Cette histoire a eu lieu juste avant noël, elle est vraie, j'ai 46 ans physique normale et monté correctement 19 cm.
Depuis quelque temps j'ai pris gout à la fellation et surtout au jus !
Un matin vers 5 heures je suis partis trainer sur les aires de repos en Belgique (étant frontalier) généralement c'est chaud sur ces lieux de dragues, ce jour la rien, il est déjà 8h il faut que j'aille bosser en repartant je passe la frontière a Baisieux et la il y a un grand parking poids lourds, au désespoir je prends la direction du parking pourtant j'ai jamais rien fait sur ce parking, je roule lentement et j'aperçoit un routier dans sa cabine torse nu poilu putain j'adore, il est pas mal 35 ans environ, c'est un roumain.

Je me gare quelques mètres devant son camion et je descend de voiture et je tente le tout pour le tout, je lui mime de lui proposer une pipe, il me fait signe qu'il n'est pas intéressé par un geste assez viril, d'un air de dire dégage de la.
Généralement je me barre pour pas recevoir un mauvais coups et la je souri et j'insiste grossièrement il ouvre la vitre il me parle, bien sur la barrière de la langue je comprend rien je m'approche du camion il ouvre sa porte, je me dis je vais recevoir un coups de barre de fer sur la tronche, non il a le sourire et de nouveau je lui fait comprendre ce que je veux et que c'est gratuit (car parfois il y a des professionnelles) il est a moitié a poil juste un short de bain, je bande comme un malade et la je lui touche le paquet il ce laisse faire, il commence a bander il a l'air d'avoir une belle bite , il me fait monter dans sa cabine et je commence a le sucer et la son tél sonne il répond et la je me dit merde la recréation est terminé et non il en redemande je le suce pendant que son chef lui donne des instructions au tél c'était divin j'ai pris mon pied en le suçant sa bite de 20cm et je n'ai pas perdu une seule goutte.

Il m'a laisser son numéro de tél et il m'a fait voir sur un calendrier qu'il serait la 4 semaines plus tard, les 4 semaines sont passées je lui ai envoyé un texto (merci au traducteur google) nous nous sommes revu et après ma bouche c'est mon cul qu'il a voulu explorer a mon grand plaisir, pourtant je suis plutôt actif.
Il n'a pas chercher a comprendre après l'avoir sucé il a lubrifier ma rondelle avec sa salive sans mettre de capote il entrer en moi ah que c'est bon, j'ai réussi a lui faire comprendre que le dessert c'était dans ma bouche que je le voulais et j'ai reçu au moins quatre jets de sperme chaud salé dans le fond dans ma gorge. humm

Depuis j'ai reçu un nouveau texto il sera de passage la semaine prochaine j'ai hâte.
Tout compte fait les roumains il n'y pas que du mauvais.

RIDERS59650

Nous étions le 13 février 2014, je venais d'arroser mes 40 printemps lorsque mon regard croisa celui de Farid, 25 ans

il était beau, et sa bosse me troublait !!! je me suis approché de lui et lui demandai si je pouvais lui servir de guide comme il était nouveau il me répondit que oui , et me demanda si j'avais une cave !!! putain quel canon ce petit beur vous auriez vu ses dents et son sourire !! je lui dis que oui et nous nous y engouffrâmes et soudain Farid ferma la porte à clef et tripotant sa bosse me demanda si j'avais déjà sucé un beur ; je répondis non, il sortit son bazooka et me dit "allais suce bâtard"

j'adorais ce terme et je me suis penché pour prendre son falzar en bouche et Farid cracha sur ses doigts et entreprit comme il l'appelait "le fourrage de ma rosette "; il en avait profité pour abaisser mon pantalon de tissu et direct passer deux doigts entre mes fesses ouuuuuuuuuuh c'était booooooooooooooooooooooooon

il m'introduisit alors les doigts dans la rondelle et me dit "tu me chauffes mek , ta petite pastille me fait bander, et tu suces super bien pour une salope je veux dresser ta chatte purée tu m'fais grave bander le piston toi"

je fus jeté sur le sol et il me dit d'écarter les miches; et hop le voilà m'éclatant le fion putain qu'c'est top , je crie "ouiiiiiiiiiiiiii continuuuuuuuuuuuuuuue j'aiiiiiiiiiiimmmmmmmmmme trop; labouuuuuuuuuuuuuure-moi le sillon chériiiiiiiiiiiiiiiiiiii"

il me lima à sec et je fus soudain rempli : il venait de se les vider en moi !

il hurlait " putain trop bonne ta chatte salooooooooooooooooooooooooooooooope; tu m'fais kiffer ; allaaaaaaaaaaais couine salope j'ai encore envie de jouir", et il jouit encore cinq fois en moi

Depuis, nous remettons le couvert quand nous sommes seuls ...

Ce WE je dois vidanger la fosse septique. J’ai contacté un pote qui aime les plans crads, il est dispo c’est parfait. Je déroule le tuyau entre le jardin et la fosse, je mets en place la pompe, j’ouvre le trou d’homme de la fosse et prépare une échelle. C’est bon, tout est prêt et dans une heure mon pote arrive !!!

C’est l’heure, je me fous à poil, je mets mes bottes et j’attends mon pote dans le garage.

« Salut le porc !! T’es prêt ? On y va »

J’amorce la pompe et nous allons tous les deux dans le jardin, au bout du tuyau.

« Met toi à quatre patte, je tiens le tuyau, tu restes la gueule en face »

Bientôt ça commence à couler

« Ouvre la gueule goret »

J’ouvre la bouche et j’en avale, il commence à me doucher et fini par me mettre le tuyau dans le Q pour me remplir. Il le ressort pour que j’expulse et le remet.

On joue comme ça un moment, je suis complètement recouvert de merde, j’ai ai dans la gueule.

Il repose le tuyau et l’on revient à la fosse.

Il met l’échelle dans le trou d’homme et me fais descendre. Mes bottes se remplissent et je suis immergé jusqu’à la taille. Il éclaire l’intérieur avec une lampe torche. Le faisceau explore et s’arrête sur une merde récente.

« Tu sais ce que tu dois faire ? »

Oui, je le sais très bien, je m’accroupi pour avoir la surface au niveau de la bouche, j’ouvre la bouche, le liquide rentre et j’avance jusqu’à la merde. J’avance pour l’avoir dans la bouche, je ferme la gueule, je me relève et je bouffe. Je replonge pour aller chercher la nouvelle merde éclairée.

Comme la fosse se vide, je dois bientôt me mettre à 4 pattes, puis à plat ventre. Il me fait ramper dans la merde.

La pompe se désamorce car le niveau est trop bas.

Je ressors de la fosse et nous retournons au jardin.

Il me fait mettre sur le dos, dans la flaque encore visible, il baisse son froc, me chi sur la gueule et se relève. Il me regarde bouffer sa merde.

« Cool, préviens-moi lorsque la fosse sera de nouveau pleine »

J’étais tranquillement en train de bosser lorsque je sens la vibration de mon mobile dans la poche.

 - Allo.

- Salut ! C’est …, tu te souviens de moi ?

A son nom ma bite durcit instantanément, comme aurais-je pu l’oublier. On s’était rencontré il y a une dizaine de jours. Il habite sur mon chemin en allant et rentrant de mon boulot, j’étais passé chez lui le soir en costume cravate pour un plan suce et uro dans sa cave. Il avait pissé dans ma bouche alors que j’étais encore encostumé et j’avais tenté de tout boire pour pas mouiller mes fringues. Tentative qui s’était soldé par un échec j’avais fini trempé, mais qui était d’autant plus excitante. À cette occasion il m’avait donné son cul pas très propre à bouffer et je lui avais dit que je ne rechignais pas contre un plan scat de temps en temps. Et voila qu’il m’appelait pour me proposer de refaire le plan de l’autre jour en y adjoignant une section scat. Je m’empressais d’accepter. Rendez-vous était donc pris pour ce soir bien qu’à cause de la chaleur j’avais troqué ce matin mon costume cravate pour une fine chemisette blanche et un pantalon beige très clair pour mettre mes bijoux en valeur.

 Les présentations n’avaient plus besoin d’être faites, il m’attendait à la porte de son immeuble en tenue de combat, basquets aux pieds, pantacourt fin qui laissait deviner son érection, marcel blanc. Il était bandant comme c’est pas permis.

 On descend dans les couloirs de sa cave, il sort son braquemart et me le fout dans la gueule. Je ne me suis pas plus déshabillé que lors de notre dernier trip, c'est-à-dire je suis totalement habillé, juste la braguette ouverte pour pouvoir me branler. J’avais eu tout juste le temps de lui dire de faire gaffe que des traces jaunes seraient très visibles sur ma chemisette et que je n’avais rien pour me changer. Ce à quoi il avait répondu « au contraire, c’est encore plus bandant ».

Les mains de chaque coté de ma tête pour bien diriger le mouvement il me pilone la gorge pendant de longues minutes puis ses muscles se tendent et il s’y déverse abondamment. Je savoure son nectar et n’en pers pas une goutte.

Il me prévient alors qu’il va pisser. Cette annonce manque de me faire jouir. Je serre fort ma bite à sa base pour repousser l’orgasme, je ne veux pas jouir maintenant. Il me demande aussi de ne pas jouir maintenant, d’attendre qu’il me l’ordonne.

Sa pisse arrive abondante et en force dans ma bouche. Je tente d’avaler aussi vite que je peux mais c’est autant un échec que la première fois et ma bouche déborde. De grandes quantités viennent tremper ma chemise et mon pantalon. Il ne ralentit pas son rythme pour autant. J’avale ce que je peux, ce que je ne peux pas se déverse sur mes vêtements. L’avant de chemisette doit être bien jaune désormais. Le flot continue à m’abreuver et me tremper pendant de longues secondes avant de se tarir. Il me demande à nouveau d’attendre son ordre pour jouir.

Il me relève et se recule pour admirer son œuvre. En effet, le devant de la chemise est bien jaune et mon pantalon laisse voir mon boxer noir par transparence. Il me demande alors de retirer mon boxer et de remettre mon pantalon. Il range le boxer dans sa poche. Le pantalon ne cache plus rien de mes attributs. Je me demande comment je vais faire pour rentrer chez moi.

Il me donne alors une bouteille d’eau vide et me demande de pisser dedans. Ne sachant pas où il veut en venir je m’exécute. Je remplis un bon tiers de la bouteille. Il jette par terre un carton qu’il avait préparé spécialement et me demande de m’y allonger, ce que je fais. Pendant ce temps il retire son pantacourt.

Il s’installe accroupi sur ma gueule et me dit « je t’avais promis du scat, le voila ». Je pensais qu’il avait oublié, moi je n’étais pas vraiment prêt à me faire chier sur la gueule surtout que je ne voulais pas de traces de merde en plus de celles de pisse sur ma chemise, mais l’excitation qui me transmettait cette situation brisa mes réticences. Et puis je me dis que j’allais lui demander de me prêter des affaires de rechange après que je me serai nettoyé chez lui.

« Bouffe moi le cul ! » Comment refuser un tel ordre. Je lui bouffais donc le cul. Je le sentis pousser, s’ouvrir et lâcher une première bouse bien molle dans ma gueule, je n’avais pas eu le temps de l’esquiver. Lui se redressa un peu et lâcha une autre bouse énorme sur ma gueule qui me couvrit du menton aux yeux.

« Vas-y, branle toi maintenant ! » Encore un ordre qu’on ne peut refuser. Je me branlais. Il sortit des gants en latex de ses poches et commença alors simultanément à vider la bouteille que j’avais remplie sur ma bite d’une main, finissant de tremper l’avant et l’arrière du haut de mon pantalon qui devenait presque totalement transparent, et à étaler la merde sur ma gueule et mes cheveux de l’autre main.

J’explosais alors dans une jouissance comme jamais je n’avais connu. Je compris pourquoi certains appelaient ça la petite mort. Mon sperme s’éleva à plusieurs mètres dans les airs et retomba sur le paillasson qui me servait encore de chemise.

Il me fallut plusieurs minutes pour émerger. Quand je repris mes esprit je réalisais la situation dans laquelle je me trouvais. Dans les couloirs d’une cave, à plusieurs kilomètres de chez moi, j’étais trempé de pied en cap de pisse et couvert d’une bonne couche de merde sur la presque totalité de ma tête, sans oublier la bouse que j’avais encore dans la bouche. Lui était à deux pas en train d’admirer la lope qu’il avait larvé tout en retirant ses gants merdeux qu’il jeta sur mon entrejambes, maculant de merde mon pantalon. Dès qu’il s’aperçut que je revenais à moi il m’ordonna d’avaler ce que j’avais dans la bouche, ce que je fis avec de grands efforts. Puis je lui dis que j’avais besoin d’une douche.

« Pour avoir besoin d’une douche, ça c’est sur, t’as besoin d’une douche. Dépêche toi de rentrer chez toi pour te laver. Au fait, je garde ton boxer, je te le rendrai la prochaine fois. Salut ! »

Je le vois alors se tourner et partir me laissant là, dans cet état, sans aucune possibilité de me changer pas plus que de me nettoyer. Si j’avais été debout mes jambes ne m’auraient pas tenu et je me serais écroulé. J’étais encore allongé. Mon ventre se nouait. Je le voyais s’éloigner dans le couloir, et disparaître derrière une porte.

Je ne pouvais pas imaginer qu’il allait me laisser comme ça mais j’avais beau attendre il ne revint pas. Quand j’essayais d’appeler son portable il l’avait coupé et je tombais directement sur sa messagerie. Je me nettoyais comme je pus avec ma chemisette, la pisse qui la mouillait facilita l’opération mais il était clair que j’étais loin d’avoir enlevé toute la merde. Je fis une boule de ma chemisette et je résolus de rentrer chez moi à pied en évitant le métro et les rues les plus passantes. Je ne sais pas si les gens me dévisageaient puisque je ne levai pas les yeux de mes chaussures. Je ne fus pas épargné de la dernière honte, et la pire, une fois arrivé dans mon immeuble. Alors que je voyais le désastre dans le miroir de l’ascenseur et qu’il commençait à se fermer, j’entendis la porte de l’immeuble s’ouvrir et une course dans le couloir pour l’attraper de justesse. Je me maudis de n’avoir pas choisi les escaliers. C’était mon voisin de palier, un mec d’une vingtaine d’années qui m’a toujours fait fantasmer tant il est beau, qui habitait avec une pouffiasse et que je n’ai pas encore eu le courage d’aborder. Après qu’il m’ait vu ainsi c’est sur que je ne l’aborderai jamais.

Il y a maintenant plusieurs années je suis en train d’éduquer un bâtard en sous race en sous merde. Il s’agit d’un mec mec bien bâti bon gabarit mais totale femelle au pieu !!

Au démarrage de nos rencontres il appréciait fortement les odeurs d’aisselles et de zob buvait la bonne pisse de biture (la plus claire) et les slibards cartonnés !!

Nos rencontres se font à ma demande selon mes envies et humeurs, via quelques ordres par sms il rapplique en général dans la soirée au pire le lendemain matin au réveil !

Au fil de nos échanges il se mit à apprécier de plus en plus les odeurs et demanda même d’avoir assez vite de la bonne jeune à boire…la claire ne lui suffisait plus il l’a trouvait trop fade !

Très vite je m’adapta à ces nouvelles orientations et le reçois en général sans être passé sous la douche depuis de bons jours !! Il rapplique chez moi lui laisse entre ouverte et vais m’installer direct dans ma piaule dans une position que je choisis selon mes humeurs ! Lui débarque, se met à poil dans le salon, s’enfile quelques fois un whisky sec ou une vodka bien tassée. Ensuite il se met son collier autour du cou, attaché à sa laisse et rapplique dans la piaule totalement plongée dans le noir. Dès son entrée la pute inhale de bonnes sniffées de jungle et se fous sur le pieu à la recherche des premières odeurs que je lui ai choisi ce soir là (aisselles, slibards, troud’bal, baskets ammoniaquées…).

Très vite il me bouffe littéralement les aisselles moites de sueur qui puent depuis qq. jours, il redescends assez rapidement sur le boxer cartonné depuis bon nombre de temps, il le lèche bave dessus le mouille un maximum histoire e faire ressortir la bonne pisse restée imprégnée dans les tissus.

Je lui fais sniffer le flacon de jungle le baffe le traite de sale pute de raclure et rapidement il me défroque le calbut pour en prendre en bouche une partie toujours pour en faire sortir ce qu’il peut ! En reprenant quelques bonnes sniffées de jungle il redevient salope à mort et se colle rapidement sur les poils de mon cul. Il apprécie de plus en plus me renifler le fion me le humer tel un bon clébard. Très vite aussi il y colle la langue et me le lèche dans les règles de l’art, histoire de pouvoir me décoller quelques boulettes collées et me torcher comme il se doit !! A ma demande aussi lui ai appris à me souffler dans les entrailles pour me remplir d’air afin de pouvoir lui renvoyer en pleine face de bonnes caisses qui fouettent. Il me vide entièrement la vessie en appréciant plus particulièrement celle que je lui fourni au réveil le matin selon nos rencards !!

Tout çà en l’insultant le traitant de bonne souillure, lui claquent le cul de pute comme il le mérite et en le baffant aussi, ce qui il aime depuis quelques mois ! De temps à autres je lui fouille le fion à la pogne la gauche ou la droite toujours selon mes humeurs et envies ! J’aime aussi lui niquer le fion comme une bonne pute il aime se donner à fond pour son chef ai en grande demande. Si ma teub ressort crade ou odorante je lui colle le morceau direct sous le pif et en gueule il n’a pas le choix il me l’a décrasse entièrement. Il est encore en demande de boudins secs ou frais mais encore un peu de chemin avant d’être mon chiotte mais au fil des rendez-vous odorant il est devenu ma pute ma raclure mon PQ ma pissotière….

Il pourra selon son envie confirmer ici ce message !!

Envoyée par: pisseur