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fan de histoires de mec

Vendredi 3 août 5 03 /08 /Août 00:54

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Après avoir appris mon homosexualité, mon père a cherché à m’en détourner en me livrant à des mecs vicieux qui ont abusé de moi, m’ont soumis et humilié. Voyant que j’en redemandais, mon père a décidé de profiter de la situation en me louant à des hommes dans un sex-shop, tenu par Xavier.

Après la soirée au sex-shop, mon père et moi sommes rentrés sans parler. J’étais toujours aussi excité, j’avais envie de queues, mais je ne savais pas comment en trouver tout seul. Pendant presque une semaine, j’ai dû m’en passer. Mon père n’était presque jamais à la maison, son travail lui prenait beaucoup de temps. J’étais en manque. J’ai fini par prendre mon courage à deux mains pour lui demander quand il me ramènerait dans cet endroit. Il a sourit :

— T’as envie d’y retourner ? T’es encore pire que ce que j’imaginais. Mais ça me fait du fric, alors prépare-toi, on y retourne demain soir.

Le lendemain, pendant les cours, je ne pensais qu’à ça. J’étais tellement excité qu’à midi, au lieu d’aller déjeuner à la cantine, je me suis précipité aux toilettes pour me branler. Je suis entré dans une cabine, j’ai baissé mon jean et j’ai commencé à me masturber en me caressant le trou. J’ai entendu du bruit à côté, des gémissements : c’était clair, quelqu’un d’autre se branlait dans la cabine voisine ! Je me suis penché pour regarder sous la cloison : c’était un garçon de mon âge, mais d’une autre classe, qui se masturbait. Il avait une belle queue, qu’il faisait aller et venir dans sa main. Ça m’excitait encore plus ! Soudain, il a baissé les yeux et m’a aperçu. Il s’est arrêté quelques secondes, surpris. Comme je ne bougeais pas, il s’est remis à se branler en me souriant. Très vite, il a jouit. C’était impressionnant ! Son sperme a jailli en grande quantité, s’est écrasé sur la cloison, a coulé par terre. Il s’est essuyé la bite et est sorti. Je suis alors entré dans sa cabine, je me suis agenouillé et j’ai léché son sperme sur le mur et sur le sol. C’était délicieux. Je me suis masturbé en avalant ce foutre. Quand je suis enfin rentré chez moi, mon père n’était pas là. J’étais déçu, j’avais tellement hâte qu’il m’emmène au sex-shop ! J’ai trouvé un mot dans la cuisine : « Luc. Va sans moi au sex-shop. Xavier s’occupera de toi. ». Mon frère était dans le salon. Est-ce qu’il avait lu le mot ? Depuis le début, il avait l’air de savoir ce qui se passait. Je ne lui avais parlé de rien, et je voyais mal mon père lui expliquer la situation. Malgré tout, il avait forcément compris qu’il se passait quelque chose. Et là, ce mot, qu’il avait dû lire (il était posé en évidence sur la table), était assez explicite. J’ai pris le bus pour aller au sex-shop. En arrivant, Xavier m’a reconnu. Il m’a accueilli avec un grand sourire, et m’a fait la bise.

— Salut toi ! Tu vas bien ?

— Oui, merci.

— Je t’ai préparé les mêmes vêtements que la dernière fois. Va te préparer.

Je me suis changé dans une petite pièce attenante. J’ai enfilé le jock-strap et le t-shirt déchiré aux seins. Quand j’ai retrouvé Xavier, il avait l’air ravi :

— T’es superbe ! T’as eu un succès fou la dernière fois. Je me suis fait pas mal de fric grâce à ton père, tu sais ! Et lui aussi, d’ailleurs. Ça te va, tout ça, au moins ? T’as déjà pas l’âge légal pour entrer ici, en plus j’ai pas le droit de cautionner la prostitution… Alors faudrait pas qu’avec tout ça tu sois pas consentant !

— Non, non, ne vous inquiétez pas. Je suis d’accord.

— Cool ! Bon, écoute j’ai pas vraiment le temps de descendre avec toi, alors tu fais comme la semaine dernière, sauf que c’est à toi d’annoncer les tarifs. Tu prends l’argent avant de baiser, et si un mec profite de toi sans payer, tu viens me voir aussitôt, je m’occuperai de son cas. Ok ?

— Ok.

Je suis descendu. Il n’y avait pas beaucoup de monde, alors je me suis promené dans les couloirs. Dans les cabines, j’ai bien croisé quelques mecs qui se masturbaient, mais aucun n’a fait attention à moi. Je ne savais pas comment les aborder. Pourquoi, quand mon père était là, les mecs sentaient-ils de façon si évidente qu’il y avait du cul dans l’air ? J’étais habillé comme une pute, et depuis 10 minutes que je marchais dans ces couloirs, personne n’était venu m’accoster. Je suis passé devant un miroir, et j’ai compris. Malgré mon t-shirt trop court et mon cul à l’air, j’avais l’air terriblement sage. Avec ma petite mèche sur le front, mes grands yeux innocents, ma petite taille et mon corps menu, j’avais plus l’air d’un petit garçon perdu que d’une pute à prendre. Je repensais à mon père, à sa gueule de voyou, à ses bras tatoués… Lui, dans cet endroit, il se fondait dans le décor. Moi, j’avais l’air d’attendre mes parents pour rentrer !

J’ai décidé de faire comprendre aux hommes pourquoi j’étais là. Je suis entré dans une cabine, je me suis mis à 4 pattes, j’ai cambré mon cul en écartant les cuisses, j’ai posé ma joue par terre, entre mes mains. Par la porte ouverte, les mecs qui passeraient pourraient voir mon jock-strap, mon cul tendu, et comprendre aussitôt qu’il n’y avait plus qu’à venir s’y vider.

Ça a très bien marché ! J’étais là depuis à peine 30 secondes quand des mains m’ont caressé les fesses. J’ai bougé mon cul, un doigt s’est enfoncé en moi, je gémissais déjà. Le type est venu face à moi, sa queue était sortie, je l’ai prise en bouche. Que c’était bon ! Je n’y avais pas eu droit depuis une semaine. Il n’était pas très bien monté, seul son gland était assez gros. Je l’ai sucé avidement, il prenait ma tête dans ses mains pour m’imposer un rythme soutenu, je sentais sa bite qui allait de venait dans le fond de ma gorge, ses couilles poilues contre mon menton, son odeur de mâle… J’étais terriblement excité. Autoritaire, l’homme m’a retourné brutalement et a promené sa queue sur ma raie avant de positionner son gland contre mon trou. Il a essayé de me pénétrer, mais ça ne passait pas. Il m’a frappé les fesses, a craché sur ma raie, a étalé sa salive avec son gland, puis a recommencé. Ça rentrait mieux cette fois, mais j’étais toujours serré. Je l’ai senti passer ! Je serrais les dents, j’avais mal mais j’en avais tellement envie ! Il m’a limé avec rage, ça n’a pas duré longtemps : j’ai senti ses mouvements s’accélérer jusqu’à ce qu’il me remplisse en râlant. Il s’est retiré, j’ai voulu lui lécher la bite mais il l’avait déjà rentrée dans son pantalon. Je l’ai enfin vu : un homme d’une petite trentaine d’années, petit, trapu. Pas vraiment beau, mais pas repoussant non plus. Je m’en foutais : je m’étais fait baiser, c’est tout ce que je voulais. Il est parti.

Je me suis alors rendu compte que je ne lui avais pas demandé de payer. Tant pis. Après tout, moi, je ne voulais pas d’argent. J’ai repris ma pose.

Quelques minutes plus tard, une nouvelle queue s’est enfoncée en moi. Je n’ai même pas eu à sucer, le mec m’a pris direct, sans rien dire. Il m’a limé de longues minutes avant de se retirer pour jouir sur mon cul. Je sentais son sperme chaud couler sur mes fesses, sur mes cuisses. J’ai passé ma main pour en récolter une partie et me lécher les doigts. J’ai ensuite sucé un jeune type, il devait avoir à peine plus de 20 ans. Sa tête me disait vaguement quelque chose. Il a jouit dans ma bouche. Puis deux autres hommes m’ont pris, en même temps : j’en suçais un pendant que l’autre m’enculait, puis inversement. C’était trop bon ! Je me déchainais sur leurs queues, qui étaient très larges et assez longues. Ils ont jouit ensemble dans ma bouche, alors que j’étais allongé sur le dos.

Enfin, un type m’a payé. Il n’a même pas demandé les tarifs, il m’a baisé et a éjaculé au fond de mon cul avant de partir en me jetant trois billets de 20 euros. Je suis aussitôt remonté les donner à Xavier. Il a eu l’air surpris :

— C’est tout ? Ça fait plus de deux heures que t’es en bas, et tu me rapportes 60 euros seulement ?

— Ils n’ont pas tous payé.

— Je t’avais dit de monter me voir quand un mec refusait de payer !

— C’est ma faute. J’ai oublié de leur dire qu’il fallait payer.

Il en est resté interdit. Il me regardait avec de grands yeux, stupéfait.

— Tu as oublié ? Mais… Ils t’ont baisé, ou pas ?

— Oui.

— Mais je… Pourquoi tu les as laissés faire ?

— Ben… Parce que j’en avais envie.

— T’en avais envie ? Vraiment ?

— Oui.

— T’as 16 ans, t’es mignon comme tout, et t’as ENVIE de te faire baiser par des mecs qui ont deux ou trois fois ton âge dans une cabine de sex-shop ?

— Oui.

— Je pensais pas que t’étais aussi salope ! Je croyais que tu faisais ça parce que vous aviez besoin de fric.

— Non. Je ne sais pas si mon père a besoin d’argent, mais moi je le fais parce que j’aime ça.

— C’est encore mieux alors ! Je culpabilisais un peu, pour être honnête. C’est pas la première fois qu’il y a de la prostitution ici, mais j’avais jamais vu un mec aussi jeune le faire. J’étais persuadé que ton père t’obligeait.

— Il m’oblige, mais je suis content qu’il le fasse. Mais je ne dois pas trop lui dire, ça le met en rage que je sois gay.

— T’es plus que gay là… Tu sais que ça commence à me faire bander ? Je suis pas pédé pourtant !

— Vous voulez que je vous suce ?

— Non, ça va. Je baise pas avec des mecs. Même si t’es très mignon. Bon, je dirai pas à ton père que t’as oublié de te faire payer. Je lui dirai qu’il n’y avait presque personne ce soir, mais que t’as réussi quand même à sucer 3 mecs. Ça fait 60 euros. J’en garde la moitié, tu peux rapporter le reste chez toi.

— Je peux rester un peu ?

— Ouais, bien sûr ! Eclate-toi. Mais si t’arrives à faire payer les gars, c’est mieux, hein !

— Je vais essayer. A tout à l’heure !

Je suis redescendu. J’ai encore passé une bonne heure à sucer et à me faire prendre par n’importe qui. Je m’amusais beaucoup, je me sentais bien. J’avais envie de passer ma vie ici. Quand j’ai retrouvé Xavier, il était minuit passé.

— Ça va ? Pas trop fatigué ?

— Si ! Mais c’était trop bien !

— J’ai un très bon pote à qui tu plairais beaucoup, tu sais. Tu veux le rencontrer ?

— Bien sûr ! Maintenant ?

Il a éclaté de rire.

— Maintenant ? Même fatigué, t’as encore envie de te faire mettre ? T’es vraiment une salope !

— Je suis un peu fatigué, mais j’ai toujours envie.

— Il ne vit pas ici. Je lui parlerai de toi, ça lui donnera envie de venir.

— Quand vous voulez !

— Tu sais, on pourrait faire quelque chose pour lui donner envie de venir vite… Tu t’es déjà fait filmer ?

— Oui, pour des films de vacances.

— Non, je veux dire… T’as déjà été filmé pendant que tu baisais ?

— Non, jamais.

— On va essayer alors. Ça te tente ?

— Bien sûr !

— Redescends, alors. Mets-toi dans la cabine 5, et attends qu’un mec vienne.

— Il me filmera ?

— Non. J’ai installé des caméras de sécurité dans le sous-sol, l’une d’elles donne directement sur cette cabine. Tout sera enregistré, et d’ici je pourrai faire des gros plans sur toi.

— J’y vais !

Je me suis installé dans la cabine. Un mec n’a pas tardé à passer et repasser devant la porte ouverte ; voyant que j’étais tout disposé à l’accueillir il a finit par me rejoindre. Il était très mignon, viril, large d’épaules. Je lui donnais 28 ou 29 ans.

— Salut… Ça te dit de me pomper ?

Pour toute réponse, j’ai défait sa braguette. Agenouillé devant lui, j’ai pris sa grosse queue dans ma bouche et l’ai rapidement fait durcir. Il semblait apprécier, il dirigeait le rythme et me donnait des baffes à répétitions. Il s’est mis à me gifler avec sa queue, puis a descendu une main jusqu’à mon cul pour me doigter. En pensant au film, j’étais très excité. J’ai levé les yeux vers la caméra que j’ai vue au dessus de ma tête. Je me suis cambré pour lui faire comprendre que mes fesses étaient à sa disposition, mais il avait envie de profiter de ma bouche. Tout en me doigtant férocement, penché par-dessus moi, il s’excitait dans ma gorge. Il m’a finalement bloqué la tête contre ses couilles, sa queue bien enfoncée dans ma bouche, et a joui. Je n’ai même pas senti le goût de son sperme qui est tombé directement dans mon estomac. Il m’a tapoté la tête, comme à un gentil chien, a remballé sa bite et est parti.

Je suis remonté voir Xavier, qui avait l’air ravi :

— C’était parfait ! T’as assuré.

— Mais il ne m’a pas baisé.

— C’est pas grave, rien qu’avec ça on voit que t’es une bonne pute.

— Vous croyez que ça plaira à votre ami ?

— J’en suis certain. Même à moi, ça m’a plu, c’est pour te dire !

J’ai jeté un coup d’œil vers son entrejambe. On devinait la forme de sa queue en érection à travers son pantalon. J’ai souri :

— Ça vous a excité ? J’aimerais bien la voir.

— Petite salope… Ok, je te la montre, mais c’est tout ! Je suis hétéro, oublie pas !

Il a défait sa ceinture et sa braguette. Sa queue a surgit. Elle était magnifique ! Une bonne vingtaine de centimètres, très large, bien droite. Deux lourdes couilles, un gland énorme… J’en avais très envie ! J’ai avancé une main pour la caresser, mais Xavier ne m’a pas laissé faire :

— Pas touche ! Ton petit film m’a excité, parce que t’as bien fait ta pute, mais je veux pas aller plus loin. Au fait, je te donnerai une copie, si tu veux.

— Oui, je veux bien !

— Rentre chez toi maintenant. Il est tard. J’appellerai ton père pour lui expliquer pourquoi t’as pas plus de fric.

Je suis rentré me coucher. J’avais hâte de goûter à de nouvelles bites. Celle de Xavier a hanté mes rêves toute la nuit.

A suivre…

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Jeudi 2 août 4 02 /08 /Août 00:23

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Après avoir appris mon homosexualité, mon père, homophobe, a cherché à m’en détourner. Il m’a ainsi livré à des pervers qui ont abusé de moi. Voyant que ça ne me dégoûtait pas, il m’a prostitué dans un sex-shop tenu par un de ses amis, Xavier. Celui-ci m’a filmé en train de sucer un homme.

Au lycée, je continuais à fantasmer sur tous les garçons que je croisais. Il m’arrivait de rencontrer celui dont j’avais léché le sperme dans les toilettes, mais nous ne nous parlions jamais. J’allais très souvent me masturber, en imaginant que je suçais un prof, que je branlais le concierge, ou qu’un mec de ma classe me baisait… Je ne pensais plus qu’à ça. Heureusement que j’avais eu de très bonnes notes toute l’année, parce qu’arrivé en juin, je ne travaillais plus beaucoup.

Un vendredi après-midi, mon père est venu me chercher. J’étais en cours d’histoire, quand un des pions est entré dans la classe pour me dire de prendre mes affaires et de le suivre. Arrivé à l’accueil, j’ai vu mon père, en train de discuter avec le concierge. Celui-ci m’a regardé bizarrement, avec un sourire étrange. Mon père m’a dit :

- Tu ne vas pas en cours cet après-midi. J’ai parlé avec ton professeur principal, c’est arrangé.

- Pourquoi ? Qu’est-ce qu’il y a ?

- Je t’emmène à l’hôpital.

J’ai paniqué. Est-ce que quelqu’un de ma famille était malade ? Est-ce que je devais subir des examens ? Est-ce que quelqu’un allait mourir ? J’ai suivi mon père. Dans la voiture, je l’ai assailli de questions :

- Qu’est-ce qui se passe ? Quelqu’un est mort ?

- Mais non.

- Pourquoi on va à l’hôpital ?

- On ne va pas à l’hôpital !

- Ah bon ? Mais… Tu as dit que… Mais, on va où, alors ?

- Chez un client. Je pouvais pas dire à tes profs que tu fais la pute, ils auraient appelé les services sociaux. J’ai quand même fait comprendre au concierge que t’aimais la queue, il a l’air vicieux alors y a pas de risque qu’il me pose de problème.

- …

- Au fait, Xavier m’a montré ta vidéo. Ça m’a donné des idées. Comme t’as ramassé que 60 euros au sex-shop la dernière fois, je vais faire un site internet pour te trouver des clients.

L’idée m’a tout de suite plu. Un site consacré à moi ! Un site sur lequel des hommes vicieux pourraient s’exciter grâce à moi ! C’était génial ! Mon père a continué :

- J’ai demandé à ton frère de s’en occuper, il se débrouille bien avec les ordinateurs.

- Christophe ? Il est au courant ?

- Au courant de quoi ?

- Ben… que…

- Que quoi ? Dis-le !

- Que je… que je suis gay.

- Que t’es une pute, tu veux dire, oui ! Bien sûr qu’il est au courant, tu crois que ça se voit pas quand tu reviens couvert de sperme ?

Je n’ai pas osé répondre. Après avoir roulé quelques minutes, nous sommes sortis de la ville. Nous avons traversé la banlieue, puis la campagne. Ça n’en finissait pas. J’ai fini par m’endormir.

Quand je me suis réveillé, nous étions garés devant une jolie maison assez isolée. Il était 18 heures. Autour de moi, il y avait des champs, un petit bois tout proche, une ou deux maisons à quelques centaines de mètres. J’étais seul. Mon père est alors sorti de la maison, accompagné d’un homme d’une cinquantaine d’années, très grand. Je l’ai détaillé quand ils se sont approchés : des cheveux poivre et sel, un peu de ventre mais une certaine prestance, un visage carré, buriné, mais souriant. Mon père m’a ouvert la portière :

- Je reviendrai te chercher dimanche soir. T’as intérêt à bien obéir à ce monsieur.

Il a pris le volant et est parti. Le « monsieur » m’a invité à le suivre. La maison était bien décorée, elle avait l’air assez grande.

- Tu t’appelles Luc, c’est ça ?

- Oui, monsieur.

- Tu peux m’appeler Gérald. Installe-toi. Tu veux boire quelque chose ?

- Non, merci.

Je me suis assis sur un canapé. Gérald s’est assis à côté de moi.

- Tu n’as pas froid ?

- Non.

- Alors déshabille-toi. Je veux que tu restes nu tout le week-end.

Pendant que je me déshabillais devant lui, Gérald me parlait toujours :

- Ne t’inquiète pas. Je ne suis pas méchant. Je ne te ferai pas de mal. Mais il faudra être gentil avec moi. J’ai donné beaucoup d’argent à ton père pour t’avoir pendant deux jours. Tu devras faire ce que je veux, dès que je le demande. Tu auras à manger, je te prêterai une chambre, où tu auras le droit de te reposer. Tu as un très joli corps. Tout mince. Et sans poil. Tu te rases ?

- Non.

- Tu as quelques poils au dessus du sexe, tout de même. Et entre les fesses ? Montre-moi.

Je me suis penché en avant. Il a écarté mes fesses, les a caressées.

- Même là, tu es imberbe… C’est très agréable. Très beau.

Il s’est levé, a appuyé sur mes épaules. Il a sorti sa bite de son pantalon. Machinalement, j’ai ouvert la bouche. Sa queue était de taille moyenne, assez épaisse quand même. Je l’ai sucé. Elle sentait un peu la pisse. Il me donnait des petites tapes sur la tête. Sa queue entrait toute entière dans ma bouche sans problème. Je l’ai sucé tranquillement, il n’avait pas l’air pressé, ses gestes étaient plutôt doux. Il se penchait pour caresser mon corps, pour me mettre un doigt, parfois il essayait de me branlait mais je n’aimais pas trop ça, il me faisait un peu mal. Ça a duré une dizaine de minutes, puis il a pris mes cheveux, m’a tiré la tête en arrière en se branlant de sa main droite. Il a éjaculé sur mon visage, une partie de son sperme est allée entre mes lèvres ouvertes.

Il me regardait, souriant. Il a étalé son sperme sur ma figure puis m’a fait lécher ses doigts.

- Tu suces très bien. Suis-moi, je vais te montrer ta chambre.

Je me suis installé dans une chambre à côté du salon. Mon père m’avait préparé un petit sac avec quelques affaires de rechange, une brosse à dent, des serviettes. Gérald m’a dit de prendre mon temps, qu’il m’appellerait quand le dîner serait prêt. J’en ai profité pour prendre un bain dans la petite salle de bain attenante à ma chambre.

Vers 20h30, Gérald est venu me chercher. Il avait préparé des pâtes. J’avais faim ! J’allais attaquer mon plat quand il m’a interrompu :

- Attends. Je n’ai pas mis la sauce. Mets-toi à genoux par terre.

J’ai obéit. Il a mis mon assiette devant moi, a sorti sa bite et a commencé à se branler. J’allais la sucer quand il m’a arrêté.

- Non. Tu ne touches pas. Laisse-moi faire, réponds juste à mes questions. Tu aimes la bite ?

- Oui.

- Mieux que ça. Réponds clairement. Tu aimes la bite ?

- Oui, j’aime la bite.

- Tu aimes sucer les hommes ?

- Oui, j’aime sucer les hommes.

- Mieux que ça ! Quels hommes ?

- Tous. Tous les hommes qui veulent. Je suce n’importe qui.

- T’es une pute ? Un vide-couilles ?

- Oui, je suis une pute et un vide-couilles, il suffit de me demander pour que je donne ma bouche ou mon cul.

- C’est mieux, continue. Tu avales le sperme ?

- Oui, j’aime le goût du sperme, j’ai envie d’avoir le ventre plein de sperme tous les soirs.

- Tu te fais remplir la chatte ?

- Oui, les hommes peuvent me prendre et se vider dans mon cul, j’aime me faire remplir.

Gérald était de plus en plus excité. Il se branlait très vite en m’écoutant. Cette « conversation » a duré encore une minute, puis il a jouit sur mes pâtes.

- Tu peux manger maintenant. Reste là. Mange comme une chienne.

Je me suis penché en avant pour manger mes pâtes au sperme. Ce n’était pas très bon, le sperme était déjà froid et les pâtes aussi. Mais j’ai tout mangé. La situation m’excitait.

Après le dîner, nous nous sommes installés sur le canapé pour regarder la télé. J’étais toujours nu, Gérald me caressait. Je sentais sa queue qui gonflait sous son pantalon. Il l’a sortie, m’a dit de m’asseoir dessus. J’ai essayé, mais ça ne rentrait pas, j’étais trop serré, ça me brûlait. Gérald a eu l’air étonné :

- Ton père m’a dit que tu te faisais beaucoup niquer.

- C’est vrai.

- Je pensais que tu serais plus ouvert. Je vais mettre du gel.

Il m’a enduit le trou d’un gel froid. Quand j’ai à nouveau tenté de m’asseoir sur sa queue, c’était beaucoup plus facile. Il fallait toujours forcer un peu, mais je n’avais plus du tout mal, et j’ai très vite pris toute sa bite en moi. Il me tenait par les hanches, me faisait aller et venir sur son sexe, je gémissais. C’était bon. Il caressait mon corps, attrapait dans ses mains mes petits seins, qui n’étaient bien sûr pas développés comme ceux d’une fille mais qu’il arrivait tout de même à prendre. Il donnait lui-même des coups de hanches pour s’enfoncer en moi. Il y avait un peu de brutalité dans ses gestes, mais cette fois il ne parlait pas. Après quelques minutes, il a jouit au fond de moi en râlant, c’était très viril. Il m’a attiré à lui pour me câliner. C’était bizarre, je n’avais pas l’habitude de ça, mais je l’ai laissé faire. Sa queue était toujours en moi.

Peu après, nous sommes allés nous coucher, chacun de notre côté. Je n’avais pas sommeil, j’étais excité. Je me demandais ce qui allait se passer durant ces deux jours. J’espérais que nous ne resterions pas seuls, Gérald était gentil mais je risquais de m’ennuyer avec lui.

Quand je me suis réveillé, il était déjà midi. Gérald était dans ma chambre, un plateau entre les mains avec mon petit déjeuner dessus.

- Bonjour ! J’espère que tu as bien dormi. La journée sera chargée ! Prends ton temps pour déjeuner, mange bien parce qu’il va te falloir des forces ! Je t’attends au salon.

J’ai tout mangé, puis je me suis lavé. Je ne me suis pas habillé, puisqu’il m’avait dit que je resterais nu tout le week-end. J’ai retrouvé Gérald dans le salon. Il tenait un appareil photo à la main.

- J’ai passé un petit deal avec ton père. Il a baissé le prix fixé au départ à condition que je fasse des photos de toi pendant ce week-end. Viens avec moi.

Nous sommes sortis. Dans le jardin, il m’a fait prendre des poses cochonnes. Je devais être à 4 pattes, tirer la langue, écarter mes fesses, m’allonger sur le ventre en écartant les cuisses, me doigter…. Et Gérald photographiait tout ça. C’était très excitant ! Et, visiblement, ça excitait aussi beaucoup Gérald, qui n’a pas tardé à me donner sa queue à sucer. J’étais nu, à genoux dans l’herbe, en train de pomper la queue d’un mec de 35 ans plus âgé que moi, et il me prenait encore en photo. La bite entre les lèvres, je levais les yeux vers lui avec un regard que j’espérais être un regard de salope. Il a jouit dans ma bouche et m’interdisant d’avaler, puis m’a fait tirer la langue. Elle était couverte de sperme : il en a encore pris des photos.

Nous sommes ensuite allés nous promener dans les champs. J’étais toujours nu, j’avais juste passé des petites sandales. La sensation était terrible. J’avais très envie de croiser des hommes. Nous n’avons vu qu’un vieux paysan qui conduisait son tracteur. Il avait au moins 75 ans, une grosse moustache, un béret. Il n’était pas sexy du tout ! Il nous regardait, étonné. Gérald m’a tripoté devant lui, il me mettait des doigts, il me faisait agenouiller devant sa bite. Le vieux a finit par venir vers nous. Sans rien dire, il se caressait l’entrejambe. Gérald m’a poussé vers lui. Le vieux avait l’air hésitant mais curieux. Très excité, j’ai caressé sa bite au travers de son pantalon. Elle n’avait pas l’air bien dur. J’ai défait sa braguette, sorti sa queue molle. Je l’ai prise en bouche. Elle puait. Je l’ai sucé quand même. Il ne bandait pratiquement pas mais apparemment il prenait quand même du plaisir.

Derrière moi, Gérald me léchait le trou. Ça me faisait gémir. Gérald m’a retourné pour tendre mon cul vers le paysan. Il a essayé de me prendre, mais avec sa queue molle et mon trou serré, ça ne rentrait pas. Gérald a pris la bite du vieux dans sa main pour la guider. Le gland est rentré, le vieux a donné quelques coups de reins, je sentais bien qu’il était en moi mais il ne bandait décidément pas. Je bougeais mon cul pour m’empaler un peu plus dessus. Le vieux a finit par abandonner l’idée et est revenu vers ma bouche. Je l’ai encore sucé au moins 10 minutes avant qu’il ne gicle dans ma bouche, sans avoir jamais vraiment bandé. J’ai tout avalé. Le vieux est parti. Gérald, surexcité, a aussitôt investi mon cul. Sa queue était bien raide, elle ! Il m’a défoncé quelques minutes et a rapidement jouit en moi.

Finalement, ce week-end allait peut-être s’avérer sympa…

A suivre...

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Mardi 31 juillet 2 31 /07 /Juil 21:01

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Après avoir appris mon homosexualité, mon père a cherché à m’en détourner en me livrant à des hommes vicieux. Voyant que ça n’avait pas l’effet voulu, il m’a prostitué dans un sex-shop, puis m’a loué à un quinquagénaire, Gérald, pour tout un week-end.

Jusqu’en milieu d’après-midi, Gérald m’a laissé tranquille. Il est parti quelques heures, j’en ai profité pour déjeuner normalement (sans supplément sperme dans mon plat cette fois, ce qui n’était pas plus mal). Je me suis promené dans le jardin, toujours nu évidemment : j’avais bien retenu les instructions de Gérald, et rester à poil m’excitait beaucoup. Je me suis allongé dans un hamac, et j’ai rêvassé quelques instants. Soudain, une voix m’a fait sursauter :

— Qu’est-ce que tu fous là ?

Je me suis redressé. Un jeune homme (il devait avoir 16 ans, lui aussi, peut-être 17) se tenait face à moi. Il était plutôt mignon, assez grand, mince. Très brun, avec des sourcils impressionnants et déjà un petit début de barbe mais un visage encore adolescent.

Je ne savais pas quoi répondre. Il a repris :

— T’es qui ?

— Je… C’est Gérald qui m’a laissé là…

— Il est où ?

— Je ne sais pas… Il doit revenir bientôt, je crois.

— Et toi, tu m’as pas dit, t’es qui ?

— Je suis… Un ami.

— Un ami ? T’as quel âge ? Pourquoi t’es à poil ?

J’avais presque oublié ça. J’ai ramené mes mains devant ma bite.

— J’avais chaud. Et heu… J’ai 16 ans.

— Ok…

Il n’avait pas l’air convaincu par mon explication. Mais il a finit par me tendre la main :

— Moi c’est David.

— Moi Luc. Et heu… toi, tu es qui ?

— Ben, le fils de Gérald.

J’étais interloqué. J’aurais dû m’en douter, évidemment, mais je me sentais soudain encore plus mal. David s’est éloigné en marmonnant :

— Je vais poser mes affaires. T’as qu’à te rhabiller pendant ce temps.

J’ai enfilé un boxer, un t-shirt et un jean, et j’ai retrouvé David sur la terrasse. Il m’a offert un Coca, s’en est servi un, m’a proposé une cigarette.

— Non, merci.

— Tu fumes pas ? C’est vrai que t’es jeune.

— T’as quel âge, toi ?

— 17 ans. Faut pas dire à mon père que j’ai des clopes, il me tuerait. T’en veux pas une pour essayer ?

J’ai accepté une cigarette. Ça m’a fait beaucoup toussé, je n’aimais pas trop le goût. Mais j’ai continué à la fumer, juste pour ne pas perdre contenance face à lui. On a un peu discuté, de nos lycées, de son père… Il m’a expliqué qu’il vivait chez sa mère, mais venait de temps en temps chez son père pour le week-end. Il finit par me poser la question fatidique :

— Mais toi alors, tu connais mon père comment ? T’es un de ses élèves ?

Ouf, sauvé ! David venait de me donner une porte de secours. J’ai sauté sur la perche :

— Presque ! Il me donne des cours de soutien.

— Ah, ok. Je savais pas qu’il faisait ça. Enfin c’est quand même bizarre que tu te balades à poil…

— Je savais pas que quelqu’un me verrait.

Gérald est arrivé à ce moment-là. Il a fait une de ces têtes en voyant son fils !

— David ? Mais qu’est-ce que tu fais là ?

— Maman a dû aller travailler, c’était pas prévu, alors elle a été obligée de me déposer en catastrophe.

— Ah, ok, super… Tu… Tu as fait connaissance avec Luc, apparemment ?

— Ouais. Bon, je vais aux toilettes.

Dès que David a été parti, Gérald m’a chuchoté :

— Qu’est-ce que tu lui as dit ?

— Que vous me donniez des cours de soutien. Il pensait que j’étais un de vos élèves.

— Nickel. Je suis désolé, je ne pensais pas qu’il viendrait. Ecoute, il sait que je suis bisexuel, ça ne lui pose pas de problème, mais je ne peux pas lui expliquer que je couche avec toi, et encore moins que j’ai payé pour ça !

— Je ne lui ai rien dit.

— C’est bien. Bon, on n’a plus qu’à être discrets.

J’ai passé le reste de l’après-midi avec David. On s’est très bien entendu, malgré nos deux ans d’écart. Une première fois, David est allé passer un coup de fil. Gérald en a profité pour me mettre sa queue en bouche. Il a jouit très vite, j’ai avalé. Plus tard, David est allé se doucher, et Gérald m’a enculé devant la porte de la salle de bain, me mettant la main sur les lèvres pour m’empêcher de gémir. Cette fois, il m’a remplit le cul de son sperme.

Vers 19 heures, Gérald a suggéré à son fils d’aller au cinéma. David m’a proposé de venir avec lui, mais Gérald a prétexté des leçons à réviser pour que je reste.

Dès que nous avons été seuls, Gérald m’a entièrement déshabillé. Il a installé une caméra sur un trépied, et a commencé à me tripoter. Quelqu’un a sonné à la porte. Gérald a fait entrer un homme de son âge, un très bel homme. Celui-ci a aussitôt sorti sa queue, très petite, que j’ai sucée. Pendant une heure, ils m’ont baisé. Gérald et son ami me faisaient souvent faire face à la caméra, je devais dire « J’aime la bite », ou montrer ma bouche pleine de sperme. C’était très excitant !

Après avoir jouit deux fois (dans mon cul puis dans ma bouche), l’homme est parti. Gérald m’a dit de m’installer sur le canapé, face à la caméra, les jambes écartées. Il m’a demandé de me doigter, puis a sorti une grosse bite en plastique noir qu’il m’a enfoncée dans le cul. Il m’a dit que c’était un gode. C’était agréable, mais pas aussi bon qu’une vraie bite. Je me suis branlé le cul avec le gode pendant que Gérald, derrière la caméra, jouait au réalisateur, alternant gros plans et plans plus larges.

Vers 22 heures, Gérald m’a dit que je pouvais me reposer, son fils n’allait pas tarder à rentrer. J’étais épuisé ! J’ai pris une longue douche, puis je suis allé dans mon lit.

La porte de ma chambre s’est ouverte : c’était David. Il est venu s’assoir sur le bord de mon lit.

— Ça va ?

— Oui. C’était bien le ciné ?

— J’y suis pas allé.

— Ah bon ? T’as fait quoi ?

— Je suis resté là. J’étais dans le jardin. J’étais caché, mais je vous ai regardés par la fenêtre.

Bizarrement, ça ne m’a pas mis mal à l’aise. J’étais plutôt content qu’il nous ait vus. Il n’avait pas l’air de m’en vouloir, et ça me plaisait qu’il sache que j’étais un vide-couilles docile. Il m’a demandé :

— Il te plait, mon père ?

— Oui. Enfin je ne sais pas.

— Pourquoi tu baises avec lui alors ?

— Parce que j’aime ça.

— Et avec moi, t’aimerais ?

— Oui, si tu veux.

— Je sais pas si je veux. J’ai jamais fait ça. Ni avec une fille. Mais j’ai envie d’essayer. Tu me suces ?

— Ok.

Il s’est levé, a défait sa braguette. Sous son caleçon, je voyais la forme d’une bite plus grosse que celle de son père, pas encore bandée. Je l’ai caressée, il l’a sortie. De sa main droite, il a amené ma tête vers son gland. Je l’ai pris en bouche, j’ai commencé à le sucer. Il avait l’air aimer, il penchait la tête en arrière en gémissant doucement. Je prenais sa queue au plus profond de ma gorge, je caressais ses couilles, je léchais son gland… Après une ou deux minutes, il m’a arrêté :

— Je vais jouir si tu continues. Tu veux que je te suce aussi ?

— Je sais pas. On m’a jamais sucé.

— Je vais essayer, mais je sais pas si je saurai faire.

Je me suis assis sur le bord de mon lit, jambes écartées. Je bandais bien, avoir une queue dans la bouche m’excite systématiquement. Il s’est agenouillé devant moi et a commencé à me sucer. Ce n’était pas vraiment désagréable, mais ça ne m’excitait pas tellement. Il n’a d’ailleurs pas beaucoup insisté et s’est relevé en me disant :

— Désolé, j’aime pas trop ça. Tu veux bien me sucer quand même ?

Pour toute réponse, j’ai repris sa bite en bouche. Il avait un peu débandé, mais quelques coups de langues ont suffit à faire remonter son excitation. En trente secondes, il éjaculait tout son sperme sur ma langue. C’était délicieux et j’avalais avec plaisir. Il m’a sourit :

— Merci. On n'en parle pas à mon père, hein ?

Il est parti. Je me suis très vite endormi.

Le lendemain, Gérald m’a réveillé en me fourrant sa queue dans la bouche. Il souriait :

— David dort encore, je vais pouvoir profiter un peu de toi.

Il tenait son appareil photo à la main. Il m’a pris en photo pendant que je le suçais, à genoux sur le sol, nu. Lui était resté habillé, il avait simplement ouvert sa braguette pour sortir sa bite.

Il m’a ensuite fait mettre à 4 pattes sur mon lit, m’a doigté quelques instants en mouillant ses doigts de salive, puis m’a enfoncé son sexe dans le cul. Il a dû forcer un peu pour entrer ; puis il m’a pilonné comme un bourrin jusqu’à cracher tout son jus dans mes entrailles. J’ai ensuite dû nettoyer sa queue molle.

Le reste de la journée s’est passée normalement, la présence de David empêchant Gérald de me baiser. Mon père est venu me chercher vers 19 heures. Pendant qu’il échangeait quelques mots avec Gérald, David m’a entraîné dans un coin du jardin pour que je le suce. Je lui ai proposé de me prendre, mais il n’a pas voulu.

Mon père ne m’a pas adressé la parole. Il ne m’a même pas demandé comment j’allais. Nous sommes rentrés en silence.

A suivre…

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Mardi 31 juillet 2 31 /07 /Juil 18:44

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Après avoir appris mon homosexualité, mon père a cherché à m’en détourner en me livrant à des hommes vicieux. Voyant que ça n’avait pas l’effet voulu, il m’a prostitué dans un sex-shop, où Xavier, le gérant, m’a filmé en pleine action. Au cours d’un week-end chez un autre client, celui-ci m’a également filmé et prit en photo pendant nos ébats.

Le lundi matin, quand je suis retourné au lycée (c’était l’avant-dernière semaine de cours de l’année), j’avais déjà envie de sexe. Le concierge m’a fait un clin d’œil : j’ai repensé à ce que m’avait dit mon père, qu’il avait laissé entendre à cet homme que j’aimais la bite. Pendant les cours, je matais tous les mecs, des élèves aux profs.

A midi, j’ai déjeuné très rapidement : j’avais hâte d’aller me branler dans les toilettes. J’ai croisé le concierge dans la cour. Notre concierge est d’origine turque, sans âge, pas très beau, avec une grosse barbe noire. Il m’a fait signe de le suivre. Arrivés dans sa loge, près de l’entrée, il m’a dit :

- Entre dans le placard.

C’était un placard qui servait à ranger des balais, des seaux, des serpillères… J’ai posé mon sac par terre. Il est rentré derrière moi et a tiré la porte.

- Mets-toi à genoux.

C’était assez difficile, l’endroit étant étroit, et lui prenait beaucoup de place. Il a défait son pantalon pour sortir une queue à moitié bandée, fine et longue. Ça contrastait avec son corps massif. Il me l’a mise dans la bouche et me tenant par les cheveux. Il chuchotait des insultes, des ordres :

- Vas-y bouffe ma bite, pédé ! Suce ! Salope ! T’es une pute, t’aimes la bite ? Tiens ! Relève-toi, je vais te niquer.

Debout, je me suis retourné et me suis appuyé contre le mur en tendant mon cul. Il a baissé mon jean, a craché sur ma raie et positionné son gland sur mon trou. Il a poussé mais ça ne rentrait pas. J’étais stupéfait de constater que malgré mes nombreuses séances de baise, j’étais toujours aussi serré. Le concierge a mis quelques doigts dans mon cul, sans délicatesse, c’était désagréable, ça faisait mal, mais je le laissais faire. Il a remis sa queue contre moi et a poussé plus fort. En forçant beaucoup, son gland a commencé à entrer. J’avais vraiment mal. Il a continué comme ça jusqu’à ce que la moitié de sa queue soit en moi, il a à nouveau craché sur sa bite et, d’un coup sec, a rentré le reste de son membre dans mon cul. J’ai failli hurler, mais il avait déjà mis sa main sur ma bouche.

Il a commencé à me donner de grands coups de butoirs. Je gémissais, la douleur était déjà envolée. J’étais d’ailleurs étonné de constater que sa queue glissait à présent très facilement en moi. Il m’a niqué pendant quelques minutes avant de jouir dans le fond de mon cul. Il s’est aussitôt rhabillé et m’a laissé là.

J’ai passé une main entre mes fesses. C’était tout humide, mais ce n’était pas du sperme. J’ai compris que j’avais mouillé du cul.

En fin d’après-midi, quand je suis rentré chez moi, mon père n’était pas encore là. J’ai trouvé mon frère devant son ordinateur. Mon frère, Christophe, a trois ans de plus que moi. Depuis plusieurs années, il semble avoir oublié mon existence. Quand nous étions petits, on s’entendait bien, mais dès son entrée au collège j’ai compris que j’étais trop jeune pour l’intéresser encore.

Maintenant, les choses ont forcément changé : mon père m’avait dit qu’il avait mis Christophe au courant de nos activités. Mais je n’en avais encore jamais parlé avec lui. Ce soir-là, c’est lui qui m’adressa la parole :

- Luc, viens voir.

- Qu’est-ce qu’il y a ?

Il semblait très gêné. Il finit par me dire que notre père lui avait demandé de créer un site internet pour diffuser des photos et vidéos de moi (ce que je savais déjà). Il m’a assuré que le fait que j’aime les hommes ne lui posait aucun problème, mais il se demandait si j’étais véritablement consentant à ce que mon père me prostitue. Il trouvait évidemment étrange que j’accepte un tel traitement.

Timidement, je lui expliquai alors que ça ne me dérangeait pas, et même que ça me plaisait. Après un moment de gêne partagée, on a réussi à en parler assez simplement. Je n’ai pas osé lui dire que j’étais déjà accro aux hommes, que j’avais constamment envie de queue, que ce matin j’avais laissé le concierge du collège me baiser et que j’étais déjà prêt à y retourner et à accepter n’importe quelle bite pourvu qu’elle me gave de sperme. Non, je ne pouvais pas lui exposer les choses aussi crument. Je me suis contenté de lui dire que j’étais tout à fait d’accord, que j’aimais ce qui se passait, et qu’il ne fallait pas s’inquiéter pour moi. Christophe restait assez impassible, ce qui finalement n’était pas surprenant : il avait toujours l’air d’avoir zéro de tension.

Il s’est remis au travail. Durant la soirée, j’étais toujours en chaleur. Mon père était rentré et ne m’avait pas adressé la parole, mais je m’en foutais. Je ne pensais qu’à une chose : me faire baiser. Mais tout seul, je ne savais pas comment faire. Où trouver des hommes ? J’aurais pu aller au sex-shop de Xavier, mais je n’osais pas demander l’autorisation à mon père. Quand il est allé prendre une douche, je me suis glissé dans sa chambre pour fouiller dans ses affaires. J’ai trouvé le caleçon qu’il avait porté toute la journée, je l’ai respiré et me suis branlé en sentant cette odeur de mâle. Je n’ai pas eu le temps de jouir, mon père sortait déjà de la salle de bain. Je me suis précipité dans ma chambre avant qu’il ne me voit.

Mon frère est venu me voir :

- Je t’ai vu dans la chambre de Papa. Il te baise, lui aussi ?

- Non. Il est homophobe, il ne supporte pas que je sois gay.

- Ouais, enfin ça l’arrange bien quand même de se faire du fric sur ton dos. Pourquoi tu respirais son caleçon ?

- Parce que je ne sais pas comment faire pour trouver un homme tout seul.

- Tu veux les miens ?

- Les tiens ?

- Mes caleçons. J’en ai quelques uns qui sont pas encore lavés.

- Tu veux bien ? Ça te dérange pas ?

- Ben non, si ça peut te faire plaisir. Je reviens.

Il est revenu avec 3 caleçons sales.

- Je te laisse en profiter. T’as qu’à les mettre dans le panier de linge sale quand t’en auras plus besoin. Je t’en passerai d’autres si tu veux.

J’ai passé une heure à me caresser, les caleçons de mon frère sur le visage. Je me doigtais, je me branlais, en respirant cette odeur de mâle, mélange de sueur, de sperme, et de pisse. Je ne pensais pas particulièrement à mon frère, la seule odeur d’un homme suffisait à mon excitation.

Ma relation avec mon frère a commencé à changer. Il était très gentil avec moi, il s’assurait constamment que j’allais bien, il me proposait régulièrement ses caleçons. Il n’y avait aucun jugement de sa part, il semblait accepter que je sois accro à cette odeur, aux hommes. Il me tenait informé de l’avancée du site internet. Quand il a fêté ses 18 ans, un soir en l’absence de mon père, nous avons passé une excellente soirée tous les deux à rire et à parler de nos vies.

Pendant presque une semaine, j’ai pu tenir sans sexe, simplement grâce aux sous-vêtements de mon frère et à l’excitation due à l’idée que le site internet allait bientôt être mis en ligne. Un matin, le concierge m’a tout de même donné sa bite à pomper.

Un soir, Christophe m’annonça que tout était prêt. Il me fit prendre place face à l’ordinateur. Il m’expliqua qu’il avait fait héberger le site à l’étranger, pour contourner les lois qui protègent les mineurs. Je découvrais un web site entièrement consacré à mes photos et vidéos. Sur la page d’accueil, on me voyait nu, agenouillé, le visage levé vers l’objectif, la bouche ouverte, la langue tendue et couverte de sperme. En cliquant sur les différentes rubriques, on pouvait accéder aux photos sur lesquelles je suçait, je me faissais prendre, je me doigtais, me godais… On pouvait également voir des extraits de vidéos. Pour les regarder en entier, il fallait payer. En bas, un lien menait à une page sur laquelle étaient détaillés les tarifs liés à mes prestations. Il y en avait plein : de la pipe au week-end tout compris, en passant par une sodomie dans un lieu public, dans un hôtel, chez le client, ou encore la possibilité de me louer sur une période donnée, de m’emmener dans un lieu de drague… On pouvait également demander un show par webcam, ou même un show privé à domicile. Je n’en revenais pas : c’était très complet et très professionnel ! Christophe semblait très fier. Il m’expliqua que c’était lui qui avait eu l’idée de proposer différents types de plans, et donc différents tarifs. Il avait compris que non seulement j’étais d’accord pour me prostituer, mais qu’en plus j’avais soif d’expériences, et il avait voulu me faire plaisir.

Je lui en étais très reconnaissant. Pour la première fois depuis des années, nous nous prîmes dans les bras.

A suivre…

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Mardi 31 juillet 2 31 /07 /Juil 02:06

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Après avoir appris mon homosexualité, mon père a cherché à m’en détourner en me livrant à des hommes vicieux. Voyant que ça n’avait pas l’effet voulu, il m’a prostitué dans un sex-shop, où Xavier, le gérant, m’a filmé en pleine action. Au cours d’un week-end chez un autre client, celui-ci m’a également filmé et pris en photo pendant nos ébats. Les photos et vidéos servent à présent à illustrer un site internet, créé par mon frère, qui permet aux clients potentiels de prendre contact avec mon père pour me louer.

Quelques jours après la mise en ligne du site internet, mon frère est venu m’annoncer que les visites explosaient le compteur. J’étais ravi. Le soir même, mon père m’a dit de me préparer pour un client. Je n’avais en réalité nul besoin de préparation : j’étais constamment prêt à me faire baiser.

On a sonné à la porte alors que j’attendais dans ma chambre. Mon père est venu me chercher et m’a guidé jusqu’à la sienne. Les volets étaient fermés, seule une petite lampe éclairait la pièce. Un homme d’une bonne cinquantaine d’années était assis sur le lit. Mon père est sorti en fermant la porte.

— Salut. Alors c’est toi Luc ? T’es encore plus mignon qu’en photo. Viens là.

Je me suis assis à côté de lui.

— J’espère que t’es une aussi bonne salope que ce que m’a dit ton père, parce que j’ai très envie de baiser. Et je te préviens, je suis pas tendre.

Ça, je m’en foutais. Ça faisait trop longtemps que je n’avais pas eu de vraie bonne bite à me mettre sous la dent (enfin, façon de parler).

— Tu vas commencer par te déshabiller, puis tu vas venir me pomper à genoux.

J’ai obéi. Il a sorti sa queue de son pantalon, elle semblait assez large, bien qu’encore à demi molle. Je l’ai prise entre mes lèvres, il a appuyé ses mains sur ma tête et j’ai commencé à sucer. C’était tellement bon ! Sa queue durcissait très vite, elle m’emplissait la bouche. Il commentait beaucoup :

— C’est bien petite salope, pompe ça ! Plus profond ! Prends-la toute entière… Ouais… Vas-y ma pute, suce… T’es une vraie cochonne, ça te plait la bite d’un vieux pervers, hein ? Continue, ta bouche est trop bonne… Cambre bien ton petit cul, je vais te doigter un peu la chatte…

J’obéissais à tous ses ordres. Il s’est mis à me glisser quelques doigts entre les fesses, ce qui n’était pas facile : je ne m’étais pas fait prendre depuis plus d’une semaine. Il avait de gros doigts boudinés et les faisait entrer en moi sans aucune délicatesse – ce qui, en fait, m’excitait beaucoup.

— Ton trou est serré, j’adore ça. Ça va être bon d’y mettre ma queue… Je vais bien te défoncer, tu vas voir… T’en as envie, hein ? T’as envie que je te prenne ?

— Oui, monsieur, j’en ai très envie.

— C’est bien. Lâche ma queue et mets-toi à 4 pattes sur le lit.

Une fois en position, j’ai écarté mes cuisses et cambré mon cul. Il a laissé couler un trait de salive entre mes fesses avant de faire glisser sa queue raide sur ma peau. C’était trop excitant, je mourrais d’envie de me faire niquer. Je lui ai fait comprendre en gémissant.

— T’es une vraie petite lope, toi… J’aime les jeunes chiennes dans ton genre… Tu vas l’avoir, t’inquiètes pas…

Et soudain, il a positionné son gland contre mon trou et a poussé. Serré comme je l’étais, ça n’a pas été facile. Mais j’étais suffisamment excité pour ne pas avoir mal, et malgré mon étroitesse, il est parvenu après une ou deux minutes à faire entrer tout son sexe en moi. Il a marqué une petite pause en me caressant les fesses, les hanches, aventurant ses mains jusqu’à mes seins et même jusqu’à ma bite en érection.

C’est moi qui ai commencé à faire aller et venir mon cul sur son engin. Il a semblé apprécier : il est resté immobile, me laissant faire le travail. C’était assez agréable de contrôler le rythme, mais l’excitation n’était pas la même : je préférais quand l’homme était plus directif. Ce que celui-ci n’a pas tardé à redevenir : après quelques minutes, il a immobilisé mes hanches entre ses mains pour me pilonner violemment. Je gémissais de plus en plus et de plus en plus fort, tandis que lui soufflait, râlait, et me parlait beaucoup :

— Prends ça, salope ! Je te défonce, putain ! C’est bon ! T’es bonne, ma pute ! T’es trop bonne ! Je te baise et t’aimes ça, tu vas bien me vider les couilles ! Putain, t’es une vraie bonne pute !

En tournant légèrement la tête, je me suis vu dans le grand miroir appuyé au mur de la chambre paternelle. Mon petit corps frêle, imberbe et docile, subissant les assauts violents d’un homme mur et costaud sur le lit de mon père. Cette vision m’a fait jouir.

L’homme qui me baisait n’a pas tardé à jouir lui aussi. Il a déversé son sperme dans le fond de mon cul en râlant sauvagement. Il s’est retiré et m’a donné sa queue à nettoyer. Je l’ai léchée avec avidité, trop heureux de retrouver le goût du sperme.

Une fois seul, j’ai passé ma main entre mes fesses et j’ai constaté que j’avais à nouveau mouillé du cul. J’ai également très vite senti du sperme couler sur mes cuisses. J’ai léché mes doigts pleins de cette semence. Mon frère est alors entré :

— Ça va ? Je t’ai entendu crier… Il t’a pas fait mal, au moins ?

— Non, ne t’inquiète pas. Tout s’est bien passé.

— Ok… Je voulais venir m’en assurer, mais Papa me l’a interdit. Il a dit que puisque t’avais choisi d’être pédé, tu devais assumer.

— Tu sais, j’ai pas choisi. Je suis comme ça, c’est tout. J’y peux rien.

— Je sais, je sais. Tu… Tu veux une serviette ? Ou des vêtements propres ?

C’est alors que j’ai réalisé que j’étais nu. Devant mon frère.

— Oh, excuse-moi. J’avais oublié que j’étais à poil.

— T’en fais pas, ça me gêne pas. Je veux juste être sûr que tu vas bien.

J’étais très touché par la sollicitude de Christophe. Face à la froideur de mon père, je commençais à être en manque de marques d’affection, et les quelques mots de mon frère me faisaient du bien. J’en avais les larmes aux yeux. Christophe s’en est rendu compte et est venu me prendre dans ses bras en me parlant doucement.

— Ne pleure pas. Je suis là. Je laisserai personne te faire du mal. Ne t’inquiète pas.

J’ai tout de même pleuré quelques minutes dans ses bras. Sa tendresse était réconfortante. Il n’y avait absolument rien de sexuel dans son attitude, c’était purement fraternel. Pourtant, nu dans ses bras, j’ai senti mon érection revenir. Très embarrassé, j’ai séché mes larmes et j’ai cherché à cacher mon sexe, mais Christophe m’a vu. Je me suis confondu en excuses :

— Pardonne-moi. C’est pas ce que tu crois. Je sais pas pourquoi ça s’est passé, je veux dire…

— Non, je comprends. Moi, quand une fille me fait la bise, ça me fait souvent bander. Même si j’ai pas envie d’elle. Je comprends, t’inquiète pas. T’as pas à être gêné devant moi, tu sais. T’es comme tu es. C’est tout.

J’étais éperdu de reconnaissance. Mon frère s’avérait si compréhensif ! Non seulement il acceptait sans jugement aucun mon homosexualité, malgré une éducation assez sévère et machiste, mais il en venait même à vouloir me protéger.

Les semaines suivantes, les clients se sont enchaînés. Il y en avait au moins deux, parfois trois ou quatre, chaque soir. Des vieux, des plus jeunes, des beaux, des moches, des hommes mariés, des gays… Certains voulaient uniquement se faire sucer, d’autres venaient en couple (un couple de garçons d’une trentaine d’années est venu pour toute une soirée, ils étaient adorables, très doux), d’autres encore ne demandaient qu’à me regarder me masturber et me doigter devant eux. Pendant 3 semaines, j’ai été baisé, défoncé, enculé, pilonné, rempli et gavé de sperme par de nombreux inconnus.

Ma vie prenait petit à petit un nouveau rythme. Toute la journée, j’étais au collège, où je parvenais à mettre de côté mon envie de queues pour me concentrer sur les cours. Parfois, pourtant, le concierge me faisait venir dans le placard de sa loge pour me baiser. Le soir, j’avais à peine le temps de faire mes devoirs qu’un nouveau client arrivait. Mon père avait cherché à accélérer le rythme, faisant venir des clients jusque tard dans la nuit. Mais Christophe s’y était fermement opposé, arguant qu’il fallait préserver mon sommeil et mes cours. Mon frère étant seul capable de tenir le site internet, mon père avait dû céder. De toute façon, le week-end, il y avait souvent beaucoup plus de clients.

Les vacances d’été sont arrivées. Avec les départs en vacances, les clients se sont faits plus rares. Mon père travaillait jusqu’à la fin de mois de juillet, nous laissant mon frère et moi tourner en rond jusqu’en août. Un jour, alors que nous nous ennuyions tous les deux, nous avons évoqué mes premières expériences sexuelles, quand mon père m’avait abandonné sur une aire d’autoroute. Cela a donné des idées à Christophe :

— Tu sais, maintenant que j’ai 18 ans et que je peux conduire seul, on pourrait y retourner si t’as envie !

Et comment que j’en avais envie !

— Je veux bien, mais t’as pas peur de t’embêter ? Tu feras quoi toi pendant ce temps ?

— Ben, écoute, toi t’as envie de te faire baiser, et moi je suis un peu en manque de fric en ce moment, alors on pourrait y aller sans le dire à Papa, et on se partagera la thune à nous deux.

— Super idée ! Mais faut surtout pas qu’il l’apprenne, il me tuerait s’il savait ça.

— T’en fais pas, je sais garder un secret ! Et puis il me tuerait aussi !

Nous avons rigolé. J’étais ravi. Ma nouvelle complicité avec mon frère me plaisait beaucoup.

À suivre…

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Lundi 30 juillet 1 30 /07 /Juil 22:49

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Après avoir appris mon homosexualité, mon père a cherché à m’en détourner en me livrant à des hommes vicieux. Voyant que ça n’avait pas l’effet voulu, il m’a prostitué dans un sex-shop, où Xavier, le gérant, m’a filmé en pleine action. Au cours d’un week-end chez un autre client, celui-ci m’a également filmé et pris en photo pendant nos ébats. Les photos et vidéos servent à présent à illustrer un site internet, créé par mon frère, qui permet aux clients potentiels de prendre contact avec mon père pour me louer. Je suis maintenant une vraie petite pute qui rapporte de l’argent à mon père.

En plein mois de juillet, les clients étant rares, mon frère m’a proposé de m’accompagner sur des aires d’autoroute pour m’y faire baiser. Il n’était pas question d’en parler à notre père : nous allions nous partager l’argent à deux ! Un soir que mon père était au bar avec ses collègues, nous avons pris sa voiture. Christophe venait d’avoir son permis. Nous avons roulé une bonne demi-heure. Nous étions un peu anxieux, nous ne savions pas comment nous y prendre une fois sur place. J’ai suggéré que je me déshabille entièrement, ou bien que je ne porte qu’un boxer et des baskets, et que lui reste à côté pour fixer les tarifs et encaisser l’argent des éventuels clients. J’espérais qu’ils seraient nombreux : j’étais vraiment en manque !

Nous sommes arrivés sur une aire d’autoroute. Christophe m’a dit qu’il s’était renseigné sur Internet, et que c’était un lieu de drague connu. Nous nous sommes promenés dans l’aire, histoire de nous familiariser avec les lieux. Il y avait un petit bâtiment qui abritait les toilettes, un parking pour les poids-lourds avec trois camions garés, un autre parking pour les voitures, avec cinq voitures, dont la nôtre, et, un peu plus loin, ce qui semblait être une petite forêt. La nuit tombait doucement, il était un peu plus de 22 heures. Une des voitures est partie. Il était temps de s’y mettre ! Christophe s’est tourné vers moi :

— Va à la voiture, enlève tes fringues. Garde juste tes baskets pour marcher, et ton boxer si tu veux. Moi je vais regarder s’il y a des mecs dans les voitures et les camions.

— Ok. A tout de suite !

Je le retrouve quelques minutes plus tard à côté des toilettes. En me voyant arriver, presque nu, il me fait un grand sourire :

— C’est vrai que t’es mignon comme ça ! Je comprends que les mecs craquent !

— Arrête de te foutre de moi.

— Bon, il y a quelques routiers, un couple dans une des voitures, et un mec, genre commercial, dans les toilettes. On fait quoi ?

— Ben… je sais pas…

— On va faire sembler d’aller pisser.

On entre ensemble dans les toilettes. Effectivement, un homme d’une trentaine d’années, en costume-cravate, est arrêté devant les urinoirs. Mon frère s’installe à côté de lui. Je reste en retrait. L’homme tourne la tête, il a l’air surpris de me voir à moitié nu mais il fixe son regard sur moi. Je suis alors très impressionné par l’aplomb de Christophe :

— Il te branche ? Tu peux te le taper, si tu veux ?

L’homme hésite. Il a l’air de croire qu’on se moque de lui.

— T’es sérieux ? Tu te fous pas de moi ?

— Je suis sérieux. C’est 20 euros pour une pipe, 40 si tu veux le baiser.

— On fait ça où ?

— Je sais pas. Là, dans les toilettes. Ou dans ta caisse si tu préfères.

— Ici c’est bien. Tiens.

Il sort deux billets de 20 de sa poche et les tend à mon frère. Je me glisse dans une cabine. L’homme me rejoint. Il ferme la porte derrière lui, je me mets à genoux et caresse sa bite à travers son pantalon. La bosse est prometteuse. L’homme bande déjà. Il défait sa braguette et sort sa queue, sans baisser son boxer si son pantalon. La bite est bien large, longue et dure ; je suis méga excité et je me jette dessus pour la pomper. L’homme place ses mains derrière ma tête pour m’imposer son rythme. Il fait glisser sa queue jusque dans le fond de ma gorge, la ressort entièrement puis la remet, lentement mais fermement. D’une main sous mon menton, il me fait lever la tête vers lui pour que je le regarde pendant que je le suce ; il maintient son sexe enfoncé dans ma bouche quelques secondes, j’ai du mal à respirer mais je ne me débat pas, je le laisse faire, entièrement soumis. Sa bite est délicieuse, douce et chaude, humide. Je suis accroché à ses jambes pendant qu’il me baise la bouche. Après quelques minutes de ce traitement, il me fait mettre debout et me retourne. Je m’appuie contre la paroi et cambre mon cul. Il baisse mon boxer qui tombe à mes pieds, puis il me doigte quelques instants, sans tendresse mais sans me faire mal. Enfin je sens sa queue raide contre mes fesses. Il crache plusieurs fois sur sa bite et étale sa salive sur mon trou à l’aide de son gland. C’est trop bon, je gémis en tendant encore plus mon cul, j’ai tellement hâte qu’il me défonce ! Ça ne tarde pas ; son gland commence à ouvrir ma chatte pour me pénétrer. Il s’enfonce doucement, sans marquer de pause, jusqu’à ce que la totalité de sa bite soit en moi. Ça prend deux bonnes minutes : je suis toujours aussi serré mais très excité, ce qui fait qu’il n’y a aucune douleur. Quand je sens le tissu de son pantalon contre ma peau, je sais qu’il a réussit à faire entrer toute sa queue. Il commence alors à faire des va et vient, très profondément dans mon cul, sans s’arrêter, sortant presque entièrement sa bite pour mieux la ré-enfoncer au plus profond de mes entrailles. C’est trop bon, je gémis à fond ; je sais que je ne suis pas discret mais ça m’excite encore plus. Lui aussi semble apprécier, il se penche à mon oreille pour murmurer : « T’aimes ça, petite salope ! T’es déjà une vraie chienne, ça se voit que t’es habitué à la bite. Elle te plait, la mienne, hein ? J’ai pas trop l’habitude de me taper des mecs, je préfère une bonne chatte de fille, mais ton petit cul est délicieux… Et tu suces super bien, en plus. T’es une bonne pute… Je vais te remplir de foutre, tu vas voir… »

Ses mots me font un effet de dingue, je me mets presque à crier sous ses coups de butoir ; il y va encore plus fort et me défonce comme une bête, en me tenant par les hanches pour m’éviter de tomber sous ses assauts. Je sens son souffle s’accélérer sur mon cou, il fait des bruits de taureau, sa queue se gonfle encore un peu en moi, et il jouit en râlant, déversant son sperme dans mes entrailles, ses doigts enfoncés dans ma peau, tout son corps couvant le mien, m’écrasant contre la paroi de la cabine des toilettes.

L’homme reste quelques instants en moi. C’est agréable, je sens sa bite débander en moi, maintenant son sperme dans mon cul. Il finit par ressortir. Je me retourne. Sa queue est luisante, poisseuse. Je me mets à genoux et la reprends en bouche pour la nettoyer. J’aime toujours autant le goût du foutre. Quand la bite est propre, je la rends à son propriétaire, qui me dit en souriant : « Merci. C’était sympa. ». Puis il ouvre la porte de la cabine et s’éloigne. Je sors à mon tour. Christophe est là, il attend. Je vois sous son boxer une énorme barre. Je souris :

— Qu’est-ce qui t’arrive ? Tu bandes ?

— Ben ouais, à t’entendre on avait l’impression que c’est une meuf qui se faisait baiser. Ça m’a excité.

— On continue ?

— Evidemment. On se fait de la thune, tu prends ton pied, et moi je bande. C’est une putain de soirée, non ?

On rit ensemble. Je me passe un peu d’eau sur le visage ; un mec entre à ce moment-là. Ce doit être un routier, il a entre 45 et 50 ans, les cheveux gris, bedonnant. Une barbe de quelques jours et un visage avenant, un peu ours mais pas effrayant. Il comprend aussitôt ce qu’on fait là et se gratte les couilles. Il s’adresse à mon frère :

— Salut. Vous cherchez un mec, tous les deux ?

— Mon frère, oui. C’est une bonne pute. 20 euros pour une pipe, 40 pour le baiser. Ça te dit ?

— Ben ouais, carrément. Mais je préfèrerais vous avoir tous les deux. Surtout des frangins, c’est excitant.

— Désolé, pour moi c’est non.

— Dommage. Ok pour 40. Mais j’ai besoin de pisser avant. Tu demandes à ton frère de m’aider ?

Je ne me fais pas prier. Je m’agenouille devant l’urinoir, le mec s’approche, sort sa queue et commence à me pisser dessus. J’ouvre grand la bouche pour recevoir sa pisse dans la gueule. C’est chaud, j’adore. J’en avale une partie, le reste gicle sur mon visage, mes cheveux, coule dans mon cou et sur tout mon corps. Christophe nous regarde. Du coin de l’œil, je vois qu’il bande encore sous son short. Il est même obligé de déplacer sa bite vers le côté tellement il est à l’étroit dans son caleçon. Je repense aux sous-vêtements usagés qu’il me prête de temps en temps pour mes branlettes et je bande encore plus. Le routier a finit de pisser, il remballe son matos et s’adresse à mon frère :

— Si tu veux pas participer, je comprends. Mais ça me plairait bien que nous mattes. Tu nous suis ? On va dans ma cabine.

Christophe hésite. Il finit par accepter. Je me rince rapidement aux lavabos et nous sortons tous les trois des urinoirs pour nous diriger vers le camion du routier. Arrivés dans la cabine, l’homme dégage derrière le fauteuil passager un grand espace qui nous permet de tenir à trois sans être trop serrés. Je me jette sur la queue du routier, qui n’est pas aussi belle que celle du commercial mais d’une taille honnête tout de même. Elle sent la pisse et la sueur mais je m’en fous. Je le pompe comme un affamé. Il grogne, il me tient par les cheveux pour me baiser la bouche violemment. C’est trop bon, je suis aux anges. Rapidement, le mec arraché mon boxer, me fait allonger sur le dos, écarte mes cuisses et vient me bouffer la chatte. Je gémis de plus belle, la tête en arrière, et j’aperçois derrière moi Christophe qui se caresse la bite à travers son short en nous regardant.

Le routier cesse de me lécher le cul et vient m’enfoncer sa bite entre les fesses, d’un coup sec, sans ménagement. C’est hard mais ça m’excite terriblement. Il se déchaîne en moi, me défonce en me claquant les cuisses et en m’insultant de salope, de pute, de trou à jus, de bonne femelle à engrosser… Soudain, en souriant, il me dit : « Regarde ton frère ».

Je tourne légèrement la tête. Christophe a sorti sa queue et se branle. Il a l’air en transe, il s’astique comme un malade, les yeux fixés sur moi. Alors que le routier commence à respirer de plus en plus fort, de plus en plus vite, signe qu’il va jouir, Christophe s’approche soudain, sa queue au dessus de mon visage, et me jouit dessus, laissant son sperme couler sur mes lèvres et mes joues, pendant que ma chatte se fait remplir de sa deuxième dose de la soirée.

À suivre.

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Lundi 30 juillet 1 30 /07 /Juil 20:17

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Après avoir appris mon homosexualité, mon père a cherché à m’en détourner en me livrant à des hommes vicieux. Voyant que ça n’avait pas l’effet voulu, il m’a prostitué dans un sex-shop, où Xavier, le gérant, m’a filmé en pleine action. Au cours d’un week-end chez un autre client, celui-ci m’a également filmé et pris en photo pendant nos ébats. Les photos et vidéos servent à présent à illustrer un site internet, créé par mon frère, qui permet aux clients potentiels de prendre contact avec mon père pour me louer. Je suis maintenant une vraie petite pute qui rapporte de l’argent à mon père. En son absence, mon frère Christophe m’a emmené sur une aire d’autoroute afin que je puisse satisfaire mes envies de sexe, tout en nous faisant sa l’argent. Dans la cabine d’un routier, alors que je me faisais baiser, Christophe, excité, s’est branlé et m’a jouit dessus.

Christophe et moi sortons de la cabine du routier. J’ai encore son sperme sur le visage. Je lèche mes lèvres pour goûter. C’est délicieux. Ça m’excite, rien que de penser que j’avale le sperme de mon frère. Christophe ne dit rien, mais il ne semble pas faire la gueule. Je lui demande en souriant timidement :

— Ça va ?

Il me rend mon sourire, mais en beaucoup plus grand :

— Ça va super. Et toi ?

— Ben ouais. Tu m’en veux pas ?

— Pourquoi ? C’est moi qui ai peur que tu m’en veuilles.

— J’ai aucune raison de t’en vouloir. J’ai adoré.

— C’est vrai ? Putain, c’est trop bizarre. J’avais jamais pensé à ça, mais là, te voir te faire baiser, ça m’a grave excité.

Je souris encore. Il est tellement mignon ! Il semble gêné et content à la fois. Le routier sort la tête de son camion :

— Eh, les gars ! J’ai deux potes dans le coin qui seront sûrement très chauds pour se vider. Allez voir le deuxième bahut, par là.

Christophe me lance un regard interrogatif. Je fais « oui » de la tête. Nous trouvons rapidement le camion, dont le conducteur fait des appels de phare dès qu’il nous voit arriver. Il faut dire que je suis toujours en boxer, ce qui laisse peu de doute quant à mes intentions. Le routier se met rapidement d’accord avec Christophe sur le tarif. Je monte dans la cabine, Christophe reste dehors pour fumer une cigarette.

Le routier est plutôt sympa, il prend le temps de se présenter. Il s’appelle Ahmed, il a 40 ans, d’origine algérienne. Pas très beau, mais il me met à l’aise. Il me caresse, m’embrasse, lèche mes seins, glisse un doigt sous mon boxer pour tripoter mon cul ; je m’assois sur ses genoux, face à lui, passe mes bras autour de son cou et mime une pénétration. Je sens une grosse barre sous son pantalon. Il sent la sueur, ça m’excite. Je défais sa braguette et sort sa queue pour le branler. Rapidement, je glisse entre ses jambes et, à genoux, le suce. Sa bite est circoncise, assez longue mais pas particulièrement épaisse. Dommage, je les préfère larges… Mais je ne m’arrête pas à ce détail et je le pompe avec passion. D’une main, il agrippe mes cheveux, de l’autre il caresse mon dos et mes fesses. Il me fait faire des fonds de gorge, me donne ses couilles à lécher, me gifle avec sa bite, et se met à me parler crument :

— T’es bonne ma salope… T’aimes les bonnes queues dans ta petite bouche ? C’est ça, suce… Suce comme une chienne… Bonne pute… Je vais te la mettre tout à l’heure, crois-moi tu vas la sentir passer. T’aimes te faire niquer, hein ? T’as envie de te faire baiser, toi, ça se sent… Tu te fais souvent défoncer ?

Je lui réponds tant bien que mal :

— Oui, le plus souvent possible, j’aime sentir une grosse bite en moi.

Ça semble exciter mon routier, qui reprend :

— J’en étais sûr, ça se voit sur ta gueule que t’es accro à la queue. Je vais te niquer, t’inquiète pas… Je vais te l’enfoncer tout au fond de ton petit cul et je vais te remplir la chatte… Tu vas bien me vider. T’es prêt à te faire baiser par n’importe qui pour avoir ta dose, hein ?

Sa queue dans la bouche, je ne peux pas trop lui répondre mais je fais « oui » de la tête. Ahmed me relève, je me retourne et prend appui sur le tableau de bord en tendant mon cul. Il fait tomber mon boxer à mes pieds et présente aussitôt sa queue à l’entrée de mon trou. Il force et me pénètre rapidement, la taille de son sexe et le fait que je vienne de me faire baiser facilitent le passage. Il donne de violents coups de reins, ses couilles claquent contre mon cul, il me bourre sans chercher à savoir si ça me plait ou pas. Il a une main appuyée sur ma nuque, et de l’autre il commence à me donner des coups sur les fesses, en faisant claquer sa paume sur ma peau ; il se met du même coup à me traiter de salope, de chienne en chaleur, de vide-couilles… Je gémis sous ses coups de queue dans mon petit cul qui me font un effet de dingue, je suis complètement soumis à ce mâle dominant. Il accélère la cadence de ses mouvements, va et plus en plus vite, et se retire soudain pour éjaculer longuement sur mes fesses. 5 jets de sperme giclent sur ma peau. Il ne bouge pas pendant deux ou trois minutes, laissant son jus couler sur mes fesses et le long de mes cuisses. Puis il me tire vers lui en me tenant par les cheveux, et me met sa bite encore à demi dure dans la bouche. Je lèche cette queue en prenant soin de ne pas laisser une goutte de sperme, j’avale tout ce qui reste sur son sexe.

Ahmed m’embrasse encore, dans un grand sourire me remercie et me conseille d’aller voir le gars du camion d’à côté. En descendant de la cabine, je retrouve Christophe.

— Ça a été ?

— Oui, super bien. Il dit que dans le camion d’à côté, le mec sera ok pour payer aussi.

— J’ai essayé de lui parler pendant que t’étais là-dedans, mais il dort. Viens, tu vas te laver un peu déjà.

Nous retournons vers les toilettes où je me passe de l’eau sur le visage et le corps. Ça ne suffit pas à enlever les traces de sperme que j’ai partout, mais tant pis. Christophe me sourit :

— Tu veux qu’on fasse une pause ?

— Non. On peut pas rester trop tard, Papa va rentrer bientôt et si on est absents tous les deux, il risque de me tomber dessus… Vaut mieux profiter du temps qui reste.

— On peut aller voir dans le petit bois à côté. J’ai lu sur internet qu’il y avait parfois des mecs qui y tournent.

Nous y allons. Effectivement, nous ne tardons pas à croiser un type d’environ 25 ans qui promène son chien. Il nous remarque aussitôt (je suis toujours presque nu) et se caresse l’entrejambe à travers son jean. Christophe lui lance :

— Ça te branche de te vider les couilles ? Il te suce pour 20 euros.

— Ouais je veux qu’il me suce, et je veux le baiser aussi. Mais je veux pas payer.

— Je te laisse lui faire tout ce que tu veux pour 20 euros. Mais si tu préfères te taper un routier… Y a que ça, ici.

— Ok, t’as raison…

— Vas-y, défoule-toi.

Il fouille dans sa poche et tend les 20 euros à mon frère. Le type s’approche de moi en défaisant sa braguette. Je me mets à genoux et sors sa queue, puis commence à donner des coups de langue sur son gland encore recouvert de peau. Je le prends dans ma bouche et je commence à le sucer, je le sens commencer à durcir, je le vois gonfler sous mes yeux, la bite prend une belle taille excitante et le mec gémit. Pendant que je prends son sexe de plus en plus profondément dans ma bouche ; je sens son gland qui atteint le fond de ma gorge et je le suce de plus belle en salivant bien sur sa belle queue raide qui dépasse juste de son jean à peine baissé. Il me laisse sucer pendant au moins dix minutes en donnant des coups de rein pour me niquer la bouche plus profondément, de temps en temps il me prend les cheveux de sa main droite pour maintenir sa bite enfoncée dans ma gorge, j’étouffe jusqu’à ce qu’il relâche la pression puis, à peine le temps d’inspirer, je me remets à pomper comme une chienne cette queue dure et droite.

Il se penche en avant, ses doigts viennent sur mon cul et commencent à me caresser le trou. Je gémis quand ses doigts entrent en moi. Il les humidifie de sa salive et recommence à me doigter, je me sens m’ouvrir. Après une fellation de quelques minutes, le mec me donne une petite tape sur les fesses, je me retourne, je suis toujours à 4 pattes ; je tends mon cul vers lui et aussitôt son gland vient glisser contre mon cul, il ne tarde pas à me le mettre ; je gémis encore plus, c’est presque douloureux, sa queue s’enfonce progressivement en moi, et bientôt il commence à faire des va et viens dans mon cul, faisant claquer ses couilles contre ma peau, et me tenant fermement par les hanches. Il accélère ses mouvements, et dans un râle s’enfonce à fond dans mon cul en éjaculant. Il reste quelques secondes en moi, puis se retire sans dire un mot.

Je regarde Christophe qui nous a matés pendant tout ce temps. Il me sourit. Le gars s’éloigne rapidement avec son chien. Christophe vient vers moi et me prend dans ses bras. Il est doux, c’est très agréable. Il me murmure :

— On va devoir rentrer. Viens, je vais te laver une dernière fois.

Je le suis docilement. Arrivés dans les toilettes, Christophe me déshabille entièrement et, tendrement, me passe de l’eau sur le visage et le corps. Un mec entre alors dans les toilettes, nous regarde, surpris, puis, naturellement, vient se mettre à côté pour pisser, nous regardant toujours. Quant il a fini de pisser, il commence à se branler, sa bite entre en érection. Mon frère me prend la tête et la dirige vers le gars, qui me présente sa queue raide. Je la suce aussitôt, elle est très large, d’une longueur moyenne ; mais très vite le mec s’intéresse à mon cul, et me retourne fermement. Il me caresse le cul, le trou, et s’adresse à mon frère :

— Combien pour sa chatte ?

— 50.

— Ok. Tiens.

Christophe prend le billet, et aussitôt le gars présente sa queue à l’entrée de mon cul, pour s’enfoncer directement. Très vite il se met à me niquer à fond, m’agrippant violemment les hanches, silencieusement, en me pénétrant complètement, s’arrêtant parfois quelques secondes dans le fond de mon trou puis reprenant ses va et viens brutaux, sauvages. Il se retire d’un coup sec, et m’envoie son sperme sur le cul. Il ne s’était même pas déshabillé, il n’a qu’à remonter son pantalon et il se casse, me laissant allongé sur le ventre à même le sol.

Christophe rit :

— On n’a plus qu’à te laver à nouveau !

— Pourquoi tu lui as demandé plus, à lui ?

— C’est lui qui a demandé, donc j’ai pensé qu’il avait l’habitude. Alors, tant qu’à faire… Fallait essayer.

Et, soudain, Christophe m’embrasse. Sa langue glisse sur la mienne, ses mains caressent mon dos, mes fesses, il me serre contre lui. C’est délicieux. Je n’avais jamais autant apprécié de marque de tendresse. Il me fait mettre à 4 pattes. Il a sorti sa bite, et la fait glisser sur ma raie. Il se penche, crache sur sa queue raide et me prend sans un mot. Il s’enfonce facilement en moi, je gémis doucement ; il me baise à un rythme régulier, lentement, profondément, sans forcer, les mains appuyées mes hanches. Ses mouvements sont puissants et doux à le fois, mélange de tendresse et de domination naturelle, jusqu’à ce que je sente son sperme jaillir et me remplir. Il reste quelques instants enfoncé en moi sans rien dire. Je ne dis rien non plus. Je suis immobile, à 4 pattes par terre, plein de ce sexe qui perd de sa raideur mais reste en moi, sa peau en contact continu avec la mienne.

Nous nous embrassons encore avant de nous diriger vers la voiture pour rentrer, sans un mot, à l’appartement.

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Dimanche 29 juillet 7 29 /07 /Juil 20:30

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Pendant le dernier été, mes parents n'ayant pas de congés et comme je n'avais pas de projet particulier, mon oncle m'a proposé de partir avec lui. Comme je m'entends très bien avec lui, je n'ai pas hésité à accepter. Il faut dire que c'est un peu un grand frère pour moi; il a seulement six ans de plus que moi. Il venait de fêter ses 25 ans, c'est un beau grand brun pour lequel j'avais une grande admiration, même si je n'avais jamais pensé à lui sexuellement.

Quand nous arrivâmes au bungalow qu'avait loué Ben, je découvris qu'il n'y avait qu'un lit.

— Comme je n'avais pas pensé que tu viendrais quand j'ai loué, j'avais demandé un grand lit. Ça ne te gêne pas? Comme ça, on pourra discuter le soir.

— Non pas du tout...

— Cool! On va passer du bon temps ensemble. Bon je vais me mettre en tenue relaxe. Vive les vacances, vive le short, à mort le costume cravate.

Il se déshabilla, ne gardant qu'un mini-short.

— Allez, viens m'aider à décharger la voiture.

Comme nous n'avions pas amené grand chose, ce fut vite fait. Chaque fois qu'il passait à côté de moi, il me frappait les fesses en me disant:

— Alors Petit-Cul, tu devrais te mettre en tenue plus légère, tu vas crever de chaud.

— Mais je n'ai rien emporté de plus léger.

— Eh bien mets-toi en slip!

— Ça ne va pas! Si on me voyait presque à poil. Et pourquoi tu n'arrêtes pas de m'appeller Petit-Cul? Tu ne m'appelles pas comme ça à la maison.

— Holala tu es bien pudibond! Bon je vais te prêter un de mes shorts. Mais bon tu sais, à part moi, il n'y a pas grand monde dans les parages et il n'y a pas de mal à se faire mater. Moi j'aime bien te mater, c'est pourquoi je t'appelle Petit-Cul. C'est par affection, tu es un peu coincé, tu réagis comme une pucelle, mais tu es mon neveu chéri. Je suis sûr que tu aimes regarder mon corps toi aussi. Non ne rougis pas.

Il ne fit pas que me prêter un mini short, je n'en avais jamais vu d'aussi petit. Il m'aida à quitter mon pantalon en profitant pour me caresser l'entrejambe.

— Tu veux garder ton slip dessous? Moi je préfère le porter nu, j'aime bien sentir mes couilles et ma bite se balancer librement. Il faut dire que je suis un peu exhibitionniste. Vas-y, rince toi l'oeil, ça me fait plaisir. Tu as vu la bosse de mon short comme elle gonfle sous ton regard?

J'insistais pour conserver mon slip, surtout que vu ses attouchements, je sentais mon sexe se tendre dangereusement. Ben abandonna le sujet mais quand vint le moment de se coucher:

— Ça ne te dérange pas, je n'ai pas de pyjama, je vais dormir en slip. À la maison, je dors à poil, mais bon, je ne veux pas te choquer.

On n'avait pas la même notion du slip. En fait, il ne portait qu'un josckstrap des plus mini, dévoilant ses fesses et leur fente et ne dissimulant qu'à peine son sexe. La vue de ce spectacle, car j'eus droit à une belle séance d'exhibition, me mit dans un état que mon pyjama des plus sages n'arrivait à dissimuler qu'imparfaitement. Je rougis en découvrant le regard de mon oncle fixé sur la proéminence et m'empressais de me glisser entre les draps où il vint me rejoindre.

— Bon sang, je suis excité ce soir! Il faut que je me vide les couilles. Ça ne te gêne pas que je me branle?

— Non, non.

— Tu peux faire pareil si tu veux. Ou non, j'ai une meilleure idée! On va se branler réciproquement.

Et avant que j'aie pu seulement envisager de refuser, il me plaçait la main sur sa bite et sortait la mienne de mon pantalon de pyjama sous lequel je ne portais rien. J'étais dans un état second, ma main s'était refermée sur le dard de mon oncle et avait entamé un mouvement vertical. Si je m'étais déjà souvent branlé, je n'avais jamais touché le sexe d'un autre homme. Celui de tonton me paraissait déjà d'un beau volume au toucher.

— Vas-y mon poussin. Branle bien. Je suis sûr que tu veux faire plaisir à ton tonton. J'enlève le drap pour que tu puisses admirer ton travail. Et laisse-moi t'enlever ton pyjama, on sera tellement mieux nus. Je pourrai t'apprendre des petits jeux qui nous donneront tellement de plaisir.

Je changeais juste de main sur sa bite quand il m'ôta la veste et nous nous retrouvâmes tous les deux nus sur le lit. Il avait retiré son jock, en douce, au début de sa branlette.

— Enfin nous voilà à l'aise! Ça te plait ce que tu as en main? Je suis sûr que tu vas y prendre goût.

Il se redressa pour présenter sa bite devant mon visage. Il me caressait la tête pour m'encourager à le prendre en bouche, me guidant de ses conseils. Comme je me cambrais d'excitation, il aventura ses mains vers mes fesses. Ne sentant pas de réaction négative de ma part, il aventura ses doigts dans mon sillon. Il devait me confier par la suite qu'il avait craint ma réaction quand il aventura un doigt dans mon oeillet vierge, il avait eu tellement de mal à me déshabiller qu'il n'avançait plus que très prudemment, sachant que le temps était de toute façon avec lui. Mais comme tout se passait à merveille, il me donna ses doigts à sucer avant de m'introduire un deuxième doigt. Je me montrais un bon élève en me cambrant de plus belle pour montrer mon plaisir.

— Finalement tu es une petite cochonne! Tu aimes ça te faire ouvrir le cul. Tu n'as pourtant jamais eu de relation avec un mec?

Je répondis non rapidement avant d'engloutir à nouveau son sexe.

— Tu vas voir mon petit chéri tout le plaisir que nous allons nous donner. Moi comme tu as pu t'en rendre compte, je suis chaud du cul et j'ai une bonne pratique que je vais me faire un plaisir de te transmettre.

Le troisième doigt eut un peu plus de mal à passer, mais dès qu'il fut entré, Ben, en bon éducateur, commença à me masser le trou, me détendant l'anus pendant que je continuais de m'activer sur sa queue. Se penchant sur le bord du lit, il attrapa un gode qu'il avait dissimulé dessous.

— Regarde ce que j'ai trouvé! Tu vas me montrer comme tu peux être une bonne petite pute. Je te laisse le lit et ce petit jouet. Ne t'inquiète pas, si tu es d'accord je vais t'apprendre comment t'y prendre et après tu auras droit à ma bite dans ton cul. Vas-y, commence à prendre le gode en bouche pour bien l'humidifier avant de te l'enfoncer dans le fion, je pensais bien que tu étais puceau, je l'ai choisi assez fin pour une première. Mais tu vas bien te chauffer pour dilater ton cul et pouvoir recevoir ma bite.

Je passais quinze jours de vacances inoubliables avec Ben qui continua mon éducation sexuelle, me rendant complètement accroc à sa queue. Si nous partions une demie journée, nous devions trouver à nous isoler, mon cul réclamant sa dose.

Comme je voyais arriver la fin de nos vacances avec tristesse, Ben me proposa de venir continuer mes études dans sa ville et habiter chez lui, pour pouvoir continuer à bénéficier de ses services quotidiens. Mes parents, contents de ne pas avoir à me trouver un logement et de me savoir sous bonne surveillance, acceptèrent.

Nous trouvâmes vite nos marques mais nous ne devions pas sombrer dans le train-train d'une vie de couple. Un matin, je me trouvais seul dans l'appart de Ben quand on sonna à la porte. Pensant que c'était Ben qui avait oublié ses clefs, j'allais ouvrir dans notre tenue d'intérieur comme l'appelait tonton, à savoir un grand tee-shirt qui dissimulait à peine nos fesses et notre sexe. Mince! C'était le facteur...

— Bonjour, c'est pour un colis pour Ben. Mais vu ta tenue, tu dois être assez intime pour pouvoir le réceptionner. Si tu es aussi cochon que lui, j'ai dans le slibard quelque chose qui peut t'intéresser. Vas-y! Lève les bras que je vois si ça vaut la peine que je déballe le matériel.

Attiré par ce beau mâle et bien dressé par mon tonton, je levai les bras. Mon tee-shirt suivant le mouvement découvrait mon sexe. Je tournai sur moi présentant mon petit cul.

— Hum! Tu es aussi salope que Ben. J'en ai pour plus de cinq minutes avec une cochonne comme toi. Je finis ma tournée et dans une heure, je suis là.

Et il me laissa en plan, repartant à vive allure, m'abandonnant la langue pendant et la queue bandant d'envie.

Je ne devais pas regretter mon attente car quand il revint, vous devinez que je n'avais pas changé de tenue; lui non plus d'ailleurs. Je m'empressais de le déshabiller avant qu'il ne reparte. Mais cette fois-ci, il ne semblait pas vouloir s'échapper tout de suite car déjà sa main me pétrissait les fesses.

Je m'accroupis devant lui pour lui bouffer la queue comme me l'avait si bien appris Ben pendant nos vacances et les travaux pratiques qu'il me fournissait régulièrement depuis. Il était convenu que comme je rentrais avant lui, je devais me mettre en tenue et venir l'accueillir en l'aidant à se dévêtir et en lui procurant une petite fellation apéritive comme il l'appelait. Après, le programme pouvait varier suivant les envies de l'un ou l'autre.

Mon petit facteur avait, lui, l'envie bien claire comme il me le dit "de me la mettre". Le travail de tonton m'ayant rendu très ouvert à ces pratiques, tous les soirs, je m'endormais avec sa bite dans le cul et le matin j'avais droit à ma dose pour me mettre en route, aussi je ne fus pas long à convaincre de me mettre en position. J'étais en train de me faire tringler magistralement sur la table quand mon tonton rentra.

— Eh bien! Vous ne vous en faites pas, mon neveu se faisant tirer par le facteur!

Il n'avait pas l'air réellement en colère car il vint faire un petit échange de langue avec le facteur qui m'avait bien laissé entendre qu'il y avait une certaine intimité entre eux.

— Alors Tom, tu te prétends toujours hétéro mais dès que tu vois le cul d'un mec, tu triques et tu essaies de tringler.

— Tu es bien placé pour savoir que depuis que tu m'as violé, je fais quelques infidélités à la chatte de ma femme.

— Violé! Il ne faut pas exagérer, vu comme tu bandais quand je t'ai déshabillé la première fois, disons que je t'ai fait découvrir un aspect de ta sexualité que tu refoulais. Tu te débattais bien un peu quand je t'ai planté mon pieu dans le cul. Mais avec moi c'est du donnant-donnant, je t'avais donné mon cul tu devais me donner le tien. Il est vrai que le tiens était vierge mais vu comme tu réagis à mes caresses, mon cours t'a été bénéfique. Allez! Je me déshabille. Tu me dois bien une compensation pour jouer avec mon neveu chéri. D'ailleurs tu as bien dû envisager le risque quand tu as décidé de le niquer sous mon toit.

— Oh oui tonton! Viens nous rejoindre. Sors ta queue, je suis sûr que Tom meurt d'envie de la sentir le pénétrer; on ne peut pas y goûter et ne pas l'aimer. Moi j'y suis accro.

— Il faut dire que tu n'en connais pas beaucoup. Mais je vois que tu as l'air d'apprécier également celle de Tom. Depuis que nous sommes ensemble, j'ai été un peu exclusif et j'avais l'impression d'arriver à te satisfaire, mais il faudra que je te présente à quelques amis...

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 1 commentaires
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Dimanche 29 juillet 7 29 /07 /Juil 13:10

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À 24 ans, j'ai la chance d'occuper deux emplois. Bien que cela me tienne en action durant toute la semaine, il y a des moments où je regrette mon passé pas si lointain d'étudiant où je pouvais passer des journées entières dans les livres et sortir comme un fou. Aujourd'hui, mon travail de gérant et de designer m'occupent plus qu'il ne le faudrait. Alors, inutile de mentionner que lorsqu'arrive le vendredi soir, je suis complètement éreinté. Une fois à la maison, j'aime profiter de mon temps, m'asseoir avec un bon café, lire quelques magazines et autres papiers d'actualité pour me maintenir à jour. C'est ce que je fais actuellement, en attendant mon père.

Le vendredi, il arrive toujours du travail avec une bonne bouffe resto et quelques films qu'il a loué. On passe un bon temps, on se relaxe, on en a vraiment besoin! C'est aussi un moment privilégié: comme nos emplois nous occupent énormément, nous n'avons pas la chance de se parler aussi souvent que nous en aurions envie. Le vendredi est donc un rituel sacré pour nous deux. Et jamais on oserait le sacrifier pour un quelconque party ou autres manifestations du genre destinées à nous éloigner l'un de l'autre, ne serait-ce qu'un court moment. D'ailleurs, le voici qui arrive.

— Salut Marc, me dit-il, les mains pleines de sacs. J'ai magasiné un peu cet après-midi, j'avais congé.

Il pose tous les sacs, range la bouffe et me lance un sac sur la table.

— Tiens, j'ai pensé à nous deux, me dit-il. Dis-moi si ça fait ton affaire.

Le sac contient évidemment des cassettes vidéo. "1001 cumshots" pis "The bears house"!

— Ouin, t'as vraiment envie de t'occuper ce soir! Eille, 238 minutes pis 114 minutes! C'est presque six heures de film!

Il s'approche de moi avec un sourire qui en dit long sur ses intentions, pose sa patte velue sur ma main, de son autre bras m'enlace, approche sa bouche de mon oreille - je peux sentir les poils noirs et drus de sa moustache me gratter délicatement la nuque - et me dit de sa voix grave:

— Ouais. Pis défense de se toucher et de se déshabiller jusqu'à la fin des films, j'veux qu'on s'excite au boutte avant.

C'est ben mon père ça! Toujours des idées folles. J'aurais jamais la force de tenir pendant six heures!

Je vis avec lui depuis que ma mère nous a quitté, il y a près de vingt ans. Une longue histoire semble-t-il. J'étais un peu trop jeune pour me souvenir de quoi que ce soit, mais il paraît qu'elle s'est tapé une mémorable crise d'hystérie lorsque mon père lui a présenté son amant. Il s'en souvient encore comme si c'était hier:

"Je sais même pas comment j'ai fait pour ne pas être traumatisé; elle criait, éructait, pleurait de rage et cassait tout dans la maison... Une vraie poule à qui on vient de couper la tête!" répète-t-il encore parfois, le sourire aux lèvres pour montrer que c'est de l'histoire ancienne et qu'aujourd'hui, on en rit.

Il faut dire que mon père avait alors 20 ans, et ma mère 19. Dans les années soixante-dix, on ne présentait pas son chum à sa femme comme certains s'y risquent aujourd'hui!

J'ai passé toute ma vie à apprendre avec lui et c'est avec lui que j'ai appris la vie. Et comme la sexualité étant loin d'être un sujet tabou, on en parlait ouvertement dès mes 10 ans. Il m'a montré à me masturber, il m'a appris à connaître mon corps, le développer, l'entraîner, le peaufiner, jusque dans les moindres détails. Et la relation que nous avions était très intime. Aucune sexualité entre nous, mais une proximité exceptionnelle qu'enviaient beaucoup de mes amis.

Jusqu'à l'âge de seize ans, Louis, le gars qui a causé la rupture familiale, vivait avec nous. Lui et mon père s'entendaient à merveille. Et c'est sur la musique de leurs ébats amoureux que j'ai connu mes premières crosses. J'avais même été jusqu'à creuser un trou dans le mur mitoyen qui séparait les garde-robes respectifs de nos chambres. Ainsi lorsqu'ils baisaient et que la porte de leur garde-robe était ouverte, je pouvais les observer en me crossant comme un fou. Chaque fois, j'arrivais à un orgasme d'une force inexplicable. Et à plusieurs reprises j'aurais donné ma vie pour me retrouver dans leur lit. Parce que le plaisir qu'ils se donnaient semblait irréel. Parce que j'aurais voulu y participer. Leurs baises étaient d'une intensité difficile à imaginer: ils criaient, s'enlaçaient violemment, grognaient, s'embrassaient à pleine bouche, perdaient la tête, étaient vulgaires comme des porcs et hurlaient comme de pures bêtes. Le tout se terminait avec une force et une brutalité qui appartient seulement qu'à ces mâles qui savent jouir et qui aiment vraiment le cul. Ils se glaçaient le visage, leurs cheveux et leur torse poilu de leur dèche chaude et odorante. Du cul pur, total et extatique.

Je ne crois pas que je cherchais une affection quelconque à les observer; je ne voulais pas non plus prendre la place de Louis. Je voulais être avec eux. Je devinais le plaisir sur leur visage et je l'enviais. Le désir d'y être était tellement grand! L'envie folle qui nous ferait faire n'importe quoi pour réaliser notre désir, c'était ça: j'aurais été jusqu'à me tuer pour accéder à ce lit. C'était tellement puissant qu'il m'arrivait d'être étourdi, presque au bord de l'évanouissement.

Et le pire, c'est qu'ils savaient pour le trou! Je l'ai su des années plus tard au beau milieu d'une baise avec mon oncle. C'est lui qui me l'a annoncé: d'après lui, ils connaissaient l'existence de ce trou depuis presque le tout début! Louis et mon père s'en donnaient à cœur joie alors! Ils se savaient observés et cela les excitait à mort. Mon oncle m'a avoué qu'ils leur arrivaient d'utiliser aussi le trou pour m'observer à leur tour. Durant toutes ces années, un désir réciproque se cachait de part et d'autre de la cloison et trouvait le moyen de se maintenir via un simple trou. Une toute petite altercation dans le mur, mais un symbole d'une grande signification!

J'ai aussi compris que lorsqu'ils désiraient plus d'intimité, qu'ils ne voulaient pas faire un show et qu'ils faisaient l'amour au lieu de baiser, ils fermaient la porte du garde-robe. Ça, je n'avais pas le droit d'y participer, même en tant que voyeur. De toutes manières, à treize ou quatorze ans, ce n'est pas la chose qui nous intéresse!

Louis nous a quitté la journée de mon seizième anniversaire. Après 12 ans de vie commune, leur relation s'est affaiblie, le désir s'est affaissé. Cela n'a étonné personne; ils se sont quittés en bons termes et Louis est devenu un ami de la famille. Tout simplement.

Dès l'âge de onze ans, je passais une partie de mes étés à la campagne avec mon oncle André. Gay lui aussi, il s'assumait depuis des lustres.

"J'ai pas voulu attendre comme ton père," me disait-il ironiquement, chaque fois qu'il devait faire référence à son coming out.

Il faut dire qu'André n'y était pas allé de main morte: il n'avait que quinze ans et il voulait choquer. Il s'était fait une joie de laisser traîner quelques revues gaies où il était lui-même modèle principal. La journée où ses parents ont demandé des explications, il s'est contenté de présenter vulgairement son chum: un pur bum ramassé au coin d'une rue, à la réputation douteuse et pour lequel il n'avait aucune affection. Très tôt, il s'était fixé un but dans la vie: toujours choquer, à n'importe quel prix. Il a réussi!

Ces étés passés en sa compagnie étaient toujours formidables. Il me faisait découvrir d'autre chose que la trépidante vie urbaine: une philosophie toute nouvelle m'était présenté et elle me permettait d'affronter l'existence d'une nouvelle façon. C'était un campagnard, un vrai. Mais pas un passéiste qui cultive ses légumes et son blé de manière ancestrale. Au contraire! Il m'a montré un visage de la campagne aussi éloignée de la ville que des ennuyantes vaches et navets habituels.

"La campagne, ça bouge mon gars. Pis t'es ici pour faire un homme de toé."

Depuis qu'il ne travaillait plus que huit mois par année, il passait tous ses étés ici à se mettre en forme et pratiquer des activités que j'avais toujours trouvées d'un formidable ennui jusque là: chasse, pêche, camping, jogging, musculation et séances de beuveries particulièrement solides. Il était convaincu que la ville ne formait pas un homme et que la campagne, telle qu'il la concevait, me donnerait ce petit plus nécessaire pour exister vraiment.

Je dois avouer avoir trouvé cela ennuyant comme la pluie... Les deux premiers mois. Cependant, au fur et à mesure que le temps avançait, s'instaurait une intimité entre nous. Et elle, que j'appréciais vraiment. Sa vision du monde m'inspirait et je trouvais en lui une source d'influence que je jugeais bénéfique. Je n'irais pas jusqu'à dire que je devenais aussi macho que lui, mais j'appréciais la vision du monde qu'il avait: c'était un humaniste qui respectait les valeurs des autres mais qui avait les siennes et auxquelles il tenait.

À l'été de mes 15 ans, la relation que nous avions à pris un tournant. Un soir, au milieu d'une discussion, il a brusquement changé de sujet en me demandant:

"Marc, c'est quoi ton fantasme le plus fou?"

Je ne savais pas du tout quoi répondre! Il nous arrivait souvent de parler de sexualité, d'aborder des sujets assez chauds au point où nous nous retrouvions totalement bandés tous les deux. Il nous était même arrivé de regarder quelques films pornos ensemble. Mais sa question me prenait de court.

"Tu sais pas quoi répondre? Dis moé qu'est-ce qui t'excite chez un homme. Qu'est-ce qui te fait bander juste à en parler?"

Je commençais alors une description assez détaillée du type de gars avec qui j'aimerais vraiment baiser. Je décrivais littéralement mon père:

"Un grand gars... Bâti... Oui, ben faite. Ben musclé, où le corps est totalement formé par les muscles, des pectoraux saillants, des épaules solides pour ben m'envelopper pis des bras où on voit les veines saillantes tenter de se faire un chemin sous la peau. Ah pis un gars poilu, juste pour sentir son torse se frotter contre le mien pis promener mes doigts entre les poils de ses pecs. Une bonne moustache épaisse pour me faire gratter le cul pis pour la voir s'engouffrer dans le poil autour de ma graine. Un gars qui shoote fort, j'aurais vraiment envie d'être couvert de dèche. Mais surtout, j'voudrais un gars avec une attitude mâle. Là en ce moment, je feel pour un gars qui prend les choses en main, qui va me conduire là où y veut. Ouin, c'est à peu près ça..."

Je lui avais dit ça avec un réel intérêt et effectivement, je me retrouvais bandé. Pendant ma description, alors que j'avais les yeux fermés, il s'était caressé et avait sorti sa queue qu'il avait commencée à crosser lentement. J'eus la surprise de ma vie en ouvrant les yeux! Non seulement ma description l'a excité, mais il s'est aussi reconnu: il est à quelques différences près, le sosie de mon père. Le reste s'est passé comme il devait sans doute se dérouler: quelques mots sensuels murmurés à l'oreille pour nous exciter d'avantage et la magie du lit s'était accomplie toute seule. C'était mon premier amant, c'était ma première baise. Post coïtum animal triste dit-on. Eh bien, il n'avait pas connu mon oncle André certain! Lui qui connaissait tous les chapitres de l'amour entre hommes se proposait alors de me montrer toute sa connaissance. J'ai passé le reste de l'été dans ses bras, plus souvent la tête couchée entre ses pectoraux à discuter de choses belles et cochonnes qu'à apprendre à pêcher à la mouche ou autres imbécillités du genre. Nous sommes restés tout l'été l'un contre l'autre. C'est avec lui que j'ai appris le plaisir du cul.

Car le cul, il l'aimait vraiment. Il ne faisait pas qu'en parler, il le faisait, il le pratiquait et y excellait. J'apprenais à sucer correctement une queue trop grosse pour notre bouche, comment donner et recevoir du plaisir en me faisant enculer à fond; je goûtais au plaisir des trips à plusieurs, de toutes les positions, de toutes les occasions. Il lui arrivait souvent de me prendre au moment où je m'y attendais le moins: au beau milieu du jardin alors que j'étais en train de cueillir quelques légumes pour le souper; à la barre fixe lorsque je m'entraînais; pendant mon bain, où il entrait déjà bandé et me pénétrait sans avertissement. Il me filmait aussi pour que je puisse conserver un bon souvenir de mes vacances et que je puisse avoir quelque chose à me mettre sous la dent lors des longues soirées d'automne. Cet été-là reste gravé dans ma mémoire à tout jamais.

Dieu merci, il ne restait pas en campagne à l'année longue. De septembre à avril il était en ville et il lui arrivait souvent de venir à la maison. Ou alors je me déplaçais pour aller le rejoindre chez-lui. C'est d'ailleurs lors d'une de ces nuits où nous pratiquions une baise torride et essoufflante qu'il s'arrêta d'un coup sec (il avait l'habitude des surprises) pour me dire:

— T'sais, le trou dans ton garde-robe?

— Quoi? Comment-ça qu't'es au courant?

— Marc, ça fait longtemps que je l'sais! Pis si j'le sais, c'est ben parce que ton père le sait aussi!

— Ok, dis-je avec un sentiment d'inquiétude, qu'est ce que tu veux savoir?

— Tu vas m'raconter c'que t'as vu. Dis moé comment ton père est faite, comment Louis, le beau Louis, le baise. Dis moi toutte c'que t'as vu. Moé ça m'excite au max.

Il avait recommencé à me fourrer lentement et m'embrassait en me mangeant délicatement les lèvres ce qui rendait ma description difficile. D'autant plus qu'avec le goatee dont il était équipé, il m'échauffait suffisamment pour que j'aie de la difficulté à me concentrer sur ce qu'il voulait savoir. Mon discours était entrecoupé de "Mmm", de "oh, wow, j't'e ferai la même chose mon bébé", de grognements et de cris qui sortaient de sa bouche lorsqu'une description était particulièrement réussie et réaliste. Je lui racontais tout en détail: à quel point ils étaient bandants quand ils baisaient, mon désir de me faire planter par mon père, les cris presque inhumains de leur jouissance, leur attitude virile, etc. Et tout en m'embrassant sur les lèvres, nos jeux de langue nous permettant de goûter l'autre de plus en plus passionnément, il passa sa main dans mes cheveux:

"T'es un crisse de vicieux mon jeune, me dit-il en souriant tout en continuant de m'embrasser, J'pense ben qu'un jour tu vas l'avoir ton père. Y m'a dit qu'ça l'excitait de se faire r'garder. J'pense que t'es pas l'seul à être excité. Pis j'donnerais n'importe quoi pour être avec vous autres quand ça va arriver."

Il m'englobait avec ses bras puissants et je sentais le poil de ses avants bras me chatouiller le visage pendant que ses doigts allaient se perdre dans mes cheveux. Nous étions chauffés au maximum; désormais, les mots étaient inutiles, j'avais su dire les choses qu'il fallait pour nous exciter totalement. Sa queue entrait et sortait avec une lenteur qui venait chercher mon plaisir petit à petit. Nous sentions l'orgasme monter avec force et tous les muscles de son corps se sont contractés pour, l'espace d'un instant, me donner l'illusion que je me faisais fourrer par le plus grand monstre sexuel que la terre ait connue.

Louis était parti depuis bientôt trois ans et personne ne s'était pointé dans la vie de mon père. Ah! Quelques nouvelles baises faisaient leur apparition ici et là, mais rien de trop sérieux. Elles disparaissaient habituellement aussi vite qu'elles étaient arrivées. En d'autres termes, la vie sexuelle de mon père était des plus drabes. On était loin des nuits enflammées observables du trou du garde-robe! De mon côté, André était maintenant déménagé à Québec, ce qui constitue le bout du monde pour un résident de Montréal qui n'a pas le temps de se déplacer de 300km à tous les soirs pour assouvir ses pulsions.

Depuis le départ de Louis, mon père avait changé. Il était plus enjoué, plus moqueur et la proximité qui caractérisait la relation que nous avions développée s'était approfondie d'avantage. Il préférait occuper son temps pour des choses qui l'intéressaient vraiment que de courir à travers la ville à la recherche de LA baise. Il partageait donc son temps entre le travail, quelques amis, son entraînement musculaire et moi. Nous partions souvent en voyage pour quelques jours, histoires de passer du bon temps et de discuter de tout et de rien.

Un soir, alors que je rentrais relativement tard du travail, j'entrais dans le salon et je n'entendis aucun bruit.

"Pourtant toutes les lumières sont allumées!", me dis-je.

Je devinais que mon père était en pleine séance de fourrage où il exerçait son rôle de "top" à merveille encore une fois. Effectivement en m'approchant de ma chambre, les cris étaient assez révélateurs. Seulement, en entrant dans ma chambre, j'ai constaté que sa porte était ouverte. Bizarre, habituellement la porte est toujours fermée. Je m'approchais alors avec avidité de la chambre pour... me rendre compte que mon père, complètement nu, cuisses entrouvertes, queue érigée et gland violacé se crossait avec une sensualité que je ne lui connaissais pas. À travers le tapis de poils de son torse, je pouvais voir son pec droit se contracter à chaque fois que le bras amorçait un mouvement vers le haut. Idem pour les nombreux poils noirs qui dissimulaient les puissants muscles de ses avants bras. En observant plus attentivement, je voyais l'ensemble de ses muscles se contracter à chaque spasme que lui envoyait sa crosse solide.

Il lâcha sa prise quelques instant pour se retourner vers la porte. Je me suis éloigné aussitôt. Mon père et moi avons peut-être un passé de voyeur, il est réciproque et connu autant de lui que de moi, mais je n'ai pas vraiment le goût de me faire voir! Ouf! Il ne s'était levé du lit que pour aller s'allumer une cigarette. Encore plus bizarre: il ne s'est jamais masturbé en fumant. Il lâcha sa queue à nouveau pour prendre la télécommande du vidéo et il fit jouer le film. J'ai rapidement fait le lien: c'est de là que venaient les bruits de tout à l'heure! Et il a recommencé à se caresser mais encore plus passionnément. Non pas qu'il allait plus vite ou plus fort. Non, il semblait réagir avec plus d'intensité.

Et j'ai tout compris: mon cœur s'est mit à battre au plus fort et je suis entré en toute vitesse dans ma chambre.

"Ce film-là, y faut que j'le r'trouve, il faut que j'le retrouve au plus vite."

Je devais avoir l'air d'un vrai fou: en train de fouiller dans mon bureau comme un débile à la recherche d'une cassette vidéo, en tentant de faire le moins de bruit possible. "Elle est pas là!" constatais-je. Je ne pouvais plus me contenir. J'approchais du fameux trou de mon garde-robe. Fiou! La porte est ouverte! Immédiatement une érection du tonnerre est apparue entre mes jambes. Je l'savais! Mon père était en train d'écouter une cassette sur laquelle on retrouve plusieurs séances de baise que j'ai eue avec André. Et la séance de fourrage sensuel où j'explique mon désir pour mon père s'y retrouve.

En regardant par le trou je vois les reins de mon père se cambrer; la main droite caressant la base de sa queue hypertendue; sa main gauche, large, solide et poilue, caresser ses pectoraux ou descendre jusqu'entre ses fesses pour forcer son cul à s'ouvrir; sa bouche entrouverte, surplombée par une moustache bien épaisse que j'ai absolument besoin de goûter un jour; et ses cuisses solides, rondes, musclées comme un hockeyeur, et aussi poilues, se contractant au fil des spasmes commandés par l'orgasme à venir.

Il y était. Il était en train de m'écouter dire à André ce que je pensais de lui. Des bribes de conversations parvenaient à mon oreille:

"juste à penser à lui, chus bandé comme un porc......tu vas l'avoir ton père......J'veux être là quand ça va arriver......J't'e ferais la même chose bébé..."

Inutile de mentionner à quel point j'étais excité! N'en pouvant plus et ayant peur de perdre ce moment privilégié, j'ai fait un vacarme dans ma chambre pour indiquer à mon père que j'étais arrivé et que j'étais bien là. Je suis sorti de ma chambre et j'ai cogné à la porte de la sienne.

— Oui, entre Marc, me dit mon père.

En ouvrant la porte, je me rends compte qu'il a arrêté le vidéo. Il s'est réfugié sous les couvertures.

— Ça va? lui dis-je.

— T'arrive ben tard?

— Trop de travail ce soir. Un client à besoin d'une vitrine de présentation pour lundi. J'avais pas le choix de rester (vite, Marc! Pense vite! Trouve un moyen de diriger la conversation sur tu sais quoi!). Et toi, tu faisais quoi? Tu regardais un film?

Il m'a regardé avec un sourire évident. Il savait.

— Oui, un bon p'tit film.

Décidément, il ne voulait pas faire les premiers pas! Je me suis couché sur le lit, juste à côté de lui.

— Tu sais, les vendredis soirs j'suis ben fatigué. Faut ben que j'me trouve quelque chose de straight à faire.

Il passa sa main dans ses cheveux. Je pouvais voir son biceps se contracter, son épaule aux muscles striés répondre avec agilité aux mouvements qu'il commandait à son bras. Ce simple geste me fit bander et je me suis tourné sur le côté, lui faisant face pour bien lui montrer à quel point ce que j'avais entre les deux jambes était digne de lui. Il en prit conscience, j'en suis sûr et s'alluma une autre cigarette. Il semblait vraiment nerveux. De mon côté, je ne savais plus quoi dire.

— Je profite de ma soirée pour mon plaisir personnel, si tu vois ce que je veux dire!

Une perche! Vite, il faut que je saute dessus. Mais j'ai trop peur de tout gâcher. Je ne sais pas quoi répondre, étant probablement aussi nerveux que lui. J'attends trop longtemps. Il repasse sa main dans ses cheveux. J'en bave presque...

— Je sais que tu sais pour le trou, me dit-il calmement.

— Depuis longtemps?

— Depuis que je sais qu'André te l'a dit. Je lui avais demandé de se fermer la trappe, mais il était pas capable j'imagine! Et tu l'as appris d'une belle manière en plus!

— Ça te choque?

Il se tourne vers moi et me regarde pour la première fois. L'insécurité se lit dans ses yeux. Il semble s'y mêler peur et désir. Je le laisse faire. Il sourit nerveusement, me prends la main avec ses deux grosses pattes velue (je manque presque de m'évanouir) et me dit:

— Écoute Marc, je sais plus quoi faire. Ça fait huit ans que je sais que tu me veux. Huit ans que ce trou là existe. Huit ans que tu te crosses au beau milieu de ton garde-robe; huit ans que je fais pareil. Quand tu venais fourrer dans ta chambre avec mon frère, au lieu de me frustrer comme beaucoup l'auraient fait, j'me cachais dans le garde-robe pour te r'garder. Pis y'a la culpabilité. Peut-être que j'aurais pas du te laisser baiser avec mon frère. Peut-être que j'aurais du stopper ça au début aussi. Ça fait huit ans qu'on baise ensemble sans se toucher, Marc. J'ai trop peur de c'que ça pourrait donner. D'un autre côté tu connais très bien mes goûts, mon désir, mon envie, pis j'm'en cache pas. Je l'sais pus c'que j'veux Marc. J'ai peur.

Ça a sorti tout seul. Un peu plus et il me mettait à pleurer j'en suis sûr. Mon père ayant toujours été d'un pragmatisme frappant, j'étais déconcerté par cette déclaration. Que pouvais-je bien lui dire? Et surtout, qu'est-ce qu'un gars de 19 ans peut bien raconter pour rassurer son père de 35 ans! Je décidais d'opter pour la logique. Je l'appellerai par son prénom. Fini les p'pa! Ainsi j'aurai au moins la possibilité de mettre une distance provisoire. Je me lançais:

— François, pourquoi t'as peur? Tu veux juste que j'te fasse jouer le jeu de la conquête, c'est ça? T'es pus juste un fantasme de jeunesse t'sais. Si tu savais combien de fois j'ai faillis m'jeter dans ton lit et de t'crier "Viole-moé, baise-moé! Fait quelque chose, chus pus capable!" Pis t'as pas à avoir peur pour André. J'ai passé un moment génial avec lui pis j'en suis pas traumatisé pour autant. Je savais ce que je faisais, il le savait, tu le savais. Tout le monde était d'accord. J'vois pas pourquoi tu t'énerves avec ça! Si j'étais complètement déséquilibré, j'te dirais: "OK. T'as raison." Mais là! François, ça fait neuf ans que j'rêve d'être l'autre bord du trou, avec toi. Sais-tu c'que ça veux dire?

Son regard était changé. J'imagine que je l'avais convaincu! Il reprit ma main, l'approcha de sa bouche et embrassa délicatement mes doigts. Ah! ce doux contact des lèvres et de la moustache sur ma main. Son regard se ne détachait plus du miens. J'avais gagné. De sa grosse patte, il caressa ma nuque en passant ses doigts dans mes cheveux. J'étais en extase.

— Chus vraiment fier d'avoir un gars comme toi.

Ces mots marquèrent la fin de la conversation. Ses lèvres s'approchèrent enfin des miennes. Il m'enlaçait avec ses bras et nos mains prenaient le temps de découvrir la passion commune que nous partagions depuis presque 10 ans, celle du corps de l'autre.

En m'embrassant il me parlait tout comme son frère l'avait fait avec moi il y a quatre ans.

— Ça mon gars, c'est la chose que je veux depuis tellement longtemps. J'ai tellement envie de t'embrasser, de te faire jouir comme je faisais jouir Louis.

Un véritable frisson me courait le long de l'épine dorsale, à chaque fois qu'il appuyait sa main dans mon dos. Lui grognait de satisfaction.

J'ai enlevé la couverture sous laquelle il se cachait depuis mon entrée dans la chambre. J'avais peine à y croire. Ce corps que j'avais désiré depuis tant d'année était là, devant moi. Et il était consentant! Je me suis assis sur son bassin, sa queue bandée comme un cheval entre mes cuisses. Il s'est relevé pour m'embrasser. Je pouvais voir tous ses abdominaux se contracter sous l'effort de se tenir droit. Il était vraiment un dieu. Je passais mes mains dans les nombreux poils de ses pecs; il se cambrait la tête vers l'arrière. Et sa langue s'enfonça à nouveau dans ma bouche. Il eut quelques difficultés à enlever ma chemise et lorsque je fus torse nu, il posa ses mains sur mes pectoraux. Ma queue, compressée sous mes jeans me faisait horriblement mal. Jamais je n'avais bandé comme ça. Et pendant que ses mains m'électrisaient, je tentais d'enlever ma ceinture. Le reste s'en suivit.

Collé contre la montagne de muscles de mon père, il murmurait à mon oreille:

— Je sais que t'en as vraiment envie. J'vas t'faire jouir au max mon bébé.

Chaque geste qu'il posait impliquait un muscle quelconque. Ainsi, il était toujours possible pour moi de contempler à quel point il était viril. Sa moustache à mon oreille continuait de me lancer de chaudes et suaves vulgarités.

— J'vas t'faire connaître le goût de mon cul; mon gars, prépare toé à hurler. J'vas t'faire crier mon bébé. Hein, tu vas crier... Dis moi-le qu'tu vas déverser ton jus au fond d'ma gorge. J'veux qu'tu connaisse le plaisir du cul pur. Du vrai cul viril. Astheure, y'a juste moé qui vas pouvoir te faire jouir comme un vrai salaud. Attends d'avoir ma graine chaude au fond de ton cul...

N'en pouvant plus, je suis descendu jusqu'à sa queue: un véritable monstre surnaturel. Je devais, pour la prendre au complet, ouvrir ma gorge au maximum afin qu'elle descende jusqu'à l'oeœsophage. J'avais la queue de mon père au plus profond de moi et j'attendais qu'elle explose.

— Vas-y mange-la. Arrrgh! Suce-la comme tu le faisais avec la queue d'André.

Quand je remontais le long de sa queue pour aller chercher un peu d'air, je portais une attention particulière à son gland. Un vrai casque luisant, plus dur que du caoutchouc. Et la véritable odeur d'une transpiration de mâle qui monte au nez. Je m'attardais sur le pourtour de son gland de cheval. Et je l'entendais gémir:

— C'est ça mon gars, mange la queue par où t'es déjà passé. Mange la grosse graine de ton père. Oh yeah! Tu vas être couvert de ma grosse dèche gluante. Argh, oui, t'en as envie hein mon gars! T'as l'goût qu'ton père musclé t'envoie sa décharge dans la face pis qu'ça coule dans ton cou pis jusque sur tes pecs?

Il s'est retourné pour saisir ma queue avec ses lèvres, il l'engouffrait parfaitement. Le contact de ses lèvres épaisses et humides sur mon gland bouillant m'apaisait quelque peu. Je quittais sa graine pour le regarder me sucer. L'image de sa moustache épaisse glissant profondément sur ma queue venait chercher les dernières gouttes d'énergie qui me restait. Je m'effondrais sur le dos, pris soin de placer un oreiller derrière ma tête afin d'être plus à l'aise pour regarder mon père me manger. Mes jambes relevées, il glissait brutalement un de ses gros doigts dans mon cul. Il s'amusait. À chaque fois que mon gland sortait de sa bouche, j'avais droit à un concert de grognements virils qui m'en disait long sur la satisfaction qu'il éprouvait à manger la graine de son fils.

Avec deux doigts dans mon cul, mon père remonta m'embrasser tout en continuant de s'amuser avec ma prostate. Il connaissait bien la manipulation de cet organe et il savait s'en servir. Alors qu'il m'embrassait le front, il me dit tout bas:

— Prépare-toé à recevoir ma queue, si t'as jamais jouis sans t'crosser, c'est à soir que tu vas l'vivre. Tu vas connaître le summum de l'extase entre deux hommes. J'te réserve ça depuis tellement longtemps...

Et ses paroles se perdirent dans ma bouche en même temps que sa langue et sa passion.

Il retira ses doigts; se coucha sur moi. Sa queue toute raide entre mes jambes dégageait une chaleur si brûlante.

— Vas-y, p'pa, fourre-moé.

Une fois relevé. Il plaça sa queue à l'entrée de mon cul.

— T'as le goût de l'avoir hein? T'as veut mon bébé?

Et il est entré comme un ogre. Son bat me défonçait le cul à une vitesse impressionnante. Et il forçait pour entrer encore plus en avant. Comme s'il était possible d'ajouter quelques pouces à sa graine déjà immense. À chaque poussée, j'avais la tête qui flashait. Il releva mes jambes et vint coller ses lèvres sur les miennes. Je pouvais sentir chacun des muscles de son dos travailler et ses abdominaux se coller sur les miens avec violence. Je passais mes mains sur ses épaules et ses pecs, lui pinçait le bout des pecs et pouvais l'entendre jouir.

— Arghhhh, mon gars, tu sens mon gland te déchirer l'intérieur, hein. T'aime ça quand ton père viril de fourre à plein cul hein? T'es un crisse de cochon mon gars!

Ses couilles battaient contre mes fesses avec force et lourdeur; un claquement se faisait entendre à chaque fois qu'il entrait à fond. Il avait chaud, il gémissait. Les poils de son torse étaient tous mouillés et la transpiration lui dégoûtait du menton. On s'embrassait à pleine bouche et sa moustache humide glissait derrière mes oreilles. Entre deux grognements, il me dit de sa voix grave:

— Pis mon gars, j'vas t'achever hein?

— Arghhh, p'pa, j'vas v'nir!

— On vas v'nir ensemble mon bébé, me dit-il.

Il était complètement bandé. Son corps entier n'était qu'érection. Les veines de ses bras, pourtant déjà saillantes, semblaient vouloir sortir complètement de son corps. Je pouvais presque voir son pouls à travers la peau. J'étais totalement collé contre lui quand il me cria:

— J'vas v'nir mon gars. T'es tu prêt?

— Arhh, oui men, vas-y défonce-moé l'cul à fond. Vas-y rentre là. FOURRE MOÉ LÀ AU FOND!

— AH, T'AIMES ÇA LA SENTIR TE DÉFONCER LE CUL MON GARS. T'AIME ÇA TE FAIRE DRAINER LE CUL PAR LA CRISSE DE GROSSE QUEUE DE TON PÈRE! ARGHHH! MARC, ARGHHHHH! J'VAS CRACHER! AH OUI MON BÉBÉ, VIENS, VIENS AVEC MOÉ...

— ARGHHH! P'PA! CRISSE OUI! RENTRE LA AU FOND ARGHHHHH!

— AH OUI MON BÉBÉ ARGHHHHHHHHHHHHHHHHH, ARGHHHHH MON HOMME ARGHHHH!

On avait le torse complètement mouillé j'avais shooté mon jus sans avoir à me toucher. Mon père s'est retiré pour me cracher son jus dans la face.

— AHH, MON GARS PRENDS-LE ARGHHH! OUI, MANGE LA CRÈME DE TON OSTIE D'COCHON D'PÈRE! ARGHHHHHH!!!

De gros jets chauds et lourds sortaient avec force de son gland violacé. La graine explosait très haut dans les airs pour retomber dans mes cheveux ou sur mes joues. Le jus s'écoulait alors sur mon front ou dans mon cou et jusque sur les draps du lit. Son sperme onctueux s'était aussi déversé dans ma bouche et je le conservais pour le lui redonner. Mon père avec le torse complètement collé de mon sperme s'est effondré sur moi, les poils de nos deux torses se sont mêlé à notre dèche. J'embrassais mon père avec avidité pendant qu'il caressait mon cul comme pour l'apaiser.

Nous avons passé le reste de la nuit à parler et à s'embrasser lentement. Chacun écoutant les confidences de l'autre, chacun découvrant encore plus profondément la parfaite beauté d'un amour qui, bien qu'interdit, était tellement présent que rien au monde ne pouvait nous empêcher de l'explorer encore d'avantage.

Au fait, le visionnement des six heures de films XXX s'est bien déroulé: je ne me suis pas endormi et je n'ai pas sauté sur mon père pour le violer; j'ai pu tenir jusqu'au bout. Par contre, je n'ai jamais été aussi excité de ma vie. Et je vous raconte pas le flot de sperme! De toute manière, aucun mot, aucune phrase, aucune idée aussi bien exprimée soit-elle ne pourrait décrire avec autant d'intensité cette jouissance inhumaine. Si vous voulez connaître la chose, je vous conseille ça: crossez-vous lentement pendant six heures, laissez la sève monter plusieurs fois mais ne la laissez pas s'enfuir, le tout avec votre père. Par la suite, laissez ses larges mains velues courir sur votre queue pendant que vos lèvres volent vers sa bouche affamée. Vous m'en donnerez des nouvelles!

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Samedi 28 juillet 6 28 /07 /Juil 23:20

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Nawal n’a pas un gros calibre entre ses cuisses solidement charpentées, mais il sait sacrement bien s’en servir, le salaud, quand il me l'enfonce doucement dans le derche en me souriant comme le vicelard qu’il est. Avec lui, je pourrais dire que j’ai découvert le vice, mais ça fait un peu old-fashioned. C’est pire, je crois. Il m'a fait découvrir qu’en fait, j'étais une vraie petite salope qui s'ignorait. Moi qui me croyais fleur bleue, romantique, devant les exigeances de Nawal. J'ai bien dû me rendre à l’évidence. Quand il me demande de me branler dans un lieu public, à la limite de me faire choper, je suis bien forcé d’avouer que ça m’excite au plus haut point, parce qu’il me regarde et qu’il se masse doucement la braguette. Quand il me prend comme une sous-chienne devant un miroir, mon nez collé tout contre, il faut bien dire que ça me rend fou de le voir prendre du plaisir comme une bête en rut, et de voir ma gueule en gros plan, ravie de se prendre des coups de teub bien à fond, de voir mes yeux pleins de vice et mon corps tressautant au gré des coups de boutoir de Nawal. Pourtant, jamais je n’aurais pensé rencontrer un mec pareil, ni à cet endroit, encore moins me comporter comme une femelle obéissante.

Moi, je m'appelle Thomas, Tom pour les intimes. J’ai vingt-huit ans et je suis informaticien. Je suis grand, lm87, et plutôt costaud, 85kg. J’ai toujours été attiré par des mecs comme moi, balèzes, très poilus, de type nordique ou allemand, surtout les blonds aux yeux bleus, genre Hollandais baraqués.

Comment j’ai pu me retrouver scotché à un Beur d’à peine lm76 qui m’arrive aux épaules et qui me domine, je n'en sais fichtre rien. Ça s’est fait comme ça. sans que j’y pense, parce que soudain. je me suis senti plus excité que je ne l'avais jamais été.

J'habite près de Lagny, grande banlieue est de Paris, mais je travaille à Paris. Quand il fait beau et chaud, je vais souvent me balader le week-end en VTT, et j’aime bien aller dans une forêt après Meaux, près de Trilport respirer l'air pur et écouter les oiseaux. C’était en juillet dernier. J’avais emprunté un petit sentier qui longe la voie ferrée quand je suis tombé sur Nawal. Il pissait contre un arbre, juste à côté d’une moto trial jaune. Ça m’a fait tout chaud quelque part. La surprise. Il s’est retourné dès qu’il m’a entendu, et devant mon regard, il a souri en continuant de pisser de plus belle, les jambes écartées. C’était un jeune Beur qui devait troubler la paix et le silence de la forêt avec son engin polluant. Tout pour me plaire! Le temps de le dépasser n’a pris que quelques secondes, mais j’avais senti très nettement qu’il se passait quelque chose d’étrange dans mon slibard: je bandais comme un âne! Je ne pouvais pas me retourner, le sentier était trop étroit et je me serais pris une gamelle. Je me suis arrêté une vingtaine de mètres plus loin, là où le chemin devient plus large. Ça n’a pas tardé. J’ai entendu le moteur vrombir, puis la moto arriver. Le mec s’est arrêté près de moi, le casque accroché au guidon. Il m’a demandé: “T’as pas un clope à me filer?” Ça m’a scié! Non seulement ce mec polluait la forêt avec son engin bruyant, mais il se polluait les poumons à la nicotine. Sans compter que je bandais toujours, complètement excité! Quand je lui ai répondu que je ne fumais pas, il m’a rétorqué: “Dommage, je me serais bien fait une petite pipe...” Et il s’est mis à se masser ouvertement la braguette de son jean noir en me souriant. Ça ne pouvait pas être plus explicite: je suis resté hypnotisé sur la main qui massait les roustons que je devinais derrière les boutons. Alors il a coupé les gaz et il m’a dit: “Dis, salope, t’as pas envie de me faire un p’tit pompier? J’ai envie de m’vider!” Si j’avais été dans mon état normal, je lui aurais dit d’aller se la pomper tout seul comme un grand et de se l’enfoncer où je pense. Non! J’ai passé ma langue sur mes lèvres!

Quelques minutes plus tard, j’avais une belle petite pine pas très propre qui me limait la gueule. Il s’était mis torse nu, contre un arbre dans le sous-bois, et moi, j’étais à genoux à pomper comme un malade en salivant. J’avais sorti mon engin, bien trop à l’étroit derrière mon baggy, mais je ne me branlais pas. J’aurais joui tout de suite tellement ça m’éclatait!

Au bout d’un certain temps, Nawal m’a dit: “J’ai envie de te la fourrer bien profond, je suis sûr que t’as un fion bien serré, un fion de salope qui aime bien se faire niquer par du Rebeu!” Là aussi, il y a moins d’une heure, n’importe quel type m’aurait parlé sur ce ton, je lui foutais mon poing dans la gueule, surtout une demi-portion comme Nawal, même s’il est hyper-bien foutu et bien proportionné, avec un beau torse très légèrement poilu, des pecs développés et des biceps épais et tatoués. En fait, j’ai répondu: “Désolé, mais j’ai pas de capotes! Je pouvais pas prévoir...” Il m’a dit: “Eh bien, tu vas aller en acheter! Y’a une pharmacie à Trilport! Allez, magne-toi, j’ai la teub qui en veut!”

J’y suis allé, j’en suis revenu avec une boîte de capotes, et il m’a défoncé le trou de balle comme un taureau monte la vache. Nawal n’est pas très grand, mais il est endurant. Cet après-midi-là, il m'a enculé trois fois, et à chaque fois, ça a duré, je vous prie de le croire. Plus il me limait, plus j’en redemandais. Plus il me traitait de tous les noms avec son accent de banlieue, plus je tendais mon cul comme une roulure qui veut de la bite plein son boyau. La troisième fois, il m’a pris couché et de face. J’étais à poil. Il m’a relevé les jambes en les écartant très fort, il a pointé son calibre, et il me l’a enfoncé d’un coup en me disant: “Tiens, ma teub, t’aimes ça, la tepu!”

Moi! J’ai malaxé son glaviot dans ma bouche avec un air gourmand. Voyant ça, il ne s’est plus retenu. S’arc-boutant à mes chevilles tirées en arrière, il m’a pété le trou à coups redoublés. Je me suis branlé en cadence, mais au bout de quelques aller-retours, j’ai joui sans pouvoir me retenir. Ça a été un orgasme grandiose. J’ai crié, je lui ai crié de me la foutre plus loin, plus fort, qu’elle était trop bonne sa queue!

Depuis, on se voit assez régulièrement. Il a de gros besoins. Il a besoin de cracher tout le temps, c’est incroyable! Et maintenant, je suis sa pute occasionnelle, son éponge-burnes, et il me fait faire des trucs que je n’aurais jamais accepté auparavant. Après m’avoir baisé à fond pendant longtemps, après avoir bien giclé, il adore verser le contenu de la capote sur mon visage ou sur ma queue. Il aime bien me regarder me branler dans son jus gras et abondant. Et puis, des fois, il me pisse dessus, dans ma baignoire, ou à poil dans la forêt, l’été. Je suis devenu une salope, alors que je ne rêvais que de rencontrer un grand amour romantique. Nawal ne m'a jamais sucé, mais il aime bien me branler et me tirer fort sur les roustons. S'il ne se fait pas enculer ni doigter, il adore, par contre, se faire bouffer la rondelle. Il me plaque au sol et il s’assoit carrément sur ma gueule, les fesses bien écartées. Et pendant que je lui gougnotte la fente qu'il n'a pas toujours très nette, il me traite des pires insultes qu'il connaisse, ça l'excite. Mais ce qui l'amuse le plus, c'est, quand il s’est bien vidé les couilles, me pisser dessus longuement, me regarder m'en doucher en me branlant comme la pire des putes, me mater jouir en gueulant, en buvant sa pisse chaude. Il me dit toujours: “T'essuie pas! Attends que ça sèche tout seul! J’t'interdis d’te laver! Je veux que tu pues ma pisse parce que t'es à moi! T'es ma pute, tu entends?"

Avec Nawal, je prends un pied dément à chaque fois. Et à chaque fois qu’on se rencontre, il a toujours inventé un nouveau truc vicelard. J’attendais le grand amour avec une armoire à glace aux yeux bleus, et je me fais larver par un Beur demi-portion qui m'humilie. La vie réserve de drôles de surprises parfois...

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 1 commentaires
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