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fan de histoires de mec

Mercredi 27 juin 3 27 /06 /Juin 13:21

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On remonte dans la voiture, et on quitte la cité.

Parrain me dit que j’ai été un bon vide-couilles. Je lui dis que par contre, je ne ressens plus rien par mon cul. C’est plus une chatte non plus, mais un gouffre. Je ne prenais du plaisir qu’avec les poings, ou quand un mec se branlait en moi. Parrain me dit que c’est normal. Pour que mon cul devienne une vraie chatte, il faut dans un premier temps l’étirer plus que de raison. Car de toute manière, le cul est un muscle et qu’il va se refermer. Sauf que si on l’étire beaucoup trop, il se referme, mais plus totalement. Je lui demande à quoi servent les boules de pétanque.

Il me dit que la boule a le même diamètre que mon ancien plug, 7cm. Mais qu’elle pèse. Le poids des deux boules va faire que l’ouverture de mon cul, ronde au départ, va se déformer par le poids des boules, et devenir ovale vers le bas. Comme l’ouverture d’une vraie chatte. Je lui dis que je n’ai jamais vu de chatte de femme. Il me dit en souriant que d’ici quelques semaines, j’en verrai une en regardant mon cul dans un miroir. Je lui dis que je suis impatient d’avoir une vraie chatte. Il me dit que si je suis pressé, je n’ai qu’à gonfler plus le plug. Plus la déformation sera grande et rapide, et plus elle restera ouverte.

Je pompe à plusieurs reprises sur la poire du plug. La douleur est intense, mais me fait bander. Mon cul sera une chatte et restera ouvert à vie, et pourra recevoir des bites nuit et jour. Et à cette idée, je jouis.

Arrivée près de la maison, je me rends compte que malgré toute ma volonté, je ne pourrai pas marcher normalement devant papa et maman. Parrain me dit d’attendre. Si mes parents sont là, je dégonflerai le plug. La voiture de mes parents n’est pas là! Je garde le plug gonflé et tente d’avoir une démarche pas trop tordu pour rentrer à la maison. Je monte dans ma chambre. Parrain me dit d’enlever le plug et les boules de pétanque. Je me déshabille, et à peine le plug est dégonflé qu’il sort de mon cul suivi des deux boules. Parrain me dit d’aller me laver la chatte, puis qu’il va me mettre de la pommade. Je ne démonte pas la poire de douche: elle rentre sans forcer dans mon cul. Je reviens à la chambre le cul bien propre. Parrain m’enduit de pommade. Je lui demande quel plug je devrai porter plus tard. Parrain me dit que ce sera un bouchon anal. Comme un plug, mais court. Comme une capsule en caoutchouc. Il me dit qu’il a un ami qui fabrique des prothèses médicales. Que si tout va bien, mon cul sera totalement déformé et sera une vraie chatte quand je serai chez lui pour les vacances. Et que son ami pourra me faire le bouchon. Il m’explique que je devrai porter ce bouchon en permanence, et qu’il s’enlève en deux secondes. Il me tarde que mon cul soit totalement déformé en une vrai chatte.

Parrain me dit de ne rien mettre jusqu’à ce soir. Que par contre, quand je me coucherai, il faudra que je remette les boules de pétanque et le plug gonflé. Je lui demande comment je devrai gonfler le plug. Il me répond que ça ne dépend que de moi et de mon envie de le déformer en vrai chatte. La fin de la journée et le repas du soir avec papa et maman se passent bien. J’ai par contre une sensation de «vide». Il n’y a rien dans mon cul, et cette sensation me manque. J’aime sentir mon cul étiré et dilaté.

Le soir avant de me coucher, je lave mon cul. La poire de douche a du mal à rentrer. Mon cul se resserre vite visiblement. Je me couche, enfonce difficilement les boules de pétanque qui ont du mal à entrer, puis mets le plug. J’ai l’impression de l’avoir à peine gonflé et ça fait mal. Je veux que mon cul soit déformé. De penser à ma future «chatte», je bande dur. Ça me fait partiellement oublier la douleur. Je pompe comme un fou. La douleur est énorme, je suis recroquevillé sur le lit et ça me fait jouir. Je suis épuisé, mon cul me tire, et je sens que je m’endors.

Je suis réveillé par des caresses. Je n’ouvre pas les yeux, mais la bouche. J’entends parrain qui me dit doucement à l’oreille:

— Tu es vraiment la reine des chiennes, tu attends la bite même en dormant.

Il enfonce sa bite dans ma bouche. Il jouit. J’étale son sperme dans ma bouche et me rendors. Visiblement pas longtemps, mon réveil sonne. Je vais pour l’arrêter et ma main se pose sur la jambe de parrain. Il me demande si j’ai bien dormi. Je lui dis que oui. Il me dit de ne rien porter de la journée. Le but est d’infliger à mon cul des dilatations violentes afin de bien le déformer.

Parrain me dit de mettre un slip, et du papier toilette dans ma raie, afin d’éviter les fuites. Je pars au lycée le cul vide. Je n’aime pas cette sensation de vide. Je prends le bus, bondé comme un lundi matin. Le trajet est long. Je descends à mon arrêt avec d’autres qui vont visiblement au lycée comme moi, mais je ne les connais pas. Pas de copains, en vue, je marche vers le lycée. Deux autres lycéens, visiblement plus jeunes que moi m’interpellent. Je m’arrête et les attends. Le plus petit me dit:

— On t’a reconnu, tu étais dans les caves de la cité samedi. On veut pas d’embrouilles. On n’est pas pédé et on n’a pas envie qu’au bahut ça parle. Ce qu’on veut, c’est se vider les burnes dans ton cul. On n’est pas pédé, on n’embrasse pas et il est pas question que l’on se fasse sucer par un mec. Donc, on se vide dans ton cul quand on veut, et silence complet des deux côtés OK?

— OK, j’ai pas envie non plus qu’au bahut on le sache, je réponds.

— En plus, les profs sont trop cons pour comprendre. Bon puisque tu es OK, on se retrouve dans cinq minutes aux chiottes du troisième, après les salles de chimie au fond. Tu vas dans la dernière chiotte, tu te mets le cul à l’air, on tapera deux fois. Tu ouvres, me dit-il.

— OK, répondis-je.

Et ils repartent. Au moins, je vais pouvoir me faire remplir le cul au lycée, et il n’y aura pas de vagues.

J'entre dans le lycée et me dirige vers le troisième étage. C’est encore désert dans les couloirs. Je fonce vers les chiottes. Je suis excité et inquiet en même temps. Je sens que mon cul est mouillé. Je rentre dans la chiotte du fonds, ferme le verrou, enlève mon jean et mon slip, sors le papier coincé dans ma raie. C’est un liquide transparent qu’il y a dessus. Je mouille du cul!

J’ai à peine fini qu’on tape deux petits coups à la porte. J’ouvre le verrou. La porte s’ouvre d’abord doucement, puis celui qui m’a parlé rentre. J’écarte les jambes, et me tiens avec les mains sur le tuyau de la chasse. Il m’encule d’un coup, il me lime très vite, se crispe, je sens qu’il jouit. Il sort sa bite, l’essuie contre mes fesses, et sort. Son copain entre de suite et m’encule. Le même: on lime à fond, on jouit, on frotte sa bite sur mes fesses, et sort.

Je me retourne, ferme la porte et m’assois sur le chiotte. Ç'a été tellement rapide que j’ai encore plus envie de me faire mettre qu’en arrivant. Le sperme coule de mon cul dans la chiotte. Je prends du papier et m’essuie. J’entends à nouveau deux petits coups à la porte. Je me lève et ouvre le verrou. Celui qui m’avait parlé ouvre la porte comme la première fois, et me dit:

— T’affole pas, on a ramené des copains. Ils marchent tous dans la combine.

Je reprends ma position. La porte se referme, et une bite beaucoup plus grosse me pénètre. Lui par contre me tient par les hanches. Il baise bien. Je commence à prendre du plaisir. Il sort de mon cul et me dit doucement:

— Ta bouche.

Je me retourne. Il est plus grand que nous, c’est un terminale. Je prends sa bite dans ma bouche, il jouit. Réflexe de bon vide-couilles que je suis, je lui montre ma bouche pleine. Il sourit et me dit:

— T’inquiète pas, avant ce soir, ta bouche sera remplie. Pour midi, tu changes de cantine. On va te nourrir au sperme.

Je ferme ma bouche, avale. Il me dit de me retourner. La porte s’ouvre et un autre entre. Il m’encule direct mais sa queue est petite. Il sort a bite, se branle devant mon cul et jouit dessus, et sort de suite. Je me retrouve le cul couvert de foutre à l’air. Je me retourne, ferme la porte et me repose sur la chiotte. Je ramasse le sperme sur mes fesses et instinctivement, je suce mes doigts. J’aime vraiment le sperme. L’odeur, le goût, la texture, tout me plaît. Et je me dis qu’un repas au sperme, ça doit être sympa. J’entends la cloche sonner. Je me rhabille en vitesse et fonce en cours.

À suivre...

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Mardi 26 juin 2 26 /06 /Juin 23:50

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Arrivés à la maison, papa et maman dormaient. Parrain m’entraîne dans ma chambre. Il enlève le scotch qui empêche la boule de pétanque de tomber et entre doucement le plug. Maintenant, il tient en place. Mon cul-chatte est rempli par une boule de pétanque et le plug. La sensation est étrange mais pas désagréable. Parrain me souhaite bonne nuit. Je suis crevé, et je m’endors.

En pleine nuit, je sens que l’on me caresse les fesses. Parrain est à côté de moi. Il me chuchote à l’oreille:

— Suce-moi.

J’ouvre la bouche, parrain entre sa bite, me prend par les cheveux et me baise lentement la bouche. Il jouit très vite. Il me dit:

— N’avale pas, ferme la bouche et dors.

Je ferme la bouche et me rendors.

Dimanche matin, je me réveille, c’est presque 11h. J’ai mal au cul. Ma chatte me brule. J’enfile le pantalon du pyjama et vais à la salle de bains. Je me mets dans la baignoire. Le plug me brûle quand je tire dessus. Je démonte la poire de douche et fais couler de l’eau tiède sur mon cul, puis en bougeant un peu, je sens l’eau qui rentre dans mon cul. Le plug sort doucement, sans faire mal. Je pousse pour faire sortir la boule de pétanque qui sort sans problème. Je remarque qu’elle est de la même taille que mon plug.

Je me douche et lave l’intérieur de mon cul-chatte. La sensation de l’eau à l’intérieur est sympa. Je ne sais pas comment sortir de la salle de bains avec la boule de pétanque. Je décide de la remettre dans mon cul, et remets le plug par dessus.

Je retourne dans ma chambre, m’habille et descends. Surprise, il n’y a personne. Maman a laissé un mot sur la table elle est au marché avec papa, et parrain est parti faire des courses. Je prends un bol de café, et me pose devant la télé.

Parrain rentre le premier, avec un gros bouquet de fleurs et une boîte de pâtisserie. Il me demande si j’ai bien dormi. Je lui dis oui. Il me demande si je suis seul. Je lui dis que papa et maman sont au marché. Il me dit de monter dans ma chambre. Je monte, parrain me suit. Il me dit que ç’a n’a pas été facile à trouver, surtout un dimanche matin, mais qu’il se souvenait d’un sex-shop ouvert le dimanche. Il sort de sa sacoche un plug, plutôt petit, avec un tuyau et une poire au bout. Il me dit:

— C’est ton nouveau jouet.

Je lui dis qu’il est plutôt petit. Il me dit:

— Regarde!

Et il pompe avec la poire. Le plug grossit à vue d’œil et devient énorme. J’enlève mon jeans et saute à quatre pattes sur le lit. Parrain enlève mon plug et voit la boule de pétanque. Il me demande si elle me gêne. Je lui dis que le poids est inhabituel, je ressens en permanence mon cul. Parrain me dit que l’on va la laisser et entre le plug gonflable. Vu qu’il est dégonflé, je ne sens rien. Parrain pompe sur la poire. Je sens que ça grossit de plus en plus. Ça devient agréable, puis maintenant douloureux. Parrain me dit qu’il faut que ça soit légèrement douloureux, pour que ça m’ouvre bien mon cul. Il dégonfle un peu. Je lui dis de regonfler un peu. Ça fait mal, mais c’est supportable. Parrain passe le tuyau entre mes jambes, et met la poire à côté de ma bite. Il me dit:

— Comme ça, si tu ne sens plus rien, en te touchant la bite, tu appuieras sur la poire et ça gonflera le plug.

Je remonte mon jeans. Je suis rempli à bloc. La sensation est super agréable. Je pense que ma chatte est en train de s’agrandir un peu plus. Je me mets à bander. Je masse ma bite à travers le jeans et appuie sur la poire. Douleur dans mon cul, le plug s’est gonflé. Ça fait mal, mais je suis excité et décide de ne pas le dégonfler. La descente de l’escalier est un grand moment. J’ai du mal à marcher. Pas de bol, papa et maman arrivent à ce moment-là, je n’avais pas entendu la voiture. Je tente de reprendre une démarche «normale».

Le repas est un long moment. Le plug est trop gonflé, et ça tire vraiment trop. Au dessert, je ne tiens plus en place. Je fais semblant d’aller aux toilettes et dégonfle un peu le plug. Ouf, ça va mieux. Je reviens à table comme si de rien n’était. Parrain demande à maman s’il peut m’emmener au centre-ville. Il veut profiter du dimanche pour retrouver certaines rues qu’il ne situe pas sur le plan. Maman donne son accord. Parrain prend un café, et me demande si je suis prêt pour le guider. Je lui dis que je vais essayer.

On prend la voiture de parrain. Il roule jusqu’au centre-ville. C’est désert. Parrain cherche une petite rue à côté de la place du capitole. Il me demande comment je sens mon nouveau plug. Je lui dis qu’à midi, je l’ai un peu dégonflé, mais que depuis je l’ai regonflé deux fois: une fois dans la voiture, puis après quelques minutes de marche. Il me demande de le gonfler un peu plus. J’appuie une fois sur ma bite (la pompe est à côté). C’est plus fort, mais supportable. Parrain me dit de gonfler une fois de plus. Ça force dans mon cul. Il me demande ce que je ressens. Je lui dis que je me sens étiré. Il me dit qu’il faut, mon cul est une chatte, et il ne doit plus jamais se refermer. Je lui demande comment je ferai pour ne pas me chier dessus. Parrain me dit que je devrai porter tout le temps un plug. Comme ça, quand je voudrai baiser, ma chatte sera toujours ouverte, toujours prête, et même après une nuit sans plug, elle sera toujours ouverte.

Il me rappelle que pour les vacances de Pâques, je vais le rejoindre à Paris. Mes parents sont d’accord. Il me dit qu’il va m’amener dans une cité. Je serai posé sur un matelas dans une cave et pendant au moins trois jours et trois nuits, mon cul-chatte ne devra jamais se refermer entre deux bites. Parrain s’arrête entre deux voitures en stationnement. La rue est déserte, il ne passe que quelques rares voitures. Parrain me dit:

— Viens me sucer.

— En pleine rue?

— Une chienne en pleine rue, normal non!

Je m’agenouille devant lui, sors sa bite et le suce. Les rares voitures qui passent ne font pas attention. Il ne jouit pas et se rhabille. On repart à sa voiture. On ne prend pas le chemin du retour. Il m’emmène dans une cité. Je lui demande où l’on va. Il me dit:

— Voir tes nouveaux amis d’hier soir, ils m’ont laissé une adresse.

On tourne dans la cité, parrain se gare. On est à peine sorti de la voiture que deux mecs s’approchent de nous. L’un me dit:

— Tu es la chienne d’hier soir, t’a pas eu ta dose, t’en veux plus?

Parrain lui dit:

— Elle a le cul rempli par une boule de pétanque et un plug gonflé à bloc, mais il lui faut de la bite.

Le mec demande si on a du temps. Parrain lui dit que l’on a deux à trois heures de libres. Le mec nous dit de le suivre. On entre dans un immeuble, on prend un escalier direction les caves. C’est un vrai labyrinthe. On va vers le fond. Il ouvre une porte. À l’intérieur, il y a une table, un matelas posé au sol. Le mec me dit:

— À poil salope.

Je retire mon jeans, mon blouson, et mon teeshirt. Parrain dégonfle le plug. Il sort et la boule de pétanque sort sans forcer. Le mec me fait m’allonger à plat ventre sur la table, les jambes écartées. Il rentre trois doigts directs dans mon cul. Le mec dit à mon parrain:

— Putain, elle est large ta chienne, ça rentre comme dans du beurre.

Il retire ses doigts et essaye de rentrer sa main. Ça force à peine. Le mec dit à parrain:

— Fisté du premier coup, j’ai jamais vu. On va la gaver.

J’entends des bruits. Il a du monde qui arrive. Le mec leur dit:

— On a une nouvelle chienne, elle prend tout. On la gave. Tout le monde jouit dans sa gueule.

Il retire sa main, un mec positionne sa bite qui rentre sans que je la sente vraiment. Le mec dit:

— C’est pas une chatte, c’est un gouffre.

Il se retire et me fiste. Sa main rentre, il essaye d’enfoncer sa main le plus loin possible, bouge les doigts, serre le poing, et le ressort. Il me bourre le cul avec son poing. C’est bon, je gémis. Un mec me tire par les cheveux et me baise la bouche. Il jouit très vite. Il sort de ma bouche, un autre prend la suite et jouit aussi vite. On me lève en me tirant par les cheveux. Un mec qui a une belle bite est allongé sur le matelas. On me fait m’empaler sur lui, on me pousse en avant. Je sens une deuxième bite qui rentre. Je suis pris en double. La sensation est géniale, je me redresse et dit:

— Oui, c’est bon.

Une bite se présente devant ma bouche, je la prends et on me baise la bouche.

Ça va durer pendant plus d’une heure. Plein de mecs prennent plaisir à me fister avec leur poing. Puis on essaye de rentrer deux mains. Ça tire, je gémis, mais les mecs forcent et ça rentre. Un mec me demande ce qu’il peut faire avec mon cul. Je lui dis qu’il peut se branler dedans. Parrain lui explique que le mieux, c’est qu’il mette sa main, puis sa bite pour se branler dans mon cul. Tout le monde veut essayer. Mon cul me brule. Les bites se succèdent dans ma bouche. La gorge me brûle par le passage répété des bites.

D’un coup, tout se calme. Parrain remet la boule de pétanque dans mon cul. On lui en donne une seconde en disant qu’il faut ça pour remplir ma chatte. Parrain pousse la seconde boule de pétanque dans mon cul. C’est lourd. Parrain remet le plug et le gonfle. Je le sens bien gonflé et je gémis, mais parrain continue à gonfler. Ça fait mal. Je le lui dis. Il me dit:

— Il faut souffrir pour avoir une belle chatte.

Je sais que mon cul ne se refermera plus jamais. Parrain m’a expliqué qu’il allait me l’étirer à un tel point que même six mois plus tard, il restera toujours une ouverture permanente d’au moins un ou deux doigts. Il m’a dit que dans quelque temps, j’utiliserai le plug uniquement pour ne pas me chier dessus. Il servira de bouchon. J’ai mal mais le fait de savoir que cela permettra à mon cul de rester ouvert à vie me permet de supporter la douleur. On m’aide à remettre mon jeans, j’enfile mon teeshirt et mon blouson. Un mec me dit:

— Maintenant on connaît ta gueule de vide-couilles. Si on te croise dans la rue, on te prendra n’importe où, n’importe quand.

Il me demande ce que je fais. Je lui dis que je suis au lycée. Un mec demande à quel lycée. Je lui réponds. Le mec éclate de rire. Il dit:

— Super, mon petit frère y est aussi et plein de ses copains. Ils vont être contents d’avoir un vide-couilles à disposition dans le bahut!

Je me sens mal. Je suis un vide-couilles, c’est vrai, et j’en suis fier. Mais là, ça veut dire que tout le monde va le savoir, et ça, je ne sais comment l’assumer en public devant les copains. Le mec termine en disant:

— Mais rassure-toi, ils ne veulent pas passer pour les PD. Ils resteront discrets si tu es une bonne chienne soumise.

Ouf, je respire. Je servirai de vide-couilles, et c’est ce que je veux, mais sans que cela remette en cause ma vie au lycée. Le cul chargé à bloc par les deux boules de pétanque et le plug trop gonflé, je repars avec une démarche qui fait rire les mecs présents.

À suivre...

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Mardi 26 juin 2 26 /06 /Juin 23:17

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Le samedi commençait bien. Parrain me dit en me baisant dans la salle de bain que j’ai une superbe chatte bien souple et que quand sa bite ressort, elle reste ouverte, elle "attend " la bite. Mon cul est devenu une chatte, souple, toujours ouverte, toujours disponible. Pendant que parrain jouait avec sa bite sur l’entrée de ma chatte, d’imaginer mon cul restant ouvert, j’ai joui contre le lavabo. Parrain a joui dans ma chatte et a remis le gros plug en place. Je l’ai à peine senti rentrer. Parrain m’a dit qu’à ce régime, il faudrait me trouver un plug plus gros avant peu. Parrain m’a fait lécher mon sperme qui avait coulé le long du lavabo, puis je me suis douché et habillé.

Papa et maman sont rentrés du marché. Repas en famille. Parrain a demandé si ce soir il pouvait m’amener au cinéma. Papa ne voulait pas que je rentre trop tard mais maman a cédé, et parrain peut m’amener à la dernière séance, celle qui finit à 1h du matin.

Le soir, parrain a dit qu’il m’amenait d’abord au restaurant puis au cinéma. On est parti, mais en direction de la forêt de bouconne. Il y avait visiblement plus de voitures que la veille au soir. Parrain m’a fait sortir de la voiture. Il m’a fait enlever mon jeans et le plug. Puis, il a sorti le scotch en tissu et m’a plaqué ma bite et mes couilles contre mon ventre. On ne voyait presque rien. Il m’a fait remonter mon teeshirt dans mon blouson, afin que mon cul soit bien à l’air et on est parti vers la clairière.

Il marchait lentement sur le chemin. Il m’a demandé ce qui me ferait vraiment plaisir. Je lui ai dit que ce que j’avais le plus envie, c’était de sentir plein de bites dans ma «chatte». Parrain m’a demandé quelles bites me feraient le plus plaisir: jeunes, noires… Je lui ai répondu toutes. Il m’a demandé ce que j’étais. Je lui ai répondu que j’étais un vide-couilles qui pouvait être rempli par n’importe quelle bite. Il m’a demandé ce que je ferais si on croisait un clochard, sale et puant. Je lui ai dit que je lui offrais mon cul. Parrain m’a dit que j’étais une vraie chienne et que le but de la soirée, c’était que je vide au moins 20 bites. Je me suis mis à bander.

On n’a pas été à la clairière de la veille. Parrain a pris un autre chemin et on est arrivé dans une autre clairière. Il y avait un feu de camp. On s’est approché et c’était des clochards. Quatre assis, un debout qui marche autour du feu. Parrain m’a dit:

— Je reste là. Tu vas les voir et tu leur dis ce que tu veux. Tu es une chienne, vas te faire remplir la chatte.

Je me sens mal. Non pas parce que c’est des clochards, ce n’est pas la première fois, et ils sont moins nombreux, mais parce que je n’ai jamais accosté un homme en lui disant "encule-moi". Faire est une chose, demander en est une autre. Je m’avance et m’approche du feu. Celui qui est debout, une bouteille de vin à la main, me regarde arriver et gueule:

— Tu viens te faire enculer, salope?

Je me surprends à lui crier:

— Oui, mon cul est ouvert à tous ceux qui ont envie de se vider les burnes.

Je m’avance encore un peu et me mets à quatre pattes devant lui, mon cul devant lui. Il se retourne vers ses copains et gueule:

— Hey les mecs, y a une salope qui veut en prendre plein le cul, venez!

Il s’avance vers moi, défait son pantalon, sort sa bite, et m’encule d’un coup. Je jouis sous le scotch. Je suis vraiment fait pour recevoir des bites. Je me sens bien et lève la tête. Un autre clochard est devant moi, sa bite à la main. Il m’ordonne:

— Suce, salope.

Et avance sa bite vers ma bouche. Elle pue. J’ouvre la bouche et prends sa bite. Le goût est atroce. Il me dit:

— Suce-moi la bien, salope.

Il jouit assez vite, j’ai failli vomir. Mais un autre vient le remplacer. Il pue autant. Il a une belle bite, mais elle pue aussi. Je ne m’habitue pas à l’odeur. Heureusement, il jouit assez vite aussi. Dans mon cul, le premier a joui et un second le remplace. Je baisse la tête vers le sol et prends plaisir à cet enculage. Les autres gueulent autour. Je ressens cette bite dans ma «chatte» déjà bien trempée par le sperme du premier. Je n’arrête pas de jouir. Je me rends compte que je jouis avec mon cul. Mon clochard enculeur jouit dans mon cul. Il se retire et dit à ses copains qu’il faut que ma chatte reste pleine. Je sens un truc dur pousser violemment dans mon cul. Je hurle. J’entends qu’il dit à ses copains:

— Hey les mecs, je l’ai bouchée avec une cannette, elle est rentrée toute seule, et il me tape violemment sur mes fesses.

Je me relève. La canette tient dans mon cul, et je marche vers parrain. La douleur dans mon cul se calme, la canette a été aspirée. Parrain me dit de me mettre à quatre pattes. Je me positionne jambes écartées. Parrain attrape le goulot de la canette et la tire vers l’extérieur. Je me sens dilaté. Elle commence à sortir, mais parrain la bloque. Il me dit de ne pas bouger, qu’il attache une ficelle au goulot pour être sur de pouvoir la ressortir de mon cul. Puis il l’enfonce dans mon cul. Je sens qu’elle est aspirée.

Parrain me fait me relever, et on reprend le chemin.

Chapitre 10

Parrain me demande ce que j’ai ressenti quand j’ai été demandé au groupe de clochards de venir m’enculer. Je lui explique que le plus dur était de demander. Parrain me dit:

— Tu es une vraie chienne et un parfait vide-couilles. Tu n’as pas à avoir honte. Tu aimes la bite et tu adores le sperme; et les hommes adorent se servir de leur bite et cracher leur sperme. Qu’y a-t-il de mal à demander à quelqu’un si on peut lui faire du bien.

Je lui dis que je suis d’accord, mais ce n’est pas évident. Un homme arrive face à nous sur le chemin. Parrain me dit:

— Tu vois l’homme qui arrive. Tu vas t’avancer et lui dire: "bonsoir monsieur, est-ce que je peux vous sucer", et tu verras bien sa réaction.

Parrain ralentit le pas. J’avance vers cet homme. Il n’est pas très vieux, plus jeune que parrain ou que mon père, cheveux très courts. Arrivé devant lui, je respire un grand coup et je lui dis:

— Bonsoir monsieur, je peux vous sucer?

L’homme s’arrête. Il voit que je n’ai pas de pantalon. Il me dit:

— Retourne-toi et penche-toi en avant.

Je m’exécute. Il tâte les fesses, et voit la ficelle. Il me dit:

— Il y a quoi au bout.

Je lui dis qu’il y a une canette de bière. Il prend la ficelle et tire. La canette sort. Il me demande ce que je cherche. Je lui dis que je suis un vide-couilles et que je cherche des bites. Il me demande si j’en ai déjà trouvé. Je lui dis oui. Il me demande où. Je lui dis dans la clairière au fond. Il me dit qu’il n’y a que des clodos dans cette clairière. Je lui dis oui. Il me demande si je me suis fait enculer par les clodos. Je lui dis oui. Il me traite de sale chienne. Je lui réponds oui. Il me dit qu’il va me rincer. Je ne bouge pas. il défait son pantalon, me dis de ne pas bouger je sens sa bite à l’entrée de ma «chatte» il rentre tout doucement, de quelques centimètres, et ressort. Il me demande si je suis une chienne. Je lui réponds:

— Je suis une chienne, une vide-couilles, mon cul est une chatte qui reçoit n’importe quelle bite.

L’homme ne dit rien m’encule d’un coup et ne bouge plus. Je sens par contre une drôle de sensation: un liquide chaud me remplit. Je comprends qu’il est en train de pisser en moi. Puis il se met à bouger. La sensation est étrange, mais agréable. Il se retire, passe devant moi, et me dit:

— Suce.

J’ouvre la bouche, il m’attrape par les cheveux et baise ma bouche. Il jouit, me dit d’avaler et qu’il veut une bite bien propre. Je le suce jusqu’à ce qu’il débande. Il se refringue et me dit:

— Merci chienne, et il s’en va.

Je me redresse, et ça coule de mon cul. Je m’accroupis pour vider mon cul de la pisse. Parrain m’a rejoint et me dit:

— Tu pisses avec ta chatte!

Je réalise que, comme une femme, je pisse par la chatte. Parrain me fait me relever et me retourne en me disant:

— Moi aussi, j’ai envie de pisser.

J’écarte mes fesses pour qu’il puisse venir pisser dans mon cul. Parrain rentre sa bite d’un coup et je le sens pisser en moi. Il me fait m’accroupir, me donne sa bite à sucer et me dit de bien la nettoyer. Puis il me fait me relever, et me dit:

— Tu n’as pas encore vidé 20 bites petite chienne, alors en chasse.

Nous partons vers la clairière de la veille, mais il n’y a personne. Parrain me dit:

— On va aller de l’autre côté du bois mais là-bas, ça craint. Je lui demande pourquoi ça craint. Il me dit que c’est les jeunes des cités qui y font leurs plans abattage. Je demande ce que c’est qu’un plan abattage. Parrain me dit que je ne pourrais rien refuser tant qu’ils en auront envie, et que souvent, ils sont une trentaine. Je regarde parrain et lui dit:

— Parrain, je suis un vide-couilles et une chienne. Grâce à toi, mon cul est devenu une vraie chatte. Je viens de sucer des clochards dont la bite puait à mort, ma chatte a été rincée à la pisse et j’ai même été enculé par un chien. Que peut-il m’arriver?

Parrain me regarda droit dans les yeux et me dit:

— Petit, à 15 ans, tu es devenu un vide-couilles exceptionnel. Tu aimes la bite et le sperme comme je n’ai jamais vu personne aimer. Ton cul, ou plutôt ta chatte a besoin de bite en permanence. Ce que j’ai peur, c’est que les mecs que l’on va rencontrer vont s’en rendre compte. Et tu risques de devenir leur vide-couilles permanent. Ils sont capables de t’amener dans une cave de leur cité, et de te faire enculer nuit et jour pendant des semaines entières. Et le problème, c’est que tu serais d’accord.

Me faire remplir la bouche et mon cul-chatte pendant une semaine nuit et jour. Le rêve absolu! Rien que d’y penser, je venais d’éjaculer sous le scotch. Ce dernier était maintenant complètement trempé. Je rassurais parrain en lui disant que je n’étais pas complètement fou et que papa et maman s’inquièteraient si je disparaissais pendant une semaine. Et je lui demandais, pour changer de sujet, s’il avait du scotch pour ma bite. Parrain me regarda en me disant:

— Rien que de penser que tu risquais de te faire enculer nuit et jour pendant une semaine, tu as joui?

Je lui répondis timidement oui. Il m’a demandé ce que j’avais de prévu avec mes parents pour les vacances de Pâques. Je lui dis qu’il n’y avait rien de prévu. Parrain me dit:

— Dans ce cas, tu monteras chez moi à Paris. Je connais une cité où ils se feront un plaisir de t’enculer nuit et jour pendant toute la semaine.

J’ai joui à nouveau. Et mon cul était trempé. Mon cul était bien devenu une chatte. À l’idée de se faire défoncer, il mouillait. Comme une chatte. Parrain me dit:

— En attendant, on va changer le scotch et on va aller de l’autre côté du bois... que tu puisses te faire enculer pendant une heure ou deux.

J’étais aux anges!

À suivre...

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Mardi 26 juin 2 26 /06 /Juin 22:11

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De retour à la maison, je file à la douche. Il est tard et mes parents ne devraient plus tarder à rentrer. Je demande à parrain ce que je dois faire pour le scotch et le plug. Parrain vient m’aider et enlève le scotch de mes fesses, et de ma bite. Il me dit que le plug est bien en place, on le laisse.

Je me douche rapidement. Je n’ai pas fini de me rhabiller dans ma chambre que j’entends la voiture de mes parents. J’accélère le rythme et descends rapidement les escaliers. Parrain est à nouveau dans sa pile de dossiers.

Papa et maman rentrent. Parrain leur demande s’ils se sont bien amusés. Maman lui dit que oui et demande si on a mangé. Parrain lui dit qu’il m’a amené dans un petit resto. Maman me demande si c’était bon. Parrain lui dit que je me suis régalé avec la sauce des saucisses. J’ai failli m’étrangler quand il a dit ça…Papa et maman disent qu’ils sont crevés, et montent se coucher. Parrain est perdu dans ses dossiers. Je lui dis que je monte me coucher aussi, il dit qu’il ne va pas tarder.

Je me couche comme d’habitude, à plat ventre. Le plug me fait une sensation sympa dans mon cul. Je repense à la journée et je m’endors.

Je suis réveillé par une drôle de sensation. Parrain est en train de retirer lentement le plug. Il me dit de ne pas bouger, prend un oreiller et me le met sous le ventre. Mon cul est bien positionné. Il retire le plug, puis je sens le gel froid couler. C’est agréable. Parrain me dit doucement à l’oreille qu’il va me travailler le cul. Je sens qu’il essaye de rentrer sa main en entier. Je me détends et je sens sa main aspirée dans mon cul. Il enfonce sa main loin en moi. J’ai l’impression qu’il est dans mon ventre. Je bande dur. Parrain retire sa main, la renfonce plusieurs fois de suite. Puis, il joint ses deux mains et commence à pousser. Là, je me sens écartelé. Il pousse un peu plus à chaque va-et-vient de ses mains. Je sens que ses doigts sont en moi, sauf ses pouces. Huit doigts. Parrain rentre une main puis rentre les doigts de l’autre main. Ça tire de plus en plus. Parrain me dit de me détendre.

Je souffle un grand coup, parrain pousse et ouille, c’est passé. Parrain me dit qu’il vient de mettre les deux mains dans mon cul, que maintenant il va tourner avec ses doigts pour que mon cul s’assouplisse. Ça tire, mais je dors à moitié. Je me sens écartelé, comme avec la bouteille, mais là, c’est que du plaisir. Parrain joue longtemps. Puis il ressort, m’essuie et remet le plug. Je le sens à peine rentrer. Parrain me dit de me tourner sur le coté, vient à côté de moi, et me donne sa bite à sucer. Il tient ma tête avec ses mains et baise ma bouche. Il jouit. Il me dit de ne pas avaler, de m’endormir la bouche pleine. Je lui fais signe oui avec la tête, me remets à plat ventre et je pense que je me suis endormi de suite, la bouche pleine de son sperme.

Le lendemain matin (samedi), je me réveille avec la bouche qui colle. Visiblement je n’ai pas avalé dans la nuit. Je regarde l’heure: 11h passées. Il faut que j’aille aux toilettes. J’enfile un pantalon de pyjama pour que mes parents ne voient pas le plug. Je sors de ma chambre et tombe nez à nez avec parrain. Il venait me réveiller. Mes parents sont partis au marché et ne seront pas là avant midi et demi. Je lui dis qu’il faut que j’aille aux toilettes. Il me dit d’aller dans la salle de bains. J'entre dans la salle de bains mais je lui redis qu’il faut que je chie. Il me dit:

— Je sais, mais je vais te laver la chatte.

Il me fait asseoir sur le rebord de la baignoire, le cul vers l’intérieur. Il enlève le plug, dévisse le tuyau de douche, fait couler l’eau, et me le rentre dans le cul. Il me dit de serrer tant que je peux, puis de tout lâcher. Je chie dans la baignoire. Au bout d’un moment, l’eau qui sort est propre. Parrain me dit que ma chatte est bien propre. Il me tend une serviette, j’essuie mon cul devenu «chatte».

Parrain sort sa bite et me dit de le sucer. Je le suce. Sa bite devient bien raide. Il me dit de me lever et de m’appuyer contre le lavabo, jambes écartées. Je le fais. Il vient derrière moi. Il me pénètre doucement. La sensation est super bonne. Parrain me demande ce que je ressens. Je lui dis que la sensation est nouvelle, super agréable. Sa bite frotte sur l’entrée de ma chatte, rentre et ressort sans aucun effort. Parrain me dit que j’ai une superbe chatte bien souple et que quand sa bite ressort, elle reste ouverte, elle «attend» la bite. Je jouis en imaginant mon cul qui reste ouvert en permanence. Je suis une chienne. Je peux me faire baiser n’importe quand sans même que l’on ait besoin de me préparer, ma chatte sera ouverte.

À suivre...

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Mardi 26 juin 2 26 /06 /Juin 20:31

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Quand je remonte des toilettes du bar après m’être fait défoncé par Thierry et surtout par la bouteille, je tremble de partout. Mais je me sens vide. Mon cul me fait mal, mais il réclame d’être rempli. Mon homme pensait que j’allais rentrer chez moi et fut surpris que je lui demande de repasser chez lui. Encore plus quand je lui expliquais que mon plug était resté chez lui et que je le voulais planté au fond de mon cul. Mon homme m’a demandé pourquoi. Je lui ai expliqué qu'avec le plug, j’avais l’impression d’être rempli en permanence et c’est ce qui me convenait le mieux: "Être rempli du matin au soir". Il m’a dit que, vu ce que je venais de prendre avec la main de Thierry et la bouteille, ce n’était pas raisonnable de forcer.

On est remonté chez mon homme. Il m’a demandé de baisser mon jeans et de me mettre à quatre pattes. Je me suis exécuté. Il a pris mon plug et a commencé à l’enfoncer en moi. Mon cul était douloureux et je me suis remis à bander sous le scotch. Mon homme a joué avec le plug. Il l’enfonçait jusqu’à l’endroit le plus large et ressortait. Je me suis empalé sur mon plug pour qu’il rentre. Mon homme m’a dit que j’étais vraiment une chienne. Je lui ai dit: "Je suis une chienne, ma bouche et mon cul ne sont que des trous à bites".

Il m’a dit que ce n’était plus un cul que j’avais, mais une chatte. N’ayant jamais eu d’expérience à l’époque avec une fille, je lui demandai la différence. Il me répondit qu’une chatte était bien plus large et accueillante qu’un cul. Je lui ai dit que j’étais fier que mon cul soit devenu une chatte accueillante. Il m’a demandé si d’avoir la bite collée au scotch me gênait. Je lui ai dit que non. Curieusement, ça ne me gênait pas. Celui que j’avais était trempé de sperme par contre. Mon homme m’a fait mettre debout. Il a enlevé le scotch qui ne collait plus trop. Il a apporté du sopalin et la bande de scotch large couleur chair. Il a essuyé ma bite et mon ventre. Puis, il a découpé plusieurs bandes de scotch. Il m’a dit que je devais apprendre à le mettre tout seul. Je me suis allongé par terre et il m’a guidé pour bien tout coller le plus plat possible. Il m’a félicité et m’a dit:

— Maintenant, tu n’es plus qu’un cul et une bouche.

J’ai remonté mon jeans. Mon homme m’a dit de bien garder le plug jusqu’à mercredi. Je lui ai demandé si on ne se revoyait pas avant. Il m’a dit de passer le lundi soir au Cours Dillon.

En arrivant à la maison, surprise, je vois la voiture de parrain dans l’allée. Mes parents ne sont pas encore rentrés. Je rentre dans la maison. Parrain est affairé avec une pile de dossiers sur la table du salon. Je lui demande comment ça se fait, qu’il soit déjà revenu. Il m’explique que son collègue a eu un accident. Il a repris ses dossiers et va sûrement passer la semaine à la maison. Puis me regarde droit dans les yeux et me dis à voix basse:

— Et les nuits...

Il me dit qu’il a eu mes parents au téléphone et que ce soir, ils sont partis faire des courses, et que, vu qu’il est là, ils ont décidé d’aller après au ciné tous les deux. Je me mets à genoux devant lui et ouvre sa braguette. Il me demande ce que je fais. Je lui réponds que j’ai envie de sa bite. Il se recule dans le fauteuil et je me mets à le sucer. Je vais le sucer longtemps avant qu’il ne jouisse dans ma bouche. Je me redresse et lui montre ma bouche pleine. Parrain me demande ce que je fais. Je lui dis que je montre toujours avant d’avaler. Il me dit que je suis une vraie chienne. Je lui réponds que j’en suis fier.

Parrain me demande alors depuis combien de temps je suis un vide-couilles et de raconter mes expériences. Je lui raconte le début avec mon homme, les mercredis après-midis, le foyer africain, les clochards, Sultan le chien danois, les toilettes du bar. Parrain a refermé sa braguette mais je vois qu’il bande à mort. Il me demande ce qui a été le plus excitant. Je lui dis que le plus excitant, c’était le groupe de clochards. Après qu’ils aient joui en moi, j’étais vraiment la reine des chiennes, capable de me faire baiser par vraiment n’importe qui. Parrain me dit qu’il a une surprise pour moi, et de le suivre dans sa chambre.

Arrivé dans sa chambre, parrain me demande de me déshabiller. Il est surpris du scotch, me fais mettre les mains contre le mur et cambrer les fesses. Il me dit que dans cette position, on dirait vraiment une fille. Il me dit de ne pas bouger. Il s’approche de moi et retire le plug en tournant doucement. Puis il me dit qu’il me met du gel. C’est froid mais agréable de sentir ses doigts qui entrent et étirent ma rondelle. Puis je sens qu’il remet le plug. Mais ce n’est pas le même, celui-là est visiblement plus gros. Beaucoup plus gros. Parrain me dit que celui-là fait 7cm. Il ressort le plug, me retravaille avec ses doigts, puis repositionne le plug et d’un coup, je sens qu’il est aspiré en moi. Super sensation. Là, je le sens vraiment. Parrain me dit que ma chatte est de mieux en mieux et s’agrandit très vite, ce qui est normal à mon âge d’après lui. Il me dit de marcher. Le plug me fait un peu mal et j’ai peur qu’il tombe. Je le dis à parrain. Il me demande si j’ai du scotch large comme celui qui aplatit ma bite. Je lui dis qu’il est dans mon cartable. Il me dit d’aller le chercher. L’aller-retour dans ma chambre est difficile. Je reviens avec le scotch. Parrain fixe une bande sur le plug entre mes fesses et remonte sur ma bite. Il me dit qu’il ne pourra pas tomber et que d’ici demain matin, je m’y serai habitué. Il me demande de me rhabiller et de descendre. Je me rhabille et descends lentement les escaliers. J’ai l’impression d’être ouvert en deux.

Parrain m’attend en bas, veste sur le dos et ses clefs à la main. Je lui demande où il va. Il me dit que c’est l’heure d’amener la chienne au bois. Je le suis et monte dans la voiture. Le trajet est un calvaire. Mon cul est ouvert en deux et ça fait plutôt mal. L’autre plug faisait 5cm, celui-là 7, visiblement, deux centimètres, ça ne parait rien, mais c’est énorme.

On sort de Toulouse. Je demande à parrain où l’on va. Il me dit que l’on va à la forêt de Bouconne, juste après Pibrac. Je lui demande ce qu’il y a. il me dit que le soir, il y a pas mal de mecs qui cherchent à se faire sucer. Vu que mon cul est occupé, je vais lui montrer mes talents de suceuse. Je lui dis que j’adore sucer mais le plug me fait mal. Il me dit qu’il faut souffrir pour être beau et que demain matin, j’aurai oublié et qu’avec ce plug, mon cul restera définitivement ouvert en permanence. Ce ne sera plus un cul mais une vraie chatte, bien souple, toujours ouverte, et toujours disponible.

L’idée que mon cul devienne une chatte toujours ouverte m’excite et je me mets à bander. Vu que ma bite et le plug sont collés ensembles, en bandant, ça pousse sur le plug. Ma bite réagit à mon cul et je ressens moins la douleur. De part l’excitation, elle est supportable. Je veux avoir une chatte ouverte. Comme tout bon vide-couilles...

À suivre...

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Mardi 26 juin 2 26 /06 /Juin 12:43

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Parrain s’est levé tôt. Il est venu dans ma chambre. Je dors toujours à plat ventre. Je ne portais que le plug. Il a commencé par bouger doucement le plug, ce qui m’a réveillé à moitié, puis comme la veille au soir m’a enculé, mais plus lentement. Il a mis un oreiller sous mes fesses et m’a enculé un bon moment, ce qui était un réveil très agréable. Puis il a joui en moi. Il est resté dans mon cul jusqu’à ce qu’il débande. Il a remis aussitôt le plug. Il a approché sa bite de ma bouche. Je l’ai sucée, ou plutôt nettoyée, du sperme qu’il y avait dessus. Il m’a dit que j’étais une bonne chienne et m’a dit qu’il revenait dans quelques jours. Puis il est parti.

La journée au lycée fut longue. Difficile de rester plusieurs heures sur une chaise en bois sans bouger, le plug me faisait bander. Sensation très curieuse.

Le soir, je descends au Cours Dillon. Je n’ai qu’une envie: me faire remplir partout. Le plug m’a tenu excité toute la journée. Mon homme me voit arriver et se lève sans rien dire. Je le suis de loin. Il va vers les tables en bois. À côté, il y a un groupe de clochards qui picolent… Je me sens mal. Très mal. Si la veille, dans le «feu de l’action», un clodo pouvait me sodomiser et j’aurais même sucé une bite puante, là, je ne m’en sens pas capable. Un autre homme est à côté de «mon homme», un africain. Ils se tiennent tous les deux debout devant la table en bois. Je les rejoins. Mon homme me dit: «Tu es une chienne, et n’importe quelle bite doit pouvoir se vider en toi. Hier, tu étais prêt à ce qu’un clochard sale et puant vienne jouir en toi. Là, ils sont une dizaine. Thierry est là pour éviter que ça dégénère. Si tu es vraiment la chienne que tu dis, tu enlèves ton jean et tu te mets le cul à l’air contre cette table.»

Je ne saurai jamais pourquoi mais j’avais envie de ces bites, même sales et répugnantes dans mon cul. J’ai enlevé mon jeans sans quitter mes baskets. Mon homme m’a dit: «Tu ne mets plus de slip, c’est bien.» Je me suis allongé contre la table et avec mes mains, je tenais mes fesses bien écartées. Mon homme a vu le plug. Il a pris la base dans sa main et m’a dit: «Tu l’as trouvé où?» Je lui ai dit que c’était un cadeau de mon oncle. Mon homme a retiré le plug lentement. Il a dit que mon cul devenait une vraie chatte. Thierry a dit qu’il fallait la graisser et m’a enculé d’un coup jusqu’à la garde. J’ai hurlé. Mon homme m’a dit: «C’est bien, tout le monde te regarde, tu vas en avoir de la bite de clochard. Je lui dis: «Je suce et me fait enculer par n’importe qui, n’importe où, n’importe quand, je suis une chienne, ma bouche et mon cul ne sont que des trous à bites.» Il me caresse les cheveux et me dit: «Jouis, petite chienne, prends ton pied, jouis.» Thierry a joui rapidement dans mon cul. Il s’est retiré et a dit aux clochards: «Si quelqu’un veut se vider les burnes, c’est maintenant!»

Un qui était debout, une bouteille de bière à la main, a demandé ce qu’il pouvait faire. Mon homme lui a dit qu’il pouvait m’enculer. Il est parti vers ses copains et a hurlé: «Eh les mecs, on peut y péter le cul à la gonzesse!» Ils me prenaient pour une fille! Ils se sont levés et voulaient tous m’enculer en premier. Thierry a fixé un ordre. Mon homme m’a demandé d’écarter mes fesses avec mes mains. Le premier s’est approché de moi. Il puait. Il a positionné sa bite dans mon cul recouvert du sperme de Thierry, a gueulé à ses copains: «Putain les mecs, elle est chaude, elle mouille!» et m’a pénétré jusqu’à la garde. J’ai joui contre la table comme jamais. J’étais devenu la reine des chiennes. Il a joui très vite et s’est retiré en gueulant «Suivant!» Ils étaient huit. J’ai joui dès le premier et jusqu’au dernier, ma bite était dure comme du roc et me faisait mal. Lorsque le huitième s’est retiré, mon homme a renfoncé le plug en moi et m’a renfilé mon jeans.

Il a senti ma bite dure comme du bois. Il a dit à Thierry: «Ma petite chienne n’a pas eu sa dose.» Il m’a fait m’accroupir et m’a dit: «Suce moi.» J’ai ouvert son pantalon, pris sa bite dans ma bouche. Il a joui assez rapidement. Je lui ai montré ma bouche pleine. Il m’a dit: «N’avale pas, tu as droit à une double dose.» Thierry s’est approché et m’a donné sa bite à sucer. Sensation curieuse de sucer avec la bouche pleine de sperme. Thierry a joui. Ma bouche était pleine à exploser. Je leur ai montré ma bouche. Mon homme m’a dit: «Relève toi et n’avale pas. Suis-nous.» On s’est éloigné des clochards.

On a longé le bord de Garonne. Un mec nous regardait arriver en se branlant. Mon homme l’a regardé, m’a regardé et m’a dit: «Va montrer ta bouche au Monsieur, puis tu avales, et tu le suces. Tu reviens nous voir la bouche pleine.» Je me suis avancé vers cet inconnu. Je lui ai montré ma bouche, il a eu l’air surpris, j’ai avalé et me suis agenouillé devant lui. Il m’a demandé ce que je voulais. Je lui ai dit que j’étais un vide-couilles et que je voulais le sucer et qu’il se vide dans ma bouche. Il m’a dit que j’étais une salope. Je lui ai répondu que j’étais une chienne, que je suce et me fait enculer par n’importe qui, n’importe où, n’importe quand et que ma bouche et mon cul ne sont que des trous à bites. J’ai à peine eu le temps de prendre sa bite dans ma bouche pour recueillir son sperme. Je suis revenu vers mon homme et Thierry la bouche pleine. Mon homme m’a dit: «C’est bien, avale.» J’ai avalé. Thierry est parti en me disant qu’il faudrait que je revienne au foyer. Mon homme lui a dit que c’était prévu.

Mon homme m’a demandé si j’avais aimé me faire enculer par des clochards. Je lui ai dit que oui. Une bite est une bite, Peu importe l’homme. Il m’a demandé si j’étais prêt à recommencer et si j’étais capable d’y retourner pour les sucer. Je lui ai dit oui. Il m’a dit: «Je sais que tu en es capable, tu es une chienne.» Puis on a parlé de mon parrain. Il m’a dit que le plug était une super idée, ma chatte allait devenir toute souple. Il m’a fixé rendez-vous pour le lendemain soir chez lui. Il m’a dit qu’il aurait une surprise pour moi.

Je suis rentré chez moi. Autour du plug, le sperme des huit clochards suintait. J’étais fier de moi. J’étais la reine des chiennes.

À suivre...

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Mardi 26 juin 2 26 /06 /Juin 11:54

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La nuit avec mon parrain

Le repas se passa super bien. Parrain était déchaîné et mes parents lui demandèrent quel contrat il avait pu signer pour être d’aussi excellente humeur. Parrain leur dit qu’il avait pu avoir un contrat totalement inattendu, et très prometteur. J’ai dû piquer du nez dans mon assiette…

Le plug se faisait sentir et je n’arrivais pas à rester en place sur ma chaise. Fatalement, ma mère s’en est rendu compte. Je lui ai expliqué que j’étais crevé et que j’avais qu’une envie, c’était de dormir. On m'a dit clairement que ce n’était pas très gentil pour mon parrain et que pour une fois qu’il était là, je pourrais en profiter. Parrain a dit que ce n’était pas grave car lui aussi était fatigué et qu'il devait revenir dans une semaine. Surprise générale, et ma mère a insisté pour qu’il vienne à la maison. Bon comédien parrain, qui faisait semblant de ne pas vouloir déranger.

J’étais à peine arrivé dans ma chambre que parrain était derrière moi. À voix basse, il m’a dit:

— Ta mère fait la vaisselle et ton père est devant le match de foot. On a cinq minutes. Montre-moi ton cul.

Je me suis mis à poil et me suis mis sur le lit jambes écartées. Parrain a secoué un peu le plug pour voir s’il tenait bien. Puis, il s’est redressé et m’a dit:

— Suce-moi.

Je me suis assis sur le bord du lit, le plug s’est fait sentir avec le rebord et j’ai défait sa braguette, ouvert son caleçon, pris sa bite, et j’ai commencé à le sucer. Il a joui assez vite. J’ai montré ma bouche grande ouverte. Il m’a regardé étonné, puis m’a dit:

— Avale.

J’ai avalé et montré ma bouche bien vide. Il m’a dit qu’il avait rarement vu une salope comme moi. Il m’a demandé comment j’avais fait pour devenir une telle salope. Alors, je lui ai raconté mon homme, les soirées, les mercredis après-midis. Je n’avais pas fini de lui raconter la journée qu’il m’a demandé de me mettre à quatre pattes, de sortir mon plug, et de me le mettre dans la bouche. Je me suis mis à quatre pattes, j’ai sorti doucement le plug. Parrain me l’a planté dans la bouche et m’a enculé d’un coup. Il était déchainé et à joui très vite dans mon cul. Il a tendu le bras, a repris le plug de ma bouche, et l’a enfoncé d’un coup dans mon cul. Il m’a dit de le garder jusqu’à ce que je vois «mon homme» le lendemain soir.

À suivre...

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Mardi 26 juin 2 26 /06 /Juin 10:56

Dans le bus, je suis resté debout. Mon cul était trempé et je ne voulais pas que ça traverse mon jeans, et en même temps, je me demandais si je n’allais pas sentir une main sur mes fesses. Il ne se passera rien et j’arrivais chez mes parents.

Mon parrain était arrivé la veille. Il travaillait dans une grosse boîte en région parisienne et lorsqu’il devait faire la tournée de ses clients toulousains, il venait à la maison. On le voyait peu car il partait assez tôt et rentrait souvent très tard. Je ne savais que peu de choses sur sa vie. Je savais qu’il était divorcé, qu’il avait deux fils plus grands que moi que j’avais rencontrés lors d’un mariage et qui étaient plutôt très cons, et c’est tout. Il a toujours été très gentil, voire parfois collant. Il avait cinq ans de plus que mon père.

Aucune voiture devant la maison, donc, je suis seul.

Je file direct au garage et mets mon jeans et tous mes vêtements au fond de la machine à laver et remets le reste du linge par-dessus. J'entre dans le salon, nu, avec mes baskets à la main. Je commence à monter l’escalier quand j’entends la voix de mon parrain derrière moi. Je suis figé dans l’escalier. D’où il est, il ne peut voir que mon cul et ma rondelle que j’imagine bien rouge et luisante.

Il me demande d’où je viens. Je lui réponds que j’étais au sport et que je monte me doucher. Il me demande pourquoi je suis tout nu. Je lui dis que c’est plus simple de mettre les fringues directement dans la machine pour que ça ne sente pas la sueur dans toute la maison. Mon parrain m’a rejoint dans l’escalier. Il me dit:

— Pour que ça ne sente pas trop la sueur ou le sperme?

J’ai les joues en feu. Je ne sais quoi dire. Je sens sa main sur mes fesses. Je sursaute. Il se met à rire et me dit:

— C'est plus un cul que tu as, c’est une chatte en feu! Tu as quel âge déjà?

Je lui dis que j’ai 15 ans et demi. Avec ses mains, il écarte mes fesses, et je sens que du sperme coule de mon cul. Il me demande combien de fois je me suis fait baiser. Je lui dis que je ne sais pas. Il me demande si j’ai oublié de compter. Je lui dis que oui. Il me demande ce que je suis exactement. Je n’arrive pas à répondre. Il me dit que ça restera entre nous mais que je dois lui dire ce que je suis. Je ferme les yeux, et je lui dis que je suis une chienne, un vide-couilles. Mon parrain m’écarte les fesses d’une seule main, et je sens un doigt contre ma rondelle. Ça me brule et je me tortille un peu. Lui croit que j’ai envie et me dit:

— Mais tu es chaude! Monte, on va dans ta chambre.

Je monte comme un automate. Il me fait mettre sur mon lit, sur le dos, jambes écartées, les genoux dans mes mains. Il me dit:

— Petit, cela restera entre nous. Je ne dirai rien à tes parents de tes activités sportives et si tu es ce que tu me dis, tu devrais aimer.

Il ouvre sa braguette et sort sa bite. Il se frotte contre ma raie. Ça me brûle, mais je n’ai pas envie qu’il parle à mes parents. Je m’empale sur sa bite qui rentre d’un coup. Il me dit:

— Et bien, tu es une vraie chienne. Tu fais quoi d’autre?

Je le regarde droit dans les yeux et je lui dis:

— Je suce et j’avale aussi.

Il se met à me pilonner. J’ai le cul en feu et je gémis. Il jouit très vite. Je me tourne sur le côté. Il vient à côté de moi. Sa bite est proche, je m’étire et le suce. Il me caresse les cheveux et le visage et me dit que je suis un bon petit. Puis il retire sa bite de ma bouche et referme sa braguette. Il s’agenouille à côté de mon lit et commence à me sucer. C’est loin d’être désagréable mais je n’arrive pas à bander. Je lui demande d’arrêter. Il me demande si ce n’est pas agréable. Je lui dis que si mais que je préfère sucer et me faire enculer. Il regarde mon cul et me dit que j’ai quand même le cul en feu. Il me dit de me reposer, qu’il va faire une course et demande à quelle heure mes parents rentrent. Je sais qu’ils vont rentrer vers 19h au mieux car ils doivent aller faire une course. Il me dit qu’il sera rentré bien avant.

Je me mets sous les draps, à plat vente, et je m’endors.

Je suis réveillé par une drôle de sensation: J’ai l’impression que l’on me caresse mon cul. Ce n’est pas un rêve, c’est mon parrain! Il me dit:

— Ne bouge pas, c’est une pommade calmante et cicatrisante.

À moitié réveillé, je lui dis que je ne veux pas que ça cicatrise. Hurlement de rire de mon parrain qui me dit que mon cul ne va pas se boucher et que pour en être sur, il m’a acheté un jouet. Toujours pas réveillé, je comprends rien à ce qui se passe et continue à apprécier le massage de ma rondelle. Parrain me dit de regarder. Je tourne la tête sur le côté et vois qu’il tient un truc bizarre dans la main. Il me dit:

— C’est un plug. Comme ça, ta chatte restera souple.

Il me dit qu’il va me le mettre en place et que je dois le garder tout le temps, sauf pour aller aux toilettes bien évidement, et pour baiser. Je lui demande si ça ne risque pas de tomber.

— Aucun risque me dit-il. C’est prévu pour. Là je t’ai pris un modèle de 5. Plus tard, on prendra plus gros.

Il enduit le bout de la pommade et le colle contre ma rondelle. Il force tout doucement. Je sens mon cul qui s’étire, le plug qui entre et qui se bloque. Je regarde mon parrain et lui dit:

— C’est tout?

Il me dit que oui mais que je ressentirai l’effet au bout de plusieurs heures. Que comme ça, ma chatte va rester toute souple et que quand je voudrai baiser, ça ne sera que du pur bonheur et que je pourrai baiser pendant des journées entières sans avoir mal. Ça, ça me plaît! Je lui demande comment je peux le remercier. Il me dit que cette nuit, il viendra dans ma chambre pour voir si ma chatte s’est assouplie.

Je me lève et je m’habille. Sensation curieuse mais pas désagréable. Je le sens à peine en moi, le plug.

Je descends au salon avec mon parrain et j’entends mes parents qui rentrent. La journée aura été très curieuse. Si j’avais su pour mon parrain, ça fait des mois que j’aurais pris plaisir à le sucer.

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Samedi 23 juin 6 23 /06 /Juin 13:34

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Depuis toujours, j’ai toujours apprécié mon oncle. Il était gentil avec moi, très affectueux. Quelques années plus tard, il m’invite chez lui pour mes 19 ans. Je ne refusai pas car je l’avais un peu perdu de vue. Il vint me chercher et nous partîmes dans sa campagne.

Sur l’autoroute, il s’arrête pour pisser et moi aussi. J’avais un petit short moulant qui me faisait un beau cul et cela n’avait pas air de le laisser indifférent. Il sortit sa grosse en me la montrant; je lui dis qu’elle était grosse. Moi je dus baisser mon short pour pisser et mettre mon cul à l’air, Quand il eut fini, il me demanda si je savais sucer et il me présenta sa queue. Depuis ses années, j’avais acquis une bonne technique. Et le cul à l’air, je l’ai sucé. Au moment de jouir, il me retourne et présente sa queue sur mon trou. Je me suis enfoncée moi-même dessus tellement j’avais envie. Il m’a enculé à fond au milieu des chiottes.

Un gars est entré. Voyant la scène, il a sorti sa queue et me l’a enfilée dans la bouche. Quel sandwich! Ils ont joui ensemble puis nous sommes repartis. Il m’a complimenté sur mon savoir faire et m’a promis de superbes vacances.

Arrivé chez lui, je partis me doucher car j’étais rempli de sperme. Il vient avec moi pour me laver et il en profite pour m’enculer encore. Une fois lavé, il me fait venir dans sa chambre. Là, je découvre tout un tas d’accessoires. Il sort un plug énorme, me retourne à quatre pattes et m’enfonce le plug dans les fesses après m’avoir bien graissé. Ce soir, nous recevons mes voisins; tu restes comme cela, ils ont l’habitude.

Je vois arriver nos voisins: une superbe femme et un noir gigantesque. Il est en djellaba et elle est habillée en porte-jarretelles, string, sans soutien-gorge - d’ailleurs, elle n’en avait pas besoin -, et un déshabillé noir transparent. Moi je fis le service avec un pantalon fendu sur le cul, on voyait le plug, et torse nu.

La soirée commença par moi. Je dus montrer mon plug à madame qui l'a retiré et m'a doigté les fesses en disant à son mari: "Il est déjà bien ouvert!" J’étais à quatre pattes devant elle. "Écarte son déshabilé!" dit son mari. Et je vois dans le string une queue superbe et très tendue: elle fait au moins 20 sur 5. Cette charmante dame est un travelo! Elle sort sa queue et me demande de la sucer. Je m’exécute avec plaisir. Pendant ce temps, mon oncle en profite pour m’enculer à fond et le mari sort sa matraque et commence à se branler. Elle est énorme! "23 sur 7!" me dit-il. "Tu vas te régaler..." Moi j’ai un peu peur mais sa femme m’enfile sa pine au fond de la gorge et jouit et mon oncle m’arrose copieusement le boyau.

Le mari étant tendu à fond propose à mon oncle de m’enculer. Sa femme prend une pommade pour me lubrifier le cul quoique avec ce que m’a mis l’oncle, je suis bien graissé! Ils m’installent sur le divan et le mari vient se placer derrière moi. Mon oncle m’ouvre les fesses au maxi et sa femme présente son gourdin au bord de mon trou. Il commence à pousser et me demande de pousser aussi sur mon cul, comme pour chier. Je sens la bite entrer en moi. Elle me remplit et soudain, il pousse plus fort et m’ouvre en deux. J'en ai le souffle coupé! Pendant ce temps, sa femme s’est placée sous moi et me suce à fond. Mon oncle la suce aussi et le mari commence son va-et-vient. Il prend son temps, il faut que je sente toute la longueur entrer en moi. Une fois à fond, il accélère la cadence. Je jouis comme une salope tellement il me défonce et enfin il se vide en moi. Quand il se retire, sa femme me suce le cul, lui vient vers ma bouche et enfonce sa queue dedans. Je suis repu! Mon oncle me dit: "Tu es si salope que demain, on t’emmène à l’étable."

Le lendemain, nous voici partis à l’étable. Il y a un âne, deux chiens et un cheval. Je suis à poil; la femme aussi, sa queue pend sur sa cuisse. Elle me pelote le cul et me dit: "Je vais t’enculer un peu avant que je ne puisse plus!" Je me penche en avant, elle m’encule d’un coup. C’est bon d’être baisé par une femme bien montée! Son mari sort sa queue et l’encule aussi. Elle est prise entre deux, elle adore; nous jouissons comme des fous.

Après la femme se met à quatre pattes et mon oncle amène les chiens. Ils ont l’habitude car il y en un qui se couche sur le dos. La femme s’empale sur cette queue toute rouge et l’autre la monte comme une chienne; elle est prise par deux chiens ensemble. Mon oncle m’amène vers l’âne et me dit: "Caresse-le un peu, il aime..." Je m’agenouille et lui prends la bite qui grandit à chaque va-et-vient puis le mari se met derrière moi et m’encule. Depuis hier, il entre d’un coup maintenant et il me décharge dans les fesses. La queue de l’âne s’allonge, la femme jouit comme une chienne avec ses animaux et moi je jouis d’être divinement enculé. Puis mon oncle me dit: "Tu vas te faire baiser par l’âne!" Je ne veux pas mais deux coups de ceinture dans la raie me persuade facilement. Lui et le mari m’installent sous l’âne et ils prennent sa queue et la présente entre mes fesses. Je me décontracte au maxi. La femme me suce et me dit: "Laisse-toi faire, c’est très bon!"

L’âne commence à bouger et son gourdin entre en moi. Heureusement que le mari avait fait le passage car l’âne s’enfonce d’un coup de 25 cm. Je veux crier mais mon oncle a enfourné sa queue dans ma bouche, résultat: je ne peux crier et l’âne s’enfonce encore. Je croyais qu’il allait m’ouvrir en deux! Il se met à limer et je commence à aimer. Il va de plus en plus vite, il va m’éclater. J’en peux plus et enfin, il se vide. Je suis rempli, je crois que cela va ressortir par ma bouche! Quand il se retire, mon cul est défoncé et très ouvert. Le sperme coule à flot, la femme me lèche le cul pour boire le sperme de l’âne. Moi je suis défoncé, remplie de sperme.

Nous rentrons à la maison prendre un peu de repos. Mon oncle me dit que demain, je m’occuperai des autres bêtes.

Nos amis restent à coucher. La femme veux que je l’encule et son mari en profite pour m’enculer aussi. Nous nous endormons comme cela.

Le lendemain, après un solide déjeuner, nous retournons à l’étable. Flore, la femme, va directement vers les chiens et se met en position. Elle aime être prise par ces deux animaux. Mon oncle caresse la queue du mari qui ne cesse de grandir. Moi, je suis à quatre pattes en train de me branler. Puis Paul, le mari, vient vers moi et il m’encule à fond. Comme mon oncle m’avait bien préparé avant, il entre dans mon cul comme dans du beurre. Il me defonce à grands coups de queue! Flore jouit sur les deux chiens et mon oncle me décharge son jus tout chaud dans la bouche.

Ils sont prêts à m’emmener vers l’étalon. Moi je rechigne un peu. Paul me prend sur ses genoux et me fesse comme un bébé. Il m’installe sous l’animal que Flore est en train de sucer. Sa queue et très longue et très grosse. J’ai un peu peur mais mon oncle me dit: "Je vais te fister un peu avec une graisse spéciale." Il me prend les fesses avec sa main, je suis étonné de voir comment mon trou s’ouvre! Il a entré toute sa main. Il me dit: "Tu es prêt pour le cheval!" Paul m’installe et Flore prend la bite du bourrin et la présente au bord de mon cul. Elle est dure et chaude, je m’avance un peu et elle entre doucement. Mon cul s’ouvre puis l’animal pousse un peu et là mes amis, je suis rempli de 20 cm et il pousse encore 10 cm; je crois qu’elle va sortir par ma bouche! Il commence un peu ses va-et-vient et mon cul s’ouvre à fond. Je jouis tellement que je ne sens pas la première giclée de son sperme puis il me remplit de son jus. Cela me fait jouir encore plus. Il ressort mon cul, relache tout le sperme englouti. Flore se précipite vers moi pour prendre cette douche et mon oncle me dit: "Tu as aimé?" Je lui fais signe que oui en me levant difficilement mais je lui ai demandé de rester chez lui plus longtemps et d'inviter les voisins qui étaient très heureux d’avoir trouvé une nouvelle pute à remplir.

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Jeudi 21 juin 4 21 /06 /Juin 12:46

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Je m'appelle Stéphane Grangé. J'ai 42 ans. Je suis avocat. Un métier prenant. Sans vouloir me vanter, je suis encore plutôt pas mal physiquement, grâce à des exercices physiques hebdomadaires. Longtemps j'ai cherché la femme idéale, Jolie, douce, intelligente, serviable, cultivée... J'ai rencontré Hélène alors que j'avais 30 ans. J'étais un jeune acharné du barreau et je donnais des cours à la fac de droit. Elle était secrétaire médicale, nous nous sommes mariés, et trois ans plus tard, nous avions un fils, Sébastien, suivi un an après de son frère Jérémie.

Nous sommes en mai 2007. Sébastien a maintenant 16 ans. Cela fait quelques mois que je commence à le regarder différemment. En effet, j’ai toujours eu des fantasmes homo que je n’ai jamais osé assouvir vraiment (à part quelques pipes par-ci par-là pendant mon adolescence) En grandissant, son physique prend une tournure très agréable: il est fin, élancé et gracieux et, depuis quelques temps et je m'en veux d'avoir sur lui ce regard de mâle en rut, mais je ne peux m'en empêcher. C'est ainsi. Sébastien à de courts cheveux châtains, de profonds yeux bleus, un petit nez droit et des lèvres joliment dessinées, un petit cul rebondi. Faire l’amour à sa mère ne m'empêche plus de bander à la vue de ce petit corps parfait.

C'est un dimanche en fin d'après-midi que je commence à deviner que mon fils est peut-être aussi salope que son père. Hélène se plaint que c'est un véritable foutoir dans la chambre de notre fils. Je me dévoue donc pour y remédier. Je grimpe les sept marches qui mènent à l'étage et entre dans la chambre de Sébastien. Il travaille à son bureau, ou fait semblant. Merde! C'est vrai que c'est un sacré bordel là-dedans! Je m'énerve, le gronde, et me saisit au hasard d'un sac à dos qui traîne au milieu de la pièce. C'est son sac de sport.

Je le retourne et en renverse le contenu sur le plancher, furieux. Sébastien est tétanisée. Je comprends vite pourquoi en voyant les fringues se répandre sur le sol. Il y a un jogging, un short, des chaussettes, mais surtout un boxer transparent noir. Je suis sur le cul et lui demande en le regardant droit dans les yeux:

— Euh, Sébastien, c'est pas ta mère qui t'a acheté ça?

Il me répond timidement, baissant la tête:

— Non papa...

— Attends... C'est toi?

— Oui, avec un copain... S'il te plaît, ne le dis pas à maman.

La seule chose qui me vient à l'esprit est "si tu savais le genre de trucs que ta mère peut porter", mais je me garde bien de lui répondre ça.

— Bon, range ta chambre, on verra...

Je quitte la pièce, lui confisquant le boxer. Putain! Mon fils est déjà aussi cochon que son père! À 16 ans, porter des sous-vêtements transparents, ça promet... Je suis abasourdi.

Deux semaines plus tard, un mardi, j'ai pris congé. C'est la fin de l'après-midi. Sébastien devrait être rentré du collège, qui est à deux pas, depuis plus d'une demi-heure. Je m'inquiète et décide d'aller le chercher en voiture. Quand j'arrive devant les grilles de l'établissement, je vois mon fils sortir d'une maison, en face de son école. Il semble avoir un air coupable. Bizarre. Je klaxonne. Il me voit et se dirige vers la voiture pour y entrer. Il me fait la bise et esquisse un sourire.

— Salut p'pa!

Alors que je l'embrasse, je sens une odeur forte familière mais que je n'arrive pas à identifier.

— Ben, qu'est-ce que tu fous? Tu devrais déjà être à la maison!

— Désolé p'pa mais je... Je donne parfois un coup de main à Mr Klinsmann, le p'tit vieux... Pour son ménage, pour ranger ses courses... Tout ça...

Je suis dubitatif. Je le connais un peu ce vieux qui habite face à l'école.

— Ah, c'est bien...

Tout en roulant vers la maison, j'arrive à identifier cette fameuse odeur. Mon fils sent en fait le foutre à plein nez... J'ai du mal à y croire mais en suis intimement persuadé. Je n'en reviens pas. Je commence à bander, excité par cette pensée insensée.

Deux jours plus tard, je sors plus tôt du boulot: il faut que je sache. Je me gare non loin du collège, de façon à avoir une vue imprenable sur la porte de sortie de la grille. À 17h, tous les mômes en sortent. Je vois mon fils se diriger directement vers la baraque de Mr Klinsmann. Il y rentre. J'attends que tous les gosses aient disparu avant de sortir de mon véhicule pour me diriger sur ses traces. Je regarde alentour, puis colle mon nez à la fenêtre du rez-de-chaussée. Des rideaux épais m'empêchent de voir quoi que ce soit. Je décide d'y aller au culot, et pose une main sur la poignée de la porte d'entrée. Elle n'est pas verrouillée. Je l'ouvre discrètement et me faufile dans le hall d'entrée sombre. Derrière une autre porte me parvient la voix rocailleuse de Georges Klinsmann:

— C'est bien ma p'tite pute, vas-y pompe bien... Comme ça, c'est ça, suce-moi bien à fond mon cochon...

Je suis en alerte. Je me demande ce qui se passe et ne peut me retenir d'entrouvrir très lentement la porte. Le spectacle que j'y découvre est insensé et sublime à la fois. Sébastien, mon fils, est agenouillé devant Georges, qui est assis dans le canapé, nu, les jambes écartées. D'où je suis, je peux admirer la scène de profil. Ils ne m'ont pas remarqué. Mon gamin est en train de tailler une pipe au vieux monsieur. C'est surréaliste. Ce petit pédé s'applique à lécher et à engouffrer la pine presque en entier. Je suis pétrifié et pris malgré moi d'une gaule d'enfer. D'une main, Georges le saisit par les cheveux, le forçant à le sucer au maximum.

— Allez petit con, suce! Suce bien tonton Georges si tu veux ton fric, salope. SUCE! SUCE! Mieux que ça, suce salope!

Hypnotisé, sur le cul, je regarde mon fils si angélique s'appliquer à avaler la tige du vieillard laid et bedonnant. Il a vraiment l'air de savoir s'y prendre ce petit gigolo! Soudain, l'homme pousse un grognement et se cambre.

— Avale... Oui c'est ça, oui, avale... Bien... Tout...

Je culpabilise de bander ainsi comme un âne, mais reste là, regardant Sébastien aspirer le jus de Klinsmann. N'importe qui de sain d'esprit lui aurait sauté à la gorge.

Je m'esquive avant d'être vu, pour rentrer à la maison avant mon fils. Ainsi mon gosse suce des queues pour du fric. Incroyable! Je ne sais trop que penser.

Quand le soir, je fais l’amour à Hélène, mes doigts agrippés à ses cuisses, c'est au petit cul serré de mon fils que je pense. Après l'avoir fait gueuler et avoir craché la purée dans sa chatte, je me lève pour aller pisser. Une drôle d'odeur passe sous la porte de la chambre de mon fils. Une odeur de cannabis. De mieux en mieux! Un plan prend forme dans ma tête. Ça me refait bander et quand je reviens des chiottes je ne peux m'empêcher de remettre le couvert avec ma femme. Sébastien sera bientôt mien...

Chapitre 2: La confirmation

La semaine suivante, je m'accorde à nouveau une demi-journée. En milieu d'après-midi, je me rends chez Georges Klinsmann. Je ne vais pas y aller par quatre chemins. Je sonne. Le petit vieux m'ouvre et me fait un sourire convivial.

— Ah, Mr Grangé! Que me vaut le plaisir? Ça fait longtemps!

Il cache bien son jeu le salaud!

— Oui, ça fait un bail.

Je lui serre la main, lui retournant son sourire, et lui demande:

— Je ne vous dérange pas j'espère? Je peux entrer une minute? J'aurais voulu vous parler de deux ou trois petites choses...

— Mais bien sûr, faites!

Je le suis jusqu'au salon et il me propose une tasse de café que j'accepte, avant de nous installer dans son canapé. L'endroit est austère, vieillot, un peu oppressant. J'entre tout de suite dans le vif du sujet:

— Alors Mr Klinsmann. Mon fils m'a dit qu'il venait vous donner un coup de main de temps à autre?

— Oui, oui...

Il semble hésiter puis reprend:

— C'est vraiment gentil de sa part. Il est vraiment... Adorable!

Il a l'air soudainement mal-à-l'aise. J'enchaîne immédiatement:

— Hmm. Et... Sa bouche? Elle est adorable aussi, sa petite bouche?

Là, son visage se décompose totalement.

— Euh, comment ça. Je... Je ne comprends pas...

— Écoutez Georges, je peux vous appeler Georges? Je sais tout. J'ai tout vu. Alors ne me prenez pas pour un con! J'ai tout vu la semaine dernière, ici même. J'étais là quand Sébastien est venu vous sucer la queue mon vieux!

J'éclate de rire. Georges est tout rouge.

— Que... Que voulez-vous. De l'argent? Me dénoncer? Ce n'est pas moi qui ai commencé c'est lui...

Je lui pose une main amicale sur l'épaule. Il est ridicule. Un vrai gamin.

— Non Georges... Détendez-vous! Je crois qu'on s'est mal compris. Je commence à connaître mon fils. Il est aussi salope que son cher père et le fait qu'il vous ait provoqué, je n'en doute pas. Ce que je veux, c'est lui apprendre la vie...

L'homme ne dit plus rien. Je continue:

— Ce soir, avant la sortie de l'école, je viendrai chez vous ok? Et on se le fera tous les deux! Ça vous va? Georges? Alors?

Il se remet à sourire:

— Vous voulez euh... Réellement... faire ça?

— Plutôt deux fois qu'une mon vieux. Si ce garçon est pédé, alors il va en profiter! Et nous aussi!

En fin d'après-midi, je suis chez Georges, planqué dans la cuisine. Peut-être ne viendra-t-il pas. J'espère bien qu'il viendra. Je bande sévère! Puis, enfin, on sonne. J'entends la voix de mon fils. Mon voeu est exaucé.

— Bonjour Georges...

— Salut petite pute... Tu viens chercher ton fric? Petite tapette!

Le vieux se lâche, comme je lui ai demandé. J'entends Sébastien se marrer.

— Allez, perds pas de temps, on a pas que ça à foutre. Viens donc pomper papy Georges.

J'attends quelques minutes pendant que j'entends que mon fils s'active sous les instructions et les insultes du vieux. Puis j'ouvre doucement la porte et tombe sur une vision de paradis. Mon petit cochon de fils est dos à moi, à genoux. Il a enlevé son pantalon. Il porte un marcel blanc et un boxer moulant. Je vois sa tête se lever et se baisser sur l'entrejambe de Klinsmann qui le tient fermement par les cheveux. À ma vue, Klinsmann se désinhibe:

— Allez, maintenant branle-moi salope. Avec les deux mains. Et dis-moi des cochonneries. Dis-moi que t'es qu'une petite pute!

— Hmm que votre bite est si belle! Et si bonne, je suis la petite salope de Georges. Une vraie petite salope.

— Nan! T'es une GROSSE salope. DIS-LE!

— Je suis VOTRE grosse salope, Mr Klinsmann. Oui c'est ça... Ça vous plaît?

— Tais-toi maintenant et suce.

Tout cela dépasse mon imagination. Si j'avais su, je lui aurais cassé le cul depuis des lustres! Il est temps qu'il sache que je suis là. Je m'approche juste derrière lui et me racle la gorge. L'effet est immédiat. Il se retourne et me voit. Il pousse un cri et saute sur ses pieds. Puis il va se réfugier dans le coin opposé de la pièce. Il se met à pleurer à chaudes larmes. Entre les sanglots, je l'entends se justifier sans que je ne lui aie rien demandé.

— Papa, c'est pas ce que tu crois... C'est lui et... J'ai besoin d'argent, je... Pardon... Je suis si désolé... Mais qu'est-ce-que tu fais là, je... Mince... Non... Pardon... Pardon...

Tout ceci est très confus. Ça m'énerve et je l'interromps:

— Ça suffit!

Je m'approche de lui d’un air menaçant. Il se met à genoux devant moi, s'accroche à mon pantalon, m'implore.

— Pardon, pardon, pardon... Tu le diras pas à maman? Hein, tu le diras pas?

Je le relève et lui ordonne d'aller s'asseoir à côté de Georges qui a toujours une fière érection. Je m'assois lentement dans le fauteuil en face, allumant une clope, prenant tout mon temps.

— Alors comme ça tu es un petit suceur de queues? Bien réponds! Assume!

— Mais papa, c'est lui... Je...

— Réponds! C'est ce que tu veux être? Un suceur, pour du fric? Une pute?

— Non je le referai plus! C'est promis!

— Oh que si tu vas le refaire, et tout de suite! Sinon ta mère le saura. Tout le monde le saura.

Il se met à chialer de plus belle.

— Non papa, je t'en supplie... Je comprends plus rien...

— Cherche pas à comprendre. Vas-y, pompe Klinsmann ou je te balance!

Je jette un coup d'oeil au vieux qui me comprend. Il met sa main derrière la nuque de Sébastien pour le forcer à se pencher sur sa bite pourpre. Je le sens décontenancé par la tournure des événements, il hésite.

— Suce-le, il ne demande que ça! Allez, sois gentil avec ce cher Georges...

Il sèche ses larmes, rassuré, et obéit: je le vois engouffrer la bite de Georges. Merde je vais craquer mon pantalon. Je défais ma ceinture et baisse mon froc:

— Il n’y a pas de raison pour que ce soit toujours les mêmes qui en profitent, finalement.

Je me mets tout près de lui, debout. Je le prends doucement par la nuque et approche son visage de ma verge.

— Maintenant pompe-moi.

Ses yeux, surpris, me dévisagent:

— Non! Pas ça papa, pas toi. Je ferai tout ce que tu voudras.

— Ben justement, c'est ça que je veux. Suce-moi, s’il te plaît.

Il sort sa langue, timidement, lèche le bout de mon gland qui n’a jamais été aussi énorme, puis, finalement me prend en bouche tout entier pendant que Georges lui pince les tétons.

— Voilàààà... Sage, c'est bien. Tu vois comme tu peux être gentil avec ton papa. Oui, c’est ça, fais-lui du bien...

Je le regarde droit dans les yeux. J'y décerne de l’excitation, du désir. Je continue à lui parler:

— T'inquiète pas, je ne te laisserai plus gâcher tes talents. Tu suces comme un dieu, mon garçon. À partir d'aujourd'hui, je vais faire de toi mon vide-couille. Ça te choque? Tu vas t'habituer à mon langage un peu cru. Et puis je vois que cela t’excite: tu bandes dur, mon petit, je suis fier de toi. Bon, maintenant tu vas resucer ce bon vieux Klinsmann.

Quand je sors ma grosse queue de sa petite bouche dégoulinante de bave, mon gamin obéit immédiatement, ivre de désir et s'empare du membre de Georges. On sent en lui une faim insatiable de bite. Je m'astique le manche tout en le regardant faire. C'est qu'il a l'air de s'y connaître petit gigolo.

— T'es un vrai pro ma salope! Georges, faites-moi une place sur la canapé, je vais m'occuper de son cul.

— Bien sûr, d’autant plus qu’il adore ça: regarde-le se tortiller du croupion.

Je lui enlève son boxer et me met derrière lui, en position levrette. J'écarte ses cuisses et d'une main palpe son joli fessier musclé. Georges le force à nouveau à le sucer. Je glisse un doigt sur son petit trou. Mince, mais c’est qu’il est impatient, le cochon! Je lui lèche le trou qui est doucement parfumé, pour le lubrifier. Des deux mains, je lui écarte les fesses et vient frotter mon gland contre son cul. Je dois forcer un peu, ce qui le fait couiner. Puis j'arrive à le pénétrer et en à peine trois coups de reins, me voilà bien au fond. Il n'est plus puceau de ce côté-là, c'est clair! Mais je pensais qu'il serait plus étroit. Il a déjà dû en voir des tiges!

Dans un pur moment de merveille, je commence à baiser mon propre fils tandis que Georges se fait gober les couilles. Progressivement, je me fais plus brutal et à mon grand plaisir Sébastien se met à bouger son bassin et à remuer du cul de façon plus en plus salope. Je sens qu'il est à deux doigts de la jouissance; il n’ose pas se branler de peur de venir trop vite.

— Ma parole, c'est que t'aime ça ma salope!

Mes coups de boutoir le liment sauvagement et je l'entends qui commence à gémir.

— Georges. Il aime ça cette pute! Wouaaah! Saaaloooope!

Je suis sur le cul quand j'entends Sébastien se mettre à réclamer:

— Oui papa. Oui... C'est bon... Continue... Oui continue... Comme ça... C'est bon... PLUS FORT! Oui baise-moi!

Je n'en peux plus et quelques secondes plus tard, je me vide les couilles dans ses intestins pendant que Klinsmann repeint la gueule de mon gamin de son jus de burnes...

 

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