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fan de histoires de mec

Jeudi 14 novembre 4 14 /11 /Nov 17:21

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J'ai 19 ans j'habite à Paris dans le 13ème, un soir en sortant de chez mon mec je prends le métro pour rentrer me coucher. Dans le wagon je repère un beau beur en survet‚ bien musclé, rasé, je décide donc de m'asseoir en face de lui alors que le métro est complètement vide.

Il me regarde de haut en bas, je lui souris, un vrai sourire de mec en manque de queue.

Après trois stations sans arrêter de le regarder discrètement le mec se met bien en face de moi écarte les jambes et pose sa main tout prêt de sa bite, il se caresse les boules du bout des doigts.

Je ne peux pas enlever mon regards de sa queue, je vois qu'il commence a bander, il a l'air dans cacher une belle sous son jogging. Il se retourne pour vérifier qu'il n'y a personne dans le wagon, il me regarde et me dit « t'as envie de la têter avoue », je ne répond pas mais mon regard en dit long. Il me dit qu'il descend dans deux stations et me dit de le suivre en laissant de la distance entre nous deux.

Il sort, je le suis, après plusieurs minutes de marche je me demande si j'ai eu raison de le suivre, mais c'est trop tard je suis trop excité et devant une bonne bite je ne sais pas dire non. Il rentre dans un parking souterrain, je rentre, je ne le vois plus, il fait très sombre, j'avance encore, il est juste derrière moi adossé au mur avec deux autres mecs, un autre rebeu et un noir, casquettes, baskets, un en jean et l'autre en jogging, il leur dit « alors comment vous la trouvé la salope cette fois ? », les deux autres rigolent. Celui qui m'a fait venir ici se caresse la bite, je m'approche sans vraiment savoir pourquoi je ne pars pas en courant. Arrivé à son niveau il m'appui violemment sur la tête, je me retrouve a genoux au sol, la tête devant son sexe. Il me colle la tête sur son survet‚, je lui baisse, prend sa bite en main, il me la met de force dans la bouche, j'adore ça, je commence a faire des vas et viens, le renoi sort sa queue et commence a se branler, l'autre s'est

mis derrière moi je ne vois pas ce qu'il fait. Je prend la bite du noir pour le branler en même temps, celui de derrière m'enlève mon sweat, il me met debout et en quelque secondes je me retrouve à poil dans un parking avec trois lascars autour de moi. Le rebeu de derrière me penche en avant tout en gardant mon cul à hauteur de sa queue, les autres me mettent leur deux queues dans la bouche et en même temps le troisième fout une capote et commence a rentrer sa queue dans mon cul, ça me fait mal, il force je gémis mais ne peux rien faire d'autre avec deux gros morceaux comme ça dans la bouche c'est impossible. Il est entièrement rentré il fait des vas et viens, je sent ces boules taper contre mon cul. Je gémis, de plaisir cette fois, ils ressortent leurs bites, j'en prend une dans chaque main et les suce a tour de rôle, le renoi me fait des gorges profondes en tenant fermement ma tête. Les vas et viens dans mon cul s'accélèrent, il me tape les fesses et m'insulte, «t'aime ça salle pute », « t'en veux d'autres salope ». Les vas et viens deviennent si violent que je ne peux même pas gardé une bite en bouche, jusqu'au moment où il garde mon boule collé à lui en émettant de gros râles. Mes jambes ne tiennent plus, je me retrouve de nouveau à genou à terre, le noir frappe sa bite sur ma joue et me lance, « crois pas que c'est fini, on va tous te passer dessus, pendant que je me vide tu nettoies bien la bite de mon pote et tu continu de t'occuper de Fouad ». Il se met derrière moi, fout lui aussi une capote, lève mon cul et entre sa queue, elle est plus grosse, ça force un peu mais pas longtemps cette fois. Après le noir accélère le rythme, je prend tellement mon pied que je jouis sans même me toucher. Je sens que le noir va jouir pendant que je continue de sucer ses deux potes.. Les boules de Fouad me tapent contre le menton, il se met à gémir, sort sa bite et me crache trois gros jets de sperme sur la joue. En moins d'une minute ils ont remonté leurs pantalons et sont en train de partir sans même se retourner. En partant j'entend Fouad dire, « vous voyez que je suis capable de trouver des bonnes salopes ».

Moi je me dépêche de m'essuyer avec mon boxer et de me rhabiller et je reprends le métro en sens inverse pour rentrer chez moi. Je m'endors aussitôt mais malgré ma fatigue je rêve déjà de les recroiser.

 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Jeudi 14 novembre 4 14 /11 /Nov 12:10

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« Salut moi rebeu ttbm actif cho. Envie de t'en prendre plein la chatte ?»

Moi : "Oui grave cho, j'ai besoin d'un vrai mâle qui me lope à fond. Suis super cho".

 

Je lui donne mon adresse et 5 min plus tard le voilà qui débarque.

Le fantasme absolu ! Une tête de tueur comme je les aime, un look lascard qui me fait kiffer grave.

 

Et là, ça commence fort : « A 4 pattes chienne. A oilpé ! A mes pieds ». Je m'exécute. Je bande déjà comme un âne.

 

Il me saisit la tête, m'ouvre la bouche et me balance un molard bien crade. Je mouille.

Il sort son zob, putain déjà 15 cm au moins au repos. Et là, il fait le tour autour de moi. Se place au dessus de mon cul et commence à me pisser à la raie. J'écarte mes fesses avec mes mains pour bien sentir son jet. Je me retourne et il finit de pisser dans ma bouche.

 

Il me demande une bière, je lui apporte. Me remet à 4 pattes. Lui sur mon canapé, me dit de venir et de le téter. Je m'approche et commence à gober sa putain de queue. Elle est trop bonne ! Super longue, un vrai braquemard !

 

Je m'active, il gémit de plaisir. Il me fout des baffes, me molarde la gueule et me traite de pure lope prête à tout. Cela m'excite encore plus.

 

Il me retourne violemment, met une capote et quasi à sec m'encule. Je mouillais tellement que ça rentre finalement plutôt vite. Il se déchaîne dans mon cul, frappe mes fesses, me donne des coups de rein qui me font hurler de plaisir et de douleur en même temps. Un vrai mâle comme je les aime !!! 10 minutes de bourrage et il se retire.

 

Sur le sol, il me dit de me mettre sur le dos prêt à recevoir son yop. Il me balance mon polo Ralph que je portais tout à l'heure, me demande de le remettre. Là, il se branle au-dessus de moi, en me donnant ses pieds à lécher. Il m'étouffe quasiment mais je bande encore plus fort.

Au bout de quelques minutes, il lâche la purée sur mon visage et en me salissant aussi le polo. Il vide le reste de la bière sur moi et il me plante là, en se rhabillant puis claque la porte.

 

Je me retrouve au milieu de mon salon, trempé de bière, le cul défoncé et le visage couvert de sperme. Je me branle et en bout de quelques secondes tellement je suis excité je lâche des jets de foutre sur mon polo.

 

Putain, quand il veut lui!

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Mercredi 13 novembre 3 13 /11 /Nov 17:16

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Cela c’est passé la semaine dernière, un coup de fil, je réponds, c’est un keum a qui j’ai donné mon numéro de tel sur un chat, qui habite pas très loin de chez moi, il me demande si je suis dispo, ma réponse est affirmative malgré le désordre qu’il règne à l’appart. Depuis le départ de mon ex, je me réappropries l’appart, alors un peu de désordre entre les objets que je souhaite garder et ceux que je virer, bref le sujet n’est pas là. Faut que je me prépare, il veut que je porte le jean’s que j’ai sur mon profil , torse nu, tn’s aux pieds, avec cagoule, celle qui n’a pas de trous aux nivo des yeux, en bon bâtard j’obéis.

 

La porte doit être ouverte, c fait. Bon ca commence mal il arrive, et je n’ai pas encore enfilé la cagoule, avec le désordre j’ai eue un peu de mal à retrouver tout le matos, donc j’enfile vite fait la cagoule en baisant les yeux, partagé kan mm entre l’envie de le maté , et l’envie de ne pas désobéir, il me bloque contre lui, je dois lui dit que je suis un bâtard, que je vais obéir et être docile, je m’allonge au sol, il me monte dessus, me piétine sans scrupule, et je kiffe grave, je lui bouffe ses tn’s, humm bon gouts, il me dit de ne pas oublier les semell, « no blm, je l’aurais fait kan mm , car je kiffe trop avoir une paire de skets de tn’s sur ma gueule», je gémis un peu, mais suis partagé entre l’envie de réclamer plus et celle de fermer ma gueule de bâtard, je ne sais pas trop ce kil veut.

 

Je me prends quelques bonnes baffes , j’ai envie de lui dire de claquer plus fort, de lui faire plaisirs, mais comme j’ai pas de réelle consigne je ne sais comme agir, ca me bloque en mm temps et j’ai envie de lui faire plaisirs, je sens qu’il bande quand il se colle a moi, « humm belle teub », au bout d’un petit moment de trampling, il décide de me faire me placer sur le lit, les genoux au sol, il se colle a nouvo contre moi, cette foi-ci sa teub est a l’extérieur , il me la calle dans la raie , vu kil a ouvert mon pantalon, il se déplace me demande de le pomper, j’obéis, je me régale avec sa teub, j’ai un peu de mal a le pomper , « lui il veux aller bien au fond ,alors que mon ex détesté, c dur de perdre certaines habitudes, je fais de mon mieux pour tourner la page, mais par moment c’est dur », retour sur le lit, il me remets quelques bonnes baffes, parfois je vois presque les étoiles, je kiffe, il m’étrangle par moment , un réel kiffe, il demande un god, je lui donne, mais suis un peu refermer, il a dut mal a rentrer et je suis kan mm tendu, j’ai un peu de mal a me détendre, a me donner comme il faut, ! surtout kan c la 1er foi avec un keum que je reçois chez moi,! j’ai toujours peur et en mm cela m’excite, dur de faire confiance au premier venu,, bon il arrive kan mm a me prendre , il me lime , vraiment bon mâle, un réel kiffe mec , merci « la encore je suis partagé entre les gémissements, lui demander de pilonner a donf, fermer ma gueule », il jouit , je lui nettoie la teub, pose un dernier baizer à ses tn’s, et il s’en vat : à plus bâtard, reste scred et on se revoie

 

A travers les mailles de la cagoule j’ai put apercevoir sa silhouette, belle casquette Nike rivée sur le crane, belle gueule de rebeus avec un petit collier de poils barbe(comme je kiffe) 25/26 ans,il porte un bomber’s vert et un fut marine Umbro, il est sec mais musclé (a voir sa force quand il me foutait des baffes) plus petit que moi, , mais cela je m’en moque , j’ai grave kiffé recevoir sa teub en moi, et me trouvé placé sous ses semell, (j’adore me faire trampler, suis bon tramplee, endurant et résistant , mm tête, mm quand on saute ou chauffe ma viande jusqu\'à ce que le sang perle)

 

Si tu lis ce message/histoire, il est pour toi, je ne sais mm pas ton prénom, si tu veux revenir la porte te reste ouverte à toutes heures, appel et je me mets à dispo, je te demande juste d’être plus directif , de te faire plaisirs ,de donner tes ordres, de me dire ce que tu attends, ne t’occupe pas de moi, je ne suis qu’un bâtard now et je suis à ta dispo, au fait j’ai reçu un peu de matos, du style spéculum, liens et attaches divers, demain matin je passe chez brico pour racheter des chaines afin de les fixer au lit et ne te gène pas pour claquer, me faire voir les étoiles, je veux ton plaisir et ta semence sera ma récompense, mm ta pisse bien sûr voila tout est dit Il faut que je tourne la page d’avec mon ex, je me dois de vivre, de réapprendre à vivre

 

Voudras tu m’y aider ? Je ne te demande pas de vivre avec moi, juste de m’aider à évoluer et me reconstruire un peu grâce à toi Voilà tout est dit, enfin écris …..

LE BÂTARD LOP DEFOULOIR

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Mercredi 13 novembre 3 13 /11 /Nov 12:01

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L'été dernier, y a ma cousine du Sud qui m'a invité à passer une semaine chez elle. C'était le bon plan, j'avais envie de bouger de Panam. Besoin de soleil, de chaleur, de plage et de mater des bogoss à moitié à poil. En plus, dans le Sud en été, t'es sûr de trouver des bogoss chauds et toujours prêts à baiser.

 

Arrivé chez elle, elle me présente son nouveau mec : Karim, un tismé de 26 piges. 1m85, sportif, belle gueule... Une vraie salope ma cousine. Elle se tape toujours des canons. Dès le premier soir, pendant que j'étais ma chambre, je les ai entendu baiser. J'entendais ma cousine gémir. Elle arrivait même pas à se retenir tellement il devait bien la cartonner. Je rêvais trop d'être à la place de cette salope.

 

J'ai direct baissé mon boxer, sorti ma queue déjà bien raide, et je me suis branlé en me caressant le cul, en pensant à la bite de Karim en train de me baiser le p'tit trou. Le lendemain on part à la plage tous les trois. On passe une super bonne journée. Il faisait grave chaud, et moi j'en pouvais plus de regarder son bogoss de mec. Il avait un p'tit short noir. A chaque fois qu'il sortait de l'eau, le short collait à sa peau et faisait ressortir son zgueg. Ça m'excitait grave.

 

Un moment, on s'est retrouvé tout seul tous les deux. Il était assis en face de moi, les jambes écartées comme un bonhomme. Pendant qu'il me parlait, je pouvais pas m'empêcher de regarder vers sa bite. Et putain, je voyais le bout de son gland, sa bite de métis au repos, posé le long de sa cuisse. Le salop, il avait l'air d'avoir un sacré morceau ! Je commençais à bander et j'écoutais même plus ce qu'il me disait. A ce moment là, j'avais juste envie de me mettre à quatre pattes entre ses cuisses, et de glisser ma langue sous son short. En plus, j'en suis presque sûr qu'il m'a grillé en train de le mater. Mais ça avait l'air de lui plaire. On dirait même qu'il me chauffait.

 

Fin d'aprem, en rentrant, ma cousine prend sa douche en premier. Elle vient me voir dans la chambre, me dis que la douche est libre, et qu'elle doit filer au supermarché pour acheter la bouffe pour ce soir. Je me fous à poil direct, j'attrape une serviette que j'mets autour de la taille, et je pense déjà à la branlette de ouf que je vais me taper en repensant à la bonne teub de son mec. J'arrive devant la salle de bain, je pousse la porte, et là, je reste bloqué. Karim était debout dans la baignoire, de dos, en train de se passer le gel douche. Il avait un dos lisse, des épaules carrées de sportif, un cul ferme et bien bombé... Putain, j'ai eu la gaule direct ! Il a même pas grillé de suite que j'étais là. Et moi je suis resté scotché tellement il me faisait bander. Au bout de quelques secondes il tourne la tête, me regarde, et me dis comme si tout était normal : « Ah, t'es là. ». Il se retourne face à moi, fini de se rincer, et me dit « t'inquiète, j'te laisse la place, j'ai presque fini. »

 

Moi j'arrive toujours pas à parler. Je vois maintenant sa bite énorme. Encore plus grosse que ce que je pensais. Je sens ma queue qui bande dure et je sais plus ce que je dois faire. Il finit par éteindre l'eau et il me dit avec un sourire : « ben tiens, puisque t'es à côté, passe moi la serviette s'te plait ». Ça s'voit ! que le gars a aucun complexe. Pour lui, on est comme dans les douches de sa salle de sport. On est deux mecs, et y a pas de mal à se voir à poil entre potes. Mais en même temps, je sens bien qu'il a compris que je le regarde pas sans intérêt. Il a l'air d'en jouer.

 

J'attrape une serviette et lui donne. Il s'essuie un peu partout, et au lieu de se couvrir, il l'a pose sur ses épaules. Il se met debout devant moi, sa bite énorme bien avant, et me dit « c'est bon. Tu peux y aller ».

 

J'ose pas enlever ma serviette, je bande trop, et je sais pas comment il va réagir. Je passe sur le côté. Au passage je sens sa bite frotter sur ma jambe. Ça me fait bander encore plus fort. Je suis maintenant dos à lui et j'enlève ma serviette. Lui, il me lâche pas du regard. Je vais pour monter dans la baignoire, et en voyant ma bite toute raide, il dit « hé bein mon salop. T'as l'air bien chaud ». Je le regarde et lui sourit. Je sais pas quoi répondre. Du coup, je me remets dos à lui, je grimpe dans la douche et allume l'eau. Il me matte de partout, et en voyant mon cul, il me dis « Hé, mais t'as un beau p'tit cul cambré toi... C'est bon ça. », avec un grand sourire. Trop chaud, je lui répond avec un ptit sourire : « t'aimes ? Ben vas-y, fais toi plaisir », en lui tendant bien ma croupe.

 

C'est parti d'un coup. Il commence à me caresser mon p'tit cul de blanc d'une seule main. Je sens sa main qui tâte bien mon boul, ses doigts qui se ballade autour de mon trou. J'ai trop le cul en feu. Il commence à me doigter doucement. Et avec l'eau de la douche qui me coule dessus, ça glisse tout seul. Il commence à me doigter la chatte et moi je cambre bien mon cul vers lui. Il me dit « ah mon bonhomme, je sens que t'aimes ça. Ça te plairais que j'te fasse gueuler comme ta cousine ? ».

 

Là il prend mon cul à deux mains, il écarte bien ma fente, et il glisse direct sa langue sur mon trou. Putain, je sens sa langue humide me fouiller l'anus, il en train de me bouffer le cul comme un cochon, et moi je commence à gémir. J'ai la gueule plaquée contre le mur, et le cul collé sur sa bouche. Sa langue rappe bien sur mon trou, il est en train de se régaler, et moi je sens que je suis en train de devenir sa femelle. Là, il m'attrape par l'épaule, me retourne vers lui, et me fais comprendre que c! 'est à mon tour de le faire kiffer. Il appuie sur ma tête j! usqu'à me mettre face à son zob. Il tient ma tête des deux mains, enfourne sa teub à moitié bandante dans ma bouche, et commence à faire des va-et-viens. Il me nique la gueule et c'est trop bon. J'attendais ça depuis la veille. Je me régale de sa bite maintenant bien dure. Très vite j'attrape la base de sa bite et lui taille la meilleure des pipes. Il sent que je suis prêt à le faire kiffer jusqu'au bout, et que maintenant, je suis tout à lui.

 

Je salive bien sur sa grosse queue, passe ma langue jusqu'aux couilles, tout en lui jetant des petits regards de chiennes affamée. Il tape sa bite sa ma joue, sur ma gueule, et je sors la langue pour lui dire que je la veux encore dans la bouche. Je passe ma langue sur son gland, le suce en fond de gorge. Je lui montre que j'en veux. Que je suis chaud, et que je suis tout à lui. En même temps je me doigte le cul. J'ai trop envie qu'il vienne entre mes reins. En voyant ça, il m'attrape encore par l'épaule, me relève et me retourne. Il me pousse contre le mur et rentre dans la baignoire avec moi. Je sens le bout de son gland qui caresse l'entrée de ma chatte. Il commence à me doigter avec son gland. Il le frotte devant mon trou, le fais rentrer doucement et le ressort. Je sens qu'il prend son temps. Qu'il veut bien préparer le cul de son passif avant de le démonter. Et plus il me fait languir, plus mon cul en demande. Son ventre est collé à mon dos, sa tête posée mon oreille. Il me mordille l'oreille et me répète doucement « je vais bien te faire gueuler ma pute ». Je tourne ma tête et lui mange la bouche. Pendant qu'on se roule de grosses pelles, je sens sa bite rentrer en moi. Je commence à gémir de plus en plus fort. Il se met alors debout, bien droit derrière moi, et me culbute comme si j'étais sa femme.

 

A chaque coups de reins, je sens ses couilles taper sur mon cul. C'est trop bon. Il m'attrape par l'arrière des cuisses et me relève. Il me baise en levrette. Moi je gémit comme une pute en chaleur, et il me gueule « tu la voulais ma bite hein ! Tu l'as bien matée aujourd'hui à la plage hein ! », et là il me baise encore plus fort.

 

Finalement, il me fous à quatre pattes et recommence les va-et-vient. Moi j'en veux encore plus! et je bouge aussi d'avant en arrière avec sa bite dans mon cul. Il dit « ouais, c'est bien comme ça ma pute. Fais toi plaisir. Taille une bonne pipe à ma queue avec ton p'tit cul ». Je sens qu'il kiffe me faire l'amour, et ça me fais kiffer. Je me retourne sur le dos, l'attrape, et lui dis de me baiser encore. Face à moi, il continue à me pilonner le cul, tout en me roulant de grosses pelles. J'ai les jambes bien écartées, et j'agrippe son cul bombé pour le faire bien rentrer au plus profond de moi. J'ai la sauce qui commence à monter, et je sens que lui aussi va bientôt jouir. Il continue encore ses coups de reins, puis sort toute sa longue queue qu'il avait enfoui dans mon trou. Son jus va bientôt sortir. Il se branle fort, son gland posé sur mes couilles. Là, il commence à gémir, il pose sa main puissante sur mon torse, s'avance avec la bite en avant et envoie tout son jus sur mon ventre en gueulant de plaisir.

 

A la vue de sa longue bite crachant tout ce sperme, je me branle encore plus fort, et je jouis deux secondes après lui. Il se laisse tomber sur moi en respirant fort. Une minute plus tard, une fois qu'on a bien repris nos esprits. On se regarde, on rigole, et on prend notre douche ensemble pour être clean avant le retour de la cousine.

 

Pendant la semaine, on a réussi à s'éclipser deux ou trois fois en faisant croire à sa meuf qu'on allait au sport. J'ai pu lui tailler quelques bonnes pipes, et il m'a baiser encore une fois en extérieur. Mais tout ça je le raconterai une autre fois...

 

Un mois plus tard, j'ai ma cousine au téléphone. Elle me dit que c'est fini avec Karim, et que maintenant elle sort avec Walid, un Algérien.

Elle m'envoie une photo de lui par texto. Un putain de bogoss ! C'est vraiment une salope, ma cousine.

 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Mercredi 13 novembre 3 13 /11 /Nov 09:28

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Salut je suis passif bien Cho et je kif pardessus tout sucer des rebeu bien chaud et Domi. Je fais 175 96 brun yx marr et je suis un bon vide couilles. Hier vers 23h je trainais sur un chat et je suis tombé sur mon boss favoris un Beau rebeu 178 80 brun yx marron viril et une bonne queue de 17.8 à sucer sous ordres et insultes. Je lui envoi un message. Salut ça va tu cherche une bouche pour ce soir et il me répond yep pourquoi pas. Il m\'envoi son adresse car il a déjà mon tél et le rdv est pris. Me voilà partis en caisse avec une barre de ouf dans le pantalon tellement je kif son zob. J\'arrive chez lui. Salut mets toi à genou de suite et comment à me lécher à travers mon boxer lope. Je m\'applique comme un ouf et je kif se mélange d\'odeur de bite, de sepi et de mal en rut. Je lui lèche tellement le boxeur que je fini par toucher son gland car il bandait super dur. je commence à le sucer par l\'ouverture du boxer au niveau de la jambe. et là il me retire de sa teub en me tirant pas les cheveux et se faut à oilp. Et la il me lime la bouche comme un ouf un coup à genoux un coup à 4 pattes et lui allonger un coup assis et lui debout entrain de limer. Entre deux il me fait bouffer ses couilles, léchage intensif et il m\'enfonce le nez au milieu de ses couilles pour que je sente bien son odeur et il met des coups de bite sur le visage et étale sa mouille sur mon visage. Après une bonne heure de suce intensive il m\'attrape les cheveux me lime la bouche et jute tout sur mon visage. Une fois vidé il bande toujours dur truc de ouf il me file un verre d\'eau et me dégage dehors trop bon j\'ai grave kiffer et je suis rentré chez moi me branler devant la pic de sa grosse teub. Humm j\'espère que l\'on va remettre ça bientôt et qu\'il me baisera. à suivre

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Mardi 12 novembre 2 12 /11 /Nov 17:24

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Salut, moi c'est Ben, j'ai bien envie de vous raconter un bon plan qui m'est arrivé il y a deux semaines. Depuis que j'ai découvert que je kiffe les mecs, je traîne pas mal sur le net pour trouver des rencontres. En bon passif un peu chienne, j'ai un faible pour les blacks et les arabes, toujours des bonnes queues bien viriles à prendre...

 

Djibrill, c'est un beau black que j'ai croisé sur Beuronline. 1m85, belle gueule, un corps super bien taillé, et surtout une bite qui me rendait fou, rien qu'en photo... après quelques plans cam où je donnais tout pour bien le chauffer, il m'a donné rendez vous chez lui : "Nu sous un survet, et tshirt moulant en haut, ma pute. Les ptits céfrans comme toi, j'aime quand ils sont bien dressés. Ok?" "Ok, boss". Bizarre de me balader dans la rue sapé comme ça, mais je suis chaud et j'ai envie qu'il kiffe, alors... j'arrive en bas de chez lui, il m'accueille avec une poignée de main bien franche. "J'adore ta tenue, mec". Il me fait rentrer, ascenseur jusqu'au 5ème; il en profite pour palper mon cul à travers mon survet : "Rien dessous, c'est bien ma pute, t'obéis bien". Je flippe que quelqu'un monte et voie la bosse de ma queue qui commence à gonfler sous les caresses de mon boss Djibrill, mais heureusement personne. "Putain, tu commences déjà à me chauffer, boss..." "T'inquiète ma pute, tu vas kiffer la suite".

 

Mon colosse black me fait entrer chez lui, il me dit de rester debout et va se servir un verre d'eau. Quand il revient, il me fait tourner sur moi même, pour qu'il puisse me mater sous tous les angles. Une fois dos à lui, il attaque sérieusement. Je sens ses bras musclés passer autour de ma taille, une main qui glisse dans mon dos et vient sous mon survet palper mes fesses, l'autre qui monte le long de mon torse pour venir travailler mes tétons. Il me dit dans l'oreille : "Je kiffe tes seins, ma petite femelle. T'aimes ça?". J'ai l'impression d'être comme un objet sous ses mains et je me laisse faire. Il laisse mes fesses et empoigne ma queue déjà raide, je sens la sienne qui durcit et se frotte à mon cul, elle a l'air énorme... Soudain il s'arrête, me tourne face à lui en m'enlevant mon tshirt. Lui aussi se met torse nu : "A genoux, ma chienne". J'obéis et me retrouve face à son énorme morceau qu'il a sorti de son jean. "Suce, maintenant".

 

Je goûte son gland de mes lèvres, puis j'enfourne sa queue dans ma bouche, en me disant qu'elle va me la défoncer... Il a du estimer que c'était pas assez, et me l'enfonce en entier jusqu'au fond de la gorge. Je subis en kiffant intérieurement, pendant qu'il me baise la bouche avec sa grosse queue de black. Tout en me limant, il lance des "Pompe moi à fond, femelle, je sais que tu kiffes. C'est bien ma pute continue. Lèche mes boules, salope, et reviens sur ma queue". Je pensais pas être aussi soumis, mais sur le moment je prends mon pied à le biberonner... Sa queue entre et sort de ma bouche, et quand il commence à gémir il s'arrête. "Tu veux que je t'encule, ma salope? T'as envie de ça?" "Oui, boss, je veux sentir ta queue". Il me retourne et me met à quatre pattes, je cambre mon dos à fond et lui tend mon cul. Bien offert, il bouffe un peu ma rondelle, ce qui me fait gémir.

 

Je sens sa bite bien raide sur mon trou et il l'enfonce doucement, sensuellement pour faire entrer le gland. Il glisse ensuite ses mains sur mes flancs jusqu'à pincer mes seins, et sans prévenir m'enfonce violemment le reste de sa queue. Je crie, de douleur au début, puis de plaisir. "Gémis bien, me chienne, montre moi que tu kiffes". Je sens la queue de mon boss me défoncer le cul, ses mains qui me dirigent. J'implore mon boss de me baiser à fond. Après un labourage intensif, il décule et s'allonge sur le dos. "Viens t'asseoir sur ma queue, ma salope". Je me jette sur sa queue et la chevauche, son torse entre mes cuisses. J'ondule sur son énorme chibre pendant qu'il me bourrine de coups de reins. Lui aussi commence à gémir, "toi, t'es une vraie chienne, mmmm... je kiffe ton cul ma salope...". Il se retire et je comprends qu'il est prêt à jouir. Debout devant moi, ses râles deviennent plus fort, et je reçois 5 bonnes giclées de sperme sur la gueule.

 

En me ramenant à lui, il m'explique que je suis une sacrée bonne pute, et qu'il adore ça chez les mecs. Aujourd'hui, je suis devenu sa salope attitrée, et on multiplie les bonnes parties de baises

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Lundi 11 novembre 1 11 /11 /Nov 23:47

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J’me présente vite fait : oim c Djamel 33piges 180/70, teint mate avec un bon gros zobi de 21/6 entre les pattes :-P Depuis quelques mois, j’ai mon meilleur ami du bled, qui vit chez oim pour changer de vie. Là-bas il avait une vie de m…., sans taf, il avait sa famille à charge..Je lui ai trouvé un boulot ici à Paris, et il crèche chez oim en attendant d’avoir assez de tunes pour s’prendre un appart à lui…

 

J’taf comme démarcheur pour une grande boîte et du coup, j’suis pas souvent chez oim, s’qui permet à Nordine de bien profiter de l’appart… et croyez-moi il en profite un max :-P Nordine c’est un beau mâle de 26piges macho et il fait baver les meufs comme les p’tits cefrans de la téci :-P

 

Un soir, je suis rentré avec un jour d’avance… j’arrive sur le palier et là j’entends des gémissements et des voix venant de mon appart. De suite, j’me dis : il mate un film de boules, mais il pourrait au moins mettre moins fort ce con… !!! J’rentre et là je le trouve à 4 pattes sur la table basse avec des keumés entrain de lui faire sa fête bien comme il faut :-P Il dégage le tismé qui lui fend la chatte en deux et se précipite vers oim… : Ecoute Djam, il faut que je t’explique… steuplé ! Il faut que j envoie du blé chez oim et c’est la seule façon que je connaisse pour m’faire un max de tunes en peu d’temps… Ok fini s’que tu as commencé oim j’file sous la douche… J’avais même pas ouvert les robinets que je l’entendais gémir et encourager les keumés à bien s’occuper d’lui et de bien s’lâcher. A s’moment là j’ai pensé… c vraiment une tépu c’Nordine, j’aurais jamais pensé…

 

J’vais pour rentrer dans la douche et là j’baisse la tête et j’mate ma bite dure et mouillée :-P A peine sec… je file au salon et j’mate un autre keum (que j’ai déjà aperçu ici dans la téci) lui bourrer la chatte à grands coups de bite pendant qu’il suce les deux autres zgeg en même temps s’qui fait durcir mon sboub encore plus…, même si en réalité c’est impossible. Il fait davantage la chienne de garce et me quitte pas des yeux un seul instant… Là Kamel (le mec que j’ai déjà vu) m’interpelle et me dit : Wesh man, viens mater ton coloc s’faire tourné comme une lopsa :-P Là Nordine descend de la table à nouveau, se mets à mes pied, tire sur la serviette qui m’entrave encore la taille et englouti direct ma teub en fond de gorge. Putain il a une bouche bien profonde et je mate dans ces yeux qu’il kiffe ca m’sucer. Les mecs se rapproche de nous et décide de lui faire une double. Kamel et le tismé veulent rentrer en lui à deux et rien qu’à cette idée Nordine me pompe encore mieux qu’au début. J’le mate et lui crache sur la face en lui disant… t’es vraiment une morue toi, et il m’réponds c’est clair et t’as encore rien vu Djam J Les mecs entrent dans son minou avec un peu de mal, mais lorsqu’ils y arrivent… Karim (le dernier) lui travaille les tétines et lui appuie sur les épaules afin qu’il s’enfonce bien comme il faut sur les deux queues qui lui ouvre sa chatte. Nordine lâche mon zgeg pour gémir et excité la fente de la pine à Karim pour passer à la mienne et vice versa. Le tismé et Karim le bourrine grave et ca le fait gémir toujours plus… Ils donnent de sacré coups de queue au fond de son cul affamé se qui prévient Nordine qu’ils sont prêt à largué la sauce. Nordine se cambre encore plus afin de leur laisser le libre accès à sa chatte et ils commencent à grogner comme des porcs se qui nous fait comprendre qu’ils sont entrain de lui engrosser la chatte (à travers les kpotes bien sur). Ils se vident bien dans son trou et ressorte alors qu’ils sont encore bien durs. Karim excité ne tarde pas à lui jouir sur la face… Il reçoit un paquet de yop sur le visage et Karim s’empresse de l’étaler avec son sboub tout en lui crachant à la gueule en le traitant de chiennasse.

 

Nordine n’as pas encore joui que les keumés se rhabille et se casse et disant : putain ça valait bien la tune qu’on t’a filé pour te tourné la tépu, c’est quand tu veux pour recommander lopsa. A peine les keumés ont passé la porte que je l’attrape par les cheveux et l’emmène sous la douche. Je lui crache dessus et op direct la ssepi commence à lui arroser d’abord le torse et je remonte pour lui crader aussi la face et ca bite qu’il a bien dure (elle fait 19/20 et bien épaisse pour une morue qui s’fait emmanché par des inconnus). Je voulais l’humilier et ça m’excitais grave de lui faire subir ça après l’avoir vu se comporter comme une chienne avec ces mecs tout ça pour du fric. A peine la dernière goutte sortie il m’pousse et s’empale direct sur mon sboub et se la prend direct au fond… miam. Si ca bouche et profonde, son cul est ouaou, EXCELLENT !!! J’ai pas l’impression qu’il y a un quart d’heure il s’faisait démonter la chatte par deux queues. Il s’excite les tétons et se fait jouir sur mon torse, s’qui m’déclenche ma jouissance. Je suis vidé et lui aussi. On prend notre douche ensemble sans rien dire, puis on file chacun dans notre chambre pour aller dormir…

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Lundi 11 novembre 1 11 /11 /Nov 17:55

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J’habite en colocation avec mon cousin. Un jour de grand soleil, je me ballade en ville et je rencontre les meilleurs potes de mon cousin qui savent que je suis pédé. Bachir, le beau lascar baraqué, qui me demande une clope. Je lui donne et là il me chope par la main et me demande : « pourquoi t’es pédé? ». Je ne réponds pas à sa question. Son pote Brahim répond à ma place en disant : « parce qu’il kiffe téter du zboub ». Dans ma tête je me suis dit qu’il avait raison. Soudain, Bachir met son bras autour de mon cou et me dit « viens faut qu’on parle ». Il me ramène dans un local à scooter avec ses 2 potes Brahim et Sofiane. J’commence à baliser…

 

Et là on commence à discuter normal de tout et de rien et Brahim commence à me tâter le cul et Sofiane ramène ma tête vers sa teub. Je ne dis rien par peur de les énerver et surtout parce que j’attends ce moment depuis des lustres!!! Bachir de son côté roule son bédo et me regarde avec son regard de vicelard, je vois sa queue gonfler sous son jean.

 

Brahim me met à 4 pattes, et moi comme une bonne chienne que je suis je commence à cambrer mon p’tit cul.. Ca les rend dingue, Sofiane sort sa queue déjà toute dure et l’enfonce au fond de ma bouche accueillante et me lime la gueule comme une pute. Bachir lui demande d’arrêter, il s’approche de moi me regarde et commence à sortir sa teub et là j’ai halluciné, j’avais la bouche face à une queue d’au moins 24 cm sur 8!!!!!!

 

J’ai mouillé direct et je tire la langue pour lui montrer que j’suis bien chaude pour qu’il me la mette. Il passe derrière moi me fout 3 doigts me traite de salope mouille le bout de son gros gland d’algérien et me la met direct et là je hurle tellement elle est grosse. Pour me faire taire Brahim et Sofiane me mettent leurs 2 queues au fond de la gorge et là je commence à gémir comme une chienne… Je ne veux pas que ça s’arrête j’ai deux bonne queues dans la bouche et une teub énorme au fond d’ma chatte.

 

Bachir me dit: « tu veux que j’te casse ta chatte ?! » je réponds « oui vas-y vide-toi les couilles ». A peine dit aussitôt fait, je sens la capote se remplir dans ma chatte. Sofiane et Brahim se mettent à juter en même temps sur ma gueule. J’en ai plein le visage et plein la chatte, tout c’que j’aime…

 

Les gars se rhabillent et me demandent si je veux bien être leur pute à dispo, evidemment j’accepte mais leur demande d’être discrets vis-à-vis de mon cousin Nordine…Je leur laisse mon numéro et leur dis que j’espère les avoir très bientôt dans mes trous

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Lundi 11 novembre 1 11 /11 /Nov 15:10

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Un soir chez un pote hétéro que je connais depuis de longue date mais qui ne sait pas que j’ai un côté lopesa, on fumait le et j’étais bien défoncé, on rigolait mais sa meuf commençait à tiquer alors vers 21h, j’ai dit: « Tchao! a+. » Il habite en cité dans le 93. J’ai descendu les neufs étages et en sortant de l’ascenseur, je vois 6 rebeus dans le hall qui tchatchent. Je commence à partir en jetant un bref coup d’oeil car je kiffe bien les rebeus… L’un d’eux me regarde, voit mes yeux bien éclatés et me fait la remarque du genre: « Oh t’as fumé toi! » Je lui souris et acquiesce tout en allant vers la porte. Je dois préciser que je suis vrai bogosse céfran et que je fais bien kiffer les keums généralement.

 

Kaled, c’est son prénom, me propose de ne pas partir tout de suite et de rester fumer avec eux. Un peu méfiant mais intéressé et avec l’idée d’avoir l’occase d’en connaître un de plus près, je fais demi-tour et reviens vers eux. On parle un peu, je commence à vouloir rouler un zbir mais ils me disent qu’il y a trop de passage ici, qu’ils vont dans l’escalier. Je les suis, bien confiant car ce sont mes potes maintenant, surtout Majid que je kiffe grave; une masse le gars, les autres aussi mais lui c’est un truc de ouf.

 

On arrive dans une cave que je comprends abandonnée par leurs locataires, genre squat mais tranquille: un caddie, un vieux matelas pourri d’oréoles de moutrave bien dégueu dans un coin. Je suis cool, ils sont sympas, on rigole bien… sur tout et rien. Karim et Samir me regardent bizarre, avec des yeux de vicelards mais ça me plaît. Je les trouve de plus en plus kiffant et je ne peux pas m’empêcher de zieuter leurs braguettes et ça semble très prometteur; surtout la bosse de Majid et 2-3 autres que j’ai repérés. Au bout de 15-20 minutes, ils parlent rebeus et moi je comprends qu’dalle.

 

Kaled passe derrière moi et me tâte le cul. Je lui dis: « Oh! Qu’est-ce tu fais? » Il me dit: « Vas-y, joue pas ta chochotte! » et là devant moi, Majid baisse son fut et je vois un calibre mon gars, ouf! Elle gonfle à vue d’oeil, elle devient énorme, au moins 23×6 ou 7. Mon réflexe est d’exploser de rire mais excité car défoncé. Je m’en tape je me mets à genoux direct. Alors là, ils sont devenus ouf de chez ouf.

 

En fait, ils étaient pas sûr que j’allais vouloir mais en deux secondes, j’avais six bonnes grosses teubs d’arabes rien que pour moi, du 19cm à 23cm (Majid la plus monstrueuse). Y’a pas à dire, les rebeus sont les meilleurs, même Saïd et Karim qui étaient plutôt timides, se sont lâchés direct. J’ai commencé à pépon de partout. J’en voulais grave mais une bouche pour six, c’est pas évident. Ça sentait la biroute mortel, je sais pas si ils se lavent tous les jours la teub mais bon, m’en fous: trop kiffant. Je pompais bien à fond et Kaled a éjaculé dans ma gorge. J’ai pas eu le temps de retenir koi que ce soit. Il a une teub de 20cm mais bien épaisse genre 7. J’avais la bouche en feu. Majid voulait que j’enlève mon jean, je préférais juste le mettre aux genoux mais lui voulait l’enlever complètement pour bien m’écarter les jambes et me foutre sur le matelas pourri. J’étais pas chaud car trop crade mais vu la masse, je ne pouvais plus reculer. Je me suis fait déchirer le cul par Majid, je hurlais mais lui continuait et les autres me baisaient la bouche pour que je la ferme. J’en ai pris plein le cul. En fait ils ont pratiquement tous craché sur mes fesses sauf Said; je crois qu’il m’a fait une faciale. Après, ils ont! vraiment joué.

 

C’est Majid qui a commencé à me pisser dessus et j’étais assis sur le matelas, le cul à l’air, et les six rebeus autour à moutrave sur moi. J’étais un peu dégoûté mais bon, j’ai cru que je reverrais jamais le jour. Ils ont rigolé, m’ont dit que j’avais assuré comme lopesa et que si je repassais par là, que je jette un œil dans la cave au cas où. Je suis arrivé sur le parking de la cité vers 0h15 en étant parti de chez mon pote vers 21h. Quand j’ai vu l’heure, je suis devenu ouf! Une fois dans ma voiture, je réalisais ce qui venait de m’arriver et j’étais finalement content de moi. Mon pote ne sait rien de cette aventure et les rebeus ne savent pas d’où je venais car ma voiture était garée de l’autre côté des fenêtres. Mon pote pensait sûrement que j’étais chez oim depuis belle lurette. Un grand merci à mes six rebeus trop bien teubés et surtout Majid que je kiffe trop.

 

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Lundi 11 novembre 1 11 /11 /Nov 10:40

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Depuis quelques temps, je lis toutes vos histoires et je me sens devenir accro. De ce fait, j’ai décidé de contribuer à ma manière, en vous racontant comment je suis devenu la pute du tierquar (le quartier, pour les non-puristes). Je dois confesser que j’ai perdu ma virginité très tard … à 25 ans, mais je me suis bien rattrapé depuis. Cependant, j’anticipe peut-être un peu trop, alors laissez-moi commencer par le commencement.

Pour vous faire une image précise de ma personne, je crois être assez agréable à regarder lorsqu’on aime ce style. J’ai des yeux clairs. Ma bouche pourrait être qualifiée de « suceuse », car elle est pleine et purpurine, en un mot pulpeuse. Ma peau est très pâle, ce qui crée un sérieux contraste avec le rouge indécent de mes lèvres et le bleu de mon regard. Le tout est couronné par une touffe de cheveux noirs, broussailleux qui m’a valu dans la cité le nom de Mowgli, ce qui donne un assez bon aperçu de ma dégaine. Une silhouette élancée avec mon 1m80 pour 60k. Pour que l’aperçu soit complet, je suis généralement comparé aussi bien à Nicholas Hoult qu’à Ian Somerhalder ou Jon Hensley.

Si je n’avais jamais vu le loup jusqu’à présent, c’était pour la simple et bonne raison que je n’avais rencontré personne auparavant. Je vous raconterais peut-être ma vie de puceau plus tard, parce que la virginité ne rend pas plus saint… Ce que j’ai décidé de vous révéler à ce jour concerne la rencontre qui a fait basculer ma vie. De blanc à noir, de vestale à catin. Son nom, Driss, restera à jamais graver dans mon cœur et son corps tatouer dans ma mémoire.

En même temps, ce n’est pas le genre de mec qui s’oublie avec son 1m95 et sa carrure de catcheur. Pour faire simple, il possède une silhouette à la Dwayne Johnson. De forme plutôt ovale, son visage possède une beauté sculpturale, grâce à des traits coupés à la serpe. Les cheveux sont coupés court et possède le même noir profond que ses yeux, lui donnant un regard de killer. Pour moi, ce qui le rend carrément craquant est son large sourire au pouvoir rayonnant et au charme destructeur. Je le croisais souvent dans les environs (notamment en passant devant la salle de sport du coin), et à chaque fois, je devais me retenir de ne pas m’écrouler à ses pieds tellement il me faisait chavirer. Evidemment avec sa virilité sauvage, je me doutais que sa sexualité était celle d’un pur hétéro, mais comment ne pas fantasmer devant ce morceau de choix ?

Un soir, je rentre chez moi après une soirée un peu chargée. J’habite le sixième étage, mais j’ai pour habitude de prendre les escaliers (comme palliatif d’un sport quotidien). A peine arrivé au premier étage, j’entends que la porte se rouvre derrière mon passage alors qu’elle venait de se refermer. Je n’y prête pas plus attention, puisque je suis habitué aux allées et venues de l’immeuble, habité majoritairement par des jeunes en quête de toutes sortes de substances. Je continue jusqu’au deuxième étage, en me disant que la personne doit s’arrêter avant moi puisque je suis le seul dingue à prendre les escaliers. Mais au quatrième, je vois une ombre se profilée devant moi ; du coup, je me retourne, prêt à lancer un large bonsoir. Or, quelle ne fut pas ma surprise, en reconnaissant le divin Driss.

J’ose à peine vous raconter ma déconvenue, puisque je me suis éclaté le genou contre les marches alors que le reste de mon corps s’est étalé et que mes lèvres ont étouffé un pauvre « Bonsoir » pitoyable. Faisant à peine attention au « Bien ou bien ? » qu’il me rétorque, je me rattrape tant bien que mal à la rambarde et je prends mes jambes à mon cou, en montant les marches quatre à quatre. Au sixième, je me précipite vers mon palier, avec la volonté de cacher ma honte dans mon appartement. Dans ce genre de situation, j’ai tendance à devenir trop maladroit, alors impossible de rentrer la clé dans ma serrure. Je vous laisse imagine que ça lui laisse largement le temps de me suivre et de me rattraper.

Si dans le milieu, il se fait appeler « le Titan », ce n’est pas pour rien. Et pour les connaisseurs, sa carrure me rappelait à la mémoire le personnage de Gregor Clegane dans le Trône de Fer, la Montagne. Pourtant, il ne faut pas se fier aux apparences parce que si à côté de lui, je ressemble à une vraie crevette, je ne perds pas pour autant ma superbe lorsque je me ressaisis. Je crois que dans ma catégorie, je suis un très bon acteur et couplé à mon caractère volcanique (ou de merde comme vous le voulez), je n’ai pas peur de faire des étincelles. En clair, oubliez avec moi le rôle de la petite pute soumise…

— Eh mec, quand je te parle, tu dois me répondre me dit-il.

— Hein ! … Que ? … Quoi ?

— Je t’ai demandé comment tu allais ? Et au lieu de fuir, tu aurais pu me répondre.

— Ah oui désolé, je suis fracassé alors j’ai du mal à avoir les idées claires. Et je n’ai pas fuis, je n’ai juste pas pour habitude de me taper la honte devant des inconnus.

— T’inquiète mec, ça arrive. Ecoute, on ne va pas discuter comme ça pendant trois heures, alors je m’invite chez toi. Tu ouvre ou tu veux que je le fasse ?

— Euh … ! Ouais, j’ouvre.

Je suis sous le choc. Quoi ? Driss veut discuter avec moi. Non mais c’est quoi le délire. Il est tellement beau, que j’ai du mal à garder ma contenance. Je le laisse passer en premier, pour avoir l’occasion de le mater en toute tranquillité. Comme l’été règne sur la cité, il porte un débardeur qui laisse la place à ses muscles pour s’épanouir, avec un bas de survêtement gris trois fois trop grand pour lui. Il le porte sur un boxer, qui met en valeur son bon cul de rebeu, dont la rondeur ressemble limite à un boule de bowling.

— Tiens, je m’appelle Driss et toi ? C’est quoi ton blase ?

Et là, je ne sais pas pourquoi mais dans la confiance, je lui réponds : « Oui, je sais que tu t’appelle Driss. » Le problème de ma peau diaphane est qu’elle est tellement blanche, qu’elle en devient transparente, ce qui me fait rougir dès que l’émotion est trop forte.

— Sérieux gars ? En même temps, je t’ai capté depuis longtemps avec mes potes. Y’a même Lotfy qui t’appelle Mowgli à cause de tes veuxche. J’avoue que ça te va bien.

Je suis sur le cul de ce qu’il vient de m’annoncer. Enfin, je lui propose quand même de s’asseoir, en lui demandant s’il préfère un café, un thé ou une bière.

— On est entre mec, alors je vais prendre une bière.

Pour me mettre à l’aise, je mets de la musique sans trop savoir quel est l’album dans le lecteur. Les premières notes résonnent sur un morceau de Blondie, rien de mieux pour me sentir bien. Sauf que je ne peux m’empêcher de me trémousser lorsque j’entends de la zic. D’une certaine manière, je perds le contrôle de mon corps, qui se met en action tout seul dans un déhanché digne de Fred Astaire. Après 15 ans de danse, je me débrouille assez bien et mon invité ne se fait pas prier pour le remarquer.

— Putain, comment tu bouges ton boule … c’est rare pour un céfran, mais en te matant, j’aurais du le parier avec mes potes.

Moi qui me glorifie de garder mon sang froid dans n’importe quelle situation, ce mec pourrait me faire mentir, tellement il arrive à me retourner avec désinvolture. Faisant feu de tout bois, je n’hésite pas une seconde à lui poser une question directe et sans détour : « Bon mec, qu’est-ce que tu fais là ? Qu’est-ce que tu veux ? Parce que franchement, tu me mets le chiro à l’envers. » Il se met à rire à gorge déployée, en m’annonçant qu’il s’attendait pas à ce que j’ose lui parler comme ça … mais que pour une fois, il apprécie que quelqu’un lui tienne tête.

— Maintenant, si tu crois t’en tirer comme ça, c’est mort. Viens ici, petit con !

Hypnotisé par son attitude « badass », mon corps me fait défaut, en avançant vers lui avec un regard de défi, celui qui déclare au monde que je n’ai peur de rien. Quelques soit la situation, je sais que je garderais toujours mon âme de guerrier combattant. En réponse, ses yeux s’embrasent de flammes, qui ne laissent présager rien de bon. Affalé sur mon canapé, je ne sais comment il réussit à me faire passer de la station débout face à lui de celle sur ses genoux. Quoiqu’il en soit, me voilà enserré dans ses bras musculeux.

— Fais pas trop le malin, j’en ai maté des coriaces, qui faisaient plus peur que toi.

— Je ne crois pas mec, lui répondis-je, tu ne me connais pas.

Et au lieu de m’en prendre une comme je m’y attendais, il me posa sa main de colosse sur la joue, avec une tendresse qui fit fondre mon cœur de glace. Collé à lui, il devait sentir mon cœur battre tout de même à 100 à l’heure, car il me dit que mon corps trahissait mes pensées. Je ris avec majesté : « Ah ouais gars, c’est ce que tu crois » ; et j’essaye de m’extirper de ses bras en gesticulant dans tous les sens. Evidement, mon entreprise est vaine puisqu’il est bien plus puissant que moi, mais ce salop en profite pour que mes fesses soient positionnées avec précision sur son membre viril. Cependant, faites-moi confiance, impossible de me laisser faire.

— Qu’est-ce que tu fais ? Tu te crois dans un bordel ? Je m’amuse pas à jouer la pute pour deux sous.

— Avec ton corps de poupée Barbie, tu ne vas pas te la jouer avec moi, parce que je te brise d’un seul coup.

— Essaye, si tu crois me faire peur.

— Gars, tu parles trop alors que tu es incapable de sortir de mes bras. Et puis, merde. Ferme ta p’tite gueule.

Pour m’empêcher de parler, il a une technique radicale, qui consiste à appuyer sa large bouche sur la mienne et je dois dire que ça marche. Très vite, je ne contrôle plus rien. J’entrouvre légèrement mes lèvres charnues. Driss comprend le message et m’enfonce sa langue avec ardeur et passion. Alors que le ballet de nos langues commence, ses bras m’enlacent de plus en plus presque jusqu’à l’étouffement. Sans quitter sa bouche, je commence à jouer de mes hanches, pour gagner de l’espace. Comme je l’ai dis, je n’ai aucun mal à me servir de mon corps après des années de dance. Du coup, je ne tarde pas à sentir les premiers effets de mes vagues corporelles.

Ce qui me plaît chez Driss, c’est qu’il n’hésite pas à exprimer tout haut ce qu’il pense tout bas et direct il se laisse aller à des gémissements, me prouvant sa satisfaction. Il pose ses deux grosses mains sur chaque lobe de mon cul, pour m’installer sur sa queue déjà bien tendue. Je suis incapable de dire à quoi elle ressemble, mais je sens qu’elle est d’une longueur et surtout d’une largeur désirables. Sa force est telle qu’il a le pouvoir de m’utiliser comme une vraie poupée, en me changeant de position au gré de ses envies. Même s’il est assez brusque, il ne manque pas de tendresse comme s’il avait peur de me casser en deux. Je suis incapable de savoir avec précision l’ordre et le désordre qui s’est établi dans ce jeu de corps à corps. A chaque instant, je me sens l’impression de voler dans les airs.

Je ne sais trop comment, je me suis retrouvé habillé d’un simple tee-shirt et de mon boxer, alors que monsieur s’est contenté de garder son débardeur et son survêt est baissé sur ses genoux. Devant cette injustice, il me vient des furies de ne pouvoir posséder le contrôle alors je décide de retourner la situation à mon avantage. L’air de rien, j’ouvre pleinement mon cul, pour que sa teub soit enserrée par mes deux fesses, remplaçant mes mains pour une branle d’enfer. Je me détache légèrement de son corps, afin d’obtenir plus d’ampleur dans le mouvement. Mes oscillations se plaisent à suivre le crescendo de la musique et je m’amuse à sentir combien sa queue est brûlante malgré la séparation de nos deux boxers. Pleine de percussion, mon corps suit avec précision les bouleversements de la musique, pour mieux envoûter ce mâle. Tout en l’embrassant plus furieusement, je me plais à pousser des petits cris de plaisir, comme s’ils m’échappaient à l’indépendance de ma volonté. Son corps paraît réceptif à ma danse, puisqu’il se met à jouer sur le même registre de sensualité avec plus de rudesse.

Il me faut attendre peu de temps pour obtenir les résultats de ma vengeance car, en repoussant mon visage, il me regarde droit dans les yeux avec un regard d’incompréhension et de stupeur. Il pousse un râle animal, pendant que mes hanches continuent leur petit jeu, et je sens que son bassin se crispe à quatre ou cinq reprises.

— Putain, Tu es une vraie garce, sa mère. Comment t’as fais ?

— Moi … j’ai rien fais, t’es ouf mec, lui répondis-je feintant l’innocence.

— Tu te fous de moi au quoi … Tu te la joues lopesa et genre tu n’y es pour rien. Après, j’avoue que tu es super doué, parce que c’est la première fois que je jute sans avoir retiré mon boxer. Tu dois être une vraie pute.

— Euh … déjà je ne te permets pas, d’autant plus que mon tableau de chasse est vide alors je vais avoir du mal à tenir la comparaison avec toi par exemple.

— Tu veux dire que tu es un petit puceau ? me demande-t-il incrédule.

— Exactement, répondis-je avec fierté et orgueil.

— Je suis quécho, mec. Mais leçon numéro 1 : il ne faut pas gâcher une goutte du jus de ton mâle ; car maintenant tu es mien, tu m’appartiens.

Comme Rome ne s’est pas faite en une journée, vous verrez que je n’ai pas perdu ma virginité cette seule nuit. Avant de devenir le tepu du tierquar, il s’est passé un bon moment dont vous venez de lire la seule première partie. Alors si vous m’avez lu, que vous avez eu la trique, que vous vous soyez branlés ou que vous n’ayez pu opprimer une éjaculation, n’hésitez pas à m’envoyer un message. Je me sens d’humeur à assurer le service après lecture.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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