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fan de histoires de mec

Samedi 7 juillet 6 07 /07 /Juil 16:49

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Il est 2 heures du matin, je décide donc de me poser tranquillement sur le canapé avec une bière bien pénard. La mission de ma salope est de me faire jouir. Jamais un mec a réussi de ses mains ou de sa bouche à me faire juter. Alors on va voir si mon T. aura la mâchoire assez endurante pour me faire juter. Je suis posé et ma salope est à 4 pattes devant moi, il commence un bouffage de couilles en règle pour me redonner la gaule. Ce qu'il réussit à faire en quelques secondes, puis je lui colle ma queue dans la bouche...Je lui envoie quelques mollards parfois, pour bien l'encourager. Il mettra environ 30 minutes à me faire monter le jus ! J'imagine pas comme il a du souffrir, mais c'est le rôle des putes.

Et là, je sens que le jus commence à monter dans ma teub. Je lui hurle d'arrêter, je me mets debout, et commence à bien branler ma queue au dessus de sa langue tirée au maximum...Et dans un râle de plaisir, je lui lâche dix bons jets de foutre bien chaud dans sa face de connard...Je crois qu'il a tout bouffé, il s'est même léché le coin des lèvres. Je prends dans mes doigts le reste de foutre qui lui reste sur le visage et lui fait bouffer. Il avale tout ! C'est incroyable. Il est désormais 3 heures passées, faut qu'on dorme un peu. Que ma salope se repose avant demain ! Il ne sait pas encore ce que je lui ai réservé avant son départ à 9h46 mais je suis certain qu'il allait aimer ! Je le conduis donc dans ma chambre, on se mit sur le lit, je lui ai dit qu'il avait le droit de juter sur ma teub, il mit à peine 2 minutes à bander et à jouir ! Je lui ai alors dit que son oreiller était prêt, et qu'il devait biberonner toute la nuit. Il dormira ma teub dans sa bouche, et n'a plutôt pas intérêt à lâcher le morceau.

J'avais mis mon réveil à 7 heures du mat', ça fait peu de sommeil mais c'est pas grave. C'est pas tous les jours que je reçois T. quand même ! J'ai ris en me réveillant lorsque je retrouvai mon p'tit mâle avec son no-nos dans la bouche comme si sa vie en dépendait. J'ai adoré ! Le réveil l'a même pas éveillé, je décidai donc de choisir une solution un peu plus gore. Comme tous les matins, j'avais envie de pisser, et quoi de mieux que de pisser dans un chiottes ? C'est donc tout en douceur que je commençai à pisser et l'effet voulu fut immédiat ! Ma salope fut réveillée direct et faisait le dégouté à limite recraché ma pisse ! L'enculé ! Je me forçai donc à arrêter de pisser et de le foutre sur le dos ! Je plaçai ensuite ma queue dans sa bouche. « Je voulais juste te réveiller de manière originale, mais puisque tu as l'air de ne pas aimer ça, tu vas tout boire ce que je vais te donner ! » Il but toute ma pisse du matin, bien jaunâtre, bien puante. Après cela, on se lève tranquille. On a un rendez vous dans 30 minutes dans des chiottes publics, mais mon esclave ne le sait pas encore. Il pense juste qu'on va se balader avant son train. Il va pas être déçu !

Je lui roulais quelques pèles, puis on alla dans ma caisse et direction mes chiottes publics favoris ! Pourquoi favoris ? Parce que ce sont des chiottes plutôt immenses et qu'on peut fermer à clef. Vous imaginez pas le nombre de plans que j'ai fait dans ses chiottes, et le nombre de jeunes puceaux que j'ai fait hurler ! Cet endroit était à 5 minutes à pieds de la gare, on pose la caisse et on arrive à 8h30 dans les chiottes. Juste à l'heure que je leur avais dit de rappliquer ! Eux ? C'est 2 potes bon quetards, que je connais depuis plusieurs années. Le premier c'est un rebeu, avec une bonne queue bien large et surtout une putain d'odeur de couilles qui me fait monter aux rideaux à chaque fois. Le second, c'est un pote de baise régulier. Je leur ai dit que j'avais une pute à mes ordres, ils ont tout de suite dit O.K. Voilà le plan que j'avais imaginer : mes potes seraient là quand on arrive moi et ma pute, et là on se fait un putain de concours de mollards sur cette salope pour savoir qui l'enculera en premier. Le seul hic : il nous reste qu'une heure ! Alors faudra faire vite.

On arrive donc dans les chiottes, je ferme à clef, qu'on soient pas dérangés, je dis à mon petit bâtard de se positionner à torse poil à genoux contre le mur. On se place alors à environ 3 mètres de mon esclave ! Le jeu est simple : il ouvre grand la gueule et on crache un bon gros mollard à tour de rôle jusqu'à ce qu'un des mecs vise au fond de sa gorge. On commence donc, au bout d'une trentaine de mollards lâchés, c'est Karim qui lui vise au fond de sa gorge. C'est donc à lui que revient l'honneur d'enculer T. en premier. Il lui fait baisser son fût et commence à lui fourrer quelques doigts. Il lui bourre en même temps sa queue dans la gueule afin qu'il bande un max avant de l'enculer. De mon côté, je me fais bouffer la teub par Antoine parce que nous aussi on compte bien se farcir le cul de la pute ! On est dérangé par un bon gros couinement. C'était mon esclave qui se prenait les 20cm de Karim à sec. Il la sentait passé ! Mais je suis sûr qu'il adorait ça. On lui a ensuite rempli tous les trous, Antoine se faisait sucer par ce four à queue et il me suçait en même temps ! S'en est ensuite suivi une double pénétration sur cette salope qui couinait pire qu'une truie ! Ça ne dura pas très longtemps vu que sa bouche était remplie par la 3ème queue encore inoccupée. On changea une ou deux fois de rôles, que nous puissions gouter à tous les trous de cette salope ! On l'a ensuite noyé dans la jute ! Pour un baptême, c'était un baptême ! Il a tout avalé jusqu'à la dernière goutte...C'est limite si il en redemandait pas !

Après avoir remercié mes deux potes, on a pris la route de la gare, on arriva même sur les quais dix minutes à l'avance. C'est à cet instant que j'eus une idée ! Je pris mon T. par le bras et me dirigeai vers le hall afin d'acheter un billet de train pour le weekend end suivant. Sur un même format, de vendredi soir 20h33 au samedi matin 9h56. Sauf que cette fois ci, je monte de Besançon à Paris.

— Tu vois ma salope, c'est un billet pour Paris la semaine prochaine. Étant donné ton potentiel d'esclave, j'ai envie que tu me domines ! Tu auras environ 11 heures pour faire de moi ce que tu veux ! Compris ?

Et je lui collai une baffe dans la gueule. Il a juste approuvé de la tête mes paroles et me roula la plus grosse galoche du siècle.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Samedi 7 juillet 6 07 /07 /Juil 00:08

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Je vais vous raconter comment j'ai transformé mon meilleur ami soit-disant hétéro en vraie pute... Attention, cette histoire est rigoureusement vraie et j'invite ceux qu'elle aura fait bander à me contacter par e-mail et je leur prouverais par l'image la transformation de mon pote en salope...

Il a 27 ans, il s'appelle S... et je le connais depuis huit ans. Je me suis tout de suite intéressé à lui car c'est un beau mec, imberbe à l'allure de petite frappe, la peau douce, le corps lisse et finement musclé. Dès qu'on s'est rencontré, il s'est pris d'amitié pour moi et je ne lui ai pas caché que je le trouvais hyper-sympa mais qu'en plus il me faisait bander. Pendant 5 ans, je le voyais presque tous les jours mais il ne s'est jamais rien passé entre nous pourtant c'était pas faute d'essayer! Mais petit à petit je sentais chez lui une forme d'exhibitionnisme soumis, un plaisir à me montrer son corps de jeune voyou que je réussissais à le convaincre de poser pour moi, les premières fois à torse nu, puis complètement nu, il y a de ça environ 3 ans.

Plus je le connaissais plus je sentais en lui la salope inassouvie. Nous n'avions toujours pas de rapports sexuels mais je savais qu'il possédait en lui le désir de se soumettre à l'homme bien que ce soit un tombeur de gonzesses impressionnant. Peu à peu, je modifiais mon langage en lui parlant, le traitant souvent de salope qui allait se faire mettre un jour etc. et parallèlement, il acceptait de faire des photos de plus en plus osées, se coupant les poils de plus en plus courts à ma demande, puis se rasant entièrement cul compris... J'ai maintenant plus de 500 photos témoignant de la transformation d'un jeune hétéro en salope soumise aux mâles.

Et il y a environ 3 mois, je lui ai fait savoir en termes extrêmement crus que je n'allais pas lui demander son avis pour lui faire vivre son baptême de queues, qu'il était une salope qui m'excitait depuis 8 ans et qu'il allait me payer au centuple ma frustration. Ça le faisait rire, souvent il se caressait le cul en me disant: "T'aimerais bien me défoncer le trou, hein?" Et il éclatait de rire... Je lui dis alors: "OK un de ces jours je te fais ta fête à plusieurs, mais tu vas en baver salope!" Il m'a regardé, s'est massé la bite à travers le pantalon et m'a dit avec un grand sourire enjôleur: "Chiche!" Là j'ai su que j'avais quartier libre!

Il y a deux mois, l'heure de lui révéler son tempérament de salope soumise avait sonné. Nous avions loué un chalet à la montagne pour y passer une semaine de détente. Durant les semaines qui ont précédé ces vacances, j'ai fait la tournée des bars gays SM avec une photo de ma pute le cul bien rasé et exposé afin de recruter trois mecs qui auraient envie de se défouler une nuit entière sur lui. J'ai pas eu de peine à trouver, la simple vue d'une photo de mon pote excitant déjà au plus au point la plupart des mecs.

Les vacances venues, j'ai prétexté un rendez-vous afin que S monte seul au chalet. Il ne se doutait pas que le lendemain il ne serait plus qu'une chienne... qu'il rêvait d'être, je le savais! Le soir venu nous sommes partis à quatre dans ma voiture afin de rejoindre mon pote et de lui faire sa fête. Les mecs étaient hyper-excités, j'adorais ça. Nous sommes arrivés devant le chalet, je le voyais par la fenêtre...

Et voilà le récit de la nuit....

Je rentre, je t'entends qui monte les escaliers. "C'est qui ces mecs?" Je sens dans ton expression et le ton de ta question que t'as déjà compris! Ma réponse fuse: "C'est des potes à moi qui vont t'en faire baver un max. Hé petite pute tu croyais que je plaisantais ces derniers temps?" Je vois que t'as peur, ça m'excite. D'un seul coup, tu fonces au bas des escaliers. Un des mecs te poursuit, te saisit sans ménagement par les cheveux, tire en arrière, tu tombes à genoux. "Calme, petite pute, tu vas te faire du mal..."

Tu cries un peu, t'essayes de te débattre. J'adore t'entendre gémir, j'en rêve depuis si longtemps. Le mec qui te tient toujours solidement par les cheveux s'agenouille derrière toi, te passe la main sous le menton et te renverse la tête en arrière. "Viens là ma chienne montre ma ta gueule de salope de près." Il te renifle la nuque, te lèches les joues, te passe ses gros doigts sur tes lèvres pulpeuses de petite pute. Ça fait deux minutes qu'ils sont là et tu es déjà à notre merci, je bande comme un cerf.

Il se relève, te traîne par les cheveux au salon. Tu suis tant bien que mal à quatre pattes. Il te redresse contre une poutre du chalet, te forces à lever les bras et te menotte les poignets derrière la poutre. "D'abord on va te travailler ta gueule de slave." Il s'approche, d'une main saisit tes cheveux et de l'autre te pince les joues: "Vas-y ouvre, ouvre cette petite gueule." Tu fais signe que non de la tête. La baffe tombe instantanément. Je vois tes larmes gicler, ça me fait bander. Le mec se place derrière toi, te place un doigt dans chaque narine et tire vers le haut. "Alors cette gueule, tu vas l'ouvrir?" Tu gémis et petit à petit ta bouche s'ouvre... Un autre des mecs te rentre directement trois doigts au fond de la gorge, tu suffoques. Il t'attrape la langue et tire. Le troisième te saisit les deux oreilles et les tords d'un coup sec. Te voir te faire pareillement humilier et travailler la gueule me rend fou. Je bande comme un cerf. Un des mecs se tourne vers moi: "Il a déjà bouffé de la queue?" Je réponds par la négative. "Alors à toi l'honneur!" Je me fais pas prier.

T'es là offert, les oreilles tordues, la gueule grande ouverte. Je sors ma queue et je rentre d'un coup à l'intérieur jusqu'au fond. Tu suffoques. Ils te relâchent un peu et je commence à te limer la gueule à fond. "Enfin ma petite pute depuis le temps que j'attendais ça!" Je regarde tes yeux de chien mouillés par les larmes, je t'écrase ma bite au fond de la gorge, puis je la ressors, te saisis par les oreilles et te la frotte y compris les couilles partout sur ta gueule de salope. "Hein c'est ça que tu voulais, tiens profites!" Puis je bloque ta tête en te tenant par le menton et je te jute dessus un bon sperme bien épais partout sur tes yeux, ton menton, tes oreilles et même dans les cheveux. Je me retire. Je te regarde. Tu pleures doucement mais je vois une bosse sur ton jeans... Je savais que t'étais une chienne.

"Bon c'est pas tout ça, on a encore un sacré boulot pour transformer cette pute en vraie carpette." Les trois mecs s'avancent vers toi. Ils ont leur engin dehors et te giflent la gueule avec, te la passent dans les cheveux, tentent de se mettre à deux dans ta bouche, bref ils te baisent la gueule à fond comme un cul. "Dis que t'es une pute!" L'un t'as saisi par les cheveux "Allez! Dis à voix haute que tu es une pute!" Je vois dans tes yeux que tu voudrais résister mais.. Il te tient toujours les cheveux, tu es toujours à genoux, les mains au-dessus de la tête, les poignets menottés derrière la tête, ton torse offert. D'un seul coup il t'arrache le t-shirt, ton splendide poitrail apparaît, lisse, finement musclé, superbe (vous en aurez la preuve en photo). Il pousse un sifflement d'admiration. "Putain quel beau poitrail de slave." Un autre s'approche, te saisit les deux pecs à pleines mains et les tords d'un coup. Tu hurles. L'autre continue: "Dis que t'es une pute!" Du coup l'autre te saisit le bout des seins, les allongent indéfiniment puis les fait rouler sous ses doigts. On entend un faible: "J'suis une pute." "Plus fort!" Une baffe part et la tu hurles: "Je suis une pute!" Je vois ton renflement gonfler d'un coup. Enfin tu l'as sorti. Tu reconnais ta condition et ça te fait bander. "OK salope, alors on va te montrer comment on traite les putes..."

Je me recule, je te regarde les seins déjà rougis par le bref traitement qui leur a été administré, le visage gluant de mon sperme encore frais, t'es beau! "Ok on va tout de suite le mater pour qu'il sache bien où est sa place." Je regarde la scène, m'abstenant d'intervenir. Les trois mecs se déshabillent complètement, ils bandent tous à mort. Eux ils ne me font pas triquer, mais le fait qu'ils en veuillent à ma pute me rend dingue! Ils s'approchent de toi, toujours à torse nu et t'enlèvent les menottes. Tu tentes de te relever mais un balayage de jambes te fait rouler sur le tapis et là, ils se jettent sur toi. T'es plus qu'un bout de viande qu'ils se disputent. L'un te force à te mettre sur le dos, te saisit la gueule et te pose méthodiquement son gros cul sur ta petite gueule tout en immobilisant tes épaules en posant ses genoux sur chacune d'elles. Je me dis que tu as vraiment la bouche dans un cul, je t'entends gémir.

Pendant ce temps, les deux autres te saisissent chacun une jambe afin de t'empêcher de gigoter. Tu es complètement immobilisé. "Hé! À toi l'honneur de nous faire découvrir la bite de ta chienne." Je m'avance, prends mon temps, m'agenouille et entreprends te déboucler ta ceinture puis un à un les boutons de ton 501 sautent. Tu gémis plus fort, tentes de bouger, tu sais que tu es bientôt définitivement offert. Ton short apparaît et d'un seul coup j'empoigne le jeans et les shorts et les descends jusqu'au genoux. Ta bite que je connais, gicle, mate, pas spécialement grosse mais si douce et prête à être durement maltraitée. Tu bandes à moitié. Les trois autres se ruent dessus, l'attrapent, la tordent, la tirent, celui qui est sur ta gueule transpire à grosses gouttes, te tirent les couilles jusqu'au milieu du ventre "Alors salope, c'est quoi ces poils, comment tu oses?" C'est vrai que tu es imberbe sur tout le corps mais tu as une bonne toison quand même.

Il s'excite, te frotte son cul de plus en plus fort sur la gueule, ton corps musclé s'agite de plus en plus pour tenter de se dégager. "Ok M, tire lui la bite au max vers le bas, on va lui montrer ce qu'on fait des poils des slaves!" Le mec se fait pas prier t'attrapes la bite et la tire à te l'arracher en direction des genoux. Ta toison pubienne est complètement dégagée. Celui qui est sur toi l'empoigne de son énorme main et, j'en crois pas mes yeux, te l'arrache à la force du poignet. Tu pousses un hurlement de douleur, ton corps se cambre et en trois secondes ton sexe a perdu les trois quarts de ses poils. Mais ta bite d'un coup durcit, je comprends qu'on est toujours sur le bon chemin.

Celui qui est sur ta gueule se relève, tes poils dans la main, t'empoigne la gueule et te force à ouvrir ta bouche de pute en serrant un max chaque mâchoire. D'un coup il enfouit ta propre touffe de poils dans le fond de ta gorge: "Tiens! Avale! Mange ça salope, ç'est les derniers poils de ta vie..." Tu te débats, suffoques, mais je te vois péniblement déglutir. Pendant ce temps, les deux autres t'ont retiré complètement ton pantalon, et entreprennent de terminer le travail en arrachant les poils restant touffes par touffes tout en te fessant vigoureusement tes petites fesses de pute qui elles n'ont pas un poil. Tu bandes de plus en plus fort, ça me rassure...

L'histoire de cette nuit est encore longue, si elle vous plaît, je vous invite à me contacter et je vous prouverais par des photos bandantes et sans équivoque que cette jeune salope existe vraiment. Et croyez moi vous ne serez pas décus car ce mec fait bander un max de monde.

Je tiens à préciser que nous avons une complicité de tous les instants et que la nuit que je vous raconte n'était destinée qu'à lui révéler à lui-même ce que j'avais perçu depuis longtemps. J'avais mis des règles extrêmement précises pour le déroulement de la soirée et si j'avais le moindre doute je stoppais tout. Je respecte et j'aime trop ce mec pour risquer de lui faire du mal. Mais depuis deux mois nous vivons un vrai rêve me prouvant que je me suis pas trompé. C'est un effet un vrai slave!

Je continuerais mon récit prochainement.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 1 commentaires
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Vendredi 6 juillet 5 06 /07 /Juil 23:50

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Là, ça devient du sérieux, je vois que tu commences à vraiment t'énerver, tu mords les doigts du mec qui t'enfourne tes poils dans la gueule. T'aurais jamais dû... Il voit rouge, t'attrape solidement par les cheveux et t'envoie deux baffes en croix: "Sale petite pute, je vais te mater!" Il te retourne comme une crêpe, te mets sur le ventre. Tu es maintenant complètement nu excepté une paire de chaussettes qui te donne un air encore plus humilié. Chacun t'attrape un bras et te le remonte sèchement dans le dos. M dit au troisième: "Attrape-lui sa petite bite de puceau par derrière et tords-la de toutes tes forces, on va lui montrer à cette salope!" Il glisse sa main sous ton ventre et sans ménagement fait apparaître ta bite entre tes fesses et il t'empoigne le paquet entier quasi-imberbe maintenant et tord comme un salaud. Tu hurles, ça devient violet. Je bande!

Et pendant ce temps les deux autres te remontent lentement les bras dans le dos. Je vois ton corps musclé qui se cambre sous la douleur. M te tient fermement par la nuque de sa main droite, tu as le visage aplati contre terre, je me déplace pour ne rien perdre du masque de ta souffrance. Il te crache sur les joues et étale sa salive avec sa pine. "Alors tu demandes pardon petite lope?" Celui qui te tire la bite entreprend de te baffer les fesses et tape de plus en plus fort. "Alors?" Ils remontent encore un peu tes bras le long de ton dos. Là, tu t'effondres en pleurs. M a pratiquement sa main entière à l'intérieur de ta bouche. J'ai jamais vu un mec humilié comme ça... Il ressort sa main. "Ok maintenant tu dis que tu es notre chienne qui demande pardon d'avoir mordu un de ses maîtres et qui veut se faire utiliser comme un tas de viande." Je me dis que c'est pas gagné d'avance mais deux trois torsions de poignets et de bites plus tard, tu prononces la phrase à la virgule près.

"Ok on va le préparer pour bien le travailler." Ils te remettent les menottes dans le dos et me demandent ou se trouve la salle de bain. Je le leur indique. M t'empoigne par les cheveux et te tire: "Rampe salope, on va te nettoyer jusqu'à ton dernier poil!" Tu rampes, les mains dans le dos, en te poussant avec les pieds, la gueule raclant le sol. L'un des deux autres te fouette tes petites fesses de salope avec sa ceinture. Tu gémis à chaque coup mais tu continues d'avancer.

On est dans la salle de bain. On t'enlève les menottes. Tu essayes de te redresser. Un des mecs te saisit par la taille, te soulève du sol et te bascule dans la baignoire. On t'enlève tes chaussettes, ton dernier habit. "Sur le dos pute!" Tu tentes de ressortir de la baignoire. "Ok salope, on va encore devoir t'apprendre à vivre." M s'installe à son tour dans la baignoire, te retourne sans ménagement sur le dos, le deuxième te saisit les poignets et te tire les bras en arrière de toutes ses forces. M est à califourchon sur ton torse. "Passe moi le pommeau de touche!" Je le lui tends, curieux de l'usage qu'il va en faire. "Ouvre la bouche espèce de pute!" Tu tentes de résister, il force le passage, t'as le pommeau en entier dans la gueule. "Vas-y ouvre!" Le troisième tourne brusquement le robinet d'eau froide. Ton corps se tend, tu suffoques. Je me dis qu'ils exagèrent mais de te voir paniquer me fait encore plus bander.

M rentre et sort le pommeau de ta bouche, tu te tords pour tenter d'éviter les flots d'eau qui te remplissent la gueule. Maintenant, il te douche le visage, les cheveux, la gueule, le nez, dans les oreilles tout en te pétrissant la gueule. "On va la rendre bien docile cette petite chienne." Le troisième t'a à nouveau saisi la bite et la tord à nouveau conmme un malade. Tu hurles comme un putois. On arrête l'eau. T'es trempé. "Ok rasage!"

On te tire hors du bain, je sens ton corps plus docile, je me dis que le dressage commence à se faire sentir. On te couche à même le carrelage. M pose encore une fois son gros cul sur ta gueule, tu essaies de détourner la tête mais il te la replace, de manière à ce que tu aies vraiment la bouche collée à son anus. Je trique comme une bête de me dire qu'il y à encore quelques heures, tu n'avais jamais eu le moindre contact avec un mec et que là tu as ta petite gueule de pute écrasée par un cul de mâle prêt à te transformer en chair à pâtée. Je veux finir ton épilation moi-même, j'en ai tellement rêvé.

Je t'étales un peu de crème sur le pubis, les couilles et dans ta raie. Tu n'as déjà presque plus de poils, arrachés il y a quelques minutes. Je prends mon temps, cours sur ton pubis avec le rasoir, ta peau lisse, blanche et douce apparaît dans toute sa splendeur. Je tire bien sur tes couilles pour ne pas te blesser et pour ne pas laisser le moindre poil. "Ok le cul maintenant." M qui est toujours sur ta gueule, face à ta bite, s'excite un max, t'empoigne le paquet et le remonte d'un coup sec en direction du nombril. Il se frotte la raie sur ta gueule à s'irriter le cul. Les deux autres t'empoignent chacun une jambe et les remontent également en direction de la tête. Ton trou du cul apparaît, splendide, offert comme je le rêve depuis des années.

Je ne peux m'empêcher de te fesser vigoureusement avant d'entamer le rasage de ton trou puis je me mets au travail, je t'entends hurler de douleur car M te tire sur la bite à te l'arracher. Nous sommes les quatre chauds comme des bêtes à te voir ainsi maltraité et impudiquement offert. Je termine le boulot. "Voilà la salope est prête, on peut commencer le boulot." M se soulève de ta gueule, se retourne, te tords les oreilles et gueule. "Vas-y, ouvre espèce de grosse pute, avale ma queue, lèche!" Il est comme fou, il t'enfourne sa grosse queue dans la bouche, te défonce complètement la gueule, tu es prêt de vomir, ta bouche fait un bruit de cul, tu es rouge, les larmes giclent. Je n'en perds pas une miette.

Pendant ce temps les deux autres s'acharnent sur ton corps maintenant lisse. Ils te tordent les seins, te pincent ton pubis tout blanc et tordent la peau jusqu'au rouge écarlate, ils te frappent le torse, le ventre. Tu tentes de bander les muscles pour atténuer les coups. M te défonce toujours la gueule. Ils hurlent. "T'es bonne salope, t'es fait pour ça, t'es de la viande à mâle, sale pute!" Moi je regarde, je laisse faire, je sais que tu te soumets peu à peu, résigné à ta condition de slave. M te ravage maintenant le visage avec sa bite. L'un t'a soulevé les fesses et l'autre entreprend de te mordre l'anus, Tu hurles de plus en plus fort, les coups pleuvent. Les deux te bouffent littéralement le cul, mordant à pleines dents dans tes fesses, tes couilles, ta bite et ton pubis. J'entends M râler de satisfaction. "Tiens, prends pute!" Je regarde. Ton beau visage est inondé de sperme épais, il te l'étale sur toute la surface de ta gueule, introduit ses gros doigts dans ta bouche pour te le faire avaler.

Pendant ce temps, les deux autres deviennent fous sur ton cul. Ils tirent sur tes fesses pour te dégager le trou "Regarde cette pute le trou serré qu'il a, on va le travailler et lui éclater son fion, en faire un vrai trou à bites!" M s'est relevé, tu fais mine de tenter de te relever également, il t'administre deux gifles en croix. "À terre salope!" Ton regard a changé, la soumission s'installe peu à peu. Les deux autres se branlent frénétiquement sur ton corps musclé. L'un jute sur ton poitrail, étale son sperme et l'autre vient par grandes giclées sur ta bite lisse et blanche de jeune salope. On se redresse, on te regarde couvert de sperme, tu pleures doucement, on rigole...

"Ok maintenant on va lui ouvrir le cul jusqu'à ce qu'il ait une chatte à la place du trou! Tu veux te relever?" M t'écrase ses docs sur la gueule. "Calme ma chienne, calme..."

La suite bientôt...

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Vendredi 6 juillet 5 06 /07 /Juil 23:32

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M te retourne sèchement sur le ventre et te remets les menottes. Il s'adresse à moi: "Trouve-moi un bon lit où on peut attacher solidement cette pute pour lui éclater tranquillement le cul." Je l'emmène dans une des chambres du chalet dotée d'un lit en fer à barreaux de 1m60 sur 2. Il te porte nu sur son épaule comme un vulgaire bétail de boucherie, un des deux autres ne peut s'empêcher de te tirer les cheveux et de te mettre les doigts dans la bouche pendant qu'on monte l'escalier. Il te lâche sur le lit comme un sac. "Parfait, on va pouvoir faire ça dans les règles de l'art!" dit M. Je me réjouis de connaître "ses" règles de l'art!

Il me demande d'aller chercher tes Docs et une paire de chaussette. Quand je reviens tu as un superbe collier de chien bien large autour du cou. Il me demande de t'enfiler les chaussettes et les Docs. Tu te débats un peu. L'un des deux autres se jette sur ta pine, te la tords à te l'arracher. Tu hurles de douleur. "Tu vas définitivement te calmer sale pute sinon on va réellement devoir te corriger." Tu sanglotes, la bite distendue mais tu ne bouges plus. Je t'enfile tes chaussures. "Voilà regardez moi cette graine de lope, le vrai look de salope qu'elle se trimbale." C'est vrai que tu es superbement bandant avec ton collier et tes chaussures. Par ces simples accessoires, tout ton corps musclé est mis en valeur et ta bite douce et rasée paraît prête aux pires maltraitances.

M t'enlève à nouveau les menottes. "Ok descends du lit, fous-toi à quatre pattes et montre-nous bien ton cul salope!" Tu ne bouges pas. M pète les plombs, il t'attrape par les deux oreilles, te tire au bas du lit, te fait rouler sur le sol. "À partir de maintenant tu es une larve qui obéit chaque fois que moi ou ton copain te donnont un ordre, c'est clair salope?" Tu réponds "oui" dans un hoquet. "Je vais te corriger pour te montrer que je ne plaisante pas." J'ai un peu peur qu'il te fasse trop mal mais je laisse faire, curieux.

Il te met sur le ventre, demande à un de ses potes de s'asseoir sur ton dos pour bien te plaquer à terre, les mains ramenées dans le dos, il nous demande de prendre chacun une de tes jambes et de les écarter. Tu es maintenant complétement immobilisé face contre terre, écartelé. Il glisse une main sous ton ventre et ramène ta bite et tes couilles entre tes fesses. Puis debout, il entreprend de t'écraser lentement, méthodiquement, la bite sous ses Docs. "Alors petite pute tu comprends qui est le maître?" Tu hurles de douleur. J'ai honte mais je bande de te voir ainsi supplicié. Il fait maintenant rouler ta queue sous ses chaussures en te traitant de chienne, de larve, de lope enfin tout ce qui lui passe par la tête. Puis il commence à t'écraser tout le paquet y compris les couilles. Tu couines comme un cochon qu'on égorge. Là pour la première fois, je lui fais signe de retirer son pied, je ne veux pas que tu t'évanouisses. Il le fait sans discussion. "T'es une carpette, mon essuie-pompes, salope!" Il s'essuie frénétiquement ses grosses chaussures sur tes fesses, si belles, si douces qui rougissent du traitement infligé.

"Ok slave, maintenant tu te mets à quatre pattes et tu cambres bien ton cul de chienne qu'on voie ton trou." On se retire. Lentement tu te mets à quatre pattes en pleurant. M te met une monstrueuse claque sur les fesses. "Cambre pute, écarte mieux!" Fasciné je te vois peu à peu cambrer le cul et écarter les jambes au maximum. Tu deviens une lope, j'adore... "Vas-y écarte tes fesses de larve avec les mains qu'on voie bien ton trou du cul." Tu t'exécutes sans broncher. M se déchaîne: "Maintenant dis que t'es qu'une salope qui veut qu'on lui travaille le cul à le faire péter!" Rien ne sort... Il se met devant toi, te relève brusquement la tête, t'empoigne par la machoîre t'envoies une baffe et te craches en plein milieu de la gueule. "Dis-le petite pute!" Il étale sa salive sur ta gueule, dans les cheveux. Il t'empoigne à nouveau les oreilles, tord, tord... "Alors?" Tu hurles: "Je suis une salope qui veut se faire travailler le cul à le faire péter!" "Eh bien voilà, tu vois quand tu y mets du tien, tout va bien!" dit M visiblement pas peu fier du travail déjà accompli... "Ok les mecs, on lui défonce le cul."

Il t'as déjà empoigné et lancé sur le lit: "Tenez-le pendant que je sors le matos..." On t'immobilise sur le lit. Il ouvre un grand sac et en sort de longs bouts de tissus. "On va le mettre en position pour lui écarteler le cul tranquillement." On t'attrape un bras et t'attache solidement le poignet à un des barreaux tout à l'extrémité gauche du lit puis le deuxième à l'extrémité droite. Puis on te noue un gros bout de tissu à chaque tibia et te ramène les jambes au maximum par dessus ton torse et les attache également à chaque exrémité, gauche et droite, du lit à hauteur des poignets.

Je me recule, la vision est spendide, on ne voit que tes fesses écartées et ton petit trou tout lisse au milieu prêt à se faire ouvrir... "Bon on va lui passer l'envie de bouger pendant qu'on le travaille." M t'a empoigné la bite et décalotté le gland qu'il attache méticuleusement avec un tissu très fin puis noue l'autre extrémité à la barre centrale au haut du lit lit en ayant bien pris soin de tirer sur ta bite au maximum. Tu hurles, il t'envoie une claque monumentale sur les fesses: "Ta gueule, pute!" Puis il prend ta couille gauche, l'attache également et fixe l'autre bout sur la barre du côté gauche du lit. Il fait pareil avec la droite de l'autre côté. Tu pleures comme un enfant. Tu as maintenant le sexe étiré vers trois directions et toujours ce cul prêt à l'emploi.

"D'abord on va chauffer tranquillement le cul de cette salope." M extrait de son sac un fouet composé de trois lanières en cuir. Et donne un premier coup. Tu hurles de douleur doublement torturé par les coups du fouet et les lanières qui distendent ta bite et tes couilles au moindre petit mouvement. T'es transformé en morceau de viande qui parle! M fouette maintenant vigoureusement tes petites fesses qui rougissent peu à peu. Il veut te soumettre complètement et te casser psychologiquement. "Dis que t'es un trou à bite!" Tu répètes maintenant mot à mot toutes les phrases qu'il t'ordonne de dire. "Sac à merde, vas-y, dis que t'es un sac à merde!" Tu hurles les phrases ordonnées. Je bande comme un taureau. "Supplie-nous de te défoncer le cul..." Tu nous supplies...

C'en est trop, je vais jouir... Je m'approche de ton visage ravagé par la souffrance, me place derrière toi à la tête du lit et lâche de longs jets de sperme sur ta petite gueule de slave soumis. Que c'est bon... J'étale le sperme sur ta bouche et tes yeux. "OK!" dit M, "je vais vous ouvrir le cul de cette pute en un temps record!"

Tu as le cul rouge vif à la limite du saignement. Je vois M qui sort de son sac du gel et une paire de gants de chirurgien. Je me dis que t'es plus vierge pour longtemps...

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Vendredi 6 juillet 5 06 /07 /Juil 23:09

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Il enfile les gants, étale un peu de gel sur les doigts et s'approche de ton cul. "Je vais transformer ce trou de femelle en bonne chatte bien ouverte". Il te caresse le trou avec les doigts, je vois dans tes yeux que t'attends la pénétration comme un chien attend sa correction. Il longe le bord de ton trou encore serré et d'un coup t'enfile un doigt directement au fond du cul. Tu tressautes. "Elle est bien chaude cette chienne, bien serrée, faut la travailler en profondeur!"

Déjà il introduit un deuxième doigt, puis directement un troisième. Là, tu hurles de douleur. "Ta gueule salope, t'es né pour te faire éclater le cul!" M s'excite comme un fou, il remue ses doigts à l'intérieur de ton petit cul rasé, tes couilles et ta bite distendus par les liens sont violets. Tu hurles.

Un des deux autres s'approche de ta gueule de slave, t'empoigne les cheveux: "Dis que t'aimes ça chienne, dis que t'en veux plus!" Tu hurles: "Non je vous en supplie, relachez-moi..." C'est trop bandant de t'entendre gémir et supplier. Pour toute réponse, M enfile un quatrième doigt en forçant comme un malade: "Regarde-moi c'te pute, en deux minutes je lui élargis déjà le trou." Il te travaille à mort. Tu te tortilles mais les liens qui retiennent tes organes génitaux font leur boulot et te lacèrent le sexe. Celui qui te tire les cheveux t'enfonce ses doigts dans la bouche, tu suffoques et les larmes giclent. Le troisième te pince et te gifle les seins et moi, je regarde ce spectacle où tu ressembles à un agneau lentement mis à mort...

M se redresse: "Bon Je vais définitivement dépuceler cette larve! Je te jure que cette pute va s'en souvenir toute sa vie..." Il nous fait signe de venir vers lui: "Allons boire une bière." Nous sortons de la chambre, te laissant le cul en l'air, le trou exposé et le sexe distendu et violet.

M me dit que c'est le meilleur batard qu'il aie jamais vu. Il me dit qu'il sent extrêmement bien ces choses là et qu'il est sûr qu'on peut t'emmener très loin. Il me propose de te dépuceler de manière très brutale afin de te casser physiquement et psychologiquement: "Tu verras après ça, on va pouvoir jouer avec cette petite pute comme t'aurais même pas imaginé le faire!" Je m'inquiète de savoir si physiquement c'est pas dangereux... il me dit que l'homme en général est hyper résistant et que ma pute est un vrai morceau de viande bien musclé et que t'as l'air d'avoir le paquet très solide.

On remonte à l'étage, tu pleures doucement. Je vois dans tes yeux que tu sais que tu vas y passer mais quelque part, tu sais qu'il le faut pour devenir la lope que tu as toujours été au fond de toi.

M donne ses ordres: "Ok toi à gauche, toi à droite et toi assis sur sa gueule de naze." Chacun se positionne, je m'assieds bien à plat sur ta gueule, je sens mon anus sur ta bouche. M met un peu de gel sur sa queue immense et s'approche de ton cul: "Voilà! À trois je lui éclate son cul de pute et vous tirez chacun à mort sur votre corde respective." Tu gémis... "Un, deux, trois!" On bande comme des taureaux. Il t'ouvre le cul d'un coup et s'enfonce jusqu'à la garde; pendant ce temps on tire sur les cordes comme des malades. Tu hurles comme jamais, ton sexe ressemble à des bouts de chair exangues, il te laboure le cul... "Allez les mecs, tirez, arrachez-lui sa bite de salope à cette femelle!" Je tire sur ma corde, ton gland est violet, tes couilles écartelées sont près d'exploser. M te claque les fesses, te pince le ventre et les cuisses en te traitant de sale pute.

Moi je me relève et tout en coninuant à tirer sur ma ficelle, je t'enfonce ma bite au fond de ta petite gueule de chienne. Je te défonce la bouche, te tords les oreilles, te gifle sans retenue, tous on profite de cette viande lisse douce et imberbe. Tu es secoué de tous côtés. Je te crache sur les joues et étale ma salive dans tes cheveux, je me réjouis déjà de pisser sur ta gueule de larve soumise...

M est en train de venir: "Tiens ma chienne, prends cette queue, je te déchire le cul sale pute!" Il se fracasse littéralement les hanches sur tes fesses. Moi je viens d'un coup au fond de ta gorge et les deux autres giclent leur jute sur ton poitrail brillant. M sort de ton cul, on relache les cordes, tu pleures comme un petit bébé et je contemple le spectacle. Tu es souillé de sperme, le sexe en feu, le trou béant d'où coule le sperme de M.

"Voilà détachez-le, maintenant c'est une lope à notre service!" dit M. On te détache de tes liens. Effectivement tu ne tentes aucun mouvement de fuite. M t'attrape par les cheveux et te tire par terre hors du lit: "À terre chienne et rampe pour nous, le cul bien en l'air en aboyant!" Tu t'exécutes, le cul et la bite bien dressés encore rouges de nos sevices... Tu glapis comme un chien. T'es un vrai slave. M triomphe: "Voilà! Qu'est ce que je vous avais dit... Maintenant on peut en faire ce qu'on veut et on va pas se priver de faire souffir ce batard!"

Là-dessus, il te flanque une claque sur les fesses à te casser les reins, t'attrape par la bite et te soulève de terre par le sexe. Je pose une doc sur ta gueule frottant le plancher. Je me hasarde: "C'est vrai ma salope, on va te finir..." Tu pleures, mais t'es un slave, un vrai de vrai!

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Jeudi 5 juillet 4 05 /07 /Juil 23:41

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J'ai 38 ans, je suis roux, poilu et j'ai des piercings sur le corps. Si dans la vie de tous les jours, j'ai l'air très sage, je suis en réalité un fan de pisse. J'ai toujours aimé boire de la pisse, que ce soit la mienne dans un verre, ou encore mieux, à même la queue d'un mec qui me le demande. J'avais déjà réalisé plusieurs fantasmes liés à la pisse. L'un des premiers que j'ai réalisés ce fut au Glove, un bar à cul du centre de Paris.

On était vendredi, c'était la soirée uro et je furetais dans le bar, assez excité par la totale liberté qui régnait dans le bar, moi ça m'a toujours fait bander de voir un mec se faire enculer au bar pendant que ses voisins discutent sans y prêter la moindre attention.

En traînant au sous-sol, j'ai repéré un mec plutôt trapu, comme j'aime, qui me matait en se caressant le paquet. Je me suis approché, il m'a dirigé vers sa queue et à partir de là, ses activités favorites consistèrent à m'enfoncer sa queue de bonne taille au fond de la gorge le plus longtemps possible, de me tirer les couilles comme un malade (je crois que c'est à cause de lui que je suis devenu fan du travail des couilles) et de me filer sa pisse à boire tout au long de cette soirée, le plus souvent d'ailleurs en pleine lumière. Mon regret pour cette soirée là fut de ne pas avoir été mis à disposition de plusieurs mecs qui voulaient me pisser au fond de la gueule.

Il m'a fallu attendre une autre rencontre, au Keller cette fois-ci, pour trouver un mec qui m'a transformé en urinoir. Il choisissait les queues, je buvais la pisse et/ou les pompait à la chaine parfois. J'avais aimé passer ma soirée à boire toutes ces pisses différentes, surtout de les prendre à même la queue, devant tout le monde en pleine lumière. Pour cette soirée, j'avais en plus les couilles lestées par 700g d'acier. J'ai pris un pied pas croyable.

Mais ce que j'ai préféré c'est quand j'ai passé une soirée chez deux mecs, à jouer les urinoirs.

J'avais vu leur annonce sur un site SM, ils étaient un couple de mecs, un peu plus jeunes que moi, et cherchait un mec pour leur boire la pisse. Je n'ai pas pu résister, vous vous en doutez.

Je suis arrivé, ils étaient déjà à poil, je me suis donc déshabillé tout de suite et je suis allé entre les jambes du premier qui avait envie de pisser, et ce fut le début d'une soirée de rêve. Ils savaient pisser lentement pour me laisser le temps d'avaler sans en perdre une goutte sur le tapis ou le canapé, et me laissaient le temps de respirer. Ils ont bu une quantité incroyable de bière tous les deux, et en ont donc pissé au moins autant. Je crois que je leur ai vidé au moins trois fois chacun la vessie. J'aimais cette ambiance où entre deux sessions de pisse, on discutait de tout et de rien, à poil sur le canapé ou les fauteuils, et sur un mot de leur part, je me retrouvais à genoux, avec la queue dans la bouche, à attendre avec impatience qu'il m'abreuvent.

Si moi je bandais comme un taré en buvant leur pisse, eux ne bandaient pas, et croyez-moi, boire de la pisse d'une belle queue qui ne bande pas, c'est super excitant. Je me suis vraiment senti rabaissé au rang de simple urinoir. À la fin, je me suis branlé et j'ai joui comme rarement. Et bien sûr, avant de repartir je suis allé pissé, mais dans les toilettes, car j'étais plein comme une outre.

Si vous cherchez un urinoir sur Paris, pensez à moi s'il vous plaît.

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Jeudi 5 juillet 4 05 /07 /Juil 02:23

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J’habite depuis une paire d’années dans une tour HLM de ce que l’on appelle un quartier sensible. La cage d’escaliers est couverte de graffitis, obscènes pour la plupart, et les relents d’urine vous prennent à la gorge dès que vous passez la porte d’entrée. Je bande en imaginant tel ou tel mec de l’immeuble se débraguettant et se soulageant de son urée contre le mur.

Un soir, je surpris un des locataires au moment où il sortait son engin de la fermeture-éclair. “Je peux t’aider”, fis-je sur un ton désinvolte. Il se lança dans une explication plus ou moins vaseuse selon laquelle son chiotte était bouché et qu’il n’avait que cette solution pour pisser avant d’aller se coucher. “Dans le lavabo, c’est pas très hygiénique,” m’expliqua-t-il, embarrassé. Mais je n’avais que faire de ses justifications farfelues. Mes yeux ne quittaient pas son membre mou et gonflé. Je tentai le tout pour le tout. Je m’agenouillais sur une marche et présentais ma bouche ouverte prête à accueillir son robinet à pisse. J’attendais une réaction d’hostilité qui ne vint pas. Je me saisis alors de son sexe, d’abord du bout des lèvres, puis plus profondément. Je levais les yeux vers le gars et d’un clignement d’œil je lui fis comprendre que j’étais prêt à recevoir son flot d’urine. Il se relâcha et se libéra du liquide accumulé dans sa verge. Au fur et à mesure que la pisse s’écoulait dans mon gosier, je sentais que mon membre prenait de la vigueur.

Après avoir tari sa source, j’entrepris de le sucer avec l’espoir de lui faire connaître les bienfaits d’une bonne fellation masculine. Son excitation était à son comble car il ne fut pas long à faire jaillir le liquide de ses couilles. Ma réputation de vide-couilles allait se propager comme une traînée de poudre, en plus d’avoir été repéré comme fétichiste des chaussettes.

Les abords de l’immeuble laissaient à désirer quant à leur propreté. Certains se débarrassaient de leurs ordures, d’autres de leurs vieilles chaussettes déchirées, sales à avoir été portées des semaines et des semaines, odorantes à asphyxier un appartement. Je subodorais à quel type elles avaient appartenu, comment il les avait portées aussi salement sans gêner qui que ce soit pendant tout le temps qu’elles fermentaient à ses pieds. Je ramassais ces chaussettes crades et, enfermé chez moi, je les humais en rêvant à tous les mecs de l’immeuble qui me faisaient craquer. Je finissais par jouir, les chaussettes pressées contre mon nez.

J’avais une autre habitude: celle d’exposer mes chaussettes à sécher sur mon balcon. J’en étais particulièrement fier, elles étaient toutes siglées de célèbres marques de sport. Les p’tits jeunes de la cité en bavaient d’envie. Je les observais porter le regard vers l’alignement des chaussettes.

— Hey, mec, tu crois pas que tu frimes un peu, me lancèrent-ils un jour au pied de l’immeuble. Nous aussi, on aimerait bien mouiller des chaussettes Nike. Ça t’fait triquer, de la sueur de jeunes mâles? Les pédés, on a rien contre si c’est nous qui fixons les règles du jeu!

Je n’ai jamais pensé qu’ils m’attendaient pour que je les fournisse en chaussettes au vu des fringues qu’ils avaient les moyens de s’offrir...

Pour me faire comprendre qu’il était temps de les approvisionner, ils déposaient devant ma porte leurs chaussettes sales et usées dans un papier-journal ou un sac hermétique accompagnées d’un petit mot malicieux du style: “Urgent, Najib a les pieds nus”, “Vic attend un nouveau lot d’absorbeur de sueur”, “Du ferment à fromage pour Vivien”...

Ils prirent l’habitude de s’inviter chez moi dans leurs fringues super sexy. Leur premier geste était de se déchausser devant moi. Leurs chaussettes blanches dégageaient chacune une odeur différente. Ils me le faisaient remarquer sans pudeur. “Parfumé par brise de panards”, insistaient-ils. Ajouter à cela des rots et des pets retentissants et l’atmosphère de la pièce était rapidement viciée. Sans gêne, ils dévalisaient mon frigo de ses bières et de la bouffe avant d’aller s’affaler dans le canapé et de se goinfrer en visionnant des films de cul hétéros dans lesquels des chattes se faisaient perforer par des membres super montés de Blacks ou de beurs. Ils s’esclaffaient devant ces scènes torrides, se passant la main sur leur braguette afin de sentir leur sexe durcir sous le slip.

Je les matais les yeux ébahis et la queue dure comme un roc. J’aurais voulu me jeter à leurs pieds fumants pour en humer leurs vapeurs nauséabondes. Les bières achevées, ils s’attaquaient à mon bar à alcools, vidant indifféremment whiskys et cognacs avec la même célérité. Les filles sur l’écran continuaient à se faire défoncer par tous les trous et leurs queues finissaient par apparaître entre leurs mains. Ils avaient posé leurs pieds sur une table basse, j’avais donc tout loisirs de m’attarder sur leurs chaussettes colorées par la transpiration collante.

Quand ils se levaient du canapé, leur bite raide à la main, je croyais mon heure arrivée. Ils m’invitaient à m’agenouiller devant leur queue avec interdiction de les effleurer tandis qu’ils s’activaient à jouir en commentant les actions de la vidéo. Finalement, trois puissants jets de foutre viendront zébrer mon visage.

— Maintenant, tu peux nous filer des chaussettes propres. On va aller retrouver nos meufs et on voudrait pas avoir la honte avec nos chaussettes pourries!

Leur départ me laissait dépité et la queue en souffrance. Je ramassais leurs chaussettes, j’en caressais ma bite et me les passais sur le visage jusqu’à faire jaillir mon sperme dans une étrange sensation de délivrance et de plaisir.

Sur le même palier logeait Bertrand. En règle générale, il faisait appel à moi au moins une fois par semaine. Il frappait à ma porte en gueulant: “Allez, ma pute, viens prendre ta dose!”

J’arrive dans son appartement au moment où il s’installe sur la cuvette des chiottes pour se soulager. Sa bite est raide à exploser. Pendant que je l’embouche, il se libère de ses matières en même temps que je sens un liquide clair et chaud se déverser dans ma bouche. Sa pisse est tellement abondante que j’ai des difficultés à tout avaler. Je suis donc contraint de laisser du liquide couler sur mon menton et les cuisses de Bertrand. Il m’insulte en me crachant à la gueule; ses mollards s’écrasent sur mes joues et il prend plaisir à bien me les étaler.

Alors il m’ordonne de lui retirer ses pompes. C’est le moment le plus excitant. Je sais que je vais découvrir des chaussettes blanches parfumées d’une semaine.

— Tu aimes, n’est-ce pas? me dit-il avec une pointe de sadisme dans la voix. Lèche-les!

Et il me les fourre sous le nez. Je sniffe avec délectation et m’enivre de ses effluves. Quand Bertrand juge que mon humiliation est à son terme, il se lève, me retourne précipitamment et introduit avec force sa queue au fond de mon trou. Toute la longueur de sa bite épaisse et veineuse me perfore pendant de longues minutes. Petit à petit, je participe à son plaisir en m’empalant le plus profondément possible sur son gourdin. Sa purée s’éjecte alors avec une volonté de me faire hurler de douleur.

Le temps de reprendre mes esprits, Bertrand s’est torché. Il me congédie sans un mot, poussant du pied sa paire de chaussettes sales jusque sur le pas de sa porte. “Débarrasse-m’en!” me lance-t-il avant de me claquer la porte au nez.

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Jeudi 5 juillet 4 05 /07 /Juil 02:00

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Un samedi matin vers 9h, j'émerge à peine de ma virée de la veille que le téléphone sonne. Mon maître est à l'autre bout du fil. Il me demande confirmation de ma dispo pour la semaine et si je suis bien en vacances comme prévu, ce à quoi je réponds par l'affirmative.

— Parfait connard! Reste près de ton tél, un pote à moi va t'appeler. Tu lui appartiendras, sans aucune limite, pour la semaine. Je te récupère dimanche soir. Ne me fais pas honte! Tu le paierais cher... Sac à jus!

Aussi sec, il raccroche.

Je fonce à la salle de bain. Je sais que dans un tel cas, je dois être nickel, prêt à l'utilisation. À peine 30 minutes plus tard, le tél sonne à nouveau et un mek, voix rocailleuse et directive, me demande si je suis bien la sous merde de Maître X. Je réponds par l'affirmative. Je suis à sa disposition dès à présent et jusqu'à ce qu'il me refile à mon maître, conformément aux ordres de ce dernier. Il me dit de préparer un sac avec mes papiers d'identité, mon portable et mes clefs, de m'habiller dans ma tenue habituelle de batard qui est une tenue skin. Je dois l'attendre porte ouverte chez moi, mes affaires prêtes ainsi qu'un café, à genoux, les mains derrière le dos, dans 15 minutes exactement... Il raccroche.

Je fonce mettre un café en route et préparer mes affaires. Je commence à m'habiller, je sers le café, pose le sucrier à côté ainsi qu'une cuillère. Je vais entrouvrir la porte et je commence à enfiler mes boots. Je termine à peine de mettre une boot que j'entends du bruit dans la cage d'escalier. Je me dépêche mais quand j'entends les pas s'approcher du salon, je ne suis pas prêt. Je me mets tout de même à genoux, mains derrière le dos. Les boots ne sont pas totalement lacées et mon fut n'est pas fermé.

Pas un mot. Je ne vois qu'un fut de cuir sur des boots à lacets blancs, et deux mains gantées de cuir. Un long silence. Le mek tourne autour de moi et soudain, je me prends un super coup de boots dans le dos. J'essaie de retenir un cri, mais celui-ci m'échappe tout de même. Le mec, toujours derrière moi, me relève la tête d'un coup en m'enfonçant trois doigts dans la gueule.

— Je veux pas entendre le son de ta voix, bâtard... Sauf pour répondre quand on te demande quelque chose ou pour remercier ton Maître.

Il s'installe dans le fauteuil et prends son café. J'entends le bruit de mon sac, il doit en vérifier le contenu.

— Termine de lacer tes boots, chiottard, avant que je te donne ton déjeuner. On est pressé, alors tu te magnes!

— Bien Maître.

Je lui tourne toujours le dos. Je termine de me préparer. Il fait quelque chose derrière moi mais je n'ose pas regarder. À peine ai-je terminé de mettre mes boots et de fermer mon fut que je me remets en position. D'une main, il me prend le menton et de l'autre, je le vois faire apparaître un bol face à moi. L'odeur âcre ne laisse aucun doute. Il a pissé dans le bol et me voilà servi pour le petit déjeuner... Je ne sais pas encore à ce moment là que ce sera l'une des seules boissons à laquelle j'aurai droit pour les huit jours à venir.

— Va laver ton bol, on se tire.

Je fonce à la cuisine. Lorsque je reviens, il a mon sac en mains avec les clefs. Je passe devant, il ferme à clefs et me fait avancer devant lui. Arrivé en bas de l'immeuble, il me fait mettre à genoux et me dit de l'attendre. À peine trois minutes après, une camionette s'arrête devant moi, mon nouveau Maître en sort, ouvre la porte arrière et me fait signe de monter. Il y a là une moto sur le côté, une cage au fonds avec un clebs et une deuxième plus petite à l'avant qu'il me désigne. Il me tend une pillule, une bouteille d'eau.

— Avale ça et à tout à l heure. Profite en pour bien te reposer...

Il ferme la cage et fout une couverture dessus. J'entends la porte claquer et c'est parti. Doucement je me sens partir, à la fois un peu décollé et un peu assomé; il a pas dû me filer que de la vitamine! Je tombe dans un demi sommeil.

Tout d'un coup, j'entends la porte qui s'ouvre. Il me sort de la cage, je suis un peu groggy. Il me fout un collier de cuir et je le suis. Nous sommes sur une aire d'autoroute, on s'enfonce dans une espèce de sous-bois. Quelques instants après, il me fait mettre à genoux et sors sa bite, un engin comme j'en avais rarement vu: longue, épaisse, très nervurée et surtout un gland dont je me demande si je pourrais l'engloutir! Je dois avoir l'air surpris pour qu'il me dise:

— Ton proprio t'avait pas prévenu!

Et il éclate de rire.

— Elle va te travailler la gorge et le cul toute la semaine cette bite de cheval! Et t'en auras d'autres, crois-moi. Astique connard et applique toi!

J'ai pas le temps de m'appliquer qu'il me prends la tête à pleines mains et s'enfonce en fond de gorge d'un coup sec, et se met à me limer la gueule, telle une chatte. De temps en temps, il ralentit le rythme, j'en profite alors pour lécher le gland du mieux que je peux. Infatiguable, ce manège dure un long moment. Deux meks se sont approchés et matent le spectacle. Le Maître leur fait signe d'approcher, les meks ne se font pas prier et arrivent en se caressant l'entrejambe et en sortant leur bites.

— Elle est à vous, une bonne gueule de pute. Amusez-vous les meks!

À peine s'est-il retiré de ma gueule que les deux autres présentent en même temps leur bite. Je vais de l'une à l autre, en léchant au maximum leur gland, et en caressant leurs couilles. Rapidement, l'un des meks s'enfonce d'un coup au fond de ma gueule et dans un râle qu'il essaie de contenir, se vide dans ma gueule. Il reste bien au fond pour être sûr que j'avale tout et ressort doucement afin que je lui nettoie la bite. Le deuxième ne se fait pas prier et se met à me baiser la gueule de plus belle. Quand il sent qu'il vient, il m'éloigne la gueule de sa bite afin de pouvoir se répandre sur mon visage. Il m'aspèrge de quatre gros jets de foutre qu'il étale copieusement avec son gland sur mes yeux, mon nez, mes cheveux, avant de me faire nettoyer son gland. Une fois propre, ils se tirent tous les deux. Je reste à genoux, mon maître qui matait la scène réapparait:

— Baisse ton fut et montre moi ton cul, sac à jus!

Je m'exécute. Il se fout derrière moi, me fait lécher un de ses doigts toujours ganté de cuir, j'essaie de le mouiller au max. Au bout de quelques secondes, ce doigt se retrouve sur ma raie et à peine le temps de me rendre compte que je suis quasi sec, mon maître m'enfourne son braquemard d'un seul coup au fond de mon cul. Je tente de hurler mais il me fait basculer la gueule au sol, écrasée dans la boue.

— T'es une bonne pute à jus. Après la gueule, on va te pourrir le cul!

Et sitôt dit, sitôt fait, je sens des jets de sperme puissants m'envahir le cul. Il ressort sa bite, je sens le foutre couler, il l étale sur mes fesses.

— Tu vas dans les chiottes batard. La première cabine porte ouverte, à genoux face vers le chiottard et fute baissé. Moi j'vais bouffer. T'en bouge pas avant que j'arrive.

Il m'entraîne vers les chiottes et en passant devant, me pousse vers la petite bâtisse; lui se tire pour aller manger. J'ai encore le goût âpre et crémeux du jus des deux meks dans la gueule. Quand deux motards arrivent, je ne sais plus quoi faire. Ils se marrent en me voyant et me mattent en discutant à voix basse. Un premier sort sa bite, vient sur moi et commence à pisser. Il ne vise pas la gueule mais veux simplement me crader les fringues. Quand il a terminé, il se dirige vers la porte des chiottes pour la bloquer. Son pote me prend par le collier et violement me fout la gueule dans la pisse qui est au sol.

— Nettoie p'tit pédé, tu fous quoi ici, tu fais la pute?

— J'attends mon Maître qui m'a dit de l'attendre ici!

— Ton maître? T'es pute, t'es slave?! Cool alors, tu vas être chiottard aussi puisqu'il te fout ici ton mek!

Je n ai pas le temps de répondre qu'il m'écrase la gueule sur le sol, il baisse son fut et se fout sur le cabinet. À peine quelques secondes après, j'entends le bruit bien reconnaissable d'un bel étron qui tombe dans la cuvette, puis un deuxième. Le motard se relève, m'attrappe par le collier et me dit:

— Nettoie-moi le cul avec ta geule!

Je m'exécute, le cul est relativement propre mais très fort d'une odeur de mek qui a sué dans son cuir. Je lèche et sniffe autant que possible. D'un coup, il me prend par le collier et me fout la geule dans la cuvette, je vois deux énormes merde flotter.

— Je veux te voir bouffer, je te lâche pas avant que la cuvette soit propre!

J'essaie d'attraper un premier étron qui m'échappe. Je recommence, je l'ai bien en gueule. Je relève la tête pour tenter de pouvoir l'avaler, les deux meks matent en se tordant de rire, en m'insultant de chiottard, de bouffeur de merde, je ne veux pas leur donner le plaisir de ne pas être à la hauteur et je me force à avaler d'un seul coup la merde.

— Bien connard... mais y'en a une deuxième alors termine ton taf!

J'y retourne mais je ne parviens pas à l'attraper, au bout de quelques secondes, le meks plonge sa main dans la cuvette, prend sa propre merde et me l'écrace sur la gueule, m'en foutant un max dans la bouche.

— Avale connard! Bouffe bien de la bonne merde de mek. On te donnera de la crème quand t'auras bien fini le plat de résistance.

Et il s'amuse à m'étaler le reste de merde sur le visage et les cheveux. Au bout de quelques minutes, j'ai avalé la totalité de la merde. Il me fout la gueule dans les chiottes et tire la chasse. À peine relevé, il m'enfourne sa bite de taille normale mais assez épaisse et crache son jus en à peine trois aller-retours.

— Content? Bien déjeuner?

Et il éclate de rire. L'autre s'approche se branle au-dessus de moi et m'enfourne d'un coup sa bite fine mais très longue direct en fond de george. Je sens le mek se vider de longs et épais jets, il devait pas s'être vidé depuis un moment! Ils me laissent là comme ça, total cradé, les fringues pleines de pisse, la gueule et les cheveux merdeux et la gueule à nouveau dosée.

Un mek entre dans les chiottes, me matte, va pisser à la pissotière tout en me matant. Je suis rouge de honte, je ne sais absolument plus comment réagir. Finalement, il referme sa fermeture-éclair et se barre sans me quitter un instant du regard; je crois qu'il hallucinait un peu! Mon Maître arrive:

— Alors il paraît que t'as bien déjeuner batard?

— Oui Maître.

— Qui t'a donné l'autorisation de bouffer ou de te faire utiliser sac à merde?

— Personne Maître, mais je pensais...

— Un batard ne pense pas, il obéit! Je t'avais dit de m'attendre, pas de provoquer les meks!

— Mais Maître, je...

Je n'ai pas le temps de finir ma phrase que je me prends un aller-retour qui m'assomme à moitié.

— Tu veux pas obéir, tu veux juste être un déchet? Parfait, je vais faire de toi le pire déchet que l'humanité n'aie jamais produite!

— Je...

— Ta gueule! Ton maître m'a confié la tâche de te mater et t'éduquer, il va pas être déçu, je vais lui rapporter la pire crevure qu'il aura jamais possédée.

Je ne sais plus comment réagir, je me sens las, moins que rien, je n'ai plus le courage de réagir, je ne peux plus lui dire que:

— Bien Maître, je serai ce que vous souhaitez...

— Tu seras quoi?

— Je serai une crevure, Maître.

— Et?

— Je serai un déchet, un réceptacle à foutre, un urinoir, une chiotte, Maître.

— Bien batard, mais crois-moi, tu seras encore pire que tu n'ose l'imaginer. Rhabille-toi correctement et retourne dans ta cage!

Je me relève, me remets au net tant bien que mal. Je vais pour me laver les mains quand mon Maître intervient:

— Tu fais quoi là connard?

— Je vais me nettoyer Maître.

— On n'use pas d'eau ou de savon pour un batard, tu restes dans l'état où tu t'es mis espèce de merde!

— Bien Maître.

Et je retourne me mettre en cage.

La route reprend, j'entends à plusieurs reprises le maître discuter au téléphone, je comprends qu'il parle de moi et à chaque fois, la finalité est un rendez-vous vers 18h je ne sais pas où. Je comprends aisément que ça va être ma fête en fin d'après-midi! Nouvel arrêt, le maître me fait sortir, on est dans un petit village de campagne, personne dehors, mortel! Une fontaine. Il me fait foutre dans la fontaine, fute baissé. D'un sac qu'il devait avoir avec lui, il sort une poire à lavement et entreprend de me faire un lavement. J'ai le cul plutôt propre, vu le lavement du matin, et je n'ai eu que le foutre de mon Maître. Sorti de la fontaine, il me fait remonter dans le camion.

— Fous-toi à poil et mets ça!

Il me tend un treilli complètement déchiré et qui tiendrait debout tout seul tellement il est crade, et un harnais. Je m'exécute, remets mes boots, il me remet le collier, des bracelets de cuir avec chaînes aux pieds et aux poignets, et une cagoule uniquement ouverte au niveau de la bouche. Me voilà aveugle. Il m'attrape, me refout dans ma cage, me fait avaler une pillule et boire une boisson que je trouve très amère. Je suis à sa merci! Il me casse complètement, je comprends que je vais être à sa totale merci...

On est reparti. Au bout d'un moment que je ne saurais évaluer, la camionette s'arrête, j'entends parler, crier, rire. Il y a l'air d'y avoir du monde mais je ne saisis pas du tout où je peux être, le nombre de personnes ou ce qui se passe réellement dehors. Je reste un long moment dans ma cage puis d'un coup, plus un bruit! J'entends la porte puis la cage qui s'ouvrent, et je suis pris violement par le collier et sorti. J'essaie de marcher mais je suis traîné avec force. Ils sont deux à me tenir. Je suis jeté au sol, ça pue, j'ai été jeté dans une marre à purin ou de bouse, je ne sais pas. On m attrape les poignets, les chevilles, je sens qu'on m'accroche. Un mek me tire la tête et me vide un verre dans la gueule, c'est le même produit que tout à l'heure. Puis plus rien! Au bout de quelques minutes, j'entends la voix du maître contre mon oreille, doucement:

— On est ici pour 24h, des meks sont venus de loin pour pouvoir t'utiliser. Tu est ici un objet, la moindre rebellion, le moindre faux pas et je te détruis, t'as bien compris sous race? T'as le droit à une récompense tout de même... tu peux gueuler autant que tu pourras! Ici personne ne t'entendra, ça ne fera qu'exciter plus tes utilisateurs.

Et il me refout la gueule dans le purin.

— Les meks, voilà la crevure promise. Elle est en formatage, vous avez tout droit sur elle. Ne vous retenez surtout pas, cette sous race est là uniquement pour votre plaisir, vos délires! Messieurs, 24h top chrono, il est à vous!

À peine a-t-il terminé de parler que mon abattage commence! En moins d'une minute, j'ai la gueule à fond sur un braquemard qui commence par pisser. Je sens un autre mek me limer direct le cul et quand un sort, un autre rentre immédiatement! Jamais on ne m'avait utilisé comme ça, je n'ai meme plus l'impression d'être un batard. Je ne suis même plus un trou, un slave, je suis simplement un objet qu'on utilise pour ses délires! Après je ne sais combien de bites, de litres de pisse, de doses de foutre dans le cul, la gueule, sur le corps, j'entends une cloche. Plus rien, plus personne ne me touche...

— C'est l'heure de bouffer, opération gavage!

On m'attrappe et mes liens sont tendus au max. Je ne peux plus faire mouvement. Des mains m'ouvrent et me maintiennent la gueule ouverte et je sens qu'on m'enfonce quelque chose dans la gueule. La douleur est extrême et je n'arrive même plus à gueuler. Je comprends vite qu'on m'enfile un tuyau et que le gavage, c'est ma gueule!

— Les meks, le chiotte est prêt!

Et rapidement, je sens le tuyau se remplir, la tête coincée entre les jambes d'un mek qui doit tasser la merde pour qu'elle entre bien. Et ça dure je ne peux dire combien de temps, mais à coup sûr, plus de deux heures. J'ai des douleurs atroces dans la gorges, je sens mon estomac se distendre, c'est le moment qu'un mek choisit pour me faire relever les jambes.

— Ma merde, je vais lui foutre directe au fond du cul!

Et sans préambule, je sens une main puis deux qui me travaille le cul, j'ai bien compris à la merde... On m'enfile deux tuyaux dans le nez et rapidement, je me sens total partir, je suis relié direct et sans possibilité de m'échapper à du popers. Je sens mon cul se distendre, les meks rigolent.

— J'ai plus de merde! File m'en que je le remplisse bien jusqu'au coude.

— Tiens, direct dans ta main mek, crade lui le cul avec ma merde!

Et ça délire autour de moi, je suis insulté de toute part, des dizaines de voix me traitent de tous les noms possibles. On m'enlève rapidement le tuyau que j'ai en gueule, j'ai mal mais je me sens libéré... Ça ne dure pas, le tuyau est de suite remplacé par un entonnoir. Après avoir été gavé par leur merde, je sens que je vais devoir prendre leur pisse...

— Apportez vos stock! On va le pourrir définitif.

Mon Maître vient me parler à l'oreille:

— Tous les meks présents ont apporté des stocks de foutre récupérés dans tous les bordels de leur régions. On va t'en gaver total et te pourrir avec de la bonne plombe. Je te fais une proposition: si tu veux une pause et manger un vrai repas, je te détache et tu bouffes par toi-même toute la plombe qu'on te présente comme un cadeau qui t'es offert par tes utilisateur en les remerciant un à un; ou on te gave à n'en plus finir de leur stock de plombe, de merde, de pisse et du lisier dans lequel tu patauges depuis hier soir!

Je comprends que ça fait déjà plusieurs heures que je suis là et j'ai un réel besoin de me reposer.

— Merci Maître, je boufferai la plombe de moi-même et remercierai mes utilisateurs.

— Messieurs! Détachez le sac à jus, vous allez pouvoir le nourir.

En quelques instants, je suis détaché. On me retire la cagoule. Il fait nuit, je ne vois que des spots assez puissants pointés dans ma direction. On me fait asseoir à une table, les yeux reprennent peu à peu de leur utilité et je suis effaré du nombre de meks présents. Ils sont au moins une bonne quarantaine! Tous les âges, toutes corpulences; un seul point commun: tous en cuir, la bite à l'air et bien crade. Le premier mek à se pointer est un mek qui ne m'est pas inconnu!

— Alors batard, je savais bien qu'un jour je t'aurais à ma botte! Tu te souviens?

— Non Maître.

— T'as refusé de me pomper dasn mon bar il y a quelques temps sous prétexte que j'avais la bite dégueu! Pourtant tout à l'heure, tu me l'as bien nettoyée! Depuis, j'ai récupéré toutes les capotes laissées par les clients...

Et il sort un sac énorme, rempli de capotes pleines!

— Y'a un mois et demi de capotes! Je veux te voir les bouffer une à une et m'en remercier, espèce de connard!

— Bien Maître.

Je commence par en prendre une, je n'arrive pas à retirer le noeud, on me donne un ciseau, je dois les couper et les bouffer! Je vide la première, elle est bien pleine, je la retourne pour bien lécher tous le jus et n'en pas gâcher! Et je regarde le mek:

— Merci maître.

— À ce rythme là, t'iras pas loin connard! J'vais te les couper moi et tu les avales entières avec le préso!

— Mais...

J'ai ps le temps de finir ma phrase que mon Maître qui est derrière moi m'a filé un coup de batte.

— Bien Maître.

Et il prend plusieurs présos et me les donne. Je les avale un à un avec du mal, en remerçiant à chaque fois. Il me fait accélérer le rythme de plus en plus, ça s'active autour de moi, les meks ont décidé de travailler différemment. Ils prennent tous des verres et des bols et commencent à vider les capotes qu'ils ont apportées. Ça change de mek, il arrive avec un gros bol rempli quasi jusqu'au bord!

— Allez batard, t'as encore faim? T'as envie de bonne dose de jus bien chargée? Déguste!

— Merci maître.

Et je m'exécute, j'avale le bol le plus vite possible. Je commence déjà à être dégouté alors que j'en suis qu'au deuxième mek! Je repose le bol.

— C'est quoi ça connard? Nettoie bien le bol, pas de gachis!

Et me voilà à lécher le bol, à ressuyer avec mes doigts la moindre trace de jus!

— Merci Maître.

Et j'enfile les bols, j'essaie de penser à autre chose, de bien respirer, l'envie de gerber est de plus en plus forte. Un mek se présente avec un bol bien rempli mais à l'allure vraiment rebutante; le jus qui est dedans parait jaune, très épais, comme s'il était pourri, indéfinissable.

— Cadeau spécial connard! Du jus de mek fermenté!

Rien que l'odeur me donne un haut-le-coeur! Mon Maître s'en aperçoit.

— Tu avales ça, tu remercies et t'auras droit à une pause.

— Merci Maître.

Je prends le bol, ferme les yeux et d'un coup, j'avale la totalité du bol, le ressuis vite, me lèche les doigts mais j'ai vraiment l'envie de gerber! Mon Maître prend un baillon et me baillone la gueule fermée, même si ça remonte, ça ne pourra pas sortir de ma gueule et je serai obligé de ravaler.

— Messieurs, une pause de qques minutes, la crevure n'est pas résistante, je m'en excuse.

Il vient me parler à l'oreille:

— Tu me fais honte! Tu vas la payer très cher ta pause!

Il m'entraîne dans la camionette, me fout dans ma cage. Je croyais avoir droit à manger un vrai repas, avoir une vrai pause, je comprends très vite que le repas promis, c'était les bols de jus et que la vraie pause n'etait qu'un rêve que je venais de caresser mais que j'allais payer très cher. Je me sens de plus en plus mal! J'ai envie de dégueuler, de chier, de pisser, mais je me retiens pour ne pas faire ça dans ma cage! Mais à un moment, je ne gère plus rien et malgré le baillon, je me vide entièrement de tous les côtés, je chie des kilos de merde, celle dont j'avais été gavée, je dégueule du jus à n'en plus finir et vide ma vessie qui était prête à exploser. Me voilà vide mais baignant dans mes excréments et mon dégueulis. Mon Maître arrive à ce moment là, je suis total vaseux!

— C'est quoi cette poubelle? Va chercher une cuvete et nettoie-moi ça de suite connard, t'as dix minutes.

Je m'exécute, je mets dans une cuvette tout ce que j'ai évacué et passe une serpillère dans la cage et le camion. Je me présente à mon maître.

— Puisque t'es incapable de respecter tes maîtres, on va te refourguer aux chiens, peut-être que eux pourront s'amuser avec toi!

Je n'ai ps le temps de réagir que je vois une dizaine des meks arriver avec leurs clebs! Deux meks m'installent sur un matelas posé au sol, m'accrochent les mains et me mettent en position afin que j'aie la croupe à hauteur pour les clebs et sans le moindre préambule, un clebs s'approche de moi, commence à me lécher le cul et d'un seul coup, grimpe sur moi. En quelques secondes, je sens sa bite se durcir dans mon cul et en mouvements rapides et saccadés, me limer comme une chienne et se vider dans mes entrailles! Rapidement, la bite ramollit et il ressort. Le mek suivant arrive avec son chien et le manège reprend! Quand le dernier est passé, j'ai le dos labourré pars des griffures, le cul qui dégouline et pense que cela va s'arrêter mais à première vue, ce n'était que le début et les clebs ont la queue raide et c'est reparti pour une tournée. Finalement, chacun d'eux me passera trois fois dessus. Un mek vient chercher les clebs, reste les dix meks autour de moi.

— On va bien tasser le jus de nos clebs maintenant, sale chienne!

Et les meks m'enfilent chacun leur tour, me remplissant toujours et encore de leur jus qui se mèle à celui de leurs clebs! Mais les autres meks ne restent pas dans leur coins, eux aussi ont envie de me tasser. Mon Maître arrive, me fout son pieds sur la gueule et me l'écrase sur le matelas. Il a décidé que je serais un cul à remplir et rien d'autre pour le moment. En effet, j'ai le cul continuellement rempli par une bite, parfois deux, qui veulent se vider, se revider pour bien me pourrir le cul.

— Messieurs, il nous reste 4h, je vous invite à venir punir la lope pour ses désobéissances et ses manquements à votre égard. Ne me l'abimez pas trop, c'est tout ce que je vous demande. Il n'en et qu'à son premier jour et je dois encore le former sept jours!

Et il éclate de rire. Un premire mek arrive, c'est le dernier dont j'ai bouffé le bol de jus crade.

— T'as pas aprécié mon jus connard, alors que pour une sous race comme toi, ça équivaut à du caviar! Alors tu vas me bouffer ça!

Il me présente une assiette remplie de merde, de foutre, de purin. Il pisse dedans et me donne une cuillère à soupe.

— Bouffe et apprécie chiottard, je veux que l'assiette soit propre!

Sa ténacité et son côté "jusqu'auboutiste" m'excite et je me surprends à prendre un réel plaisir à manger.

— Tu vois, c'est pas difficle!

Et mon Maître d'ajouter:

— Parfait, je sais de quoi te nourrir pour le reste de la semaine!

Un autre mek arrive:

— J'aime pas tes manières connard, tu ne te donnes pas à tes maîtres, tu les subis! Alors puis que tu veux les subir, tu vas goûter à mes boots et celles de mes potes!

Et quatre autres meks, skins rasés, lacets blancs (mais bien crade). m'attrappent et me jettent au sol et commencent une scéance de coups de boots, de crachats. Je hurle tout ce que je peux, les coups pleuvent. Ils évitent soigneusement la gueule mais tout le reste du corps subit des coups de plus en plus violents. N'en pouvant plus, je regarde fixement mon Maître.

— Pitié Maître, pitié.

— Pas de pitié pour une sous race qui fait mal son taf. Paie ton tribut à tes maîtres!

Et les meks de frapper encore plus fort! Mon Maître arrive, les meks se calment, mais c'est mon Maître qui me donne le coup de grâce en m'écrasant violement sa boots sur ma bite. Je hurle, un mek me met sa boots sur la gueule.

— Lève toi, me dit mon Maître.

J'essaie, j'ai mal partout, je n'arrive pas à me tenir debout.

— Attachez le au poteau puisqu'il peut pas tenir debout tout seul, ce connard.

Deux meks m'atrappent, me passent une chaîne dans le collier et les menotes de poignets et m'attachent à un poteau électique. J'entends des meks gueuler:

— Lattez le, fouettez le, qu'il paie le fait d'être un bon à rien!

Et ça commence, je sens des fouets, des paddles s'acharner sur mon dos, mes jambes, mes cuisses, mes bras. Ce sont les chaînes qui me tiennent, je ne suis plus cappable de la moindre réaction et cela dure et dure encore. Mon Maître met fin à la scéance.

— Messieurs, apportez les restes!

Je vois réapparaître la basssine de merde, de pisse et de dégueulis que j'avais remplie tout à l'heure. Les meks y rajoutent les capotes qui leur restaient et les vident. Et deux meks entreprennent de m'enduire le corps de ce mélange. Une fois total cradé, je suis détaché.

— Batard, va remercier chacun de tes utilisateurs et rentre dans ta cage!

Je m'excécute. À genoux, je passe de l'un à l 'autre, les remerçiant. Certains ne prêtent pas attention, d'autres en profitent pour me pisser dessus, me jouir une dernière fois dans la gueule, me filer un dernier coup de boots. Mon Maître m'attend à la fin, il me tend trois géllules.

— Prends ça, ce sont des antidouleurs et un somnifère, t'en as besoin et ce soir, tu bosses!

J'avale et me dirige vers ma cage où je m'installe. Mon Maître ferme la porte et j'entends crier, rire, discuter un bon moment, et ça se calme. Les meks doivent commencer à partir. Tout d'un coup, bruit de porte, démarrage. Mon Maître à décidé de partir! Je m'endors...

À suivre...

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Jeudi 5 juillet 4 05 /07 /Juil 01:13

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La descente aux enfers du plaisir

Je me réveille, je suis toujours dans ma cage et une forte odeur d’excréments et de pisse me prend le nez. Je suis toujours brinqueballé, ce qui signifie que nous roulons toujours. Je ne sais pas combien de temps j'ai dormi. Je reprends mes esprits, je sens mon cul endolori et mon corps courbaturé. Il me revient en tête que mon Maître m’a dit de me reposer car je devais bosser ce soir. Ça y est, je suis bien réveillé et tout me revient à l esprit. Je retombe dans mon état de larve et de sac à jus, sans même que mon Maître n’ait eu à intervenir. Je me souviens de ma nuit et autant excité qu’inquiet, je me demande ce qui m’attend, ce que comprenait mon Maître en me disant: «Ce soir, tu bosses!»

Ça fait une heure que je suis éveillé quand la camionnette stoppe. C’est le calme plat, je n'entends rien autour de moi, il y a peu de lumière. Au bout d’un long moment, la porte s’ouvre:

— Voilà votre pute, je vous l’ai fait préparé la nuit dernière.

— Ok, résistant? Obéissant?

— Aucun soucis, il est bien dans son rôle. Si il essaie d’en sortir, je vous laisse carte blanche pour le remettre en place, je serai là de toute façon.

— Ok, on va le foutre avec sa cage dans le monte charge et on descend au deuxième sous-sol. On a deux bonnes heures avant que la nuit commence et que les mecs arrivent...

D’un coup sec, on tire la cage dans laquelle je suis installé. Elle s'écrase au sol, je suis à moitié sonné par le choc. Mon Maître sort le chien, il sort du sac la cagoule et à travers les barreaux, me la met sans même me dire un mot. La cage est traînée, je sens le mouvement de l'ascenseur; c'est rapide. La porte s'ouvre, je sens de suite une odeur totalement nauséabonde. La cage est à nouveau traînée, j'entends des bruits de chaînes et rapidement, la cage se détache du sol, elle bouge dans tous les sens et s'immobilise.

— On va te nettoyer, connard, pour mieux te crader et que tu profites bien de ce que nous allons tous te donner cette nuit. Ça été du taf que d’organiser cette soirée, t'as intérêt à bien bosser sinon tu le paieras plus cher que tu ne peux même l'imaginer!

Je ne connais pas cette voix qui a un très fort accent rebeu, mais pas jeune de banlieue. Non, à l'ouie, le mek doit bien avoir la quarantaine au minimum.

— Ton Maître t'offre à nous, tu vas bouffer, subir, avaler, te faire élargir, doser, plomber par un bon cheptel de bons meks bien calibrés, aux couilles pleines. Prépare-toi chiottard...

J'entends un bruit d'eau et d'un seul coup, un jet puissant d’eau glaciale, on est en train de me laver au karcher. J’hurle tellement l'eau est froide et le jet douloureux. Mon Maître intervient:

— Qui t'a autorisé à parler connard? Foutez lui le jet dans le cul, ça va le calmer!

Moins de deux secondes après, je sens le jet puissant me nettoyer le cul en profondeur. Je n'ose plus dire le moindre mot. Au bout de quelques minutes, plus un bruit. Je tremble de froid après ma douche mais je dois avouer que je me sens mieux qu’avec ce cataplasme de merde, de foutre et de dégueulis qui me servait de seconde peau depuis ce matin!

La porte de la cage s'ouvre, je sens une main qui m’attrape le crâne pour me faire sortir et me traîne sans ménagement. On me retire ma cagoule et je me retrouve face à trois meks, tenue de chantier intégrale avec casque et à la place de l'outillage, des godes, des chaînes, etc, accrochés à la ceinture. Leurs visages sont cachés par un simple masque en plastique blanc. Un des mecs me tend un sac et me dit:

— Habille toi, pétasse!

Je sors du sac des sous-vêtements féminins rouges en fausse dentelle, des bas noirs, un corset rouge en faux cuir, une perruque blonde, des pompes avec des talons d’au moins 15cm, de longs gants noirs. Je m'exécute et me look en pute comme on m'en a donné l'ordre. Ces fringues ont déjà servis, vu leur état! J'avoue que la situation m'excite, je m'imagine dans quelles circonstances ils ont été cradés!

— À genoux!

Je viens me mettre à genoux devant mes lopeurs. On me met un collier, des bracelets cuir aux poignets et aux chevilles. Je sens que ça y est, leur fameuse «soirée» commence.

— Tu vas nous montrer de quoi t'es capable avant que les potes arrivent. Ouvre bien la gueule!

Les trois meks sortent leur queues et se mettent face à moi.

— On va bien se vider et on veut rien au sol, chiottard!

Et les meks commencent direct à pisser en visant ma gueule. J'essaie au maximum de boire ce qu’on me donne mais les trois jets s’entrecroisent et naturellement, la moitié de leur pisse coule sur moi et sur mes vêtements.

— On t'a dit de tout boire, espèce de dégueulasse! Nettoie le sol!

Et un mec m’écrase d’un seul coup de pompe sur le dos pour me foutre à plat-ventre et lécher le sol. L’un d’eux termine de se vider sur mon dos.

On m'attache une chaîne à mon collier, l’autre bout est accroché à un anneau fixé dans le sol. J’ai un rayon de 60 centimètres pour bouger. Il y a un matelas posé au sol, un vieux fauteuil, une table et une vieille baignoire. Mon Maître vient devant moi, me retourne un aller-retour dans la gueule avant de me donner un coup de genoux dans le ventre.

— Ça fait pas deux heures que t'es là que les meks se plaignent déjà de toi. T'es même pas capable de boire leur pisse! Si il y a la moindre plainte ce soir, c'est moi qui interviendrai et crois-moi, tu le regretteras. Fous-toi à genoux!

À moitié tordu de douleur, je m'exécute. Il me fout sa bite dans la gueule et se vide la vessie en jets puissants; j’ai à peine le temps de déglutir mais je sais que je ne dois en aucun cas laisser la moindre goutte couler. Quand il a terminé, il me retourne et m’encule d’un coup sec. Je sens son gland me déchirer le cul et me limer violement. J’ai envie de gueuler mais je me retiens. Très rapidement, il se vide en moi, se retire et me présente sa bite à nettoyer. La forte odeur de pisse et de jus m’excite plus encore que du poppers et je me délecte des restes de sperme sur le gland de mon Maître.

— Je vous l’ai lubrifié, il est à vous!

— Tu vas ouvrir les portes la haut, Momo?

— J’y vais et je passe au foyer prévenir tout le monde.

J’entends les portes claquer, un courant d'air frais, à la fois une sorte de calme et une sorte d’anxiété d’avant «je-ne-sais-quoi».

— Montre nous ton trou!

— Fous-toi à genoux et écarte bien ta boite à jus!

À peine en position qu’un des rebeu s’approche, me fout un doigt, puis deux. Il les remue, les écarte, les enfonce, les ressort et me les met dans la gueule.

— Elle est déjà bien lubrifié la pute, j’vais lui en rajouter. Ça sera pas de trop avant ce qu’elle va se prendre!

Il se fout derrière moi et me défonce d’un coup sec. L’autre rebeu vient me foutre sa bite dans la gueule et je vois mon Maître plus loin dans un canapé en train de mater tout en picolant une bière. Même gavé dans le cul et la gueule, l’ambiance me paraît faussement calme. Bizarrement, ce calme m’inquiète! Alors que les mouvements de va-et-vient se multiplient violemment dans ma gueule et mon cul, j’entends tout d’un coup une espèce de brouhaha. Je ne vois pas ce qui arrive mais j'entends le rebeu qui était allé ouvrir les portes.

— Voilà votre trou pour la nuit les mecs, elle fera tout ce que vous voulez. Vous pouvez la baiser, l'utiliser en chiotte, en slave, ne vous retenez pas et amusez vous! On l'a jusqu’à demain midi. Y'a un tél à votre dispo si vous voulez faire venir d’autres potes...

J’ai compris que je suis mis à l’abattage; je m'y attendais. Je ne vois toujours rien et suis toujours pris par les deux trous. Le rebeu qui me défonce le cul est de plus en plus violent dans ses mouvements, il râle, je sens qu’il va venir. Un mek s'approche, me saisit un téton qu’il tire violemment. Je veux hurler, ma gueule s'ouvre sur la bite que j’ai en bouche. Le mek en profite pour s’introduire totalement au fond de ma gorge et d’un coup, je me sens rempli en fond de gorge et au fond de mon cul. Les bites se suivent, toutes les formes, toutes les longueurs. La plupart que je prends en gueule ont un goût de de macération infernal, je sens le fromton sur le gland et les mecs me baisent la gueule, me remplissent de pisse et de jus sans s'interrompre. Mon cul en prend tout autant! Je suis quasi en totale roue libre quand je suis rappelé à l'ordre par une douleur infernale aux couilles. Une main énorme vient de me les empoignées et les écrase en tirant sur les bourses comme s’il voulait les arracher!

— C'est quoi cette femelle? À quoi ça lui ser?

— À rien, répond une autre voix. Arrache-lui ça!

J’hurle un non à réveiller un mort! J'essaie de m'extirper de ce merdier. D’un seul coup, je me sens être redevenu moi-même. Les drogues, le jus, la pisse, la merde avalée sont oubliées. Je ne pense plus qu’à mon intégrité. Mon Maître arrive devant moi, je me prends un super coup de poing dans la gueule. Je tombe au sol, il me fout un coup de boots en plein dans les couilles, j’hurle.

— Faites le taire!

Un gros mec vient me foutre sa main sur la gueule, je peux à peine respirer!

— Apportez une corde et descendez la moto!

Mon maître me lève en me tenant les couilles puis me fait mettre à quatre pattes.

— Venez vous laver les mains dans son cul!

Il m'enfonce un tuyau dans le cul, je sens l'eau glaciale couler et de suite, une main entrer d un coup, puis une deuxième!

— Allez-y, c'est un lavabo!

Et il éclate de rire!

— J’veux que vous ayez les mains propres pour le latter!

Et les mains se suivent. Je peux à peine respirer, mon Maître me maintient la gueule sur sa cuisse. J’entends du bruit, ce doit être les mecs qui arrivent avec la moto. Alors que j’ai deux mains dans le cul, mon Maître me relève d’un coup. Je me tiens aussi droit que possible. Il attache la corde à mes couilles et ma bite, en faisant plusieurs tours et des nœuds bien serrés. Il file l’autre extrémité de la corde au mec près de la moto.

— Encore une connerie, la moto t'arrache les couilles!

Le moteur est mis en marche! On m'attrape les mains, on y passe une chaîne et on m’accroche au plafond.

— Vous avez envie de vous détendre? Alors allez-y, lattez aussi fort que vous souhaitez! Une fois que vous l'aurez bien attendri, vous pourrez vraiment en faire ce que vous voulez sans qu’elle vous fasse chier.

Et les coups pleuvent, je me mords la langue pour ne pas hurler. Les mecs frappent n’importe ou, n’importe comment, je sens des poings, des chaussures, des ceintures, j'en reçois dans la gueule, les couilles. Au bout d’un moment qui me paraît interminable, je perds pieds et ne suis même plus capable de me retenir à mes menottes. Je tombe uniquement retenues par celles-ci qui par la chute sont au bord de m'arracher les mains. Les coups se calment, on me détache, mais une fois au sol, le balai des bites reprends. Je suis pris de toute part, je sens qu’on me pisse à nouveau dessus.

— On l'a peut être trop attendri ta femelle. Elle réagit à peine, elle fait chier!

La phrase n'est pas terminée que je suis ramené à la réalité par mes couilles. La moto s'est mise en marche et m'a fait faire au moins 3m d’un coup!

— Elle est réveillée. Allez-y…

C'est la voix de mon Maître.

— Allez cherchez vos clebs, ça va la réveiller!

Et c'est le défilé des mecs et de leurs clebs, chacun me baisant la gueule pendant que leur chien me monte, ou me tassant le jus que leur cleb vient de me larguer au fond du trou! Je sens autant leur bites que leurs pattes qui m’arrachent la peau. Puis ça se calme tout d'un coup. Les mecs partent les uns après les autres. Au bout d'un moment, il ne reste que mon Maître et les deux arabes qui nous ont accueillis.

— Tiens, voilà la caisse! dit l'un des arabes.

— Ok comme promis, vous aurez 30%, 35 payants, plus nous, les maîtres-chiens, on les a invité.

Et puis silence, ça compte!

— Pas mal! dit l'arabe.

— Merdique tu veux dire! Si elle avait fait son boulot, y'aurait eu le triple. C'est qu’une bonne à rien, juste capable de se plaindre. Tenez voilà votre part. Je vais dormir qques heures. J’vous le laisse, payez-vous en nature, j’veux pas savoir ce que vous lui faites. Foutez-le moi dans la camionnette pour 9h. Bye!

— Merci mec! À tout à l’heure.

J’entends le bruit de la porte. Je suis seul avec les deux reubeus, toujours allongé au sol, à moitié prostré. Les deux reubeus s'approchent.

— Ça va la pute?

— Oui Maître!

— Parfait alors. Tu nettoies tout, tu finiras par nos bites!

— Oui Maître!

Et me voilà à faire le ménage alors que je tiens à peine debout! Une fois terminé, les mecs me remplissent une dernière fois la gueule de leur jus et me remontent, me foutent dans le camion. Je suis total crade et ne suis plus qu’une douleur, mais la fatigue l'emporte et je m'endors, malgré tout heureux de ma condition...

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Mercredi 4 juillet 3 04 /07 /Juil 23:46

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Aujourd'hui, tout va mal: mon père a été convoqué par le Dirlo de mon bahut à cause d'une connerie.

Je fais en effet du football américain depuis plusieurs années au lycée. Ce n'est pas courant en France et je préfère cela au foot traditionnel. Je cherchais en fait le contact. J'aurais pu aussi faire du rugby mais le foot US m'attirait davantage. Peut-être à cause du casque, de l'équipement. Toujours est-il que je n'ai jamais regretté malgré les bleus. Grâce à ce sport, j'ai pu me muscler de façon assez harmonieuse. J'ai remarqué à plusieurs reprises que je ne laissais pas indifférents les filles... et certains gars!

Dans les vestiaires, ça mate pas mal. Du coup, comme je suis un peu exhib', j'aime bien montrer mon petit cul cambré aux mecs de l'équipe mais en tout bien tout honneur!

Sauf que, pour une fois, ça a dérapé: je n'ai rien vu venir. Tout à commencé aux vestiaires après le match. Avec un pote de l'équipe, vu qu'on avait gagné la partie, on s'est un peu saoulé la gueule. Oh, pas grand chose: quelques bières mais bon, on commençait lui et moi à avoir un peu chaud... et une envie de pisser phénoménale! Ce con a voulu tout d'abord pisser dans la douche. Et moi, je lui ai dis que c'était dommage que toute cette bonne bière soit perdue!Du coup, je me suis retrouvé à genoux pendant que mon pote me pissait dessus. J'avais la trique et j'ai sorti ma bite de mon survet'. De ma position, je matais ses belles jambes poilues et musclées. J'étais attiré aussi par sa queue mais je me suis abstenu d'y toucher. Peut-être à cause de la pisse... Je ne suis pas uro mais j'avoue avoir été très excité par ce contact chaud sur mon corps. Je me vois encore en train de me branler le chibre au-dessus de ses baskets qui puaient le mâle. Mon maillot puait également mais la pisse...

Je n'ai pas eu le temps de jouir: l'entraîneur, Monsieur F., a débarqué dans le vestiaire et il nous a vus, mon pote et moi. On s'est fait engueulé. Je ne sais pas ce qui l'a mis le plus en colère: le fait que mon pote ait pissé dans le vestiaire ou qu'il nous ait surpris dans cette position. Ou les deux! Je me suis relevé. L'entraîneur a exigé de mon pote qu'il nettoie le sol. Ce dernier ne se l'est pas fait répété deux fois. Pendant qu'il astiquait le sol, j'en profitais pour prendre une bonne douche sous la surveillance étroite de Monsieur F. Il a consenti à nous relâcher, non sans nous avoir fait la morale une nouvelle fois.

Une fois rentré chez moi, j'ai pu souffler un peu. Je n'ai évidemment rien dit à mes parents pour ne pas me faire engueuler une seconde fois.

Le surlendemain, alors que j'avais entraînement avec mes coéquipiers, les Red Foxes (nom dû à la couleur rouge de notre maillot), j'ai été averti par l'entraîneur que le directeur du lycée voulait me voir. Mon sang n'a fait qu'un tour! Cette baltringue m'avait dénoncé!

Alors que je me dirigeais vers le bâtiment administratif, je vis la voiture de mon père qui stationnait sur le parking. Bon! Les deux allaient me tomber dessus! Et moi qui portais encore ce stupide maillot rouge vif! Comme ça, ils me repéreraient de loin!

J'entrais dans le bureau après avoir été annoncé. Je n'en menais pas large. Mon père était déjà là. À mon arrivée, il me regarda sévèrement. Il avait été visiblement averti à son boulot et ça ne le mettait pas en joie d'avoir été obligé d'abandonner momentanément sa chère usine. Mon père est en effet à la tête d'une assez grande boîte. Je ne le vois pas très souvent mais c'est aussi bien car on se prend régulièrement la tête tous les deux. J'allais, une nouvelle fois, avoir droit à une petite séance, avec un témoin en plus! Le Dirlo me regardait avec un sourire en coin. Quel crétin tout de même! Ça devait le faire bander de voir un gars se faire remonter les bretelles par son père. Je n'en mesurai pas à quel point.

— Votre fils s'est donc vu surprendre avec l'un de ses camarades dans les vestiaires alors qu'ils pratiquaient tous deux des actes... dont je ne saurais les qualifier autres que bestiaux! entama le directeur à l'attention de mon père.

— Quels genres d'actes? interrogea mon père.

— Et bien, je dirais que votre fils se livrait à un petit jeu fort peu ragoûtant: il se faisait uriner dessus...

— Quoi? tonna mon père. Salaud! lança-t-il à mon attention.

—... et il se masturbait! ajouta vicieusement le dirlo.

J'étais atterré! Je n'osais plus regarder ces deux hommes qui me faisaient front. Mon père était écarlate. Il desserra légèrement sa cravate afin de reprendre un peu de contenance. Le directeur était, quant à lui, toujours aussi calme.

— Heureusement que Monsieur F. est intervenu à temps. Sans quoi, Dieu sait ce que ces deux-là auraient pu inventer! D'ailleurs, je me demande si...

— Si quoi? coupa mon père. Ne me dites pas qu'ils se sont... comment dire... touchés?

— Nous n'en savons rien, Monsieur F. ne peut être formel sur ce point! Je ne peux donc pas vous dire s'il y a eu ou non... pénétration, insista étrangement le directeur sur ce dernier mot.

Mon père demeura silencieux. Le directeur continua de sa voix doucereuse:

— Il y a peut-être un moyen d'en avoir le coeur net.

Mon père fixa le directeur droit dans les yeux. À ce moment, je crus qu'ils ne faisaient plus attention à moi. Seule comptait la vérité.

— Nous pouvons facilement vérifier... certains détails... qui pourraient nous amener à supposer... qu'il n'y a pas eu viol sur votre fils. Je sais bien qu'il est majeur mais vu les circonstances... laissa-t-il la phrase en suspend.

Sur un signe de tête de mon père, le directeur se leva de son bureau et le contourna. Il se tourna vers moi et m'ordonna:

— Approchez! Plus près! Voilà, maintenant allongez vous sur le bureau... Ne soyez pas empoté voyons! Nous perdons un temps précieux, votre père et moi! Bien, vous voyez quand vous voulez! Approchez, Monsieur, pour constater je vous prie, dit-il finalement à mon père.

Ce dernier approcha. Il fit alors une chose incroyable: tandis que le directeur dégrafait mon pantalon de sport, mon père me plaqua sur le bureau afin de m'empêcher de bouger. Comme je n'avais pas esquissé le moindre mouvement, le directeur ôta mon slip, laissant apparaître mon fessier. Moi qui aimais montrer mon cul, j'étais servi! Je me trouvais dans une position franchement humiliante: j'avais les jambes écartées pendant que le directeur inspectait méticuleusement mon anus! Ce faisant, il expliquait à mon père:

— Voyez! Pas de trace de pénétration! En revanche, vous constaterez que votre fils bande comme un salaud!

Je bandais en effet malgré la situation. Mon père remarqua mon érection et me dit:

— Mais c'est qu'il aime ça en plus!

— Je remarque même un peu de sperme au bout de son gland! D'ailleurs, je dois avouer que ce liquide séminal n'est pas fait pour me déplaire! dit le directeur en portant à sa bouche le doigt sur lequel il avait recueilli un peu de ma semence. Si vous me le permettez, cher Monsieur, j'aimerais comparer avec le vôtre! ajouta-t-il.

— Mais allez-y! répondit mon père tout en se débarrassant de son pantalon et de son slip.

Le directeur se mit à genoux et entreprit de sucer la grosse queue de mon père. Pendant que papa se faisait tailler le jonc par mon dirlo, j'en profitais pour me dévêtir à mon tour et me branler à la vue de ce spectacle bandant: j'admirais les savants coups de langue que prodiguait le principal sur le sexe trapu de mon père. Celui-ci grognait comme un porc, ce qui m'excitait bien. Les couilles de papa ne furent pas oubliées non plus. Puis, les deux hommes se tournèrent vers moi:

— À ton tour de sucer nos queues! me dit papa. Pour commencer, tu vas pomper Monsieur le directeur afin de t'excuser du ton comportement regrettable d'avant hier!

Je m'assis dans le siège du principal et, pendant que mon père poussait ma tête vers le sexe en érection de mon directeur, je me branlais vigoureusement, manquant de tâcher le beau cuir sur lequel j'étais assis.

— Oui, vas-y sale pédé! éructa dans un langage peu châtié mon directeur. Oui, continue à bien m'avaler devant ton père. Montre lui à quel point tu aimes la queue! Monsieur, votre fils suce divinement bien!

— Ah oui? Il suce bien? Montre-moi cela mon garçon, dit papa.

— Voyez comment il s'y prend parfaitement bien! Sentez-vous avec quelle agilité il passe sa langue sur votre gros mandrin. Et la façon qu'il a de lécher les couilles? Absolument divin! Si vous m'autorisez, Monsieur...

— Oui?

— Je souhaiterai que ce pédé nous suce de concert afin de ressentir au même moment le plaisir... vous voyez?

— Mais bien sûr, mon cher! Tu as entendu, fiston? Tu vas sucer papa et Monsieur le directeur en même temps. Voilà! Comme çaaaa! Putain, tu suces bien mon garçon! Oui, prends nos deux bites dans la bouche! Lèche, pédé, lèche bien nos queues! Ça sent l'homme, pas vrai? Ce n'est pas avec tes potes que tu pourras avoir ce genre de braquemart, hein? Profites-en, c'est ça, te branle pas trop vite, mon lapin sinon tu vas partir...

Je me masturbais en effet comme un malade! À genoux en train de tailler les queues de ces deux seniors dont l'un était mon propre père... Jamais dans mes rêves les plus fous je n'aurais imaginé une telle scène. Je les suçais alternativement: papa, puis le directeur, puis mon père à nouveau. J'insistais particulièrement sur la bite de papa. Le directeur le remarqua:

— Je crois que votre fils préfère votre queue à la mienne... sans doute l'esprit de famille! Peut-être l'appréciera-t-il davantage dans son cul...

— Mais vous avez raison, Monsieur! Allez relève toi, mon lapin! Tu vas voir ce que papa va faire à ton cul!

Je fus ramené à ma position première, à savoir allongé sur le bureau. Cette fois-ci, c'est papa qui passa derrière moi, non pas pour inspecter mon cul mais pour l'investir.

— Je vous confirme, Monsieur Le Directeur, que mon fils est parfaitement vierge de la rondelle! C'est qu'il est même serré, le salaud! Voyez son visage crispé! Il ne peut simuler! L'honneur est donc sauf! dit mon père pendant qu'il me pinait de plus belle.

— Vous voyez bien! Je vous avais bien dis que son anus était vierge! Quoique maintenant...

C'est sûr que maintenant, je ne l'étais plus! J'avais perdu mon pucelage dans ce bureau entre un directeur vicieux et un père incestueux. Je sentais celui-ci au plus profond de moi. Sa bite coulissait dans mon cul sans aucun effort. Papa m'enculait sous les encouragements de mon directeur:

— Oui, allez-y: jouissez lui dans le cul! Déversez donc votre sperme dans son fondement!

Et tandis que Monsieur le Directeur éjaculait sur mon dos, je sentis papa se contracter une dernière fois. Il lâcha de puissants jets de foutre qui me déclenchèrent un profond orgasme. Je larguais la purée, ne pouvant retenir un râle de jouissance.

L'année scolaire s'est bien déroulée. Mon équipe a remporté le tournoi inter-lycées. Mon père est beaucoup plus présent: il ne manque plus aucun de mes matchs et tient de m'encourager. À l'occasion de la remise de la coupe, mon directeur a serré la main de mon père en le félicitant sur mes compétences sportives.

Après quoi, papa et moi allâmes en direction des vestiaires, histoire de fêter cela avec une bonne bière!

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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