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fan de histoires de mec

Mardi 24 juillet 2 24 /07 /Juil 17:35

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Le mariage de mon cousin a eu lieu le 12 septembre dernier dans le centre da la France. Nous avons deux ans écart, il a 24 ans et j'en ai 26. Je prévois deux semaines avant d'aller acheter quelques fringues pour le mariage. Je n'arrive pas à me décider si je dois prendre un costume ou alors simplement un jeans et chemise pour être plus cool. Je n'aime pas trop les grandes cérémonies. J'appelle mon cousin qui est déjà en effusion à l'idée de son mariage pour savoir ce qu'il en pense. Tout de suite, il opte pour le jean et la chemise. C'est un grand amateur de jeans. D'ailleurs, lui et sa copine sont toujours en jeans. Je dois dire que cette décision m'enchante pour mon porte monnaie, cela me gênait beaucoup d'acheter un costume juste pour son mariage.

Je descends vite en ville visiter les petites boutiques de marque. Après plusieurs essais, je tombe sur un jean noir avec une superbe coupe et assez moulant. Le vendeur me trouve une chemise en jean noire qui s'accompagne bien avec le reste. Je trouve tout ceci un peu trop jeans à mon goût. Le vendeur insiste. C'est un homme d'une cinquantaine d'années en costume. J'ai du mal à me décider. Je n'arrive pas à imaginer ce que cela donne tout en jeans. Il me propose de s'habiller comme moi pour me montrer. Il revient avec le même jean et la même chemise dans une taille différente, car on peut dire qu'il a un peu de bedaine. Il s'assied et quitte son pantalon de costume. Il a un slip blanc à poche. Je m'aperçois qu'il bande. Je me retourne car je me sens un peu gêné. J'entends la fermeture éclair du jean qui monte. Je me retourne. Il quitte sa chemise et son maillot de corps. Il a le torse poilu. Vraiment, il a tout pour me déplaire. Une fois habillé en jeans, il est déjà mieux.

Un client entre dans la petite boutique. Le vendeur un peu effrayé crie au client de patienter. Il se déshabille pour remettre ses affaires, j'en fais de même. Je quitte la chemise, je suis torse nu. Je m'amuse un peu à l'allumer en restant avec mon mini slip blanc. Je le sens craquer tout en étant énervé par ce client qui attend. Lorsque je me baisse pour ramasser le jean, je sens ses mains se poser sur mes fesses. Ses doigts longent l'élastique de mon slip jusqu'à l'entrejambe. Je le laisse jusqu'à toucher mes bourses.

Il se précipite vers son client comme si rien était. Je me rhabille et je vais jusqu'à sa caisse. Je le sens stressé, il essaie de faire fuir son client. Je demande à payer. Il ne peut faire qu'autrement que de me donner mon ticket de caisse et d'accepter mon argent. Je quitte le magasin en souriant.

En début de semaine, mon cousin me téléphone pour m'annoncer qu'il va enterrer sa vie de garçon. Il m'explique que c'est un week-end entier sans sa future femme, entre copains. Je saute de joie à l'idée de me retrouver entre mecs. Mon cousin sait ce que je suis. Il accepte très bien.

Le samedi arrive. On commence par la tournée des apéros chez les uns et les autres. La fête commence. Mon cousin s'est aussi mis en jean avec un polo blanc. Nous sommes dix copains, surtout des copains d'enfance. On finit l'après-midi chez lui. Sa future femme est partie le week-end chez ses parents après nous avoir préparé un bon repas. Je m'étais mis à côté de mon cousin. Je lui versais du vin dès que son verre se vidait. Nous avons fini très tard. Tout le monde était très fatigué. Mon cousin avait bien bu. Tout le monde s'est petit à petit éclipsé vers leur couchage.

J'ai pris mon cousin en lui passant son bras à mon cou pour le porter jusqu'à sa chambre. Je l'ai allongé sur le lit. Je lui ai retiré son polo. J'admirais son torse presque imberbe. J'ai dégrafé son jean bouton par bouton. Je lui quittais. Il avait un slip gris à ceinture élastique. Je commençais à caresser le long des élastiques. Il se mit à bander, il me prit pour sa femme. Ceci commençait à vraiment m'exciter. Mes doigts s'enfonçaient sous les élastiques. Je découvrais ce sexe encore caché sous le tissu du slip. Je me suis déshabillé en gardant que mon slip et me suis allongé à côté de lui après pris soin d'allumer la petite lampe de chevet pour plus d'intimité. Ma main parcourait lentement son torse jusqu'à son sexe. Il commençait à gémir. Mes bisous sur son corps claquaient doucement. Je glissais ma main sous son slip. Il avait un sexe pas trop conséquent. Je l'embrassais sur la bouche, il eut un petit recul, il comprit que c'était moi. Soit par manque de force, soit par plaisir, il ne me repoussait pas. Je lui chuchotai à l'oreille que j’allais lui laisser son meilleur souvenir avant son mariage.

Je me couchais sur lui ma bouche vers son slip. Je retirai délicatement son slip jusqu'aux genoux. Je passais ma langue autour de son sexe bien raide. Je sentais sa tête dans mon entrejambe, son petit nez frais sur mes bourses. Je baissais mon slip pour glisser mon sexe entre ses lèvres. Sa bouche s'ouvrit. Je sentais sa langue sur le bout du gland. Je bandais dur. Je léchais tout son sexe du bout jusqu'à ses bourses puis je remontais. Lui, commençait à me sucer doucement. Je retirais complètement son slip pour pouvoir glisser ma main entre ses fesses. Je parcourais le long de sa raie avec mon index. Je le sentais frissonner sous mon torse. Mon index s'arrêtait sur l'entrée de son petit trou. Mon doigt forçait un peu l'entrée. Il gémissait de plaisir. Plus le temps passait, plus il me suçait correctement. Mes doigts élargissaient son petit cul.

Sur la table qui se trouvait dans la chambre, parmi les produits de beauté de sa copine, j'aperçus un flacon d'huile solaire. Je l'attrapais sans qu'il s'en aperçoive. Je commençais à lui badigeonner les couilles avec le produit, son plaisir devint intense. Ses mains me caressaient maintenant les fesses. J'enduis sa raie de ce liquide glissant. J'avais de plus en plus envie de lui. Je ne pensais plus du tout que c'étais mon cousin sur le point de se marier.

Une fois bien préparé, je me retournais pour m'installer. Je glissai sous lui en tirant ses jambes sur moi. J'ai pris son sexe dans ma main pour le branler. L'autre main, dirigeait mon sexe vers son petit trou. Je caressais sa raie avec mon gland. J'ai joué ainsi très longtemps jusqu'à que mon gland disparaisse dans son trou. Je le caressais sur les bourses, entre les cuisses. Mon sexe s'enfonçait avec la plus grande douceur au fond de ses entrailles. Il me dit tout en délirant de ne pas l'enculer. Je lui expliquais que c'était fait. Je passais mes mains sous son dos pour le redresser vers moi, il s'accrocha à mon cou. Il me dit que l'on aurait pas dû. Pour le faire taire, je l'embrassais sur la bouche. Je le sentais se détendre, apprécier cela. Je roulais mon pouce sur le bout de son sexe. Je sentais des mouvements saccadés venant de son corps. Il gicla très fort. Son jus m'arriva jusque dans le cou. Je ne pus me retenir très longtemps et giclai en éclatant de rire. Les autres se réveillèrent dans un demi-coma et crurent que mon cousin délirait, je leur ai crié de se rendormir que je m'occupais de lui.

Une semaine plus tard, il se maria. Nous n'avons encore jamais reparlé de cet événement, mais je peux dire que cela nous a rapproché.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Lundi 23 juillet 1 23 /07 /Juil 23:18

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Je vis avec Marc depuis deux ans maintenant. Je l'ai rencontré il y a quelques années, et nous sommes tombés amoureux l'un de l'autre. Il était à l'époque marié avec une femme que je n'ai jamais rencontrée. Elle est partie le jour où Marc avait demandé le divorce lui annonçant son homosexualité par la même occasion. Nous habitons un mas provençal, discret et à l'abri du regard d'éventuels voisins. Nous regardons grandir les enfants de Marc. Il y a les jumeaux, Marion et Florent, qui ont seize ans et Jérémy qui, lui vient juste de fêter ses dix ans. Eux non plus n'ont pas revu leur mère depuis deux ans.

Moi, j'ai trente-neuf ans. Marc en a quarante-cinq. Il est grand et sec, doux et tendre. Je suis plus petit que lui, mais j'ai plus de cheveux. À la maison, nous ne nous cachons pas pour se donner des marques d'affection, même si on préserve tout ce qui relève de l'intime.

Ce dimanche matin, nous sommes tranquilles, dans notre lit. La maison, pour un dimanche, est étrangement calme. Rituellement, le dimanche matin, nous nous retrouvons tous dans notre chambre pour chahuter. Jérémy passe le week-end chez un copain et Marion a invité son petit-ami. Pensant être tranquilles, nous nous embrassons Marc et moi. Nous enlevons nos sous-vêtements et je commence à le sucer. J'aime sucer Marc. J'aime lorsque je le fais jouir de cette manière, et j'ai bien l'intention de goûter à son sperme. Cependant, la porte s'ouvre sur un Florent, en boxer, portant un plateau repas. Surpris, le temps semble s'arrêter pour nous trois. Marc est le premier à réagir en cachant sa nudité en remontant le drap. Je me sens rougir. Marc dit à Florent :

— Bonjour Flo, ne reste pas planté là et apporte le plateau. Excuse-nous, mais comme la maison était calme on ne pensait pas que nous serions dérangés.

— Désolé, repris Flo, je vous laisse.

Instinctivement, je me lève et je prends le plateau des mains de Flo que je pose sur le lit et je le saisis par le poignet et l'invite à venir prendre le petit déjeuner avec nous. Je suis complètement nu et je bande encore. Marc se pousse un peu pour laisser une place à Florent entre nous. Marc reste protégé par le drap mais son érection est toujours visible. Je m'installe à côté de Florent. La gêne est toujours là. Marc dit :

— Tu sais Florent, ce n'est pas grave.

— Enfin, reprend-il, je vous ai vu en train de...

— De se donner du plaisir, achève Marc. Tu ne te donnes jamais du plaisir ?

— Si, mais...

— Et ta sœur, continue Marc, tu crois qu'elle fait quoi là...

Marc parle avec douceur. Il a un bras autour des épaules de Florent. Je regarde le père et le fils. Ils sont beau tous les deux. Florent est un adolescent ravissant. Il a grandi très vite. Il est très mince mais commence vraiment à s'étoffer depuis quelques temps. Il est aussi brun que son père est blond. Par contre, ils ont les mêmes yeux verts. Son boxer aussi s'était rapidement étoffé ces derniers temps. Il ne dissimule plus son joli paquet. D'ailleurs Florent sait choisir avec goût ses boxers, toujours très colorés, et visiblement une taille au dessous de sa taille réelle.

— Papa, demande Flo, ça fait quoi de faire l'amour entre hommes ?

— C'est difficile à dire, tu l'as déjà fait ou pas avec une fille ?

— Non. Jamais, mais en fait, je crois que je suis gay, comme vous. Quand je vous vois vous embrasser, je ne peux pas m'empêcher de vous regarder. Le soir, j'écoute les bruits venant de votre chambre et je me branle pensant à vous.

Je regarde Florent pendant sa confession. Je vois son père qui caresse délicatement les cheveux de Florent qui sanglote. Je dépose un baiser sur sa joue puis sur son épaule. Il nous dit :

— Je veux faire l'amour avec vous.

Je suis surpris de sa demande. Mais encore plus de la réaction de son père. Marc embrasse Florent sur la bouche. Leurs langues s'emmêlent et la main de Marc descend vers le ventre de Florent. À la vue de ce spectacle je rebande immédiatement. Le boxer de Florent est déformé par son érection. Je pose une main sur son paquet. Il gémit. Je descend son boxer et libère sa bite. Je décalotte son gland et l'entoure de mes lèvres. Ma langue découvre chaque centimètre carré de sa bite raide.

Florent est maintenant penché sur la bite de Marc. Je suce Flo qui suce Marc. Florent s'y prend pas trop mal, mais est un peu brutal. Je lache la queue de Florent et remonte vers la bite de Marc. Je suce mon ami en même temps que Florent. Nos langues se croisent et s'emmêlent sur le gland de Marc. Nous nous caressons mutuellement. Florent semble très détendu.

Marc se lève. Florent se rabat sur ma bite. Marc le fait mettre à genoux, écarte les fesses de Florent et y colle sa langue. Je sens que Florent prend du plaisir à sa fellation qui se fait de plus en plus langoureuse. Marc se redresse et présente son gland à l'entrée de l'anus de Flo. Il pousse. Florent accepte la bite de Marc entre ses fesses mais l'intromission se révèle plus douloureuse qu'il l'avait prévu et arrête sa fellation et souffle fort. Je l'aide à se détendre en le caressant et en l'embrassant. Puis Marc commence peu à peu à bouger. Pendant quelques minutes, Florent se concentre sur sa douleur qui devient peu à peu plaisir. Il reprend sa fellation. Je lui caresse les cheveux. Il me branle en même temps qu'il me suce. Il apprend vite. Marc a amplifié le mouvement. Il me regarde et me sourit. Il me montre sa bite qu'il a entièrement sortie du cul de Flo pour la replonger aussitôt au fond. Florent éjacule sur ma jambe, je sens le liquide chaud dégouliner le long de mon mollet. Je sens à mon tour monter la jouissance. Je dis à Flo que je vais venir. Je retire ma bite de sa bouche et commence à me branler. Son visage est à deux doigts de ma bite quand j'éjacule. Mon sperme s'étale sur sa tête et son visage, des filets de sperme s'accrochant à ses cheveux, sur son front, son nez, ses lèvres.

Marc arrête sa sodomie. Florent s'écroule sur le dos contre moi. Marc approche sa queue du torse de Florent et commence à se masturber en direction du visage déjà souillé de notre amant. Il faut peu de temps avant que le sperme de Marc ne vienne se mêler au mien sur le visage de Florent.

On s'allonge à côté de Florent et on l'embrasse. On le nettoie de toute trace de sperme. Florent s'est déjà endormi. Nous l'enlaçons et l'embrassons et posons chacun une main sur sa bite. Nous le rejoignons rapidement dans son sommeil réparateur.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Dimanche 22 juillet 7 22 /07 /Juil 20:05

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Quentin n'en pouvait plus. Il était 3 heures et demi du matin et le bar gay dans lequel il travaillait pendant l'été ne s'était toujours pas vidé. Il devait encore nettoyer les tables, servir des bières et des martinis, ne pas faire attention aux clins d'oeil et aux mains qui caressaient ses fesses "accidentellement". Au début, cela lui plaisait. Quentin était une belle allumeuse et il aimait l'attention que les clients du bar lui portaient. Il avait pour habitude de porter des jeans très moulants, quand ce n'était pas des pantalons de lin quasi transparents, le but étant évidemment que les regards se concentrent sur ses belles fesses rondes et rebondies. Mais au bout d'un mois à être considéré comme de la viande par les clients et à avoir l'impression d'être interchangeable avec les autres serveurs, Quentin en avait assez.

Aux alentours de 5 heures du matin, le bar était quasiment vidé. Il ne restait que quelques clients et les serveurs s'occupaient essentiellement de ranger le bar pour le lendemain. Pendant qu'il s'occupait des cendriers, un homme lui demanda:

— "Vous aviez pas l'air d'être enchanté de travailler aujourd'hui jeune homme. C'est dommage, vous aviez un si joli sourire..."

— "Merci... C'est gentil," répondit Quentin.

Le jeune serveur détailla l'homme. La trentaine, brun, les cheveux courts, un peu plus grand que lui, et beaucoup plus musclé. Le genre de mecs qui kiffait les petits minets comme Quentin.

— "Évidemment" se dit Quentin, "il voit un blond aux yeux bleus, un jean un petit peu moulant, et il croit avoir à faire à une pute."

Malgré les apparences, Quentin ne se faisait pas baiser souvent. La plupart du temps, il se faisait draguer, répondait aux avances plus ou moins poussées de ses prétendants et quittait ces derniers au moment fatidique où ils désiraient que leur pénis entre dans l'un des trous de Quentin. Ce dernier entendait beaucoup d'insulte, mais il s'en fichait. Il aimait rendre fous les hommes qui le désiraient, et plus Quentin jouait la salope, plus ils étaient frustrés, et plus Quentin prenait son pied.

— "Romain" dit le client avec un sourire.

— "Quentin" répondit le serveur.

— "J'imagine que tu n'as rien à faire après ton service, Quentin?"

— "Bien sûr que si!" répondit Quentin, regardant Romain droit dans les yeux. Ce dernier ouvrit la bouche mais Quentin l'interrompit. "Je dois venir chez toi et me faire baiser comme une pute..."

Romain eut un petit sourire satisfait.

— "On dit que l'habit de fait pas le moine... Mais tu es bien la salope que tu as l'air d'être. En revanche, je ne t'ai pas autorisé à me tutoyer..."

— "Je suis désolé... Monsieur..." dit Quentin. "Taré" pensa-t-il.

— "Bien. Je t'attends donc. Fais vite."

Romain sortit du bar. Quentin soupira. Il en avait vu des fantasmes bizarres, le vouvoiement était loin d'être le pire. Il finit donc de nettoyer les cendriers, rangea la vaisselle, dit au revoir à ses collègues et sortit du bar, qu'il devait revoir le lendemain. Nul trace de Romain. Quentin soupira et décida de rentrer chez lui.

Il avait à peine commencé de marcher qu'une voiture noire le dépassa et s'arrêta. Un homme en costume en sortit.

— "Par ici je vous prie," dit l'homme en ouvrant la portière arrière.

— "C'est une blague?" pensa Quentin.

Il jeta un coup d'oeil à l'arrière de la voiture. Romain siégeait comme un roi, un verre à la main sur un énorme fauteuil de cuir de 4 places. Assez impressionné, il monta. La portière se referma derrière lui. Romain le regardait avec des yeux perçants. Il jaugeait Quentin. Sans cesser de l'observer, il servit au serveur un verre. Quentin le but. La voiture démarra. Les deux hommes ne s'échangèrent aucun mot. Romain se contentait d'observer Quentin. Ce dernier buvait son verre et n'en menait pas large. Peu à peu, il se sentait très mal à l'aise. Il avait très chaud. Romain l'observait toujours. Les yeux de Quentin se fermait peu à peu et il finit par s'endormir.

Lorsqu'il se réveilla, il ne se rappelait plus vraiment ce qu'il s'était passé. Il essaya de se lever mais ses bras étaient solidement attachés au lit sur lequel il était.

— "Alors ma belle... Bien dormi?"

Quentin sursauta. Romain était assis dans un coin de la pièce. Il se leva et s'approcha du lit.

— "On va bien s'amuser maintenant que t'es réveillée ma chérie," murmura-t-il à l'oreille de Quentin.

Ce dernier tenta de se débattre, de chasser Romain avec ses pieds, de hurler, mais rien ne se passait. Son corps ne lui obéissait pas. Ses membres n'était que du chiffon et il arrivait à peine à produire un gémissement plaintif et pathétique. Romain s'allongea sur Quentin et l'embrassa à pleine bouche. Il chercha de ses doigts la raie des fesses du serveur qu'il avait kidnappé et introduisit un doigt sec dans son anus.

— "Mh... Comme je les aime : serrée et humide..."

Quentin ne pouvait que lancer des regards implorants, il n'était capable d'aucune résistance. Romain regardait son amant contraint droit dans les yeux avec un sourire narquois.

— "Tu vois, ces fesses et surtout cette chatte sont faites pour accueillir un mâle. La façon dont tu marches, dont tu te trémousses, dont tu parles... Tout ça, c'est un ensemble qui fait que tu es une femelle, peu importe ce que tu as entre les jambes. Tu es physiologiquement et psychologiquement fait pour qu'on t'engrosse, salope... Mais je sais pas pourquoi, t'arrives pas à comprendre ça... Donc tu crois que tu peux t'amener avec ton gros cul de pute devant nous sans nous le donner... Hé ben je suis là pour t'expliquer un truc connasse... Ta chatte nous appartient et on va pas se gêner pour l'utiliser..."

Romain ajouta un doigt. Quentin sentit une vive douleur. Il était très serré et Romain n'avait pas pris la peine d'utiliser la moindre goutte de gel. Ce dernier fit de vifs va-et-vient, tout en embrassant Quentin sur la bouche, dans le cou.

— "T'as même une belle bouche de suceuse..." murmura Romain. Il se redressa sur le lit et approcha sa bite de la bouche de Quentin. Celui-ci tenta de la fermer mais Romain lui mit une baffe et ouvrit la bouche de Quentin sans grande difficulté. Il introduisit son pénis et baisa la bouche du serveur. Des larmes se mirent à couler sur les joues du jeune homme.

— "Fais pas ta princesse... Je sais que tu kiffes avoir la bouche pleine... T'es faite pour ça ma belle..."

Romain fit quelques va-et-vient dans la bouche, puis se rallongea sur le corps de son amant. Il lui écarta les jambes et mit son gland au bord de l'anus. Sans que Quentin ne puisse faire quoi que ce soit, Romain entra en poussant un râle de plaisir.

— "Oh putain ta chatte..."

Romain commença un léger va-et-vient qui se transforma rapidement en limage profond. Les cris de douleur que voulait hurler Quentin, s'entendaient comme des gémissements plaintifs. Bien entendu insensible, Romain continuait ce ramonage, s'arrêtant parfois pour gifler Quentin en lui demandant de fermer sa gueule. Au bout d'une dizaine de minutes, Romain sortit de l'anus de Quentin, retourna ce dernier comme une poupée, et le réencula.

— "On dirait vraiment une meuf de dos, tu sais, avec tes hanches... Si tu veux éviter qu'on te confonde, faudrait commencer un régime ma chérie..."

Ainsi, en levrette, Romain défonça Quentin, lui claquant le cul, lui tirant ses cheveux blonds, l'insultant de pute, de salope, de chienne, parlant de sa chatte comme un bien lui appartenant. Romain criait de plus en plus fort, frappait Quentin de plus en plus fort et entrait de plus en plus profondément dans le corps de ce dernier quand il finit par jouir, libérant un flot de sperme dans les entrailles de Quentin.

— "Hé ben ma salope, je t'ai bien engrossé là. Si tu me fais pas un mouftard avec ce que je t'ai mis, je sais pas ce qu'il faut."

Si Quentin était rempli de sperme, il était vidé mentalement. La douleur, l'humiliation et l'impossibilité de toute résistance l'avait rendu dans un état quasi animal. Il ne se rendit même pas compte que Romain lui fit une piqûre. Il ne se rendit même pas compte qu'il s'endormait.

Quand il se réveilla, il avait mal partout. Il arriva peu à peu à se redresser puis à se lever du lit. Il observa la pièce. Il n'y avait qu'un lit, défait, un fauteuil en cuir, et dans un coin, un miroir avec au pied, un tas de vêtement. Il s'approcha du miroir. Il se regarda. Il avait la tête de quelqu'un qui avait dormi des jours et qui n'avait pas vu la lumière du soleil depuis trop longtemps. Du sang avait coulé sur ses cuisses. Sur le tas de vêtements, il y avait un mot:

"Lave-toi, mets les vêtements et laisse toi faire. Nous préférons te posséder consciente. Si tu désobéis, tu seras droguée à nouveau. Fais ton choix. R."

"Comment ca? Nous? C'est quoi ce cauchemar? Putain... PUTAIN DE MERDEEEEEE!!! À L'AIIIIIIIIIIIIDE!!!"

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Samedi 21 juillet 6 21 /07 /Juil 23:41

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En fin de troisième, alors que je me préparais à passer les épreuves du Brevet, j'allais souvent réviser avec un camarade de classe. Thierry vivait seul avec son père dans une maison non loin du collège. Son père étant souvent absent, nous disposions de toute la maison mais le plus souvent, nous nous installions dans la chambre de mon ami pour travailler.

Quel que soit le lieu où nous travaillions, dans la chambre c'était l'occasion d'attouchements ambigus. La table de travail par son exiguïté nous obligeait à nous asseoir côte à côte. Thierry ne ratait pas une occasion de prendre appui sur mes cuisses, frôlant mon sexe. Combien de fois, sous prétexte de me montrer un texte, s'est-il levé, venant se placer derrière moi, en profitant pour frotter sa verge contre mon dos? Quand nous nous installions sur le lit, à la moindre occasion nous nous chevauchions pour passer de l'autre côté.

Pour nous détendre de nos heures studieuses, nous nous affrontions dans de pseudo-matches de catch sur ce même lit. Nous posions alors la chemise et nous livrions à un corps à corps continu, roulant parfois par terre sans lâcher prise, restant emmêler. Le but était d'arriver à immobiliser l'autre, l'écraser sous notre corps, le gagnant donnant alors un gage à son malheureux rival.

Thierry fit évoluer ces jeux "innocents" en m'accueillant un jour en short. Le temps particulièrement torride de cette journée pouvait justifier cette tenue mais sa sensualité et l'odeur de la peau chaude m'échauffèrent les sens dès le départ. Le contact de ses jambes nues quand nous étions assis au bureau m'incitait à m'appuyer moi aussi contre elles quand je me levais. La forme de ce vêtement me laissait deviner que je n'étais pas le seul que cette situation faisait bander. Quand un appel téléphonique éloigna Thierry de sa chambre, je profitai de son absence pour humer son pyjama, m'enivrant de son odeur.

Quand il revint, j'étais en train de fouiller dans ses sous-vêtements. Comme il me jetait un regard interrogateur, je lui demandais, innocemment, s'il ne pourrait pas me prêter un short, la chaleur étant vraiment intenable. Je rajoutais en toute ingénuité que celui qu'il portait était très sexy. Il me proposa de l'essayer. Avant que je n'aie eu le temps de refuser, ce que je n'avais nullement l'intention de faire, il avait ôté son short apparaissant dans un mini slip mettant en valeur un appareil génital qui ne demandait qu'à sortir faire un petit tour. Pendant que je posais mon pantalon, il caressait discrètement la bosse que formait son slip, puis il m'aida à enfiler son short, en profitant pour me peloter les fesses.

— Il est vraiment confortable.

— Il ne te serre pas trop me demanda-t-il, saisissant l'occasion de me palper le sexe.

— Non, le tissu est léger et souple, il moule bien.

— Oui effectivement il te moule bien. Tu peux le garder. Je vais rester en slip.

— Bon et bien merci.

Cette fois pour travailler, nous nous installâmes sur le sol. Nous étions assis face à face, je m'appuyais contre le mur alors que Thierry était assis en tailleur contre le lit. Au bout d'un moment, il déplia ses jambes envoyant un de ses pieds entre mes cuisses, contre mon sexe. Nous continuâmes un moment à simuler un travail assidu pendant que de la pointe du pied, il me massait l'entrejambe.

Cette situation ne pouvant s'éterniser, il me proposa un petit combat. Après le bas, nous tombâmes le haut, pour la première fois nous nous affrontions aussi peu vêtu, tous les deux en slip. Nous nous observâmes un moment nous tournant autour. Il passa le premier à l'attaque m'empoignant par surprise les parties génitales à travers le tissu, il me renversa sur le lit. Avant que je n'aie eu le temps de réagir j'étais immobilisé, allongé sur le lit, Thierry à cheval sur mon dos. Pendant un moment, nous restâmes dans cette position, je sentais son sexe bien dur contre mes fesses, discrètement par de petits mouvements de va-et-vient, il frottait sa bite contre mon cul.

— Quel gage tu vas me donner? lui demandai-je.

— Tu vas te branler devant moi.

— Tu regardes, mais tu ne touches pas, implorai-je hypocritement.

— J'ai gagné. Tu n'as pas à poser de conditions. Tu obéis.

Me retournant comme une crêpe, il me finit de déshabiller, attachant mon slip en trophée à son bras. S'étendant à côté de moi sur le lit, pendant que je commençais à secouer mon dard, il me pétrissait les couilles.

— Hum! Elles sont pleines de foutre tes couilles me susurra-t-il à l'oreille, en me titillant le lobe. Vas-y, pompe pour faire monter le jus.

Il se mit à cheval sur moi, tête-bêche, son slip bien gonflé juste au-dessus de mes yeux. Encore très inexpérimenté, je ne compris pas l'invitation.

— Laisse-moi prendre le manche. Quand tu as envie d'une bonne branlette de derrière les fagots, n'hésite pas à me le demander. Je te donnerai avec plaisir un coup de main.

Quand il me sentit prêt à jouir, il attrapa mon sexe dans sa bouche, avalant les jets de sperme que je lançais.

Ce soir là nous en restâmes là dans ce domaine, mais le lendemain quand il vint m'ouvrir la porte, il ne portait qu'un string, le triangle de tissu moulait son sexe et, quand il se retournait, je voyais le cordon qui disparaissait entre ses fesses.

— Le gage que je t'ai infligé hier m'a inspiré une idée de distraction. C'est le jeu du maître et de l'esclave. Chacun notre tour, nous interpréterons le rôle du maître, l'autre étant l'esclave et obéissant à tous ses ordres.

— Des ordres de la même veine que le gage d'hier, si j'en juge par ta tenue!

— Oui! Tu paraissais aimer ça. Pour que tu comprennes mieux la règle, aujourd'hui je serai le maître.

— Bon d'accord cela me convient. Je me déshabille?

— Non. Viens, on va travailler.

— Mais j'ai trop chaud.

— Tu y prends goût petit vicieux à t'exhiber. Allez viens! On va s'installer dans le salon aujourd'hui.

— Ton père ne risque pas de nous surprendre?

— Ce ne serait pas pour lui déplaire, mais il est absent. Pose ta chemise et installe-toi dans le canapé.

Je vais te bander les yeux. On va faire travailler tes autres sens. Tiens cette sucette pour te faire patienter. Hum qu'elle est bonne! Sa forme ne te fait pas penser à un autre objet? Comprenant l'allusion, je laissais une de mes mains descendre caresser mon entrejambe.

— Oui! Tu vois la ressemblance. La différence avec la sucette, c'est que plus tu le suces plus il y en a. Goûte donc la différence.

Son sexe vint remplacer entre mes lèvres le sucre d'orge. Je m'amusais à le léchouiller et à le mordiller.

Il me fit relever et finit de me déshabiller. J'avais toujours les yeux bandés. Il me caressa les fesses entre lesquelles il lança un doigt inquisiteur. Il me murmura à l'oreille.

— Tu ne t'es jamais fait enculer?

— Non mais toi tu as l'air d'avoir plus d'expérience?

— Oui! J'ai même eu déjà plusieurs partenaires, mais ils étaient toutes les fois plus expérimentés que moi. Je sens que tu as envie d'essayer. Si tu m'offres ton pucelage, je t'apprendrai à m'enculer. Tu verras, ce sera plus plaisant pour toi la première fois si c'est moi plutôt qu'un adulte avec un gros membre.

— Tu t'es déjà fait sodomiser par une grosse bite?

— Oui j'ai un ami qui en a une belle. Maintenant qu'il m'a ouvert à son calibre, c'est bon mais au début j'ai dégusté.

— Il t'a forcé la première fois?

— Non, non, j'en avais trop envie. Il m'avait laissé mijoté, c'est moi qui l'ai supplié de me la mettre. Si tu veux, je te le présenterai. Mais en attendant je sens que tu as envie de goûter à ma bite.

Il me fit incliner devant lui, en m'accoudant sur le bureau. Les jambes écartées, les fesses cambrées je lui présentais au mieux mon cul. Passant ses doigts dans sa bouche à plusieurs reprises, il entreprit de m'humecter la rondelle. Quand il la sentit bien se dilater, il força le passage de mon anneau culien, faisant pénétrer d'abord une phalange, puis deux. Il remua alors son doigt dans la chaleur de mon cul me faisant émettre un petit gémissement de satisfaction. Devant ma réaction, il décida alors de tenter d'y mettre deux doigts... Je les sentis forcer ma rosette, une petite douleur envahit mon cul pour très vite se dissiper quand les deux doigts plongèrent dans mon trou offert et soumis...

Il les ressortit tout poisseux, contemplant un instant le trou béant entre mes fesses puis les replongea à nouveau dans mes entrailles. Il s'amusa ensuite à les faire coulisser, restant parfois de longues secondes enfoncés profondément dans mon cul, les faisant bouger. Ses deux doigts qui s'activaient ainsi en moi, se croisant, se décroisant, se pliant me caressant l'intérieur du cul m'excitaient énormément.

Enfin il présenta sa queue encore humide de ma salive devant mon petit trou. Je sentis le gland palpiter à l'entrée de mon intimité, mon sphincter s'ouvrant sous la pression de sa tige. Mon cul se dilatait pour absorber son membre au fur et à mesure de son avancée. Il fut bientôt totalement en moi, je sentais ses couilles s'écraser sur mes fesses C'est ainsi que pour la première fois de ma vie, mais pas la dernière, je me fis enculer. Il est vrai que depuis, j'ai connu des bites plus grosse que celle de Thierry à l'époque, mais pour une première, je la sentais passer. Cependant il était assez doué pour me faire aimer cela.

— Déjà la dernière demie journée de ce week-end.

— Heureusement, j'ai les bourses à sec. Tu m'as pompé toute ma sève.

— Ne crois pas cela. Tu as besoin d'un petit stimulant. Je connais un endroit qui devrait te redonner du tonus: le jeu de miroirs dans la chambre de mon père.

— Tu es fou! S'il nous surprend?

— Ton inquiétude mettra du piquant à la situation et moi cela me fait fantasmer l'idée qu'il puisse te voir en train de m'enculer dans sa chambre.

M'empoignant la queue, il me tira vers cette partie de la maison que je ne connaissais pas encore. Nous pénétrâmes dans une grande pièce dont toutes les parois et le plafond étaient recouverts de glaces. Thierry se retournant écrasa sa bouche contre la mienne, lâchant mon sexe il m'enlaça pendant que sa langue pénétrait à la recherche de la mienne. La vue de ces corps répétés à l'infini eut rapidement raison de mon abstinence, mes mains allèrent se poser sur ses fesses.

Sentant que j'avais repris de la vigueur, mon ami se mit à quatre pattes sur le tapis, frétillant du cul.

— Tu es une vraie chienne en chaleur.

— Oh oui! Fourre-moi ta bite dans mon petit trou, il est brûlant, il a besoin d'être arrosé. Allez mon petit pompier, enfile-moi ta lance d'arrosage.

Sa soumission provoquait en moi des pulsions de violence. Je lui passais autour du cou une ceinture qui traînait sur une chaise et lui administrais une fessée énergique avant de lui enfoncer brutalement mon glaive entre ses fesses chaudes de la correction.

Je sentis une main qui me palpait les fesses. Relevant la tête, je découvrais dans la glace le reflet du père de Thierry tout vêtu de noir, il était entré dans la pièce sans que je l'entende. Comme je cherchais à me redresser, me demandant comment j'allais me tirer de cette situation embarrassante, sa main accentua sa pression sur mes fesses pendant que l'autre venait appuyer ma nuque m'incitant à continuer mon va-et-vient. Je croisais le regard de Thierry dans la glace, il n'était pas surpris par cette intrusion, je commençais à comprendre ses allusions quand je craignais que son père ne nous surprenne. J'étais tombé dans un traquenard.

Portant sa main à sa braguette, son père fit jaillir une bonne grosse bite de mâle en rut. Sans me quitter des yeux, il commença à la branler, décalottant un gland turgescent brillant de la présence de présperme. La vue du reflet dans le miroir de cette énorme bite tout contre mes fesses me fascinait. J'étais hypnotisé par les mouvements de ce gros hochet. Passant devant, il présenta son vit devant le visage de son fils. Celui-ci ouvrit docilement la bouche et engloutit le gland. Son père, le laissant s'amuser avec, se pencha vers moi, et me susurra à l'oreille:

— Tu l'as vue cette belle queue? Je vais la fourrer dans ton joli petit cul bien étroit.

— Elle est bien trop grosse! Elle ne pourra pas entrer.

— Oh si! Dès que Thierry va l'avoir lubrifiée, je vais te l'enfiler toute entière. Il est sûr que tu vas la sentir passer mais mon gentil petit fiston m'a ouvert la voie, il ne me reste plus qu'à l'élargir à mon gabarit.

— Donne la lui à sucer papa, qu'il en sente bien toute l'ampleur. Il fait la fine bouche mais je suis sûr qu'il va en raffoler. Papa est un artiste du sexe, tu vas voir tout le plaisir qu'il sait donner avec son mandrin.

J'enfilais à fond ma queue dans le cul de mon ami et me pencher pour goûter celle de son père. Ce dernier me caressait la nuque m'encourageant à bien avaler son sexe pour bien l'humecter. Jugeant son état satisfaisant, il revint derrière moi, s'accroupit pour glisser sa langue entre mes fesses cherchant à préparer le terrain. Il poussa son exploration également vers mon sexe qui avait repris son mouvement dans l'anus de Thierry. Je m'immobilisai quand je sentis son gland contre mon orifice. M'empoignant fermement par les hanches, il commença à m'enfoncer son gourdin. Je sentais mon cul éclater, mes sphincters se dilataient pour laisser pénétrer l'intrus. Je poussai un cri de douleur, protestant vivement; je cherchais à lui échapper, mais il me maintenait fermement en place. Coincé entre son fils et lui, je ne pouvais me soustraire à sa volonté.

— Vas y, crie si cela peut t'aider à avaler le suppositoire; ça m'excite. Oh que c'est bon! Voilà bien longtemps que je n'avais pas pénétré dans un fourreau aussi serré. Même mon fiston avait trouvé le moyen de se faire éclater le cul avant que j'y touche.

Il sut me travailler le cul assez lentement pour que je finisse par prendre goût à cette pénétration et mes cris se transformèrent en gémissement de plaisir.

— Tu devrais aller tondre la pelouse Thierry pendant que je finis de défoncer le cul de Guillaume. Notre voisin est là. Vous allez lui offrir une représentation somptueuse. Te voir passer la tondeuse à poil lui fait déjà prendre son pied. Mais aujourd'hui, nous allons profiter de la présence de ton ami pour compléter notre spectacle et l'inciter à y participer.

Mon ami se libéra de mon étreinte, me laissant suspendu à la bite de son père. Pendant qu'il commençait à tondre, son père, tout en continuant son mouvement de va-et-vient dans mes entrailles, m'expliquait la situation:

— Un jour où Thierry se croyant seul, se baladait sur la pelouse la queue à l'air, il a découvert que le voisin le matait, caché derrière ses rideaux. Le mouvement régulier du rideau laissait supposer qu'il se branlait en le regardant. Depuis, on veille à alimenter régulièrement ses fantasmes en espérant le voir un jour passer à l'action. Cela ne te gêne pas d'aller lui montrer la disponibilité de Thierry et son ouverture d'esprit?

— L'ouverture de son cul plutôt!

— Tu as vu comme il est bon? Il faut que tu viennes passer les vacances avec nous. J'ai loué un studio avec une seule chambre mais un grand lit. On pourrait t'organiser un stage intensif avec mon fiston, tu verras on a beaucoup d'imagination quand il s'agit de baise.

Pendant que nous échangions ces propos, il finissait de décharger entre mes fesses.

— Allez, à toi d'entrer en scène. Va le rejoindre!

En sortant dans le jardin, je pris un râteau avec lequel je rassemblais l'herbe tondue. De temps en temps, je m'arrêtais pour me gratter les couilles. Passant à proximité de mon ami, je m'amusais à lui taquiner les fesses avec le bout du manche du râteau, il se cambrait me permettant de lui entrer le bout. Quand il eut finit de tondre, je lui taillai une pipe avant que l'on rentre rejoindre son père.

Ce soir-là, j'eus un peu de mal à les laisser, mais ma vie venait de prendre un grand tournant. Un jour, je vous raconterai peut-être nos vacances...

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Samedi 21 juillet 6 21 /07 /Juil 18:24

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Aujourd’hui, j’ai 54 ans et, croyez-moi, j’ai bien profité du «sexe» et de ses plaisirs! Mon parcours a commencé lorsque j’avais 17 ans et j’ai vite trouvé ma voie. Ma famille faisait partie de la bourgeoisie dijonnaise. Nous habitions une villa cossue entourée d’un grand jardin pas trop loin du centre-ville. Des soirées mondaines étaient organisées régulièrement chez des amis de mes parents. Nous assistions à certaines de ces «soirées». Il s’agissait surtout d’occasions où les femmes pouvaient parader dans leurs plus belles tenues et où les hommes discutaient d’argent et de femmes. Moi, j’avais à peine dix-sept ans. L’un de mes frères, Jean-Yves, vingt ans, grand, blond, avec de beaux yeux bleus était très séduisant. Mon second frère, en pension dans la région parisienne, était rarement là.

Un soir, alors que les parents étaient invités à une réception, nous les jeunes nous avons été réunis au deuxième étage pour une soirée entre juniors. Nous sommes restés seuls toute la soirée et une bonne partie de la nuit. Vers minuit, nous avions bu un peu de punch - agrémenté secrètement de cognac par, Robert, le fils de nos hôtes - et je me suis mis un peu à l’écart. Je pensais à quelque chose que j’avais vu le jour précédent. Mon frère est venu vers moi. J’étais pensif.

— Que se passe-t-il? À quoi penses-tu?

— Il ne se passe rien. Je suis fatigué.

— Mais, je te connais bien, quand tu fais cette tête, c’est que quelque chose te contrarie. Allons dis-moi ce qui ne va pas!

— Ecoute, c’est un truc qui me trotte... Avant-hier, nous étions tous à nos activités hors de la maison et j’ai dû rentrer pour prendre un livre que j’avais oublié. En passant devant la porte de la chambre des parents, j’ai entendu un petit gémissement. La porte était entrouverte. Je sais que c’était mal mais j’ai regardé...

— Rassure-toi, j’aurais fait pareil!

— Je croyais voir nos parents en train de... Enfin, tu comprends!

— Je comprends!

— J’ai vu les fesses de papa qui bougeaient d’un mouvement lent mais régulier entre des cuisses que je croyais être celles de maman. Le lit craquait, ça gémissait. Après un moment, papa s’est levé et... merde... c’était pas maman...

— Tu veux rire?!

— J’en ai l’air, tiens! C’était Reynaldo, notre jeune valet de chambre. Il était à poil et il s’est mis à quatre pattes sur le lit. Papa s’est mis derrière lui et il lui a enfoncé sa queue dans son...

— Dans son cul?

— Oui.

— Ça doit faire rudement mal! Le plus étonnant c’est que Reynaldo n’a pas crié de douleur mais qu’au contraire, il paraissait apprécier ce que papa lui faisait.

— Il l’enculait, frérot!

— C’est ça «enculer»?!

— Y’a des gens qui apprécient ce genre de rapports, frangin! Continue à raconter... ça m’intéresse...

— Après quelques instants, ils se sont mis à gémir tous les deux et se sont effondrés sur le lit. Reynaldo s’est mis à genoux et papa lui a dit qu’il était «une bonne salope»... Curieux, non?

— Tu comprendras plus tard!

— Papa a saisit sa saucisse et l’a mise dans la bouche du valet. C’était bizarre. Sa langue passait et repassait dessus et papa disait toujours «Suce, salope!» Ils se sont ensuite effondrés sur le lit et se sont endormis. J’ai quitté la maison sans bruit.

— Papa fait des «trucs» avec un mec! Merde alors!

— Ce qui m’a étonné c’est de voir comme la quéquette de papa était grosse... Je l’ai déjà vu faire pipi dans le fond du jardin, elle n’était pas si énorme.

— Ça mon vieux, c’est le mystère de l’anatomie!

— Comment un sexe si petit peut-il devenir si gros?

— Ne me dis pas que tu n’as jamais bandé? Ta queue n’est jamais devenue dure et grosse?

— Si un peu... mais pas comme celle de papa!

— C’est normal! Tu n’es pas encore adulte!

— Toi bien?

— Quoi, moi bien?

— Ben, ta queue grossit comme ça... et devient énorme?

— J’ai pas trop à me plaindre de ce côté!

Jean-Yves m’a entraîné loin des autres vers le grenier et il m’a montré. En frottant sa queue, elle s’est mise à grossir assez fort. J’étais épaté...

— Touche-la! m’a demandé mon frère.

— Tu crois! Je ne crois pas que ça soit bien...

— C’est pas un péché. Allez...

— Woaw! Elle est longue et dure. Comment peut-elle entrer dans un aussi petit trou qu’un trou du cul?

— Veux-tu que je te montre comment cela se passe?

— Euh!.... Oui!

— Enlève ton pantalon...

— Mais...

— Ne discute pas tant! Tu en meurs d’envie... On est seuls! Pas de témoins!

Sans plus attendre, il s’est déshabillé de son côté et m’a regardé baisser mon pantalon.

— Ne sois pas si timide! Je t’ai déjà vu nu, frangin! Tu vois, tous les hommes ont un sexe comme celui-ci: modeste au repos. Pour qu’il change de dimension, il faut le stimuler. Parfois, le simple fait de penser à un truc cochon suffit pour qu’il grandisse.

— Regarder des photos, par exemple?

— Voilà! Mais souvent, un contact physique est nécessaire.

Jean-Yves posa sa main sur mon sexe. Au début, elle ne bougea pas puis elle me caressa délicatement. Les doigts glissèrent sur la peau pour la faire coulisser. Je trouvais ça très agréable. Mon sexe se mit à réagir.

— Veux-tu aller plus loin dans les explications, frangin? Comme par exemple, savoir comment une grosse saucisse peut s’enfoncer dans un petit trou?

— J’aimerais savoir, oui!

— Alors on continue...

Jean-Yves se plaça derrière moi, me caressa le dos et les fesses et me murmura à l’oreille de ne pas faire de bruit pour ne pas que les autres sachent où nous nous cachions. Je me suis laissé aller aux caresses de mon grand frère. Je sentais son membre dur qui frappait contre les fesses. De temps en temps, il entrait entre mes fesses, dans la raie et cognait contre mon trou du cul. Les caresses qu’il me prodiguait étaient formidables et je sentais ma verge grossir, durcir.

Son sexe, lui, était énorme, prêt à exploser et mon frère soufflait comme un bœuf. Il semblait fort excité.

— Respire à fond! me dit-il.

Et il amena son gland rouge de désir contre mon anus. Il le positionna puis s’ enfonça sauvagement, en moi, jusqu'aux couilles. Surpris par la rapidité de son geste, empalé pour la première fois, je souffrais horriblement et, malgré ses paroles de réconfort, je voulais très vite me soustraire à sa pénétration. Il m’était impossible de lutter contre lui et sa force... donc je ne pouvais pas éviter ses assauts virils.

— J’ai très mal! Arrête... Jean-Yves, je t’en prie...

— Calme-toi, ça va passer... C’est toujours comme ça la première fois... après, tu vas voir, c’est délicieux!

Ses coups de queue puissants se sont calmés jusqu’à ce qu’il sente que je m’habituais à sa queue.

— Ça va mieux?

— J’ai moins mal, oui. C’est trop gros.

— Tu voulais savoir.

— Pourquoi Reynaldo n’a pas mal, lui?

— Parce que ce n’était pas la première fois que papa l’enculait... La première fois est toujours douloureuse et, puis, après ça rentre sans problème. C’est même très bon...

Jean-Yves, tout en me parlant, accéléra le rythme et me lima en cadence. À bout de force, il libèra enfin sa semence sur mes reins et mes fesses.

— Eh oh! Où êtes-vous?

C’étaient nos amis qui nous cherchaient. Nous nous sommes tus. Nous croyions qu’ils étaient tous partis et nous avons commencé à nous rhabiller. Le fils de nos hôtes est apparu en haut des marches du grenier. Il souriaient.

— En voilà des petits cochons! Je me doutais bien de quelque chose mais... là... ça dépasse mes espérances... Surtout restez bien à poil! Jean-Yves, j’espère que tu accepteras de me laisser «couvrir» ton frère? Il a l’air d’avoir un bon trou...

Mon frère s’écarta pour laisser la place à Robert. Agrippé à mes hanches, il entra d’un coup sec et donna de grands coups de boutoir. Comme son sexe était moins gros que celui de Jean-Yves, je n’ai pas ressenti de forte douleur. Son sexe entrait et sortait rapidement entre mes fesses et, finalement, il se retira et m’éjacula sur les fesses.

— Je n’ai pas pu tenir plus longtemps! gémit-il en soupirant. On devrait en faire profiter les «autres»! ajoute-t-il.

Ce garçon parlait de moi comme d’un objet... un objet à plaisir. Il ne s’adressait qu’à mon frère pour proposer qu’on m’exhibe devant les autres jeunes invités. Effrayé par la situation, j’ai refuse et je me suis énervé. J’ai alors senti la main de Robert se poser sur mon sexe qui était toujours tout dur.

— C’est ridicule de se buter ainsi! Regarde comme tu bandes. Tu es très excité par la situation. Si c’est à cause des parents, crois-moi, tu n’as rien à craindre. Ils ont d’autres choses à faire. Si tu savais ce que ton père fait au mien... Allez viens te montrer comme ça! On va bien s’occuper de toi et te donner du plaisir. Écoute, voilà ce que je te propose... Tu te rhabilles et on descend. Aux autres, on va leur montrer un show très sexe où ton frère et moi on va te soumettre gentiment. Je suis certain que ça te plaira...

— Qu’en dis-tu, frangin? m’a dit Jean-Yves.

Vous dire que je n’étais pas excité serait mentir. Je l’étais plus que tout. Les deux enculages de mon frère et de Robert m’avaient drôlement mis en appétit et j’étais très excité. Je me suis donc revêtu et je suis descendu avec eux.

— Eh mais qu’est-ce que vous foutiez, vous trois? a demandé un invité.

— On faisait des découvertes dans le grenier.

— Robert, merde, y’a plus rien à boire! a crié un autre.

— Attendez une minute, je vais arranger ça...

Robert a disparu un court moment vers le bas de la maison puis est revenu avec des «munitions».

— Du gin!!! T’es fou! a rigolé mon frère.

— Pour ce qui va suivre, il est préférable d’être dans un état second... Si tu vois ce que je veux dire...

Il a versé deux bouteilles de jus d’orange et deux de gin dans le plat à punch.

— Buvez mes amis!

Jean-Yves m’a serré l’épaule comme pour m’encourager.

— Es-tu prêt pour le spectacle? m’a-t-il demandé.

J’ai rougi et agité la tête.

— Mes amis, cette soirée sera agrémentée d’un show d’un nouveau genre. J’espère que vous aimerez...

Il m’a attiré vers lui. Il a posé ses lèvres sur les miennes. J’ai entendu un chuchotement dans la petite assemblée des spectateurs. Robert m’a donné l’ordre de sortir son membre de son pantalon. Je l’ai fait. Il ne bandait pas encore. Il s’est penché et m’a murmuré de le lécher et de l’introduire dans ma bouche de salope. Nouveaux chuchotement. Je me suis accroupi et je l’ai pompé avec ardeur. J’aimais ça et ça se voyait. Après un long moment, il m’a demandé d’arrêter et m’a dit de me relever pour baiser mon pantalon et m’enlever mon caleçon. Il a exhibé ainsi mon cul nu à tous et m’a forcé à me baisser pour bien ouvrir ma raie. Il m’a alors fait asseoir sur son sexe raide qui est entré du premier coup dans mon conduit brûlant. Il me tenait par les hanches et me faisait remonter et descendre le long de sa bite tendue. Les autres avaient commencé à se caresser. Jean-Yves m’enleva les derniers vêtements pour que je sois nu et offert à tous. J’en ai profité pour l’embrasser au passage et nos langues se sont mêlées. Robert était très excité et un peu brute.

— Mmmm t’es une drôlement bonne salope! Comme ton père, hein! Il adore aussi se faire mettre par des grosses bites de mâles excités!

Tout à coup, il m’a crié que sa jouissance allait arriver et il s’est déversé en moi. C’était bien avant qu’on ne parle du SIDA et nous n’utilisions pas de capotes. Jean-Yves a pris le relais et m’a baisé plus de vingt minutes. Les autres formaient un cercle autour de nous en buvant du gin. Certains s’avançaient pour me caresser les fesses, les tétons ou m’embrasser. J’étais le jouet du jour!

— Mais je vois qu’on s’amuse ici aussi!

Je blêmis. C’était la voix du père de Robert.

— C’est tout jeune et ça veut déjà faire comme les grands. Dites-moi, les gars, faudrait pas vous y prendre de travers et lui faire mal à ce gamin. Ce genre d’initiation c’est important! Faut pas le dégoûter du sexe.

Il s’adressa à Jean-Yves et Robert qui étaient les aînés puis, en se malaxant le sexe, il s’ approcha de moi, me retourna à quatre pattes et m’enfonça son gourdin dans le cul puis il se retira et recommença. Comme je gémissait de douleur, il s’écria:

— Ton père crie aussi mais, lui, c’est pour que je continue. Sois patient! Ton cul est encore tout neuf et il doit s’habituer au calibrage. Tu vas sûrement aimer ça autant que ta salope de père. Je t’assure que, lui, il en redemande. Il est là, au rez-de-chaussée, en train de se faire enculer par notre serviteur noir.

— Justement, il en a fini avec moi... Je venais voir si personne ne pouvait le remplacer!

Robert s’est approché de mon père et d’un coup a plongé sur son pantalon pour en extirper un membre bien bandé. Il l’a glissé dans sa bouche et en s’aidant de la main a entamé un mouvement rythmé pour faire monter son jus. Mon père a souri.

— Nous avons décidément des enfants extraordinaires.

— Tu l’as dit! a répondu notre hôte en me limant de plus belle.

Jean-Yves s’est mis ouvrir la chemise de notre père pour lui titiller les tétons. Tous les autres jeunes étaient stupéfaits par ce qu’ils voyaient et ne savent pas quoi faire. L’alcool aidant, ils ont commencé à se réchauffer et ont enlevé certains de leurs vêtements. Quand Jean-Yves fut bien en forme, il écarta Robert, plia mon père en deux et se plaça derrière lui. C’était bizarre de voir mon père prêt à recevoir la bite de son fils aîné! Jean-Yves se fraya un passage entre les fesses poilues et donna un coup de reins.

De son côté, Robert et un autre invité avaient jeté leur dévolu sur un des plus jeunes qui criait tout son désarroi. Se faire enculer à dix-sept ans ça fait parfois peur.

— Laissez-moi! Je vous en prie... Je ne veux pas, je n’ai jamais fait cela, j’ai peur, non, arrêtez!

— Ne t’énerve pas ainsi, mon mignon, tu vas trouver ça génial... Regarde leurs têtes à tous. Tu ne vois pas comme ils s’éclatent... Même nos parents!

Le jeunot fut très vite à poil et couché sur le dos au milieu du buffet. Son visage grimaçait sous les coups de butoir de Robert puis de l’autre.

— Tu m’en laisses un peu, hein, fiston? lança son père.

— Oui, ‘pa!

Au bout d’un long moment, le père de Robert se retira de mon trou et voulut essayer l’autre garçon. Robert encouragea son pote à m’enculer sauvagement.

— Tu sais, Michel, une bonne salope ne jouit qu’à la dure. Pas de pitié pour les trous de salopes... Ils sont fait pour être baisé à fond et sans répit.

Le père s’installe devant le garçon tremblant.

— Elle est trop grosse, m’sieur! La vôtre est trop grosse. J’ai déjà eu si mal avec... AIE...

C’était trop tard. L’homme lui avait écarté les cuisses, caresse le trou avec de la salive et introduit son gros membre dans l’ouverture serrée.

— Ça fait maaaaaaaaaaaaaaaaaal!

— Ça fait mâle, oui! lança Robert en rigolant.

Mon père se mit à jouir sous les coups de reins de mon frère tandis que le père de Robert jouissait lui aussi dans l’anus qu’il venait d’élargir.

Dix jours plus tard, nous étions invités chez un collègue de mon père. Juste avant de partir, le téléphone sonna. C’était la meilleure amie de maman qui nous annonçait que son mari venait d’être hospitalisé d’urgence. Pas question pour ma mère d’abandonner son amie et d’aller s’amuser à la soirée. Mon père décida d’annuler.

— Non, tu vas me conduire à l’hôpital et puis tu n’auras qu’à te rendre à cette soirée. Je sais que c’est très important pour toi...

Nous sommes montés dans le break de papa et, après avoir fait un crochet à l’hôpital, nous sommes arrivés chez l’ami de papa. C’est lui qui est venu nous ouvrir tout sourire...

— Ta femme n’est pas là?

— Elle est désolée. Un contretemps.

— Décidément, il ne fallait pas de femmes à cette soirée... L’épouse de Guillaume a une crise d’arthrose et est restée chez eux. Ce sera donc une soirée d’hommes!

À cet instant, j’aurais dû comprendre ce qui se tramait. La soirée a débuté par un repas léger puis nous avons bu et parlé. Vers 23h, le collègue de papa s’est avancé vers son valet, un italien bien baraqué et lui a palpé les parties à travers le pantalon. L’italien lui a tendu ses lèvres. Nous nous sommes tous regardés et nous avons vu notre hôte commencer à déshabiller son domestique. Jean-Yves s’approchant d’eux a baissé le pantalon de notre hôte pour lui sucer le gland. L’excitation est montée en flèche. Guillaume, un autre adulte, s’est approché de moi.

— Voyons un peu si tu es si bonne salope qu’on le dit!

Mon père lui a fait un clin d’œil.

— Il a encore beaucoup à apprendre, Guillaume. Nous sommes là pour ça, non?

— Effectivement.

— Et il sera sûrement meilleure salope que moi.

— Ça va être difficile, mon chéri! lui répondit Guillaume en l’embrassant.

Papa et Jean-Yves entouraient l’italien et le collègue vicelard, les caressant et leur enlèvant leurs derniers vêtements.

— Je veux ta queue en moi, mon amour! dit mon père à son collègue.

— Tu vas l’avoir à fond, ma salope.

— Tu vas me faire la même chose qu’hier au bureau?

— En mieux, mon amour!

Et mon père se fit caresser la croupe par l’autre. Jean-Yves s’est penché pour sucer le valet et Guillaume a terminé de me mettre à poil. L’ambiance était très très chaude. Pendant que l’italien poilu se faisait toujours sucer, notre hôte s’est placé derrière mon père et a introduit son membre bien tendu dans son trou non lubrifié. Papa a gémi mais c’était de désir. Le baiseur a commencé des mouvements de va et vient qui faisait trembler tout le corps de mon père.

— Tu veux la même chose que ta salope de père, c’est ça?

— Oui, monsieur! ai-je répondu.

Jean-Yves se faisait sucer par le valet qui se faisait astiquer le membre par mon père et, moi, je recevais le membre imposant de Guillaume. Quel bonheur!

Pendant que nous baisions, on a sonné à la porte d’entrée. Le collègue de papa l’a abandonné un instant et a enfilé un peignoir pour aller ouvrir. J’ai entendu des voix. Lorsqu’il est revenu, il était accompagné de deux policiers en uniforme.

— On a vu de la lumière et on s’est dit... ça partouze sûrement chez notre cher Marc.

— Vous avez bien pensé! Mettez-vous à l’aise...

Excités par le spectacle que nous leur offrions, ils se sont déshabillés rapidement et se sont mis à se caresser à travers leur slip. Ils restèrent un moment à contempler nos ébats en se masturbant, puis rapidement ils participèrent à l’action. Guillaume en attira un vers nous.

— Je l’ai bien préparé. Il est tout chaud et bien lubrifié... Essaie-le!

Le plus jeune des policiers s’est approché et il m’a pénétré d’un coup. J’ai laissé échappé un petit cri de surprise mais je n’ai pas vraiment eu le temps d’avoir mal. Guillaume avait effectivement bien ouvert mon cul. Mon frère avait quitté la bouche de l’italien et s’était dirigé vers nous.

— Tu aimes ça, te faire sauter par un policier? Hein, frangin? Tu sens bien sa grosse matraque te défoncer le trou...

— Il est très bon ton frère! dit le jeune policier. Aussi bon que toi lorsque je t’ai eu pour la première fois...

— Tu entends, frangin? Ce joli policier qui te prend à fond m’a aussi enculé, un soir, dans une ruelle... J’avais adoré la sensation de sa grosse tige qui coulissait en moi!

C’est à ce moment que notre père sentant qu’il allait jouir a hurlé son bonheur. Notre hôte s ‘est retiré de son cul et a joui lui aussi en envoyant son sperme sur le dos de papa. Le policier s’est également retiré de mon trou dilaté et a joui sur mes fesses. L’autre flic plia Jean-Yves en deux et lui claqua les fesses:

— En voilà un qui adore le bon jus de flic!

En regardant mon frère se faire enculer, je me suis mis à me masturber lentement. C’était très excitant et aussi un peu frustrant. J’avais pris goût au fait d’être enculé et j’aimais être «rempli» en permanence. Je me suis avancé vers le visage de Jean-Yves et j’ai frappé sa bouche avec mon sexe tendu. Il a ouvert les lèvres et je l’ai introduit à l’intérieur. Il a passé la langue sur mon gland tout en gémissant sous les coups de reins du policier.

— Toutes de bonnes salopes dans cette famille!

Mon père a souri en nous regardant. J’ai pris la tête de mon frère entre mes mains et j’ai imprimé un mouvement de va et vient. Guillaume s’est dirigé vers mon père et l’a entraîné vers une autre pièce. Mon regard les a suivi. Je n’osais pas les suivre. Mon frère a lâché ma queue.

— Si tu en as envie, suis-les! Vas-y, frangin!

Le jeune policier caressait le collègue de papa et l’autre enculait mon frère. J’ai quitté le living avec cette scène excitante en mémoire. Je bandais très fort à l’idée de découvrir mon père dans une situation particulière. Je suis descendu à la cave où j’entendais des bruits bizarres... des cliquetis... En bas, au bout d’un petit couloir, je suis arrivé dans une pièce aménagée avec des accessoires dont j’ignorais l’utilité. J’ai compris d’où venait le bruit de chaînes que j’avais entendu. Guillaume avait placé mon père sur une espèce de «berceau» de cuir suspendu par des chaînes au plafond. Les jambes de mon père étaient remontées et attachées par des courroies de cuir également. Le cul de mon paternel était bien visible et offert à Guillaume qui lui écartait bien les cuisses et lui léchait le pourtour du trou.

— Approche, fils, ici c’est l’antre des salopes!

— Regarde ce qu’on peut faire à un homme pour lui donner du plaisir... ajouta Guillaume. Un jour, tu aimeras qu’on te le fasse!

Lorsque l’anus de mon père fut luisant de salive, Guillaume se releva et positionna alors son pénis à l’entrée de son cul. Il glissa son gros gland tout rouge entre les fesses, en caressant le torse de mon père. D’un coup sec et bien viril, il introduisit toute sa tige dans l’anus accueillant. Papa gémit.

— Baise-moi Guillaume! Baise ta salope...

— MA salope! La salope de tout le monde, oui! ironisa l’enculeur.

Voilà comment j’ai découvert ce qu’était une «salope» au masculin. Voir mon père et mon frère baiser entre eux et avec d’autres hommes m’a ouvert un autre horizon... J’ai trouvé ma voie cette année-là... Je ne l’ai jamais quittée... L’homme de 35 ans qui vient de quitter mon appartement après m’avoir copieusement arrosé de son urine et de son sperme vous le confirmera: je suis une excellente salope... comme papa!

 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Samedi 21 juillet 6 21 /07 /Juil 16:48

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Il était 17 heures lorsque je rentrai à la maison, mon père devait être en train de faire de la musculation au sous-sol. Nous vivions seuls tous les deux depuis que ma mère était partie de la maison. Mais aujourd’hui j’étais un peu inquiet. Amoureux d’un mec de ma classe j’avais décidé de le dire à mon père. Je ne savais pas quelle allait être sa réaction, mais je devais le faire.

— Papa, je suis rentré.

— Salut, fiston, rejoins-moi je suis au sous-sol.

— Je me prépare et j’arrive.

Dans ma chambre, je quittai pantalon et chemise et passai rapidement un short sur mon slip. Devant le miroir je me regardai, j’étais plutôt bien foutu pour mes 18 ans, très sportif, mon corps s’était rapidement étoffé ces derniers mois. Et c’est torse nu que je descendis rejoindre mon père.

Allongé sur le sol, torse nu et en slip, celui-ci terminait une série d’abdominaux, ses muscles se dessinaient sous sa peau, de la sueur dégoulinait de son front. Tout son corps brillait de transpiration, les poils de sa poitrine étaient humides et collés à son torse massif et son slip humide, mouillé par l’effort, moulait son sexe épais. À la fin de sa série, il s’assit en me suivant des yeux.

Je fis quelques étirements et commençai une série de pompes à côté de lui. Pendant que mes pectoraux et mes triceps se contractaient sous l’effort je pensais à ce que j’allais lui dire. Il fallait que je le fasse le plus vite possible, sinon j’allais me dégonfler une fois de plus. Me redressant pour me mettre sur mes genoux, je regardai mon père droit dans les yeux.

— Papa ?

— Oui Fabien ?

— Faut que je te parle...

— Qu’y a-t-il, fiston ?

Et là d’un trait je me lançai :

— Je suis gay.

Il me regarda sans répondre, n’osant plus dire un mot, je scrutai la moindre émotion sur ses traits. Une légère crispation au niveau de sa bouche. Son regard ne me quitta pas. Assis en tailleur, les cuisses écartées, Il se redressa légèrement en prenant appui sur ses mains. Dans ses yeux, je n’y vis que de l’incompréhension puis de la colère.

— Alors comme ça mon fils est un pédé !!!

J’en eus le souffle coupé, la phrase s’insinua dans mon cerveau et provoqua une brusque montée d’adrénaline. Comment osait-t-il me parler de cette manière, il n’avait donc aucun respect ? Je sentis mon corps bouillonner de fureur, mon cœur battait la chamade en expulsant le sang à travers mes artères et mes veines pour venir gonfler mes muscles. En répondant à une pulsion dévorante, je me jetai sur lui avec un grand cri de rage et une violence extrême.

Il me reçut comme un boulet de canon, mon corps percuta le sien et ses bras plièrent sous le choc. Tout l’air de ses poumons se vida d’un coup. J’accusai également le coup et la violence du contact entre nos deux torses se cognant l’un à l’autre résonna dans ma cage thoracique. Je voulais l’humilier car les mots qu’il m’avait dits m’avaient profondément choqué. Et qu’est-ce qui était le plus humiliant pour mon père ? Perdre la face et s’avouer vaincu. Je me retrouvai couché sur lui, mes mains s’emparèrent de ses poignets pour les amener au-dessus de sa tête pendant que mes cuisses s’écartaient pour ne pas lui laisser le temps de m’enserrer entre les siennes. Mon visage surplombait le sien, il me regardait avec un air mauvais.

— Tu crois que tu vas t’en tirer comme ça. Je vais te montrer ce que c’est qu’un homme, un vrai…

Au même instant j’ouvris la bouche pour laisser tomber un filet de salive qui atterrit sur ses lèvres encore entrouvertes. Il rugit, je sentis son corps se tendre sous le mien, pendant que tous ses muscles se gonflaient. Une force surhumaine grandissait en moi. Mes abdos contractés s’écrasaient contre les siens pendant que mon bassin le clouait au sol. Prenant appui sur ses pieds, il ruait comme un taureau pris au piège. Aussitôt je poussai mon bassin contre le sien en me faisant le plus lourd possible. Son visage était rouge et ruisselant sous l’effort, ses pectoraux luisants et gonflés à bloc se frottaient contre les miens. Une douce chaleur commença à envahir mon corps, la domination que j’avais sur mon père à cet instant m’excita au plus haut point. À l’intérieur de mon short, mon sexe commença à se tendre, je ne pus m’empêcher de frotter ma bosse grossissante contre le paquet bien épais de mon père. Je sentis un léger frémissement me répondre à travers le tissu de son slip, ma queue durcie par cette excitation qui me gagnait s’écrasa contre le sexe épais de mon père qui répondit en grossissant de plus en plus.

— Alors papa, t’aimes pas les pédés ???

Ce jeu commençait à me plaire, mon père m’excitait comme un dingue. Le fait de le sentir se débattre sous le poids de mon corps provoqua en moi un sentiment étrange, comme si j’en avais rêvé depuis toujours. C’est vrai que depuis très longtemps j’aimais regarder son corps fort et viril se couvrir de sueur lors des efforts répétés qu’il faisait pendant ses longues séances de musculation. Mon regard se posait immanquablement sur son slip afin de dévorer des yeux le volume de son sexe qui se dessinait sous le tissu. Le contact chaud de ses mains lorsqu’il corrigeait ma position quand j’effectuais un mouvement qu’il venait de m’apprendre. Quand j’étais plus jeune, il me prenait dans ses bras puissants pour m’emmener dans ma chambre, et arrivé devant mon lit, il me lançait sur le matelas. Aussitôt il se jetait sur moi, me recouvrant doucement de son corps pour ne pas me faire mal et me chatouillait de longues minutes pendant lesquelles je frétillais sous lui en hurlant de rire. Mon bonheur était complet. Maintenant, quelque chose était en train de se passer au plus profond de moi. J’étais allé trop loin pour arrêter ce que j’étais en train de faire. Il fallait finir ce qui était commencé.

Les ruades de mon père devenaient de plus en plus fortes, ses yeux, dans son visage impénétrable me regardaient fixement. Je ne pus résister à l’envie puissante de poser mes lèvres sur sa bouche poissée par ma salive. Son corps remua de plus belle, ma langue força sa bouche qui s’entrouvrit légèrement. Son souffle pénétra dans ma gorge et je sentis sa salive se mêler à la mienne. Nos deux langues se touchaient et rapidement se livrèrent un duel chaud et humide. Mon slip se mouilla instantanément lorsque quelques gouttes d’excitation commencèrent à perler de mon sexe raide. Profitant de cet instant, il concentra toute sa force dans ses bras et d’un coup réussit à se libérer les poignets de mes mains glissantes. Ses bras se refermèrent violemment autour de mon corps et il commença à serrer. J’étais pris dans un étau, mes pectoraux se gonflèrent pour résister à cette étreinte, mes mains s’appuyèrent sur ses épaules et j’essayai de me soulever en poussant fortement sur mes bras. Je sentis les mains de mon père trembler dans mon dos et au bout de quelques secondes de combat féroce, la pression se relâcha d’un coup. Je roulai sur le côté en me redressant pendant que lui faisait de même et nous nous retrouvâmes à genoux l’un en face de l’autre.

— Alors, mon petit pédé, tu croyais m’avoir aussi facilement. Regarde-toi, ta queue déborde de ton short. Je te fais tant d’effet que ça ?

— Et toi alors, regarde la forme de ton slip, il est prêt à craquer !

Il baissa les yeux vers son sexe et, furieux de voir son corps le trahir, se rua sur moi. Nous nous sommes attrapés mutuellement à bras le corps comme deux ours se livrant bataille. C’est à celui qui serrerait le plus fort, nos corps humides étaient collés l’un à l’autre. Mes mains s’étaient rejointes dans le bas de son dos et je l’attirai de toutes mes forces contre moi. Mon père avait sa tête appuyée contre mon épaules et j’entendais son souffle de plus en plus fort, Nous nous agrippions l’un à l’autre.

Soudain, une de ses mains agrippa le bord de mon short et tira de toutes ses forces. N’étant plus très solide le short se déchira rapidement libérant mon slip gonflé à bloc. Ce nouveau contact entre nos deux slip déformés par deux sexes en érection me fit frissonner de plaisir. Mais j’en voulais plus, apparemment lui aussi. Cédant à une impulsion irrépressible, chacun glissa une main sous le slip de l’autre et le dernier rempart qui empêchait nos queues d’entrer en contact céda d’un coup. La chaleur et la dureté de sa tige contre la mienne m’arracha un gémissement de bonheur. La sensation était telle qu’il me fallait toute ma concentration pour ne pas jouir sur le champ. Du côté de mon père, son bâton de chair vibrait contre le mien, mais il faisait tout son possible pour assourdir les gémissements qui remontaient du plus profond de ses entrailles. Je continuai de pousser mon torse contre le sien de manière à le faire tomber en arrière, mais cramponné à moi, il résistait avec puissance. La musculation lui avait forgé un corps d’athlète et malgré mes 20 ans de moins j’avais toute les peines du monde à le faire plier. Mais ma jeunesse m’apportait ce qu’il avait un peu moins, la résistance. Au bout de 5 minutes d’un combat acharné il glissa et tomba sur le dos, m’entraînant avec lui.

Aussitôt au sol, il enroula ses cuisses autour de mon bassin pendant que ses bras se refermèrent autour de mon torse. Glissant mes mains sous lui je le ceinturai étroitement à mon tour. Il posa ses pieds à plat sur le sol et poussant sur ses cuisses volumineuses décolla son bassin du sol et nous souleva. Le poids de mon corps contrait son effort, son sexe dur comme du bois s’écrasait contre le mien. C’en était douloureux mais mon excitation était à son comble. Me décollant légèrement, je me laissai retomber violemment sur lui. Ses cuisses lâchèrent aussitôt et je m’écroulai sur lui.

Il essaya d’imprimer un mouvement de balancier à nos deux corps enlacés afin de nous faire basculer sur le côté. Je contrai ce mouvement en me plaquant le plus lourdement possible à son corps. Son visage devenait rouge, mais il ne voulait rien lâcher. Dans un sursaut de désespoir il donna un grand coup de rein qui nous fit basculer sur le côté et il se retrouva enfin sur moi. Mes cuisses entourèrent aussitôt sa taille et doucement, par la force de mes abdominaux, je montai mon bassin contre le sien qui essayait de me maintenir au sol.

— Tu vois bien Fabien, tu n’auras jamais le dessus sur moi !

Sans lui répondre, je resserrai mon étreinte et son torse se retrouva fortement comprimé contre le mien. Sa respiration se fit plus difficile. Prenant appui sur ses mains, il essayait de se libérer, mais à bout de souffle, il se laissa tomber contre moi.

— Alors on fatigue papa ?

Son visage tout près du mien, il ruisselait sur moi, sa poitrine était trempée de sueur et nos tétons glissaient l’un sur l’autre. Je ne pus empêcher ma queue de se durcir davantage. Celle de mon père répondit aussitôt.

— Tu aimes ça, avoue !

— Jamais, je ne suis pas pédé comme toi...

— Alors pourquoi tu bandes ?

Sans répondre, il se mit à gesticuler comme un forcené entre mes bras. Mais je ne relâchai pas, c’était si jouissif de le tenir à ma merci, sentir son corps puissant s’agiter sur moi, pendant que son sexe continuait à s’affoler contre le mien. Dans ses yeux je décelai une détresse infinie de ne pas arriver à me soumettre à sa force, mais il y avait quelque chose d’autre, c’était certain. Je commençai à bouger doucement mon bassin en le soulevant légèrement afin que le contact entre nos deux queues soit encore plus fort. J’ondulai sous lui de manière à masser son bas-ventre.

— Fabien, ne fais pas ça, je t’en prie !

Dans un dernier effort il réussit à se dégager en roulant sur lui-même pour éviter ce contact si charnel. Nos deux corps se retrouvèrent séparés, il eut juste le temps de se mettre à quatre pattes lorsque je me jetai sur lui l’enserrant entre mes bras. Sous le choc on bascula sur le côté, nous roulâmes ensemble et je finis par me retrouver couché sous lui, mes bras se glissèrent sous ses aisselles et je croisai mes mains derrière sa nuque. J’écartai mes cuisses pour les enrouler autour de sa taille. Ma queue humide et durcie par cette envie folle de lui faire l’amour, se retrouva coincée sous ses fesses. Il remuait sur moi et ses deux lobes bien fermes frottaient sur ma verge, cette sensation décupla mon excitation et mon gland laissa perler quelques gouttes de plaisir. Profitant de mon excitation, il réussit à me faire lâcher prise et grâce à nos deux corps trempés de sueur, glissa entre mes bras pour se tourner face à moi. D’un coup de bassin je nous fis rouler au sol, le privant d’une position dominante.

Mon père ne remua même pas, je me retrouvais sur lui, le bloquant de mes bras et mes cuisses contre moi. Ses yeux étaient suppliants, sa bouche luisante. Ma bouche se posa tendrement sur ses lèvres chaudes et humides. Dans ma poitrine, mon cœur battait comme un fou. Il répondit à mes baisers en s’ouvrant à ma langue qui s’engouffra dans cette cavité humide et chaude. Elles fondirent l’une contre l’autre pour se caresser langoureusement, son sexe de plus en plus dur se frottait contre le mien. Un profond râle de plaisir remonta le long de sa gorge pendant qu’il aspirait ma langue au plus profond de sa bouche. Je relâchai la pression de mes bras et jambes et commença à parcourir ses flancs de mes doigts avides de sa peau. Que son corps était beau, viril et tellement excitant. Je me dégageai délicatement de lui pour admirer ce père tant adoré. Il était là sous moi, me regardant avec ses yeux humides, sa main se glissa derrière ma tête pour m’attirer à lui et m’embrasser sauvagement. Il me dévorait littéralement, sa langue envahissait ma bouche où nous échangions nos salives. Me tirant doucement par les cheveux, il plongea ses yeux dans les miens.

— Oh mon Fabien, comment ai-je pu te cacher cela jusqu’à maintenant. C’est pour cette raison que ta mère est partie. Toute ma vie j’ai réfréné ces envies qui me consumaient depuis si longtemps.

— Tais toi papa, on va rattraper le temps perdu, j’en ai trop envie !

Il me serra dans ses bras et mes derniers mots se perdirent dans sa bouche. D’un coup il nous retourna, je me laissai faire. Une fois sur moi, il me plaqua au sol avec force. Son corps se faisait lourd sur le mien, tous ses muscles étaient en action, son bassin donnait de grand coup et je sentais sa barre d’acier se cogner à la mienne. Toute sa peau était en contact avec la mienne, et nos corps ondulaient avec passion. D’une main décidée il m’écarta les cuisses afin de me caresser l’entrejambe, un de ses doigts se posa sur mon anus et commença à me masser le trou par des mouvements circulaires. Appuyant un peu plus, une première phalange perfora mon œillet pendant que des spasmes de bonheur traversaient tout mon corps. Son doigt allait et venait de plus en plus vite, de plus en plus profondément, je râlais de plaisir.

— Oh, papa, prends moi…

— Tu vas voir fiston, comme ton père va bien s’occuper de toi...

Après un dernier passage, son doigt se retira. Il se redressa et je l’entendis cracher dans sa main, un instant plus tard je sentis la dureté de son sexe se cogner contre mon trou. J’écartais les jambes un peu plus pour lui laisser de la place.

- Viens vite, j’en peux plus !

Son gland lubrifié par sa salive, en força l’ouverture. Lentement il fit coulisser sa hampe pour me faire découvrir toute la longueur et la puissance de sa queue énorme, je la sentis m’envahir totalement. Il resta ainsi un long moment. Mes mains s’agrippaient à ses fesses et je l’attirai violemment contre moi pour sentir toute la longueur de sa bite. Il se retira tout doucement jusqu’à ce que son gland sorte et avant que mon anus ne se referme, il s’enfonça à nouveau au plus profond de moi. Aux coins de ses yeux, des larmes de bonheur apparurent, il souriait et était heureux, tout comme moi.

Il fut prit d’une frénésie et commença à me pénétrer de plus en plus fort, de plus en plus vite. À chaque allée et venue sous cet assaut, je m’accrochais à ses épaules et me laissais envahir par le plaisir en m’offrant totalement à lui, sans aucun barrage, sans aucune résistance, avec une soif de lui tellement immense. Nos yeux ne se quittaient plus, sa bouche se rua sur la mienne pour m’embrasser goulument. Empalé sous la violence de ses coups de boutoir, je sentais ses couilles claquer contre mes fesses à chaque pénétration, ce qui m’arrachait des cris de plaisir. Une douce chaleur irradiait mon ventre lorsque son membre caressait mes entrailles de toute sa longueur. De profonds gémissements sortaient de sa bouche, il se cambra un peu et sa queue s’enfonça encore plus profondément. Chaque fois que son membre quittait la chaleur de mon ventre, un manque insoutenable me submergeait. Mes mains cramponnées à ses fesses le ramenaient aussitôt au plus profond de moi. Mon sphincter dilaté par son volume, se resserrait autour de sa hampe pour en sentir tout les reliefs.

Son souffle s’accélérait tandis que je sens la chaleur de mon sperme remonter le long de ma queue. Mon gland cracha de longs jets de semence pendant que des cris de jouissance ininterrompus sortaient de ma gorge. Un dernier coup de rein me fit hoqueter de bonheur, et dans un dernier râle mon père inonda mon conduit d’un bouillonnement de sperme chaud.

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Vendredi 20 juillet 5 20 /07 /Juil 20:02

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Je me présente, je m’appelle Sylvain, j’ai 17 ans et je suis en train de vivre une expérience pas banale...

Mes parents et moi (je vis seul avec eux puisque mon frère aîné est parti étudier à l’étranger pendant un an) avons déménagé il y a 3 mois dans une belle maison en ville. Le rez-de-chaussée est spacieux et confortable mais il y a moins de place aux étages; il y a le bureau de mon père, la salle de bain, la chambre de mes parents et ma chambre est à côté de la leur... et je commence sérieusement à croire que le hasard n’y est pour rien. En effet, le mur entre les deux chambres à coucher est plutôt fin et tous les bruits se transmettent d’une pièce à l’autre. J’ai bien dit TOUS les bruits!

Comme vous l’aurez compris, cela faisait donc 3 mois que j’entendais - voire écoutais - mes parents faire l’amour de l’autre côté de la cloison. Et quand je dis «faire l’amour», c’était plutôt bestial, ils baisaient comme des bêtes, surtout! Plusieurs fois par semaine, quand ce n’était pas plusieurs fois par jour, je collais mon oreille au mur et les écoutait baiser en me branlant frénétiquement. Et ils étaient assez bruyants, mes parents! «Salope, tu la sens bien, ma grosse pine! Je te bourre ta chatte de grosse putain, t’aimes ça, hein! Pétasse!» ou «Oooh oui, vas-y mon beau, qu’est-ce que t’es bon, qu’est ce que t’es gros, tu me remplis bien le trou du cul, c’est trooop!» etc... Vous pensez bien que je ne résistais jamais longtemps et il m’arrivait de me masturber plusieurs fois de suite rien qu’à les entendre.

Un jour, je n’y tins plus et j’osai m’aventurer jusque dans le couloir pour les observer par la porte entrouverte (encore une fois, j’appris plus tard que cette porte était ouverte intentionnellement!). Je m’agenouillai sur le tapis du couloir et reluquai les bribes de spectacles qu’il m’était donné de voir. Mon père, de derrière, faisait de larges mouvements de va-et-vient dans la chatte reluisante de ma mère, en levrette sous lui. Je voyais les belles fesses de mon paternel bouger de plus en plus vite et ma mère qui gémissait, qui gémissait de plus en plus fort. Et puis soudain, je fis craquer le bois du sol... Prêt à m’enfuir à toutes jambes, je remarquai qu’ils ne s’arrêtaient pas. Ma mère cessa juste de gémir et mon père dit d’une voix forte mais chaleureuse: «Viens Sylvain, tu es le bienvenu, tu sais!»

Je croyais avoir mal compris, et j’étais très gêné par ce que j’avais cru entendre, je retournai donc dans ma chambre, histoire de passer inaperçu, rouge de honte et de confusion. Je passai la demi-heure suivante à me poser des questions en les entendant hurler leur désir et leur passion animales.

Nous n’avons pas parlé de cette histoire durant toute une semaine, mais il me semblait que mes parents avaient une attitude inhabituelle, bien que je décidai de ne pas y prêter attention. Par exemple, mon père se baladait maintenant en caleçon à peine rentré à la maison, alors qu’il n’avait jamais fait ça, comme pour s’exhiber. Et il ne se gênait pas pour se gratter ou se peloter les bijoux de famille en notre présence. Ma mère ne semblait pas le remarquer, je décidai donc de faire comme si de rien n’était.

Cela faisait maintenant 2 ans, au moins, que je savais que j’étais plus attiré par les hommes, j’avais eu beaucoup de mal à assumer cela, et encore à ce moment-là, je n’étais vraiment pas sûr de moi, au point qu’aucun de mes amis, personne dans la famille, aucune de mes connaissances, en fait, n’était au courant de ce qui était pour moi une honte. Mais le manège de mon père ne faisait qu’aggraver les choses. Parfois, je repérais même une bosse dans son caleçon moulant, et je commençais à bander dur, alors je me précipitais (relativement peu discrètement) dans ma chambre ou dans les toilettes pour me soulager.

Une semaine après cet événement inattendu, les choses changèrent. Mes parents m’annoncèrent qu’ils sortaient ce soir-là et que je passerais la soirée seul. Après les recommandations d’usage, il me laissèrent seul. Dès qu’ils furent partis, je filai dans ma chambre et je me dévêtis en vue d’une branlette magistrale. J’étais très excité car lorsque j’étais rentré dans la cuisine, juste avant que mes parents partent, j’avais surpris ma mère assise sur mon père qui était, lui, sur une chaise, en train de faire tous les mouvements suggestifs d’une baise. Ils ne m’ont pas vu (ou ont fait semblant?) et je les ai un tout petit peu regardé, puis je me suis éclipsé, la queue dans un état pas possible, mon boxer trempé de sueur et de mouille.

J’en étais donc à me palucher lentement en me remémorant ces images terriblement salaces, quand mon père est rentré d’un coup dans ma chambre. Je sus par après qu’ils avaient tous les deux simulés une sortie pour mieux revenir en douce et en silence, sachant que je serais excité au maximum par le show qu’ils m’avaient fait, et sachant donc qu’ils pourraient me surprendre en pleine masturbation adolescente.

En attendant, mon père s’approchait lentement de moi, une lueur cochonne dans le regard, pendant que mon sexe débandait entre mes doigts et que j’essayais de me cacher honteusement de lui sous mes couettes. Il me retirai d’un mouvement toutes les couvertures et, ma nudité dévoilée, me regarda d’un œil pervers. Je commençai à avoir peur, mais il me dit de ne pas m’en faire, qu’il ne m’arriverait rien, mais que je devais aller au salon, et comme ça, entièrement nu! Accablé par la honte et l’inquiétude, je le précédai au salon où je dus m’asseoir sur le canapé. Il appela ma mère qui vint de la cuisine en nuisette rouge, il la coucha sur la table du salon, sortis sa bite de son pantalon et l’enfourcha devant moi, d’un coup puissant. Il la pénétrait en face de moi et rugissait de bonheur, comme si l’idée même de se donner en spectacle, surtout à son fils, lui donnait une vigueur de taureau en rut. Malgré moi, je me mis à rebander, de plus en plus dur, de plus en plus ferme, devant leur accouplement torride.

Je voyais l’énorme engin de mon papa entrer, puis sortir complètement du trou béant de ma mère, il s’astiquait une ou deux fois, puis l’enfourchait de nouveau, avec un grand «HAN!» de bûcheron. Ma mère, quant à elle, criait son bonheur de se faire foutre et se tortillait, elle jouissait sous les coups de boutoir de son mari. Moi, j’essayais de cacher mon érection mais elle se faisait de plus en plus grosse, et de plus en plus apparente.

Mon père décida alors de changer de place, ma mère se plaça à quatre pattes par terre et il la prit en levrette, tandis que la tête de ma mère se rapprochait de mon pubis. Mon père rugit que je devais me laisser faire, je laissai donc ma mère engloutir mon sexe et jouer de sa langue experte sur mon gland, sur mes bourses, sur mon nombril et sur ma hampe toute entière pendant que ses doigts essayaient d’atteindre mon anus. Je fus très gêné au début, puis le plaisir m’envahit vite et je laissai aller ma tête en arrière pour profiter au maximum du bonheur que ma mère me procurait. Je ne pus donc voir mon père qui sortait de sa chatte et qui vint s’asseoir à côté de moi. Je sentis sa main chaude et virile me caresser le torse, puis les tétons, je rougis tellement il me faisait du bien. Il était le premier homme à me toucher et il le savait. Ma mère vint l’embrasser pendant qu’elle nous branlait tous les deux. Il lui malaxa les seins, alors que je restai immobile, à moitié apeuré, me demandant ce que je faisais là, à moitié excité par la situation, être enfin avec mes parents quand ils baisaient, c’était jouissif, je n’aurais jamais osé l’espérer. D’un coup, mon père prit ma main et la pose sur son ventre, la dirige vers sa toison jusqu’à ce qu’elle heurte son magnifique sexe au garde-à-vous.

D’un coup je me mets à bander plus fort et je le branle délicatement. Ma mère me laisse faire en m’approuvant d’un sourire et se met à se branler à genoux sur le sol. Mon père se caresse le torse d’une main, et de l’autre, il prend ma tête et l’approche de sa bite luisante. Je fais mine de refuser, de résister, mais il devient violent. Il me couche sur le dos et met d’autorité sa grosse queue sur mes lèvres. Plein de désir et d’appréhension, je commence à le léchouiller timidement. Il m’attrape alors les couilles à pleine main et me les serre. Cela me fait un peu mal mais je trique trois fois plus. Il profite de mon trouble pour m’enfoncer d’un coup sa saucisse jusqu’au fond de la gorge, et je suis obligé de faire des va-et-vient, j’y prends d’ailleurs de plus en plus de plaisir, le sentir se contracter dans ma bouche est merveilleux, surtout que ma mère recommence sa pipe sur mon sexe érigé plus qu’il ne l’a jamais été.

J’imagine que c’est mon père qui me suce et je sens que je vais venir à cette idée. Je jouis dans un énorme cri, je râle, je n’en peux plus de jouir et ma mère avale tout. Quant à mon paternel, il s’est levé, attend que ma mère finisse de me nettoyer la queue, et me fait me mettre de force à quatre patte sur la petite table du salon. Je prends peur, je tente de résister mais ma mère a déjà pris possession de ma volonté en me léchant le trou du cul qui est très exposé, dans cette position. Mon père me caresse comme si j’étais sa jument et sa queue tressaute d’impatience. Quand ma mère s’arrête, je n’ai qu’un désir, c’est qu’on s’occupe de mon petit trou, bien ouvert par la salive et l’excitation. Mon père place alors son énorme gland violet contre ma rosette et commence à entrer. Cela ne me fait même pas mal, je ne sens qu’une immense vague de satisfaction qui m’envahit, je me sens enculé, je suis un enculé, enfin, j’en rêvais depuis si longtemps sans oser me l’avouer. C’est bon, c’est trop bon, et mon père me malaxe les fesses, me les gifle presque tendrement. J’ai à peine senti ma mère qui s’était glissée sous moi et qui resuce ma pine dure comme du fer en me broyant les burnes. J’adore ça! Je sens les couilles de mon père cogner mon cul à chaque fois qu’il me bourre bien à fond, et il me crie des mots orduriers, tellement que j’en ai presque peur pour les voisins:

— Eh bien, petite pédale! Tu la sens ma putain de grosse queue! Je te la bourre à fond, hein, mon pédé! Alors, fils, on ne voulait pas dire qu’on est un gros pédé?! Pour ta punition tu te fais pilonner le trou à merde par ton enfoiré de père, t’aimes ça, hein!

— Oooh oui! Oui, papa, J’adore que tu m’encules! Je sens ta grosse bite, ton énorme bite au fond de mes intestins, c’est trop bon!!! Encule moi, fourre moi plus fort, plus loin, vas-y, je suis ta salope, ton trou à bite, j’aime! Ouiii! Oooh je viens, encore, je jouis!

Et j’éjacule mon jus d’adolescent dans sur la table du salon, et sur ma mère qui me mordait la peau des couilles en me branlant. En m’entendant jouir et en sentant les spasmes de mes intestins sur sa pine, mon père pousse un énorme râle et jouit à grands bouillons dans mon intérieur, il y a tellement de jus que ça déborde même de mon trou et ça coule le long de mon périnée en une délicieuse caresse, jusqu’à mes couilles. Il me retourne alors et me lèche le cul, les fesses, jusqu’aux couilles pour recueillir sa semence et la partager avec moi dans un long et langoureux baiser. Je n’aurais jamais cru ça possible, mais j’ai pris mon pied comme je l’avais encore jamais pris! J’ai joui autant du cul que de la queue, et encore de toutes les parcelles de ma peau.

Après nous être un peu rafraîchi, ma mère m’annonça qu’elle avait voulu profiter une seule et une dernière fois de son fils car elle s’en allait, elle déménageait pour un nouveau job qu’on lui avait proposé. Elle qui cherchait du travail depuis tellement longtemps, elle avait sauté sur l’occasion, même si ça voulait dire ne plus voir son mari et son fils cadet avant longtemps. Elle m’a ensuite confié que mon père était bi et très attiré par moi, sans doute autant que moi j’étais attiré par lui, et que nous pourrions nous contenter sexuellement, surtout maintenant qu’elle serait loin. J’étais attristé par le départ imminent de ma mère mais en même temps terriblement excité et content de ce futur prometteur avec mon père. Ma mère partit donc avec la promesse de revenir nous voir régulièrement et que nous baiserions alors tous les trois comme des bêtes.

En attendant j’étais seul avec mon père, et dès le soir même, j’allai me coucher avec lui, dans sa chambre, dans son lit, où nous fîmes l’amour plus calmement que la dernière fois.

À suivre...

 

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Vendredi 20 juillet 5 20 /07 /Juil 18:02

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Quelques semaines plus tard, je me rendis compte qu’un de mes copains de longue date se comportait étrangement avec moi. Je n’avais plus peur d’assumer mon homosexualité, je m’habillais donc un peu plus moulant qu’avant, plus sexy, comme mon père adorait que je m’habille, pour mettre mon beau corps en valeur. Et de temps en temps je tortillais un peu du cul en marchant. Rien de bien grave, et quand il m’arrivait de me faire chambrer par mes camarades, je leur répondais du tac au tac. Voyant qu’ils ne me mettaient pas mal à l’aise et que je m’assumais sans difficulté ni gêne, ils ne recommencèrent pas et me laissèrent en paix. Cela renforça même les liens que j’avais avec eux, puisque cela devenait un sujet de blagues et de taquineries de leur côté autant que du mien.

Tout allait donc pour le mieux, si ce n’était Jérôme qui s’éloignait de moi peu à peu. J’en étais très attristé, et je l’invitai donc à venir s’expliquer à ma maison, lui racontant que mon père nous laisserait tranquille puisqu’il serait dans son bureau. Je dus insister pas mal, mais finalement il vint. Arrivés chez moi, après avoir bu un verre, je lui demandai tout de go pourquoi je le rendais mal à l’aise. Il rougis soudain, et je compris, en voyant son trouble, que je ne le laissais pas indifférent. Ne laissant rien paraître, je lui dis que nous serions mieux dans ma chambre, il vint et s’assit sur un coin de mon lit. Doucement, je m’assis derrière lui et commençai à lui masser le dos. D’abord très tendu, stressé et cambré, il se laissa ensuite faire, et petit à petit je vins à bout de ses résistances, en l’embrassant dans le cou, en le caressant doucement le torse à travers sa chemise.

Il fermait les yeux et soupirait de plaisir, il était magnifiquement beau, avec ses cheveux foncés, sa peau halée et ses muscles tendres que je sentais distinctement. Je l’embrassai alors sur la bouche, il se laissa faire d’abord, puis me rendis le baiser, ce long baiser d’amoureux que nous échangèrent. Je le caressai sur le torse, lui enlevai sa chemise, et m’assis sur son jeans tendu. Je me mis ensuite langoureusement nu. Puis je le débarrassai des quelques vêtements qui lui restaient. Une fois nu tous les deux, nous nous frottâmes longuement le pubis l’un contre l’autre. Puis je le branlai, je le suçai, et, dans un soixante-neuf fabuleusement érotique, nous avons tous les deux joui presque en même temps dans la bouche l’un de l’autre.

Il rentra chez lui, visiblement content de son après-midi, et me jura qu’il repasserait le lendemain, voire même sans doute pour la nuit. Je courus évidemment raconter tout ça à mon père, ce qui l’excita au plus haut point. Il me laissa finir mon histoire en s’astiquant lentement, puis, voyant qu’il n’en pouvait plus, je vins m’asseoir sur lui et m’empaler sur sa queue énorme. Après quelques aller et retour, il jouit toute sa semence dans mon cul et je jouis une deuxième fois, dans sa bouche. Un peu calmé (mais rien qu’un peu!) nous nous mîmes d’accord sur un plan pour «piéger» le beau Jérôme le lendemain soir (rien de bien grave, rassurez vous).

À 19h, donc, mon ami arrive à la maison, nous mangeons tous les trois, avec mon père, tranquillement, puis mon père se lève, se met torse nu pour, dit-il, «se mettre à l’aise», et il va au salon pour «voir le match de foot». Jérôme, hyper intimidé par les muscles saillants et le beau torse de mon paternel, a une bosse dans le pantalon qui ne laisse présager que du bon. Avec un clin d’œil lubrique, je lui dis qu’on devrait aller prendre une douche. Il est évidemment d’accord, et, ne se doutant de rien, il m’accompagne à la salle de bain.

Une fois arrivé là, nous nous déshabillons tendrement en nous embrassant puis, une fois entièrement nu, je lui dit que j’ai oublié quelque chose dans ma chambre, et que je reviens tout de suite. Sans qu’il s’en aperçoive, je prends ses vêtements et les miens et les emporte dans ma chambre, pour revenir ensuite à pas feutrés jusqu’au couloir, à côte de la porte de la salle de bain. Mon père arrive, sans bruit, lui aussi et entre d’un coup sec après m’avoir jeté un clin d’œil plein de sous-entendus. J’entends Jérôme pousser un hoquet de surprise, chercher ses vêtements, et mon père lui demander d’une voix d’ogre ce qu’il fait là, nu comme un ver. Lui ne sait que répondre, je l’imagine rougir, et pense qu’il doit être on ne peut plus mignon, dans cette position insolite.

Je me déplace un peu pour pouvoir voir sans être vu, et j’observe Jérôme tenter de cacher sa nudité comme moi il y a quelques semaines. Mon père le traite de tous les noms, le prend par le bras (pas trop violemment) et le pousse sous la douche et allume celle-ci en lui disant que, de toute façon, il est là pour ça. Jérôme obéit, il n’a pas le choix, et mon père, après s’être mis nu en un temps record, le rejoint sous le jet d’eau chaude. Jérôme est mort de trouille et il ne se calme pas en voyant l’énorme mandrin de mon père le menacer du haut de son érection. Mon père l’agenouille en silence mais avec une main ferme et l’oblige à le sucer. Mon père est donc face à l’entrée de la salle de bain, avec Jérôme à ses pieds en train de lui prodiguer une fellation qui doit être fameuse, à en juger par les cris du sucé.

Moi aussi nu, j’entre alors en silence, mon père coupe le jet d’eau et, comme convenu avec mon père, je me mets à pisser sur Jérôme, sur son dos, sur ses belles fesses. Lui n’est d’abord qu’à peine surpris de sentir un autre jet de liquide chaud sur lui, et est entièrement accaparé par la pipe qu’il fait à mon père. Puis il se rend compte de quelque chose, se retourne, et reçoit mon jet de pisse jaune et brûlant sur la gueule. D’abord dégoûté, il voit que c’est moi, il se rassure, et sans doute se dit comme mon père et moi, que la situation est très excitante, il reçoit donc en gémissant mon urine sur le visage. Puis, quand j’ai fini, c’est mon père qui prend le relais. Comme je frotte ma pine toute molle d’avoir pissé contre le visage de Jérôme, nous recevons tous les deux de la pisse chaude et puante de mon père, lui sur la gueule, dans la bouche, il avale et il a l’air d’aimer ça, et moi sur ma pine qui grossit de plus en plus.

Ensuite, mon ami se lève et il vient se frotter à moi, je lui lèche le visage plein d’urine, je caresse son corps trempé et mon père colle sa queue érigée contre ses fesses et se masturbe ainsi, le gland contre la rosette de Jérôme. Nous sortons alors de la douche, je colle mon copain contre le mur et, après lui avoir léché le trou de cul, je le pénètre violemment, dans un cri de sa part comme de la mienne. Ensuite, mon père vient derrière moi, malaxe mes couilles qui se balancent pendant que j’encule mon second amant puis il m’enfourne aussi, sans préparation, d’un grand coup brutal. Je hurle, d’abord de douleur, puis de plaisir. Nous formons une brochette d’enculades et nous jouissons tous les trois dans d des gémissements sans retenue. Epuisés, nous allons nous reposer, sentant que le lendemain, nous pourrons profiter pleinement de notre envie de sexe jamais assouvie. Nous dormons tous les trois dans le grand lit de mes parents, enlacés, après nous être encore baisé; Jérôme m’a enculé pendant que je suçais mon père, puis mon père a enculé Jérôme alors que je m’occupais de la queue de ce dernier.

Le lendemain, après une baise matinale, Jérôme est rentré chez lui et mon père a eu un nouveau plan lubrique dans la tête. Il n’a rien voulu me dire, il m’a juste fait monté dans sa voiture, un bandeau sur les yeux, en me promettant une belle surprise. Très curieux, j’ai patienté, il m’a fait sortir de la voiture, m’a emmené sur un chemin assez caillouteux jusqu’à un intérieur qui ne sentait pas très bon... J’ai mis du temps à me rappeler où j’avais déjà senti cette odeur, puis il m’a enlevé le bandeau et les souvenirs me sont revenus aussitôt: nous étions dans le box de notre cheval, un étalon noir, magnifique, que nous avions acheté longtemps auparavant et qui nous aimait autant que nous l’aimions. Voyant mon père tout excité, je me suis dit qu’il voulait que nous baisions dans le foin, dans l’odeur de bêtes, et même devant notre étalon, et je me suis rendu compte que cette idée m’excitait pas mal aussi...

Mon père m’a ordonné de me déshabillé et d’être son esclave. Emoustillé par ce petit jeu, je me suis plié à ses désirs et je me suis mis à genoux, nu sur la paille fraîche, devant lui qui avait enfilé une salopette sur sa peau nue, sa grosse queue pointant par l’ouverture de l’entre jambe. Il me cria de faire un tour à quatre patte, jusque sous le ventre de Nuage, notre cheval. Je savais qu’il n’y avait aucun risque de ruade, car il me connaissait bien et qu’il était doux comme un agneau avec nous.

Une fois sous son flanc, mon père m’ordonnai de caresser son ventre d’un coté à l’autre, ce que je fis avec plaisir, Nuage soufflant de plaisir. Ensuite il me cria de lui caresser les bourses. Je le regardai, surpris, puis me dis «après tout, pourquoi pas? C’est un mâle comme les autres finalement!» Je commençai donc à lui effleurer doucement les burnes, qu’il avait noires, puis, pris par le jeu, et par l’excitation grandissante, je commençai à les humer et me surpris à aimer ça. La bite de mon cheval commençait à sortir de son fourreau, à grandir et grossir, et mon esprit autant que ma volonté m’échappait totalement. Je me demandais ce que je faisais, j’étais honteux de mes actes, mais tellement excité que je voulais à tout pris continuer, jusqu’au bout, jusqu’à ce que je pourrais faire de plus lubrique! Mon père n’en espérait peut-être pas tant, mais je commençai ensuite à lécher amoureusement les énormes mandarines, puis la hampe sans fin de mon étalon adoré. Jamais je n’avais connu une aussi grosse bite et je bandais à m’en faire mal tellement cela m'échauffait les sens.

Mon père se mit alors nu aussi, et vint s’occuper de l’énorme pine de notre cheval. Lécher une tel engin était jouissif et nous n’osions pas nous toucher de peur de jouir sur le champ. Nuage n’en pouvait plus, il soufflait par les naseaux, s’agitait, et soudain, sa bite se mit à tressauter dans tous les sens, je la branlai du mieux que je pouvais, avec mes deux mains, et il jouit! Sa semence de cheval gicla sur la paille, sur mon père, sur moi, il y en avait des litres! j’en avais jusque sur les cheveux et mon père en avait plein le visage et le ventre. Je me roulai sur lui pour m’en étaler sur lui et l’embrasser à pleine bouche. Le sperme de Nuage sentait bon, il était brûlant, nous en avions partout et nous nous léchâmes le corps pour nous nettoyer et, surtout, nous soulager. Nous éjaculâmes tous les deux en peu de temps, tellement l’excitation avait été grande.

Puis nous allâmes nous coucher sur la paille, pas loin de Nuage qui se remettait très bien de ses émotions. Petit à petit, nous recommençâmes à nous toucher, à nous caresser et nous étions repartis pour baiser quand l’étalon se manifesta bruyamment en hennissant; il en voulait encore. Nous nous délaissâmes donc pour retourner vers le cheval, sa queue était à nouveau bandée bien dur, très longue, elle était magnifique. Mon père s’occupait de lui lécher le gland, qui avait la grosseur d’un melon, et il se frottait à cet organe magnifique, pendant que, passé derrière Nuage, je lui léchai l’arrière des couilles. Puis, voyant qu’il levait la queue d’une manière suggestive, j’eu une idée totalement insensée. Je remontai avec ma langue le long de son périnée, puis j’arrivai à son trou de cul. Il était bien serré, mais je le léchai sans vergogne. Je le léchais, je le léchais, et je bandais de plus en plus dur de voir que cela excitait énormément Nuage, son anus s’ouvrait de plus en plus, plus il était mouillé, plus il s’ouvrait, comme une fleur, prêt à recevoir un cadeau...

Mon père, sentant que l’étalon prenait un plaisir immense, me demanda ce que je lui faisais. Quand je lui dit, il vint me regarder, la langue dans le trou du cheval, tout en le masturbant. Sentant que le cheval allait jouir, il lui lâcha la bite et me dit de l’enculer. J’ouvris de grands yeux, et mon père me dit qu’il l’avait déjà fait, étant adolescent, il avait l’habitude d’enculer le cheval qu’il avait alors, et cela procurait énormément de plaisir, autant à l’animal qu’à l’humain. Je rentrai donc un doigts, puis deux, puis toute ma main dans l’anus dilaté de Nuage qui, manifestement, prenait son pied royalement. Je bougeai mon poing dans son trou du cul puis, je la sortis, pleine de crottin. Totalement excité, et n’en revenant pas de ce que je faisais, j’étalai toute la merde du cheval sur mes fesses, puis sur mon ventre et mon bas ventre, j’approchai ma queue de son anus, et je pénétrai mon étalon doucement, jusqu’au bout, jusqu’à la boule de crottin qui se terrait au fond de ses intestins. Nuage trépignait de se sentir enculer, et mon père, sentant qu’il allait à nouveau jouir, se mit sous lui pour recueillir ses litres de jus sur son corps.

Quand il en fut remplit, il vint m’en enduire et m’enculer à l’aide de ce lubrifiant. Avec tous ces stimulants, je jouis très vite dans le cul de Nuage, puis m’en retirai. À temps, car il devait visiblement chier. Ce qu’il fit, après avoir essayé de s’éloigner, mais d’un geste je lui avait fait comprendre de rester près de moi. Il envoya donc toute sa merde à mes pieds, et je me couchai sur le monticule puant, sous les yeux de mon père qui rebandait dur. Il se coucha sur moi, nous nous couvrîmes de crottin, puis je me mis ventre dans la merde, la tête dedans, et mon père m’encula jusqu’à jouir une dernière fois. Je jouis dans la merde et nous nous endormîmes ainsi.

Après quelques heures, nous nettoyâmes le box puis nous rentrâmes à la maison, tout en nous promettant de revenir pour des parties de jambes en l’air torrides, et qui sait, peut être y emmènerions nous Jérôme?

 

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Vendredi 20 juillet 5 20 /07 /Juil 17:05

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Il y a quelques années, alors que j'étais étudiant, je logeais dans une chambre universitaire. À cette époque pas si lointaine, les chambres n'étaient pas aussi confortables que maintenant. Nous avions seulement un petit évier, les toilettes et les douches étaient communes, enfin il y avait le côté homme et le côté femme. Les toilettes étaient grandes et nombreuses, les douches prolongeaient l'alignement des wc. Elles étaient dans une pièce unique les unes à côté des autres. Les lampes du plafond étaient rarement changées et donc souvent en panne; le soir, le coin douche était relativement sombre presque plongé dans le noir. J'appréciais beaucoup d'aller me doucher et je choisissais toujours les heures d'affluence afin de pouvoir mater un maximum. Certains jeunes hommes ressentaient de la gêne et se douchaient rapidement sans lever les yeux. D'autres n'avaient aucun complexe et se lavaient leurs intimités avec une pointe d'exhibition.

Une fin d'après-midi, j'étais sous la douche, nu, l'eau coulant sur mon corps. Je ressentis une petite claque sur mes fesses.

— Alors encore ici, Vic.

Je me retournai et me trouvais en face de Jacques.

Jacques était un jeune homme de 1m70 avec un corps couvert de muscles longs et saillants. Il avait de beaux cheveux noirs, frisés et coupés courts. Ses yeux étaient d'un noir profond. Il avait un visage très viril, une belle petite gueule. Ses fesses étaient bien musclées et rebondies et son sexe était d'une assez belle taille. Je fantasmais à l'idée de le voir en action. Nous nous croisions souvent et à chaque fois il me faisait un petit sourire. Mais c'était la première fois qu'il se permettait une telle familiarité.

— Oh oui encore, répondis-je en offrant encore plus ma croupe.

Il se pencha vers moi. Je pouvais sentir la chaleur de son corps. La pointe de son sexe touchait mes fesses.

— Avec plaisir, mais reviens prendre une douche un peu plus tard. En général après minuit, l'agitation n'est plus la même et le savon ne sert plus uniquement pour se laver.

Il se pencha au dessus de mon épaule:

— Fais attention, tu commences à bander.

— Arrête tes conneries sinon il faudra que tu m'aides à ce que ma queue reprenne une taille normale.

— Je n'ai pas le temps maintenant, mais si cela t'intéresse, il y a un mec pas mal qui attend dans les derniers chiottes. Si tu aimes les mecs, je suis certain que celui-ci sera à ton goût.

Il parlait avec beaucoup trop de sous-entendus. Il devait connaître ma préférence pour les garçons.

— J'apprécie toutes les expériences originales.

Jacques partit se sécher. Je restais avec mon début d'érection que j'avais beaucoup de mal à contenir. Rapidement, en cachant mon sexe du mieux que je le pouvais, je me dirigeais vers les toilettes. Il fallait que je me satisfasse, sinon je ne pourrais pas terminer ma douche.

Inconsciemment, je poussais la porte des dernières toilettes. Un jeune homme était assis sur le siège, il était nu et avait du mal à cacher sa queue turgescente. Il était brun avec des yeux noisettes et un torse puissant et fort viril. Il me fit un signe de la tête. J'hésitais un quart de seconde puis j'entrais et fermais la porte derrière moi.

Je m'approchais et passais une jambe de chaque côté de lui. J'insérerais ma queue grossissante dans sa bouche. Il avala goulûment mon chibre. Pendant qu'il me pompait, ses mains pétrissaient mes fesses, puis un doigt commença à titiller mon anus. Je sentais son majeur coulisser en moi. Je me penchais un peu et pris sa bite dans ma main droite. Il bandait dur et fort. Sa queue avait une taille honorable. Il mettait à présent deux doigts dans mon cul. Il faisait cela avec douceur et savoir faire et pour lui faciliter le travail je me cambrais un peu mettant ma croupe en valeur. Je me redressais, me serrais contre son torse et je descendais le long de son corps jusqu'à ce que je sente la pointe de sa queue toucher mes fesses. Je m'empalais lentement sur son chibre que je sentais entrer et vibrer en moi. Je me retrouvais assis sur ses cuisses, son membre entièrement en moi, nos torses l'un contre l'autre, bouche contre bouche. Je montais et descendais le long de son torse, faisant aller et venir de plus en profondément sa queue en moi. Il me laboura le cul pendant quelques minutes puis les mouvements de son bassin devinrent plus saccadés, plus allongés et profonds. Il expulsa son sperme qui me brûla les entrailles.

Je me redressais, me désempalant. Non seulement je n'avais pas joui, mais je bandais encore plus fort. Je relevais la tête et je vis un blondinet aux yeux bleus qui regardait par dessus le mur des toilettes. Je lui montrais ma bite dans toute sa fierté et lui fis, avec la tête, signe de me rejoindre.

Mon partenaire sortit. J'attendais quelques secondes pour savoir si le blondinet allait venir. Il poussa la porte, une serviette autour de la taille. Il était très mince et je pouvais presque compter ses muscles et ses côtes. Je lui arrachais sa serviette et me pressais contre lui, mon membre dressé, pressé contre son ventre plat. Je l'embrassais farouchement, caressant son corps de mes mains. Puis je lui caressais les fesses. Il se cambrait afin de m'offrir une meilleure prise. Je me mis à genoux, je pus voir que les poils de son pubis étaient aussi d'un blond très clair. Je le retournais et lui écartais les fesses. Il avait le cul rasé et le trou bien large. Cette salope devait aimer se faire labourer et devait pratiquer cette discipline fort régulièrement. Je le pénétrais de ma langue. Il se penchait en avant, se cambrant un maximum tout en gémissant de plaisir. Plus je léchais son trou, plus il tortillait du fion et plus j'étais excité. Je me redressais et le pénétrais d'un coup. Il laissa échapper un petit cri. Son fion était large mais pas assez pour mon chibre. Son cul était un tunnel pour le plaisir. Je faisais beaucoup d'efforts pour ne pas jouir trop vite. Je m'accrochais à ses hanches et faisais des va-et-vient rapides et puissants. Il répétait sans cesse "Oui, vas-y. Défonce-moi. C'est bon. Plus fort."

Je sentis monter en moi la vague électrique annonçant l'expulsion de ma purée. J'avais l'impression que mes couilles explosaient se vidant de tout leur sperme, tel un barrage se rompant et lâchant l'eau qu'il retient. J'avais l'impression de le remplir de ma semence.

Comme je me retirais, je vis qu'il avait aussi jouit.

— Je loge à la chambre 520, me dit-il.

— Alors à bientôt, répliquais-je.

Puis je ressortis terminer ma douche.

Je retournais à ma chambre, la serviette autour de la taille. Comme j'essayais d'ouvrir la porte de ma chambre, ma serviette glissa, me laissant nu au milieu du couloir. L'étudiant qui occupait la chambre d'en face, arriva. Il émit un petit sifflet. Je me retournais, toujours à poil. Il était assez mignon, style étudiant américain. Grand, blond les yeux bleus, son corps viril et élancé était musclé. Il se prénommait Georges.

— Et là, tu ne vois pas le reste en action.

Je me penchais pour ramasser mes clés, cambrant les reins afin de bien exhiber mon cul.

— Ce que je vois me suffirait, dit-il, en ouvrant la porte de sa chambre.

— Fais-moi un signe et le tout est à toi.

Comme signe cela te suffit.

Je me retournais, il laissait son chibre pendre en dehors de sa braguette, une bite longue et grosse de 16cm au repos.

— Mazette que j'aimerais voire tout cela dans une meilleure forme.

Il s'écarta de la porte afin de me laisser le passage. Je n'hésitais pas et le rejoignais. Il ferma la porte derrière moi.

— Maintenant prépare-toi. Ça va être la fête de ton petit cul.

Il retira son tee-shirt. Son torse était musclé et fort, comme je l'avais supposé. Il enleva ses chaussures, il ne portait pas de chaussette, ni de slip sous son jean moulant. Les poils de son pubis étaient plus foncés que ses cheveux.

Il s'approcha de moi, me serra contre son corps. Ses mains prirent tout de suite la direction de mes fesses qu'il pétrissait. Il me souleva de terre, je passais mes jambes de chaque côté de son corps. Il me porta à son lit. Il m'allongea me gardant les jambes en l'air. Il m'écarta les fesses et fourra sa langue dans mon fion. Une langue longue et pointue qui me pénétrait loin dans le cul. Il se redressa, je vis son membre dur encore plus gros, encore plus long, énorme avec quelques veines gonflées sur le pourtour. Le gland était énorme et rouge. Je passais mes jambes sur ses épaules. Il appuya son gros gland sur ma rondelle puis commença à enfoncer son tube dans mes entrailles.

Je redressais la tête pour regarder cette énorme queue pénétrer en moi. Je serrais les dents sous la douleur de cette pénétration anormale mais aussi sous le plaisir intense que me procurait la dilatation de mon anus. Je voyais ce bras de bébé s'enfoncer en moi juste qu'à la garde. Il prenait son temps afin que je ne souffre pas trop. Il se mit à faire des mouvements de va-et-vient d'abord lentement puis plus rapidement. À chaque fois il enfonçait sa bite au fond de mon cul, le plus profondément possible. Je sentais ses couilles battre contre mes fesses. Il se retira et me fit me mettre à genoux, le ventre sur le lit, le cul à sa merci. J'écartais les jambes et me cambrais afin de lui offrir mon trou dilaté. Il m'encula d'un coup. Ses mouvements étaient rapides et forts. À chaque fois le lit tapait contre le mur. Il ahanait bruyamment. Tout d'un coup, de la chambre voisine, un coup fut frappé contre le mur.

— Calmez vous, j'aimerais réviser en silence.

Mon partenaire répliqua:

— Tu n'as qu'à nous rejoindre.

— J'arrive.

Ses coups de butoir continuèrent de plus belle. Après son passage ma cheminée serait une gare routière.

Le voisin entra et nous regarda. C'était un jeune homme appelé François. Il porta immédiatement sa main à son jean. Georges éjacula dans mon cul, me remplissant de sa semence chaude. Il devait bien en déverser plus d'un verre. Il se retira, me mit une petite claque sur les fesses puis dit:

— Allez je vous laisse, je vais prendre une douche.

François s'approcha, ôta sa chemise et se mit à genoux. Il me lécha le cul, lapant le sperme qui s'en écoulait. Il m'écartait bien les fesses afin de pouvoir atteindre le fond de mon trou. Il finit de se déshabiller. Je me retournais et m'asseyais sur le lit. Il s'approcha de moi et fourra sa queue dans ma bouche. Je sentais la chaleur et l'excitation de son corps passer à travers sa bite. Il éjacula très vite.

— N'avale pas.

Il m'embrassa. Son sperme se mêla à nos salives. Il se mit à genoux sur le lit m'offrant sa croupe.

— Baise moi.

Je me mis debout et l'enfourchais d'un coup. Il gémit sous l'impulsion forte qui lui explosait le cul. Il disait des insanités, voulait que je l'insulte, se comportait pire qu'une chienne en chaleur. Je lui défonçais le fion violemment. J'attrapais sa crinière noire et lui tirait la tête en arrière. À chaque fois je ressortais presque entièrement ma queue de son trou et m'y enfonçais d'un coup sec. J'entrais une dernière fois au fond de ses entrailles et j'éjaculais, déversant ce qui restait de mon fluide. Je me retirais.

Il s'enfonça les doigts dans son cul, les ressortait couverts de mon sperme et léchait goulûment sa main. Je le laissais et retournais me reposer dans ma chambre. J'avais besoin d'une douche mais je décidais de me reposer auparavant. Je me réveillais vers minuit et demi. Je retournais me laver. En approchant des douches, j'entendais qu'il y avait beaucoup d'animation. Je passais ma serviette autour de mon cou. La salle de douche était plongée dans une pénombre assez importante et je pouvais voir plus d'une dizaine de formes en action.

Sitôt que j'entrais dans la salle, des mains parcoururent mon corps et arrachèrent la serviette qui me protégeait. Des mains passaient sur mon torse tâtant mes muscles, d'autres caressaient mon sexe, certaines les fesses et même quelques doigts tentaient de pénétrer mon trou. Un homme prit ma tête à deux mains et m'embrassa.

— Salut Vic, prêt pour la fiesta.

C'était Jacques. Il me fit me pencher en avant, m'exhibant sa queue grossissante: une bite grosse, bien droite avec quelques petites veines et surtout très longue.

— Suce-moi et montre bien ton cul. Il faut d'abord que mes copains t'élargissent sinon je ne pourrais jamais te baiser.

Je commençais à le pomper. Sa queue était bonne mais d'une taille vraiment monstrueuse. Une langue glissa le long de la raie de mes fesses. J'écartais les cuisses et me cambrait afin de bien offrir ma croupe. La langue s'enfonça entre mes fesses pour atteindre mon anus. La langue du mec qui me léchait était longue et elle pénétra dans mon trou agilement. Je la sentais bouger dans mes entrailles. Pendant ce temps, Jacques continuait à engouffrer son membre dans ma bouche. La langue se retira, un doigt pris sa place. Un doigt qui fouilla un peu dans mon intimité, puis un deuxième vint le rejoindre, puis un troisième. Le mec essaya d'enfoncer sa main mais mon cul n'était pas assez large.

Néanmoins il continua à travailler mon cul quelques minutes. Puis il retira sa main, se releva et m'enfourcha d'un coup enfonçant dans mon cul sa bite qui était grosse mais peu longue. Je sentais mon anus encercler sa queue. Il alternait les cadences. Une fois il faisait des va-et-vient rapides, puis il ralentissait. Il sortait complètement sa queue et l'enfonçait violemment d'un coup dans mon trou. Pendant se temps, je continuais à sucer Jacques. Mon pénétreur commença à s'exciter, ses mouvements étaient moins rythmés, plus désordonnés. Il expulsa sa jute en moi, réchauffant ainsi mes entrailles. Un autre le remplaça.

— Je vais te nettoyer le cul.

Il prit une savonnette et posa le petit bout devant mon trou et commença à appuyer sur ma rosette. Il poursuivit ce travail lentement jusqu'à ce que la savonnette soit presque entièrement en moi avalée par mon cul. Mon fion, huilé par la savonnette, était glissant comme une patinoire.

— Attends, je vais te nettoyer aussi l'intérieur du cul.

Il se redressa et m'encula, poussant dans mes entrailles la savonnette avec sa bite. Mon anus se referma d'un coup sur sa queue. Il me lima le fion rapidement, entrant et sortant vivement. Sa bite glissait facilement grâce au savon. À chaque fois qu'il enfonçait sa queue il poussait un peu plus la savonnette, c'était douloureux et bon à la fois. Il se retira d'un coup et me fit mettre sur le dos, les cuisses posées sur son torse, le cul en hauteur, offert. Il plongea sa queue d'un coup dans mon cul. Un couple se mit juste au-dessus de moi: un se faisant prendre et l'autre le sodomisant avec vivacité. Je pouvais voir ce que l'on était en train de me faire. Je regardais avec avidité cette belle queue qui s'enfonçait dans ce trou goulu. L'enculeur jouit. insatisfait l'enculé s'accroupit m'offrant son cul à lécher. Son trou était bien large et ma langue pouvait entrer loin en lui. J'arrivais même à lécher quelques gouttes du sperme de son précédent baiseur. Il se redressa et s'empala sur ma queue. Mon enculeur se retira. Il avança doucement derrière le jeune que je pénétrais et essaya de faire entrer sa queue en même temps que la mienne. Nous étions deux en lui. Il gueulait de douleur et de plaisir, surtout que tous les deux nous bougions rapidement nos queues.

— Enfonce moi ta main dans le cul, me dit l'avaleur de bite.

Il se dégagea de nos bites et se mit à genoux. Je fis ce que plus tard on nomma Fist Fucking. Je me mis à genoux et je lui enfonçais ma main dans les entrailles. Un autre homme se mit à côté du premier fist fucké et me demanda de lui mettre mon autre main. Pendant ce temps mon enculeur avait repris sa position initiale, me faisant bien jouir du cul. Un quatrième garçon s'allongea sur le sol et se mit à me sucer alors qu'un cinquième se mit en face de moi afin que je le turlutte. J'étais avec mes deux mains occupées dans deux culs différents, ma queue dans la bouche d'un inconnu, ma bouche bouffant le membre d'un autre et mon cul limé par une bite d'enfer. Alors que je jouissais, le garçon me déchargea dans la bouche et mon enculeur envoyait sa purée brûlante dans mes entrailles. J'enlevais mes mains des fions où très rapidement de grosses bites prirent leur place.

Après une telle séance je préférais retourner à ma chambre pour me reposer car après tout j'avais des cours à suivre le lendemain matin. Comme j'arrivais devant ma chambre, Jacques me rejoignit

— Alors à nous deux maintenant.

J'ouvris la porte de ma chambre, m'écartant pour laisser passer Jacques. Sitôt la porte fermée, Jacques laissa tomber sa serviette, exhibant sa nudité, son corps viril, son membre encore gonflé de sang. Il m'arracha ma serviette et m'attira contre lui. Nos deux corps étaient serrés l'un contre l'autre, nos torses chauffés par l'envie. Sa langue pénétra ma bouche. Il avait une langue fine, pointue, ferme et très agile. De sa main gauche il caressait mon dos, de la main droite, il pétrissait mes fesses. Il me fit mettre à genou et enfila sa grosse queue dans ma bouche. J'avalais avidement cet énorme queue que ma bouche ne pouvait contenir en entier. Je sentais les veines qui couraient le long de son membre turgescent. Mes sens étaient affolés par le plaisir que de pomper Jacques et par l'odeur légère et parfumée dégagée par son pubis.

Jacques me releva et me fit mettre à genoux sur mon lit, les cuisses bien écartées afin d'avoir le cul bien ouvert. Il attaqua ma rosette avec sa langue, pénétrant mon trou de sa pointe fine. Ses mains étaient accrochées à mon bassin, son visage enfoui entre mes fesses. Il dégustait mon trou comme on lèche une bonne glace; passant et repassant la langue, mordillant à pleines dents.

— T'es pas assez ouvert pour que je te pénètre avec la langue.

Il se redressa et présenta son membre turgescent à mon anus. Il força un peu pour faire pénétrer son gland. Il accrocha ses mains à ma taille, me tenant bien fermement, puis d'un coup s'enfonça jusqu'à la garde. Je criai de surprise et de douleur.

— Eh du calme.

— Ce n'est qu'un bon moment à passer.

Il prenait plaisir à aller et venir vigoureusement, sortant complètement sa queue et l'enfonçant à nouveau à fond dans mon cul.

Après quelques minutes de cet intense va-et-vient, qui je devais le reconnaître, me procurait un intense plaisir, il se retira et se remit à genouix derrière moi. Mon trou était bien dilaté et il enfonça sa langue en moi. Je devais reconnaître que sentir cette langue longue et pointue se mouvoir en moi, me déclenchait une sensation incroyable à laquelle je ne m'attendais pas. La pointe de sa langue titillait toutes les zones érogènes de mon cul. Après quelques secondes, mes sphincters se resserrant, il me fit m'allonger sur le lit et me couvrit se son corps, en profitant en même temps même temps pour caler à nouveau sa bite dans mon cul.

J'étais complètement soumis, écrasé par son corps musclé, pénétré par ce mâle énergique. Je me sentais bien, coincé, chauffé par son corps magnifique et excité par sa vibrante queue. Nous basculâmes sur le côté afin que je puisse me branler en même temps qu'il continua son limage viril. Nous jouïssâmes ensemble. Il laissa son membre gonflé dans mon cul.

— Je peux rester dormir avec toi.

— Évidemment, répondis-je avec entrain, encore sous le choc extatique du plaisir.

Nous nous endormîmes, moi calé contre son torse, sa bite toujours dans mon cul.

Dans la nuit, je me réveillais sentant Jacques bouger. Sa queue était toujours dans mon trou et il était en train de faire des basculements de bassin afin de se branler dans mon cul. Je sentais son sexe grossir en moi. La sensation était étonnante et affolante. Son sexe grossissait et se développait dilatant mon trou en même temps. Immédiatement, j'avais une érection. Jacques empoigna ma bite et la serra fortement. Il s'accrochait à mon mât tout en m'enculant. Dans un mouvement plus fort et plus profond, sa lance cracha en moi une nouvelle fois son chaud liquide me faisant jouir en même temps.

Nous nous endormîmes, mais chacun de son côté du lit.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Jeudi 19 juillet 4 19 /07 /Juil 22:45

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Ma sœur s’est mariée dans un petit village loin de chez mon père et moi (ma mère était morte 2 ans auparavant). Nous y sommes bien sûr allés et avons pris une chambre dans un hôtel. Comme j’avais 15 ans, je n’ai pas assisté la veille du mariage à l’enterrement de la vie de garçon de mon futur beau-frère.

Mon père est rentré dans la chambre vers 2h du matin. J’ai senti et vu à ses gestes et... son haleine qu’il avait beaucoup bu. Il est rentré dans mon lit et s’est collé à moi contre mon dos. J’ai senti la bosse de son slip contre mes fesses et ça m’a tout de suite excité car je savais déjà que j’étais attiré par les mecs, mais je me suis dit "pourvu qu’il ne s’en rende pas compte". Pas manqué, il a placé sa main devant mon corps, en plein sur ma queue bien dure, il a grogné dans le sommeil qui le prenait déjà... «Mon pédé de fils bande!» puis il a ronflé.

Au petit matin, je me suis réveillé avant lui et j’ai pu constater que l’alcool avait eu de l’effet. Tous les draps étaient tombé, son slip était parti et il bandait. Je n’en croyais pas mes yeux, je n’ai pas pu m’empêcher de le toucher. D’abord doucement, puis je me suis enhardi, jusqu’à ce que j’entende terrifié mon père dire: "Suce-moi." Je le regarde, il dormait encore. Et s’il rêvait qu’il était avec une femme?

J’ai continué sur ma première bite et quelle bite! Mon père a joui dans ma bouche et je venais de lever la tête quand il a ouvert brusquement les yeux. Du coup j’ai tout avalé et c’était bon. Mon père semblait un peu comateux, il disait quel rêve! S’il avait su...

Le mariage a eu lieu normalement et le soir pendant le bal, ma sœur m’a demandé d’aller chercher son mari qui devait être à la cave. Ce n’était pas urgent. Comme je n’arrivais pas à le trouver, j’ai fureté un peu. J’ai eu le choc de ma vie. Des gémissements m’avaient attiré vers un local isolé: mon nouveau beau-frère était à moitié couché sur le ventre sur une table pendant que mon père le sautait.

Ce dernier n’a pas semblé surpris de me voir. Il a dit: "Entre vite et approche." Mon père m’a débraguetté et m’a dit: «Fais voir ton cul, petit salaud qui suce son père sans sa permission.» Il a redressé mon beau-frère et m’a ordonné de le sucer, ce que j’ai fait mais avant qu’il ne jouisse, mon père m’a fait me mettre sur le dos sur la table, m’a fait mettre les cuisses en V et a demandé à mon beau-frère de me sauter tout pendant qu’il continuait à le limer; pour connaître la famille dans son entier a-t-il ajouté.

Mon beau-frère pris en sandwich, a joui dans mon cul, puis s’est retiré et mon père qui s’était réservé s’est terminé en moi. On s’est roulé une super pelle à 3 et on s’est séparé après que mon père ait fait promettre à mon beau-frère, bien introduit dans notre famille désormais, de se réserver pour d’autres petites fêtes du même genre...

 

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