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fan de histoires de mec

Mercredi 2 janvier 3 02 /01 /Jan 14:23

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COMMENT UN MEC M’A FAIT ÉVOLUÉ D’UNIQUEMENT ACTIF À VIDE COUILLE A DISPO

Je m’appelle julien, j’ai 36 ans, 1m77 pour 63 kg, belle teub de 18 x 4,5

 

Je vais vous raconter comment mon ex Arnaud, 1m75, 60 kg, 18 x 6 a fait de moi un vide couille a dispo

 

Quand je l’ai rencontré, j’étais uniquement actif et lui versatile. Dès le début de notre relation, j’ai mis les choses au clair en lui disant que j’étais uniquement actif et que par conséquent il ne me baiserait jamais.

 

Au pieu, je me comportais face à lui en vrai mec, je le baisais dans toutes les positions comme un vrai passif. De temps en temps il me demandait d’être actif mais je lui répondais qu’il en était hors de question car j’étais un mec, que j’avais une teub et pas une chatte. Je lui disais que c’était lui le passif et que s’il voulait du sex, il fallait qu’il donne son cul un point c’est tout.

 

Cela s’est passé comme ça durant un an jusqu’au jour où il notre couple a commencé à ne plus marcher très bien. Moi j’étais de plus en plus amoureux de lui mais lui ne l’était plus vraiment. De plus, son besoin d’être actif l’avait rendu infidèle et il baisait des mecs en cachette durant mes absences.

 

Un jour, il a décidé de mettre fin à la relation en invoquant comme raison le fait que je n’étais jamais passif et qu’il n’était pas épanouis. Afin de le garder, je lui ai demandé de me baiser pour m’apprendre à devenir un peu passif et pour continuer à être ensemble.

 

Il a accepté, m’a dit de me mettre à poil, m’a bouffé le cul et m’a pénétré directement sans préliminaire, me calant direct toute sa teub dans le cul. Je lui ai dit que j’avais mal mais il m’a répondu qu’il fallait que j’accepte et que je me donne. Il m’a bourriné le cul sans s’occuper de moi et en pensant qu’à prendre son pied. Chaque fois que je lui ai demandé d’aller moins vite, il m’a répondu de fermer ma gueule et de donner mon cul. Quand il a été prêt à juter, il a sorti sa teub de mon trou et est venu me la caler dans la bouche, me tenant la tête pour que j’avale son foutre jusqu’à la dernière goute en me disant de lécher et nettoyer sa teub, ce que j’ai fais

 

Une fois qu’il a eu juté, il est sorti du lit, sans se soucier du fait que je n’avais pas juté et m’a dit que ce qui s’était passé ne comptait pas car je ne m’étais pas vraiment donné. Il m’a dit que si je voulais le garder je devais apprendre à donner mon cul et qu’il ne serait plus passif tant que je ne me donnerais pas à block.

 

J’ai bien évidement dit qu’il pouvait aller se faire foutre et que je comptais bien le baiser le soir même mais quand on s’est mis au lit, il a refusé de se faire baiser et de me sucer. Les jours suivants afin de l’exciter, je le pompais au réveil ou au coucher afin de lui donner envie de baiser. Chaque fois, il sortait sa teub, la mettait dans ma bouche et se laisser pomper en me disant « va y, avale la bien, pompe comme une bonne chienne » ou « t’aime sucer ma bite, petite pute, va y, prend la bien en bouche profond, comme ça ». Quand je relevais ma tête de sa queue pour passer à autre chose, il me disait « je vais te baiser ton petit trou de passif » et comme je lui répondais que je n’avais pas envie il prenait ma tête avec sa main pour la redescendre au niveau de sa teub et me disait « va y, vide moi alors ». Etant excité, je le pompais et me branlant avec ma main droite. Quand il s’en apercevait il me disait « touche pas ta nouille, je ne veux pas que tu jutes, je veux que tu me vides, c’est tout ».

 

Cela a duré comme ça durant 15 jours… Au bout de 15 jours, alors que je lui disais que je n’avais pas envie de me faire prendre, il m’a dit qu’il ne me demandait pas mon avis. Il avait envie de me défoncer et n’avais rien à foutre de mes envies. Il s’est relevé, a craché sur mon trou, m’a collé la tête contre le mur et est entré direct au fond de moi en me défonçant jusqu’à ce qu’il jute au fond de ma chate.

Quand il a eu juté, il s’est levé, m’a ordonné de le suivre à la salle de bain et de me mettre à quatre pattes dans la douche. Une fois que je me suis retrouvé à quatre pattes devant lui, il m’a mis sa teub devant la bouche et m’a demandé de lécher le jus qui resté. J’ai obéi et ai sorti ma langue pour lécher le foutre sur sa teub. A ce moment-là il a commencé à pisser, je me suis retiré mais il m’a pris par la tête et m’a dit d’avaler en me mettant sa teub dans la bouche. J’ai bu une première gorgé, puis ai essayé de me retirer mais il a maintenu ma tête en me disant d’avaler. Comme j’ai un peu recraché, il m’a dit « t’a le choix, t’avale comme une bonne pute ou tu te casses et reviens plus jamais chez moi », alors j’ai avalé sa pisse jusqu’à la dernière goute.

 

Quand il a terminé, il m’a dit « regarde toi, tu sais ce que t’es ? » alors je lui ai répondu « oui, je suis un passif » et il m’a dit « non, t’es pas un passif, un passif ça se fait baiser ca boit pas la pisse, regarde toi avec ma pisse et mon foutre dans ta bouche, t’es pas un passif, t’es une pute, t’es tout juste bon à me vider les couilles. A partir de maintenant, attends toi à être traité comme ça, comme une pute que j’utilise a dispos pour me vider. Oublie ta bite, elle sert plus à rien, t’es juste un trou. Demain je vais commander une cage sur internet pour bloquer ta teub que t’ai plus jamais moyen de t’en servir »

 

Ensuite, il a ouvert l’eau froide de la douche en me disant qu’il fallait laver la pute car elle était sale. Il a fait couler l’eau froide sur moi et m’a dit « tu te casses maintenant ou t’accepte ta place », je lui ai dit « oui » et il m’a dit « oui quoi ? Oui t’es juste bon à me vider les couilles et à porter une ceinture de chasteté » et je lui ai répondu « oui je suis juste bon à vider tes couilles et à avoir ma teub en cage »

 

Tout ce que j’ai écrit est vrai, je ne suis plus avec ce mec la mais j’en cherche un autre domi pour le remplacer. Si y a un mec parisien qui est intéressé, qu’il m’envoie un mail 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Lundi 24 décembre 1 24 /12 /Déc 15:40

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C'était l'année dernière, chez mes parents, au mois de juillet.

Je me trouvais seul chez moi après être rentré de vacances avec mes amis, et mes parents ne devaient arriver que la semaine suivante.

Ils avaient lancé des travaux d'agrandissement avant leur départ et s'en étaient allé ayant confiance en les maçons qu'ils connaissaient depuis la construction de la maison.

 

Bref, un matin vers 10h, je me lève, tranquille, et je descend dans la cuisine pour me faire mon jus d'oranges, en jock-strap naturellement, me croyant seul. Or la fenêtre de la cuisine est grand ouverte, et je peux voir, (comme je peux être vu) ce qui se passe dans le jardin. mais ce que je ne vois hélas pas, c'est ni Marc, le chef du chantier, beau mec de 45/50 ans, bronzé, genre 1m80, aux muscles dessinés sous son débardeur, et portant un short large en jean lui arrivant mi cuisses, ni le jeune qui l'aide ce matin, les autre arrivant dans l'après-midi, un jeune arabe de 25 ans, mince mais aux muscles saillants, en bas de survêt et torse nu (il fait chaud à Marseille à 10h du mat' en juillet.).

Ce n'est qu'en portant mon verre à la bouche que je me retourne vers la fenêtre pour apercevoir Marc, sa main malaxant son sexe par dessus son short en me regardant avec appétit.

Geste qu'il stoppe immédiatement en se voyant surpris ainsi. Mais déjà mon sexe lutte pour se libérer de

l'étreinte puissante des élastiques du jock, et pour la plus grande joie de Marc je sors mon pénis (je suis dans son angle de vue seulement) en faisant mine de me caresser lentement histoire de l'exciter un peu.

Puis je lui fais un clin d'oeil en montrant le jeune arabe qui, nous tournant le dos continue son travail.

Marc me fais comprendre en mimant qu'il suce bien et que sa teub est grosse.

Aussitôt je les interpelle tous les deux comme si de rien n'était et je les invite à entrer dans la cuisine pour prendre un jus d'orange.

Marc entre et vient droit sur mon strap qu'il déchire sans façon à ma grande surprise, libérant mon érection insolente.

Le jeune arabe me voyant à poil baisse son survêt (chose surprenante pour un mec aussi viril, il porte un string), et commence à se masturber sans mot dire, un sourire vicieux sur le visage.. Marc lui m'a poussé sur la table et me suce le dard maintenant.

Je gémis de plaisir !! Si les mecs de mon age (20/30) me font bander, les mecs vieux m'excitent beaucoup aussi, et c'est avec joie que je me laisse faire par lui. Il m'allonge ensuite sur la table, et sans façon, commence à me pisser dessus après avoir retiré son short, il appelle le jeune arabe qui déverse lui aussi sa pisse sur mon torse puis ils m'obligent à sucer leur teub en guise de soumission.

Marc à une belle queue d'environ 20cm, large à souhait, mais surtout un beau et large gland sentant bon la pisse et le sperme.

Le jeune lui fidèle à ses origines, brandit un beau 22/23 cm circoncis, rasé, bref, un chibre superbe !!!!

Déjà Marc me mouille la rosette avec sa salive et m'agrandit le trou avec ses doigt, moi je gémis sur la table, alors que Hamar, le jeune, me suce pendant que je le branle d'une main en le doigtant de l'autre.

Il gémis et n'arrête pas de me traiter de salope, ce que je ne dénie pas.

Marc ayant enfilé une capote me pénètre alors que je ne m'y attends pas d'un coup sec et rapide, j'en gueule presque, mais le plaisir fais son apparition, et je sens Marc aller et venir en moi tantôt vite et fort, tantôt doucement pour faire sentir la taille de son sexe.

Je bande comme un âne allongé sur le dos sur la table, quand Hamar a la bonne idée de me mettre une capote, puis se mettant à genoux sur la table il m'offre son cul que je lèche avidement pour l'humidifier avant qu'il ne vienne s'empaler sur mon chibre pour y trouver son plaisir.

Pendant une bonne demi heure Hamar va et vient sur moi-même me faisant trouer en même temps par le beau Marc, jusqu'à ce que Marc, au bord de la jouissance, décule, enlève sa capote et vienne verser sa purée dans ma bouche en gémissant de plaisir.

Hamar se retourne et voyant ma jouissance venir il décule et m'enlevant la capote, commence à me pomper si fort et si bien que je lui remplit la bouche de mon jus épais et bien blanc ;

il en a partout sur les lèvres coulant sur son menton, créant un contraste avec sa belle peau mate.

Pendant qu'il boit ma sève, Marc l'attrape par derrière et commence à le branler violemment jusqu'à ce que dans un ultime râle de plaisir, Hamar lâche son foutre m'atteignant au visage, sur mon torse, avant de se laisser tomber sur moi en se frottant à mon corps et m'embrasant de sort à mélanger nos trois spermes.

 

Marc et Hamar on travaillé encore un mois, et ce fut tous les matins pour moi le plus beau des réveils. depuis je revois Marc et des amis à lui de son age pour des soirées chez lui. (to be continued..) Fred de Marseille (21 ans)

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Lundi 24 décembre 1 24 /12 /Déc 10:23

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Je ne résiste pas à vous compté ce qui viens de m'arrivé ce W.E

Alors que je rentrais chez moi je me suis arrêté sur une petite aire d'autoroute pour assouvir une envie de pisser. Bien qu'il y est des chiottes sur les aires d'autoroute je ne m'y rends jamais car généralement c'est toujours crad, ça pue la pisse et la merde donc, je trouve toujours un endroit dehors pour pisser.

Là, je me dirige vers un petit bosquet à l'abri des regards indiscrets et commence à pisser puis un mec (environ 30/35ans) s'approche de moi et me tend un billet de 20€ en me disant, non sans gène :

 

- Salut ! c'est pour toi si tu me laisse te sucer…

 

Quand même surpris par sa proposition je me dis pourquoi pas…. alors tout en continuant de pisser je lui dis ok et empoche son billet. Là le mec n'attend même pas que je me secoue la nouille qu'il se met direct à genoux et engloutie ma bite dans sa bouche en récoltant mes dernières gouttes de pisse et commence à me pompé le zob qui bien sûr, ne tardât pas à gonflé par ses caresses buccale…

 

Putain ! Ce fut une pipe royale…le mec prenait bien son temps à me lécher toute la hampe de ma bite, la prenant en fond de gorge, me suçotant le bout du gland en faisant tournoyer sa langue dessus… hummm…. Un délice…

 

Cela à bien duré une bonne 15ene de mn avant de sentir la sauce monter de mes couilles.

Lorsque je n'ai plus pu me retenir je l'ai averti que j'allais juter et lorsque j'ai voulut me retirer de sa bouche il me prit les mains pour me les poser sur sa tête, me branla en continuant à me sucer et quand je lui ai dit

 

- Putain ! j'vais jouir mec….

Là, il prit ma bite en fond de gorge et je lui ai craché tout mon jus qu'il a goulument avalé jusqu'à la dernière goutte.

 

Lorsqu'il s'est relevé il ma remercié de lui avoir permis de me sucer car il avait déjà proposé à d'autre mecs le même plan mais qu'ils avaient refusé.

 

Non seulement le mec a pris sa dose de sperm mais en plus moi, j'ai gagné 20€ à me faire sucer, elle est pas belle la vie ?...

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Dimanche 23 décembre 7 23 /12 /Déc 10:57

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Je m'appelle Julien, 25 ans, je suis passif. Je ne pense pas être un canon, mais on me dit mignon et bon coup !

 

Un samedi soir du mois de mars, j'étais chaud, envie de me faire baiser par un beau mec actif. Recherche infructueuse sur internet, je décide d'aller passer un moment au sauna gay le plus proche, à Reims. Je tourne un peu, je mate les vidéos de cul, elles sont nulles, Quelques séances de sauna, je continue de tourner, mais je ne croise aucun mec à me mettre sous la dent. Je sors du sauna et remonte dans ma voiture, déçu de ne pas être passé dans les bras d'un mec. J'ai réfléchi à une solution de rechange, et une seule m'est venue à l'esprit : aller sur un parking réputé lieu de drague gay, près du stade de foot.

 

Après 10mn de route, j'arrive à proximité du parking. Pas de match ce soir-là, tant mieux, il y a plus de chance de trouver mon bonheur. Mais en arrivant sur le parking, pas mal de voitures stationnées, mais tous les feux sont éteints, et personne dans ces voitures. Seule une camionnette d'entreprise a les feux allumés, mais je m'étonne qu'un mec vienne draguer avec un véhicule sur lequel est écrit en grosses lettres son nom et son téléphone. Je me gare, et laisse mes veilleuses allumées. La camionnette bouge et se gare un peu plus loin entre une voiture et les arbustes, toujours les feux allumés. J'aperçois vaguement le conducteur, il a la cigarette à la bouche, mais je le distingue mal. Je bouge à mon tour et me gare quelques places derrière, légèrement décalé. Soudain, le mec me fait un appel avec son clignotant. Je réponds avec un appel de phare. Hésitant, je coupe le contact, mets une capote dans ma poche, et descend de la voiture. Je m'approche de la fourgonnette, me place près de la porte côté passager. Le mec me fait signe de monter.

 

Je monte dans la camionnette, le plafonnier s'allume, et je peux enfin voir le mec. Surprise ! Je ne suis pas déçu ! Il fait environ 1m70, la quarantaine, assez mince, un petit bouc et une boucle d'oreille. Un mec assez viril et plutôt pas mal en fait. Bien que timide de nature, j'engage la discussion :

 

Salut !

Salut !

Ça va ?

Oui ! J'ai pas trop l'habitude...

Ok moi non plus, je connais pas trop le lieu. Tu veux quoi ?

J'en sais rien, je suis hétéro, marié, et j'ai six gosses. Alors j'ai pas trop l'habitude...

T'as déjà eu une expérience avec un mec ?

Je suis déjà venu une fois, un mec m'a fait une gâterie et j'ai pas trouvé ça dégueu !

Ok et là tu voudrais quoi ? Tu voudrais que je te suce ?

Ouais... Je sais pas... Tu fais quoi toi ?

Moi je suis chaud et ce soir j'avais envie de me faire baiser, mais c'est toi qui vois, pour moi c'est ok. Je peux déjà te sucer, et si tu veux aller plus loin, on verra...

Ok, mais ici c'est pas discret, y'a mon nom sur la camionnette, je veux pas être grillé, je suis marié ! Tu connais pas un autre endroit ?

Non je suis pas de la ville, tu es du coin, à toi de me dire.

J'ai fais un chantier pas loin, on peut essayer d'y aller.

Ok, je prend un truc dans ma voiture et on y va.

 

Je descend du véhicule, récupère ma veste dans la voiture et remonte dans le camion. On s'éloigne un peu, et pendant les 5mn de route, on discute un peu, mais le mec est timide et n'a pas l'habitude de ce genre de plan. Il me confie que sa femme ne lui donne pas satisfaction côté sexe, et qu'il a besoin d'être un peu saoul pour aller voir les mecs. Je lui dit que j'ai l'habitude, et qu'on va faire ça cool. Finalement, le chantier sur lequel il pensait aller est fermé, mais quelques centaines de mètres plus loin, il trouve un parking tranquille à proximité d'une zone commerciale. Il reste toujours aussi timide et me demande comment on fait :

 

On se fout à poils ?

Peut-être pas, ce sera pas discret... Baisse ton pantalon et sors ta queue.

 

Il ouvre sa braguette, et baisse son pantalon et son boxer. Il sors une belle queue et bonnes couilles bien poilues. Il ne bande pas encore, mais j'approche ma main pour y remédier. Je commence à le branler, et je prend sa queue en bouche. Je commence mes va-et-vient, et rapidement, je sens sa bite gonfler dans ma bouche. Elle n'est pas énorme mais doit faire dans les 17cm, un bon goût de mec. Je continue de la pomper, et le mec gémis en me disant que c'est bon. En bon passif, ça me fais plaisir de faire plaisir à un mec, surtout un hétéro reproducteur comme lui... Tout en le pompant, je baisse mon pantalon pour libérer ma teub qui bande également. Il me caresse le cul, et remarque qu'il est rasé. Je continue à pomper cette belle queue qui durcit toujours, mais j'ai envie de plus :

 

Tu veux me baiser ?

Ici ?

Non, plutôt à l'arrière, ici on pourra pas, il y a pas la place !

Mais sans capote, comme ça !

J'ai une capote, t'inquiètes !

 

On remonte nos pantalons, et on descend du camion. On monte à l 'arrière par la porte latérale. L'arrière du camion est aménagé avec des étagères et tous les outils dont il a besoin. Un univers bien viril comme j'aime et qui m'excite encore plus !

 

Direct, je retire mes chaussures et mon pantalon. Lui se contente juste de baisser son fute sur ses genoux. Il a débandé, et je le pompe à nouveau pour faire durcir sa teub. Je suis chaud et j'ai envie que ce mec me baise !!! Je lui file la capote, mais il est maladroit, il n'en a pas l'habitude avec sa femme. Pendant qu'il l'enfile, je met du gel sur mon cul, et nous sommes prêts. Il s'allume une clope, probablement pour se déstresser ! Moi j'adore ça, j'ai toujours voulu me faire sauter par un mec qui clope ! C'est le top de l'excitation !

 

C'est sa première sodo, j'ai l'impression de dépuceler un hétéro ! Sa teub est dure, et je le guide pour qu'il me pénètre. La sensation est étrange pour lui. Pour moi, ça aurait pu être une sodo comme une autre, mais le lieu, cette camionnette puant la virilité, la fumée de cigarette me chauffent à mort. Ce mec, hétéro fertile va me baiser dans son camion ! Je bouge pour lui faire comprendre que je suis prêt, et il commence ses va-et-vient dans mon trou dilaté par l'excitation. Pendant plusieurs minutes, il me baise, doucement, sans douleur. Je sens ses couilles toucher les miennes. Je prends ses couilles dans mes mains et joue avec pendant que sa queue me baise le cul. Il gémit, il aime ça. Mes jambes sont bien écartées, appuyées sur des pots de peintures ou des tréteaux, il continue de me baiser. Ce mec est bien chaud et bien endurant, et son chibre d'hétéro me troue le cul... Après d'intense minutes de sodo, je n'en peux plus, et me branle. Je crache tout mon jus en un rien de temps en gémissant ! Tout le sperme s'étale par terre, dans un mélange de ciment, de peinture et de colle en tout genre. Il se retire de mon cul, mais n'a pas joui. La capote commençait à lui faire mal, sans doute le manque d'habitude !

 

On s'est rhabillé, il m'a ramené à ma voiture. On s'est quitté en se promettant de remettre ça, si le destin le voulait !

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Mercredi 19 décembre 3 19 /12 /Déc 21:36

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CECI EST UNE HISTOIRE VRAI

Je suis Nicolas, 25 ans, 1.80 m et 80 kg, blond aux yeux bleus. Je ne suis pas gay, mais je fantasme sur un seul et unique homme, il est dans tous mes rêves.

Cette histoire s'est passé il y a 6 ans.

 

Depuis tout petit, je fantasme sur un homme. Cet homme est un ami de mes parents. Cet homme est assez grand, 1.85 m pour 95 kg, un peu bedonnant, moustachu et surtout poilu. C'est homme c'est Bruno, marié, 2 enfants.

 

Un jour de Juillet 2006, je propose à cet homme et ses 2 fils une sortie en mer pour aller pêcher. Tout le monde est OK, reste plus qu'à déterminer une date lorsque le temps sera de la partie.

Un jour d'Août 2006, temps magnifique, ciel tout bleu, pas un seul nuage, magnifique soleil, forte chaleur. C'est parti pour la journée en mer sur mon bateau. Ce jour là, j'arrive à 8h à l'embarcadère, afin de préparer le matos de pêche et le bateau pour un départ prévu à 9h30.

9h15, les voilà, enfin voilà leur voiture. Je ne vois que Bruno descendre de la voiture.

Il s'approche, je remonte sur le quai, nous nous serons la main en se saluant et je lui demande ou sont ses 2 gars. Il me répond qu'ils ne viendront pas, ils sont partis à une concentration de moto et me demande si cela pose problème qu'ils ne soient pas là. Je lui répond que non, la bateau est prêt, on peut y aller à 2.

 

Allez hop, c'est parti, le bateau est en marche. Après une bonne heure de navigation vers le large, je stoppe le bateau, la mer est plate, pas de vague et nous sortons le matos de pêche. Avant de mettre les cannes à l'eau, j'ôte mon t-shirt et mon short, je me retrouve en caleçon de bain, pour affiner mon bronzage. Je me suis mis à l'aise en espèrant que Bruno en face autant pour que je puisse mater son torse poilu et éventuellement le voir en slip de bain, mais à ma grande déception, rien de tout cela n'arrive, il choisit de rester en t-shirt et short.

 

Nous mettons donc les cannes à l'eau, j'avais prévu 6 cannes et étant donné que nous ne sommes que 2, on va en déplier que 4. Les 4 cannes à l'eau, il y a plus qu'à attendre que ça morde à l'ameçon.

 

En attendant, je sors de mon sac la crême solaire car en mer, le soleil tape plus fort qu'on ne le croit.

Je commence à en mettre dans le creux de ma main, pour me l'étaler sur le corps c'est alors que Bruno, à ma grande surprise, se propose de me l'appliquer sur le dos. Alors, allons-y comme ça, il applique la crême solaire sur mon dos, je ferme les yeux, son touché manuel me fait plaisir, trop plaisir, si bien que je sens que ça durçit dans mon caleçon de bain. Au fond de moi, j'espère lui appliquer de la crême solaire sur son corps.

Je pensais qu'il n'allait faire que le dos, partie inaccessible pour moi, mais à ma surprise, je vois qu'il remet de la crême dans le fond de sa main et se pointe devant moi pour m'appliquer cette crême sur mon torse. Ca continue de durcir dans mon caleçon de bain et je ne sais pas ou me mettre, j'essai de penser à autre chose afin de calmer mes pulsions et j'espère qu'il ne va pas remarquer que je bande !

Puis il descend ses mains au niveau du nombril, je bande comme un dingue et je vois bien qu'il l'a remarqué mais il ne dit rien, surement géné. Puis il s'assoit devant moi, sur un caisson, son visage se retrouve pile en face de mon calçon de bain, remet de la crême dans sa main et applique la crême sur mes cuisses. Je ne peux pas faire autrement, je bande, je bande, je bande !

 

Quand il a fini de m'appliquer la crême, il me dit :

- je te fais de l'effet ?

- non pourquoi tu dis ça ? que je lui réponds

- bah je vois que ça bouge la dedans ! me dit il en mettant sa main sur ma bite, par dessus le caleçon.

 

Hésitant, je lui réponds finalement que pour vérifier il n'a qu'à baisser mon caleçon, chose qu'il fait illico presto ! Il me descend donc le caleçon, me voilà à poil, et je bande comme pas possible. Il prend ma bite dans la main et commence à me branler, des va et vient qui sont trop bons. Je mets ma main sur sa tête afin de lui approcher de mon sexe pour qu'il le suce. Mission accomplie, il ouvre sa bouche et avale mon sexe. Cette fellation me procure que du plaisir, le frottement de sa moustache sur mon corps me donne une sensation de bien être. Je lui demande d'aller plus vite, il s'exécute, je jouis. Après plusieurs minutes de va et vient, je lui dis que ça va arriver et sors ma bite de sa bouche, je fini de me branler et lui éjacule sur la bouche. Je fini de me tirer sur la bite qu'il la reprend en bouche pour y laisser le sperm que je viens de lui cracher.

 

Il se relève et me dit "à mon tour !" et commence à enlever son t-shirt mais je le stoppe et lui dis "attends, c'est moi qui te déshabille !" Je m'approche de lui, lui enlève le t-shirt, je vois tous ses poilus, je lui carresse son torse velu avec mes 2 mains puis je commence à lui tater son sex par dessus son short. Je sens que ce n'est pas dur, mais ça à l'air gros ! Je lui descend son short, je lui re-carresse les poils du torse, puis je lui tate le sexe par dessus son slip. Je sens que ça durcit ! Alors je décide de vite lui descendre le slip car je ne peux plus attendre ! Et là, sa grosse bite par encore toute dure se dérobe ! Hummm ! Je le branle, le suce, sa bite est maintenant énorme et dure ! Je continue ma fellation, je prends sa grosse bite à pleine bouche, je décide de mettre entièrement ses couilles poilues dans ma bouche et je tourne autour avec ma langue, il gémit, il prend du plaisir ! Il m'avoue même que sa femme ne lui a jamais fait ça ! Elle a pourtant de la chance elle de se faire sauter au lit par un tel homme ! Il fini de se branler, en claquant sa bite sur mon visage et il crache tout sur mon visage.

 

Nous nous accordons un peu de repos en buvant une bière tout nus sur le bateau. Je lui dis que le soleil tape fort alors je prends la crême solaire et lui applique sur le corps, ce qui me re-permet de lui carresser son torse poilu.

 

Quant aux cannes, et ben elles sont toujours à l'eau, on ne s'en occupe pas ! On préfere morde l'ameçon de l'un et l'autre.

 

Après s'être reposé près d'une heure, Bruno prend ses réponsabilités et me demande si on peut aller plus loin. Je lui réponds que "oui, mais comme quoi ?" Je souhaitais au plus profond de moi-même qu'il m'encule mais je voulais le laisser me le proposer. Il me répond : "on s'est branlé, on s'est sucé, maintenant, il faut se sodomiser !". BINGO !!!!!!!!!!! Mais je n'ai pas de capote lui dis-je et il me répond que lui non plus. Il me dit qu'il faut y aller doucement.

Il va enfoncer sa grosse bite dans mon corps ! Ca fait des années que je rêve de ça avec lui, des années que je me branle en pensant à lui et ce jour est arrivé !

Je me penche donc vers l'avant, lui présente mon cul, il s'approche, et me met un doigt dans l'anus, quelques va et vient, puis un deuxième doigt, pour dilater tout ça. Je suis tendu, il me le fait remarquer et je lui réponds que c'est la 1ère fois que je vais me faire enfiler ! Il me dit que lui non plus ne s'est jamais fait sodomiser, tout en essayant de mettre un 3ème doigt dans mon anus. Je pousse des cris, ce 3ème doigt ne veut pas entrer, le passage est trop étroit, ça me fait mal. Bruno décide donc d'enlever ses doigts et approche sa bite toute dure. Il met son gland, ça passe difficilement, je cris, c'est bon ! Ca glisse mal, il met de la salive, ça glisse mieux. Je lui dis qu'on peux mettre du savon pour que ça pénétre mieux, il me répond "pourquoi pas !"

 

Système D, on met un peu de savon et la pénétration se fait bien. Quelques va et vient et le voilà qu'il enfonce la grosse bite au plus loin de mon corps et me donne des coups de rein. Je sens sa grosse bite chaude en moi, je jouis comme jamais ! Bruno continue ses va et vient, ça va de plus en plus vite, j'entends son bassin claqué contre mon cul, ça devient violent tellement ça va vite puis il se retire, il se branle et me demande de me retourner et de mettre ma bouche au niveau de son sexe. Il continue de se branler, me dit que ça vient et crache tout ce qu'il a dans ma bouche. La bouche pleine de son sperm, je lui prend la bite et ses couilles et mets le tout dans ma bouche, afin de partager son liquide.

 

Bruno me dit qu'il n'a jamais donné autant, je lui réponds que je suis content d'être celui qui en à eu le plus en une seule baise. Après avoir reprit son souffle, Bruno se penche et me dit "c'est bon, je suis prêt pour la sodomie !". Je lui dis que je vais procéder comme lui, j'enfile un doigt, quelques aller retours, puis un 2ème doigt, j'enfonce le tout assez profond, il jouit. Je tente le 3ème doigt, ça passe s'en problème, j'accélère mes va et vient, je tente le 4ème doigt, mais pas la place, je reste à trois. J'ai la bite raide, je mets du savon sur ma main, la lui remet dans l'anus pour faire pénétrer le savon. Je retire ma main, la mets sur ma bite pour l'induire de savon, puis je claque ma bite sur ses fesses et j'approche mon gland au niveau de son anus. La pénétration de fait en douceur, quelques va et vient, je prends mon pied, lui aussi, j'entends qu'il jouit. En continuant mes va et vient dans son corps, ma main gauche sur sa hanche, avec ma main droite, je lui prends sa bite en érection et le branle. Il jouit dur, il crie ! J'arrête de le branler et accélére mes coups de bite de plus en plus vite encore et encore, jusqu'à ce que j'éjacule ! J'ai tout donné, je n'ai pas pu me retirer et j'ai craché mon sperm dans son corps !!!

 

Nous avons fini notre baise, il s'étale dos sur le sol du bateau, je m'allonge sur lui, bite chaude contre bite chaude, je lui carresse son torse poilu et lui mordille les tétons. Après une bonne demie heure à reprendre nos esprits, nous remettons nos shorts pour se mettre à pêcher un peu, car à la base nous étions venus pour ça ! Après 2 heures de pêche, et une petite dizaine de maquereaux, nous décidons de replier les cannes, puis nous avons plongé nus dans l'océan, afin de se "nettoyer" un peu.

Après une heure de navigation, nous voilà de retour au port. Nous nous sommes quittés en nous serant la main. Vous aurez peut être remarqué qu'à aucun moment je n'ai dit que nous nous sommes embrassés gouluement. Effectivement, nous ne nous sommes jamais embrassés. Comme je l'ai dit au début, nous ne sommes pas gays, nous avons juste eue une attirance l'un pour l'autre.

 

Pour conclure, je dirais que l'absence des 2 fils de Bruno aura été très bénéfique pour moi, j'ai pu assouvir un vieux fantasme.

Bruno, je le revois souvent lorqu'il est en visite chez mes parents, on se regarde bizarrement, mais on ne laisse rien transparaitre. J'aimerais le faire venir chez moi, mais ma copine est là...

Au jour d'aujourd'hui, je n'ai pas eu d'autre relation avec Bruno (ni avec aucun autre homme, seul Bruno m'attire), mais j'aimerai bien qu'on repasse un moment pareil. Pour l'instant, je n'ai pas d'autre histoire à raconter, mais la prochaine que j'ai avec Bruno (s'il y en a une), je n'attends pas 6 ans avant de la publier.

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Dimanche 16 décembre 7 16 /12 /Déc 22:02

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A l’époque j’avais 24ans et très porter sur le sex. Mon éducation sexuel, à débuter très jeune, 1ere pipe à l’âge de 14ans avec un copain de classe dans les chiottes de l’école puis 1ere sodo à l’âge de 15ans avec un mec de 20ans que mon copain avait invité chez lui. Devenu très vite accros à la bite je ne manquais jamais une occasion pour sucer une queue ou pour me faire baiser. Sans pour autant me travestir ou vouloir ressemblé à une fille j’ai peu à peu été considérer comme une chienne et une pompe à bites, j’ai avalé des litres de foutre de gout différent, sucré, salé, âcre, fluide ou épais mais bref… revenons à cette époque où j’avais donc 24 ans, un jour ou j’ai dû être forcé à faire la pute en tenu sexy :

Ayant passé une annonce sur un site gay un mec me répond. Un mec plutôt sympa et cool qui cherche à passé un bon moment, se faire pompé et baiser un cul. On échange nos mails pour discuter de nos envies et un soir on se rencontre. Le courant passe bien entre nous, je le suce, il me baise, on papote un peu et on se quitte. Le lendemain je reçois un mail de lui en me disant qu’il avait apprécié la soirée et qu’il aimerait bien recommencer, je lui réponds « ok pas de PB » on se revoit donc plusieurs fois de suite jusqu’au jour il me demande :

- Ce qui me plairait c’est que tu t’épile que tu porte un string en dentelle et des porte-jarretelles, ça te tente ?

- Heu…. C’est pas trop mon truc ça… je ne suis pas un trav et je me sentirais plutôt ridicule donc non ça ne me tente pas…

- Ok, dommage…

Etant chienne dans mes ébat sex mais plutôt masculin dans ma vie de tout les jours je n’ai jamais ressentie le besoins, voir même eu l’idée de me travestir en femme mais, curieusement en repensant à sa proposition sans m’en rendre compte je me suis mis à bander et mouillé mon calbut si bien que je lui renvoyais un mail en lui disant que j’étais d’accord pour essayer. 2 jours plut tard je reçois un colis, un string en dentelle noir, un soutiens gorge assortie, des porte-jarretelles, des bas et en prime des petites boule en mousse pour remplir le sous-tif avec un mot de sa part :

« RDV ce samedi chez moi, épile toi entièrement, porte cette tenu, enfile juste un jogging et un T-shirt par-dessus.»

Le samedi arrive, je m’épile entièrement et enfile les dessous féminin, en me regardant devant la glace je me trouve ridicule dans cette tenu, je ressemble à un mauvais travelo mais je me dis qu’après tout si c’est son trip, tant que je me fais baiser pourquoi pas…

J’arrive chez lui, sympa comme il était à chaque fois il m’offre un verre, on papote un peu et me demande de me déshabillé pour me découvrir en tenu qu’il m’avait offerte.

- Hummm… sympas… t’es bien excitante comme ça…

- Merci mais bon… j’t’avoue que je ne suis pas trop à l’aise comme ça…

- T’inquiète tu va t’y faire…

Puis il me tend une mini jupe et un corsage en me disant :

- Tiens…met ça…

Une fois apprêté il m’annonce que nous sortons.

- Quoi ? heu… non désolé mais je ne sort pas comme ça…

D’un seul coup il change de ton…

- Comment ça non ? mais bien sûr que si…

Là je me dis que c’est pas bon pour moi et lui dis que je ne suis pas d’accord, que je stop la relation en commençant à enlever le corsage et la mini jupe pour reprendre mes fringues mais voila que je me prend une grande baffe dans la gueule, ne m’y attendant pas, la gifle est si violente qu’elle me fais tombé sur le sol. Reprenant mes esprits je balbutie :

- Putain !!!... mais ça va pas non ?...

- Ferme ta gueule p’tite chienne… t’es venu ici de ton plein gré avec la tenue que je t’ai acheté maintenant va falloir que tu rembourse… et pour ça tu va faire la pute pour moi…

Abasourdis et surpris par ce changement de comportement je lui réplique :

- Hey mec… qu’est-ce qui t’arrive ?

Ce qui à le don de l’énerver puisque je reçois 2 gifles mais moins fort que la 1ere dans la tronche.

- Et ben c’est simple salope… à partir de maintenant tu m’appartiens comme une chienne à son maître et comme une pute à son mac, étant déjà bonne chienne et bon téteur de zob tu va dorénavant être ma pute et un bon trou à bites… j’ai remarqué que tu avais de bonne disposition pour ça… une bonne bouche qui ne rechigne pas à prendre une bonne dose de foutre et une chatte accueillante qui ayant été bien travaillé ressemble à une bonne fente de femelle… donc comme je te l’ai dis tout à l’heure on sort et tu va faire ta 1ere passe…t’as quelque chose à répliquer à ce sujet ?

Ne souhaitant pas recevoir une autre baigne dans la gueule j’acquiesce et nous voila en route vers ce qui est pour moi l’inconnue…

Durant le trajet je reçois quelques consignes à savoir :

1- Etre toujours assis les cuisses écarter (et ce n’ importe où) affin que l’on puisse constater que je fais un appel aux mâles sous mon string en dentelle.

2- Etre toujours souriant et polis devant un client et pour finir…

3- Obéir à n’importe quel de ses ordres même si cela me déplais sous peine de correction.

Nous voici arrivé sur un parking routier, il y a peu de monde mais quand même quelques camions et voiture garer. Je reçois son ordre :

- Va dans les chiottes…rentre dans une cabine et laisse la porte entre-ouverte en faisant face au mur les mains derrière la tête et jambes écarté… si quelqu’un rentre c’est que je te l’aurais envoyé alors tâche de te conduire comme une vraie putain t’as compris salope?

Bien que le jour commence à tomber on peu me voir habillé comme une pute me diriger vers les chiottes. A peine ¼ d’heure d’attente mon 1er client arrive. Sans un mot il entre, ferme la porte et passe sa main sous ma jupe pour me tâter les fesses

- Et ben ma coquine…sympas ton petit string… et un bon p’tit cul bien ferme à ce que je vois…mais bon… c’est pas le tout mais j’ai payer pour m’offrir tes services… j’ai pas trop le temps alors taille moi un pipe vite fait, aller…

Pendant que je me retourne et me met à genoux, le mec sort sa queue de sa braguette.

- Aller vas-y suce…

A peine 5 mn plut tard le mec visiblement trop excité se retire de ma bouche et se fini en se branlant en me crachant son jus au visage.

- Merci salope… dommage que je sois pressé, je me serais bien occupé de ta chatte…

Une fois partis, je m’assois sur la cuvette des chiottes et m’essuie avec du papier toilette le sperm qui coule de mes joues lorsque la porte se ré-ouvre, c’est mon maître du moment qui entre.

- Et ben p’tite pute, t’as pris une bonne dose a c’que j’vois… j’ai un autre client pour toi mais avant j’vais te graisser ta p’tite chatte…

Toujours assis face à lui à hauteur de sa braguette il m’ordonne de m’occuper de sa bite.

- Aller… tète moi bien le gourdin avant que j’te l’enfourne dans ton p’tit cul… hummm… ouai… vas-y p’tite chienne… c’est ça… avale bien… lèche… suce… hummm… bon aller… lève toi, tourne toi et met tes mains sur la cuvette j’vais t’engrosser ma chérie…

Sans prendre la peine de descendre mon string il écarte juste la ficelle et m’encule comme ça.

- Tiens… prend ça salope… haaa c’est bon ça… tu la sens bien ma bite dans ta chatte hein salope…

Il me défonce comme une brute jusqu’au point de non retour où il me crache sa purée dans mes entrailles.

- Haaaaaa…. Ouaiiiiii…. Putain… t’as une trop bonne chatte toi… te voila saillis comme une chienne maintenant… aller nettoie moi la bite et dépêche le client t’attend…

Il fait nuit lorsque nous ressortons des chiottes, il n’y a que les lampadaires qui éclaire le parking, un routier fait un appel de phare.

- Ah tiens… c’est ton client…

On s’approche du camion, le routier baisse sa vitre il me dévisage et tend un billet de 50 en guise d’accord.

- Aller chérie… monte et va bosser…

Le routier est un hollandais et bien qu’il me parle dans sa langue il sait se faire comprendre par des gestes en m’invitant à me coucher sur sa couchette. Il se déshabille et viens se mettre à cheval sur moi, sa bite encore flasque pendant sur ses couilles poilu il s’amuse à la balancer sur mon visage par des mouvements de droite à gauche et de haut en bas, ses couilles me caresse les joues, sa bite commence à bander et en me la posant sur mes lèvre me dit :

- Suck me… suck me…

J’ouvre alors la bouche et me la rentre dedans. Mes lèvres se referment sur sa bite et ma langue tourne autour de son gland.

- Yes… Yes… good… humm…

Après une bonne suce de 10mn il relève ma mini jupe, m’enlève mon string puis relève mes cuisses en arrière que je maintiens au dessus de ma tête, il écarte mes fesses et me lèche l’entrée de mon trou. Sa langue est chaude et bonne se qui me fais gémir, puis il crache dessus et y enfourne un doigt, mon cul ayant déjà été ouvert et lubrifier par le sperm de mon maître il en met un 2eme puis un 3eme.

- Hummm… good…

Il déroule une kpote sur sa queue et m’encule direct. Après une bonne défonce de ma chatte qui dure bien ¼ d’heure il se retire de mon cul, retire la kpote et se branle pour décharger son foutre sur ma rondelle et mes couilles.

- Haaaaaa….. Yes, yes… hummm… good…

Il se relève et me tend mon string que je remets sans m’essuyer. Je descends du camion et vais rejoindre mon maître qui m’attend dans la voiture. Tout en marchant je sens le foutre qui s’est refroidi, du routier couler sur mes cuisses. A l’approche de la voiture mon maître descend et me dit :

- Alors ? ça c’est bien passer ?

- Oui…

Il passe sa main sous ma jupette et constate effectivement que je suis englué de sperm.

- Et ben… t’es souillé comme une pute… va te nettoyer un peu, il y a un autre client qui t’attend…

Après m’être lavé je retourne à la voiture.

- Va la bas prêt du lampadaire et attend le prochain client…

Humilié et honteux de devoir subir cette situation je m’exécute. Une portière d’un camion s’ouvre et un mec en descend, il se dirige vers moi. Un mec plutôt jeune 25/30ans peut-être, en jogging, une barbe sans doute de 2 ou 3 jours se qui me laisse douté de son hygiène, (et en effet… j’ai pu constater que mon doute était bien fondé) puis, sans prendre de forme il me dit :

- Salut la pute… j’ai payé pour avoir tes faveurs… y parais que tu fais tout c’qu’on veut alors suis moi…

Il m’entraîne vers un coin sombre et m’ordonne de me mettre à genoux, il descend son jogging, baisse son caleçon, me prend par la tête et plaque mon visage sur sa teub. L’odeur forte qui se dégage de ses couilles poilues et de sa bite non circoncis me donne un mouvement de recul.

- Et ben quoi salope… t’aime pas l’odeur de ma bite ? ouai je sais j’ai pas eu l’occase de me doucher depuis 2 jours, mais pas grave tu va me nettoyer tout ça… t’es là pour ça… aller… met toi au taf et décrasse moi la teub ou j’dis à ton mac qui te dérouille…

Je suis dégoutter, rien que de sentir sa bite et ses couilles puantes me donne envie de vomir, je retiens alors ma respiration ferme les yeux et ouvre ma bouche. D’une main il me prend par la nuque pendant que de l’autre il se décalotte la bite pour me la faire sucer.

- Aller vas-y salope… nettoies moi bien le bout d’la bite avec ta langue… voila comme ça… c’est bien… continu… oufffffff… Ouaiiii… c’est bon ça…t’as une bonne bouche de pute toi… aller nettoie moi les couilles maintenant… lèche bien tout…voila… comme ça… hummm… bon aller… suce moi la tige… tu va m’dégorger l’poireau… j’t’aurais bien pris la chatte ma salope mais j’ai pas d’kpote sur moi et comme toute les sales putes du dois être plomber alors j’ prends pas l’risque…par contre tu va bouffé mon foutre et t’as pas intérêt à en recracher une seul goutte t’as compris ? attend toi à en recevoir une bonne dose car j’ai pas juter depuis une semaine … aller vas- y ma salope pompe moi bien… hummm… ouai… putain ! tu suce mieux que ma meuf…houa… vas-y continu salope… putain !!! t’es trop bonne… tu va m’faire jouir en peu de temps… continu… ouai c’est ça… continu salope… Haaaaaa !… Haaaaaa !… Haaaaaa !…

Sachant par expérience en sentant sa bite et son gland se durcir de plus en plus dans ma bouche que sa jouissance est imminente et bingo… il me largue toute sa crème en jet puissant dans mon gosier, bien sûr comme demander je n’en perds pas une goutte et avale toute sa semence. Une fois sa bite redevenu molle il remonte son caleçon et son jogg, me tapote la joue en me disant avant de repartir :

- Super… t’es une bonne pute…

Je rejoins la voiture de mon maître.

- Aller il est bien tard on rentre…

Nous reprenons le chemin du retour mais a mi-chemin il s’arrête sur une espèce de parking non éclairé d’une départementale, coupe le moteur, éteint ses phares et m’ordonne de descendre.

- T’as été une bonne pute ce soir et j’ai encore envie de te baiser…

Là il me demande de m’allonger sur le capot de la voiture, enlève mon string immaculé de foutre du routier et me le carre dans la bouche.

- Relève tes cuisses et écarte bien ta chatte j’vais une dernière fois te féconder…

Il ma bien labouré comme ça pendant une bonne 20ene de mn avant de se décharger dans mon cul. Arrivé chez lui je lui ai rendu sa panoplie de pute, remis mes fringues et reparti chez moi.

Bien que cette expérience fût (sur le moment) humiliante je ne la regrette pas.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Jeudi 13 décembre 4 13 /12 /Déc 22:33

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J'ai quarante ans aujourd'hui, je vis en couple hétéro mais depuis toujours le corps de l'homme m'attire.

 

J'ai commencé très jeune à me balader à poils sur la plage, pour mater et être maté.

C'était très excitant, mais je suis resté plutôt sage jusqu'à la trentaine ou un soir j'ai décidé de m'arrêter dans un lieu de drague gay que je connaissais, pas super loin de chez moi. Juste pour...voir.

Et j'ai vu, même ce que je ne m'attendais pas à voir.

 

Après quelques minutes ou des mecs faisaient des va et vient, une voiture c'est garée et un homme est sorti, se dirigent vers

l'endroit ou j'étais embusqué.Il faisait sombre, j'avais la main dans le slip et je fantasmais à l'approche de ce mec, mais quelque chose m'a perturbé. Et j'ai vite compris quoi. En s'approchant, la silhouette m'était familière.J'ai sorti la main de mon slip juste avant de me retrouver nez à nez avec... mon oncle. Enorme moment de solitude..Excuses hésitantes..Bref, on s'est dit bonjour et on a commencé a se dire quelques banalités. Et puis on a fini par convenir tous les deux de ce qui nous avait amené là. On a souri, on s'est caressé sagement ce soir là et quelques fois les mois qui ont suivi on s'est retrouvés au même endroit.On est allé chaque fois un peu plus loin jusqu'au jour ou il a proposé de me prendre. J'ai accepté et on a plutôt passé un bon moment. Dépucelé par son oncle, c'est plutôt fort.

 

Puis on a arrêté de se voir..Moi je suis plutôt standard, 177,71 kg. Lui 20 ans de plus que moi, plus petit et plus massif, mais avec une bite épaisse et très travailleuse que je ne lui soupçonnais pas.

 

Je me suis ensuite séparé et on s'est revus régulièrement. Il s'est mis à passer chez moi et la première fois qu'il m'a de nouveau pris, il a constaté que j'avais fait des progrès, que j'avais du servir.J'ai avoué et ça a fait tomber sa retenue.

 

Au point qu'un soir il me met un sms et me demande si je veux qu'il passe. Je dis ok. Il me dit qu'il a chaud et me demande de l'attendre à poils. Je réponds que ça marche. Je me fous à poils et après une demi-heure on frappe à la porte. J'ouvre en tenue d'Adam pour me retrouver face à lui et à un autre mec jamais vu. Surpris, j'essaie de ne pas le montrer et je les fait entrer. Le mec avec lui est à peine plus vieux que moi, plutôt pas mal et me regarde en souriant. J'espère qu'au moins il ne sait pas que je suis le neveu. Me trouver à poils comme ça est déjà plutôt gênant.

Il me regarde avec insistance, surement déjà bien décidé à profiter de sa soirée. Et moi clairement je ne peux rien cacher.J'essaie juste de rester naturel.

 

Mon oncle tombe sa veste, m'embrasse à pleine bouche comme si de rien n'était et commence à se déshabiller comme il a l'habitude de faire. Il ne garde que son slip, se caresse la bosse et passe sa main derrière ma nuque pour me faire comprendre qu'il a envie de me voir à genoux. La situation pourrait vite devenir gênante, alors je m'exécute et je me retrouve face à sa queue. Il prend ma tête entre ses mains et m'écrase la face contre son sexe déjà a demi durcit. Malgré mes quarante balais, je me sens comme un jeunot timide devant lui. C'est justement ce que j'aime et la raison pour laquelle je n'ai rencontré que des mecs plus âgés. Rapidement je mordille, je passe ma langue sous le tissu pour lécher ses couilles et je sors cette superbe queue bien épaisse qui doit mesurer près de 20 centimètres. Je commence à le sucer avec amour et je sens monter une grosse excitation. La présence de son pote ne me gêne plus, elle m'excite..D'ailleurs il commence à me parler

-"c'est bien, suce le. Tu t'appliques bien je vois..

Occupes toi bien de la queue de ton oncle!"

Pas de doute, il connait notre lien.

 

Je suce sans faire semblant et je remarque que le pote ouvre sa ceinture, sa braguette et sort une pine intéressante. Il ne dit rien. Il attend. C'est mon oncle qui parle le premier et qui me demande de m'occuper de ce qu'il m'a amené.

Il me retire sa queue et tourne ma tête vers son pote qui me rempli la bouche à son tour. Là c'est trop excitant, je suis à poils, à genoux,et après avoir pompé mon oncle devant un inconnu, je pompe ce même inconnu devant lui. Et mieux encore, je me mets à lécher les deux sexes l'un après l'autre.

 

Mon Oncle est content de lui et son pote se remet à me parler. De sa voix grave il me dit que je suce bien, il me dit d'être fier de ce que je suis en train de faire. Je prends les deux glands en bouche..Je me rends compte que je me comporte comme une salope, mais je n'y peux rien C'est trop bon. La tige de tonton disparaît et je continue à m'occuper de son ami. Il y a dix minutes, je ne l'avais jamais vu et là je suis déjà en train de lécher son gland C'est incroyable!...Quelques instants après, je sens une main qui caresse ma raie, un doigt qui se glisse dans mon trou et me tire pour me relever. Je comprends que mon oncle est passé à la vitesse supérieure. Je sens sa queue se glisser en moi. Il commence tout doux et au bout de quelques secondes ses coups deviennent brutaux, et m'écrasent le visage contre le copain qui me dit qu'il aime le fond de ma gorge. Tout s'enchaîne.Une paire de couilles s'écrase contre mon menton et l'instant d'après un autre s'écrase contre mon trou. Il me laboure le salaud.Je paie pour les quelques rares mecs qui m'ont pris après son dépucelage. Il finit par demander à son pote s'il me veut.Et oui!!!Quelle surprise.Ils changent de rôle et moi je ne bronche pas.

Le copain est moins large mais plus long. Il commente : "Tu avais raison, ton neveu à un putain de cul. fait pour être enfilé".

Mon oncle confirme: "Je te l'avais dit. Il aime ça alors éclates toi"

Pendant près d'une heure, ils m'ont baisé à tour de rôle, dans toutes les positions possibles. A quatre pattes, sur le dos .Ils m'ont pris la bouche, le cul,m'ont sucé la bite, broyé les couilles. Au bout d'une heure je n'en pouvais plus. J'ai demandé grâce.A regret, ils ont compris qu'il fallait finir.On a joui sur mon torse tous les trois et nos mains on mélangé les semences.

J'ai recommencé à me sentir gêné.

J'ai fini par trouver refuge sous la douche.Je suis revenu caché sous un peignoir, un peu honteux pour les trouvés assis sur le lit, cuisses écartées, prêt à remettre ça. Deux grosses queues de mâles à peine molles.

 

Mais je n'ai pas remis ça. Parfois je me dis que j'aurai du en profiter

 

Le plus drôle c'est que je me sens plutôt hétéro. Et pourtant, j'aime le sexe du mâle, me soumettre à sa puissance. C'est clair que la bite manque à la femme...

Ce soir là, j'ai vraiment laissé tomber les tabous.

Je n'ai pas renouvelé mais c'est un super souvenir de sexe.

Tout s'est joué pour moi sur des imprévus mais ça m'a appris jusqu'où je pouvais aller.

Et putain, qu'est ce que c'était bon.....

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Jeudi 13 décembre 4 13 /12 /Déc 02:28

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Jeudi 13 décembre 4 13 /12 /Déc 01:48

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Ça c’est passer lorsque j’étais à l’internat j’avais 18 ans à l’époque.

Au réfectoire un soir je fais la connaissance de 2 mecs de 3eme année, un brun plutôt costaud et un blond de taille moyenne. On s’sympathise en bavardant un peu et à la fin du diner ils m’invitent à venir faire un poker dans leur chambre. Ne sachant pas trop y jouer mais les trouvant plutôt cool je ne refuse pas.

- T’as qu’à venir après 22h, après le passage du surveillant dans les couloirs…

- Ok…

En attendant l’heure je me douche et révise un peu mes cours. A 22h30 je frappe à leur porte.

- Vas-y entre…

Bien que se soit une chambre avec leur propre lit, ils l’ont aménagé comme un petit salon, possédant chacun un fauteuil pour regarder la télé avec entre les 2 une petite table ronde. Le blond se redresse et me tends la main en me disant.

- Cool… sert m’en 5…

S’en me méfier je lui sers une poigné de main. Me la tenant fermement, sans lâcher prise il me la dirige sur son entre-jambe. Là, sans avoir eu le temps de réagir le brun costaud se lève, me fait une clé du bras gauche et me bâillonne la bouche d’une main en me disant :

- Chuuuut…. Tais toi… si t’es sage tous se passera bien…

Je tente de me débattre mais le blond qui me tien encore le poigné me gifle de son autre main et me dis :

- T’as entendu c’qu’il t’a dit ? reste tranquille et ferme la sinon…ben sinon… tu risque de passer un sale ¼ d’heure t’as compris ?

J’acquiesce d’un signe de tête, il me lâche alors la main, dégrafe son pantalon et sort sa bite à demis molle. Le costaud toujours en me maintenant par le bras m’oblige à me mettre à me mettre à genoux et en enlevant sa main de ma bouche me dis :

- Suce-le…

Restant figé sur mes genoux le blondinet me prend par la tête et me fait basculer sur sa queue.

- Suce-moi…

De ma main libre je me repousse en arrière en criant en signe de désapprobation mais aussi par le mal de mon bras tenu fermement derrière le dos par le brutos qui me remet sa main devant la bouche puis le blondinet me voyant récalcitrant dit :

- Bon ben si tu veux pas comprendre on va passer à la vitesse supérieur…

En peu de temps qu’il ne faut pour le dire je me retrouve bâillonné avec une chaussette scotchée dans la bouche et les poignées ligotées derrière le dos d’une corde relié à mon cou pour bien me les tenir le plus haut possible. Ne pouvant plus rien faire et dire je ne peu que subir ma mise à poil. Pendant que l’un d’eux découpe mon T-shirt d’une paire de ciseau l’autre m’enlève le pantalon les chaussettes et les chaussures. Puis vient le tour de mon caleçon qu’ils déchirent violemment me retrouvant ainsi complètement nu. Les 2 mecs se rasseyent face à moi, ils m’inspectent de bas en haut et voyant ma queue recroquevillé sur mes couilles le blond me dit d’un air moqueur.

- Et ben dis donc… t’as pas été gâté par dame nature toi… pour le coup on va t’appeler p’tite bite…ha, ha, ha !!!...mais avant tous tu va apprendre à obéir…

Puis s’adressant à son pote :

- A toi de jouer… donne-lui sa 1ere leçon…

A ce moment je panique et prend peur car je le vois défaire sa ceinture, pétrifié, ne pouvant parler je fais non de la tête l’implorant des yeux de ne pas faire ce qui lui avait été demandé mais il se place derrière moi et m’assène un coup de ceinturon sur le cul. Comme tout un chacun d’instinct je me refuges comme je peu dans un coin de la chambre pour éviter d’autre coups mais le blond me reprend en mains, m’installe sur ses genoux, et reçois alors 5 grand coups de ceinturon sur les fesses de la part de son pote.

Bien que beuglant, mes cris son étouffé par la chaussette dans ma bouche et je pleur de douleur.

Suite à ce traitement le costaud me replace à genoux entre les cuisses de son pote. M’enlevant mon bâillon il me dit d’un air tranquille :

- Bon… ben maintenant que tu as reçu une correction tu va devenir plus docile n’est-ce pas ?

Reprenant à peine mon souffle je lui fais un oui de la tête.

- Très bien… alors vas-y suce moi…

Sans me laisser le temps de réagir le costaud qui est derrière moi me prend par le cou et me bascule sur sa bite en me disant :

- Allez… suce le…

M’appliquant du mieux que je peu je reçois néanmoins quelques gifles pour m’obliger à sucer comme il le désir.

- Mieux que ça p’tite bite… lèche… voila… maintenant suce… aspire… c’est bien p’tite bite… tu commence à savoir sucer… continu…

Il se fou à poil et en relevant ses cuisses me dis :

- Lèche moi le cul p’tite bite… vas-y… enfonce ta langue dans mon fion… hummm… Ouaiiii… c’est bon…

Après une alternance de bouffage de cul et de suce je dois passer à la bite de son pote pendant qu’il s’occupe de mon trou du cul en m’enfonçant un doigt. Me sentant serrer il m’enduit la rondelle de gel et sans précaution aucune il m’encule. La rentrée de son gland m’arrache un cri de douleur malgré la bite de son pote dans ma bouche et je reçois une claque sur le cul encore endolorie par les coups de ceinturons.

- Ta gueule p’tite bite…

Me voici pris en sandwiche, une queue dans la bouche et une autre dans le cul. Je me fais ramoner le fion violemment par ce blond en rut pendant que l’autre me baise la bouche. Sans me prévenir le costaud que je suce me joui dans la bouche, ne m’y attendant pas je recrache son foutre en toussant et le blond ne tarde pas à me remplir le cul de son jus. Ils me détachent en me disant :

- Bon allez… c’est bon maintenant casse toi…

Reprenant mes affaires sous le bras je rejoins ma chambre en passant par la douche pour me laver de toute cette souillure. Le lendemain j’invoquais une monté de température auprès de mon prof principale affin de rester cloitré dans ma chambre pour ne pas rencontrer mes 2 lascars mais le surlendemain je n’ai pu faire autrement que d’aller en cours. Au déjeuner les voici qui se joignent à moi.

- Alors p’tite bite… ça va ? on t’as pas vu hier…qu’est-ce qui t’es arrivé ?

Me sentant en sécurité en public je ne réponds pas et baisse les yeux.

- Hey p’tite bite... regarde moi et répond moi quand j’te parle…

- Foutez-moi la paix…

- Ho ! mais c’est que tu te rebifferais on dirait…

- Non mais maintenant que vous vous êtes bien amuser c’est bon… lâchez moi…pauvre taré va…

Mon dieu ! Que n’avais-je pas dit là !!!!! Je le sus aussitôt le soir même car tous d’2 firent irruption dans ma chambre.

Habilement je suis ligoté et bâillonné sans avoir le temps de dire ouf…

- Alors comme ça on est des pauvres taré ? et bien puisque c’est ça tu va apprendre à être correct…

Là, le blond me couche sur le ventre en me tenant bien sur mon lit pendant que je reçois 10 coups de ceinturon sur le cul de la part du costaud. Je me dandine tant bien que mal sous la douleur des coups et mes cris étouffé par le bâillon. La sentence fini je suis mis à genoux adosser sur le bord du lit, le blond se tien face à moi, il me débâillonne et me dit :

- Alors ? on est toujours des pauvres taré ? regarde-moi quand j’te parle p’tite bite…

Il a un sourire moqueur et visiblement satisfait de me voir les yeux rempli de larmes il déboutonne son pantalon, baisse son slip à mi-cuisses et me tends sa bite sous le nez.

- Allez p’tite bite suce moi la queue…

Devant ma résistance il me gifle en me disant :

- Tiens… ça c’est pour t’apprendre à obéir… maintenant écoute moi bien… tu va dorénavant obéir à tous les ordres que je te donnerais, à la moindre désobéissance de ta part tu recevras 5 coups de ceinturon de plus que ta sentence initiale… ce soir tu en es à 10 coups donc la prochaine fois se sera 15 coups puis 20, puis 25 etc.… à toi de voir… soit tu préfère obéir de ton plein gré soit tu préfère te faire rougir le cul… alors ? que décides-tu ?

Devant cet ultime choix j’ouvre ma bouche en signe d’approbation à lui obéir.

- Et bien voila… tu vois c’est pas compliquer… allez suce maintenant… voila c’est ça… avale la bien…hummm… tire la langue et lèche moi les couilles… hummm Ouaiiii… maintenant remonte le long de ma tige… hummm…. C’est bon ça…je pense que tu va faire une bonne salope et un bon vide couilles…continu à pompé…voila… c’est bien…

Le costaud qui à sorti sa bite est en train de se branler devant le spectacle, le blond m’ordonne de le sucer aussi, maintenu par les cheveux je passe de bite en bite en me faisant baiser la bouche. Le costaud est le 1er à jouir en se branlant et m’asperge le visage de son foutre pendant que je suce le blond qui lui aussi ne tarde pas à venir en me giclant dans la bouche. Bien que j’en avale une petite partie je recrache le reste en suffoquant et en toussant.

- Hey !!! faut pas recracher la crème comme ça !!!… bon pas grave pour aujourd’hui mais la prochaine fois tu avale la sauce compris ?

Il me détache et ramassant mon T-shirt il s’essuie la teub avant de me le balancer au visage.

- Tiens p’tite bite nettoie toi la gueule et tous c’que t’a recracher avec et demain soir tu viens avec nous rejoindre dans notre chambre.

Le lendemain je frappe à leur porte portant mon T-shirt taché de sperm sécher, ils sont déjà en slibard bien ancré dans leur fauteuil.

- Approche p’tite bite…déshabille toi mais garde ton T-shirt… une salope doit toujours rester souillé de foutre… à genoux et caresse nous la bite…humm… je vois que tu es devenu un peu plus docile… la leçon d’hier t’as servi à quelque chose au moins…

Je m’occupe donc à caresser leur bite que je sens peu à peu gonflé sous le tissu de leur slip, le blond m’ordonne de le sucer, je lui sors alors sa teub et commence à le pompé.

- Hummm… voila… c’est ça… avale la bien… oufffffff…. Oui comme ça… tu commence à bien maitrisé maintenant… vas-y lèche… c’est bon la bite hein ?

Le costaud s’est débarrasser de son slip et se paluche la queue en me regardant, le blond m’ordonne de le sucer aussi.

- Vas-y salope… pompe moi bien…

Pendant que je suce le blond se met derrière moi pour m’écarté les fesses, crache sur ma rondelle et y introduit un doigt, il me travaille un peu le fion avant de m’enculer. Ça y est… il se place bien devant mon cul, je sens son gland me caresser le trou et force le passage ce qui m’arrache un cri de douleur.

- Ta gueule p’tite bite… t’es pas là pour beuglé mais pour encaisser les coups de bites…met toi bien dans le crâne que tu n’es qu’un vide couilles et bon qu’à te faire baiser… allez… bouge ton cul maintenant… allez bouge !... enfonce toi mon pieu dans ton cul… travaille toi le fion…allez !!!... ramone toi bien la cheminé… voila comme ça… c’est bien… ondule bien du cul

Sous ses ordres j’utilise sa bite comme un god avant qu’il ne prenne les choses en main. Me tenant par les hanches il m’encule à fond et me baise violemment.

- Han, han… hummm… t’as un bon cul de salope… tiens, tiens… prend ça…

Après quelque bonne 10ene de mn à me faire fourrer il laisse sa place au costaud pour se faire sucer.

- Tiens… sens l’odeur de ton cul… allez suce…

Le costaud se déchaine dans mon cul et ne tarde pas à se vider les burnes dans mes entrailles dans un grand râle de plaisir.

- Haaaaaa !!! Haaaaaa !!! putain !!!.... c’est bonnnnnn….. hummm…..

Il reste planté dans mon cul pendant que le blond continu à me baiser la bouche pendant un petit moment.

- Ho putain ! j’vais jouir… t’as intérêt à tout avalé salope…

Je sens son gland doublé de volume avant qu’il ne m’envois sa purée.

- Allez… avale salope, avale… et n’en perd pas une goutte…c’est du bon nectar ça…hummm… hummm…

Je réussi tans bien que mal à déglutir tous son foutre. Le costaud ayant débandé sort de mon cul et me tends sa bite flasque englué de sperm à nettoyé.

- Hummm… allez c’est bon… on a plus besoins de toi tu peu retourner dans ta piaule…

C’est ainsi que j’ai passé le restant de l’année à leur servir de vide couilles, répondant toujours présent à leur demande au minimum 3 fois par semaine. Quelques fois dans la journée lorsque l’un ou l’autre en avait envient ils m’ordonnaient de les suivre aux chiottes ou dans un coin du campus pour se faire sucer ou m’enculer en respectant scrupuleusement la consigne d’avalé leur foutre ou bien de leur nettoyé la bite après chaque enculade.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Mardi 11 décembre 2 11 /12 /Déc 11:46

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Ce jour là, avec mon frère cadet, notre copain Robert et son frère, nous nous étions rendus comme souvent sur un terrain vague situé sur une hauteur à proximité d'un ancien fort qui avait sauté lors de la guerre avec tous ses occupants et qui était transformé en mausolée.

Le terrain était parsemé de cratères, probablement des trous d'obus, d'un diamètre de deux à trois mètres et d'une profondeur de un à un mètre cinquante. Nous nous installions à plat ventre sur le flan d'un de ceux-ci pour observer les mouvements des avions sur l'aéroport militaire tout proche.

Comme souvent, petit à petit, nous en sommes venus au sexe. Nous avions décidé d'une séance de masturbation et Robert avait proposé de nous faire branler chacun notre tour par les autres. C'est son frère qui s'était proposé pour être le premier bénéficiaire.

Nous lui avions baissé la culotte et le slip pour mettre à nu son sexe déjà érigé, quand mon frère nous a prévenu de l'arrivée d'un homme. André s'est levé en remontant ses vêtements pour voir de quoi il s'agissait. Nous n'étions pas à l'aise. Nous n'avons pas demandé notre reste, nous avons repris nos vélos et nous sommes partis. Nous nous sommes moqués d'André en lui disant que s'il s'était redressé, c'était pour montrer son pénis au bonhomme.

Le soir en me masturbant dans mon lit, j'ai repensé à la scène de l'après-midi et je me suis demandé ce qui se serait passé si nous avions continué. Je me suis senti un peu plus excité que d'habitude.

Le lendemain j'ai entraîné mon frère au même endroit. Je l'ai un peu émoustillé, et nous en sommes venus à sortir nos sexes et à nous caresser l'un l'autre. Le même homme est arrivé. Mon frère l'a vu.

— Attention! a-t-il dit.

Et il a lâché ma queue. J'ai gardé la sienne en main.

— Continue...

Comme il était bien excité, il s'est exécuté. Notre visiteur s'est approché jusqu'au bord du trou et s'est arrêté. Il a sorti sa bite en nous regardant et il s'est masturbé. Elle m'a paru énorme. À chaque mouvement, on voyait sortir un bout tout rouge. À ce moment, mon frère a joui et m'a lâché. J'ai continué moi même. J'étais habitué. Quand j'avais des relations avec d'autres, ils jouissaient avant moi et n'avaient plus envie de continuer. C'était un peu frustrant. J'étais obligé de me finir seul. Par la suite j'ai compris que c'était un avantage.

Pendant ce temps, notre voyeur continuait à se satisfaire. Cela m'excitait terriblement de le voir et j'ai éjaculé. Il a joui pratiquement en même temps que moi, projetant son sperme très loin. Il a de suite rentré son sexe et il est parti. Le tout s'est déroulé sans prononcer une parole.

Le jour suivant, je ne sais plus comment j'ai fait pour me débarrasser de mon frère et des copains, mais toujours est-il que je me suis rendu seul au terrain vague. J'étais à peine en place qu'il est arrivé. J'étais debout au fond du trou. Il s'est arrêté sur le bord comme la dernière fois. Puisqu'il était là pour voir, je n'ai pas hésité une seconde et j'ai descendu ma culotte et mon caleçon. J'étais terriblement bandé. Ma queue me faisait mal. Je l'ai prise en main et j'ai commencé à me masturber. Il a sorti la sienne et a fait de même. Très vite, il est descendu doucement dans le trou. J'ai eu un peu la trouille, mais je n'ai pas bougé et j'ai continué.

Il est venu s'agenouiller devant moi. Il a écarté ma main, a pris mon sexe et m'a masturbé doucement, continuant de se branler de l'autre main. C'était sublime. Je ne sais pas pourquoi, mais cela n'avait jamais été aussi bon avec mes copains. Je sentais mon plaisir monter en flèche. J'ai cru devenir fou quand tout à coup il a pris ma verge dans la bouche. J'ai tenu à peine quelques secondes et j'ai joui comme un dément. Il m'a gardé en lui et a recueilli ma semence. Je croyais que le plaisir ne s'arrêterait jamais tellement il renaissait à chaque instant et à chacun de ses mouvements.

Quand j'ai été calmé, il s'est rajusté et m'a quitté comme la veille.

Il est évident que je n'en suis pas resté là et le lendemain j'y suis retourné. Quand je suis arrivé il était déjà là, mais pas tout a fait au même endroit. Il était près d'un trou plus profond dont trois des parois étaient verticales. Dans l'une d'elles, il y avait une petite plate-forme qui formait comme un banc à une soixantaine de centimètres du sol. Nous sommes descendus et il m'a fait mettre debout sur cette banquette. Il a détaché ma ceinture puis m'a enlevé la culotte tout en me caressant les jambes. Mon slip a suivi. Il a continué de me cajoler partout, sur les jambes, l'entrejambe, les fesses, la poitrine sous ma chemise. Il a joué un peu avec mon sexe, puis l'a pris en bouche en continuant ses caresses.

J'étais dans un état indescriptible. Quand il a senti que j'approchais du point de non retour, il a cessé ses attouchements et m'a fait asseoir. J'ai immédiatement compris ce qu'il voulait. Au stade où j'en étais, j'aurais fait n'importe quoi. J'ai avancé les mains et j'ai à mon tour détaché son pantalon. Je l'ai fait glisser sur ses cuisses. Il ne portait pas de dessous et toute sa boutique m'est apparue. C'était encore plus impressionnant. Pourtant je me rendrais compte plus tard qu'il n'avait rien d'exceptionnel. Son cylindre était parcouru de veines saillantes et le gland complètement dehors. Sa tige sortait d'une touffe de poils importante et la gaine de ses couilles était aussi couverte de poils.

J'ai osé la prendre en main et j'ai rapidement trouvé la méthode pour recouvrir et à nouveau découvrir la tête avec la peau. C'était super de manipuler cet engin plutôt que les modestes choses habituelles qui disparaissaient presque dans une main fermée. J'avais peine d'en faire le tour avec une seule main et je me suis rapidement aidé de la seconde. Je l'ai masturbé longuement. J'ai pensé que mes copains auraient déjà craché depuis longtemps. De temps en temps, il poussait un petit gémissement.

À un moment, j'ai senti qu'il prenait encore du volume et durcissait plus. Sa verge palpitait dans mes mains. Il m'a alors fait coucher sur le flanc et s'est étendu à côté de moi le tête vers les jambes. Il a repris ma pine en bouche. Cette fois, il a été beaucoup plus actif. Par moment, il entrait même les boules. Il a placé les main sur mes fesses et les malaxait au rythme des mouvements de sa bouche.

Sa queue était à ma portée et je l'ai prise en main. J'ai recommencé mes mouvements de masturbation comme avant notre changement de position. Je sentais le plaisir monter en moi. Je me suis aperçu que je faisais des mouvements de hanches pour aller et venir dans sa bouche. Il me tenait ferme les mains toujours sur mes fesses. Et j'ai joui comme jamais je ne l'avais fait. Il a recueilli jusqu'à la dernière goutte de ma liqueur. Lui-même a alors éjaculé, m'envoyant les premiers jets sur le visage, le reste se répandant sur mes mains.

Quand nous avons repris nos esprits, il m'a fait mettre debout. Il était devant moi. Il a sorti une serviette et délicatement m'a essuyé le visage et les mains. Il a pris mon sexe débandé entre le pouce et l'index et doucement, délicatement m'a dégagé le gland poisseux de mon sperme. Il a passé sa langue sur celui-ci pour nettoyer toute trace. Je n'ai pas aimé. Après la jouissance, mon gland était super sensible et c'était plus un désagrément qu'une caresse.

Il a alors remonté son pantalon sur son sexe aussi au repos et m'a quitté comme précédemment sans toujours prononcer un mot.

Le soir je me masturbais en repensant à l'après-midi, jeunesse oblige. Je me demandais si la prochaine fois j'allais oser prendre sa queue en bouche comme il avait fait avec la mienne.

Il n'y a jamais eu de prochaine fois. J'ai eu beau retourner au terrain vague, je ne l'ai jamais plus rencontré.

 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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