arrivée. Luc s’est levé et m’a dit:

— Nadia se fait une beauté intime, elle est dans la salle d’eau.

Le salaud voulait me rappeler ce que je venais de voir! Il s’est approché en me murmurant:

— C’est quand ton tour?

— Jamais!

— Si, j’ai trop envie, tu ne pourras y échapper.

— Rêve toujours si cela te fait plaisir, petit pédé!

La main sur mes fesses, il ajoute:

— Tu y passeras, tu ne peux pas faire autrement!

Nadia coupe notre dialogue.

Mais voilà que quinze jour plus tard, ma soeur qui est veuve tombe malade. Elle me téléphone pour que j’aille passer quelques jours en sa compagnie. Je dois prendre le train car ma femme a envoyé la voiture dans le décor il y a peu et nous n’en avons pas encore d’autre. Nadia décide que Luc peut très bien m’y déposer le soir-même. On prend la route et Luc, hors de lui, annonce:

— C’est aujourd’hui le grand jour!

Je n’ose pas faire de scandale et nous voilà parti. Arrivés à destination, il téléphone à Nadia:

— Tu sais chérie, je vais rester coucher ici car la voiture m’a procuré des ennuis et j’ai peur de tomber en panne!

Nadia lui affirme qu’il a raison, demande à me parler et je ne peux faire autrement que de certifier ce mensonge.

Le dîner terminé, on se rend dans nos chambres. Je suis à peine dévêtu que ma porte s’ouvre et Luc est là qui me détaille de la tête aux pieds, son pantalon tendu à l’extrême. Il se rue sur moi:

— Tu ne m’échapperas plus, je te veux et tu es obligé de me céder!

Il m’enlève les quelques vêtements qu’il me restent, se déshabille à son tour, et j’aperçois cette matraque qui m’a tant troublé depuis que nous nous connaissons.

— Suce-moi salope! Depuis que j’attends que tu me suces, tu me la dois, cette pipe!

Tête-bêche, ses lèvres ont déjà pris possession de mon vit qui bande comme jamais. On fait un soixante-neuf, il me lèche la bite et les couilles et je dois avaler sa liqueur de pine. Ensuite, me déposant les jambes de chaque côtés de sa tête, il m’encule sans difficultés. Mon trou s’est presque ouvert tout seul tellement je suis excité, et quand ses couilles butent contre mes fesses, je demande grâce:

— Doucement, je t’en prie, personne n’est allé aussi profond que toi! Doucement, mets-la moi bien à fond, mais doucement! Oh oui, que c’est bon! Que t’es long! Que t’es gros! Quelle chance a Nadia!

Il me laboure le ventre à grands coups, ressort pour me la remettre encore plus fort, en me lançant:

— Tiens salope! Prends-la toute! Je suis sûr que tu as attendu ce moment, tu voulais que je te la mette dans le cul, tu aimes ça les grosses queues!

Et il me lâche tout au plus profond de mes entrailles.

— Oh, tu lâches! Tu jouis! Que c’est bon, mon chéri, qu’est ce que tu me fais jouir! Que c’est bon de se faire prendre par une grosse queue, tu m’en as mis plein le cul!

Je délire en éjaculant tout mon foutre sur mon ventre. Là, il me fait voir la vérité en face:

— Comme ça, ma salope, tu veux que je t’en mette vraiment plein le cul? Eh bien, suce-moi encore et fais moi rebander, je vais exaucer ton désir!

Et il sort de son sac un gode aussi gros que sa bite. Je comprends tout à coup qu’il veut me faire subir une double pénétration.

— Non! Jamais personne ne m’a pris comme ça! Et je ne veux plus que tu m’encules, tu va me déchirer!

— Mais si, me dit-il, Nadia aussi aime bien que je prenne son petit cul avec ce gode! Je serai doux, donne moi ton cul ce soir, je veux que tu te souvienne de cette nuit!

Déjà apprivoisé, j’étais à quatre pattes, lui tendant mes fesses. Il me fit un annulingus qui acheva de m’ouvrir la rosette, me remplissant au maximum de salive, introduisit le beau godemichet puis je sentis sa queue sur mes fesses. Il força et je sentis mon cul s’ouvrir encore plus sous la poussée. J’en eus le souffle coupé, mais il continua à forcer malgré mes plaintes:

— Non, salaud! Tu me fais mal, c’est trop, t’es trop gros! Tu vas me déchirer!

Il m’a pris par les hanches et me fit coulisser sur sa grosse queue à grands coups pendant qu’il jouait avec le gode dans mes entrailles, sans tenir compte de mes supplications.

— Tiens ma chienne! Enculé que tu es! Je vais te casser le cul, que tu puisses plus t’asseoir! Je veux que tu t’en souviennes de ce ramonage!

Toute la nuit, il m’a fait l’amour, avec ou sans gode.

De retour à la maison, je ne pouvais plus poser mes fesses sur une chaise et je regrettais de m’être laissé dominer ainsi. Mais Luc m’a dit:

— À ce soir mon cher papa!

Il a envoyé Nadia en courses et m’a repris dans mon anus endolori.

Depuis la douleur a laissé la place au plaisir et avec Luc, on refait très souvent l’amour. Et quand il me demande mes fesses, je n’hésite pas à les lui offrir. Ma fille et ma femme ne se doutent de rien et avec Luc, et grâce à lui, je vis un amour nouveau.

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Dimanche 2 décembre 7 02 /12 /Déc 17:00

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Bonjour, je me présente: je suis Benjamin, j’ai 19 ans, je suis étudiant. Mon histoire est, somme toute, banale, mais elle révèle quelques surprises. Comme beaucoup d'étudiants peu aisés, je me suis trouvé dans l’obligation de gagner de l’argent pour subvenir à mes besoins, mais je ne voulais pas mettre en danger mes études. J’ai donc commencé chez McDo, mais cela ne me convenait pas pour des raisons d’horaires. Puis j’ai essayé la garde d’enfants, trop peu pour moi, je ne sais pas leur dire non. Bref à Noël j’étais revenu à mon point de départ.

Je tentai alors de réaliser un fantasme qui pourrait peut-être m’aider. Je me suis inscrit sur un site de rencontre qui accepte les «pros» et j’ai tenté une relation rémunérée. Je suis plutôt mignon (1m78 pour 65 kg, sportif, cheveux courts). J’eus plusieurs réponses à mon annonce. L’une d’elle attira mon attention: «Monsieur 55 ans cherche à retrouver sa jeunesse pour un instant dans les bras d’un jeune éphèbe». Je me suis laissé tenté et le rendez-vous fut pris pour un mardi soir dans un hôtel. Il devait arriver avant moi, prendre la chambre et m’attendre à la réception.

Le mardi soir arrive. Je me prépare, je suis à la fois anxieux et excité. J’arrive à l’hôtel et retrouve mon «client». C’est un monsieur soigné avec une calvitie et des lunettes; il aurait pu être mon père. Nous faisons connaissance devant un verre, il est surpris par ma jeunesse mais enchanté par ce qu’il imagine être la suite. Enfin nous montons dans la chambre. À peine entré, il commence à se coller contre mon torse et commente:

— Hum, tu as l’air joliment fait. Vas-y, mets-toi à poils mon grand que je vois ce que j’ai payé!

Surpris par la réflexion, je m’exécute. Puis, nu devant lui, il me donne des ordres:

— Sur le lit, écarte les jambes et montre ta belle bite. Humm joli, bien grosse, tu bandes ma petite pute. Branle-toi devant moi pendant que je me déssape.

Rouge de gêne, je commence à me toucher le sexe. Je me caresse les couilles, fais des va-et-vient sur mon gland humide et commence à me branler. Petit à petit, je ne suis plus moi, je trouve un plaisir malsain à me donner en spectacle. Je me titille le trou, relève mes fesses et me doigte l’anus tout en le fixant. Là, je baise les yeux, il a une bite honorable, je suis même surpris qu’elle soit si grosse et dure à son âge. Je n’en peux plus, je bande comme jamais. Lui me regarde et enfin il se met à genoux et me lèche la bite comme un dieu. Il lèche, suce mon gland, mordille la hampe, me doigte, il me lèche le «petit trou»… On ne me l’avait jamais fait, je jouis véritablement de l’anus, je n’avais jamais ressenti ça. Il se relève et me donne sa bite à sucer. Je m’exécute, je l’aspire, lèche le gland, masse les bourses, je titille le méat, et là il prend ma tête et enfonce son sexe le plus loin possible.

— Tu vas me sucer comme une vraie salope! Allez!

Vexé, je l’avale. Il touche le fond de ma gorge mais je résiste et je le prends tout. Il râle, je lui mets un doigt et il éjacule dans ma gorge. Je me retire et j’en prends plein le visage, les yeux le nez. Il me regarde, me dit: «Pardon, c’était trop excitant!» puis éclate de rire… Je ressemble, paraît-il «à toutes ces salopes qu’on voit dans les films porno». Je me lève pour me laver, il m’arrête et me lèche le visage, il lèche son sperme. Surpris, je le laisse faire. Il ne bande plus mais me demande de le reprendre en bouche pour essayer un «second coup»; je le fais bien volontiers.

C’est bizarre un sexe mou dans la bouche, on dirait un petit oiseau malade, fragile, mais je fais de mon mieux pour le rendre à la vie et ça marche! J’en suis fier! Il rebande et là, après le préservatif d’usage, il me fait couler du gel dans le cul puis se positionne pour une sodomie en levrette. Je ne sais que faire, je n’ai jamais pratiqué. Je me détends, pousse un peu, il entre; c’est gros… Il me dit de me branler, de me détendre. Ça y est, tout en dedans, j’ai mal mais ne veux rien dire, je gémis un peu. Lui commence ses va-et-vient, lentement mais bien à fond. Bientôt un plaisir commence à poindre chez moi, il s’enfonce bien, me flatte les fesses. Je gémis un peu même si la sensation n’est pas toujours désagréable. Il continuait à me pilonner le trou puis en sort et me re-pénètre d’un coup lent et profond… Je sens monter l’orgasme, je jouis, lui me pistonne toujours, il ne s’arrête pas cela dure longtemps. Je ne sent plus mon cul mais je hurle une nouvelle jouissance. Il grogne, il se retire et jouit sur mes fesses. Après le visage, c’était la totale. Mais c’était grandiose.

Après avoir retrouvé mon calme, je pris une bonne douche et mes 200 euros. Lui me complimenta et m’assura qu’il n’avait jamais autant pris de plaisir avec une pute (la galanterie c’est avant la baise, pas après).

De retour dans mon studio, je pris la décision de continuer ce «job» mais en ne prenant que des quinquas ou plus car j’avais aimé avec lui. Tout se passa bien j’eus plusieurs soirée bien «prises» jusqu’au jour où…

Voilà ma mésaventure: un de mes «clients» connaissait mon oncle et lui parla de moi sans savoir qui j’étais. Ce que je ne savais pas, c’est que mon oncle aimait le sexe. Il prit donc rendez-vous avec moi mais comme il est VRP dans l’hôtellerie, il me donna rendez-vous soi-disant chez lui (en fait, chez un collègue qui lui prêtait son appart).

À 15h comme prévu, je vins sonner à l’adresse indiquée. Je m’annonce à l’interphone, la voix me donne l’étage. J’entre dans l’immeuble et arrive devant la porte qui est entrouverte. Je sonne, j’entends «Entrez!» Cette voix me semble connue mais sans plus. J’avance dans la pièce et là, stupeur, je vois mon oncle qui ferme la porte. Il se retourne et nous restons quelques instants aussi stupéfaits l’un que l’autre. Il rompt le silence:

— Alors comme ça, la petite pute c’est toi? Si je m’attendais!

— Attends tonton, ne te fâche pas. Je vais t’expliquer.

— Expliquer quoi? J’ai payé, tu bosses comme d’habitude!

— Mais pas toi! Je ne peux pas!

— Ho oui! Tu vas le faire et bien le faire même!

Il sortit son sexe tendu et me dit:

— Vas-y, suce moi!

— Tonton non, s’il te plaît...

— Suce-moi ou je dis partout ce que tu fais!

Je me mets à genoux et commence à pomper la bite de mon oncle. Il grogne, il aime ça en plus!

— Va, suce! Suce à fond la bite à tonton! Oui, lèche le gland, j’aime ta bouche Benjamin...

Il me tient la tête, je le suce, le branle. Le côté pervers m’excite. Quand tout d’un coup, il se retire, et me dit:

— À poil maintenant. Montre-moi comme tu as grandi.

— S’il te plaît, non!

La honte me reprend mais je m’exécute. Je suis nu devant mon oncle.

— Le petit pédé! Mais c’est qu’il bande comme un taureau! Je vais te bouffer la bite, te baiser, t’enculer comme jamais! Tu vas voir, tonton c’est du bon.

Sur ce, il me prit dans ses bras, me posa sur le lit et commença une pipe d’enfer. Ma bite néavait jamais été aussi dure!

— Tu aimes la bouche à tonton hein? Dis-le!

— J’aime ta bouche tonton.

— Tu es une vraie salope hein?

— Je suis une vraie salope.

Il me lèche la queue, me bouffe les couilles, me baise le cul avec sa langue, me doigte. J’en peux plus! Je jouis de chaque parcelle de mon corps jusqu’à un orgasme intense et foudroyant, et je làache toute ma sauce sur son visage. Il profite de tout mon sperme.

— Tu m’as mouillé tout le menton! Tu vas lécher!

Il s’approcha de ma bouche, je me mis à lécher son visage, a goûter à mes sécrétions sur sa peau, il en profita pour me rouler une pelle.

— Bien passons aux choses sérieuses. À quatre pattes pédé. Voilà! Que je puisse voir ton trou, humm qu’il est appétissant. Dis-moi que tu aimes te faire prendre...

— J’adore ça mais… Vas-tu résister longtemps? Répondis-je par bravade.

— Et bien tu vas voir Benjamin, tonton va te faire reluire!

Il commença sa sodomie, il pointa sa bite sur mon trou et s’y enfonça sans trop de résistance.

— Mais c’est qu’il a un cul accueillant mon neveu!

Il commença ses va-et-vient, de plus en plus rapides. Il me tient par les hanches, de temps en temps me claque les fesses. Il n’arrête pas de parler.

— Tu aimes la bite à tonton hein? Que oui tu aimes te faire enculer! Tu es un vrai garage à bite, ma petite pute!

Plus je l’entendais et plus j’aimais. Je me suis mis à me remuer, à aller à la rencontre de sa queue dans mes fesses et j’ai crié mon plaisir sans retenue. Tonton continuait:

— Alors joli petit cul, j’ai pas résisté? Tu prends ton pied ma salope!

— Oui tonton, tu encules bien mais surtout continue, ne t’arrête pas!

— Demande gentiment èa tonton. Tonton, s’il te plaît, encule-moi encore. Allez!

— Tonton, s’il te plaît, encule-moi encore!

Je n’étais plus qu’un corps ayant envie de jouissance. Il accéléra, décula pour m’enculer de nouveau. Il pinça mes fesses, il reprit son monologue:

— Petite pute de neveu! Si j’avais su plus tôt, ton cul est superbe, que c’est bon d’enculer un petit cul familial!

Il accéléra de plus en plus, je jouis de nouveau. Il se retira, sortit son préservatif.

— Avale mon foutre, salope.

Il se place devant moi, j’ouvris la bouche et pris tout son sperme dedans. Je me fis un plaisir de l’avaler.

— Et bien dis donc, tu aimes ça la queue Benjamin?

En disant cela, il avait un petit sourire tendre. Il me mit sur ses genoux comme quand j’étais petit, mais là j’étais nu et j’avais 19 ans!

— Bon Benjamin, c’est pas tout ça. Mais maintenant, je ne veux pas que tu puisses avoir honte de la famille...

— C’est de moi que j’ai un peu honte.

— Je ne parle pas de ça mais je t’ai promis de tenir le coup et de t’impressionner par ma vigueur. Alors il faut que je m’y tienne. Suce moi mon grand!

— Tu es un gros cochon tonton.

Et je le pris en bouche. Là je le regardais pendant mon ouvrage; il apprécia et se remit à bander.

— Allez, écarte les jambes. Que c’est beau un petit cul plissé sans poils. Tu crois qu’il ressemble à celui de ton frère?

— Tonton arrête, baise-moi puisque tu le veux!

— Et plutôt deux fois qu’une; le temps de mettre le capuchon...

Il se coucha sur moi et me pénétra d’un seul coup. J’étais tellement dilaté qu’il n’eut aucun mérite à cet exploit mais comme tous les "vieux", pour une deuxième éjaculation, il devait limer longtemps et il me bourra très longtemps. J’eus plusieurs mini-jouissances dans le bas-ventre avant que lui même eut la sienne.

— Et bien petit, tu es une vraie salope toi!

— Merci tonton, mais tu es bien aussi!

— Tu as le plus joli cul des gigolos du coin et je le connais.

— Monsieur est trop bon.

— Bon je te donne 300 euros, tu les mérites, mais je reviendrai!

— Non tonton, s’il te plaît, ne fais pas ça...

— Pourquoi? Je suis un client comme un autre et dans cette relation, tu es une pute comme une autre!

Je baissai la tête.

— Ne le prends pas mal mais comme cela, c’est clair. Au fait, je parlerai de toi à ton père!

— Non, fais pas ça...

— Ne crains rien, je parlerai du gigolo, pas du neveu!

La semaine qui suivit, je ne pris aucun client. J’angoissais à l’idée de croiser mon oncle à la maison. Le dimanche, il se fit un malin plaisir de venir voir la famille et son jeune neveu qui était bien courageux de faire ses études. Je ne savais où me mettre. Il s’isola pour parler à mon père, j’eus très peur mais en les voyant revenir en riant, je me suis détendu et le reste de la journée se passa le plus normalement du monde.

Quinze jours après la «visite» de mon oncle, celui-ci me contacta pour un nouveau rendez-vous que je refusai. Il entra dans une colère noire et me menaça de tout révéler. Sûr qu’il bluffait, je ne cédais pas à ses menaces. Je reçus alors par mails des photos de moi suçant son collègue. Je ne me rappelais plus de ces photos, c’est vrai le salaud avait voulu me photographier pendant que je le suçait et pendant la sodomie. Mon oncle me tenait. Je pris le portable et l’appelai:

— Tonton, ok tu as gagné, quand et où?

— Changement mon grand! Nous serons trois à la fois. Tu arriveras le premier, et tu nous attendras nu sur le lit, jambes écartées. C’est bien compris?

— Trois? Mais j’ai jamais fait ça!

— Nous te paierons chacun notre dû, tu ne peux pas refuser cela à ton tonton, mon petit...

— Ok, ok… Où?

— Demain 15h même endroit que la dernière fois, la porte sera ouverte.

— Ok.

— À demain. Humm, je bande déjà!

— Salaud!

Le lendemain, je me rendis au rendez-vous et, effectivement, la porte est ouverte. Je m’installe nu, jambes écartées et j’attends. J’entends la porte s’ouvrir et la voix de mon oncle qui demande à ses copains de se taire, de se déshabiller dans le couloir et d’attendre qu’il les appelle, sans rien dire. Cela me surprend. Qu’a-t-il bien pu inventer? Il entra dans la chambre nu comme un ver.

— Bonjour mon beau, alors prêt?

— Bonjour Tonton.

— Je me mets sur l’oreiller et tu vas commencer à me sucer à quatre pattes, le cul face à la porte.

Je m’exécute et le suce, anxieux. Mes fesses sont face à la porte: en entrant, ils me verrons offert et dans une position humiliante. J’ai envie de le mordre, mais je suce. Il me tient la tête et dit:

— Vous pouvez entrer mais ne dites rien, j’aime sa soumission.

Je le déteste, mais j’aime aussi ça. Je le suce de mon mieux, j’entends les hommes entrer. Mon oncle me tient toujours la tête, des mains touchent mes fesses, mes couilles, une main enserre ma bite bandée, un doigt entre dans mon cul. Quand mon oncle me lâche la tête et me fait me retourner:

— Surprise!

Horreur, nu bandant devant moi, mon père et mon voisin. C’est même mon père qui me doigtait.

— Benjamin! Toi, une pute!?

— Oh Papa! Non, le salaud!

— Benjamin, pourquoi?

Je me suis mis à pleurer et là mon oncle a pris la parole:

— Bon c’est un petit étudiant qui joue à la pute, mais aujourd’hui c’est son jour pute, alors profitons-en!

— Ça va pas? Pas avec mon fils!

— Mais non, oublie le fils et vois la pute, il est très doué tu sais!

— Je ne sais pas, je ne veux…

— Justement essaye, regarde, Benjamin suce-moi!

J’étais en pleurs, je ne savais que faire.

— Benjamin, suce-moi, montre comment tu aimes la bite.

Et il me mit sa bite devant la bouche. Par réflexe peut-être, j’ai ouvert mes lèvres et je l’ai prise, il allait et venait comme dans un cul.

— Regarde, il aime ça, ça se voit, profites-en, touches-le, regarde comme il bande!

Mon voisin s’approcha:

— Moi ce n’est pas pareil, je profite!

Et sans rien dire d’autre, il me mit un doigt dans le cul, puis un autre, lubrifia sa bite avec sa salive et me prit. Je me retrouvais à quatre pattes, mon voisin derrière et mon oncle devant, tout cela devant mon père, quand tout à coup il se leva:

— Benjamin, arrête, et viens ici!

Je me dégageais, et vins devant lui.

— Il n’y a aucune raison que je ne connaisse pas tout de toi, à genoux et suce moi!

— Quoi?

— Tu as compris, alors fais-le!

Je me suis mis à genoux et j’ai sucé mon père. Sa bite redevenait dure. Il appela les deux autres pour que je les branle en même temps. Il se mit à parler:

— Tu suces très bien, mieux que ta mère! Vas-y, la langue, les couilles, suce mon fils, suce!

— Et tonton?

— Tonton il attend, honneur au voisin. Benjamin occupe toi de Lucien.

Je relâchai mon père pour engloutir la bite de Lucien. Pendant ce temps, mon père et mon oncle se sont parlés et là j’ai compris:

— Benjamin, en temps que père, je ne peux que réprimander ce genre de comportement, mais puisque nous sommes dans une situation aussi embarrassante devant des tiers, et ce uniquement par ta faute, je ne peux que te demander de te soumettre à ces messieurs. Aussi Tonton va t’enculer, et toi et moi Lucien, nous allons partager sa bouche, ça te va?

— Super, c’est un suceur de première le petit.

— Non, vous n’avez pas le droit, je ne veux pas!

— Tais-toi et obéis à ton père!

Je fus mis sur le bord du lit, mon oncle sous moi, je me suis empalé dessus. Une fois sa queue en moi, mon père est venu se positionner debout devant mon visage aux côtés de Lucien:

— Allez Benjamin, un effort pour papa, ouvre la bouche!

— Mmmh comme ton cul est accueillant!

Mon oncle me pistonnait le cul pendant que mon père et notre voisin me fourraient la bouche à tour de rôle.

— Doucement, tonton tu me fais m...

Je n’ai pas eu le temps de finir ma phrase que Lucien reprenait sa place dans ma bouche, mon père attendant à côté, la bite d’une taille qui m’impressionnait et dure comme du roc. Je commençais à trouver ça bon, et entre deux succions:

— Oui, doucement! C’est bon.

— Tu vas voir qu’il va aimer, cette salope!

— Ne parle pas de mon fils comme ça! Enculé oui, salope non.

— Comme tu veux, mais dieu qu’il est bon!

— Et encore, sa bouche est un délice!

Les trois commentaient comme si je n’étais pas là. Puis mon père prit la place de mon oncle et moi je sentais le plaisir venir et je ne me retins plus:

— Papa plus fort! Encule moi, vas-y, jouis-moi dessus, ouiiii!

Je me démenais sur la bite de mon père tout en suçant ces deux grosses queues comme un assoiffé. Je prenais un super pied, trempé de sueur, et bientôt je jouis tout mon sperme d’un orgasme plus intense que jamais. Lorsque je repris doucement mes esprits, ils étaient là les trois toujours bandants.

— Benjamin, Lucien n’a pas eu sa gâterie...

Je me suis mis à le sucer comme un expert, à avaler, aspirer, gober ses couilles. Lucien ne tint pas longtemps à ce régime et jouit dans ma bouche.

— Avale et vient finir ton père!

Je m’y remis de plus belle. Je voulais qu’il soit fier de sa salope de fils. Quand il jouit, j’ai ouvert ma bouche pour qu’il voit son sperme avant que je l’avale.

— Ooooooh Oh! C’est trop bon. Tu suces divinement! Mmmmh… À tonton maintenant!

— Alors toi, je te réserve une surprise!

Je le pris en bouche et juste avant qu’il ne jouisse, je l’ai mordu.

— Aïe, le con! Il m’a mordu.

Son sperme ne sortit pas dans ma bouche mais par terre.

— Je ne voulais que du sperme de qualité supérieure...

— Mon fils, bon tu es une petite salope, c’est vrai, tu as choisi de payer tes études en faisant ça, ok. Nous ne dirons rien, même pas Lucien, je compte sur toi!

— Oui bien sûr!

— Par contre, j’ai deux choses à te demander...

— Oui papa, vas-y.

— La première, tu seras assez gentil pour recevoir de temps en temps Lucien avec un rabais, ainsi que ta famille proche; ton oncle et moi.

— Ok, merci papa, et excuse moi...

— De rien. Tu sais, j’ai bien aimé t’enculer et ta mère me l’a toujours refusé alors, dis-toi que c’est comme un service à ton petit papa...

 

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Dimanche 2 décembre 7 02 /12 /Déc 15:11

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Je m'appelle Thierry, j'ai 45 ans; avec mon fils Gaétan et son petit cousin dont nous avions la garde, un bébé de 8 mois, nous avons traversé en décembre la France et sommes tombés en panne de voiture dans une région que je ne nommerai pas. Nous étions dans la France profonde et à 21h, impossible de trouver quelque chose d'ouvert. Avec la neige et le froid, nous avons été heureux de voir des lumières dans une ferme toute proche.

Un homme d'une cinquantaine d'année vint nous ouvrir la porte, il nous fit entrer et on se retrouva dans une grande pièce où trois autres hommes jouaient aux cartes en buvant. Le propriétaire était grand et avait l'air autoritaire, les trois autres étaient aussi de solides gaillards; la quarantaine et visiblement un peu éméchés. Le maître des lieux regarda bizarrement Gaétan quand il retira son manteau; il faut dire que mon fils a des traits forts féminin et, si j'ai un air un peu macho et viril on devine sans mal que lui est homosexuel. Cela ne m'a jamais posé problème... D'ailleurs, il m'est arrivé d'en profiter, depuis que sa mère est morte il y a quelques années, quand je me sentais seul le soir. Nous nous sommes souvent branlés ensembles devant un bon porno: lui fantasmant sur la bite de l'acteur et moi j'avoue que je bandais autant à la vue de l'actrice qu'à la vue de mon fils se masturbant.

Notre hôte se présenta ainsi que ses amis: «Je m'appelle Victor, et voici René, Germain et Robert.» Après nous être présentés à notre tour, il nous fit asseoir au bout de la table et nous servit quelque chose de chaud, mit les couverts et alla dans la cuisine chercher à manger. Je suis allé voir s'il voulait de l'aide et au moment où j'allais entrer dans la cuisine, je l'ai vu verser une poudre dans une assiette dont le bord était ébréché. Revenu dans la pièce principale, l'homme apporta les deux assiettes et posa devant moi celle dont le bord était légèrement cassé. Le vin coula à flot pendant le repas et je m'arrangeais pour que l'on ne me voit pas verser doucement ma soupe par terre où le chien de la maison était trop content d'avoir quelque chose à lécher...

Durant le repas, les hommes présents discutèrent avec mon fiston et le regardait comme s'ils n'avaient pas vus de corps désirable depuis longtemps... Depuis si longtemps qu'ils n'avaient à l'évidence aucune envie de faire les difficiles quant au sexe de leur proie: homme ou femme, ils n'en avaient cure. Le vin aidant, Gaétan avait les joues roses et je vis bien qu'il n'était pas dans son état normal; pour ma part, je feignis d'être très fatigué et je me mis à bailler. Je fis semblant de tituber et notre hôte me dit de le suivre jusqu'à la chambre qu'il nous prêtait à l'étage; Gaétan quant à lui devant changer le bébé avant de me rejoindre (il était convenu que c'était lui qui s'occupait de son cousin ce jour là). Après avoir remercié le propriétaire de la ferme, j'ai fis semblant de m'écrouler sur le lit et quand l'homme fut reparti, je me suis relevé et c'est en chaussettes que je redescendis l'escalier.

Gaétan changeait son jeune cousin sur la table et les hommes présents étaient autour de lui, notre hôte s'approcha alors et lui dit: «Et bien mon p'tit monsieur, vous êtes bien joli... Avec un cul aussi rebondi, vous devez sûrement aimer les hommes virils dans notre genre, non?... Allez... Faites nous voir...» Comme les hommes présents commençaient à laisser leurs mains se balader, Gaétan cria pour m'appeler mais Victor ricana en lui disant: «Tu peux toujours crier petit bourge, avec le somnifère que j'ai refilé à ton père, il va dormir un moment crois-moi... Et puis je te préviens, si t'es pas sage avec nous, je vous flanque dehors, toi et ce môme... Alors fais ce qu'on te dit ou alors ça va barder... Fais nous voir ton cul!»

Mon fils recoucha le bébé dans son couffin puis les hommes s'emparèrent de lui et l'emmenèrent de force vers le canapé. Là, il fut déshabillé et apparut très vite en boxer blanc moulant qui laissait bien deviner la forme de son sexe et le rebondi de son cul. Celui qui était derrière lui tira son boxer vers le bas avant qu'il ne réagisse. Gaétan se retrouva tout nu devant les quatre hommes. Les hommes sifflèrent et commencèrent à le palper, lui caressant la poitrine, tirant ou pinçant les téton, malaxant ses fesses et essayant de lui caresser le petit trou. Les grosses mains de Victor s'insinuèrent entre ses jambes et mon fils cria quand un de ses doigt entra dans son cul. Il essaya de se dégager mais l'autre était trop fort; il souleva mon fils au bout de ses doigts et celui-ci gémit. Il rigola en disant: «Alors, on bande à ce que je vois... Et ton trou s'ouvre tout seul, salope... Tant mieux, avec ce je vais te mettre, t'as intérêt...»

Les hommes se déshabillèrent et je vis que leurs sexes étaient déjà en érection, celui de Victor semblait très impressionnant, au moins 22 ou 23 cm et très épais, les autres étaient plus petits certes mais de bonne taille quand même. Gaétan fut assis et dût sucer les queues qui se présentaient devant lui. Mon fils fit la grimace quand Victor lui présenta son mandrin, mais une gifle lui fit ouvrir la bouche et l'autre en profita pour faire entrer sa bite le plus loin qu'il put. Gaétan eut un haut-le-coeur mais son violeur s'en fichait et utilisait sa bouche comme un cul, allant et venant.

Ensuite, mon fiston fut mis à genoux sur le canapé et Victor, en qualité de propriétaire fut le premier à le pénétrer, après avoir craché sur son trou pour le lubrifier. Il ouvrit la bouche pour chercher de l'air quand le sexe monstrueux entra dans son petit trou. Germain monta sur le canapé et se fit sucer pendant que les autres malaxaient ses tétons en se branlant. Victor prit son temps mais il réussit néanmoins à rentrer 10 bons centimètres de sa bite, après quoi il saisit mon fils par les hanches et lui imprima des va-et-vient de plus en plus rapide, s'enfonçant un peu plus à chaque fois. Au bout de cinq minutes, la totalité de son sexe disparut dans le cul de Gaétan et ce dernier couina comme il ne l'avait jamais fait avec aucun de ses copain (je les écoutais souvent baiser dans la chambre à côté de la mienne). L'autre s'en rendit compte car en lui donnant des claques sur les fesses, il lui dit: «Alors salope; t'as l'air d'aimer ça? Tu t'es jamais fait bourrer par une bite comme ça, hein?... Je parie que ton mec en a une beaucoup plus petite non?... Tu réponds dis!...» Entre deux gémissements, Gaétan lui répondit: «C'est vrai... Vous êtes très gros... Plus gros que tous les mecs que j'ai eu... Même plus gros que mon père... Aaaahhhh... Oooouuuuuhhh...» L'autre accéléra ses mouvements, se crispa et envoya tout son sperme au fond du ventre de ma progéniture. Celui-ci gémit et dès que Victor se retira, ce fut René qui prit la place. Germain, toujours devant Gaétan lui ordonna d'ouvrir la bouche, s'approcha et lui éjacula dans le gosier. René se démena dans le cul élargi de mon fils et éjacula à son tour.

Puis ce fut Robert qui le retourna, lui attrapa les chevilles et remonta ses jambes à la verticale. Il le pénétra et fit quelques aller retour puis il ressortit, invita Germain qui rebandait déjà à placer sa bite contre la sienne, ils mirent leurs deux sexes sur l'anus de Gaétan qui le supplia: «Non... S'il vous plait... Pas à deux... Je l'ai jamais fait... S'il vous plait... Non...» Robert demanda de l'aide aux autres qui immobilisèrent mon fils en lui écartant les jambes puis ils introduisirent leur sexe dans le cul de Gaétan qui cria; l'autre lui dit de se taire et lui mit une claque puis se mit à le pistonner en faisant des commentaires salaces. Ils éjaculèrent dans le cul de mon fils en riant tandis que celui-ci pleurait et Victor s'approcha pour se faire sucer, puis il s'assit sur le canapé et demanda aux autres de déposer mon fils sur sa bite dressée. Gaétan fut de nouveau empalée sur ce pieu énorme, Victor savourant pour la deuxieme fois le viol de ce petit cul.

C'est à ce moment là que le bébé se mit à pleurer, mon fils leur dit qu'il avait faim, Robert alla donc chercher le petit dans son couffin et lui présenta. Il le prit, se saisit du biberon qui était toujours prêt dans la sacoche, et le bébé se mit à téter, indifférent au fait que son grand cousin était en train de se faire enculer.

René remonta sur le canapé pour se faire sucer et éjacula dans la bouche de Gaétan au bout de quelques minutes. Le bébé ayant fini son repas, Germain le prit dans ses bras, lui fit faire son rôt et le recoucha, pendant que Victor se déchaînait sous mon fils, le soulevant de 15 cm à chaque coup de reins. Il râla en se vidant de nouveau mais mon pauvre fils n'en avait pas fini car Robert lui remonta les jambes et lui mit sa bite dans le cul plein de sperme.

Je suis resté encore 30 minutes à regarder mon fils se faire sodomiser, prendre en sandwich ou bien avaler le sperme des pipes qu'il faisait. J'ai dû éjaculer deux ou trois fois, puis suis remonté sans faire de bruit. Je me suis recouché et j'ai attendu patiemment encore deux bonnes heures avant de voir la porte s'ouvrir et Gaétan venir se coucher. Il se tourna et s'endormit presque tout de suite.

Le lendemain matin, nous nous sommes levés en même temps et quand je demandai à mon fils si il s'était couché tard, il me répondit non; pourtant, il avait des cernes sous les yeux. Nous avons repris nos affaires et Victor prit en remorque notre voiture avec son 4x4, puis en nous laissant chez le garagiste le plus proche, il nous laissa en nous disant de repasser quand on le voudrait... Là-dessus, il s'adressait surtout à Gaétan qui baissa les yeux et ne répondit rien.

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Dimanche 2 décembre 7 02 /12 /Déc 13:13

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Je me présente, je m’appelle Sylvain, j’ai 17 ans et je suis en train de vivre une expérience pas banale...

Mes parents et moi (je vis seul avec eux puisque mon frère aîné est parti étudier à l’étranger pendant un an) avons déménagé il y a 3 mois dans une belle maison en ville. Le rez-de-chaussée est spacieux et confortable mais il y a moins de place aux étages; il y a le bureau de mon père, la salle de bain, la chambre de mes parents et ma chambre est à côté de la leur... et je commence sérieusement à croire que le hasard n’y est pour rien. En effet, le mur entre les deux chambres à coucher est plutôt fin et tous les bruits se transmettent d’une pièce à l’autre. J’ai bien dit TOUS les bruits!

Comme vous l’aurez compris, cela faisait donc 3 mois que j’entendais - voire écoutais - mes parents faire l’amour de l’autre côté de la cloison. Et quand je dis «faire l’amour», c’était plutôt bestial, ils baisaient comme des bêtes, surtout! Plusieurs fois par semaine, quand ce n’était pas plusieurs fois par jour, je collais mon oreille au mur et les écoutait baiser en me branlant frénétiquement. Et ils étaient assez bruyants, mes parents! «Salope, tu la sens bien, ma grosse pine! Je te bourre ta chatte de grosse putain, t’aimes ça, hein! Pétasse!» ou «Oooh oui, vas-y mon beau, qu’est-ce que t’es bon, qu’est ce que t’es gros, tu me remplis bien le trou du cul, c’est trooop!» etc... Vous pensez bien que je ne résistais jamais longtemps et il m’arrivait de me masturber plusieurs fois de suite rien qu’à les entendre.

Un jour, je n’y tins plus et j’osai m’aventurer jusque dans le couloir pour les observer par la porte entrouverte (encore une fois, j’appris plus tard que cette porte était ouverte intentionnellement!). Je m’agenouillai sur le tapis du couloir et reluquai les bribes de spectacles qu’il m’était donné de voir. Mon père, de derrière, faisait de larges mouvements de va-et-vient dans la chatte reluisante de ma mère, en levrette sous lui. Je voyais les belles fesses de mon paternel bouger de plus en plus vite et ma mère qui gémissait, qui gémissait de plus en plus fort. Et puis soudain, je fis craquer le bois du sol... Prêt à m’enfuir à toutes jambes, je remarquai qu’ils ne s’arrêtaient pas. Ma mère cessa juste de gémir et mon père dit d’une voix forte mais chaleureuse: «Viens Sylvain, tu es le bienvenu, tu sais!»

Je croyais avoir mal compris, et j’étais très gêné par ce que j’avais cru entendre, je retournai donc dans ma chambre, histoire de passer inaperçu, rouge de honte et de confusion. Je passai la demi-heure suivante à me poser des questions en les entendant hurler leur désir et leur passion animales.

Nous n’avons pas parlé de cette histoire durant toute une semaine, mais il me semblait que mes parents avaient une attitude inhabituelle, bien que je décidai de ne pas y prêter attention. Par exemple, mon père se baladait maintenant en caleçon à peine rentré à la maison, alors qu’il n’avait jamais fait ça, comme pour s’exhiber. Et il ne se gênait pas pour se gratter ou se peloter les bijoux de famille en notre présence. Ma mère ne semblait pas le remarquer, je décidai donc de faire comme si de rien n’était.

Cela faisait maintenant 2 ans, au moins, que je savais que j’étais plus attiré par les hommes, j’avais eu beaucoup de mal à assumer cela, et encore à ce moment-là, je n’étais vraiment pas sûr de moi, au point qu’aucun de mes amis, personne dans la famille, aucune de mes connaissances, en fait, n’était au courant de ce qui était pour moi une honte. Mais le manège de mon père ne faisait qu’aggraver les choses. Parfois, je repérais même une bosse dans son caleçon moulant, et je commençais à bander dur, alors je me précipitais (relativement peu discrètement) dans ma chambre ou dans les toilettes pour me soulager.

Une semaine après cet événement inattendu, les choses changèrent. Mes parents m’annoncèrent qu’ils sortaient ce soir-là et que je passerais la soirée seul. Après les recommandations d’usage, il me laissèrent seul. Dès qu’ils furent partis, je filai dans ma chambre et je me dévêtis en vue d’une branlette magistrale. J’étais très excité car lorsque j’étais rentré dans la cuisine, juste avant que mes parents partent, j’avais surpris ma mère assise sur mon père qui était, lui, sur une chaise, en train de faire tous les mouvements suggestifs d’une baise. Ils ne m’ont pas vu (ou ont fait semblant?) et je les ai un tout petit peu regardé, puis je me suis éclipsé, la queue dans un état pas possible, mon boxer trempé de sueur et de mouille.

J’en étais donc à me palucher lentement en me remémorant ces images terriblement salaces, quand mon père est rentré d’un coup dans ma chambre. Je sus par après qu’ils avaient tous les deux simulés une sortie pour mieux revenir en douce et en silence, sachant que je serais excité au maximum par le show qu’ils m’avaient fait, et sachant donc qu’ils pourraient me surprendre en pleine masturbation adolescente.

En attendant, mon père s’approchait lentement de moi, une lueur cochonne dans le regard, pendant que mon sexe débandait entre mes doigts et que j’essayais de me cacher honteusement de lui sous mes couettes. Il me retirai d’un mouvement toutes les couvertures et, ma nudité dévoilée, me regarda d’un œil pervers. Je commençai à avoir peur, mais il me dit de ne pas m’en faire, qu’il ne m’arriverait rien, mais que je devais aller au salon, et comme ça, entièrement nu! Accablé par la honte et l’inquiétude, je le précédai au salon où je dus m’asseoir sur le canapé. Il appela ma mère qui vint de la cuisine en nuisette rouge, il la coucha sur la table du salon, sortis sa bite de son pantalon et l’enfourcha devant moi, d’un coup puissant. Il la pénétrait en face de moi et rugissait de bonheur, comme si l’idée même de se donner en spectacle, surtout à son fils, lui donnait une vigueur de taureau en rut. Malgré moi, je me mis à rebander, de plus en plus dur, de plus en plus ferme, devant leur accouplement torride.

Je voyais l’énorme engin de mon papa entrer, puis sortir complètement du trou béant de ma mère, il s’astiquait une ou deux fois, puis l’enfourchait de nouveau, avec un grand «HAN!» de bûcheron. Ma mère, quant à elle, criait son bonheur de se faire foutre et se tortillait, elle jouissait sous les coups de boutoir de son mari. Moi, j’essayais de cacher mon érection mais elle se faisait de plus en plus grosse, et de plus en plus apparente.

Mon père décida alors de changer de place, ma mère se plaça à quatre pattes par terre et il la prit en levrette, tandis que la tête de ma mère se rapprochait de mon pubis. Mon père rugit que je devais me laisser faire, je laissai donc ma mère engloutir mon sexe et jouer de sa langue experte sur mon gland, sur mes bourses, sur mon nombril et sur ma hampe toute entière pendant que ses doigts essayaient d’atteindre mon anus. Je fus très gêné au début, puis le plaisir m’envahit vite et je laissai aller ma tête en arrière pour profiter au maximum du bonheur que ma mère me procurait. Je ne pus donc voir mon père qui sortait de sa chatte et qui vint s’asseoir à côté de moi. Je sentis sa main chaude et virile me caresser le torse, puis les tétons, je rougis tellement il me faisait du bien. Il était le premier homme à me toucher et il le savait. Ma mère vint l’embrasser pendant qu’elle nous branlait tous les deux. Il lui malaxa les seins, alors que je restai immobile, à moitié apeuré, me demandant ce que je faisais là, à moitié excité par la situation, être enfin avec mes parents quand ils baisaient, c’était jouissif, je n’aurais jamais osé l’espérer. D’un coup, mon père prit ma main et la pose sur son ventre, la dirige vers sa toison jusqu’à ce qu’elle heurte son magnifique sexe au garde-à-vous.

D’un coup je me mets à bander plus fort et je le branle délicatement. Ma mère me laisse faire en m’approuvant d’un sourire et se met à se branler à genoux sur le sol. Mon père se caresse le torse d’une main, et de l’autre, il prend ma tête et l’approche de sa bite luisante. Je fais mine de refuser, de résister, mais il devient violent. Il me couche sur le dos et met d’autorité sa grosse queue sur mes lèvres. Plein de désir et d’appréhension, je commence à le léchouiller timidement. Il m’attrape alors les couilles à pleine main et me les serre. Cela me fait un peu mal mais je trique trois fois plus. Il profite de mon trouble pour m’enfoncer d’un coup sa saucisse jusqu’au fond de la gorge, et je suis obligé de faire des va-et-vient, j’y prends d’ailleurs de plus en plus de plaisir, le sentir se contracter dans ma bouche est merveilleux, surtout que ma mère recommence sa pipe sur mon sexe érigé plus qu’il ne l’a jamais été.

J’imagine que c’est mon père qui me suce et je sens que je vais venir à cette idée. Je jouis dans un énorme cri, je râle, je n’en peux plus de jouir et ma mère avale tout. Quant à mon paternel, il s’est levé, attend que ma mère finisse de me nettoyer la queue, et me fait me mettre de force à quatre patte sur la petite table du salon. Je prends peur, je tente de résister mais ma mère a déjà pris possession de ma volonté en me léchant le trou du cul qui est très exposé, dans cette position. Mon père me caresse comme si j’étais sa jument et sa queue tressaute d’impatience. Quand ma mère s’arrête, je n’ai qu’un désir, c’est qu’on s’occupe de mon petit trou, bien ouvert par la salive et l’excitation. Mon père place alors son énorme gland violet contre ma rosette et commence à entrer. Cela ne me fait même pas mal, je ne sens qu’une immense vague de satisfaction qui m’envahit, je me sens enculé, je suis un enculé, enfin, j’en rêvais depuis si longtemps sans oser me l’avouer. C’est bon, c’est trop bon, et mon père me malaxe les fesses, me les gifle presque tendrement. J’ai à peine senti ma mère qui s’était glissée sous moi et qui resuce ma pine dure comme du fer en me broyant les burnes. J’adore ça! Je sens les couilles de mon père cogner mon cul à chaque fois qu’il me bourre bien à fond, et il me crie des mots orduriers, tellement que j’en ai presque peur pour les voisins:

— Eh bien, petite pédale! Tu la sens ma putain de grosse queue! Je te la bourre à fond, hein, mon pédé! Alors, fils, on ne voulait pas dire qu’on est un gros pédé?! Pour ta punition tu te fais pilonner le trou à merde par ton enfoiré de père, t’aimes ça, hein!

— Oooh oui! Oui, papa, J’adore que tu m’encules! Je sens ta grosse bite, ton énorme bite au fond de mes intestins, c’est trop bon!!! Encule moi, fourre moi plus fort, plus loin, vas-y, je suis ta salope, ton trou à bite, j’aime! Ouiii! Oooh je viens, encore, je jouis!

Et j’éjacule mon jus d’adolescent dans sur la table du salon, et sur ma mère qui me mordait la peau des couilles en me branlant. En m’entendant jouir et en sentant les spasmes de mes intestins sur sa pine, mon père pousse un énorme râle et jouit à grands bouillons dans mon intérieur, il y a tellement de jus que ça déborde même de mon trou et ça coule le long de mon périnée en une délicieuse caresse, jusqu’à mes couilles. Il me retourne alors et me lèche le cul, les fesses, jusqu’aux couilles pour recueillir sa semence et la partager avec moi dans un long et langoureux baiser. Je n’aurais jamais cru ça possible, mais j’ai pris mon pied comme je l’avais encore jamais pris! J’ai joui autant du cul que de la queue, et encore de toutes les parcelles de ma peau.

Après nous être un peu rafraîchi, ma mère m’annonça qu’elle avait voulu profiter une seule et une dernière fois de son fils car elle s’en allait, elle déménageait pour un nouveau job qu’on lui avait proposé. Elle qui cherchait du travail depuis tellement longtemps, elle avait sauté sur l’occasion, même si ça voulait dire ne plus voir son mari et son fils cadet avant longtemps. Elle m’a ensuite confié que mon père était bi et très attiré par moi, sans doute autant que moi j’étais attiré par lui, et que nous pourrions nous contenter sexuellement, surtout maintenant qu’elle serait loin. J’étais attristé par le départ imminent de ma mère mais en même temps terriblement excité et content de ce futur prometteur avec mon père. Ma mère partit donc avec la promesse de revenir nous voir régulièrement et que nous baiserions alors tous les trois comme des bêtes.

En attendant j’étais seul avec mon père, et dès le soir même, j’allai me coucher avec lui, dans sa chambre, dans son lit, où nous fîmes l’amour plus calmement que la dernière fois.

À suivre...

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Dimanche 2 décembre 7 02 /12 /Déc 11:07

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Quelques semaines plus tard, je me rendis compte qu’un de mes copains de longue date se comportait étrangement avec moi. Je n’avais plus peur d’assumer mon homosexualité, je m’habillais donc un peu plus moulant qu’avant, plus sexy, comme mon père adorait que je m’habille, pour mettre mon beau corps en valeur. Et de temps en temps je tortillais un peu du cul en marchant. Rien de bien grave, et quand il m’arrivait de me faire chambrer par mes camarades, je leur répondais du tac au tac. Voyant qu’ils ne me mettaient pas mal à l’aise et que je m’assumais sans difficulté ni gêne, ils ne recommencèrent pas et me laissèrent en paix. Cela renforça même les liens que j’avais avec eux, puisque cela devenait un sujet de blagues et de taquineries de leur côté autant que du mien.

Tout allait donc pour le mieux, si ce n’était Jérôme qui s’éloignait de moi peu à peu. J’en étais très attristé, et je l’invitai donc à venir s’expliquer à ma maison, lui racontant que mon père nous laisserait tranquille puisqu’il serait dans son bureau. Je dus insister pas mal, mais finalement il vint. Arrivés chez moi, après avoir bu un verre, je lui demandai tout de go pourquoi je le rendais mal à l’aise. Il rougis soudain, et je compris, en voyant son trouble, que je ne le laissais pas indifférent. Ne laissant rien paraître, je lui dis que nous serions mieux dans ma chambre, il vint et s’assit sur un coin de mon lit. Doucement, je m’assis derrière lui et commençai à lui masser le dos. D’abord très tendu, stressé et cambré, il se laissa ensuite faire, et petit à petit je vins à bout de ses résistances, en l’embrassant dans le cou, en le caressant doucement le torse à travers sa chemise.

Il fermait les yeux et soupirait de plaisir, il était magnifiquement beau, avec ses cheveux foncés, sa peau halée et ses muscles tendres que je sentais distinctement. Je l’embrassai alors sur la bouche, il se laissa faire d’abord, puis me rendis le baiser, ce long baiser d’amoureux que nous échangèrent. Je le caressai sur le torse, lui enlevai sa chemise, et m’assis sur son jeans tendu. Je me mis ensuite langoureusement nu. Puis je le débarrassai des quelques vêtements qui lui restaient. Une fois nu tous les deux, nous nous frottâmes longuement le pubis l’un contre l’autre. Puis je le branlai, je le suçai, et, dans un soixante-neuf fabuleusement érotique, nous avons tous les deux joui presque en même temps dans la bouche l’un de l’autre.

Il rentra chez lui, visiblement content de son après-midi, et me jura qu’il repasserait le lendemain, voire même sans doute pour la nuit. Je courus évidemment raconter tout ça à mon père, ce qui l’excita au plus haut point. Il me laissa finir mon histoire en s’astiquant lentement, puis, voyant qu’il n’en pouvait plus, je vins m’asseoir sur lui et m’empaler sur sa queue énorme. Après quelques aller et retour, il jouit toute sa semence dans mon cul et je jouis une deuxième fois, dans sa bouche. Un peu calmé (mais rien qu’un peu!) nous nous mîmes d’accord sur un plan pour «piéger» le beau Jérôme le lendemain soir (rien de bien grave, rassurez vous).

À 19h, donc, mon ami arrive à la maison, nous mangeons tous les trois, avec mon père, tranquillement, puis mon père se lève, se met torse nu pour, dit-il, «se mettre à l’aise», et il va au salon pour «voir le match de foot». Jérôme, hyper intimidé par les muscles saillants et le beau torse de mon paternel, a une bosse dans le pantalon qui ne laisse présager que du bon. Avec un clin d’œil lubrique, je lui dis qu’on devrait aller prendre une douche. Il est évidemment d’accord, et, ne se doutant de rien, il m’accompagne à la salle de bain.

Une fois arrivé là, nous nous déshabillons tendrement en nous embrassant puis, une fois entièrement nu, je lui dit que j’ai oublié quelque chose dans ma chambre, et que je reviens tout de suite. Sans qu’il s’en aperçoive, je prends ses vêtements et les miens et les emporte dans ma chambre, pour revenir ensuite à pas feutrés jusqu’au couloir, à côte de la porte de la salle de bain. Mon père arrive, sans bruit, lui aussi et entre d’un coup sec après m’avoir jeté un clin d’œil plein de sous-entendus. J’entends Jérôme pousser un hoquet de surprise, chercher ses vêtements, et mon père lui demander d’une voix d’ogre ce qu’il fait là, nu comme un ver. Lui ne sait que répondre, je l’imagine rougir, et pense qu’il doit être on ne peut plus mignon, dans cette position insolite.

Je me déplace un peu pour pouvoir voir sans être vu, et j’observe Jérôme tenter de cacher sa nudité comme moi il y a quelques semaines. Mon père le traite de tous les noms, le prend par le bras (pas trop violemment) et le pousse sous la douche et allume celle-ci en lui disant que, de toute façon, il est là pour ça. Jérôme obéit, il n’a pas le choix, et mon père, après s’être mis nu en un temps record, le rejoint sous le jet d’eau chaude. Jérôme est mort de trouille et il ne se calme pas en voyant l’énorme mandrin de mon père le menacer du haut de son érection. Mon père l’agenouille en silence mais avec une main ferme et l’oblige à le sucer. Mon père est donc face à l’entrée de la salle de bain, avec Jérôme à ses pieds en train de lui prodiguer une fellation qui doit être fameuse, à en juger par les cris du sucé.

Moi aussi nu, j’entre alors en silence, mon père coupe le jet d’eau et, comme convenu avec mon père, je me mets à pisser sur Jérôme, sur son dos, sur ses belles fesses. Lui n’est d’abord qu’à peine surpris de sentir un autre jet de liquide chaud sur lui, et est entièrement accaparé par la pipe qu’il fait à mon père. Puis il se rend compte de quelque chose, se retourne, et reçoit mon jet de pisse jaune et brûlant sur la gueule. D’abord dégoûté, il voit que c’est moi, il se rassure, et sans doute se dit comme mon père et moi, que la situation est très excitante, il reçoit donc en gémissant mon urine sur le visage. Puis, quand j’ai fini, c’est mon père qui prend le relais. Comme je frotte ma pine toute molle d’avoir pissé contre le visage de Jérôme, nous recevons tous les deux de la pisse chaude et puante de mon père, lui sur la gueule, dans la bouche, il avale et il a l’air d’aimer ça, et moi sur ma pine qui grossit de plus en plus.

Ensuite, mon ami se lève et il vient se frotter à moi, je lui lèche le visage plein d’urine, je caresse son corps trempé et mon père colle sa queue érigée contre ses fesses et se masturbe ainsi, le gland contre la rosette de Jérôme. Nous sortons alors de la douche, je colle mon copain contre le mur et, après lui avoir léché le trou de cul, je le pénètre violemment, dans un cri de sa part comme de la mienne. Ensuite, mon père vient derrière moi, malaxe mes couilles qui se balancent pendant que j’encule mon second amant puis il m’enfourne aussi, sans préparation, d’un grand coup brutal. Je hurle, d’abord de douleur, puis de plaisir. Nous formons une brochette d’enculades et nous jouissons tous les trois dans d des gémissements sans retenue. Epuisés, nous allons nous reposer, sentant que le lendemain, nous pourrons profiter pleinement de notre envie de sexe jamais assouvie. Nous dormons tous les trois dans le grand lit de mes parents, enlacés, après nous être encore baisé; Jérôme m’a enculé pendant que je suçais mon père, puis mon père a enculé Jérôme alors que je m’occupais de la queue de ce dernier.

Le lendemain, après une baise matinale, Jérôme est rentré chez lui et mon père a eu un nouveau plan lubrique dans la tête. Il n’a rien voulu me dire, il m’a juste fait monté dans sa voiture, un bandeau sur les yeux, en me promettant une belle surprise. Très curieux, j’ai patienté, il m’a fait sortir de la voiture, m’a emmené sur un chemin assez caillouteux jusqu’à un intérieur qui ne sentait pas très bon... J’ai mis du temps à me rappeler où j’avais déjà senti cette odeur, puis il m’a enlevé le bandeau et les souvenirs me sont revenus aussitôt: nous étions dans le box de notre cheval, un étalon noir, magnifique, que nous avions acheté longtemps auparavant et qui nous aimait autant que nous l’aimions. Voyant mon père tout excité, je me suis dit qu’il voulait que nous baisions dans le foin, dans l’odeur de bêtes, et même devant notre étalon, et je me suis rendu compte que cette idée m’excitait pas mal aussi...

Mon père m’a ordonné de me déshabillé et d’être son esclave. Emoustillé par ce petit jeu, je me suis plié à ses désirs et je me suis mis à genoux, nu sur la paille fraîche, devant lui qui avait enfilé une salopette sur sa peau nue, sa grosse queue pointant par l’ouverture de l’entre jambe. Il me cria de faire un tour à quatre patte, jusque sous le ventre de Nuage, notre cheval. Je savais qu’il n’y avait aucun risque de ruade, car il me connaissait bien et qu’il était doux comme un agneau avec nous.

Une fois sous son flanc, mon père m’ordonnai de caresser son ventre d’un coté à l’autre, ce que je fis avec plaisir, Nuage soufflant de plaisir. Ensuite il me cria de lui caresser les bourses. Je le regardai, surpris, puis me dis «après tout, pourquoi pas? C’est un mâle comme les autres finalement!» Je commençai donc à lui effleurer doucement les burnes, qu’il avait noires, puis, pris par le jeu, et par l’excitation grandissante, je commençai à les humer et me surpris à aimer ça. La bite de mon cheval commençait à sortir de son fourreau, à grandir et grossir, et mon esprit autant que ma volonté m’échappait totalement. Je me demandais ce que je faisais, j’étais honteux de mes actes, mais tellement excité que je voulais à tout pris continuer, jusqu’au bout, jusqu’à ce que je pourrais faire de plus lubrique! Mon père n’en espérait peut-être pas tant, mais je commençai ensuite à lécher amoureusement les énormes mandarines, puis la hampe sans fin de mon étalon adoré. Jamais je n’avais connu une aussi grosse bite et je bandais à m’en faire mal tellement cela m'échauffait les sens.

Mon père se mit alors nu aussi, et vint s’occuper de l’énorme pine de notre cheval. Lécher une tel engin était jouissif et nous n’osions pas nous toucher de peur de jouir sur le champ. Nuage n’en pouvait plus, il soufflait par les naseaux, s’agitait, et soudain, sa bite se mit à tressauter dans tous les sens, je la branlai du mieux que je pouvais, avec mes deux mains, et il jouit! Sa semence de cheval gicla sur la paille, sur mon père, sur moi, il y en avait des litres! j’en avais jusque sur les cheveux et mon père en avait plein le visage et le ventre. Je me roulai sur lui pour m’en étaler sur lui et l’embrasser à pleine bouche. Le sperme de Nuage sentait bon, il était brûlant, nous en avions partout et nous nous léchâmes le corps pour nous nettoyer et, surtout, nous soulager. Nous éjaculâmes tous les deux en peu de temps, tellement l’excitation avait été grande.

Puis nous allâmes nous coucher sur la paille, pas loin de Nuage qui se remettait très bien de ses émotions. Petit à petit, nous recommençâmes à nous toucher, à nous caresser et nous étions repartis pour baiser quand l’étalon se manifesta bruyamment en hennissant; il en voulait encore. Nous nous délaissâmes donc pour retourner vers le cheval, sa queue était à nouveau bandée bien dur, très longue, elle était magnifique. Mon père s’occupait de lui lécher le gland, qui avait la grosseur d’un melon, et il se frottait à cet organe magnifique, pendant que, passé derrière Nuage, je lui léchai l’arrière des couilles. Puis, voyant qu’il levait la queue d’une manière suggestive, j’eu une idée totalement insensée. Je remontai avec ma langue le long de son périnée, puis j’arrivai à son trou de cul. Il était bien serré, mais je le léchai sans vergogne. Je le léchais, je le léchais, et je bandais de plus en plus dur de voir que cela excitait énormément Nuage, son anus s’ouvrait de plus en plus, plus il était mouillé, plus il s’ouvrait, comme une fleur, prêt à recevoir un cadeau...

Mon père, sentant que l’étalon prenait un plaisir immense, me demanda ce que je lui faisais. Quand je lui dit, il vint me regarder, la langue dans le trou du cheval, tout en le masturbant. Sentant que le cheval allait jouir, il lui lâcha la bite et me dit de l’enculer. J’ouvris de grands yeux, et mon père me dit qu’il l’avait déjà fait, étant adolescent, il avait l’habitude d’enculer le cheval qu’il avait alors, et cela procurait énormément de plaisir, autant à l’animal qu’à l’humain. Je rentrai donc un doigts, puis deux, puis toute ma main dans l’anus dilaté de Nuage qui, manifestement, prenait son pied royalement. Je bougeai mon poing dans son trou du cul puis, je la sortis, pleine de crottin. Totalement excité, et n’en revenant pas de ce que je faisais, j’étalai toute la merde du cheval sur mes fesses, puis sur mon ventre et mon bas ventre, j’approchai ma queue de son anus, et je pénétrai mon étalon doucement, jusqu’au bout, jusqu’à la boule de crottin qui se terrait au fond de ses intestins. Nuage trépignait de se sentir enculer, et mon père, sentant qu’il allait à nouveau jouir, se mit sous lui pour recueillir ses litres de jus sur son corps.

Quand il en fut remplit, il vint m’en enduire et m’enculer à l’aide de ce lubrifiant. Avec tous ces stimulants, je jouis très vite dans le cul de Nuage, puis m’en retirai. À temps, car il devait visiblement chier. Ce qu’il fit, après avoir essayé de s’éloigner, mais d’un geste je lui avait fait comprendre de rester près de moi. Il envoya donc toute sa merde à mes pieds, et je me couchai sur le monticule puant, sous les yeux de mon père qui rebandait dur. Il se coucha sur moi, nous nous couvrîmes de crottin, puis je me mis ventre dans la merde, la tête dedans, et mon père m’encula jusqu’à jouir une dernière fois. Je jouis dans la merde et nous nous endormîmes ainsi.

Après quelques heures, nous nettoyâmes le box puis nous rentrâmes à la maison, tout en nous promettant de revenir pour des parties de jambes en l’air torrides, et qui sait, peut être y emmènerions nous Jérôme?

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Samedi 1 décembre 6 01 /12 /Déc 12:13

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J'aime l'exhibition, mais je n'avais pas encore pratiqué. Je trouve très excitant de se retrouver nu à la vue de tout le monde et bien sûr qu'on profite de moi à sa guise, selon sa volonté et son envie.

Un samedi en fin de matinée je me connecte via minitel à un serveur gay pour m'amuser (comme beaucoup d'ailleurs). Après quelques échanges, j'établis un contact avec une personne de Rouen (j'y habite, avis aux amateurs). Nous discutons depuis une dizaine de minutes et celui-ci me propose de l'appeler, il me donne son téléphone et je raccroche. Je n'ai pas l'habitude des contacts par minitel mais je me décide à l'appeler, il se prénomme Henri. Le téléphone sonne et une voix très grave me répond.

— Bonjour, c'est toi Alain ?

— Oui, on vient de se parler via le minitel.

— Exact, tu veux que l'on se rencontre ? Tu es passif ?

— Je n'ai jamais rencontré de gars après le minitel, mais j'aimerais essayer, cet après midi ? Au fait je suis passif et j'aime particulièrement me faire travailler le cul.

— Ok pour cette après midi, 15h à l'entrée du sauna.

Nous nous décrivons mutuellement pour nous reconnaître. Je déjeune rapidement et à 15h je suis devant le sauna. Henri est là, il m'attend, environ 45 ans, mais la différence d'âge m'importe peu (j'ai 30 ans).

Nous rentrons dans le sauna et allons aux vestiaires. Je me déshabille totalement et prend une serviette. Henri se déshabille également, il a une superbe queue, très épaisse comme je les aime et me prend ma serviette.

— Tu m'as bien dis que tu aimais l'exhibition. Surtout ici, pas de serviette pour toi.

Nous pénétrons dans le sauna, il y a une bonne dizaine de personnes et nous nous asseyons dans un coin mais Henri prend garde que tout le monde puisse nous voir.

— J'aimerais que tu me suces et me lèche les couilles, tu te mets à quatre pattes, ton cul bien orienté vers les autres, ok ?

Rien que le fait de l'avoir dis, je sens mon sexe se dresser. Bien évidemment je me mets dans la position voulue et je commence à le sucer. Son sexe est parfumé. Il commence à grossir et j'en profite pour lécher et sucer ses couilles.

— Excellent, continue mais uniquement avec ta bouche, avec tes mains tu écartes tes fesses pour que tout le monde voie ton trou.

Je m'exécute, je sens mon anus s'ouvrir un peu et j'englobe encore plus son sexe. Au bout de quelque minutes je sens une présence auprès de moi. Deux hommes se sont approchés et regardent avec attention mon travail. Ça excite encore plus Henri qui se vide dans ma bouche à gros jets. J'apprécie et avale tout, pas une goutte ne m'échappe. Un sperme bien épais, pas aigre, j'en garde un peu dans ma bouche pour le montrer à Henri et aux spectateurs qui nous entourent puis je l'avale.

— Au suivant de ces messieurs, Alain est un bon suceur, avis aux amateurs.

Henri se lève et laisse sa place, je n'avais pas prévu cela, mais une nouvelle queue est déjà devant moi et je la prend dans la bouche en me disant qu'elle subira le même sort.

— Bon tu m'as dis que tu aimais le travail anal alors écarte encore un peu je vais commencer.

Avec la chaleur, mon cul est en sueur comme le reste de mon corps. Henri passe son doigt sur mon petit trou plusieurs fois, salive sur mon cul et badigeonne mon anus avec sa salive. Bientôt un doigt me pénètre, il salive de nouveau et pénètre encore. Mon cul est maintenant ouvert, j'adore cette sensation, j'écarte encore plus mes fesses pour faciliter la pénétration. Henri me dit qu'il en est à trois doigts et que maintenant j'ai le cul bien ouvert et préparé à un autre diamètre.

Je sens un sexe contre mon anus, la pénétration est forte, j'ai senti mon anus résister pour se relâcher. Le sexe m'a pénétré entièrement, je relève la tête surpris. Mais on me demande de reprendre la fellation. Une seconde giclée de sperme m'inonde la bouche et une troisième personne prend place. Je me sens juste être une machine à faire jouir et j'aime cela.

— C'est une superbe salope que tu nous as amené, Henri. Pas comme celui de la semaine dernière.

Je comprend maintenant qu'Henri est un habitué et que chacun à leur tour ramène quelqu'un pour profiter de lui. Cela ne me dérange pas et reprend ma fellation, cette queue est plus fine mais plus longue, elle tape au fond de ma gorge.

Mon cul accepte de mieux en mieux ce sexe qui me laboure le cul sans se préoccuper de mon désir. Un grognement me signale qu'il est en train de jouir dans mon cul, il se retire. Henri prend sa place appuie sur mes reins afin de bien présenter mon trou maintenant bien ouvert. Il crache plusieurs fois dedans et à chaque fois fait pénétrer sa salive dans mon anus. Puis il me pénètre avec deux doigts, puis trois, puis quatre et enfin la paume de sa main et commence un va-et-vient. Je sens encore mon anus se dilater, je me relâche complètement pour faciliter cette pénétration.

— Superbe cul bien ouvert, tu as déjà essayé le fist complet ?

— Non, mais je veux bien essayer si tu fais doucement.

— Ok on y va.

Il reprend son va-et-vient, sort complètement sa paume puis me pénètre de nouveau comme si sa main était un sexe. Mon anus accepte de mieux en mieux cette pénétration. Il retire sa main, crache de nouveau dans mon anus, ferme à demi son poing et commence à me pénétrer. Doucement sa main entre, force le passage, j'ai un peu mal mais beaucoup moins que je le pensais et je sens tout à coup que sa main est complètement entrée.

Il commence aussitôt un va-et-vient mais sans sortir.

— J'élargi ton intérieur, ne t'inquiète pas.

Je n'en peux plus, je transpire à grosses gouttes. Enfin mon troisième partenaire jouit, j'avale encore un peu mais laisse couler du sperme sur mon visage. Le sien est très liquide.

Henri retire sa main doucement et je sens de nouveau mon anus s'ouvrir pour laisser le passage.

— Maintenant tu es vraiment ouvert, mets ton cul en l'air, creuse tes reins. Venez voir les autres.

Sept ou huit personnes approchent et constatent l'ouverture de mon cul. J'adore ce moment, sentir le regard de tout le monde sur moi. Henri se penche, crache dedans et invite les autres à faire de même. Tout le monde le fait et tout à coup je sens une nouvelle main qui me pénètre.

Ce n'est pas moi me dit Henri mais un copain. Sa main s'enfonce, me pénètre et commence à entrer et sortir. Tout à coup j'urine, je suis surpris mais Henri me précise que c'est normal. Ce massage interne dure et s'arrête pour laisser place à une superbe queue, celle d'Henri qui a repris toute sa vigueur. Il s'enfonce sans aucun problème au plus profond de moi et à un rythme infernal. Bientôt il explose et se retire. Je peux enfin m'asseoir.

— Masturbe toi, tu l'as bien mérité.

Je m'exécute. Sept gars m'imitent juste devant moi. J'éjacule dans ma main et la porte à ma bouche pour avaler mon sperme. Le premier éjacule sur moi, puis bientôt les autres. Je suis couvert de sperme, je me lève et me dirige vers les douches. Je me lave et Henri me regarde.

— Tu t'es bien amusé ?

— Oui c'était super, mais tu avais prévu le coup ?

— Oui, mais cela ne marche pas tout le temps, tu veux bien faire une dernière chose ?

— Dis moi.

— Mets toi ce plug dans le cul, puis tu t'habilles et on va prendre un pot.

— Ok.

Il m'enfile le plug à fond dans l'anus. Nous nous habillons et allons dans un bar. En m'asseyant, le plug qui était un peu sorti reprend sa place au fond de mon cul. J'apprécie cette pénétration et le dis à Henri. Un copain à lui arrive, nous discutons tous les trois et Henri raconte mes exploits de cet après midi. Je vois son copain très intéressé. Il m'invite à le suivre. Nous sommes dans les toilettes, il ouvre sa braguette et me présente sa queue. Je m'agenouille et lui fait une fellation rapide en alternant ma main et ma bouche. Il me prend la tête et m'enfonce sa queue dans la gorge et en profite pour éjaculer.

Nous retournons voir Henri, celui-ci plaisante encore et ils partent. Je reste seul dans le bar. Je me lève pour payer et vais me rasseoir. Je sens de nouveau le plug dans mon anus et je me dis qu'Henri devra un jour venir je chercher.

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