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fan de histoires de mec

Samedi 18 août 6 18 /08 /Août 00:20

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Comme beaucoup de jeunes gens, j’ai traversé une période difficile durant mon adolescence qui s’est caractérisée chez moi par un violent rejet de la norme. Vers 13, 14 ans, j’ai commencé à fréquenter quelques skins et adopté leur look et leurs manières, au grand dam de mes parents. Il était aussi parfois difficile de supporter le regard suspicieux des profs et des adultes en général. J’aimais cependant ce sentiment d’appartenir à une bande, voire à une conférie. A partir de ma quinzième année, j’ai entamé une impressionnante série de fugues qui m’emmenèrent dans toute la France et même à l’étranger, ce qui me permit de vivre pleinement la découverte de mon homosexualité et de mes fantasmes déjà bien affirmés. C’est ainsi qu’alors que je venais de fêter mes 18 ans, je me trouvai dans le vieux Reims, non loin de la cathédrale. C’est dans cette zone que se retrouvaient les zonards et notamment les « frangins ». Je me revois avec ma paire de Docs, mon jean crado et mon éternel bomber’s noir, les tifs tondus, en train de déambuler dans ce quartier. Ca faisait déjà trois jours que je m’étais tiré de chez mes vieux et depuis je n’avais pas vu l’ombre d’une douche. Un jeune mec vêtu d’un sweat à capuche Lonsdale attira mon regard : il avait un visage ouvert et souriant, rien à voir avec la caricature du skin. Il était assis sur une barrière et buvait des gorgées de bière. Je m’approchai de lui et nous ne tardâmes pas à engager la conversation, solidarité de corps oblige. Il s’appelait Pascal et il avait le même âge que moi. Il me proposa de la bière et je lui offris une cigarette. J’appris que sa situation était encore moins enviable que la mienne dans la mesure où il n’avait absolument aucune famille et avait passé presque toute son existence en foyer. Je lui demandai s’il avait une idée d’endroit où passer la nuit. Il me dit alors qu’il connaissait un moyen de gagner du fric facilement et que cette somme nous permettrait non seulement de pouvoir dormir à l’hôtel mais encore d’avoir à bouffer toute la semaine.

« Ca consiste en quoi ?

_ Il s’agit de s’occuper d’un PD… Il paye bien… Je dois le voir aujourd’hui.

_ T’es quand même pas PD, mec ?

_Naan, j’aime les meufs. Mais je ne crache pas sur un peu d’argent de poche discrètement gagné… D’autant plus qu’il ne s’agit pas de sexe à proprement parler…»

Je continuai à tergiverser et arguai du fait que j’étais trop crade pour pouvoir prétendre séduire un amateur de jeunes. Mon pote me fit alors comprendre qu’au contraire nous étions absolument parfaits pour ce qui était prévu.

Pour l’instant, il refusa de m’en dire plus mais me demanda de lui faire confiance. Je réalisai que le jeune hétéro qu’il prétendait être appréhendait de se rendre seul à ce rendez-vous. Ainsi, en me proposant de l’accompagner, il était rassuré et le sacrifice financier était moins grand pour lui que s’il avait entraîné dans cette expédition 2 ou 3 frangins supplémentaires. Au fond, je trouvais la proposition à la fois mystérieuse et excitante. Et contrairement à Pascal, j’aimais les mecs, moi. Lors de mes pérégrinations, il m’était souvent arrivé de passer la nuit chez des types et j’avais constaté à quel point les skins, tout comme les militaires, excitent les homos. J’acceptai l’offre de mon nouveau pote et le suivit. Il est vrai que j’avais les couilles bien pleines et envie de me vider. Nous traversâmes une partie de la ville et je remarquai que nous nous trouvions maintenant dans les beaux quartiers, comme on dit. Pascal s’engagea dans une petite rue tranquille dans laquelle se trouvaient de superbes immeubles anciens. Il s’arrêta devant une belle et grande porte en bois, entra le code qu’il connaissait et nous fîmes notre entrée en ces lieux. Le spectacle de ces deux jeunes skins crasseux pénétrant dans un lieu aussi classe aurait surpris n’importe quel observateur. Mais le couloir était désert. Nous prîmes le grand ascenseur qui semblait nous attendre et sortîmes au cinquième étage. Pascal sonna deux coups brefs à l’une des deux portes qui se faisaient face. J’attendais avec impatience de voir la trombine du mec : je m’attendais à un vieux bourge, ou pire à un jeune moche, gras et dégarni. La porte s’ouvrit franchement et j’entendis une voix masculine et agréable déclarer :

« Bonsoir Pascal. C’est sympa d’être venu. Je vois que tu as amené un copain… Très bien… En plus, il est aussi charmant que toi… Entrez messieurs… »

Celui qui venait de parler ne ressemblait en rien au genre de client que je redoutais de voir. Il s’agissait d’un très beau gars d’une trentaine d’années, brun, masculin, pas le genre de type à en être réduit à payer en tout cas. J’étais pour le moins déconcerté…

L’appartement était très grand et somptueusement décoré. Le jeune mec d’origine modeste que j’étais n’en croyait pas ses yeux. Marc (c’était le prénom du propriétaire des lieux) nous offrit à boire. Des bières, bien sûr. Au bout de plusieurs bouteilles, j’avais bien évidemment envie de pisser. Je m’apprêtai à demander où se trouvaient les toilettes lorsque Pascal, semblant lire mes pensées, me fit signe de ne pas bouger et de me taire. Il se leva et regarda Marc d’un air méchant qu’il n’avait pas en temps ordinaire. Je compris que cela faisait partie du jeu. Marc eut un sourire satisfait et entreprit de se déshabiller : il ôta sa chemise blanche et dévoila un torse musclé et imberbe. Ses chaussures et son pantalon furent eux-aussi enlevés. Il ne portait plus qu’un slip blanc à poche. Il se mit à genoux. Pascal défit promptement les boutons de son pantalon et sortit sa queue. Je n’eus pas l’occasion d’admirer son engin : il l’enfonça promptement dans la gueule ouverte du beau Marc. Je m’attendais à la traditionnelle pipe mais je me rendis vite compte que Pascal ne bandait pas. En fait, il était en train de pisser dans la bouche accueillante du brun. Celui-ci semblait se régaler et ne perdait pas une goutte du liquide tiède. C’était donc ça ! Ce mec invitait des petits jeunes pour leur servir de pissotière. Et en plus il les payait grassement ! Je dois avouer que j’en avais vu d’autres. Ce que Pascal ignorait, c’est que j’avais déjà une certaine expérience des pratiques uro et que j’avais expérimenté tant comme donneur que receveur ! Une fois son pipi terminé, mon copain s’empressa de se retirer. Et je me hâtai de prendre la suite. Marc sembla apprécier l’odeur de ma tige mal lavée ; de plus, j’avais du mal à ne pas bander. Je me vidai donc dans sa gueule. Je dus bien lui verser près d’un litre de liquide jaune. Quelques minutes plus tard, l’affaire était pliée et je m’attendais à ce que nous mettions les voiles après avoir reçu notre récompense.

Marc s’était relevé. Il semblait satisfait. « On passe à la salle de bains pour la suite ? » Ce n’était donc pas fini. « Après l’apéro, le dîner », lança Pascal d’un air sarcastique. Je ne comprenais pas vraiment ce qu’il voulait dire.

La salle de bains était de grande taille. Marc ôta son slip. Pascal baissa son froc et son caleçon. Le brun s’était allongé sur le dos dans la gigantesque baignoire. Mon pote s’accroupit sur sa gueule. Je commençais à comprendre. Jusqu’à ce jour, je n’avais pas vraiment eu d’expérience scato. Ainsi, notre hôte était l’un de ces masos qui aiment se faire chier dans la bouche. Je n’en revenais pas … Cela me sembla totalement délirant… En même temps, le spectacle qui s’offrait à mes yeux était pour le moins excitant. J’étais placé de telle façon que je voyais le visage de Marc collé au cul lisse de Pascal. « J’y vais, je peux plus me retenir, mec. Allez, bouffe ma merde, PD. » Je vis une grosse merde sortir du trou et pénétrer dans la bouche ouverte, telle une bite noire. L’odeur devenait intense et je me rendis compte que je bandais. Le soumis mâchait l’étron voluptueusement… il semblait vraiment apprécier. Au bout d’une minute maximum, il avait tout avalé. Mon pote se releva en jurant après s’être fait nettoyer la rondelle à la langue. « Putain, j’espère que ça t’a plu parce que j’ai que ça aujourd’hui. Une seule bouse. Mais je suis sûr que mon pote va bien te remplir. » Je savais ce que j’avais à faire. Le seul truc qui me chiffonnait par rapport à Pascal, qui se diqait hétéro, c’est que j’avais le sexe en érection. Je ne pouvais dissimuler mon excitation. Mon cul était forcément odorant et je n’avais pas chié depuis deux jours. Autrement dit, j’étais plein de chez plein. Je sentis la langue de Marc s’immiscer dans les interstices de mon anus. Il dut remarquer qu’il était bien dilaté pour un soi-disant skin hétéro… Je décidai de forcer et je ne réussis dans un premier temps qu’à envoyer un gros pet bruyant qui fit rire Pascal alors que la langue de l’autre s’activait avec encore plus d’acharnement. Enfin, je sentis que ça venait. Une grosse merde passa à travers mon sphincter et échoua dans la bouche gourmande de Marc qui s’empressa de la mâcher et de l’avaler à toute vitesse. Il tentait vainement de respecter mon rythme mais il avait du mal. Je chiai une quantité impressionnante de bouse ce soir-là. Et de la bonne, bien dure ! Celui que je régalais n’en pouvait plus, je l’entendais grogner de façon presque hystérique entre deux bruits de mastication. Soudain il se mit à gémir longuement et je vis des flots de sperme jaillir de son sexe. Comme je l’ai déjà précisé, je bandais moi-même comme un âne. Tandis que sa langue achevait de nettoyer mon trou, je fus à mon tour pris de spasmes et je me vidai de mon foutre. Je ne m’étais même pas touché ! Pascal me regardait d’un air stupéfait.

Après nous être rhabillés, et avoir décliné l’offre de Marc qui nous proposait de prendre une douche et de profiter de son installation, nous partîmes, les poches pleines. Le mec avait vraiment été généreux.

Une fois dans la rue, Pascal me demanda ce que j’avais pensé de tout ça. « Intéressant. Tu avais raison, ça rapporte bien.

_Et puis, ça n’a pas eu l’air de te déplaire, mec.

_En fait, je pensais à autre chose, répondis-je d’un air gêné et pas très convaincant.

_Le problème, c’est que si tu montres au type que tu prends ton pied, il va être tenté de moins bien payer… »

Comme l’avait pronostiqué mon compagnon, nous avions de quoi nous payer l’hôtel et nous trouvâmes un petit établissement sympa. Après être sortis manger un morceau, nous étions de retour dans notre chambre. J’étais sur le point de me coucher. Auparavant, j’avais envie de me vider la vessie et même d’aller faire une petite crotte (rien à voir bien sûr avec ce qui avait précédé). Mais Pascal était dans le petit WC et cela faisait un certain temps que je ne l’entendais plus. Je l’appelai mais il ne répondait pas. J’avais trop envie de pisser. Je décidai d’aller voir ce qu’il faisait. J’étais uniquement vêtu de mon caleçon puant. J’ouvris la porte. Le spectacle qui s’offrit à mes yeux était étonnant. Mon pote était à genoux, la bouche ouverte. Il m’attendait. « Ainsi tu ne fais pas ça uniquement pour le fric…

_Toi non plus, il suffit de voir le pied que tu as pris tout à l’heure. Alors, s’il te plaît, remplis moi. J’en crève d’envie depuis que je t’ai vu dans la rue. »

Je ne me fis pas prier et à partir de ce moment Pascal devint mon chiotte régulier. Ce fut de plus le début d’une relation intense qui dure toujours.

 

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Mardi 14 août 2 14 /08 /Août 16:42

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’étais invité au mariage d’un ami et après la mairie, le vin d’honneur et le repas, je commençais à m’ennuyer maintenant que le bal avait débuté dans la salle de l’hôtel qui accueillait la cérémonie. Le barman était mignon, je m’apprêtais à aller lui faire du gringue quand je me suis retrouvé nez à nez avec mon cousin. Nous avions presque 30 ans tous les deux et nous nous étions perdus de vue depuis l’été de nos 16 ans, où très proches l’un de l’autre, un soir, nous nous étions embrassés. Nous n’avions jamais voulu nous revoir depuis, sauf stricte obligation où l’on se contentait de se saluer, toujours un peu gênés, et je l’avais même perdu de vue depuis que nos routes avaient vraiment divergé, lui s’étant marié et moi ayant eu plusieurs mecs successifs.

Bref, ce soir-là, nous nous étions retrouvés ensemble dans les toilettes et j’allais sortir quand il me parla.

— Tu sais Jérémie, je n’ai pas oublié et je ne t’en veux pas.

— M’en vouloir de quoi Pierre? lui ai-je rétorqué.

— De ce que tu m’as fait, a-t-il ajouté.

Alors comme ça il m’accusait! Je n’eus pas le temps de réfléchir que je le pris par la nuque et essayai de l’embrasser. Au début, il garda les lèvres fermées puis il céda à ma pression. Je le relâchai alors et nous reprîmes notre souffle, muets tous les deux en train de se regarder.

Quelqu’un arrivait, il me poussa vers une cabine vide. Ce qui suivit se passa très vite, il se serra contre moi, m’embrassa, je sentais la bosse dans son pantalon. Il défit ma ceinture, baissa le mien puis le sien ainsi que son slip, dévoilant une belle queue bien raide. Pendant ce temps, on entendait le mec qui était entré chanter en pissant, il devait être bourré. Pierre glissa sa bite entre mes jambes et entreprit un très rapide va-et-vient, il haletait et m’embrassait fougueusement et mal, je le laissais faire. Tout à coup, je sentis qu’il s’était lâché, j’avais son sperme poisseux qui me coulait entre les jambes. Je lâchai un bref: "Merde t’es con!" Il eut l’air penaud et sortit précipitamment de la cabine en remontant son pantalon. Pendant ce temps, je me retrouvai à éponger sa jute avec le papier toilette.

Quand je sortis à mon tour, je remarquai que le mec arrivé entre temps était toujours là, lui aussi s’essuyait le pantalon avec des gestes pas trop coordonnés, il avait réellement trop bu. C’était le marié. Il n’avait quand même pas perdu tous ses esprits car il me dit:

— Jérémie, je rêve où tu étais avec Pierre dans la même cabine? Je l’ai vu sortir et toutes autres portes étaient grandes ouvertes.

Je changeai la conversation en me moquant de lui:

— Tu ne t’es pas loupé Arnaud, tu t’es pissé dessus! Sophie ne va pas être contente.

— C’est de sa faute à celle-là, a-t-il ajouté, elle était partie pendant 10 jours avant le mariage pour son boulot, après elle n’a pas voulu qu’on baise jusqu’à ce soir pour la nuit de noces. Résultat: le fait de danser contre elle m’a donné la trique et j’arrive pas à débander.

Je me suis moqué de lui en lui disant que ça ne se voyait pas. Il m’a pris la main et me l’a collé sur son paquet qui était un peu mouillé. Je sentais sa barre. Il avait envie de jouer? J’allais entrer dans son jeu.

— Je ne sens rien à part que t’es trempé, ou alors c’est que tu en as une toute petite! lui dis-je.

Il s’est déplacé alors vers une cabine et a défait sa ceinture et baissé son pantalon, son boxer blanc trempé ne cachait rien, on voyait sa tige et ses poils et après l’épisode Pierre, ça me donnait la trique. J’entrai alors moi aussi dans la cabine et je fermai la porte. Pris par une inspiration, je portai mon visage sur son sous-vêtement et commençai à le lécher. J’adorai le goût salé de sa pisse et la sensation de sa queue étranglée dans le tissu mouillé.

— Mais qu’est-ce que tu fais? me disait-il.

Et au lieu de me repousser, je sentais ses mains passer dans mes cheveux et me guider. Ne sentant pas plus de résistance, je sortis sa bite et l’engloutis, commençant à remonter et descendre sur sa hampe. Je pris garde au passage d’aller le plus loin possible et de bien lui enserrer le gland. Je le sentais devenir tout électrique avec des petits tremblottements dans les jambes. Il me largua une bonne dose de purée bien épaisse et je fis en sorte de jouer les garces en en faisant couler sur mon menton.

— Putain que ça fait du bien! me dit-il. Y'a pas à dire, tu sais faire. Merci, mais pas un mot.

Il semblait complètement dégrisé mais soulagé. Nous entendîmes alors une chasse d’eau à côté, nous espérions avoir été discrets et attendîmes quelques instants avant de sortir.

La soirée avançait et j’étais content de mon double coup quand Henri, le père du marié, vint me voir.

— Jérémie, il y a un problème, j’ai besoin de ton aide, accompagne-moi jusqu’à ma chambre, je vais t’expliquer pour qu’on trouve une solution.

Ne comprenant pas, je lui posai quelques questions auxquelles il ne voulut pas répondre. Arrivés à la chambre, il me balança une claque qui me fit reculer et tomber sur le lit. Henri avait été rugbyman. À 55 ans, c’était toujours une force de la nature, 1m90 environ et 100 kilos au moins.

— Espèce de salope, me dit-il, je sais ce que tu as fait à Arnaud, j’étais dans la cabine à côté et j’ai tout vu.

Il me prit par ma cravate et le col et par une torsion me força à me mettre au niveau de sa braguette.

— Si tu aimes ça et tu ne peux pas t’empêcher, tu vas goûter à la mienne.

De sa main libre, il se désajusta, laissant apparaître une bite coiffée d’un gros gland et deux grosses couilles bien pendantes. J’avais le nez dessus et en plus, ça sentait fort; il ne devait pas être trop clean. Il me pinça une oreille, ce qui me fit ouvrir la bouche où il introduit son engin. M’emprisonnant la tête de ses deux mains, il me faisait faire le mouvement à l’allure qui lui convenait. Son gland était un peu fromagé, je lui nettoyai le tout. J’attrapai de temps en temps une de ses grosses boules que je tétai avec application de peur de prendre un coup. Sa bite devenait de plus en plus dure et se collait à son ventre légèrement bedonnant et couvert de poils. Ce n’était pas le genre de mec qui m’attirait d’habitude mais il était bien doté.

Il me releva, me fit une clé et entreprit de me déshabiller. Je lui dis que je me laisserai faire. À peine nu, il me poussa sur le lit et se coucha sur moi, m’écrasant à moitié, il se cracha dans les mains et commença à me caresser l’anus puis à m’y introduire ses doigts baveux. J’allais passer à la casserole et vu la taille de l’engin, souffrir s’il n’y mettait pas un peu de tendresse. Il me tira par les jambes vers le bord du lit, j’étais sur le dos et écarta mes jambes en les soulevant. Il me mit son visage entre les fesses, je sentais sa langue gluante qui entrait. Il se déshabilla alors complètement - j’étais impressionné par son corps - et présenta son gland. Il le fit buter plusieurs fois contre mon trou tout en me triturant les seins. Henri devait avoir quelques habitudes... Au bout d’un instant, je le sentis pousser et entrer en écartelant mes fesses. Il y allait progressivement, ça allait. Puis, quand il se coucha sur moi, je compris qu’il y était en entier. Il faisait des petits mouvements en me disant qu’il prenait possession de mon corps. À vrai dire, il savait y tâter, j’étais très excité.

Le pilonnage commença, il me fit changer plusieurs fois de position. Il semblait pouvoir maîtriser son éjaculation et la mienne. À un moment, il se trouva couché le dos sur le lit et moi couché le dos sur lui, sa bite ne bougeait plus. Il m’enserrait des bras musclés, j’étais comblé quand j’entendis une clé ouvrir la porte. Henri me maintint et je vis Arnaud approcher. Il n’avait pas l’air ivre, mais avait une main dans le pantalon et semblait se palucher. Il nous regarda quelques instants et son père lui dit:

— Ça y est fiston, je te l’ai préparé.

Arnaud se déshabilla alors et arriva avec une queue bien considérable, comme lorsque je l’avais avalée précédemment. Son père lui dit de prendre un préservatif dans son pantalon. Une fois fait, il s’approcha de moi en se branlant document. Je crus qu’il voulait que je le suce, mais il approcha sa queue de celle de son père qui restait dure et immobile dans mon trou et se coucha sur moi, introduisant sa bite lui aussi. J’avais été bien travaillé mais il y eut quelques instants difficiles. Lors des première minutes, l’une des deux bites sortait souvent, faisant un petit splash à cause du caoutchouc puis ils trouvèrent leur rythme. Arnaud m’embrassait ou me suçait les seins pendant que son père, sous moi, me caressait. Au moment le plus chaud, Henri sortit sa bite et éjacula sur mon visage, pendant qu’Arnaud faisait la même chose sur mon cul et que de mon côté, sans même me toucher, j’éjaculai à gros jets sur mon ventre. Henri étala tout, j’étais couvert de sperme et commença à me lécher, plus particulièrement l’anus que j’avais béant.

Il me complimenta en me disant que j’étais vraiment bonne, meilleure encore que sa belle-fille qui épousait Arnaud ce soir-là.

 

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Samedi 11 août 6 11 /08 /Août 22:23

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Paul vivait très bien. Son père était dans la quarantaine et directeur d'une banque privée, donc millionnaire. Il était fils unique et n'avait jamais connu sa mère. Ce n'est qu'à l'age de 8 ans qu'il a appris avoir été adopté et qu'il ne verrait jamais ses vrais parents. Depuis longtemps, il fantasmait sur son père adoptif. Il écrivait des récits sur eux, Julien (Le Père) dominant le jeune Paul. C'est un jour d'hiver, alors qu'il avait tout juste 16 ans, que tout a commencé…

Comme tous les mercredis, Paul rentrait chez lui et, sans prendre de repas, s'en alla dans sa chambre. Il décala son armoire d'un mètre et révéla ainsi une porte donnant sur une salle supposée inutilisée. Or Paul s'en servait de dépôt pour ses sextoys. Il prit un vibrato et un cockring et se les enfila. Il mit ensuite une tenue de latex très moulante couvrant tout le bas du corps. Puis il prit un DVD au vol, s'en alla en boitillant dans la salle de télé au sous-sol, mit le DVD dans le lecteur et alluma la télé. Il s'agissait du film "Punished Twinks 2" de Daddy Darby's (ce type le faisait fantasmer à mort). Pendant la durée du fil, il se mit à genoux (sur un coussin car il ne supportait pas facilement cette position), les mains dans le dos. Il sentait le vibrato lui torturer le cul, mais il ne voulait pas bouger. Il se concentrait sur le film et sa bite en érection tentait d'appuyer le latex pour se libérer. Il aimait ce type de douleur, mais il n'était pas entièrement satisfait : son rêve était de reproduire cette scène en servant un maître. À la fin du film, il retira le DVD du lecteur et chercha dans les fichiers un document nommé "Hypnose.mp4". Il rêvait depuis longtemps de s'essayer à cette pratique. Il appuya sur play et se remit dans la même position, mais rien ne se produisit ; il ne sentait rien de particulier. Cependant, bizarrement, il n'alla pas l'éteindre. Bien qu'il ne soit pas emballé par ceci, il laissa continuer et garda sa position. Quelques minutes passèrent. Soudain une voix : "Paul, je suis rentré plus tôt aujourd'hui". Son père. Il éteignit dans la précipitation la télévision et cacha le DVD, mais il ne pût rien faire d'autre : son père descendait les escaliers pour aller, comme tous les mercredis, regarder sa série télévisée.

1 marche, 2 marches, 3 marches.

Il pense :

— Bon, je fais quoi maintenant ? S'il me voit comme ça, je suis foutu. Je peux me déshabiller en vitesse… Non j'ai pas le temps. Aaaaaarrg, putain je fais quoi ?

4 marches, 5 marches, 6 marches, 7 marches.

— Je peux lui dire que c'est un bizutage entre potes… Ouais, c'est bien, ça, un bizutage… J'ai été obligé de le faire pour… mettons… aller aux soirées ! je suis un génie.

8 marches, 10 marches, 12 marches.

— Mais non, ça va pas marcher, je suis con… Bon, je peux essayer de me planquer derrière le canapé.

14 marches, 18 marches et voilà, Julien était là. Il s'affala sur le canapé, alluma la télé et regarda. Paul, lui, ne pouvait pas partir sans faire de bruit. Il avait éteint son vibrato mais ressentait tout de même une certaine douleur. De plus, sa position l'excitait beaucoup : à quatre pattes, le cul poussé en arrière comme s'il ne demandait rien d'autre que se faire mettre. Pour finir, l'homme de ses rêves était assis juste dans le fauteuil derrière lequel il se cachait. Bref, tout ceci lui traînait dans la tête et l'inévitable arriva : il jouit. Depuis sa première éjaculation, il avait remarqué quelque chose : il poussait à chaque fois un grand gémissement de joie. Il essaya de se retenir cette fois, mais le gémissement n'en fut que plus langoureux, plus long, plus agréable et surtout plus bruyant. Le père, tout en restant calme, se leva, alla derrière le canapé, prit la jambe de Paul et le tira de toute ses forces de sa cachette.

— Je crois que tu me dois des explications, Paul.

— Écoute, euh, c'est pour un bizutage, et mes amis, enfin non, mes…

— Te fous pas de moi ! hurla Julien.

Paul était au bord des larmes.

— Je t'en supplie, je sais pas, je…

— Depuis combien de temps ça dure ?

— Environ un an.

— Et puis sinon, t'a déjà baisé ?

— Non, j'ai jamais essayé, je te jure…

— Je te crois. Maintenant, explique-moi ce que tu as fait dans MA salle de télé pendant un an.

— Et ben, je regarde un film…

— Quel film ?

— Je sais pas, ça change.

— Aujourd'hui ?

Il alla chercher la pochette et la lui tendit.

— Je vois le genre… et ensuite ?

— Ben, pendant le film je suis à genoux, les mains dans le dos et je regarde.

— Et ?

— Et normalement, après, je me branle et je… enfin…

— Tu quoi ?

— Je me mets, euuh… Disons sur le dos et, euuh...

— Explique

— Je plie mes jambes et je… je mets ma bite au dessus de ma… ma…

— Ta quoi ?

— Ma bouche.

— Et tu avales ton sperme ?

— Euuh…

— Réponds !

— Oui.

Paul se mit à pleurer. Or ce n'était pas de tristesse mais de joie, car il retrouvait le bonheur qu'il avait dans ses récits par le simple fait d'être à la merci de l'homme de sa vie. Julien lui ordonna d'un ton sec :

— Montre moi !

— Pardon ?

— Tu m'a très bien entendu.

— C'est que… C'est gênant…

— Rien à foutre. T'es qu'un sale petit pervers d'esclave qui a besoin d'être soumis, alors assume ta condition !

Paul n'osait pas le dire mais cela l'excitait énormément. À vrai dire, il n'espérait même pas que ceci se passa en réalité avec son père, lui qui pensait trouver un ami à la fac et se soumettre à un maître plus tard. Il se mit dans la position qu'il avait décrite et sortit sa bite de sa tenue.

— Enlève toute ta tenue.

Paul s’exécuta.

— Oooooh… Mais c'est que mon petit garçon a pensé à tout, on dirait… Un gode et un cockring… Il ne manque presque rien !

Julien alluma le vibrato et l'enfonça encore plus dans le cul de Paul. Ce dernier, en position, se branlait jusqu'à ce qu'il éjacule. Son père regardait avec plaisir cette si jolie queue se vider sur son propriétaire.

— Suis-mois, dit Julien.

Il l'emmena dans la salle de bains, lui dit de s'installer dans le jacuzzi et d'y rester quoi qu'il arrive, et il l'enferma. Lui, il allait rédiger le contrat à lui faire signer.

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Samedi 11 août 6 11 /08 /Août 17:59

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Paul se réveilla dans une salle pleine d'ustensile de bondage. Il ne se souvenait pas d'y être déjà entré. Il était couché à plat ventre, le cul relevé sur un siège ressemblant à celui d'une moto. Il se leva et constata qu'il était entièrement nu. Sa tête tourna et cela le fit tomber. Devant lui se trouvait un fichier de feuilles portant l'intitulé "Contrat d'esclavage". Il l'ouvrit :

 

Contrat d'Esclavage

Qu'est ce que l'esclave par rapport à son maître ?

L'esclave

L'esclave est né pour servir. Il est une propriété aussi bien physique que morale du maître. Il n'a absolument aucun droit et doit obéir à ces lois :

L'esclave doit demander la permission à son maître avant de faire quoi que ce soit.

L'esclave doit porter les habits que le maître désigne pour lui.

Le maître a tous les droits sur l'esclave et ce dernier doit appliquer tout ce que son maître lui ordonne de faire à la lettre.

L'esclave n'a pas le droit d'avoir un(e) ami(e) et doit aviser son maître immédiatement s'il y a rapprochement amoureux, sexuel ou même amical.

L'esclave répond aux noms de "mon garçon", "esclave", "petit soumis", "dominé" et autres selon le choix du maître. Il doit appeler son dominateur "maître"

Le maître

Le maître est l'idéal physique et moral de l'esclave. Ce dernier ne peut pas vivre sans lui et devra tout faire pour le satisfaire.

Rôle de l'esclave

L'esclave ne sert qu'à donner du plaisir à son maître et c'est aussi son plus grand plaisir. Il n'a ABSOLUMENT AUCUNE autre aspiration. Il est obligé d'accepter tout ce qui vient du maître et ce avec le plus grand plaisir. Durant les jeux de rôles, afin de ne pas perturber l'action et ainsi déranger le maître, l'esclave doit appliquer avec le plus grand soin ce qu'il lui a été dit par le maître.

Devoirs de l'esclave

L'esclave se réveille et a le droit de sortir de sa chambre uniquement quand le maître le lui a dit. L'esclave doit ensuite aller préparer le petit-déjeuner et préparer les habits du maître. Lorsque le maître est parti, l'esclave doit aller faire les courses s'il y a lieu. L'ESCLAVE NE DOIT PAS DÉPENSER D'ARGENT DANS SON INTÉRÊT SANS L'AUTORISATION DU MAITRE. Une fois de retour, l'esclave doit se remettre dans sa tenue dite "tenue d'intérieur", définie et modifiable uniquement par le maître, et doit faire des exercices sportifs durant une heure afin de garder un corps irréprochable. Puis l'esclave doit faire le ménage. Ensuite, il a droit à environ une à deux heures de temps libre qu'il peut occuper comme bon lui semble, sauf si le maître lui a donné une quelconque directive. L'esclave doit préparer le déjeuner pour l'heure à laquelle le maître rentre à la maison. Une fois le déjeuné terminé, l'esclave veillera pendant une à deux heures au bien-être sexuel de son maître. Une fois ce dernier repartit, l'esclave devra passer quatre heures à genoux avec un gode et une tenue intégrale à regarder des films pornographiques selon le choix du maître SANS AVOIR LE DROIT DE SE BRANLER. L'esclave a encore une à deux heures de temps libre avant de préparer le dîner. Une fois ce dernier terminé, l'esclave doit satisfaire et donner un maximum de plaisir à son maître et à ses éventuels invités.

Punitions de l'esclave

Le maître peut, à tout moment, infliger une correction à son esclave sans aucun besoin de se justifier. Pour mettre en garde l'esclave, voici un petit récapitulatif des punitions :

Fessée,

Coups de fouet,

Privation de temps libre,,

Privation de repas

Enfermement dans une cage durant plusieurs heures, voire plusieurs jours,

Et autres selon le bon-vouloir du maître.

Note finale

En signant ce contrat, je renonce à tous mes droits ainsi qu'à l'exercice de ma raison en faveur de mon maître.

Signature et nom de l'esclave :

 

Signature et nom du maître:

 

 

NB : Bien que le maître puisse décider à tout moment d'interrompre le contrat, l'esclave ne le peut en aucun cas.

 

Paul n'en croyait pas ses yeux. Il rêvait depuis longtemps d'être réduit à l'esclavage par un homme viril le dominant totalement, et son rêve devenait réalité. Il décida alors de signer.

— Ça y est ! hurla-t-il, yes ! J'ai un maître ! Enfin !

Mais sa tête se remit à tourner et il tomba au sol. Il sentit lentement ses paupières se fermer.

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Samedi 11 août 6 11 /08 /Août 14:24

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Je me réveille dans mon lit avec un horrible mal de tête et sans aucun souvenir de la veille. Sur mon bureau, il y a quelques-uns de mes textes érotiques. Quelle imprudence ! Et si mon père les voyait... À ma grande surprise, je suis entièrement nu ; en général, je me couche avec un slip trop petit de deux tailles pour le plaisir du bondage. Je me lève et constate que je ne peux pas marcher droit. Je titube jusqu'à la porte et, avant même que je ne puisse prendre la poignée, elle s'ouvre brusquement et je suis aveuglé. Une main - celle de mon père - me prend par la nuque et me plaque contre le chambranle.

— Alors, petit esclave, on n'a pas bien appris ? Tu ne sors de la chambre que quand je t'y autorise ! Je devrais te punir ultra sévèrement pour cette désobéissance au règlement. Mais comme je suis gentil, tu ne t'en sortiras qu'avec vingt-cinq coups de fouet.

Sur ce, il me tire dans sa chambre et me met sur le lit, mon cul exposé à la merci de tous. Pendant qu'il m'inflige sa punition pour ne pas avoir respecté son règlement, je commence à prendre conscience des éléments de la veille. Une fois terminé, mon maître me dit :

— Maintenant, tu dois me remercier de t'avoir infligé une correction dans le but d'améliorer ta capacité à servir ton maître. Allez !

— M... Merci.

— Tu te fous de ma gueule !

Un énorme coup de fouet claque sur mon petit cul de soumis et m'arrache sans doute le plus fort hurlement que j'aie jamais poussé.

— Merci, maître, de m'avoir aidé a mieux vous servir !

— Et... ?

— Je m'aiderai de cette aventure pour entrer encore plus dans ma condition d'esclave.

— Tu apprends vite. Maintenant, va mettre un slip et préparer le petit déjeuner.

— Mais... Et l'école ?

Sur ce, un coup de poing surpuissant s'abat dans mon ventre et un autre sur mon torse.

— L'école, on verra une autre fois dans la vie. Pour le moment, tu me SERS et tu OBÉIS ! VA PRÉPARER LE PETIT DÉJEUNER !

Je m'en vais, mais a ma grande surprise, il me suit. Je n'ose pas lui poser de questions. Dans la cuisine, il surveille mes moindres mouvements et se tient prêt à intervenir si je viens à faire un faux mouvement. Nous mangeons, puis il s'en va au salon et s'assoit sur le canapé.

— Esclave, viens ici.

Je vais le retrouver. Il est totalement affalé dans le canapé et ne porte qu'un petit caleçon brun bien moulant. J'adore voir ce genre de sous-vêtements ainsi que leurs magnifiques bosses. Je commence alors à embrasser son paquet et à me le passer sur la figure.

— Tu as bien compris le truc : ce genre de chose, ça doit être naturel. Mais attention, une fois engagé dans le rapport, tu fais ce que je te dis.

Je sens sa bosse devenir dure. Ma bite pousse contre le slip et me fait très mal. J'adore.

— Aujourd'hui, je vais rester ici pour te surveiller. Tu va accomplir tous mes désirs, et dans l'après midi, je t'emmènerai quelque part.

— Bien, maître. Je ferai tout pour vous servir.

— Bon garçon.

Je continue à lui embrasser la bosse, puis il enlève son slip et je le suce. Une fois déchargé, il m'emmène dans ma chambre et ouvre la porte de ma cachette secrète.

— Je sais qu'il n'y a que peu de choix ici, mais on fera avec.

Je reste debout, dos droit, mains croisées derrière le dos au niveau du cul et le regarde.

— Tu garderas ton slip aujourd'hui, mais tout va changer, crois-moi.

Sur ce, il me tend une des deux combinaisons en latex que je possède en me disant de la porter toute la journée. Désormais, chaque matin, il choisira une tenue qui sera comme ma seconde peau pour la journée, voir plus. Cette tenue couvre jusqu'à mes poignets, mes chevilles et le bas de mon cou.

Le reste de la journée se déroule bien. En début d'après-midi, il me dit d'enfiler, par-dessus ma tenue, un polo rose saumon à manches courtes et un jean.

— Mais, maître, les gens verront ma seconde peau.

— Crois-moi, personne ne la verra...

Je suis déjà intrigué, mais ce ton m'étonne encore plus. Dans un état presque second, dû à mon parfait début de journée d'esclave, je m'exécute. Il m'emmène dans le garage et ouvre le coffre de la voiture...

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Vendredi 10 août 5 10 /08 /Août 16:41

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Mon maitre me voyait intrigué devant le coffre de la voiture béant. Normalement, je m'asseyais à l'arrière et profitais du voyage sur les sièges en cuir, mais là, j'allais devoir me contorsionner dans le coffre. Sous le regard sévère de mon maitre, je rentre lentement dans ce cocon. Je me mets en position foetale et il ferme le coffre. Le bruit du moteur - c'est une Ferrari - m'empêche de laisser mon esprit vagabonder. C'est une superbe position de bondage à laquelle je n'ai jamais pensé et qui s'améliore avec les secousses que je ressens à chaque gendarme couché. De plus, dans le noir total, on perd très rapidement le sens de l'orientation. En d'autres termes, je suis totalement à la merci de mon maitre.

Je sens la voiture s'arrêter. Mon maitre m'ouvre le coffre, me prend par le ventre et me sort du coffre sans que j'aie pu quitter ma position. De là où je suis, je vois son bras droit musclé et poilu et cela m'excite énormément. Il me pose par terre et m'ordonne de me lever. Ensuite, il me prend fermement par le bras gauche et me tire jusqu'à un ascenseur bancal et délabré. Il me pousse dedans et commande le troisième étage. Une fois arrivé, c'est à travers un dépôt de matériel de bordage qu'il me traîne.

— Alors comme ça, tu nous ramène un nouveau. C'est le troisième en un an, tu sais, tu devrais peut-être te calmer. Mais bon, une fois terminé, tu vas le donner à qui, celui là ? Moi, j'en ai pas encore eu et puis là, tu comprends, ça fait depuis longtemps…

— Pas touche à celui-ci ; c'est ma propriété privée. C'est mon fils, c'est moi qu'il va servir.

Je suis abasourdi de ce que je viens d'entendre. Ainsi, mon maitre avait déjà eu plusieurs esclaves en sa possession… Je suis alors très excité par le fait de servir un homme ayant utilisé d'autres personnes de la même condition morale que moi.

Avec la discussion, je compris que le type ayant voulu m'avoir pour esclave s'appelait Patrick, 39 ans, cheveux roux, bras musclés, gros ventre, poilu, barbe occupant tout son visage mais ne tombant pas, Irlandais d'origine. Il portait slip vert flashy avec un trèfle à quatre feuilles à l'arrière et l'inscription "Irish Ass" en écriture gothique au dessus. J'étais à genoux à droite de mon père durant tout ce temps. Trop déconcentré par la beauté de l'irlandais, je ne perçus que quelques bouts séparés de la discussion. On allait ainsi me faire "Une mise en condition totale" avant de "me choisir deux-trois bricoles" et pour conclure, j'allais subir "un traitement de faveur pour mon petit cul". Je compris aussi que lui et un autre groupe dont je ne connais pas la constitution. Mon propriétaire dit :

— Bon, ben je crois qu'il y a plus qu'à…

— Y'a plus qu'à ! Suis-moi, Julien.

— Tututututut, c'est ESCLAVE Julien maintenant. Mais je vais pas t'emmerder avec ça, appelle le comme tu veux.

— Bon, alors suis-moi, slaveboy.

Il m'emmène dans une sorte d'arrière boutique et m'ordonne de me déshabiller. J'enlève uniquement mon polo et mon jeans et garde ma "seconde peau".

— Écoute, c'est bien que tu ait compris l'utilité de ça, mais quand je te dis de te déshabiller, TU TE DÉSHABILLES, OK ?!?!?!

Je suis effrayé par la puissance de sa voix. S'il contracte une telle voix pour une simple histoire de vêtements, je n'ose même pas imaginer ce qu'il adviendra de moi si je ne suis pas ses directives à la lettre. Je m'exécute donc et, rapidement, je me mets debout devant lui, droit, mains derrière le dos.

— C'est bien, tu comprends vite, slaveboy. Maintenant, tu te couches sur la table d'opérations.

Je m'exécute. Il m'annonce alors qu'il va me raser entièrement sauf la tête et, devant mon expression anxieuse, il me demande ce qui ne va pas.

— Ben… C'est que mes quelques poils, j'en ai très peu, oui, mais c'est toute ma virilité et si…

— Tu n'as pas l'air d'avoir compris la situation. Tu es un esclave, pas un homme. Tu n'a donc PAS de virilité et tu dois accepter ce qu'on t'impose, compris ?!?

— Oui.

Une claque s'abat sur ma tête.

— Pour le moment, tu dois tous nous appeler maitre, compris ?

— Oui, maitre, je ne suis qu'un esclave soumis sans virilité et j'accepterais tout ce que vous me direz.

— C'est bien, tu progresses. Maintenant, tais-toi et laisses-toi faire.

Sur ce, il s'area de mousse à raser et d'un rasoir électrique. Il commence par me raser les dessous des aisselles, me retourne pour me raser les poils du cul et enfin s'occupe de ma toison pubienne. Une fois terminé, il me passe un jet d'eau froide sur tout le corps et me dit :

— En général, on rase absolument tout mais toi, tu pourrait être très sexy avec des poils sur le corps et une barbe comme la mienne, et c'est uniquement pour cela que tu en a encore quelques uns. Maintenant, je vais te tatouer ton inscription. J'ai obtenu de ton père qu'on fasse cinquante-cinquante, en gros qu'on te partage équitablement. Je vais donc te tatouer "slaveboy", "slave Julien" et un trèfle à quatre feuilles en gros sur le dos. Retourne-toi.

Une fois son travail terminé, maitre Patrick m'ordonne de me lever et m'emmène dans la salle ou mon père m'a laissé. Ils parlent :

— Alors, t'en penses quoi ? Il est bien avec ce tatouage ; ça montre bien sa condition, non ?

- Ouais, c'est stylé. En plus,les anciens étaient trop sobres à mon gout. Tu les décores bien, dis-donc. La prochaine fois, rappelle moi de te laisser t'occuper de ça.

Ils rient et s'embrassent. Moi, je suis hypnotisé par la beauté de mes deux maitres. Soudain, ils me choisissent quelques tenues en latex couvrant le bas, le haut ou tout le corps. Selon eux, me mettre une cagoule serait dommage et les empêcheraient de voir le beau petit esclave que je suis. Il me tendirent une série de cockring que je devait changer chaque matin et un collier en cuir que je ne devrait mettre que quand on me l'ordonne.

- Bon alors cinq bas, deux hauts, huit intégrales et douze cockrings, ça nous fait …

- Rhôôô, Patrick, s'il te plait…

- ça va, je déconne.

Ils rient. Soudain, maitre Paul s'adresse à moi.

- Slave Julien, prépare-toi à passer un week-end fantastique. Lundi matin, tu recevras tes première bites dans le cul, mais pour cela, nous te préparerons.

Pour le retour, même voyage qu'à l'allée, hormis le fait que je me réjouis encore plus de servir mes maitres et de leur apporter le plus de plaisir possible. Une fois arrivé, ils m'emmènent dans la salle de bains pour me forcer à tout évacuer de ce qui traine dans mon cul. Pour commencer, ils me forcent à avaler un médicament qui fait cet effet, puis me rentre un tuyau au bout de cet orifice et allument l'eau. C'est glacial et insupportable, mais tout d'un coup, tout s'arrête et j'expédie toute l'eau que j'ai "avalée" ; Mon cul est désormais totalement prêt à recevoir.

— Bien, dit Patrick, pour que tu profite pleinement de ta première sodomie, nous avons pris congé lundi et mardi, et nous ne feront rien en rapport avec le sexe pour être totalement prêts. Quant à toi, après une douche, tu va passer le week-end attaché le cul en position de présentation et les yeux bandés sans rien boire ni manger, ce qui te permettras de penser pleinement à ta condition d'esclave et au fait que tu est notre objet, à notre disposition et la uniquement pour nous servir.

— Bien, maitres, je suis heureux d'être un petit esclave utilisable par des maitres comme vous.

Je prends alors une douche rapide devant eux, mets une tenue en latex couvrant tout le corps et me laisse sagement bander les yeux et conduire dans la salle. Je n'ais aucune idée d'où je suis.

— Ah, on allait oublier ; on passeras une fois par heure, même la nuit pour te donner chaque fois cinq énormes fessées, pour que ton cul soit fin prêt pour son traitement.

Il me bâillonne et me met des boules quiets qui m'empêchent d'entendre quoi que ce soit, même si on me le criait dans les oreilles. Je ne peux même pas bouger d'un millimètre quelle partie du corps que ce soit. Le week-end s'annonce magnifique...

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Vendredi 10 août 5 10 /08 /Août 12:58

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Je commence à perdre la notion du temps. Mes maîtres sont partis, oui, mais depuis quand ? 5 minutes ou 1 heure ? Je commence à ne plus sentir certaines parties de mon corps. Je suis en train de réaliser mon rêve : être attaché et totalement soumis à la volonté de deux maîtres. Ma tenue de latex me serre de plus en plus, cela me fait mal, je veux jouir mais je ne peux pas à cause de cette tenue.

 

Moment 1 : Je ne sais plus quelle heure il est. Je ne sais plus si j'ai faim ou pas. Je ne sais plus si je dois dormir ou pas. Tout ce que je sais, c'est que je dois servir mes maîtres car je leur appartiens.

 

Moment 2 : Je me rends de plus en plus compte de ce que signifie mon état d'esclave ; cela ne consiste pas uniquement à servir un ou plusieurs maîtres et en jouir, c'est jouir à travers le maître. La puissance qu'il exerce sur nous ne fait que nous donner encore plus envie de le satisfaire, C'est au travers de son bonheur non seulement que l'on jouit, mais aussi que l'on vit. Or, jouir est optionnel pour un esclave : si le maître croit que cela est bon pour lui, il peut l'autoriser à le faire afin de connaître la jouissance par soi-meme afin de savoir ce que le maître ressent et ainsi mieux le servir. Or, si le maître ne le veut pas, c'est qu'il juge inutile que l'esclave connaise le bonheur car son but n'est pas d'être satisfait mais de satisfaire.

 

Moment 3 : La porte s'ouvre. Quelqu'un vient m'enlever les boules Quies et repart en fermant la porte.

 

Moment 4 : Quelle heure est-il ? Sommes-nous vendredi soir ou samedi matin ? Je commence à réflechir plus lentement et mes fonctions cérébrales diminuent.

 

Moment 5 : Tout d'un coup, j'entends une voix. Une nouvelle voix. C'est un homme. Comme il n'y a presque pas de bruit, cela occupe tout le volume auditif.

— Tu es un esclave. Ton seul but est de servir et de cela en découle ta volonté ; d'être dominé.

Pourquoi cette voix ?

 

Moment 6 :

— Tu n'es là que pour servir des maîtres et tu aimes cela. Tu aimes faire plaisir à des hommes car tu n'es qu'un petit pédé, doublé d'un esclave ; tu n'es qu'un esclave gay.

 

Moment 7 :

— Tu es un objet sans valeur appartenant aux hommes. Tu n'as été créé que pour servir des mâles. Tu es l'esclave des hommes.

 

Moment 8 :

— Personne ne fait attention à toi. Personne ne t'aime mais toi, tu aimes cette vie. Tu l'aimes car elle te permet d'atteindre ton seul but : servir des hommes.

 

Moment 9 :

— Tu es issu d'une sous-race : les esclaves. Il y a longtemps, les hommes et les esclaves étaient deux races différentes et bien distinctes. Mais, suite à la fuite des esclave, ils se sont répartis partout et on ne peut pas tous les retrouver. Lorsqu'un maître voit un esclave, il est du devoir du maître de le soumettre à sa volonté et d'en faire un objet à servir.

 

Moment 10 :

— Tu es un esclave, conçu pour servir les mâles.

 

Moment 11 : Cette voix semblait s'etre arretée. Comme mon cerveau était ralenti, je ne comprenais quasiment rien de ce que la voix disait, mais je voulais rencontrer cet homme et le servir car tel est mon but.

 

Moment 11 : Quelle heure est-il ? J'ai dormi ? Je ne sais plus.

 

Moment 12 : Je pense que l'heure approche. Mais pour quoi ? J'ai oublié. Je sens mon pantalon devenir plus serré et me gratter. Un courant chaud sur mes jambes. J'étais en train de me pisser dessus sans m'en rendre compte ! Comme quoi la soumission peut amener l'esclave dans des états d'âme absolument géniaux.

La porte s'ouvre. Tout d'un coup, je sens quelque chose de dur entrer dans mon cul. Je m'étais déja godé mais là, rien à voir. Je sens des mains sur mes hanches et j'aime cette sensation d'être pris en main par un homme. Mais... attendez... Il y a DEUX bites en moi !!! Oui 2 bites qui m'enc... non... c'est pas vrai... TROIS BITES QUI M'ENCULENT POUR MA PREMIERE SODOMIE !!! Je suis désormais un vrai petit esclave gay né pour servir.

On m'enleve le baillon, me retourne sur le ventre et ils continuent leurs oeuvres. Je sens un max de sperme sur mon ventre et ma poitrine, puis des mains l'étalent sur moi. On me débande les yeux.

— Esclave Julien, voici un nouveau maître, Richard !

Cinquantaine, cheveux gris, barbe comme Patrick mais en plus petite, casquette de flic en cuir, chemise noire rentrée dans le pantalon en cuir, bottes en cuir. C'est l'homme de la voix, je le sais. Sans dire un mot, je me mets à genoux devant lui et commence à le sucer...

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Jeudi 9 août 4 09 /08 /Août 19:39

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Nous sommes en hiver 2010. Mon nom est John et j’ai 35 ans. Ma vie a basculée en juin 2000 lorsque j’ai fait la connaissance d’un homme pervers et de son fils. Avant cet événement, j’étais l’homme parfait, le mari parfait, un père parfait pour un enfant de quatre ans. Un passé et un présent exemplaire… jusqu’à ce que je baise le p’tit Jim, 15 ans, et que je devienne tout aussi accroc et vicieux que son père. Pendant les trois années suivantes, j’ai continué ces soirées immorales, comme on les nommait, jusqu’à ce que Jim soit devenu majeur et que, soudain, son père n’entende plus parler de lui. Ensuite, j’ai perdu ces habitudes de baiser les garçons. Mais, pendant ce même temps, ma femme a décidé de divorcer, sachant fort bien que j’avais une liaison avec quelqu’un d’autre, sans savoir qui c’était. Elle a pris mon fils, Étienne, alors âgé de six ans, et est parti vivre en Europe avec sa famille en compagnie de son nouveau mari.

Je ne les ais plus revu... Puis, en été 2009, mon ex m’a fait une visite surprise. Elle m’appelle un jour pour me dire:

— John! Dieu merci, je dois te parler!

— Qu’est-ce qui se passe?!

— C’est Étienne! Ce petit idiot d'adolescent et ne m’écoute plus! J’en ai ras-le-bol de ses éternelles crises de larme et de solitude!

— Mais c’est ton problème, ma chère! C’est toi qui a tenu à l’avoir à toi toute seule quand il avait six ans et que tu es partie en France, sans t’occuper à savoir si mon fils allait me manquer!

— «Notre» fils, je te corrige! Bah, et puis, à quoi bon! Il est le portrait craché de son père! Maintenant, si tu veux bien, je te rends «ton» fils! Il n’arrête pas de dire qu’il veut aller retourner vivre avec son père donc je te le remmène!

— T’es pas sérieuse?!

— TRÈS! Mais t’inquiète, je vais tout m’arranger pour qu’il puisse revenir vivre au Québec. Mon mari est bon dans ces trucs, donc t’auras pas à t’occuper de tout ça! Je te demande juste une chose: tu prends ton fils et tu t’en occupes!

J’étais bouche bée! Mais bon… pas très surpris! Mon fils est arrivé quelques temps plus tard, juste avant de commencer l’école secondaire. Ouf! Quelle claque j’ai eu en le voyant! La dernière photo que j’avais eue de lui, il avait dix ans. Maintenant, à 13 ans, il n’est plus tout à fait un enfant! Enfin, il a un visage d’enfant, dans un sens, avec des traits plus vieux et… qu’est-ce qu’il a grandi! Il m’arrive déjà au menton, moi qui suis grand! Après quelques jours, je remarque que mon ex m’a menti ou me connaissait mal! Mon fils ne me ressemble pas du tout, mais présente des signes de solitude exagéré: j’ai toujours été plus social, et lui sort rarement de sa chambre, toujours devant son ordinateur, ne fait pas de sport… Enfin, je crois que la vraie raison était qu’il lui rappelait trop, à elle, qui je suis. Alors tant pis pour elle, c’est moi qui aurai la chance de l’élever et d’en faire un parfait petit mini-moi! Ce fût plus facile que je croyais: après un temps, il se tenait toujours avec moi, s’intéressait à ce que je faisais. En plus qu’il soit solitaire, j’ai remarqué aussi qu’il était extrêmement timide.

Un matin, alors que je me branlais dans le lit, mes mains bien glissantes sur mon membre juteux de précum, Étienne est entré dans la chambre sans cogner. Surpris, j’ai mis les couvertures. Encore plus surprenant, il m’a demandé ce que je faisais! Le pauvre, à 13 ans, il ne savait rien du sexe, même pas de la masturbation! Il disait que sa famille en France lui avait appris que ce n’était pas bien, que s’il se réveillait un matin avec du sperme dans son lit, c’est que le Diable était venu lui rendre visite… Ah, les conservateurs religieux… Je suis moi-même croyant mais bon, je reste réaliste!

Puis, je me suis rappelé que mon fils allait bientôt avoir 14 ans, en février prochain. Je repensais déjà au p’tit Jim, dépucelé par son père le jour de ses 14 ans. Soudain, des idées très vicieuses me sont venues en tête et je savais que je tenais de quoi pour apprendre à mon fils des trucs pervers qu’il adorera!

Le premier soir

Nous nous retrouvons donc en février 2010. Nous revenons d’une fête dans la famille, chez mes parents. Il est 21h.

— Bonne fête encore, fiston! T’es content de ta soirée?

— Oui!

Je le sers dans mes bras et je lui donne en cadeau un lecteur CD. Il est tout content et va essayer sa musique sans revenir de sa chambre. Depuis, j’avais un peu oublié toutes les perversités qui m’étaient venues en tête quelques mois auparavant. Après avoir fait du ménage et regardé la télévision une heure, je vais dans ma chambre, sur mon ordinateur, pour voir mes e-mails. Je ne sais pas comment ça se produit, mais par erreur, je clique sur le dossier d’e-mails où je gardais mes anciennes correspondances avec le père du p’tit Jim.

Le lien fatal me revient… les 14 ans du p’tit Jim dépucelé par son père… et maintenant mon propre fils qui a le même âge…

Comme possédé et tremblant, je me dirige vers la chambre de mon fils et j’ouvre la porte. Je le vois étendu dans son lit, en train de dormir… Et quand il dort, il dort dur! Je m’approche pour lui mettre les couvertures du lit bien confortablement sur lui et je me penche pour lui donner un bec sur le front.

Alors que je commençais tout juste à avoir un certain regret d’être si pervers, de bander pour mon fils adolescent, je vois sa belle bouche entrouverte, avec des lèvres rouges et pulpeuses, sa langue toute mignonne et humide à l’intérieur. L’érection que je perdais quelques secondes plus tôt, de par mon regret, me revient plus fort que jamais. Je commence à me caresser la bosse et j’avance mes lèvres de celles de mon fils pour lui faire un bec, puis un deuxième. J’ose sortir la langue et lui lécher la bouche doucement…

Étienne ne réagit pas du tout. Parfait! Il a le sommeil profond. Doucement, j'enlève les couvertures de sur son corps mince et imberbe. Je caresse de mes mains masculines son torse frêle, son sexe par-dessus son sous-vêtement, le creux de ses cuisses où repose sûrement un beau petit anus vierge, ses jambes et finalement ses pieds, encore recouverts de ses bas. Je les retire pour voir de beaux petits pieds mignons tout propres et je me mets à les lécher sans me retenir. Pendant que ma langue parcours la plante du pied et que ma bouche suce ses orteils, je sors ma queue de mon jeans et je commence à me branler. Puis, avec le gland tout humide de précum, je frotte mon membre sensible sur son pied dont la peau est très douce, me donnant des frissons dans tout le corps avec ces sensations extra.

Je remonte tout doucement et je soulève son sous-vêtement. Son pénis d’ados repose en dessous, d’une grosseur normale pour son âge. Ce n’est pas la partie de son corps qui m’intéresse le plus, mais puisque ma langue est vicieuse ce soir, elle ose tout de même lécher le propre sexe de mon fiston. Puis, ma bouche l’englobe au complet et je le suce, dans le but de lui donner une érection, ce qui ne tarde pas. Je le suce encore un moment, mais puisque ce n’est pas mon genre, je ne fais que le branler pendant que je lui suce un mamelon, puis l’autre.

Bientôt, son pénis durcit un peu plus dans mes mains et se met à jouir alors qu'il dort encore profondément, chose que je ne croyais pas possible. Je remets le sous-vêtement par-dessus et j’attends voir. Il ne réagit pas plus pendant que le tissu s'imbibe de son jeune sperme. Ma propre queue est bandée à fond. Il faudrait bien que je m'en occupe... Doucement, j’approche le gland de la bouche de mon fiston. J’étale le précum sur ses douces lèvres puis j’ose entrer un peu mon membre à l’intérieur.

Mmmm… quelle sensation, quelle perversité… Je fais quelques va-et-vient secrètement dans sa bouche tandis que je masturbe la hampe de ma main. Lorsque je suis sur le bord de jouir, dans un acte blasphématoire intense, je me retire vivement et j’éclabousse tout son beau corps de garçon mignon, en retenant mes cris. Voilà mon propre garçon tout souillé du sperme de son papa. Sans essuyer son corps pervertis, je remets les draps sur lui et je vais prendre ma douche avant de dormir paisiblement.

Le deuxième soir

Le lendemain, Étienne ne me reparle pas de la nuit passée, ni de toutes ces taches de sperme sur son corps. La journée se passe bien. Le soir venu, ma queue est déjà toute en érection à l’idée de recommencer. Mais, cette fois, je veux qu’Étienne participe volontairement à cette séance.

Alors qu’il va se coucher, après s’être lavé, je vais le voir dans sa chambre et je m'assois sur le lit pour avoir une discussion de père et fils.

— Étienne, tu te rappelles quand tu es entré dans ma chambre, un matin, et que tu as vu que je touchais mon pénis?

— Oui.

— Tu sais, ça me faisait beaucoup de bien. C’est comme ça que le sperme sort, comme ce qui t’arrive quand tu dors.

— Maman me disait que c’était juste pour faire des bébés.

— Oui, bien sûr! La toute première fonction du sperme, c’est de faire des bébés! Mais, tu sais, faire sortir le sperme de notre pénis c’est aussi un besoin. Tu sais très bien que manger c’est un besoin important pour rester en vie et être heureux, hein?

— Oui.

— Bien, c’est pareil avec la masturbation. C’est quand on touche notre pénis pour faire sortir le sperme. C’est un besoin tout aussi important que de manger et de dormir!

— Est-ce qu’il faut le faire souvent?

— Ça dépend. Il y a des hommes qui le font pas souvent, et d’autres très souvent, car ils aiment ça. Et quand tu ne le fais pas, le corps trouve le moyen de le faire sortir lui-même, comme quand tu te réveilles le matin et que tu vois que c’est sorti pendant la nuit. Tu comprends?

— Oui.

— Maintenant, tu sais aussi que pour faire des bébés, l’homme doit être avec une femme, n’est-ce pas?

— Oui, maman m’a dit.

— Très bien. Maintenant, ce qu’elle ne t’a pas dit, et qu’il est bon que tu saches, c’est aussi que les hommes peuvent satisfaire leurs besoins sexuels seuls, mais aussi avec d’autres femmes, d’autres hommes, et même des garçons comme toi!

— Ah oui?!

Étienne démontre un intérêt fort intéressant pour ce que je viens de dire.

— Oui, s’ils le veulent! Moi, je ne suis pas quelqu’un qui peut aider un autre homme ou un autre garçon comme toi.

— Comment ça?

— Parce que moi, je préfère qu’on m’aide. Je n’aime pas toucher les autres pénis car je préfère toucher le sexe des femmes, mais j’aime bien qu’on touche le mien, que ce soit aussi par un garçon. Tu comprends?

— Je crois.

— Mettons que je te demande de m’aider… tu voudrais, si je te montre?

— Oui! Beaucoup! Je crois!

— Mais si moi je ne peux pas t’aider, ça te dérangerait?

— Oh non, pas du tout! Je n’ai pas envie que tu vois mon pénis, je serais trop gêné. Et si je veux me toucher, je le ferai moi-même. Mais j’aimerais bien t’aider.

S’il savait ce que j’ai fais, la veille, avec son pénis tout pudique… Mais bon, maintenant je l’ai de mon côté. Il ne me reste qu’à l’emmener à l’action! Je sais qu’il adorera!

— Tu voudrais m’aider ce soir? Je suis sûr que tu aimerais ça.

— Oh oui!

— Tu n’es pas trop fatigué?

— Non! Allez, commençons!

Il me fait rire!

— Ok, Étienne. Alors… commençons par ceci. Moi je reste debout, et toi, sur ton lit, viens près de moi, à genoux. Devant moi.

Il obéit à tout ce que je demande, il fait confiance à son papa après tout.

— Très bien. Maintenant, touche la bosse par-dessus mon pantalon. Oui, comme ça. Ça va, jusqu’à présent? Tu es à l’aise?

— Oui. Ensuite, je fais quoi?

— Détache mon pantalon.

De ses belles petites mains d’ados, il détache maladroitement le bouton de mon jeans, puis dézippe le devant.

— Très bien. Touche maintenant à mon sous-vêtement. Tu sens la bosse?

— Oui. C’est chaud et ça l’air gros.

— C’est normal, je suis plus vieux. Tu veux voir ce qu’il y a en dessous?

Il me sourit et rougit:

— Oui, montre-moi.

— C’est toi qui vas aller voir. Baisse mon sous-vêtement.

Il s’exécute. Ma queue en érection, grosse et mesurant sept pouces et demie, lui saute presque à la figure.

— Woah! Ton pénis est vraiment gros!

— Tu l’aimes?

— Oui, il est beau!

— Il a aimé que tu le touches, c’est pour ça qu’il a grossit. Touche-le encore…

Il prend ma queue dans ses deux mains et l’entoure en la regardant attentivement. De mes mains, je lui montre comment faire un va-et-vient avec ma hampe, puis je le laisse faire.

— Fais coulisser la peau sur le gland. Oui, comme ça…

— Je fais bien?

— Oui très bien… Mais tu voudrais faire encore mieux?

— Oui!

— Alors… lèche le gland.

Il fait une drôle de face, puis me demande:

— T’es sûr? Mais c’est pas propre!

— Mais si, c’est propre. Pourquoi tu dis ça?

— Maman dit que c’est pas propre.

— Ta maman n’a pas de pénis et moi si. Alors je sais mieux qu’elle, tu ne crois pas?

— Oui, dit-il en souriant.

Puis, il sort la langue et va lécher mon gland comme un petit chaton. Woah… c’est super… Il y a longtemps la dernière fois, et que ce soit mon propre fils qui le fasse, ça m’excite encore plus.

— Tu vois, c’est pas sale.

— Non, et c’est tout doux.

Une goutte de précum sort. De mon doigt, je la recueille et vais la porter à la bouche de mon fils.

— Ouvre.

— C’est quoi? De l’urine?

— Mais non! Tu vas voir, c’est bon…

Sans attendre sa réaction, je mets le doigt entre ses lèvres et il suce doucement pour goûter à mon miel.

— Mmm… c’est salé.

— Tu aimes?

— Oui!

— Si tu veux, tu peux sucer mon pénis, comme tu viens de faire avec mon doigt, au lieu de le lécher.

— C’est gros.

— Mais ça va entrer dans ta bouche, tu vas voir. C’est comme un gros bonbon… Tu le suceras sans toucher de tes dents, ok? Parce que ça peut me faire mal.

— Ok.

Il avance sa tête et met mon gland entre ses lèvres chaudes et douces. Tout de suite, il commence une succion bien agréable. De ma main gauche, je lui caresse la tête, pendant que je masturbe la hampe de ma main droite.

— Mmmm c’est bon, mon cœur. Va un peu plus loin dans ta bouche… Oui… Oui, voilà, continue, suce moi bien… Ah tu es très doué, mon chéri.

Il me regarde de ses yeux d’ange pendant qu’il me suce, pour voir s’il me satisfait. Mes encouragements le rendent heureux. Il est vraiment content de faire plaisir à son papa. Sa bouche est délicieuse sur mon gland, prêt à exploser.

— Je t’aime mon cœur…

En réponse, il me suce d’avantage, m’emmenant doucement vers la jouissance. Égoïstement, ne pensant qu’à mon plaisir, je lui prends soudainement la tête entre mes deux mains et je pousse ma queue dans sa gorge, ce qui lui fait lever le cœur momentanément. Je ne voudrais pas qu’il soit malade, mais je tenais vraiment à ce que ma queue s’enfonce dans sa gorge, me donnant des sensations extra…

— Pardonne-moi, chéri.

Il me fait un sourire gêné avant de lécher la hampe puis le gland encore, pendant que je me masturbe.

— Mon chéri… Tu veux goûter à mon lait?

— Hein?

— Ouvre ta bouche mon amour…

Sans attendre, il ouvre les lèvres, juste à temps pour le premier jet de sperme qui vient heurter le fond de sa gorge, puis un deuxième, et un troisième qui noient sa jeune langue. Il en avale quelques gorgées pendant que le reste coule sur son menton. Pendant cette grosse jouissance, je perds la tête. Je repousse Étienne sur son dos et je relève ses jambes en lui tenant les chevilles d’une main. De l’autre, je guide ma queue sur son trou imberbe et tout offert. Les dernières gouttes de sperme le mouille pendant que je force l’entrée intime avec mon gland, encore très dur.

— Aaahh papa!

— Tu vas voir fiston…

— Non papa, j’ai peur!

— Arrête, tu vas voir, c’est merveilleux…

— Papa…

Je ne réussis pas à entrer le gland, mais je mets un doigt et, aidé du sperme, celui-ci entre. Je fais un va-et-vient, puis fais la même chose avec deux doigts.

— Mon p’tit chéri, tu voudras pu que j’arrête, tu vas aimer, ma p’tite salope…

— Mmmmm…

Il commence à gémir: bon départ! Je ne pensais pas me rendre si facilement jusque là… Après trois doigts dans son trou et quelques dizaines de minutes de préparation, je mets mon gland sur sa chatte d’amour. Je pousse, encore et encore… En quelques minutes, je me retrouve presque tout en lui.

— Tu aimes, mon chéri?

— Oh papa oui…

Je commence un va-et-vient dans son petit trou tout ouvert pour moi, pendant que je lui lèches les pieds, ses mollets, et que je lui caresse le torse. Son petit corps est à moi! Ma queue le prend de toute sa longueur et de toute sa grosseur maintenant, pendant que mes couilles lui frappent le cul.

— Han! Han! Ah c’est bon! Prends tout en toi mon amour! Aahh ma pute! Han!

Il ne semble pas savoir ce que veux dire «pute» mais ce n’est pas encore nécessaire pour le moment. Le contraste de son petit corps et du mien qui est musclé et plus grand me fait jouir plus rapidement que je l’ai cru. Je me mets à éjaculer dans son cul chaud, je le souille intérieurement, tout en hurlant mon bonheur. Puis, je me retire et penche mon visage entre ses belles fesses. Sa chatte est toute humide, rougie par mon passage, et bien ouverte. Ma langue se met à le lécher abondamment pendant qu’il gémit encore plus.

— Oh papa, oh! C’est bon!

Ses jambes qui sont remontés sur mes épaules et mon dos bougent de plaisir. Finalement, je me mets à sa hauteur et l’embrasse d’un french kiss pervers.

— Tu as aimé, mon chéri?

— Oh oui papa, je suis tout étourdi…

— Mmmm c’est bien…

Car c’est loin d’être fini!

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Jeudi 9 août 4 09 /08 /Août 10:51

risoamaro 1288207233

— Le voilà donc ce petit trou dont on me parle depuis si longtemps!

Sammy frissonna en entendant la voix de son prof d’éducation physique. Il se retourna très vite.

— On prétend qu’il n’est plus vierge depuis pas mal de temps... Même le proviseur m’en a parlé... Il m’a chargé d’y voir un peu plus clair dans tout ça!

Sammy baissa la tête et posa les mains sur son bas-ventre dénudé.

— Tu sembles bien pudique tout à coup... Tu trembles! Pourquoi? C’est moi qui te rends si nerveux?

— Un peu, m’sieur.

— Sois un homme que diable! Tu as 19 ans, non?!

— Non... je les aurai dans trois mois!

— Dis-moi, c’est la vérité ce qui se raconte sur toi?

— Quoi donc, m’sieur?

— Ne joue pas l’innocent avec moi. Ça te va très mal! Je vais reformuler ma question différemment... Est-ce que tu couches avec tous les mecs qui te le proposent?

— Pas avec tous, m’sieur. Y’en a qui me dégoûtent.

— Ah bon! Les vieux?

— Non! Pas spécialement. Et puis, c’est quoi «vieux» pour vous?

— Comme moi!

Sammy sentit une douce chaleur s’emparer simultanément de ses joues et de son bas-ventre. Il eut du mal à cacher son érection gênante.

— C’est plutôt ceux-là qui m’attirent alors!

Le prof avala sa salive. Le garçon n’aurait pas pu être plus direct. Il venait de lui déclarer qu’il était prêt à coucher avec lui. Avec ses presque 19 ans, Sammy avait tout le charme nécessaire pour faire tourner les têtes... et il ne s’en privait pas. Le prof écarta doucement les mains du garçon pour découvrir un beau service trois pièces. La bite était déjà en grande forme.

— Tu démarres vite, toi!

— Au quart de tour, M’sieur!

— On va voir ça...

Le prof avança son visage à quelques centimètre de celui de Sammy. Celui-ci détourna un peu les yeux d’un air gêné.

— Tu n'embrasses pas, Sammy? interrogea le prof.

— Si... J’aime ça en plus...

Le prof s'approcha du jeune homme qu’il embrassa sur les lèvres.

— Et tu embrasses très bien!

— Merci, M’sieur!

— Je sais que tu aimes baiser avec des mecs comme moi... je veux dire de mon âge... mais... je voudrais un peu pimenter notre «première fois»!

Sammy ne comprenait pas trop au le prof voulait en venir. Il ouvrit de grands yeux surpris.

— Je suppose que tu es ouvert à toutes les expériences?

— Oh oui!

— Bien!

Il est allé ouvrir la porte de son bureau et a appelé.

— Xavier, tu peux venir!

Un beau garçon de mon âge est alors apparu. Sammy ne l’avait jamais vu jusque là.

— Xavier, je te présente Sammy! Sammy, voici Xavier, mon fils! Il a les mêmes goûts que moi en matière de baise... Il t’a vu sur photo et il a carrément flashé. J’ai voulu lui faire ce petit cadeau. Baisez là, tout de suite, devant moi... je vous rejoindrai le moment venu! OK?

Xavier s’est avancé et a embrassé Sammy. Sa bouche était chaude et humide. Sa langue fouillait entre ses lèvres. Le prof s’est installé sur une banquette et s’est mis à se caresser. Xavier et l’élève ont prolongé leur baiser, tandis que Xavier posait sa main sur ses fesses.

— Suce-moi! murmura Xavier à son oreille.

Il recula un peu pour lui permettre de s'agenouiller devant lui; ce qu’il fit sans perdre une seconde. Il orienta leur duo face à la banquette car il voulait aussi permettre à son père de bien voir le déroulement des événements. Sammy s’est attaqué aux boutons de sa braguette et a découvert un jockstrap rouge dont la poche était bien garnie.

— Putain d’engin! a-t-il soupiré.

Il a levé les yeux vers Xavier. Il souriait.

— Vas-y! Goûte! Déguste!

Xavier semblait ravi de s'exhiber devant son père. Ce n’était pas la première fois qu’il faisait ça à coup sûr. Le prof restait silencieux et matait en se touchant la bite à travers son pantalon.

Après avoir beaucoup joué avec le sexe de Xavier à travers la poche du sous-vêtement, Sammy n’a pu résister plus longtemps à l’envie de la sortir et de la voir enfin. Il fut ébloui par la beauté du long sexe en érection. Il pensa que l’engin n’était pas encore dans sa forme maximale. Il branla doucement la bite non circoncise, sous les yeux de son prof. La vue de son élève masturbant son fils accroissait encore le plaisir du professeur dont le visage s’empourprait. Sammy aspira la queue de Xavier au fond de sa gorge et la pompa un long moment, alternant douceur et vigueur. Lorsqu’il sentait monter la jouissance, il calmait sa fellation... Pas trop vite! Il voulait que ce beau moment dure encore et encore. Il jeta un œil du côté de la banquette où le prof avait sorti sa grosse queue pour la branler. Cette queue était aussi longue et encore plus épaisse que celle du fils. Sammy eu presque un frisson en la voyant.

— Elle t’effraye? demanda Xavier.

— Un peu, oui!

— Tu ne dois pas en avoir peur. Moi, elle ne m’a donné que du plaisir et du bonheur. Mon père est un artiste du sexe... Tu verras, tout à l’heure, lorsqu’il nous baisera... ça va être fantastique!

J’ai repris mon pompage de bite. Xavier gémissait en appuyant sur le haut de mon crâne. Il voulait que le prenne sa bite bien à fond.

— Lève-toi!

Xavier a déshabillé doucement Sammy. Il dénudait chaque partie de son corps face à son père, toujours voyeur. L’autre lui rendit la pareille. Ils se sont donc retrouvés complètement nus au milieu des vestiaires à s’embrasse en collant leurs corps dénudés l’un contre l’autre. C’était jouissif. Tout en se roulant une pelle magistrale, ils lorgnaient régulièrement vers le père de Xavier qui s’agitait sur la banquette.

— Allez, ne soyez pas timides... Venez la toucher... Venez vous en occuper... Elle est à vous!

Xavier a dit à son partenaire:

— Viens!

Il est allé s’installer entre les cuisses ouvertes de son père et s’est mis à caresser l’énorme bite turgescente. Sammy a posé un genou sur la banquette, s’est penché et a embrassé son prof. Le baiser de ce dernier était plus mâle que celui de son fils. Il était plus avide et gourmand. Xavier s'enhardit jusqu'à emboucher le membre de son père. Avec sa main droite, il lui pinçait un téton et avec la gauche flattait les bourses pendantes. Le prof regarda Sammy droit dans les yeux:

— Je veux te baiser! Je veux vous baiser tous les deux et vous arroser de mon foutre chaud.

Xavier était plié en deux sur le bureau de son père. Sammy avait eu l’honneur de lubrifier sa rosette avec sa bouche. Le trou était luisant et serré.

— Il est serré! Tu es certain de pouvoir accueillir la bite de ton père? Elle est si grosse!

— Mon trou peut accueillir sans difficulté la pine de mon père! répondit Xavier. Le tiens pourra le faire aussi. Nos culs ont cette chance incroyable d’être très élastiques. Viens m’embrasser pendant qu’il me baise!

Pour Sammy, l’excitation montait en flèche. Cette situation pour le moins inhabituelle le transcendait complètement. Pourtant, Dieu sait qu’il avait souvent baisé un peu partout et un peu avec tout le monde... enfin tout ce qui avait une grosse bite! Sammy s’agenouilla derrière son prof et lui titilla la rosette avec le bout de la langue. Lorsqu’il s’arrêtait, c’était pour admirer la grosse queue du prof qui coulissait dans le cul graissé de son fils. Le père et le fils gémissaient doucement: l’un parce qu’il se faisait bien baiser, l’autre pour les douces caresses prodiguées par la langue experte de son élève.

— Vous êtes vraiment deux petits cochons! ironisa le prof. Je suis ravi de vous avoir fait vous rencontrer. Je suis sûr qu’on va pouvoir organiser des choses incroyables avec vous deux...

— Oui... du style «Les trois petits cochons»! gémit Xavier.

— On pourrait en trouver un troisième aussi vicelard que vous...

— Ça va être dur, ça! a conclu Sammy.

— Avec ta grosse queue, tu seras notre «grand méchant loup», hein, pa?

Les coups de reins du père s’accentuèrent jusqu’à ce que son fiston lui demande une pause.

— J’ai un autre trou à honorer de toute façon! Viens remplacer Xavier...

Sammy s’est laissé guider par le prof. Xavier, épuisé, s’est installé sur la banquette pour regarder son nouveau copain de baise se faire défoncer la rondelle. Sammy sentait les doigts frais du prof qui caressaient le pourtour de son anus. Il faisait des cercles pour exciter et assouplir l’endroit. Sammy se retourna et vit qu’il portait ses doigts à la bouche pour les lubrifier à la salive. L’homme applique le lubrifiant naturel sur sa rondelle palpitante avant d’y pénétrer avec un puis deux doigts. Sammy releva la jambe pour rendre l’accès plus facile.

— Tu as vraiment un cul d’enfer, mon petit gars!

Sammy était très décontracté et excité. Il entendit claquer la capote sur la bite et celle-ci coulissa dans sa raie chaude. Il lui fallut quelques minutes de patience avant de sentir le gland forcer l’entrée. La douleur fut vive mais il s’y attendait. La bite était si grosse. Un autre aurait dit d’arrêter. Lui, il voulait sentir cet engin le défoncer.

— Ça va? demanda le prof.

— Oui! mentit-il.

Il avait l’impression que tout le sexe est en lui mais, en passant la main entre ses fesses, il constata qu’il n’en était pas à la moitié. Sammy était tendu mais l’homme qui l’enculait lui donnait quelques conseils...

— Cambre-toi bien... Pousse vers moi... pousse son trou vers ma bite et respire! Respire bien à fond et la douleur passera vite...

Ce fut le cas. Sammy n’avait probablement jamais été «visité» par engin si gros et si long. Sa longue tige glissait maintenant en rythme dans le trou lubrifié du jeune homme béat. Sammy écouta les conseils et la sensation changea. La douleur se mua doucement en plaisir. Et quel plaisir! Il avait l’impression que son cul était en train d’adopter la queue, qu’il se moulait autour d’elle et il encouragea son amant à aller plus loin. Xavier s’approcha et prit la queue de Sammy dans sa main. Il ne la branla pas vraiment, mais lui procura de douces caresses et des baisers sensuels. Maintenant, dans son cul, les va-et-vient étaient rapides et puissants. Sammy ne put contenir ses râles plus longtemps. Après dix bonnes minutes, le prof se retira. La sensation fit un choc au jeune homme! La queue de son enculeur lui manquait déjà.

— Ne t’inquiète pas, je n’en ai pas fini avec toi! Couche-toi sur le dos!

Le prof ramena ses jambes en l’air de chaque côté de son buste. Ses pieds se posèrent sur les épaules de celui qui allait encore l’honorer. La bite retrouva son chemin et son rythme de baise. Sammy regarda Xavier.

— C’est bon? demanda Xavier qui se caressait en regardant.

— Délicieux! Maintenant qu’il est en moi, je le garde! a répondu Sammy.

— Petite salope! a lancé Xavier en riant. Bon, allez, je suis partageur... Et puis, mon père est vachement résistant... Tu pourras te le faire de temps en temps!

— Eh, les petits cochons, fermez vos groins!

À suivre...

 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Jeudi 9 août 4 09 /08 /Août 10:05

risoamaro_1288207233.jpg

Le voilà donc ce petit trou dont on me parle depuis si longtemps!

Sammy frissonna en entendant la voix de son prof d’éducation physique. Il se retourna très vite.

— On prétend qu’il n’est plus vierge depuis pas mal de temps... Même le proviseur m’en a parlé... Il m’a chargé d’y voir un peu plus clair dans tout ça!

Sammy baissa la tête et posa les mains sur son bas-ventre dénudé.

— Tu sembles bien pudique tout à coup... Tu trembles! Pourquoi? C’est moi qui te rends si nerveux?

— Un peu, m’sieur.

— Sois un homme que diable! Tu as 19 ans, non?!

— Non... je les aurai dans trois mois!

— Dis-moi, c’est la vérité ce qui se raconte sur toi?

— Quoi donc, m’sieur?

— Ne joue pas l’innocent avec moi. Ça te va très mal! Je vais reformuler ma question différemment... Est-ce que tu couches avec tous les mecs qui te le proposent?

— Pas avec tous, m’sieur. Y’en a qui me dégoûtent.

— Ah bon! Les vieux?

— Non! Pas spécialement. Et puis, c’est quoi «vieux» pour vous?

— Comme moi!

Sammy sentit une douce chaleur s’emparer simultanément de ses joues et de son bas-ventre. Il eut du mal à cacher son érection gênante.

— C’est plutôt ceux-là qui m’attirent alors!

Le prof avala sa salive. Le garçon n’aurait pas pu être plus direct. Il venait de lui déclarer qu’il était prêt à coucher avec lui. Avec ses presque 19 ans, Sammy avait tout le charme nécessaire pour faire tourner les têtes... et il ne s’en privait pas. Le prof écarta doucement les mains du garçon pour découvrir un beau service trois pièces. La bite était déjà en grande forme.

— Tu démarres vite, toi!

— Au quart de tour, M’sieur!

— On va voir ça...

Le prof avança son visage à quelques centimètre de celui de Sammy. Celui-ci détourna un peu les yeux d’un air gêné.

— Tu n'embrasses pas, Sammy? interrogea le prof.

— Si... J’aime ça en plus...

Le prof s'approcha du jeune homme qu’il embrassa sur les lèvres.

— Et tu embrasses très bien!

— Merci, M’sieur!

— Je sais que tu aimes baiser avec des mecs comme moi... je veux dire de mon âge... mais... je voudrais un peu pimenter notre «première fois»!

Sammy ne comprenait pas trop au le prof voulait en venir. Il ouvrit de grands yeux surpris.

— Je suppose que tu es ouvert à toutes les expériences?

— Oh oui!

— Bien!

Il est allé ouvrir la porte de son bureau et a appelé.

— Xavier, tu peux venir!

Un beau garçon de mon âge est alors apparu. Sammy ne l’avait jamais vu jusque là.

— Xavier, je te présente Sammy! Sammy, voici Xavier, mon fils! Il a les mêmes goûts que moi en matière de baise... Il t’a vu sur photo et il a carrément flashé. J’ai voulu lui faire ce petit cadeau. Baisez là, tout de suite, devant moi... je vous rejoindrai le moment venu! OK?

Xavier s’est avancé et a embrassé Sammy. Sa bouche était chaude et humide. Sa langue fouillait entre ses lèvres. Le prof s’est installé sur une banquette et s’est mis à se caresser. Xavier et l’élève ont prolongé leur baiser, tandis que Xavier posait sa main sur ses fesses.

— Suce-moi! murmura Xavier à son oreille.

Il recula un peu pour lui permettre de s'agenouiller devant lui; ce qu’il fit sans perdre une seconde. Il orienta leur duo face à la banquette car il voulait aussi permettre à son père de bien voir le déroulement des événements. Sammy s’est attaqué aux boutons de sa braguette et a découvert un jockstrap rouge dont la poche était bien garnie.

— Putain d’engin! a-t-il soupiré.

Il a levé les yeux vers Xavier. Il souriait.

— Vas-y! Goûte! Déguste!

Xavier semblait ravi de s'exhiber devant son père. Ce n’était pas la première fois qu’il faisait ça à coup sûr. Le prof restait silencieux et matait en se touchant la bite à travers son pantalon.

Après avoir beaucoup joué avec le sexe de Xavier à travers la poche du sous-vêtement, Sammy n’a pu résister plus longtemps à l’envie de la sortir et de la voir enfin. Il fut ébloui par la beauté du long sexe en érection. Il pensa que l’engin n’était pas encore dans sa forme maximale. Il branla doucement la bite non circoncise, sous les yeux de son prof. La vue de son élève masturbant son fils accroissait encore le plaisir du professeur dont le visage s’empourprait. Sammy aspira la queue de Xavier au fond de sa gorge et la pompa un long moment, alternant douceur et vigueur. Lorsqu’il sentait monter la jouissance, il calmait sa fellation... Pas trop vite! Il voulait que ce beau moment dure encore et encore. Il jeta un œil du côté de la banquette où le prof avait sorti sa grosse queue pour la branler. Cette queue était aussi longue et encore plus épaisse que celle du fils. Sammy eu presque un frisson en la voyant.

— Elle t’effraye? demanda Xavier.

— Un peu, oui!

— Tu ne dois pas en avoir peur. Moi, elle ne m’a donné que du plaisir et du bonheur. Mon père est un artiste du sexe... Tu verras, tout à l’heure, lorsqu’il nous baisera... ça va être fantastique!

J’ai repris mon pompage de bite. Xavier gémissait en appuyant sur le haut de mon crâne. Il voulait que le prenne sa bite bien à fond.

— Lève-toi!

Xavier a déshabillé doucement Sammy. Il dénudait chaque partie de son corps face à son père, toujours voyeur. L’autre lui rendit la pareille. Ils se sont donc retrouvés complètement nus au milieu des vestiaires à s’embrasse en collant leurs corps dénudés l’un contre l’autre. C’était jouissif. Tout en se roulant une pelle magistrale, ils lorgnaient régulièrement vers le père de Xavier qui s’agitait sur la banquette.

— Allez, ne soyez pas timides... Venez la toucher... Venez vous en occuper... Elle est à vous!

Xavier a dit à son partenaire:

— Viens!

Il est allé s’installer entre les cuisses ouvertes de son père et s’est mis à caresser l’énorme bite turgescente. Sammy a posé un genou sur la banquette, s’est penché et a embrassé son prof. Le baiser de ce dernier était plus mâle que celui de son fils. Il était plus avide et gourmand. Xavier s'enhardit jusqu'à emboucher le membre de son père. Avec sa main droite, il lui pinçait un téton et avec la gauche flattait les bourses pendantes. Le prof regarda Sammy droit dans les yeux:

— Je veux te baiser! Je veux vous baiser tous les deux et vous arroser de mon foutre chaud.

Xavier était plié en deux sur le bureau de son père. Sammy avait eu l’honneur de lubrifier sa rosette avec sa bouche. Le trou était luisant et serré.

— Il est serré! Tu es certain de pouvoir accueillir la bite de ton père? Elle est si grosse!

— Mon trou peut accueillir sans difficulté la pine de mon père! répondit Xavier. Le tiens pourra le faire aussi. Nos culs ont cette chance incroyable d’être très élastiques. Viens m’embrasser pendant qu’il me baise!

Pour Sammy, l’excitation montait en flèche. Cette situation pour le moins inhabituelle le transcendait complètement. Pourtant, Dieu sait qu’il avait souvent baisé un peu partout et un peu avec tout le monde... enfin tout ce qui avait une grosse bite! Sammy s’agenouilla derrière son prof et lui titilla la rosette avec le bout de la langue. Lorsqu’il s’arrêtait, c’était pour admirer la grosse queue du prof qui coulissait dans le cul graissé de son fils. Le père et le fils gémissaient doucement: l’un parce qu’il se faisait bien baiser, l’autre pour les douces caresses prodiguées par la langue experte de son élève.

— Vous êtes vraiment deux petits cochons! ironisa le prof. Je suis ravi de vous avoir fait vous rencontrer. Je suis sûr qu’on va pouvoir organiser des choses incroyables avec vous deux...

— Oui... du style «Les trois petits cochons»! gémit Xavier.

— On pourrait en trouver un troisième aussi vicelard que vous...

— Ça va être dur, ça! a conclu Sammy.

— Avec ta grosse queue, tu seras notre «grand méchant loup», hein, pa?

Les coups de reins du père s’accentuèrent jusqu’à ce que son fiston lui demande une pause.

— J’ai un autre trou à honorer de toute façon! Viens remplacer Xavier...

Sammy s’est laissé guider par le prof. Xavier, épuisé, s’est installé sur la banquette pour regarder son nouveau copain de baise se faire défoncer la rondelle. Sammy sentait les doigts frais du prof qui caressaient le pourtour de son anus. Il faisait des cercles pour exciter et assouplir l’endroit. Sammy se retourna et vit qu’il portait ses doigts à la bouche pour les lubrifier à la salive. L’homme applique le lubrifiant naturel sur sa rondelle palpitante avant d’y pénétrer avec un puis deux doigts. Sammy releva la jambe pour rendre l’accès plus facile.

— Tu as vraiment un cul d’enfer, mon petit gars!

Sammy était très décontracté et excité. Il entendit claquer la capote sur la bite et celle-ci coulissa dans sa raie chaude. Il lui fallut quelques minutes de patience avant de sentir le gland forcer l’entrée. La douleur fut vive mais il s’y attendait. La bite était si grosse. Un autre aurait dit d’arrêter. Lui, il voulait sentir cet engin le défoncer.

— Ça va? demanda le prof.

— Oui! mentit-il.

Il avait l’impression que tout le sexe est en lui mais, en passant la main entre ses fesses, il constata qu’il n’en était pas à la moitié. Sammy était tendu mais l’homme qui l’enculait lui donnait quelques conseils...

— Cambre-toi bien... Pousse vers moi... pousse son trou vers ma bite et respire! Respire bien à fond et la douleur passera vite...

Ce fut le cas. Sammy n’avait probablement jamais été «visité» par engin si gros et si long. Sa longue tige glissait maintenant en rythme dans le trou lubrifié du jeune homme béat. Sammy écouta les conseils et la sensation changea. La douleur se mua doucement en plaisir. Et quel plaisir! Il avait l’impression que son cul était en train d’adopter la queue, qu’il se moulait autour d’elle et il encouragea son amant à aller plus loin. Xavier s’approcha et prit la queue de Sammy dans sa main. Il ne la branla pas vraiment, mais lui procura de douces caresses et des baisers sensuels. Maintenant, dans son cul, les va-et-vient étaient rapides et puissants. Sammy ne put contenir ses râles plus longtemps. Après dix bonnes minutes, le prof se retira. La sensation fit un choc au jeune homme! La queue de son enculeur lui manquait déjà.

— Ne t’inquiète pas, je n’en ai pas fini avec toi! Couche-toi sur le dos!

Le prof ramena ses jambes en l’air de chaque côté de son buste. Ses pieds se posèrent sur les épaules de celui qui allait encore l’honorer. La bite retrouva son chemin et son rythme de baise. Sammy regarda Xavier.

— C’est bon? demanda Xavier qui se caressait en regardant.

— Délicieux! Maintenant qu’il est en moi, je le garde! a répondu Sammy.

— Petite salope! a lancé Xavier en riant. Bon, allez, je suis partageur... Et puis, mon père est vachement résistant... Tu pourras te le faire de temps en temps!

— Eh, les petits cochons, fermez vos groins!

À suivre...

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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