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fan de histoires de mec

Jeudi 12 juillet 4 12 /07 /Juil 01:41

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Il y a quelques années, je venais d'avoir 18 ans, et avec mes parents nous avons aménagé dans un lotissement de villa. Au collège, je me liais d'amitié avec José, un jeune Portugais de 18 ans qui vivait à la cité, distante de 100 mètres de ma maison, avec ses parents et son demi-frère Karim de deux ans son aîné. José et moi nous avions la même passion: le foot! Moi j'étais ni bon ni mauvais, José lui, il était un artiste du drible. Il m'invita à jouer comme remplaçant dans l'équipe de la cité. Je fis la connaissance des garçons de la cité qui jouaient dans l'équipe dont le capitaine était le frère de José. Il menait toute la bande de la cité et tous lui obéissaient. Il ne travaillait pas et traînait toute la journée avec ses potes.

Il mesurait 1m78, il avait de grands yeux marron, des cheveux très bruns bouclés, un torse fin mais musclé, des jambes longues et puissantes. Très rapide, nerveux, bagarreur et railleur, il en imposait. Moi, je suis petit (1m70), yeux verts, blond, pas très musclé, imberbe, d'apparence juvénile, on ne me donnait mon âge à cette époque-là.

Au vestiaire, après les matchs, je n'osais pas me foutre à poil de peur que l'on se moque de moi. Mon sexe mesure à peine 15cm, il est fin et courbé. Mes testicules ressemblent à des cerises perdues dans des bourses trop grandes, entourées de poils blonds peu nombreux et presque invisibles. Je prenais la douche le dernier et je gardais un maillot de bain pour éviter que quelqu'un me voit.

Je regardais les autres et matais leurs sexes pour comparer avec le mien. Celui de Karim était long 23cm, assez large 4.5cm, et sous la douche, il se caressait sans hésiter en criant: "Putain que c'est bon! Personne ne veut me sucer, ni me donner son cul!! Un dimanche où je remplaçais un joueur et grâce à moi, on a gagné. Karim hurla: "C'est le blondinet qui a marqué. On va lui faire sa fête."

À peine dans le vestiaire que Karim m'attrape et avec ses copains me foutent à poil. Ils me poussent sous la douche en riant et en criant: "On va te faire ta fête!" Je me débattais comme un fou et Karim dit: "C'est une blague!" José rigolait suivant son frère. J'ai eu très peur et en même temps j'ai ressenti un émoi qui me fit trembler quand Karim me tenait dans ses bras.

Fin d'année, mes parents partent pour 15 jours au ski, moi je reste à la villa seul. La journée, j'allais chercher José pour déambuler dans la cité ou en ville. Karim dans les caves bricolait des 'mobs' pour se faire un peu d'argent et bien d'autres choses. Il fumait. Ce samedi, quelques jours avant Noël, je monte à la cité pour chercher José quand je tombe nez à nez avec un copain de Karim qui me dit: "José est avec son frère dans la cave du fond. Va les voir. C’est tout droit et au fond tu prends à gauche, tu verras la lumière. Ils sont là." J'arrive devant la cave à demie fermée, j'entre. Karim est au fond penché sur une mob.

— Salut. José n'est pas là?

— Non il vient de partir. Tu tombes bien c'est mon anniversaire et j'ai envie de me faire sucer et de prendre le cul d’un bourge! C’est génial! À genoux et pompe!

Éclat de rire général.

— Vous êtes fou! Leurs dis-je en reculant.

Je me retourne pour foutre le camp quand je vois ses trois copains bouchant la sortie. Je me sens attrapé par Karim qui me retourne, me colle au mur et me bloque la tête, se penche pour me rouler une pelle. Je me débats et les autres m'immobilisent. Les lèvres de Karim écrasent les miennes, sa langue force ma bouche. Elle est chaude, dure. Je ne résiste plus et il en profite pour me rouler une pelle qui dure, qui dure jusqu'à me faire perdre la respiration, me mordillant au passage les lèvres jusqu'au sang. Je ressens un émoi, une envie folle qui fait gonfler mon sexe. Il lâche ma bouche, tâte à travers mon survêt mon sexe. Voyant ma réaction, il me dit:

— Je pense que tu aimes ça. Tu vas faire la meuf pendant ces vacances pour moi et mes potes!

Ses copains m'attrapent et m'amènent dans l'autre cave. En entrant je vis un lit, recouvert d'un duvet, un jerrican d'eau et une cuvette. Le goal de l'équipe me dit:

— À poil ou on te déshabille?

Sans réaction de ma part, ils m'arrachent mes vêtements. Tâtant mes fesses, mon anus, Pierre dit:

— Il est puceau, Karim va pas s'emmerder!

Ils prirent mes vêtements, sortirent en fermant la porte à clé. Seul dans le noir, je tremblais de froid et de peur. Je m'allonge sur le lit et me recouvre du duvet. Je fus réveillé par le grincement de la porte. La lumière s'allume et je vois Karim et les autres se diriger vers moi.

— Il est déjà prêt pour nous recevoir.

— Ouais! dit Karim. Je passe le premier.

Il s'assoit sur le bord du lit, me retourne et bloque ma tête bouche contre le matelas. Je sens sa main qui touche mes fesses, des mains qui attrapent mes chevilles m'obligeant à écarter les jambes, offrant mon cul à leurs envies. Tout en tâtant mon trou, il se penche vers moi et me dit:

— Tu es puceau. Tu vas te laisser faire ou on te pénètre à sec méchamment.

Je hurle de douleur quand il m'enfonce ses deux doigts dans mon anus brutalement sans préparation ni lubrifiant. Il s'arrête:

— Tu vois ce que ça fait? Imagine nos chibres. Laisse-toi faire et nous irons doucement.

— Tu nous branleras, tu nous suceras tu avaleras tout ce que l'on crache me dit Pierre en me montrant son sexe en érection.

— Tu seras notre salope! me crie Joe en me mettant une claque sur la tête pour que je le regarde en train de se branler.

À la hauteur de mes yeux, je vois un sexe énorme (27 sur 6.5cm). Ses poils sont abondants, très frisés, dégageant une odeur acide, faîte de relent de sperme, de pisse et de sueur, entourant une bourse gonflée contenant des boules comme des œufs. Son gland violacé crache sur ma figure un sperme épais en plusieurs jets. Je suis aveuglé par ce liquide qui coule le long de ma figure... Grand éclat de rire général.

— Sors ta langue, récupère-le et nettoie-moi, me dit Joe en me mettant son gland entre mes lèvres.

J'hésite. Karim se met à labourer mon intimité avec ses doigts pour me forcer à obéir. J'ai mal et en même temps, j'ai envie qu'il continue.

— Salope, me crie Karim. Va jusqu'à ses boules. Après tu te frotteras le visage avec ta main et tu la lécheras.

Je les prends une par une dans ma bouche et je les suce avalant des poils de son pubis. Avec ma langue je caresse son entrejambe, la glissant sous ses testicules, remontant jusqu’à la naissance de son membre, je le sens frémir. Son sexe devient très dur.

— Oh putain! crie-t-il. J’en peux plus... Je vais me l’enculer à sec.

— Non! dit Karim. Son cul est pour moi.

— Bien! répond-il. Je vais baisser sa bouche!

Et m’agrippant par les cheveux, il glisse son pénis dans mes lèvres et commence à limer s'enfonçant jusqu'au fond de ma gorge, butant sur ma glotte. J'ai l’impression qu’il veut s’enfoncer encore plus profond, que je l’avale entièrement. Chaque fois qu’il s’enfonce, j’ai envie de vomir. Je le sens grossir, m’obligeant à ouvrir au maximum ma bouche. D'un seul coup, il jouit en gémissant de plaisir. Sa semence est âcre, salée, épaisse. J'en ai plein la bouche et je me reprends à deux fois pour l'avaler. Il rit et me dit:

— Et bien, ma salope, tu t'es régalé! Tu m’as fait jouir deux fois. Allez-y les gars, il le fait mieux que ma dernière meuf!

La nuit ne faisait que commencer Karim qui se désape et me dit:

— Je vais prendre ta rondelle. Avec douceur puisque tu participes à nos envies, comme promis. Allez les gars préparez-le!

Des mains écartes mes fesses, malaxe mon anus, des doigts s'enfoncent dans mon intimité, on y crache dessus. Karim se glisse entre mes jambes; me mordille la nuque tout en me disant:

— Décontracte toi, tu vas aimer.

— Vas-y doucement! lui dis-je.

— Sûr! Ta rondelle va aimer.

Son gland appuie sur elle de plus en plus fort. Elle cède, il s'arrête pour laisser passer la douleur. Je le sens juste dans ma rondelle qu'il dilate puis d'un seul coup il s'enfonce en moi. Je me tends, je m'accroche au bord du lit, je gigote, mais tenu par les jambes, je sens ce membre dur et conquérant me défoncer! Je suffoque. J'ai comme des coups de poignard qui remontent de mes entrailles. Karim s'immobilise pour laisser passer la douleur.

— Décontracte-toi! me dit-il. Relâche tes muscles, cambre tes reins, cool mon frère. Cool!

Il m'attrape par les hanches, me soulève légèrement le cul pour me faire cambrer les reins. J'ai l'impression qu'un pieu enflammé remonte dans mes tripes! Cette sensation est douloureuse et très excitante. Karim se met à limer lentement puis il accélère le mouvement sans tenir compte de mes crispations. Je voudrais qu'il s'arrête, et j'ai envie qu'il continue. Mon sexe grossit et se met à bander à mort... Je gémis, et je ne sais plus si c'est sous l'effet de la douleur ou du plaisir. Dans mon cul, son pénis enfle, je sens qu'il va jouir. Moi aussi! Un flot de sperme remplit mes entrailles provoquant ma jouissance... Je lâche ma purée dans le matelas. Il sort, s'effondre à côté de moi, haletant.

Pierre m'attrape, me retourne, écarte mes jambes en mes les relevants. Il se positionne pour me pénétrer en me disant:

— Salope, écarte bien. J’arrive!

Finissant sa phrase, d'un coup sec, il me pénètre violemment! Son sexe (20 de long et 5 de large avec un gland rose et pointu) dilate encore plus mon anus. Il s'enfonce au plus profond sans douceur. Comme un bourrin, il lime avec des petits cris de joie, entrant et sortant de mon intimité, mettant le feu à mes entrailles. Son sexe enfle, se durcit. J'ai l'impression que tout va se déchirer! J'ai mal. Des jets puissants, brûlants, remplissent mon cul, recoulent entre mes jambes.

— Quel pied! me dit Pierre. Je reviendrai!

Paco, dit l'indien, s'approche du lit en se masturbant. Son sexe est fin, long, très recourbé vers le haut. Il me regarde, m'attrape par les cheveux, m'oblige à me mettre à quatre pattes, mon cul tourné vers lui, met son sexe à l'entrée de mon anus. Doucement, avec des gestes lents, il lime sans me pénétrer profondément, juste son gland qui rentre et sort. Il glisse facilement grâce au sperme qui continue à couler. Je le sens se raidir, prêt à jouir. Il sort son pénis et le fait glisser le long de ma raie, entre mes fesses. Ses boules cognent contre les miennes. D'une main il pince ma fesse gauche et de l'autre il se branle. Mon dos est aspergé par un liquide crémeux, chaud.

Pause dans mon calvaire qui ne me paraît pas si terrible. Je regarde Karim; il zyeute mon sexe avec un sourire vicieux et me dit:

— Tu apprécies notre partouze. Tu en as même joui!

— Ouais! Tu as vu! Avant, il faisait des manières, après il en redemandait, marmonne Pierre.

— Tu mériterais que toute la cité te passe dessus! rétorque Joe.

— Ton cul de bourge appelle nos chibres! finit par dire l'indien.

Ils s'en vont en refermant la cave, me laissant dans le noir plein de sperme dans le cul, sur le visage et le dos, avec son goût dans la bouche. Pour une première fois, j'ai été gâté. J'ai honte d'avoir pris mon pied avec Karim. Plus tard dans la nuit, la porte s'ouvre, la tête de José pointe. Il me regarde et me sourit:

— Toi aussi, tu as envie de me prendre. Je te croyais mon ami! Lui dis-je.

— Non! me répond-il. Je viens te chercher pour te ramener chez toi.

Sur ces mots il me tend mes habits.

— Magne-toi! me dit-il en ressortant de la cave et en partant le long du couloir.

Je m'habille à toute vitesse et je le rattrape.

À suivre...

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Jeudi 12 juillet 4 12 /07 /Juil 00:36

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Nous marchons dans l'étroit boyau qui longe les caves de la cité, vers la liberté. À la hauteur de la sortie, une main surgit de l'ombre agrippe mon épaule, pince le muscle et me force à tomber à genoux.

— Notre gazelle s'échappe! me dit une voix inconnue. Et moi qui veux la défoncer! Salope, tu ne vas pas t'en tirer comme ça!

Joignant la parole à l'acte il me donne un coup de genou en pleine poitrine. Sous le choc, je perds la respiration. José s'interpose! Il est immobilisé par une autre ombre surgie d'une cave. Un troisième larron apparaît et dit:

— Il est belliqueux le petit. Faut pas toucher à sa meuf! Tu vas voir quand Karim saura. Retournez à la «chambre».

Il me soulève par les cheveux et me traîne en me flanquant des coups au derrière. José est poussé par les deux autres à grands coups de pied.

— À poil! me dit l'inconnu. Fissa! Fissa! On a envie de te sauter. Tu es un bon garage à bite; Pierre me la dit!

— Et le faux frère? dit un autre.

— Comme sa pétasse! Répond celui qui me tient. Dans la cave il pourra la voir se faire niquer par des vrais mecs.

Je jette mes frusques au sol tandis que José se débat. Je rentre la tête basse et je vais m'asseoir sur le lit. Ils l'immobilisent, le déshabillent, jetant son survêt à côté du mien. Il est en caleçon, traîné par les épaules, coincé entre deux étagères, puis attaché au montant, les bras en l'air, les pieds écartés, face au mur. Momo sort son couteau, le passe entre la peau de José et son caleçon, coupant les tissus pour découvrir son cul. Il est musclé, rebondi avec une ligne de poil qui dépasse de sa raie. Je devine entre ses jambes ses boules et le bout de son pénis qui dépasse. J'imagine qu'il doit être long!

Un des mecs m'attrape d'une main par les cheveux, m'oblige à me mettre à genoux, tandis que de l'autre, il ouvre sa braguette, sort sa queue, se la caresse et vient me l'enfoncer jusqu'au fond de la bouche. Puis il saisit mes oreilles et commence à me faire l'amour en limant vigoureusement, butant sur ma glotte. Pendant ce temps, un autre se glisse derrière moi, écarte mes fesses et me pénètre violemment à sec. La douleur me fait serrer la bouche sur la queue de l'autre qui gémit et me file une gifle. Le troisième s'approche en se branlant, jouissant du spectacle. Ma bouche se remplit de sperme, mon cul réceptionne trois jets brûlants, et le dernier me jouit dessus. Quelle humiliation! Celui qui m'enculait me dit:

— Lave moi! Tu ne crois pas que je vais le mettre dans mon caleçon avec les traces de ta merde. Il faut qu'il soit nickel chrome!

Il lève la main, je m'exécute pour éviter les coups. Puis, on se met devant moi et on me dit:

— Ouvre ta bouche, je vais pisser...

Je baisse la tête et je fais signe que non. Un déluge de coups sur mon sexe, mes fesses, ma tête ponctua ce refus.

— Sale fiotte, sale pute, sale pédé, me crie le meneur. Tu vas voir ce que l'on va te faire. Rick aime les culs sales. Viens ici mon petit Rick!

Je sens un souffle chaud, humide sur mes fesses.

— C'est quoi?

Je hurle en me débattant.

— C'est un doberman, me dit-on. Tu vas aimer!

— Non, non, pas ça! Hurlais-je en gigotant comme un fou pour éviter d'être monté par le doberman.

On me tire brutalement la tête en arrière. Des petits yeux porcins dans une figure mal lavée, mal rasée, avec un sourire vicieux, cruel et une haleine qui empeste la bière, me fixent.

— Arrête de gigoter. Tu vas y passer à la casserole, me dit le meneur à qui appartient cette figure de cauchemar. Sinon je vais cogner!

Il se relève, lève le bras. Une douleur vive me fait sursauter quand la laisse du chien frappe mes fesses. Son bras armé s'abat une, deux, trois, quatre fois, cinglant de plus en plus fort mon cul. La peau rouge, j'abandonne. Je ne bouge plus! Les bras ballants, à genoux j'attends la suite des événements. Le meneurs regarde ses collègues et dit:

— Il faut qu'il le branle, qu'il le suce, pour le mettre en état de l'enculer.

— Bonne idée! lui répond une voix.

— Allez, pédale, attrape son sexe et branle! me crie le meneur en amenant le doberman devant moi.

Je reste prostré tout en murmurant: «Faites ce que vous voulez de moi. Je m'en fous!»

Silence dans la cave. Sur ma gauche, celui qui s'appelle Momo dit:

— Moi je sais ce qu'il faut faire, et il attrape un manche de balai, me regarde avec un sourire sardonique.

Je me recroqueville en attendant les coups. José hurle quand le manche le frappe à la hauteur des épaules. Puis Momo le glisse entre ses jambes écartées et frappe ses couilles. José a un hoquet, se crispe.

— Arrêtez. Je fais ce que tu veux, et disant cela, j'attrape la queue de Rick et je le branle.

— Tu vois, il veut pas que on abîme son mec!

— C'est pas mon mec! dis-je.

— On dit ça! Tu rates quelque chose. Pour son âge, il est bien monté.

— Allez suce maintenant! Rick attend...

Je me glisse sous le chien et je lèche sous son sexe des couilles au bout de son pénis. Je le prends dans ma bouche et je suce. D'un seul coup, le meneur m'attrape par les cheveux et me dit:

— Mets la tête sur le sol, le cul en l'air, mon chien va prendre son pied.

J'obéis! Il pose les pattes avant du chien sur mon dos, met son sexe sur mon anus. Drôle de sensation! Il est dur, pointu, fin et très recourbé. Il me fait mal. Il lime à une vitesse folle, mettant le feu à mes boyaux, haletant au dessus de moi, bavant sur mon dos. Je ne prends aucun plaisir à supporter cette enculade. Au bout de quelques minutes, Rick décharge. Tous rigolent autours de moi.

Ils sortent leurs sexes et à tour de rôle me pissent dans le cul pour me laver; disent-il. Puis ils s'en vont en criant: «On va faire passer le mot. Tu auras des visites!»

Pendant un long moment, je ne bouge pas. Aucuns bruits. Je me lève, me dirige vers la porte et doucement je l'entrebâille. J'attrape nos survêts. J'enfile le mien et je vais auprès de José que je détache. Il me dit, tourné vers le mur:

— Passe-moi mes vêtements...

Il les met puis se tourne vers moi et me dit:

— Attends, je prends un marteau et je te jure que personne nous ramènera ici! Allons-y!

On sort et on marche rapidement dans la nuit noire en direction de chez moi. Arrivés devant ma maison, José me regarde et me dit:

— Pas de connerie! Tu ne parles à personne de ta nuit! Sinon gare aux représailles, pour toi et ta famille!

— T'inquiètes, je ne me venterai pas de mon aventure ni à mes parents, ni à d'autres personnes!

— Tu as pris ton pied, alors tu n'as rien à dire.

— J'ai honte et j'ai mal! De plus j'ai envie de prendre un bon bain pour me laver de tout et oublier mes faiblesses! Tu rentres chez moi?

— Si, tu ne m’en veux pas?

— Pourquoi? Tu n'es pas responsable de tes amis!

J'ouvre la porte et nous rentrons. Je me rue dans la salle de bain; j'ouvre les robinets, je parfume à la folie l'eau du bain. Je cours à ma chambre et je jette mes vêtements, caleçon compris, au milieu de la pièce. Je me retourne et je vois José qui me regarde faire. Surpris, je cache mon sexe avec ma main.

— T'es pressé! me dit-il en souriant.

— Plus qu'un peu, lui rétorquais-je.

— Que caches-tu avec ta main?

— Je. Je. Hébé...

— Tu sais, je t'ai déjà maté sous la douche aux vestiaires! Il me semble petit!

— Ah oui? Dis-je en rougissant.

— Tout ce qui petit est mignon!

Il s'approche de moi, me pose ses mains sur mes épaules, se penche vers ma bouche et y dépose un baiser. Ses yeux brillent de plaisir. Avec un sourire narquois au coin des lèvres, il me dit:

— Je voulais te remercier pour ce que tu as fait dans la cave. C'était vraiment cool.

Je le regarde en souriant et je lui dis:

— J'en supportais assez sans que toi tu en subisses. C'est moi qu'ils voulaient!

Son sourire s'accentue, je vois ses dents briller et il me dit:

— Va te laver, je viens pour te savonner le dos...

Et joignant le geste à la parole, il commence à se déssaper. Son sexe pend le long de sa bourse, la dépassant. Sous mon regard, il commence à gonfler, à se tendre, pour former un pic. Il s'approche de moi, pose ses lèvres sur les miennes, sa langue fraye un passage, caresse la mienne, s'enfonce et remplit toute ma bouche. Je fonds. Je m'abandonne à ce baiser tendre et fougueux. Il passe ses mains dans mes cheveux caressant ma nuque d'une main, tandis que l'autre descend le long de mon corps, titillant au passage la pointe de mes seings, effleurant mes abdos, mon nombril, écartant mes mains pour saisir ma verge avec deux doigts, tandis que les trois autres jouent avec mes couilles. Je bande sous l'effet de cette caresse. Il me lâche, je recule.

Enfin, je peux le mater: un corps fin, taillé en V; une peau fine et mate; une touffe de poil très brun décore sa poitrine entre les deux pectoraux bien dessinés mais fins; de sous ses bras jaillissent des poils frisés mi-longs. Une ligne de duvet courre sur ses abdos pour finir dans une forêt vierge abondante, drue, qui entoure son sexe et ses bourses bien remplies par une paire de boules presque rondes, lourdes. Des jambes poilues et musclées achèvent ce tableau.

Je rougis quand je m'aperçois qu'il devine mon intérêt pour son corps. Ce qui m'a empêché de débander. Brutalement il me retourne, me met une claque sur les fesses et me dit: «Au bain!» Je cours me réfugier dans la baignoire. Il arrive majestueux, ses couilles ballottant entre ses jambes, son sexe droit à moitié décalotté, le sourire aux lèvres, heureux et content de mes réactions. Il entre dans la baignoire, se glisse dans mon dos, m'enserre avec ses jambes, dépose un baiser dans mon cou. Il prend du gel douche et commence à me frictionner le dos. Ses doigts dansent le long de mes épaules, de mes pectoraux, descendent le long des mes bras, remontent et caressent mes côtes, mes aisselles. Je m'abandonne sous l'effet de son jeu de main, rejetant la tête en arrière, m'appuyant de tout mon poids contre son corps. Je sens son membre dur. Ses mains se remettent en mouvement le long de mes côtes, arrive au pli de mes jambes, glissent vers mon pénis. De la droite, il s'en saisit et commence à me le décalotter.

— Il faut le laver, me dit-il en faisant jaillir mon gland.

Avec un doigt, il le frotte, le glisse sous mon prépuce, titille le nerf. L'autre main cherche mes boules, les attrape, les caresse, les palpe. Quel pied! Je sens que je vais partir dans l'eau tiède du bain! Je me crispe quand il m'embrasse dans le cou. J'explose, me vidant complètement. Il en profite pour accentuer son baiser, en faire un suçon. Heureux, amorphe, je me laisse faire. Il m'essuie et me pousse vers mon lit.

— Tu as un corps d'ado imberbe avec du duvet blond.

— Je ne fais pas mon âge...

— Comme tu dit. Ton sexe est mignon.

— Tu parles, il est si petit que j'en ai honte!

Je le regarde, bandant comme un taureau en rut au pied de mon lit:

— Tu veux me faire l'amour, que je te suce?

— Non! Après tes aventures, on verra demain si tu es remis de tes émotions! Je ne veux pas t'imposer des relations que tu regretteras ou que tu ne supporterais pas.

Sur ces mots, je sombre dans un sommeil agité où je rêve de mecs à poil qui m'attachent en m'écartant les bras et les jambes à quatre pattes, me défonçant la gorge avec leurs sexes gros comme mon avant bras, me prenant par la nuque pour que je les avale entièrement. Je n'y arrive pas. Une sensation me tire de mon cauchemar. Lentement j'émerge tout en me touchant: J'ai la trique et une tache blanche de foutre sur mon bas-ventre! José dort à mes côtés en chien de fusil, tourné vers moi. Il a dû se branler sur moi. Il bandait trop hier soir. Dans mon sommeil, il me semble que j'ai vu une ombre qui s'agitait. Cette vision a dû entraîner mon délire.

Curieux, je soulève légèrement le drap, je vois son pieu gonflé, dur. J'ai envie de le faire jouir! Je plonge ma main et doucement je le saisis. Tout en faisant attention à ne pas le réveiller, je le caresse, je le décalotte. Sur son gland violacé, quelques gouttes de sperme apparaissent. J'ai envie d'y goûter! Je glisse ma tête sous le drap jusqu'à son sexe, je lèche son bout, juste sur la fente, pour récupérer les gouttelettes. Je veux le faire jouir. Sans aucune retenue, je gobe son membre. Je le suce comme un esquimau, maladroitement, l'enserrant entre mes lèvres, ma langue caressant sa veine. Il grossit, occupe toute ma bouche, prêt à exploser.

Brusquement, sa main se pose sur ma tête, bloque mes mouvements. Ses jambes se soulèvent et s'écartent légèrement pour m'offrir complètement ses couilles. Il pousse ma tête vers ses boules pour que je les suce. Je m'exécute! Je les lèche à grands coups de langue, puis je la glisse entre sa bourse et ses jambes, descendant jusqu'à la naissance de son pénis. Je remonte le long de son dard. Je le reprends et je le mets de biais pour l'avaler entièrement. Dans un râle, il jouit à mort. J'en ai plein la bouche. Il se retire. Je déglutis pour avaler son jus. Son gland est encore congestionné, une goûte perle au méat. Je la récupère.

Je lève la tête et je contemple José en moitié endormi, qui sourit, heureux, les yeux mi-clos. Ma main est posée sur son sexe. Il se met à me caresser mes cheveux tendrement. Il pose ma tête au creux de son épaule tout en me murmurant:

— On est bien tous les deux. Tu t'es remis d'hier?

— Oui! Dis-je en retirant ma main de son sexe.

— Laisse-là où elle est! Il est pour toi et à toi!

— C'est vrai?

— Sûr! Tu ne l'as pas compris quand j'ai craché! C’était tellement bon! Tu veux que je te fasse un aveu: c’était la première fois!

— C'est la première fois qu'on te suce? Je suis heureux que ce soit moi qui l'ai fait.

En disant cela, je me pelotonne contre lui, remets ma main sur son sexe tandis que José glisse sa jambe entre mes cuisses, caressant au passage doucement mes boules, et plonge dans un sommeil profond. Je le regarde dormir, véritable visage d'ange heureux et amoureux; tout en somnolant sans bouger, gardant au chaud sous ma main son sexe. C'est tellement excitant que je finis par imaginer tout le plaisir qu'il va me donner et que je vais prendre: un pied d'enfer!

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Mercredi 11 juillet 3 11 /07 /Juil 23:51

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Je ne peux m’empêcher de vous raconter l’histoire qui me lie à mon frère. À l’époque, j’avais 19 ans et Chip en avait 17. Nous sommes châtains tous les deux et le sport nous a permis de développer notre musculature si bien que nous sommes plutôt bien foutus. Je sortais souvent en boîte avec différentes copines, n’ayant aucun problème à en changer lorsqu’une commençait à m’agacer. Chip lui avait sa blonde attitrée, une certaine Cindy.

Ce que j’aimais avec mes compagnes, c’était de leur lécher leur chatte puis de passer à leur rosette. Je pouvais rester longtemps à passer ma langue sur la peau boursouflée de leur anus. Plus les fesses de ma copine étaient fermes, plus elles m’attiraient.

C’est un jour que tout a basculé. Alors que je passais devant la chambre de mon frère, celui-ci en slip se trouvait à quatre pattes en train de chercher quelque chose par terre. Son postérieur était bien remonté vers moi. Je fus soufflé par la beauté et la fermeté de ses fesses. Je ne pus m’empêcher de siffler.

— Quel cul ! Ta copine doit apprécier !

— Quoi ? Me demanda-t-il interloqué.

— Y venir fourrer sa langue !

— T’es malade !

Mon frère ne semblait pas connaître ce plaisir entre partenaires.

— Me dit pas que ta copine ne t’as jamais léché le cul ?

— Ben non, c’est dégueulasse ! La tienne te le fait ?

— Souvent même, j’adore. Moi ça m’excite grave de leur lécher à mon tour.

— Ah bon ?

Je ne sais toujours pas ce qui m’a pris mais je lui proposai alors d’essayer.

— Si tu veux, je te le fais.

— Heu…

— Juste pour que tu connaisses la sensation.

Je me suis alors approché de lui, ai posé mes mains sur ses hanches et fait glisser son slip, découvrant ses fesses parfaitement dessinées et imberbes. J’y ai posé mes lèvres et ai écarté lentement les deux globes pour libérer son trou. Il s’allongea alors sur le lit, relevant ses fesses pendant que je plantai ma langue en lui. Il ne fut pas long à gémir, il faut dire que j’avais de l’expérience en la matière. Moi je bandais dans mon jean mais je préférai lui lécher le cul. Je l’ai ainsi travaillé cinq bonnes minutes puis nous nous sommes arrêtés là.

— Putain frérot, il va falloir que je demande à Cindy de me faire pareil.

Quelques jours plus tard, il vint me voir en me disant que Cindy avait refusé et qu’il en était dégoûté. Je lui proposai alors de recommencer l’aventure. Moi je trouvais son cul tellement bandant que je n’allais pas hésiter à recommencer. Il ne fut pas long à se foutre à poil et à me tendre ses fesses. La séance dura bien plus longtemps, je pouvais le voir se branler et jouir dans sa main.

On recommença de nombreuses fois. Je bandais à chaque fois, lui se branlait et moi je restais à lui lécher la rosette. Mais petit à petit, je pris l’habitude de sortir ma queue de mon jean et de me branler à mon tour. Lui était sur le lit à quatre pattes et moi par terre. Il ne pouvait deviner ce que je faisais, trop occupé à son plaisir. Au fur et à mesure de nos séances, je faisais davantage entrer ma langue en lui pour bien l’ouvrir.

Un soir, alors que nous étions seuls, lui m’offrant son cul, je n’ai pu résister. Je me suis glissé sur le lit, ai ouvert mon jean et me suis approché de son corps, la queue au garde à vous.

— Chad ! Que fais-tu ?

— Chut, je vais te faire connaître une sensation encore meilleure.

Sans plus attendre, je lui ai glissé ma queue dans son trou et me suis collé à lui. Je l’avais tellement travaillé de ma langue que je n’eus aucune difficulté. Il gémit rapidement.

— Oh putain !

— T’aimes ça ma queue dans ton cul ?

— Oh bordel c’est trop bon.

— Un si bon cul de salope, c’est fait pour les queues.

Je l’ai littéralement défoncé, profitant au maximum de son trou. Je devenais un animal. C’était la première fois que j’enculais un mec mais c’était jouissif, surtout le fait que ce soit mon frère.

— Vas-y encule-moi !

J’ahanais dans son dos.

— Fais de moi une chienne.

Il aimait les mots salaces, ce qui m’excitait davantage encore.

— Je vais faire de toi ma femme, mon frère chéri.

Je le fis s’allonger sur le dos, face à moi et suis venu lui fourrer ma queue dans son trou. Ses yeux étincelaient de désir. Il se branlait comme un fou pendant que je le possédais.

— Je vais te féconder.

Nous jouîmes ensemble, moi en lui et lui sur son ventre.

Depuis ce jour, j’ai pu profiter souvent du plus beau cul du monde.

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Mardi 10 juillet 2 10 /07 /Juil 19:14

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J'avais aménagé avec deux potes, Ben et Eric. Ce soir là, on organisait une petite soirée. Ben était venu avec sa copine du moment, Alice, une petite branleuse que je ne pouvais pas supporter. Nous avions bu pas mal de bière quand Alice partit aux toilettes. À son retour, elle nous critiqua en disant qu'on voyait bien qu'on était entre mecs, les toilettes n'étaient pas propres. Ben devenait parfois mauvais quand il avait un peu bu. Il m'accusa d'avoir pissé par terre.

Malgré un petit pic de tension, l'ambiance se calma mais à un moment il fallut que j'aille épancher ma vessie. Je surpris alors un regard d'Alice à mon pote. Ce dernier m'empêcha de passer. J'avais super envie donc j'essayai de forcer le passage mais Ben me bloqua. Nous entreprîmes une petite lutte où vicieusement, il commença à me chatouiller. Je ne pus résister et me pissai dessus. Alice se moqua de moi en me traitant de tous les noms. Eric, qui n'avait rien dit car il était déjà bien éméché, intervint et avant que j'aie eu le temps de dire quelque chose, se mit à me pisser dessus. J'avais en ligne de mire sa belle tige et je ne bougeai pas, stoïque. Il n'en fallut pas plus pour que je me fasse traiter de pédé, de mateur dans les douches et tout y passa. Je rigolais bêtement car j'étais légèrement bourré.

Eric s'était un peu mouillé mais j'étais complètement trempé. Comme lui, je défis mon pantalon et enlevai mon tee-short pour me retrouver en boxer qui était lui aussi humide. Du coin de l’œil, je reluquai Eric au corps splendide et qui ne se rhabillait pas, complètement bourré. Je vis également que Ben avait commencé à peloter sa copine. Au regard de cette dernière, je devinais qu'elle avait remarqué avant moi que je bandais. En effet, ma barre était bien visible sous le tissu humide mais je n'arrivais pas à discerner ce qui m'excitait.

Elle demanda à Ben de me punir. Ce dernier avait reçu un peu de pisse sur ses chaussures, il me demanda de les essuyer. Je le fis, à genoux devant lui, mais il décida de les retirer et je me retrouvai face à des chaussettes pas clean. L'odeur me monta à la tête. Il me plaça ses pieds sur la bouche et emporté par mon élan, je lui retirai ses chaussettes. Ben m'ordonna alors de lécher ses pieds. Je m'exécutai avec bonheur. Quand elle vit que son copain y prenait du plaisir, elle sentit qu'elle était allée trop loin mais plutôt que calmer les choses elle se cassa. Mon pote était furieux.

— Dire que j'ai pas baisé depuis au moins deux semaines! lança-t-il.

— Fais comme moi, t'as qu'à te branler! dit soudain Eric, affalé sur le canapé et qui avait sorti sa queue.

Mon excitation monta d'un cran. Je savais qu'ils étaient tous les deux 100% hétéros mais dans l'état de la situation, je m'approchai de son sexe à découvert. Je laissai passer quelques instants, comme pour le laisser admettre ce qui allait survenir puis je me mis à le pomper. Jamais je n'aurais cru cela possible. Eric écarta les cuisses et remonta un peu les jambes me faisant signe qu'il voulait que je descende vers sa raie velue et parfumée. Je m'approchai de son anus et y enfonçai autant que je pus ma langue. Ben avait commencé à se branler de son côté et s'assit à côté d'Eric. Je lui prodiguai la même caresse buccale en m'enivrant de leurs odeurs de mecs.

Ensuite je me mis à alterner les fellations. Quand je pouvais, j'essayais de gober simultanément leurs deux gros glands. Ils éjaculèrent tous les deux sans prévenir. Leurs spermes mélangés dans ma bouche me coulaient sur le menton et le torse.

Nous n'étions pas encore dégrisés, ils me positionnèrent alors pour me baiser à tour de rôle en me traitant de tous les noms. Ben arriva deux fois encore à la jouissance et Eric, une fois. Ils avaient même essayé sans succès une double pénétration sur moi. Le tout s'était accompli en continuant à boire et j'avais fini par m'abrutir sur le tapis qui était dans un état indescriptible.

Quand je me réveillai le lendemain vers 16h, je fus troublé par cette odeur de fauve. J'avais encore une sensation de chaleur dans le cul et je vis les traces séchées et colorées sur le haut de mes cuisses. Je filai à la douche. Eric et Ben avaient disparu. Ils revinrent le soir même, l'un était parti dans sa famille, l'autre s'était réconcilié avec sa copine. Pas un mot ne fut échangé sur le délire de la veille.

Pendant les jours qui suivirent, je fantasmai à mort sur l'occasion qui permettrait de recommencer, sachant qu'on devait refaire une soirée arrosée le vendredi suivant. Qu'allait-il arriver?

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Mardi 10 juillet 2 10 /07 /Juil 17:46

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Aujourd'hui, j'ai rendez-vous avec un homme mûr pour sucer pour la première fois. J'ai 18 ans et je suis bi. Pendant longtemps, j’ai fantasmé sur le fait de sucer une grosse bite mais je n’ai jamais sauté le pas et il y a un mois, j’ai posté une annonce pour trouver ma première bite. Cet homme a vu mon annonce sur le net. Il m'a envoyé un mail pour avoir plus d’infos et savoir si j'étais OK vu son âge (50 ans). Il s’est décrit comme un homme d’expérience prêt à initier un jeunot.

On s’est donné rendez-vous dans une rue tranquille dans la ville où on habite tous les deux avant d’aller chez lui. Il arrive en voiture deux minutes après moi. Je monte. Il me demande si je suis toujours OK. Je lui fais signe que oui. Il démarre et après cinq minutes, on est chez lui. Il referme la porte d’entrée derrière moi et me dit de me mettre à l’aise. Il se prend un verre de whisky et se met dans le fauteuil.

— Bon on va passer aux choses sérieuses maintenant, me dit-il.

Je lui réponds avec un petit oui timide. Cet homme bedonnant (90 kg), mûr et poilu, m'excite énormément.

— À genoux et vient me renifler l’entrejambe.

Je m’exécute tout en tremblant d’hésitation et me mets à quatre pattes. Je m’avance vers lui en bougeant bien mes fesses et pose ma tête entre ses cuisses. Je renifle son paquet. Ça sent l'homme. D'une main, il m'agrippe la tête et me l’enfonce encore plus au fond des cuisses. Je devine la forme de sa bite à travers la pression quelle exerce sur mon visage. De l’autre main, il me malaxe les fesses à travers mon jean. On me dit souvent que j’ai un beau cul, un cul de fille.

— Hum, regarde comment je te malaxe les fesses fillettes. T’aimes ça être dans les mains d’un vieux pervers.

Il m’enlève mon jean et voit les dessous féminins qu’il m’avait demandé de mettre; à savoir: un string, des bas et une porte-jarretelle.

— À qui tu as piqué ces dessous de coquine?

— À ma grande sœur.

— C’est une salope comme toi on peut dire, elle a dû en sucer des bites! Tu t'es déjà branlé sur ta sœur?

— Non jamais!

Je sens sur ma bouche que son sexe a pris du volume, il commence à respirer plus fort.

— Enlève-moi mon pantalon, me dit-il.

Je m’exécute tout en tremblant alors qu’il me malaxe et me gifle les fesses de plus en plus fort. Il tire sur mon string et joue avec en le faisant claquer contre mon trou. Son slip cache une bite impressionnante, il commence à bander très dur, on devine facilement la taille de son engin à travers le fin tissu. Il prend ses deux mains et m'appuie sur la tête:

— Lèche.

Je lèche sa queue à travers son slip. Je me demande ce que je fais. Je suis en train de lécher le slip d’un homme qui pourrait être mon père! Je veux partir et lui demande de me relâcher, je ne suis plus sûr de rien, je ne suis pas gay, j’ai une petite copine que j'aime. Mais il refuse:

— Maintenant que tu m'as excité, tu ne crois pas que tu vas t’en sortir comme ça en me laissant avec mon chibre en érection?

D'une main, il continue sa pression sur mon crâne pour me maintenir la tête, de l’autre, il fait glisser son slip. Sa bite jaillit et vient toucher mes lèvres, son gland embrasse mes lèvres. Il bande dur et doit mesurer 20 cm. Il retire sa chemise et laisse apparaître son gros ventre poilu.

— Tu sais ce qu’il te reste à faire.

J'hésite mais je me rends compte que ma bite est sortie du string en dentelle que je porte tellement elle est dure. D'une main, je le branle alors que son gland touche mes lèvres.

— Ouvre! me dit-il tout en se relevant.

Sa bite rentre doucement dans ma bouche. Ça y est, j’ai ma première bite dans la bouche, et quelle bite!

— Allez, SUCE! Suce… suce!

Il me baise la bouche en me maintenant la tête entre ses deux mains imposantes.

— Ouvre plus grand. Avale à fond. Fais tourner ta langue. Tu aimes ça salope? Réponds-moi!

— Oui.

— T'aimes ça sucer des bites de 50 ans hein! C’est bien ça! T’avais vraiment envie de sucer toi!

Il continue de me baiser la bouche en m’insultant de salope en me maltraitant la tête entre ces mains de bucherons. Il me dit:

— Bon, tu vas me lécher un peu les couilles!

Ce que je fis, j’avais ses couilles velues dans la bouche. Il les a enfoncées en appuyant dessus. Après quelques minutes de ce supplice, il me relâche et me demande de le suivre. Il nous emmène dans son bureau et s’assoit sur une chaise.

— Va en dessous, j’ai un truc à faire. Lèche-moi les couilles pendant que j’écris un mail pour le boulot.

Je les lèche, elles sont velues et sentent assez fort. Je pose la langue dessus, lèche, suce et aspire ses bourses.

— C'est bien, tu sais que tu sais y faire salope. Regarde, je bande pour toi chienne. Mets-toi à quatre pattes.

J’enlève mon polo et me mets en position. Il passe sa bite sur tout mon corps, mon dos, mes bras, entre mes fesses et mon string, dans le cou, partout. Il tapote sa bite sur mon visage.

— Allez, reprends ton boulot et suce-moi à fond pétasse.

J’aspire son gland, lèche sa bite et l’enfonce au plus profond de ma gorge. Je sens son gland toucher le fond de ma gorge. Sûrement pas assez pour lui vu qu’il force et me baise la bouche. Il va de plus en plus vite je sens qu’il va jouir, il me tient fermement la tête alors que j’essaie de retirer sa bite.

— Tiens salope, prend mon nectar, chienne. Oh oui! T'es bonne, sale pute. Je t'ai dépucelé la bouche salope. Et ce n’est surement pas la dernière bite que tu vas admirer. Ooooohhhh... avale, avale. T’aimes ça le sperme, sale pute soumise. Tu es bonne que pour servir les hommes et sucer leurs bites.

Son sperme jaillit dans ma bouche. Il est chaud et sent assez fort. Il me tient le haut de la tête et le menton et me force à avaler. Il me représente sa bite.

— Nettoie la salope.

Je m’exécute et lèche son gland et le sperme qui reste. Elle est toute propre.

— Tu vois que tu aimes ça, tu bandes comme une salope. Mets mes couilles et ma bite dans ta bouche. Tout devrait rentrer maintenant quelle est débandée.

Il me fait accroupir sous le bureau avec son sexe mollasson dans ma bouche alors qu’il s’assoit à sa chaise.

— Garde tout ça en bouche chienne, je dois répondre à un mail.

Après cinq minutes, je sens un petit peu de pisse sortir de son pénis. Il me demande de tout avaler. J’avale sa pisse, ça me dégoute. Je me lève et commence à remettre mon jean.

— Tu crois pas que tu vas partir seulement maintenant? Je n’ai joui qu’une fois! Regarde, c'est toi sur la vidéo. Je nous ai filmés. Je pourrais l’envoyer à ta mère et ta copine, qu’en dis-tu?

— Non svp, elles ne savent pas que je suis bi; j'ai honte...

— Allez, excite moi! Alors bouge, caresse tes bas. Fais baisser doucement ton stringounet.

Je fais tout ce qu’il me demande. Il rebande à nouveau.

— Viens là, à quatre pattes, ton cul contre mes jambes. Salope, chienne. Regarde comment ma bite coulisse entre tes fesses sales suceuse de bite. Tu la veux dans ton petit trou de vierge salope? Je bande rien qu’à imaginer que je vais te dépuceler le cul, pétasse. Dis-moi que tu la veux?

— Je ne veux pas, lui dis-je en pleurant. On s'était mis d’accord sur une pipe c’est tout et vous êtes déjà allé trop loin. Je dois m'en aller, je suis désolé.

— Non non avaleuse de sperme, tu veux que je montre à ta mère comment t’avales? Je t'encule contre cette vidéo. Prends ce coussin, mets-le par terre et pose ta gueule de pute dessus.

Je m’exécute. Il tire mes fesses vers lui et pose une capote sur son pénis long de 20 cm. Il pose son gland sur mon anus et attend quelques secondes. Il regarde mon bas-ventre et voit que mon string est tendu à son maximum.

— Ça te plait même si tu ne veux pas l’admettre. Ton moi intérieur sait ta vraie nature: suceuse de pénis!

Alors que je lui réponds un "non svp" étouffé par mon coussin, il pousse un grand coup. Son gland et une partie de sa bite entrent dans mon trou vierge. Je crie en relevant la tête, il me gifle et me renvoie la tête contre le coussin. Je pleure alors qu'il continue à pousser pour faire rentrer ses 20 cm dans mon trou. Après de nombreux va-et-vient, je sens son ventre sur mon cul. L’enfoiré a glissé ses 20 cm en entier dans mon trou sans mon véritable accord.

— Hum... t'es toute serrée salope, j’adore dépuceler des petites pédales comme toi. Je suis bien au chaud, j’ai envie de rester là sans bouger. Tu aimes avoir une grosse bite au trou?

— Ça fait mal.

— Mais tu bandes dur pédé. Je vais te branler un peu pour que tu jouisses, ensuite je t'enculerai sévère pour que tu jouisses uniquement du cul.

Alors qu’il avait toujours sa bite entière dans mes petites fesses de femelles, il me branla quelques minutes. Je ne tardais pas à éjaculer. Il me fit lécher mon propre sperme en m’appuyant sur la tête. J'étais véritablement dégoûté. Maintenant que j’avais joui, je n’étais plus du tout excité, je me sentais mal et j'avais envie de vomir. Pendant ce temps, mon anus s’était légèrement resserré sur son sexe. Il reprit ses mouvements et m'irrita l’anus tellement il me baisait fort. Je ne prenais aucun plaisir, la douleur était trop présente.

— T'es trop bonne chienne, j’ai l’impression d’avoir le cul d'une chienne entre les mains, j’adore tes fesses de fillettes.

Clap clap clap, ses couilles tapaient sur mon cul.

— Arrêtez svp, ça me brûle.

— C’est normal pour une première fois. Je te dépucelle avant que de nombreux hommes profitente de toi, sale pédé. Dis-moi que tu es honoré que j’aie accepté de m’occuper de ton trou suceuse.

— S'il vous plaît...

— Dis-le à ton maître, salope.

— Merci maître.

— Merci pour quoi pute?

— Merci de me sodomiser, de me permettre de sucer.

Sur cette dernière phrase, il me gifla.

– C’est bien chienne, t’apprends vite.

Il continua à baiser "ma petite chatte" comme il disait durant des minutes qui me paraissaient interminables. Il allait de plus en plus vite. Il se retira et enleva d’un geste rapide la capote qu’il portait. Il m'agrippa les cheveux et vint placer ma tête sous ses couilles.

— Demande-moi ma semence, avaleuse de sperme.

— SVP!

Il me gifla et mit ses deux couilles dans ma bouche.

— Garde-les au chaud et nettoie-les avec des petits coups de langue.

Il se branla sur mon visage et éjacula sur mon front, mon nez mes lèvres, mes cheveux. J'en ai partout.

— Souris.

Je ne l'avais pas vu venir, il me prit en photo avec l’appareil qui était sur son bureau.

— Si tu ne veux pas que j’imprime cette photo à ta copine, tu vas récupérer le sperme avec cette cuillère et l’avaler.

— SVP...

— Ne discute pas sinon, je n’hésiterai pas!

Je récupérai tout le sperme et l’avalais. J'eus un haut-le-cœur, je voulais vomir.

— Tu vois que tu aimes le sperme pute. Suis-moi, va te laver.

Il m’enleva mon string et mes bas et me fit mettre dans la baignoire.

— Rince-toi.

Je pris le pommeau de douche et passa L'eau sur tout mon corps. Il coupa l' eau et m’attrapa l’épaule pour me mettre face a lui.

— Ouvre la bouche et ferme les yeux.

Un jet de pisse chaude arriva sur ma tète, mes cheveux, j’en reçus dans la bouche. Je recrachai tout de suite. Il s’arrêta de pisser et me gifla.

— Tu dois avaler ma pisse comme une véritable salope le ferait.

Il m’attrapa le menton et m'ouvrit la bouche. Il glissa son pénis débandé dans ma bouche et fit se refermer mes lèvres.

— Je vais y aller doucement pour que tu aies le temps de tout avaler sale pisseuse.

Il pissa ainsi des petits jets en se retenant. Il veilla à ce que j’avale bien. Il eut vite fini heureusement mais j’avais avalé toute sa pisse. Il partit en me demandant de déposer un doux baiser sur son gland. Je le fis et refermai mes lèvres dessus. Je fis coulisser son gland doucement puis Il me laissa me doucher et partir. Je n’ai rien dit en partant mais ce pervers m'a lancé un "à bientôt salope!" en me pelotant une dernière fois le cul et en tirant sur la ficelle de mon string. J'ouvris la porte et repartis vers chez moi en boîtant à moitié.

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Lundi 9 juillet 1 09 /07 /Juil 23:48

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Cela faisait deux ans que je n’avais revue Ali. Nous étions très liés; surtout côté cul, puis il s’en est allé voird’autres cieux. Nous partons boire un pot et il me raconte sa vie; il habite en banlieue dans un HLM et travaille à Paris. Il a fait connaissance d’un ami et il m’invite pour me le présenter. Je lui dis que je suis toujours intéressé par une bonne partie de fesses. Il me propose d’aller aux WC avec lui dans ce bistro; ils sont au fond de la cour. Nous voilà partis. Arrivé dans le wc, il baisse mon short et me pose sa queue sur ma rondelle. Je m’enfonce moi-même à fond. Sa queue est toujours aussi grosse et longue, j’en profite pleinement. Puis il m’empoigne aux hanches et commence à me labourer le cul à fond. Il jouit très vite, moi aussi. Je me retourne et prends sa bite en bouche. Il adore se faire sucer! Puis nous repartons, moi avec son adresse.

Le samedi, je pars chez lui. Il m’a demandé d’être habilé très sexy. Je suis avec un short très court qui me rentre dans les fesses, rien en dessous. Un petit pull troué sur les seins et j’arrive chez lui mais il n’y a plus de numéros. Je commence à chercher. J’aperçois un groupe de jeunes, je leur demande un renseignement. Un grand gars me propose de m’amener chez Ali. Je suis très content.

Nous arrivons devant l’immeuble. Le gars me dit: "Viens, je vais te montrer." Nous descendons au sous-sol et là il me coince contre le mur et me dit: "Alors! Tu aimes te faire baiser?" et me mettant la main au cul, je ne sais que répondre. Je lui dis oui, il sort sa queue énorme et me force à le sucer très vite. Il pilonne ma bouche à fond puis il décharge dedans son jus tout chaud. Je m’aperçois qu’il bande toujours. Il me retourne et veut m’enculer. Je proteste mais j’ai trop envie de sentir son gourdin en moi. Je me retourne bien et lui présente mes fesses. Sa queue est très dure et pousse sur ma rosette. Il entre d’un coup puis il m’encule à fond sur toute la longueur de sa bite. Je jouis comme un fou tellement il est bon. Il décharge en moi et me dit: "Viens, on va chez Ali." Arrivé chez mon pote, il me dit: "Tu as fait connaissance de mon copain? Super!"

Le soir, ils m’ont baisé dans leur lit, tantôt dans dans la bouche, tantôt dans le cul et ils ont fini à deux dans mon cul. Je me suis endormi avec la queue d’Ali dans les fesses jusqu’au matin.

Au réveil, nous déjeunons. Ali me demande si je ne suis pas trop fatigué. Bien sûr que non... Il me dit:

— Ce matin, nous allons faire un footing en forêt, tu veux?

— Ok!

Nous voilà partis, moi avec mon short de pute, lui en jogging. Arrivé dans les bois, il me dit: "T'as envie de te faire baiser?" Moi je suis toujours partant. On s’enfonce dans la forêt plus épaisse et là je vois un groupe de gens qui sont tous à poil. Ali me dit: "Mets-toi à l’aise, ils sont en promenade avec leurs chien et se retrouvent souvent ici." Tout le monde baise... tout le monde!

— Je les ai prévenus que tu étais insatiable...Ils sont ravis d’avoir une pute à leur service, enfin si tu veux?

— Oui bien sûr!

— Alors je vais t’attacher à cet arbre et tu feras ce que l’on demande...

Deux beaux noirs me mettent à poil et quand je suis attaché, ils baladent leurs queues sur ma bouche et l’autre sur mon cul. L’assistance m’entoure puis il se déchaîne la pine dans la bouche. Je dois sucé le noir et l’autre m’encule à fond. Ils y vont en cœur; je prends un pied formidable! Ils déchargent en moi, je suis rempli puis c’est l’hallali! Tous sur moi, dans mon cul qui reste béant et ouvert, ma bouche est distendue par les queues et remplie de sperme. En deux heures, je n’en peux plus.

Ils font une pause puis un gars vient avec son chien et dit:

— À quatre pates! Monchien va te lécher la chatte, tu veux?

— Pourquoi pas! dis je.

En position, je sens le museau du chien s’approcher puis sa langue râpeuse qui lèche ma raie. Le maître se place devant et sort sa queue pour que je le suce. Hum c’est super! Puis le maître contracte ses fesses, je le sens prêt à jouir. Il dit au chien: "Monte!" et le chien monte sur moi. Je sens sa pine dure comme l’acier pousser sur ma rosette. Je ne veux pas mais le maître insiste: "Tu as dit tout!" Ça y est, le chien entre en moi de suite. C’est bon, le maître lui se libère de son jus. Le chien m’encule. Soudain je suis défoncé. Il a entré sa boule, mon cul s’éclate. Je sens son sperme couler en moi. Je jouis sans me toucher. Le chien se retire puis les autres amènent le leurs et je suis devenu la chienne de service. J’avais le cul en feu, les chiens se défoulaient et les maîtres se faisaient sucé. J’avais la bouche pleine de sperme, le corps inondée de jute, mon cul débordait de jus de chien.

Les maîtres ont voulu me laver et j’eus droit à la douche dorée de ma vie. Ils me pissaient dans le cul, la bouche et sur le corps. Ils étaient ravis. Tous ont remercié Ali. Il y en a un qui lui a laissé son adresse pour me recevoir. Il a une ferme et beaucoup d’animaux. Ali lui a promis de m’emmener.

Nous sommes repartis, moi puant le sperme et la pisse et Ali qui contait ses euros. Il me dit: "Nous irons à la ferme, là tu vas te régaler." Je lui promis de venir...

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Samedi 7 juillet 6 07 /07 /Juil 22:50

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Un soir chez un pote hétéro que je connais depuis de longue date mais qui ne sait pas que j'ai un côté lopesa, on fumait le "k...". J'étais bien defoncé, on rigolait mais sa meuf commençait à tiquer alors vers 21h, j'ai dit: "Tchao! a+."

Il habite en cité dans le 93. J'ai descendu les neufs étages et en sortant de l'ascenseur, je vois 6 rebeus dans le hall qui tchatchent. Je commence à partir en jetant un bref coup d'oeil car je kiffe bien les rebeus... L'un d'eux me regarde, voit mes yeux bien éclatés et me fait la remarque du genre: "Oh t'as fumé toi!" Je lui souris et acquiesse tout en allant vers la porte.

Je dois préciser que je suis vrai bogosse céfran et que je fais bien kiffer les keums généralement. Kaled, c'est son prénom, me propose de ne pas partir tout de suite et de rester fumer avec eux. Un peu méfiant mais intéressé et avec l'idée d'avoir l'occase d'en connaître un de plus près, je fais demi-tour et reviens vers eux. On parle un peu, je commence à vouloir rouler un zbir mais ils me disent qu'il y a trop de passage ici, qu'ils vont dans l'escalier. Je les suis, bien confiant car ce sont mes potes maintenant, surtout Majid que je kiffe grave; une masse le gars, les autres aussi mais lui c'est un truc de ouf.

On arrive dans une cave que je comprends abandonnée par leurs locataires, genre squat mais tranquille: un caddie, un vieux matelas pourri d'oréoles de moutrave bien dégueu dans un coin. Je roule mon "k...", je suis cool, ils sont sympas, on rigole bien... sur tout et rien. Karim et Samir me regardent bizarre, avec des yeux de vicelards mais ça me plaît. Je les trouve de plus en plus kiffant et je ne peux pas m'empêcher de zieuter leurs braguettes et ça semble très prometteur; surtout la bosse de Majid et 2-3 autres que j'ai repérés.

Au bout de 15-20 minutes, ils parlent rebeus et moi je comprends qu'dalle. Kaled passe derriere moi et me tate le cul. Je lui dis: "Oh! Qu'est-ce tu fais?" Il me dit: "Vas-y, joue pas ta chochotte!" et là devant moi, Majid baisse son fut et je vois un calibre mon gars, ouf! Elle gonfle à vue d'oeil, elle devient énorme, au moins 23x6 ou 7. Mon réflexe est d'exploser de rire mais excité car défoncé. Je m'en tape je me mets à genoux direct.

Alors là, ils sont devenus ouf de chez ouf. En fait, ils étaient pas sûr que j'allais vouloir mais en deux secondes, j'avais six bonnes grosses teubs d'arabes rien que pour moi, du 19cm à 23cm (Majid la plus monstueuse). Y'a pas à dire, les rebeus sont les meilleurs, même Saïd et Karim qui étaient plutot timides, se sont lâchés direct.

J'ai commencé à pépon de partout. J'en voulais grave mais une bouche pour six, c'est pas évident. Ça sentait la biroute mortel, je sais pas si ils se lavent tous les jours la teub mais bon, m'en fous: trop kiffant. Je pompais bien à fond et Kaled a éjaculé dans ma gorge. J'ai pas eu le temps de retenir koi que ce soit. Il a une teub de 20cm mais bien épaisse genre 7. J'avais la bouche en feu. Majid voulait que j'enlève mon jean, je préfèrais juste le mettre aux genoux mais lui voulait l'enlever complètement pour bien m'écarter les jambes et me foutre sur le matelas pourri. J'étais pas chaud car trop crade mais vu la masse, je ne pouvais plus reculer. Je me suis fait déchirer le cul par Majid, je hurlais mais lui continuait et les autres me baisaient la bouche pour que je la ferme. J'en ai pris plein le cul. En fait ils ont pratiquement tous craché sur mon trou d'balle sauf Said; je crois qu'il m'a fait une faciale. Après, ils ont vraiment joué. C'est Majid qui a commencé à me pisser dessus et j'étais assis sur le matelas, le cul à l'air, et les six rebeus autour à moutrave sur moi. J'étais un peu dégoûté mais bon, j'ai cru que je reverrais jamais le jour. Ils ont rigolé, m'ont dit que j'avais assuré comme lopesa et que si je repassais par là, que je jette un oeil dans la cave au cas où.

Je suis arrivé sur le parking de la cité vers 0h15 en étant parti de chez mon pote vers 21h. Quand j'ai vu l'heure, je suis devenu ouf! Une fois dans ma voiture, je réalisais ce qui venait de m'arriver et j'étais finalement content de moi. Mon pote ne sait rien de cette aventure et les rebeus ne savent pas d'où je venais car ma voiture était garée de l'autre côté des fenêtres. Mon pote pensait sûrement que j'étais chez oim depuis belle lurette.

Un grand merci à mes six rebeus trop bien teubés et surtout Majid que je kiffe trop.

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Samedi 7 juillet 6 07 /07 /Juil 19:02

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Pour des raisons que je ne connaîtrai qu'à mes dix-huit ans, dès mes dix ou onze ans, moi, le petit Vincent, je semblais gêner mes parents, surtout certains week-ends. Ils avaient trouvé le filon pour m'éloigner de la maison familiale : m'envoyer chez mon tonton Michel, le plus jeune frère de papa, qui habitait à dix minutes.

Heureusement, je m'entendais très bien avec tonton Michel, il m'aidait pour mes devoirs et mes leçons, il jouait beaucoup avec moi, trouvait toujours de quoi m'occuper, et les fins de semaine passaient même trop vite, au point que j'attendais avec impatience ma prochaine visite chez lui.

 

Chez tonton Michel, je pouvais me promener tout nu si je le voulais, et lui aussi se mettait régulièrement en tenue de peau. Tonton Michel me lavait tous les soirs sous la douche ou dans la baignoire, j'adorais ça, et quand un jour, il m'a dit que j'étais assez grand pour me laver tout seul, j'ai tellement pleuré qu'il m'a promis qu'il continuerait à me laver aussi longtemps que je le voudrais.

Quand il me lavait, c'était en entier bien sûr, et c'était la seule fois où il touchait mon zizi, pour vérifier si je décalottais bien, car j'avais quelques difficultés de ce côté-là et je n'avais pas envie de me faire opérer, il faisait ça très doucement, vu que ça me faisait mal, mais je savais que c'était pour mon bien. A part ça, jamais il ne jouait avec mon zizi, d'ailleurs, je ne l'aurais pas laissé faire.

J'aimais bien jouer à me battre avec tonton Michel, il avait toujours le dessus et je me retrouvais coincé sous lui, j'aimais bien. Un jour, je lui ai dit que je voulais jouer au prisonnier, il m'a ligoté les mains et les chevilles avec des bouts de tissu, j'ai adoré ça.

J'avais un lit dans la chambre d'amis, mais je dormais tout le temps avec tonton Michel, on était tout nu, et je me blottissais dans ses bras, je me sentais protégé de tout. Parfois le matin, mon zizi était tout dur et celui de tonton Michel aussi, il m'a dit que c'était tout à fait normal, que ça arrivait quand on devait faire très fort pipi, ou quand on tripotait trop son petit truc. Je n'ai jamais vu tonton Michel se tripoter, mais moi, je le faisais souvent et il m'a dit que je pouvais le faire quand j'en avais envie, même devant lui. La vie était toute simple, je pouvais être moi-même, je n'avais rien à cacher à tonton Michel, je pouvais lui parler de tout, et il répondait honnêtement à toutes mes questions.

Comme tout gamin, il m'arrivait de faire des bêtises, même si je connaissais le tarif : une fessée ; je devais me mettre nu si je ne l'étais pas, je devais me coucher, mon ventre sur sa cuisse gauche et mes jambes sur sa cuisse droite, mon zizi étant coincé entre ses jambes, puis la fessée commençait. Il n'y allait pas de main morte, tonton Michel, mais j'acceptais cette punition car elle était méritée et juste, je me mettais vite à crier, à pleurer, mais il continuait, et si je gigotais trop, il entravait mes poignets et mes chevilles d'une bande de tissu, et le décompte recommençait à zéro. Malgré la douleur sur la peau de mes fesses, mon zizi devenait tout dur à chaque fois, et après la fessée, tonton Michel me consolait dans ses bras, et c'étaient les seules fois où il caressait doucement mes fesses et mon ventre.

 

Quand j'ai eu treize ans, j'avais de plus en plus souvent envie de me tripoter, tonton Michel m'a expliqué comment faire aller mes doigts le long de ma tige, et j'ai ressenti quelque chose de tout nouveau pour moi, comme si une boule s'était formée dans mon ventre, c'était tellement fort que j'ai crié, faisant sourire tonton Michel. Il m'a expliqué comment les garçons étaient faits, que j'allais commencer mon adolescence, que j'aurais bientôt du sperme, des poils, et tout et tout, il m'a donné les noms justes pour chaque chose ayant trait au sexe. Quand je lui ai demandé comment c'était le sperme, et s'il voulait bien me le montrer, il a dit que je devais patienter un peu, mais qu'il me le montrerait quand je serais plus grand.

J'ai donc continué à me masturber pour avoir des orgasmes secs, c'est comme ça qu'il avait appelé ça, je le faisais parfois plusieurs fois par jour, ce qui irritait mon engin. Quelques mois plus tard, je lui ai dit que je le tremperais bien dans du beurre pour que ça glisse mieux, et là, il a eu une idée, il a commencé à se masturber pour la première fois devant moi, j'ai enfin pu voir du sperme, il l'a récupéré et en a enduit mon sexe, puis il m'a dit de me masturber, c'était nettement mieux qu'à mains nues, et c'est ce jour-là que j'ai eu pour la première fois du jus qui est sorti, pas beaucoup, bien sûr, mais j'étais devenu un homme sous les yeux de tonton Michel, je n'ai jamais été aussi fier de moi.

Il m'a pris dans ses bras, m'a caressé sur tout le corps, et un peu aussi sur ma tige. Le lendemain, il est venu avec un tout petit pot en plastique avec un couvercle, il a dit qu'on y mettrait chacun son sperme, et qu'on garderait ça précieusement en souvenir de ma première éjaculation, il s'est masturbé, a enduit ma tige de son sperme et en a déposé un peu dans le petit pot, et c'est lui qui m'a masturbé et y a déposé tout ce qui est sorti de moi, c'était encore mieux que quand je le faisais moi-même.

Au fur et à mesure des week-ends passés chez lui, j'ai très vite grandi, en taille, et entre les jambes. Quand j'ai eu l'idée de demander à mes parents si je pouvais aller tous les week-ends chez tonton Michel, j'avais aussi décidé d'aller chez les scouts le dimanche, ce qui était une bonne raison d'aller chaque semaine chez mon tonton, car il y avait une troupe scoute tout près de chez lui, et en fait, mes parents n'ont émis aucune objection, au contraire, cela semblait bien leur convenir. Je partais donc chaque vendredi soir chez lui et il me conduisait à l'école le lundi matin, j'avais des vêtements chez lui. Et bien sûr, à chaque congé ou période de congés, j'étais tout le temps chez lui.

Tonton Michel me caressait sur tout le corps de plus en plus souvent, et quand j'avais envie de me masturber, je lui demandais de sa bonne huile qu'il me donnait avec plaisir. Parfois je lui demandais de me masturber, et le jus que je donnais devenait impressionnant en quantité ; un jour, je lui ai demandé si je pouvais le toucher lui aussi, et sans vraiment attendre sa réponse, je l'ai d'abord touché timidement, puis j'ai commencé sur lui les mouvements qui me faisaient tellement de bien, et je l'ai fait éjaculer, tout heureux de ma prouesse, puis j'ai mis son sperme sur mon sexe et je lui ai demandé de me masturber, ce qu'il a fait. Depuis lors, on se l'est fait l'un à l'autre presque chaque fois, et de plus en plus en même temps, c'était dans le salon, dans la douche ou la baignoire, ou au lit avant de nous endormir.

J'avais de plus en plus envie de l'embrasser, j'ai commencé par des baisers près de la bouche, puis sur les commissures de ses lèvres, et quand nos lèvres se sont enfin collées les unes aux autres, j'ai sorti ma langue pour les lécher, il a ouvert la bouche et sa langue a caressé la mienne et j'ai exploré sa bouche, comme il a découvert la mienne. Ce soir-là, je me suis mis sur son ventre, et j'ai fait se toucher nos queues, nous avons joui tous les deux, puis j'ai continué à me frotter à lui, on avait du sperme partout.

Je continuais à aimer mes petits jeux du prisonnier, et je le suppliais de me masturber quand il m'avait attaché, je voyais qu'il bandait aussi fort que moi. Et un jour, au lieu de me masturber, il a pris ma queue dans sa bouche et m'a fait jouir par le mouvement de ses lèvres, et il a tout avalé, je n'ai jamais crié aussi fort de plaisir. Un autre jour, il a approché sa queue de ma bouche, j'ai hésité un peu pour entrouvrir mes lèvres, mais quand son gland a touché mes lèvres, j'ai sorti ma langue pour le lécher, puis j'ai avancé ma tête d'un coup, je voulais avoir toute sa queue en bouche, et je l'ai sucée comme un fou, j'allais enfin connaitre son goût, j'ai gardé son jus dans ma bouche pour l'avaler lentement petit à petit. Je lui ai quand même dit que je n'aimais pas trop sentir ses poils sur ma langue, il m'a dit que je pouvais l'attacher et le raser, ce que je ne me suis pas fait prier de faire, j'ai aussi rasé mon pubis et mes bourses, car ma pilosité commençait à devenir importante, puis je me suis mis au-dessus de lui, mais à l'envers, et on s'est sucés tous les deux en même temps, on a encore joui, c'était phénoménal. Je l'ai détaché puis on s'est endormis corps contre corps, bouche contre bouche.

Je lui ai demandé un jour s'il voudrait bien me donner la fessée, comme quand j'étais petit, ça ne l'a pas surpris, je crois même qu'il s'y attendait. J'ai dû choisir le nombre de claques par fesse, j'ai choisi vingt ! Il m'a attaché les poignets derrière le dos et les chevilles et m'a fait mettre en place, ma queue bandait déjà entre ses cuisses. A la quinzième claque, je l'ai supplié d'arrêter, mais il a continué, et c'est en pleurant et criant que j'ai joui par terre. Il m'a détaché, pris dans ses bras, et m'a caressé comme il le faisait il y a quatre ou cinq ans, j'ai encore éjaculé une fois sous ses doigts.

A quinze ans, chez les scouts, je m'étais fait quelques amis de "jeu", tonton Michel m'avait permis de les faire venir à la maison, ils venaient maximum à deux et dormaient dans la chambre d'amis. Ils ont très vite appris à rester nus et à jouer avec leur corps devant tonton Michel. Rapidement, on a "joué" à quatre, mais un jour, l'un d'entre eux a demandé à tonton Michel s'il m'avait déjà enculé, on a rougi tous les deux en répondant non, mais j'ai dit à tonton Michel que j'en avais envie, il m'a dit que lui aussi en avait envie, mais que pour la première fois, on le ferait que quand on ne serait rien qu'à deux.

En réalité, on ne l'a pas fait tout de suite, tonton Michel m'a expliqué qu'on devait se découvrir mutuellement à cet endroit-là, on a commencé par s'enfoncer mutuellement un doigt dans l'anus, puis on l'a refait quand on se suçait en 69, ça décuplait le plaisir de l'orgasme. Puis on est passés petit à petit à deux, puis trois doigts ; il m'a léché et m'a appris à le faire entre ses fesses aussi. Je m'impatientais de plus en plus et le suppliais d'entrer en moi. Il m'a fait coucher sur le dos, j'ai relevé mes jambes, il a approché sa bouche et a léché mon petit trou, je gémissais de plaisir, puis avec ses doigts, il a mis du lubrifiant sur et dans mon petit trou, en y allant avec trois doigts, puis il m'a regardé dans les yeux, tout mon visage l'invitait à me pénétrer, son gland s'est approché, je sentais que tonton Michel tremblait d'émotion tout autant que moi. Au premier contact, j'ai senti un bien-être total, je me suis relâché le plus possible et il a essayé de faire entrer son gland, ce ne fut pas aisé, il a dû s'y reprendre à plusieurs reprises, puis, soudainement, le gland est entré, mais j'avais eu mal, tonton Michel a caressé tout doucement ma queue puis il a pu s'enfoncer beaucoup plus facilement jusqu'au bout, et quand j'ai senti ses boules toucher mes fesses, j'ai crié un "youpi" de soulagement, mais surtout de joie, tonton Michel possédait son neveu, j'étais tout à lui. Quand il a vu que j'acceptais totalement son sexe en moi, il a commencé à me limer doucement, épiant chacune de mes réactions, chacun de mes gémissements, il m'a fait l'amour, les yeux dans les yeux, lentement, profondément, intensément. Pendant plus de trente minutes, nos corps ont joué la danse de l'amour, et j'ai joui sans qu'il ne me touche, il m'a suivi de quelques secondes, nos cris de plaisir ont envahi la chambre. On s'est embrassés, serrés et j'ai chuchoté à son oreille "tonton Michel, je t'aime, je veux toujours être avec toi", il m'a répondu qu'il attendait que je lui dise ça depuis si longtemps, qu'il m'avait toujours aimé depuis que j'étais petit.

C'est le lendemain que je lui ai rendu la pareille, j'ai pu entrer en lui très facilement ; pendant près de trois quarts d'heure, ma queue a exploré ses muqueuses intimes, je voulais qu'il jouisse avant moi, et j'y suis arrivé, et quand je me suis vidé en lui, j'ai senti un bonheur à nul autre pareil. J'ai plongé ma bouche vers son ventre, et lui ai léché tout son sperme, avant qu'il ne me nettoie la queue avec sa langue. Nous avons décidé que le lendemain, nous éjaculerions dans le petit pot de ma première éjaculation, comme pour nous jurer fidélité l'un à l'autre. On l'a donc sorti du congélateur et il est resté toute la nuit et une partie de la journée suivante au milieu de la table de la cuisine. Il a éjaculé de ma main et moi de la sienne, et le petit pot a été rempli. Nous nous sommes embrassés et serrés pendant plus de deux heures, nous disant notre amour. C'est de ce jour que "tonton Michel" est devenu "Michel", et moi, je n'étais plus son petit neveu mais son amoureux Vincent.

A ma demande, Michel m'attachait de plus en plus souvent, puis il me fessait, me masturbait, me fourrait sa queue en bouche et s'y vidait, ou m'enculait, parfois sauvagement. Mes cris de douleur l'excitaient, et moi, je jouissais de lui être totalement soumis, d'offrir tout mon corps à ses caprices. De la fessée, on est passés au martinet, il me bâillonnait pour étouffer mes cris, d'autres fois, il me bandait les yeux, je ne pouvais pas savoir ce qu'il allait me faire.

Dans sa cave, il a fixé un anneau au plafond, et deux au sol, écartés de cinquante centimètres, il m'y attachait, bras en l'air, soit debout, soit à genoux, et il profitait de mon corps à sa guise, c'étaient des moments grandioses pour moi. Il attendait parfois des heures avant de me faire jouir jusqu'à ce que ma queue me fasse trop mal, puis il me détachait et on se faisait de longs et tendres câlins.

J'amenais de plus souvent des amis scouts à la maison, on était souvent à la cave, j'étais attaché devant eux, et Michel s'occupait de mon corps. Quand le scout était un peu dominant, Michel me laissait entre ses mains, et quand le scout était de nature plus soumise, Michel l'attachait aux mêmes anneaux face à moi, ou dos à dos. Je m'arrangeais pour qu'ils viennent à deux, un dominant et un soumis, et les deux dominants s'occupaient des deux soumis. Tout y passait : le rasage des sexes, le martinet jusqu'à ce que nous criions et pleurions, les gifles, les godes de plus en plus gros que Michel avait achetés, les cages de chasteté que nous devions porter pendant des heures et qui nous faisaient horriblement mal quand nous bandions, et Michel et mon copain scout ne se gênaient pas pour faire l'amour sous nos yeux.

Parfois, nous devions nous mettre à quatre pattes, avec un gode double dans le cul, tandis qu'ils nous faisaient les sucer jusqu'à éjaculation. Parfois aussi, on devait se coucher sur le dos, bouche ouverte, et ils nous couvraient et nous abreuvaient d'urine, puis, nous devions nous lécher tout le corps avec la langue. Quand parfois, l'un d'entre nous se refusait à obéir, Michel versait une goutte d'éther sur le gland, ce qui le faisait hurler de mal, mais calmait immédiatement ses velléités.

Quand nous étions enfin libérés, mes deux copains faisaient l'amour dans leur chambre, et Michel et moi dans la nôtre, ou alors les deux couples faisaient l'amour dans le salon.

J'essayais chaque fois de trouver d'autres grands scouts pour participer à nos jeux, on se retrouvait parfois à huit ou dix dans la cave, et les deux soumis étaient livrés aux frasques des dominants. Un jour, les chefs de la troupe ont eu vent de nos activités du samedi, et j'ai réussi à les faire venir. Ils avaient dix-huit et dix-neuf ans et étaient tous les deux de nature plutôt soumise, nous les avons attachés et les huit scouts présents sont devenus pour l'occasion tous dominants, je vous laisse imaginer que nous donnions libre cours à nos envies, nous avons dû les bâillonner et ils ont eu droit à l'éther, car ils ne voulaient pas nous obéir en tout. Pour le final, à huit, nous avons enculé et fait goûter notre sperme à nos chefs. Nous les avons détachés quand ils nous étaient entièrement soumis, puis nous les avons caressés, doigtés, branlés et sucés pour leur donner un maximum de plaisir. Ce sont eux qui ont passé la nuit dans la chambre d'amis, et Michel et moi les avons entendu s'aimer durant une partie de la nuit. Ils sont revenus souvent, même sachant qu'une dizaine d'autres scouts seraient présents, ils ont pu enculer leurs scouts aussi.

 

Michel et moi continuions à nous aimer de toutes les façons possibles, nous ne pouvions plus nous passer de la présence de l'autre, Michel continuait à me laver tous les jours, comme il me l'avait promis quelques années plus tôt, mais maintenant, on se lavait mutuellement, à mains nues, bien sûr. Nous pensions de plus en plus à pouvoir vivre en permanence ensemble, mais avions peur d'en parler à mes parents.

Quand j'ai eu dix-huit ans, mes parents ont voulu me parler de choses sérieuses. Ils m'ont avoué que, depuis toujours, ils allaient dans des clubs échangistes ou invitaient des amis à la maison. Et qu'en plus, ma grande sœur, depuis qu'elle avait eu dix-huit ans, participait à ces orgies. Ils m'ont demandé si, maintenant que j'étais majeur, je voulais y participer.

Je me suis plié en deux de rire, et je leur ai dit que ça ne m'intéressait pas du tout, et que j'avais trouvé chaussure à mon pied ; je leur ai raconté sans trop de détails l'amour qui nous unissait, tonton Michel et moi. Ils n'ont pas eu l'air étonnés, d'ailleurs c'eût été malvenu de leur part d'émettre la moindre critique sur mon homosexualité et sur Michel qui m'avait entouré de tout son amour depuis mon enfance, et m'avait accompagné sur les chemins de mon adolescence. Par contre, ils semblaient ennuyés que je ne veuille pas participer à leurs jeux sexuels, mais j'ai vu un large sourire apparaître sur leur visage quand j'ai annoncé que je voulais aller vivre avec tonton Michel.

Le lendemain, ils ont invité Michel pour dîner, et nous avons embarqué toutes mes affaires, ne laissant qu'un minimum dans ma chambre, pour les fois où Michel et moi viendrions dormir chez eux, ils ont promis qu'ils mettraient un grand lit pour nous deux.

 

J'ai aujourd'hui quarante ans et Michel dix de plus, nous parlons souvent de mes années d'enfance où il avait totalement respecté mon intimité, et d'adolescence où il avait accompagné ma découverte du plaisir, il me lave toujours, il me soumet à ses caprices pour notre plus grand plaisir, et nous faisons l'amour chaque jour, en alternant un jour sur deux, car les réserves s'épuisent plus vite qu'à quinze ans, mais on n'en a cure, on s'aime comme au premier jour.

FIN.

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Samedi 7 juillet 6 07 /07 /Juil 18:12

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J'ai rencontré une petit lope que je nommerai T. sur le net il y a quelques mois. On a vite tissé des liens. On s'est balancés des défis tous plus hards et humiliants les uns que les autres, que ce soit chez soi ou à l'extérieur. Et un jour, on décida de se voir en réel...

Le premier défi que je lançais à ma salope le 15 août était plutôt simple, il fallait que je vois sa motivation, que je vois à quel point il avait envie que je le domine, que je sois son maître. Je lui ai donc demandé de me montrer sa sale queue bien fromageuse, pissant dans un verre à pied sa pisse bien fumante, dégoulinant de partout, et d'ensuite y plonger sa bite, ses burnes et finir par boire ce breuvage de pisse et de from (peut-être le meilleur cocktail au monde) en entier. Photos à l'appui, mon T. a effectué toutes les tâches demandées... Comme la bonne salope qu'il est ! J'en attendais pas moins de lui !

Pour le récompenser, je lui ai donné le droit de me filer un défi que je réaliserai en une semaine mais en contrepartie, il devait réaliser mon deuxième défi. Et là, on a placé les barres très hautes...

J'avais pour défi de me rendre en forêt, skets au pieds, habillé comme une tepu, pas de boxer comme la p'tite lopsa que je suis. Je devais ensuite me foutre à oilpé, sniffer mes aisselles, mollarder sur ma queue, montrer mon trou à jus surplombé du mot "LOPE" à 4 pattes dans les herbes, pisser sur mon boxer, le bouffer, me crader de boue sur le corps puis de juter sur un tronc et bouffer ma dèche. Nan, il ne m'a pas loupé sur ce coup-là ! Mais pour lui montrer la putain de chienne que je suis, j'ai tout fait ce qu'il m'a dit, fait toutes les photos demandées par mon master que je surkiffe...

Mon défi pour lui était de se rendre chez un de ses potes, d'aller dans son garage et de faire la pute dans sa bagnole. Je lui ai obligé : des plans de son cul de tapette sur le capot, d'autres à l'arrière de la caisse, des pinces à linge sur sa pine de fiotte, d'engouffrer le levier de vitesse dans sa bouche, de se baillonner et encorder dans le coffre de la bagnole, de foutre sa sale queue dans le pot d'échappement, de se crader ensuite le corps avec le noir de moteur, et enfin de juter sur le tableau de bord avant de tout bouffer son foutre dégueulasse. Cette pute a fait tout ce que je lui avait demandé. J'étais abasourdi !

Ces photos nous ayant grave excité, nous voyant très obéissants l'un l'autre, on a de suite organisé une rencontre en réel... J'ai invité T. en mes contrées pour une soirée et nuit de folie. Son train arrivera à 19h37 et repartira le lendemain à 9h46, nous étions lundi et la rencontre était prévue pour samedi. Cinq jours pour me crader, cinq jours pour remplir des bouteilles de ma pisse bien jaunâtre du matin, la plus forte, cinq jours avant de donner à T. une leçon qu'il ne sera pas prêt d'oublier... Je me préparai donc toute la semaine en vue du samedi de folie qui m’attendait ! J’avais un esclave à la maison !

On avait donc pris rendez-vous à la gare vers 19h40, il arriva juste avec un sac. Il portait une tenue de racaille bien kiffante avec ses TN encore plus pourraves que sur les photos. Une p’tite gueule de bâtard et une bonne odeur dès que je m’approchai à deux mètres de lui. Je fais facile une tête de plus, ça va être bien cool pour l’engrosser ! Je lui décrochai vite fait un sourire et je lui dis que j’ai envie de pisser… Il comprend de suite cette petite pute ! Direction les chiottes de la gare où traînait une putain d’odeur de pisse et de merde mélangée monumentale. Je le traînai dans une grande cabine où on prendra bien le temps de s’amuser.

Je lui dis de s’asseoir sur les chiottes ! « Maintenant, tu vas tout boire ce que je t’envoie dans la gueule ! En même temps, je m’en branle, c’est pas moi qui sortirai de la gare couvert de pisse et puant si tu bois pas tout ! » Il tendit donc sa putain de langue et moi je sortis mon steak bien fumant. Vous imaginez pas l’odeur de ma queue les mecs ! Cinq jours sans lavage, à environ 3 branles par jour, c’est impressionnant ! À vivre au moins une fois dans sa life ! Le p’tit T. n'est pas du tout effrayé par l’odeur, il est tellement habitué à se prendre des bitos fumants. Et donc, là je m’approche de sa bouche et je commence à lui foutre de bons jets bien épais de pisse dans sa face. Il essaie de tout avaler cette salope mais il y a quand même quelques gouttes qui tombent sur son survêt’ à ce con. Tant pis pour lui ! C’est pas mon problème… Il a évidemment interdiction de toucher à ma teub ! C’est réservé pour plus tard et seulement si ce connard est sage !

On sort ensuite des chiottes et de la gare. Il est 20h30, il fait évidemment nuit mais il fait encore bon dehors. On se dirige alors vers ma caisse parce que j’habite à 20 minutes de la gare. Et à pieds, c’est un peu chaud, quoique ma p’tite salope le ferait rien que pour moi ! Vous vous doutez bien de ce qui va se passer. On a 20 minutes de route, on passe par une forêt, trop de choses me viennent dans la tête ! On monte donc tous les deux dans ma voiture, lui côté passager, je lui demande si il a fait ce que je lui ai demandé. En effet, il avait obligation de ne rien porter en dessous sous ses fringues. C’était le cas, je lui demandai donc de retirer son bas de jogging pour la route, de toute façon, on s’arrêtera en chemin ! Il fit donc ce que je lui dis ! Il bandait cette petite connasse, je pris donc ses couilles et les serrai bien fort pour lui montrer un peu qui était le chef ici !

Je démarre la bagnole, et fait environ 10 bornes, de temps en temps, je me trompais par inadvertance entre le levier de vitesse et la petite teub de ma salope. Je lui serrai bien pour entendre un cri qui me faisait tripper. Il couine comme une chienne ma parole. Durant ces dix bornes, je lui ai également dit de respirer mon odeur de queue, il s’est donc penchée et humait l’odeur de mes boules et de mon zob.

Arrivés vers la forêt, il y avait peu de circulation par ici, on était vendredi soir, il était 20h passées et personne à l’horizon. Je descendis donc de la bagnole et dis à mon esclave de faire de même. Je vous rappelle qu’il porte seulement un T-shirt, une veste et ses TN. Et il s’amène tranquille, l’air de rien. Il a peur de rien ce mec. On avance donc un peu dans la forêt, pas très loin, ça sert à rien. Là je demande à cette salope si elle a pas envie de pisser, elle me répond que ouais ! Là je lui en décroche une qui le met à terre ! On dit : « Oui, maître, on t’a pas appris à répondre ça à l’école des salopes soumises en manque de teubs odorantes en permanence ? » Je lui dis de se relever, je lui explique ce qu’on va faire. Puis le laisse debout devant moi. Je me baisse alors au niveau de sa queue, ce sera la seule fois où il me verra de haut. Il a pour mission de pisser de façon à ce qu’une fois ma bouche pleine de sa pisse, je puisse lui redonner directement dans sa bouche. Je fis donc une dizaine de voyages de sa teub à sa bouche, il adorait ça ! Il en redemandait. Mais quelle pute !

T. m'avait dit que sa queue cachait toujours une bonne couche blanchâtre de fromton. Alors pour vérifier cela, je me baisse une dernière fois, décalottai sa queue puante et pris dans ma bouche tout le from accumulé de la semaine ! L’enculé, il se fout pas de nos gueules ! Sa queue est une vraie machine à from ! Impressionnant ! Toute la masse blanche et odorante en bouche, il sait ce qu’il va devoir en faire. Il ouvre donc sa gueule de bâtard, et je lui recrache dedans. « Montre moi ce from ma salope ! » Il ouvre bien grand sa bouche. « O.K, alors t’avales surtout pas, il reste environ 10 minutes de route, tu vas monter dans le coffre de la bagnole et arrivé chez moi, tu devras être habillé et me montrer tout ce from que t’auras gardé bien férocement dans ta bouche ! » Il me fait un oui de la tête, il ne peut faire que ça de toute façon. Je le fais donc monter dans le coffre bien tranquillement et lui balance son pantalon qui va, j’en suis sûr, en chier pour l’enfiler dans le noir et dans le coffre. Je teste un peu son potentiel de salope.

Je suis pas sympa, je prends des petites routes, avec des bosses, des trous pour que ma salope se sente bien dans son rôle de soumise. Et dire qu’il doit garder son from dans la gueule. On arrive 10 minutes plus tard dans mon bled de banlieue, je rentre la bagnole dans mon garage perso puis referme la porte. Je vais ensuite ouvrir le coffre à ma pute. Il se lève, il est habillé le pantalon à l’envers, ce qui lui vaut un bon coup de point dans le ventre, ce qui à pour effet de lui faire cracher tout le from qu’il conservait depuis un quart d’heure. Heureusement pour sa gueule, il n’a pas craché sur moi. C’est tombé directement sur le béton du garage. Je lui fais donc nettoyer sa merde et avaler. Il avale ça comme une chienne avec son regard qui mérite bien plus de fromton ! Je lui accroche ensuite les mains dans le dos et lui dis de monter les escaliers. J’habite au troisième.

Il est environ 21h, et mon p’tit esclave est paniqué au fait de croiser quelqu’un, menottes au poignet. « Même si tu croisais une bande de petites racailles, ils te feront le cul, rien de plus, t’aimes ça donc arrête de baliser salope ! Alors maintenant monte, sinon c’est un doberman qui te montera dans la soirée… »

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Samedi 7 juillet 6 07 /07 /Juil 17:36

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Je pense qu’il a compris, il monta donc les 3 étages à pieds, moi je pris l’ascenseur bien tranquille. J’ouvris donc la porte de chez moi et la fermai à nouveau. T. arriva quelques secondes plus tard, je lui dis de l’ouvrir avec sa bouche. Qu’il avait l’habitude de toute façon de prendre des longs trucs dans sa gorge. Il entra et je lui plaçai un bandeau sur les yeux, c’est beaucoup plus excitant lorsque l’esclave ne sait pas ce qu’on lui prépare !

Je plaçai mon bâtard sur une chaise, accrochant ses jambes aux pieds de celle-ci, afin qu’il ne puisse plus du tout faire de mouvements. Je le laissai là quelques minutes, je regardai cette face de con qui n’attendait que ma bite à renifler et à sucer ! Je commençai par me mettre face à lui sur une chaise. Je lui donner à renifler et lécher mes TN d’abord, puis mes cho7 ensuite. Elles sentaient un truc de malade. Cela fait 5 mois que je porte les même cho7 pour mon footing hebdomadaire ! Imaginez un peu l’état et l’odeur. Il reniflait à plein nez l’odeur de son maître, je lui ordonnai après, de les retirer avec ses dents, chose qu’il n’eut pas de mal à faire ! Ça devait être quelque chose qu’il avait déjà fait ! En 10 ans de bouffage de ieps, il avait dû en apprendre des choses ! Il avait donc désormais accès à mes pieds ! Petite précision, je fais du 45 (pour 1m92, normal) et mes pieds ont toujours pué, depuis que je suis tout petit. C’est un régal pour mon esclave, il couine déjà alors que je ne l’ai même pas encore piné. Ce bouffage de pieds dure pas mal de temps, faut dire qu’il a matière à bouffer cette salope...

Je me lève ensuite et me place au-dessus de lui. Ma teub est à environ 20cm de sa gueule mais il ne le sait pas, je lui dis de mettre sa tête en arrière et d’ouvrir bien grand. Je lui lâche quelques mollards bien glaireux dans sa face de suceuse de bites. Dès qu’un crachat tombe dans sa bouche, il l’avale direct ! Il croit quoi le mec ? Que quelqu’un va lui reprendre ? Ça me fait bien marrer donc je continue encore un peu. Après ça, il est temps de passer aux choses sérieuses : ma teub !

Je défais mon jogging Nike, me reste que mon boxer ! Enfin si on peut encore appeler ça un boxer. Vous savez l’histoire des mes chaussettes, le boxer a la même histoire ! Une putain d’odeur quoi, mais T. l’a déjà senti aux chiottes de la gare. J’enlève aussi mon haut, je suis totalement à oilpé alors que ma salope est encore toute habillée ! Le monde à l’envers quoi ! Je décidai donc de lui retirer son pantalon à la con, ses TN, et ne pouvant lui retirer son T-shirt, je le déchirai pour avoir accès à ses tétons de gamin que j’allais pouvoir bien triturer.

Je lui place alors un sparadrap sur sa bouche, qu’il ait juste l’odorat pour son maître. Je pris donc mon 19 par 6 en main et commençai à me branler un peu. De l’autre main, je plaçais délicatement quelques pinces à linge sur des endroits fatidique de mon esclave (prépuce, tétons et couilles) afin de l’entendre couiner un peu. Ça me fait bander d’entendre des petites salopes comme elles geindre devant un mec d'à peine 22 ans. C’est le kiff absolu ! Entre 2 pinces à linge, je lui colle quelques baffes pour le remettre en place, je ne bande pas encore a fond mais il est temps que je décalotte.

— Respires bien ma salope, ceci est l’odeur du maître que tu vénères.

Je me pose donc à 2 centimètres de sa petite gueule et je décalotte. Putain la masse de sperme et de pisse séché sous mon gland. Jamais j’avais produit autant que ça ! J’en connais un qui va encore se régaler. En tout cas, pendant ce temps là, il plane complètement, il est comme sous poppers...

Après avoir bien respiré mon odeur âcre et forte de mec en chaleur, je retirai le scotch de sa bouche et le bandeau de ses yeux. Fallait qu’il voie ça ! Je retirai aussi une à une les pinces à linge sur son corps. Il avait pour ordre de ne pas lâcher le moindre cri à chaque enlèvement et de me regarder fixement ! Ce qu’il fît, retenant parfois ses cris dans sa gorge. C’était marrant de le voir souffrir intérieurement comme ça.

Les pinces à linge retirées, il était encore attaché à la chaise et il n’avait pas encore vu ma teub décalottée, il n’allait pas être déçu mon T. ! Je lui demandai donc de fixer un peu ma queue. Et je décalottai lentement afin de lui montrer que moi aussi je suis un sacré producteur de from. Ses yeux étaient écarquillés devant tant de from ! Et l’odeur bordel ! C’est difficile de la décrire sur du papier mais c’est plus que fort.

Je récoltai un peu de from sur ma bite que je lui collai dans les narines, qu’il garde mon odeur durant ce plan ! C’est important aussi qu’il se rappelle qui est le maître. Il put donc ensuite goûter à ma teub. Il savait comment sucer notre ami, mais j’allais lui apprendre ma manière. Ma salope me suçait mais n’allait pas vraiment jusqu’au bout ! En fond de gorge, et moi, les gorges profondes me donnaient la gaule plus que tout au monde. Je repris donc les choses en main. Je lui tenais les cheveux d’une main, de l’autre je tenais sa gorge ! Et ma queue était bien enfoncée. D’abord avec des petits mouvements pour l’habituer à la taille de l’engin, puis au bout de quelques minutes, je lui enfonçai complètement ma bite. Quelques fois, il était si enfoncé qu’il était sur le point de gerber !

— Fais pas ta connasse ! T’a du en voir des plus grosses des queues ! Tu va dire quoi quant tu l’aura au fond de ton cul salope ???

Alors il avalait ma queue tant bien que mal, je lui rendis sa tête au bout d’une bonne demi heure de bourrage intensif qui m’avait mis en appétit… J’en voulais désormais à son cul. Je le détachai de la chaise et lui enlevai ce qui lui tenait les mains.

— Tu as dix minutes pour préparer ton cul à ma queue. Dans dix minutes, je t’encule que tu sois prêt ou non !

Je le tirai donc par les cheveux jusque dans ma chambre, et le laissai mariner. Pendant ce temps là, j’avais quelques SMS à envoyer, et je continuai de me branler tranquille sur le canapé au salon. Je décomptais le nombre de minutes qu'il lui restait avant de s'en prendre plein le cul et je lui gueulais ! « 5 minutes », « 2 minutes » et enfin « J'arrive salope ! » J'arrive dans la chambre, il avait quelques doigts dans le boule, je bandais bien fort et j'avais envie de bien lui niquer son cul de tarba…

Je lui dis de se mettre en position comme pour m'offrir son cul. T. se place donc ventre collé au lit avec le cul bien cambré et les jambes à terre...Je plaçai donc mon gland sur son trou déjà bien open, je lâchai un mollard sur ma queue, histoire que j'ai pas mal. Son plaisir à lui, je m'en branle ! Je lui demande si il est prêt, n'attendant même pas sa réponse, je pousse d'un coup de rein et me retrouve totalement enfoncé à l'intérieur de ce mec qui m'avais fait giclé pas mal de fois de ses photos et récits. S'en suit des dizaines de minutes de bourrage de cul en règle. Je le faisais changer de positions. Allongé face contre terre et mon pied droit sur sa gueule, debout contre le mur, à 4 pattes comme la chienne qu'il est ! Et tellement d'autres. Je m'arrêtai à un moment au bord de la jouissance. Mon esclave était en sueur, moi aussi d'ailleurs. On alla prendre une douche ensemble pour nous rafraîchir !

Vous vous doutez bien que cette salope s'est directement foutu accroupi dans la douche afin que je lui pisse dessus. Ce que j'ai fait. Cette pute ce mec, j'ai rarement vu ça je vous jure. On prend une douche bien tranquille, ce qui nous permet de parler un peu. Il me raconte qu'il a rarement vu un mec comme moi, qui le domine et l'humilie autant que ça. D'habitude il est plus actif mais là, rien qu'en voyant ma queue, il a envie de se foutre à genoux. Je lui raconte que je le kiffe trop en tant que petite salope soumise, et que c'est un des meilleurs bâtards qu'il m'a été donné de larver ! Trêves de confidence, j'avais toujours pas juter et faut que je lui englue la face...

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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