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fan de histoires de mec

Dimanche 18 novembre 7 18 /11 /Nov 12:57

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Ma sensation la plus forte a été quand j’ai vu, pour la première fois, le sexe de mon beau-père s’enfoncer dans le cul de son fils, mon mec! Vous suivez? Non? Bon, je vais tout vous expliquer...

J’en bande encore en y pensant et en me rappelant ces images. Ce qui est extraordinairement excitant, c’est de s’apercevoir qu’il faut très peu de choses pour qu’un père de famille accepte d’avoir des rapports avec son propre fils et arrive même à transformer celui-ci en une véritable salope qui se donne sans retenues à plusieurs hommes à la fois.

Étienne, mon mec, dit m’avoir toujours été fidèle depuis notre rencontre. Je n’ai pas de raisons de ne pas le croire. Bien sûr, lorsque je l’ai rencontré, il était loin d’être vierge. Il est grand, mince, bien foutu, très mignon. Il n’avait jamais eu de mal à se trouver un partenaire. Dans le milieu gay, il avait la réputation d’une vraie salope. C’est un peu ce qui m’a attiré vers lui. Après notre première nuit d’amour, j’ai compris que chez Étienne, il y avait autre chose... Nous sommes tombés amoureux fous et nous nous sommes mis en ménage. J’ai fait la connaissance de son père très tard car Étienne et lui ne s’entendaient pas fort. Le père ne supportait pas d’avoir un fils pédé et il considérait que la vie de celui-ci était vide et obscène...

Au fil du temps, Robert – que j’appellerai mon beau-père – a fini par m’apprécier et est devenu moins bourru. Il m’a dit un jour que je faisais du bien à son fils. Je lui ai répondu:

— Je l’espère bien!

Ça l’a fait sourire. De mon côté, j’ai aussi appris à connaître ce grand bonhomme de 48 ans aux tempes grises et au charme désarmant. Nos conversations pouvaient durer des heures et toujours avec intérêt et respect. Robert m’avait réellement adopté.

Étienne et moi, nous sortions peu mais, les rares fois où nous le faisions, j’ai souvent constaté que des hommes le lorgnaient d’un air intéressé. Cet état de fait m’énervait et m’excitait à la fois. Un soir que nous étions au restaurant, Étienne qui était encore plus désirable que d’habitude, avait attiré bien des regards. J’avais même vu un frôlement de la part du patron du resto... Dans la voiture, je lui avais fait quelques reproches et nous avions fait l’amour très fort, tout de suite en rentrant à la maison. Il m’avoua qu’il aimait beaucoup que des hommes le regarde et aient envie de lui.

— Tu sais, il m’est arrivé plusieurs fois de me faire «toucher» les fesses dans le métro!

— Tu ne m’as jamais rien dit!

— Je sais me défendre, mon amour... Je suis un grand garçon!

— Comment voudrais-tu que ça ne me rende pas jaloux?

— Je sais aussi que ça t’excite d’avoir un mec qui suscite le désir. Dis que je mens!

— Tu as toujours le don de retomber sur tes pattes, hein!

— Et puis ces mecs qui me frôlent, ils ne sont pas dangereux! Ils ne font que passer... Et moi ça m’amuse!

— Dis plutôt que ça t’excite!

— Aussi, oui! Je sais que je suis un petit obsédé du cul... J’y pense souvent... Il m’arrive même de penser à des trucs... franchement déplacés... enfin des trucs qui devraient me dégoûter!

— Raconte!

— Je fais des rêves cochons où... putain, ça me gêne d’en parler...

— Trop tard! Tu as commencé... crache le morceau...

— Je fais des rêves bizarres... des rêves où mon père me baise.

— Ton père?!

— Tu connais mon père et tu sais à quel point il a difficilement accepté mon homosexualité. C’est un homme assez rigide et jamais il n’a fait quoi que ce soit qui puisse... Enfin, tu comprends!

— Ton père est un veuf de 48 ans qui a été blessé lorsqu’il a appris ton homosexualité. Je pense qu’aujourd’hui, il a avalé le morceau. Toi, tu dis qu’il est rigide et froid; moi, qu’il a un charme fou et un charisme hors normes...

— On pourrait croire que tu en es amoureux!

— Ça t’étonne?

— Pas trop, non! Je sais que tu l’apprécies et que c’est réciproque.

— Donc, ton père te fais fantasmer!

— Nooooon!

— Siiiiiiiiiii! Ne joue pas à ce jeu idiot... Ton père te fais fantasmer. Point. Franchement, Étienne, moi aussi, je le trouve bandant. Je parie qu’il a une bite encore plus grosse que la tienne... et c’est déjà pas mal!

— Arrête de parler de ces choses!

— Je te signale que c’est toi qui a commencé... Il est bien foutu: belle gueule virile, torse solide et poilu, tétons dressés, cuisses musclées... Vraiment bandant, je te confirme!

Notre conversation s’arrêta deux ou trois minutes plus tard car la sonnerie de notre appartement retentit. Il était minuit trente et nous trouvâmes ça curieux. En regardant par la fenêtre côté rue, je vis mon beau-père sur le trottoir.

— Quand on parle du loup!

— C’est mon père?!!

Je le confirme. J’ai ouvert la fenêtre et j’ai crié:

— Je vous ouvre la porte!

— Merci.

Je lui ai donc ouvert. Il était particulièrement bien habillé et comme d’habitude, avait beaucoup de classe.

— Si je n’avais pas vu de la lumière, je ne me serais pas permis de sonner. Je reviens d’un vernissage et je passais en voiture.

— Entrez, Robert! lui ai dit en lui serrant la main. Intéressant ce vernissage?

— Pas trop. Un petit con qui se prend pour le nouveau Mondrian et qui est juste bon à faire du coloriage...

Il est entré et s’est dirigé vers le living où il est allé embrasser son fils. Mon chéri était bien embarrassé après ce qu’il venait de m’avouer.

— Vous étiez de sortie également?

— Un resto simplement...

— Je ne vais pas vous embêter longtemps.

— Vous ne nous embêtez pas, Robert. Asseyez-vous, nous allons prendre un verre...

— C’est gentil... J’ai à peine bu... le vin blanc était bouchonné!

— Ah! c’était la totale dirait-on!

Nous avons entamé une conversation sur l’Art puis sur le cinéma... J’ai fait en sorte que le verre de mon beau-père ne soit jamais vide. Il semblait de fort bonne humeur et prêt à s’amuser un peu. Je voulais mettre mon amoureux mal à l’aise... et m’amuser avec ses révélations. Robert s’est rendu compte de mon petit manège:

— Tu veux me saouler?

— J’aime vous voir de bonne humeur. L’alcool vous rend gai.

Je laissais un regard à mon chéri qui venait de comprendre le double sens de ma réflexion.

— Je ne vais plus pouvoir conduire si j’en bois encore un.

— Vous pouvez dormir ici. Il y a de la place.

— Non! Je n’ai pas l’intention de vous déranger...

— Pourquoi croyez-vous que vous nous dérangez?

— Je... je ne sais pas... Vous avez votre intimité...

— Votre présence ne gêne absolument pas notre intimité...

Et c’est là que mes lèvres se sont posées sur celles d’Étienne. Il s’est cabré car c’était la première fois qu’il m’embrassait devant son père.

— Vous voyez! ça vous choque, Robert?

— Du tout! Vous formez un très beau couple. Lorsque l’on me parle de vous, c’est toujours en bien.

Étienne est sorti du living.

— Qu’est-ce qu’il a?

— Étienne n’est jamais à l’aise avec vous. Il croit toujours que ce qu’il fait vous choque. J’ai beau lui dire que vous êtes un homme ouvert... Il se bloque! Ce baiser que je viens de lui donner devant vous, il a dû détester...

— À une certaine époque, je n’aurais pas apprécié... Le simple fait d’imaginer mon fils dans les bras d’un homme me rendait fou.

— J’ai l’impression qu’Étienne n’a pas compris que vous avez... changé!

— Allez le chercher... Je déteste qu’il soit malheureux...

J’ai donc rejoint mon chéri dans la cuisine. J’ai compris qu’il m’en voulait de l’avoir piégé.

— Qu’essaies-tu de faire, David? m’a-t-il demandé.

— Excuse-moi... C’était un jeu stupide! Je ne voulais pas te blesser.

— Tu m’as... ridiculisé devant... mon père!

— Pas du tout. Ton père a changé. Il est fier de toi, de notre couple.

— Ne change pas de sujet de conversation... Qu’essaies-tu de provoquer?

— Tu m’as dit que tu fantasmais sur ton père et j’ai voulu jouer...

— Arrête, ce n’est pas un jeu! Ce que je t’ai dit à propos de... mes rêves... il n’y a rien de vrai! Je ne ressens rien.

— Moi je crois, au contraire, que tu as du désir pour lui...

— Et quand bien même! Qu’est-ce que tu vas faire? Lui demander s’il veut bien faire l’amour à son fils?

Le silence fut court après cette réplique bien sonnée.

— Peut-être que si David est habile, il réussira à me convaincre!

Nos têtes se tournèrent vers la porte de la cuisine. Robert y était appuyé, un large sourire sur les lèvres... Il a tourné les talons et est retourné s’installer dans le canapé. Étienne resta un moment muet, interloqué. J’étais assez troublé également. J’ai finalement pris sa main et je l’ai tiré vers le living.

— Robert, dites quelque chose... Étienne a besoin d’être rassuré.

— Fiston, arrête de croire que je te déteste. Je t’aime infiniment. Je suis fier de ce que tu as fait de ta vie. Tu es un beau grand garçon bien foutu et tu me fais fantasmer. Est-ce suffisant pour te rassurer?

Silence.

— Ah oui, je t’envie beaucoup d’avoir trouvé la perle rare... un homme qui t’aime et te le prouve constamment.

Là, face à mon beau-père, j’ai commencé à déshabiller mon homme. Il s’est laissé faire. J’ai regardé Robert droit dans les yeux. Il a posé sa main sur son bas-ventre. Étienne m’embrassait. Mes lèvres suçaient les siennes et je lui disais des petits mots cochons.

— Tu as envie d’une grosse bite, hein, mon ange? D’une très grosses bite! Laisse-toi faire... Laisse-toi envahir par cette douce chaleur... Oh oui... Fais-moi bien ta petite salope! Tu la fais si bien quand tu es excité...

Silencieux, Robert assistait au spectacle que nous lui offrions, Très vite, Étienne se retrouva les fesses à l’air et mes doigts s’activaient dans sa raie.

— Tu as envie que quelqu’un me remplace pour te donner du plaisir? Dis-moi, ma petite chienne! Dis-moi si tu veux que ton papa me remplace!

Les yeux d’Étienne étaient brillants.

— Ouiiiiiiiii...

Sa réponse fut douce et soyeuse. Robert s’est levé pour s’approcher de nous et il a posé ses lèvres sur les miennes puis sur celles de son fils.

— Je vais vous laisser! ai-je dit.

— Non! a répondu Robert. J’ai très envie de faire ce que tu me proposes mais... j’ai besoin de... ta présence...

Il a commencé à caresser les fesses et le dos de son fils qui gémissait.

— Faites-lui l’amour, Robert! Il en meurt d’envie! Votre fils est un petit cochon qui adore baiser... enfin se faire baiser par des grosses bites. Nous sommes persuadés que la nature a été généreuse avec vous...

Je suis tombé à ses pieds et j’ai déboutonné son pantalon. Étienne a passé sa langue sur ses lèvres. La longue bite de Robert s’est dressée comme un ressort.

— Bel engin! ai-je dit. C’est juste ce qu’il faut à votre fils pour le calmer. Ce n’est peut-être qu’un caprice d’enfant gâté mais il ne faut pas qu’il en soit perturbé... N’est-ce pas? Je suis là... Je ne vous abandonne pas.

Je me suis éloigné pour aller m’asseoir dans un fauteuil en spectateur et laisser mes deux hommes faire ce qu’ils avaient à faire... Étienne sentait les mains de son père galoper sur son corps et se laissait faire en me regardant de temps en temps.

— Votre fils est très sensible des tétons et de la chatte.

Robert sourit.

— Eh oui, cher Robert, j’appelle son petit trou... sa chatte! Sa chatte de mec, toute douce et chaude...

Robert rentra un puis deux doigts dans le cul de son fils, Il lui pinça les seins et lui claqua les fesses. Il était un peu maladroit mais il suivait mes conseils et surtout se laissait guider par les gémissements d’Étienne. Ils se sont installés tous les deux dans le canapé en face de moi.

— Vas-y, mon chéri, fais bien ta salope... Excite-moi en te faisant sauter par ton père...

J’avais sorti mon sexe et je me masturbais. J’avais l’impression de flotter. Je n’en revenais pas de la facilité avec laquelle mon beau-père avait accepté ce jeu pervers. Cela me faisait un effet curieux de voir mon Étienne ainsi offert à son géniteur. Étienne me regardait de temps en temps et je m’aperçus qu’il tremblait.

— Robert, il faut y aller maintenant! Étienne n’en peut plus... Il la veut votre grosse matraque. Il veut savoir ce qu’elle a procuré comme plaisir à sa mère lorsque vous l’avez engrossée.

Robert s’écarta de son fils et il enleva son pantalon et son slip. Il les jeta sur le sol. Il prit Étienne, nu, dans ses bras et le transporta dans notre chambre. Il marcha bien droit avec la queue dressée. Je les suivis doucement. Il déposa celui qu’il allait baiser sur le lit et lui écarta les cuisses.

— Oh mon fils, tu as un cul superbe... bien rond et musclé... C’est un endroit où les hommes doivent aimer entrer.

Il se tourna vers moi et me dit:

— David, vous avez beaucoup de chance...

Et j’osais la question qui me brûlait les lèvres:

— Ce n’est pas votre premier homme, n’est-ce pas, Robert?

Il me répondit que d’un large sourire.

Étienne était en position d’attente. Une position que je lui connais depuis le début de notre liaison. C’est l’appel de la bite. Robert caressait le dos de son fils en admirant sa beauté et sa sensualité. Je me suis penché vers mon mec et lui ai dit:

— Vas-y, mon amour, fais bien ta garce... Fais ta petite pute! Montre à ton papa comme tu as été un bon élève... Dis-nous ce que tu veux?

Étienne ferma les yeux. Je passais les mains sous son torse à la recherche de ses deux tétines dressées. Je me mis à les pincer pour le rendre dingue.

— Dis à tes deux hommes ce que tu veux le plus au monde!

— Je veux que... que vous me baisiez tous les deux...

— Ah voilà qui est bien, mon ange!

Je me mis à l’embrasser sous le regard de Robert. Maintenant, Étienne s’offrait sans pudeur, conscient d’avoir passé le cap le plus difficile. Robert le contourna et se plaça face à son fils. Je me suis écarté pour lui laisser la place. Pendant que j’ôtais doucement mes vêtements en me caressant, je l’ai vu présenter sa longue queue devant la bouche de son fils en extase. Étienne n’en revenait pas. Cette bite qui l’avait «fabriqué» et sur laquelle il avait fantasmé était là sous son nez. Comme s’il avait encore un doute, pour se rassurer peut-être, Robert lui demanda doucement:

— C’est ce que tu veux, mon fils, c’est ce que tu veux vraiment?

— Oui, papa!

— Si c’est ça que tu veux, mon amour? Dis-le encore! ai-je ajouté.

— Je veux que tu me baises... que vous me baisiez tous les deux.

— Nous allons te satisfaire, mon fils!

La queue raide de Robert entra dans la bouche de son fils. Étienne ne me quitta pas des yeux pendant qu’il la suçait. Je m’étais assis à un mètre d’eux et je me touchais doucement. Robert accéléra ses coups de reins et Étienne sembla apprécier d’être un peu malmené par son père. J’étais fasciné par cette bite qui lui violait la bouche. Je me suis levé et me suis placé derrière Étienne.

— Pendant que tu prépares la grosse bite qui va te trouer, mon chéri, je vais préparer ton petit cul... ton adorable cul de salope... Tu veux la langue ou la queue?

— Ta queue. Viiiiiite...

J’ai posé mon gland sur sa pastille et, d’un coup, comme chaque soir, je l’ai embroché. Il a poussé un petit cri en ondulant des reins. Signe de son approbation.

— Tel que vous le voyez là, Robert, il est au paradis!

Maintenant, il était baisé par les deux trous. Robert et moi, nous allions et venions en lui en ahanant. Robert se pencha un peu pour regarder ma bite entrer et sortir du cul de son fiston.

— Tu as beaucoup de chance d’avoir un amant si bien membré, mon fils! Cette belle tige semble faite expressément pour ton petit trou.

— Vous allez voir, Robert, comme c’est bon de baiser cette petite chienne.

En me penchant, je voyais le bord plissé de son anus que je limais avec ferveur. Je souriais à mon beau-père qui était maintenant tout à fait conquis par les divines sensations de la fellation filiale. Je n’arrivais pas à croire que c’était lui qui était là. Tout avait commencé comme un jeu ridicule entre Étienne et moi... et puis peu de temps après, le sexe de mon beau-père se faisait téter par Étienne.

— Je le crois à point, Robert. Venez me remplacer! Il en meurt d’envie...

— C’est vrai, mon fils, que tu en meurs d’envie?

— Oui, papa. Fourre-moi ta grosse bite dans le fion.

Robert posa ses lèvres sur le front de son fils et changea sa place avec la mienne. Je caressais la tête de mon chéri en lui parlant:

— Voilà, mon ange, tu vas obtenir ce que tu voulais depuis si longtemps. Tu vas être comblé au propre comme au figuré. La belle grosse bite de ton papa dans le cul! Elle va te donner du plaisir ...

— Oh oui! a-t-il répondu. Je la veux.

Il était fébrile et donnait l’impression d’être un gamin capricieux. J’ai trituré ses tétons pour faire encore monter l’excitation. Robert avait déroulé une capote sur sa queue et il la positionna devant l’entrée. Étienne frissonna à son contact.

— Tu l’as bien fait bandé en tout cas! ai-je ajouté. Sa queue est toute raide! Allez-y, Robert... Poussez! Un coup sec!

Ce qu’il fit en me regardant droit dans les yeux. Étienne poussa un cri et Robert se cabra.

— Ne craignez rien, il aime...

— Tu es sûr que...

— Continue, papa. Baise ta salope de fils! Tu n’imagines pas à quel point j’aime ça... les grosses bites...

— Je crois qu’il commence à s’en rendre compte, mon bébé! lui ai-je dit à l’oreille. Allez, tu es bien là... tu te laisses porter par la vague de plaisir... Ouais, c’est bon...

Je me caressais la queue tout en commentant la situation. Étienne adore ça. Ma queue était plaquée contre mon ventre et j’avais du mal à l’en détacher. La vague de plaisir nous emportait tous les trois.

— Je te veux en bouche, mon amour! me dit Étienne. Je les veux ensemble dans mes trous.

J’ai exaucé son vœu.

— Allez, tète, mon ange! Tète la queue de ton chéri...

Il a sucé mon dard avec sa passion habituelle. Je regardais l’excitant tableau comme s’il sortait d’un rêve. Ce ne pouvait être mon chéri qui était à quatre pattes sur ce lit avec la bite de son père dans le cul! Il se faisait besogner et gémissait de plaisir sous les coups de butoir de son séduisant papa. Robert, l’ex homophobe, le bourrait ardemment en caressant ou claquant ses lobes fessiers. Il fouillait cette chatte que je connaissais si bien. J’éprouvais un plaisir extraordinaire à le voir ainsi, possédé devant moi. Il me cocufiait avec son père et cela m’excitait. Étienne était près de la jouissance. Son cul serra la bite de son père. Il cria pendant que son orgasme l’emportait. Il haletait:

— David, mon amour, je jouis, il me fait jouir!... Je jouis, tu me vois! Papa m’aime et il me fait jouir... oh, c’est bon!... Tu aimes qu’il me baise, David?... Tu le vois?... Je sens sa queue qui cogne tout au fond de mon cul...

— J’adore ça, mon amour! Ton papa t’aime et il te fait bien l’amour.

— Il me défonce... J’aime... Tu vois comme il me baise bien à fond?... Tu aimes quand il me fait jouir?... Toi aussi tu vas me baiser... tu veux bien, David?... J’en ai envie...

— Oui, je vais te baiser aussi...

— C’est trop bon, David! Je veux qu’on m’aime, qu’on me baise... Tous les hommes que tu voudras, mon chéri,... tous... pourvu que tu sois là... je suis une salope... j’aime qu’on me baise devant toi... donne-moi... je suis une pute... c’est trop bon...

Les propos de son fils avaient excité Robert et il le besognait de plus en plus vite. Il était très excité et râlait. Il poussa un grognement en jouissant. Il sortit du cul, arracha la capote et lui déchargea tout son sperme sur le ventre.

— Robert! Un geyser! Qu’est-ce que tu lui as mis!

— C’est bon de se laisser aller... C’est à ton tour maintenant, David! Tu ne crois pas qu’il a assez attendu?

— David, prends-moi, viens me baiser. J’ai encore envie...

 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Samedi 17 novembre 6 17 /11 /Nov 10:11

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Putain, j'en peux plus de ce cours d'anglais, j'ai juste hâte qu'il finisse. On est jeudi, et c'est l'avant dernière heure de cours de la journée, pour moi c'est la plus longue, quand on sait ce que j'ai après. Je remue un peu sur ma chaise, écoutant a moitié la prof, me focalisant sur le gros plug qui répond à mes mouvements, je dois me concentrer pour ne pas gémir en pleine classe.

Je ne vous l'ai pas dit? Je suis une petite salope, j'aurais dû commencer par là, depuis ma première queue je suis accro au foutre, ça fait presque 3 ans que je suis comme ça. Donc, je viens au cours avec un plug en moi. Pas tout les jours, mais assez souvent, surtout le jeudi après-midi. Dès que la cloche sonne, je range mes affaires et je me redresse en me mordant les lèvres pour me retenir, je file dans les couloirs vers les toilettes du second. Un quart de l'école doit être au courant je pense, les rumeurs vont vites. Mais je m'en fous, j'aime ce que je suis et peu de gens me font des remarques, au contraire, ça me rend parfois plutôt populaire là où je ne m'y serais pas attendu.

J'arrive dans les toilettes un peu en avance, le jeudi en fin de journée, j'ai cours d'histoire, je suis bon en histoire et mon prof m'aime bien, il me laisse brosser et en échange je reste avec lui quand il corrige les copies le mardi. Bref, j'arrive dans les toilettes, elles sont pas mal grandes, il y a trois urinoirs et trois cabines, personne n'y va jamais à cette heure, les salles de classes ne sont pas tout près. Personne, sauf mes habitués. Je vais me placer dans la troisième cabine, je sors de mon sac mon petit bandeau en cuir, ma paire de menottes et la gamelle que je dépose à côté de la toilette, je sors tranquillement mon plug, le range et prends deux œufs vibrants que je m'enfonce, je mets le bandeau, un treillis par-dessus ma jolie peau, je m'installe à genoux, jambes écartées, mon sac planqué derrière moi, je me lèche les lèvres, mon sexe bien dur dans mon jeans, une capote enfilée dessus, bien retenue, la commande de mes œufs en main.

La seconde sonnerie retentit, j’entends les élèves qui vont en cours, comme tout les jeudis après-midi, lors de la dernière heure, je suis la petite pute des toilettes du second, mon annonce est dans toutes les toilettes de l'école : jeune lope suce 7eme h toilettes du second. Venez profiter Depuis six mois, j'ai pas mal d'habitué, je reconnais leurs sexes, leur odeurs, leurs attitudes, la discrétion, c'est l'une de mes garanties, je ne cherche jamais à savoir qui passe par ma bouche, parfois je l'apprends, je le remarque, on me le dit, mais certains mecs veulent rester anonymes. Sur le mur dernière moi, j'ai indiqué il y a longtemps ma politique : je suce, j'avale, je bois votre pisse, pas besoin de nom, j'aime ça, profitez en. Si je vous ai bien vidé, laissez un pourboire. Dernièrement je laisse un marqueur noir à côté de moi, j'ai parfois droit à des "mots des fans", un peu comme on signerait un livre d'or.

Aujourd'hui j'ai pas mal de passage, des garçons qui se succèdent, qui en pleins cours "vont aux toilettes" et viennent en fait se servir du vide-couilles de l'école. Parfois ils pissent bel et bien, parfois je les tête pendant cinq minutes pour bouffer leur foutre. Je suis complètement accro à ce truc, ma première dose de la journée réveille mes envies, je suis capable de tout pour avoir un peu plus de semence. Rien que la première queue d'aujourd'hui, elle sentait encore le foutre séché, j'ai activé mes œuf, et j'ai pris le gland en bouche, attendant qu'il urine, dès que le jet chaud et amer se fut tari, je l'ai pompé comme si ma vie en dépendait, c'était un gros sexe, bien épais comme je les aime, il m'a vite donné son foutre épais et goûteux.

Sur l'heure j'ai dû avoir une trentaine de mecs, des grosses queues, des fines, des mecs qui ne faisaient que pisser, d'autres qui jouissaient direct, des mecs qui me laissaient sucer, d'autres qui me défonçaient la gorge. Je crois même avoir eu une queue de prof en bouche, il y en a un qui passe de temps en temps pour me la foutre en bouche, me bifler parfois. Quand l'heure sonne, je détache les menottes, elles sont là juste pour le show et assez simple à détacher, je retire mon bandeau, les toilettes puent le sperme, il y as de la pisse sur le sol et sur mon pantalon. Je reste un peu comme ça, savourant le moment avant de me relever, j'ai des mots écrits au noir sur les avant-bras, je les lirai ce soir en me branlant. Je change de vêtements rapidement et je range mes jouets, je sors les œufs de moi et replace mon plug avec plaisir. Je range ma gamelle, il y as une cinquantaine d'euro, en général je rapporte un certain succès.

Je ferme la porte, me passe de l'eau sur le visage et je quitte le bâtiment. En marchant le plug en moi me rappelle que je suis une lope, l'arrière-goût de pisse et de foutre me rend heureux.

— Hé ! Gabriel !

C'est Arthur, une classe au-dessus de moi, blond, bien foutu, il traîne avec d'autres gosses de riche, avec des filles, ils aiment bien m'en foutre plein la gueule, je les aime bien.

— Ouais ?

Il me tend une bouteille remplie d'un liquide blanc-jaune laiteux avec un sourire, mon érection se renforce.

— On n'a pas pu passer tantôt, moi et les autres, on tenait à ce que ça soit pas perdu.

— Tu leur diras merci ! J'en profiterai bien !

Je le laisse et je rentre à la maison tranquillement. En quittant l'école, j'ai droit à des sourires, des clins d'œil, je suis plutôt apprécié à l'école.

À la maison, je m'assieds sur le lit, je pose mon sac dans un coin, la bouteille sur ma table de nuit, je retire mon jeans et je retire doucement le préservatif pour me le déverser dans la bouche.

Je suis une lope, et heureux de l'être.

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Jeudi 15 novembre 4 15 /11 /Nov 14:05

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Cela faisait quelques années que je faisais du baby-sitting chez les voisins. Ils ont un fils unique, Corentin, il a trois ans et demi de moins que moi. Je l'ai gardé régulièrement depuis ses 11 ans ou 11 ans et demi. C'était un super gamin, d'une gentillesse à toute épreuve, serviable, très câlin, même avec moi, presque tout le temps sur mes genoux, et le soir, je devais rester près de lui jusqu'à ce qu'il s'endorme. Peu avant ses 14 ans, il a commencé à être plus distant, j'avais bien vu qu'il avait largement entamé son adolescence, je me suis rappelé qu'à 13 ans, j'étais comme lui, froid et surtout en révolte contre tout et tous. Les séances de baby-sitting sont devenues un peu plus compliquées, il fallait batailler pour le mettre au lit et éteindre la lumière, et pour qu'il termine ses devoirs avant de plonger sur ses manettes de jeu, ça relevait de la bataille de Trafalgar, mais malgré ces quelques difficultés, on restait bons copains.

A côté de ça, la pudeur n'a jamais été son fort ; quand il revenait de la douche, il restait à poil et prenait plaisir à se dandiner sous mes yeux, et son adolescence n'a rien changé à son attitude, pire il venait mettre à la hauteur de mon visage son sexe bandé, parfois même en se touchant légèrement pour en entretenir la raideur et mimer une masturbation. Je ne pouvais pas ne pas le voir, j'étais la plupart du temps assis sur le canapé et il exécutait sa petite danse obscène, debout à un mètre de mes yeux. Il fallait chaque fois que je hausse le ton pour qu'il aille, soit enfiler un pyjama, soit se diriger vers sa chambre pour qu'il se couche, et là, il redevenait le petit garçon, je devais lui caresser le dos, juste le dos, jusqu'à ce qu'il s'endorme.

Je n'avais aucun, mais alors vraiment aucun intérêt pour les personnes de mon sexe, je trouvais même ça dégoûtant que des hommes puissent s'aimer et faire des « choses » entre eux, de plus, pour moi, Corentin était un gosse que je gardais pour gagner de l'argent, point-barre.

Mais je serais malhonnête si je disais que ses danses du ventre et du zizi sous mon nez ne créaient aucun trouble chez moi, c'est pour cela d'ailleurs qu'en l'attendant revenir de sa douche, je mettais systématiquement un coussin entre le livre que je lisais et mes cuisses, et il est arrivé plusieurs fois qu'après l'avoir mis au lit, je passe un « certain temps » sur la cuvette des WC. J'avais 17 ans et lui 14, je mettais ça sur le compte des hormones, jusqu'au baby-sitting du mois passé.

Il venait de fêter ses 15 ans, et moi j'en avais 18. Je devais le garder tout le week-end, ses parents étant partis pour un city-trip à Prague du vendredi soir au dimanche soir. Il m'a refait sa danse du ventre, mais cette fois en décalottant complètement son gland sous mes yeux. Il avait un magnifique sexe, plus beau que le mien, orné d'une petite touffe de poils bien sympa, mais je ne voulais pas le savoir. Il m'a demandé de venir le border, ce qui sous-entendait lui caresser le dos, je lui ai répondu que j'allais d'abord prendre une petite douche vite fait, vu que j'avais vraiment trop chaud (!). Je suis revenu de la douche, les reins ceints par une serviette, Corentin semblait à l'orée du sommeil, mais il a gémi en m'entendant approcher de lui, je me suis donc assis comme d'habitude sur le bord de son lit, il était nu comme à l'accoutumée, son dos vers moi, et je l'ai caressé comme je le faisais depuis des années pour qu'il s'endorme.

Et d'un coup, il crie, je suis surpris et me lève promptement, ma serviette tombe, il se retourne vers moi et me prend en photo avec son téléphone.

— Et alors, Théo, tu fais de l'exhibition comme ça avec tous les gamins que tu gardes pendant les week-ends ?

— Corentin, c'est quoi, ça ?

— Et en plus, tu leur caresses les fesses ?

— Corentin, tu sais que ce n'est pas vrai.

— Peut-être, mais si je le dis à mes parents, c'est moi qu'on croira, pas toi.

— Tu es devenu fou ?

— Non, juste que je n'aime pas quand tu me tripotes le cul et les couilles.

— Mais, Corentin, je ne t'ai jamais tripoté !

— C'est moi qu'on croira !

— Arrête, Corentin, ce n'est pas drôle, et je le vois qui s'empare de son téléphone portable.

— Corentin, tu fais quoi, là ?

— Tu le vois bien, je téléphone à mes parents.

— Corentin, arrête tes conneries, s'il te plaît.

— Demande-moi ça mieux.

— Corentin, je te supplie de ne pas appeler tes parents, si tu leur dis ça, je suis mort.

— Je veux bien attendre un peu avant de les appeler, Théo, mais tu vas faire ce que je te dirai, tout ce que je te dirai.

— Corentin, arrête, ce n'est pas drôle.

Le gamin a remis son téléphone contre sa joue.

— Bon, ok, tu veux quoi ?

— Branle-toi devant moi, fous ton sperme dans la paume de ta main et tu bouffes tout.

— Corentin, tu es fou ou quoi ?

— C'est ça ou je téléphone !

— Bon, ok.

J'ai commencé à me masturber devant ce sale gosse, il continuait à prendre des photos avec son foutu téléphone, surtout quand j'ai juté dans ma main et que j'ai avalé mon propre jus.

— C'est bien, Théo, et maintenant, tu vas me sucer.

— C'est bon, Corentin, ça suffit maintenant, j'ai fait ce que tu m'as demandé.

— Tu te tais et tu suces, m'a-t-il répondu en approchant son téléphone de son visage.

J'ai approché ma bouche de son entrejambe, que pouvais-je faire d'autre ? Je l'ai mis en bouche et je l'ai amené à jouir. Quand j'ai senti qu'il venait, j'ai voulu me retirer, mais sa main sur ma tête m'en a empêché et j'ai dû avaler son sperme jusqu'à la dernière goutte, il n'a lâché ma tête que quand sa queue est redevenue molle. Pendant cette fellation, il avait continué à prendre des photos.

— Théo, quand je me réveillerai demain, je t'appellerai et tu viendras me faire la même chose sans dire un seul mot.

— Corentin, arrête, s'il te plaît !

Son regard dur et intransigeant a fait que j'ai quitté sa chambre pour la chambre d'amis sans rien dire. J'ai mis plus de deux heures pour m'endormir, cherchant une solution pour sortir du merdier où je me trouvais, je n'en ai trouvé aucune, il me tenait par les photos qu'il avait prises dans toutes ces situations qui me compromettaient sans appel. Quelques minutes avant que je puisse m'endormir, je me suis dit qu'il me tenait par les couilles, que je ne pouvais rien faire d'autre que lui obéir, et j'ai assumé cette réalité avant de confier mes yeux et mon corps à Morphée.

Le matin m'est parvenu de sa chambre un appel bref « Théo, ici ». Il m'a reproché de m'être mis en pyjama, il m'a fait déshabiller, précisant que je devais rester à poil toute la journée. Il m'a fait mettre à genoux, mains derrière le dos, tête en arrière et bouche ouverte, il m'a pissé dans la bouche et j'ai tout dû avaler, il riait et moi je pleurais. Il m'a obligé à me mettre à genoux sur le lit, il voulait voir mon trou de cul, j'ai dû écarter mes fesses avec mes mains, jamais je n'avais connu pareille humiliation. Il a caressé l'entrée de mes intestins avec son index, je le suppliais d'arrêter, de ne pas entrer son doigt, mais ses caresses étaient si agréables que mes sphincters se sont détendus. J'ai crié de douleur quand son doigt est entré, il a commencé à trifouiller à l'intérieur comme on tourne avec une cuiller dans un pot de yaourt,je voulais qu'il retire son doigt, mais ce qu'il me faisait devenait agréable, j'en éprouvais encore plus de honte, ma queue s'est mise à durcir, il avait trouvé un endroit à masser qui me donnait des sensations étranges jusqu'au bout du gland, j'ai dû me rendre à l'évidence, j'aimais ce qu'il me faisait.

— Tu bouges bien ton cul, hein, petite salope, dis-moi que tu aimes ça.

— Oui.

— Mieux que ça.

— Oui, Corentin, j'aime ça.

— Supplie-moi de continuer.

— S'il te plaît, Corentin, continue, c'est trop bon.

— Dis que tu es une salope et que tu aimes mon doigt dans ton cul.

— Je suis une salope, j'aime ce que tu me fais.

J'avais à peine dit ça qu'une sensation étrange a parcouru mon bas-ventre, de ma queue à peine bandée est sorti mon sperme, sans à-coup comme si je me vidais sans pouvoir m'arrêter. Je me suis affalé sur le lit, mon ventre dans mon jus.

— Regarde ma queue et dis que tu l'aimes bien et que tu voudrais que je la foute dans ton cul.

Je ne sais pas ce qui m'a pris, mais c'est sorti comme ça. Je lui ai dit que j'aimais sa queue, qu'elle était belle, que j'avais toujours aimé le voir nu, que depuis des années, je devais me retenir pour ne pas la toucher, la caresser, que je bandais quand je lui caressais le dos, que son jus était bon et que j'en voulais encore, que je voulais la sentir en moi, que je voulais qu'il me sodomise.

Comment avais-je pu dire ça, je me suis mis à pleurer, et à genoux, je lui ai demandé d'oublier ce que je venais de lui dire.

— Trop tard, tu l'as dit, et je te la mettrai, mais avant, c'est Patrick que va te la mettre.

— Patrick ?

— Tu connais bien, Patrick, non ? Tu fais aussi du baby-sitting chez lui.

— Mais Patrick a 14 ans.

— Et alors ? Il a envie de te voir à poil, de te tripoter et de mettre sa queue dans ton cul.

— Corentin, s'il te plaît, avec toi je ferai tout ce que tu voudras, mais ne fais pas venir Patrick.

— Trop tard, je lui ai téléphoné, il va bientôt arriver, en attendant prépare le petit-déjeuner.

Je savais que je n'y couperais pas, Corentin l'avait décidé et il ne changerait pas d'avis, je me sentais totalement perdu, j'étais devenu le jouet de Corentin et j'allais être celui de Patrick. Mes pensées étaient confuses, partagées entre l'horreur du comportement de Corentin et le fait que ma totale soumission ne me déplaisait pas totalement.

Quand Patrick est arrivé, j'ai dû lui ouvrir la porte, il m'a fait mettre les mains sur la tête et a examiné et palpé toutes les parties de mon corps comme on examine un esclave avant de l'acheter : il a mis ses doigts dans ma bouche, il a pincé mes tétons à m'en faire mal, il a pris ma queue en main et l'a tripotée, décalottée jusqu'à ce que je bande devant lui, il m'a fait faire demi-tour, j'ai dû me pencher en avant en écartant mes fesses, il m'a entré son doigt dans l'anus, puis il m'a donné une petite claque sur les fesses, et j'ai dû le déshabiller entièrement. Quand j'ai vu son sexe, je n'ai pu que m'extasier devant sa taille, sa queue fine était plus longue que la mienne, il m'a fait mettre à genoux et m'a obligé à la prendre entièrement en bouche pour la faire bander, puis il m'a relevé en me tirant par les cheveux, il a arraché un poil de mon pubis, ce qui m'a fait crier, plus de surprise que de mal, et son verdict a été : « trop de poils, on va enlever tout ça ». Ce gamin voulait faire disparaître les signes de ma virilité auxquels je tenais le plus : ma toison pubienne, et je savais que j'y passerais. Puis il s'est détourné de moi pour rejoindre Corentin qui avait tout photographié, j'ai pu déjeuner avec eux, mais je devais me taire. Corentin a raconté à Patrick tout ce qui s'était passé de puis hier soir, n'omettant aucun détail, jusqu'à son pipi du matin où je lui avais servi d'urinoir. Ma honte était à son maximum, mais ... je n'arrêtais pas de bander à en avoir mal. Corentin l'a vu, j'ai dû me mettre debout face à eux, ils voulaient voir en permanence ma queue raide, et ils ont voulu que je me caresse devant eux pour la tenir droite. A 18 ans, me toucher devant deux gamins de 14 et 15, c'était de la folie, de la pure folie, mais le plus grave, c'est que je commençais à apprécier ça.

Après le petit-déjeuner, Corentin a allumé son ordinateur tandis que Patrick m'a emmené dans la salle de bain ; du cou aux chevilles, tout mon corps est passé par les lames du rasoir jetable qu'il maniait comme un pro, devant et derrière, et je l'ai laissé faire sans dire un mot. J'étais plus nu que nu quand Patrick m'a emmené devant Corentin qui a passé sa main sur l'entièreté de mon corps, je bandais devant lui, mais ça ne m'a pas trop dérangé, j'avais accepté que mon corps soit à lui. Corentin nous a dit qu'il avait créé un espace web où il avait mis un blog avec toutes les photos qu'il avait prises de moi, il les a fait défiler sous les yeux lubriques de Patrick qui, régulièrement, se tournait vers moi en me disant « tu es vraiment une bonne salope, toi, une vraie petite pute ». Et Corentin de renchérir « j'ai envie de donner l'adresse de ce blog aux copains à l'école ».

 

Ils m'ont ensuite fait mettre à genoux, mains derrière le dos, à côté du lit, je devais les regarder se toucher, s'embrasser, se lécher, se sucer, se mettre un doigt ou la queue dans le derrière. Je n'aurais jamais cru que deux garçons puissent se toucher comme ça, et malgré ma position d'esclave pour eux, je bandais ferme, j'en arrivais presque à espérer qu'ils me disent de les rejoindre, mais après une demi-heure, ils ont quitté le lit, me laissant planté là. Puis Patrick a claqué sur mes fesses, tandis que Corentin m'a dit « allez, la petite salope, à quatre pattes sur le lit ». Je me suis exécuté, j'ai dû plier les bras pour avoir la tête sur le drap, mon intimité exposée à leurs regards, leurs quatre mains me touchaient, parfois caressaient mes fesses, parfois les tapaient de la paume de la main, ils touchaient et tiraient mes bourses, ma queue, ils examinaient des yeux et des doigts mon anus, et j'ai senti comme un liquide gras déposé sur mon trou et introduit par des doigts à l'intérieur.

Corentin est venu devant moi, m'a remis sur les mains et m'a dit « tu me suces, mais tu ne me fais pas jouir », j'ai mis sa queue en bouche tandis que derrière moi, je sentais le gland de Patrick à l'entrée de mon corps, il a forcé l'entrée lentement mais inexorablement, j'avais mal, mais c'était trop bon, il a empoigné mes hanches et a martelé mon cul faisant à chaque mouvement coulisser mes lèvres sur la queue de Corentin, il a déversé son jus d'ado dans mon ventre en hurlant, puis ils ont changé de place, j'avais en bouche la queue de Patrick encore pleine de son sperme et du jus de mon cul, et Corentin s'est introduit en moi, il m'a fait plus mal que Patrick, leur queue ayant un gabarit différent, j'étais une salope mais j'aimais cette sensation entre mes fesses, je gémissais sourdement. Corentin y allait sauvagement, brutalement, comme pour bien me montrer qu'il était le maître, tandis que Patrick poussait son gland tout au fond de ma gorge. J'ai senti que j'allais jouir devant ces deux gamins, je voulais tout faire pour empêcher ça, mais le plaisir a été le plus fort, j'ai éjaculé comme jamais tandis que Corentin se vidait en moi et que Patrick m'envoyait encore une dose de sa liqueur dans ma gorge.

C'était trop pour moi, je me suis effondré sur le lit en pleurant à chaudes larmes, en les suppliant d'en finir avec tout ça. J'ai senti leurs mains sur mes cheveux, la nuque, le dos, les fesses le dos des cuisses, elles me caressaient tendrement, je ne comprenais plus rien, ils ont couvert mon dos de baisers tendres.

— Qu'est-ce qui se passe ?

— Théo, on t'aime.

— Vous appelez ça aimer ? Vous m'avez traité comme une pute.

— On t'aime tous les deux, et c'est le seul stratagème qu'on a trouvé.

Je me suis mis sur le dos, et Corentin m'a embrassé sur la bouche, sa langue a caressé mes lèvres, je les ai ouvertes et j'ai embrassé mon Corentin à pleine bouche tandis que Patrick embrassait et léchait mon ventre et mon sexe, puis il est venu près de ma bouche, m'a embrassé tendrement à son tour, ensuite les trois bouches se sont rejointes, et on s'est léchés, sucé les bouts de langue, alors qu'ils caressaient ma queue tous les deux.

Quand on s'est calmés, ils se sont blottis tout contre moi, j'ai passé mes bras sous leur épaule pour les serrer très fort.

— Vous m'avez bien eu, tous les deux.

— On savait que tu avais envie de nous, a dit Corentin, je savais que tu bandais quand je me mettais nu après la douche.

— Et moi, depuis que je suis devenu ado, tu étais dans la salle de bain à chacune de mes douches, et ton short était gonflé.

— Et moi qui pensais être discret.

— Tu ne nous en veux pas ?

— Non, mes petits amours.

— Ce soir et demain, ce sera à toi d'honorer nos petits culs.

Corentin a décroché le téléphone qui sonnait et il m'a passé l'appareil. C'était la mère de Patrick qui me demandait si je pouvais le garder en même temps que Corentin jusqu'au dimanche soir. Les deux gamins rigolaient, ils avaient bien préparé leur coup.

Ce week-end de baby-sitting a été le plus beau de ma vie et il y en a eu encore beaucoup par la suite, chez Corentin ou chez Patrick, parfois je « gardais » les deux pour qu'ils ne fassent pas de ... bêtises.

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Jeudi 15 novembre 4 15 /11 /Nov 11:09

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Je n'en revenais pas de toutes ces belles grosses queues. Plus je tournais les pages et plus elles paraissaient énormes. Je me branlai plus vite car je ne voulais pas que mon oncle me trouve me masturbant dans le fond de la grange en regardant une revue porno gay. Depuis que j'etais en famille d'accueil chez lui, je n'avais pas eu beaucoup le chance de baiser car j'étais assez occupé avec les travaux de la ferme et il me restait peu de temps pour les sorties. De toute façon, comme disait mon oncle et ma tante: "à ton âge, 15 ans, il n'est pas très bon de traîner en ville avec des copains." Je les trouvais un peu sévère mais c'était mieux que le centre d'accueil où j'étais avant. La seule chose qui me dérangeait un peu, c'est que quelques fois la nuit, je les entendais se disputer et au matin, mon oncle en avait pour l'avant-midi à être de mauvaise humeur. J'étais tellement concentré sur mon excitation que je n'entendis pas mon oncle arriver.

Quand je le vis debout devant moi, je crus mourir de honte. J'étais pétrifié. Il parut aussi stupéfait que moi. Il prit le magazine dans ses mains, regarda quelques pages vitement et le lança sur moi. D'une voix dure, il me dit:

— Tu sais, il y a des endroits plus discrets pour se donner du plaisir.

J'étais mal à l'aise, ne sachant quoi répondre. Je ne pouvais quand même pas lui dire qu'en plus de me branler dans la grange, je le faisais presque tout les soirs dans mon lit en pensant à lui. Depuis mon arrivée, combien de fois avai-je fantasmé sur lui. Bien des fois en le voyant travailler dans la grange, je devais me contrôler, tellement j'étais en érection, pour ne pas me cacher dans un coin pour me soulager. Étant bel homme, grand, cheveux noirs courts, épaules larges, torse et jambes musclés. Pour travailler dans la grange, il portait toujours un jeans usé moulant qui laissait paraître des belles fesses rondes et d'après son entrejambe, il devait être bien membré. Voyant par mon silence que j'étais troublé, il me dit en radoucissant un peu sa voix:

— Nous allons devoir avoir une bonne discussion et pas plus tard que ce soir. En attendant, dépêche-toi de remettre tes pantalons et termine ton ouvrage.

Le soir venu, il vint me voir dans ma chambre et s'approcha de moi.

— D'abord, je voudrais m'excuser si je t'ai parlé un peu durement cet après-midi. Comprends bien que je ne m'attendais pas du tout à ça. Comme je trouvais que tu étais long à revenir, je voulais voir ce qui t'arrivait.

— Je sais. Je suis vraiment désolé et je te promets que cela n'arrivera plus.

— Je te crois. Mais dis-moi, as-tu déjà baisé avec homme ou ça a toujours été au stade de la masturbation?

J'étais encore plus mal à l'aise. Je baissai les yeux et lui répondis faiblement:

— Oui, j'ai déjà baisé avec un homme.

— Vraiment?

Il paraissait encore plus stupéfait que cet après-midi.

— Ça s'est passé quand?

Je ne savais pas si je devais répondre, j'avais peur qu'il se fâche.

— L'année dernière, au centre d'accueil.

— Tu faisais ça avec ton camarade de chambre?

— Non, c'était avec le gardien de nuit.

Hébété, il se laissa tomber sur le pied de mon lit et me regardant, il me demanda:

— Il te forçait à le faire?

— Au début oui. Il me forçait à le sucer et il m'enculait. Les premières fois je n'aimais pas tellement ça mais par la suite, c'est moi qui allait le trouver.

Mon oncle se releva lentement, semblant ahuri par ce que je venais de lui dire. Il me regarda un moment sans rien dire et me demanda:

— Et depuis que tu habites ici, as-tu couché avec un homme?

— Non, pas depuis que je suis ici. Je n'ai pas eu de relation sexuelle depuis presque un an.

Après l'état de choc passé, il me dit que ma vie sexuelle ne le regardait pas mais il me demanda d'être prudent pour que ma tante et les gens du village n'en sachent rien. J'étais heureux de lui avoir tout avoué et encore plus qu'il n'était pas faché.

Pendant les 2 semaines qui suivirent, je ressentis une drôle de sensation. À chaque fois que nous travaillions dans la grange, j'avais l'impression qu'il avait toujours les yeux fixés sur moi. Quand je le regardais, il détournait son regard. Je me convainquais que c'était mon imagination. Le vendredi, ma tante nous annonça qu'elle partait le soir même pour aider sa belle-soeur qui avait accouché. Resté seul avec mon oncle, je passai la soirée à écouter de la musique et me couchai tôt car je devais travailler seul une partie de la journée car mon oncle avait des choses à régler en ville.

Au début de l'après-midi, revenu de la ville, il vint me rejoindre dans la grange. Il était torse nu et portait son jeans usé. Je détournai vite mes yeux sentant ma queue se reveiller. Alors que je m'affairais, je remarquai qu'il se tenait debout, adossé à une poutre et il me regardait, une bière à la main. Après un moment, il me fit signe de m'approcher.

— Tiens, prends une gorgée, ça va te rafraîchir.

En prenant la bouteille, mes yeux se posèrent sur sa bosse dans son jeans, je remarquai qu'il était en érection.

— Tu sais, depuis 2 semaines, je ne cesse de penser à ton histoire.

Je lui redonnai la bouteille, ne sachant trop où il voulait en venir. Il but la dernière gorgée et la jeta par terre.

— Veux-tu être gentil avec moi?

Je le regardai perplexe.

— Je veux bien mais que veux-tu dire par être gentil?

Au lieu de me répondre, je le vis mettre sa main sur sa braguette et descendre sa fermeture-éclair.

— Fais moi comme tu faisais à ton gardien: suce moi!

Je n'en croyais pas mes oreilles. Mes fantasmes allait-ils devenir réalité?

— Mais mon oncle, si ma tante...

— Laisse faire ta tante. Elle se fout bien du sexe. Pour elle, une fois par mois c'est suffisant. Allez, cesse de discuter, prends ma queue dans ta bouche et suce moi bien.

Je m'accroupis devant lui, baissai son jeans et je vis apparaître sa grosse queue, au moins 20 cm, bien dure devant mes yeux. Je laissai d'abord glisser ma langue le long de son sexe chaud. Du bout de la langue, je frottais son gland qui durcit. Sa queue réagissait à chacun de mes coups de langue. Je l'entendais gémir, me dire comment c'était bon. J'ouvris grandement ma bouche et engouffrai sa grosse queue. Je pompai d'abord doucement afin de déguster sa verge. Mes lèvres montaient et descendaient le long de son sexe. Il posait ses mains sur ma tête et je voyais le bas de son corps se trémousser tellement il aimait ça. Après l'avoir sucé un bon moment, il me releva et m'amena vers le fond de la grange et alors qu'il enlevait son jeans, il me dit de faire comme lui.

— Tu suces vraiment bien, c'est à mon tour de te faire plaisir.

Il me fit mettre à quatre pattes sur une botte de foin et doucement, il rentra sa grosse queue bien au fond dans mon anus. Sa queue allait et venait en moi. Cette fois, il n'était pas seul à gémir. Il me défoncait d'abord lentement et encouragé par mes cris, il augmenta le rythme. Il me tenait fermement par les hanches et je la sentais bien au fond. Nos gémissements se mêlait les uns aux autres tellement nous jouissions. Après avoir éjaculé, il retira son sexe et le remit dans ma bouche. Je le suçai en le masturbant et il jouit dans ma bouche.

Fort content de cette nouvelle expérience, il me demanda souvent de le sucer ou de m'enculer quand nous étions dans la grange. Je ne refusais jamais tellement il me faisait jouir. C'est 2 ans plus tard que tout cessa car je quittai mon oncle et ma tante pour vivre ma vie. Encore aujourd'hui, il m'arrive de me branler en pensant à lui, même si j'ai une vie sexuelle bien remplie.

 

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Mardi 13 novembre 2 13 /11 /Nov 13:11

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Je suis l'amant de mon ami d'enfance, le beau Frédéric, de ses 1.75 et son poids de 59 kl, musclé comme un beau sportif, ces cheveux bruns/blonds bouclés et ses beaux yeux bleus et surtout son beau gros 20 cm uncut que j'adore sucé et avalé, lui préférant surtout défoncer mon petit cul, qu'il a eu juste pour et vierge.

Comme il me dit, mon surnom amical, qu'il m'a donné, bout d'cul. Me va bien de mes 1.80 pour 60 kl  j'ai les cheveux  noirs d'un noir charbon et un beau 18 cm, qu'il aime bien manger.

Presque tous les jours, au retour de nos cours, Frédéric passe chez moi, dans ma chambre, sans ce douché, comme il dit, il aime ma senteur de bout d'cul et de mon cul, qu'il aime lécher en bon 69, avant de me pénétré à fond de son beau gros 20 cm. Pour me faire hurler, plus je gueule, plus ca le rend mâle et viril.

Ce jour là. Il était grimpé par-dessus moi et m'enculait à fond de son super 20 cm grognant que j'avais, un si beau petit cul chaud, me faisant crier,

— Encore plus à fond, encore, oui Prend moi Frédéric, je suis à toi mon amour.

Comme j'ai entendu mon père me crié?

— Martin, que fais-tu là.

— Papa...

— Mon fils est entrain de se faire baisser par un autre homme.

— Mais, papa, je...

— En plus, tu lui dis, encore et encore. Donc tu aime ça

— Oui, papa, je suis GAI...

Frédéric étais déjà à remettre ses jeans, quand mon père lui à dis.

— C'est bien ton nom, le jeune, qui encule mon propre fils, dans ma maison.

— Frédéric, Monsieur.

— Alors Frédéric, reste à poil et fini ce que tu as commencé.

— Mais, Monsieur, ça pas de sens.

— Je t'es dis fini ton travail, en homme où préfère tu, que ton père vienne nous rejoindre, pour lui permettre de voir son fils enculé mon fils.

— Non, Monsieur pas ça, s.v.p.

— Alors. Montre-moi, ton savoir-faire.

Frédéric, rouge comme une tomate trop mûre, débandé, revient vers le lit, ne sachant quoi faire... Mon père, nous dit sucé vous en 69 et après encule mon fils, que je vois ça, les préférences sexuels de mon fils. Nous avons commencé un 69 et à se sucé, nous avons re-bandé raide et mon père m'à dit d'offrir mon cul a Frédéric, je me suis levé, debout bien penché et offrant mon cul a Frédéric, mon père c'est approché de moi et m'a dis, de son timbre de voix calme.

— Si mon fils, peut sucer un homme, il peut sucer son père.

Il baissa ses pantalons et sorti un super très gros 8" qu'il me mit dans la face et j'ai ouvert ma bouche, pour lui mangé sa belle grosses queue bandé raide, tout en lui cajolant ses deux grosses couilles poilus, tout en étant bien enculé pas mon amant Frédéric, mon père se tourna, pour que je lui lèche et mange son cul poilu...

Frédéric a crié.

— Je vais jouir...

— Non, pas si vite mon gars, si tu peux enculé mon fils, tu peux te faire enculer par son père, installe-toi comme Martin.

— Mais Monsieur, je ne...

— Pas de MAIS, penche toi et offre ton cul a son père, oubli pas que mon fils viens de cette queue là, alors pour apprécié encore plus mon fils, tu te dois de sentir et goûter la queue qui la conçu, alors penche-toi.

Frédéric, tout penaud, se pencha me regardant dans les yeux, lui qui n'avait jamais été enculé, mon père se cracha dans la main, se passa la main sur son gros gland et dans la craque des fesses de Frédéric et aussitôt lui poussa sa queue dans son cul vierge, bien à fond, d'un seul coup... Frédéric, ne dis pas mot, mais a voir les grimaces dans sa face, j'ai compris sa douleur, il en avait les yeux tout mouillés, dans un silence total, mon père lui a littéralement défoncé son cul vierge et il a continué son manège de va et vient pendant plus de dix minutes et même Frédéric avait retrouvé son sourire que j'aime tant, mon père lui a dis tourne-toi, maintenant tu va avalé le sperme qui à engendré mon fils que tu aime tant, Frédéric se tourna et se mit a sucé la grosse queue de mon père qui lui donna de 5 a 6 grandes giclées de sperme a avalé et Frédéric avala tout en silence. Mon père dit.

Maintenant a toi mon fils de goûter a la queue de ton père, met toi à quatre pattes et il m'encula aussitôt a fond de son gros 22 cm, (super de sentir en soi, la propre queue qui vous à créé) il me défonça virilement pendant de longues minutes avant de me faire tourner et de me faire avaler le même sperme qui avait fais de moi, ce que je suis.

Mon père remis ses pantalons et nous dis.

— Mes enfants aimés vous, comme vous le mérité, mais de grâce, laissé votre mère hors de ça, baissé autant que vous voulez. Mais soyez prudent, mes fils.

— Merci, papa.

— De rien mon fils et je te demande, juste une chose, n'oublie pas que ton père aussi aime le sexe, surtout que ta mère est devenue frigide.

— Pas de problèmes papa, quand vous voudrez, n'est-ce pas Frédéric.

— Oui, monsieur, quand vous voudrez.

— Parfais, je vais vous organiser une fin de semaine de pêche à trois, que vous n'oublierez pas de si tôt...

Cette extraordinaire fin de semaine de pêche, ou nous n'avons même pas pêché, est à venir... Mon père nous avais préparé toute un fin de semaine inoubliable.

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Dimanche 11 novembre 7 11 /11 /Nov 19:36

raclette10

On ne roule pas sur l'or mais grâce au nouveau boulot de ma mère on s'en sort un peu mieux, elle vient d'être embauchée comme attachée de presse d'une grosse marque de voiture américaine. grâce à ses études, elle parle très bien l'anglais quand à moi je me débrouille plutôt bien grâce aux cours que je suis le mercredi après-midi avec mon prof d'anglais, il s'appelle Henry, a 25 ans et est très cool car il me donne ses cours gratuits à domicile. Nadir travaille toujours à l'hôpital et depuis une semaine il n'avait pas baisé ma mère car je ne l'entendais plus crier la nuit alors que d'habitude je l'entendais gémir un bon moment de la nuit sans se soucier de moi, leur relation était devenue normale à la maison.

 

Ma mère a complètement changer de look, de son niqab de maman religieuse elle est passée à maman cougar et elle porte plus souvent des jupes est des dècolletés qui font bien ressortir son importante poitrine, elle dit que c'est à cause de son boulot sinon elle ne l'aurait pas eu. J'y croyais pas mais bon je m'en foutais.

 

On était au mois de mai, la dernière semaine Nadir rentra chez lui à Montpellier, j'avais fini mes cours et je faisais la larve en restant chez moi, c'était un mardi il était 15h, j'étais dans le salon en caleçon je regardais la télé. je me lève faire une douche et m'habiller car mon prof d'anglais n'allait pas tarder à arriver, j'étais douché habillé et mon prof sonna. j'ouvre la porte et il est vêtu d'un short minable blanc et d'un tee short blanc. Ce qui m'impressionnait c'était que son short était tellement petit qu'il lui serrait l'entrejambe, ce qui formait une grosse bosse au niveau de sa bite.

On va dans ma chambre et on s'installe sur mon bureau, il commence par me donner un exercice que je fis. J'étais en plein dans mon exercice quand je sentit sa main sur ma cuisse, mon cœur battait à 100 à l'heure, je ne dis rien et continuai l'exercice et mon prof lui remontait doucement jusqu'à ce que sa main empoigne ma bite, je le regarde et lui dit :

- Monsieur, vous faites quoi, enlevez votre main !

- Tranquille Abdel je veux te donner du plaisir c'est tout !!!

Il me prend ma main, je le laisse faire sans dire un mot et il la pose sur sa bite qui était déjà toute dure.

Je ne savais pas quoi faire et décidai de céder, je commençais à lui appuyer sur sa bite et la libère de son short. il était assis sur la chaise et moi j'étais as genoux entre ses jambes sa bite dans ma main, il me caresse les cheveux et me dit :

- Vas-y Abdel suce ton prof, tu verras c'est super bon !!

Je descends et commence à lui sucer sa queue, j'y croyais pas j'avais une bite dans la bouche et je trouvais ça plutôt cool jusqu'à ce que ma mère entre dans la chambre et me trouve en train de tailler une grosse pipe as mon prof d'anglais. j'étais mort de honte, je me lève et ma mère me met une grosse gifle et me dit :

- Ah ! Tu n'as pas honte de sucer une bite, tu me dégoutes espèce de salope, grosse putain va !!!! Adresse moi plus la parole !!!!

Elle me remit une grosse gifle et me crache sur le visage avant de repartir derrière mon prof qui lui se sauva directement.

 

 

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Samedi 10 novembre 6 10 /11 /Nov 22:50

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J´avais environ 16 ans, l´histoire commence alors que ma sœur était partie et ma mère était à l´hôpital. Mon père m´avait cloué au sol et naturellement a tenté de rentrer en moi; étant le plus fort, il a réussi à me clouer au sol en tenant mes jambes au-dessus de ma tête et naturellement il s´est introduit en moi. Je m´étais juré vengeance et en plus il avait dit une chose qui n´était pas tombé dans l´oreille d´un sourd. «Si tu veux m´enculer, il faudrait que je sois saoul et que je ne sente rien.» Ce jour là, il m´a avoué être bisexuel.

Le temps s´est écoulé jusqu´au jour où j´ai été invité par mon père à l´accompagner à son club de quilles qui fêtait je ne sais plus trop quoi! Puisqu´il m´avait averti quelques jours avant, j´avais pris des dispositions.

Naturellement, j´avais grâce à mon père quelques notions sur le sexe. Alors que la nuit s´avançait, mon père voulait rentrer à la maison, mais dans quel état! Impossible de marcher seul. Il a fallu que je le soutienne et naturellement pendant le chemin du retour, j´en profitais pour caresser ses fesses. Nous devions passer par le cimetière et j´en profitais pour le conduire aux toilettes où j´avais grâce à mon mobil fait venir un copain. J´allais maintenant jouir de ma vengeance.

Je le déshabillais et l´asseyais sur mon copain qui le prit ainsi ensuite il l´allongea sur le sol et nous avons pissé sur lui. Ensuite mon copain mit sa queue dans la bouche de mon père et quand celui-ci sentit cela, il commença à têter comme un fou. Quand mon copain eut fini, il partit mais moi aussi j´avais envie aussi. Je mis la mienne dans sa bouche et cela lui plaisait.

Il fallait quand même rentrer à la maison, et nous devions encore traverser un petit bois que je connaissais bien. Arrivé à la petite clairière, je le couchais sur le ventre et lui descendais son pantalon. J´avais pris soin d´emmener un dildo de mon père (25x5cm) que naturellement je mouillais avec ma salive et je l´enculais avec ce dildo. Au départ, il me suppliait d´arrêter mais petit à petit, ses cris devinrent des gémissement. Maintenant qu´il était prêt, je pus moi-même le prendre.

Il était vraiment temps de rentrer.

Naturellement, il y avait pris goût et moi aussi, c´est pourquoi quand ma mère n´était pas là, il en profitait, et moi j´aimais sa queue maintenant et surtout la sentir en moi. J´aimais aussi son jus dans ma bouche mais aussi sur mon visage. Non seulement chez nous mais dans la voiture, le bois, même des parties organisées où avant, je prenais soins de le faire boire ainsi nous pouvions abuser de mon père avec des élèves de ma classe et quand tous étaient vidés et mon père bien plein, je lui donnais ce qu´il aimait bien: ma pisse à boire et naturellement mon bon jus de jeune mâle.

Mon père est mort j´avais à peine 18 ans, mais entre 16 et 18 ans, ce fut pour moi les plus beaux moments de satisfaction.

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Dimanche 4 novembre 7 04 /11 /Nov 21:53

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cette histoire s’est déroulée il y a quelques années en Irlande, où, à l’âge de 20 ans, j’avais décidé de passer une année à l’université pour perfectionner mon anglais. La famille d’accueil qui m’avait reçu était composée de quatre personnes: Gabriel, le père avait une cinquantaine d’années, il était marié avec Marjorie et ils avaient deux enfants, Paula, qui avait le même âge que moi et suivait les mêmes cours et Sean qui en avait 15 ans.

Je fus un peu surpris par la climat familial en arrivant mais je réussis à m’y habituer. Gabriel avait été séminariste et même je crois bien prêtre, puis il avait rompu ses vœux. L’ambiance du foyer était donc très pieuse, voire austère. C’était plutôt le genre col de chemise fermé jusqu’en haut, prière avant tous les repas et messe bien sûr le dimanche. Par ailleurs, Marjorie était une maniaque absolue du ménage et de la propreté. Tout brillait dans la maison, y compris ses habitants. J’avais donc réussi à me plier à ses rites, cela avait même freiné ma sexualité qui n’était pas très développée. Si en France j’avais l’habitude de me branler dès que je bandais, notamment le soir ou le matin, ici j’avais à peu près arrêté, de peur de laisser des traces compromettantes.

Je n’arrivais pas trop à m’intéresser à des vraies relations sexuelles avec des filles, je n’avais couché que deux fois. Pour la forme, j’avais tenté de draguer Paula mais cette dernière était un vrai bloc de glace avec moi. Assez rarement, la famille avait fait des repas de fête, dont bien sûr pour Noël, où exceptionnellement on avait droit de boire ces délicieux whiskys locaux. Bref, l’année s’écoula, relativement terne, et je commençais à me préparer à passer l’examen final, attendre les résultats, puis fêter mon départ.

On y arriva doucement et puis un jour fut fixé. Je sentais que Marjorie stressait car elle voulait que tout soit impeccable. Sean, qui m’avait toujours semblé triste, le paraissait de plus en plus. Quant à Gabriel, il restait toujours aussi distant. Le soir venu, je contemplai l’organisation de la salle à manger. La table avait été poussée contre un mur, on y avait placé des sandwiches, un saladier contenant un liquide alcoolisé. Il y avait quelques cotillons. Ils étaient tous installés dans le coin salon sur le canapé et se levèrent pour venir m’embrasser. J’allai avec Paula dans la cuisine pour l’aider au service quand celle-ci me glissa dans l’oreille que pour que ce soit plus fun, elle avait corsé le cocktail. Cela m’émoustilla un peu, il y allait avoir de quoi s’amuser. Et en effet, Gabriel se servait copieusement, en ne m’oubliant pas.

À un moment, il voulut me faire goûter une liqueur traditionnelle locale. Tous me regardèrent avec curiosité ou amusement quand je commençai à déguster. C’était à la fois doux et onctueux mais traître car je sentis une grande chaleur en moi. Petit à petit, j’avais de plus en plus soif et seul l’alcool me rassasiait. Paula avait mis la musique et dans un brouillard naissant, je la voyais qui commençait à danser. À un moment, il me sembla qu’elle avait enlevé tee-shirt et sous-tif. Quelques minutes plus tard, je la vis soulever sa jupe. Je crus qu’elle y glissait un objet. Ce fut ensuite le trou noir.

Quand je repris conscience, avant même d'ouvrir les yeux, je sentis que j'étais allongé sur quelque chose de dur, que j'étais entravé et quelque chose me passait sur les lèvres. Une odeur très forte finit par me faire émerger. Je crus être dans un rêve, cela m'arrivait souvent d'en faire d'érotiques, mais je finis par prendre conscience que Gabriel me passait sa queue en semi-érection sur le visage. Je voyais son slip un peu abaissé et à voir la couleur, je compris l'origine de la senteur. En fait, j'étais allongé nu sur la table, mes mains et mes pieds attachés par des cordages. J'étais placé de telle façon que ma tête pendait un peu en arrière, ce qui me permettait de voir Gabriel par en dessous, du haut de ses cuisses à son torse puisqu'il avait sa chemise ouverte. Mes jambes pendaient dans le vide de l'autre côté, mes fesses étant juste sur le rebord.

Quand il vit que j'étais éveillé, Gabriel commença à bander. Son gland décalotté laissait voir qu'il n'avait aucune hygiène intime. Cela me surprit, mais ce n'était pas cela qui me préoccupait le plus. Qu'allait-il m'arriver? Il me saisit alors par le cou et parvint à me faire ouvrir la bouche où il engouffra son gourdin qui durcit encore en y entrant. Je n'eus même pas le réflexe de mordre et de toute façon, je crus pendant quelques secondes que j'allais étouffer. Intuition naturelle? Je sentis ma langue appuyer le dard et monter le long du gland. De toute façon cela ne dura pas longtemps quand j’aperçus sa crème se déverser en moi. Il se retira, son sperme épais commençant à me dégouliner le long des commissures. L'alcool devait faire de l'effet car je trouvais ça tout à fait normal, je me sentais extérieur à moi-même.

Sa bite n'avait pas eu le temps de ramollir qu'il se dirigea vers mon cul et reprit son manège. Il me la passait de haut en bas dans la raie. Tout en m'injuriant copieusement il me cracha sur l'anus et quand il estima qu'il était prêt, il me perfora d'un coup net. Je ne pus m'empêcher de hurler, des larmes me montèrent aux yeux. Malgré ma vision brouillée, je vis quelqu'un se relever du canapé où il devait être allongée, c'était Paula qui nous regardait en souriant bêtement. Son père se déchaîna en moi. Pour que ça glisse mieux, il versait du reste du punch qui était dans le saladier et pour faire taire mes cris qui s'étaient transformés en gémissements; il m'en faisait couler aussi dans la bouche. En effet, la chaleur du ramonage me procurait des sensations extraordinaires. Je m'étais mis moi aussi à bander et sans me toucher, j'éjaculai par de longs jets dont l'un vint s'écraser sur mon visage. Gabriel était rouge vif. Dans un dernier ahanement, il se retira pour s'écraser sur moi. Je sentais son sperme chaud s'étendre sur mon ventre. Il partit et s'affala sur le fauteuil où 30 secondes plus tard il se mit à ronfler.

Tout à coup, je sentis les liens se distendre et je parvins à me libérer. Je marchai en écartant les jambes car j'avais le cul bien éclaté pour m'approcher du canapé où était Paula. Lorsque je la vis, je fus soufflé par le spectacle. Marjorie était couchée, les yeux révulsés, se passant la langue mécaniquement sur la bouche comme si elle était en transe pendant que sa fille la léchait avec avidité tout en se doigtant. Elles jouissaient toutes les deux en symbiose et cela m'excitait. Je voulus m'approcher mais Paula me repoussa. Une certaine nausée due à l'alcool s'empara de moi et je décidai de monter à ma chambre en titubant.

Il y eut un second trou noir et quand j'ouvris les yeux je me retrouvai allongé sur mon lit. Combien de temps s'était passé depuis l'épisode de tout à l'heure? De plus, Sean était lové contre moi, je sentais sa jeune verge bien dure qui frémissait contre ma cuisse. La tournure des événements devenait extraordinaire, sortais-je d'un rêve? En recommençais-je un? Il entreprit de me lécher le cul et je compris malgré la douceur et la fraîcheur de sa langue que celui-ci avait bel et bien été forcé. Je me décidai à l'arrêter et lui posai des questions.

— C'est ton père qui m'a fait ça? Je ne l'ai pas imaginé?

— Non, m'avoua-t-il. Mais je suis là pour que tu lui pardonnes; prends-moi à ton tour.

Sa tendresse m'avait excité, et tout ce temps passé sans me vider régulièrement les burnes me poussèrent à accepter son offre. Je voulais être plus attentif que son père. J'ouvris ses petites fesses musclées qui cachaient un petit trou imberbe. J'appuyai par petits coups pour qu'il puisse petit à petit me laisser entrer. Quand j'y fus, j'étais délicieusement serré. J'entrepris de le pilonner de plus en plus fort. L'envie me poussait à devenir plus exigeant. Je le voyais se serrer les lèvres, je lui fis mordre un de mes doigts. J'accélérai alors encore la cadence et je finis par me répandre en lui. En passant ma main pour lui caresser le sexe, je me rendis compte qu'i avait joui aussi. Je pris tout de même son sexe en bouche pour le lui nettoyer. Il avait un goût frais et je dirais, fleuri. Je lui fis remarquer que par rapport à son père, c'était le jour et la nuit. Il avoua alors que Gabriel, par croyance, ne se touchait jamais le sexe, ni lorsqu'il se lavait, ni même lorsqu'il pissait, de même il ne changeait de sous-vêtements que très peu. Nous finîmes par nous endormir après bien des révélations.

Quand je me réveillai, je m'aperçus que j'avais retrouvé mon pantalon de pyjama habituel. Je descendis prendre mon petit-déjeuner et ils étaient tous les quatre à table comme d'habitude. Nous fîmes la prière et je commençais à penser que j'avais décidément rêvé. Mais alors pourquoi lorsque je m'assis sur les chaises pourtant confortables, je sentis une douleur m'élancer aux fesses?

 

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Dimanche 4 novembre 7 04 /11 /Nov 00:07

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J’étais sorti avec Sylvain (j’étais désormais avec Anna), un lycéen comme moi n’avait pas forcément encore choisi vers quel sexe il se destinerait. D’ailleurs, ça ne me gênait pas et c’était de notoriété publique. Anna le comprenait très bien et quand nos relations devinrent plus poussées, elle me présenta à David, son père. Ce dernier vivait seul, de petits boulots, on aurait cru un ado attardé malgré ses 42 ans. Je sympathisai rapidement malgré quelques détails qui ne me plaisaient pas trop. Il draguait ouvertement les amies de sa fille, me parlait beaucoup de sexe dans nos discussions particulières avec force détails, parfois bien gras. Je savais qu’il lisait des revues de sexe, regardait beaucoup de films X, était souvent branché sur Internet sur des sites pornos.

Nous avions décidé de faire se rencontrer nos familles respectives, si bien que l’été suivant, on loua une maison à la campagne. David entreprit de séduire ma mère et il y parvint car un soir que je me promenais seul à attendre Anna, je le vis entre les jambes écartées de maman en train de la lécher. Et dire que mon père ne se rendit compte de rien!

Deux jours après, j’étais en train de nettoyer la douche, enfermé dans la cabine, quand j’entendis quelqu’un entrer et fermer la porte derrière lui. Comme il y avait également des WC, je sortis pour prévenir de ma présence. C’était David; il ne fut même pas décontenancé. Il baissa son short, s’assit sur les toilettes et commença son œuvre. Il avait une revue X dans les mains et était venu pour se branler. Il se prit sa queue qui était décalottée et bien droite et commença son va-et-vient. J’étais interloqué. Il me dit qu’entre mecs, ce n’était pas gênant, qu’il se masturbait une à trois fois par jour depuis qu’il était ado, qu’il l’avait fait plus d’une fois devant d’autres, notamment dans son club sportif et que je n’avais qu’à le faire aussi, ça l’exciterait moins qu’une fille se doigtant mais c’était toujours entraînant. C’était un rapide car il éjacula rapidement et se réajusta aussi vite. Il me dit en partant: "Tu devrais faire pareil, je parie que tu as la gaule!" Et en sortant, il me saisit le paquet qui en effet était à l’étroit. Je restai seul comme un idiot et je poursuivis mon nettoyage. En regardant dans la cuvette des WC, je vis qu’il y avait encore une petite coulée de sperme. J’y mis mon doigt et je l’approchai de mon nez. Ça me rappelait mes quelques expériences gaies.

Cet épisode renforça «l’affection» de David vis-à-vis de moi. Il me parlait désormais souvent de ses branlettes, me demandait quand je le faisais, la taille de ma queue, etc...

À l’issue des vacances, Anna et moi ne nous retrouvâmes pas dans la même classe. Elle eut de nouveaux amis et plus particulièrement Sonia et Franck. Sonia était superbe et me troublait, mais que dire de Franck qui faisait craquer toutes les filles et sans doute bien des garçons. Sonia et Franck n’étaient pas ensemble et je compris que ni Anna, ni son père n’y étaient comme moi insensibles. David m’avoua qu’il voulait la baiser et était prêt à un plan à trois avec ces deux-là. Anna s’écarta de moi petit à petit. Et puis un jour elle me dit qu’elle voulait rompre pour aller avec Franck. J’étais déçu mais nous restâmes amis et je continuai à voir son père. Ce dernier avait essayé pas mal de trucs pour séduire Sonia.

Comme j’étais désormais célibataire, j’entrai dans son jeu et lui proposai un plan à quatre ou cinq pour l'émoustiller. Il me dit qu’il allait mettre ça au point puis un jour il abandonna. Je vis qu’il avait changé. Tout en restant obsédé, il était davantage réservé. Nous allions tous les cinq à la piscine une fois par semaine et je découvris les raisons de son changement.

Franck mettait toujours un temps fou pour arriver au bassin. Or ce jour là, au moment d’entrer dans l’eau, David prétexta une excuse pour retourner au vestiaire. Je laissai les filles plonger et je le suivis quelques minutes plus tard. Arrivé dans les cabines, une seule était fermée, je me penchai pour regarder et vis qu’il y avait deux personnes. Les bruits n’étaient pas équivoques: gémissements et frottis. Je n’eus pas à attendre longtemps, caché dans une autre cabine. Je vis sortir Franck et David. Il avait donc des rapports sexuels avec le petit ami de sa fille. J’enquêtai auprès de cette dernière. Elle m’avoua que Franck n’était pas intéressé par le sexe et qu’ils n’avaient pas encore couché ensemble.

Le week-end suivant, nous étions à nouveau tous les cinq. Anna et Sonia partirent se coucher et je sentis que David me poussait à faire pareil. Je fis semblant de suivre ses conseils et attendit un peu. En fait, il regardait le porno de la nuit avec Franck et à un moment, ils se mirent à baiser. David encula Franck puis lui demanda de le sucer. Je montai dans ma chambre quand je surpris d’autres bruits. J’étais vraiment naïf: Sonia et Anna couchaient ensemble! Décidément, ils me cachaient un peu trop de choses et je sentais ma part homo qui revenait.

Je repris mes questions auprès d’Anna, elle m’avoua quand je lui révélai ce que je savais. C’était son père qui, s’étant cassé les dents sur Sonia, avait dit à cette dernière d’essayer avec elle et que s’étant montrée très entreprenante, elle avait cédé et ne le regrettait pas. Je lui demandai alors si elle savait pour son père et Franck. Elle m’informa alors qu’il avait vécu avec des mecs avant de se marier avec sa mère.

Nous étions arrivés aux vacances de Noël. Franck était parti temporairement, David avait un intérim d’animation commerciale et il m’avait fait recruter en job étudiant. Il était déguisé en père Noël et accueillait les enfants sur une estrade à qui je donnais des cadeaux quand je ne faisais pas aussi un petit spectacle. Ce jour là, je jouai un grand enfant qui venait déposer sa liste. Je vins, devant tout le monde, m’asseoir sur les genoux du père Noël. Je lui demandai comme prévu ce que je voulais, tous nos petits spectateurs riaient. Mais David me répondit tout bas à l’oreille que j’étais assis sur ses parties intimes et que ça le faisait bander. Il croyait me provoquer une fois de plus? La situation me plaisait, si bien que je commençai à me dandiner pour accentuer les frottements et le plus discrètement possible je posai ma main et me mis à masser sa bite que je sentais palpiter sous son grand pantalon rouge. Il me traita de grosse vicieuse mais il ne pouvait pas s’y soustraire. Je tenais là une petite vengeance d’avoir été laissé sur le carreau et faire ça incognito m’excitait.

Lorsque nous nous retrouvâmes à la loge, David était mi en colère, mi content. "On aurait pu nous voir!" me disait-il. Et puis après un temps d’arrêt: "Maintenant je suis super excité!" J’avais perdu toutes mes inhibitions et lui lançai que je pouvais remplacer Franck. Sans réfléchir plus, je me mis à genoux et entrepris de le sucer. J’avais la queue du père Noël dans la bouche et sa barbe blanche frottait le haut de ma tête pendant que j’étais à l’œuvre!

Le soir-même nous retrouvâmes tous les deux pour une partie de sexe qui fut mémorable, et que l’on ouvrit, dès son retour de vacances, à Franck, puis à d’autres garçons et filles de tous âges.

 

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Samedi 3 novembre 6 03 /11 /Nov 10:02

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(*la teub de mon oncle)

Cette histoire s'est déroulée il y a bien des années, à une époque où on n'avait pas toutes les possibilités actuelles de voir (photos, films, sites) ou d'entendre parler des homos. Bref, j'avais 16 ans, j'étais passionné par la nature et je me suis retrouvé à partir une semaine en camping sauvage avec mon oncle Paul, en semi-montagne. Paul était un grand gaillard de presque deux mètres, super musclé, sportif, il jouait dans un club de rugby, était très poilu avec la touffe qui dépassait du col de ses chemises ou de ses pulls, toujours l'ombre d'une barbe naissante et une grosse moustache. J'étais très naïf et émerveillé par sa virilité.

Le premier soir de camping après le repas, je n'avais pas hésité à lui caresser le poil sous le menton et ma main avait glissé sur son torse puissant. Ça m'avait électrisé tandis que lui rigolait. Le même soir, je lui fis la bise avant de dormir, comme je faisais à mes parents chaque soir et je me fis traiter de bébé.

Le lendemain, un brusque changement de température me donna si froid, qu'il décida d'accrocher nos deux sacs de couchage ensemble. Je fus un peu troublé de voir entrer son grand corps musclé et couvert de poils, juste vêtu d'un mini-slip d'où dépassait une forte toison dans le duvet. Je me suis réveillé le matin blotti contre lui, la tête sur sa poitrine et la queue en érection. En se réveillant, il heurta ma bite et rigola. Je vous ai dit que j'étais naïf, je lui ai répondu droit dans les yeux: ça te fait rire mais pas moi, je ne sais pas ce qui m'arrive, ça le fait de plus en plus souvent, d'ailleurs quand je pense à toi ça augmente et cette nuit j'ai rêvé de toi et ça me serrait dans mon slip.

Il m'a regardé un peu interloqué et m'a proposé de me montrer comment faire pour faire retrouver à mon sexe son état «naturel»; il m'a branlé doucement et très peu de temps après, j'avais deux gros jets qui ont éclaboussé mes vêtements posés à quelques mètres. C'était la première fois, je me sentais tout bizarre. Nous n'en avons pas parlé de la journée mais le soir quand je me suis retrouvé avec lui dans le duvet, ça a recommencé. Toujours aussi idiot, j'ai demandé à Paul la même chose que le matin mais il a grommelé: "Tu peux le faire toi même." Je me suis donc exécuté en prenant garde d'avoir un mouchoir pour récupérer ce liquide inconnu.

Mais au petit matin, en bougeant, j'ai senti que c'était Paul qui avait besoin que je m'occupe de son sexe et avant même qu'il ne se réveille, j'ai commencé à le branler. J'étais très impressionné par sa taille, ce poil, ces deux grosses couilles que j'avais sorties de ce son slip trop petit. Il s'est réveillé soudainement en arrêtant ma main et en me disant: "Mais qu'est-ce que tu fais?" J'étais tout content de moi, alors je lui ai répondu: "Mais je te rends la pareille, il ne faut pas?" et j'ai repris sur le champ mon travail. Il a dégorgé quelques secondes plus tard, mais sans jet, il avait plein de sperme entre son nombril et sa queue. Très curieux, j'ai mis ma main dedans et je l'ai étalé un peu. Il m'a demandé alors de chercher une serviette.

Il a fini par m'expliquer qu'on pourrait continuer à le faire tous les deux mais qu'il ne fallait pas le dire. J'étais ravi! J'ai attendu le soir et là ça c'est passé différemment. Paul me branlait, je lui ai dit que ça allait venir quand il a pris ma bite dans sa bouche et a tout récupéré. Je sentais les poils de sa moustache, quelle extase! Il est sorti de la tente pour cracher et j'avis envie de lui faire la même chose, même si sa «sucette» m'impressionnait. Il était là allongé nu sur son duvet, je me suis couché sur lui, j'avais la tête au niveau de ses aisselles. Je me suis laissé emporter, tout a été naturel, je lui ai léché le dessous des bras, c'était dense, humide, puis il m'a fait arrêter sur ses seins. Après, ma langue a tenté de se frayer un passage entre ses poils pour arriver au nombril. Paul gémissait.

Arrivé à sa queue, il a pris ses couilles entre ses mains et a remonté ses jambes. J'avais en ligne de mire son gros dard et sa raie où le poil humidifié m'attirait, j'y ai passé la main puis surmontant mon appréhension, j'ai commencé à le lécher. Il s'est légèrement cambré et je me suis retrouvé face à son anus. Il m'a alors redressé la tête et m'a fait prendre sa bite en bouche, je ne pouvais engloutir que le gland d'où perlait un peu de precum. Nous nous sommes mis en 69 et là j'étais complètement grisé, sans plus savoir ce qui se passait. Nous nous sommes embrassés, puis avons repris nos fellations simultanées. J'ai joui rapidement dans sa bouche. Il est venu alors se servir de mon sperme pour me lubrifier l'anus puis il a approché son sexe énorme qui était prêt à exploser. J'ignorais tout jusqu'à cette soirée, j'ai tout découvert d'un coup. Il a glissé en moi doucement, centimètre par centimètre et sans même faire de va-et-vient quand tout a été entré il a joui. J'ai senti son bonheur.

Nous avons continué toute la nuit, il m'a laissé le prendre, malgré mon sexe plus petit que le sien, car il voulait faire de moi un homme.

À la fin du séjour, Paul a retrouvé sa femme et ses enfants et moi je ne souhaitais que partager ce nouveau savoir.

 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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