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fan de histoires de mec

Vendredi 29 juin 5 29 /06 /Juin 18:36

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Il y avait eu quelques tentatives de vol chez moi et mon père qui était un collectionneur de pièces assez précieuses avait dû faire appel à un réparateur du système d’alarme.

Rémi était un type qui travaillait au noir et s’était engagé à venir plusieurs jours de suite pour remettre aux normes l’installation insuffisante et y ajouter une vidéo surveillance. Il était ce genre d’hommes qu’on ne remarque pas au premier abord mais qui dégage quand on l’observe un certain magnétisme. Sans être beau, selon les critères classiques, il avait du charme.

J’étais de mon côté à une période un peu indécise, je n’avais fait que sortir avec des garçons de mon âge mais n’avais pas encore connu un vrai premier rapport sexuel. Je sentais que je commençais à être en manque. Je me mis dans la tête que Rémi était gay et qu’il serait celui qui me dépucellerait. N’étant pas très doué pour la drague, mes premières approches restèrent sans effets. Mon réparateur que je convoitais semblait trop macho et m’ignorait complètement. J’avais beau guetter n’importe quel signe, rien ne venait.

Un jour pourtant je fis une trouvaille surprenante. Près d’un canapé qui était resté dans l’une des pièces en réparation, j’y découvris un boxer blanc, roulé en boule. J’imaginai tout de suite Rémi le porter et l’ouvrit. Apparemment il avait été utilisé toute une journée car il avait une légère odeur d’urine et une fine traînée brune à l’arrière. À l’intérieur, il y avait un préservatif vide et qui avait séché. En le déployant, je vis à sa couleur qu’il avait servi pour une sodomie. Leurs parfums étaient aphrodisiaques, je léchai les tâches pour tenter de découvrir un peu de ce qui m’échappait.

La première question était sur qui le préservatif avait servi. Rémi avait pu l’oublier lorsqu’il avait retiré son bleu de travail. Ce ne pouvait être Sébastien, son aide de 15 ans, car celui-ci était beaucoup trop fluet; par ailleurs j’avais remarqué qu’il portait toujours des sous-vêtements colorés sous ses pantalons baggy.

Je fis donc en sorte de me retrouver au moment où Rémi terminait son chantier quotidien pour lui remettre son sous-vêtement. Il se changeait dans la salle de bains, je fis semblant de la nettoyer à l’instant propice. Il arriva et ne fut pas décontenancé de me voir laver paresseusement les carreaux. À ma grande surprise, je le vis ouvrir le haut de son bleu et le faire glisser jusqu’à ses hanches, il portait un tee-shirt, prendre sa bite en main et se mettre à pisser devant moi! Il ne portait pas de sous-vêtement... Il me dit en rigolant qu’il n’en mettait quasiment jamais. Il resta bien quelques minutes après avoir terminé à laisser s’écouler les dernières gouttes. J’avais les yeux rivés sur ses belles couilles bien pendantes, on comprenait pourquoi!

— Tu as quelque chose à me dire? me demanda-t-il.

Je ne réfléchis pas et lui avouai directement que je voulais faire l’amour avec lui. Il ne parut pas surpris.

— Euh, c’est flatteur, mais je ne suis pas pédé. Je ne dis pas que je veux pas essayer, mais si à la rigueur j’acceptais, ça ne serait peut être pas ce que tu cherches vraiment. Je t’avoue que j’avais bien remarqué que tu étais homo mais pour moi ce n’est pas aussi clair.

Je n’en revenais pas qu’il soit aussi naturel et de peur de perdre une occasion, je lui répondis:

— Écoute, je suis prêt à faire ce que tu veux, fais-moi une proposition.

Comme on arrivait au week-end, il me dit qu’il me donnerait sa réponse le lundi. Je passai un samedi et un dimanche sur un petit nuage, ne faisant même pas attention à mes parents qui se faisaient la tête. Ma mère en avait assez des travaux qui duraient depuis trop longtemps dans la maison et l’empêchaient d’y passer comme d’habitude l’essentiel de ses après-midis. Je m’endormais le soir avec le boxer que j’utilisais comme un doudou en étant à peu près sûr que c’était celui de mon futur amant.

Enfin le moment arriva et Rémi me proposa la chose suivante:

— Comme beaucoup d’hétéros, j’ai des fantasmes homos. J’avoue que j’aimerais bien que tu m’encules. Mais je ne supporterai pas que tu me parles, me caresses ou même que tu me voies. J’ai eu l’idée suivante, je vais me positionner de telle manière à un endroit précis, dans une pièce qui sera complètement sombre, tu viendras, me prendras et partiras aussitôt.

Je bandais rien qu’à écouter son récit, ce n’était pas très sentimental mais comme je n’avais pas d’expérience, j’aimais autant que cela se passe ainsi sans que l’on se parle.

Tout se passa comme prévu, j’entrai dans la chambre qui avait été préparée et était entièrement calfeutrée. Je distinguai dans la pénombre sur le lit les fesses blanches proéminentes de celui qui s’était installé pour se faire prendre directement. Ma bite me faisait mal tant elle était dure. Je pris un préservatif et un peu de gel et appuyai doucement sur l’anus qui s’ouvrit délicatement absorbant mon sexe petit à petit. Une fois tout au bout, j’interrompis mes mouvements, c’était trop bon. Je distinguai également qu’il portait une cagoule comme prévu. Je ne pus m’empêcher de glisser mes mains sous lui pour sentir sa queue bien dure et ses boules qui s’étaient rétractées, mais il me donna un coup avec les siennes et je me rappelai que je ne devais pas le toucher. Je n’eus pas besoin de rester longtemps en lui car je jouis rapidement. Je fis là aussi ce qui était convenu, je lui vidai le contenu du préservatif sur l’anus pour que cela lui coule entre les cuisses. Je devinai grâce aux bruits en me réajustant qu’il se doigtait le cul, se passait les mains sur les jambes et se léchait après. Je sortis tout content de moi.

En avançant dans le couloir, j’entendis dans les toilettes qui jouxtaient la pièce où je venais de connaître mon premier acte sexuel. Une sonnerie de portable qui fut coupée puis suivie d’une voix sourde. Il y avait quelqu’un d’autre dans la maison: maman, papa, Sébastien?

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Vendredi 29 juin 5 29 /06 /Juin 17:25

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Il y avait quelqu’un d’autre dans la maison: maman, papa, Sébastien?

Pétrifié, j’ouvris la porte et découvrit que ma mère était en train de se faire enculer par Sébastien. Elle avait un bâillon sur la bouche pour ne pas faire de bruit et je vis que sa chatte était occupée par un sex toy. Sébastien semblait tout à fait maîtriser la situation et mon irruption ne l’interrompit pas. J’étais fasciné par la taille de son sexe qui entrait et sortait du cul maternel. Ce qui me surprit fut de constater qu’ils avaient en ligne de mire un moniteur qui montrait ce qui se passait dans la salle à côté, celle d’où je venais. Avaient-ils tout vu?

Je sortis de la pièce, l’esprit empli de questions et attendit qu’ils terminent leur petite affaire. Cela prit du temps, ce qui me montra qu’ils n’avaient pas du tout été gênés par ma présence. D’ailleurs lorsqu’ils finirent par apparaître, ils étaient bras dessus, bras dessous et ma mère me dit au passage en guise d’explication: «Que veux-tu, ton père ne me touche plus, je ne suis pas de marbre!» Sur ces mots, elle fila prendre une douche et me laissa avec un Sébastien goguenard qui n’arrêtait pas de se toucher en me disant qu’il n’arrivait pas à débander.

Je lui demandai des explications pour la vidéo et il me répondit qu’elle était à infrarouge pour voir dans le noir et que c’était Rémi qui leur avait dit de regarder. Ce dernier était donc exhibitionniste? Cela ne cadrait pas avec ce qu’il m’avait dit. De plus il avait disparu après notre partie de jambes en l’air. Sur ces faits, mon père surgit, je n’avais pas le cœur à lui apprendre ce qui se passait sous son toit, d’autant que ma mère vint lui faire une scène à propos du linge qu’il venait de déposer à laver. L’affaire prenait un mauvais tour quand tout à coup papa, pour essayer de retourner la situation à son avantage, l’accusa de lui avoir perdu son unique boxer blanc. Un déclic se fit dans ma tête. Ma mère, devenue mauvaise, lui lança alors: «Tu n’as qu’à mieux chercher, demande donc à ton fils chéri!» J’étais rouge de confusion, elle savait donc tout de mon fétichisme.

Le lendemain, j’attendis Rémi avec impatience pour le remercier. Il me dit qu’il n’y avait pas de quoi que c’était moi qui devait être complimenté. Je le flattai encore un peu et il se sentit obligé de surenchérir:

— Merci surtout d’avoir respecté à la lettre nos engagements.

Je lui répondis que j’avais eu du mal à ne pas lui parler en l’enculant. Il ajouta:

— Et de ne pas m’avoir touché.

Je me mis à rire et lui dit:

— De toute façon tu ne m’as pas laissé faire!

Je vis alors qu’il ne saisissait pas de quoi je parlais...

— Tu sais quand tu as frappé ma main qui était un peu baladeuse.

— Ah oui, dit-il un peu hésitant. Mais du moment que tu ne me prenais pas la bite.

— Mais je l’ai fait...

Il y eut un blanc que j’interrompis.

— Ce n’était pas toi hier?

— Autant te l’avouer, non.

— Qui alors?

— Ton père!

Je ne sus que répondre. Rémi reprit la parole:

— Écoute, depuis que je suis là, vous êtes tous sur mon dos, ton père, ta mère qui voulez coucher avec moi et toi qui t’y mets. J’ai mis Sébastien sur le coup à ma place, mais hier je ne pouvais pas le dédoubler et je n’avais pas envie de le faire alors j’ai tout manigancé. Ton père veut être pris dans le noir menotté, bâillonné, ta mère est une voyeuse, je leur ai donné satisfaction, Sébastien qui ne demande que ça a pu se vider les burnes et toi aussi, non?

Dans ma tête tous les morceaux s’imbriquaient, Sébastien avait dû enculer un jour papa, j’en avais retrouvé les traces. Que faire désormais? Je connaissais les désirs intimes de mes parents et je proposai le plan suivant: puisque maman aimait voir des mecs s’enfiler, j’allais baiser mon père devant elle pendant que Sébastien reprendrait sa place dans son cul.

Ce fut fait rapidement mais en pleine action, mes parents se rapprochèrent et malgré nos deux présences à Sébastien et moi en eux, ils s’accouplèrent. Nous formions un ensemble à quatre têtes que Rémi filmait en se branlant. Je lui avais demandé une faveur. Puisqu’il n’était pas homo, accepterait-il de décharger sur moi. Il s’exécuta, dispersant sa semence sur mon visage, mais aussi sur mes trois autres partenaires. Je me fis ensuite enculer par Sébastien, décidément très tonique puisqu’il baisa après mon père pendant que maman suçait Rémi qui participait enfin. Quel bon plan au final!

 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Vendredi 29 juin 5 29 /06 /Juin 00:39

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De nouveaux voisins venaient de s’installer dans mon quartier. Ils prenaient la place d’une famille, au sein de laquelle j’avais beaucoup beaucoup sympathisé avec le fils, Alain, vu que nous avions eu ensemble notre première expérience. L’éveil de notre sexualité avait été assez chaud, on ne pensait en effet qu’à se tripoter, se branler, regarder des films pornos hétéros et homos. On était presque au point de dormir régulièrement ensemble chez l’un ou l’autre.

Seulement voilà, Alain dut partir et il fut remplacé par une nouvelle famille avec 3 enfants dont un garçon de mon âge, Romain. Ce fut d’ailleurs la première question que j’ai posée à ma mère quand j’ai eu connaissance de leur installation: Y a-t-il un garçon? De mon âge? Je brûlais de voir, moi qui n’avait connu qu’un partenaire, si c’était aussi bon avec d’autres mecs. J’avais 15 ans, et je désirais en savoir plus, si j’étais vraiment homo.

Les premiers contacts ont été prometteurs, on s’est bien entendu assez vite, et j’étais impatient de passer à un stade plus intime. Malheureusement, Romain était un peu réticent.

Il avait chez lui une piscine où j’étais régulièrement convié, mais pas moyen de le voir nu. Alors qu’Alain n’avait quasiment aucune pudeur, soit Romain se changeait dans sa chambre, soit il se cachait derrière une immense serviette. Comme en plus il portait un short de bains assez large, je n’arrivais pas à estimer ce qui me faisait fantasmer de plus en plus. Je ne passais plus de nuit dans sa maison. J’en étais au point de le guetter quand il allait au toilettes pour l’espionner mais rien à faire.

J’ai essayé d’être un peu plus offensif et je l’ai dragué. J’ai acheté un boxer moulant, je me déshabillais devant lui mais il détournait le regard. Quand nous nous amusions à nous battre, j’ai eu plusieurs érections lorsque j’étais collé à lui, mais pas lui. J’ai essayé de discuter avec lui, j’ai inventé des filles avec lesquelles je disais que je sortais. Je lui ai dit que je me branlais chaque jour, il m’a répondu que lui ne l’avait jamais fait mais que 2 ou 3 fois, il avait eu des rêves humides et que sa mère lui avait dit que c’était normal. Je lui ai proposé de lui montrer, mais ça non plus il n’en a pas voulu. Bref j’étais tombé sur mon contraire absolu et j’en étais désolé.

En désespoir de cause, un jour, tout à coup, nous étions au bord de sa piscine, quand je me suis dit que j’allais essayer avec sa sœur qui avait 1 an de plus; après tout peut être que c’était ça ma voie. Elle était là, avec juste son bas de maillot de bains. Je l’ai observée sans qu’elle ne s’en rende compte puis mon regard a balayé les alentours quand j’ai eu un éclair de génie. Au moment où mes yeux se sont posés sur Vincent, le père de Romain. J’allais tenter le coup avec lui. Il était en vacances, ça tombait bien.

C’était un grand blond, de 40 ans, bien foutu avec un début de brioche mais qu’il portait bien. Il avait surtout de superbes yeux bleus, très vifs et quand il regardait quelqu’un on avait, l’impression d’être transpercé. Comme Romain s’était endormi sous la chaleur, j’ai proposé à Vincent une partie de badminton. Il a semblé un peu surpris mais a accepté. Nous avons vite été en sueur et quand nous nous sommes arrêtés, nous avions besoin d’une douche. La cabine était un peu en retrait par rapport à la piscine dans un petit pavillon en bois, il m’a laissé par politesse y aller le premier en disant: "Je vais chercher à boire." J’ai commencé à faire couler l’eau froide en faisant bien attention de tout laisser ouvert et comme j’étais en manque, j’ai bandé tout de suite. Vincent est arrivé, et il a dit:

— Dis-donc, tu n’es pas très pudique!

Croyant qu’il parlait de mon érection, je lui ai dit:

— C’est mécanique chez moi, dès que je me mets sous la douche, ça me fait de l’effet.

Il a rigolé et a ajouté:

— Je ne te parlais pas de ça mais des portes. Bon je retourne sur le bord, viens me chercher quand tu as fini.

J’étais un peu honteux et déçu et 5 minutes plus tard, je suis allé le chercher. Une fois que j’ai été sûr qu’il était sous la douche, je suis retourné prétextant l’oubli d’un objet, mais s’il avait laissé ouverte la porte du pavillon, celle de la cabine de douche était fermée, et je ne voyais rien. Tout à coup, il est sorti, j’ai sursauté de surprise. Il était superbe, une belle queue et de grosses couilles pendantes, rien à voir avec Alain. J’avais les yeux rivés sur sa bite. Il s’est réajusté les couilles ce qui ajouté à mon trouble, en disant:

— Qu’est-ce qui t’intéresse tant que ça?

Comme un idiot je suis parti, muet avec des tas d’images en tête.

Le lendemain, je suis revenu et cette fois j’ai changé de tactique. Je voulais être masseur plus tard (pour caresser des corps bien sûr...) et j’adorais m’entraîner sur tout le monde. Alain avait été un cobaye parfait! J’ai voulu commencer de manière anodine sur Romain, il n’a pas accepté, j’ai essayé alors sur sa sœur qui a été très satisfaite. La pauvre, si elle avait imaginé que pendant que je la massais, je pensais au corps de son père! Romain a finalement accepté, mais est-ce le fait qu’il a semblé vraiment insensible, alors que mon but était de lui arracher une petite bandaison, est-ce le fait que n’ayant aucun retour j’en ai vite eu assez, j’ai arrêté.

J’ai alors proposé à Vincent qui a refusé puis accepté, arguant qu’il avait mal au dos. J’ai sorti le grand jeu, comme je n’avais qu’une crème solaire améliorée, je m’en suis bien enduit les mains et j’ai commencé. Son corps était bien sur bien plus conséquent et musculeux qu’Alain, j’étais tellement perdu dans mes pensées que je ne l’ai même pas entendu me dire:

— C’est super bon mais pense à Romain.

En effet, celui-ci m’attendait pour jouer au badminton. Je n’en avais pas trop envie, j’y suis allé quand même et j’ai interpellé Vincent:

— Vous venez jouer avec nous?

— Je ne peux pas, je dois continuer à me faire bronzer le dos.

Le soir avant de partir, pris d’une envie pressante, je suis allé pisser contre une haie de leur jardin, quand tout à coup Vincent est venu me rejoindre et s’est mis à pisser lui aussi. Je n’osais pas regarder, il m’a dit en rigolant:

— Tiens tu n’es pas dans le même état qu’hier, dommage pour toi...

Le lendemain, je suis retourné à l’heure habituelle, Vincent était seul, Romain était parti faire des courses. Il m’a proposé de me baigner quand même. Cette fois je n’ai pas perdu le nord, je lui ai demandé si je pouvais y aller nu. Il m’a dit OK. En sortant de l’eau, je me suis enduit lentement d’une crème protectrice, en insistant bien sur les fesses, puis je me suis mis à lire une revue, couché sur le ventre mais les jambes assez écartées, la parfaite petite pute, tout ça pour l’exciter.

Vincent m’a demandé si je voulais boire, il m’a rapporté un verre, m’a questionné sur ma lecture. Il s’est agenouillé à côté de moi pour voir l’article que j’étais en train de parcourir. Le sentir près de moi m’électrisait, je me suis mis alors sur le dos, je bandais évidemment, la bite fièrement dressée. Vincent a souri et a dit:

— Je vais finir par croire que c’est moi qui suis à l’origine de ça.

— Vous avez tout compris! ai-je répondu, en n’hésitant pas à prendre sa main pour la mettre sur ma queue.

Il ne l’a pas retirée et a commencé un lent va-et-vient. Il m’a alors emmené dans le cabanon pour être plus discret. Cette fois, il bandait, et ses 25cm environ me remplirent la bouche quand je me suis jeté dessus.

— Petite salope, tu m’as chauffé à blanc, mais tu vas comprendre! a-t-il menacé.

Il m’a alors presque violé. Il a sorti un tube de gel et m’a enculé d’un coup. Il est resté en moi sans bouger puis s’est déchaîné, il s’est à nouveau calmé, puis a ressorti sa bite qu’il m’a fait prendre dans ma bouche. Il m’appuyait si fort la tête que j’avais l’impression que sa queue ressortait de mon cou. Il a sorti sa bite pour m’éjaculer sur la tête, j’en avais dans les cheveux, les yeux. Je bandais toujours.

— Alors petite pute, t’as aimé? Tu vas encore y avoir droit, t’as pas essayé avec mon fiston, tu voudrais te le faire?

Il m’a bouffé le cul en enfonçant la langue si loin, que j’avais des gouttes de sperme qui perlaient, tellement j’étais excité. Il m’a réenculé et m’a pilonné de plus belle, j’ai joui tout ce que je pouvais tandis que je sentais son liquide m’envahir. Il m’a alors embrassé:

— T’en veux encore mon petit chéri?

— Oui.

Il m’a alors attaché les mains sous le ventre, bandé les yeux et m’a fait, me plier sur le siège d’une chaise, la tête en bas, le cul en l’air. J’ai rebandé aussi sec. Il a alors sifflé et j’ai entendu une cavalcade et des halètements. C’était leur berger allemand qui obéissait à l’appel de son maître.

— Tu sais ce qui attend les chiennes de ton espèce, tu vas te faire saillir, tu l’as mérité.

Il a dirigé le chien vers moi et lui a mis le sexe juste en face de mon trou. L’animal ne s’est pas fait prier. J’ai eu un grand moment de frayeur, quand j’ai senti ses pattes chacune d’un côté de mon dos, sa grosse langue qui bavait sur mon cou, puis ça s’est calmé quand j’ai ressenti le plaisir que ça me provoquait. Vincent m’a alors planté sa bite dans la bouche et a joui en même temps que le chien.

À un moment j’ai tourné la tête et j’ai vu plus loin Romain qui nous observait, mal caché derrière un buisson...

À suivre...

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Vendredi 29 juin 5 29 /06 /Juin 00:30

Vincent vit que j’avais aperçu Romain.

— Approche fiston, viens prendre ta part.

Alors comme ça, Romain lui aussi baisait. Il se déshabilla vite fait, il avait une petite bite mais très ferme, il commença par m’embrasser voluptueusement.

— J’en avais envie depuis si longtemps, mais papa goûte toujours avant moi.

— Je vous laisse! a dit son père. Je ramène Prince à sa niche, il a été assez soulagé pour aujourd’hui.

— T’as aimé avec le chien? C’est lui qui m’a dépucelé. Papa l’a choisi exprès il y a 3 ans a ajouté Romain.

— Il va falloir que tu me racontes.

— OK mais pas avant qu’on soit allé plus loin.

On est monté dans sa chambre et on a fait l’amour tout en douceur, après les durs mais chauds moments que je venais de vivre. On a été chacun à notre tour actif et passif. Au rayon des surprises, j’ai vu qu’il y avait une caméra assez discrète au plafond. Romain m’a dit que son père faisait des films, que c’était comme ça que tout avait commencé, qu’il adorait baiser mais que Vincent était très strict, il fallait toujours qu’il soit sûr du mec et qu’il l’essaie lui ou le chien avant de lui laisser. D’ailleurs, il laissait souvent Romain voir, en cachette ou par d’autres caméras pour qu’il se fasse une idée. Tous les deux avaient vite deviné ce que j’avais en tête mais ils avaient voulu faire monter mon excitation et avaient très bien réussi.

Le lendemain a été l’occasion d’une partie mémorable à trois. Ainsi, mes habitudes reprenaient, décidément la maison de mes voisins me portait chance... Jusqu’au jour où je commis une bêtise: j’avais emporté une cassette de moi et Romain en plein ébat et par inadvertance, je me suis trompé de boîtier pour la ranger. Je n’ai pas eu le temps de m’en rendre compte. Le même soir, on frappa à ma porte, c’était mon père, rouge de colère. Avant de m’expliquer, il me balança une grosse claque qui me fit éclater en sanglot.

— Tu n’as pas honte, petit salaud d’avoir des rapports sexuels avec le fils des voisins.

— Je n’ai rien fait de mal!

— Menteur! Tu vois cette cassette, je viens de tomber dessus.

J’ai failli me sentir mal. Mon père m’a alors enfermé et m’a juré qu’il me ferait mettre dans une pension ultra stricte avec traitement médical et psychologique, il connaissait un établissement spécialisé. Je dus rester enfermé plusieurs jours, mais la colère de mon père se relâcha, et je réussis à m’échapper quelques fois pour rejoindre Romain et Vincent; ça ne durait jamais longtemps hélas.

Un jour que nous étions Romain et moi dans les bras l’un de l’autre, nus, on frappa à sa porte. Qui cela pouvait être? Vincent rentrait sans frapper. Romain mit un peignoir et ouvrit pendant que je me cachai dans un placard, c’était mon père! Il le fit entrer à sa demande et mon père se mit à lui parler.

— Tu sais Romain, je sais tout pour vous deux. J’ai été dur pour lui mais c’est pour son bien. Je veux qu’il se marie et me donne des petits enfants.

— Mais Monsieur, on s’aime!

— Ce n’est pas de l’amour, c’est physique. Vous êtes jeunes tous les deux, tu es bien formé, c’est explicable. Vous faisiez ça souvent?

Mon père a posé plein de questions, j’étais assez gêné pour Romain qui a bien répondu, assez discrètement. Mon père s’est alors montré plus insistant.

— Tu lui as fait du bien?

— Je pense...

— Tu es bien monté alors?

— Je n’ai pas de point de repère.

— Et par rapport à moi?

Là j’ai vu mon père prendre la main de Romain, la mettre sur son pantalon qui avait une grosse bosse. Comment allait réagir ce dernier? Je vis également la caméra du plafond légèrement pivoter, Vincent devait donc tout voir. Allait-il laisser Romain contrairement à son habitude? Quelques minutes passèrent et on frappa à nouveau. C’était Vincent qui dit à Romain:

— Mon fils, le père de ton copain estime que tu es allé trop loin, il m’en a parlé et demande un dédommagement, tu vas donc t’exécuter.

Vincent est ressorti et mon père a ôté son pantalon. Je le voyais pour la première fois en érection; il était presque aussi bien monté que Vincent. Romain s’est mis à le sucer pendant qu’il lui bouffait le cul. Mon père a alors enculé Romain, il avait l’air de très bien s’y prendre, d’ailleurs mon copain gémissait comme jamais je ne l’avais entendu. Quand il a eu éjaculé dans le cul de Romain, mon père lui a demandé de nettoyer sa bite en ajoutant:

— Pas un mot à mon fils!

Je suis sorti du placard estomaqué, mon père était bi et Romain et moi avions tous les deux baisé avec nos pères respectifs. Le soir venu, je ne pus m’empêcher d’en parler à mon père qui s’est mis alors à pleurer:

— Pardon mon fils, mais j’étais comme toi quand j’étais jeune, et l’établissement dont je t’ai parlé, c’est celui où mon père m’a envoyé quand il a su pour moi. Tu vois, j’ai pu me marier et t’avoir, mais maintenant grâce à toi et Romain, j’ai compris que vous avez raison de vous aimer. J’ai baisé ton copain, mais c’était si bon de retrouver ses sensations perdues.

— Merci papa, si tu veux, je peux te faire retrouver le goût de la vie.

Le lendemain soir nous nous sommes retrouvés, Romain, son père, le mien et moi... et bien sûr Prince!

Vincent a commencé par m’enculer tandis que Papa faisait de même avec Romain. Romain et moi, nous nous embrassions tandis que Prince nous léchait nos 2 queues. Ce fut au tour de Vincent d’enculer papa, pendant que Prince me sautait et que Romain me suçait. On a ensuite inversé les rôles. Le grand moment a été quand Romain et moi avons retrouvé nos 2 pères qui n’étaient pas encore rassasiés.

Mon père m’a embrassé partout, m’a sucé les seins, a fait courir sa langue jusqu’à ma bite et mon cul où il a fini de lécher le reste de sperme de Prince. Il a commencé à me sodomiser doucement puis très régulièrement assez fort, en cadence avec Vincent qui faisait la même chose avec Romain. Nos 2 couples se sont retrouvés face à face et j’embrassais alternativement Vincent et Romain, qui faisaient de même avec moi et papa. Romain et moi nous nous branlions mutuellement à la collégienne. Nous avons alors tous joui ensemble.

 

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Jeudi 28 juin 4 28 /06 /Juin 15:22

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Je dors et j’entends la voix dans les haut-parleurs qui nous informe que le train va entrer en gare dans 15 minutes. Visiblement, j’ai dormi avec une bite dans le cul. Le black se réveille et je sens sa bite qui grossit et durcit dans mon cul. Je bouge légèrement pour la sentir en moi mais ce n’était pas une bonne idée: mon cul me brûle. Mon enculeur se réveille et commence à me limer de plus en plus. Ça brûle mais je ne sais pourquoi, ça m’excite. Mon cul se lubrifie et la douleur se calme.

Sur la couchette en face, son copain s’est réveillé. Il est nu et sa bite se dresse de plus en plus. Je n’ai qu’une envie: la sucer. Le mec comprend mon désir et se lève. Il se positionne devant moi, passe sa bite sur mes joues, dans mes cheveux, puis la glisse dans ma bouche. Il me baise la bouche. Il jouit très vite. On me fait me lever, son copain toujours allongé m’attrape par la tête et se vide dans ma bouche. Ils me font alors bien lécher leurs bites jusqu’à ce qu’elles soient bien propres. Tout le monde se rhabille et on s’assoit en attendant l’arrivée en gare.

Visiblement, on est encore loin de la gare. Le premier se lève, ouvre sa braguette, sort sa belle tige noire et me dit que sa bite a apprécié passer la nuit dans mon cul et qu’elle serait ravie de patienter jusqu’à la gare dans ma bouche. Je m’approche et gobe ce beau bâton. Je le suce très lentement, plus par les mouvements du train que de ma tête. Sa bite redevient bien dure. Il me dit qu’il a envie de jouir mais qu’il va se retenir jusqu’à la gare.

Le train s’immobilise. J’ai toujours sa bite dans ma bouche. Son copain pousse ma tête doucement vers sa bite pour me la faire prendre en entier mais j’ai du mal. Puis d’un coup, il jouit dans ma bouche. J’avale et le suce pour que sa bite soit bien propre. Il se rhabille et on descend du train.

Ils me demandent si je sais où aller. Je leur dis que mon parrain doit m’attendre. Après quelques aller-retours sur le quai, je trouve parrain. Il s’approche de moi et me fait la bise. Il me dit de suite que je sens le sperme. Je lui raconte ma nuit dans le train. Parrain me demande si je veux déjeuner. J’ai faim. Alors, parrain m’entraîne… vers les toilettes! Visiblement, le petit dej sera crémeux. Miam!

Arrivé dans les toilettes, parrain me pousse dans une cabine. Je suis assis sur le chiotte et il me donne sa bite à sucer. Parrain est visiblement excité, il jouit vite. Parrain me demande alors si je suis prêt à me faire prendre à la chaîne comme la chienne que je suis. Je lui dis que ça me tarde. On sort des toilettes, et parrain me dit: "Alors on y va de suite. J’espère que tu as faim, car il y a du monde." Je demande à parrain ce que ça veut dire du monde. Il me dit qu’il a fait passer le message dans la cité où il m’amène depuis plus d’un mois. Selon lui, il y aura au moins 50 personnes. "À chaque fois!" précise-t-il. Là je suis excité et en même temps, j’ai la trouille. Je n’en saurai pas plus de parrain.

On prend le métro, puis le RER, puis un bus. Il n’y a que des immeubles à perte de vue. Après une bonne marche, on arrive devant un immeuble gigantesque. Une immense barre. On entre et on descend jusqu’aux caves. On arrive dans une grande cave. Au centre se trouve un banc surélevé avec des accoudoirs trop bas, et des sangles. Parrain me demande de me déshabiller et de ne garder que mes baskets. Il me fait alors monter à plat-ventre sur le banc. Mes jambes sont appuyées sur les accoudoirs. Devant, je peux poser le menton, et les bras sur deux accoudoirs. Tout est recouvert de plastique noir mou. Parrain me demande si je suis bien installé. Je me cale bien et lui dit que oui. Parrain m’attache alors les mains et les pieds. Puis relève un truc, et m’attache la tête par le front. Je suis bien calé et la position n’est pas inconfortable. Parrain ramasse mes affaires et les rangent dans son sac. Il me dit alors que je suis là pour les trois prochains jours. Cul et bouche à disposition.

Parrain sort un tube de gel et m’enduit le cul. Il me dit que c’est une vraie chatte, bien souple. Puis, je l’entends derrière et il m’encule d’un coup. Il me lime un bon moment. Puis il me repasse du gel sur ma rondelle. Sauf que ça chauffe vite. Mon cul me brûle. Je demande à parrain ce qu’il veut. Il s’approche de moi et me dit:

— Je vais attendre un peu. Et quand tu n’en pourras plus, c’est à toi de crier ce que tu veux que je te fasse.

Je résiste quelques minutes mais ça brûle vraiment. Je me mets à crier:

— Je suis un vide-couilles, un trou à bites. Enculez-moi en permanence et jouissez dans ma bouche.

Et j’entends une clameur derrière moi! Parrain s’approche de mon oreille et me dit:

— Bien mon garçon, il y a foule derrière ton cul. Et tu viens de les motiver. Rien ne pourra les arrêter. Pendant les trois prochains jours, ton cul sera qu’un trou à bite et tu vas boire des litres de sperme.

Je sens une bite se positionner devant mon cul ouvert. Et elle m’encule d’un coup. Devant, je vois une foule se masser. Un mec sort sa bite, s’approche de ma bouche. Il me l’enfourne direct. Je n’ai pas compté les bites, ni les heures. Je suis sûr qu’à un moment, je suis épuisé et que des mecs m’enculent encore. Certains jouissent dans un bol. Quand il est plein, on l’approche de mes lèvres et je le bois en entier. Beaucoup ont décidé de rincer ma chatte. Je comprends mieux les lieux et le sol carrelé. On m’a rincé plusieurs fois de la tête aux pieds au jet d’eau. On lave l’intérieur de mon cul au jet.

Je ne sens plus mon corps. Je ne sais depuis combien de temps je suis là. Mon cul a toujours été occupé. On a laissé ma bouche tranquille pour boire des bols de spermes. Au début mon cul m’a démangé, puis brûlé. Maintenant, je ne sens plus rien. On a rajouté un grand plat sous mon cul. Le sperme en trop-plein coule dedans. Puis on le vide dans un bol que j’avale. De temps en temps, on m’a aussi donné à boire de l’eau et certains ont rincé ma bouche en pissant dedans.

À un moment, certains ont décidé de jouer à la tombola. Je ne comprenais pas ce qu’ils voulaient faire. En fait, c’était simple. Ils ont entré dans ma chatte des petites boules numérotées puis chacun est venu plonger sa main dans mon cul pour reprendre une boule. Le plus grand numéro est passé en premier. Ils m’ont tous bien enculé, puis venaient se vider dans ma bouche.

À un autre moment, il a été décidé de laisser mon cul en paix. Je ne sais ce qui a été enfoncé dans mon cul-chatte mais c’était énorme. Puis parrain est revenu. Il m’a demandé ce que je ressentais:

— Plus rien, je lui ai répondu. Je ne ressens plus rien sauf si vraiment on m’écartèle le cul.

Parrain me dit que maintenant, la chienne que je suis va être baisée par des chiens. Je lui rappelle que je suis un trou à bites permanent. Parrain enfonce sa bite dans ma bouche. Il me baise la bouche et jouit.

On me détache. J’ai du mal à me relever et parrain me dit de me mettre par terre à quatre pattes. Derrière moi, il y a au moins une trentaine de personnes et j’ai vu quatre ou cinq chiens. À peine à quatre pattes, le premier chien est amené derrière moi. Il renifle mon cul, je sens sa langue contre ma rondelle. Puis il grimpe sur mon dos. Quelqu’un l’aide à me pénétrer. Pour ceux qui n’ont jamais essayé, je peux vous dire que la sensation avec un chien est unique. C'est totalement bestial, avec une vitesse incroyable. En plus, le sexe grossit de plus en plus et le sperme coule en permanence. Dès que le premier chien a fini, un autre est amené. Il y aura en tout six chiens. Tous différents.

On me fait mettre à genoux. Là, je reçois une douche de sperme. Puis les hommes s’en vont et je reste seul avec parrain et un autre homme. Parrain me présente son copain Rachid. Rachid vient devant moi et fourre sa bite dans ma bouche. Il jouit très vite. Il éjacule une quantité incroyable et j’ai du mal à tout avaler mais j’y arrive. Je suis recouvert de sperme, le cul grand ouvert. Parrain me repositionne à quatre pattes. Sa main rentre sans forcer dans mon cul-chatte bien graissé par tout le jus des chiens. Il ressort et rentre ses deux mains en forçant à peine. Il joue avec ses doigts dans mon cul et c’est agréable mais je le ressens à peine, ce que je dis à Parrain.

Il ressort ses mains et me demande si je veux m’asseoir. Vu que je viens de passer je ne sais combien de temps sur le banc, je lui dis oui. Rachid approche un cône orange et blanc que l’on voit sur le bord des routes quand il y a des travaux. Il me dit de m’asseoir dessus en riant.

Je positionne mon cul dessus et me laisse tomber sur le cône. Il entre et m’étire. Là je ressens à nouveau mon cul. Rachid vient devant moi, m’attrape les jambes par les chevilles et les relèvent. Le cône entre un peu plus et je gémis. Parrain passe derrière moi et appuie sur mes épaules, d’abord doucement, puis de plus en plus. Je suis écartelé et je gémis de plus en plus. Parrain cale une caisse derrière moi qui me sert de dossier, et Rachid pose mes pieds sur deux chaises. Le cône m’ouvre en deux mais je me sens bien. Parrain vient devant moi et me donne sa bite. J’ouvre la bouche pour le sucer. Parrain me dit que je suis vraiment la reine des chiennes. Je viens de passer 28 heures à me faire défoncer par une cinquantaine de mecs, mon cul est écartelé par un cône de signalisation et si on me montre une bite je veux la sucer. Je réponds à Parrain que je suis un trou à bites permanent, la reine des chiennes, et que j’ai encore et toujours envie de bite et de sperme. Et je suce sa bite.

Parrain me dit que les vacances ne font que commencer et que dès demain, il va m’amener sur les chantiers pour y soulager tous les mecs, puis je devrai sucer et me faire prendre n’importe où: en pleine rue, dans le métro, dans les magasins et par les clochards sous les ponts et m’assumer totalement en vide-couilles.

Je ressors un instant la bite de parrain de ma bouche et lui demande:

— Pourquoi on doit attendre demain?

J’engloutis sa bite et parrain jouit instantanément.

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Jeudi 28 juin 4 28 /06 /Juin 14:34

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Auguste passe à plusieurs reprises le produit pour cautériser la plaie et qui empêche que ça cicatrise. La douleur est atroce mais je me dis que c’est le prix à payer pour que mon cul devienne enfin une chatte toujours ouverte. Puis, il me passe une crème anesthésiante. La douleur se calme enfin. Auguste nettoie le sang qui a coulé sur mes cuisses et me dit que mon épilation n’est pas top. Mon homme me dit qu’à y être, il peut m’épiler. Avec l’anesthésiant, je ne sens rien.

Quand il a fini, il me dit que ma chatte est prête, que je peux l’utiliser mais sans trop forcer, sinon ça va continuer à me déchirer et ça ne sera plus une chatte mais un gouffre. Je demande à mon homme s’il veut utiliser ma chatte. Il me dit que non, qu’il faut attendre un peu. Auguste me dit qu’il va me mettre un écarteur. Le problème, c’est que mon cul va rester grand ouvert et je vais me chier dessus. Je lui dis que ce week-end, je pars pour les vacances chez mon Parrain et que justement, il doit me faire réaliser par un de ses amis un bouchon anal. Auguste me dit qu’il faut quand même trouver une solution jusque-là.

Auguste a alors une idée: "coller un bout de latex dans l’écarteur". Ça fera écarteur et bouchon. Sitôt dit, presque sitôt fait. Il faut que la colle sèche. Dans l’attente, mon homme garde mon cul écarté avec ses doigts. Auguste pose l’écarteur. Je ne sens rien. Je remets mon jeans. Auguste a visiblement une belle bosse dans son pantalon. Je lui demande si je peux le soulager. Auguste dit oui, mais pas là.

Il me fait descendre. On va sur les allées. Beaucoup de circulation. Auguste me demande me m’accroupir entre deux voitures en stationnement. Mon homme est derrière moi, debout. Auguste sort sa bite. Je le suce. De loin, je pense que l’on ne voit que deux hommes qui discutent. Ils parlent de moi. De la chienne que je suis, de mon cul qui est une chatte, de mes prestations au foyer avec les clochards. Ils cherchent le moyen de rendre mon cul public. Comme une pissotière mais prévu pour le sperme. Auguste dit qu’il a une idée. Je ne la connaîtrai pas mais ça l’a fait jouir. Mon homme me dit de ne pas avaler, de faire demi-tour et de le sucer. Double ration. Je m’exécute.

Auguste explique alors son idée à mon homme. Me mettre à disposition tout un après-midi dans un sex-shop. Mais il y a un hic. Je n’ai pas 18 ans. Auguste dit qu’il connaît un gérant de sex-shop qui ne sera pas trop regardant sur mon âge. L’idée consiste à me placer dans un espèce de tonneau. Mon cul sera accessible d’un côté et de l’autre, ma bouche. Personne ne pourra me voir. Tout le monde pourra en profiter. L’idée visiblement plaît: mon homme jouit. Je garde la bouche bien ouverte. Mon homme me dit d’avaler puis de bien nettoyer leurs bites. Je nettoie les deux. Je rentre alors chez moi.

Sur le chemin du retour, mon voisin est dans son jardin. Je lui dis bonsoir. Il me demande si j’ai deux minutes pour l’aider. Je lui dis que je suis toujours à sa disposition. Je le suis et on rentre chez lui. Sa femme sort acheter le pain. Il lui dit que je viens l’aider à continuer à descendre les cartons. Elle me remercie chaleureusement, dit à son mari d’en faire peu, sinon il va se fatiguer, et qu’elle passe chez moi prévenir que je serai retardé.

Elle sort. Mon voisin me dit que l’on a que cinq minutes. Je m’accroupis devant lui, ouvre sa braguette, sort sa bite déjà raide et le suce. Il me traite de tous les noms, de salope, de trou à bites, de vide-couilles et jouit très vite. Je le suce jusqu’à ce qu’il ramollisse. Je lui montre ma bouche pleine. Il me dit:

— Avale salope.

J’avale, reprend sa bite pour bien la nettoyer. Puis je la remets dans son pantalon, referme sa braguette et me relève. Il me passe la main sur le visage en disant que je suis vraiment un bon garçon. On descend un carton. Puis il me dit de rentrer en ajoutant qu’à cette vitesse, on en a pour des mois à tout ranger. Je pars en lui disant que je ne suis pas pressé.

Arrivée à la maison, maman me félicite d’être aussi gentil et serviable. Si elle savait… Elle me dit qu’elle a tout prévu pour aller chez parrain. Je voyagerai en train de nuit. En couchette. Il me tarde d’être à Paris. Parrain m’a promis trois jours et trois nuits non-stop à me faire baiser.

Mon cul a visiblement cicatrisé vite. Je peux passer le doigt ça ne fait pas mal. Je sens la déchirure. Le contact de mes doigts sur cette zone est agréable. Même en sortant de la douche, deux doigts entrent sans forcer. Mon cul est une chatte: "ouvert en permanence".

Vendredi enfin. Ce soir train et Paris. Sur le chemin de la gare, papa m’explique qu’il y a six couchettes par compartiment. Que je voyagerais avec cinq autres hommes. Ça, ça ne me gêne pas… Arrivé au train, trouver le wagon et le bon compartiment. Ma couchette est au milieu, côté droit. Je suis le premier installé. Papa veut quand même voir qui va voyager avec moi. Deux blacks arrivent. Ils ont les couchettes du dessus. Je reconnais l’un deux. Il était devant le foyer! Il est super poli avec papa puis il part fumer sur le quai avec son copain. Papa me dit que je n’aurai pas de problèmes, ils ont l’air très gentil… Papa descend du train après m’avoir souhaité un bon voyage.

Les deux blacks sont remontés. Le train démarre. Le contrôleur passe. Il nous dit qu’il n’y aura pas d’autre voyageur dans notre wagon. On peut verrouiller et passer une bonne nuit. Le black me regarde en disant que l’on va passer une très bonne nuit. Le contrôleur sort et verrouille le compartiment. Le black me demande ce que je suis.

— Un vide-couilles prêt pour tous tes désirs, je réponds.

Il me dit:

— À poil!

Je me déshabille et enlève discrètement l’écarteur. Il dit à son copain:

— Encule le direct à sec. C’est une salope de première.

Il se positionne derrière moi et m’encule d’un coup, jusqu’à la garde. Aucune douleur. C’est la première bite dans ma "chatte". Aucune douleur, mais putain que c’est bon! Mon enculeur est surpris. Il dit à son copain:

— Ce n’est pas un cul, c’est une chatte!

Il me lime lentement. L’autre sort sa bite et me la donne à sucer. On va ainsi passer la moitié de la nuit. Ils vont me prendre dans toutes les positions. Ils jouiront plusieurs fois dans ma bouche. Je suis chargé de mission pour le réveil: les sucer. Le mec du foyer se colle derrière moi pour dormir et m’encule. Il veut que sa bite reste au chaud.

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Jeudi 28 juin 4 28 /06 /Juin 13:34

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Dernier soir. Parrain repart demain. Repas normal, je monte vite dans ma chambre, mon plug me manque. Je m’installe sur le lit. La pommade a fait son effet. Ça démange depuis longtemps et j’ai qu’une envie: me défoncer le cul. J’introduis le bidule à parrain. Ce cône de métal rempli de plomb me fait toujours de l’effet. Je suis à quatre pattes et dès que je le rentre, mon cul est tiré vers le bas. La sensation est agréable. J’introduis les deux boules de pétanque et je m’apprête à rentrer le plug quand la porte de ma chambre s’ouvre! Ouf, c’est parrain. Il me dit d’arrêter. Il s’approche de mon cul et le regarde en détail.

Parrain me dit de ne pas bouger. Il sort et revient quelques secondes plus tard. Il me dit de regarder mon nouveau jouet. J’hallucine en voyant ce que tient parrain. C’est un plug mais il est monstrueux. Parrain me dit qu’il fait 11cm. Il n’y a pas plus gros. Je me demande comment un truc pareil va pouvoir entrer en moi. Parrain sort du gel et travaille mon cul avec ses doigts, d’une main, puis des deux. Il étire mon cul tout ce qu’il peut. Puis il me dit qu’il va me passer une pommade anesthésiante pour diminuer la douleur. C’est froid, et au bout de quelques minutes, effectivement, je ne ressens presque plus ses doigts. Je sens par contre qu’il force l’ouverture de mon cul. Il me dit de me lever et pose l’énorme plug par terre. Je me positionne pour m’asseoir dessus. Je ne le sens pas entrer. Parrain guide la manœuvre. Il me dit que si je force trop, je risque de me déchirer. Je lui demande les conséquences. Parrain me dit que ça va saigner un peu mais que si je me déchire et que je garde le plug suffisamment longtemps, par contre, ça cicatrisera mais en laissant l’ouverture. Je force comme un malade mais le plug n'entre visiblement pas. Parrain me demande si je suis sûr de vouloir avoir le cul déformé à vie. Je lui dis que oui, que je veux que mon cul soit une chatte ouverte à toute bite. Parce que je suis une chienne, un trou à bite permanent lui dis-je. Parrain place ses mains sur mes épaules et appuie. Je sens que je descends et que le plug entre, lentement. Je ne ressens pas de douleur mais je suis sûr que mon cul est ouvert comme jamais. L’impression est bizarre. Je descends toujours lentement, puis je sens que mon cul se resserre et je suis assis par terre.

Parrain me dit qu’il est en place. Je me relève comme je peux. Pas de douleur, mais difficile de bouger avec un truc pareil. Parrain me demande comment ça va. Bien je lui dis. Je me mets à genoux devant lui. Parrain me demande ce que je veux. "Que tu me baises la bouche!" je lui réponds. Parrain sort sa bite et elle est bien dure. Il me prend par les cheveux et me baise la bouche. Il entre tellement profondément que j’ai des hauts-le-cœur mais ça me plaît. Il me bloque contre lui. Je sens sa bite dans ma gorge et il jouit. Je n’arrive pas à respirer. Il ressort sa bite. Je l’essore jusqu’à la dernière goutte. Parrain me dit de ne pas avaler, de me coucher la bouche pleine. Et si je peux, de garder le plug le plus longtemps possible.

Je me couche et je m’endors.

Au réveil, curieusement, je ne sens pas de gêne malgré le plug monstrueux planté en moi. Par contre, quand je bouge, je sens que ça m’excite. Je bouge d’avant en arrière, pas trop vite, et le plaisir monte de plus en plus.

Parrain vient d'entrer dans ma chambre. Je suis tellement occupé à me branler mon cul-chatte que je ne l’ai pas entendu entrer. Parrain me demande ce que je fais. Je lui dis que de bouger, ça m’excite de plus en plus. Parrain se positionne au dessus de moi et me donne sa bite à sucer. Je continue à bouger, et je sens que je vais jouir. Je ralentis le rythme, j’ai envie de jouir quand parrain déchargera dans ma bouche. Parrain se crispe et sa semence remplit ma bouche. J’accélère mes coups de bassin et je jouis, la bouche ouverte remplie de sperme.

Parrain me dit qu’il part et que l’on se revoit dans une semaine à Paris. J’avale son sperme et reprends sa bite dans ma bouche. Parrain me demande ce qui m’arrive. Je lui dis que je dis au revoir à sa bite. Il me dit que je suis vraiment un vide-couilles exceptionnel et qu’à Paris, dès mon arrivé, je ne vais voir que de la bite, nuit et jour. Je lui dis que ça me tarde. Puis il sort.

J’enfile un pyjama, sors de sa cachette le bidule en plomb offert par parrain, la crème anesthésiante et vais à la salle de bains. Je me positionne au-dessus de la baignoire et sors le plug doucement. Il m’écartèle en sortant, mais la sensation me fait bander. Je lave bien l’intérieur de ma chatte. Puis j’introduis le bidule de parrain, un cône arrondi en inox rempli de plomb. Sauf qu’il ne tient plus et retombe à grand bruit dans la baignoire. Je change de tactique. Je frotte mon cul que je sens bien ouvert avec la crème anesthésiante, positionne le plug toujours aussi monstrueux au fond de la baignoire, entre le bidule et me positionne sur le plug. Avec la pommade anesthésiante, je ne ressens rien ou presque. Je descends sur le plug. Mais il a du mal à rentrer. Je soulève mes jambes et me tiens par les bras aux rebords de la baignoire.

Je sens que je descends. Je me laisse tomber sur le plug. La descente continue et de par la position, je sens que ça m’excite. Puis, d’un coup je suis assis au fond de la baignoire. Le plug est donc rentré. Je passe ma main pour vérifier s’il est bien entré et je vois du sang sur ma main. J’ai dû me déchirer un peu. Je rince avec la douche. Mais ça saigne toujours un peu. Je sors de la baignoire et prends la crème que papa utilise quand il se taille en se rasant. Vu que je ne vois pas d’où ça saigne, j’enduis tout le tour. Ça a l’air de marcher. Je remets le pantalon de pyjama et vais dans ma chambre.

Je décide de mettre un slip avec du papier pour éviter les taches de sang. Ma bite est sensible. Je la masse avec la pommade anesthésiante. Au bout de deux minutes, je ne ressens rien par ma bite. Par contre, si je bouge le bassin, ça m’excite. Je suis ravi. Tout par mon cul-chatte. Je finis de m’habiller et par au lycée.

La journée se passe dans le calme. Marc est toujours à l’hosto, on n’a pas beaucoup de nouvelles. Je ne croise ni mes jeunes de la cité, ni le terminale. En cours, par deux fois je me fais jouir en bougeant sur ma chaise. Heureusement que j’ai bourré mon slip de papier. À midi, ça me fait un peu mal et je m’enferme dans les toilettes pour repasser la pommade anesthésiante sur mon cul et ma bite. Il me tarde de voir mon homme ce soir.

J’arrive au Cours Dillon. Mon homme est sur le banc. Je m’assois à côté de lui. Il me demande de lui raconter mes aventures depuis que je l’ai vu. Je lui raconte. Je lui décris le plug monstrueux et le bidule. Il me demande ce que je ressens. Je lui dis que j’ai l’impression que mon cul est énorme, complètement ouvert, et tiré vers le bas. Que j’espère que ça va le déformer en belle chatte bien ouverte. Mon homme me demande de lui montrer. Je vais pour me lever et descendre vers la Garonne, mais il me dit non. Là. Il veut que je lui montre là. Avec les voitures qui passent, à la vue de tout le monde. Il me dit que maintenant, je dois m’assumer. Totalement. Je défais mon jeans, le tombe à mes chevilles, mon slip suis le même chemin. Je les retire et les jettent sur le banc. Mon homme roule mon jeans et le garde à côté de lui. Je m’accroupis et tire sur la base du plug. Il sort lentement, puis d’un coup. Le bidule tombe sur le sol. Je me relève, me retourne, me penche en avant et écarte les fesses.

Mon homme me dit que ce n’est effectivement plus un cul mais une chatte béante. Il défait sa braguette et sort sa bite. Il me demande de ramasser le plug et le bidule, qu’il coince dans mon jeans roulé et de venir m’asseoir sur sa bite. Je descends lentement. Sa bite est positionnée devant mon trou. Je descends et elle entre sans forcer. La sensation est étrange pour moi. Je m’assois sur lui. On ne bouge plus. On reste comme ça pendant quelques minutes. Puis il me dit de me relever et de descendre vers la Garonne. Je m’exécute. Je descends l’escalier. En bas, il y a le groupe de clochards. Je regarde mon homme, toujours assis. Il me demande ce que je vais faire. Je lui réponds que je vais me faire bourrer la chatte par les clochards, puis par les chiens et par tout ce que l’on voudra fourrer dans ma chatte parce que je suis un trou à bite permanent.

Je descends l’escalier. Arrivé en bas, je me mets devant les clodos à quatre pattes. J’écarte mes fesses et leur hurle de venir me sauter. Ils ne se font pas prier, ils commencent à reconnaître la jeune salope qui vient se faire baiser et me baisent. Je n’ai plus les mêmes sensations. Je sens les bites qui glissent sur les lèvres de ma chatte et le sperme qui coule le long de mes cuisses. Ils sont incroyablement rapides. Pour être franc, je n’ai vraiment pas eu ma dose et je veux jouir. Mon homme est descendu. Il tient dans une main mon plug. Il s’approche de moi. Mais au lieu de m’enculer, il positionne sa main devant mon trou. Il me demande ce que je suis:

— Un vide-couilles permanentm ouvert à toute bite, je lui dis.

Il me dit:

— Que les bites?

Je lui dis non, tout ce qui peut me faire jouir peut exploser ma chatte. Il me dit qu’il va voir si je suis une vraie salope soumise, qu’il veut entrer sa main dans mon cul, d’un seul coup, mais que c’est à moi à m’empaler sur sa main. Je recule sur sa main. Ça force, ça tire. Je pousse de toutes mes forces et je sens sa main qui est aspirée dans mon cul. Finalement, ça n’a pas fait si mal que ça. Il me demande de me relever. Pas évident mais j’y arrive et il me dit que l’on va se promener comme ça. Et j’avance, sa main plantée dans mon cul.

On avance ainsi le long de la Garonne. Un mec nous regarde arriver en se branlant. Je tente de me diriger vers lui mais mon homme a toujours sa main dans mon cul. Il me demande ce que je veux faire. Je lui dis que j’ai envie de sucer. On va vers le mec qui se branle. Je m’approche de lui, me penche et prends sa bite dans ma bouche. Il jouit presque immédiatement. Je garde la bouche pleine, mais il part de suite. Je garde la bouche pleine. Mon homme pousse sa main en moi et je me redresse à peu près et on avance. On se retrouve en bas de l’escalier. Les clochards sont toujours là. L’un demande à mon homme s’il promène sa chienne. Il lui dit que oui. Il demande s’il peut encore m’enculer. Mon homme lui dit que mon cul est pris mais que ma bouche est vide. J’ai encore le sperme dans la bouche. Le clochard me demande d’ouvrir la boucle. J’ouvre. Il gueule:

— Putain, elle est pleine de foutre!

Je le fixe, ferme la bouche, avale, re-ouvre en grand. Il dit que c’est bien, je suis propre, j’avale. Il sort sa bite et me dis de l’éponger. Je me penche, le suce. Sa bite pue mais curieusement, ça m’excite. Mon homme bouge sa main dans mon cul et m’impose le rythme. Mon homme accélère et je sens sa main qui sort et entre dans mon cul. Le clochard me bloque la tête, et jouit. Il me dit qu’il veut sa bite bien propre. J’avale et je l’essore complètement. Sa bite ramollie, elle sort de ma bouche bien propre. Mon homme entre sa main d’un coup dans mon cul et me dit d’avancer.

On monte l’escalier. Arrivé devant le banc, mon homme positionne le plug sur le banc. Il sort sa main, rentre le bidule dans mon cul et me dit de m’asseoir sur le plug. Je retiens avec ma main le bidule et me positionne sur le plug. Mon homme passe derrière moi, met ses mains sur mes épaules et appuie de tout son poids. Le plug entre d’un coup. Je me sens déchiré, ça fait mal et je gémis. Mon homme me dit à l’oreille:

— Tu es un vide-couilles. Ton cul n’est qu’un trou. Tu veux qu’il devienne une chatte, il va le devenir. Il ne se refermera jamais et tu pourras te faire défoncer par n’importe quelle bite, n’importe quand, sans aucune préparation. Ça sera une chatte affamée de bite. Je sais que je viens de te déchirer. On va passer chez moi et Auguste va cautériser ça. La douleur se calme un peu mais ça fait mal et je sens que je saigne. Mon homme me fait me lever. Il y a du sang sur le banc. Il enlève son pull, l’attache autour de ma taille, et me dis qu’on va chez lui. Ma démarche doit être bizarre. Ça fait mal à chaque pas et je sens que le sang coule sur les cuisses. Il y a peu de monde dans les rues, et son appart est proche.

Arrivé chez lui, il m’emmène dans la salle de bain. Je m’assois sur le rebord de la baignoire. Il part, je l’entends téléphoner. Puis il revient. Il se met devant moi et sort sa bite. J’avance la tête pour le sucer. Il me bloque et me dit:

— Tu vois, tu n’es qu’un vide-couilles. Malgré la douleur, tu n’as qu’une envie, c’est de bouffer de la bite.

J’avance ma tête et le suce. Il a raison. Je suis un vide-couilles, un trou à bites. Mon homme n’a pas joui quand Auguste arrive. Il me fait mettre à quatre pattes. Il me dit qu’une chienne doit savoir souffrir pour être belle, prend la base du plug et le tire fortement. Le plug sort d’un coup. Auguste écarte mes fesses et me demande ce que je suis et ce que je veux. Je lui dis:

— Je suis un vide-couilles. Mon cul doit être un trou à bite toujours ouvert, toujours disponible à n’importe quelle bite sans aucune préparation 24h sur 24.

Auguste me demande s’il peut m’enculer. Je lui réponds que mon cul est là pour recevoir sa bite, il n’a pas à demander. Auguste me demande si je veux une chatte et non un cul.

— Une chatte toujours ouverte, je lui dis.

Mon homme vient devant moi et me tient pas les épaules. Auguste positionne le plug et le rentre d’un coup, puis le ressort et me branle violemment avec. La douleur est violente mais je ne dis rien. Puis il dit à mon homme de venir. Il sort le plug. Mon homme positionne ses deux mains à plat l’une contre l’autre, et les rentrent dans mon cul. Auguste lui fait alors écarter doucement les mains. Ma tête est posée sur le carrelage. La douleur se calme. Il écarte de plus en plus. La douleur devient de plus en plus violente. Auguste lui dit de ne plus bouger. Il défait un flacon et passe un coton sur mon cul. Je sursaute tellement que ça fait mal. Ça brûle comme jamais. Auguste me dit que mon cul s’est un peu déchiré et qu’il cautérise la plaie pour ne pas qu’elle cicatrise. Mon cul n’est plus un cul. Il ne peu plus se refermer. Ma chatte vient de naître.

À suivre...

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Jeudi 28 juin 4 28 /06 /Juin 12:45

49936207

Le réveil sonne. J’ai l’impression de m’être couché il y a deux minutes. Mon cul ne me fait pas mal. Je gonfle un peu plus le plug avant de le dégonfler. Il y a encore de la marge. Le plug sort, et tout tombe sur le lit. Je m’amuse à rentrer une boule de pétanque qui retombe de suite. Mon cul est vraiment très ouvert.

Je me lève, enfile un pyjama et vais à la salle de bains. Je me lave le cul avec la poire de douche sans même réaliser. Devant par contre, il n’y a rien à laver. Le latex est super bien collé et ma bite et mes couilles ont totalement disparu. Je n’ai aucune sensation devant. Sensation étrange. Curieusement, ma bite ne me manque pas.

Je m’habille, descend déjeuner et part au lycée.

La journée est calme. Marc n’est pas là. Il est selon ce qu’on sait à l’hosto, il se serait cassé (ou foulé, on ne sait pas trop) la cheville. Je ne vois ni ne croise les deux jeunes, ni le terminale. Le soir, je descends avant pour aller cher mon homme. Auguste est là. Il me donne les vêtements de filles. Je m’habille, il me maquille comme la dernière fois. Puis je me lève, relève ma jupe et écarte mes fesses. Il me demande ce que je veux. Je lui dis que j’ai envie qu’il me mette sa pommade. J’ai envie d’être une chienne en chaleur. Il me badigeonne le cul. J’ai rapidement le cul en feu. Habillé en fille, ma bite qui ne peut bander dissimulé sous le latex, le cul en feu, je n’ai qu’une envie: me faire défoncer, fister, écarteler. Mon homme me demande par qui je suis prêt à me faire défoncer. Je lui réponds:

— Par tout le monde.

Il me demande si des clochards ça me va. Je lui réponds:

— Par des clochards, des chiens, par ce que vous voulez, ça m’est égal.

Auguste lui demande ce qu’il compte faire de moi. Mon homme lui dit qu’il a envie de m’amener dans l’autre foyer Sonacotra, puis sous le Pont suspendu, au repaire des clochards. Auguste lui dit que ça peut être dangereux. Qu’ils sont capables de se battre pour savoir qui me baise en premier. Il lui dit qu’ils gèreront et on sort.

Le cul me brûle. Je serais capable de m’empaler sur n’importe quoi. On marche dans une petite rue pas très éclairée. Un clodo arrive en face de nous. Mon homme me dit:

— Va lui demander de t’enculer.

J’accélère le pas et arrive devant le clodo. Il me gueule:

— Tu es une pute?

Je lui dis que c’est gratuit.

Il demande:

— Qu’est-ce qui est gratuit.

Je lui dis:

— Ça, et je me retourne, me penche en avant, relève ma jupe et écarte bien mes fesses.

Je sens ses doigts calleux et sales sur mes fesses. Il défait son froc. Positionne sa bite et m’encule. Oh que ça fait du bien. Je bouge pour bien sentir sa bite calmer le feu de mon cul. Je suis en pleine rue, sur le trottoir, en train de me faire enculer par un clochard. Je me dis que je suis qu’un trou à bites, et je sens que je vais jouir. Mais le clochard jouit trop vite et se retire. Je me redresse et retourne vers mon homme et Auguste. Ils me demandent comment je me sens.

— Frustré, je réponds, c’était bon mais trop bref.

Mon homme me dit que ça va s’arranger. On part en direction du pont suspendu. Ce soir, c’est de la bite de clochard qui m’attend. Arrivé sous le pont, ils ne sont pas très nombreux. Pas plus d’une douzaine. À notre arrivée, je me fais copieusement siffler. Mon homme me dit de me mettre à quatre pattes, mon cul ouvert face à eux. Il leur dit:

— Ce soir, jour de chance. Elle vous offre son cul. Tout le monde y a droit.

L’un gueule:

— Elle suce aussi?

Il répond:

— Aussi, mais après s’être faite baisé.

Je ne vois rien mais rapidement, je sens que l’on me tient par les fesses. Une bite enfin… La première que j’ai à sucer pue à mort mais je trouve ça bon. Ils jouissent vite. L’un demande si son chien peut aussi. Mon homme répond:

— On peut essayer.

Il approche son chien. Le chien me lèche. Super agréable. Il essaye de me faire baiser par le chien mais visiblement, ce dernier ne comprend rien. Mon cul est bien propre par contre. Plus rien. Je me relève.

On rentre. On arrive à un feu. En attendant de pouvoir traverser, je sens Auguste qui vient derrière moi. Il me dit: "Écarte un peu les jambes." Il se positionne derrière moi et m’encule. Il ne bouge pas. Je suis tétanisé. Il m’encule en pleine rue, les voitures passent et ne se rendent compte de rien, comme les personne de l’autre côté de la rue. Il sort de moi et on traverse. Il me mettra ainsi sa bite devant une vitrine de magasin, entre deux voitures, devant la porte d’un immeuble. Puis je monterai l’escalier jusqu’à chez mon homme plié en deux, sa bite en moi. À chaque étage, il me lime quelques minutes, et on continue. Arrivé chez mon homme, je m’appuie contre la table. Il me lime un long moment. Mon homme nous appelle. Auguste toujours fiché en moi, on va dans sa chambre. Il est allongé sur le dos, sa bite bien dressé. Je monte sur le lit et en manœuvrant, je rentre sa bite avec celle d’Auguste dans mon cul.

Ils bougent en moi. Je sens l’orgasme qui monte. Je jouis. J’inonde le ventre de mon homme qui se met à jouir, suivi d’Auguste. Je me recule et lèche mon homme. Auguste est toujours en moi, sa bite se ramollie mais il reste en moi. Je le sens à peine. Il sort et passe devant moi pour que je nettoie sa bite. Mon homme joue avec mon cul et finit par y rentrer sa main. Auguste dit que ça serait bien d’y rentrer deux mains. Auguste tente de rentrer sa main en plus. Ça tire, ça fait mal. Il force et sa main rentre d’un coup. Ça tire moins. Auguste dit qu’il va me faire jouir, qu’il va me caresser la prostate. Il tourne avec ses doigts, me caresse, et… oh que c’est bon. Je jouis, je n’arrête pas d’éjaculer. Mon homme rentre et sort sa main de mon cul en même temps. La sensation est infernale. Je ne suis plus que jouissance à ce moment là. Ça se calme et les deux mains sortent de mon cul. Je suis littéralement vidé.

Auguste me dit que chaque fois que j’aurai été la pire des chiennes, un parfait vide-couilles, je serai récompensé. Je lui dis que je suis prêt à recommencer de suite. Fou rire d’Auguste et de mon homme. Mon homme me demande si je serais prêt à me faire défoncer par un autre animal qu’un chien. Je lui dis que je suis un vide-couilles et prêt à tout mais que je ne vois pas par quel autre animal. Mon homme me dit qu’on change le programme pour demain. Pas de foyer, mais une grande surprise. Auguste et mon homme me déshabille, me démaquillent. Je vais pour remonter mon jeans. Auguste m’arrête. Il me met un peu de pommade sur le cul en me disant:

— Tu vas passer la soirée et la nuit à avoir envie de bite.

Mon cul me chauffe, me démange, mais légèrement.

Je reprends le bus pour rentrer chez moi. Bondé comme d’habitude. Je n’y fais même plus cas, il est toujours bondé. Je sens une main sur mes fesses. Je ne sais pourquoi mais je suis sûr que c’est le même inconnu qu’hier. Mon cul me démange. Je deviens sûrement fou mais j’en ai trop envie: je défais mon jeans et je le laisse glisser derrière. La main passe dessous, me touche les fesses, me caresse. Je fais comme je peux, vu le monde, mais j’arrive à écarter un peu les jambes. La main glisse dans ma raie. Elle arrive sur ma rondelle. Un doigt caresse le pourtour. Je donne un coup de rein et le doigt rentre dans mon cul. Aucune difficulté, il est ouvert et je sens que je mouille. Le doigt s’arrête. L’inconnu a l’air surpris. Puis le doigt s’agite dans mon cul. Vu la position, il ne pourra pas faire mieux. On s’approche de mon oreille. Une voix grave me dit:

— Descends dans deux arrêts.

Ça c’est sûr: C’est mon arrêt!

Je remonte mon jeans et me prépare à descendre, en me faufilant dans la masse.

Je descends et cinq autres personnes sont descendues. Deux femmes et trois hommes, dont le voisin de mes parents qui est âgé. Il doit avoir 70 ans. Personne ne vient dans ma direction et je me mets en marche. Mon voisin vient à côté de moi et me salut. Il me demande si tout va bien. Je lui dis que oui. D’un coup, je reconnais sa voix! Je lui demande où on va. Il me dit que je peux venir chez lui, il a quelque chose à me montrer. On discute de tout et de rien jusqu’à chez lui. Une voiture klaxonne. Je me retourne: mes parents! Il s’arrête à notre hauteur. Mon voisin leur dit bonjour, et leur dit qu’il a besoin de moi quelques minutes pour l’aider à descendre des cartons à la cave. Mon père demande s’il a besoin d’aide. Il lui dit qu’à deux on va y arriver et le remercie.

On arrive chez mon voisin. J'entre chez lui et dit bonjour à sa femme qui m’embrasse. Il lui dit que je viens lui donner un coup de main pour descendre les cartons à la cave. Elle me remercie. Dans une pièce au fond, il y a quelques cartons. Il me dit de l’aider. Ils ne sont pas vraiment lourds. On descend à la cave avec le premier. Il me demande d’empiler d’autres caisses.

Je me penche et sens ses mains sur mon cul. Je défais mon jeans, sors une jambe et écarte largement les jambes et je reste penché. J’entends le bruit d’une fermeture-éclair et il m’encule lentement. Je donne des coups de reins pour qu’il me prenne plus mais il freine le mouvement. Il m’encule lentement, tout en douceur. C’est agréable. Puis il accélère le rythme. Je sens qu’il va jouir. je me retire, me retourne et le suce. Il jouit en me caressant les cheveux. Je garde sa bite dans ma bouche. J’entends sa femme demander si tout va bien. Il répond que oui. Il débande mais continue à me caresser les cheveux, alors je garde sa bite dans ma bouche. Je l’aspire un dernier coup. Je me rhabille. On remonte. On prend un autre carton.

Arrivé dans la cave, il me dit qu’il m’a vu de loin au Cours Dillon. Il me dit avec un clin d’œil que je n’ai pas besoin d’aller aussi loin pour ça. Je lui réponds que ne pouvais pas savoir. Il me dit qu’il risque d’avoir besoin plus souvent de mes services. On remonte. Je vais pour continuer à descendre les cartons mais il dit qu’il est fatigué, que l’on finira une autre fois et qu’il ne veut pas trop me retarder. Sa femme me remercie de ma gentillesse… je sors et rentre à la maison.

À suivre...

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Jeudi 28 juin 4 28 /06 /Juin 01:56

jesuce

On marche dans la rue. Mon cul est trempé et ça coule. L’arrière de mes bas est trempé. Mon cul est toujours ouvert et me démange. Je demande à Auguste combien de temps la pommade va faire effet et comment il va décoller le latex. Auguste me dit que la pommade va faire effet pendant encore quelques heures, mais ça va se calmer de plus en plus. Que part contre le latex est collé avec de la colle médicale, et qu’il va se décoller d’ici quelques jours. Mais que vu les médicaments que j’ai pris, je ne banderais pas non plus avant quelques jours. Là, je me sens mal. Mon homme me dit que de toute manière, il me réserve pour les soirs à venir jusqu’au week-end. Il me dit que l’on va retrouver Mouloud et ses copains sur les chantiers. Habillé comme je suis en fille, il est sûr que je vais avoir un grand succès. Me voilà transformé en fille pour quelques jours…

On repasse chez mon homme. Il me démaquille, me lave le cul, et me déshabille. Je me positionne devant la glace, je me penche pour voir mon cul. Ma rondelle est rouge, boursouflée, et ouverte. Mon homme me demande ce que je fais. Je lui dis que je regarde à quoi ressemble mon cul. Il me dit qu’il ressemble vraiment à une chatte. Il me demande de me ne pas bouger, passe derrière moi et m’encule d’un coup. Il me dit qu’il a vraiment l’impression d’être dans une chatte. Sa bite me fait du bien. Elle calme le feu et je me sens bien. Je lui dis que j’aimerais rester avec sa bite dans le cul. Il se retire et me dit de le suivre. Il m’amène dans sa chambre. C’est la première fois. Il m’allonge sur le dos, relève mes jambes et me prend. Je suis bien. Je sens la jouissance qui monte dans mon cul. Je jouis longuement. La sensation est étrange. Je jouis, j’éjacule comme jamais, mais je ne bande pas.

Mon homme jouit dans mon cul. Il me laisse sur le lit. Il revient avec un gant mouillé et une serviette. Il me lave la chatte comme il dit. Je m’avance vers lui et je lui dis que c’est à moi de laver sa bite. Je le suce jusqu’à ce qu’elle soit bien propre. Je me rhabille, décide de ne pas mettre de slip, et sors.

Je prends le bus. Il est bondé. Je me tiens comme je peux d’une main à la barre. Tout à coup je sens une main sur ma fesse. Je ne bouge pas. Je décide de suivre les mouvements du bus, et je me caresse sur cette main inconnue. J’écarte un peu les jambes, ce qui vu le monde est compliqué. La main glisse entre mes fesses. Puis elle contourne et passe devant. L’inconnu me prend pour une fille et essaye de me caresser la chatte! Sauf que moi, la chatte est derrière…

Mon arrêt arrive. Je m’arrache aux caresses et sors du bus avec un flot de voyageurs. Je rentre chez mes parents. Il n’y a que la voiture de parrain. Je rentre. Parrain me demande comment s’est passé mon après-midi. Je lui raconte. Il est assis, ne bouge pas pendant que je parle. Il me demande comment est mon cul. Je lui dis que ça me démange. Il me demande ce que ça veut dire. Je lui dis qu’il me manque une bite pour me ramoner. En même temps, je baisse mon jeans et me tourne, appuyé sur la table de la salle à manger. Parrain me dit que mes parents vont rentrer. Je lui dis que je sais mais qu’en même temps, ça m’excite. Il vient derrière moi. Il regarde "ma chatte", il passe ses doigts dessus. J’essaye de me planter sur ses doigts. Il dit que je suis vraiment la reine des chiennes. Je lui demande de me défoncer. Il m’encule. Je gémis de plaisir. Il me laboure en profondeur, lentement. On entend un moteur de voiture. Il se retire vite. Je remonte mon jeans. J’ai à peine fini de le reboutonner que mon père rentre…

Le soir, je monte me coucher tôt. Je sors de ma cachette mes "jouets". Le bidule de parrain entre sans forcer. Il est froid et ça me fait du bien à ma rondelle qui démange toujours. Puis j’introduis les deux boules de pétanque. Je me sens "pleine". J’introduis le plug gonflable et pompe jusqu'à ce que la douleur me fasse m’effondrer sur le lit.

Je me recroqueville pour m’endormir.

À suivre...

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Jeudi 28 juin 4 28 /06 /Juin 01:39

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La veille, quand je rentre, parrain est rentré, mes parents aussi. Maman me dit d’aller faire mes devoirs, comme tous les soirs. Parrain me dit alors:

— Ah, oui, c’est important de bien faire ses exercices.

La remarque m’amuse. Je monte dans ma chambre et commence par récupérer le bidule en plomb de parrain et le gode gonflable. J’introduis le bidule. Il entre sans problème et de par son poids, se cale en bas de mon cul. Je sens le poids et mon cul est ouvert. Trois de mes doigts entrent sans problème. Je décide de rentrer en plus une boule de pétanque. Elle entre sans trop forcer. Le poids commence à être énorme dans mon cul. Quatre de mes doigts rentrent. Je sens que l’ouverture n’est plus ronde. Elle est tirée vers le bas. J’introduis le plug et gonfle. Ça tire. Je pense à ce que m’a dit parrain sur la déformation qui doit être violente pour que mon cul soit déformé à vie et reste ouvert. Je pompe comme un fou. La douleur devient atroce. Je pense au lendemain, à tous les mecs que je vais prendre dans mon cul-chatte. Je bande de plus en plus et la douleur diminue. Je gonfle un peu plus. Je me cale sur le lit, le temps que la douleur se calme.

Parrain entre dans ma chambre. Il voit mon cul écartelé. Il me dit que j’y vais quand même très fort. Je lui dis que je veux une vraie chatte. Mon cul ne doit jamais se refermer. Je veux que n’importe quelle bite puisse entrer sans forcer. Il me caresse les cheveux, me dit qu’il a de la chance d’avoir un filleul comme moi, et sort.

Je relis mes cours en restant allongé, le cul complètement étiré. Maman crie "à table". Je décide de me rhabiller sans rien enlever. Pas évident de marcher. Je fais quelques pas dans ma chambre pour arriver à marcher normalement, et je descends. Dur de descendre l’escalier normalement. Il m’est difficile de rester assis alors je me pose sur le devant de la chaise, le cul relevé. Parrain voit ma position et comprends que mon cul est toujours encombré. À la fin du repas, je prétexte un grand coup de fatigue et monte dans ma chambre.

Je me mets en pyjama. J’ai peur que maman monte me voir. Finalement, il ne se passe rien et je m’endors.

Je suis réveillé par une sensation étrange. Parrain est en train d’étirer mon cul. Il a enlevé le plug, la boule de pétanque et le bidule en plomb, et il a entré huit doigts dans mon cul. Il tire de chaque côté, puis enfonce complètement une main et tire avec les autres doigts vers le bas. Il me demande si ça va. Je lui demande de tirer plus fort. Il tire de plus en plus fort sur ses doigts. La douleur me réveille complètement. Il me dit que mon cul s’est bien déformé. Qu’il est resté rond en haut, mais est ovale en bas. Qu’il pense qu’à ce régime, je n’aurai plus besoin de rien à la fin de la semaine: mon cul ne pourra jamais se refermer. Ses paroles me font jouir dans les draps. Je me rendors doucement, les mains de parrain toujours en train de déformer mon cul.

Je me réveille avec la sensation d’être plein à exploser. Je suis incapable de me lever. Je dégonfle le plug, et je sens une boule de pétanque tomber. Puis une seconde, et enfin le bidule. Parrain m’avait farci. Je plaque le tout et vais à la salle de bains. La poire de douche entre dans mon cul, c’est habituel. Sauf que là, je ne la sens pas. Je touche mon cul avec ma main. Ma main entre par l’ouverture! Effectivement, je comprends parrain cette nuit. Mon cul ne se refermera jamais. D’ailleurs, ce n’est plus un cul, mais une chatte.

Cul bien propre, je m’habille. Je suis surexcité: cet après-midi, je retourne au foyer des travailleurs africains. La matinée au lycée me semble une éternité. Marc n’a pas le moral, ses grands-parents ont passé la soirée à lui parler de la mort… Il comprend qu’ils soient vieux, mais de là à parler de la mort en permanence, ça le saoûle. Il me dit qu’il est désolé, que cet après-midi, il est bloqué chez lui avec sa mère. Je ne sais comment lui dire que ce n’est pas grave du tout.

Enfin libre. Je fonce chez mon homme. Il m’attend avec Thierry et un autre africain. Thierry me fait mettre à poil. Il demande à son copain ce qu’il en pense. J’apprends ainsi que son copain s’appelle Auguste. Auguste me fait mettre à quatre pattes sur la table. Il tourne autour de moi, me tâte, écarte mes fesses, les caresses. J’ai l’impression d’être une bête de foire. Auguste dit que j’ai une très belle chatte, bien large, bien ouverte, il entre deux doigts dans ma "chatte" et dit qu’elle est bien souple. Il dit aussi que j’ai un peu de poitrine et que ma bite est petite et doit se cacher facilement mais que l’on doit bien m’épiler entièrement.

Thierry demande par quoi il veut commencer. Auguste dit qu’il va d’abord m’épiler, mais qu’avant tout, il veut tester ma chatte. On me fait mettre par terre, toujours à quatre pattes. Auguste vient derrière moi. Je sens son gland à l’entrée de mon cul. Il dit que je mouille et m’encule d’un coup jusqu’à la garde. Son sexe est gros mais ma "chatte" est souple et l’avale sans problème. Je ne ressens aucune douleur mais me sens bien enculé. Je bande dur.

Auguste dit que ma chatte est vraiment super, que je mouille comme une chienne. Il me lime en profondeur et je gémis de plaisir. Il prend ma bite dans sa main et me branle violemment. Je jouis très vite. Il me dit que maintenant, je dois jouir du cul. Je sens que je bande à nouveau, et je sens monter l’orgasme. C’est beaucoup plus fort et beaucoup plus long. Il arrive à me faire jouir ainsi longtemps. Il sort de mon cul, il tient sa bite serrée dans sa main. Il passe devant moi, je l’attends bouche ouverte. Il jouit et me remplit la bouche. Je lui montre ma bouche pleine et attends. Il dit:

— Une vraie chienne. Il attend pour avaler.

Mon homme lui dit que je suis un vide-couilles exceptionnel. Il me dit de fermer la bouche, mais de ne pas avaler. Il dit alors qu’il va m’épiler. Je reste dans la même position. Mon homme demande comment il va m’épiler, Auguste répond:

— Au sucre.

Je regarde mon homme, l’air étonné. Mon homme me dit que c’est une technique africaine, avec du sucre fondu. Auguste revient avec une boule dans sa main, et commence à m’épiler la raie. Ça fait mal. Je ne bouge pas. Quand il a fini, il me fait me retourner. Il épile ainsi mon cul, mes fesses, ma bite et mes couilles et mes jambes.Puis il me dit d’avaler, et me masse avec une huile. Quand il masse ainsi mon cul, je me mets à bander. Auguste dit que je suis une vraie chienne à bites.

Quand il a fini, il dit qu’il faut faire disparaître "cette petite bite qui ne sert à rien". Il me donne à boire un produit assez dégueulasse. Il dit qu’avec ça, dans cinq minutes, je ne banderais plus pendant un long moment. Au bout de cinq minutes, je débande. Ma queue est petite. Auguste sort un truc du sac. Mon homme demande comment il va s’y prendre. Auguste lui dit qu’il a amené du latex médical et de la colle médicale, et une sonde urinaire. Il va coller mes couilles et ma bite après avoir mis en place la sonde médicale. Il introduit la sonde dans ma queue. Ça ne fait pas mal. Puis, il enduit le bas du morceau de latex de colle. Il le colle en dessous de mes couilles. Il les aplatit et elle rentre en moi. Il colle alors le latex, aplatit ma bite, et fait sortir la sonde par un trou dans le latex et colle fermement. Il maintient en place un petit moment, puis enlève sa main et me dit de me lever. Mon sexe a disparu!

Le latex est presque de la couleur de ma peau. Avec un scalpel, il découpe le reste de la sonde. Il me dit que pour pisser, je dois m’accroupir, comme une fille.

Il me fait aller devant la glace de l’entrée. Je ressemble vraiment à une fille. Il passe alors une pommade sur mes seins. Ça chauffe. Il dit que ça va les faire ressortir. Il sort alors de son sac un porte-jarretelle noir et des bas noirs, me dis de les mettre. Je n’en ai jamais vu et ne sais comment faire. Mon homme dit qu’il va m’aider et m’enfile les bas, fixe le porte-jarretelle autour de ma taille. Auguste lui tend alors un soutien-gorge que mon homme s’empresse de me mettre. Puis auguste sort une jupe, très courte, qui une fois en place arrive juste en dessous de la fixation de mes bas. Un chemisier blanc. Auguste me fait asseoir et sort une trousse à maquillage. Il me maquille les yeux, et me met une crème transparente sur les lèvres.

Il me dit de me lever, sort de son sac des chaussures de filles, mais plates, et me dit d’aller devant la glace de l’entrée. Je ressemble à une fille. Non, je suis une fille. Grand choc pour moi. Il m’a transformé en jeune fille. Il me dit de me pencher en avant de relever ma jupe et d’écarter les jambes. J’obéis. À peine en position, Thierry m’encule. Il me demande ce que je suis. Je lui dis:

— Je suis une chienne, un vide-couilles permanent, ouvert à tous. Ma bouche et mon cul sont ouverts à n’importe quelle bite, n’importe où, n’importe quand.

Il me demande comment je m’appelle. Je lui réponds:

— "Laurence".

Il sort sa bite de mon cul, je me retourne de suite pour boire son jus mais il rentre sa bite en me disant d’attendre. Auguste me fait remettre en position, il enduit ma rondelle d’une crème. Je sens que ça chauffe. Il dit qu’il vient de m’enduire le cul d’une pommade chauffante. Comme ça, mon cul va me démanger, et je vais supplier que l’on m’encule pour calmer le feu. Effectivement, ça chauffe. J’ai le cul réellement en feu. Thierry ressort sa bite et fait quelques aller-retours dans mon cul. Le feu se calme, c’est trop bon. Il arrête de bouger. Ça brule à nouveau et je bouge pour sentir sa bite me ramoner et calmer le feu. Auguste est mort de rire. Il dit que je vais pleurer et supplier pour que l’on m’encule tout l’après-midi et que ça tombe bien, il a dit au foyer qu’il amenait une jeune salope. Ils sont, selon lui, une trentaine à m’attendre pour me bourrer. Thierry sort de mon cul. Il me demande ce que je veux. Je lui réponds:

— De la bite, des centaines de bites.

Il me dit que l’on part au foyer. Je suis le premier dehors. Ils sont tous hilares.

Mon cul me brûle de plus en plus jusqu’au foyer. C’est intenable. On entre. Plusieurs mecs sont dans l’entrée. L’un me demande ce que je veux. Je lui réponds:

— Ta bite.

Le mec sort sa bite de son pantalon. Une grosse et longue bite bien noire. Il bande dur. Je me retourne, relève ma jupe et recule vers lui. Je m’encule sur sa bite. Le mec dit à Auguste qu’il n’a jamais vu une salope pareille. Je me défonce sur sa bite. C’est moi qui vais et viens sur sa bite. Un second se positionne devant moi, j’ouvre la bouche et me penche. Il me prend par les cheveux, enfonce sa bite dans ma gorge. Je suis empalé des deux côtés. En me tirant par les cheveux, il rythme la cadence. Les deux jouissent. Je me dirige vers les autres. Auguste me bloque par le bras et me dit de le suivre. On entre dans la salle où j’étais la première fois.

Je me jette sur le matelas, relève ma jupe, écarte les jambes et tiens mes fesses écartées avec mes mains. Deux secondes plus tard, une bite vient calmer le feu de mon cul. Ma "mise à l’abattage" durera trois heures. Je n’ai pas compté les bites. Le feu de mon cul n’est pas calmé. Je les supplie de continuer. Thierry me traite de pure salope et me fiste. Oh que c’est bon! Je m’encule sur sa main. Quasiment tous les autres ont quitté la pièce. Auguste s’allonge sur le dos. Thierry me dit d’aller sur lui. Il laisse sa main dans mon cul. Auguste positionne sa bite et l'entre dans mon cul déjà occupé par la main de Thierry. Je sens que Thierry branle son copain dans mon cul.

Il sort alors sa main et la rentre tout en la laissant autour de la bite d’Auguste. Mon cul est ouvert en deux mais ça calme le feu. Auguste me demande si ça va. Je lui dis que c’est trop bon. Il défait les boutons du chemisier, passe sa main sous le soutien-gorge et caresse mes tétons. Je gémis de plus en plus. Auguste me dit que je suis une salope exceptionnelle, qu’il n’a qu’une envie, c’est de m’envoyer dans un bordel chez lui au Sénégal. Il jouit. Thierry ne lâche pas la bite d’Auguste et me fait me relever. Sa main est trempée de sperme. Il me dit de lécher sa main. Je lèche.

Ils me font me relever. Mon cul est ouvert et je sens que ça coule sur mes fesses et sur les bas. Le feu s’est un peu calmé mais ça me démange encore.

On sort du foyer...

À suivre...

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