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fan de histoires de mec

Dimanche 10 novembre 7 10 /11 /Nov 17:49

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Lorsque j'avais 17-18 ans, je faisais ma scolarité dans un internat. J'étais plutôt timide et réservé mais de très bonne compagnie dès que j'étais à l'aise. Ma sexualité était orientée vers la gente féminine et je n'avais pas eu des milliers d'histoire. Comme tout jeune homme, je regardais des films pornos et je prenais beaucoup de plaisir. La fellation m'a toujours beaucoup attirée et plus le temps passait et plus je réalisais que je souhaitais être de l'autre côté du sexe. Être celui qui le toucherait, qui le sucerait, qui l'avalerai... Comment était-ce possible? Je n'avais personne dans mon entourage de gay. C'était un monde que je ne connaissais pas. Mes préjugés étaient nombreux et la morales ne m'autorisait pas ce genre de pratique.

Le temps passait et les fantasmes revenaient régulièrement. Avec mon voisin de chambre, mon meilleur pote, nous faisions tous les soirs un concours de branlette. La rapidité n'était pas l'objectif mais plutôt la quantité. Lors de la jouissance, nous récoltions nos semences dans un mouchoirs, nous le jetions dans les airs et le plus gros splash lors du retour au sol gagnait...enfantin, sans objectif réel, c'était notre rituel... Nous étions très proche et les douches communes ne laissait que peu d'intimité (que nous ne cherchions pas d'ailleurs). Lors de ces douches, j'avais tout le loisir d'observer les sexes de nos camarades. Tous les types de sexe étaient présents mais celui de mon pote était beau... Large, droit, des boules descendantes et pendantes... Bandantes!!! Je ne saurais vous dire combien de fois je me suis branlé en imaginant le branler, le sucer, le faire JOUIR... L'éjaculation m'excitait beaucoup...

Je ne saurait vous dire comment nous en sommes arrivés là mais j'ai un soir osé lui parler de mes envies. Pas avec lui mais des fantasmes entourant le sexe d'un homme. Mon pote était en couple depuis un moment et en aucun cas il n'avait mis en avant une éventuelle ouverture de ce côté. C'était mon pote et j'avais envie, j'avais besoin de lui dire..

Il faut que je vous parle de lui, 1m80, brun, cheveux courts, une gueule de beau gosse, un corps parfait... Le tronc était taillé en V, les abdos dessinés, de belles cuisses... Il était beau, intelligent, ambitieux, rêveur. Je crois que j'étais tombé amoureux de lui...

Le soir en question, il sait écouter et il s'étonne de mes envies. Cela ne le laisse pas de marbre, il me questionne. Es-tu sur de tes envies? Comment s'es-tu certains que cela te plaira?

Je ne savais pas, je doutais... Ce que je savais c'est que la simple pensée ou idée me faisait bander dur et que j'éjaculais comme jamais. J'ai senti que cela l'intéressait et qu'un brèche se formait. Il me demandait si tous les hommes me plaisait, si j'étais prêt à passer à l'acte, ce que j'avais envie de faire. Petit à petit nous arrivions au fait qu'il serait également tenté par essayer... Je rêvais, mon fantasme se réalisait... Nous avons commencé à nous caresser, doucement... Je bandais comme un âne mais ma queue est modeste comparée à la sienne. C'est un monstre, je pense 19 et une bonne largeur... La sensation était étrange, exceptionnelle, je prenais mon pied... Je voulais atteindre mon objectif, le prendre en bouche. Pour lui l'hygiène était maladive et dès que mon prépuce ou le sien distillait du liquide séminale nous devions se rincer dans le lavabo. J'ai pris l'initiative de descendre doucement ma tête vers son sexe et j'ai commencé à le lécher. Je lui ai ensuite sucer le bout du gland et mon cœur s'emballait... J'aimais vraiment ça, j'étais excité comme jamais. Mon ami était plus sur la réserve mais voulait tout de même vivre son expérience. Il a alors entrepris de me sucer également. C'était magique et j'appréciais la caresse. Personnellement je voulais le sucer, je ne voulais plus m'arrêter... Nous avons régulièrement interrompu nos caresses pour se nettoyer le sexe. Cela ne me plaisait pas car je perdais le goût de sa queue... Je voulais le goût, le parfum de l'homme... Finalement il s'aperçut qu'il ne prenait pas vraiment son plaisir en me suçant, tandis que moi j'attendais avec impatience mon tour pour le pomper. Chaque pose et chaque reprise me permettaient d'optimiser ma technique, d'essayer de nouvelles choses... Je n'osais pas me lâcher réellement car j'avais compris que mon ami n'était pas bi et qu'il me jugeait peut être. Il voulait en rester la mais je lui demandais d'attendre pour qu'il atteigne sa jouissance. Je me calais sur son plaisir et les gémissements que j'obtenais. Je suçais son gland, plus petit en largeur que le tronc de sa bite. Elle m'écartait la bouche quand je tentais de l'avaler au maximum. Je n'y arrivais pas mais j'insistais. Je le branlais en même temps et il arrivait fatidiquement au point de non retour. Il me prévient qu'il allait jouir et qu'il fallait que je me retire pour le finir à la main. Je le savais mais je voulais sentir son sexe exploser dans la bouche. Et là, je sentis une première giclée, je l'attendais mais fut tout de même surpris. La texture était particulière et le goût ne me plaisait pas. Je me reculais et je continuais de le branler pour qu'il expulse son nectar.... Il jouissait, j'avais fait jouir un homme. Je me dirigeais vers le lavabo en avalant une partie de son foutre et recrachait le reste... Il était gêné d'avoir jouit dans ma bouche et me dit pourtant qu'il m'avait prévenu. Je revenais avec un grand sourire sur le visage, c'est ce que je voulais mais n'osais l'avouer.

Ce fut ma première et dernière expérience avec lui. J'avais réaliser mon fantasme, mes envies... J'en voulais plus et j'allais en avoir plus... Ceci est une autre histoire... J'espère qu'elle vous aura plus et j'en préparerai d'autres si vous avez apprécié....

Bises

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Dimanche 10 novembre 7 10 /11 /Nov 15:15

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Après avoir lu de nombreuses histoires ici, je me décide aussi à écrire ma 1ère histoire donc merci de votre indulgence.

 

J'ai actuellement 23 ans et cela ce passe il y a 4 ans j'en avais alors 19. Jeune étudiant dans une ville de l'Est de la France, j'étais encore plutôt timide à l'époque.

Je n'ai pas beaucoup changé en quelques années à part mon look beaucoup plus classique désormais. Mais le reste est quasi identique : 1m79, 58kg ni musclé ni maigre normal quoi, châtain, yeux bleu.

 

A cette époque, j'étais célibataire et je sortais beaucoup encore. J'aimais surtout aller en boite et dans des concerts et après une année étudiante déjà, j'avais eu pas mal d'expériences homos.

 

L'histoire se déroule lors d'une soirée de novembre il me semble. Je sortais alors en boite avec plusieurs ami et des amis d'amis, homos et hétéros. Dans le lot, des beaux mecs d'autres moins intéressants et un métis franco-sénégalais, je l'appelerais Abdoulaye. C'était un ami de mon pote Cédric avec qui j'étais aller en boite. La soirée passa, je ne parla que peu avec Abdoulaye mais nous nous lancions des regards, je trouvais cela étrange car il faisait vraiment hétéro. Il mesurait environ 1m80, 70kg, musclé, yeux brun, cheveux court bruns.

Sur le chemin du retour, nous empruntions la voiture d'un ami, j'étais à côté d'Abdoulaye et nous parlions un peu plus, découvrant qq points communs. Avant de me déposer chez moi, il me demanda mon numéro au cas ou pour se revoir une fois aller boire un verre.

 

Un mois passa sans nouvelle d'Abdoulaye et un soir que j'étais seul à mon appart, je reçus un message de sa part. On parlait un peu et il m'indiqua qu'il était en soirée chez des potes et passait près de chez moi, s'il voulait qu'on se voit pour parler plus. 30min après, il se trouvait chez moi, sonna et je le fis entrer.

 

J'étais un petit crevé déjà et nous avions bu plusieurs verres d'alcools en déconnant, je lui dis que j'étais homo et célib et lui m'avoua être bi, baisant des mecs parfois et sortant avec une fille en ce moment. On était bien allumé enfin surtout moi qui ne supportait pas trop l'alcool et je dansais dans l'appart tout seul. Abdoulaye se joignit a moi un moment, se collant contre moi et je sentis sa queue grossir contre mon jeans. Je le sentais assez chaud d'un coup, je fis semblant de tomber sur le lit et se mit sur moi, se frotta et me sortit d'un coup "t'aimerais que je te baise avec ma grosse queue, tu suces bien ?". Sur le coup ca m'exita et m'etonna, je le chauffais alors mais il se leva d'un coup et me voulut partir me disant qu'il ne voulait pas baiser avec moi en fait car j'avais l'air un peu trop "joyeux" ... j'ai tenté de le retenir mais il se cassa d'un coup ...

 

Le lendemain il m'envoya un sms d'excuses, nous parlions bien et je lui faisais comprendre qu'il m'avait bien exité et que même un peu "joyeux" j'avais quand même envie de lui.

 

Quelques jours plus tard, il m'envoya un autre message savoir s'il pouvait passer chez moi rentrant du centre ville pour aller vers chez lui. Comme j'étais dispo, je ne dis pas non.

 

Il arriva à nouveau chez moi, on reparla de cette soirée et il se touchait le paquet déjà bien dur dans son jean moulant. D'un coup il m'embrassa, se leva devant moi et sortit sa queue de son jean et boxer, qui devait bien faire 13-14cm au repos (le mythe des blacks avec les grosses queues se vérifiait et je pus le constater encore avec 3 autres mecs plus tard ^^).

Il me dit alors : "vas y pompe moi la bite j'ai trop envie"

Je commençais à pomper sa grosse queue de métis et je la sentais grossir dans ma bouche, putain c'était bon et elle devait faire bien 22-23cm en activité !!!

Il me tenait bien la tête et me la fesait avaler jusqu'au fond de la gorge en me disant des trucs comme "t'aime ca une grosse queue de black dans ta bouche" "dès que je t'ai vu j'avais trop envie de toi" "ta une bonne bouche de suceuse putain" .

 

Soudainement, il me releva m'enleva tout mes vêtements, ota son jean et releva son marcel autour de sa tête dévoilant son corps hyper musclé de black.

Il me poussa sur mon lit, me demanda de mouiller mon trou (ce que je fis), me metta sur le dos, leva mes jambes et commenca a exiter sa bitte bien dur devant mon petit trou bien dilater déjà par l'exitation et la salive ...

 

Il me demande de me retourner et me mettre a 4 pattes "vas y putain fou toi a 4 pattes, j'ai trop envie de ton boule de lope!"; ca me rendait dingue...

Il frotta encore sa queue contre l'entrée de mon trou et d'un coup rentra sa grosse bitte dans mon cul!!! Un peu mal au début et peur aussi car il me baisait sans capote mais il commenca à me limer plus fort et ca me fesait un bien fou, l'exitation prit le dessus.

Il me défonçait littéralement le trou.

Lui "Putain t'as un trop bon cul mmmm oui c'est bon de te baiser je le savais"

Moi "Oui vas y défonce moi j'adore ta queue"

Lui "Hummm tu m'exites je t'imaginais pas si salope"

Moi "Si j'aime j'adore ta bonne queue de black"

Lui "Hummm ton cul est meilleur que celui de ma meuf actuelle, je vais te déchirer le boule gars"

Moi "Oui Vas y plus fort ohhh c'est trop bon"

 

Après plusieurs minutes de baise bien forts, il m'aggrippa bien les hanches et dit "Putain je vais juter dans ton trou de salope ohhh ouiiiii" ... et Abdoulaye jutta de gros jets de sperme (j'en sentis 7 ou 8) dans mon cul, ca coulait tellement il y en avait ... au même moment, sans me toucher mais tellement exité, je sentis le sperme monter en moi et je jouis sur mes draps ...

Il partit se nettoyer, se rhabillat et partit assez rapidement ensuite.

 

Je revus plusieurs fois pendant quelques mois Abdoulaye, régulièrement, il m'envoyait des messages et passait (même 5minutes) pour venir vider ses couilles dans mon cul. C'est comme ca qu'avant de ne plus se voir car il partit, je lui servais de "pute a jus" pendant quelques mois.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Dimanche 10 novembre 7 10 /11 /Nov 14:05

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Cette histoire réelle s’est déroulée il y a deux semaines. J’ai 20 ans, je suis bi et j’ai déjà quelques expériences homos avec des hommes de ma région (calvados-manche). Brun, 1m72, 68kg (17cm) je suis plutôt BG.. Ce jour-là j’avais rendez-vous lors de ma pause déjeuné avec un homme de 27 ans, étudiant en médecine 1m85, 90kg et 20cm.

On s’était donné RDV sur le parking d’un supermarché puis on décide d’aller à l’hôtel pour passer aux choses sérieuses.

Le temps de réservez la chambre, la chaleur monte déjà et une attirance mutuelle se fait… Hop dans l’ascenseur on se met tout de suite à s’embrasser langoureusement, nos langues se mêlent, nos corps se frottent… Huuuum.. Mais déjà arrivée au 3e étage …

 

Entrés dans la chambre, nos baisers reprennent de plus belle, sa langue se mêle à la mienne, c’est divin, on décide de se mettre sur le lit… ni une, ni deux, nos t-shirts sont vites enlevés, les caresses se font de plus en plus intenses (visages, torse, fesses et…), sa bouche descend sur mes tétons, quel délice !!!!

Je fais de même puis sa bouche parcours mon corps, mes pectoraux, mes tétons, mon ventre, mon entrejambe : à travers le pantalon, le boxer… puis le plaisir devient vraiment intense lorsque sa bouche engloutit en entier mon sexe, il suce comme un dieu, jamais été sucé comme ça avant, il réussit à me faire échapper des gémissements. Il s’active sur mon sexe alternant suce et branle titillements, bientôt je vais jouir et lui demande d’arrêter !

Là je prends les choses en mains, je décide de m’occuper de lui, bisous, caresses, ma bouche descend sur ses tétons, puis son entre jambe. Là je sors et découvre son sexe de 20 cm bien droit et je l’engloutis (quelle bonne queue) je le pompe autant que je le peux en le branlant…

Ces petites choses ont duré un moment puis le désir est tellement monté que l’on a décidé de passer aux choses sérieuses…

Il me demande de le prendre, je lui prépare donc son trou avec mes doigts, ma langue, déjà il jouit, il adore, je le prends pendant quelques temps, son cul était tellement bon que je ne tenais plus…on a donc échangé les rôles…

Il m’a bouffé le trou comme jamais (j’adore ça..) puis il me prend, autant dire que je sens bien ses 20 cm, un peu douloureux au début mais après l’extase, je gémis comme jamais c’était bon de sentir son sexe entrant et sortir, butter au fond, de plus en plus vite puis doucement, il savait s’y prendre…

 

Cela dura 30 bonnes minutes où l’on changeait les rôles… Le plaisir était tellement intense que l’on alternait aussi avec des fellations, branles…

Il me demande de jouir dans son cul, il me jouit dessus…

 

Déjà bientôt l’heure de retourner au boulot, on prend une douche très excitante où il se cambre pour que je le reprenne…

Dernière fellations, derniers bisous on se quitte…

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Dimanche 10 novembre 7 10 /11 /Nov 10:20

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Je vais vous raconter ici la manière dont s'est déroulée ma première sodomie. Cela s’est passé en fin d'année 2006. J'avais alors 22 ans et était encore étudiant. Lors d'un stage, en Angleterre peu avant, j'avais eu l'occasion de pratiquer la fellation et j'avais découvert que j'aimais faire du sexe avec des hommes. J'étais en couple avec une fille à l'époque et je continuais ma vie amoureuse avec elle. Toutefois, quand l'excitation montait que j'avais un manque, je me connectais sur des chats internet, pour trouver un homme à sucer, une relation sans lendemain. Je préférais, et c'est d'ailleurs toujours le cas, les hommes plus âgés. Ils ont un côté plus rassurant, plus directif, et je prends plus de plaisir à être dirigé et guidé par quelqu'un de plus expérimenté.

 

Pascal m'avait contacté sur un tchat. Il avait une quarantaine d'année et habitait sur paris. Nous avions passé plusieurs jours à dialoguer, d'abord en direct puis par mail. Il me posait beaucoup de questions sur ma sexualité, voulait savoir à quelle fréquence je suçais des hommes, comment j'aimais faire cela, combien de fois par semaine je faisais l'amour à ma copine, dans quelles positions, ce que nous faisions. Il me disait que tant que je n'avais pas connu la sodomie en tant que passif, je ne pouvais pas connaitre la vraie jouissance. Il voulait connaitre mon type d'homme, comment j'aimais que les rencontres se déroulent. Il voulait savoir si j'aimais les grosses bites, les petites, les larges, les fines, les poilues. Il prenait beaucoup de temps pour me connaître et me rassurer. De son côté, il me disait qu'il était homo, qu'il avait vécu en couple mais s'était séparé, qu'il aimait rencontrer des jeunes, que c'était toujours pour lui un bonheur de leur faire découvrir à quel point on pouvait se faire du bien entre hommes. Il se voyait en initiateur pour la bonne cause. Nos conversations ont alors un peu dévié. Il me dit un jour qu'il aimerait me faire découvrir le bonheur de la sodomie, que je ne le regretterai pas et que je jouirai d'une manière que je n'avais jamais connue. Il accompagne son mail de deux photos de lui, nu. Sur la première, il est assis sur un fauteuil. Son torse est large, assez poilu. On ne voit pas son visage. Entre ses jambes pends son sexe au repos. Sur la deuxième, on voit son sexe en pleine érection. Ses boules sont rasées de près. Il est bien décalotté et son gland est foncé et lisse. A la vue de ces photos, je me suis mis immédiatement à bander dans mon pantalon. J'ai commencé à rédiger un mail lui disant que ces photos m'avaient beaucoup excité et que j'étais prêt à passer aux choses sérieuses avec lui. Je n'arrivais pas à écrire. Je revenais sans arrêts sur mes mots, mes tournures de phrases. J'avais peur d'en dire trop ou pas assez, j'étais dans l'inconnu. Avant d'envoyer le mail, j'ai regardé encore une fois ses photos. Mon érection a repris de plus belle. Je me suis branlé sur ma chaise en regardant son sexe, en imaginant ce qui je lui ferais, ce qu'il me ferait. Au bout de quelques minutes, j'étais dans un fort état d'excitation et j'ai finalement cliqué sur "envoyer". Une demi-heure plus tard à peine, Pascal me renvoyait un mail pour me donner rendez-vous, dans un bar près de chez lui, le samedi suivant. J'ai confirmé le rendez-vous et ai fini de me branler sur mon lit en pensant au sexe de Pascal.

 

Le samedi j'étais extrêmement nerveux. J'appréhendais cette rencontre. Mes précédentes relations avec des hommes n'avaient été que des rencontres fugaces, dans des lieux plus ou moins publics, pour une branlette ou une petite fellation, mais cette fois, je devais passer plusieurs heures chez un homme, qui allait enfoncer son sexe dans mon anus. Nous nous étions donné rendez-vous en fin d'après-midi à la terrasse d'un bar non loin de chez lui. 1 heure avant, je passais à la douche pour me faire une beauté, et m'assurer de ma propreté. Je pensais à la rencontre et j'ai dû me retenir de ne pas me toucher en me lavant. Une fois propre, j'ai mis des vêtements et je me suis rendu au bar. Je suis arrivé avec 5 minutes de retard et Pascal était assis à une table, sirotant une bière. Il me proposa une chaise, commanda une autre bière pour moi, et nous parlâmes quelques minutes. Il était comme sur les photos physiquement, dans la force de la quarantaine. Sa discussion était très agréable, il faisait tout pour me rassurer. Il me complimenta, me dit qu'il me trouvait très beau et qu'il était très heureux de pouvoir me faire découvrir de nouveaux horizons. Il me demanda si j'étais toujours d'accord, ce à quoi je répondis d'un faible hochement de tête. Les bières furent rapidement descendues. Au moment de régler, Pascal posa la main sur ma jambe et me dit de le suivre chez lui, sous le regard amusé du serveur.

 

Dans son ascenseur, il se rapprocha de moi en me caressant le dos. Sa main s'égara autant sur mes fesses que la mienne allait flatter son entrejambe. A n'en pas douter, il était déjà excité, la bosse dure que je sentais ne trompait pas. Arrivé dans son appartement, il me proposa de m'installer sur le canapé et de boire un verre pour discuter un peu. Il me reposa des questions très précises sur ma sexualité, Il voulait que je lui dise que je voulais qu'il m'encule aujourd’hui et que j'étais venu le voir dans ce but. J'étais un peu honteux mais excité par cette discussion et lui également. Il me proposa de mettre un film porno, "pour détendre l'atmosphère" (!!). Il me précisa qu'il avait sélectionné le film tout spécialement pour moi.

 

Les images commençaient à défiler sur sa télévision. Les scènes s'enchaînaient rapidement, telle une bande annonce et montraient invariablement des garçons, à peine plus jeunes que moi, en train de baiser avec des hommes plus âgés. Je compris pourquoi il l'avait choisi pour moi. La première scène commença. Avant même que les acteurs ne retirent leurs vêtements, j'étais déjà très excité et je bandai dur dans mon pantalon. Pascal s'en rendit compte et posa sa main sur ma cuisse, par petits mouvements il remonta et frotta mon entrejambe. Il parcouru mon membre sur toute sa longueur, en apprécia la dureté. Je rougis, ma respiration s'accélérait et j'avais chaud. Lentement, Pascal défit un à un les boutons de mon pantalon et fit sortir mon sexe. Il me dit que j'avais une belle bite et me caressa doucement. Je restai les yeux rivés sur l'écran. Dans le film, un jeune blondinet était en train de se faire peloter par homme velu. Pascal arrêta ses mouvements. Il me demanda doucement de faire pareil que lui et se recula dans le canapé. Sans un mot, j'approchai ma main de son entrejambe. Il bandait lui aussi et son sexe jaillit dès que j'ouvris les boutons de pantalon. Il ne portait pas de sous-vêtements. Je pris son sexe en main et entamai un lent va et vient. Pascal se souleva légèrement pour faire tomber son pantalon à ses chevilles et le retirer. Il ôta son T shirt et était nu à côté de moi alors que j'avais encore tous mes vêtements. Je continuais à le caresser une main sur son sexe, l'autre sur le mien. Pascal me dit de me lever et d'ôter mon polo. Je me redressai et alors que je m'exécutai, il me retira lentement mon pantalon. Il me fit asseoir à côté de lui et plaça ma main sur son sexe, tout en attrapant le mien. Nous restâmes ainsi quelques minutes à nous branler l'un l'autre.

 

La scène du film avait changé, le blondinet était maintenant en train de prendre en bouche la bite de son homme, énorme. Pascal me chuchota à l'oreille de faire comme le garçon. Je me penchai sur lui et le pris en bouche. Il sentait bon et avait bon gout, je pris du plaisir à le sucer avec douceur. Je pris le temps de bien gouter toute la longueur de sa bite et de lécher son gland. D'une main, il me caressait la tête pour m'encourager. Il me disait que c'est bon. Je m'appliquais à lui prendre les couilles en main alors que je le suçais, le plus profondément possible. Par moment, je posais la tête sur son ventre de côté, son gland se positionnait naturellement devant moi et je le tétai. Alors que j'étais tout appliqué à ma sucette, Pascal me redressa la tête pour que je regarde l'écran. Sur le film, le garçon était en train de tenter d'avaler les litres de semence de son homme, il en avait partout sur le corps et sur le visage. Pascal me demanda si j'aimerais faire cela pour lui. Il me dit que si je le faisais jouir maintenant, j'en profiterai encore plus tout à l'heure. J'approuvai de la tête. J'aimais sucer son sexe et j'avais envie de continuer. Je m'appliquai à bien le lécher et le téter et j'accélérai mon rythme. Pascal accentua la pression sur ma tête. J'enfonçais alors son sexe plus profondément dans ma bouche, en accentuant la pression de ma sucée. J'accélérai mon rythme et continuais à le branler. Je sentis son corps se tendre et dans un râle il jouit. Le premier jet me surprit et resta dans ma bouche. Je me reculai et les autres jets vinrent frapper mon visage. Pascal gémit doucement et ferma les yeux. Il resta quelques secondes sans bouger, alors que je caressai lentement son sexe. Puis il m'attrapa le visage et m'embrassa. Il me demanda si je voulais moi aussi jouir maintenant. Je refusai, sa proposition, sachant qu'après avoir jouit, je ne pourrais pas continuer cette expérience. Pascal comprit et le temps de reprendre ses esprits, il me caressait le corps et le sexe en douceur.

 

Au bout de quelques minutes, il me proposa d'aller prendre une douche avec lui, ce que j'acceptai volontiers. Nous entrâmes dans la cabine et nous nous embrassâmes alors que l'eau chaude ruisselait sur nous. Pascal me caressait tout le corps et insistant sur mes fesses. Il ne bandait plus pour l'instant, mais j'étais pour ma part complètement dur. Il savonnait mon sexe avec ses deux mains, en tournant et en frottant dans tous les sens. Il savait parfaitement à quel moment accélérer pour me redonner du tonus et à quel moment ralentir pour ne pas dépasser le point de non-retour. Il me dit soudain qu'il avait envie de pisser. Devant mon absence de réaction, il me demanda si je voyais un inconvénient à ce qu'il le fasse dans la douche. J'acceptais et il commença à se lâcher. Je regardais son sexe uriner, fasciné. Voyant mon regard, Pascal dirigea lentement le jet sur mes jambes puis sur mon sexe. J'étais tétanisé et ne pouvais bouger. Ma bite était dure comme l'acier, en temps normal, cela m'aurait dégouté mais j'étais dans un tel état d'excitation que tout ce que pouvait me faire cet homme me plaisait. Il s'arrêta de pisser et me dit de me mettre à genoux. Comme un robot, sans volonté propre, je m'accroupi devant lui. Son jet reparti lentement, frappant mes jambes, s'arrêtant sur mon sexe, balayant mon torse, il remontait, remontait, quand il arriva sur mon visage, je ne pus retenir un dégout et mon visage se crispa, bouche fermée. Il redescendit son jet et m'arrosa le visage que des dernières gouttes. J'étais estomaqué par ce que je vivais, je ne savais plus ou me mettre, je me sentais comme la dernière des trainée. Pascal me sourît en disant que j'étais un mec génial et plein de ressources, ce qui me rassura. Il attrapa ma tête pour que je le reprenne en bouche mais je refusais, je n'étais pas prêt à faire cela. Sans insister plus, Pascal fit recouler l'eau pour nous rincer. Il me dit de me retourner et de m'appuyer contre le mur de la douche, dos à lui. Il se plaça derrière moi et je senti ses mains me caresser les fesses. Il se mit du gel douche sur un doigt et l'enfonça dans mon anus. De son autre main, il me caressait les boules. Il entrait et sortait, avec des mouvements de rotation, pour bien m'assouplir le sphincter. Rapidement, un second doigt rejoint le premier dans son mouvement. Il fût un peu plus dur à rentrer alors Pascal prit bien son temps et tourna lentement, jusqu'à sentir que ma résistance faiblissait. Satisfait, il me dit de le suivre dans la chambre.

 

Pascal me dit de m'allonger sur le ventre, au milieu de son lit. Il se plaça à genoux au-dessus de moi. Je sentais ses mains masser, palper et écarter mes fesses. Il se baissa et je senti son souffle chaud contre mon œillet. Il me lécha consciencieusement l'anus, à grand coups de langue, déposant un maximum de salive. Cette nouvelle caresse m'excitait. Je tournai ma tête pour regarder Pascal et vit qu'il bandait de nouveau. J'attrapai son sexe de la main pour le branler alors qu'il me léchait le cul. Il se releva et alla chercher dans un tiroir de sa table de chevet tout le matériel nécessaire. Il posa sur son lit des préservatifs, du gel, et 2 godes, un petit et l'autre plus volumineux. Celui-là, me dit-il, est comme ma bite. Si tu te sens bien avec, la suite ne sera que du bonheur. Je me laissais aller à sa préparation. Il posa une noisette de gel sur mes fesses et me massa le trou comme sous la douche. Ses doigts rentrèrent facilement grâce au premier traitement qu'il m'avait prodigué. Il remplaça ses doigts par le plus petit gode. Celui-ci rentra sans problème. Il me proposa sans attendre de passer au plus gros. Il le posa sur mon anus et poussa lentement. Le gode s'enfonça, centimètre par centimètre dans mes entrailles. Il remit une noisette de gel et tout en le maintenant en place, il se changea de position pour me présenter son sexe à sucer. Je le repris avidement en bouche. Il avait retrouvé toute sa rigidité. Je sentais les mouvements de la bite de plastique entre mes fesses, mais aucune douleur, juste une sensation jusque-là inconnue. Pascal me dit que j'étais près et me demanda de me mettre sur le dos.

Il se positionna à genoux sur mes épaules. Sa bite à demi molle pendait devant mon nez. Il me demanda de lui redonner envie de moi. J'ouvrais la bouche et gobait toute sa verge. En quelques secondes il était de nouveau parfaitement dur. Il resta néanmoins quelques instants à se faire sucer dans cette position, puis attrapa le préservatif dont il déchira la pochette. Il se couvrit, me demanda d'attraper mes genoux et se positionna au niveau de mon arrière train. Il appliqua une noisette de gel sur son gland et le posa à mon entrée. D'une petite poussée, il entra le gland et me demanda si tout allait bien. Je le sentais, mais je n'avais aucune douleur, je lui fis signe de continuer. D'un mouvement lent mais ininterrompu, il rentra en moi. Malgré ma préparation, je ressenti une vive douleur et je grimaçais. Pascal le senti et resta en place. J'avais perdu toute rigidité, alors Pascal entrepris de me rebranler. Rapidement, le plaisir revint et une fois dur, Pascal commença les va et viens. Il entrait profondément en moi et ressortait à moitié. A chaque coup, je sentais ses poils venir frotter mes fesses. Il attrapa mes chevilles et accéléra.

Je bandais comme un malade, je sentais au creux de mes reins une chaleur que je n'avais jamais jusque-là ressentie. Je n'arrivais pas à savoir si c'était seulement le plaisir de ma prostate ou le plaisir lié à la situation qui m'excitait mais je prenais un pied d'enfer. Il me pistonna régulièrement pendant 5 bonnes minutes avant de me dire de me mettre à quatre pattes au bord du lit. Je m'exécutais et tortillais ma croupe avec indécence pour l'inciter à revenir en moi. Il le fit d'un coup, m'arrachant un cri. Pendant 15 minutes, il alterna les rythmes, profond et lent, court et rapide. Il s'amusait parfois à sortir pour que je revienne m'empaler de moi-même sur sa bite. Il me redressa dos contre lui et attrapa d'une main un téton, de l'autre mon sexe tendu à se rompre. Alors qu'il était fiché au plus profond de moi, il me branla avec vigueur. Je me senti rapidement partir et le calmais pour ne pas jouir en premier. Il me poussa violemment sur le dos et je tombais à plat ventre sur le lit. Il s'allongea sur moi et entra, m'écrasant de tout son poids. Il respirait vite et transpirait. Je commençais à chauffer au niveau des fesses et lui dit.

Pour toute réponse, il s'activa et me transperça. Il me bourrait à toute vitesse et au bout de quelques secondes, je senti en moi les contractions de sa bite, alors qu'il jouissait dans un grand cri. Il s'affala sur mon dos et m'écrasa de tout son poids. A bout de quelques temps, il retrouva ses esprits, sorti de moi et jeta sa capote dans une poubelle. Je m'allongeais sur le dos et il vint se placer entre mes jambes. Il prit mon gland en bouche et me branla à grande vitesse. Je réussi à tenir quelques secondes avant de cracher mon sperme dans sa bouche. Il n'avala pas et toute ma semence coulait de sa bouche sur mon sexe alors qu'il finissait de me branler. Je m'écroulais en arrière alors qu'il partait se refaire une beauté.

 

Quand il revint près de moi, la pression était redescendue. Ma libido également et je me sentais mal. A y regarder de plus près, Pascal ne m'attirait pas du tout! Je restai près de lui quelques minutes et me rhabillais prestement avant de rentrer chez moi. Une fois rentré, je consultais ma boite mail. Pascal m'avait écrit pour me féliciter de ma prestation, pour me dire qu'il avait adoré dépuceler mes fesses, et que je pouvais repasser chez lui n'importe quand. A la lecture de ce mail, je me rendis compte que je bandais de nouveau.

Malheureusement, nos chemins se sont séparés et je dois avouer que je n'ai jamais recroisé un initiateur expérimenté comme lui, mais je cherche toujours.

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Samedi 9 novembre 6 09 /11 /Nov 16:02

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Je m'appelle Frank.

 

J'ai 30 ans, brun, mignon, 180, 70 (passif 80%) et je suis gay en couple.

 

Depuis un bon moment, mon mec ne me baisait plus et je commençais grave à être en manque.

 

Je n'avais envie que d'une chose : me faire péter le cul.

 

Mes nuit étaient de plus en plus moites et mon mec de plus en plus froid.

 

Trop préoccupé par le taf, pas moyen de le faire triquer, même avec mon trou de salope.

 

J'avais le feu.

 

C'est alors qu'un soir, alors que mon mec était allé se coucher tôt, je me suis connecté sur des sites de drague gay.

 

Me voilà parti à surfer sur mon site habituel et au bout de 30 min de dial avec plusieurs mecs dont certains étaient bien sûr complètement pipo, un mec de 22a bi (julien) me contacte et me demande si je suis chaud.

 

En même temps, sur un autre site, un mec de 40 a monté comme un taureau (22*7 cm)(pseudo :le destructeur) est de passage à l'hotel dans ma ville et veut se taper un bon cul docile.

 

Le dilemme! Julien commence à me chauffer grave sur le site et me dit qu'il est brun bogosse 180 65, mince avec une queue de 18*5cm.

 

Il me dit que sa meuf est pas avec lui en ce moment et qu'il a grave envie de se vider les couilles.

 

Il me dit qu'il se taperait bien une bonne bouche.

 

RDV pris sur le parking d'un supermarché à 23H.

 

Non content d'avoir enfin un RDV qui a l'air sérieux, je me résigne à dire au destructeur que je ne suis plus dispo.

 

C'est alors qu'il me propose de me recevoir à l'hôtel à minuit pour me dilater la rondelle.

 

Même si l'idée me séduisait, je ne pouvais m'empêcher de me dire que je ne pouvais pas me taper deux mecs le même jour à 1H d'intervalle.

 

Je ne suis pas une pute.

 

Certes, ça m'était déjà arrivé de tromper mon mec mais ça restait rare.

 

Je ne suis pas de ces salopes qui couchent avec n'importe qui.

 

C'est alors que je décide de lui dire bonne chasse et là il m'envoit une photo de son démonte -pneu.

 

Waouhhhhhhhhhhhhhhhh! Jamais vu une bite pareille en vrai, une matraque de fou bien droite, bien dessinée avec un gland énorme et toute veinée.

 

Le feu est monté en moi direct et j'avais presque envie de me doigter.

 

Une queue pareille, ça ne se refuse pas.

 

Je lui dit alors que je suis OK pour venir le voir à l'hôtel dans sa chambre.

 

Le truc est que j'ai déjà pris RDV avec ce julien et qu'il n'est plus connecté.

 

Je déteste l'idée de choisir entre les 2 et d'en planter un.

 

C'est ainsi que je décide de me rendre au RDV donné par Julien.

 

Je me gare sur le parking derrière le supermarché comme prévu.

 

Un peu en avance, j'éteins le moteur et allume l'autoradio.

 

J'avais mis un t shirt près du corps noir et un bas de survêt adidas avec rien en dessous.

 

Je me trouvais sexy.

 

Au moment où je mate dans mon rétro, je le vois arriver Il n'a pas menti, il est super mince, mignon et vient s'installer direct côté passager.

 

Les présentations faites, je lui demande où on va.

 

Il me dit qu'il est pressé et qu'il veut se faire sucer direct dans la caisse.

 

Je voyais déjà une bosse sympa déformer son jean serré.

 

Direct, je lui met la main au paquet en voulant l'embrasser mais il me repousse en disant qu'il n'embrasse pas les mecs.

 

Par contre, il me dit qu'a quelque chose pour moi de bien chaud, bien dur et bien gonflé, qui n'attend que ma bouche.

 

Je ne me fais pas prier et après un petit coup d'oeil rapide dans le rétro, je déboutonne le jean et sors direct sa queue qui a déjà atteint de bonnes dimensions.

 

Malgré une odeur un peu forte de bite en rut qui aurait pu m'écoeurer en d'autres circonstances, j'avale directe sa bite de 18*5cm juqu'à la garde et lui fait une bonne bite profonde.

 

Il gémit grave en disant qu'il faut que j'y aille mollo sinon il risque de juter en 5 minutes.

 

Je ralentis donc et m'attarde un peu sur ses couilles rasées, en le branlant doucement.

 

Hummmmmmmm.

 

Trop bonne, une queue bien dure.

 

J'ai trop envie de me faire baiser.

 

Je relève la tête et lui dit: '"tu veux me baiser?".

 

Il me dit qu'il n'a jamais sodo un mec, juste des plans suce et qu'en plus pas de place dans la caisse.

 

Je lui propose d'aller dehors.

 

Il finit par accepter et on se dirige vers un coin un peu plus sombre.

 

Le lieu est super excitant et un peu flippant aussi car pas loin du centre ville.

 

Je ne me pose pas trop de question et lui enfile une capote.

 

Après mêtre bien lubrifié la rondelle, je ne lui laisse pas le temps de réfléchir et le viole avec mon cul gourmand.

 

J'étais tellement excité qu'il m'a pénétré entièrement d'un coup.

 

Je couinais parce que ça faisait au moins un mois que mon cul n'avait pas été visité.

 

Au début, il était hésitant dans son limage de cul et y aller bien doucement pour m'habituer à la taille de son engin.

 

J'avais envie qu'il y aille plus fort, qu'il me démonte.

 

Ce qu'il finit par faire, par de bons coups de butoir et des gémissements peu discrets.

 

Je kiffais du cul.

 

AU bout de 10 minutes, je le sentais de plus en plus dur et c'est alors que j'ai amplifié mes mouvements de bassin en le suppliant de me baiser plus fort.

 

Il ne put se retenir plus longtemps et gicla en moi bien profond.

 

J'étais tout en sueur, il faisait encore chaud dehors.

 

Julien se rhabilla et voulu partir direct en me remerciant.

 

Je lui volais alors un baiser avant de partir et il me laissa faire.

 

Il était 23h40.

 

Juste le temps d'aller rejoindre le destructeur.

 

Je ne pensais pas vraiment que je pouvais avoir encore envie de me faire ramoner après une première baise mais c'était tout le contraire.

 

Je ne voulais plus rentrer et avait juste envie de me faire à nouveau prendre comme une lope.

 

Sans me poser de question, je filais vers le Formule 1 pour rejoindre le mec qui allait sans doute me faire passer un moment unique.

 

Devant sa chambre, j'ai failli repartir quand j'ai pensé à ce que mon trou allait subir.

 

J'étais loin d'imaginer ce qui allait arriver.

 

Le destructeur m'ouvrit et me jeta direct sur le lit en m'insultant de pute.

 

Il était juste en slip et j'étais grave flippé quand j'ai vu la taille de l'engin qui déformait son slip.

 

Sa queue dépassait sur le coté d'au moins 5 bons centimètres.

 

Jamais je n'avais eu si peur de me faire niquer.

 

Il ne m'a pas laissé le temps de réagir que déjà il était sur moi.

 

Sans ménagement, il me retourna comme une crêpe et me mis en position de chienne.

 

Pas le temps de me désaper, il baissa juste mon survêt sur les cuisses et me lécha le trou.

 

Surpris par le goût de gel, il m'insulta de plus belle et me traitant de chienne et que je n'étais bon qu'à me faire déchirer.

 

J'ai eu très peur mais déja son gland énorme défonçait mon trou et mon sphincter refusait de le laisser entrer.

 

Il gueulait.

 

Même si j'avais peur, je voulais qu'il me domine.

 

Ca ne m'était jamais arrivé.

 

J'avais envie de lui donner ce qu'il voulait.

 

Je croyais pourtant que sa queue était trop large pour mon trou.

 

Je lui donnais le gel qui restait dans ma poche mais il le balança dans la pièce.

 

Il me cracha sur la rondelle et ressortit son gland pour prendre son crachat.

 

J'en profitais pour me retourner et le repousser mais je n'avais pas sa force.

 

Il me mit sur le dos avec mes jambes sur ses épaules et commençait déjà à appuyait très fort contre mes parois anales.

 

Il rentra son gland et en un geste sûr mais moins violent que ce que je pouvais anticiper, il me pénétra jusqu'aux couilles.

 

Ca me coupa direct la respiration.

 

J'avais une teub de 22*7cm entièrement en moi.

 

Je n'arrivais pas à y croire.

 

Je reviens un peu à moi et là, il m'embrassa en s'excusant.

 

Toujours immobile mais à fond en moi, il me demanda s'il pouvait continuer.

 

Sans répondre, j'attirai son bassin vers moi pour qu'il pousse encore à fond mais à mon rythme.

 

Je commençais à prendre un pied de ouf.

 

Je perdais à nouveau le contrôle et me lima à fond pendant 15 bonnes minutes avant de me gicler dans le cul.

 

C'était l'extase et il s'était écroulé sur moi.

 

Il était toujours en moi et je me dis que c'était enfin la délivrance. Je ne comprenais pourquoi il ne se retirait pas. Au contraire, je le sentais toujours en moi et il reprenait de sa vigueur. Je n'y croyais pas. Alors, il me regarda à nouveau et me fis le plus sourire que je n'ai jamais vu. Tout ému que j'étais, je le laissais profiter encore de mon cul totalement détruit. Il me lima à nouveau 10 bonnes minutes,se retira et me jouis dans la gueule. Je venais de vivre la journée la plus folle de toute mon existence. Après m'être lavé avec lui, je repartis chez moi complètement défoncé (du cul) et me jura de recommencer....

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Samedi 9 novembre 6 09 /11 /Nov 14:36

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J'ai 30 ans, je suis bien dans ma peau, j'ai un boulot qui ne paie beaucoup mais qui me plait.

 

Je suis célibataire et même si je suis hétéro, gamin j'ai eu quelques aventures avec des cousins et des copains, puis durant mon engagement à l'armée. Pourtant j'aime regarder, aussi, des vidéos pornos gays.

 

Il y a quinze jours j'ai reçu un courrier officiel me réclamant le paiement de 500€. En cas de contestation pas d'autre solution que de me présenter en personne à l'adresse indiquée.

Donc un jour travaillant le matin, je me rends pour 14h à l'adresse indiquée.

Les loca ux sont tout petits. A l'accueil où j'explique mon problème le jeune homme me demande de m'assoir. Il m'explique que lorsque l'une des lumières à la porte passera au vert je pourrai entrer et m'adresser au guichet situé du côté de la lumière verte. Si elle s'allume à droite, ce sera le guichet de droite et vis et versa.

 

Je patiente et bien que je ne voie personne sortir la lumière verte s'allume du côté gauche. Je me lève et frappe à la porte. Sans réponse je rentre et je me trouve dans une petite pièce en face de deux guichets. A droite un type la cinquantaine semble parler tout seul. Je me dirige donc vers le guichet de gauche où se trouve un martiniquais, me semble t il, la quarantaine couleur café au lait, cheveux et moustache très courts. Je trouve bizarre qu'ils ont l'air assis assez bas, comme sur des tabourets.

 

Après avoir salué le fonctionnaire, je lui sors la lettre et je lui demande de quoi il s'agit.

« Vous le voyez bien on vous réclame 500€ ! Vous êtes venu les régler ? » me demande t il.

Je lui réponds que je n'ai pas cet argent et que j'aimerai savoir à quel titre on me le réclame.

« Vous désirez sans doute un arrangement ? » me demande t il. Comme je réponds affirmativement, il me fait signer un papier que je n'ai pas le temps de lire, et le panneau sous le guichet s'ouvre.

 

« Entrez la dedans ! » m'ordonna t il. Je me mets à quatre pattes et je rentre sous le guichet, La porte se referme et une faible lumière s'allume.

Là je vois avec stupéfaction que le fonctionnaire est nu au dessous de la taille !

Je suis stupéfait par le sexe très noir, lourd et épais du fonctionnaire pendant au milieu de deux gros fruits. Le tout est totalement imberbe. Un long filet de mouille coule du gland décalotté.

« Vous savez ce qu'il vous reste à faire pour réduire votre dette ! »

Je suis sidéré ! J'ai toujours été en admiration devant les sexes énormes des acteurs pornos et je ne cache pas qu'ils ne font entrer en érection tout autant que les vagins des actrices et plus encore si elles se font sodomiser.

 

Instinctivement je tends la main et je prends cette grosse queue que je serre.

J'entends : « bien vous ne devez plus que 490€ ! » et je comprends qu'en fonction de ce que je suis prêt à lui faire sexuellement, il épongera ou non ma dette.

Je presse la base du gland qui dégorge aussitôt une grosse quantité de mouille. La queue devient plus dure, elle prend encore du volume. A présent le méat me regarde tel un œil larmoyant !

 

Je me décide et lui donne des petits coups de langues. « 480€ !». Enfin je me décide à prendre ce gros boudin noir en bouche. Je l'ouvre à me décrocher la mâchoire, ma langue explore le méat, fait le tour de ce gland pendant que je branle doucement la hampe.

« hum 450€ ! ».

Et cela dure et dure, tandis que ma dette diminue sans pour autant arriver à le faire éjaculer.

Un gars doit être occupé à faire la même chose à l'autre fonctionnaire qui lui aussi décompte.

 

Quand il ne me reste plus que 200€ de taxe, le fonctionnaire me dit : « voulez vous éponger votre dette d'un seul coup ? ». Je réponds affirmativement et le fonctionnaire me demande de me mettre sur le dos et de me glisser sous son tabouret qui n'a pas de fond. Il se soulève légèrement écarte ses lobes fessiers et se rassie sur mon visage. Ma bouche est à la hauteur de son anus, œillet rose que je caresse doucement, « avec la langue ! ». J'embrasse doucement cette rondelle douce, je la lèche avec application. Elle est prise de spasmes, elle se ferme s'ouvre et je pousse ma langue au plus profond. De mes deux mains, je prends les deux poires qui pendent, le manche devant être très dur et dressé et je les soupèse et les caresses. Soudain le fonctionnaire grogne et de puissant jets de foutre giclent partout et notamment sur mon pantalon.

 

« Voilà vous êtes quitte ! » me dit le fonctionnaire et se levant et en m'aidant à en faire de même.

 

Sa queue pend maintenant jusqu'à mi cuisses et du jus s'en écoule encore. Il me tend son gland et me demande d'en profiter, ce que fait sans me faire prier. «

Vous pouvez sortir par derrière. La prochaine fois que vous serez taxé, ce ne sera peut être pas moi ! »

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Vendredi 8 novembre 5 08 /11 /Nov 10:00

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Je vais vous raconter une histoire vraie qui s’est déroulée en septembre 2010, je me présente je m’appelle julien j’ai aujourd’hui 25 ans – 1m99 – 97kg, assez bien monté 19*5.5.

 

Rappelons le contexte, depuis 2 ans j’étais en préparation BTS ELEEC, j’ai découvert ma classe composée entièrement de garçons, il faut remarquer que dans cette filière il y a très peu de fille ! nous avons tous liés connaissance au court de la 1ere année et nous sommes partis au ski pour que notre classe se lie encore plus, afin de pouvoir réaliser ensemble des projets industriels, à ce moment-là j’ai même pu voir mon pote à moitié nu sous la douche, ou il se trimbalait souvent en sous-vêtements, comme il était craquant ! Il avait vraiment un corps magnifiquement sculpté : ses deux mecs gonflés ressortaient presque de sa poitrine, tant ils étaient développés. Ses six abdos parfaitement dessinés, semblaient inébranlables et il les faisait onduler gracieusement Musclé comme il faut là où il faut, il était bandant…

 

Cela faisait un moment que je kifais, Yann, je me branlais en pensant à lui, mais il ne connaissait pas mon orientation sexuelle, il pensait que j’étais hétéro que les autres. Nous avons obtenus notre BTS tous les deux et au début septembre nous cherchions du boulot, comme nous en avions pas et nous voulions faire une petite pause, en nous disant que : « nous avions assez bossé comme ça ! ». Un jour lors d’une promenade dans la capitale il me suggéra de faire un voyage avec lui ne connaissant pas encore la destination. Nous sommes téléphonés plusieurs fois et avons trouvé notre destination, ce fut le Maroc pour être exact à Marrakech, nous avions trouvé un voyage sympas et pas trop cher sur internet.

 

Quand nous sommes arrivés à l’aéroport de Marrakech, il faisait chaud environ 35°C, c’est ce que nous attentions… A l’hôtel, nous avons découvert un endroit sympas avec piscine, hammam, sauna, spa, notre chambre grande, spacieuse, et avec un lit double…mmm. Nous avons posé vos bagages et avons décidé de profiter de la piscine.

 

Puis à un moment, Yann, me dit : « viens on va faire du sauna ?! », je lui répondis : « oui pourquoi pas » et nous sommes allés à l’espace détente. Cet espace était libre on pouvait faire que qu’on voulait et Yann me dis : « viens se fout à poil on sera mieux », je savais qu’il faisait du foot et n’avais pas de complexe pour ça, je lui répondis : « OK » et était heureux… ;-)

 

Je pouvais maintenant le voir complètement nu, j’adorais son corps, ses fesses et il avait un beau morceau entre les jambes. Nous allions au sauna, au hammam, au spa, au bassin d’eau froide et plus il gigotait plus je bandais et ça se voyait. Alors commença une conversion étrange entre nous :

 

- Y : « PUTAIN…mais ta la gaule ! »

 

- MOI : « oui j’ai vu une belle gosse au loin »

 

- Y : « et c’est pour ça que tu as la trique comme ça ? »

 

- MOI : « bah… oui » ( je n’allais pas lui dire que c’était à cause de lui.

 

- Y : « Ok bah dis donc t’as une belle bite ! »

 

- MOI : « merci, la tienne st pas mal non plus ! »

 

- Y : « Merci »

 

On prit une douche on se rhabilla, moi je restai un peu sur fin…

 

Au soir dans la chambre d’hôtel, il décida d’aller prendre une douche car il avait trop chaud, moi je matais la TV en français, il m’appela dans la salle de bain, il était dans la douche et me dis : « je n’ai pas pris la serviette dans le placard, tu peux me la prendre et me la donner ? », je suis allé dans le placard chercher sa serviette, il était sorti de la douche et m’attendais, je lui donna sa serviette et le mata de plus près au passage. Et là à ma grande surprise, il me dit : « viens on se tape une queue ?! », il commença a se branler doucement et je vis ca queue se durcir et se tendre au fur et à mesure, pour arriver vers le 21cm moi j’étais à l’étroit dans mon short.

 

Je fis valser mon short, illico presto et je bandai déjà un max, il me dit : « viens on va sur le lit on sera plus à l’aise ».

 

Une fois sur le lit, il demanda s’il pouvait toucher ma queue, ce que je répondis bien sûr par l’affirmative, il commença alors a me branler et moi je fis de même, on éjacula ensemble dans les mains de l’autre.

 

Le reste de la semaine continua et on n’a plus jamais reparlé de çà. 3-4 jours plus tard, voyant que la fin du séjour était proche, un soir avant d’aller coucher, je lui mis 2 somnifères dans son verre.

 

Il se foutu à poil et alla se coucher, et s’endormit comme une masse, au bout d’une heure, je me suis déshabiller totalement j’avais déjà la bite bien bandée, j’ai soulevé le drap, il dormait profondément, je l’ai caressé de partout, apparemment mes caresses ne restèrent pas de marbre pour lui puisqu’il bandait bien dur, je pris sa queue en bouche, il dormait toujours, son gland est rose et bien décalotté, j'en ai plein la bouche, le lèche, je tète, je n'en peux plus, mes coups de langue font grossir sa queue, elle devient énorme, j'alterne entre le gland, la hampe et les couilles, on voit bien qu'il n'a pas jouis depuis quelques jours elles sont pleines...

 

je me fait limer la bouche par la queue de mon pote, la grosseur de sa bite me remplit la bouche, je pousse légèrement et m'enfonce au fond de ma gorge, je me nique la bouche comme un malade, il me je lui fait mouvements de plus en plus rapides et de plus en plus profonds...

 

Je lui caresse le cul, il ne bouge toujours pas, je lui titille sa rosette, j’enfonce 1 doigt puis 2 puis trois, il est serré il ne s’est jamais fait péter le cul je vais le dépuceler à son insu (sans qu’il le sache enfin j’espère…^^).

 

Je lui lèche le cul avec ma langue pendant au moins 10min,je mets une capote et lui enfonce d’un coup sec ma queue au fond de son cul, il ne se réveille même pas, ces cachets la sont excellents…^^

 

Je lui laboure le cul comme jamais, déjà 15 min que je le pilonne, je n'en peux plus, je suis repus, quand soudain mes coups de buttoirs deviennent de plus en plus saccadés, j’accélère la cadence, je sens ma bite grossir, je vais jouir…

 

Je sens le sperme remplir la capote, je grogne, je suis aux anges !!! Je reste en lui, je lui caresse le dos, les épaules, l'attire contre moi, je suis toujours en lui je tourne la tête et l'embrasse, il dort encore profondément. Je me retire de son cul et retire la capote, elle est pleine il y avait vraiment longtemps que je n'avais pas éjaculé comme ça…

 

Je reprends sa queue en bouche , je vais de plus en plus vite, il va jouir, je sens des soubresauts qui lui remontent des couilles et je sens sa bite se durcir encore plus... je n'ai pas le temps de me retirer, et de surcroit je ne peux pas, je sens un goût sucré au fond de la gorge, il a jouis, 4, 5 éjaculations d'une quantité énorme, j'ai du mal à tout avaler, le surplus déborde de ma bouche et je m'écroule sur son dos.

 

Je le laisse le repose sur le lit remet le drap et m’endors. Le lendemain matin au réveil, il me dit : « j’ai mal dormis et je pense que j’ai fait un cauchemar, et surtout j’ai mal au cul ». Je lui dis : « c’est normal avec cet que tu as bouffé épicé hier soir ».

 

Il se lève avec la trique, je lui dis : « tu as toujours la gaule toi ! », il me répond : « normal c’est le matin, tous les mecs on la gaule le matin… » Et va prendre une douche. Il revient dans la chambre à poil, je pense qu’il est un peu exhibe. Je sors mon portable et le prend en photo, il me demande de supprimer immédiatement, je fais une copie et supprime devant lui.

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Lundi 4 novembre 1 04 /11 /Nov 17:51

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J'adore aller à la piscine, pour nager, mais surtout pour mater les beaux mecs musclés en slip qui moulent leur grosse queue. Là- bas, il y a quelques rebeus, j'adore ça, les racailles bien viriles qui sont en fait tendre comme des agneaux. Donc cet été, j'étais parti à la piscine, il faisait très chaud et j'avais besoin de me rafraîchir, mais surtout de mater, dès que je suis arrivé au bord de l'eau, je l'ai vu, un bogosse, de 30-35 ans, brun, peau mate et yeux d'un noir profond, il avait des beaux abdos luisant avec l'eau ruisselant puis son slip noir, qui moulait bien une bite qui m'intéressait. Bien qu'il était presque nu, je le déshabillai du regard, ce ne fut pas long, mais j'aimais regarder ses formes d'athlète. Je restais jusqu'à ce qu'il parte pour se doucher, c'est à dire, 1h environ après mon arrivée dans la piscine. Je le suivis. Il alla dans les douches, des douches communes. Je me plaçais un peu plus loin pour me doucher et pouvoir le regarder, quand il s'aperçut que je le matais longuement. Il m'a souri comme personne ne me l'avait fait, d'ailleurs, ça m'a filé une érection légère. Il me dit :

-Alors je te plais ? Tu n’arrêtes pas de me mater.

- Bah, euh, non pas tellement.

- Ne me racontes pas d’histoires, j’ai bien vu que tu me regardais. Mais moi aussi depuis tout à l’heure je te mate et j’espérais bien que tu me rejoignes. Je m’appelle Karim et toi ?

- Grégoire.

Il m’a fait signe de le suivre, nous avons été dans une cabine. A l’intérieur, nous enlevâmes notre boxer. Nos queues, encore toutes mouillées par l'eau de la douche étaient raides comme un piquet. On n’a même pas dit un seul mot, il m'a regardé dans les yeux et je me suis accroupi. En bas, sa queue était encore plus impressionnante, au moins 20 cm et 5cm de largeur, elle était tellement belle que je l'ai attrapé d'un coup et je l'ai bouffé, il poussait des petits cris de plaisir, ce qui m'incitait encore plus à lui pomper la teub, à lui lécher ses belles couilles rasées. Il m'arrêta, il me releva, il me serra dans ses bras et me roula une pelle, je sentais sa langue chaude caresser la mienne, c'était le paradis sur terre. A ce moment, on tapa à la porte :

-Eh les mecs, je peux vous rejoindre ?

Pour toute réponse, Karim ouvrit la porte et un petit minet âgé d'une vingtaine d'années entra dans notre cabine. Il était blond et avait gardé son slip.

-Je m’appelle Christophe.

- Karim.

-Grégoire.

 

A trois dans les toilettes, on était un peu à l'étroit, mais Karim trouva une solution, il s'assit sur le petit banc, écarta les jambes et nous fit l'éloge de sa queue. Il enfila une capote ; alors je me m’assis sur lui et j'enfilais sa bite dans mon cul. Ses petits mouvements de va et vient me faisaient le plus grand bien ; Karim me tenait par les reins et me défonçait le trou, Christophe, accroupi, me branlait tout doucement et me roulait de magnifiques pelles. Puis il prit ma queue dans sa bouche. Je sentais qu’elle se raidissait un peu plus au contact de ses lèvres, sa langue. Nous étions encore tous les trois mouillé et une chaleur nous envahissait de plus en plus à chaque minute. Karim derrière me léchait le cou tout en me dilatant l'anus, il gémissait tendrement ; je le rejoignis pour lui montrer que j’avais beaucoup de plaisir mais bientôt mes gémissements devinrent presque des cris tellement sa queue me besognait. Soudain, il accéléra le mouvement et gémit de plus en plus fort, jusqu'à ce qu'il lâche sa crème chaude en moi. Christophe m'astiquait toujours aussi bien ainsi que sa queue. Karim se retira et s’accroupit à son tour pour pomper Christophe. Lui accéléra le mouvement sur ma queue et je crachai tout mon jus dans sa bouche grande ouverte. Il se leva et vint me rouler une pelle, c'était délicieux!!! Karim le pompait mortellement et il reçut bientôt tout le foutre de Christophe, qui râlait de plaisir, dans la gueule. Karim se releva et vient rejoindre nos langues pleines de jute tiède, nos trois langues se nouaient et se caressaient, on était tous les trois serrés l'un contre l'autre puis on s'arrêta on remit nos slips. Christophe nous appris qu’il était en vacances dans la région donc je ne le revis plus. Quant à Karim, nous habitions la même ville. Inutile de vous dire qu’après ça, on se revit très souvent. Je vous raconterai…

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Lundi 4 novembre 1 04 /11 /Nov 10:10

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Voilà, je savais qu'il allez ce passer quelque chose aux vendanges.

Luc beau mec modeste, grand, mince, cheveux mi long, un brin efféminé.

J'ai 18 Ans et je viens de faire mes premières vendanges dans le beaujolais .

Je suis imberbe, bien fait, une belle bite de 19/5 circoncis rasé comme la raie de

Mon cul qui est naturellement lisse et bien appétissant comme me l'on déjà dit bon

Nombre de mes plans., je suis passif jeune mais avec déjà pas mal d'expérience même si je rest assez timide surtout dans un milieu de pur hetero .

Je vous passe les détails de mon arrivée et installation hors ce flash ...

Le premier soir, présentation de la propriétaire, de sa famille et de l'équipe, des gens de tout âges et tous les milieux, pour un nombre équitable filles et garçons.

Les chefs d'équipes et les porteurs de seaux étaient turcs au nombre de 4, deux âges les chefs et deux porteurs jeunes et superbes, des bêtes de la nature Assam et John le plus beau gosse .

 

Permis mes collègues je remarque surtout Xavier, il a 21 ans, il veux être œnologue et viens pour découvrir ce secteur, moi pour le fric. Je me débrouille pour être près de lui au dortoir et très vite nous échangeons . Nous sommes aussi ensemble pour le premier repas il est craquant, étudiant, mannequin pour un magazine de sport, il est aussi prof de ski . De ses 1,85 il semble hautain et prétentieux , il est blond yeux bleux super bien foutu ... Après le repas nous sommes allé chercher ses affaire dans son coupe sport, monsieur est le seul venu en voiture . Il me propose de faire un tour un soir si nous ne sommes pas trop hs . Je suis complètement bouché bée quand nous rentrons au dortoir, il se met en caleçon pour dormir son corps me fais partir dans des songes ...

 

- eh t es parti ou ?

- euh non . Suis la je ...

- Ben tu vas pas dormir tout habillé non ?

- non mais voilà quoi j'ai pas l habitude

 

Je suis bien con assis sur mon lit, le regard perdu sur le sien pendant que les quelques autres s'affairent à se coucher sans prêter attention à son voisin.

C'est une tape sur la cuisse qui me fais revenir, Xavier me dis de me dessaper et de le coucher, un clin d'œil et il se tourne.

 

J'en profite pour vite me glisser sous les draps et me déshabiller ensuite .

Une bonne nuit en fait a cause du trajet et de la retombée du stress. Personne ne se lave, c'est direct au petit déj et hop au taff. Nous avons pris notre café côté à côté avec Xavier il est doux et très protecteur, je suis sous le charme. Direct il me demande si il peut espérer rester en ma proche compagnie la journée comme la nuit avec encore un clin d'œil et une main caressante sur la cuisse .

 

Superbe journée je suis heureux le travail passe vite l'ambiance est bonne, sauf avec les turcs qui se moquent de moi sans cesse.

Le soir direction les sanitaires, par timidité je laisse passer tout le monde, de plus j'ai perdu Xavier je ne sais pas ce qu'il fait j'ai un peu d'angoisse mais je rentre enfin dans une cabine de douche et bien sur eau froide ! Je suis à enfiler mon pantalon de sport quand Xavier frappe

 

- ouvre c'est moi

Je tourne le loquet il entre et me plaque au mur en m'embrassant, il est propre et changé superbe comme sorti d'un défilé de mode

- il y a une douche séparée à l'étage c'est pour les chefs mais ils vont au camping demain tu viendra avec moi, viens vite manger après on fait un tour en voiture

Un autre baiser et il disparaît . Je prends la direction du réfectoire et je croise les turcs qui me sifflent, ils me rattrapent en courant et chacun d'un côté me mettent une claque sur les fesses en disant " bon appétit avec ton mari"

 

Le repas me semble interminable, Xavier parle avec tout le monde, je n'ai qu'une envie c'est de partir avec lui en voiture comme il me l a dit. En effet alors que certain regagnent le dortoir, d'autre fument et racontent des histoires nous partons Xavier et moi faire un tour avec son coupe sport allemand. Sur la route à la sortie de la propriété nos amis turcs nous font ds gestes équivoques .

- laisse ils sont jaloux mais pas méchant et tu es si craquant c'est normal tu les excite .

Nous prenons un verre au village voisin, la conversation est intime, enfin on peux mieux se dévoiler. Xavier aussi à senti le coup de foudre il a envie de me connaître mieux dans un autre contexte .

 

De retour à la voiture nous nous embrassons a perdre le souffle, il me caresse, passe ses mains sous mes fringues nous sommes chauds l'un et l'autre.

Nous manquons de temps et d'intimité mais il est si chaud qu'il me demande de le sucer dans la voiture. Je me penche pour prendre en bouche sa queue raide propre énorme ... Je le suce avec application et gourmandise et lui me doigte c'est facile car je n'ai pas de slip et je mouille grave .

Il gueule de plaisir, me disant qu'il va jouir vite, qu'il a envie de me faire l'amour qu'il faut rentrer et le ahhhh qu'il prononce d'un son grave s'accompagne de 4 jet de sperme au fond de ma gorge .

 

Je n'ai pas le temps de dire un mot il me roule une pelle et démarre la voiture, nous rentrons au dortoir éclaire par son portable. Il se met au lit nu en ayant pris soin de rapprocher les lits, alors que je m'allonge pour me déshabiller sous les draps, sa main viens serrer ma bite toujours en érection , il me masturbe en douceur, je joui rte vite dans sa main qu'il me donne a lécher caressant mon visage, puis ill s'endormit.

 

Même timing le lendemain, et ainsi pendant une semaine sauf que nous utilisions la douche des chefs ...j'ai pu contempler son corps de rêve, le parcourir avec mes doigts, ma langue mes yeux . J'ai pu me rendre compte mieux de la taille de son sexe 22/6 et ses couilles lisse lourdes, tombantes comme je n'en avais jamais vu, au repos elles dépassaient sa bite de bien 5 cm grosses comme des balles de golf j'adorais jouer les faire rouler les happer, les lécher et par dessus tout les sentir claquer contre les miennes lorsqu'il me pénétrait avec la force d'un turc... Jamais je n'ai éjaculé en me touchant, le plaisir était si fort que chaque fois je jouissais sans me toucher, parfois ma vessie se vidait seule tellement il me labourait le ventre avec sa queue énorme si large, au gland si épais que je pleurais avant de prendre du plaisir, mon trou c'est vraiment ouvert en une semaine je mouillait de plus en plus, étant obligé de me relever la nuit pour évacuer son sperme mêlé à une quantité de mouille impressionnante .

 

Nous fessions l'amour plusieurs fois par jours, je matin nous nous arrangions pour arriver les derniers au petit déj, car je voulais sa queue tendue grosse, brillante avec ses veines prêtez à exploser et se gland qui me fessait si mal à rentrer mais qui me donnait tant de jouissance . Donc fessant traîner, des le dernier sorti du dortoir, il s assaillait au bor du lit et moi, lui tournant le dos je venait m'assoir sur ce monstre enduit de lubrifiant de fortune . Je restait le cul ouvert toute la journée, humide, avide de son sexe qui n'avait pas eu le temps de déverser en moi ses jet de sperme épais . Car cette particularité m'avais bluffé, son sperme était si épais qu'il fessait comme des grumeaux, la première fois dans la voiture je n'avais rien vu car obligé d'avaler directement mais alors qu'une autre fois alors qui me démontait sur le capot de la voitur, il avait jouit sur mon ventre et c'est la que j'avais pour la première fois vu de la purée de sperme.

 

C'est donc le soir, soit sous la duo je que nous reprenions notre pénétration du matin sans aller jusqu'au bout là non plus, il ne me fécondait qu après le dinner au moment de notre sortie tardive . Chaque soir nous croisions les turcs et chaque fois ils nous fessaient des signes sexe, la journée ils passait a côté de moi et me touchaient le cul en disant que je serait leur femelle que j'étais bien ouverte et gourmande. Xavier était en face de moi dans l'autre rangée et il riait, moi j'avais peur. Le dixième jour je ne fit pas attention au fait que Xavier ne soit pas à mes côtés, je parlais avec une copine a qui ses enfants manquaient.

 

Ce n'est que lorsque je pris ma rangée avec le fils de la propriétaire, un mec de 60 ans un peu simple que je réalisait qu'il n'était pas la ! John vont rapidement me renseigner sur le pourquoi. Ton homme est parti sans te dire au revoir, il t a confié à nous ne t'inquiète pas, on va biente protéger.

 

Je ne fut pas très tranquille, sans plus d'explications mais la journée fut douce. Le soir je vint a la douche des chefs espérant le retour de xav, je me savonnais langoureusement lorsque les deux turcs firent irruption dans la douche, nus le sexe dressé comme des gourdins

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Dimanche 3 novembre 7 03 /11 /Nov 14:17

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Je travaille dans un business center où j'occupe un petit bureau. Il y a une bonne ambiance et quand un nouveau locataire arrive, nous organisons un repas apéro afin de faire connaissance. J'avais reçu la convocation pour cet apéro : un nouveau venait de louer un petit bureau individuel. Vers midi, la quinzaine de personnes travaillant ici nous réunissons en salle de réunion où la secrétaire du centre nous présente Marc, un grand black, au moins 1m95, costaud, le crane chauve avec des lunettes carrées. La secrétaire nous présente puis nous trinquons tous pour lui souhaiter la bienvenue. Le repas se passe très bien, et vers 14 heures, je retourne à mon bureau, un peu brisé par le vin rouge qui ne manquait pas à ce repas.

Vers 17h30, le centre se vide, et certains qui veulent travailler un peu plus tard restent. Je sortais de mon bureau faire une photocopie quand je vis Marc s'approcher de la machine à café.

- Le café est vraiment pas terrible ici, lui dis-je, tu veux venir prendre un café dans mon bureau? Ce sera bien meilleur!

Marc accepte volontiers et me suit dans mon bureau où je prépare deux expresso. je suis assis sur mon fauteuil, prépare les cafés, et Marc se tient debout juste à ma droite, ce qui me permet de voir une belle bosse sous son pantalon de costard noir. je remonte du paquet à son visage et constate qu'il me fixe avec un sourire, il a bien vu ce que je matais... Alors, sans passer par quatre chemins, il me dit :

- Allez vas-y, j'ai bien vu que tu en avais envie.

Je lève les yeux sur lui sans rien dire, et il insiste :

- Allez vas-y touche!

Alors, toujours toujours sans rien dire, je le regardai dans les yeux et mis une main sur son paquet. Oh my god! ça avait l'air bien remplis la dedans! Je caressai d'une main son paquet quelques instants, puis baissai la braguette de son pantalon, y passai une main et continuai mes caresses directement contre son boxer. Je lui détachai sa ceinture, déboutonnai son pantalon, qui tomba immédiatement sur ces chevilles, me laissant face à face avec son boxer gris où se dessinait une énorme paire de couilles et sa verge déjà grossie qui tendait son boxer. La bosse ne m'avait pas trompée, il était monté comme un âne! Je continuai de caresser ce paquet du bout des doigts, puis, caressant ses couilles du bout des doigts, je commençai à embrasser sa verge toujours à travers le boxer, dont il avait mouillé le bout au niveau de son gland. Sans plus attendre, je libérai cette énorme queue noire de son boxer, son gland humide, en se libérant, est venu me choquer le visage. Quel morceau, jamais je n'avais vu de si grosse queue de ma vie! Je pris ses couilles entre mes mains et commençait à lui lécher la tige, partant de la base et remontant jusqu'au gland rose et humide. arrivé en haut, je le branlai de ma main gauche, décalottai complétement son énorme gland brillant, et, excité comme une chienne, je me jetai dessus et le pris en bouche, je m'appliquai d'abord à lécher son gland, ma langue caressant chaque centimètre carré de cette peau douce et chaude, et je commençai à pomper plus profond, la bouche grande ouverte, pour accueillir le maximum de son énorme bite, qui devait atteindre tranquillement les 22-23 cm pour un bon diamètre! je me sentais vraiment dominé, il me souriait en me regardant de haut lui limer la queue, et ça m’excitait beaucoup, j'ai alors moi aussi baissé mon pantalon, libérant ma queue dure comme du bois, et continuai à le pomper tout en me branlant.

Maintenant, c'est lui qui donnait le rythme, donnant de petits coups de reins qui me faisait prendre sa queue de plus en plus profond dans ma bouche, j'étais fou d’excitation, à sentir coulisser sa queue entre mes lèvres, sentir son gland chaud et doux sur ma langue. Il accélérait le rythme en me tenant la tête de ses deux mains pour que je pompe à fond, et il me força alors à une gorge profonde, une première pour moi. Je pensais ne pas tenir mais je m'habituai vite et le laissai me défoncer la bouche pendant que je me branlais frénétiquement, son pieu était maintenant complétement raide et il lâchait des petits gémissements en fermant les yeux quand son gland venait frapper au plus profond de ma bouche.

Il se retira alors, et se mis à genoux entre mes jambes, et commença à son tour à me sucer. Il engouffra directement mes 17cm de bite, qui parfois me rendaient fiers, mais qui aujourd'hui me paraissaient un petit jouet à coté du monstre qui venait de me prendre la bouche. Je bandais à fond, me retenant car j'aurais pu éjaculer déjà plusieurs fois pendant que je le suçais. Tout en me suçant, il me caressait les couilles et rapidement vint me titiller la rondelle. J'écartai alors les jambes, en levant une sur mon bureau, et l'autre sur son épaule, lui offrant alors grand ouvert mon petit cul de salope au milieu duquel mon petit anus rose parfaitement épilé attendait qu'on s'occupe de lui.

Pendant un moment, il continua de me pomper la bite à fond en me caressant l'anus du majeur humide qu'il venait de me mettre dans la bouche, puis je sentis son doigt me pénétrer, d'un petit centimètre à peine, et commencer un petit va et viens ainsi peu profond, tout en continuant de me lécher des couilles au bout du gland. Son doigt forçant l'entrée de mon petit cul me donnait tant de plaisir, que c'est moi qui finalement donnai un coup de rein et m'empalai sur son doigt qui pénétra mon anus en entier. Mon beau black me jeta un regard en souriant, et toujours sans rien dire, me mis alors un deuxième doigt et me pénétra ainsi de toute sa longueur. Sa langue vint alors me lécher le bout du gland, redescendit le long de ma tige jusqu'à mes couilles pour descendre encore jusqu'à mon petit trou rose. Il me tenait, affalé sur mon siège, les deux jambes en l'air, pendant qu'il me léchait la rondelle, faisant des cercles autour de mon anus, puis me pénétrant du bout de sa langue chaude. J'étais aux anges, chaque coup de langue me donnait un plaisir fou, j'avais les jambes écartées, attendant la sentence comme une salope en chaleur. Après m'avoir littéralement bouffé le cul encore quelques minutes, il se releva et me mis son sexe en bouche. Je commençai immédiatement un va et viens rapide afin de le refaire durcir au maximum, pendant que je me doigtait le cul frénétiquement, en mettant maintenant 4 doigts dans mon anus déjà complètement dilaté.

Une fois sa bite de nouveau dure, il me fit me lever, me mit face à mon bureau, me plaqua dessus, offrant ainsi mon cul à sa vue, cambré, prêt à recevoir cette énorme queue. Il enfila rapidement une capote puis vint jouer avec sa bite sur mes fesses, me donnant des coups, la faisant coulisser dans ma raie. Je transpirais à fond, super excité au contact de ce sexe chaud que mon petit cul excitait tellement.

Après quelques fessées et quelques coups de gland, je sentis sa queue se positionner sur ma rondelle, je me cambrai au maximum afin de faciliter la pénétration, et je sentis alors son gros gland me prendre le cul, m'arrachant alors un gémissement de plaisir. Il resta quelques secondes sans bouger, le temps que son gland finisse de bien dilater mon anus brulant, puis commença un lent va et viens, de plus en plus profond : chaque fois qu'il se retirait d'un centimètre, c'était pour s'enfoncer de deux de plus au coup suivant, jusqu'à ce que je sente ses lourdes couilles se choquer contre mes petites fesses douces. Quel plaisir de sentir cette énorme queue en moi. Je me sentais complètement dominé, pris en levrette par un mâle, sans autre issue possible que de le vider de son sperme chaud. il me tenait les hanches et me donnait des coups de plus en plus rapides et plus en plus forts, je gémissais de plaisir à chaque coup de burin, et je sentais que mon homme peu à peu montait lui aussi, son corps transpirait à chaudes goutes, son sexe se raidissait dans mon cul et il lâchait des petits gémissements. Il se retira alors, me releva, et m'allongea cette fois sur le bureau, me mit les jambes en l'air contre ses épaules, et m'enfourna sa longue queue de nouveau dans le cul. Il me pilonnait à fond en me tenant les jambes en l'air, et après quelques allez retour, n'en pouvant plus, j'éjaculai à grosses giclées sur mon ventre, sans même me toucher, en laissant s'échapper des râles de plaisir. Il m’étala alors mon jus sur tout le torse, me lécha les tétons recouverts de sperme, puis, la main pleine de sperme, il se l’étala sur la queue et continua à me pilonner, utilisant mon sperme comme lubrifiant. Cette fois c'est lui qui gémissait de plus en plus fort, et après quelques minutes encore à me ramoner la rondelle, il se retira, enleva la capote, et commença à se branler au dessus de mon torse. Je ne voulais pas perdre son jus, je me redressai alors, le branlai à mon tour en lui léchant le gland. Il lâcha soudain un grand râle, alors que je tenais son gland sur ma langue, et je sentis un premier jet puissant et chaud me remplir la bouche. J'avalai une partie, le reste me dégoulinant des lèvres, mais déjà un autre jet me remplissais de nouveau, j'en avalais encore une bonne partie, et retirai sa queue de ma bouche, il m'envoya alors 3 autres jets puissants en plein visage, j'étais recouvert de sperme, il me passa alors le gland sur le visage, me l'enfonçant régulièrement dans la bouche pour que je le nettoie.

Il se rhabilla pendant que je m'essuyais au mieux, en me remerciant pour ce super accueil, ça allait être un plaisir de faire des heures sup' ici! Pour ma part j'étais épuisé, le cul en feu, jamais je ne m'étais fait prendre par une si grosse queue, quel bonheur! je le remerciai à mon tour en lui disant de vite revenir boire un café! Il me mis une bonne fessée, et me dit "tu as vraiment un petit cul de chienne, merci! J'ai hate de remettre ça!"

Depuis, régulièrement, Marc passe boire un café, et je lui vide les couilles en bonne salope soumise, mettant mon petit cul à disposition de son énorme queue.

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