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fan de histoires de mec

Lundi 4 novembre 1 04 /11 /Nov 17:51

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J'adore aller à la piscine, pour nager, mais surtout pour mater les beaux mecs musclés en slip qui moulent leur grosse queue. Là- bas, il y a quelques rebeus, j'adore ça, les racailles bien viriles qui sont en fait tendre comme des agneaux. Donc cet été, j'étais parti à la piscine, il faisait très chaud et j'avais besoin de me rafraîchir, mais surtout de mater, dès que je suis arrivé au bord de l'eau, je l'ai vu, un bogosse, de 30-35 ans, brun, peau mate et yeux d'un noir profond, il avait des beaux abdos luisant avec l'eau ruisselant puis son slip noir, qui moulait bien une bite qui m'intéressait. Bien qu'il était presque nu, je le déshabillai du regard, ce ne fut pas long, mais j'aimais regarder ses formes d'athlète. Je restais jusqu'à ce qu'il parte pour se doucher, c'est à dire, 1h environ après mon arrivée dans la piscine. Je le suivis. Il alla dans les douches, des douches communes. Je me plaçais un peu plus loin pour me doucher et pouvoir le regarder, quand il s'aperçut que je le matais longuement. Il m'a souri comme personne ne me l'avait fait, d'ailleurs, ça m'a filé une érection légère. Il me dit :

-Alors je te plais ? Tu n’arrêtes pas de me mater.

- Bah, euh, non pas tellement.

- Ne me racontes pas d’histoires, j’ai bien vu que tu me regardais. Mais moi aussi depuis tout à l’heure je te mate et j’espérais bien que tu me rejoignes. Je m’appelle Karim et toi ?

- Grégoire.

Il m’a fait signe de le suivre, nous avons été dans une cabine. A l’intérieur, nous enlevâmes notre boxer. Nos queues, encore toutes mouillées par l'eau de la douche étaient raides comme un piquet. On n’a même pas dit un seul mot, il m'a regardé dans les yeux et je me suis accroupi. En bas, sa queue était encore plus impressionnante, au moins 20 cm et 5cm de largeur, elle était tellement belle que je l'ai attrapé d'un coup et je l'ai bouffé, il poussait des petits cris de plaisir, ce qui m'incitait encore plus à lui pomper la teub, à lui lécher ses belles couilles rasées. Il m'arrêta, il me releva, il me serra dans ses bras et me roula une pelle, je sentais sa langue chaude caresser la mienne, c'était le paradis sur terre. A ce moment, on tapa à la porte :

-Eh les mecs, je peux vous rejoindre ?

Pour toute réponse, Karim ouvrit la porte et un petit minet âgé d'une vingtaine d'années entra dans notre cabine. Il était blond et avait gardé son slip.

-Je m’appelle Christophe.

- Karim.

-Grégoire.

 

A trois dans les toilettes, on était un peu à l'étroit, mais Karim trouva une solution, il s'assit sur le petit banc, écarta les jambes et nous fit l'éloge de sa queue. Il enfila une capote ; alors je me m’assis sur lui et j'enfilais sa bite dans mon cul. Ses petits mouvements de va et vient me faisaient le plus grand bien ; Karim me tenait par les reins et me défonçait le trou, Christophe, accroupi, me branlait tout doucement et me roulait de magnifiques pelles. Puis il prit ma queue dans sa bouche. Je sentais qu’elle se raidissait un peu plus au contact de ses lèvres, sa langue. Nous étions encore tous les trois mouillé et une chaleur nous envahissait de plus en plus à chaque minute. Karim derrière me léchait le cou tout en me dilatant l'anus, il gémissait tendrement ; je le rejoignis pour lui montrer que j’avais beaucoup de plaisir mais bientôt mes gémissements devinrent presque des cris tellement sa queue me besognait. Soudain, il accéléra le mouvement et gémit de plus en plus fort, jusqu'à ce qu'il lâche sa crème chaude en moi. Christophe m'astiquait toujours aussi bien ainsi que sa queue. Karim se retira et s’accroupit à son tour pour pomper Christophe. Lui accéléra le mouvement sur ma queue et je crachai tout mon jus dans sa bouche grande ouverte. Il se leva et vint me rouler une pelle, c'était délicieux!!! Karim le pompait mortellement et il reçut bientôt tout le foutre de Christophe, qui râlait de plaisir, dans la gueule. Karim se releva et vient rejoindre nos langues pleines de jute tiède, nos trois langues se nouaient et se caressaient, on était tous les trois serrés l'un contre l'autre puis on s'arrêta on remit nos slips. Christophe nous appris qu’il était en vacances dans la région donc je ne le revis plus. Quant à Karim, nous habitions la même ville. Inutile de vous dire qu’après ça, on se revit très souvent. Je vous raconterai…

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Lundi 4 novembre 1 04 /11 /Nov 10:10

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Voilà, je savais qu'il allez ce passer quelque chose aux vendanges.

Luc beau mec modeste, grand, mince, cheveux mi long, un brin efféminé.

J'ai 18 Ans et je viens de faire mes premières vendanges dans le beaujolais .

Je suis imberbe, bien fait, une belle bite de 19/5 circoncis rasé comme la raie de

Mon cul qui est naturellement lisse et bien appétissant comme me l'on déjà dit bon

Nombre de mes plans., je suis passif jeune mais avec déjà pas mal d'expérience même si je rest assez timide surtout dans un milieu de pur hetero .

Je vous passe les détails de mon arrivée et installation hors ce flash ...

Le premier soir, présentation de la propriétaire, de sa famille et de l'équipe, des gens de tout âges et tous les milieux, pour un nombre équitable filles et garçons.

Les chefs d'équipes et les porteurs de seaux étaient turcs au nombre de 4, deux âges les chefs et deux porteurs jeunes et superbes, des bêtes de la nature Assam et John le plus beau gosse .

 

Permis mes collègues je remarque surtout Xavier, il a 21 ans, il veux être œnologue et viens pour découvrir ce secteur, moi pour le fric. Je me débrouille pour être près de lui au dortoir et très vite nous échangeons . Nous sommes aussi ensemble pour le premier repas il est craquant, étudiant, mannequin pour un magazine de sport, il est aussi prof de ski . De ses 1,85 il semble hautain et prétentieux , il est blond yeux bleux super bien foutu ... Après le repas nous sommes allé chercher ses affaire dans son coupe sport, monsieur est le seul venu en voiture . Il me propose de faire un tour un soir si nous ne sommes pas trop hs . Je suis complètement bouché bée quand nous rentrons au dortoir, il se met en caleçon pour dormir son corps me fais partir dans des songes ...

 

- eh t es parti ou ?

- euh non . Suis la je ...

- Ben tu vas pas dormir tout habillé non ?

- non mais voilà quoi j'ai pas l habitude

 

Je suis bien con assis sur mon lit, le regard perdu sur le sien pendant que les quelques autres s'affairent à se coucher sans prêter attention à son voisin.

C'est une tape sur la cuisse qui me fais revenir, Xavier me dis de me dessaper et de le coucher, un clin d'œil et il se tourne.

 

J'en profite pour vite me glisser sous les draps et me déshabiller ensuite .

Une bonne nuit en fait a cause du trajet et de la retombée du stress. Personne ne se lave, c'est direct au petit déj et hop au taff. Nous avons pris notre café côté à côté avec Xavier il est doux et très protecteur, je suis sous le charme. Direct il me demande si il peut espérer rester en ma proche compagnie la journée comme la nuit avec encore un clin d'œil et une main caressante sur la cuisse .

 

Superbe journée je suis heureux le travail passe vite l'ambiance est bonne, sauf avec les turcs qui se moquent de moi sans cesse.

Le soir direction les sanitaires, par timidité je laisse passer tout le monde, de plus j'ai perdu Xavier je ne sais pas ce qu'il fait j'ai un peu d'angoisse mais je rentre enfin dans une cabine de douche et bien sur eau froide ! Je suis à enfiler mon pantalon de sport quand Xavier frappe

 

- ouvre c'est moi

Je tourne le loquet il entre et me plaque au mur en m'embrassant, il est propre et changé superbe comme sorti d'un défilé de mode

- il y a une douche séparée à l'étage c'est pour les chefs mais ils vont au camping demain tu viendra avec moi, viens vite manger après on fait un tour en voiture

Un autre baiser et il disparaît . Je prends la direction du réfectoire et je croise les turcs qui me sifflent, ils me rattrapent en courant et chacun d'un côté me mettent une claque sur les fesses en disant " bon appétit avec ton mari"

 

Le repas me semble interminable, Xavier parle avec tout le monde, je n'ai qu'une envie c'est de partir avec lui en voiture comme il me l a dit. En effet alors que certain regagnent le dortoir, d'autre fument et racontent des histoires nous partons Xavier et moi faire un tour avec son coupe sport allemand. Sur la route à la sortie de la propriété nos amis turcs nous font ds gestes équivoques .

- laisse ils sont jaloux mais pas méchant et tu es si craquant c'est normal tu les excite .

Nous prenons un verre au village voisin, la conversation est intime, enfin on peux mieux se dévoiler. Xavier aussi à senti le coup de foudre il a envie de me connaître mieux dans un autre contexte .

 

De retour à la voiture nous nous embrassons a perdre le souffle, il me caresse, passe ses mains sous mes fringues nous sommes chauds l'un et l'autre.

Nous manquons de temps et d'intimité mais il est si chaud qu'il me demande de le sucer dans la voiture. Je me penche pour prendre en bouche sa queue raide propre énorme ... Je le suce avec application et gourmandise et lui me doigte c'est facile car je n'ai pas de slip et je mouille grave .

Il gueule de plaisir, me disant qu'il va jouir vite, qu'il a envie de me faire l'amour qu'il faut rentrer et le ahhhh qu'il prononce d'un son grave s'accompagne de 4 jet de sperme au fond de ma gorge .

 

Je n'ai pas le temps de dire un mot il me roule une pelle et démarre la voiture, nous rentrons au dortoir éclaire par son portable. Il se met au lit nu en ayant pris soin de rapprocher les lits, alors que je m'allonge pour me déshabiller sous les draps, sa main viens serrer ma bite toujours en érection , il me masturbe en douceur, je joui rte vite dans sa main qu'il me donne a lécher caressant mon visage, puis ill s'endormit.

 

Même timing le lendemain, et ainsi pendant une semaine sauf que nous utilisions la douche des chefs ...j'ai pu contempler son corps de rêve, le parcourir avec mes doigts, ma langue mes yeux . J'ai pu me rendre compte mieux de la taille de son sexe 22/6 et ses couilles lisse lourdes, tombantes comme je n'en avais jamais vu, au repos elles dépassaient sa bite de bien 5 cm grosses comme des balles de golf j'adorais jouer les faire rouler les happer, les lécher et par dessus tout les sentir claquer contre les miennes lorsqu'il me pénétrait avec la force d'un turc... Jamais je n'ai éjaculé en me touchant, le plaisir était si fort que chaque fois je jouissais sans me toucher, parfois ma vessie se vidait seule tellement il me labourait le ventre avec sa queue énorme si large, au gland si épais que je pleurais avant de prendre du plaisir, mon trou c'est vraiment ouvert en une semaine je mouillait de plus en plus, étant obligé de me relever la nuit pour évacuer son sperme mêlé à une quantité de mouille impressionnante .

 

Nous fessions l'amour plusieurs fois par jours, je matin nous nous arrangions pour arriver les derniers au petit déj, car je voulais sa queue tendue grosse, brillante avec ses veines prêtez à exploser et se gland qui me fessait si mal à rentrer mais qui me donnait tant de jouissance . Donc fessant traîner, des le dernier sorti du dortoir, il s assaillait au bor du lit et moi, lui tournant le dos je venait m'assoir sur ce monstre enduit de lubrifiant de fortune . Je restait le cul ouvert toute la journée, humide, avide de son sexe qui n'avait pas eu le temps de déverser en moi ses jet de sperme épais . Car cette particularité m'avais bluffé, son sperme était si épais qu'il fessait comme des grumeaux, la première fois dans la voiture je n'avais rien vu car obligé d'avaler directement mais alors qu'une autre fois alors qui me démontait sur le capot de la voitur, il avait jouit sur mon ventre et c'est la que j'avais pour la première fois vu de la purée de sperme.

 

C'est donc le soir, soit sous la duo je que nous reprenions notre pénétration du matin sans aller jusqu'au bout là non plus, il ne me fécondait qu après le dinner au moment de notre sortie tardive . Chaque soir nous croisions les turcs et chaque fois ils nous fessaient des signes sexe, la journée ils passait a côté de moi et me touchaient le cul en disant que je serait leur femelle que j'étais bien ouverte et gourmande. Xavier était en face de moi dans l'autre rangée et il riait, moi j'avais peur. Le dixième jour je ne fit pas attention au fait que Xavier ne soit pas à mes côtés, je parlais avec une copine a qui ses enfants manquaient.

 

Ce n'est que lorsque je pris ma rangée avec le fils de la propriétaire, un mec de 60 ans un peu simple que je réalisait qu'il n'était pas la ! John vont rapidement me renseigner sur le pourquoi. Ton homme est parti sans te dire au revoir, il t a confié à nous ne t'inquiète pas, on va biente protéger.

 

Je ne fut pas très tranquille, sans plus d'explications mais la journée fut douce. Le soir je vint a la douche des chefs espérant le retour de xav, je me savonnais langoureusement lorsque les deux turcs firent irruption dans la douche, nus le sexe dressé comme des gourdins

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Dimanche 3 novembre 7 03 /11 /Nov 14:17

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Je travaille dans un business center où j'occupe un petit bureau. Il y a une bonne ambiance et quand un nouveau locataire arrive, nous organisons un repas apéro afin de faire connaissance. J'avais reçu la convocation pour cet apéro : un nouveau venait de louer un petit bureau individuel. Vers midi, la quinzaine de personnes travaillant ici nous réunissons en salle de réunion où la secrétaire du centre nous présente Marc, un grand black, au moins 1m95, costaud, le crane chauve avec des lunettes carrées. La secrétaire nous présente puis nous trinquons tous pour lui souhaiter la bienvenue. Le repas se passe très bien, et vers 14 heures, je retourne à mon bureau, un peu brisé par le vin rouge qui ne manquait pas à ce repas.

Vers 17h30, le centre se vide, et certains qui veulent travailler un peu plus tard restent. Je sortais de mon bureau faire une photocopie quand je vis Marc s'approcher de la machine à café.

- Le café est vraiment pas terrible ici, lui dis-je, tu veux venir prendre un café dans mon bureau? Ce sera bien meilleur!

Marc accepte volontiers et me suit dans mon bureau où je prépare deux expresso. je suis assis sur mon fauteuil, prépare les cafés, et Marc se tient debout juste à ma droite, ce qui me permet de voir une belle bosse sous son pantalon de costard noir. je remonte du paquet à son visage et constate qu'il me fixe avec un sourire, il a bien vu ce que je matais... Alors, sans passer par quatre chemins, il me dit :

- Allez vas-y, j'ai bien vu que tu en avais envie.

Je lève les yeux sur lui sans rien dire, et il insiste :

- Allez vas-y touche!

Alors, toujours toujours sans rien dire, je le regardai dans les yeux et mis une main sur son paquet. Oh my god! ça avait l'air bien remplis la dedans! Je caressai d'une main son paquet quelques instants, puis baissai la braguette de son pantalon, y passai une main et continuai mes caresses directement contre son boxer. Je lui détachai sa ceinture, déboutonnai son pantalon, qui tomba immédiatement sur ces chevilles, me laissant face à face avec son boxer gris où se dessinait une énorme paire de couilles et sa verge déjà grossie qui tendait son boxer. La bosse ne m'avait pas trompée, il était monté comme un âne! Je continuai de caresser ce paquet du bout des doigts, puis, caressant ses couilles du bout des doigts, je commençai à embrasser sa verge toujours à travers le boxer, dont il avait mouillé le bout au niveau de son gland. Sans plus attendre, je libérai cette énorme queue noire de son boxer, son gland humide, en se libérant, est venu me choquer le visage. Quel morceau, jamais je n'avais vu de si grosse queue de ma vie! Je pris ses couilles entre mes mains et commençait à lui lécher la tige, partant de la base et remontant jusqu'au gland rose et humide. arrivé en haut, je le branlai de ma main gauche, décalottai complétement son énorme gland brillant, et, excité comme une chienne, je me jetai dessus et le pris en bouche, je m'appliquai d'abord à lécher son gland, ma langue caressant chaque centimètre carré de cette peau douce et chaude, et je commençai à pomper plus profond, la bouche grande ouverte, pour accueillir le maximum de son énorme bite, qui devait atteindre tranquillement les 22-23 cm pour un bon diamètre! je me sentais vraiment dominé, il me souriait en me regardant de haut lui limer la queue, et ça m’excitait beaucoup, j'ai alors moi aussi baissé mon pantalon, libérant ma queue dure comme du bois, et continuai à le pomper tout en me branlant.

Maintenant, c'est lui qui donnait le rythme, donnant de petits coups de reins qui me faisait prendre sa queue de plus en plus profond dans ma bouche, j'étais fou d’excitation, à sentir coulisser sa queue entre mes lèvres, sentir son gland chaud et doux sur ma langue. Il accélérait le rythme en me tenant la tête de ses deux mains pour que je pompe à fond, et il me força alors à une gorge profonde, une première pour moi. Je pensais ne pas tenir mais je m'habituai vite et le laissai me défoncer la bouche pendant que je me branlais frénétiquement, son pieu était maintenant complétement raide et il lâchait des petits gémissements en fermant les yeux quand son gland venait frapper au plus profond de ma bouche.

Il se retira alors, et se mis à genoux entre mes jambes, et commença à son tour à me sucer. Il engouffra directement mes 17cm de bite, qui parfois me rendaient fiers, mais qui aujourd'hui me paraissaient un petit jouet à coté du monstre qui venait de me prendre la bouche. Je bandais à fond, me retenant car j'aurais pu éjaculer déjà plusieurs fois pendant que je le suçais. Tout en me suçant, il me caressait les couilles et rapidement vint me titiller la rondelle. J'écartai alors les jambes, en levant une sur mon bureau, et l'autre sur son épaule, lui offrant alors grand ouvert mon petit cul de salope au milieu duquel mon petit anus rose parfaitement épilé attendait qu'on s'occupe de lui.

Pendant un moment, il continua de me pomper la bite à fond en me caressant l'anus du majeur humide qu'il venait de me mettre dans la bouche, puis je sentis son doigt me pénétrer, d'un petit centimètre à peine, et commencer un petit va et viens ainsi peu profond, tout en continuant de me lécher des couilles au bout du gland. Son doigt forçant l'entrée de mon petit cul me donnait tant de plaisir, que c'est moi qui finalement donnai un coup de rein et m'empalai sur son doigt qui pénétra mon anus en entier. Mon beau black me jeta un regard en souriant, et toujours sans rien dire, me mis alors un deuxième doigt et me pénétra ainsi de toute sa longueur. Sa langue vint alors me lécher le bout du gland, redescendit le long de ma tige jusqu'à mes couilles pour descendre encore jusqu'à mon petit trou rose. Il me tenait, affalé sur mon siège, les deux jambes en l'air, pendant qu'il me léchait la rondelle, faisant des cercles autour de mon anus, puis me pénétrant du bout de sa langue chaude. J'étais aux anges, chaque coup de langue me donnait un plaisir fou, j'avais les jambes écartées, attendant la sentence comme une salope en chaleur. Après m'avoir littéralement bouffé le cul encore quelques minutes, il se releva et me mis son sexe en bouche. Je commençai immédiatement un va et viens rapide afin de le refaire durcir au maximum, pendant que je me doigtait le cul frénétiquement, en mettant maintenant 4 doigts dans mon anus déjà complètement dilaté.

Une fois sa bite de nouveau dure, il me fit me lever, me mit face à mon bureau, me plaqua dessus, offrant ainsi mon cul à sa vue, cambré, prêt à recevoir cette énorme queue. Il enfila rapidement une capote puis vint jouer avec sa bite sur mes fesses, me donnant des coups, la faisant coulisser dans ma raie. Je transpirais à fond, super excité au contact de ce sexe chaud que mon petit cul excitait tellement.

Après quelques fessées et quelques coups de gland, je sentis sa queue se positionner sur ma rondelle, je me cambrai au maximum afin de faciliter la pénétration, et je sentis alors son gros gland me prendre le cul, m'arrachant alors un gémissement de plaisir. Il resta quelques secondes sans bouger, le temps que son gland finisse de bien dilater mon anus brulant, puis commença un lent va et viens, de plus en plus profond : chaque fois qu'il se retirait d'un centimètre, c'était pour s'enfoncer de deux de plus au coup suivant, jusqu'à ce que je sente ses lourdes couilles se choquer contre mes petites fesses douces. Quel plaisir de sentir cette énorme queue en moi. Je me sentais complètement dominé, pris en levrette par un mâle, sans autre issue possible que de le vider de son sperme chaud. il me tenait les hanches et me donnait des coups de plus en plus rapides et plus en plus forts, je gémissais de plaisir à chaque coup de burin, et je sentais que mon homme peu à peu montait lui aussi, son corps transpirait à chaudes goutes, son sexe se raidissait dans mon cul et il lâchait des petits gémissements. Il se retira alors, me releva, et m'allongea cette fois sur le bureau, me mit les jambes en l'air contre ses épaules, et m'enfourna sa longue queue de nouveau dans le cul. Il me pilonnait à fond en me tenant les jambes en l'air, et après quelques allez retour, n'en pouvant plus, j'éjaculai à grosses giclées sur mon ventre, sans même me toucher, en laissant s'échapper des râles de plaisir. Il m’étala alors mon jus sur tout le torse, me lécha les tétons recouverts de sperme, puis, la main pleine de sperme, il se l’étala sur la queue et continua à me pilonner, utilisant mon sperme comme lubrifiant. Cette fois c'est lui qui gémissait de plus en plus fort, et après quelques minutes encore à me ramoner la rondelle, il se retira, enleva la capote, et commença à se branler au dessus de mon torse. Je ne voulais pas perdre son jus, je me redressai alors, le branlai à mon tour en lui léchant le gland. Il lâcha soudain un grand râle, alors que je tenais son gland sur ma langue, et je sentis un premier jet puissant et chaud me remplir la bouche. J'avalai une partie, le reste me dégoulinant des lèvres, mais déjà un autre jet me remplissais de nouveau, j'en avalais encore une bonne partie, et retirai sa queue de ma bouche, il m'envoya alors 3 autres jets puissants en plein visage, j'étais recouvert de sperme, il me passa alors le gland sur le visage, me l'enfonçant régulièrement dans la bouche pour que je le nettoie.

Il se rhabilla pendant que je m'essuyais au mieux, en me remerciant pour ce super accueil, ça allait être un plaisir de faire des heures sup' ici! Pour ma part j'étais épuisé, le cul en feu, jamais je ne m'étais fait prendre par une si grosse queue, quel bonheur! je le remerciai à mon tour en lui disant de vite revenir boire un café! Il me mis une bonne fessée, et me dit "tu as vraiment un petit cul de chienne, merci! J'ai hate de remettre ça!"

Depuis, régulièrement, Marc passe boire un café, et je lui vide les couilles en bonne salope soumise, mettant mon petit cul à disposition de son énorme queue.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Samedi 2 novembre 6 02 /11 /Nov 23:56

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J'avais envie de me faire un mec...

... Enfin, qu'un mec s'occupe de moi.

Ayant entendu parler d'un cruising dans ma ville (j'habite Nancy), j'ai pensé que ce serait peut-être une bonne occasion, plutôt que de m'emmerder avec des rendez-vous foireux sur internet. Les chats m'ont apporté plus de lapins que de bonnes rencontres...

Je suis assez timide et me suis un peu forcé pour ouvrir la porte du sex-shop, mais j'avais trop envie. Le printemps fait monter la sève, et la mienne était prête à déborder.

J'en menais pas large, heureusement que le mec m'a bien accueilli, très sympa, cool, me proposant de l'aide si j'en avais besoin.

— Merci, je vais déjà faire un tour.

J'aurai bientôt vingt-huit ans, mais j'ai encore du mal à accepter mes fantasmes homo et les SM, qui sont assez récents. Du coup, j'ai foncé tranquillement vers les rayons de DVD sur ces thèmes, situés près de la porte d'entrée du cruising.

Je sentais ma queue gonfler en regardant les jaquettes, mais surtout en entendant ce qui se passait au sous-sol...

Je retourne au comptoir pour avoir des explications, essayant d'avoir l'air aussi naturel que possible, et surtout de ne pas rougir. C'est très simple. Le truc est ouvert de onze heures du matin à une heure du matin. Y'a cinq films différents, trois cabines, on peut sortir faire une pause et revenir. Tout ça pour dix euros.

OK, je me décide à franchir le pas. Seule limite pour moi, safe sex.

— Avec ou sans vestiaire ? c'est le même prix.

— Heu, avec.

— Un petit flacon de poppers avec ?

— Oui (je ne savais pas si j'en aurais besoin, mais peut-être que oui).

— Vous allez près de la porte, je vous ouvre, les casiers sont juste à droite.

— Merci.

Ouf ! j'y suis.

Dans un premier temps, je décide de ne garder que jeans taille basse et débardeur, qui laissent voir la ceinture de mon jock, mon nombril et quelques poils qui le rejoignent.

L'entrée est chaude. Grand écran plasma avec film de cul bien bandant (c'était pas une surprise), même si j'en avais pas besoin. Ce que j'avais vu à l'étage ayant largement suffi à me donner une trique d'enfer.

Trois mecs, dont un pas mal du tout, le regardaient tout en se caressant au-dessus de leur pantalon. Soft, constatai-je un peu déçu. Ils se sont à peine retournés quand je les ai salués. Du coup, j'ai poursuivi mon chemin.

Une, deux, trois cabines, toutes occupées par des mecs en attente, chacune avec un film différent.

J'arrive au sling, ça me fascine. Je sais bien sûr à quoi ça sert, mais pas si j'en serais capable. La première fois que j'avais vu un fist, j'avais été effrayé. Dans tous les cas, je m'étais préparé avec un bon lavement, même si mon cul ne devait accueillir qu'une queue. Le scat, c'est vraiment pas pour moi.

Plus loin, la dark-room avec croix de Saint-André, la boîte à fantasmes déborde... j'en peux plus. Fais demi-tour, me désape, ne gardant que mon jock, mes chaussettes (avec clé du casier dans l'une, et flacon de poppers dans l'autre) et mes grosses pompes.

C'est aujourd'hui ou jamais. Malgré mon 1,80 m pour 70 kilos, je ne suis pas fier, mais fais comme si tout allait bien en redescendant.

Les mecs se sont lâchés entretemps, ont déballé des queues déjà bien raides, mais je n'ose toujours pas y aller pour les sucer. En fait, je préférerais un tête-à-queue à deux seulement.

Y'en a un qui se retourne pour me dire :

— Hum, nettement mieux comme ça, tu te joins à nous ?

— Plus tard, je réponds en souriant.

Malgré son look cuir, il a l'air doux, ce qui me surprend.

Nos regards se sont croisés assez longuement, il me plaît. J'ai l'impression que je pourrais aller loin avec lui, mais ne me sens pas prêt à le faire devant les autres.

Donc, j'avance et regarde les films diffusés dans les cabines. C'est varié, celui de la trois m'accroche, et comme elle est libre, je m'y pose et ferme la porte.

Là, je déballe enfin mon sexe qui n'en peut plus et a même mouillé le jock. La machine à fantasmes est lancée à cent à l'heure. Sur l'écran, ça suce et ça baise, des modèles de rêve bien sûr.

Je commence à caresser seulement mon gland après avoir complété ma mouille de salive, j'aime quand c'est bien lubrifié, et faire durer le plaisir.

Une scène de fist maintenant. Je lâche ma queue pour ne pas jouir de suite, tellement ça m'excite. En tournant la tête sur la gauche, je me rends compte qu'il y a deux glory-holes. Et une queue qui s'est pointée...

C'est anonyme, j'y vais, la saisis, elle est déjà bien dure et se dresse fièrement.

Je chope une capote et du gel dans les distributeurs, et l'enfile sur ce membre tout en caressant et soupesant les couilles. Perso, j'aime qu'on me les gobe, qu'on me les lèche. Malheureusement, rares sont ceux qui s'y attardent, ne pensant qu'à la bite.

La capote est en place, si ça se trouve, le mec ne s'en est même pas rendu compte.

Honnêtement, je suis pas fan de latex, mais ne suis pas suicidaire. Là, je réalise une partie de mes fantasmes, en toute tranquillité d'esprit. Et cette queue, je la bouffe, elle est toute rouge, timidité ? lol ! je continue à caresser aussi ses burnes. En même temps, j'enduis de gel mon trou déjà dilaté, et cette queue impatiente.

Je sniffe un coup, me retourne, et présente mon anus, j'en ai trop envie. J'écarte mes fesses et m'empale gentiment au départ. Mais je suis tellement excité que mon cul ouvert a vite fait de tout prendre, c'est passé tout seul, et c'est très bon.

Je me fais défoncer, suis comblé. Cette queue qui me taraude, les râles que je perçois assez rapidement, ont raison de moi, et je jute après mon enculeur. Waouhhh !

Je me retire, ainsi que la capote à laquelle je fais un nœud avant de l'envoyer à la poubelle.

Mes giclées ont maculé le sol, je ne veux pas laisser comme ça, respect. Quelques feuilles d'essuie-tout, prêt à éponger, quand toc-toc à la porte.

Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai entrouvert. Le mec qui me plaisait est face à moi, mon jour de chance, j'imagine.

— Je peux entrer ?

— Euh... oui.

Là, il m'attire à lui et me roule une pelle monumentale. Puis me remercie, avant de me demander si j'en voulais encore. Tu parles, moi je sais pas, mais ma queue s'était déjà redressée, ce qui n'est pas dans ses habitudes de récupérer aussi vite.

— Pourquoi pas ? j'ai dit.

— OK, il a répondu. À quatre pattes.

— Tu rigoles ?

— J'en ai l'air ? On va jouir encore, je te le promets. Je vais t'apprendre des trucs, fais-moi confiance.

J'avais un bon feeling et me suis exécuté.

— Lèche ! ordonna-t-il.

— Quoi ?...

— Ton jus, par terre. Tu vas pas laisser cet endroit dans un état pareil.

— Ben non, j'allais essuyer, j'ai dit en montrant le salopin que j'avais en main.

— Garde-le pour plus tard et lèche !

Là, il n'avait plus l'air de rigoler. Son regard était devenu dur et très autoritaire.

Je ne savais pas si c'était du lard ou du cochon et hésitais à l'envoyer balader. Mais j'ai pensé que j'allais peut-être découvrir quelque chose, et qu'il serait toujours possible de dire stop plus tard.

Et c'est ainsi que je découvris l'humiliation de lécher mon sperme dont je découvrais le goût pour la première fois.

Tandis que je m'appliquais, il m'encourageait.

— C'est pas mal, continue. Il en reste là, fit-il en montrant du doigt.

Quand j'ai eu fini, il m'a fait redresser et m'a embrassé. Je me suis laissé aller à son doux baiser, contrastant avec son autorité précédente. En plus, il me caressait les seins et les fesses. Petit à petit, j'en ai fait autant. Et me suis rendu compte qu'on bandait dur tous les deux.

Sans un mot, il s'est baissé et m'a sucé jusqu'à ce que je l'arrête.

— Non, pas tout de suite, j'ai dit.

— T'as envie de quoi ?

— Sling ?... murmurai-je.

— Expérimenté ?

— Non, j'aimerais bien...

— OK, fit-il après une seconde de réflexion.

Je ne me reconnais pas, je suis lâché. Il m'en faut, mon cul réclame, veut être exploré, pris, défoncé ? je ne sais pas bien, mais c'est l'occasion.

Le fait d'être dans cet endroit, avec du monde pas loin, me rassure. S'il y avait un problème, je gueulerais et ce serait fini.

Donc, il m'installe sur le sling, une autre première fois.

Il met des gants et du gel.

— Détends-toi un max, il me dit. Et commence à mettre des doigts dans ma rondelle.

De son autre main, il me caresse le ventre et les seins.

Moi, j'ai mon flacon, prends une bonne sniffée, et m'abandonne.

— Vas-y, mets-la moi ta main, remplis-moi.

— On va prendre le temps qu'il faut, sois pas si pressé.

Et il remet du gel, assouplissant encore mon cul affamé. Je ne sais pas combien de doigts il y a maintenant et m'en fous. Le plaisir et la douceur de ses caresses intérieures me submergent. Et ça pousse. Je sens monter une envie de pisser et le lui dis.

— Pas grave, il me répond, pense à rien, juste à ce que tu ressens.

Un autre petit snif, j'étais dans un monde inconnu. La pression sur ma vessie l'a fait se vider sur moi, avec bonheur. Les plaisirs se mélangeaient. Cul, prostate, vessie, chaleur de ma pisse... Expérience étrange, libération. Plus rien ne comptait à part la main qui me fouillait. J'avais chaud dans tout mon corps.

Quelques mouvements plus tard, c'est mon jus qui giclait, m'inondant le torse.

Il me fallut quelques instants pour reprendre mes esprits et ouvrir les yeux. Un grand sourire m'accueillit.

— Bienvenue au club !

— Pardon ?...

— Tu l'a pris ! me dit-il en me montrant son poing, avant de m'embrasser.

J'en avais les larmes aux yeux de joie, j'avais réussi. Je l'ai remercié, et embrassé, et serré dans mes bras, et remercié encore.

Depuis ça, on est ensemble aussi souvent que possible, et il me fait découvrir des tas de trucs orientés SM, mais ça, c'est une autre histoire.

Que vous pourrez découvrir très bientôt...

 

 

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Jeudi 31 octobre 4 31 /10 /Oct 22:17

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C’est samedi, je suis seul ce weekend. Rémi est en visite chez sa grand-mère, Julien fait un stage aux USA et Gérard est parti pour la semaine en randonnée avec des membres de son club de marche. Je ne sais comment satisfaire mon envie de baiser et surtout, de me faire baiser…

Il y a bien la boîte gay du coin mais je trouve ça un peu ringard: me faire enculer dans un coin sombre par un type qui me lâche dès qu’il a pris son pied…Non merci! J’en veux plus, beaucoup plus!

Je me rends cependant dans cette boîte de merde… en espérant y trouver une occase… Je connais le barman et je sais qu’il peut me proposer un bon plan:

— Pierre, t’as pas une super affaire pour moi?

— Maxime… Je crois que j’ai ce qu’il te faut. Attends… j’appelle un excellent ami… Allo? Thibaut? … Oui … Dis-donc, j’ai devant moi un ravissant garçon qui n’a pas froid aux yeux … Tu veux une description précise? … Il doit se mettre à poil? OK…

J’ai compris! Je passe dans l’arrière-boutique et j’enlève tous mes habits. Pierre me rejoint et commence son examen. Je lui donne mes mensurations. Pierre donne les renseignements attendus:

— Ce garçon mesure 1m76, il pèse 68 kg. Il a 22 ans. Il est blond comme les blés. Il n’est pas poilu… sauf un mignon triangle un peu plus sombre que ses cheveux bouclés. Il a les yeux bleus… Son haleine est fraîche voire troublante, ses dents sont blanches et bien rangées… Son ventre est bien plat; ses hanches fines et son petit cul ferme et un peu cambré. Son anus est très souple, il doit être en mesure de prendre de beaux calibres… Tu as ce qu’il faut? Goliath? Ah, c’est son surnom! … Un géant de deux mètres? Ouah! … Sa bite? Très jolie; bien droite … Oui, il bande déjà! Belle peau bronzée partout, pas de veine trop saillante, bonne à décalotter… mignon gland tout rose … Il a une légère odeur de garçon très propre… Un doigt dans le cul? Aucune trace de merde… parfaitement préparé… Ses couilles? Deux délicieux bonbons très mobiles sous une peau très douce… Pas de poil dans la raie ni sur les couilles ni sur les cuisses, juste un léger duvet blond sur les fesses et les jambes. Pas de barbe ni de poils sous les bras… Son allure est sportive, tu pourras compter sur sa souplesse et son endurance… Il te convient? Je te prépare le colis? En slip? Rien d’autre? OK! … Tu envoies quelqu’un le chercher? Parfait! Bonne soirée!

Pendant cette conversation, j’ai subi des examens approfondis et agréables; je suis heureux car tout cela sort de l’ordinaire, je n’aurai pas à me faire prendre le cul sans originalité. J’ai hâte de rencontrer ce Goliath… et d’autres…

J’attends, en slip, le type qui doit me transporter chez ce Thibaut. Pierre m’a expliqué que cet hôte est propriétaire d’une très riche demeure et qu’il organise souvent des orgies dans les sous-sols; il paraît même que «l’outillage» y est très abondant…

La voiture est là! Je sors par une porte dérobée… heureusement car ma tenue aurait pu tenter de nombreux convives de cette boîte de pédés! Le chauffeur a du mal à regarder la route tant ma présence l’intéresse… Mon arrivée est saluée par une dizaine de personnes plus ou moins vêtues. Le maître, Thibaut, est en peignoir blanc, assis sur une sorte de trône. Il règne sur cette cour de dépravés avides d’obéir à ses fantaisies. Soudain, je vois Goliath! Le géant est totalement nu. Mon regard se porte tout de suite sur sa queue, énorme et pas encore dure… Impressionnant et attirant…

— Préparez-le!

Un mec m’oblige à rester debout sur une table basse, jambes écartées; il est muni d’une grosse paire de ciseaux et il commence à découper mon slip… Dans l’entrejambe d’abord, puis le long des cuisses jusqu’à la ceinture… J’ai maintenant une jupette, ouverte sur les cuisses et qui laisse voir une bonne partie de mes attributs sexuels. Le tailleur n’en reste pas là: il débite les deux pans du slip en bandelettes très fines. Je sens, chaque fois avec une certaine crainte, les lames froides des ciseaux se poser sur mes couilles toutes chaudes ou ma bite de plus en plus dure. Je reste cependant intact; ce n’est pas le cas de mon slip de coton qui est transformé en mini-jupe à lanières. Ma queue sort fièrement de ce nouvel habit. Je suis, par ailleurs, obligé d’ingurgiter deux à trois litres d’eau; de quoi bien m’encombrer la vessie…

— Pour la suite, il ne doit pas bander. Apporte-le et branle-le dans ma bouche.

Je suis alors soulevé; je reste debout alors que mes pieds sont posés sur les bras du trône et mon sexe tendu est positionné devant les lèvres du maître. Un complice se met à me masturber très violemment et très rapidement. Mes couilles sont secouées contre la main du branleur au point d’en avoir mal et je répands vite ma semence dans la bouche largement ouverte du gourmand qui ne manque pas de sucer les restes accrochés à mon gland. Ah, que c’était déjà bon!

— Savoureux! J’espère que tu sauras nous en nourrir encore ce soir!

Je débande et je suis dans l’état attendu.

— Maintenant, en avant la musique! Tu dois danser dans le rythme en te trémoussant au maximum. Allez!

Sur une musique entraînante, au milieu d’un cercle de types qui ont tous la bite dans la main, je commence timidement ma danse du ventre.

— Plus forts, tes déhanchements! Bouge ton cul! Saute! Écarte tes cuisses! Montre-nous tout!

Je m’enhardis et mes mouvements, révélateurs de mon anatomie, déclenchent une belle masturbation collective. Mes hanches impriment un balancement apprécié de mes fesses. Les lanières de coton voltigent, ma bite et mes couilles suivent leur mouvement. Mon ventre est agité de violents soubresauts. Mes reins se creusent et recueillent des jets de foutre tandis que des mains s’emparent de mes organes pour les triturer et provoquer une belle érection.

— Bravo! Tu t’en es très bien sorti! C’était beau! Regarde tout ce qu’ils ont giclé pour toi!

J’en ai plein le corps et le sol en est jonché…

— À quatre pattes! Lèche!

Je m’exécute et je ramasse avec ma langue de belles quantités de foutre encore gluant que je dois ensuite apporter dans la bouche du maître. Il se délecte non seulement du sperme de ses acolytes mais aussi de ma bouche, de ma langue et de ma salive. Je bande encore plus mais personne ne s’en préoccupe… Après tout, c’est mieux ainsi car je dois maintenant passer dans les mains de Goliath!

Le moment est alors prodigieux. Il me prend dans ses bras, m’allonge sur la table, se charge de lécher toutes les souillures dont mon corps est enduit, me donne un baiser très profond puis crache dans ma raie. Sa langue puis ses doigts pénètrent, délicatement, dans mon cul; il me prépare à une généreuse introduction mais me donne d’abord sa grosse bite à sucer. Elle est si grosse que j’ai quelque difficulté à avaler le gland puis une petite partie du bâton! J’imagine déjà la douleur que je vais devoir supporter!

Il me retourne sur la table, mon cul est largement offert et l’enculade commence. J’ai très mal mais ses lents aller et retours me permettent de souffler un peu et de m’écarter l’entrée. Je sens l’énorme morceau de chair dure qui pénètre de plus en plus loin dans mon corps et je me demande comment je vais aussi supporter une pareille longueur. Il semble qu’il s’est joué du premier virage de mes boyaux car je sens son ventre dur contre mes fesses. Il m’a tout mis!

— Soulève-le! On va l’attacher!

Il me prend dans ses bras et, sans déculer, me tient par les hanches, bien collé à son corps. Des sangles nous entourent le bassin, les cuisses, les jambes et le torse. Il n’a plus besoin de me porter; je ne fais plus qu’un avec lui. Je suis empalé sur ce magnifique zob et mes pieds ne touchent pas terre car il est beaucoup plus grand que moi.

— Marche!

Goliath commence à avancer; lentement d’abord, à chacun de ses pas je sens sa bite qui s’enfonce encore plus. Il accélère sa marche et le mouvement saccadé s’accentue. Il me fait très mal et j’aime ça! Les spectateurs se régalent et mon mastodonte commence à jouir… en me tenant la queue.

— Ah! Ouihhhhhhhh! Tu es trop bon!

Il s’assied et les sangles sont défaites. Le gros chibre sort dans un merveilleux flop de sa retraite serrée. Mon cul dilaté est vite l’objet de langues récupératrices. Je suis branlé par plusieurs mains à la fois et je finis par jouir, pour la seconde fois, dans une profusion de convulsions.

— Pendez-le!

Cet ordre me fait frémir! Les types me saisissent, m’enlèvent ce qui me reste de slip, m’attachent les poignets et les chevilles à de beaux bracelets de cuir. De grosses bandes de peau m’entourent le ventre et les cuisses; je suis ainsi suspendu à un seul câble qui est actionné au moyen d’une poulie fixée au plafond. Ma situation est peu confortable, mon bas-ventre est le point le plus bas de mon corps et je me retrouve vite les fesses près du plafond, allongé dans les airs: j’ai une vue plongeante sur un tas de mecs à poil qui s’agglutinent en dessous, admirant ma position. Ma bite et mes couilles pendent lamentablement vers le bas. C’est ce que guettent mes admirateurs, bouches grande ouvertes.

— Pisse! Crache!

L’ordre est bref mais ne peut pas être plus clair et plus réjouissant: pour moi d’abord car ma vessie est pleine à en éclater et pour les autres qui sont prêts à en recueillir le liquide.

— Avalez le merveilleux jus d’or qui vous vient d’un ange!

Ils se battent pour récupérer la moindre goutte de mon nectar; je pense avec une certaine satisfaction que ce sont eux, les lopes! Ils sont tels les oisillons à attendre la becquée! Je leur crache dessus en visant du mieux que je peux. Quelle n’est pas ma joie lorsque mon mollard tombe pile sur une langue à humecter! Mon jet de pisse est expédié dans une mêlée indescriptible; les corps sont luisants de mon breuvage; ils glissent les uns sur les autres; ce que les bouches n’obtiennent pas directement, les langues vont à sa recherche sur la peau des autres…

Et ils aiment ça, les salauds! Heureusement, mon envie est telle que je peux satisfaire la gourmandise de chacun… Thibaut est resté sur son trône, il a écarté les pans de son peignoir et se tripote généreusement la bite en regardant le spectacle. Il appelle un garçon pour qu’il lui redonne dans la bouche mon urine encore chaude et légère.

Je suis soulagé, ils me descendent un peu. Mon corps est à la hauteur de leurs visages. Ils me tirent la queue qui raidit bien vite, me triturent les couilles, me lèchent l’entre-cuisses, m’embrassent à pleines gorgées de pisse et de salive, enfin me descendent d’un nouvel étage où je suis cette fois à la hauteur de leurs bites. Mes jambes sont maintenues très écartées. Je n’ai plus qu’à supporter un défilé de bites qui n’ont aucun mal à pénétrer, l’une après l’autre, dans mon anus encore bien ouvert par le fameux morceau de Goliath.

Mes boyaux sont noyés de foutre qui dégouline sur mes couilles parfois gobées par une bouche encore avide.

Je suis dépendu et empalé sur la bite de Thibaut qui n’attendait plus que ça pour jouir à grands cris. C’est Goliath qui se charge d’agiter mon corps sur le pieu du maître. La jouissance s’empare vite de l’enculeur qui hurle sa satisfaction.

C’est l’épuisement pour tous qui sonne mon retour à la boîte de pédés. J’enfile mon «slip». Mon chauffeur, qui n’a pas participé aux ébats, profite de ma situation provocante pour me tâter. Il m’ordonne de me pencher pour sucer son paquet largement sorti de sa braguette. Je dois ensuite m’asseoir sur sa queue raide et humide. Je tiens le volant tandis qu’il garde ses pieds sur les pédales et sa bite dans la pédale. Les freinages, accélérations, défauts du revêtement de la route et mon mouvement vertical ont raison de lui. Il jouit au point qu’il cafouille avec les vitesses de la voiture, qui cale. J’en profite pour me dégager et remballer ses outils dans son pantalon. Moi, je reste quasi-nu et dégoulinant; tant pis pour le tissu des sièges!

Mon arrivée auprès de Pierre ne passe pas inaperçue. Les clients avachis, cul à l’air ou bite molle et poisseuse, sont trop usés pour m’agresser mais Pierre, stimulé par ma tenue étonnante et excitante, nullement soucieux de mon état de grande fatigue, me plie sur une table pour m’enculer avec vigueur. Je ne peux pas lui refuser ça, c’est grâce à lui que j’ai vécu un moment exceptionnel.

Il a joui comme il le voulait! Maintenant, je peux m’habiller et rentrer chez moi, me doucher et m’allonger, nu, sur mon grand lit douillet… en pensant à Goliath…

 

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Jeudi 31 octobre 4 31 /10 /Oct 16:35

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Ce que j’adore par-dessus tout, c’est de passer mon temps au Sun City, cet immense sauna situé en plein cœur de Paris. Étant mignon et bien foutu, j’adore me pavaner devant les mecs qui sont souvent en rut. Il ne faut pas y aller un dimanche après-midi où c’est tellement fréquenté qu’il n’y a plus assez de serviettes et les mecs ne font finalement que tourner en rond. Il faut y aller un soir en pleine semaine… là, on a plus de chances de rencontrer de vrais mecs, parfois même hétéro qui sont juste là pour se vider.

Je savais qu’aguicher les mecs finirait par me jouer des tours et ça n’a pas loupé ce lundi soir.

J’avais décidé de prendre du bon temps car j’étais off le lendemain. Ce que j'adore faire, c’est de me montrer en me douchant dans les douches ouvertes, alterner hammam et douche. Après, une fois que les mecs m’ont remarqué, ils me suivent dans l’espoir de baiser avec moi… mais je les fais poireauter car je ne baise qu’avec celui qui me plaît le plus.

Ce soir là, personne ne me convenait vraiment. Du coup, je ne voulais que m’amuser. Je les aguichais du regard mais lorsqu’ils rentraient dans une cabine pour m’inviter à les rejoindre, je passais devant sans même les regarder. J’avais déjà remarqué un rebeu, la trentaine, regard pervers et mâchoire carrée qui me tournait autour. C’est le genre de mec qui choppe facilement. À lui, je décidais de faire comme aux autres. Plusieurs fois je lui rendais son regards pervers par un regard de salope; lorsqu’il crut que c’était gagné, je passais devant sa cabine sans le regarder… ce jeu m’amusait car je voyais qu’il commençait à pester. Je le croise devant la cabine à côté du fumoir, même scénario. Je passe devant sans le regarder. Intérieurement je riais….

Lorsque je suis arrivé vers le sauna, je sentis une main me choper par la nuque. En un rien de de temps, je me suis retrouvé traîné jusqu’à la cabine à côté du fumoir devant tous les mecs qui nous regardaient, surpris. Je me suis retrouvé projeté à l’intérieur de la cabine. Je vis que mon agresseur n’était autre que le rebeu. Il avait le regard féroce. Je me relève, il me fout une claque qui me fait tomber sur le matelas :

— Tu crois quoi ? Tu crois que tu peux m’allumer comme ça, sale pédé ?

Il se jette sur moi, m’arrache la serviette et me fourre direct sa queue dans la bouche. Je n’ai même pas le réflexe de protester tellement je suis encore sonné par la claque. Il me fourre la bouche en me tenant par les cheveux d’une main et me tenant les poignets d’une autre. J’ai mal à la gorge tellement il me défonce avec sa queue. J’en pleurais mais l’excitation de la situation commence à me faire bander. Il me retourna comme une crêpe sur le ventre et commence à me peloter le trou. Il me malaxe les fesses bien fort et me les écarte en crachant dessus. À plusieurs reprise, j’ai essayé de me redresser mais mes tentatives ont été calmées par des coups dans le dos.

— Tu ne bouges pas la pute ou je te défonce la gueule !

Il commence par me rentrer trois gros doigts directs, ce qui me fit hurler… Dehors, j’entendais des gens se regrouper et s’agiter derrière la porte. Il faut dire qu’il n'est pas discret lorsqu’il m’insulte ou me fout des coups. Il s’en fout, me fourre les doigts dans le cul. Il commence à vouloir entrer sa bite directe. Je le suppliais :

— Mets un capote… non pas sans capote…

Il ne m’a pas écouté. Cette fois-ci, je me laissais pas faire. Je contractais mes fesses au maximum et même ses coups sur les fesses ne me faisaient pas démordre. J’ai senti qu’il me lâchait enfin. Je l’entendais fouiller dans sa petite trousse et déchirer la protection d’une capote. J’essayais de me relever mais il me bloque aussitôt. J’entendais le bruit du plastique qui se tirait, signe qu’il a mis la capote. Il se ré-appuye sur mon dos et me plante sa bite d’un coup. Mon trou déjà meurtri ne sent que la douleur. Il me baise pendant une bonne demie-heure en me traitant de tous les noms… « Alors la pute ? On allume et on n’assume pas ? » « T’es mal tombé salope, avec moi tu vas morfler ». Il continue à me défoncer dans la même position. Je me demandais combien de temps mon calvaire allait durer. Il accélére de plus en plus. Chaque coup subi résonne dans la cabine. Je finis moi-même par gémir. Il me défonce littéralement. Mon trou a déjà cédé depuis un bon moment et s’ouvre sans problème à chaque passage.

D’un coup, je l’ai senti m’empoigner par les cheveux à me faire mal et il se plante une dernière fois brusquement en moi. Je sentais sa queue se contracter 5 à six fois. Il a enfin joui. Il se retire de mon cul. Il m’ordonne de ne pas bouger. Je l’entendais prendre ma serviette, s’essuyer avec, me la jeter sur le visage. Je l'entendais ensuite mettre sa propre serviette autour de la taille, ouvrir la porte et s’en aller. Je me relevais aussitôt pour fermer la porte… il y avait six sept mecs devant la porte, attirés par les bruit. Je réajustai ma serviette et sortis direction la douche. En sortant je vis une capote pas déroulée par terre.

En marchant, je sentais quelque chose couler le long de ma jambe. Je me suis dis que c’était du gel… Mais arrivé dans la douche, je me suis rappelé qu’il n’a pas utilisé de gel… Pris de panique, je pousse le plus fort possible et tout le liquide sort. Je le recueille dans ma main. C’était un liquide épais et très blanc… Le salaud, il m’avait inondé le cul ! Au lieu de prendre peur, je me suis aussitôt mis à bander…. J’ai à peine eu le temps de me branler que la porte de ma cabine s’ouvrait brusquement… il était encore là, le regard encore plus méchant !

— Dépêche-toi de te laver ! Suis moi, on se casse d’ici !

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Mercredi 30 octobre 3 30 /10 /Oct 09:44

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Bonjour, je m’appelle Jean, je suis en deuxième année de fac, j’ai un petit appart et mes parents jusqu’à présent m’aidaient financièrement. Cet été mon père a dû quitter son emploi et du coup, il ne peut plus m’aider. J’ai trouvé un petit boulot le soir: je nettoie une petite superette à côté de chez moi et je remplis les gondoles.

Je finis en général vers minuit, et en rentrant je me remets à bosser mes cours, je ne me couche pas avant 2 ou 3 heures du mat. Je suis crevé et dans la journée j’ai du mal à me tenir éveillé.

J’ai un copain de fac que je retrouve plusieurs fois par semaine soit chez lui soit chez moi. Quand nous sommes seuls, c’est la fête du sexe, on commence en général en douceur par des caresses et puis rapidement nous nous laissons emporter par la fièvre et nos ébats deviennent volcaniques et nous laissent épuisés et heureux.

Ce soir Marc, mon copain, doit passer chez moi, je suis heureux de le retrouver mais complètement crevé; enfin quand il sera là, j’oublierai mes soucis. On sonne, j’ouvre, c’est lui. Une bonne pelle baveuse des mains baladeuses et nous voici partis pour un bon après-midi de baise. Nous sommes allongés sur mon lit et Marc me suce lentement, comme j’aime, en me léchant les couilles de temps en temps. Je m’abandonne à ses caresses.

— Jean?

— Oui.

— Jean qu’est-ce qu’il y a? Cela fait 10 minutes que je te suce et ça a l’air de te faire autant d’effet que la lecture du code fiscal de l’année. Qu’est-ce qui ne va pas?

— Rien Marc je suis un peu crevé.

— Raconte moi, qu’est-ce qui t’arrive?

— Rien, rien vraiment.

Marc m’a pris les couilles dans sa main et commence à me les serrer.

— Jean si tu ne me dis pas ce qui se passe je vais serrer tes couilles jusqu’à te les écraser! et ce faisant il serre un peu plus et ça devient douloureux. Alors?

— Rien je te dis.

Il serre un peu plus et la douleur devient intolérable.

— Alors?

— Bon, papa a perdu son boulot cet été et il ne peut plus m’aider pour l’appart, j’ai trouvé un petit boulot dans l’épicerie d’à côté mais je suis crevé je finis de bosser vers minuit et en rentrant je bosse mes cours, j’en peu plus! dis-je en éclatant en larmes.

Marc est venu s’allonger près de moi, m’a pris dans ses bras et me donne un baiser.

— Je ne vais pas te laisser tomber mec. Tu te rappelles l’année dernière, c’est toi qui me prêtait du fric. J’ai trouvé un boulot un peu spécial mais ça rapporte pas mal si tu veux je te présente le mec qui me fait, comment dirais-je «bosser».

— C’est quoi comme boulot?

— Bon je vais chez un mec et il me filme alors qu’il me chatouille, qu’il me branle ou me donne des fessées. Il commercialise la K7 sur Internet et me file une bonne prime. Si tu veux je te présenterais.

— Ça va pas non? et si on me voit sur Internet?

— Si on te voit sur Internet c’est que le mec est allé chercher ce site et que donc il est pédé, t’auras pas de réflexions va. Si tu veux je te montrerai la K7 qu’il a fait avec moi, ça te tente?

— C’est bien payé?

— Mille euros la séance.

— Wouah, tout ça pour une fessée.

— Bon je vais chez moi je te rapporte la K7 on regarde ensemble et si tu veux je prend rendez-vous avec ce mec.

— Ok.

Marc est allé chez lui, il revient rapidement je mets la K7 dans le magnéto on s’installe et on regarde.

Je vois un mec dans la cinquantaine qui le reçoit discute avec lui, lui demande de se foutre à poil. Un fois à poil, il passe des bracelets en cuir aux poignets et aux chevilles de Marc, puis il attache Marc à un banc et commence à lui donner un fessée sévère, je vois le visage de Marc sur l’écran qui indique que ce n’est pas du chiqué, il morfle un max.

Les positions varient, au long de la K7 puis on voit Marc allongé sur le dos dans un lit et le mec qui le branle et arrête à chaque fois que Marc va jouir. Marc finit par le supplier de le laisser jouir. Le mec continu comme si de rien n’était, un gros plan montre les couilles de Marc gonflées à bloc et qui ne demandent que de se vider. Enfin le mec reprend sa branle plus rapidement et on voit 5, 6 jets crémeux sortir de la queue de Marc et venir s’écraser sur sa poitrine. Le mec étale le sperme de mon pote lui roule une pelle et sur ces images le mot fin apparaît.

Marc se tourne vers moi et me demande ce que j’en pense.

— Je ne sais pas, je suis troublé.

— Ça pour être troublé, t’es troublé! Regarde, tu bandes comme un cerf.

Je ne me suis pas rendu compte mais ma queue soulève mon boxer, Marc la dégage et commence un pipe d’enfer je me laisse aller et j’explose dans sa bouche.

Après cette séance, Marc m’a demandé si je voulais rencontrer son mec. J’ai accepté, rendez-vous est pris pour cet après-midi. J’ai passé un jeans moulant un t-shirt noir moulant et des baskets. Marc passe me chercher nous nous rendons chez le mec.

Un mec qui me fait un drôle d’effet, à la fois sympa et bizarre, je sens que le courant ne passe pas avec lui, j’ai envie de partir mais comme Marc a pris rendez-vous je fais un effort. Le mec me regarde, fixe son regard dans le mien et tout de go me dit: «À poil, qu’on juge la marchandise». Cela me déplait souverainement et je lui rétorque que je ne suis pas de la marchandise. "Bon comme tu veux mec, si t’as besoin de fric et que tu veux tourner avec moi, il faudra que tu fasses ce que je te dis, si ça te déplait, je ne te retiens pas." Je regarde Marc avec un air désolé.

— Pardon Marc mais je préfère partir.

— Bon Jean, tu me laisses 5 minutes, je te rejoins dehors OK.

Je sors dans le jardin, j’ai l’impression d’avoir fait une grosse connerie, mais je me sens libre ne même temps. J’allume un clope, Marc me rejoint, m’embrasse et me dit:

— Ce n’est pas grave, il ne t’en veut pas et te trouve mignon. Si tu changes d’avis il te recevra de nouveau.

Nous rentrons, les jours passent je suis de plus en plus crevé, Marc me surveille du coin de l’œil et me file du fric quand je suis pris à la gorge.

— Jean, Jean, Jean!

— Quoi?

— Jean tu t’es endormi pendant le cours. Le prof t’a pas vu, mais il y a des potes qui se sont marrés en te voyant roupiller.

— Marc j’en peux plus, rappelle ton mec je suis prêt pour une K7.

— Ok Jean je l’appelle.

Deux jours plus tard Marc me dit que nous avons rendez-vous l’après-midi même. Je suis pris au piège mais je ne peux plus reculer. On va chez le mec, je sens la tension qui monte pendant la route. On arrive chez le mec qui nous reçoit avec un grand sourire.

— Alors on a changé d’avis petit arrogant?

— Oui, Monsieur, j’ai vraiment besoin d’argent.

— Appelle moi Alexandre et pas Monsieur. Bon on va descendre au sous-sol pour la séance OK?

— OK.

J’ai la gorge nouée, on descend et on arrive dans une vaste pièce chauffée: il y a un lit, un banc, celui où j’ai vu Marc recevoir sa fessée. Des lanières avec des anneaux pendent du plafond, un siège de chiottes dans un coin. Alexandre m’a regardé découvrir le lieu.

— C’est là que ça va se passer, me dit-il.

— Ah au fait, je te présente Olivier, c’est lui qui va nous filmer.

Un mec sympa avec un sourire doux me tend la main. Dans un coin un bureau, Alexandre me le montre et me dit:

— Là-dessus, il y a 1000 euros pour toi, on fait le film et ils sont à toi. Tu refuses, tu te barres et on en reste là, alors?

— OK j’accepte.

— Bon Olivier commence!

Olivier se place derrière la caméra et fait signe OK.

— Bon Jean le film a commencé, la dernière fois que tu es venu tu étais un peu arrogant, aussi j’ai décidé de t’humilier un peu pour te rabattre ton caquet.

Ce disant il ouvre un porte et fait rentrer 3 jeunes mecs dans les 20 ans qui s’installent sur des chaises.

— Voilà, je leur ai demandé de venir pour assister à ton dressage. Allez hop, à poil!

J’hésite à me foutre à poil devant tous ces mecs, quand une claque me tombe sur les fesses. J’enlève mon t-shirt, des sifflets admiratifs soulignent mon striptease.

— Allez, vire-moi le fute maintenant!

Je défais la ceinture ouvra la braguette et fais glisser mon fute, dans un coin Marc m’encourage avec un bon sourire où je lis de l’amour.

— Approche!

Je m’approche d’Alexandre, il me baisse mon slip et commence à me tâter, les seins le ventre les couilles, la queue, il me retourne me tâte les fesses, les écarte. Je sens son doigt qui s’attarde sur ma rosette je suis rouge pivoine; les 3 mecs me regardent avec gourmandise. Alexandre me pousse vers eux et leur dit de juger de la marchandise.

Le premier mec passe ses mains sur moi arrive à mes couilles les soupèse dégage mon gland, et enfile son doigt sans prévenir dans mon trou m’arrachant un petit cri.

— Pas mal le mec!

C’est son jugement. Je passe ensuite dans les mains des 2 autres mecs, le dernier me branle en disant qu’il veut juger le matos, le salaud me fait bander, j’ai honte mais il faut y passer.

Alexandre a repris le fil des opérations.

— Allonge toi sur le sol cuisses écartées!

Il va vers un meuble sort une poche en caoutchouc, la remplit d’eau à un robinet et reviens vers moi.

— Je vais te nettoyer ton petit cul...

Il enfonce une canule dans mon cul et ouvre un petit robinet, je sens l’eau chaude me remplir le ventre. Il retire la canule te m’enfonce un plug en me disant qu’il faut que je garde cette flotte le plus longtemps possible. Il a commencé à me masser le ventre pour bien répartir l’eau, je lui dis que je n’en peu plus, mais il me dit que ce n’est pas assez et me masse de plus belle comme s’il voulait nettoyer mes intestins en profondeur.

— J’en peux plus! je lui dis.

— Ok, lève toi! Tu vois les chiottes? Tu peux te vider.

Olivier s’est approché du siège et attend. J’ai la honte de ma vie mais je ne peux pas faire autrement mon ventre me torture et réclame de se vider. Je m’approche du siège enlève le plug, mes intestins se vident je me cache le visage. La voix d’Alexandre claque:

— Tu t’es bien vidé?

— Oui.

— Bon viens on va finir le boulot!

Il me montre un coin douche me demande de me courber. Il enfile une canule sur le tuyau de la douche et me la rentre dans le cul. Il ouvre le robinet l’eau rentre dans mon cul et sort, quand l’eau qui sort est claire il arrête.

— Bon te voilà propre! Viens ici.

Il est assis sur un banc me fait allonger sur ses cuisses, Olivier fait le tour pour me prendre sur toutes les coutures. Premières claques sur les fesses, il n’y va pas de main morte: je sens mes fesses chauffer.

— Tiens, regarde!

Je tourne la tête et vois mes fesses rouges.

— Bon après cet échauffement on va passer à autre chose.

Il attache mes poignets à un mousqueton fixé au plafond, il prend une tapette genre raquette de ping-pong et les coups commencent à tomber. Je me tortille mais je ne peux m'échapper. Il arrête au bout de 5 minutes. Mes fesses sont brûlantes, Olivier les filme de près.

— Les mecs ça vous dirait de lui filer un bonne fessée?

— Oui! hurlent-ils en chœur.

Je les avais oubliés sous les coups, je vois qu’ils bandent tous dans leur jeans.

Le premier se lève et prend une large lanière de cuir et commence à me frapper les fesses et le bas du dos. Une dizaine de coups, de plus en plus forts. Le deuxième prend la relève, il fait attention de ne pas frapper trop fort, ouf tous ne sont pas des sadiques. C’est au tour du troisième: lui commence à me frapper doucement puis les coups sont de plus en plus fort et deux fois le bout de la lanière frappe mes couilles, la deuxième fois je manque de m’évanouir sous la douleur.

— Bon ça suffit! a hurlé Alexandre.

Alexandre me détache, et m’allonge sur le banc, il m’attache les poignets et les chevilles aux pieds du banc, il prend une tapette en cuir et commence à me frapper en prenant son temps à coups réguliers. La douleur liée à la chaleur de me fesses me fait hurler. Je le supplie d’arrêter mais il continue. Le temps n’existe plus, mes larmes coulent sur me joues, je le supplie de s’arrêter.

— OK mec je crois que ça va faire une K7, on va finir.

Il me détache, me retourne me voilà allongé sur le dos sur le banc, de nouveau il m’attache. Je suis exhibé aux yeux de tous, les spectateurs ont la trique. Alexandre commence à me branler, doucement je trique rapidement je sens le foutre monter, Alexandre s’en aperçoit et arrête un moment puis il reprend. Cinq fois, il arrête au moment où je vais jouir... Mes couilles me font mal, je n’ai qu’une envie c’est qu’il me laisse jouir.

— Alexandre s’il te plaît, laisse-moi jouir j’en peux plus, laisse-moi jouir.

— Bon, tu as été un bon gars, j’accepte.

Il recommence à me branler, je sens les contractions dans mon bas-ventre, je crie en lâchant une série de jets impressionnante, je suis vidé mais Alexandre continue de me masser le gland avec mon jus. C’est insupportable quand on a joui comme ça avec autant de violence de se faire masser le gland qui est devenu hyper-sensible.

— Arrête Alexandre s’il te plaît.

— Ok c’est fini!

Il me roule une pelle et me détache. Les spectateurs applaudissent, c’est fini. Marc est venu m’embrasser, il me glisse à l’oreille:

Je vais m’occuper de toi, viens.

Il me conduit dans le coin douche, fait couler l’eau, et me lave en douceur, ensuite il me sèche avec une serviette en faisant attention de ne pas frotter trop fort sur mes fesses, puis il me passe une crème sur les fesses, la douleur semble s’atténuer mais reste bien réelle. Alexandre à renvoyé les 3 spectateurs. Nous sommes maintenant quatre, Alexandre, Olivier le caméraman, Marc et moi.

— Tiens, prends ton argent sur le bureau tu l’as bien mérité. Si tu veux revenir tu peux, la prochaine fois je ne te ferai pas mal, promis.

— Merci.

Je prends l’enveloppe, Marc passe son bras sur mes épaules et me dit:

— Allez, on y va.

J’ai du mal à marcher, je m’assieds avec prudence dans la voiture, je suis dans un autre monde. Marc me dit de regarder ce qu’il y a dans l’enveloppe, j’ouvre je compte les billets, il y a 1500 euros! Je n’en reviens pas.

J’ai repris les cours 3 jours après, Marc m’apportait les cours qu’il avait pris pour moi.

Un matin le facteur m’a apporté un paquet. J’ouvre, c’était une K7 avec un petit mot d’Alexandre: "Pardon pour t’avoir fait souffrir, mais c’était le contrat. Comme promis quand on s’est quittés, la prochaine fois si tu veux, je ne te frapperai plus. Bonne vidéo!"

Je mets la K7 dans le lecteur et je me vois arriver dans cette salle, j’éprouve un mélange d’effroi et de satisfaction, j’arrête la K7 et décide d’attendre Marc pour la regarder avec lui...

 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Jeudi 24 octobre 4 24 /10 /Oct 23:36

xgay.coco.fr-1100

Salut,

 

Je m'appelle Julien. je vis vers Paris, j'ai la vingtaine, 180 75, brun cheveux rasés, mal rasé, plutôt bien fait ...

 

Pour placer la scène, je suis en études encore en dernière année. Depuis la rentrée je sens qu'un nouveau me matte tout le temps, dès que je me retourne il est quelque part, bref..

Jeudi dernier j'étais seul dans une des salles en train de bosser sur un projet perso, la salle étant composée de deux immenses tables en longueur sous lesquelles sont posées différentes boites remplies de bordel... Tout ca pour en venir au point que je bossais là. En revenant de pause, toujours à la bourre, je me pose, reprends mon taf etc jusqu'à ce que je sente quelque chose sur ma cuisse, comme une main, je regarde, merde c'est une main !

 

Je flippe un peu et regarde sous la table, et là sur qui je tombe, le premier année en question ! Il avait des yeux grands ouverts dans ma direction, la main qu'il a reposé sur ma main en la remontant et en me fixant toujours.

 

Je savais pas trop quoi faire, je le connais même pas et il me touche déjà le paquet sous une table de cours..

Le fait est qu'il a de jolies mains fines et habiles, et sa bouche qui s'entrouvre pour laisser glisser sa langue doucement commence a me mettre le barreau ! Sa main insiste dessus et il commence a approcher sa bouche de ma braguette, leche mon futal, me regarde de temps a autre... J'en peux plus ! je lui recule la tête, ouvre ma braguette, sort ma queue tant bien que mal et lui attrape la tete par les cheveux pour l'approcher devant . Je suis monté assez normal, 18 cm qui passent bien.

Sauf que le petit a beau avoir l'air gourmand, sa gorge est encore bien serrée et je gaère à aller tres profond.

 

Je le laisse faire un peu quand je vois qu'il etouffe à moitié.

Il agrippe ma queue avec sa main en me têtant le gland, les yeux rivés dans les miens. c'est adorable sexy et tout, mais je peux pas trop m'attarder non plus.

Personne ne s'est pointé et c'est une chance. Je lui appuie de plus en plus derrière la tête pour qu'il s'enfonce, il m'excite grave !

je l'agrippe alors par les tifs, lui semble en sortir limite en survie, les yeux rouges, la gueule pleine de bave !

Je lui demande si il kiff, sa réponse s'est résolu a un hochement de tête et l'air totalement stupide, eclaté.

 

J'en pouvais vraiment plus à ce stade, je lui ai encore enfilé la gueule 5 - 6 min, il résistait même plus ... Et la jsais pas si il a serré les levres ou quoi, mais j'ai pas pu me retenir je lui ai agrippé les cheveux et lui ai balancé mon jus dans la bouche et a moitié sur la gueule vu qu'il était plein... Juste après je lui ai dis qu'on se verrai plus tard et qu'il se casse pour l'instant.

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Mercredi 23 octobre 3 23 /10 /Oct 13:05

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Mon pote Florent, 26 ans, m'invite régulièrement à jouer à la Play chez lui. Il habite encore chez ses parents, tout comme son grand frère Nicolas qui doit avoir une petite trentaine. Un samedi après-midi où on jouait, le père de Florent m'interpelle :

-"Dis moi Léo, je sais que tu as posé du carrelage chez tes parents, ça te dirait de te faire de l'argent et de bosser à la maison pour la salle de bains? On a le carellage à refaire, je peux te payer au black.

-"Bien sûr Monsieur, pas de soucis. Je peux venir le week end prochain."

-"Oui, c'est très bien. On sera en famille avec Florent mais il y aura Nicolas à la maison. "

On finit tranquille notre partie de Play puis je rentre chez moi, content de pouvoir me faire de l'argent de poche.

Arrive le fameux samedi, je pars à la maison de Florent. J'arrive et sonne à la porte d'entrée:

-"Bonjour c'est Léo.

-"Salut Léo." C'était Nicolas, son grand frère. Il était habillé en tenue de foot un sac de sport à la main.

-"Je te laisse, je pars à mon entraînement de foot, je reviens dans 2 heures maxi, fais comme chez toi en attendant."

Je me dirige donc vers la salle de bains où le père de Florent m'avait tout préparé, et me mis au boulot tandis que j'entendais Nicolas partir en voiture.

Au bout de 2 heures, les 3/4 de la salle de bains étaient recouvertes du nouveau carrelage, j'étais fier de moi car ça rendait bien. J'entendis la porte d'entrée s'ouvrir.

-"Je suis rentré Léo" Cria t-il depuis le salon. Puis je l'entendis s'approcher.

-"Whaouh t'as bien bossé. C'est nickel!

-"Merci. Ca a été ton entraînement?

-"Oui, oui, je suis claqué et crade mais je me suis bien dépensé. Du coup, je vais devoir attendre pour la douche.

-"Ben j'en ai encore pour une petite heure je pense. Après, j'ai fini du côté douche donc ça me gênera pas dans ce qui me reste à faire.

-"Ok, ben je vais me doucher alors car j'ai transpiré à mort".

Cool, à vrai dire, je ne pensais pas qu'il allait accepter...mais pouvoir matter un beau sportif se doucher tout en bossant, ça le faisait grave!

Je me remets au boulot, en pleine phase de jointement... Nicolas revient dans la salle de bains, une serviette à la main et des vêtements propres.

-"C'est vraiment du bon boulot que tu as fait, on reconnait pas la pièce!" Me dit il tout en enlèvant son t-shirt.

-"Merci" . Il avait un très beau torse, bien dessiné, quelques poils au niveau des téton, et un léger filet depuis le pubis qui remontait vers le nombril. Il enleva ses chaussettes puis son short, se retrouvant en boxer noir. Ses jambes étaient légèrement velues, il avait de bonnes cuisses musclées...de bonnes jambes de sportif quoi! Je mattais mais discret car j'avais pas envie qu'il me capte....il était encore de dos... de bonnes petites fesses bien musclées lol. Puis il se retourna, je me replongeai dans mon enduit lol.

-"Tu as quel âge au fait?

-"Euh j'ai 30 ans." J'étais gêné de le voir en boxer, il était vachement bien foutu en fait. Une belle bosse au niveau de l'entrejambe.

-"ok, moi 34..;je vieillis!" Puis il baissa son boxer... Hmm très jolie bite, même de loin, bien épaisse apparemment...il m'avait l'air décalloté car je pouvais apercevoir son gland bien rond. Il entra dans la douche qui était ouverte, et il fit couler l'eau.. je pouvais observer le spectacle de ma place. Il était dos à moi, je voyais l'eau coulait le long de son beau corps musclé...le long de ses belles fesses.... Il se savonnait...Je l'aurai bien aidé...Puis il se tourna face à moi.

-"Et ton boulot ça va?"

J'essayais de lui répondre genre comme si de rien était, genre comme si j'avais pas un de ces putains de beau gosse à poil devant moi qui se douchait... Lui apparemment s'en foutait royalement. Il se savonnait la queue. Hmm, en la revoyant ainsi, je m'appercu qu'elle était en fait bien bien épaisse...On discutait toujours..moi en jointant mes carreaux de carrelage, lui en se savonnant toujours...j'avais quand meme l'impression qu'il insistait beaucoup sur sa bite, mais je devais me faire des idées...

Il ferme le robinet.

-"Tu peux me passer la serviette là bas s'il te plait?

-"Oui j'arrive".

En me relevant, j'avais clairement le bâton dressé... Et dans mon survet, ça se voyait grave.... J'attrape la serviette et m'approche de lui, à poil, moi j'ai la trique dans le pantalon...

-"Euh merci...Dis moi Léo, tu bandes? me demanda t il cash tout en s'essuyant.

-"Ben...je sais pas oui" Lui répondis je tout gêné...

-"Et c'est moi qui te fait bander? "Je ne savais pas quoi répondre.

-"Ben...je crois, oui

-"N'aies pas honte Léo, au contraire. Tu veux m'essuyer? profites en." Il me tendit la serviette. Je ne savais plus si je devais m'enfuir ou poursuivre... Je pris la serviette puis lui passa sur son torse, ses bras, son dos, ses fesses.... il se laissait faire. Il se retourna, sa belle bite toujours au repos ballotante entre ses cuisses.

-"Vas y tu peux m'essuyer la bite aussi, doucement." Je me mis accroupi, puis je passa la serviette sur ses couilles puis sa bite...

-"Elle te plaît Léo?

-"Oui...

-"Et bien prends la, et suces moi" Sans réfléchir, je la pris d'une main, de l'autre je tenais ses couilles, puis je le branla tout doucement, son prépuce découvrait et recouvrait son beau gland. Il posa une main sur ma tête, me dirigeant vers sa queue qui grossissait à vue d'oeil.

-"Vas y suces moi Léo" Je pris sa bite en bouche, encore semie molle, mais déjà bien épaisse et bien lourde...de ma main je faisais de lents mouvements, je la sentais grossir.

-"Je ne savais pas que le pote de mon petit frère était PD... Vas y suces moi bien, continues"

Sa bite avait atteint une taille largement au-dessus de la moyenne, bien grosse et bien longue avec un très joli gland bien rond, débordant sur les côtés comme j'aime. Je le sucais comme ça pendant 4/5 minutes je pense, je kiffai, j'avais la bouche bien remplie.

-"Tu aimes ma bite Léo?

-"Oui, trop, t'es super bien monté j'adore.

-"Et tu te fais baiser aussi? "

Que répondre? Bien sûr que je me faisias baiser, mais de là à me faire niquer par le frère de Florent...

-"Oui, je suis passif...

-"Ok car moi je me fais que sucer tu vois? J'aime les meufs mais de temps en temps une bonne pipe par un PD comme toi je kiffe car vous aimez la bite, tu vois?

-"Oui" lui répondis je tout en dégustant sa belle queue.

-"Si tu veux te faire baiser, je peux appeler Kamel par contre. C'est un pote du foot. il est hétéo mais je sais qu'il baise des PD dans les caves de sa cité parfois.

-"euh...je sais pas...quand?

-"ben maintenant, il habite pas loin, je l'appelle et il te baise devant moi

-"euh..je sais pas...

-" allez je l'appelle. Il sorti de la salle de bain, avec une trique de ouf... Moi j'étais déconcerté... Il revient, je l'entends parler:

-" Ouais tu vas voir, une bonne bouche de salope et surement une bonne chatte.

Il arrive dans 5 minutes. Tu vas voir, tu vas kiffer sa grosse queue.

-"Plus que toi?

-"Ah oui, bien plus grosse que moi". Oùlà, je trouvais qu'il était déjà bien monté....

-"Continues à me sucer en attendant, fais toi plaisir. " Je la repris en bouche, toujours aussi bonne.

On sonne à la porte, c'était surement Kamel. Nicolas ressortit de la salle de bain, il bandait toujours comme un taureau.

-"Attends moi là".

Il revient accompagné d'un beur, qui le dépassait d'une tête, crâne rasé, les yeux noirs...

-"Salut

-"Salut, moi c'est Kamel.

-"Vas y suces lui la queue, Léo". Je baissa son survet, une superbe bite pendait entre ses jambes..... je la pris en bouche, elle gonfla en moins de 2...et au fur et à mesure qu'elle prenait de l'ampleur, je devais en ressortir de ma bouche.... Je bavais à mort...

-"Alors elle te plait la queue de mon pote? " demanda Nicolas qui se branlait doucement en observant la scène.

-"Oui...trop bonne...elle fait combien?

-"22x 6 mec . " me répondit Kamel, avec un petit sourire de coin. En effet, 22x6, c'était du bon matos, j'en avait mal à la machoire.... mais je prenais mon pied.

-"Lèves toi et dessapes toi mec " Je me lève et enleva mes vêtements, je me retrouve à poil. Kamel me retourne et me me penche vers la bite dressée de Nicolas, lui se tient debout derrière moi.

Je reprends la bite de Nicolas en bouche.... Quand je sens des doigts glisser le long de mes fesses, puis un crachat. C'est Kamel qui vient de me cracher sur mon trou. Il étale sa salive sur mon cul, y enfonce un puis 2 doigts...;recrache dessus encore... Moi je suce toujours le frère de mon pote.

Puis je sens un gros truc chaud sur ma rondelle....C'était le gros gland de Kamel.... Il pousse un peu, son gland s'extrait un chemin dans ma chatte...il le ressort, recrache dedans et remet son gland qui rentre plus facilement; il refait l'opération 3/4 fois...je prenais mon pied rien qu'avec la pénétration de son gland...Je pensais qu'il allait mettre une capote, mais une fois son gland en moi, il poussa un grand coup et ses 22x6 s'enfoncèrent dans mon cul jusqu'à ce que ses couilles butent...je me cogna d'ailleurs contre la bite de Nicolas.

-"Aie !!!

-"Je t'avais dit Léo, que mon pote avait une putain de bite. Tu vas kiffer, tu vas voir. " Nicolas me servait d'appuit, Kamel derrière moi m'attrappai par les hanches, ressortait sa matraque chaude et la rerentra a fond, puis me baisa de plus en plus fort.

Il était super actif, un vrai niqueur....j'avais du mal à respirer...Nicolas se branlait devant ma bouche, je voyais qu'il était prêt à éjaculer... et 10 secondes plus tard, il me jetta sa sauce en pleine figure pendant que je me faisais ramoner violamment par Kamel.... Il me recala sa bite pleine de foutre en bouche....Kamel lui se faisait plaisir, il me niquer littérallement, et comme je devais peser au moins 20 kilos de moins que lui, il pouvait me porter comme il voulait. Sa bite me ramonait complètement, je couinais à chaque coup....

-"hmmm t'es une bonne salope toi, t'aime la queue de rebeu hein?

-"oui...oui...."

La dernière minute fut très intense, j'avais le cul qui chauffait à mort.... Puis j'entendis Kamel hurlait

-"ahhh putain...hmmm putain oui"

J'avais compris qu'il m'avait dosé de son jus de rebeu....

-"Putain merci Nicolas, ton pote est une vraie pute j'ai kiffé" Il ressortit sa grosse bite de mon cul explosé, se rhabilla tout comme Nicolas et me laissa à moitié dans les vaps à poils dans la salle de bain...

Nicolas réapparu seul :

-"Pas un mot à mon frère ok? en espérant que t'as bien kiffé. Et si ca te dit de remettre ça, fais signe".

 

Moi je devais finir mon taf...j'etais trop content de cette baise...

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Dimanche 20 octobre 7 20 /10 /Oct 22:26

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Je vais vous raconter une histoire qui a eu lieu il y a quinze jours et à laquelle je n'arrête pas de penser depuis... Avant tout, quelques présentations : je m'appelle Matthieu, j'ai 22 ans. Je mesure 1m81, je pèse 70 kilos, châtain foncé et yeux bleus. Garçon simple, pas vraiment sportif, un peu trop concentré sur mes études.

 

Il y a deux semaines, en plein été, ma mère m'annonce qu'elle part en vacances avec son copain. Résultat : j'ai le choix entre rester seul à la maison ou quitter Paris direction Bordeaux, chez mon oncle Pierre. Pierre a la quarantaine, chauve, un peu trapu, bras musclés, petite barbe, regard sombre. Je ne suis pas très proche de lui, mais il a un grand appartement dans le centre-ville et, surtout, je ne serai pas loin de l'océan, à une heure de route. J'accepte. J'appelle mon oncle, pour le prévenir. Je lui annonce que j'arrive samedi. Il a l'air ravi. « Comme ça tu pourras aller à la plage et puis on va s'amuser tous les deux à Bordeaux ! »

 

S'amuser tous les deux ? Je ne me doute de rien. Lui est un éternel célibataire ; on lui a connu seulement une copine il y a une dizaine d'années, sans suite. Samedi, 13h, j'arrive à Bordeaux. Mon oncle m'attend à la gare. On se fait la bise, il me dit qu'il est très content de me voir, et me caresse l'épaule. On passe à la boulangerie, on grignote deux-trois viennoiseries, des cannelés, un petit sandwich. Pierre me dit : « Tu veux aller à la plage tout de suite ? On peut être à Arcachon d'ici une grosse heure ! » Je lui réponds que je suis un peu fatigué par le train ; que je n'ai pas réussi à dormir pendant le trajet. Nous partons donc direction son appartement, dans le carré d'or de Bordeaux.

 

Un superbe appartement, sans cloisons, avec tout ouvert, un beau parquet et un grand lit au bout de la pièce. Mon oncle part se passer un peu d'eau sur le visage pendant que j'installe mes affaires. J'hallucine en voyant sur la table basse un magazine porno gay ! Sur la couverture, un jeune minet se fait démonter par un "daddybear". Je tombe de haut : mon oncle est gay ! Incroyable ! Quand je le vois revenir, je fais mine d'avoir le nez dans ma valise : il voit le magazine sur la table et le planque l'air de rien, gêné.

 

Pierre propose de me laisser un peu tranquille une demi-heure, le temps pour lui d'aller faire des courses. J'accepte. Dès qu'il ferme la porte, j'ouvre le tiroir où il a rangé le magazine : il y en a une dizaine, tous dans le même style. A chaque fois, un jeune pédé avec un beau daddy qui lui remplit l'anus avec une queue énorme ou un godemiché. Je fouille dans le meuble TV : derrière les séries et les films, je trouve des DVD X. Toujours le même topo : des minous et des papas. Je me dis que c'est le fantasme de Pierre et je me rends compte que l'idée pourrait me plaire. Après tout, je suis un jeune pédé, et lui est un daddy un peu sexy. C'est mon oncle mais je m'en fous. De le savoir gay et potentiellement attiré par moi fait monter le désir. Et je repense à cette petite caresse sur l'épaule à la gare. Mmmh, rien que d'y penser, je bande dans mon jean. Je décide de passer à l'action : quand il rentrera des courses, je vais tellement chauffer mon oncle qu'il va être obligé de me défoncer le fion.

 

Vingt minutes plus tard, il revient, les bras chargés de courses. J'accours vers lui. Je commence à le draguer, un peu lourdement : « Oh la la, mais c'est lourd, ces sacs ! Heureusement que t'es musclé ! » Il sourit. On range les courses et on décide de regarder un peu la télé. On s'approche du canapé et là, je pâlis : j'ai oublié de refermer le tiroir qui contient les magazines !

 

Mon oncle le voit aussi. Il se tourne vers moi : « Tu as regardé dans mon tiroir ? » Je dois être blanc, je suis en panique ; je n'avais pas prévu ça. Et puis aussitôt je me rends compte que ça peut être l'élément déclencheur... Je lui dis : « Oui... J'ai vu tes... Tes magazines ! » Pierre est hyper gêné : « Pardon hein... Je suis un homme comme les autres, il peut m'arriver de lire ce genre de choses... » Je le rassure : « Ah non, mais il n'y a aucun souci. Les twinks, les daddys, aucun souci avec ça... » En une seconde, mon oncle comprend que je suis gay – bizarre, il ne le savait pas, pourtant que je ne l'ai jamais caché – et que je suis aussi branché sur les mecs plus vieux. Il y a une petite lueur dans les yeux de mon oncle. « Ah ouais, les daddys, c'est ton truc ? » demande t-il innocemment.

 

J'acquiesce. La tension sexuelle grimpe d'un coup dans la pièce. Mon oncle me dit : « T'aimes quoi ? » La question que j'attendais ! Je m'assois dans le canapé. « Mmmh, je sais pas... Les mecs plus vieux que moi, un peu dominateurs, qui n'hésitent pas à s'amuser avec moi... » Il bande ! Je vois une bosse dans son jean ! Je continue, provocateur : « J'adore me faire limer bien fort, quand le mec est sans pitié avec mon cul... »

 

Mon oncle soupire. Il murmure : « Putain... » et commence à se toucher le paquet. Ça y est, c'est parti. Je le regarde droit dans les yeux : « On s'amuse un peu ? » Lui, dans un soupir, la voix grave : « Ouais... » Je me lève et je lui roule une pelle. Il soupire encore. Il me demande : « Ça restera entre nous, hein ? » Je le lui promets. Il me murmure dans l'oreille : « Je vais te déchirer... » BINGO !

 

On continue à se rouler des pelles. Pierre appuie un peu sur mes épaules. Je comprends : il veut que je me mette à genoux. Il défait sa ceinture et sors sa queue. Il me regarde et appuie sur ma tête : « Suce-moi ! » Je ne me fais pas prier ! Mon oncle a une queue bien large, longue, je dirai quasiment une vingtaine de centimètres et 6cm de large. Je vais avoir mal au cul, je le sens. Pour le moment, j'avale tout : son gland tape ma glotte. Sa queue a un excellent goût, son entrejambes sent un peu la sueur, j'adore. Mon tonton a l'air d'adorer, il gémit : « Putain, tu suces trop bien. Mmmh, vas-y avale ! » Je prends vraiment toute sa queue dans ma bouche, il continue : « Ouais, ouais... Voilà, vas-y, suce bien ton oncle... Mmmh, t'as une bonne bouche... »

Il appuie fort sur ma tête pour que mon nez atterrisse dans ses poils. J'adore. Il s'amuse à rester quelques secondes au fond de ma gorge, jusqu'au haut-le-cœur. Il ressort d'un coup et me frappe le visage avec sa queue. « Putain, tu vas prendre cher » me lance t-il. J'adore ce que je suis en train de vivre. « Tu veux lécher mes couilles ? » Oh que oui ! Pareil, elles sont bien volumineuses, pleines de jus, j'ai hâte de recevoir ça sur ma petite gueule.

 

Après dix bonnes minutes à le sucer, j'adresse à mon oncle mon regard le plus salope et lance : « Baise mon cul ! » Il me relève par les aisselles et me pousse jusqu'au lit. Il sort une capote et du lubrifiant. Je lui fais comprendre que je suis clean : il range la capote en m'embrassant dans le cou. Il remonte jusqu'à mon oreille et me murmure : « Je vais te démonter ! » Pas de problème !

 

Mon oncle descend jusqu'à ma rondelle et commence à la lécher bien fort. Il essaie d'introduire sa langue dans mon cul. « Tu veux un doigt ? » me demande t-il. Bien sûr ! Il enfonce un doigt, puis deux. Je me crispe, je commence à transpirer. « Mmmh, c'est bon ça, bien serré » lâche mon oncle. Il commence à limer avec ses doigts avant de me les glisser dans la bouche. « T'aimes bien goûter à ton cul ? » Je réponds oui. Mon oncle se révèle particulièrement dominateur, je sens que cette baise va être bien bien hard.. « Mmmh, je note » répond mon oncle.

 

Il me roule une pelle et commence à me lubrifier la rondelle. Je sens son gland se poser sur mon petit trou. Mon oncle me chuchote à l'oreille : « Tu as dit quoi, déjà ? Que tu voulais te faire limer bien fort ? » J'ajoute : « Oui. Sans pitié... » Dans la seconde, mon oncle enfonce sa queue dans mon cul. A fond. Sans pitié, clairement. Je hurle. Il me déchire l'anus. Mon tonton gémit : « Aaaaaah, salope » J'ai vraiment mal. Il reste au fond de mon cul. Au bout de vingt secondes et quelques larmes, la douleur s'estompe. Mon oncle, qui a posé sa tête sur mon épaule, m'embrasse. Il attend un feu vert que je lui donne : « Vas-y, défonce-moi ! »

 

Il s'exécute. Il me lime de fond en comble. Je lui lance entre deux gémissements : « Défonce-moi, défonce-moi ! » Il hurle : « Putain, c'est bon ! » Il me fait me mettre à quatre pattes ; il met ses jambes de chaque côté des miennes et agrippe mes épaules. On dirait deux chiens qui s'enculent. Je sens encore mieux sa queue. Il prend son élan, me dit « Je vais ruiner ta prostate » et commence à me déchirer. Il y va de toutes ses forces, c'est l'extase. Il entre, sort, re-rentre, ressort. La teub de mon oncle me remplit, ses couilles claquent mon cul. Il détecte mon point faible, ma prostate, et n'hésite pas à appuyer dessus avec sa queue. D'un coup, mon oncle sort sa bite de mon cul et me dit : « Viens sucer ! »

 

J'obéis. « Ouais, vas-y, goûte ton cul... Mmmh... » Ce n'est pas déplaisant. Il y a un début de sperme qui perle au bout de son gland. Mon oncle m'embrasse, avant de me demander « Tu veux que je jouisse où ? » Je lui réponds sans hésiter : « Dans mon cul ». Il sourit et me roule une pelle à nouveau. « Je ne t'imaginais pas aussi salope... » Je ris et lui lance : « Allez, reviens dans mon cul... »

 

Mon oncle reprend son limage intensif. Il me bourre, littéralement. Il est agrippé à moi, m'écrase sous son poids, me met sa main sur la bouche, et me remplit. Il ne sort plus de mon cul, mais continue à me limer, en prenant bien soin d'appuyer au fond. Je sens mon tonton Pierre se raidir ; il va jouir. Il me serre de toutes ses forces et je sens une chaleur dans mon cul. Il grogne : « Je te remplis, aaaaah » Il m'embrasse.

 

Il sort de mon cul : « Suce ! » Je me retourne et avale sa queue. Elle dégouline de son sperme ; il a bon goût. Mon oncle me caresse les cheveux : « T'es une bonne salope... » ll me retourne, replonge sa queue dans mon cul, et ressort : « Suce encore. » Il refait ça quatre ou cinq fois, et je me rue sur son morceau de chair sans hésiter. A la fin, il m'embrasse, en sueur. Je lui dis : « C'était trop bon ! » Il répond : « Tu restes ici une semaine... Tu vas rentrer chez toi déformé ! » Nous rions. Il m'embrasse encore.

 

Après cette bonne baise bien hard, nous avons pris une douche tous les deux. J'ai effectivement passé une semaine... agitée ! Je pense qu'en tout, nous avons baisé une vingtaine de fois, lui très dominateur, moi totalement soumis à son énorme queue. Mon oncle m'a également converti à l'uro, puisqu'il m'a pissé dessus lors d'une de nos dernières séances de défonce. Je lui ai même demandé de se soulager en moi. Je vous raconterai ça une prochaine fois... J'ai quitté Pierre et Bordeaux la semaine dernière, avec la promesse d'y retourner avant Noël. J'ai hâte !

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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