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fan de histoires de mec

Mercredi 8 août 3 08 /08 /Août 21:13

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l était 17 heures lorsque je rentrai à la maison, mon père devait être en train de faire de la musculation au sous-sol. Nous vivions seuls tous les deux depuis que ma mère était partie de la maison. Mais aujourd’hui j’étais un peu inquiet. Amoureux d’un mec de ma classe j’avais décidé de le dire à mon père. Je ne savais pas quelle allait être sa réaction, mais je devais le faire.

— Papa, je suis rentré.

— Salut, fiston, rejoins-moi je suis au sous-sol.

— Je me prépare et j’arrive.

Dans ma chambre, je quittai pantalon et chemise et passai rapidement un short sur mon slip. Devant le miroir je me regardai, j’étais plutôt bien foutu pour mes 18 ans, très sportif, mon corps s’était rapidement étoffé ces derniers mois. Et c’est torse nu que je descendis rejoindre mon père.

Allongé sur le sol, torse nu et en slip, celui-ci terminait une série d’abdominaux, ses muscles se dessinaient sous sa peau, de la sueur dégoulinait de son front. Tout son corps brillait de transpiration, les poils de sa poitrine étaient humides et collés à son torse massif et son slip humide, mouillé par l’effort, moulait son sexe épais. À la fin de sa série, il s’assit en me suivant des yeux.

Je fis quelques étirements et commençai une série de pompes à côté de lui. Pendant que mes pectoraux et mes triceps se contractaient sous l’effort je pensais à ce que j’allais lui dire. Il fallait que je le fasse le plus vite possible, sinon j’allais me dégonfler une fois de plus. Me redressant pour me mettre sur mes genoux, je regardai mon père droit dans les yeux.

— Papa ?

— Oui Fabien ?

— Faut que je te parle...

— Qu’y a-t-il, fiston ?

Et là d’un trait je me lançai :

— Je suis gay.

Il me regarda sans répondre, n’osant plus dire un mot, je scrutai la moindre émotion sur ses traits. Une légère crispation au niveau de sa bouche. Son regard ne me quitta pas. Assis en tailleur, les cuisses écartées, Il se redressa légèrement en prenant appui sur ses mains. Dans ses yeux, je n’y vis que de l’incompréhension puis de la colère.

— Alors comme ça mon fils est un pédé !!!

J’en eus le souffle coupé, la phrase s’insinua dans mon cerveau et provoqua une brusque montée d’adrénaline. Comment osait-t-il me parler de cette manière, il n’avait donc aucun respect ? Je sentis mon corps bouillonner de fureur, mon cœur battait la chamade en expulsant le sang à travers mes artères et mes veines pour venir gonfler mes muscles. En répondant à une pulsion dévorante, je me jetai sur lui avec un grand cri de rage et une violence extrême.

Il me reçut comme un boulet de canon, mon corps percuta le sien et ses bras plièrent sous le choc. Tout l’air de ses poumons se vida d’un coup. J’accusai également le coup et la violence du contact entre nos deux torses se cognant l’un à l’autre résonna dans ma cage thoracique. Je voulais l’humilier car les mots qu’il m’avait dits m’avaient profondément choqué. Et qu’est-ce qui était le plus humiliant pour mon père ? Perdre la face et s’avouer vaincu. Je me retrouvai couché sur lui, mes mains s’emparèrent de ses poignets pour les amener au-dessus de sa tête pendant que mes cuisses s’écartaient pour ne pas lui laisser le temps de m’enserrer entre les siennes. Mon visage surplombait le sien, il me regardait avec un air mauvais.

— Tu crois que tu vas t’en tirer comme ça. Je vais te montrer ce que c’est qu’un homme, un vrai…

Au même instant j’ouvris la bouche pour laisser tomber un filet de salive qui atterrit sur ses lèvres encore entrouvertes. Il rugit, je sentis son corps se tendre sous le mien, pendant que tous ses muscles se gonflaient. Une force surhumaine grandissait en moi. Mes abdos contractés s’écrasaient contre les siens pendant que mon bassin le clouait au sol. Prenant appui sur ses pieds, il ruait comme un taureau pris au piège. Aussitôt je poussai mon bassin contre le sien en me faisant le plus lourd possible. Son visage était rouge et ruisselant sous l’effort, ses pectoraux luisants et gonflés à bloc se frottaient contre les miens. Une douce chaleur commença à envahir mon corps, la domination que j’avais sur mon père à cet instant m’excita au plus haut point. À l’intérieur de mon short, mon sexe commença à se tendre, je ne pus m’empêcher de frotter ma bosse grossissante contre le paquet bien épais de mon père. Je sentis un léger frémissement me répondre à travers le tissu de son slip, ma queue durcie par cette excitation qui me gagnait s’écrasa contre le sexe épais de mon père qui répondit en grossissant de plus en plus.

— Alors papa, t’aimes pas les pédés ???

Ce jeu commençait à me plaire, mon père m’excitait comme un dingue. Le fait de le sentir se débattre sous le poids de mon corps provoqua en moi un sentiment étrange, comme si j’en avais rêvé depuis toujours. C’est vrai que depuis très longtemps j’aimais regarder son corps fort et viril se couvrir de sueur lors des efforts répétés qu’il faisait pendant ses longues séances de musculation. Mon regard se posait immanquablement sur son slip afin de dévorer des yeux le volume de son sexe qui se dessinait sous le tissu. Le contact chaud de ses mains lorsqu’il corrigeait ma position quand j’effectuais un mouvement qu’il venait de m’apprendre. Quand j’étais plus jeune, il me prenait dans ses bras puissants pour m’emmener dans ma chambre, et arrivé devant mon lit, il me lançait sur le matelas. Aussitôt il se jetait sur moi, me recouvrant doucement de son corps pour ne pas me faire mal et me chatouillait de longues minutes pendant lesquelles je frétillais sous lui en hurlant de rire. Mon bonheur était complet. Maintenant, quelque chose était en train de se passer au plus profond de moi. J’étais allé trop loin pour arrêter ce que j’étais en train de faire. Il fallait finir ce qui était commencé.

Les ruades de mon père devenaient de plus en plus fortes, ses yeux, dans son visage impénétrable me regardaient fixement. Je ne pus résister à l’envie puissante de poser mes lèvres sur sa bouche poissée par ma salive. Son corps remua de plus belle, ma langue força sa bouche qui s’entrouvrit légèrement. Son souffle pénétra dans ma gorge et je sentis sa salive se mêler à la mienne. Nos deux langues se touchaient et rapidement se livrèrent un duel chaud et humide. Mon slip se mouilla instantanément lorsque quelques gouttes d’excitation commencèrent à perler de mon sexe raide. Profitant de cet instant, il concentra toute sa force dans ses bras et d’un coup réussit à se libérer les poignets de mes mains glissantes. Ses bras se refermèrent violemment autour de mon corps et il commença à serrer. J’étais pris dans un étau, mes pectoraux se gonflèrent pour résister à cette étreinte, mes mains s’appuyèrent sur ses épaules et j’essayai de me soulever en poussant fortement sur mes bras. Je sentis les mains de mon père trembler dans mon dos et au bout de quelques secondes de combat féroce, la pression se relâcha d’un coup. Je roulai sur le côté en me redressant pendant que lui faisait de même et nous nous retrouvâmes à genoux l’un en face de l’autre.

— Alors, mon petit pédé, tu croyais m’avoir aussi facilement. Regarde-toi, ta queue déborde de ton short. Je te fais tant d’effet que ça ?

— Et toi alors, regarde la forme de ton slip, il est prêt à craquer !

Il baissa les yeux vers son sexe et, furieux de voir son corps le trahir, se rua sur moi. Nous nous sommes attrapés mutuellement à bras le corps comme deux ours se livrant bataille. C’est à celui qui serrerait le plus fort, nos corps humides étaient collés l’un à l’autre. Mes mains s’étaient rejointes dans le bas de son dos et je l’attirai de toutes mes forces contre moi. Mon père avait sa tête appuyée contre mon épaules et j’entendais son souffle de plus en plus fort, Nous nous agrippions l’un à l’autre.

Soudain, une de ses mains agrippa le bord de mon short et tira de toutes ses forces. N’étant plus très solide le short se déchira rapidement libérant mon slip gonflé à bloc. Ce nouveau contact entre nos deux slip déformés par deux sexes en érection me fit frissonner de plaisir. Mais j’en voulais plus, apparemment lui aussi. Cédant à une impulsion irrépressible, chacun glissa une main sous le slip de l’autre et le dernier rempart qui empêchait nos queues d’entrer en contact céda d’un coup. La chaleur et la dureté de sa tige contre la mienne m’arracha un gémissement de bonheur. La sensation était telle qu’il me fallait toute ma concentration pour ne pas jouir sur le champ. Du côté de mon père, son bâton de chair vibrait contre le mien, mais il faisait tout son possible pour assourdir les gémissements qui remontaient du plus profond de ses entrailles. Je continuai de pousser mon torse contre le sien de manière à le faire tomber en arrière, mais cramponné à moi, il résistait avec puissance. La musculation lui avait forgé un corps d’athlète et malgré mes 20 ans de moins j’avais toute les peines du monde à le faire plier. Mais ma jeunesse m’apportait ce qu’il avait un peu moins, la résistance. Au bout de 5 minutes d’un combat acharné il glissa et tomba sur le dos, m’entraînant avec lui.

Aussitôt au sol, il enroula ses cuisses autour de mon bassin pendant que ses bras se refermèrent autour de mon torse. Glissant mes mains sous lui je le ceinturai étroitement à mon tour. Il posa ses pieds à plat sur le sol et poussant sur ses cuisses volumineuses décolla son bassin du sol et nous souleva. Le poids de mon corps contrait son effort, son sexe dur comme du bois s’écrasait contre le mien. C’en était douloureux mais mon excitation était à son comble. Me décollant légèrement, je me laissai retomber violemment sur lui. Ses cuisses lâchèrent aussitôt et je m’écroulai sur lui.

Il essaya d’imprimer un mouvement de balancier à nos deux corps enlacés afin de nous faire basculer sur le côté. Je contrai ce mouvement en me plaquant le plus lourdement possible à son corps. Son visage devenait rouge, mais il ne voulait rien lâcher. Dans un sursaut de désespoir il donna un grand coup de rein qui nous fit basculer sur le côté et il se retrouva enfin sur moi. Mes cuisses entourèrent aussitôt sa taille et doucement, par la force de mes abdominaux, je montai mon bassin contre le sien qui essayait de me maintenir au sol.

— Tu vois bien Fabien, tu n’auras jamais le dessus sur moi !

Sans lui répondre, je resserrai mon étreinte et son torse se retrouva fortement comprimé contre le mien. Sa respiration se fit plus difficile. Prenant appui sur ses mains, il essayait de se libérer, mais à bout de souffle, il se laissa tomber contre moi.

— Alors on fatigue papa ?

Son visage tout près du mien, il ruisselait sur moi, sa poitrine était trempée de sueur et nos tétons glissaient l’un sur l’autre. Je ne pus empêcher ma queue de se durcir davantage. Celle de mon père répondit aussitôt.

— Tu aimes ça, avoue !

— Jamais, je ne suis pas pédé comme toi...

— Alors pourquoi tu bandes ?

Sans répondre, il se mit à gesticuler comme un forcené entre mes bras. Mais je ne relâchai pas, c’était si jouissif de le tenir à ma merci, sentir son corps puissant s’agiter sur moi, pendant que son sexe continuait à s’affoler contre le mien. Dans ses yeux je décelai une détresse infinie de ne pas arriver à me soumettre à sa force, mais il y avait quelque chose d’autre, c’était certain. Je commençai à bouger doucement mon bassin en le soulevant légèrement afin que le contact entre nos deux queues soit encore plus fort. J’ondulai sous lui de manière à masser son bas-ventre.

— Fabien, ne fais pas ça, je t’en prie !

Dans un dernier effort il réussit à se dégager en roulant sur lui-même pour éviter ce contact si charnel. Nos deux corps se retrouvèrent séparés, il eut juste le temps de se mettre à quatre pattes lorsque je me jetai sur lui l’enserrant entre mes bras. Sous le choc on bascula sur le côté, nous roulâmes ensemble et je finis par me retrouver couché sous lui, mes bras se glissèrent sous ses aisselles et je croisai mes mains derrière sa nuque. J’écartai mes cuisses pour les enrouler autour de sa taille. Ma queue humide et durcie par cette envie folle de lui faire l’amour, se retrouva coincée sous ses fesses. Il remuait sur moi et ses deux lobes bien fermes frottaient sur ma verge, cette sensation décupla mon excitation et mon gland laissa perler quelques gouttes de plaisir. Profitant de mon excitation, il réussit à me faire lâcher prise et grâce à nos deux corps trempés de sueur, glissa entre mes bras pour se tourner face à moi. D’un coup de bassin je nous fis rouler au sol, le privant d’une position dominante.

Mon père ne remua même pas, je me retrouvais sur lui, le bloquant de mes bras et mes cuisses contre moi. Ses yeux étaient suppliants, sa bouche luisante. Ma bouche se posa tendrement sur ses lèvres chaudes et humides. Dans ma poitrine, mon cœur battait comme un fou. Il répondit à mes baisers en s’ouvrant à ma langue qui s’engouffra dans cette cavité humide et chaude. Elles fondirent l’une contre l’autre pour se caresser langoureusement, son sexe de plus en plus dur se frottait contre le mien. Un profond râle de plaisir remonta le long de sa gorge pendant qu’il aspirait ma langue au plus profond de sa bouche. Je relâchai la pression de mes bras et jambes et commença à parcourir ses flancs de mes doigts avides de sa peau. Que son corps était beau, viril et tellement excitant. Je me dégageai délicatement de lui pour admirer ce père tant adoré. Il était là sous moi, me regardant avec ses yeux humides, sa main se glissa derrière ma tête pour m’attirer à lui et m’embrasser sauvagement. Il me dévorait littéralement, sa langue envahissait ma bouche où nous échangions nos salives. Me tirant doucement par les cheveux, il plongea ses yeux dans les miens.

— Oh mon Fabien, comment ai-je pu te cacher cela jusqu’à maintenant. C’est pour cette raison que ta mère est partie. Toute ma vie j’ai réfréné ces envies qui me consumaient depuis si longtemps.

— Tais toi papa, on va rattraper le temps perdu, j’en ai trop envie !

Il me serra dans ses bras et mes derniers mots se perdirent dans sa bouche. D’un coup il nous retourna, je me laissai faire. Une fois sur moi, il me plaqua au sol avec force. Son corps se faisait lourd sur le mien, tous ses muscles étaient en action, son bassin donnait de grand coup et je sentais sa barre d’acier se cogner à la mienne. Toute sa peau était en contact avec la mienne, et nos corps ondulaient avec passion. D’une main décidée il m’écarta les cuisses afin de me caresser l’entrejambe, un de ses doigts se posa sur mon anus et commença à me masser le trou par des mouvements circulaires. Appuyant un peu plus, une première phalange perfora mon œillet pendant que des spasmes de bonheur traversaient tout mon corps. Son doigt allait et venait de plus en plus vite, de plus en plus profondément, je râlais de plaisir.

— Oh, papa, prends moi…

— Tu vas voir fiston, comme ton père va bien s’occuper de toi...

Après un dernier passage, son doigt se retira. Il se redressa et je l’entendis cracher dans sa main, un instant plus tard je sentis la dureté de son sexe se cogner contre mon trou. J’écartais les jambes un peu plus pour lui laisser de la place.

- Viens vite, j’en peux plus !

Son gland lubrifié par sa salive, en força l’ouverture. Lentement il fit coulisser sa hampe pour me faire découvrir toute la longueur et la puissance de sa queue énorme, je la sentis m’envahir totalement. Il resta ainsi un long moment. Mes mains s’agrippaient à ses fesses et je l’attirai violemment contre moi pour sentir toute la longueur de sa bite. Il se retira tout doucement jusqu’à ce que son gland sorte et avant que mon anus ne se referme, il s’enfonça à nouveau au plus profond de moi. Aux coins de ses yeux, des larmes de bonheur apparurent, il souriait et était heureux, tout comme moi.

Il fut prit d’une frénésie et commença à me pénétrer de plus en plus fort, de plus en plus vite. À chaque allée et venue sous cet assaut, je m’accrochais à ses épaules et me laissais envahir par le plaisir en m’offrant totalement à lui, sans aucun barrage, sans aucune résistance, avec une soif de lui tellement immense. Nos yeux ne se quittaient plus, sa bouche se rua sur la mienne pour m’embrasser goulument. Empalé sous la violence de ses coups de boutoir, je sentais ses couilles claquer contre mes fesses à chaque pénétration, ce qui m’arrachait des cris de plaisir. Une douce chaleur irradiait mon ventre lorsque son membre caressait mes entrailles de toute sa longueur. De profonds gémissements sortaient de sa bouche, il se cambra un peu et sa queue s’enfonça encore plus profondément. Chaque fois que son membre quittait la chaleur de mon ventre, un manque insoutenable me submergeait. Mes mains cramponnées à ses fesses le ramenaient aussitôt au plus profond de moi. Mon sphincter dilaté par son volume, se resserrait autour de sa hampe pour en sentir tout les reliefs.

Son souffle s’accélérait tandis que je sens la chaleur de mon sperme remonter le long de ma queue. Mon gland cracha de longs jets de semence pendant que des cris de jouissance ininterrompus sortaient de ma gorge. Un dernier coup de rein me fit hoqueter de bonheur, et dans un dernier râle mon père inonda mon conduit d’un bouillonnement de sperme chaud.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Mardi 7 août 2 07 /08 /Août 15:24

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C'était une nuit froide de janvier, je revenais de la fac, quand j'aperçus sur le trottoir en face de moi, arriver deux blacks qui me regardèrent de la tête aux pieds. Je n'avais pas l'allure d'un petit pd, mais plutôt d'un étudiant pressé qui revenait d'une journée de cours harassante.

Les deux blacks, plutôt bien foutus, j'ai dû les mater un peu trop, tant et si bien qu'ils se retournèrent et l'un d'eux, derrière moi m'a mis la main sur l'épaule et me dit :" Dis moi gars, tu as maté mon copain un peu trop toi... tu serais pas un pd en chaleur par hasard ? Tu voudrais pas nous sucer la pine ? " Je restais estomaqué devant tellement d'audace, et j'eus soudain la trouille de ma faire violer en pleine rue, ce qui allait arriver...

Ils m'entourèrent et me poussèrent sous une porte cochère et sortirent leur bite. L'un bien monté, environ 20cm bien grosse me parut bonne, mais l'autre mandrin me fit peur, plus de 25cm, longue et bien épaisse... un vrai gourdin que je me mis à sucer de suite, car poussé par son copain, j'avalais le gland qui me fit tousser tellement il était gros... Une main sur le cul, le jeans défait, l'autre se mit à fouiller mon cul d'un doigt d'abord,me sentant serré... J'étais pris au piège sous une porte cochère avec deux blacks fortement membrés, une bite dans la bouche et le gland de l'autre sur mon trou haletant...

Me voyant dans une bonne disposition, celui de derrière commença à me lécher le cul avec sa langue râpeuse et le deuxième me défonçait la gueule... Un bruit à proximité de là où nous nous trouvions, les firent se lever, se rhabillèrent et m'embarquèrent dans le couloir de l'immeuble, nous étions chez eux... On descendit alors quelques marches et on se retrouva dans les caves de l'immeuble. Ils ouvrirent la porte d'une cave, me poussèrent à l'intérieur et fermèrent la porte à clé, me laissant seul à l'intérieur. Je commençais à flipper. Au bout de trente minutes, ils revinrent avec deux autres mecs, deux blacks aussi, plutôt balaises... Cela me fit penser que j'allais servir de vide-couilles à quatre blacks... je me sentais défaillir, quand l'un d'eux, me prit la gueule et m'enfonça son mastard dans la bouche... Les autres se déshabillèrent, ils me déshabillèrent ensuite et celui que j'avais en bouche se déshabilla également.

Les deux autres étaient bien monté également, et me dirent :"Tu vas nous servir de vide-couilles mec, on a envie que tu nous pompes et ensuite on t'encule..." Me voilà prévenu... À poil sur un matelas crade, la bite dans la bouche, deux d'entre eux commencèrent à me pisser dessus pendant que le quatrième me léchait la rondelle, il recevait de la pisse sur lui... Soudain, après avoir fini de me pisser dessus, ils sortirent une bouteille de poppers et me gazèrent avec pendant une petite minute, et je me mis à décoller, offrant mes deux trous à leurs jeux pervers. Ils se succédèrent alors dans ma bouche et mon cul offert et dilaté par le poppers et la salive du grand black...

Durant plus de trois heures, je subis leurs assauts virils, me sodomisant et me trouant la bouche de leurs grosses queues odorantes... Sans capote, je fus limé et dosé plusieurs fois, de mon trou s'échappait leur sperme, qu'ils tassaient chacun leur tour, graissé par leur foutre, ils pouvaient me limer plus facilement. Ils me faisaient ensuite nettoyer leur grosse queue par ma langue et me pissais afin de lâcher leur reste de pisse... Souillé de sperme et de pisse, ils me laissèrent repartir finalement, tout en retenant mon adresse afin de me rappeler pour une autre orgie de sexe à plusieurs.

À la porte de la cave, avant de partir, chacun me cracha sur la gueule, le glaviot dégoulinant sur mes joues et les cheveux souillés de pisse et de sperme.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Lundi 6 août 1 06 /08 /Août 22:12

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Je rentrais chez moi tant bien que mal, le trou explosé, des crachats sur la gueule que j'essuyais avec mon tee shirt et du sperme dégoulinant de mon cul, cela me faisait une auréole sur mon jeans.

Il était tard quand je rentrais chez moi, je n'habitais pas tout près de là où je fus sodomisé et la route me parut interminable. Soudain, une voiture s'arrêta à ma hauteur et je reconnus au volant un des blacks qui avait abusé de moi dans la cave. Il ouvrit sa vitre et me demanda où j'allais. Il avait sans doute attendu que je parte pour me suivre et voulait sans doute recommencer une autre partie de baise…

Ce mec me demanda: « Tu vas où mec ? Je peux te conduire chez toi si tu veux, on connait ton adresse de toute façon, j'ai encore envie de ton cul de blanc bec... » Quoi dire à une telle demande, rien, je me laissais faire par mes hormones et mon désir d'être une chienne à blacks, je montais donc en voiture et on démarra. Ce mec avait été amené par les deux blacks qui m'avait enfermé dans la cave. Il était grand, fortement charpenté par de la musculation et bien monté avec une bite de 23cm. Dans la cave, il m'avait d'abord pissé dessus et envoyé sa purée dans ma bouche avant de me défoncer le cul dans toutes les positions. Ce mec savait y faire pour faire couiner une pute. Il me regarda monter en voiture et compris mon désir d'être une pute à blacks. Il me regarda d'un air entendu, et mit aussitôt sa main sur ma cuisse et mon cul. Je voyais la bosse se former sous son jeans, et il me prit la tête pour me faire courber sur cette bosse afin de humer la bonne odeur de foutre et de pisse que je lui avait fait sortir quelques minutes plus tôt. Il voulait continuer le plaisir seul avec moi encore quelques temps. Il me dit : « Tu sais mec, tu es une bonne pute, j'ai envie de te faire le trottoir mec et de me servir de toi pour mes besoins personnels de sexe. Je recherche un cul blanc comme le tien pour mes potes aussi et servir de vide-couilles. » Il me dit cela coincé sur sa bosse par sa main, et je pus répondre à son offre et me contentant de grogner, il me dit: « De toute façon tu n'as pas le choix, mec ! »

Et il me laissa respirer un peu, je le regardais et lui demandais : « Mais je vais pas être une pute à blacks toute ma vie, j'ai mes études à faire… » Je commençais à avoir peur... Il me regarda alors et me prit la gorge avec sa main et me dit : « T'es à nous maintenant mec, tu n'as plus rien à dire, on va faire de toi ce que l'on veut, mais t'inquiète pas, tu continueras à faire ta vie de ton côté mais côté cul, tu es notre pute et à notre merci. Quand on aura besoin de toi pour nous vider les couilles, tu seras obligé de venir nous les vider, c'est clair, petite pute ? » C'était très clair pour moi maintenant, j'allais servir de vide-couilles à des blacks superbement montés et cela me faisait bander, il le vit et me dit : « Tu vois, tu bandes déjà salope, tu aimes l'idée d'être offert à des mâles et d'être troué et enfoutré... Salope... »

On s'arrêta devant chez moi, il coupa le contact et on descendit. On monta les deux étages pour arriver devant le porte de mon studio, il me mit la main au cul de suite devant la porte et me fit mettre à genoux devant lui avant d'ouvrir. Il sortit alors sa queue et me la mit en bouche. Je sentais son sexe grossir dans ma bouche et le fait d'être sur le palier et qu'un voisin pouvait me voir ainsi à la merci d'un beau black me faisait bander. Il me prit les clés de mes mains, ouvrit la porte et me fit entrer dans mon appart. J'allumais la lumière et vit mieux mon black et maître maintenant… Il avait environ la trentaine, 1m85 pour 90kg environ de muscles, bien charpenté et monté 23cm bien dure et large.

Il s'avança de moi, m'enleva mon blouson, mon tee shirt taché et mon jeans. En boxer, il me fit mettre à genoux devant sa queue et me la rentra de nouveau dans la bouche, me l'enfonçant dans la gorge. J'étouffais, mais voulant faire plaisir à mon nouveau maître, je me mis à saliver dessus pour le faire glisser profondément dans ma gueule de lope et je m'attaquais au gland volumineux qui laisser couler une quantité impressionnante de mouille. Il était proche de l'éjaculation quand il me prit la tête de ses deux mains et m'enfonça son sexe à fond et se mit à décharger une coulée de foutre, avec laquelle je m'étouffais, recrachant une bonne partie, j'eus des hauts-le-coeur, mais repris aussitôt la queue en bouche pour avaler le reste de sa décharge. Six gros jets plus tard au fond du gosier, il me dit que j'étais à lui maintenant, que j'étais sa femelle et que quand il aurait besoin de moi, il m'appellerai à n'importe quelle heure et que je devrais obéir à ses ordres.

Il me dit son nom : il s'appelait Mohamed, et habitait la cité chaude de la ville où je faisais mes études. Il essuya son sexe sur mon visage, me cracha un dernier glaviot dans la bouche et je nettoyais sa queue avec. Il rangea sa bite dans son jeans, et me flatta la tête, en me disant avoir la chance de baiser une bonne pute qui avale tout et d'en faire une bonne chienne à blacks.

« Je te rappelle mec, très bientôt, j'ai des potes du Cameroun qui arrivent bientôt et ils voudront sans doute un peu de sexe pour se vider les couilles du voyage, tu seras bien docile avec eux… Je te rappelle, bâtard... »

 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Lundi 6 août 1 06 /08 /Août 00:50

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Cette histoire s'est passés il y a 2 ans à peu près. Je voyais mon cousin parfois, le weekend-end notamment. Il nous arrivait de se taper des queues ensemble devant un bon film porno ou les gonzesses se faisait défoncer la chatte par Rocco... Mais rien de plus ! On jutait et puis finito, des trucs de cousins quoi ! Mais ce jour là, ce ne fut pas pareil.

On était les deux dans sa chambre, tout le monde dormait dans la baraque. Il était une ou deux heures de mat' et après un bon film d'horreur, une branle s'imposait ! Alors on met un film de cul bien hard comme à chaque fois. J'avais déjà remarqué ses effluves de mâle, il n'était pas très pote avec la douche mais aujourd'hui, c'était encore pire que d'habitude. Un truc de malade, à vous faire réveiller un mort. On avait donc nos deux queues en main, il était plutôt bien monté, 20 centimètres, épaisse et bien poilue, comme j'aime. Il se doutait sûrement que j'kiffais les chums, mais jamais il n'aurait tenté quelque chose sur moi, par peur de ma réac'. Mais là moi, j'avais grave envie de sa queue, ses odeurs de mâle m'excitaient un max ! Alors je m'décidai...

— Ça te dit que je te suce ?

Et là aucune réponse, il avait plutôt l'air surpris. Et d'un coup sec, il me choppa par les cheveux, on était encore allongés l'un contre l'autre, moi tenant ma queue à pleine main. Il plaça ma tête en dessous de son visage, au niveau de son ventre, et m'ordonna d'ouvrir la bouche. Je m'exécutais ! Et là, il va chercher au fond de sa gorge le mollard du siècle, un truc énorme qu'il me lâche en plein dans la bouche. Et il me dit :

— Commence par avaler ça !

Et là, c'est moi qui fût surpris ! Le salaud, il avait décidé de me faire ma fête, depuis le temps que je l'attendais ! Après avoir avalé son mollard, il me laisse à peine le temps de reprendre mes esprits et me place la gueule contre le mur afin que je puisse le sucer pensais-je... Il se mit face à moi, à genoux sur le lit, et me décolla une baffe monumentale. Ce qui me fit basculer sur le côté. J'étais ailleurs, comme sur une autre planète. Il empoigna encore une fois mes cheveux et me replaça contre le mur, face à lui. C'est là qu'il entreprit de me bourriner la gueule avec sa queue. Il plaça le bout de son gland juste devant mon visage. J'avais déjà la gueule grande ouverte. Mais lui ne le voyait pas de cet œil. J'avoue que le goût de fruits de mer avariés dont certains parlent me sauta au nez. Il avait un long prépuce qu'il n'avait pas complètement décalotté. Il le fit juste devant mes yeux, et là, je voit apparaître sur son gland une masse blanchâtre qui traînait une odeur forte à la limite de la gerbe. C'est à cet instant que j'ai regretté d'avoir ouvert ma gueule plus tôt... Il me regarda droit dans les yeux et me dit :

— Tu voulais un mec, ben chui là. Alors maintenant tu vas pas faire ta mijaurée et tu vas faire ce que je te dis ou sinon ça va mal aller pour toi !

Je ne pouvais alors plus rien faire ! J'étais obligé d'aller jusqu'au bout de cette expérience. J'ouvris donc à nouveau la bouche. Il prit de ses doigts un peu de fromton de sa queue et les enfonça le plus possible dans mon nez. Afin que je garde son odeur pestilentielle pendant tout l'acte. Et je me mis donc à le sucer. C'était assez étrange car je me suis mis à apprécier ce goût âpre, à kiffer cette odeur extrême de mâle. Il me laissa quelques secondes pour m'habituer à sa queue, mais cela ne dura pas ! Il reprit vite les choses en main. Tenant sa queue dans une main, et appuyant ma tête contre le mur, il commença des va-et-vient d'un rythme éffreiné. Plus fort que le bourrinage de chatte de nos films favoris. Ma bouche ne suivait pas tant il était rapide et allait profond. Il me défonçait littéralement la gueule. Quand il était bien à fond dans ma gorge, il restait quelques secondes en poussant des cris bestiaux. Ça le faisait kiffer de me voir souffrir. Mais moi j'adorais ça. Je m'appliquais du mieux possible. Il alternait en me faisant bouffer ses grosses couilles poilues. Ça le faisait triper que je les prenne les 2 en bouche en même temps. Il pouvait se branler bien tranquille sur ma gueule pendant que ses burnes étaient bien au chaud dans ma bouche de pute. Cela a duré une bonne vingtaine de minutes. Vingt minutes de pilonnage intensif. Mais il avait pas envie que cela se termine de si tôt. Alors il me dit :

— Bon grosse salope de cousin, ça fait six jours que j'ai pas juté ce soir, et j'ai envie que ça dure pour pouvoir te noyer dans mon sperme.

L'expression était exagérée mais ça m'excitait grave rien que d'y penser. Il s'alluma alors une clope et me dit de venir à côté de lui. On parla un peu, lui racontant ce que je kiffes chez les mecs et lui me disant que c'est sa première expérience. Qu'il aimerait faire ça avec sa meuf mais qu'elle veut pas se soumettre à lui.

— Et ça fait longtemps que t'as envie de ma queue ?

— Ben ouais, ça fait déjà pas mal de temps que tu me donnes envie. Avec toutes nos branles et tout. Mais là, ce qui m'a plu c'était ce gland fromageux, comment tu fais ça ?

— Je t'expliquerai plus tard comment faut faire mais pour le moment, tu vas aller dans le bain et m'attendre bien gentiment !

— Mais je vais pas sortir à oilpé, traverser le couloir alors que les parents et ton frère dorment juste à c...

J'ai pas le temps de finir ma phrase qu'il m'a déjà coller un coup de poing dans le ventre, me pliant en deux.

— Tu fais ce que je te dis et c'est tout !

Je m'exécutai avec précaution tout de même et allai jusqu'à la salle de bain qui était de l'autre côté du couloir. J'étais à poil. Je savais ce qui m'attendrait là bas, il avait envie de m'arroser de sa pisse bien chaude et peut être même m'en faire avaler. Le rêve ! Je laissai la lumière éteinte. Au bout de quelques minutes, j'entendais une porte s'ouvrir ! Enfin, mon cousin va continuer mon larvage ! Mais je fus très surpris ! C'était le petit frère de 16 ans qui entrait dans la pièce.

— J'ai tout entendu ce que vous faîtes, et vu que ça m'a donné la gaule, tu vas me servir de vide-couilles.

Il sortit alors sa queue. Il était déjà bien pourvu pour son âge mais ne puait pas autant que son frère, dommage ! Je m'exécutai à sucer cette queue, il est venu en 5 minutes environ, et a juté bien au fond ma gorge. Il n'avait pas autant de poigne que mon maître mais il était plaisant ! Il repartit vite fait dans sa chambre en me lançant un petit "Merci C'zin !"

J'entendis alors mon cousin sortir de sa chambre. Il vint directement devant moi, il ne bandait plus mais que sa queue était épaisse et lourde au repos ! Il m'ordonna alors de prendre sa queue entière dans ma bouche, je le fis. Il me promit une pluie de mandales si je n'avalais pas tout. Il se concentra et commença à m'inonder la bouche de sa pisse fumante et puante, je m'attelai à tout boire ce précieux liquide. Quelques gouttes tombèrent tout de même dans la baignoire, il me les fit laper. Il me dit ensuite de m'allonger sur le dos dans la baignoire, que j'allais devoir lui décrasser son trou qui d'après lui était bien gras et que j'aimerais ça. En effet, j'ai aimé décrasser son cul. J'avais jamais fait ça, mais j'ai adoré cette odeur particulière.

— Et t'aimes aussi te faire enculer comme une chienne ?

— Ben ouais bien sûr ! lui répondis je sans vergogne.

On retourna alors dans sa chambre pour qu'il donne une raclée à mon petit cul ! Et il n'y alla pas de main morte ! Il me fit mettre à 4 pattes, mollarda une ou deux fois sur mon cul enfonçant son index au plus profond. Et lorsqu'il décida que mon cul était prêt, il posa son gland sur ma chatte de pute et d'un coup sec, entra son dard bien au fond de mon fondement. Au plus profond de mes entrailles. Je poussai alors un hurlement. Il m'engueula de plus belle et décida de retirer ses chaussettes et de m'en coller une bien au fond de la gueule pour que mes hurlements soient retenus. Au moins pour ceux qui dorment. Bien que le frère doit être en train de se branler en nous écoutant. Il pillona alors mon cul pendant des dizaines de minutes. J'avais le derrière en feu, jamais on ne m'avait enculé aussi fort ! Il se retira et vint se placer devant moi, je me mis alors au niveau de sa queue, il me frappa sur la tête et me dit :

— Lèche-moi les pieds sale garce. Après t'auras mon jus !

J'étais à 4 pattes devant mon cousin qui s'est assis sur son lit, il continuait à se toucher la teub pendant que je lui bouffais les pieds. Je passais entre chaque doigt de pieds, pour récupérer tous les morceaux et les odeurs de son 45 fillette. Il prit alors une barre chocolatée près de son lit, se mit à la bouffer. Je me demandais pourquoi faire. Je compris vite lorsqu'il me fit ouvrir la bouche pour tout recracher dedans. J'étais sa pute, son urinoir et maintenant sa poubelle. Je kiffe ! Il me dit qu'il n'est pas loin de juter.

— Fous-toi allongé sur le dos sur le lit, ta gueule en dehors du matelas que je puisse prendre ta bouche comme une chatte et y foutre toute ma sauce

Je pris la position qu'il souhaitait et il enfourna sa teub dans ma bouche pour un dernier pillonage en règle ! Au bout de 2 minutes, il déchargea alors, le gland sur mes lèvres. Je pris de grandes giclées dans ma gueule. Il juta énormément, c'était impressionnant. Mais je me délectais de cette liqueur. Il en coula bien sûr par terre. Il reprit doucement ses esprits. Mon cousin me fixait droit dans les yeux, peut-être se rendait il compte qu'il vient de grave m'humilier.

— Je veux quand même que tu jutes p'tite salope ! Alors tu vas commencer par laper tout le jus sur le sol et viendra t'asseoir sur ça !

Il montrait du doigt sa lampe torche qui avait un diamètre assez large. Je lapai donc toute la semence perdue, et vînt m'asseoir sur la lampe. Il prit alors pour la première fois ma queue en main, et me branla pendant que mon cul coulissait sur sa torche. Je mis quelques secondes à juter tant j'étais excité par tout ce qui venait de m'arriver. Je restai immobile, mon cul empalé, et mon jus tout autour. La main de mon cousin était recouverte de sperme, il me la fit nettoyer comme une chienne.

Tout à coup une ombre apparût derrière la porte...

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Dimanche 5 août 7 05 /08 /Août 22:39

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je m’appelle Yves et j'ai 28 ans. Je suis brun et j’ai un physique d’adolescent. Je n’ai pas très bien vécu le divorce de mes parents et je rêvais d’indépendance. J'ai arrêté mes études assez tôt pour chercher un emploi et me loger. J'ai réussi à décrocher un petit job de secrétariat dans une société d’import export. Il me permet tout juste de boucler mes fins de mois. En quelques mois, mon sérieux, ma ponctualité ont joué en ma faveur. Le patron m’a fait venir dans son bureau pour me faire une proposition. Sa secrétaire devant s'absenter pour un congé maternité, il me proposa d’assurer l’intérim.

— Je préfère cette solution! m’a-t-il dit. Tu connais la boîte et tu te familiariseras plus vite qu’une personne étrangère à la société.

Le patron est un type qui en impose et, sans en avoir peur, je peux affirmer qu’il m’impressionne. Devoir travailler en direct avec lui, me faisait vraiment peur et m’angoissait. Mais, d’un autre côté, mon salaire allait augmenter de 40%... Ce qui n’était pas négligeable!

— Je te donne deux jours pour y réfléchir et prendre ta décision! N’oublie pas que pour tenir ce poste, j’ai besoin d’une personne disponible!

J’ai donc accepté le travail et je suis entré en fonction trois jours plus tard. Au bout de quinze jours, alors que nous étions les deux derniers dans les bureaux, il m’a parlé:

— Jusqu’ici, je suis très content de ton travail...

— Y a-t-il un «mais», monsieur?

— Non... Quoique! Il me reste à évaluer certaines de tes aptitudes. Pour travailler avec moi, il faut être entièrement dévoué.

— Je sais, monsieur. Je pense que...

— Chut! Tu ne dois jamais contredire un de mes ordres. Es-tu prêt à l'accepter?

— Euh... oui, monsieur... Je vais essayer de...

— Ce n'est pas suffisant d’essayer. Il me faut du concret.

J’étais un peu paumé. Tous ces propos étaient bizarres.

— Le travail de la société m'accapare énormément. Je n'ai pas le temps de mener une vie personnelle et intime en parallèle.

— Je comprends que vous exigiez de votre secrétaire.

— Ta gueule!

Il a écarté son siège à roulettes du bureau. Sa queue jaillissait de sa braguette ouverte.

— Allez! Suce!

Tel un animal apeuré devant un prédateur, je me suis laissé hypnotiser par son engin monstrueux. Je l’ai pris en bouche.

— Tu aimes?

— Oui, monsieur.

— Continue à pomper et réponds à mes questions en agitant la tête. Es-tu prêt à ne plus porter de sous-vêtement sous ton pantalon?

J’ai agité la tête pour dire oui.

— Es-tu prêt à me sucer à quatre pattes sous ce bureau pendant que je reçois des clients?

— Oui, monsieur!

— Enlève ton pantalon pour me sucer!

J’ai obtempéré directement.

— Tu as un beau cul. Donc, tu as bien compris... plus de slip ni de caleçon... Cul nu sous ton pantalon! Je veux que tes fesses soient immédiatement accessibles.

— Oui, monsieur!

Il a ouvert un tiroir et posé un large gode sur son bureau.

— Enfonce-toi ça au fion!

— C’est... c’est très gros... je...

— Ne pas contredire un seul de mes ordres!!! As-tu déjà oublié tes résolutions? Je vais te punir pour ça. Debout sur mon bureau et descends doucement sur cet autre gode...

Ce deuxième gode était beaucoup plus grand et gros. J’avais très peur. J’ai pourtant réussi à me l’enfoncer jusqu’à la garde et à m’agiter dessus;

— C’était ta première impertinence! Au bout de trois ce sera le licenciement immédiat sans même la possibilité de retrouver ton ancien poste. Tu es à mon entière disposition. Est-ce bien clair?

— Oui, monsieur!

Je commençais à me rendre compte de ce qui m’arrivait. J’allais devenir un jouet sexuel pour un homme vicieux et sadique. Il m’a retourné sur ses genoux pour me donner la fessée. J’ai un peu gémi de douleur et puis j’ai trouvé la sensation plus supportable.

— Je vois que tu commences à t’habituer. Tu vas sûrement aimer devenir ma petite pute docile, ma petite salope perverse. Je vais te faire progresser dans ton rôle d’objet pour le plaisir!

Il m’ordonna de m’installer à quatre pattes sur son bureau et il me contourna. Je ne le voyais plus; j’étais inquiet. Il ôta le gode pour le remplacer par autre chose.

— Voici TON bouche-trou. C’est un butt plug qui devra toujours être en place sur ce lieu de travail. Il sera enlevé lorsque j’ai envie de me servir de ton trou.

Il poussa bien le plug à fond. Soudain, sa main claqua violemment sur mon cul. Il recommença. Comme j’avais émis un léger cri de surprise mêlé à un autre de douleur, il pousse mon slip en boule dans ma bouche. La fessée reprit jusqu’à me tirer des larmes. Seul mon père qui était très sévère m’avait déjà donné ce type de châtiment.

— Un cul de salope, ça doit être net sans poil! Pour demain, tu vas me nettoyer ta raie et la rendre impeccable!

J’ai agité la tête.

— Ton cul est bien rond et musclé. Ça c’est bien! Tu fais de la musculation?

J’ai agité la tête pour dire non.

— Réponds!

La bouche encombrée par mon slip, j’ai du fournir un effort incroyable pour sortir un son correct de ma gorge.

— Non, mechieu. Che fais de la natachion.

— Très bien! Quand, j'en aurai fini, avec toi, aujourd’hui, je te donnerai le reste de ta journée. Tu iras t’occuper de ton corps. Tous les soins à y apporter sont écrits sur cette liste. Lève-toi.

Je me suis dressé sur la table.

— Au sol! Descends! Je t’interdis de perdre ton plug et de le tenir avec tes mains. Sers-toi de ton cul pour le serrer.

Je suis descendu en essayant de garder le bouche-cul. J'étais debout devant lui, les yeux baisés.

— Il y a aussi ces tétons qui sont bien minuscules! On va arranger ça!

Il sortit, d’un tiroir de son bureau, deux petites pinces reliées par une double-chaîne argentée.

— Je sais que n'es pas encore habitué à tous les traitements que je te réserve. Tu finiras par tellement les apprécier que tu en redemanderas. Sais-tu à quoi servent ces pinces?

— Non, mechieu!

— Elles servent à travailler les tétons, à les faire «bander»... Tu vas, toi-même, en poser une sur chacun de tes tétons. Tu vas voir, au début, la douleur est assez forte mais, ensuite, ça va te plaire! La seule chose, c’est qu’on ne peut jamais oublier qu'on les porte.

Il m’a tendu les pinces et, les yeux remplis d’angoisse, j’allais devoir les placer sur mes pointes sensibles. Le froid de l'acier me fit frissonner. Elle était maintenant ouverte, prête à emprisonner mon téton. La douleur fulgurante m’arracha encore des larmes. Il était en face de moi, terrible.

— C'est une épreuve très difficile, mais je suis sur que tu vas la réussir. Tu les garderas toute cette première journée. Demain, je veux voir tes pointes déjà bien dures et dressées. Tu pourras les retirer chez toi... pour la nuit! C’est à moment là que la douleur sera la plus forte.

— Oui, mechieu!

— Bien, nous allons continuer l'interrogatoire. Combien d'hommes as-tu connus jusqu'à maintenant?

— Aucun, mechieu!

— Aucun? Tu as pourtant l’air d’une fameuse petite salope... Soit! J’espère que tu ne me mens pas... sinon...

— Non, mechieur! Ch’est juré!

— Quand as-tu fait l'amour, la dernière fois?

— Il y a quinche jours!

— Avec une femme donc?

— Oui, mechieu!

— De la société?

— Oui, mechieu!

Un large sourire a éclairé son visage et il a pris quelques notes.

— Son prénom!

— Marianne.

— Tiens donc...

Nouveau sourire.

— Tu te branles souvent?

— Oui, mechieu.

— C'est à dire? Une fois par semaine, tous les trois jours, tous les jours?

— Tous les chours, mechieu!

— Plusieurs fois par jour?

— Cha arrive, mechieu!

— Tu t'es déjà branlé au bureau?

— Oui, mechieu.

— Où?

— Dans les toilettes, mechieu.

— Seul?

— Oui, mechieu!

— Tu étais excité par quelque chose de précis?

— Non, mechieu!

— À partir de maintenant, je t'interdis de te branler sans en avoir obtenu mon autorisation. Ici, chez toi ou ailleurs. Est-ce assez clair?

— Oui, mechieu.

— Si tu as été bien obéissant toute la journée, je te téléphonerai cette nuit chez toi pour te demander de te branler. Ce sera comme ça, tous les jours...

— As-tu déjà pompé une bite?

— Non, mechieu!

— Tu vas te rattraper! Tu me suceras deux ou trois fois par jour et tu avaleras mon foutre chaud jusqu'à la dernière goutte. Il arrivera certains jours que mon jus soit ton unique nourriture. J'aimerai te voir travailler toute la journée devant moi en sachant ton estomac uniquement rempli de mon sperme. Tu vas devenir un petit être pervers et tu seras enculé régulièrement. Ton petit trou servira plus que tous les autres. Il sera même forcé en permanence par des accessoires que je te ferai découvrir.

Je l’écoutais accumuler des horreurs sur moi, sur ce que j’allais devenir. J’étais KO!

— Tu vas devenir une vraie petite pute au trou toujours ouvert et accessible. C’est clair?

— Oui, mechieu!

— Avant que je te lâche, tu vas me prouver que tu as tout compris. Dis moi une chose... demande-moi une chose que tu n’as jamais demandée à personne...

— Quoi donc, mechieu?

— Cherche bien. Réfléchis!

— Demande-moi de «prendre» quelque chose que tu n'as jamais donné.

Je suais. J’angoissais.

— Allez... grouille... Quelle partie de ton corps n’as-tu jamais offerte à un homme?

— Mon anus, mechieu!

— Tu vois comme tu peux être malin! Tu vas me demander de te baiser!

— Oui, mechieu! Baichez-moi...

— Ouh la! Tu vas le demander mieux que ça. Beaucoup mieux!

— Mechieu, voulez-vous me baicher?

— J'ai dit... mieux que ça.

— Mechieu, auriez-vous la bonté de bien vouloir m'enculer.

— C'est mieux, mais fait un effort. Essaie d’éviter les punitions. N’oublie pas que tu n'es plus qu'une petite pute. Encore mieux que ça!

J’ai pris sur moi et je lui ai servi ce qu’il voulait.

— Mechieu, ch'il vous plait, enfilez-moi par mon petit trou de pute. Défonchez-moi mon trou de salope. Enculez votre petite pute choumise!

J’avais un peu de mal à comprendre ce qui m’arrivait, ce qui me poussait à satisfaire les désirs de cet homme autoritaire. J’étais nu. J’avais des pinces accrochées aux tétons et un plug au cul. Cet homme avait fait de moi une larve, une lopette soumise... et ce n’était que le début!

— Approche-toi du bureau. Comme ça... Écarte bien les cuisses et penche-toi en avant, le torse sur le bureau.

Une fois de plus, j’ai directement répondu à ses ordres pour lui être agréable... et sûrement aussi pour éviter toute punition. La position qu’il venait de me faire prendre me rappela douloureusement mes tétons meurtris par les pinces. Je sentais mon cul, envahi par le plug, pris de contractions. Le patron ouvrit un de ses tiroirs d'où il sortit un tube de gel. Il passa derrière moi, ôta le plug et me badigeonna le trou de lubrifiant. Je me mis à frissonner autant d’excitation que de peur. Je savais ce qui allait suivre. C’était moi qui l’en avait supplié! Il massa doucement mon anus puis il introduit un doigt dans mon sphincter. Au bout d’un moment, il était passé par deux, trois puis quatre doigts. J’allais bientôt avoir toute sa main profondément plantée dans mon petit trou. Je souffrais, j’avais des larmes plein les yeux. Il retira ses doigts et j'entendis alors le zip de son pantalon. Un claquement me fit comprendre que la capote était en place.

— Tu vas l’avoir, mon cochon! Tu vas bien en profiter de ma bite!

Son gros gland se posa sur mon anus et lentement il en força l’entrée. Malgré le travail de ses doigts, il rencontra une certaine résistance, puis mon sphincter se détendit et son sexe s'enfonça jusqu'aux testicules.

— Respire! Respire à fond! J’y suis...

Il resta un instant sans bouger, puis il commença à s’agiter en moi. Ses mouvements d’abord assez doux devinrent plus rapides. Mon corps projeté vers l’avant, obligeait mes tétons harnachés de pinces à se frotter contre le bureau. Mes larmes inondaient mon visage, mon cou et ma poitrine.

— C’est bon, hein, sale pute? C’est bon, la bite bien dure de ton Maître?

Il ressortit complètement de mon anus endolori pour s’y réintroduire immédiatement. Il procéda ainsi jusqu'à exploser dans mes entrailles. Il ahanait comme un porc. Une de ses mains s’était glissée sous moi et il commença à caresser ma queue. Il m'amena ainsi au bord de l'orgasme mais il s’arrêta brusquement.

— Tu ne mérites pas de jouir maintenant! Il te faudra attendre...

J’étais au bord de l’évanouissement. Il enleva sa capote et essuya son sexe sur mes fesses.

— Debout! Bien droit devant moi!

Je sentais sa semence ruisseler sur mes fesses et mes cuisses.

— Je t'interdis de t'essuyer. Tu le feras ce soir quand tu seras rentré chez toi. Remets tes vêtements et va porter les mémos dans les bureaux.

— Pas dans chette tenue, mechieu!

— Si! Si, petite salope...il faut bien t'habituer à ta condition.

— Mais «ils» vont voir que...

Sa main frappa violemment ma joue et je me suis écroulé à ses pieds.

— Aujourd’hui ou un autre jour, ils finiront par savoir... comme ils ont su pour toutes mes salopes! Après toi, il y en aura d’autres... C’est moi le patron ici!

J’ai porté la main à ma bouche pour enlever mon slip roulé en boule. J’ai reçu une nouvelle claque.

— Pas avec cha dans la bouche?

— Bien sûr que si!

Je me suis relevé et j’ai commencé à pleurer toutes les larmes de mon corps. Il n’a pas plié. Assis à son bureau, il m’a regardé me rhabiller, prendre les mémos et me diriger vers la porte.

— Enlève le slip de ta bouche!

Je me suis retourné. J’hésitais.

— À la prochaine rouspétance, c’est à poil avec ton plug que tu feras ton travail à chaque étage!

— Bien, mechieu!

J’ai ôté le slip et l’ai jeté dans la poubelle qu’il me montrait.

— De toutes façons, tu n’en auras plus besoin! Va porter les mémos... Avant de rentrer chez toi, tu reviendras ici pour reprendre la même position que tout à l'heure. Je devrai te remettre le butt plug!

De retour après mon travail de coursier, il me remit donc le plug puis me questionna encore.

— Tu as déjà été fessé, n’est-ce pas?

— Il y a longtemps. Mon père le faisait pour me punir, monsieur!

— Il te fessait sur tes vêtements?

— Oui, monsieur.

— Avec moi, ce sera cul nu! Tu finiras aussi par aimer ça... Tes fesses seront celles d'un esclave. À partir d'aujourd'hui, elles seront frappées régulièrement à la cravache. Tu seras fessé tous les jours. Si c’est nécessaire, je le ferai devant témoins! Pour commencer, choisis le nombre de coups que tu crois mériter!

J’étais une fois de plus coincé entre l’envie d’être raisonnable et la peur d’être trop modeste.

— Dix, monsieur!

— C’est trop peu... J’avais pensé à quinze mais comme tu n’en voulais que dix... je vais monter à vingt! Vingt pour moi et dix pour toi... ça fera trente! Tu prendras aussi l’habitude de dire «merci» après chaque coup...

— Oui, monsieur!

Il me donna l’ordre d'allonger les bras sur le bureau. Il me montra la cravache et il leva son bras armé pour l'abattre violemment sur mon cul. Mon cri fut perçant.

— Alors?

— Merciiiiiii, monsieuuuur!

— Premier oubli! C’était un coup pour rien...

Il recommença avec autant de violence mais en s'efforçant de frapper un autre endroit.

— Merci, monsieur!

— C’est mieux!

Au bout de dix coups, mes fesses étaient en feu et chaque coup m’envoyait valdinquer sur la tablette du bureau.

— Écarte-toi du bureau! cria-t-il. Sans plier les genoux, penche-toi en avant pour essayer de toucher tes genoux avec ton nez. Mieux que ça! Encore plus, sale pute! Maintenant, tu vas garder cette position en saisissant tes fesses avec tes mains pour bien écarter ta raie.

Il reprit son travail de bourreau, m’obligeant à lui offrir la partie charnue de mon cul à sa cravache. Il frappa dix fois ma raie écartelée et mon anus envahi par le plug.

— Nous en resterons là pour aujourd’hui!

Épuisé, je suis tombé à genoux en gémissant.

— Ah non, pas de ça avec moi! Assume! Assume, sale pute! Cette place, c’est ton choix! Puisque tu es à genoux, restes-y! Prends ceci...

Il m’a fourré sa pine dans ma bouche et je l’ai sucé.

— Bras derrière le dos! Bois tout!

Il a commencé à me pisser à la gueule et, le regardant dans les yeux, j'ai ouvert les lèvres pour que son urine inonde ma bouche.

— Ce sera ton repas de ce soir!

— Merci, monsieur!

— Je pense que tu as parfaitement compris ce que j'attendais de toi. Je pense que nous ne nous sommes pas trompés et que cela nous promet de belles perspectives. Tu aimes souffrir, tu vas être servi. Tout ce que tu as vécu aujourd’hui n'est que le début...

 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Dimanche 5 août 7 05 /08 /Août 17:39

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J’ai commencé à être attiré par les garçons vers 11 ou 12 ans. Je fantasmais vaguement sur les mecs de ma classe, mais ce n’était pas véritablement sexuel, c’était plutôt une envie de les connaître, d’être intime avec eux. Enfin avec certains d’entre eux, pas tous ! J’étais attiré par les cancres, qui foutaient le bordel, qui charriaient les élèves…

Plus tard, à 14 ans, j’ai vu un documentaire sur l’homosexualité à la télévision. J’ai tout de suite compris mes « fantasmes » : j’étais gay. J’aimais les hommes. J’ai commencé à me branler, en pensant toujours à mes camarades de classe, qui changeaient souvent mais m’excitaient maintenant sérieusement.

Mes parents ayant divorcé quelques années plus tôt, j’habitais alors avec mon père et mon frère. Je n’étais pas très proche d’eux, mon frère avait 2 ans de plus que moi et m’ignorait complètement, mon père était un hétéro macho qui s’intéressait avant tout aux matchs de foot et aux soirées bière avec ses potes. J’étais frêle, le teint pâle, je me foutais complètement de tout ce qui touchait au sport, je lisais beaucoup : je n’avais rien en commun avec lui. Nous ne nous parlions pas beaucoup.

Pourtant, arrivé à l'âge de 16 ans et à force de penser aux mecs, je sentais le besoin de me confier. Mes amis au collège n’auraient pas compris, en auraient parlé à tout le monde, je me serais fait emmerder : je ne pouvais pas leur dire que j’étais gay. J’ai alors pensé en parler à mon père. Après tout, j’étais son fils, il comprendrait certainement mon besoin d’en parler avec lui, il chercherait à me conseiller, à m’aider à accepter. Peut-être même que cela nous rapprocherait : quoi de mieux qu’un secret à partager pour lier deux personnes ?

Alors, un soir que mon frère était sorti avec des amis, j’allais trouver mon père dans le salon. Il regardait un match à la télé, je m’assis en face de lui.

— Papa, je dois te parler.

— Attends une minute, Luc, c’est bientôt la mi-temps.

J’attendais patiemment. Quand les pubs commencèrent, il se tourna vers moi.

— Je t’écoute. Qu’est-ce qui se passe ?

— C’est un peu difficile. C’est… intime. Je ne sais pas comment te le dire.

— Ah, je vois très bien ! J’attendais que tu m’en parles depuis longtemps !

J’étais abasourdi. Il savait ? Il avait deviné ? Je n’avais rien fait qui puisse lui faire comprendre ! Certes, je n’avais pas un physique très masculin, mais je n’avais pas une attitude efféminée, du moins je n’en avais pas l’impression.

— Tu es au courant ? Mais Papa, je…

— C’est rien, fiston. C’est normal à ton âge. Tu vois des filles, t’es attiré par elles… Il y en a une qui te plaît en particulier ? Si t’as besoin de conseils, surtout n’hésite pas à me demander. Je m’y connais bien, tu sais !

Soudain, j’étais déçu. Ça m’avait étonné de croire qu’il savait que j’étais gay, mais ça m’arrangeait bien. Ça aurait été simple ! Mais là, il fallait lui expliquer, et j’avais peur de sa réaction.

— Non Papa, ce n’est pas ça. Je… Je ne sais pas comment dire… Je crois que… Je crois que j’aime les garçons.

Voilà, c’était dit. Ouf. Il n’a pas réagit tout de suite. Il me regardait, fixement mais son regard était vide. Comme si je ne parlais pas français. Au bout d’un temps qui m’a semblé durer 107 ans, il a ouvert la bouche.

— T’es pédé ?

— Quoi ? Non, enfin je ne sais pas !

— T’aimes les mecs ou pas ? Réponds !

— Oui, enfin je crois ! Papa, je…

Il devenait agressif. Il s’est levé, m’a attrapé par le col de ma chemise. Il criait :

— T’es pédé ou t’es pas pédé ? Réponds ! Dis-le !

— Papa, arrête, tu me fais mal ! Lâche-moi, s’il te plait !

— Je veux pas d’un fils pédé, t’as compris ? Tu vas filer dans ta chambre, et t’en sortiras quand t’auras compris qu’il n’y a pas de pédé dans ma famille ! Casse-toi !

Il m’a lâché. Je me suis effondré par terre, j’avais les larmes aux yeux. J’ai couru jusqu’à ma chambre en pleurant.

Les jours suivants, mon père ne m’a pas adressé la parole. Il évitait d’être à la maison en même temps que moi, et quand il me croisait il détournait les yeux ou me lançait un regard dur et méprisant. Au bout de presque deux semaines de ce traitement, il est venu me trouver dans ma chambre. Il semblait très mal à l’aise, et toujours aussi froid.

— Luc, écoute-moi. Ce que tu m’as dit l’autre jour, je ne veux plus jamais en entendre parler. Je vais faire comme si j’avais rien entendu, et de ton côté tu vas tout de suite arrêter de penser aux mecs. Tu vas te trouver une fille, tu vas la baiser et tu seras aussi hétéro que n’importe qui. C’est compris ? T’as un mois pour faire ce que je te dis. Je viendrai t’en reparler dans 4 semaines, tu me diras où tu en es.

Je n’ai rien répondu. Pendant un mois, nous ne nous sommes pratiquement pas parlé. Ses paroles m’avaient choqué. Je savais que j’aimais les hommes, et que ça ne changerait pas. Ce qu’il m’avait dit m’avait fait réagir : il voulait me faire changer, mais son ton, ses ordres, avaient l’effet inverse : je voulais m’assumer, et je voulais qu’il m’accepte tel que j’étais. Par moments, quand on me dit noir, je réponds blanc.

Quatre semaines après cet « entretien », mon père m’a à nouveau adressé la parole. Il est entré dans ma chambre, un mercredi soir, vers 22 heures :

— Alors ? T’en es où ?

— Papa, je dois être franc avec toi. Je suis comme je suis, j’aime les garçons, je le sais. Je ne peux pas changer ça. Je suis désolé si ça te fait de la peine.

Il m’a regardé d’un drôle d’air. Il n’avait plus un petit garçon apeuré face à lui, mais un petit mec qui voulait s’imposer. Son ton s’est fait plus doux.

— Et comment tu le sais ? Tu as déjà essayé ? Tu as déjà… couché avec un mec ?

— Non.

Il y a eu un silence. Il s’est redressé, son regard était à nouveau plus dur.

— Bon. Ok. Alors je sais comment te faire comprendre. Viens avec moi.

Il est sorti de ma chambre, je l’ai suivi. Qu’est-ce qu’il voulait ? Il a pris les clefs de la voiture, on est sorti de l’immeuble. Je me suis assis à côté de lui dans la voiture, on a roulé pendant un bon quart d’heure. Il a pris l’autoroute. On ne se parlait pas. Il s’est garé sur une aire de repos. Il n’y avait rien : quelques camions, une ou deux voitures, un petit bâtiment qui abritait les toilettes. Nous étions début juin, il faisait doux. Mon père est sorti de la voiture, a ouvert le coffre.

— Viens là.

Il m’a bandé les yeux avec un bout de tissu. Je ne comprenais rien. Je n’osais pas poser de question. C’était peut-être un exercice, un test, un jeu, je ne savais pas. Je n’étais pas vraiment inquiet, j’étais avec mon père, il ne pouvait rien m’arriver. Il m’a poussé en avant. J’ai marché, il me guidait en me poussant droit devant. J’ai soudain senti une odeur de pisse m’envahir les narines. On devait être dans les toilettes de l’aire. Mon père m’a poussé très brutalement, je suis tombé. Il m’a agrippé, a commencé à m’enlever ma chemise, j’ai crié et je me suis débattu. Il criait plus fort, tout en me tenant les poignets par une main :

— Ta gueule ! Arrête de bouger !

Il m’a giflé, tellement fort que j’étais à moitié sonné. Il m’a entièrement déshabillé, puis m’a traîné sur quelques mètres. Je sentais le froid du carrelage contre ma peau, et quelque chose d’aussi froid et dur m’a cogné la tête. En tâtonnant avec mes pieds, j’ai compris que j’étais dans une des cabines des toilettes. Avec un autre bout de tissu, mon père m’a attaché les mains à la poignée de la porte. Il m’a donné un coup de pied dans le ventre.

— Tu bouges pas. Tu vas comprendre ce que c’est, être un pédé.

J’ai entendu ses chaussures claquer contre le carrelage. Il s’éloignait. Il avait laissé la porte de la cabine ouverte. Je suis resté comme ça, un peu sonné, ne comprenant rien. Quel était le rapport entre être « pédé », comme il disait, et être attaché nu dans des toilettes publiques ? Ça me dépassait complètement. Je ne voyais rien. Je l’ai appelé, criant « Papa ! Papa ! », mais rien ne me répondait. J’ai finis par me taire, pensant que c’était ça ma punition, qu’il allait me laisser comme ça toute la nuit, que je n’avais qu’à attendre. J’ai essayé de me détacher, mais les nœuds était trop serrés.

Au bout d’un certain temps, peut-être dix minutes, peut-être une demi-heure, j’ai entendu des pas. J’ai appelé : « Papa ? » mais personne n’a répondu. Un bruit de fermeture éclair, un mec pissait quelque part, peut-être aux urinoirs. Le bruit s’est arrêté. Les pas se sont approchés. Je sentais une présence juste devant moi. J’avais peur. Je n’osais pas bouger, pas parler.

Le type est resté immobile quelques secondes, puis, soudain, j’ai senti un jet chaud sur mon corps. Le jet m’arrosait partout, sur les jambes, sur le torse, sur le visage. Quelques gouttes sur mes lèvres, une odeur spécifique : c’était de la pisse ! Ce mec était en train de me pisser dessus ! J’étais tellement abasourdi que je n’ai pas réagi. Ça a duré une trentaine de secondes. Il ne m’a pas touché, il se contentait de se vider la vessie sur mon corps. Et je le laissais faire. Parfois même, je passais ma langue sur mes lèvres pour avaler un peu de pisse. Je ne savais pas pourquoi je faisais ça, le goût n’était pas terrible, mais ça ne me déplaisait pas. Quand le jet s’est terminé, l’homme est parti, comme ça, sans un mot.

J’étais trempé, je puais la pisse, nu et offert à la vue de n’importe qui. Et ça m’excitait.

À suivre…

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Dimanche 5 août 7 05 /08 /Août 05:09

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Après avoir dit à mon père que j’étais gay, ce qu’il avait très mal pris, il m’avait attaché nu dans les toilettes d’une aire d’autoroute, les yeux bandés. Un mec m’avait pissé dessus, et ça m’avait plu.

J’ai attendu encore de longues minutes sans que rien ne se passe. Par terre, yeux bandés, trempé de pisse, mains attachées à la poignée de la porte par un tissu assez long pour me permettre de me déplacer dans la cabine des toilettes, mais trop court pour que je puisse m’éloigner.

Des pas se sont à nouveau approchés, se sont arrêtés pas loin de moi. Il y a eu un silence, une main s’est posée sur mon corps, m’a retourné, a caressé mon cul. Un bruit de fermeture éclair. J’ai senti la queue du mec contre mes fesses. Elle était molle, chaude. Il s’est frotté un peu contre moi. Le gars m’a encore retourné, vers lui cette fois. Sa queue s’est posée sur mon visage. J’ai automatiquement ouvert la bouche, et la bite est entrée entre mes lèvres. Elle avait commencé à durcir, j’ai sucé. C’était agréable, je la sentais gonfler entre mes joues, je suçais, sans réfléchir, sans me demander comment faire : c’était assez naturel.

Le type, qui était resté debout, a mis une main derrière ma tête, pour me donner le rythme. Il a commencé à baiser ma bouche, sa bite allait et venait jusqu’au fond de ma gorge, il devenait brutal. Sa queue me semblait énorme. Je n’avais pas de point de comparaison, mais je supposais qu’il était très bien monté parce que je m’étouffais, j’avais parfois des haut-le-cœur ; mais je tenais bon. Le mec gémissait, me donnait des baffes, parfois il sortait sa bite de ma bouche pour me gifler le visage avec sa queue. Il s’est mis à me parler, me traitant de salope, m’ordonnant de tirer la langue, d’ouvrir la bouche ; il maintenait sa queue enfoncée dans ma gorge, une main toujours derrière ma tête, pendant de longues secondes.

Puis il m’a ordonné : « Retourne-toi salope ! A quatre pattes ! ». J’ai obéi. Je savais ce qui m’attendait. J’avais peur, je me doutais que ça devait faire mal, mais j’en avais envie. Le type a craché sur la raie de mon cul, il a frotté sa queue raide sur mes fesses avant de positionner son gland à l’entrée de mon cul. Il a commencé à pousser. Du haut de mes 16 ans, encore tout vierge, j’étais très serré. J’ai tout de suite eu mal, j’ai crié. Le gars m’a frappé, me donnant des baffes, des fessées, m’ordonnant de fermer ma gueule. Il donnait de grands coups de bite pour la faire entrer entièrement ; de mon côté j’avais toujours mal mais je commençais à aimer ça. J’ai alors arrêté de crier pour commencer à gémir. Je ne savais pas très bien si je gémissais de douleur ou de plaisir, je crois que c’était les deux à la fois. En tout cas, le type semblait n’en avoir rien à foutre, et quand sa queue a été toute entière dans mon cul, il a aussitôt commencé des va et vient brutaux, la sortant presque entièrement pour me la remettre d’un coup au plus profond de moi, faisant claquer ses couilles contre mes fesses, râlant, haletant, me tenant fermement les hanches entre ses mains. Il continuait de temps en temps à me claquer le cul, ou à me donner des baffes, ou même à m’agripper par les cheveux pour me tirer la tête en arrière, ou au contraire pour la coller contre le sol plein de pisse. Il m’insultait toujours, me traitant de salope, de vide-couilles, de pute…

Je gémissais de plus en plus ; je me faisais défoncer par une vraie bête mais j’aimais ça. Ça n’a pas duré longtemps : au bout de deux ou trois minutes, il a crié de façon sauvage, j’ai senti sa bite gonfler encore et j’ai compris qu’il se vidait en moi. Il s’est calmé, il est resté dans mon cul quelques secondes. Je sentais son souffle sur ma nuque, je n’osais pas bouger. Il s’est ensuite retiré de mon cul, m’a attrapé la tête et m’a retourné vers lui pour m’enfoncer sa queue molle dans la bouche. Il a dit : « Lèche, nettoie-moi ça. ». J’ai léché, sucé, il y avait du sperme dessus, j’ai passé ma langue partout pour nettoyer son sexe. Son sperme avait un goût amer, un peu salé, c’était pas désagréable.

Il s’est levé, je le sentais toujours à côté de moi et j’ai entendu le bruit de son jet de pisse qui coulait dans la cuvette des toilettes. Quand il a eu fini de pisser, il a à nouveau fourré sa queue dans ma bouche. Je l’ai encore nettoyé, avalant les dernières petites gouttes de pisse. J’ai entendu le bruit de sa braguette qu’il refermait, il m’a craché dessus et est parti.

J’étais terriblement excité. Je venais de me faire baiser, par un mec que je n’avais même pas vu. Je ne savais rien de lui. Je n’avais même pas pu toucher son corps, à peine son jean quand je le suçais ; j’avais eu vaguement l’impression qu’il était plutôt costaud, et je n’en étais même pas sûr. Quel âge avait-il ? Est-ce qu’il était beau mec ? Ou très laid ? Gay ? Bi ? Peut-être même hétéro, avec juste une envie de se vider les couilles… Et le précédent, celui qui m’avait pissé dessus sans même me toucher ? Je ne savais rien de ces deux mecs, qui m’avaient soumis, humilié, et dont l’un avait été le premier à me baiser. Je ne savais qu’une chose : tout ça m’avait plu.

J’en étais là de mes réflexions, quand j’ai entendu des voix à l’extérieur :

— Hé Roger ! Je vais pisser, et on reprend la route ?

— Ok ! Grouille, on est pas rendu !

A nouveau, des pas. Une braguette qui s’ouvre, un jet de pisse, dans un urinoir probablement… La braguette qui se referme. Des pas… qui s’arrêtent brusquement. Un silence.

— Roger ! Viens voir ça !

— Quoi ? Putain magne, qu’on reparte !

— Viens, je te dis !

Le fameux Roger entre à son tour dans les toilettes.

— Oh putain, c’est quoi ça ?

— Je crois que c’est un petit pédé qui veut de la bite.

— Ben je vais lui en donner, moi ! Tu nous laisses ?

— Ok, tu me préviens quand t’as fini ?

— Ouais, ouais.

Le premier type sort. Roger s’approche de moi. Je ne le vois pas, évidemment, les yeux aveuglés par mon bandeau. Il me parle :

— Ben alors petit pédé, qu’est-ce que tu fous là ? T’as envie de te faire mettre ? Tu veux ma bite ?

Je fais « oui » de la tête. J’entends sa braguette s’ouvrir, il s’approche encore, j’ouvre la bouche. Il fout sa queue toute molle dans ma bouche. Elle pue, un mélange de pisse et de sueur, elle est courte et fine, je sens des tas de poils à la base. Mes deux mains sont toujours attachées l’une à l’autre par le tissu accroché à la poignée de porte, mais je les monte machinalement à ses couilles pour les caresser. Elles sont très poilues. Ses cuisses sont énormes ; je sens son gros ventre contre mon crâne. Sa queue durcit dans ma bouche, il place une main derrière ma tête pour m’imposer son rythme. Sa petite bite ne me donne pas de mal à la sucer, et très vite l’odeur et le goût dégueulasses disparaissent. Je pense alors que j’ai dû déjà avaler toutes les traces sales qui trainaient sur cette queue, et cette pensée me dégoûte et m’excite à la fois. Il ne dit rien, mais j’entends son souffle s’accélérer, et un liquide épais et chaud m’envahit la gorge. Il jouit dans ma bouche. J’avale tout, en le suçant toujours. Il débande, je lèche encore un peu mais il se retire déjà. Il s’éloigne. J’ai encore le goût de son sperme sur ma langue. J’espère que son ami viendra le remplacer.

Ça ne loupe pas : j’entends ses pas qui s’approchent. Il m’attrape par les cheveux, lève mon visage vers lui, enlève mon bandeau. Mes yeux mettent une ou deux secondes à s’habituer, je le distingue : il est grand, au moins 1m80, costaud, musclé sous son marcel, avec un peu de ventre. Il est assez poilu. Je lui donne une bonne quarantaine d’années, peut-être pas loin de 50. Il n’est pas moche, mais pas vraiment beau : son visage n’inspire pas confiance. Il sourit, d’un sourire cruel. Il se racle la gorge et me crache un gros mollard sur le visage, ça coule sur mes lèvres et dans mon cou. Il me parle :

— T’as l’air d’être une bonne salope toi ! T’as quel âge ?

— 16 ans.

— Qui est-ce qui t’a attaché là ?

— Mon père.

— Putain c’est une famille de pervers ça ! Tu te fais baiser par ton père ?

— Non.

— Alors pourquoi il t’a mis là ?

— Pour me punir d’être gay.

— Ah ouais ? Ben je vais te punir alors… Allez, ouvre la bouche, salope !

Je lui obéis, il sort sa queue, pas extrêmement longue, 16 ou 17 centimètres a priori, mais très épaisse, et déjà en érection. Il me la fourre direct dans la bouche, et je commence à le sucer. Mais il ne me laisse pas vraiment faire : il me donne des baffes, me tire les cheveux, me crache dessus, m’insulte, parfois il sort sa queue de ma bouche, me frappe avec… Je me fais malmener dans tous les sens et ça m’excite tellement que je gémis sans cesse. Il est lui aussi très excité, il me coince la tête contre le mur et me baise la bouche sans ménagement, enfonçant sa queue au plus profond de ma gorge ; j’en ai les larmes aux yeux, j’ai envie de vomir, j’étouffe, mais il s’en fout complètement.

Au bout d’un moment, il me lance :

— Allez, j’en ai marre de te niquer la gueule. Je vais m’occuper de ton cul.

Et il me donne un grand coup de pied qui me renverse. Je m’affale par terre. Il me redresse, me tenant entre ses bras, me fait mettre à quatre pattes. J’ai la tête pratiquement dans la cuvette des toilettes, une odeur épaisse de pisse m’envahit les narines. Il commence à me doigter le cul.

— T’es toute humide, la pute ! Tu t’es fait baiser ?

— Oui, tout à l’heure.

— Par qui ?

— Je ne sais pas, je ne l’ai pas vu.

— Un inconnu ? Il t’a bien rempli la chatte en tout cas. C’est bien, ça sera plus pratique pour te baiser.

Il positionne alors son gland contre mon trou et m’enfonce aussitôt sa queue toute entière dans le cul. Malgré ma baise de tout à l’heure, je suis toujours serré et j’ai très mal. Je hurle, alors il m’attrape par les cheveux et m’enfonce la tête dans la cuvette. J’ai le visage dans l’eau pisseuse, je ne peux plus respirer, et surtout je ne peux plus crier. J’essaie de me débattre, mais j’ai toujours les mains liées l’une à l’autre sous mon ventre, et le poids du mec sur mon corps : je suis incapable de lutter. Après quelques secondes, il me sort la tête de l’eau :

— Alors salope, t’as fini de gueuler ?

Je gémis douloureusement :

— Oui, oui !

Il commence alors à me pilonner, brutalement, faisant coulisser sa large queue dans mon trou, me frappant toujours les fesses, et m’insultant sans cesse. Je m’y habitue rapidement et je couine comme une femelle, cambrant naturellement mon cul pour mieux le lui offrir. Il m’a baisé comme ça pendant dix bonnes minutes, avant de se mettre à pousser de longs râles rauques en se vidant dans mes entrailles.

— Ah salope c’est bon ! T’as un bon cul, putain !

Il a retiré sa bite, l’a essuyée sur mes fesses.

— Comment tu t’appelles, la pute ?

— Luc.

— Ton père te fait souvent baiser comme ça ?

— C’est la première fois.

— Ok. Je vais te laisser un mot à lui donner. Je te préviens, si tu lui donnes pas et que je te retrouves, je te frappe ! C’est compris ?

— Oui. Je lui donnerai.

Il a rapidement écrit un petit mot sur un papier qu’il a sorti de sa poche. Il a posé le papier sur le réservoir de la chasse d’eau.

— Fous ta gueule dans la cuvette, en la tournant de profil vers moi.

J’ai obéis. Il m’a alors pissé sur la tête. Machinalement, j’ouvrais la bouche pour avaler un peu de sa pisse. Quand il a eu terminé de se vider la vessie, il a tiré la chasse, ma tête toujours dans la cuvette, me nettoyant au passage le visage et les cheveux.

Il est parti aussitôt, sans un mot de plus. Je me suis précipité sur le papier qu’il avait laissé : « Si t’as besoin de punir ton fils, je suis là. C’est une bonne pute et j’ai souvent besoin de me vider les couilles ». Et son numéro de portable qui suivait.

A suivre…

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Dimanche 5 août 7 05 /08 /Août 00:01

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Après avoir appris mon homosexualité, mon père a voulu me punir. Il m’a attaché nu dans des toilettes publiques, où plusieurs mecs ont abusé de moi. Voyant que cela ne suffisait pas à me détourner des hommes, mon père m’a livré à un routier qui m’a emmené dans son camion. Arrivés sur une aire d’autoroute, Georges, le routier, m’a passé une laisse autour du cou et m’a traîné dans les bois.

Georges marchait devant moi, la laisse à la main. Je le suivais, docile, la tête baissée pour voir où je posais les pieds : j’étais nu, je ne voulais pas me blesser sur une pierre ou un bout de bois. Je distinguais des silhouettes dans les bois, des ombres. Soudain, Georges s’est retourné vers moi.

— À genoux, la pute.

J’ai obéi. Georges a attaché ma laisse à la branche d’un arbre puis il s’est éloigné. J’ai attendu plusieurs minutes. Un homme est passé devant moi, une trentaine d’années, de taille moyenne, mince. Il m’a regardé, est parti, puis est revenu. Il a commencé à me tripoter. Georges ne m’avait pas donné d’indication, alors je l’ai laissé faire. Il m’a caressé le cul, puis il a sorti sa bite raide pour que je le suce. J’ai sucé, il ne disait rien, il me laissait faire. Il a fermé les yeux, j’ai pris appui sur ses cuisses pour mieux le pomper. Sa queue était très longue, moins épaisse que celle de Georges mais assez large tout de même. Rapidement, il a commencé à gémir, et soudain j’ai senti son sperme envahir ma bouche. J’ai gardé ce sperme sur ma langue tout en continuant à sucer jusqu’à ce qu’il débande complètement. J’ai avalé, je l’ai sucé encore pour tout nettoyer. Il a remballé sa queue, m’a donné une petite tape sur la tête, m’a souri et s’est barré.

Plus rien pendant quelques minutes encore. Georges est revenu, accompagné de deux types, deux rebeus assez jeunes, peut-être 20 ou 25 ans, en joggings et casquettes. Des racailles, quoi ! Georges me dit :

— T’as eu de la visite ?

— Oui. Un homme.

— Il t’a fait quoi ?

— Je l’ai sucé.

— C’est bien. T’as avalé ?

— Oui.

— Bien. Maintenant tu vas t’occuper de ces deux là.

Georges prend appui contre un arbre, pendant qu’un des deux jeunes mecs s’approche de moi. Je sens que j’ai déjà pris de l’assurance : j’ouvre la bouche, je sors ma langue, j’attends sa bite. Il la sort, elle est encore molle, il la fourre dans ma bouche. Elle est circoncise, ça me fait drôle, je n’en avais jamais vu. Je le suce, rapidement il bande, il est très bien monté. L’autre mec est resté en retrait, il fume une cigarette. Le mec que je suce me parle :

— Caresse-moi les couilles salope ! Vas-y, suce ! Suce ! C’est bien, t’es une bonne pute. Prends-la toute entière. Ouais… Putain de salope…

Ses mots m’excitent. Je me mets à le pomper comme une vraie petite pute soumise, j’ai un peu de mal parfois, il en a vraiment une très grosse. Parfois il me bloque la tête pour maintenir sa queue enfoncée dans ma gorge, mais ça aussi je commence à m’y habituer. Je reste calme, ça me permet de tenir un peu plus longtemps sans respirer. Il me frappe au visage, me tire les cheveux, il s’excite dans ma bouche. Fermement, il me retourne : je me retrouve à quatre pattes, le cul tendu vers lui. Il crache sur ma raie, passe un doigt :

— Tu t’es déjà bien fait niquer, salope !

Je sens alors son gland qui force le passage. Je suis surpris de constater que sa queue a du mal à me pénétrer : Georges m’a pris il y a à peine une demi heure, et sa queue est très large. J’avais imaginé que le suivant pourrait entrer en moi très facilement. Qu’à cela ne tienne, le mec force jusqu’à ce que son gland soit bien entré en moi, puis, progressivement, il me pénètre de toute la longueur de sa queue. Je gémis déjà, un peu de douleur et beaucoup de plaisir ; je regarde le deuxième jeune mec qui termine sa cigarette. J’ai très envie d’avoir sa queue dans ma bouche alors je passe ma langue sur mes lèvres en le regardant dans les yeux. Voyant cela, il vient vers moi, sors sa bite. Il bande déjà, voir son pote me baiser a dû l’exciter ! Sa queue est moins longue et moins large que celle de son pote. Il est circoncis, lui aussi.

Je me retrouve avec une bite dans la bouche et une autre dans le cul. Tous les deux me défoncent sauvagement, celui qui m’encule est très bavard, il m’insulte sans cesse, me frappe violemment les fesses ; l’autre se contente de me tenir la tête pour me forcer à prendre sa queue en fond de gorge, de temps en temps il la sort d’entre mes lèvres pour me gifler avec.

Celui qui m’encule finit par jouir en moi. Il se retire aussitôt et s’adresse à l’autre :

— Tu veux lui niquer le boule ?

— Ouais.

Ils échangent leurs places. Celui qui m’enculait vient me donner sa bite à lécher pendant que le deuxième me défonce d’un coup. Cette fois, aucune douleur. Je sens bien que je ne suis pas complètement ouvert, mais je n’ai pas mal. Je lèche soigneusement la bite du premier, son sperme a très bon goût. Je passe ma langue partout pour ne pas en perdre une goutte. Derrière moi, son pote jouit très rapidement, me remplissant lui aussi le cul. Mais lui ne vient pas se faire nettoyer la bite, il remballe très vite son engin et se casse aussitôt, suivi par l’autre.

Georges s’approche alors de moi :

— Alors petite pute, tu te sens comment ?

— Je me sens bien.

— Ah ouais ? T’as kiffé te faire mettre ?

— Oui. Et sucer aussi.

— T’es vraiment une salope, toi… Et ton père qui veut te faire changer… Je crois qu’il n’y a aucun espoir de ce côté-là ! Allez, viens.

Il reprend ma laisse en main et m’entraîne à sa suite. On se dirige à nouveau vers le parking de l’aire d’autoroute. En chemin, on croise un mec qui pisse contre un arbre. Il est en costume, il doit avoir une cinquantaine d’années, il a des cheveux gris. Il tourne la tête vers nous, il n’a pas l’air surpris et son jet s’arrête. Georges me dit :

— A genoux. La gueule en arrière, bouche ouverte.

J’obéis. Georges s’adresse alors au type :

— Si ça vous tente… Faut pas hésiter.

Le mec hésite quand même ; finalement il vient vers moi, dirige sa queue vers mon visage et se remet à pisser. Il vise bien : j’en prends plein dans ma bouche ouverte. Ça déborde, ça coule sur mon visage, dans mon cou, et sur tout mon corps. On dirait que le jet ne va jamais s’arrêter. Ça finit quand même par s’arrêter. Le type commence à remballer sa bite, mais Georges l’interrompt :

— Vous voulez pas qu’il vous suce ? Ou le baiser ?

— Heu non. Je suis pas attiré par les mecs, désolé.

— C’est pas un mec, c’est juste une pute. Et elle attends que ça.

— Il est trop jeune.

— Il a que 16 ans, mais c’est déjà une belle salope.

— Non, désolé. Mais merci quand même.

— Si vous voulez pas le toucher, vous pouvez juste vous branler et lui gicler dessus.

— Pourquoi pas… Mais il est d’accord ?

— Mais oui, il adore ça je vous dis. Et de toute façon, il est à mes ordres, il fait ce que je lui dis.

Ça semble exciter le gars qui commence à se caresser. Je reste à genoux, la bouche ouverte et la langue tendue. Il se branle devant moi, sa queue est à quelques centimètres de mon visage. Il s’arrête soudain :

— Retourne-toi, que je mate ton cul.

J’obéis. Il ne me touche toujours pas mais se masturbe toujours, à quelques centimètres de mes fesses maintenant. Le rythme de sa respiration s’accélère, et il jouit, déversant tout son sperme sur mon cul. C’est chaud, ça coule le long de ma raie. J’aime. Le type range sa bite, il a l’air honteux. Il doit regretter de s’être laissé tenter par un mec, de mon âge en plus. Georges vient à côté de moi :

— Tu vois, t’es un vrai vide-couilles maintenant. Quand tu croises un mec, ton job c’est de le vider. Tu sers qu’à ça. Je crois que tu changeras pas, ton père va être déçu. Mais tu vas faire le bonheur des hommes !

J’ai souri. Petit à petit, je prenais conscience de ce fait : j’aimais être à la disposition des hommes. Ce soir, j’avais été humilié, pris, baisé et jeté, j’avais eu la bouche et le cul rempli, et personne n’avait même eu l’idée de chercher à me donner du plaisir. Et ça m’avait plu.

Nous sommes retournés au parking. Georges m’a fait prendre une autre douche ; puis dans le camion j’ai dû à nouveau le sucer et avaler son sperme, puis nous avons roulé jusqu’à chez moi. Avant de me laisser, Georges m’a enculé et a jouit dans mon cul. Il m’a rendu mes vêtements et s’est gentiment assuré que j’étais bien rentré dans l’immeuble. Il m’a même fait un sourire.

A suivre...

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Samedi 4 août 6 04 /08 /Août 00:13

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Après avoir appris mon homosexualité, mon père a voulu me punir. Il m’a abandonné sur une aire d’autoroute, nu, où plusieurs hommes ont abusé de moi. Parmi ces hommes, Georges, un routier. Voyant que ma punition ne me faisait pas changer, mon père m’a livré à Georges qui m’a emmené un soir me faire baiser dans une forêt. J’y prends de plus en plus goût.

Je suis rentré chez moi à minuit passé. Mon père et mon frère étaient devant la télé. Mon frère m’a jeté un vague coup d’œil, mais mon père s’est levé et m’a aussitôt attrapé par le col de ma chemise.

— Alors ?

J’étais tétanisé. Pas par la violence de mon père, je commençais à avoir l’habitude. C’est la présence de mon frère qui me faisait peur. Devais-je tout raconter devant lui ? Mon père l’avait-il mis au courant ? Je décidais de ne pas employer de mot trop explicite.

— Georges m’a emmené avec lui. Il a fait ce que tu voulais. Et moi aussi.

— Ça t’a suffit ? T’es bien dégoûté maintenant ?

C’était incroyable ! Mon père espérait toujours que je deviendrais hétéro ! Je n’en croyais pas mes oreilles. Ça m’a tellement choqué que je me suis énervé, et je me suis mis à crier :

— Arrête avec ça ! Tu peux me torturer, me faire subir tout ce que tu voudras, ça ne changera rien ! Je suis comme ça, et tu n’y peux rien ! Et moi non plus, je n’y peux rien ! Je ne peux pas changer ! Et je ne veux pas changer !

— Je m’en doutais, sale bâtard !

Il m’a giflé. Ça aussi, je m’y habituais. Je n’ai même pas été étonné. Mais j’étais bien sonné ! Il frappait fort. Mon frère s’est levé brusquement, la scène avait dû finir par le choquer. Mais il n’est pas venu vers nous, il n’a pas cherché à me défendre. Il s’est contenté d’aller s’enfermer dans sa chambre. Mon père m’a lâché, je suis tombé par terre. Il m’a regardé, méprisant :

— Puisque tu veux pas changer, je te préviens : tu vas morfler. Je veux pas d’un fils pédé. Alors à partir de maintenant, je ne te considère plus comme mon fils. T’es juste un pédé. Je peux pas te foutre dehors, mais va falloir que tu payes pour ton loyer, pour ta bouffe, pour tes fringues. Pour tout. T’as compris ?

J’ai fait « oui » de la tête. Je n’avais pas compris, en réalité : comment voulait-il que je lui paie un loyer ? Ou même ma nourriture ou mes vêtements ou je ne sais quoi encore ? A 16 ans, on n’a pas de quoi payer tout ça ! Il est retourné s’installer devant la télé. Je suis allé dormir.

Le lendemain, je suis allé au lycée. J’étais distrait toute la journée. Dès que je voyais un homme, un prof, un élève, un surveillant, n’importe qui, je pensais à sa queue. J’avais envie d’aller demander : « Excusez-moi, vous n’auriez pas envie que je vous suce ? Ou que je vous donne mon cul ? ». Evidemment, je ne l’ai pas fait. Je savais que c’était trop risqué.

En sortant du lycée, alors que je rentrais chez moi, j’ai vu la voiture de mon père. Il m’attendait. Je suis monté, sans rien dire. Nous avons roulé en ville quelques minutes, puis nous nous sommes arrêtés devant une petite boutique sombre. La vitrine était noire, il n’y avait qu’une enseigne : « X Shop ». Nous sommes entrés, mon père a serré la main du type qui était à l’accueil.

— Hey salut ! lui a lancé ce type.

— Salut Xavier. Tu vas bien ?

— Ouais, et toi ? C’est lui ton fils ?

— Ouais. Qu’est-ce que t’en penses ?

— Bah tu sais, ici les clients ne sont pas difficiles, ils ont surtout envie de se vider les couilles en sortant du boulot. Mais il est jeune quand même. J’ai pas envie d’avoir des problèmes avec les flics.

— Ce sera pas la première fois que t’es en infraction avec la loi… Et les flics t’ont à la bonne, non ?

— Ils peuvent, avec les entrées gratuites que je leur file… Bon, OK, fais-le entrer. Mais je te fais confiance, hein ! Je veux mes 50% sur tout ce que tu te fais ! Pas d’arnaque !

— T’inquiète pas, tu les auras.

Mon père m’a poussé en avant. Nous avons descendu un petit escalier, qui donnait sur une grande salle sombre. Partout, des portes, des couloirs, et, sur les murs, quelques écrans qui diffusaient des films pornos hétéros. Mon père m’a poussé dans un coin sombre et m’a dit :

— Enlève tes fringues et attends-moi là.

J’ai obéi. Mon père a emporté mes vêtements et a remonté l’escalier. Je suis resté seul quelques minutes. Je ne comprenais pas exactement ce qui m’attendait, mais je sentais bien que j’allais me faire baiser. Et l’atmosphère qui régnait ici m’excitait beaucoup. Je voyais des hommes passer dans la grande salle ; eux ne me voyaient pas, j’étais dans un petit coin un peu caché.

Mon père est revenu. Il m’a fait enfiler une sorte de boxer ouvert sur les fesses (j’ai appris ensuite que c’était un « jock-strap ») et un t-shirt trop court, déchiré au niveau des seins. En passant devant un miroir, j’ai pensé que j’avais vraiment l’air d’une pute. Puis nous sommes allés nous promener dans les couloirs. Beaucoup d’hommes me regardaient, certains me mettaient des mains aux fesses. Je voyais des petites cabines, aux portes parfois fermées, parfois ouvertes, à l’intérieur, il y avait encore des écrans avec des films X, hétéros, et souvent un homme était dedans, en train de se masturber. En regardant mon père, j’ai vu qu’il tenait un billet froissé dans sa main. Un homme s’est adressé à lui :

— Tu le mets à dispo ?

— Ouais.

— Combien ?

— Ça dépend ce que tu veux. C’est 20 ou 50.

— Je veux le baiser.

— Alors c’est 50.

Le type a sorti des billets qu’il a filé à mon père. Celui-ci s’est alors tourné vers moi :

— Tu vas avec le monsieur, et tu lui obéis.

Le « monsieur » m’a fait entrer dans une des cabines. Il devait avoir 40 ou 45 ans, plutôt bel homme, assez grand. Il portait un costume qui lui donnait une allure très élégante. Il a approché son visage du mien, il m’a embrassé. C’était plutôt agréable. Il passait ses mains sur mon corps, pelotait mes fesses, me pinçait les tétons. Il devait se pencher pour m’embrasser, avec mes 1m65, il avait facilement 25 centimètres de plus que moi. Ses caresses se faisaient de plus en plus viriles, il promenait ses grandes mains partout sur mon corps, de mon côté j’ai passé mes bras autour de son cou, on s’embrassait toujours, il m’a soulevé, m’a plaqué contre le mur, j’ai croisé mes jambes autour de sa taille. Il caressait mes cuisses, a glissé un doigt entre mes fesses, a commencé à me doigter. Je gémissais. Je sentais sa queue raide sous son pantalon. Il m’a reposé, a appuyé sur mes épaules, je me suis retrouvé agenouillé, la tête au niveau de son entrejambes. Il a défait son pantalon et a sorti sa bite. Elle allait parfaitement avec son propriétaire : décidément, tout était grand chez lui ! J’ai léché son gland, je me demandais comment je ferais pour tout prendre dans ma petite bouche. Rien que son gland m’écartait les lèvres au maximum !

Il a posé ses mains sur ma tête, m’a guidé, m’a fait lécher ses grosses couilles, puis a fait entrer sa queue dans ma bouche. Il devait forcer pour la faire progresser, mais il y parvenait très bien. Je n’ai pas pu tout avaler, mais j’en avais plus de la moitié en bouche quand j’ai senti son gland dans le fond de ma gorge. Il a avancé un peu pour me plaquer la tête contre la paroi de la cabine, et s’est mis à me baiser la bouche. Je n’avais aucune marge de manœuvre, il faisait tout le travail.

J’aimais son attitude, à la fois autoritaire et tendre. Il ne ménageait pas ma bouche, mais ses mains me caressaient les cheveux, les joues ; il descendait parfois me pincer les tétons, sans pour autant me faire mal. Sa queue allait et venait entre mes lèvres et jusqu’au fond de ma gorge, je sentais ma salive couler sur mon menton. Il râlait doucement, moi je gémissais. Pourquoi je gémissais ? Je ne sais pas. Je ne peux pas dire qu’il me procurait physiquement du plaisir, mais j’étais bien. Je me sentais à ma place. Une queue dans la bouche, au fond d’une cabine sordide en sous-sol, avec un homme qui avait payé pour m’avoir. S’il savait que sans la présence de mon père, il n’aurait même pas eu à payer ! Il lui aurait suffit de m’aborder dans la rue pour que j’accepte de le sucer.

Je l’ai sucé très longtemps, parfois je sentais qu’il était sur le point de jouir mais il se retenait. Ça m’allait bien : j’avais envie que ça dure. J’avais surtout très envie de sa queue dans mon cul ! Ça n’a pas tardé, il m’a fait relever, m’a retourné. Aussitôt, j’ai appuyé mes mains contre la paroi de la cabine, j’ai cambré mon cul, écarté les cuisses. Il a eu l’air d’apprécier mon initiative :

— T’as l’air d’avoir l’habitude… Tu te fais souvent baiser ?

— Non, ça ne fait pas longtemps. Mais j’adore ça.

— T’as envie que je te défonce ?

— Oui, j’ai très envie de sentir votre queue en moi.

— Une vraie petite salope… Le mec qui te vend, c’est qui ? Ton copain ?

— Mon père.

— C’est un vrai pervers, ton père ! J’aimerais bien avoir un fils comme toi…

C’est là que j’ai vu, à sa main gauche, une alliance. Il était donc marié, probablement père de famille. Je sentais sa bite contre mes fesses, bien raide, toute chaude. J’avais hâte qu’il me la mette ! J’ai bougé mon cul pour tenter de la faire entrer, son gland était contre mon trou, mais il était trop gros pour entrer. Il s’est agenouillé derrière moi, j’ai senti sa langue sur mes fesses. Sensation nouvelle : il me léchait le cul. C’était très agréable. Sa langue humidifiait bien mon trou, elle me pénétrait, c’était délicieux, c’était doux. Je gémissais encore et encore. Il s’est relevé, sa queue est à nouveau venue contre mon cul, cette fois son gland est entré un peu, il a poussé pour entrer en moi. C’était difficile, j’étais toujours aussi serré mais sa salive aidait la progression. Il avait la tête penchée sur mon cou. Il me parlait :

— T’es tout serré… C’est chaud, ton cul est trop bon. Tu t’es déjà fait tirer aujourd’hui ?

— Non, pas encore.

— Ton père t’a pas niqué avant de venir ?

— Non, il n’aime pas ça.

— Tu le suces, au moins ?

— Non plus.

— Pourquoi il t’emmène ici alors ? C’est toi qui lui demandes ?

— Non. Il voulait me punir d’aimer les hommes, mais ça n’a pas marché.

— Il a tord… Une bonne salope comme toi, faut pas l’empêcher de suivre sa nature… Faut en profiter, au contraire.

Tout en me parlant, il continuait à faire entrer sa bite entre mes fesses. Quand j’ai senti ses couilles contre moi, j’ai commencé à faire bouger mon cul sur sa queue. Ça lui plaisait, il a alors suivi mon rythme, reculant quand j’avançais, avançant quand je reculais. De cette façon, les mouvements étaient amples, et je sentais sa bite toute entière qui me pénétrait jusqu’au plus profond de mon cul.

Il a très vite accéléré le rythme, s’est mis à me défoncer, en m’insultant et en me donnant de grandes claques sur les fesses. Ses couilles claquaient contre ma peau, ça faisait un bruit sec très excitant. Je gémissais de plus en plus, ça lui donnait encore plus d’énergie ; son souffle sur mon cou se faisait plus rapide ; parfois il me mordait ou tournait mon visage vers lui pour me cracher dessus.

Après une bonne dizaine de minutes de ce traitement, il s’est retiré ; d’une main il m’a fait agenouiller devant lui, j’ai levé la tête vers lui, la bouche ouverte, il tenait sa bite tendue et a éjaculé, déversant son sperme, très abondant, sur mon visage et ma langue. J’ai consciencieusement tout avalé, léchant mes lèvres pour en prendre le plus possible. Il souriait, il a passé son gland sur mon visage pour ramasser du sperme, qu’il me remettait en bouche. Je léchais ce gland baveux, couvert de foutre. Le goût du sperme me plaisait de plus en plus. Il s’est penché vers moi, a déposé un baiser sur mon front.

- J’espère qu’on se recroisera.

Il est sorti. Mon père est aussitôt entré dans la cabine.

- T’en as mis du temps ! J’ai d’autres clients pour toi. Viens.

J’ai suivi mon père. Il m’a fait sucer un vieux, qui devait bien avoir 70 ans. Il bandait mou, il était trop tendre pour m’exciter. Quand il a jouit, il y avait très peu de sperme. Je n’ai eu aucun mal à tout avaler. Juste après, un beur d’une trentaine d’années m’a enculé. Je ne l’ai même pas sucé, et il a jouit très vite en moi. Puis un type très gros s’est occupé de moi, il était vraiment laid, sa bite puait. Je l’ai sucé avec dégoût, j’avais hâte qu’il éjacule ou qu’il m’encule pour ne plus sentir l’odeur de sa queue. Mais ça a duré presque une demi-heure. Je me sentais très sale, mais j’étais toujours excité.

J’ai ensuite dû sucer deux autres hommes, que je n’ai pas bien vus : nous étions dans une petite salle sans lumière, au fond du couloir. J’ai avalé, évidemment. Après ça, mon père m’a fait remonter à l’accueil, je me suis rhabillé devant Xavier, le monsieur qui tenait la caisse, et nous sommes partis. Je sentais le sperme. Nous avons roulé jusqu’à chez nous.

En entrant dans l’immeuble, nous avons croisé des voisins, un père et son fils de 19 ans. Mon père s’est arrêté quelques minutes pour discuter avec eux. Ils me regardaient bizarrement, ils devaient bien sentir une drôle d’odeur sur moi. J’ai enfin pu prendre une douche. Je bandais à mort. Je me suis branlé en repensant aux événements de ces derniers jours. J’ai beaucoup jouit. J’avais déjà hâte de recommencer.

À suivre…

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Samedi 4 août 6 04 /08 /Août 00:00

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Après avoir appris mon homosexualité, mon père a voulu me punir. Il m’a attaché nu dans des toilettes publiques, où plusieurs mecs ont abusé de moi. Voyant que cela ne suffisait pas à me détourner des hommes, mon père m’a livré à un routier qui m’a emmené dans son camion. Arrivés sur une aire d’autoroute, Georges, le routier, m’a passé une laisse autour du cou et m’a traîné dans les bois.

Georges marchait devant moi, la laisse à la main. Je le suivais, docile, la tête baissée pour voir où je posais les pieds : j’étais nu, je ne voulais pas me blesser sur une pierre ou un bout de bois. Je distinguais des silhouettes dans les bois, des ombres. Soudain, Georges s’est retourné vers moi.

— À genoux, la pute.

J’ai obéi. Georges a attaché ma laisse à la branche d’un arbre puis il s’est éloigné. J’ai attendu plusieurs minutes. Un homme est passé devant moi, une trentaine d’années, de taille moyenne, mince. Il m’a regardé, est parti, puis est revenu. Il a commencé à me tripoter. Georges ne m’avait pas donné d’indication, alors je l’ai laissé faire. Il m’a caressé le cul, puis il a sorti sa bite raide pour que je le suce. J’ai sucé, il ne disait rien, il me laissait faire. Il a fermé les yeux, j’ai pris appui sur ses cuisses pour mieux le pomper. Sa queue était très longue, moins épaisse que celle de Georges mais assez large tout de même. Rapidement, il a commencé à gémir, et soudain j’ai senti son sperme envahir ma bouche. J’ai gardé ce sperme sur ma langue tout en continuant à sucer jusqu’à ce qu’il débande complètement. J’ai avalé, je l’ai sucé encore pour tout nettoyer. Il a remballé sa queue, m’a donné une petite tape sur la tête, m’a souri et s’est barré.

Plus rien pendant quelques minutes encore. Georges est revenu, accompagné de deux types, deux rebeus assez jeunes, peut-être 20 ou 25 ans, en joggings et casquettes. Des racailles, quoi ! Georges me dit :

— T’as eu de la visite ?

— Oui. Un homme.

— Il t’a fait quoi ?

— Je l’ai sucé.

— C’est bien. T’as avalé ?

— Oui.

— Bien. Maintenant tu vas t’occuper de ces deux là.

Georges prend appui contre un arbre, pendant qu’un des deux jeunes mecs s’approche de moi. Je sens que j’ai déjà pris de l’assurance : j’ouvre la bouche, je sors ma langue, j’attends sa bite. Il la sort, elle est encore molle, il la fourre dans ma bouche. Elle est circoncise, ça me fait drôle, je n’en avais jamais vu. Je le suce, rapidement il bande, il est très bien monté. L’autre mec est resté en retrait, il fume une cigarette. Le mec que je suce me parle :

— Caresse-moi les couilles salope ! Vas-y, suce ! Suce ! C’est bien, t’es une bonne pute. Prends-la toute entière. Ouais… Putain de salope…

Ses mots m’excitent. Je me mets à le pomper comme une vraie petite pute soumise, j’ai un peu de mal parfois, il en a vraiment une très grosse. Parfois il me bloque la tête pour maintenir sa queue enfoncée dans ma gorge, mais ça aussi je commence à m’y habituer. Je reste calme, ça me permet de tenir un peu plus longtemps sans respirer. Il me frappe au visage, me tire les cheveux, il s’excite dans ma bouche. Fermement, il me retourne : je me retrouve à quatre pattes, le cul tendu vers lui. Il crache sur ma raie, passe un doigt :

— Tu t’es déjà bien fait niquer, salope !

Je sens alors son gland qui force le passage. Je suis surpris de constater que sa queue a du mal à me pénétrer : Georges m’a pris il y a à peine une demi heure, et sa queue est très large. J’avais imaginé que le suivant pourrait entrer en moi très facilement. Qu’à cela ne tienne, le mec force jusqu’à ce que son gland soit bien entré en moi, puis, progressivement, il me pénètre de toute la longueur de sa queue. Je gémis déjà, un peu de douleur et beaucoup de plaisir ; je regarde le deuxième jeune mec qui termine sa cigarette. J’ai très envie d’avoir sa queue dans ma bouche alors je passe ma langue sur mes lèvres en le regardant dans les yeux. Voyant cela, il vient vers moi, sors sa bite. Il bande déjà, voir son pote me baiser a dû l’exciter ! Sa queue est moins longue et moins large que celle de son pote. Il est circoncis, lui aussi.

Je me retrouve avec une bite dans la bouche et une autre dans le cul. Tous les deux me défoncent sauvagement, celui qui m’encule est très bavard, il m’insulte sans cesse, me frappe violemment les fesses ; l’autre se contente de me tenir la tête pour me forcer à prendre sa queue en fond de gorge, de temps en temps il la sort d’entre mes lèvres pour me gifler avec.

Celui qui m’encule finit par jouir en moi. Il se retire aussitôt et s’adresse à l’autre :

— Tu veux lui niquer le boule ?

— Ouais.

Ils échangent leurs places. Celui qui m’enculait vient me donner sa bite à lécher pendant que le deuxième me défonce d’un coup. Cette fois, aucune douleur. Je sens bien que je ne suis pas complètement ouvert, mais je n’ai pas mal. Je lèche soigneusement la bite du premier, son sperme a très bon goût. Je passe ma langue partout pour ne pas en perdre une goutte. Derrière moi, son pote jouit très rapidement, me remplissant lui aussi le cul. Mais lui ne vient pas se faire nettoyer la bite, il remballe très vite son engin et se casse aussitôt, suivi par l’autre.

Georges s’approche alors de moi :

— Alors petite pute, tu te sens comment ?

— Je me sens bien.

— Ah ouais ? T’as kiffé te faire mettre ?

— Oui. Et sucer aussi.

— T’es vraiment une salope, toi… Et ton père qui veut te faire changer… Je crois qu’il n’y a aucun espoir de ce côté-là ! Allez, viens.

Il reprend ma laisse en main et m’entraîne à sa suite. On se dirige à nouveau vers le parking de l’aire d’autoroute. En chemin, on croise un mec qui pisse contre un arbre. Il est en costume, il doit avoir une cinquantaine d’années, il a des cheveux gris. Il tourne la tête vers nous, il n’a pas l’air surpris et son jet s’arrête. Georges me dit :

— A genoux. La gueule en arrière, bouche ouverte.

J’obéis. Georges s’adresse alors au type :

— Si ça vous tente… Faut pas hésiter.

Le mec hésite quand même ; finalement il vient vers moi, dirige sa queue vers mon visage et se remet à pisser. Il vise bien : j’en prends plein dans ma bouche ouverte. Ça déborde, ça coule sur mon visage, dans mon cou, et sur tout mon corps. On dirait que le jet ne va jamais s’arrêter. Ça finit quand même par s’arrêter. Le type commence à remballer sa bite, mais Georges l’interrompt :

— Vous voulez pas qu’il vous suce ? Ou le baiser ?

— Heu non. Je suis pas attiré par les mecs, désolé.

— C’est pas un mec, c’est juste une pute. Et elle attends que ça.

— Il est trop jeune.

— Il a que 16 ans, mais c’est déjà une belle salope.

— Non, désolé. Mais merci quand même.

— Si vous voulez pas le toucher, vous pouvez juste vous branler et lui gicler dessus.

— Pourquoi pas… Mais il est d’accord ?

— Mais oui, il adore ça je vous dis. Et de toute façon, il est à mes ordres, il fait ce que je lui dis.

Ça semble exciter le gars qui commence à se caresser. Je reste à genoux, la bouche ouverte et la langue tendue. Il se branle devant moi, sa queue est à quelques centimètres de mon visage. Il s’arrête soudain :

— Retourne-toi, que je mate ton cul.

J’obéis. Il ne me touche toujours pas mais se masturbe toujours, à quelques centimètres de mes fesses maintenant. Le rythme de sa respiration s’accélère, et il jouit, déversant tout son sperme sur mon cul. C’est chaud, ça coule le long de ma raie. J’aime. Le type range sa bite, il a l’air honteux. Il doit regretter de s’être laissé tenter par un mec, de mon âge en plus. Georges vient à côté de moi :

— Tu vois, t’es un vrai vide-couilles maintenant. Quand tu croises un mec, ton job c’est de le vider. Tu sers qu’à ça. Je crois que tu changeras pas, ton père va être déçu. Mais tu vas faire le bonheur des hommes !

J’ai souri. Petit à petit, je prenais conscience de ce fait : j’aimais être à la disposition des hommes. Ce soir, j’avais été humilié, pris, baisé et jeté, j’avais eu la bouche et le cul rempli, et personne n’avait même eu l’idée de chercher à me donner du plaisir. Et ça m’avait plu.

Nous sommes retournés au parking. Georges m’a fait prendre une autre douche ; puis dans le camion j’ai dû à nouveau le sucer et avaler son sperme, puis nous avons roulé jusqu’à chez moi. Avant de me laisser, Georges m’a enculé et a jouit dans mon cul. Il m’a rendu mes vêtements et s’est gentiment assuré que j’étais bien rentré dans l’immeuble. Il m’a même fait un sourire.

A suivre...

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