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fan de histoires de mec

Jeudi 28 juin 4 28 /06 /Juin 12:45

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Le réveil sonne. J’ai l’impression de m’être couché il y a deux minutes. Mon cul ne me fait pas mal. Je gonfle un peu plus le plug avant de le dégonfler. Il y a encore de la marge. Le plug sort, et tout tombe sur le lit. Je m’amuse à rentrer une boule de pétanque qui retombe de suite. Mon cul est vraiment très ouvert.

Je me lève, enfile un pyjama et vais à la salle de bains. Je me lave le cul avec la poire de douche sans même réaliser. Devant par contre, il n’y a rien à laver. Le latex est super bien collé et ma bite et mes couilles ont totalement disparu. Je n’ai aucune sensation devant. Sensation étrange. Curieusement, ma bite ne me manque pas.

Je m’habille, descend déjeuner et part au lycée.

La journée est calme. Marc n’est pas là. Il est selon ce qu’on sait à l’hosto, il se serait cassé (ou foulé, on ne sait pas trop) la cheville. Je ne vois ni ne croise les deux jeunes, ni le terminale. Le soir, je descends avant pour aller cher mon homme. Auguste est là. Il me donne les vêtements de filles. Je m’habille, il me maquille comme la dernière fois. Puis je me lève, relève ma jupe et écarte mes fesses. Il me demande ce que je veux. Je lui dis que j’ai envie qu’il me mette sa pommade. J’ai envie d’être une chienne en chaleur. Il me badigeonne le cul. J’ai rapidement le cul en feu. Habillé en fille, ma bite qui ne peut bander dissimulé sous le latex, le cul en feu, je n’ai qu’une envie: me faire défoncer, fister, écarteler. Mon homme me demande par qui je suis prêt à me faire défoncer. Je lui réponds:

— Par tout le monde.

Il me demande si des clochards ça me va. Je lui réponds:

— Par des clochards, des chiens, par ce que vous voulez, ça m’est égal.

Auguste lui demande ce qu’il compte faire de moi. Mon homme lui dit qu’il a envie de m’amener dans l’autre foyer Sonacotra, puis sous le Pont suspendu, au repaire des clochards. Auguste lui dit que ça peut être dangereux. Qu’ils sont capables de se battre pour savoir qui me baise en premier. Il lui dit qu’ils gèreront et on sort.

Le cul me brûle. Je serais capable de m’empaler sur n’importe quoi. On marche dans une petite rue pas très éclairée. Un clodo arrive en face de nous. Mon homme me dit:

— Va lui demander de t’enculer.

J’accélère le pas et arrive devant le clodo. Il me gueule:

— Tu es une pute?

Je lui dis que c’est gratuit.

Il demande:

— Qu’est-ce qui est gratuit.

Je lui dis:

— Ça, et je me retourne, me penche en avant, relève ma jupe et écarte bien mes fesses.

Je sens ses doigts calleux et sales sur mes fesses. Il défait son froc. Positionne sa bite et m’encule. Oh que ça fait du bien. Je bouge pour bien sentir sa bite calmer le feu de mon cul. Je suis en pleine rue, sur le trottoir, en train de me faire enculer par un clochard. Je me dis que je suis qu’un trou à bites, et je sens que je vais jouir. Mais le clochard jouit trop vite et se retire. Je me redresse et retourne vers mon homme et Auguste. Ils me demandent comment je me sens.

— Frustré, je réponds, c’était bon mais trop bref.

Mon homme me dit que ça va s’arranger. On part en direction du pont suspendu. Ce soir, c’est de la bite de clochard qui m’attend. Arrivé sous le pont, ils ne sont pas très nombreux. Pas plus d’une douzaine. À notre arrivée, je me fais copieusement siffler. Mon homme me dit de me mettre à quatre pattes, mon cul ouvert face à eux. Il leur dit:

— Ce soir, jour de chance. Elle vous offre son cul. Tout le monde y a droit.

L’un gueule:

— Elle suce aussi?

Il répond:

— Aussi, mais après s’être faite baisé.

Je ne vois rien mais rapidement, je sens que l’on me tient par les fesses. Une bite enfin… La première que j’ai à sucer pue à mort mais je trouve ça bon. Ils jouissent vite. L’un demande si son chien peut aussi. Mon homme répond:

— On peut essayer.

Il approche son chien. Le chien me lèche. Super agréable. Il essaye de me faire baiser par le chien mais visiblement, ce dernier ne comprend rien. Mon cul est bien propre par contre. Plus rien. Je me relève.

On rentre. On arrive à un feu. En attendant de pouvoir traverser, je sens Auguste qui vient derrière moi. Il me dit: "Écarte un peu les jambes." Il se positionne derrière moi et m’encule. Il ne bouge pas. Je suis tétanisé. Il m’encule en pleine rue, les voitures passent et ne se rendent compte de rien, comme les personne de l’autre côté de la rue. Il sort de moi et on traverse. Il me mettra ainsi sa bite devant une vitrine de magasin, entre deux voitures, devant la porte d’un immeuble. Puis je monterai l’escalier jusqu’à chez mon homme plié en deux, sa bite en moi. À chaque étage, il me lime quelques minutes, et on continue. Arrivé chez mon homme, je m’appuie contre la table. Il me lime un long moment. Mon homme nous appelle. Auguste toujours fiché en moi, on va dans sa chambre. Il est allongé sur le dos, sa bite bien dressé. Je monte sur le lit et en manœuvrant, je rentre sa bite avec celle d’Auguste dans mon cul.

Ils bougent en moi. Je sens l’orgasme qui monte. Je jouis. J’inonde le ventre de mon homme qui se met à jouir, suivi d’Auguste. Je me recule et lèche mon homme. Auguste est toujours en moi, sa bite se ramollie mais il reste en moi. Je le sens à peine. Il sort et passe devant moi pour que je nettoie sa bite. Mon homme joue avec mon cul et finit par y rentrer sa main. Auguste dit que ça serait bien d’y rentrer deux mains. Auguste tente de rentrer sa main en plus. Ça tire, ça fait mal. Il force et sa main rentre d’un coup. Ça tire moins. Auguste dit qu’il va me faire jouir, qu’il va me caresser la prostate. Il tourne avec ses doigts, me caresse, et… oh que c’est bon. Je jouis, je n’arrête pas d’éjaculer. Mon homme rentre et sort sa main de mon cul en même temps. La sensation est infernale. Je ne suis plus que jouissance à ce moment là. Ça se calme et les deux mains sortent de mon cul. Je suis littéralement vidé.

Auguste me dit que chaque fois que j’aurai été la pire des chiennes, un parfait vide-couilles, je serai récompensé. Je lui dis que je suis prêt à recommencer de suite. Fou rire d’Auguste et de mon homme. Mon homme me demande si je serais prêt à me faire défoncer par un autre animal qu’un chien. Je lui dis que je suis un vide-couilles et prêt à tout mais que je ne vois pas par quel autre animal. Mon homme me dit qu’on change le programme pour demain. Pas de foyer, mais une grande surprise. Auguste et mon homme me déshabille, me démaquillent. Je vais pour remonter mon jeans. Auguste m’arrête. Il me met un peu de pommade sur le cul en me disant:

— Tu vas passer la soirée et la nuit à avoir envie de bite.

Mon cul me chauffe, me démange, mais légèrement.

Je reprends le bus pour rentrer chez moi. Bondé comme d’habitude. Je n’y fais même plus cas, il est toujours bondé. Je sens une main sur mes fesses. Je ne sais pourquoi mais je suis sûr que c’est le même inconnu qu’hier. Mon cul me démange. Je deviens sûrement fou mais j’en ai trop envie: je défais mon jeans et je le laisse glisser derrière. La main passe dessous, me touche les fesses, me caresse. Je fais comme je peux, vu le monde, mais j’arrive à écarter un peu les jambes. La main glisse dans ma raie. Elle arrive sur ma rondelle. Un doigt caresse le pourtour. Je donne un coup de rein et le doigt rentre dans mon cul. Aucune difficulté, il est ouvert et je sens que je mouille. Le doigt s’arrête. L’inconnu a l’air surpris. Puis le doigt s’agite dans mon cul. Vu la position, il ne pourra pas faire mieux. On s’approche de mon oreille. Une voix grave me dit:

— Descends dans deux arrêts.

Ça c’est sûr: C’est mon arrêt!

Je remonte mon jeans et me prépare à descendre, en me faufilant dans la masse.

Je descends et cinq autres personnes sont descendues. Deux femmes et trois hommes, dont le voisin de mes parents qui est âgé. Il doit avoir 70 ans. Personne ne vient dans ma direction et je me mets en marche. Mon voisin vient à côté de moi et me salut. Il me demande si tout va bien. Je lui dis que oui. D’un coup, je reconnais sa voix! Je lui demande où on va. Il me dit que je peux venir chez lui, il a quelque chose à me montrer. On discute de tout et de rien jusqu’à chez lui. Une voiture klaxonne. Je me retourne: mes parents! Il s’arrête à notre hauteur. Mon voisin leur dit bonjour, et leur dit qu’il a besoin de moi quelques minutes pour l’aider à descendre des cartons à la cave. Mon père demande s’il a besoin d’aide. Il lui dit qu’à deux on va y arriver et le remercie.

On arrive chez mon voisin. J'entre chez lui et dit bonjour à sa femme qui m’embrasse. Il lui dit que je viens lui donner un coup de main pour descendre les cartons à la cave. Elle me remercie. Dans une pièce au fond, il y a quelques cartons. Il me dit de l’aider. Ils ne sont pas vraiment lourds. On descend à la cave avec le premier. Il me demande d’empiler d’autres caisses.

Je me penche et sens ses mains sur mon cul. Je défais mon jeans, sors une jambe et écarte largement les jambes et je reste penché. J’entends le bruit d’une fermeture-éclair et il m’encule lentement. Je donne des coups de reins pour qu’il me prenne plus mais il freine le mouvement. Il m’encule lentement, tout en douceur. C’est agréable. Puis il accélère le rythme. Je sens qu’il va jouir. je me retire, me retourne et le suce. Il jouit en me caressant les cheveux. Je garde sa bite dans ma bouche. J’entends sa femme demander si tout va bien. Il répond que oui. Il débande mais continue à me caresser les cheveux, alors je garde sa bite dans ma bouche. Je l’aspire un dernier coup. Je me rhabille. On remonte. On prend un autre carton.

Arrivé dans la cave, il me dit qu’il m’a vu de loin au Cours Dillon. Il me dit avec un clin d’œil que je n’ai pas besoin d’aller aussi loin pour ça. Je lui réponds que ne pouvais pas savoir. Il me dit qu’il risque d’avoir besoin plus souvent de mes services. On remonte. Je vais pour continuer à descendre les cartons mais il dit qu’il est fatigué, que l’on finira une autre fois et qu’il ne veut pas trop me retarder. Sa femme me remercie de ma gentillesse… je sors et rentre à la maison.

À suivre...

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Jeudi 28 juin 4 28 /06 /Juin 01:56

jesuce

On marche dans la rue. Mon cul est trempé et ça coule. L’arrière de mes bas est trempé. Mon cul est toujours ouvert et me démange. Je demande à Auguste combien de temps la pommade va faire effet et comment il va décoller le latex. Auguste me dit que la pommade va faire effet pendant encore quelques heures, mais ça va se calmer de plus en plus. Que part contre le latex est collé avec de la colle médicale, et qu’il va se décoller d’ici quelques jours. Mais que vu les médicaments que j’ai pris, je ne banderais pas non plus avant quelques jours. Là, je me sens mal. Mon homme me dit que de toute manière, il me réserve pour les soirs à venir jusqu’au week-end. Il me dit que l’on va retrouver Mouloud et ses copains sur les chantiers. Habillé comme je suis en fille, il est sûr que je vais avoir un grand succès. Me voilà transformé en fille pour quelques jours…

On repasse chez mon homme. Il me démaquille, me lave le cul, et me déshabille. Je me positionne devant la glace, je me penche pour voir mon cul. Ma rondelle est rouge, boursouflée, et ouverte. Mon homme me demande ce que je fais. Je lui dis que je regarde à quoi ressemble mon cul. Il me dit qu’il ressemble vraiment à une chatte. Il me demande de me ne pas bouger, passe derrière moi et m’encule d’un coup. Il me dit qu’il a vraiment l’impression d’être dans une chatte. Sa bite me fait du bien. Elle calme le feu et je me sens bien. Je lui dis que j’aimerais rester avec sa bite dans le cul. Il se retire et me dit de le suivre. Il m’amène dans sa chambre. C’est la première fois. Il m’allonge sur le dos, relève mes jambes et me prend. Je suis bien. Je sens la jouissance qui monte dans mon cul. Je jouis longuement. La sensation est étrange. Je jouis, j’éjacule comme jamais, mais je ne bande pas.

Mon homme jouit dans mon cul. Il me laisse sur le lit. Il revient avec un gant mouillé et une serviette. Il me lave la chatte comme il dit. Je m’avance vers lui et je lui dis que c’est à moi de laver sa bite. Je le suce jusqu’à ce qu’elle soit bien propre. Je me rhabille, décide de ne pas mettre de slip, et sors.

Je prends le bus. Il est bondé. Je me tiens comme je peux d’une main à la barre. Tout à coup je sens une main sur ma fesse. Je ne bouge pas. Je décide de suivre les mouvements du bus, et je me caresse sur cette main inconnue. J’écarte un peu les jambes, ce qui vu le monde est compliqué. La main glisse entre mes fesses. Puis elle contourne et passe devant. L’inconnu me prend pour une fille et essaye de me caresser la chatte! Sauf que moi, la chatte est derrière…

Mon arrêt arrive. Je m’arrache aux caresses et sors du bus avec un flot de voyageurs. Je rentre chez mes parents. Il n’y a que la voiture de parrain. Je rentre. Parrain me demande comment s’est passé mon après-midi. Je lui raconte. Il est assis, ne bouge pas pendant que je parle. Il me demande comment est mon cul. Je lui dis que ça me démange. Il me demande ce que ça veut dire. Je lui dis qu’il me manque une bite pour me ramoner. En même temps, je baisse mon jeans et me tourne, appuyé sur la table de la salle à manger. Parrain me dit que mes parents vont rentrer. Je lui dis que je sais mais qu’en même temps, ça m’excite. Il vient derrière moi. Il regarde "ma chatte", il passe ses doigts dessus. J’essaye de me planter sur ses doigts. Il dit que je suis vraiment la reine des chiennes. Je lui demande de me défoncer. Il m’encule. Je gémis de plaisir. Il me laboure en profondeur, lentement. On entend un moteur de voiture. Il se retire vite. Je remonte mon jeans. J’ai à peine fini de le reboutonner que mon père rentre…

Le soir, je monte me coucher tôt. Je sors de ma cachette mes "jouets". Le bidule de parrain entre sans forcer. Il est froid et ça me fait du bien à ma rondelle qui démange toujours. Puis j’introduis les deux boules de pétanque. Je me sens "pleine". J’introduis le plug gonflable et pompe jusqu'à ce que la douleur me fasse m’effondrer sur le lit.

Je me recroqueville pour m’endormir.

À suivre...

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Jeudi 28 juin 4 28 /06 /Juin 01:39

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La veille, quand je rentre, parrain est rentré, mes parents aussi. Maman me dit d’aller faire mes devoirs, comme tous les soirs. Parrain me dit alors:

— Ah, oui, c’est important de bien faire ses exercices.

La remarque m’amuse. Je monte dans ma chambre et commence par récupérer le bidule en plomb de parrain et le gode gonflable. J’introduis le bidule. Il entre sans problème et de par son poids, se cale en bas de mon cul. Je sens le poids et mon cul est ouvert. Trois de mes doigts entrent sans problème. Je décide de rentrer en plus une boule de pétanque. Elle entre sans trop forcer. Le poids commence à être énorme dans mon cul. Quatre de mes doigts rentrent. Je sens que l’ouverture n’est plus ronde. Elle est tirée vers le bas. J’introduis le plug et gonfle. Ça tire. Je pense à ce que m’a dit parrain sur la déformation qui doit être violente pour que mon cul soit déformé à vie et reste ouvert. Je pompe comme un fou. La douleur devient atroce. Je pense au lendemain, à tous les mecs que je vais prendre dans mon cul-chatte. Je bande de plus en plus et la douleur diminue. Je gonfle un peu plus. Je me cale sur le lit, le temps que la douleur se calme.

Parrain entre dans ma chambre. Il voit mon cul écartelé. Il me dit que j’y vais quand même très fort. Je lui dis que je veux une vraie chatte. Mon cul ne doit jamais se refermer. Je veux que n’importe quelle bite puisse entrer sans forcer. Il me caresse les cheveux, me dit qu’il a de la chance d’avoir un filleul comme moi, et sort.

Je relis mes cours en restant allongé, le cul complètement étiré. Maman crie "à table". Je décide de me rhabiller sans rien enlever. Pas évident de marcher. Je fais quelques pas dans ma chambre pour arriver à marcher normalement, et je descends. Dur de descendre l’escalier normalement. Il m’est difficile de rester assis alors je me pose sur le devant de la chaise, le cul relevé. Parrain voit ma position et comprends que mon cul est toujours encombré. À la fin du repas, je prétexte un grand coup de fatigue et monte dans ma chambre.

Je me mets en pyjama. J’ai peur que maman monte me voir. Finalement, il ne se passe rien et je m’endors.

Je suis réveillé par une sensation étrange. Parrain est en train d’étirer mon cul. Il a enlevé le plug, la boule de pétanque et le bidule en plomb, et il a entré huit doigts dans mon cul. Il tire de chaque côté, puis enfonce complètement une main et tire avec les autres doigts vers le bas. Il me demande si ça va. Je lui demande de tirer plus fort. Il tire de plus en plus fort sur ses doigts. La douleur me réveille complètement. Il me dit que mon cul s’est bien déformé. Qu’il est resté rond en haut, mais est ovale en bas. Qu’il pense qu’à ce régime, je n’aurai plus besoin de rien à la fin de la semaine: mon cul ne pourra jamais se refermer. Ses paroles me font jouir dans les draps. Je me rendors doucement, les mains de parrain toujours en train de déformer mon cul.

Je me réveille avec la sensation d’être plein à exploser. Je suis incapable de me lever. Je dégonfle le plug, et je sens une boule de pétanque tomber. Puis une seconde, et enfin le bidule. Parrain m’avait farci. Je plaque le tout et vais à la salle de bains. La poire de douche entre dans mon cul, c’est habituel. Sauf que là, je ne la sens pas. Je touche mon cul avec ma main. Ma main entre par l’ouverture! Effectivement, je comprends parrain cette nuit. Mon cul ne se refermera jamais. D’ailleurs, ce n’est plus un cul, mais une chatte.

Cul bien propre, je m’habille. Je suis surexcité: cet après-midi, je retourne au foyer des travailleurs africains. La matinée au lycée me semble une éternité. Marc n’a pas le moral, ses grands-parents ont passé la soirée à lui parler de la mort… Il comprend qu’ils soient vieux, mais de là à parler de la mort en permanence, ça le saoûle. Il me dit qu’il est désolé, que cet après-midi, il est bloqué chez lui avec sa mère. Je ne sais comment lui dire que ce n’est pas grave du tout.

Enfin libre. Je fonce chez mon homme. Il m’attend avec Thierry et un autre africain. Thierry me fait mettre à poil. Il demande à son copain ce qu’il en pense. J’apprends ainsi que son copain s’appelle Auguste. Auguste me fait mettre à quatre pattes sur la table. Il tourne autour de moi, me tâte, écarte mes fesses, les caresses. J’ai l’impression d’être une bête de foire. Auguste dit que j’ai une très belle chatte, bien large, bien ouverte, il entre deux doigts dans ma "chatte" et dit qu’elle est bien souple. Il dit aussi que j’ai un peu de poitrine et que ma bite est petite et doit se cacher facilement mais que l’on doit bien m’épiler entièrement.

Thierry demande par quoi il veut commencer. Auguste dit qu’il va d’abord m’épiler, mais qu’avant tout, il veut tester ma chatte. On me fait mettre par terre, toujours à quatre pattes. Auguste vient derrière moi. Je sens son gland à l’entrée de mon cul. Il dit que je mouille et m’encule d’un coup jusqu’à la garde. Son sexe est gros mais ma "chatte" est souple et l’avale sans problème. Je ne ressens aucune douleur mais me sens bien enculé. Je bande dur.

Auguste dit que ma chatte est vraiment super, que je mouille comme une chienne. Il me lime en profondeur et je gémis de plaisir. Il prend ma bite dans sa main et me branle violemment. Je jouis très vite. Il me dit que maintenant, je dois jouir du cul. Je sens que je bande à nouveau, et je sens monter l’orgasme. C’est beaucoup plus fort et beaucoup plus long. Il arrive à me faire jouir ainsi longtemps. Il sort de mon cul, il tient sa bite serrée dans sa main. Il passe devant moi, je l’attends bouche ouverte. Il jouit et me remplit la bouche. Je lui montre ma bouche pleine et attends. Il dit:

— Une vraie chienne. Il attend pour avaler.

Mon homme lui dit que je suis un vide-couilles exceptionnel. Il me dit de fermer la bouche, mais de ne pas avaler. Il dit alors qu’il va m’épiler. Je reste dans la même position. Mon homme demande comment il va m’épiler, Auguste répond:

— Au sucre.

Je regarde mon homme, l’air étonné. Mon homme me dit que c’est une technique africaine, avec du sucre fondu. Auguste revient avec une boule dans sa main, et commence à m’épiler la raie. Ça fait mal. Je ne bouge pas. Quand il a fini, il me fait me retourner. Il épile ainsi mon cul, mes fesses, ma bite et mes couilles et mes jambes.Puis il me dit d’avaler, et me masse avec une huile. Quand il masse ainsi mon cul, je me mets à bander. Auguste dit que je suis une vraie chienne à bites.

Quand il a fini, il dit qu’il faut faire disparaître "cette petite bite qui ne sert à rien". Il me donne à boire un produit assez dégueulasse. Il dit qu’avec ça, dans cinq minutes, je ne banderais plus pendant un long moment. Au bout de cinq minutes, je débande. Ma queue est petite. Auguste sort un truc du sac. Mon homme demande comment il va s’y prendre. Auguste lui dit qu’il a amené du latex médical et de la colle médicale, et une sonde urinaire. Il va coller mes couilles et ma bite après avoir mis en place la sonde médicale. Il introduit la sonde dans ma queue. Ça ne fait pas mal. Puis, il enduit le bas du morceau de latex de colle. Il le colle en dessous de mes couilles. Il les aplatit et elle rentre en moi. Il colle alors le latex, aplatit ma bite, et fait sortir la sonde par un trou dans le latex et colle fermement. Il maintient en place un petit moment, puis enlève sa main et me dit de me lever. Mon sexe a disparu!

Le latex est presque de la couleur de ma peau. Avec un scalpel, il découpe le reste de la sonde. Il me dit que pour pisser, je dois m’accroupir, comme une fille.

Il me fait aller devant la glace de l’entrée. Je ressemble vraiment à une fille. Il passe alors une pommade sur mes seins. Ça chauffe. Il dit que ça va les faire ressortir. Il sort alors de son sac un porte-jarretelle noir et des bas noirs, me dis de les mettre. Je n’en ai jamais vu et ne sais comment faire. Mon homme dit qu’il va m’aider et m’enfile les bas, fixe le porte-jarretelle autour de ma taille. Auguste lui tend alors un soutien-gorge que mon homme s’empresse de me mettre. Puis auguste sort une jupe, très courte, qui une fois en place arrive juste en dessous de la fixation de mes bas. Un chemisier blanc. Auguste me fait asseoir et sort une trousse à maquillage. Il me maquille les yeux, et me met une crème transparente sur les lèvres.

Il me dit de me lever, sort de son sac des chaussures de filles, mais plates, et me dit d’aller devant la glace de l’entrée. Je ressemble à une fille. Non, je suis une fille. Grand choc pour moi. Il m’a transformé en jeune fille. Il me dit de me pencher en avant de relever ma jupe et d’écarter les jambes. J’obéis. À peine en position, Thierry m’encule. Il me demande ce que je suis. Je lui dis:

— Je suis une chienne, un vide-couilles permanent, ouvert à tous. Ma bouche et mon cul sont ouverts à n’importe quelle bite, n’importe où, n’importe quand.

Il me demande comment je m’appelle. Je lui réponds:

— "Laurence".

Il sort sa bite de mon cul, je me retourne de suite pour boire son jus mais il rentre sa bite en me disant d’attendre. Auguste me fait remettre en position, il enduit ma rondelle d’une crème. Je sens que ça chauffe. Il dit qu’il vient de m’enduire le cul d’une pommade chauffante. Comme ça, mon cul va me démanger, et je vais supplier que l’on m’encule pour calmer le feu. Effectivement, ça chauffe. J’ai le cul réellement en feu. Thierry ressort sa bite et fait quelques aller-retours dans mon cul. Le feu se calme, c’est trop bon. Il arrête de bouger. Ça brule à nouveau et je bouge pour sentir sa bite me ramoner et calmer le feu. Auguste est mort de rire. Il dit que je vais pleurer et supplier pour que l’on m’encule tout l’après-midi et que ça tombe bien, il a dit au foyer qu’il amenait une jeune salope. Ils sont, selon lui, une trentaine à m’attendre pour me bourrer. Thierry sort de mon cul. Il me demande ce que je veux. Je lui réponds:

— De la bite, des centaines de bites.

Il me dit que l’on part au foyer. Je suis le premier dehors. Ils sont tous hilares.

Mon cul me brûle de plus en plus jusqu’au foyer. C’est intenable. On entre. Plusieurs mecs sont dans l’entrée. L’un me demande ce que je veux. Je lui réponds:

— Ta bite.

Le mec sort sa bite de son pantalon. Une grosse et longue bite bien noire. Il bande dur. Je me retourne, relève ma jupe et recule vers lui. Je m’encule sur sa bite. Le mec dit à Auguste qu’il n’a jamais vu une salope pareille. Je me défonce sur sa bite. C’est moi qui vais et viens sur sa bite. Un second se positionne devant moi, j’ouvre la bouche et me penche. Il me prend par les cheveux, enfonce sa bite dans ma gorge. Je suis empalé des deux côtés. En me tirant par les cheveux, il rythme la cadence. Les deux jouissent. Je me dirige vers les autres. Auguste me bloque par le bras et me dit de le suivre. On entre dans la salle où j’étais la première fois.

Je me jette sur le matelas, relève ma jupe, écarte les jambes et tiens mes fesses écartées avec mes mains. Deux secondes plus tard, une bite vient calmer le feu de mon cul. Ma "mise à l’abattage" durera trois heures. Je n’ai pas compté les bites. Le feu de mon cul n’est pas calmé. Je les supplie de continuer. Thierry me traite de pure salope et me fiste. Oh que c’est bon! Je m’encule sur sa main. Quasiment tous les autres ont quitté la pièce. Auguste s’allonge sur le dos. Thierry me dit d’aller sur lui. Il laisse sa main dans mon cul. Auguste positionne sa bite et l'entre dans mon cul déjà occupé par la main de Thierry. Je sens que Thierry branle son copain dans mon cul.

Il sort alors sa main et la rentre tout en la laissant autour de la bite d’Auguste. Mon cul est ouvert en deux mais ça calme le feu. Auguste me demande si ça va. Je lui dis que c’est trop bon. Il défait les boutons du chemisier, passe sa main sous le soutien-gorge et caresse mes tétons. Je gémis de plus en plus. Auguste me dit que je suis une salope exceptionnelle, qu’il n’a qu’une envie, c’est de m’envoyer dans un bordel chez lui au Sénégal. Il jouit. Thierry ne lâche pas la bite d’Auguste et me fait me relever. Sa main est trempée de sperme. Il me dit de lécher sa main. Je lèche.

Ils me font me relever. Mon cul est ouvert et je sens que ça coule sur mes fesses et sur les bas. Le feu s’est un peu calmé mais ça me démange encore.

On sort du foyer...

À suivre...

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Mercredi 27 juin 3 27 /06 /Juin 15:14

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Le trajet en bus se passe normalement. On est serré comme des sardines et tout le monde à l’air à peine réveillé. Un matin normal en somme. Arrivé à mon arrêt, je descend. Je m’attends à croiser les deux jeunes de la veille mais personne.

J’arrive au bahut. Le portail franchi, il y a le mec de terminale qui m’attend. Du regard, il me fait signe de le suivre. Je le suis à distance. On traverse le bahut et on va vers le bâtiment de l’infirmerie. Il entre. Je le suis. En bas de l’infirmerie, il y a des toilettes. Il entre. Je le suis. Il entre dans des chiottes, laisse la porte ouverte. J'entre et me retourne pour fermer la porte. Sans rien dire, il tombe mon sac et défait mon jean. Je vais pour l’aider mais il plaque mes mains contre la porte. Il descend mon jean et mon slip. Il me demande pourquoi j’ai du papier toilette entre les fesses. Je lui réponds que c’est pour éviter de me tremper quand je mouille. Il me dit que je suis une vraie chienne. Il dégrafe son fut et m’encule d’un coup. Sa bite est pourtant grosse et longue mais elle entre sans forcer et je ne ressens aucune douleur. Il dit:

— Putain quelle chatte.

Je lui dis que je suis fier d’avoir un cul qui est une chatte. Il me lime rapidement. Il me dit:

— Ta bouche!

Je me retourne, me penche en avant et prends sa bite dans ma bouche. Il jouit. Par réflexe, je n’avale pas. je lui montre ma bouche pleine de son jus. Il me dit:

— Avale salope!

J’avale. Il me pousse sur le côté et sort sans fermer. Je me rhabille sans fermer la porte et sors à mon tour. La journée commence vraiment bien.

À midi, personne ne me fera signe. Quand je sors de la cantine, je décide de rejoindre Marc chez lui. On a une demie heure. Il est visiblement content de me voir. Il ferme la porte et me roule une énorme pelle. Je vire mon jeans et mon slip et me mets en levrette sur le lit. Il ne bouge pas. Je lui dis:

— Prends-moi, j’ai envie de toi.

Il ne bouge pas. je lui dis:

— Mon amour, prends-moi.

Un grand sourire apparaît sur son visage. Il s’approche de moi, se déshabille, promène son gland sur ma raie. Je recule pour m’enculer dessus. Plaisir immense. Mon cul n’oppose aucune résistance, aucune douleur. Je ne ressens que le frottement de sa bite dans mon cul. Je me bloque. Je jouis. Marc se déchaîne et me pilonne. Je jouis du cul. Je sens mon cul se tremper. Il jouit. Je me retourne et lèche sa bite, aspire ce qui reste de son sperme. Marc me fait m’allonger sur le dos. Il se met à me sucer. Je jouis très vite. Il se redresse et m’embrasse. Il a gardé mon sperme dans sa bouche. Ce baiser au sperme est extra. On se rhabille et on part au lycée.

L’après-midi se passe normalement. Je passe beaucoup de temps avec Marc et mes copains l’acceptent dans notre bande, me disant que c’est un mec sympa et que on ne sait pas pourquoi il était à l’écart jusque-là.

Fin des cours. Marc m’annonce qu’il doit passer la soirée avec ses grands-parents. Étant seul et ayant envie de bites, je pars au Cours Dillon.

Arrivé au lieu habituel, je vois mon homme en grande discussion avec un autre homme. Je ne sais si je dois m’approcher lorsque je vois que l’homme tient en laisse Sultan. Je m’approche d’eux. Mon homme me voit arriver et se lève. Arrivé à sa hauteur, il me dit de les suivre. On descend vers le bord de Garonne. Il fait clair ce soir. Mon homme me demande ce que je suis. Je lui réponds que je suis un vide-couilles, une chienne qui a la chatte ouverte à n’importe quelle bite, n’importe où. Mon homme me dit que c’est ce qu’il faut.

Il me dit de me mettre en levrette dans le bosquet, que Sultan a besoin d’une chienne. Je me mets entre deux arbustes et enlève mon jeans et mon slip. Mon homme me dit de me mettre plus vers le chemin afin que tout le monde puisse me voir me faire défoncer par le chien. Ça me gêne et ça m’excite en même temps. Je m’avance vers le chemin. Le sol n’est pas top, c’est du gravier. Je me décale vers la pelouse. Mon homme est surpris. Il me dit que là pour le coup, il est impossible de me rater. Je lui rappelle que c’est ce qu’il m’a demandé. L’homme au chien dit qu’au moins il n’y a pas de doute, je suis une vraie chienne.

Je me positionne, le cul bien cambré. Mon homme dit que c’est une vraie chatte. L’homme au chien approche Sultan de mon cul. Il me lèche. La langue du chien sur mon cul est une sensation très agréable. Il a une grande langue, large. Il l’enfonce dans mon cul qui s’ouvre sans problème. Je gémis. Mon homme me demande si ça va. Je lui dis que j’adore me faire lécher la chatte. L’homme au chien tire sur la laisse de Sultan. Il sort sa langue de mon cul et grimpe sur mon dos. Sa bite trouve mon cul du premier coup. Il me lime comme seul un chien sait faire. C’est brutal et intense mais c’est bon. Il me fait jouir du cul. Je regarde sur le côté et vois qu’à côté de mon homme et du maître de Sultan, deux mecs me regardent. De l’autre côté, il y a un clochard, bouteille à la main, qui me regarde en se malaxant les couilles à travers le pantalon. Sultan éjacule. Je me sens rempli. Je sens la boule qui grossit mais ça ne fait pas mal du tout. Sultan se bloque. Je sens que même si sa boule me remplit, je ne peux en aucun cas rester coincé. Mon cul est devenu une chatte très élastique. Mais je me sens bien et je n’ai pas envie de bouger. Sultan passe sa patte avant par-dessus ma tête. Je bouge pour qu’il reste bien en moi.

Le clochard s’est rapproché. Il a sorti sa bite et se branle. Je regarde mon homme en pleine discussion avec les trois inconnus. Je hèle le clochard. Il se rapproche de moi et commence à me traiter de pute et de salope. Je lui réponds que c’est son jour de chance. Il me dit qu’il ne passe pas après un chien. Je lui demande s’il veut se faire sucer. Il ne dit rien, continue de se branler, puis s’avance vers moi, m’attrape par les cheveux et fourre sans bite dans ma bouche. Elle pue, c’est abominable. Il jouit quasiment de suite. Il attend de débander et s’en va. Je regarde vers mon homme et les deux inconnus et leur montre ma bouche pleine. Mon homme me dit de ne pas avaler. Les deux hommes s’avancent. Sultan est toujours planté en moi et je les regarde. Ma bouche est toujours pleine et ouverte. Sultan sort de mon cul.

Un des deux me dit de ne pas bouger. Il passe derrière moi, entre trois doigts dans mon cul et en sort le sperme du chien qu’il récupère dans l’autre main. Puis revient devant moi, vide sa main dans ma bouche. Il me dit d’avaler lentement. J’avale le mélange de sperme du clodo et du chien puis il me donne ses doigts recouverts du sperme du chien à sucer.

Son copain s’est mis derrière moi. Je sens sa bite sur l’entrée de ma rondelle déformée. Il entre à peine le gland et se met à pisser. Il me rince la chatte. La sensation de ce jet chaud dans mon ventre me fait bander. Quand il a fini de pisser, il enfonce sa bite en moi. Il me lime. Son copain ouvre ma bouche et se met à me pisser dans la bouche. Je garde la bouche ouverte. Il dirige le jet à l’intérieur de mes joues et me rince véritablement la bouche. Quand il s’arrête de pisser, il enfonce sa bite dans ma bouche et me demande de sucer. Les deux jouissent très vite. Ils essuient leur bite sur mon visage et sur mon cul, me disent que je suis une bonne chienne et s’en vont. Je me relève. Le sperme que j’ai dans mon cul coule. Je le récupère avec mes doits et me lèche les doigts.

Je me rhabille devant mon homme sur le chemin. Mon homme me dit que je deviens une chienne exceptionnelle. Il me rappelle que demain après-midi, je suis attendu au foyer. Je lui dis que j’ai hâte de me faire défoncer par la bouche et la chatte par tous les hommes du foyer. Il me dit que l’on se retrouvera d’abord cher lui, Thierry veut me préparer. Puis il me demande de le sucer. Je m’agenouille devant lui. Je n’ai plus aucune pudeur à sucer en public. Il jouit assez vite. Je lui montre ma bouche pleine. Il me caresse les cheveux et me dit:

— Avale ma chienne.

J’avale. Il se recule et part en me disant à demain. Je reste à genoux mais les autres hommes au loin s’en vont aussi. Je me relève et décide de rentrer.

À suivre...

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Mercredi 27 juin 3 27 /06 /Juin 14:56

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Jusqu’à ce matin, ça faisait maintenant six mois que j’avais une vie partagée. La journée, j’étais un lycéen comme les autres, les soirs et les mercredis après-midi, j’étais un vide-couilles. La séparation des deux mondes était totale.

Depuis peu, les choses se sont accélérées. D’abord, j’ai offert mon cul et ma bouche à un chien, puis dans un foyer d’Africains. Puis, j’ai offert mon cul à un groupe de clochards. Puis, j’ai aussi offert ma bouche à leurs bites sales et puantes et j’y ai pris du plaisir. De vide-couilles, j’étais devenu une chienne avide de bites.

Parrain m’a encore fait évolué, mentalement et physiquement. Mentalement, je suis maintenant totalement capable non seulement d’offrir mon cul, mais aussi d’aller demander à me faire mettre. Physiquement, mon cul se déforme et deviendra bientôt à ma plus grande joie une vraie chatte. Je vais déformer mon cul jusqu’à ce qu’il ne se referme jamais complètement, et je serais ainsi toujours disponible sans le moindre préliminaire. Plus besoin de m’étirer le cul, de cracher dessus ou d’utiliser du gel. Un cul ouvert, qui mouille tout seul, toujours prêt. Comme une chatte de chienne en chaleur.

Depuis ce matin, j’étais une chatte de chienne en chaleur pour les autres lycéens. Le mec de terminal qui m’a bien baisé ce matin m’a dit qu’ils allaient me nourrir au sperme. Je ne sais rien de ce qui va se passer. Les cours du matin se passent normalement, même si je trouve que Marc, un mec de ma classe avec qui je parle peu, se retourne souvent pour me regarder. Était-il dans le «lot» de mes enculeurs de ce matin?

La récré de 10h se passe normalement. Marc me regarde quand même beaucoup. À 11h on change de salle pour aller en cours de maths. Je balance mon sac sur l’épaule, et la lanière casse. Mon cartable en vrac dans le couloir. Les copains se marrent et se barrent. Je leur dis qu’ils pourraient m’aider mais ils ne se retournent pas. Je commence à ramasser mes cours. Je n’avais pas vu Marc derrière moi. Il me tend une partie de mes cours et continue à ramasser avec moi. En 30 secondes, tout est rangé. Je remercie Marc en lui disant que c’est sympa de sa part. il me fixe droit dans les yeux et me dit:

— Normal, "échange de service"

et ajoute:

— Et merci pour ce matin.

Je me bloque et je ne sais pourquoi je lui réponds:

— À ta disposition.

Il me répond à voix basse:

— T’inquiète pas, je ne vais pas me priver.

On part ensemble vers la salle de maths. On a cinq minutes pour monter un étage, on a le temps de discuter. Je lui demande s’il a aimé. Il me répond qu’il a un secret à me confier. Il est homo. Je lui dis que moi non. Il me dit qu’il a du mal à me comprendre, comment je peux aimer la bite sans être homo. Je lui explique que c’est pour moi deux choses totalement différentes. Marc me dit qu’il aimerait que l’on se voie après les cours. Je lui dis OK. Il habite à côté du lycée, on se donne rendez-vous après les cours chez lui.

On arrive devant la salle de maths. Les copains me disent que j’ai eu vite fait. Je leurs réponds que c’est pas grâce à eux, mais qu’heureusement que Marc a été sympa, lui. On déconne tous pendant deux minutes en attendant la prof, et on rentre en cours. Visiblement, il y deux parties au lycée. Ceux qui me connaissent comme copains, et ceux qui connaissent mon cul.

Midi. Fin des cours. Direction le foyer en attendant 13h pour passer à table. La cantine est en deux services.

Le foyer est toujours bondé. Et un fumoir de première (à l’époque, on peut fumer dans certains couloirs du lycée et dans le foyer et les cours de récré). Je tente de me frayer un passage lorsque je tombe nez à nez avec la terminale de ce matin. Il me dit on se retrouve comme ce matin. Je lui rappelle que le couloir des salles de chimie est fermé entre midi et deux. Il me dit alors au fond de la cour de prépa à côté du gymnase. Je lui dis OK. Je me fraye un passage jusqu’à la sortie, et vais dans les chiottes à côté du gymnase.

Je rentre, je suis seul. Les chiottes du fond sont fermées. Il arrive derrière moi. Il ne dit rien, sort une clé de sa poche et ouvre une porte à côté de la porte d’entrée. Il allume. C’est une pièce de réserve où se trouvent des tables, des chaises entassées et divers trucs bien poussiéreux. Il me dit:

— Aide moi et attrape une table.

On la positionne en long dans la pièce. Il va au fond et ramène un morceau de tapis de gym en mousse bleue. Il pose le tapis sur la table et me dit:

— Cul à l’air, jambes bien écartées vers la porte.

Je commence à défaire mon jeans et j’entends des voix. Il me dit:

— Grouille toi!

Je vire mon jeans et mon slip et prends la position. Il met mon jeans sur ma tête, et ouvre la porte. Je ne sais combien ils sont. Il me dit d'écarter mes fesses. Avec mes mains, j’écarte mes fesses. Mon cul s’ouvre, je le sens, et je mouille, j’en suis certain. Il leur dit:

— Les mecs, j’ai trouvé un nouveau vide-couilles, et il n’est pas chiant comme Laetitia.

Certains râlent en disant:

— Ouais, mais c’est un mec.

Il répond:

— Et alors, un cul c’est un cul. Là, c’est pas un cul qu’il a, c’est une véritable chatte. Et Laetitia, personne ne l’a jamais enculé, alors ça va nous changer.

Une voix dit:

— Un cul, c’est un cul, et moi je m’en fous.

Et il m’encule d’un coup, complètement. Sa bite est pas très large mais longue. Je gémis. Il dit:

— Putain, super bon, c’est ni un cul, ni une chatte. C’est quoi?

Et je m’entends répondre:

— Un vide-couilles.

Le mec ajoute:

— Ça, ça me plaît. C’est disponible tous les jours?

Et le mec de terminal lui dit qu’on lui a dit que c’était ouvert nuit et jour. Le mec me baise vraiment bien. J’aime ses mouvements au fond de mon cul. Il jouit. Il sort de mon cul. Il est remplacé dans la seconde. J’entends dire:

— Activez les mecs, on n’a pas la journée.

Quatre terminales vont ainsi prendre mon cul. Et me le remplir de sperme. Le premier enlève mon jeans que j’ai sur la tête. Il me fait m’accroupir au-dessus d’un plat en inox de la cantine. Il me donne sa bite à sucer. Je sens le sperme de mon cul qui coule et qui goutte dans le plat. Le mec me demande de pousser un peu pour faire couler le jus que j’ai dans le ventre. Ça gicle dans le plat. Il sort sa bite de ma bouche, sort une cuillère de sa poche, racle mon cul des dernières coulées de sperme, ramasse le plat, remplit la cuillère et me dit:

— Repas nouvelle cantine.

J’ouvre la bouche, il vide la cuillère, je n’avale pas. Il ramasse tout le sperme du plat et me remplit la bouche. Puis il y remet sa bite. Sucer un mec en ayant la bouche pleine de sperme est une sensation délicieuse. Il jouit, serre mes lèvres avec ses mains pour essorer sa bite dans ma bouche. Je reste bouche ouverte. Il me demande d’avaler en plusieurs fois. J’avale. Je lui montre ma bouche bien vide et bien propre. Il me dit que je suis un bon vide-couilles. Il me dit que je suis à sa disposition. Je lui dis que je suis un vide-couilles et que ma bouche et mon cul sont disponibles tout le temps pour n’importe quelle bite. Il me dit qu’il ne l’oubliera pas.

Il me dit de me rhabiller et on sort. Je regarde l’heure. C’est l’heure d’aller à la cantine. J’ai apprécié l’entrée…

À suivre...

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Mercredi 27 juin 3 27 /06 /Juin 14:31

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Je veux avoir une chatte ouverte. Comme tout bon vide-couilles. Mon cul est ouvert en deux par le plug de 7cm mais la douleur devient plaisir à l’idée qu’il transforme mon cul en chatte. Je repense à la main de Thierry et le plaisir que j’avais de la sentir en moi. Mon cul doit s’ouvrir, peu importe la douleur.

Parrain gare la voiture dans une allée. Il y a d’autres voitures. On descend de la voiture. J’ai un peu de mal à marcher. Parrain me dit:

— Pense aux bites que tu vas sucer, au sperme qui va couler dans ta bouche.

Et d’y penser, je bande. Mais ma bite scotchée me fait mal, mais elle pousse le plug en moi, et ça, ça fait du bien.

On avance dans une allée. Il fait de plus en plus sombre. Plusieurs mecs sont sur le bord de l’allée, appuyés contre des arbres. Certains se masturbent. Parrain continue d’avancer, il me dit que l’on va à la clairière. On arrive par un petit chemin dans une éclaircie dans les arbres. Plus loin, il y a visiblement un attroupement.

On va vers le groupe. Il y a deux mecs en train de se faire sucer et beaucoup de mecs autour la queue à la main. Parrain me fait enlever mon blouson et mon teeshirt et me dit de me mettre à genoux devant les mecs qui se branlent.

Je me mets lentement à genoux, le plug me gênant. À peine posé, je suis entouré de mecs qui se branlent. J’ouvre la bouche et immédiatement j’ai une bite dans la bouche. Les autres frottent leur bite sur mes épaules. C’est super agréable. Le premier jouit dans ma bouche. Je prends une autre bite dans la bouche et un mec jouit sur ma joue. Les bites qui se frottent à moi sont humides et je sens des mecs qui jouissent sur ma tête, mes épaules. J’arrête de sucer pour ramasser le sperme qui coule sur ma joue, et suce mes doigts. Le mec qui est devant moi me dit de pencher la tête en arrière et d’ouvrir ma bouche en grand. Et là, les mecs viennent pour se vider dans ma bouche. Certains ratent ma bouche et j’en ai plein le visage et plein les yeux. Ça pique. J’ai la bouche pleine de sperme. Parrain me dit d’avaler et de ramasser tout le sperme qui est sur mon visage. J’avale et avec mes doigts, je ramène le sperme qui est sur mon visage dans ma bouche. Les mecs me traitent de vide-couilles, parrain leur dit que je suis une chienne. Un mec demande si on peut m’enculer. Parrain lui dit que sa chatte est remplie par un énorme gode, mais qu’il me ramènera dans quelques jours, quand ma chatte sera bien ouverte.

Je regarde à côté un mec qui est à quatre pattes, à poil en train de se faire enculer. D’autres lui jouissent sur le dos. Un mec dit à parrain:

— Dis à ta chienne de le nettoyer.

Parrain me dit d’aller lécher le sperme qu’il a sur le dos. J’avance à quatre pattes et commence à lécher le dos du mec. Sensation étrange. L’homme qui l’encule jouit bruyamment dans son cul et se retire. Il me dit:

— la chienne, son cul est plein de foutre, va lui lécher le cul, aspire.

Là, je ne sais pas quoi faire. Sucer un cul, ça ne m’est jamais arrivé. Parrain s’approche de moi et me dit:

— Tu es une vraie chienne. Les chiens se lèchent le cul. Le sien est plein de sperme. Tu adores ça. Remplis ta bouche avec le sperme qu’il a dans le cul.

Je suis un peu dégoûté mais je m’approche de ce cul. Il sent le sperme. Je lèche les fesses, puis l’anus de l’homme. Il pousse visiblement et du sperme coule; j’aspire. Ça semble ne jamais vouloir s’arrêter. J’entends un homme qui dit:

— Il s’est fait enculer par quinze mecs, elle a de quoi boire la petite chienne.

Le mec vide son cul dans ma bouche. J’en avale une partie, il y en a trop. Je me redresse et montre ma bouche pleine à ras-bord. Parrain me dit de ne pas bouger. Deux mecs viennent jouir dans ma bouche. Il me dit d’avaler puis de finir de lécher le cul. J’avale et me remets à lécher le cul. Ma langue entre dans son cul et l’homme a l’air d’apprécier. Quand j’ai fini, je me redresse. Parrain me dit de me relever. Je me relève. Parrain me dit:

— Tiens, tu vas mieux que tout à l’heure.

Je lui demande pourquoi. Il me dit:

— Tu ne sens plus le plug?

Et c’est vrai. Je ne sens plus aucune douleur. Mon cul s’est habitué à ce gros plug. C’est donc que mon cul est devenu une chatte. Parrain lit dans mes pensées. Il me dit:

— Oui, ton cul s’est ouvert. Mais il faut laisser le plug encore longtemps, sinon, il va se refermer.

Je lui dis que ça ne me gêne pas, je me sens aussi bien qu’avec le plug plus petit. Parrain me fait remettre mon teeshirt et mon blouson, et l’on repart à la voiture. J’ai du sperme collé sur tout le visage, dans les cheveux. Je sens le sperme. Je me sens bien.

À suivre...

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Mercredi 27 juin 3 27 /06 /Juin 13:38

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L’après-midi se passe dans le calme.

Le soir, je suis Marc chez lui. Il habite vraiment à deux pas du bahut. C’est un vieil immeuble du centre-ville. Il me dit que ses parents rentrent tard, que ses grands-parents maternels habitent au rez-de-chaussée, ses parents au premier, et il a une chambre aménagée au second. On s’arrête au rez-de-chaussée. Il va voir ses grands-parents, me rejoint et me prend par la main.

On arrive au second. Sa chambre est immense. Il ferme la porte, se tourne vers moi et m’embrasse. Je suis surpris. C’est la première fois que je roule une pelle à un mec.

On se déshabille mutuellement. Il me caresse tout le corps, et je fais pareil. Il me fait m’allonger sur le lit. Réflexe, je me mets en levrette. Il me tourne doucement. Se serre contre moi et m’embrasse partout. Je bande dur et je sens mon cul se tremper. Il passe un doigt sur mon cul. Il me dit que je mouille. Je lui dis que je mouille du cul comme une chienne. Il me dit que je mouille comme un mec qui a envie de faire l’amour. Il se positionne sur moi en 69. je suce sa bite. C’est la seconde fois que l’on me suce. Là je trouve ça agréable. Il me suce et en même temps me branle doucement le cul avec ses doigts. Puis il se relève, relève mes jambes, je tiens mes genoux dans mes mains, s’approche de ma rondelle bien ouverte et entre doucement en moi. Je ne peux me retenir et jouis sur mon ventre. Il sort de mon cul, se penche et lèche mon ventre. Puis m’encule à nouveau tout doucement. Je sens que je jouis, mais du cul. La sensation est totalement différente, beaucoup plus intense et longue. Il s’en rend compte et me dit:

— Jouis, mon amour.

Je jouis longuement et à plusieurs reprises. Je lui dis que je veux qu’il décharge dans ma bouche. Lorsqu’il sent qu’il vient, il sort de mon cul, je me jette sur sa bite. C’est un torrent de sperme qui emplit ma bouche. J’avale tout. Je ne veux rien laisser perdre, quitte à m’étouffer. Je ne lâche pas sa bite, je la suce doucement jusqu’à ce qu’elle redevienne molle. Là, elle sort de ma bouche. Il se remet devant moi mais descend et me lèche le cul. Je sens sa langue entrer en moi. Je sens que je mouille. Il bande à nouveau. Il me fait mettre sur le côté et vient en moi. Je jouis du cul dès qu’il rentre en moi. Il me lime furieusement. Je ne suis plus que jouissance. Il jouit en moi. Je le retiens. Je ne veux pas qu’il sorte de mon cul. On va rester ainsi pendant près d’une heure, sa bite plantée en moi. Vu l’heure, je dois rentrer. C’est à regret que je sens sa bite sortir de moi. Il me dit qu’il aurait voulu rester des heures en moi. Je lui dis la même chose. Il me caresse et m’embrasse. Je me rhabille vite, je sens que sinon je vais rester.

On s’embrasse furieusement et je sors de chez lui. Je viens de faire l’amour.

Pendant le retour dans le bus, je ne peux me détacher de ce qui vient de se passer. J’ai fait l’amour avec un homme, et c’est bon.

Arrivée à la maison, il y a la voiture de parrain, mais pas de mes parents.

Parrain est dans le salon et a l’air content de lui. Je lui demande si tout va bien. Il me dit qu’il a passé une super journée. Il me dit qu’il a une surprise pour moi. Je ne demande rien de plus, monte dans ma chambre et enlève mon jeans et mon slip. Parrain arrive avec dans la main un drôle d’objet. Il me dit qu’il a un ami tourneur qui a pu le réaliser; on dirait un cône en métal arrondi aux deux bouts.

Il m’explique qu’afin que mon cul se déforme bien, il a fait réaliser un œuf en métal de 9cm de long, 7 et demi de larges à la base. Il est en inox creux, rempli de plomb. Je me mets en levrette. Parrain me met du gel et me dit que j’ai dû en profiter aujourd’hui, mon cul est ouvert et il sent le sperme. Il introduit son bidule dans mon cul. C’est froid et pas désagréable. Ça force un peu sur la base, mais ça rentre. C’est super lourd! J’ai l’impression que ça pèse une tonne. Avec ça, c’est sûr, mon cul va se déformer vers le bas. Il me demande le plug gonflable. Je me lève pour le sortir de ma cachette. J’ai l’impression que mon cul est grand ouvert vers le bas. Je passe ma main pour contrôler. Effectivement, je peux rentrer trois de mes doigts par l’ouverture. J’ai pas de grosses mains, mais quand même. J’attrape le plug gonflable et me remets en position. Parrain pompe. Mon cul se dilate. Ça commence à faire mal et je bouge un peu. Parrain me demande s’il doit arrêter. Je lui dis qu’il doit le gonfler à mort. Mon cul doit se déformer et pour ça, il faut que ça fasse mal. Je lui prends la pompe des mains et pompe moi-même jusqu’à ce que je m’écroule sur le lit. Il me dit que je suis une vraie chienne. À ce régime, j’aurai une chatte très vite. Une belle chatte de chienne. Toujours ouverte, toujours humide. Et les bites pourront défiler dans mon cul. Je ne sentirai que du plaisir.

Je mets longtemps à m’habituer au plug ainsi gonflé à bloc. Je repense à mes expériences de vide-couilles, de chienne capable de se faire baiser n’importe où par n’importe qui. À ma nouvelle vie au lycée, et à la fin d’après-midi passée avec Marc. Là, je n’ai pas baisé. Il m’a fait l’amour. Je deviens amoureux d’un mec et pourtant je ne pense toujours pas être homo.

Mes parents rentrent en fin de journée. Curieusement, j’arrive à me lever sans trop de gêne. Par contre, le bidule de parrain est vraiment lourd, je ne peux pas l’oublier. J’ai l’impression que mon cul est tiré vers le sol. Le repas se passe dans le calme. Je remonte me coucher. Parrain passe me voir dans la chambre. Il me rappelle que je dois porter le plug avec son bidule que la nuit, qu’il viendra me réveiller pour l’enlever. Il me souhaite bonne nuit. Je m’endors en bandant.

Le lendemain matin, je suis réveillé par les mains de parrain. Il a dégonflé le plug et a les doigts recouverts de gel. Il me fouille et c’est agréable. Je sens qu’il force un peu et je réalise à peine réveillé que sa main est en moi. Il rentre et il ressort son poing de ma «chatte». Il sort sa main, je sens que mon cul est bien ouvert. Il me dit de me relever doucement. Je me relève, et sens son bidule qui sort de mon cul. Parrain le récupère. Il a sorti sa bite, et m’encule. Je ne ressens rien. Ça m’étonne, parrain dit que mon cul est trop ouvert, il passe devant moi et je le suce. Il jouit assez vite. Je reste la bouche pleine. Il me fait un bisou sur les fesses et sort. J’avale, me lève et vais à la douche.

J’aime me laver l’intérieur de ma chatte. La poire de douche rentre sans forcer dans mon cul. Lorsque je suis bien propre, je sors de la douche, et en m’essuyant, je sens que mon cul est ouvert. Je rentre trois doigts et je le sens à peine. Je mets un paquet de papier toilette dans ma raie, un slip, un jean, et un pull.

Je descends déjeuner et prends le bus pour le lycée.

À suivre...

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Mercredi 27 juin 3 27 /06 /Juin 13:21

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On remonte dans la voiture, et on quitte la cité.

Parrain me dit que j’ai été un bon vide-couilles. Je lui dis que par contre, je ne ressens plus rien par mon cul. C’est plus une chatte non plus, mais un gouffre. Je ne prenais du plaisir qu’avec les poings, ou quand un mec se branlait en moi. Parrain me dit que c’est normal. Pour que mon cul devienne une vraie chatte, il faut dans un premier temps l’étirer plus que de raison. Car de toute manière, le cul est un muscle et qu’il va se refermer. Sauf que si on l’étire beaucoup trop, il se referme, mais plus totalement. Je lui demande à quoi servent les boules de pétanque.

Il me dit que la boule a le même diamètre que mon ancien plug, 7cm. Mais qu’elle pèse. Le poids des deux boules va faire que l’ouverture de mon cul, ronde au départ, va se déformer par le poids des boules, et devenir ovale vers le bas. Comme l’ouverture d’une vraie chatte. Je lui dis que je n’ai jamais vu de chatte de femme. Il me dit en souriant que d’ici quelques semaines, j’en verrai une en regardant mon cul dans un miroir. Je lui dis que je suis impatient d’avoir une vraie chatte. Il me dit que si je suis pressé, je n’ai qu’à gonfler plus le plug. Plus la déformation sera grande et rapide, et plus elle restera ouverte.

Je pompe à plusieurs reprises sur la poire du plug. La douleur est intense, mais me fait bander. Mon cul sera une chatte et restera ouvert à vie, et pourra recevoir des bites nuit et jour. Et à cette idée, je jouis.

Arrivée près de la maison, je me rends compte que malgré toute ma volonté, je ne pourrai pas marcher normalement devant papa et maman. Parrain me dit d’attendre. Si mes parents sont là, je dégonflerai le plug. La voiture de mes parents n’est pas là! Je garde le plug gonflé et tente d’avoir une démarche pas trop tordu pour rentrer à la maison. Je monte dans ma chambre. Parrain me dit d’enlever le plug et les boules de pétanque. Je me déshabille, et à peine le plug est dégonflé qu’il sort de mon cul suivi des deux boules. Parrain me dit d’aller me laver la chatte, puis qu’il va me mettre de la pommade. Je ne démonte pas la poire de douche: elle rentre sans forcer dans mon cul. Je reviens à la chambre le cul bien propre. Parrain m’enduit de pommade. Je lui demande quel plug je devrai porter plus tard. Parrain me dit que ce sera un bouchon anal. Comme un plug, mais court. Comme une capsule en caoutchouc. Il me dit qu’il a un ami qui fabrique des prothèses médicales. Que si tout va bien, mon cul sera totalement déformé et sera une vraie chatte quand je serai chez lui pour les vacances. Et que son ami pourra me faire le bouchon. Il m’explique que je devrai porter ce bouchon en permanence, et qu’il s’enlève en deux secondes. Il me tarde que mon cul soit totalement déformé en une vrai chatte.

Parrain me dit de ne rien mettre jusqu’à ce soir. Que par contre, quand je me coucherai, il faudra que je remette les boules de pétanque et le plug gonflé. Je lui demande comment je devrai gonfler le plug. Il me répond que ça ne dépend que de moi et de mon envie de le déformer en vrai chatte. La fin de la journée et le repas du soir avec papa et maman se passent bien. J’ai par contre une sensation de «vide». Il n’y a rien dans mon cul, et cette sensation me manque. J’aime sentir mon cul étiré et dilaté.

Le soir avant de me coucher, je lave mon cul. La poire de douche a du mal à rentrer. Mon cul se resserre vite visiblement. Je me couche, enfonce difficilement les boules de pétanque qui ont du mal à entrer, puis mets le plug. J’ai l’impression de l’avoir à peine gonflé et ça fait mal. Je veux que mon cul soit déformé. De penser à ma future «chatte», je bande dur. Ça me fait partiellement oublier la douleur. Je pompe comme un fou. La douleur est énorme, je suis recroquevillé sur le lit et ça me fait jouir. Je suis épuisé, mon cul me tire, et je sens que je m’endors.

Je suis réveillé par des caresses. Je n’ouvre pas les yeux, mais la bouche. J’entends parrain qui me dit doucement à l’oreille:

— Tu es vraiment la reine des chiennes, tu attends la bite même en dormant.

Il enfonce sa bite dans ma bouche. Il jouit. J’étale son sperme dans ma bouche et me rendors. Visiblement pas longtemps, mon réveil sonne. Je vais pour l’arrêter et ma main se pose sur la jambe de parrain. Il me demande si j’ai bien dormi. Je lui dis que oui. Il me dit de ne rien porter de la journée. Le but est d’infliger à mon cul des dilatations violentes afin de bien le déformer.

Parrain me dit de mettre un slip, et du papier toilette dans ma raie, afin d’éviter les fuites. Je pars au lycée le cul vide. Je n’aime pas cette sensation de vide. Je prends le bus, bondé comme un lundi matin. Le trajet est long. Je descends à mon arrêt avec d’autres qui vont visiblement au lycée comme moi, mais je ne les connais pas. Pas de copains, en vue, je marche vers le lycée. Deux autres lycéens, visiblement plus jeunes que moi m’interpellent. Je m’arrête et les attends. Le plus petit me dit:

— On t’a reconnu, tu étais dans les caves de la cité samedi. On veut pas d’embrouilles. On n’est pas pédé et on n’a pas envie qu’au bahut ça parle. Ce qu’on veut, c’est se vider les burnes dans ton cul. On n’est pas pédé, on n’embrasse pas et il est pas question que l’on se fasse sucer par un mec. Donc, on se vide dans ton cul quand on veut, et silence complet des deux côtés OK?

— OK, j’ai pas envie non plus qu’au bahut on le sache, je réponds.

— En plus, les profs sont trop cons pour comprendre. Bon puisque tu es OK, on se retrouve dans cinq minutes aux chiottes du troisième, après les salles de chimie au fond. Tu vas dans la dernière chiotte, tu te mets le cul à l’air, on tapera deux fois. Tu ouvres, me dit-il.

— OK, répondis-je.

Et ils repartent. Au moins, je vais pouvoir me faire remplir le cul au lycée, et il n’y aura pas de vagues.

J'entre dans le lycée et me dirige vers le troisième étage. C’est encore désert dans les couloirs. Je fonce vers les chiottes. Je suis excité et inquiet en même temps. Je sens que mon cul est mouillé. Je rentre dans la chiotte du fonds, ferme le verrou, enlève mon jean et mon slip, sors le papier coincé dans ma raie. C’est un liquide transparent qu’il y a dessus. Je mouille du cul!

J’ai à peine fini qu’on tape deux petits coups à la porte. J’ouvre le verrou. La porte s’ouvre d’abord doucement, puis celui qui m’a parlé rentre. J’écarte les jambes, et me tiens avec les mains sur le tuyau de la chasse. Il m’encule d’un coup, il me lime très vite, se crispe, je sens qu’il jouit. Il sort sa bite, l’essuie contre mes fesses, et sort. Son copain entre de suite et m’encule. Le même: on lime à fond, on jouit, on frotte sa bite sur mes fesses, et sort.

Je me retourne, ferme la porte et m’assois sur le chiotte. Ç'a été tellement rapide que j’ai encore plus envie de me faire mettre qu’en arrivant. Le sperme coule de mon cul dans la chiotte. Je prends du papier et m’essuie. J’entends à nouveau deux petits coups à la porte. Je me lève et ouvre le verrou. Celui qui m’avait parlé ouvre la porte comme la première fois, et me dit:

— T’affole pas, on a ramené des copains. Ils marchent tous dans la combine.

Je reprends ma position. La porte se referme, et une bite beaucoup plus grosse me pénètre. Lui par contre me tient par les hanches. Il baise bien. Je commence à prendre du plaisir. Il sort de mon cul et me dit doucement:

— Ta bouche.

Je me retourne. Il est plus grand que nous, c’est un terminale. Je prends sa bite dans ma bouche, il jouit. Réflexe de bon vide-couilles que je suis, je lui montre ma bouche pleine. Il sourit et me dit:

— T’inquiète pas, avant ce soir, ta bouche sera remplie. Pour midi, tu changes de cantine. On va te nourrir au sperme.

Je ferme ma bouche, avale. Il me dit de me retourner. La porte s’ouvre et un autre entre. Il m’encule direct mais sa queue est petite. Il sort a bite, se branle devant mon cul et jouit dessus, et sort de suite. Je me retrouve le cul couvert de foutre à l’air. Je me retourne, ferme la porte et me repose sur la chiotte. Je ramasse le sperme sur mes fesses et instinctivement, je suce mes doigts. J’aime vraiment le sperme. L’odeur, le goût, la texture, tout me plaît. Et je me dis qu’un repas au sperme, ça doit être sympa. J’entends la cloche sonner. Je me rhabille en vitesse et fonce en cours.

À suivre...

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Mardi 26 juin 2 26 /06 /Juin 23:50

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Arrivés à la maison, papa et maman dormaient. Parrain m’entraîne dans ma chambre. Il enlève le scotch qui empêche la boule de pétanque de tomber et entre doucement le plug. Maintenant, il tient en place. Mon cul-chatte est rempli par une boule de pétanque et le plug. La sensation est étrange mais pas désagréable. Parrain me souhaite bonne nuit. Je suis crevé, et je m’endors.

En pleine nuit, je sens que l’on me caresse les fesses. Parrain est à côté de moi. Il me chuchote à l’oreille:

— Suce-moi.

J’ouvre la bouche, parrain entre sa bite, me prend par les cheveux et me baise lentement la bouche. Il jouit très vite. Il me dit:

— N’avale pas, ferme la bouche et dors.

Je ferme la bouche et me rendors.

Dimanche matin, je me réveille, c’est presque 11h. J’ai mal au cul. Ma chatte me brule. J’enfile le pantalon du pyjama et vais à la salle de bains. Je me mets dans la baignoire. Le plug me brûle quand je tire dessus. Je démonte la poire de douche et fais couler de l’eau tiède sur mon cul, puis en bougeant un peu, je sens l’eau qui rentre dans mon cul. Le plug sort doucement, sans faire mal. Je pousse pour faire sortir la boule de pétanque qui sort sans problème. Je remarque qu’elle est de la même taille que mon plug.

Je me douche et lave l’intérieur de mon cul-chatte. La sensation de l’eau à l’intérieur est sympa. Je ne sais pas comment sortir de la salle de bains avec la boule de pétanque. Je décide de la remettre dans mon cul, et remets le plug par dessus.

Je retourne dans ma chambre, m’habille et descends. Surprise, il n’y a personne. Maman a laissé un mot sur la table elle est au marché avec papa, et parrain est parti faire des courses. Je prends un bol de café, et me pose devant la télé.

Parrain rentre le premier, avec un gros bouquet de fleurs et une boîte de pâtisserie. Il me demande si j’ai bien dormi. Je lui dis oui. Il me demande si je suis seul. Je lui dis que papa et maman sont au marché. Il me dit de monter dans ma chambre. Je monte, parrain me suit. Il me dit que ç’a n’a pas été facile à trouver, surtout un dimanche matin, mais qu’il se souvenait d’un sex-shop ouvert le dimanche. Il sort de sa sacoche un plug, plutôt petit, avec un tuyau et une poire au bout. Il me dit:

— C’est ton nouveau jouet.

Je lui dis qu’il est plutôt petit. Il me dit:

— Regarde!

Et il pompe avec la poire. Le plug grossit à vue d’œil et devient énorme. J’enlève mon jeans et saute à quatre pattes sur le lit. Parrain enlève mon plug et voit la boule de pétanque. Il me demande si elle me gêne. Je lui dis que le poids est inhabituel, je ressens en permanence mon cul. Parrain me dit que l’on va la laisser et entre le plug gonflable. Vu qu’il est dégonflé, je ne sens rien. Parrain pompe sur la poire. Je sens que ça grossit de plus en plus. Ça devient agréable, puis maintenant douloureux. Parrain me dit qu’il faut que ça soit légèrement douloureux, pour que ça m’ouvre bien mon cul. Il dégonfle un peu. Je lui dis de regonfler un peu. Ça fait mal, mais c’est supportable. Parrain passe le tuyau entre mes jambes, et met la poire à côté de ma bite. Il me dit:

— Comme ça, si tu ne sens plus rien, en te touchant la bite, tu appuieras sur la poire et ça gonflera le plug.

Je remonte mon jeans. Je suis rempli à bloc. La sensation est super agréable. Je pense que ma chatte est en train de s’agrandir un peu plus. Je me mets à bander. Je masse ma bite à travers le jeans et appuie sur la poire. Douleur dans mon cul, le plug s’est gonflé. Ça fait mal, mais je suis excité et décide de ne pas le dégonfler. La descente de l’escalier est un grand moment. J’ai du mal à marcher. Pas de bol, papa et maman arrivent à ce moment-là, je n’avais pas entendu la voiture. Je tente de reprendre une démarche «normale».

Le repas est un long moment. Le plug est trop gonflé, et ça tire vraiment trop. Au dessert, je ne tiens plus en place. Je fais semblant d’aller aux toilettes et dégonfle un peu le plug. Ouf, ça va mieux. Je reviens à table comme si de rien n’était. Parrain demande à maman s’il peut m’emmener au centre-ville. Il veut profiter du dimanche pour retrouver certaines rues qu’il ne situe pas sur le plan. Maman donne son accord. Parrain prend un café, et me demande si je suis prêt pour le guider. Je lui dis que je vais essayer.

On prend la voiture de parrain. Il roule jusqu’au centre-ville. C’est désert. Parrain cherche une petite rue à côté de la place du capitole. Il me demande comment je sens mon nouveau plug. Je lui dis qu’à midi, je l’ai un peu dégonflé, mais que depuis je l’ai regonflé deux fois: une fois dans la voiture, puis après quelques minutes de marche. Il me demande de le gonfler un peu plus. J’appuie une fois sur ma bite (la pompe est à côté). C’est plus fort, mais supportable. Parrain me dit de gonfler une fois de plus. Ça force dans mon cul. Il me demande ce que je ressens. Je lui dis que je me sens étiré. Il me dit qu’il faut, mon cul est une chatte, et il ne doit plus jamais se refermer. Je lui demande comment je ferai pour ne pas me chier dessus. Parrain me dit que je devrai porter tout le temps un plug. Comme ça, quand je voudrai baiser, ma chatte sera toujours ouverte, toujours prête, et même après une nuit sans plug, elle sera toujours ouverte.

Il me rappelle que pour les vacances de Pâques, je vais le rejoindre à Paris. Mes parents sont d’accord. Il me dit qu’il va m’amener dans une cité. Je serai posé sur un matelas dans une cave et pendant au moins trois jours et trois nuits, mon cul-chatte ne devra jamais se refermer entre deux bites. Parrain s’arrête entre deux voitures en stationnement. La rue est déserte, il ne passe que quelques rares voitures. Parrain me dit:

— Viens me sucer.

— En pleine rue?

— Une chienne en pleine rue, normal non!

Je m’agenouille devant lui, sors sa bite et le suce. Les rares voitures qui passent ne font pas attention. Il ne jouit pas et se rhabille. On repart à sa voiture. On ne prend pas le chemin du retour. Il m’emmène dans une cité. Je lui demande où l’on va. Il me dit:

— Voir tes nouveaux amis d’hier soir, ils m’ont laissé une adresse.

On tourne dans la cité, parrain se gare. On est à peine sorti de la voiture que deux mecs s’approchent de nous. L’un me dit:

— Tu es la chienne d’hier soir, t’a pas eu ta dose, t’en veux plus?

Parrain lui dit:

— Elle a le cul rempli par une boule de pétanque et un plug gonflé à bloc, mais il lui faut de la bite.

Le mec demande si on a du temps. Parrain lui dit que l’on a deux à trois heures de libres. Le mec nous dit de le suivre. On entre dans un immeuble, on prend un escalier direction les caves. C’est un vrai labyrinthe. On va vers le fond. Il ouvre une porte. À l’intérieur, il y a une table, un matelas posé au sol. Le mec me dit:

— À poil salope.

Je retire mon jeans, mon blouson, et mon teeshirt. Parrain dégonfle le plug. Il sort et la boule de pétanque sort sans forcer. Le mec me fait m’allonger à plat ventre sur la table, les jambes écartées. Il rentre trois doigts directs dans mon cul. Le mec dit à mon parrain:

— Putain, elle est large ta chienne, ça rentre comme dans du beurre.

Il retire ses doigts et essaye de rentrer sa main. Ça force à peine. Le mec dit à parrain:

— Fisté du premier coup, j’ai jamais vu. On va la gaver.

J’entends des bruits. Il a du monde qui arrive. Le mec leur dit:

— On a une nouvelle chienne, elle prend tout. On la gave. Tout le monde jouit dans sa gueule.

Il retire sa main, un mec positionne sa bite qui rentre sans que je la sente vraiment. Le mec dit:

— C’est pas une chatte, c’est un gouffre.

Il se retire et me fiste. Sa main rentre, il essaye d’enfoncer sa main le plus loin possible, bouge les doigts, serre le poing, et le ressort. Il me bourre le cul avec son poing. C’est bon, je gémis. Un mec me tire par les cheveux et me baise la bouche. Il jouit très vite. Il sort de ma bouche, un autre prend la suite et jouit aussi vite. On me lève en me tirant par les cheveux. Un mec qui a une belle bite est allongé sur le matelas. On me fait m’empaler sur lui, on me pousse en avant. Je sens une deuxième bite qui rentre. Je suis pris en double. La sensation est géniale, je me redresse et dit:

— Oui, c’est bon.

Une bite se présente devant ma bouche, je la prends et on me baise la bouche.

Ça va durer pendant plus d’une heure. Plein de mecs prennent plaisir à me fister avec leur poing. Puis on essaye de rentrer deux mains. Ça tire, je gémis, mais les mecs forcent et ça rentre. Un mec me demande ce qu’il peut faire avec mon cul. Je lui dis qu’il peut se branler dedans. Parrain lui explique que le mieux, c’est qu’il mette sa main, puis sa bite pour se branler dans mon cul. Tout le monde veut essayer. Mon cul me brule. Les bites se succèdent dans ma bouche. La gorge me brûle par le passage répété des bites.

D’un coup, tout se calme. Parrain remet la boule de pétanque dans mon cul. On lui en donne une seconde en disant qu’il faut ça pour remplir ma chatte. Parrain pousse la seconde boule de pétanque dans mon cul. C’est lourd. Parrain remet le plug et le gonfle. Je le sens bien gonflé et je gémis, mais parrain continue à gonfler. Ça fait mal. Je le lui dis. Il me dit:

— Il faut souffrir pour avoir une belle chatte.

Je sais que mon cul ne se refermera plus jamais. Parrain m’a expliqué qu’il allait me l’étirer à un tel point que même six mois plus tard, il restera toujours une ouverture permanente d’au moins un ou deux doigts. Il m’a dit que dans quelque temps, j’utiliserai le plug uniquement pour ne pas me chier dessus. Il servira de bouchon. J’ai mal mais le fait de savoir que cela permettra à mon cul de rester ouvert à vie me permet de supporter la douleur. On m’aide à remettre mon jeans, j’enfile mon teeshirt et mon blouson. Un mec me dit:

— Maintenant on connaît ta gueule de vide-couilles. Si on te croise dans la rue, on te prendra n’importe où, n’importe quand.

Il me demande ce que je fais. Je lui dis que je suis au lycée. Un mec demande à quel lycée. Je lui réponds. Le mec éclate de rire. Il dit:

— Super, mon petit frère y est aussi et plein de ses copains. Ils vont être contents d’avoir un vide-couilles à disposition dans le bahut!

Je me sens mal. Je suis un vide-couilles, c’est vrai, et j’en suis fier. Mais là, ça veut dire que tout le monde va le savoir, et ça, je ne sais comment l’assumer en public devant les copains. Le mec termine en disant:

— Mais rassure-toi, ils ne veulent pas passer pour les PD. Ils resteront discrets si tu es une bonne chienne soumise.

Ouf, je respire. Je servirai de vide-couilles, et c’est ce que je veux, mais sans que cela remette en cause ma vie au lycée. Le cul chargé à bloc par les deux boules de pétanque et le plug trop gonflé, je repars avec une démarche qui fait rire les mecs présents.

À suivre...

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Mardi 26 juin 2 26 /06 /Juin 23:17

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Le samedi commençait bien. Parrain me dit en me baisant dans la salle de bain que j’ai une superbe chatte bien souple et que quand sa bite ressort, elle reste ouverte, elle "attend " la bite. Mon cul est devenu une chatte, souple, toujours ouverte, toujours disponible. Pendant que parrain jouait avec sa bite sur l’entrée de ma chatte, d’imaginer mon cul restant ouvert, j’ai joui contre le lavabo. Parrain a joui dans ma chatte et a remis le gros plug en place. Je l’ai à peine senti rentrer. Parrain m’a dit qu’à ce régime, il faudrait me trouver un plug plus gros avant peu. Parrain m’a fait lécher mon sperme qui avait coulé le long du lavabo, puis je me suis douché et habillé.

Papa et maman sont rentrés du marché. Repas en famille. Parrain a demandé si ce soir il pouvait m’amener au cinéma. Papa ne voulait pas que je rentre trop tard mais maman a cédé, et parrain peut m’amener à la dernière séance, celle qui finit à 1h du matin.

Le soir, parrain a dit qu’il m’amenait d’abord au restaurant puis au cinéma. On est parti, mais en direction de la forêt de bouconne. Il y avait visiblement plus de voitures que la veille au soir. Parrain m’a fait sortir de la voiture. Il m’a fait enlever mon jeans et le plug. Puis, il a sorti le scotch en tissu et m’a plaqué ma bite et mes couilles contre mon ventre. On ne voyait presque rien. Il m’a fait remonter mon teeshirt dans mon blouson, afin que mon cul soit bien à l’air et on est parti vers la clairière.

Il marchait lentement sur le chemin. Il m’a demandé ce qui me ferait vraiment plaisir. Je lui ai dit que ce que j’avais le plus envie, c’était de sentir plein de bites dans ma «chatte». Parrain m’a demandé quelles bites me feraient le plus plaisir: jeunes, noires… Je lui ai répondu toutes. Il m’a demandé ce que j’étais. Je lui ai répondu que j’étais un vide-couilles qui pouvait être rempli par n’importe quelle bite. Il m’a demandé ce que je ferais si on croisait un clochard, sale et puant. Je lui ai dit que je lui offrais mon cul. Parrain m’a dit que j’étais une vraie chienne et que le but de la soirée, c’était que je vide au moins 20 bites. Je me suis mis à bander.

On n’a pas été à la clairière de la veille. Parrain a pris un autre chemin et on est arrivé dans une autre clairière. Il y avait un feu de camp. On s’est approché et c’était des clochards. Quatre assis, un debout qui marche autour du feu. Parrain m’a dit:

— Je reste là. Tu vas les voir et tu leur dis ce que tu veux. Tu es une chienne, vas te faire remplir la chatte.

Je me sens mal. Non pas parce que c’est des clochards, ce n’est pas la première fois, et ils sont moins nombreux, mais parce que je n’ai jamais accosté un homme en lui disant "encule-moi". Faire est une chose, demander en est une autre. Je m’avance et m’approche du feu. Celui qui est debout, une bouteille de vin à la main, me regarde arriver et gueule:

— Tu viens te faire enculer, salope?

Je me surprends à lui crier:

— Oui, mon cul est ouvert à tous ceux qui ont envie de se vider les burnes.

Je m’avance encore un peu et me mets à quatre pattes devant lui, mon cul devant lui. Il se retourne vers ses copains et gueule:

— Hey les mecs, y a une salope qui veut en prendre plein le cul, venez!

Il s’avance vers moi, défait son pantalon, sort sa bite, et m’encule d’un coup. Je jouis sous le scotch. Je suis vraiment fait pour recevoir des bites. Je me sens bien et lève la tête. Un autre clochard est devant moi, sa bite à la main. Il m’ordonne:

— Suce, salope.

Et avance sa bite vers ma bouche. Elle pue. J’ouvre la bouche et prends sa bite. Le goût est atroce. Il me dit:

— Suce-moi la bien, salope.

Il jouit assez vite, j’ai failli vomir. Mais un autre vient le remplacer. Il pue autant. Il a une belle bite, mais elle pue aussi. Je ne m’habitue pas à l’odeur. Heureusement, il jouit assez vite aussi. Dans mon cul, le premier a joui et un second le remplace. Je baisse la tête vers le sol et prends plaisir à cet enculage. Les autres gueulent autour. Je ressens cette bite dans ma «chatte» déjà bien trempée par le sperme du premier. Je n’arrête pas de jouir. Je me rends compte que je jouis avec mon cul. Mon clochard enculeur jouit dans mon cul. Il se retire et dit à ses copains qu’il faut que ma chatte reste pleine. Je sens un truc dur pousser violemment dans mon cul. Je hurle. J’entends qu’il dit à ses copains:

— Hey les mecs, je l’ai bouchée avec une cannette, elle est rentrée toute seule, et il me tape violemment sur mes fesses.

Je me relève. La canette tient dans mon cul, et je marche vers parrain. La douleur dans mon cul se calme, la canette a été aspirée. Parrain me dit de me mettre à quatre pattes. Je me positionne jambes écartées. Parrain attrape le goulot de la canette et la tire vers l’extérieur. Je me sens dilaté. Elle commence à sortir, mais parrain la bloque. Il me dit de ne pas bouger, qu’il attache une ficelle au goulot pour être sur de pouvoir la ressortir de mon cul. Puis il l’enfonce dans mon cul. Je sens qu’elle est aspirée.

Parrain me fait me relever, et on reprend le chemin.

Chapitre 10

Parrain me demande ce que j’ai ressenti quand j’ai été demandé au groupe de clochards de venir m’enculer. Je lui explique que le plus dur était de demander. Parrain me dit:

— Tu es une vraie chienne et un parfait vide-couilles. Tu n’as pas à avoir honte. Tu aimes la bite et tu adores le sperme; et les hommes adorent se servir de leur bite et cracher leur sperme. Qu’y a-t-il de mal à demander à quelqu’un si on peut lui faire du bien.

Je lui dis que je suis d’accord, mais ce n’est pas évident. Un homme arrive face à nous sur le chemin. Parrain me dit:

— Tu vois l’homme qui arrive. Tu vas t’avancer et lui dire: "bonsoir monsieur, est-ce que je peux vous sucer", et tu verras bien sa réaction.

Parrain ralentit le pas. J’avance vers cet homme. Il n’est pas très vieux, plus jeune que parrain ou que mon père, cheveux très courts. Arrivé devant lui, je respire un grand coup et je lui dis:

— Bonsoir monsieur, je peux vous sucer?

L’homme s’arrête. Il voit que je n’ai pas de pantalon. Il me dit:

— Retourne-toi et penche-toi en avant.

Je m’exécute. Il tâte les fesses, et voit la ficelle. Il me dit:

— Il y a quoi au bout.

Je lui dis qu’il y a une canette de bière. Il prend la ficelle et tire. La canette sort. Il me demande ce que je cherche. Je lui dis que je suis un vide-couilles et que je cherche des bites. Il me demande si j’en ai déjà trouvé. Je lui dis oui. Il me demande où. Je lui dis dans la clairière au fond. Il me dit qu’il n’y a que des clodos dans cette clairière. Je lui dis oui. Il me demande si je me suis fait enculer par les clodos. Je lui dis oui. Il me traite de sale chienne. Je lui réponds oui. Il me dit qu’il va me rincer. Je ne bouge pas. il défait son pantalon, me dis de ne pas bouger je sens sa bite à l’entrée de ma «chatte» il rentre tout doucement, de quelques centimètres, et ressort. Il me demande si je suis une chienne. Je lui réponds:

— Je suis une chienne, une vide-couilles, mon cul est une chatte qui reçoit n’importe quelle bite.

L’homme ne dit rien m’encule d’un coup et ne bouge plus. Je sens par contre une drôle de sensation: un liquide chaud me remplit. Je comprends qu’il est en train de pisser en moi. Puis il se met à bouger. La sensation est étrange, mais agréable. Il se retire, passe devant moi, et me dit:

— Suce.

J’ouvre la bouche, il m’attrape par les cheveux et baise ma bouche. Il jouit, me dit d’avaler et qu’il veut une bite bien propre. Je le suce jusqu’à ce qu’il débande. Il se refringue et me dit:

— Merci chienne, et il s’en va.

Je me redresse, et ça coule de mon cul. Je m’accroupis pour vider mon cul de la pisse. Parrain m’a rejoint et me dit:

— Tu pisses avec ta chatte!

Je réalise que, comme une femme, je pisse par la chatte. Parrain me fait me relever et me retourne en me disant:

— Moi aussi, j’ai envie de pisser.

J’écarte mes fesses pour qu’il puisse venir pisser dans mon cul. Parrain rentre sa bite d’un coup et je le sens pisser en moi. Il me fait m’accroupir, me donne sa bite à sucer et me dit de bien la nettoyer. Puis il me fait me relever, et me dit:

— Tu n’as pas encore vidé 20 bites petite chienne, alors en chasse.

Nous partons vers la clairière de la veille, mais il n’y a personne. Parrain me dit:

— On va aller de l’autre côté du bois mais là-bas, ça craint. Je lui demande pourquoi ça craint. Il me dit que c’est les jeunes des cités qui y font leurs plans abattage. Je demande ce que c’est qu’un plan abattage. Parrain me dit que je ne pourrais rien refuser tant qu’ils en auront envie, et que souvent, ils sont une trentaine. Je regarde parrain et lui dit:

— Parrain, je suis un vide-couilles et une chienne. Grâce à toi, mon cul est devenu une vraie chatte. Je viens de sucer des clochards dont la bite puait à mort, ma chatte a été rincée à la pisse et j’ai même été enculé par un chien. Que peut-il m’arriver?

Parrain me regarda droit dans les yeux et me dit:

— Petit, à 15 ans, tu es devenu un vide-couilles exceptionnel. Tu aimes la bite et le sperme comme je n’ai jamais vu personne aimer. Ton cul, ou plutôt ta chatte a besoin de bite en permanence. Ce que j’ai peur, c’est que les mecs que l’on va rencontrer vont s’en rendre compte. Et tu risques de devenir leur vide-couilles permanent. Ils sont capables de t’amener dans une cave de leur cité, et de te faire enculer nuit et jour pendant des semaines entières. Et le problème, c’est que tu serais d’accord.

Me faire remplir la bouche et mon cul-chatte pendant une semaine nuit et jour. Le rêve absolu! Rien que d’y penser, je venais d’éjaculer sous le scotch. Ce dernier était maintenant complètement trempé. Je rassurais parrain en lui disant que je n’étais pas complètement fou et que papa et maman s’inquièteraient si je disparaissais pendant une semaine. Et je lui demandais, pour changer de sujet, s’il avait du scotch pour ma bite. Parrain me regarda en me disant:

— Rien que de penser que tu risquais de te faire enculer nuit et jour pendant une semaine, tu as joui?

Je lui répondis timidement oui. Il m’a demandé ce que j’avais de prévu avec mes parents pour les vacances de Pâques. Je lui dis qu’il n’y avait rien de prévu. Parrain me dit:

— Dans ce cas, tu monteras chez moi à Paris. Je connais une cité où ils se feront un plaisir de t’enculer nuit et jour pendant toute la semaine.

J’ai joui à nouveau. Et mon cul était trempé. Mon cul était bien devenu une chatte. À l’idée de se faire défoncer, il mouillait. Comme une chatte. Parrain me dit:

— En attendant, on va changer le scotch et on va aller de l’autre côté du bois... que tu puisses te faire enculer pendant une heure ou deux.

J’étais aux anges!

À suivre...

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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