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fan de histoires de mec

Samedi 30 juin 6 30 /06 /Juin 00:37

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Salut, je vais vous raconter mon histoire vraie, absolument vraie, même si le récit vous semble impossible... mais tout est vrai!

Moi c'est Ludovic. J'ai 17 ans depuis 2 mois. Je vous le dis tout de suite, je suis gai sans expérience encore, mis à part quelques bonnes branlettes avec mon copain François qui n'est pas gai mais qui aime un touche-pipi en me masturbant. Je lui ai déjà proposé d'aller plus loin comme de lui faire une pipe, mais il refuse. Donc nous continuons à nous voir pour de bonnes branlettes mais mes lèvres me démangent de lui manger sa belle queue bandée. Je rêve de pousser ma langue dans son petit trou à pisse, de lui lécher les couilles et je suis même prêt à lui offrir mon cul vierge. Mais l'abstinence est mieux pour garder mon meilleur ami et surtout de le revoir et profiter de lui.

Souvent nous allons sur Internet en cachette avant de nous masturber. Il aime tellement voir de gros nichons. Mais moi quand je suis seul, je surfe du côté des mecs. De belles photos de mecs à poils et surtout en action, de vraies pipes, des éjaculations et aussi des enculages de première. C'est à ces moments là que j'ai mes plus belles éjaculations.

Donc je suis Ludovic, 17 ans, 1m75, 75 kg, plutôt mignon et une belle queue de 17 cm avec un long prépuce. À la maison nous couchons dans des chambres séparées mon frère Sébastien (19 ans, 1m86, 80 kg) et moi. C'est un super beau mec mais pas gai du tout. Il a une copine et je crois bien qu'il la baise régulièrement, mais c'est sans garantie. Si seulement une seule fois je pouvais faire tout ce qu'il veut. C'est mon idole, je l'aime et je l'admire mon frère.

Tous les vendredis soirs, il va voir sa petite amie et revient tard, vers minuit, enlève ses chaussures pour faire le moins de bruit possible et ne pas me réveiller.

Ce vendredi soir là, il arrive bourré, complètement paf, faisant du bruit et ses jurons m'ont réveillé. Il avait des problèmes pour enlever ses pompes. Puis je l'entends marcher sur la pointe des pieds avant de lâcher un "Aie! Merde, saloperie de machin!" en se frappant les orteils sur quelque chose. Il se dirige directement vers la salle de bain. Le silence est revenu!

Puis des "Merde, putain de saloperie de bordel de merde!" suivis d'un grand boum me réveillas à nouveau... Je me lève d'un bon pour voir de quoi il retourne. En entrant dans la salle de bain, je vois le frérot penché au-dessus du chiotte les deux mains sur le mur. Il se retourne et je réalise qu'il a pissé dans son jeans. J'ai failli éclater de rire en le voyant comme ça mais je me retiens de justesse et je lui dis d'un ton très sérieux:

— Sébastien qu'est-ce qui t'arrive?

— Fais pas chier petit con!

— Dis-moi qu'est-ce qui se passe?

— Tu l'vois bien morveux, j'suis complètement bourré, j'voulais pisser et j'ai oublié d'la sortir et j'ai pissé dans mon froc.

— Oui ça se voit et même plutôt bien.

— Allez, casse-toi, fous-moi la paix.

— Ok dac! Mais tu pisses encore et c'est les chutes du Niagara!

— Casse-toi j't'ai dis ou tu vas avoir la raclé du siècle.

— Laisse-moi t'aider. Tu veux quand même pas que le vieux te voit comme ça?

— Ha ba non! Surtout pas. C'est gentil d'y penser. Ouais, j'crois que j'vais avoir besoin de ton aide.

— C'est pas je crois, c'est sûr. Si j'étais à ta place, tu m'aiderais. Écoute-moi, je vais te déshabiller et te laver toi et tes vêtements. Ok?

— Mouais gamin, c'est gentil mais à charge de revanche.

— Laisse tomber pour le moment et laisse-toi faire.

— Dis-moi, j'peux faire quoi pour t'aider?

— Laisse-toi faire et boucle la.

Je le déshabille complètement, sa chemise, son t-shirt, son fut trempé de pisse chaude, ses chaussettes et enfin son caleçon qui dégouline. Pour la première fois, je vois sa belle grosse queue et ses grosses couilles qui n'étaient pas à leurs avantages, dégoulinant de pisse mais il m'aurait dit de lui faire une pipe, je l'aurais faite...

Je vide ses poches pour aller mettre son argent et ses effets personnels sur son bureau. Quand je reviens, il est assis par terre, je le fais se lever pour commencer à le laver de la taille aux pieds. Il se laisse faire comme un bébé, sans rien dire d'autre que:

— Merci d'm'aider Ludo...

Après l'avoir bien lavé, je reprends une bonne dose de savon pour laver ses couilles et sa queue qui grossit à vue d'oeil pour atteindre, en moins de deux, 20 bons centimètres voire un peu plus. Il est le dos au mur, se laissant laver et caresser la queue, les yeux fermés avec un petit sourire de satisfaction. Il pousse des petits gémissants. Humm! Et plus il gémit, plus il bande et moi je m'amuse à jouer avec sa belle grosse queue et de mon autre main avec ses grosses couilles velues.

Je n'en peux plus de jouer avec une si belle queue que je désire depuis si longtemps. Je le rince bien à l'eau chaude. Le moment est venu de me satisfaire. C'est mon unique chance de pouvoir le sucer. À voir cette si belle grosse queue bandée à quelques centimètres de ma bouche, je ne peux plus résister. Je m'approche pour lui lécher son gros gland sorti de son prépuce. Je commence à le sucer à fond. Il gémit toujours sans réaction de rejet. J'ai pris dans ma main ses deux belles grosses couilles velues. Enfin je suce une vraie et belle queue. Je m'applique du mieux que je peux, me rentrant son dard au complet dans la bouche. Son gland touchant le fond de ma gorge, il dit:

— Oui ma belle Fabienne, depuis des mois que je te supplie de me le faire et enfin tu t'es décidée, lâche pas ma belle, entre-toi la au complet dans ta belle gueule, bien à fond et fais-moi jouir.

Il fallait qu'il soit vraiment paf pour rêver que sa nana était en train de le sucer et de ne pas réaliser pas que sa queue était dans ma bouche. Je devais profiter de cette occasion pour enfin goûter son sperme. Alors je m'applique comme un vrai pro. Au bout d'un moment il se met à hurler:

— Oh! oui, ma belle Fabienne, je vais jouir, continue, oui continue, OHHHHHHHHH! Ouiiiiiiiii, c'est bon, avale tout, OHHHHHHHHHHHH!

Au même instant je reçois dans la gorge une quantité incroyable de sperme épais et tellement abondant. Mais c'est si bon, un vrai bon goût de mâle, plus amer que le mien, mais hummmmmmm.

Plus que satisfait de moi, je le conduis à son lit, le recouvre de sa couverture et je sors en laissant une petite lampe allumée. Je retourne à la salle de bain pour laver ses vêtements et enlever l'odeur de pisse pour ensuite faire sécher le tout dans la sécheuse électrique. Il est déjà 3h30 quand je termine ma besogne fier et heureux de ma soirée.

Avant d'aller me coucher pour me faire une bonne branlette et dormir, je passe par la chambre de Sébastien pour voir si tout est en ordre. Là, j'ai eu une vision de rêve. Durant son sommeil agité, la couverture était tombée le laissant complètement nu. Il était étendu sur le ventre, les deux jambes bien écartées me laissant voir sa belle grosse queue encore bien bandée et ses belles grosses couilles, le tout surmonté d'un beau petit cul poilu. Mon caleçon est plein à craquer, je bande comme cerf.

Qu'est-ce que je fais? Je vais me coucher et me vider les couilles ou je vais admirer ce beau petit cul de plus prêt, mon premier vrai beau cul de mâle. La tentation est forte! J'ai déjà eu la chance de le sucer sans problème, alors si il me voit lui caresser le cul, je risque une guerre totale et le perdant ce sera moi... Merde après tout! Autant être blessé ou mort pendant la guerre mais satisfait. Alors je retourne auprès de Sébastien pour regarder avec envie ce beau corps, cette belle queue bien bandée et surtout ce beau cul si tentant. En me souvenant de certaines photos vues sur Internet, je me penche pour lui lécher la raie des fesses. J'en profite pour lui lécher son beau petit trou de cul poilu, ce qui le fît gémir comme un gros matou en chaleur. J'ose même pousser ma langue dans son cul. Vite fait, bien fait, je me retrouve à poil, à genoux entre ses deux jambes musclées, ma queue pointée vers ce paradis inespéré, mon gland déjà prêt à y entrer.

Je le fais ou je ne le fais pas?

Bof, après tout, pourquoi pas. Je pousse doucement ma queue dans son cul, doucement mais au complet dans cet antre de bonheur et si chaud. Il lâche un gros gémissement, pas plus. Moi, heureux comme un roi, je commence un va-et-vient pour limer son trou du cul. Je suis si énervé de pouvoir enfin enculer un gars, surtout mon frère, ce mâle si viril, que quelques minutes suffisent pour lui remplir les entrailles de cinq bonnes giclées de sperme épais...

Complètement satisfait, les couilles bien vidées et mon estomac digérant le sperme de mon frère, je retourne dans ma chambre où je m'endors aussitôt couché pour dormir comme un ange (cornu) heureux de cette soirée qui m'avait offerte ma plus belle aventure.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Samedi 30 juin 6 30 /06 /Juin 00:24

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près mon aventure de la nuit passée, le lendemain se passe sans histoire, mon frère Sébastien ne fait aucune allusion à la soirée, pas un mot, rien... À mon grand soulagement car j'avais vraiment la frousse de sa réaction. J'étais fier de moi après ces moments inoubliables. Comme Sébastien était complètement paf, beurré comme un p'tit LU, il ne se souvenait de rien. Pour moi c'était autre choses... Ma première queue sucée et avalée au complet. Mon premier sperme (autre que le mien) goûté et mon premier cul pénétré. Ma première éjaculation dans un beau trou du cul serré et chaud et le pire celui de mon frère aîné.

Heureusement qu'il avait tout oublié sinon j'aurai eu la raclée de ma vie, voire du siècle, voire du millénaire (faisons comme les journalistes, j'exagère à peine). Enfin en deux mots il m'aurait attendu au tournant et j'avais une bonne chance d'en recevoir une.

Deux semaines plus tard, nos parents partent pour le week-end, nous laissant seuls à la maison. C'est fréquent en cette période de week-ends prolongés. À chaque fois, Sébastien en profite pour aller prendre un verre avec ses potes et il rentre très tard. Moi, je vais souvent faire un petit tour en ville, pour m'y promener et je reviens plutôt de bonne heure. Je termine toujours ma soirée par une bonne branlette en solitaire. Mais je pense que ce soir se sera une super masturbation en me remémorant, dans ma petite tête de pervers, la fameuse nuit où mon frère était ivre mort. Qui sait, avec un peu de chance, il va encore revenir plein comme une barrique et que je pourrai peut être... Hummmm!

Mes parents sont enfin partis. Croyant que Sébastien était déjà sorti, je me prépare pour aller me promener. Sortant de ma chambre, je passe devant la porte de Sébastien. Et là, oups!!! Surprise. Il est assis dans son fauteuil, complètement nu, sa belle queue à moitié bandée pendant sur ses grosses couilles, les deux bras derrière la tête et avec un sourire narquois, il me dit:

— Où tu vas comme ça?

— Me promener, pourquoi?

— Non, non pas ce soir, tu restes à la maison, comme moi d'ailleurs!

— Ah bon! Et pourquoi ça?

— Je suis ton gardien et comme tu le vois, nous allons passer notre week-end à poil, à faire des choses, sale pervers!

— Pourquoi pervers? Pervers toi-même, tu t'es pas regardé.

— Pourquoi? Tu oses demander pourquoi. Et en plus il joue les innocents. Tu ne te souviens pas? Qu'est ce que tu as fait y a deux semaines? Le vendredi soir où j'avais un sacré coup dans le nez, tu m'as carrément violé. J'étais peut-être bourré mais je me souviens de tout.

— Mais Sébastien, je... je...

— Pas de Sébastien qui tienne... À poil et plus vite que ça! Je vais te montrer moi comment on fait l'amour, comment baiser et comment enculer avec tendresse.

— Alors là! T'es pas sérieux.

— Ça fait longtemps que je veux faire ça avec un mec. D'ailleurs, regarde dans quel état est ma queue. Elle n'attend que ta bouche chaude et le trou de ton p'tit cul. Ce soir, c'est moi qui vais te défoncer, ma bitte dans ta rondelle, bien à fond.

— Oh! Non, pas ça. On me l'a jamais fait et ta queue est bien trop grosse et bien trop longue pour me la planter dans le cul. Pitié!

— On verra ou plutôt c'est moi qui la verrai entrer et toi tu vas la sentir t'envahir mon p'tit Ludo. En plus, l'autre soir, tu t'es bien marré en me voyant pissé dans mon froc. Ça t'as fait bander un p'tit cochon.

— Bah! Non, c'est pas ça, mais voir ton jeans devenir foncé avec ta pisse, je...

— Bon assez! À mon tour de voir ça. Déshabilles-toi. Tu gardes juste tes chaussettes et ton jeans puis tu files dans la baignoire. À mon tour de me marrer.

— T'es pas bien! J'veux pas faire ça.

— Allez! Pas de chichi et fait c'que j'te dis.

— Mais c'est pas vrai. Tu veux vraiment que je pisse dans mon jeans et devant toi en plus.

— Oui et après ça mon p'tit gars, je vais t'apprendre comment faire l'amour longtemps et plus d'une fois.

— Tout de suite après!

— Oui et non, après et pendant tout le week-end.

Excité à l'idée d'un week-end complet de sexe avec mon frangin, je me suis vite retrouvé debout dans la baignoire, les jambes légèrement écartées. J'étais plutôt gêné mais après quelques minutes, je me suis mis à pisser. Je sentais mon urine chaude me couler sur les couilles et le long des jambes. Drôle de sensation! Là, Sébastien me dit:

— Ton jeans n'est pas assez mouillé.

À son tour, il se met à me pisser dessus. Un peu surpris au début mais finalement c'est encore meilleur de recevoir la pisse d'un autre.

Il me reste encore mes chaussettes (que je réussis à enlever tant bien que mal) quand Sébastien me prend dans ses bras pour me transporter vers sa chambre. Il me lâche sur le dos au beau milieu du lit. J'ai tellement de mal à me contenir que je suis tout en sueur. Il s'allonge sur moi, sa queue contre ma queue, son torse contre mon torse, sa bouche collée à la mienne, sa langue me râclant la gorge de fond en comble. Puis il me mordille les oreilles tout en me taquinant les mamelons. Il me lèche le ventre, fait entrer sa langue dans mon nombril pour continuer son chemin vers ma queue hyper bandée, mes couilles en feu et enfin mon anus.

Il le lèche avidement en faisant même pénétrer sa langue dans mon trou du cul si serré. Je bande comme un malade. Je n'ai jamais rien ressenti d'aussi bon. Il me mange le cul pendant un long moment avant de remonter pour me sucer le dard et finalement le rentrer au complet dans sa bouche. En même temps il pousse son index dans ma rondelle. Il fait quelques mouvements de va-et-vient avant d'y mettre un deuxième doigt. Je suis excité comme une puce et je ne peux retenir un hoooo! de satisfaction en lui remplissant la bouche de plusieurs giclées de sperme qu'il cracha aussitôt sur mon ventre.

Doucement, il me relève les jambes et les écarte sur mon torse lui présentant ainsi mes fesses mais surtout ma rosette. Il positionne son gros gland à la porte de mon petit cul serré et commence à pousser pour y faire entrer son engin monstrueux. Une douleur atroce me traverse le corps au fur et à mesure que son énorme braquemart pénètre ma tendre intimité. La douleur s'atténue rapidement, se transformant en une jouissance encore nouvelle pour moi. Malgré mon éjaculation précoce dans la bouche de Sébastien, mon zizi reprends une forme honorable et se met au garde-à-vous.

De ces deux grandes mains, il écrase complètement mes jambes sur ma poitrine. Il commence un va-et-vient lent mais profond de sa pine épaisse dans mon cul en chaleur. Son sourire et ses gémissements en disent long sur sa satisfaction. Il me lime le fion de plus en plus vite enfonçant sa pine jusqu'à la garde. Son manège dure plus de dix minutes et sa queue devient de plus en plus grosse en moi. Il gémit fortement, me bourre le cul à fond et avec un HOOO libérateur il me remplit les entrailles de cinq à six bonnes giclées de sa purée.

Comme je m'astiquais le manche pendant qu'il m'enculait, j'éjacule pour la deuxième fois presque au même moment que lui me couvrant le ventre de mon jus blanc et crémeux. Je lui dis:

— Sébastien lèche mon sperme et donne-le-moi dans la bouche!

Il me fait son plus beau sourire, lèche le sperme sur mon ventre et me le recrache dans la bouche et moi j'avale le tout.

— Merci, c'est super!

— T'as aimé ça, sentir ma queue en toi?

— Oh que oui! Et je trouve que c'est meilleur de se faire enculer que d'enculer.

— Parle pour toi, moi je préfère t'enculer. En plus c'est normal que tu préfères être enculer, t'as vu le monstre que t'avais dans le cul? C'est pas comme cette ridicule petite zézette qui pendouille entre tes jambes.

— Bah! Quoi? Qu'est ce quelle à ma bitte? Elle est pas si mal que ça.

— Mais non! Je plaisante. Elle est même très bien pour ton âge. Enfin! La nuit et le week-end ne font que commencer alors nous avons tout notre temps pour essayer d'autres petits jeux pervers.

— Super ça, mais dis donc, tu ne sors pas ce week-end?

— Pourquoi sortir puisque j'ai tout ce qu'il me faut sous la main.

Cette nuit là, je crois bien qu'il m'a éjaculé au moins deux fois dans la bouche et peut-être trois fois dans le fion. Quant à lui, il m'a sucé plusieurs fois et a même avalé mon sperme avant de nous endormir dans son lit, enlacé comme deux amants.

J'ai dormi comme un ange en rêvant à tout ce qu'il m'avait fait. Moi qui croyais qu'une bonne branlette et une petite pipe entre mecs c'était l'extase, c'était ne pas connaître les jeux amoureux de mon frère. Je le revoyais me lécher des oreilles aux orteils, prendre ma queue au complet dans sa bouche et même avaler ce qu'elle crachait. Et surtout sentir son merveilleux membre au plus profond de moi. Mais là je crois que je ne rêve plus! C'est effectivement son gros zob qui est en train de me ramoner la cheminée et qui m'a réveillé. Avec un rugissement, il donne un ultime coup de reins et jouit en moi.

Nous passons l'après-midi à parler de cul et à baiser. Il ne débande pratiquement pas, toujours prêt à me satisfaire. Je lui raconte mes petites branlettes avec mon copain et lui me parle de ses expériences sexuelles. Il m'avoue qu'il est bisexuel mais qu'il baisse plus souvent des mecs que des nanas.

— Tu vois Ludo, les gars sont moins compliqués et surtout plus vicieux surtout mon copain Antoine.

— Quoi? Antoine, si sportif et si... beau. Dis! Tu me le présenteras un jour?

— T'aimerais ça hein! P'tit salopard.

— Bah! J'cracherai pas dessus, il est si beau. Tu dis qu'il est aussi vicieux que toi?

— Pour être vicieux, il l'est. À ce jour, c'est avec lui que j'ai eu mes meilleures parties de jambes en l'air.

— Intéressant! Décidément j'aimerai bien le connaître.

— Et bien, vois-tu, il m'a déjà parlé de toi. Il te trouve plutôt mignon et aimerait bien te faire partager quelques-uns de ses jeux... Comment dire? Ses jeux érotiques.

— Ah bon! Je croyais qu'il ne m'avait même pas remarqué. Et il aime être enculé ou le contraire?

— Les deux et en plus il a une belle grosse queue avec un gland énorme. Quant tu le suces t'en as plein la bouche et quand il t'encule c'est à la limite de ne pas te déchirer la rondelle.

— Ça promet, j'ai hâte de le rencontrer.

— Impatient le Ludo. Regarde, t'en baves! Alors écoute, je vais lui téléphoner pour l'inviter à venir passer la soirée et même la nuit ici. Comme ça nous baisserons à trois.

— Whai! Génial...

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Vendredi 29 juin 5 29 /06 /Juin 23:59

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À mon grand désespoir, Antoine ne pouvait pas se joindre à nous ce soir là mais il promit à Sébastien de venir le vendredi suivant. La semaine fut longue, très longue, même si maintenant avec mon frère on se satisfaisait le plus souvent possible. À tel point que si l'un de nous deux allait prendre sa douche, l'autre se trouvait une bonne envie d'uriner, pour aller pisser sur celui qui était sous la douche. C'était devenu un de nos jeux secrets et ça provoquait souvent une baise vite fait.

Mais nous sommes enfin vendredi soir et nous attendons Antoine, surtout moi, et avec une telle impatience de pouvoir lui offrir mon petit cul. Ah! Antoine il est si beau et en plus Sébastien m'a dit qu'il a une super queue. Pour passer le temps nous discutons et je dis à Sébastien:

— Dis donc Sébastien, que dirais-tu de pisser tous les deux sur Antoine?

— T'es pas bien! J'ai jamais fait ça avec lui!

— Je ne t'ai pas demandé si tu l'avais fait ou non avec lui, mais si ça te plairait?

— Ah! Je te reconnais bien là sale petit cochon. Bien sûr que j'aimerais ça! Mais comment l'entraîner dans la baignoire. Pas simple ton histoire?

— Mouais! Je sais, mais ce serait drôle. Laisse-moi faire, je trouverais bien un truc...

Dringgggggg! Oh! Merde c'est sûrement Antoine. Mon coeur bat à cent à l'heure. Sébastien va ouvrir et Antoine entre tout joyeux et très heureux de me voir là. Il donne une bonne poignée de main à Sébastien mais moi, il me prend carrément dans ses bras, me soulevant de terre et il m'embrasse sur la bouche et me dit:

— Salut Ludovic! Tu sais que je ne pense qu'à toi depuis que Sébastien m'a invité à partager vos jeux? Je t'avertis que je suis en hyper forme. Ça fait trois jours que je me remplie les couilles pour toi. Ton p'tit cul va avoir sa dose ce soir.

— Minute! Tu te fais enculer toi aussi?

— T'en fait pas mon mignon, le cul je m'y connais, à deux, à trois ou même plus. Ça va être ta fête.

— Tiens! Comme tu as l'air en forme, ça te dirait de commencer par un petit jeu un peu spécial.

— Tout ce que tu veux, demande et se sera oui.

— Parfait! Tu enlèves tout ce que tu as dans tes poches et tu te déshabilles. Tu gardes juste ton jeans. Ensuite je te bande les yeux pour la surprise.

— Bon! Si ça peut te faire plaisir, allons-y mais jure moi que ta surprise c'est pas une nana. Ce soir j'ai plutôt envie d'un beau p'tit cul de mec comme toi.

— Non, y'a pas de fille ici, juste nous trois.

Une fois Antoine torse nu et en jeans, je lui bande les yeux et je l'emmène dans la salle de bains. Je le mets à genoux dans la baignoire. Là il dit:

— Je viens de prendre ma douche, j'ai pas besoin d'en prendre une autre et encore moins avec mon jeans.

Mais il a vite compris que cette douche là était particulière quand il a senti la chaleur de notre pisse sur son corps.

— Mais vous êtes des gros dégueulas! Espèce de porc pervers, dit-il tout en riant comme un fou. Vous perdez rien pour attendre. Ma vengeance sera terrible.

Et il arrache le bandeau de ses yeux, m'entraînant de force dans la baignoire. Il place mon visage contre sa braguette toute mouillée par notre pisse me maintenant collé contre sa queue et il se met à pisser. Il riait comme un fou. Il attrape Sébastien par les cheveux et le force à mettre sa tête entre ses jambes.

— Y'a pas de raison que tu ne goûtes pas à ma pisse toi aussi.

Et il nous oblige à nous embrasser sous le ruisseau qui dégouline de son jeans.

Après une bonne douche (réelle celle là) à trois, on se retrouve bien vite dans la chambre de mon frère à poil et nos queues bandées au max. Je suis entre Antoine et Sébastien à admirer leurs belles bougies bien droites et c'est vrai que Sébastien n'a pas menti sur les proportions de l'engin d'Antoine. Une belle grosse bitte, bien longue et terminée par un gland énorme recouvert d'un long prépuce. Et pour terminer le tableau une belle paire de couilles lourdes et velues.

J'en avais plein la bouche avec un truc pareil surtout quand Antoine m'a collé son gland au fond de la gorge me faisant presque perdre le souffle. En plus, il y avait des doigts qui jouaient autour et dans mon cul. Puis je dis à mes deux complices que j'aimerais bien les voir en 69 devant moi et Antoine d'ajouter:

— D'accord mais je veux que tu me dilates la rondelle de tes petits doigts et que tu m'encules en même temps. Je veux sentir la queue d'un jeune mâle en chaleur au fond dans mon cul pendant que Sébastien et moi on se taille une bonne pipe.

Aussi tôt dit, aussi tôt fait. Il s'installe au-dessus de Sébastien et commence à le sucer, la rosette bien en vue et en bonne place pour pouvoir la lécher puis y introduire mon index et même un deuxième doigts. Ça rentre si facilement que je n'hésite pas une seconde pour remplacer mes doigts par ma queue.

Je me place au-dessus lui et d'un bon coup sec je lui plante mon dard dans le cul, bien à fond. Ça le fait gémir de satisfaction. Je cambre mes reins pour faire un mouvement de va-et-vient de plus en plus rapide. Sébastien profite du spectacle tout en jouant avec mes couilles et en me mettant l'index au fond de mon petit cul en chaleur. Résultats, une éjaculation presque précoce dans l'arrière-train d'Antoine.

Sébastien me fait comprendre qu'il voulait lécher ma queue pleine de sperme à la sortie du fion d'Antoine. Je me relève pour lui mettre dans la bouche. Lui, tout en me suçant, me positionne et je me retrouve assis sur le gros gland d'Antoine. Il m'écarte les fesses et je sens ce monstre qui me dilate l'anus dans une douleur à la limite du supportable. Oh que ça fait mal! Mais après tout, je la rêvais, je l'imaginais, je la voulais et bien je l'ai... alors supporte. Du coup j'oublie la douleur pour me concentrer sur les sensations. Je sens cette verge énorme glisser en moi, doucement, et enfin, elle est là au complet dans mon cul. J'ai l'impression que je vais me fendre en deux.

Je reste là, sans bouger, quelques instants pour atténuer la douleur et pour profiter de cette étrange sensation de douleur et de bien être. Mais Antoine ne l'entends pas de cette façon et il commence à me donner des coups de boutoir. La position n'étant pas des plus pratiques, Antoine me met sur le dos, les jambes repliées sur moi et ainsi, plus à l'aise dans ses mouvements, il me montre ce qu'il sait faire avec cette grosse queue. Le bonheur! L'extase! Sentir un engin de cette grosseur, et ce va-et-vient si puissant, sortant et entrant à nouveau, me défonçant à chaque coup la rondelle. Et dans un rugissement, Antoine me remplit le cul de plusieurs bonnes giclées de sperme.

Quand il se retire, j'ai l'impression que mon cul est grand ouvert, une vraie bouche de métro, je crois même qu'il est encore en moi. Je lèche les dernières gouttes de sperme sur ce beau gland rouge vif. Sébastien en profite pour prendre sa place. Vu l'énormité que je venais d'avoir, je pensais que Sébastien m'enculerait sans douleur et que je ne le sentirais même pas. Bien au contraire, non seulement je sentais bien la belle pine de mon frère qui m'enculait et savoir qu'elle trempait dans le sperme épais d'Antoine m'excitait encore plus. Il ne fut pas long à jouir et à mêler son sperme à celui d'Antoine. J'étais épuisé et j'avais le trou du cul en feu.

Nous sommes passés au salon pour prendre quelques rafraîchissements et reprendre des forces, surtout redonner des forces à nos queues et laisser respirer mon anus. Je suis assis juste à côté d'Antoine. Je ne peux m'empêcher d'admirer ce corps si beau, cet énorme chibre au repos qui lui pend entre les jambes et ce gros gland bien caché sous son prépuce. Il s'aperçoit de mon regard insistant, surtout vers son entrejambe, et il me saisit par les épaules pour m'asseoir sur ses jambes, face à lui.

Il m'embrasse sur les lèvres, sa langue me râclant la bouche en tout sens. Je ne me prive pas pour lui faire la même chose. Je sens sa queue qui se réveille et qui me caresse entre les fesses. Sébastien se met à genoux entre ses jambes pour le sucer et me manger le cul. Il guide le gros gland d'Antoine à l'entrée de mon anus. Je ne peux m'empêcher de sursauter quand son engin traverse ma rondelle. À dire vrai, il n'a pas eu à pousser beaucoup, mon anneau culier s'ouvre de lui-même pour lui laisser la voie libre. Je sens ses poils pubiens collés à mes fesses, signifiant que le monstre au complet est en moi.

Alors Antoine se glisse au bord du canapé et me couche contre lui, offrant ainsi à Sébastien la vision de sa queue entre mes fesses et ma rondelle bien dilatée. Sébastien présente alors le bout de sa queue devant la raie de mes fesses. Il l'ajuste en face de ma rosette et pousse de toutes ces forces pour faire pénétrer sa bitte à côté de celle d'Antoine au fond de mon cul. La douleur est atroce et je pousse un hurlement à faire trembler les murs. Ça n'empêche pas Sébastien de continuer à pousser et faire glisser lentement mais sûrement sa queue au fond de mon trou. Ils essaient alors de faire quelques mouvements de va-et-vient mais l'opération est trop difficile et Sébastien se retire comme il était venu.

Antoine me prend alors dans ses bras musclés pour m'allonger sur le tapis, sans sortir sa queue de mon cul. Il s'étend par-dessus moi m'écrasant presque de son corps. Un super coup de sa queue bien à fond me fait crier. Sébastien venait de se faufiler derrière Antoine pour l'enculer en même temps, ce qui le rendait encore plus excité. Il m'embrasse fougueusement, tout en me défonçant le cul. Chaque coup que Sébastien lui donne, je le reçois en double. Antoine ne pouvant plus retenir son éjaculation plus longtemps me mord la langue en jouissant, me replissant le cul de son foutre.

Sébastien continue de plus belle à enculer Antoine qui se libère de mon cul pour se glisser et aller me sucer tout en recevant les coups de boutoir puis le sperme de Sébastien. Il me suce avidement, deux ou trois de ses doigts fouinant dans mon cul jusqu'à ce que je lui remplisse la bouche de ma purée abondante. Antoine partage alors ma crème avec mon frère dans un baiser bien roulé. Une fois nos ébats terminés, Antoine dit:

— Je suis crevé, il est temps que je parte.

— Avant de partir, je te suce trois minutes et si j'arrive à te faire bander, tu ne pars pas, tu couches ici et tu dors ta grosse queue dans mon cul.

— Je suis vidé mon p'tit Ludo, j'ai joui trois fois.

— Tu as peur ou quoi?

— Pas du tout! Suce-moi et tu verras bien qu'elle est morte pour ce soir.

En moins de deux minutes sa queue était bandée raide, moi en le suçant et Sébastien en lui mettant son index dans le cul.

Nous avons dormi ensemble, son gros gland dans la chaleur de mon anus, tout ça pour être réveillé vers les quatre heures du matin par Antoine qui me ramonait les tuyaux. Au petit matin, après un bon petit déjeuner, Antoine est parti. Sébastien me dit alors:

— Ce soir, tu seras juste à moi, ta bouche, ta queue et ton beau petit cul.

Ce soir là, nous avons baisé comme des enragés et avons joui deux fois chacun. Le manège se répéta tous les soirs de la semaine, sauf le vendredi soir où le bel Antoine est venu se joindre à nous pour partager nos ébats et quel vendredi soir...

FIN

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Vendredi 29 juin 5 29 /06 /Juin 23:25

lebaisers.coco.fr-9502

— Tu vas voir, mon joli, je vais bien te faire jouir!

Le frère de ma mère m’avait hébergé pour quelques jours dans le centre de Paris et il en avait profité pour me mettre dans son lit. Ce cochon m’avait attaché les mains derrière le dos pour mieux abuser de moi.

— Tu vas goûter aux délices de ma grosse bite, Rudy!

Il arrêta de parler pour prendre dans sa bouche le bout de mon téton droit.

Il m’avait plié vers l’avant, les jambes bien écartées, le cul offert.

Depuis plusieurs jours, j’avais senti que la tension montait et qu’il me préparait quelque chose. J’avais des pulsions sexuelles et le sexe des garçons m’intriguait. Celui de mon oncle - qu’il ne manquait jamais d’exhiber pour un oui et pour un non - m’intriguait plus encore. Il était là, dressé, long et dur qui frappait contre mes fesses.

— Tu vas adorer, fiston!

Il me retourna et m’obligea à me mettre à genoux.

— Allez, commence par la sucer...

Mes lèvres humides aspirèrent son gland et ma langue se mit à tourner timidement. C’était bizarre. Agréable! Je me suis mis à apprécier le goût de sa bite à un tel point que je n’aurais pu m'arrêter.

— Tu te débrouilles drôlement bien, Rudy! Un vrai suceur de bites! et tu bandes, mon garçon...

Il s’est penché et a cherché à attraper ma queue pour la branler du bout des doigts. J’ai eu envie de le branler à mon tour, faisant glisser mes doigts sur son gland énorme.

— Alors, tu as toujours peur?

J’agitais la tête négativement tout en lui suçant le jonc. Il gémissait et, pour me permettre de bien me positionner, ses jambes s'écartaient d'avantage.

— Avale-la bien! Il faut qu’elle cogne au fond de ta gorge, gamin!

— Je vais vomir!

— C’est juste une impression...

Son bassin ondulait et j’aspirais à nouveau l’engin. J’avais envie de lui faire plaisir... sans doute parce quelque chose me disait que mon plaisir sera là aussi.

— Il y a plein de trucs à faire entre mecs, tu sais!

Il me releva et me caressa le visage. C’était drôle, il devenait plus beau. Il ne me dégoûtait plus. Il avança sa bouche vers la mienne, l'explora de sa langue, me regarda et me caressa délicatement les fesses.

— Tu vas en prendre une grosse dans le cul... Tu aimeras à crever! Mais avant, je veux goûter à tous tes trésors...

Il s’agenouilla et embrassa mon gland, puis, il prit toute ma tige dans sa bouche.

— Alors, tu apprécies?

Je sentais mon gland buter contre le fond de sa gorge. Il me pompait tandis que ses doigts travaillaient ma rondelle. Je grimaçais plus de dégoût que de mal. Ses doigts rentraient et sortaient de mon cul sur un rythme saccadé.

— Empoigne-moi la tige et branle-la! m’ordonna-t-il en me détachant les mains.

Son sexe se mit à frétiller dans ma main Je trouvais la sensation extraordinaire. Je n’avais jamais touché d’engin si gros et bien chaud. Au bout d’un moment, il nous fit changer de position et il me coucha sur le dos. Il s’installa au-dessus de mon bassin. Il guida ensuite ma tige qui s'enfonça dans son cul. Il était complètement empalé sur mon sexe raide.

— Vas-y, neveu! Pistonne ton oncle!

C'est moi qui menait le mouvement, doucement puis plus vigoureusement. Il se pencha pour m'embrasser à nouveau.

— C’est bon, mon lapin! Tu es doué pour baiser ton oncle. Tu aimes ça?

J’ai agité la tête puis j’ai repris ses lèvres. Ça me rendait fou de l’embrasser tout en le limant. Il étouffe ses petits cris dans ma bouche.

— Allez, à ton tour de te faire bourrer! a-t-il dit en se relevant. Tu as peur?

— Un peu...

— Tu ne dois pas! Tu vas adorer ça!

Très vite, je me suis retrouvé avec sa grosse matraque encapotée au fond de mon trou bien lubrifié au gel. Il a été doux et compréhensif. Je devais l’exciter beaucoup car déjà je sentais le flot de son jus chaud qui inondait mon ventre et mes cuisses écartées. Je me suis laissé aller à mon tour et j’ai joui.

— Tu as trouvé ça comment?

— Bon! Très bon.

— Tu préfères prendre ou être pris?

— Ça c’est difficile à dire... J’ai adoré te pistonner mais lorsque tu m’a enculé je commençais à prendre du plaisir.

— On dirait que nous avons là un petit versatile!

Mon oncle caressa mes fesses dures et en apprécia un instant la rondeur et la douceur.

— Ça va beaucoup servir ces choses-là!

— J’espère bien, mon oncle!

— Tu baises aussi les filles?

— Avant, je ne faisais que ça...

L’oncle vicieux retrouvait ses forces et il enfila sans prévenir un doigt dans mon cul. J’ai sursauté puis je me suis mis à gémir le nez fourré dans l’oreiller. Je me suis rappeler que depuis très longtemps, lorsque je me masturbais dans mon lit en solitaire, je prenais du plaisir à m'assouplir la rondelle avec un doigt ou autre chose. J’ appréciais maintenant les allées et venues du doigt de mon oncle.

— J’espère qu’on ne va pas s’arrêter à un doigt!

— Deux alors?

— Pffff!

— Trois?

— Il y a des choses plus grosses, non!

— Plus longues aussi.

— C’est de ce genre de choses que j’ai envie.

La porte de la chambre s’est ouverte et mon père est apparu. J’ai réalisé très vite tout l'embarras de la situation et j’ai rougi violemment. Le monde s’écroulait sous le poids de mon corps. J’ai regardé mon père et j’ai attendu qu’il ouvre la bouche pour hurler sa colère. Il quitta mes yeux pour croiser ceux de son beau-frère. Lui aussi allait en prendre plein les oreilles.

— Je suis heureux de constater qu’il s’intéresse enfin à autre chose que la télé et les jeux vidéo!

Je devais avoir mal entendu!

— Papa, écoute... je t’assure que...

— Garde tes forces pour ce qui t’attend, mon fils! Avec Mike, nous avons décidé de faire de toi... un homme!

— Mais...

— Mike! Continue à le doigter, on dirait qu'il aime ça.

— Il adore, tout mon chéri! C’est tout le portrait de son père.

J’ai alors compris ce qui se passait, ce qui s’était tramé derrière mon dos. Mon oncle et mon père étaient amants et ils avaient voulu me faire découvrir leurs plaisirs inavoués. J’aurais pu me révolter et crier au scandale. Lorsque j’ai vu la queue paternelle jaillir du slip blanc, je n’ai eu qu’une idée... La sucer illico! Ce que j’ai fait!

— Pas si vite, mon fils! Suce doucement mon gros sucre d’orge. C’est grâce à lui que tu es là...

— Oui, pa!

— Allez, relève bien ton cul que ton oncle puisse t’enculer pendant que tu me pompe. Ça c’est le pied intégral...

Oncle Mike entra une deuxième fois en moi.

— Mmm, mon petit lapin, tu es si bon, tu es si étroit! gémit-il en progressant en moi.

— Oooooohhh, je jouis...! C’est trop bon... Vous êtes géniaux tous les deux! ai-je crié. Embrasse-moi, papa!

Quand il sentit s'apaiser mon corps, mon oncle en sortit sa bite et il éjacula sur mes fesses. Papa fit de même sur mon visage béat.

— Vingt minutes de repos! cria mon père. Et puis, on reprend...

Ce fut le début de ma nouvelle vie.

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Vendredi 29 juin 5 29 /06 /Juin 23:02

lebaisers.coco.fr-9502

Il fait chaud à mourir. L’été 2003 m’aura laissé deux souvenirs: celui de ma révélation sexuelle et celui de la terrible canicule. Je suis chaud de partout. Heureusement, le dernier bain dans la piscine m’a bien rafraîchi et je suis retourné travailler dans le bureau. J’ai repris des cours du soir en anglais et je prépare mon examen. La maison est silencieuse. Papa est au travail et oncle Mike jardine un peu. Ah oui, je ne vous l’ai pas encore dit... Ces deux-là se sont mis en ménage au grand dam de la famille! Le plus scandaleux dans tout ça, c’est que j’ai choisi d’aller vivre à Nice avec eux.

La porte grince et oncle Mike entre. Il est simplement vêtu de son maillot de bain qui moule bien sa grosse bite ses boules velues.

— Tu t’en sors?

— Plutôt, oui!

— Besoin de rien?

Sa question est pleine de sous-entendus. Je devine que lui a besoin de quelque chose et que c’est urgent. Il suffit de regarder la bosse qui se dessine sous le maillot. Putain, le morceau! J’ai beau le connaître en détails, je suis toujours ébahi par cet engin monstrueux.

Il se penche par-dessus mon épaule et regarde ce que je fais. Sa main se pose sur mon épaule puis glisse délicieusement sur mon torse nu. J’ai le plus grand mal à réfréner mes pensées lubriques et un début d'érection lui montre que je suis partant.

— Pour te détendre un peu!

— On n’attend pas papa?

— On remettra ça, le soir, à nous trois. Prenons ceci comme mise en bouche.

Tous mes sens sont en alerte, j'ai chaud au bas-ventre, et je prends de plus en plus conscience de l'étroitesse de mon maillot de bain... Il faut vraiment que je me libère. Sa main s’est arrêtée sur mon téton droit et il se met à le titiller. Il se dresse, ajoutant un peu de pression et d’excitation. Je suis dans un état incroyable!

— Oh oui, comme ça, t’es chaud... t’es bon, mon ange!

Il sait comment me parler oncle Mike. Il m’excite. Je l’écoute me dire des saloperies. Je me cambre. Ses caresses se précisent au niveau de mes fesses et de ma raie. Nos corps se frôlent et se sentent sans se toucher. Le plaisir se dessine sur son visage.

— Tu aimes? me demande-t-il.

— Toujours!

— Et ça?

Ses doigts poussent sur le tissu tendu de mon maillot et vont cogner contre ma rosette palpitante. Oncle Mike fait ça plusieurs fois et je sens monter encore plus mon excitation.

— C'est agréable. C'est délicieux...

D'un geste assuré, je lui baisse le maillot et son engin en jaillit pour rebondir contre ma joue. Je le veux en moi. Je sais que je n’aurai pas à supplier pour l’avoir.

— Pas trop vite! Profite bien du moment...

— Oui.

Il me redresse, face à lui. Ses mains entourent ma taille et attirent mon corps vers le sien, doucement mais fermement. Il est nu et moi en maillot. Nos deux bites sont l’une contre l’autre, séparées par le tissu de mon seul vêtement. Nos bas-ventres se touchent, et après un long baiser, il me donne un coup de reins pour bien me faire sentir son érection. Ses yeux percent les miens. Il sait quel est mon plus cher désir. Mon regard hurle.

— Pas trop vite! répète-t-il. Tu dois savoir attendre.

Je ferme les yeux. Oncle Mike est un amant extraordinaire mais un esthète avant tout. Il aime faire monter le désir par petites touches. C’est parfois - comme aujourd’hui - un véritable supplice. Ses caresses se font de plus en plus pressantes, une de ses mains descend vers mon ventre, caresse l’extrême limite avant la base de mon sexe. J’oscille, frottant mon sexe contre le sien. Je bande de plus en plus. Ma verge est prête à exploser et elle répond aux frottements par des mouvements saccadés qui accentuent encore le contact brûlant de nos ventres.

— Tu en avais envie, hein?

— Oui.

— Ça va te faire du bien... un petit break... L’hygiène du corps au service de l’hygiène de l’esprit.

Oncle Mike appuie encore un peu plus son sexe contre moi, et ses mains caressent mes reins puis mes fesses. Deux doigts viennent de s’infiltrer sous l’élastique de mon maillot. De mes lèvres entrouvertes s'échappe un faible murmure, une plainte que mon oncle s'empresse d'interpréter comme une supplique au viol.

— Tu es si chaud! Comme tu en as envie, mon chéri. Je t’ai rarement vu comme ça!

— Baise-moi, mon Oncle.

Il sourit et m’embrasse le nez. Je laisse une de mes mains descendre jusqu'à sa queue toute dure. Il m’enlève le maillot. Je suspends mes mouvements, m’abandonnant à lui.

Cette fois, je suis nu... comme lui. Mes mains partent à la conquête de son torse velu et titillent ses tétons déjà dressés et très durs. La sensation doit lui plaire car il ferme les yeux et reprend ses mouvements de bassin, en harmonie avec les miens.

Nous voguons dans une autre dimension. Ses caresses sont les seules choses qui me lient à cette plate réalité. Ses doigts s’insinuent dans ma raie et rencontrent ma toison légère et douce. Cette exploration m'électrise Je hoquette, me cambre encore pour l’aider dans sa quête.

— Oui, donne-toi! Donne-toi bien... Ça tu le fais si bien...

Un doigt tourne autour de mon trou palpitant. Des bouffées de désir s’emparent de moi et j’ouvre démesurément la bouche à la recherche du souffle qui me manque.

— Tu vas me faire mourir de plaisir, mon oncle!

Lui aussi est à cours d’air car il commence à haleter doucement, laissant le plaisir l'envahir. J’ai un peu joué les égoïstes en me laissant faire. J’en prends conscience et me remets à l’ouvrage. Mes doigts saisissent son sexe et le caressent. Il est long, large, dur et veineux. Un visiteur idéal pour mon petit trou très élastique.

— Ouiii, mon chéri... Garde-la bien dure!

Mes doigts vont et viennent sur le braquemart gorgé de sang et les bourses remplies de bon jus. Ma poitrine se soulève à un rythme de plus en plus rapide. Mon oncle sait ce que cela signifie. J’arrive au point de non retour.

— Ne jouis pas, chéri... Je te l’interdis!

— J’ai furieusement envie de me faire «monter» par toi! Prends-moi... Baise-moi la chatte...

— Tu sais que ça va arriver, mon amour... mais ce n’est pas à toi de décider quand ça va arriver!

— Oooooooooh mon oncle!

— Il n’y a pas de «Ooooooh, mon oncle» qui tienne! Les grandes personnes savent mieux ce qui est bon pour les jeunots comme toi!

Il me scie, mon oncle Mike. Il me parle comme à un gosse. Faut pas croire qu’il soit pédophile ou un truc du genre. Pas du tout! Mon oncle est un mec qui baise avec des mecs. Point! Des mecs virils. Avec moi, il aime se la jouer «protecteur»... Il m’apprend la vie. Ça fait souvent rire mon père qui est beaucoup plus détaché de ces choses. Oncle Mike aurait aimé avoir un fils comme moi, j’en suis certain. Il envie mon père pour cela.

Cette fois, je suis à quatre pattes sur le lit et il me caresse le dos, les fesses, les cuisses en évitant sadiquement la raie. C’est délicieux! Je n'ose pas bouger de peur de rompre le charme. Ses doigts cherchent mes tétons et les travaillent un peu. Mes halètements reprennent.

— Ah oui, tu aimes ça aussi, hein? Tu es le digne neveu d’Oncle Mike! Tous les deux de bonnes salopes prêtes à tout et bien sensibles des tétines.

— Vas-y, mon oncle, continue!

Il se libère un peu plus et est sans doute prêt à aller plus loin. Ses doigts caressent ma raie duveteuse, glissent avec facilité le long de mon trou légèrement entrouvert. Je mouille. Ses doigts effleurent mon bourgeon, m’arrachant un nouveau hoquet.

— Oh oui, que tu aimes ça, mon petit goret adoré! C’est ça que tu voulais?

— Ta bite, mon oncle! Ta grosse bite juteuse au fond de mon cul, voilà ce que je veux.

Ce disant, j’ai avancé la main jusqu'à son ventre et j’ai saisi sa bite. Au contact de mes doigts, une décharge électrique le secoue. Il gémit. Un moment, inquiet, je me demande s’il ne va pas jouir immédiatement.

— Hé, tu m’as interdit de jouir trop vite... C’est bon pour toi aussi, hein?

Il rit.

— T’inquiète pas! C’est là au fond que je vais jouir!

Une de mes mains se crispe à nouveau sur son sexe tandis que l’autre pousse son exploration entre ses cuisses. Un de mes doigts glisse entre ses lobes fessiers et frotte l'intérieur de sa raie. Oncle Mike est un parfait versatile et son cul est régulièrement visité par la queue de papa. Il adore cette caresse et je le sens tout vibrant sous mon doigt inquisiteur. Le plaisir se lit distinctement sur nos visages. Ma main se referme sur son membre durci.

— Mon oncle, je t’assure qu’elle a une folle envie d’aller en visite!

— Si tu le dis...

— J’en suis certain! J’ai fait ce que tu m’as dit... Je l’ai gardée bien dure... mais là, j’ai bien peur qu’elle ne faiblisse!

Il éclate d’un rire bien mâle et me retourne sur le dos, les fesses bien au bord du lit. Il préfère cette position car il aime voir la jouissance sur mon visage. Moi, j’aime l’embrasser alors ça me convient parfaitement.

Pendant qu’il déchire l’étui de la capote, mes doigts s'enroulent autour de sa bite et la serrent avec fermeté. Il prend le relais et déroule le préservatif sur sa tige noueuse. Il s’installe entre mes cuisses largement ouvertes. Il se positionne et entre doucement en moi. Je pousse un petit gémissement d’aise et il laisse à son tour échapper un grognement de plaisir. Je sais qu’il éprouve du plaisir à savoir que je trouve le mien.

Ma bite gonfle dans sa main et lui indique au fur et à mesure le plaisir qu'il me procure. Je suis bien bandé. Il ondule du bassin et module ses coups de reins pour me faire vibrer et soupirer le plus possible. Je ne lui cache pas mon plaisir et je gémis sans retenue.

— Plus profond, oncle Mike! Plus profond!

Il ne répond rien et n’en fait qu’à sa tête. Je sais qu’il limite volontairement la pénétration, préférant quelques légères introductions à une pénétration profonde qu’il réserve pour plus tard. Il est penché au-dessus de moi et me sourit. Mes jambes sont largement écartées pour mieux m'offrir. Je me laisse complètement guider par le plaisir qu’il me donne goûte à goûte. Enfiler la longueur de son sexe dans mon cul semble durer des heures mais oncle Mike est un fin connaisseur du plaisir qu’il sait distiller. Sa verge ne fait pas que me limer. Elle palpite en me pénétrant et mon cul répond à chacune de ses palpitations.

— Tu aimes?

— À ton avis?

— Tu es en rognes parce que je ne te brutalise pas! C’est ça?

— Je sais que ça viendra!

— Tu finiras donc par apprendre que faire l’amour ou un marathon, ce n’est pas la même chose!!!

Ses coups de reins se précisent et mon excitation est plus pointue. À chaque enculade, il gagne quelques millimètres. L'un comme l'autre nous retenons notre respiration jusqu'au moment où toute la longueur de son sexe pénètre en moi. Je ferme les yeux. Lorsque je les ouvre, il me regarde amoureusement. Nous expirons chacun avec un gémissement de plaisir et de contentement.

— C’est pas bon ça?

— Délicieux!

Il reste enfoncé en moi et je suis arc-bouté vers lui. Il ne bouge plus trop. Ivres de plaisir, nous restons immobiles, respirant doucement notre plaisir et celui de l'autre. Je frissonne à plusieurs reprises, me préparant à une nouvelle saillie et à un nouveau torrent de plaisir.

— Putain, que c'est bon!...

— Alors, on n’a pas raison d’écouter les vieux?

Je regarde cet homme de 40 ans qui est mon oncle et je le trouve beau. Il semble à la fois tendu et épanoui. Il joue son rôle parfaitement: guide, mentor et protecteur.

Je souris. Ses lèvres laissent échapper une respiration rapide et profonde. Mes seins sont tendus vers lui, à la recherche des dernières miettes de plaisir. Lui a les tétons dressés et j'ai une folle envie de les mordiller mais je ne veux pas rompre le charme de ces instants trop fragiles. La position qui nous unit est trop géniale!

— Tu sens bien ma bite profondément ancrée au fond de ton ventre brûlant et humide?

— C’est super!

— J’adore la sensation de ton fourreau qui m'enserre délicatement.

Je pourrais rester ainsi des heures. Nos deux corps sont tendus l'un vers l'autre, chacun à l'affût de son propre plaisir et de celui de l'autre. Je bande très fort et ma bite rebondit de temps en temps sur mon ventre. Je pourrais presque jouir sans me toucher. Tout doucement, il commence à se retirer de mon cul. Mes yeux doivent le supplier de n’en rien faire. Je sais qu’il va encore me faire l'amour, me baiser profondément mais qu’il le fera avec mon père... Ce soir... Cette nuit... À trois!

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Vendredi 29 juin 5 29 /06 /Juin 22:39

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Salut, je me présente: me m'apelle Ricky, j'ai un frère qui est un petit peu plus vieux que moi et beaucoup plus grand, avec un corps musclé dont toutes les filles rafollent et qui fait bander plus d'un mec, dont moi en premier. Malheureusement, il profite de cet avantage pleinement... En effet, il ne se passe pas un jour sans que celui-ci me traite de suceur de queues ou encore d'enculé. Si il savait... C'est vrai, je suis gay, j'aime les garçons, mais je ne l'ai jamais dit à personne. Je garde ce très lourd secret depuis quelques années. À chaque fois que je me fais ridiculiser par mon frère, c'est comme si un poid de plus était ajouté à mon secret qui est déjà assez lourd comme ça et même trop lourd à mon goût. Je ne peux plus le supporter, je sens que je vais craquer.

Le lendemain

Aujourd'hui, mon frère m'a encore ridiculisé pendant que mes parents n'étaient pas là. J'ai craqué, je lui ai dit devinez quoi? Oui que j'aime les queues, les garçons et que je suis gay. Je vous dis pas la réaction qu'il a eue! Il est resté bouche bée. Moi de mon côté, je suis allé me réfugier dans ma chambre, je réfléchissais à ce que je venais de dire à mon frère, à l'impact que cette révélation aurait si d'autres personnes viendraient à le savoir.

C'est alors que mon frère cogna à ma porte. Il entra et s'approcha de mon lit. Il me dit: "Excuse-moi pour toutes les méchancetés que je t'ai dites, je ne savais pas que tu étais gay et ne t'en fais pas, je vais garder le secret." Alors là, jamais je n'aurais pensé que mon frère était compréhensif à ce point, moi qui pensait qu'il n'était qu'un pauv'con. C'est alors qu'il me demanda ce que ça fait de se faire sucer et enculer par un mec. Je lui ai dit que le seul moyen de le savoir, c'était de l'expérimenter avec un mec. Il me demanda alors si j'acceptais d'être son cobaye pour cette expérience, soit-disant scientifique. Voyant que j'hésitais, il me supplia et il me fit la promesse que ce serait notre petit secret. C'est alors qu'il approcha sa bouche de la mienne pour me donnez un doux baiser suivi d'une longue et langoureuse pelle. Je lui dis dès cet instant que j'acceptais d'être son cobaye.

Il me déposa sur le lit délicatement et commença à me déshabiller tranquilement. Il commença par mon chandail. Dès que ce fut terminé, il s'attaqua à mon pantalon dont il commença à défaire la ceinture suivi du "snap" et de la fermeture-éclair. Après qu'il eut fait glisser celui-ci, il ne me restait que mon slip qui était d'ailleurs déformé par un début d'érection. Il prit soigneusement le slip et le fit glisser jusqu'au bas de mes jambes pour m'en débarasser.

Ensuite il prit ma bite avec finesse et la porta sensuelement à sa bouche. Il commença un léger mouvement de succion. Hum que c'est bon de se faire sucer, surtout par son frère, quelle sensation! Je l'arrêtai un moment pour lui dire que j'aimerais lui faire moi aussi une fellation. Il accepta sans boncher. Quelle ne fut pas ma surprise quand je découvris un gros et épais morceau de chair bien bandé et bien tentant! Je le mis tout de suite à mijoter dans ma bouche en jouant avec ma langue en la promenant sur toute la longeur. Peu après, il me demanda de me tourner de bord pour qu'il puisse me préparer le cul. Il commença à me passer la langue autour de ma rondelle puis il entra un doigt. Ensuite deux et enfin trois. Quand il vit que mon trou était bien prêt, il pointa son gros gland à l'entrée de mon cul, il poussa légèrement sans trop forcer pour ne pas trop me faire souffrir vu la grosseur de son engin. À mon grand étonnement, il réussit à enfoncer au complet sa grosse pine au plus profond de mon être, ce qui me procura une des plus grande jouissance de ma vie. Bien sûr, je me suis déjà fait mettre dans le cul auparavant mais les queues n'étaient pas aussi grosses que celle de mon frère.

Il commença d'ailleurs à accélérer les coups de butoirs de plus en plus profondement et de plus en plus vite. Nous avons passé ainsi une bonne trentaine de minutes à se faire l'amour, lui à m'enculer et moi à le sucer et vice-versa. Lui il est venu dans ma bouche et moi aussi dans la sienne. Nous avons tout avalé. Hum le jus d'homme, quel délice! Je me suis régalé de ce merveilleux foutre bien épais!

Nous avons passez un merveilleux moment ensemble et laissez-moi vous dire que quand nos parents sonts partis, on en profite le plus longtemps possible. Nous faisons l'amour pendant des heures, jusqu'à nous épuiser et parfois même, avec des copains de mon frère mais ça, c'est une tout autre histoire.

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Vendredi 29 juin 5 29 /06 /Juin 22:30

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Je m’appelle Bastien, j’ai 17 ans, fils unique et je vis à Paris. Je n’ai eu de relations sexuelles qu’avec des filles mais mes plus belles jouissances sont advenues grâce à ma main droite quand je pensais aux hommes... Je fais 1m80 pour 72kg, brun aux yeux verts, assez musclé, de belles jambes formées par 5 ans d’équitation et un sexe qui me parait assez raisonnable (17cm et assez gros).

Je n’ai jamais osé draguer un mec si ce n’est mon prof de sport un jour (et ce sans que je m’en rende compte) lorsque pendant un entraînement je me suis mis à le tutoyer et pendant un exercice lui palper l’entrejambe de manière tout à fait explicite... Ça n’a pas eu l’air de lui être désagréable mais ce n’est jamais aller plus loin! Dommage...

Mais revenons à mon histoire de famille. J’ai en effet plusieurs cousins, que ce soit du coté de mon père ou de ma mère et ils sont tous plus âgés que moi: Guillaume a 25 ans, Éric a 26 ans et François à 28 ans.

Il faut avouer que ces trois hommes sont les plus beaux de la planète, ils ont tous un charme ravageur et une gueule à croquer... sans oublier leur magnifique plastique qu’ils ne se gênent pas d’exhiber au bord de la piscine ou tout simplement dans mon appartement quand ils viennent rendre visite pour quelques jours à la famille...

Guillaume est plutôt discret comme garçon mais c’est un fantasme ambulant... Son crâne rasé et sa petite barbe blonde de quelques jours, ainsi que son torse musclé et légèrement poilu aux environs des tétons sont sources de nombreuses de mes branlettes... Éric est très extraverti, toujours à déconner et à rigoler, il a un sourire dévastateur... Les cheveux bruns mi-long toujours attachés, une petite barbichette, un torse musclé par 15 ans de judo et assez poilu et des fesses (hmmmm ces fesses) que je pourrais dévorer. François est celui dont je suis le plus proche... Très sportif, il a le corps sculpté par ces compétitions de surf et de football... Très sympathique, il vient souvent dormir chez moi et c’est dans ces moments que je n’hésite pas à jeter un œil dans la salle de bain ou dans la chambre d’amis quand il se déshabille.

Ces trois-là ont tout de même un point commun. Je ne les ai jamais vus avec une copine et ÇA, ça m’a toujours intrigué!

C’était le 31 décembre dernier, le réveillon familial chez mes grands-parents s’était bien déroulé et pour une fois, mes trois cousins étaient réunis... Vous imaginez bien que j’ai passé ma soirée à les observer de la tête aux pieds mais assez frustré tout de même de ne pas pouvoir les approcher, les sentir, les toucher...

Vers 5h du matin, tout le monde était vraiment crevé alors nous sommes tous aller nous coucher dans nos chambres (mes grands-parents sont très riches et avaient une maison sur 4 étages avec une douzaine de chambres). Ma grand-mère à annoncé que je devais dormir avec mes cousins dans la chambre du grenier pour libérer des chambres et qu’en plus, la chambre du grenier avait un lit King Size... et donc qu’il n’y aurait pas de problèmes pour qu’on y dorme tous les quatre...

Sourire jusqu’aux lèvres et fantasmes m’envahissaient. Le rêve: passer une nuit entière avec les éphèbes de mes branlettes! Et je n’ai pas été déçu...

Ainsi il était presque 5h30 quand nous sommes montés dans la chambre (la seule de l’étage puisqu’au grenier...) mes cousins et moi... Ils n’avaient pas vraiment l’air fatigués si ce n’est Guillaume qui fermait peu à peu ses yeux. Nous avons donc commencé à discuter tout en nous déshabillant. Éric parlait de la soirée tout en enlevant sa chemise, puis son tee-shirt... Nous faisions de même mais je commençais à avoir un petit problème: une érection! Mais apparemment je n’étais pas le seul car François avait une bosse significative qui se voyait à travers son pantalon noir qu’il enleva très rapidement d’ailleurs et sans aucune gêne...

Nous nous retrouvâmes tous les quatre presque nus: François portait un slip noir très moulant, Guillaume et moi portions un large caleçon et Éric exhibait fièrement son boxer Calvin Klein particulièrement adapté à ses belles formes. Deux érections voyantes n’avaient l’air de gêner personne à part moi bien sûr qui commençait à sérieusement vouloir tirer un coup!!!

Éric dans le continu de se conversation lança un très étonnant:

— Bon, je me taperais bien une petite branlette là pour décompresser! et explosa de rire

Guillaume allongé sur le lit, les bras derrière la tête, laissant apercevoir ses aisselles blondes presque imberbes rajouta:

— Je dis pas non, je lâcherai bien un peu de jus et puis François et Bastien ont l’air opérationnel, ils bandent comme des ânes!

Je devins immédiatement tout rouge et François se mit à rigoler, pour paraître à l’aise je fis de même!

Éric sauta sur le lit et se jeta directement sur Guillaume (pour le chatouiller) qui lança un «Pffffffff, t’es con!» J’étais aux anges, de voir mes cousins presque nus en train de se tripoter... ça dépassait toutes mes espérances!

François les rejoignit et je le suivis... Les deux autres s’étaient calmés et allongés sur le grand lit... Éric, comme si de rien n’était, frottait sa queue sur la cuisse de François et lui dit avec ironie: «Tu sais que j’aimerais bien te bouffer le cul ma minette!» L’autre répondit: «Fais gaffe que je ne le fasse pas avant toi.»

Et là, tout a commencé: François a passé sa main sur la queue d’Éric qui commençait à bander jusqu'à faire sortir son sexe de son calbut’... Il le descendit jusqu’au cheville et nous dit: «Allez les mâles! Au travail!» C’était l’euphorie dans mon esprit, j’avais devant les yeux l’énorme sexe de mon cousin qui nous demandait de le travailler...

Nous partîmes dans un éclat de rire général quand Guillaume se leva sur le lit et sortit de son caleçon son chibre qui n’était pas encore bandé: «Moi d’abord les mecs... J’ai sommeil je veux en finir vite!» fit-il. «Pas question, ça durera le temps qu’il faudra et on va pas y aller de main morte!» répondis-je.

Guillaume se baissa vers moi et me lécha le visage pour ensuite me mettre sa queue devant ma bouche: «Suce! Tu vas adorer, c’est bon comme un sucre d’orge.» Fou rire général à nouveau... Mais je ne me fis pas attendre et je passais immédiatement ma langue sur son gland qui n’était pas encore décalotté. Puis je mis tout son sexe dans ma bouche pour mieux apprécier le goût de cette belle barre qui grossissait à vue d’œil. Guillaume avait l’air de prendre son pied! Je passais ma langue sur tous les recoins de sa belle queue et mettais mon nez dans ses poils qui sentaient la transpiration et le sperme... Je bandais très très dur et Guillaume s’en rendant compte commença à me branler avec sa main gauche...

À côté de nous, Éric et François étaient aussi en plaine action... En 69, ils avaient l’air d’être très affairés! Mais moi je m’occupais de mon beau cousin qui jetait des râles de plaisir et me prit la tête pour accélérer le mouvement... Il m’enculait la bouche et j’aimais ça... Il se retira et me fit un mouvement de tête pour me dire «viens on va s’occuper d’eux».

Alors on s’est faufilé entre eux et on s’est embrassé partout... Je léchais le torse poilu d’Éric qui se faisait tripoter l’anus par François qui se faisait sucer par Guillaume... Ça duré comme ça pendant 10 bonnes minutes et l’odeur de l’excitation et de la transpiration submergeait la chambre.

Éric a alors sorti un paquet de capotes de son sac et nous en distribué une a chacun que nous avons mis les uns sur les autres avec nos bouches... J’avais mis la capote sur Éric quand il me retourna avec force sur le lit et me cracha dans l’anus. Il me dit: «Prépare toi à accueillir 21cm dans le cul... Ça va te plaire!» Je sentis alors son sexe me pénétrer d’un seul coup et je lâchais un cri de douleur innommable qui fut suivi par des cris de plaisir... Il me limait rapidement puis lentement et alternait mouvements circulaires du bassin et coups soudains. Je frottais ma queue sur les draps et mordait l’oreiller... Deux minutes plus tard, François me retourna et mit mes jambes sur ses épaules. De façon aussi sec, il enfonça son énorme sexe dans mon trou et criait: «Petit enculé... tu vas morfler!» Pendant ce temps Guillaume me pratiquait une délicieuse fellation et je suçais avec entrain le bel engin d’Éric tout juste sorti de ma petite rondelle.

Quelques minutes après, Éric me demanda de l’enculer. Je l’ai alors mis à quatre pattes et comme pour me venger, je ne préparais pas le terrain et j’ai directement enfoncé mon sexe dans son cul... Il fit un cri sourd et je me réjouissais de mettre pour la première fois ma queue dans un beau cul masculin! Ce fut alors une chaîne car Guillaume se mit derrière moi et m’encula, suivit de François qui enculait Guillaume... Imaginez la belle photo à prendre, quatre beaux mecs les uns sur les autres en train de transpirer, de crier, de se frotter et de s’embrasser langoureusement. Nous avons fait un roulement pendant 10 minutes pour que chacun se fasse enculer par l’autre... et ainsi de suite.

Au bout de ces dix minutes, Éric s’est retiré du cul de Guillaume et s’est écrié: «Ramenez vos bouches, je vais vous lâcher ma purée!» Nous nous sommes tous dirigés vers lui, il a rapidement retiré sa capote et nous a envoyés cinq belles giclées de sperme chaud qui nous recouvrait le visage. S’en est suivi l’éjaculation de François qui a recouvert les draps et la mienne que j’ai lâché sur le torse d’Éric qu’il a étalée sur son corps et que Guillaume à léché.

Le dernier, Guillaume, a pris son temps et nous nous sommes acharnés avec nos mains et nos bouches sur sa queue avant qu’il nous jette à la gueule une giclée de sperme extraordinaire. Nous étions éreintés, fatigués et nos respirations étaient lentes et lourdes.

Nous étions les uns sur les autres, cuisses entrecroisées, nos sexes mous qui se rétractaient, recouverts de sperme et nos baisers qui n’en finissaient pas...

Ce fut la plus belle nuit de ma vie et je n’ai pas manqué de recommencer mais nous étions que deux à chaque fois... Pour mon plus grand plaisir bien sûr.

Maintenant j’ai découvert pourquoi ils n’étaient jamais avec des copines... Vous aussi, non?

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Vendredi 29 juin 5 29 /06 /Juin 22:09

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Je n'ai pas honte de l'avouer, moi, Joël, à dix-huit ans, je suis entièrement soumis à mon petit frère Nathan qui a dix-sept ans. Je suis son jouet, son objet sexuel, ma sexualité dépend de la sienne et ça me plaît.

En fait, je lui ai toujours été soumis, il a toujours dirigé ma vie, peut-être parce que, tout petit déjà, il avait une personnalité plus forte que la mienne, ou alors parce que j'ai toujours été malingre tandis que lui, malgré un an de moins était et est toujours un garçon robuste. Dès le bac à sable, c'est lui qui désignait les jouets avec lesquels je pouvais m'amuser, tout comme plus tard c'était lui qui décidait quand et quel jeu on allait faire. Pendant toute notre enfance, il a aimé m'humilier, me mettre la honte parfois jusqu'à me faire fondre en larmes, mais je ne m'en suis jamais plaint à mes parents, je ne voulais pas qu'il soit puni à cause de ça. Parfois il était particulièrement dur quand il montrait à ses copains d'école ou aux miens que je lui obéissais totalement, comme si j'avais été son petit frère de cinq ans plus jeune.

Je devais avoir onze ans quand pour la première fois il m'a ordonné de me mettre tout nu devant lui, j'ai refusé, non pas pour le fait qu'il me voie ainsi, car on prenait souvent le bain à deux, mais parce qu'il avait décidé que ça se passe comme ça, sans raison, juste pour son plaisir. Comme je ne voulais pas, il m'a sauté dessus et sa force a fait que je me suis retrouvé sans aucun habit en moins de trois minutes, puis il m'a penché sur ses cuisses, a bloqué mes poignets dans mon dos, de l'autre main il m'a donné une fessée à m'en faire pleurer et supplier pour qu'il arrête. Quand il a trouvé que ma punition était suffisante, il m'a redressé et a vu que mon petit sexe était devenu tout dur et il s'est amusé à le toucher, je l'ai laissé faire. Il m'a dit de rester debout, les mains sur la tête, et après un quart d'heure, ayant entendu notre mère se déplacer dans la maison, il m'a fait me rhabiller. Inutile de dire que, les fois suivantes pour éviter la fessée, je ne tardais pas à ôter tous mes vêtements et il s'amusait de me voir bander. Il l'a fait aussi plusieurs fois quand son meilleur pote Marc était là, mais heureusement jamais devant des copains de ma classe.

Au début de mes treize ans, j'ai découvert les plaisirs de la masturbation, mais je ne lui en ai pas parlé. Lui, tout robuste qu'il était, avait encore un corps de gamin, alors que je prenais peu à peu des formes. Il me posait assez souvent la question de savoir si je jutais déjà, car, à mon avis il s'en doutait, et un jour, en insistant plus longtemps avec ses doigts sur ma queue, le sperme est sorti, ce qui l'a fait bien rire. Et de ce jour, je me retrouvais de plus en plus souvent à poil devant lui et son copain Marc, soit je devais me masturber devant eux, soit ils s'amusaient à me faire éjaculer. Honteux au départ de jouir devant leurs yeux, j'ai commencé à tirer plaisir de ces manipulations.

Quand quelques mois plus tard, Nathan a eu sa première éjaculation et a découvert le plaisir commun à tous les adolescents, ses jeux avec moi se sont nettement sexualisés. Dès qu'il était certain que nous ne serions pas dérangés, il me faisait déshabiller, et parfois je l'étais avant qu'il ne me le demande et je me mettais les mains sur la tête, debout ou à genoux. Je devais le masturber au rythme qu'il m'indiquait, il m'interdisait de me faire jouir moi-même, je devais le supplier pour qu'il me le fasse. Il m'obligeait aussi à raser tous les poils de mon pubis et de mes fesses.

Au cours des mois et années qui suivirent, ses exigences devinrent de plus en plus fortes, j'ai dû lécher le sperme sur son corps, le sucer et garder son jus en bouche jusqu'à ce qu'il me permette de l'avaler par toutes petites gorgées, parfois après plus de dix minutes. Il m'a ensuite forcé à prendre son sexe tout au fond de la gorge, et sa queue de 13 cm est passée en un an à 15. Il me mettait à genoux et me l'enfonçait parfois brutalement à m'en faire suffoquer et pleurer, il se servait de ma bouche pour se vider. Il aimait trifouiller dans mon cul, surtout quand il a vu qu'il pouvait me faire éjaculer sans me masturber, ce qui me donnait du plaisir mais me frustrait en même temps. Il m'arrivait de me masturber en cachette, mais quand il s'en rendait compte, j'avais droit à une terrible fessée sur ses genoux, et après celle-ci, il m'embrassait et me masturbait. Parfois, il m'emmenait dans la douche, me mettait à genoux, tête en arrière et bouche ouverte et il me pissait dessus, visant mes lèvres. J'ai dû commencer à lui lécher les fesses, puis le petit trou. Au début, c'était après la douche ou le bain ; plus tard, quand il allait à la toilette, je devais l'essuyer avec du papier puis parfaire le travail avec ma langue, je n'avais à m'en prendre qu'à moi-même si le premier essuyage avait été incomplet. Il a ensuite voulu mes doigts dans son cul, doigts que je devais lubrifier par ma salive en les glissant dans ma bouche régulièrement, il me faisait parfois triturer son intérieur pendant plus d'une heure.

Bien sûr, il en est arrivé à vouloir mettre autre chose que ses doigts dans mon derrière, et je suis devenu sa petite femme, j'y passais quasiment tous les jours, ce qui ne me déplaisait pas, je lui présentais mon trou, fesses écartées, je devais me lubrifier moi-même avec mes doigts et ma salive, puis je devais lécher sa queue et il me pénétrait ainsi, soit délicatement, soit d'un seul coup, auquel cas il mettait un de ses slips sales dans ma bouche pour que je ne crie pas.

Son copain Marc, que Nathan appelait petite bite, était très souvent présent, mais il n'aimait pas les mêmes choses que Nathan, il aimait toucher et se faire caresser, sucer et se faire enculer, et comme mon frère préférait mon cul, je pouvais m'occuper de celui de Marc qui adorait que je jouisse en lui. Nathan l'obligeait à me baiser certaines fois, mais un jour, Marc ne voulut pas me pénétrer, Nathan l'a fessé comme il le faisait avec moi, puis il est entré dans son cul et a guidé la queue de Marc vers mon anus, et c'est mon frère qui a géré les mouvements de la brochette que nous formions. Nathan aimait aussi me bander les yeux et me mettre des boules Quiès dans les oreilles pour que je ne sache pas ce qu'il allait faire. Cette privation sensorielle n'était pas pour me déplaire, surtout quand Marc était là, je ne savais quelles mains allaient me toucher ni ce qu'elles allaient me faire.

Un jour, Marc m'a rapidement sucé, je lui ai léché l'anus et l'ai pénétré, tandis que Nathan s'occupait de mes fesses, je trouvais que Marc s'améliorait, il arrivait à bien resserrer ses muscles quand je reculais. Quand j'ai joui en lui, plus fort que d'habitude, Nathan a retiré mon bandeau, et horreur ! Ce n'était pas Marc que je venais d'enculer, mais Serge, mon plus jeune frère de quatorze ans.

Je ne savais plus où me mettre, je me dégoûtais moi-même et ai fondu en larmes, mais Serge m'a serré dans ses bras, m'a dit que je l'avais déjà enculé plus de dix fois et qu'il adorait ça, que lui aussi me l'avait déjà fait sous l'ordre de Nathan, et surtout qu'il m'aimait très fort. Il a approché ses lèvres des miennes et nous nous sommes embrassés sur la bouche pour la première fois de notre vie, puis il est descendu vers ma queue et a commencé à me sucer, je me suis retourné et j'ai pu goûter à son bon jus d'ado. Ce n'est qu'après que j'ai vu que Marc était là aussi, caméra à la main, tandis que Nathan était plié en deux.

Les parents étant rarement à la maison, Serge dort souvent dans mon lit et on se fait l'amour à tour de rôle, restant cependant tous deux soumis à Nathan.

J'adore mes deux frangins.

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Vendredi 29 juin 5 29 /06 /Juin 18:36

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Il y avait eu quelques tentatives de vol chez moi et mon père qui était un collectionneur de pièces assez précieuses avait dû faire appel à un réparateur du système d’alarme.

Rémi était un type qui travaillait au noir et s’était engagé à venir plusieurs jours de suite pour remettre aux normes l’installation insuffisante et y ajouter une vidéo surveillance. Il était ce genre d’hommes qu’on ne remarque pas au premier abord mais qui dégage quand on l’observe un certain magnétisme. Sans être beau, selon les critères classiques, il avait du charme.

J’étais de mon côté à une période un peu indécise, je n’avais fait que sortir avec des garçons de mon âge mais n’avais pas encore connu un vrai premier rapport sexuel. Je sentais que je commençais à être en manque. Je me mis dans la tête que Rémi était gay et qu’il serait celui qui me dépucellerait. N’étant pas très doué pour la drague, mes premières approches restèrent sans effets. Mon réparateur que je convoitais semblait trop macho et m’ignorait complètement. J’avais beau guetter n’importe quel signe, rien ne venait.

Un jour pourtant je fis une trouvaille surprenante. Près d’un canapé qui était resté dans l’une des pièces en réparation, j’y découvris un boxer blanc, roulé en boule. J’imaginai tout de suite Rémi le porter et l’ouvrit. Apparemment il avait été utilisé toute une journée car il avait une légère odeur d’urine et une fine traînée brune à l’arrière. À l’intérieur, il y avait un préservatif vide et qui avait séché. En le déployant, je vis à sa couleur qu’il avait servi pour une sodomie. Leurs parfums étaient aphrodisiaques, je léchai les tâches pour tenter de découvrir un peu de ce qui m’échappait.

La première question était sur qui le préservatif avait servi. Rémi avait pu l’oublier lorsqu’il avait retiré son bleu de travail. Ce ne pouvait être Sébastien, son aide de 15 ans, car celui-ci était beaucoup trop fluet; par ailleurs j’avais remarqué qu’il portait toujours des sous-vêtements colorés sous ses pantalons baggy.

Je fis donc en sorte de me retrouver au moment où Rémi terminait son chantier quotidien pour lui remettre son sous-vêtement. Il se changeait dans la salle de bains, je fis semblant de la nettoyer à l’instant propice. Il arriva et ne fut pas décontenancé de me voir laver paresseusement les carreaux. À ma grande surprise, je le vis ouvrir le haut de son bleu et le faire glisser jusqu’à ses hanches, il portait un tee-shirt, prendre sa bite en main et se mettre à pisser devant moi! Il ne portait pas de sous-vêtement... Il me dit en rigolant qu’il n’en mettait quasiment jamais. Il resta bien quelques minutes après avoir terminé à laisser s’écouler les dernières gouttes. J’avais les yeux rivés sur ses belles couilles bien pendantes, on comprenait pourquoi!

— Tu as quelque chose à me dire? me demanda-t-il.

Je ne réfléchis pas et lui avouai directement que je voulais faire l’amour avec lui. Il ne parut pas surpris.

— Euh, c’est flatteur, mais je ne suis pas pédé. Je ne dis pas que je veux pas essayer, mais si à la rigueur j’acceptais, ça ne serait peut être pas ce que tu cherches vraiment. Je t’avoue que j’avais bien remarqué que tu étais homo mais pour moi ce n’est pas aussi clair.

Je n’en revenais pas qu’il soit aussi naturel et de peur de perdre une occasion, je lui répondis:

— Écoute, je suis prêt à faire ce que tu veux, fais-moi une proposition.

Comme on arrivait au week-end, il me dit qu’il me donnerait sa réponse le lundi. Je passai un samedi et un dimanche sur un petit nuage, ne faisant même pas attention à mes parents qui se faisaient la tête. Ma mère en avait assez des travaux qui duraient depuis trop longtemps dans la maison et l’empêchaient d’y passer comme d’habitude l’essentiel de ses après-midis. Je m’endormais le soir avec le boxer que j’utilisais comme un doudou en étant à peu près sûr que c’était celui de mon futur amant.

Enfin le moment arriva et Rémi me proposa la chose suivante:

— Comme beaucoup d’hétéros, j’ai des fantasmes homos. J’avoue que j’aimerais bien que tu m’encules. Mais je ne supporterai pas que tu me parles, me caresses ou même que tu me voies. J’ai eu l’idée suivante, je vais me positionner de telle manière à un endroit précis, dans une pièce qui sera complètement sombre, tu viendras, me prendras et partiras aussitôt.

Je bandais rien qu’à écouter son récit, ce n’était pas très sentimental mais comme je n’avais pas d’expérience, j’aimais autant que cela se passe ainsi sans que l’on se parle.

Tout se passa comme prévu, j’entrai dans la chambre qui avait été préparée et était entièrement calfeutrée. Je distinguai dans la pénombre sur le lit les fesses blanches proéminentes de celui qui s’était installé pour se faire prendre directement. Ma bite me faisait mal tant elle était dure. Je pris un préservatif et un peu de gel et appuyai doucement sur l’anus qui s’ouvrit délicatement absorbant mon sexe petit à petit. Une fois tout au bout, j’interrompis mes mouvements, c’était trop bon. Je distinguai également qu’il portait une cagoule comme prévu. Je ne pus m’empêcher de glisser mes mains sous lui pour sentir sa queue bien dure et ses boules qui s’étaient rétractées, mais il me donna un coup avec les siennes et je me rappelai que je ne devais pas le toucher. Je n’eus pas besoin de rester longtemps en lui car je jouis rapidement. Je fis là aussi ce qui était convenu, je lui vidai le contenu du préservatif sur l’anus pour que cela lui coule entre les cuisses. Je devinai grâce aux bruits en me réajustant qu’il se doigtait le cul, se passait les mains sur les jambes et se léchait après. Je sortis tout content de moi.

En avançant dans le couloir, j’entendis dans les toilettes qui jouxtaient la pièce où je venais de connaître mon premier acte sexuel. Une sonnerie de portable qui fut coupée puis suivie d’une voix sourde. Il y avait quelqu’un d’autre dans la maison: maman, papa, Sébastien?

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Vendredi 29 juin 5 29 /06 /Juin 17:25

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Il y avait quelqu’un d’autre dans la maison: maman, papa, Sébastien?

Pétrifié, j’ouvris la porte et découvrit que ma mère était en train de se faire enculer par Sébastien. Elle avait un bâillon sur la bouche pour ne pas faire de bruit et je vis que sa chatte était occupée par un sex toy. Sébastien semblait tout à fait maîtriser la situation et mon irruption ne l’interrompit pas. J’étais fasciné par la taille de son sexe qui entrait et sortait du cul maternel. Ce qui me surprit fut de constater qu’ils avaient en ligne de mire un moniteur qui montrait ce qui se passait dans la salle à côté, celle d’où je venais. Avaient-ils tout vu?

Je sortis de la pièce, l’esprit empli de questions et attendit qu’ils terminent leur petite affaire. Cela prit du temps, ce qui me montra qu’ils n’avaient pas du tout été gênés par ma présence. D’ailleurs lorsqu’ils finirent par apparaître, ils étaient bras dessus, bras dessous et ma mère me dit au passage en guise d’explication: «Que veux-tu, ton père ne me touche plus, je ne suis pas de marbre!» Sur ces mots, elle fila prendre une douche et me laissa avec un Sébastien goguenard qui n’arrêtait pas de se toucher en me disant qu’il n’arrivait pas à débander.

Je lui demandai des explications pour la vidéo et il me répondit qu’elle était à infrarouge pour voir dans le noir et que c’était Rémi qui leur avait dit de regarder. Ce dernier était donc exhibitionniste? Cela ne cadrait pas avec ce qu’il m’avait dit. De plus il avait disparu après notre partie de jambes en l’air. Sur ces faits, mon père surgit, je n’avais pas le cœur à lui apprendre ce qui se passait sous son toit, d’autant que ma mère vint lui faire une scène à propos du linge qu’il venait de déposer à laver. L’affaire prenait un mauvais tour quand tout à coup papa, pour essayer de retourner la situation à son avantage, l’accusa de lui avoir perdu son unique boxer blanc. Un déclic se fit dans ma tête. Ma mère, devenue mauvaise, lui lança alors: «Tu n’as qu’à mieux chercher, demande donc à ton fils chéri!» J’étais rouge de confusion, elle savait donc tout de mon fétichisme.

Le lendemain, j’attendis Rémi avec impatience pour le remercier. Il me dit qu’il n’y avait pas de quoi que c’était moi qui devait être complimenté. Je le flattai encore un peu et il se sentit obligé de surenchérir:

— Merci surtout d’avoir respecté à la lettre nos engagements.

Je lui répondis que j’avais eu du mal à ne pas lui parler en l’enculant. Il ajouta:

— Et de ne pas m’avoir touché.

Je me mis à rire et lui dit:

— De toute façon tu ne m’as pas laissé faire!

Je vis alors qu’il ne saisissait pas de quoi je parlais...

— Tu sais quand tu as frappé ma main qui était un peu baladeuse.

— Ah oui, dit-il un peu hésitant. Mais du moment que tu ne me prenais pas la bite.

— Mais je l’ai fait...

Il y eut un blanc que j’interrompis.

— Ce n’était pas toi hier?

— Autant te l’avouer, non.

— Qui alors?

— Ton père!

Je ne sus que répondre. Rémi reprit la parole:

— Écoute, depuis que je suis là, vous êtes tous sur mon dos, ton père, ta mère qui voulez coucher avec moi et toi qui t’y mets. J’ai mis Sébastien sur le coup à ma place, mais hier je ne pouvais pas le dédoubler et je n’avais pas envie de le faire alors j’ai tout manigancé. Ton père veut être pris dans le noir menotté, bâillonné, ta mère est une voyeuse, je leur ai donné satisfaction, Sébastien qui ne demande que ça a pu se vider les burnes et toi aussi, non?

Dans ma tête tous les morceaux s’imbriquaient, Sébastien avait dû enculer un jour papa, j’en avais retrouvé les traces. Que faire désormais? Je connaissais les désirs intimes de mes parents et je proposai le plan suivant: puisque maman aimait voir des mecs s’enfiler, j’allais baiser mon père devant elle pendant que Sébastien reprendrait sa place dans son cul.

Ce fut fait rapidement mais en pleine action, mes parents se rapprochèrent et malgré nos deux présences à Sébastien et moi en eux, ils s’accouplèrent. Nous formions un ensemble à quatre têtes que Rémi filmait en se branlant. Je lui avais demandé une faveur. Puisqu’il n’était pas homo, accepterait-il de décharger sur moi. Il s’exécuta, dispersant sa semence sur mon visage, mais aussi sur mes trois autres partenaires. Je me fis ensuite enculer par Sébastien, décidément très tonique puisqu’il baisa après mon père pendant que maman suçait Rémi qui participait enfin. Quel bon plan au final!

 

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