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fan de histoires de mec

Mercredi 27 novembre 3 27 /11 /Nov 15:48

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Mon beau frère a résidé pendant 20 ans en nouvelle calédonie.
Il y a un an il a rapatrié la France et s’est installé à 20 km de chez moi.
Nous nous sommes non seulement rencontré mais j’ai découvert ma nièce de 28 ans et mon neveu de 26 que je ne connaissais pas.

C’est un superbe mec 1m 80 à la peau mate, cheveux courts rebelle, imberbe, le type look ados qui me fait craquer.
Chaque fois que nous nous rencontrions je fantasmais sur son corps d’éphèbe et tentais d imaginer comment son corps souple devait être doux.
Ses superbes yeux gris transperçaient le regard des autres.

En juin, j’étais au sauna avec Nicolas mon minou de 22 ans avec qui je partage de nombreux plans cul.
Nous étions devant la vidéo et Nicolas me suçait copieusement .
Furtivement je vis passer vers les douches un jeune mec qui ressemblait à mon neveu. 
Après en avoir discuté avec Nicolas nous convenons de nous glisser prudemment vers les douches accolées au hammam. Depuis plusieurs semaines il n’y avait plus de lumière le noir était presque complet.

Personne n’avait à redire à cette situation qui permettait aux timides de vivre des moments de baise anonyme. Caché derrière mon petit Nicolas je contemplais le corps de ce beau mec de dos, le corps lisse, deux petites fesses fermes une silhouette longiligne avec des cheveux noir tombant sur la nuque. Une beauté. Sous la pluie d’eau le bel éphèbe se retournait face à nous et je reconnu sans hésitation mon neveu.
Il frottait sa bitte avec le savon et nous ne pouvions ni Nicolas ni moi voir la dimension de son sexe.

Puis, mon neveu poussa la porte du hammam.
Avec Nicolas nous décidâmes de suivre sachant qu’il n’y aurait personne d’autre que nous trois.
Doucement, connaissant bien les lieux, Nico et moi avions repéré l’emplacement où se trouvait le neveu. Nous nous assîmes de part et d’autre puis, je sentais que Nicolas faisait une approche sur le corps du neveu.
Comme je commençais à entendre les caresses et les baisés j’approchais ma main pour caresser le corps du neveu. 
Comme je vous l’avais dit, sans poil mais des muscles fins et des pectoraux et abdominaux bien dessinés. 
Comme je sentais mon éphèbe se tortiller de plaisir sous mes caresses, je glissais ma main à la rencontre de cette bitte nouvelle. Elle était petite 16/17 cm et de petit diamètre, les couillles rasées et une couronne de poils courts entourant ce merveilleux organe.

Après toute l’approche nécessaire et y compris la possibilité de lui doigter le fion, ce que je ne me gênais pas de faire, je posais ma tête sur son ventre pour le sucer. Par des coups de rein il me fit comprendre que je pouvais sucer à fond qu’il aimait ça. Après quelques minutes de cet exercice mon neveu alerta « je jouis ! » je lui saisi les fesses pour empêcher qu’il se dégage. Il me lâcha de grande giclées de sperme dans le gosier dont je me délectais. Presque immédiatement après je m’éclipsais du hammam afin qu’il ne me reconnaisse pas. Nicolas continua à le doigter et il m’a même avoué avoir enculé mon neveu et que ce dernier aimait beaucoup ça et qu’il était expert.

Début juillet nous étions, Nicolas et moi, invités chez mon beau frère et dans la discussion j’annonçais que je partait du jeudi au lundi d’après à Marseille pour suivre un projet.
Mon neveu me prit au mot « dit tonton je suis en vacances la semaine prochaine tu voudrais pas me faire visiter Marseille puisque tu y descend ? »
Comme c’était tout à fait possible j’acceptais bien qu’ayant précisé que je n’avais retenu qu’une chambre qu’il devrait partager avec moi.

A notre arrivée à l’hôtel, après 6 heures de voyage et un repas copieux, nous rejoignons notre chambre avec vue sur la mer. Sur le balcon Je contemplais la ville pendant que mon neveu prenait une douche.
J’entendais l’eau couler et je me remémorais le corps que j’avais découvert au sauna. Bientôt, il vint me rejoindre torse nu avec une grande serviette de bain autour de la taille.
« Tonton, je me couche je suis crevé ! je me met à droite ou a gauche dans le lit ? » 
Étant droitier je préférais le sentir à ma droite au cas ou nous pourrions transformer quelque chose. 
« Après ma douche je m’approchais du lit où il était couche sur le dos sur les bras derrière la tête»
Je vis la serviette blanche au sol et lui demandais 
»tu n’as pas de pyjama , » 
« non jamais me dit il tu veux que je prenne un calcons ? » 
« non mais moi non plus je ne porte rien la nuit alors fait attention a garder tes distances » nous avons bien rie puis éteint la lumière.

Nous étions tout les deux couchés sur le dos et quelques minutes après j’entendais sa respiration régulière. 
Il se tournait et retournait dans le lit par mouvement brusque jusqu’au moment ou je sentis son corps près du mien, je sentais sa chaleur et sa jambe contre la mienne. 
Dans un ultime mouvement mon neveu posa sa main gauche sur ma poitrine. 
Dormait il ? bientôt je n’avais plus de doute , je sentais ses doigts glisser sur ma peau en une caresse furtive.

« Romain, tu dors ? je ne suis pas ta copine , c’est ton tonton qui est à coté de toi » « je sais me dit il « et sans hésiter il glissa sa main vers mon pubis puis sur ma queue qui commençais à gonfler. Tendrement il posait un baisé sur mon épaule puis glissait sa tête sous le drap en direction de ma bitte qui cette fois était tendus à mort. Je sentais sa langue sur mon corps puis la douceur de sa bouche qui enfournait ma queue. Putain que s’était bon ! « il me faisait une des meilleure pipe que je n’ai eu à subir… »

au bout de quelques minutes je sentais le flot de mon foutre prêt à gicler. « attention Romain je jouis » à ma surprise il ne se dégageait pas et avalait mon sperme crémeux avec de grand bruit de succion. Il sortit enfin la tête de dessous le drap et vint poser sa bouche pleine de jus sur mes lèvres. Nous partagions la semence jusqu'à la dernier goutte. Epuisé nous reprenions notre position sur le dos « putain Romain je ne m’attendais pas à cette surprise ! » sa réponse fut sans détour « tu crois que je ne t’avais pas reconnu au sauna ? j’avais vu Nicolas et je me doutais bien que c’était toi qui était avec lui ; »

Pendant toute la nuit Romain se blottit dans mes bras puis au matin je sentais sa main se diriger vers ma bitte et me masturber. Je ne tardais pas à bander comme un âne Alors Romain glissa un préservatif sur ma queue et me tournant le dos présentait sa rondelle vers la tête de ma pine. Il avait déjà pris les devant en s’enduisant le fion de gel aussi la pénétration fut simple et la baise d’enfer.

Lul

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Mercredi 27 novembre 3 27 /11 /Nov 13:14

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L'étudiant aime la domination.

J'avais donné rendez-vous à Alex via le net. Ou plutôt, IL m'avait donné rendez-vous. J'avais 21 ans, il devait en avoir 35. J'étais jeune, j'avais soif d'expériences et surtout un sacré feu au cul, pour parler crûment. J'avais répondu à une annonce dans laquelle il recherchait un jeune mec acceptant la domination, aimant la sodomie, les trips uro et les léchages de pieds. A vrai dire, j'avais déjà été initié par Jean-Pierre à ce genre de choses. Si je ne suis pas du genre à me laisser faire par qui que ce soit au quotidien, j'aime être soumis à mes partenaires lors de mes rapports sexuels. Jean-Pierre savait comment me faire du jouir du cul tout en me traitant du surnom affectueux de "ma petite chienne".

Au téléphone, Alex avait pris sa voix la plus virile et s'était mis à jouer les gros durs, afin, disait-il, d'éloigner les mythos et de cerner ma personnalité. Nous avions pris rendez-vous dans un café près des Champs-Élysées. A vrai dire, au premier abord, il ne me plaisait pas tant que ça : moins viril que je l'avais imaginé, un peu plus âgé, pas très frais non plus. Mais peu importe, il avait promis d'excellentes mensurations, un comportement dominateur, et j'avais vraiment hâte de voir ça de mes propres yeux. Nous avons bu une bière en discutant de choses et d'autres. Nous devions ensuite prendre le métro pour aller récupérer sa voiture garée... au bois de Boulogne. Tandis que nous attendions le métro sur le quai de la station Charles-de-Gaulle-Etoile, il me lorgnait d'un air narquois en me disant : "Regardez-moi ça, il est tout jeune, on lui donnerait le bon dieu sans confession, et il n'attend que ça de se faire défoncer !" J'étais profondément gêné par de tels propos, qui plus est dans un lieu public. Mais mon cour battait la chamade et j'avais de plus en plus envie. La voiture était un puissant 4x4 noir immatriculé dans un département éloigné de Paris. Monsieur me fit monter à la place du passager. Nous devions prendre le périph' afin de nous rendre à mon domicile. J'hésitais cependant à accueillir un inconnu dans mon studio. Je n'avais que 21 ans. Que penserait mes parents s'il m'arrivât quelque chose et que j'eusse dû trouver une justification. Pendant le trajet, nous avons très vite parlé des choses sérieuses.

-Montre-moi ta queue, me fit Alex.

-Comment ? Maintenant ? Mais ce n'est pas sérieux !

-Maintenant, je te l'ordonne !

Je ne me fis pas prier plus longtemps et je sortis le paquet, déjà raide comme le pénis d'un taureau en rut.

-Caresse-toi et parle-moi de tes fantasmes, dit-il tout en gardant un oeil sur la route.

Je m'exécutai. Je lui parlai des bonnes bites que j'avais sucées depuis mes 18 ans, de celles que je m'étais prises dans l'anus, de mon goût des sodomies musclées et des paroles brutales.

-Et tu aimes lécher les culs ?

-Oui, j'adore ça.

-Même les culs sales ?

-Je n'ai jamais fait, mais je veux bien essayer.

En réalité, je mourrais d'envie de faire des expériences avec ce type que je connaissais depuis une heure à peine.

Peu de temps après, nous étions chez moi. Je servis un verre d'eau à Alex qui s'assit sur mon lit, en gardant ses grosses chaussures. "Retire-moi mes pompes et lèche-moi les panarads", dit-il. Je pris cela comme un ordre.

Les pieds sentaient légèrement le renfermé et je n'avais guère l'habitude ce genre de pratique mais il avait l'air d'apprécier. Aussi y prenais-je goût au fur et à mesure de ses encouragements. Quand il en eut assez, il me le fit savoir d'un petit geste vif du pied gauche et me précisa qu'il avait envie de que je m'occupe de son entrejambe. A travers le pantalon en cuir modèle motard, la bosse de cette partie de son corps se dessinait magnifiquement. J'étais vraiment pressé de voir la bête. "Doucement, doucement, viens la sentir, d'abord". Ca sentait le cuir, et on devinait l'odeur de la pisse et du foutre. Il me fit dégrafer la fermeture-Eclair et baisser le fût. Quand il vit que je tentais de chercher à savoir ce qu'il y avait sous son slibard, il m'envoya une dérouillée. A mes plaintes, il répondit d'un ton sec : "Alors, t'es ma salope, oui ou non ?"

-Ok.

-Dis pas OK, dis-moi oui, je suis ta salope.

-Oui, je suis ta salope.

Seconde branlée dans la figure.

-Avec conviction.

-Je suis ta salope.

Autre raclée.

-Ce n'est pas encore suffisant.

-Je suis ta jeune pute et j'ai faim de ta bite.

-Voilà, ça, ça me plaît.

Je compris que je n'avais le droit pour l'instant que de renifler son sexe gonflé en le frôlant à travers le slip blanc maculé d'une petite tâche jaune.

Un peu joueur et appréciant de me faire battre, je tentai à nouveau de mettre les mains.

Le coup de poing qu'il m'envoya fut violent et j'en restai abasourdi pendant plusieurs secondes. Tandis que je me frottais encore la joue, il se leva et me donna un nouveau coup sur la tête pour que je reste accroupi à ses pieds. Puis il me reprit violemment par les cheveux pour me coller le nez sur son sexe.

-C'est lui que tu veux, sale chienne, c'est ça, hein.

-...

-Réponds, quand je te parle.

-Oui, j'ai très envie de le voir.

-Alors, répète encore : "je suis ta salope et j'ai envie d'en prendre plein le cul".

Je répétai avec beaucoup de conviction.

- Regarde-moi !

Je levai les yeux vers son visage. Soudain, un gros crachat mêlé de morve vint s'étaler sur ma figure. "On ne pourra décidément rien faire de toi, t'es qu'une pauvre merde. "

Je me sentais humilié et excité à la fois. Je savais que si je voulais avaler le morceau, il me fallait faire un sacrifice.

-Crache-moi encore dans la gueule, lui dis-je.

-Non, c'est "crache dans ma petite gueule de pute" !

J'acceptai et je pris plusieurs paquets de morve à la suite.

Puis vint le moment musclé. Alex m'étala sur le lit, la face vers lui. Promptement, il sortit son engin et décalotta son gland proéminent qui puait la pisse.

-Suce, vas-y !

Je lapai comme une chienne en chaleur. J'engloutis ensuite le gros gland au fond de ma gorge. Je recevais des coups de boutoir sur ma nuque qui m'incitaient à accélérer le mouvement et à montrer encore plus d'enthousiasme.

Alex me repoussa. Puis me dit d'un air décidé : "A nous deux, maintenant ! Retourne-toi !"

Je me retournai pour recevoir plusieurs coups de ceinture. Je lui suppliai d'arrêter, de peur que le cuir n’imprime des marques sur ma peau.

"Je veux que tu te lubrifies le trou !"

Je prie le tube de gel que j'avais préparé au pied du lit, en recueillis une bonne dose sur mon doigt puis me l'appliquai sur l'anus.

"C'est ça, ma petite pute, je veux te voir jouir toute seule !"

Voyant que je n'attendais que ça d'être brutalisé, Alex ajouta deux doigts au mien pour distendre mon fion. Il n'y alla pas de main morte, et cherchait visiblement à stimuler ma prostate. Des gouttes de sperme perlaient déjà au bout de ma bite - si petite comparé à la sienne. Alex me demanda de le sucer une dernière fois tandis qu'il déballait la capote XXL. Sa bite odorante s'était ramollie mais sous l'effet de mes coups de langue, elle ne tarda pas à se raidir et à déployer toute sa magnificence.

En deux coups de bras d'Alex, je fus allongé sur le dos, mes cuisses se retrouvèrent écartées et en un tour de main, j'étais pénétré comme la vache par le taureau.

Lorsque j'eus le cul bien labouré, il se retira promptement, enleva la capote et vint se branler au-dessus de mon visage qui traduisait l'exténuement et la satisfaction. J'étais fasciné par cette bite et ce visage de pervers viril. Sa main allait et venait, faisant glisser le prépuce sur la base du gland. Mon maître m'ordonna de l'aider en lui malaxant les couilles puis en léchant son anus. Ce trou de balle imprégné de sueur et sans doute d'une autre substance peu appétissante n'était pas très à mon goût... Mais j'avais à peine commencé à exécuter les ordres qu'il m'attrapa par les cheveux et colla mon visage sous son sexe qui déversa un nombre incroyable de salves de foutre, à tel point que je crus que cela ne s'arrêterait jamais.

Mon étalon ponctua ce brillant orgasme de ces quelques mots : "Ca y est, salope, t'as eu ce que tu voulais ? Branle-toi comme une vieille pute, maintenant !"

Souillé par la salive et le foutre, je n'eus qu'un seul désir, celui de prendre une douche dans ma baignoire. Alex me rejoignit dans la salle de bain. N'ayant pas encore de rideau de douche, je me lavais assis. Tandis que je me savonnais, sans me demander mon avis, il baissa à nouveau son jean et sortie son épais morceau de chair. Il ne bandait plus, mais je sentais que quelque chose se tramait dans son esprit. Il saisit sa bite molle et un puissant jet de pisse vint me frapper en plein visage. Le jet était abondant, la pisse était jaune et sûrement chargée d'ammoniac tant elle piquait ma peau. Ce soir-là, j'avais décidé d'être animal. L'envie me prit de goûter à cette urine. Elle avait un fort goût amer. Je profitais de ce moment tout en regardant le bel objet d'où venait le liquide.

Après ces deux heures de soumission, je pouvais me laver, me sécher et saluer mon mâle. Il se contenta de me dire que j'avais ses coordonnées et que je pouvais rappeler quand je voulais. La soumission restant pour moi un jeu, je n'ai jamais rappelé Alex, préférant autant que possible changer régulièrement de partenaire et adapter mon anus à différentes tailles et formes de bites.

Ceci est une histoire vraie.

Olav

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Mardi 26 novembre 2 26 /11 /Nov 21:48

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Cette histoire est vrai et a eu lieu il y a environs 3 mois.

Je me nomme Alexandre, j'ai 28 ans. Je mesure 178cm pour 70kg. J'ai découvert mon homosexualité à l'âge de 15 ans. Bien qu'ayant commencé en tant qu'actif aujourd'hui je ne suis que passif. Après deux relation sérieuses assez foireuses, j'ai commencé à être fantasmer sur la soumission. Je m'imaginais nu, attaché sur un sling, le cul offert à un ou plusieurs mecs. Ils me godaient, me violaient sans que je ne puisse (ni ne veuille) me défendre. Puis petit à petit, je commençais à être attiré par un autre genre de soumission. Je ne voulais plus être un slave classique mais un dog. Je ressentais en moi le désir d'être considérer comme un chien soumis, fidèle et obéissant. Je me masturbais régulièrement en pensant à ce fantasme puis petit à petit, je sentais que ce que je ressentais n'était plus de l'ordre de la rêverie mais du besoin. Je commençais à chercher sur le net des vidéo de dotraining mais difficile a trouver. Je me mis en parallèle à acheter du matériel. Je me suis acheté un masque en cuir en forme de tête de doberman, un plug relié à une queue de chien en plastique, un collier, une laisse, des moufles en forme de pâte de chien et une gamelle. Je m'habillais ainsi de temps en temps chez moi seul. Je mangeais dans ma gamelle des céréales avec du lait. Cette situation m'excitait mais je savais qu'il me manquait quelque chose d'essentiel a tout chien : un maitre.

Je commençais alors à rechercher ce maitre. Je trouvais sur des réseaux gays des mecs qui disaient vouloir un bon toutou obéissant puis une fois que le rdv arriva, ils me baisaient puis partaient. Ils ne jouer pas le jeu du maitre. J'étais un cul pour eux et non un chien. Des plans ainsi j en ai eu à revendre. J'ais arrêté de chercher quand je perdis mon boulot (j'étais caissier en grande surface). Je me remis alors à chercher ne sachant que faire de mes journées. Puis il y a 3 mois environs, je parlais de tout et de rien avec un mec sur un de ces réseaux quand il me dit sans que je n y ai fait aucune allusion qu'il recherchait un mec qui se comporterai comme un chien 24h/24. Je lui dis que justement je cherchais un maitre-chien. Il ne me prit pas au sérieux jusqu' a ce que j allume ma webcam et qu'il me vit nu a quatre patte avec mon masque, ma queue de chien et mes pattes. Il me demanda mon téléphone et mon adresse. Je lui donnais les deux et rdv fut fixé pour le lendemain soir chez moi. Après notre conversation je me masturbais comme jamais en imaginant ce rdv. J'éjaculais un jet d une puissance que je ne me connaissais pas.

Peu avant le rdv, je mis ma tenue de chien. J avais laissé le portail de chez moi entrouvert ainsi que ma porte d'entrée. Je l'entendis approcher. Puis il était là devant moi. Je me mis à aboyer et à tourner autour de lui a 4 pattes. Il me dit des mots doux : bon chien, tout doux...Il vit la laisse que j avais mis sur la table, me la mis et me demanda de lui faire le tour du propriétaire. Je luis montrais ainsi la cuisine, le salon, la salle de bain et la chambre. Tout en marchant je sentais le plug en moi et je bandais comme un taureau lol. Puis il commença à me caresser comme on caresse les chiens. Il s'installa sur le canapé, moi à ses pieds. Il alluma la télé et la regarda pendant une heure, une heure et demi...moi je restais a ses pied. Puis il alla à la cuisine, je le suivis. Il prit des kellogs et les versa dans la gamelle. Je me précipitais vers elle quand il me retint par la laisse. Il ouvrit alors sa braguette et se mit à pisser dans la gamelle, sur les céréales. Il me dit de manger. J'hésitais quand il dit de manière autoritaire : Manges. Je mangeais alors les kellogs qui sentaient l urine. Je fini la gamelle en lapant l urine avec ma langue. Ensuite, je commençais à tourner autour de lui pour lui faire comprendre que j avais envie de pisser. Je l attirait vers les toilettes. Il comprit ce que je voulais. Il me demanda si mes voisins étaient la. J aboyais deux fois. C'était le signal convenu la veille pour dire non. Il me sortit alors ans le jardin, il faisait nuit heureusement, et je me dirigeais vers un arbre. Je lever la jambe arrière gauche et commençai à pisser. Après avoir fini, on rentra a l intérieur. Il regarda à nouveau la télé. Puis l'étend et alla dans ma chambre. Il mit une couverture par terre et me dit d aller me coucher. Lui s'allonge sur le lit. On s'endormit ainsi.

Le lendemain matin, il me réveilla. J avais mal dormit n'étant pas habituer à dormir a même le sol. Il m amena a la cuisine. Et recommença le rituel de la veille : gamelle, céréale, pisse que je mangeais, il retira alors le plug en queue de chien et commença à me doigter pendant que je mangeais. Puis il me demanda de le sucer à travers le masque. Ce que je fis immédiatement. Enfin sa queue était dans ma gueule de clebs. Je le suçais pendant une dizaine de minutes puis il me retourna mis une capote et m encula. Ouvert comme j'étais ca rentra facilement. Il me baisa un bon quart d heure ainsi. Il se retira, enleva la capote et me demanda de le sucer. Il joui dans ma bouche et j avalais la semence. Il me dit alors qu'il devait rentrer chez lui. Il partit.

Le soir même eu de ces nouvelles. Il me dit que j étais un toutou comme il en cherchait. On se revit 2 jours après. Cela fait maintenant 3 mois qu'on se voit quasiment tous les soirs. Je ne parle pas en sa présence, j aboie. Il fait du sexe avec moi mais rarement, ce qu'il cherche c'est avant tout un chien, et ca me convient très bien. N'ayant plus de travail, il m a demandé si je voulais vivre chez lui et être son chien 24h/24 et 7j/7, ma réponse fut un simple aboiement. C voulait dire oui. J espère que ca se fera. J en rêve matin et soir.

Si vous voulez connaitre la suite, écrivez moi, je vous dirais si j ai déménagé depuis.

Puppy (Ex-Alexandre)

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Mardi 26 novembre 2 26 /11 /Nov 18:53

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HOMME MÛR

Aujourd'hui j'ai rendez-vous avec un homme mûr pour sucer pour la première fois.

J'ai 18 ans et je suis bi. Pendant longtemps j’ai fantasmé sur le fait de sucer une grosse bite, mais je n’ai jamais sauté le pas et il y a un mois j’ai posté une annonce pour trouver ma première bite.

Cet homme a vu mon annonce sur le net. Il m'a envoyé un mail pour avoir plus d’infos et savoir si j étais OK vu son âge (50 ans). Il s’est décrit comme un homme d’expérience pré à initier un jeunot. On s’est donné rendez-vous dans une rue tranquille dans la ville où on habite tous les deux avant d’aller chez lui.

Il arrive en voiture 2 minutes après moi. Je monte. Il me demande si je suis toujours OK. Je lui fais signe que oui. Il démarre et après 5 minutes on est chez lui. Il referme la porte d’entrée derrière moi et me dit de me mettre à l’aise. Il se prend un verre de whisky et se met dans le fauteuil.

— Bon on va passer aux choses sérieuses maintenant, me dit-il.

Je lui réponds avec un petit oui timide. Cet homme bedonnant (90kg), mûr et poilu m excite énormément.

— À genou et vient me renifler l’entre jambe. Je m’exécute tout en tremblant d’hésitations et me met a 4 pattes, je m’avance vers lui en bougeant bien mes fesses et pose ma tète entre ces cuisses. Je renifle son paquet. Ça sent l'homme.

Dune main il m'agrippe la tète et me l’enfonce encore plus au fond des cuisses, je devine la forme de sa bite à travers la pression quelle exerce sur mon visage. De l’autre main, il me malaxe les fesses à travers mon jean. On me dit souvent que j’ai un beau cul, un cul de fille.

— Hum regarde comment je te malaxe les fesses fillettes. T’aimes ça être dans les mains d’un vieux pervers.

Il m’enlève mon jean et voit les dessous féminins qu’il m’avait demandé de mettre. À savoir un string, des bas et une porte-jarretelle

— À qui tu a piqué ces dessous de coquine ?

— à ma grande sœur.

— c’est une salope comme toi on dire, elle a du en sucer des bites! Tu t es déjà branlé sur ta sœur ?

— non jamais !

Je sens sur ma bouche que son sexe a prise du volume, il commence à respirer plus fort.

— Enlève moi mon pantalon me dit il.

Je m’exécute tout en tremblant alors qu’il me malaxe et me gifle les fesses de plus en plus fortes. Il tire sur mon string et joue avec en le faisant claquer contre mon trou. Son slip cache une bite impressionnante, il commence à bander très dur, on devine facilement la taille de son engin à travers le fin tissu. Il prend ses deux mains et m'appuie sur la tête « lèche». Je lèche sa queue à travers son slip. Je me demande ce que je fais. Je suis en train de lécher le slip d’un homme qui pourrait être mon père, je veux partir et lui demande de me relâcher, je ne suis plus sur de rien, je ne suis pas gay, j’ai une petite copine que Jaime. Mais il refuse : « maintenant que tu ma excite, tu ne crois pas que tu vas t’en sortir comme ça en me laissant avec ma chibre en érection. » Dune main il continu sa pression sur mon crâne pour me maintenir la tète, de l’autre il fait glisser son slip. Ça bite jailli et vient toucher mes lèvres, son gland embrasse mes lèvres. Il bande dur et doit mesurer 20cm. Il retire sa chemise et laisse apparaitre son gros ventre poilu.

— tu sais ce qu’il te reste à faire.

J'hésite, mais je me rends compte que ma bite est sortie du string en dentelle que je porte tellement elle est dure. Dune main je le branle alors que son gland touche mes lèvres.

— ouvre me dit il tout en se relevant. Sa bite rentre doucement dans ma bouche. Sa y ai j’ai ma première bite dans la bouche, et quel bite.

— allez, SUCE ! Suce… suce !

Il me baise la bouche en me maintenant la tête entre ces deux mains imposantes.

— Ouvre plus grand. Avale à fond. Fais tourner ta langue. Tu aimes ça salope ? Réponds-moi !

— oui.

— t’aimes ça sucé des bites de 40 ans hein ! C’est bien ça ! T’avais vraiment envie de sucer toi ! Il continue de me baiser la bouche en m’insultant de salope en me maltraitant la tète entre ces mains de bucherons.

Il me dit « Bon, tu vas me lécher un peu les couilles ! ». Ce que je fis, j’avais ses couilles velues dans la bouche. Il les enfoncé en appuyant dessus.

Après quelques minutes de ce supplice, il me relâche et me demande de le suivre. Il nous emmène dans son bureau et s’assoit sur une chaise.

— Vas en dessous j’ai un truc à faire. Lèche-moi les couilles pendant que j’écris un mail pour le boulot.

Je les lèche, elles sont velues et sentent assez fort. Je pose la langue dessus, lèche, suce et aspire ses bourses.

— c' est bien, tu sais que tu sais y faire salope. Regarde je bande pour toi chienne. Mets-toi à 4 pattes.

J’enlève mon polo et me met en position. Il passe sa bite sur tout mon corps, mon dos, mes bas, entre mes fesses et mon string, dans le cou, partout. Il tapote sa bite sur mon visage.

— Allez reprend ton boulot et suce-moi à fond pétasse.

J’aspire son gland, lèche sa bite et l’enfonce au plus profond de ma gorge.

Je sens son gland toucher le fond de ma gorge. Surement pas assez pour lui vu qu’il force et me baise la bouche. Il va de plus en plus vite je sens quil va jouir, il me tient fermement la tète alors que j’essai de retirer ça bite

— Tiens salope, prends mon nectar chienne. Oh oui t'es une bonne sale pute, je t'ai dépucelé la bouche salope. Et ce n’est surement pas la dernière bite que tu va admirer. Ooooohhhh avale avale. T’aimes ça le sperme sale pute soumise. Tu es né pour servir les hommes et sucer leur bite.

Son sperme jailli dans ma bouche il est chaud et sent assez fort. Il me tient le haut de la tête et le menton. Et me force à avaler. Il me représente sa bite. Nettoie la salope.

Je m’exécute et lèche son gland et le sperme qui resté. Elle est toute propre.

— Tu vois que tu aimes ça, tu bandes comme une salope. Mets mes couilles et ma bite dans ta bouche. Tout devrait rentrer maintenant qu’elle est débandée.

Il me fait accroupir sous le bureau avec son sexe mollasson dans ma bouche alors qu’il s’assoit à sa chaise.

— Garde tout ça en bouche chienne je dois répondre a un mail.

Après 5minute je sens un petit peu de pisse sortir de son pénis. Il me demande de tout avaler. J’avale sa pisse, ça me dégoute, je me lève et commence à remettre mon jean.

— Tu ne crois pas que tu vas partir seulement maintenant je n’ai joui qu’une fois. Regarde c'est toi sur la vidéo. Je nous ai filmés. Je pourrai l’envoyer à ta mère et ta copine, qu’en dis-tu ?

— Non s.v.p. elles ne savent pas que je suis gay, j ai honte.

— Allez excite moi alors, bouge, caresse tes bas. Fais baisser doucement ton stringounet.

Je fais tout ce qu’il me demande. Il rebande à nouveau.

— Viens là à quatre pattes ton cul contre mes jambes salope chienne. Regarde comment ma bite coulisse entre tes fesses sale suceuse de bite. Tu la veux dans ton petit trou de vierge salope ? Je ne bande rien qu’à imaginer que je vais te dépuceler le cul pétasse. Dis-moi que tu la veux ? –

Je ne veux pas, lui dis-je en pleurant. On s'était mi-d'accord sur une pipe c’est tout et vous êtes déjà allé trop loin. Je dois m'en aller je suis désolé '.

— non, non, avaleuse de sperme, tu veux que je montre a ta mère comment t’avales? Je t'encule contre cette vidéo. Prends ce coussin, mets-le par terre, et pose ta gueule de pute dessus.

Je m’exécute il tire mes fesses vers lui et pose une capote sur son pénis long de 20 cm. Il pose son gland sur mon anus et attend quelques secondes. Il regarde mon bas ventre et voit que mon string est tendu à son maximum.

— Ça te plait même si tu ne veux pas l’admettre. Ton moi intérieur c'est ta vraie nature : suceuse de pénis !

Alors que je lui réponds un non-svp étouffé par mon cousin il pousse un grand coup, son gland et une partie de sa bite rentrent dans mon trou vierge. Je cris en relevant la tète il me gifle et me renvoie la tête contre le coussin. Je pleure alors qu'il continue à pousser pour faire rentrer ses 20cm dans mon trou. Après de nombreux vas et vient je sens son ventre sur mon cul. L’enfoiré a glissé ses 20 cm en entier dans mon trou sans mon véritable accord.

— Hum t'es toute serrée salope, j’adore dépucelé des petites pédales comme toi. Je suis bien au chaude j’ai envie de rester là sans bouger. Tu aimes avoir une grosse bite au trou ?

— ça fait mal.

— mais tu bandes dur pédé. Je vais te branler un peu pour que tu jouisses ensuite je t'enculerai sévère pour que tu jouisses uniquement du cul.

Alors qu’il avait toujours sa bite entière dans mes petites fesses de femelles il me branla quelques minutes. Je ne tardai pas à éjaculer. Il me fil lécher mon propre sperme en m’appuyant sur la tête. J'étais véritablement dégouté, maintenant que j’avais joui je n’étais plus du tout excité, je me sentais mal et j'avais envie de vomir.

Pendant ce temps mon anus s’était légèrement resserré sur son sexe, il reprit ses mouvements et m'irrita l’anus tellement il me baisait fort. Je ne prenais aucun plaisir, la douleur était trop présente.

— t es trop bonne chienne, j’ai l’impression d’avoir le cul d'une chienne entre les mains, j’adore tes fesses de fillettes.

Clap clap clap ses couilles tapaient sur mon cul.

— arrêter s.v.p. ça me brule.

— c’est normal pour une première fois. Je te dépucelle avant que de nombreux hommes profitent de toi sale pédé. Dis-moi que tu es honoré que j’ai accepté de m’occuper de ton trou suceuse.

— s’il vous plait...

— dis-le à ton maitre salope.

— merci maitre.

— merci pourquoi pute.

— merci de me sodomiser, de me permettre de sucer.

Sur cette dernière phrase, il me gifla.

– c’est bien chienne t’apprends vite.

Il continua à baisser « ma petite chatte » comme il disait durant des minutes qui me paraissaient interminables. Il allait de plus en plus vite, il se retira et enleva d’un geste rapide la capote qu’il portait. Il m'agrippa les cheveux et vint placer ma tête sous ses couilles.

— Demande-moi ma semence avaleuse de sperme.

— svp.

Il me gifla et mit ses deux couilles dans ma bouche

— Garde-les au chaud et nettoie-les avec des petits coups de langue.

 

Il se branla sur mon visage et éjacula sur mon front, mon nez mes lèvres, mes cheveux. J'en ai partout.

— souris.

Je ne l'avais pas vu venir, il me prit en photo avec l’appareil qui été sur son bureau.

— si tu ne veux pas que j’imprime cette photo à ta copine, tu vas récupérer le sperme avec cette cuillère et l’avaler.

— s.v.p.

— ne discute pas sinon je n’hésiterai pas !

Je récupérai tout le sperme et l’avala. Jeu un haut-le-cœur, je voulais vomir.

— tu vois que tu aimes le sperme pute. Suis-moi va te laver.

Il m’enleva mon string et mes bas et me fit mettre dans la baignoire.

— Rince-toi.

Je pris le pommeau de douche et passa l'eau sur tout mon corps.

Il coupa l eau et m’attrapa l’épaule pour me mettre face à lui.

— Ouvre la bouche et ferme les yeux.

Un jet de pisse chaude arriva sur ma tète, mes cheveux, j’en reçu dans la bouche. Je recrachai tout de suite. Il s’arrêta de pisser et me gifla.

— tu dois avaler ma pisse comme une véritable salope le ferait.

Il m’attrapa le menton et m'ouvrit la bouche. Il glissa son pénis débander dan ma bouche et fit se refermer mes lèvres. Je vais y aller doucement pour que tu aies le temps de tout avaler sale pisseuses.

Il pissa ainsi des petits jets en se retenant. Il veilla à ce que j’avale bien. Il eu vite fini heureusement, mais j’avais avalé toute sa pisse.

Il partit en me demandant de déposer un doux baiser sur son gland. Je le fis et referma mes lèvres dessus.

Je fis coulisser son gland doucement puis il me laissa me doucher et partir.

Je n’ai rien dit en partant, mais ce pervers ma lancer un « a bientôt salope» en me pelotant une dernière fois le cul et en tirant sur la ficelle de mon string.

J'ouvris la porte et repartis vers chez moi en boitant à moitié.

Si la suite vous intéresse, laissez-moi un mail.

Stso

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Mardi 26 novembre 2 26 /11 /Nov 13:43

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Alors que je me trouvais seul chez moi et que l'ennui commençait à me gagner, je décidais, d'aller de mettre un DVD spécial SM. Les premières scènes commencèrent à m'exciter au point de me branler puis je fus pris d'une envie et j'éjaculais sur moi. J'éteignis la télévision retira le dvd et le foutre encore chaud sur mon abdomen je décidais de tenté une expérience SM. Je pris ma voiture et je me rendis dans une boite ou un lieu aménagé pour les plans cul SM.

Le personnel se rendit compte que c'était la première fois et un des mecs demanda a son pote de me faire visité les lieux, mais, avant allais que je me mette en condition, car je n'étais pas habillé cuir, mais jock-strap, survêt, tshirt. Il ne prêtait aucun vêtement et le mec qui était avec moi me dit

— ici c'est cuir tu sais ont voit que c'est la première fois

— oui j'en ai envie

Pendant que je retirais mes fringues, il vit un peu de sperme séché et dit

— tu t'es fait baiser ?

— non j'ai maté un DVD sm et ça m'a excité et j'ai joui

— ce soir tu seras en réel mec ta quoi sous le survêt ?

— juste un jockstrap

— ok tu retire le reste et garde ton jockstrape actif ou passif ?

— passif

— si tu veux je t'initie si t'aimes ont passe a la vitesse supérieure

Une fois en jockstrape je le suis et ont descend au sous-sol ou se trouve tout le matos pour une baise sm, pendant tout le trajet beaucoup de mecs mon regardé avec un grand intérêt. J'étais presque a poil avec pour seul vêtement un jockstrap. Certains mecs n'hésitaient pas a se caressé la queue d'autres passaient leurs lèvres sur la bouche. On entre dans un endroit ou se trouve un slang chose que j'avais dans le DVD et me faire baisé sur un slang était un de mes rêves il la vu a mon regard. Il s'aperçu également de la bosse dans mon jockstrape et il me sourie voyant que j'étais un peu tendu et il entama la conversation.

— Ça te fait envie le sling ?

— oui

— alors, tu y passeras

— déjà fisté ?

— non jamais

— tu veux essayer ?

— oui

— uro ?

— non

— sperme ?

— oui

— t'avale ?

— oui

Pendant tout son interrogatoire je m'aperçu de la bosse que fait ça bite et ne pu m'empêché de la caresser, il me laissa faire, tout en continuant mes caresses sur son slip je baisse son pantalon, mais, là il retint ma main. Alors il sorti sa queue de son slip une belle bite dont ont voyait les veines gonflée, tellement dressée qu'elle était dure au touché, mais, ne tenant pu je m'engouffrais cette belle bite bien dure dans ma bouche et caressais ses couilles avec mon autre main.

Puis je mis ma main sur ses fesses que je commençais a caressé aussi c'est a ce moment que je mis un doigt dans son cul ce qui le fit gémir et n'eu aucun geste pour l'empêcher. Au contraire, il semblait aimer au point de jouir dans ma bouche avec unetelle force qu'une partie coulait sur mon menton et mon torse. La première fois que je voyais un mec avec un sperme aussi abondant, épais et sucré, c'était délicieux et il le vit quand je léchais son gland afin de récupérer le reste de sperme. Puis avec sa queue il s'amusa un peu me donnant des baffes avec sa bite. Il a vite compris que j'aimais cela alors il me dit sur un ton bien différent qu'au départ.

— allez salle pute monte sur le sling que je vois ton trou de chienne

Une chose que je n'avais pas remarqué, sur son t-shirt il y a écrit « MASTER » ce qui m'inquiéta, mais, il était trop tard je lui avais montré ce que j'étais et il n'était pas près de l'oublier.

— Putain ta la chatte bien ouverte pouffiasse je vais m'occuper de ton cul de lope

— dis-le très fort que t'est une lope une vide couille crie le j'ai dit !

— OUI JE SUIS UNE LOPE ET UN VIDE COUILLES

Tout les mecs entendirent cette phrase, certains venaient même jusqu'a l'endroit ou nous nous trouvions. Le master finit par entrer sa queue de force ce qui me fit crier

— ta gueule salope c'est ce que tu voulais alors ferme là

Mais je criais a ses assauts alors il tourna la tête et demanda un des mecs de venir afin que je le suce. L'un d'eux monté de 19.5 me présenta ça bite et je commençais a le sucé, puis la douleur disparaissais concentré sur le plaisir que je donné au sucé et aussi aux miens que mon cul prenait une belle bite de 25 cm.

— t'aimes la que pouffiasse tu va en avoir dans ta gueule et ton cul

— je fis signe de tête montrant ma soumission

— bien petit pute tu as joui devant un DVD la ce sont des mecs que tu devras faire jouir

Puis il dit bien fort

— CE MEC EST DÉSORMAIS MA PUTE TOUT LE MONDE PEUT LA BAISER COMME IL LE VEUT, MAIS PAS DE COUPS.

Je suçais de plus belle et mon maître éjacula dans mon cul et fit signe a un autre d'y aller. Celui que je suçais me remplit la queue de son foutre que j'avalais avec plaisir. Ce n'était plus une baise en duo, mais une touze que j'acceptais sans me plaindre. Mon maître s'en aperçut et me dit

— allez putain suce bien et avale tout compris

Je fis un signe de tête il entendait mes gémissements et ne fit rien il voulait que je prenne mon pied et souhaité me voir jouir. Puis il s'adressa au mec qui m'encule

— prends-lui sa bite et branle-le je veux le voir jouir

Il dit cette phrase assez fort pour que tout le monde comprenne. J'avais les jambes en l'air bien écarté en train de me faire enculer sans ménagement et j'aimais cela. Le mec qui m'enculait avait joui dans mon cul et mon maître le retint et lui dit

— baise là encore jusque ce que cette femelle jouisse

— j'viens jouir j'ai pu envie

— suce là alors

— non

— suce je t'ai dit

Celui qui m'avait enculé me suça jusqu'a ce que je jouisse et mon suceur se pris mon jus dans sa gueule et moi aussi. Alors deux mecs virent remplacer les précédents et ainsi de suite toute la soirée. De temps en temps mon maître regardait mon cul qui était devenu bien large. Il attendit que les mecs jouissent dans ma gueule et mon cul et que je jouisse pour me faire descendre du sling.

Là un mec avec une queue bien raide s'allonger sur un matelas pendant que je m'empalais cette belle bite bien raide dans mon cul de pute. Puis il me pencha vers le mec que je chevauchais et un second mec fit entré sa queue dans mon cul pendant qu'un 3e se plaça en face de moi pour le sucer.

— Alors salope t'aime sa hein ?

— t'est une vraie pute te faire troncher ainsi

— un trou a bite, un garage a bite une putain à remplir dans tout les trous

— avec moi tu te feras baiser

Il regarda la scène et vit un mec prendre des photos de la baise depuis le début, il le regarda et ce fut Cyrillo qui attendais de m'enculer comme une pute et une chienne a bite, une salope qui veut sont foutre. Le second mec qui m'encula se retira et il allait désigner Cyrillo quand celui-ci lui dit qu'il souhaite me prendre seul. Le maître acquiesça et attendit qu'il soit fini afin de laisser la place à Cyrillo. Une fois les mecs parties Cyrillo et mon maître qui se nomme George ou Maître George laissa Cyrillo faire ce qu'il voulait de moi.

Il entra sa grosse et belle queue dans mon cul et m'encula sans ménagement puis il dit a Maître George

— George va te faire sucer

— oauisssssssssssssss ça à lui plaire acte chienne

— une bonne pute en tout cas

— ouais et en chaleur en plus

Il parlait comme si je n'étais pas là, pour eux j'étais qu'un sac à foutre qui aimait se prendre des bites et avalé le jus quand Cyrillo dit

— alors putain t'aimes ma bite ?

Un signe de tête car occupé a sucé mon maître. Réponds a Cyrillo putain t'aimes sa queue ou pas ? Je me suis retiré et j'ai dit « j'aime ta queue défonce moi autant que tu veux et remplie moi, car je suis la pute de mon maître et je fais ce “l m'ordonne ». Surpris par ma déclaration Cyrillo me défonça le cul lequel commença à gémir puis se mis à me remplir le cul. Il resta dans mon cul de pute pendant un certain temps et se retira. Son gland dégoulinant de jus bien chaud attendit que maître George est jouis et vint me présenter ça bite pour que je la nettoie. Je l'est tellement bien nettoyé que je me suis mis à sucer cette belle queue jusqu'à ce qu'il jouisse à nouveau. J'entendais des gémissements de plaisir et mon maître regardais avec intérêt, mais, sont intérêt se mis droit comme un i alors il entra sa pine dans mon cul et me ramona le fion. Les deux mecs n'ont pas mis longtemps à jouir de nouveau et je nettoyé la bite de Cyrillo de nouveau, puis se fut celle de mon maître que je nettoyais et que je resuçais. Cyrillo dit

— putain ta une bonne suceuse et un garage à bite

— ouais pour cela elle aime ça la salope

— insatiable en-tout-cas

— faudra que je lui présente mes potes

Puis s'adressant à moi

— putain je vais te faire sucé tous mes potes et t'auras du boulot, une bonne suceuse comme toi ça s'arrête jamais

— la prochaine fois tu pourras voir tes exploits en vidéo et non en photos

Puis il se mit à me remplir la bouche et j'avalais le tout. Je me levai sur son ordre il vérifia mon cul et vit qu'il était bien large de quoi faire entré encore deux queues. Cyrillo et Georges se regardaient et il dit

— une fois qu'il se sera empalé sur ma queue, encule-le

— ouais la touche finale pour ta putain

J'avais deux bites dans mon cul et il voyait que je prenais mon pied au point de jouir sur mon maître, mais, eux-mêmes ne tardaient pas à jouir et ils me remplirent le cul en même temps. Puis sans que j'en suis eu l'ordre je léchais mon foutre sur son corps. Voyant que j'étais devenu docile il fit de moi sa pute officielle. Chaque jour je pris les bites de ses potes et avala chaque fois leurs jus. Puis cela changea certains mecs désiraient me pisser dessus et après les autres voulaient me jouir sur le corps.

Un soir je me suis fait défoncer le cul et la gueule que par des mecs tbm et toujours avec mon jockstrap.

FIN

Gaymen

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Mardi 26 novembre 2 26 /11 /Nov 11:29

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J'ai découvert ce site il y a quelques temps. Il y a plein d'histoires vraiment bandantes. Mais celle qui m'a le plus excité c'est une histoire datant de 2009 intitulée "De racaille à Lopsa" qui raconte comment un jeune beur devient la pute soumise de son voisin français super facho. Cela m'a encouragé à raconter mon histoire :

Je m'appelle Habib, 21 ans, 177, physiquement bien foutu. Jusqu'à il y a un an, j'étais un rebeu qui faisait la loi dans sa cité et qui marchait la tête haute dans la rue. Je pensais que tous les blancs étaient soit des pédés soit des femmelettes. Et puis, quelque chose s'est passé il y a un an et je suis devenu maintenant une véritable pute, une chienne soumise à ses maitres blancs et qui suce leurs grosses bites de céfran à longueur de journée.

Tout commence l'été dernier. C'est la nuit et je me ballade dans une rue vide tout en fumant un joint. Là j'aperçois une belle blonde sortir d'une voiture. Je commence à la harceler et à la toucher. Elle résiste, elle me dit de la laisser tranquille. Sur la vie de ma mère, je voulais juste l'embêter un peu. Je n'avais pas l'intention de la violer ou quoi que ce soit. Mais la nana se débat et crie à l'aide. Y a un jeune céfran qui sort de nulle part et qui me saute dessus. Rapidement, il me domine et m'immobilise par terre. Il dit à la demoiselle de s'en aller. Elle le remercie et s'en va. Quand elle part, le mec me dit "Je vais te donner une bonne leçon sale arabe!". Il m'attrape et il me force à avancer jusqu'à la porte de sa maison située juste à coté. Une fois à l'intérieur, il me force à me mettre à genoux devant lui. Je le vois de face pour la première fois. Il est grand (1m84), blond mais avec des cheveux coupés très courts comme les militaires, il a des yeux bleus, il porte un tricot noir sans manches et il a de gros biceps avec des tatouages sur le bras gauche. Putain qu'est-ce qu'il me fait peur! J'ai l'impression d'être à genoux devant un guerrier viking qui va bientôt me péter la gueule.

J'essaye de baratiner pour qu'il me laisse partir :

-Écoute mec je...

-La ferme!

-Mais j'ai...

-J'ai dit la ferme bougnoul!!!

On ne m'a jamais traité de bougnoul de ma vie. Mais au lieu de m'énerver, je commence à bander. Je ne sais pas ce qui ne va pas chez moi mais en tout cas le fait d'être traité comme une merde commence sérieusement à m'exciter.

Il retire son marcel et là WOW! Quel torse bien musclé, bien proportionné avec une peau blanche laiteuse et des tétons rouges qui se dressent fièrement. J'ai l'impression de voir devant moi un dieu nordique. Il baisse sa braguette et sort une magnifique bite non circoncise qui fait dans les 16cm au repos.

-Vas-y salope suce ma grosse bite de céfran!

J'obéis car je sens qu'au fond de moi c'est la chose naturelle à faire. Je commence à pomper cette grosse teub bien odorante. Quand le gland est décapoté, je vois qu'il y a beaucoup de fromage. Ça me fascine car avec ma queue circoncise il n'y a jamais de fromage. Je continue à le sucer. De minute en minute, il s'enfonce de plus en plus dans ma bouche. Sa domination devient à la fois physique et mentale. Je commence à penser que c'est ma place d'être à genoux devant ce demi-dieu et de sucer sa grosse bite de blanc. Quand je lève les yeux, je remarque que son regard est celui d'un homme qui a beaucoup d'assurance et qui est sûr de sa puissance et de sa supériorité.

-Vas-y suce bien grosse pute! Montre moi que tu es une bonne chienne!

Je pompe tellement vite que ma mâchoire commence à faire mal. Je l'entends gémir et se cambrer puis il crache son bon jus de mâle dominant dans ma bouche en disant : "Avale tout, petit rebeu".

On part après dans son salon et il s'installe sur un gros fauteuil en cuir marron. Il me dit "Fous-toi à poil!" puis il m'ordonne de danser pour lui. Ma fierté d'homme reprend un peu le dessus et je lui dis d'aller se faire foutre. Il se lève et il me crache au visage. Ensuite il me donne deux grosses gifles. Je baisse la tête en signe de soumission. Je commence à lui faire une danse arabe bien sensuelle. Je bouge bien et je me déhanche comme une meuf. Sa bite recommence à gonfler.

Il me dit de me mettre à 4 pattes devant lui et de lui présenter mon cul de salope. Il commence à me caresser et à écarter mes fesses qui sont lisses et bien rondes. Il me dit "Allez bouge bien ton cul de beurette!". Je me sens vraiment femelle et ça m'excite de l'entendre me traiter de pute et de cochonne. Le spectacle l'excite aussi alors il me demande de m'empaler sur sa grosse bite. Ça fait mal au début mais très vite je commence à gémir en bougeant mon cul sur sa grosse teub de céfran. Je monte et je descends. Je bouge bien mon cul et je contracte mes muscles pour bien serrer sa queue. Il me donne des fessées et il me traite de plein de noms vulgaires. Il attrape mes cheveux et il me dit à l'oreille "JE SUIS TON MAITRE MAINTENANT. JE VAIS FAIRE DE TOI MA BONNE PETITE PUTE BIEN SOUMISE" Je réponds "OUI MAITRE JE SUIS VOTRE CHIENNE, JE SUIS VOTRE SALOPE". Il jouit au fond de mon trou en poussant un puissant grognement viril.

Avant de me laisser partir, il me dit que je dois d'abord me prosterner devant lui et lécher ses pieds en signe de soumission. J'obéis et je commence à lui baiser ses pieds d'homme supérieur. Il me dit "Bon chien" puis il me dit que je peux partir maintenant.

Je me sens humilié mais en même temps ça m'excite énormément. Je sors de chez lui avec une sacrée trique. Quand j'arrive chez moi je me branle en repensant à son odeur, à ses muscles, à sa voix grave,...Je suis officiellement devenu une pute à céfran et j'attends avec impatience la prochaine bite de blanc qui va pilonner mon cul de salope.

Voilà j'espère que mon histoire vous a plu. Écrivez moi pour me dire ce que vous en pensez et si vous voulez une suite.

Habib

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Lundi 25 novembre 1 25 /11 /Nov 15:35

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Voilà moi c'est Nico 32a brun frisé, j'ai les yeux bleus 175 assez musclé. J'ai eu longtemps ue copine qui m'a quitté quand elle a découvert que j'étais bi. Depuis je vis seul et je multiplie les aventures. J'aime faire des rencontres sur internet. L'autre jour je dialoguais sur internet quand un petit rebeu est venu me parler. Il m'a dit qu'il avait 19 ans et jamais fait ça avec un mec. Comme je suis actif, j'ai eu envie de me faire ce rebeu vierge, je lui ai donc dit que je voulais voir sa photo et je lui envoie la mienne. Il était vraiment mignon, grand et bien foutu. Il m'a dit qu'il me trouvait beau et qu'il aimerait faire l'amour avec moi.

On se fixe rencart dans un jardin public. Quand je suis arrive, immédiatement je le trouvai vraiment super mignon

- Moi c'est Nico, et toi ?

- Djamel

- Alors comme ça c'est la première fois ?

Il prend un air macho

- La première fois avec un mec, je baise les filles depuis longtemps

- Les filles ?

- Oui, enfin pas souvent. Les filles arabes elles sont surveillées, et les françaises souvent elles veulent pas des arabes.

Il me plaît beaucoup mais je ne veux pas avoir l'air trop rapide :

- Bon, je ne sais pas, tu es bien jeune...

Il prend un air mi-déconfit, mi-irrité

- Oh, ste plaît, t'es trop beau, allez, je serai gentil avec toi

– Comment ça, gentil ?

Et là j'ai la surprise de ma vie il me répond d'un air candide :

- J'irai doucement

– Quoi ?

- Oui, pour te niquer, j'ai une grosse teub, tu sais

Et là il se prend le fut, dedans ça faisait une grosse bosse. J'en crois pas mes oreilles. Ce gamin veut me baiser, moi !

Je réponds d'un air un peu sévère

- Je suis actif, tu sais, je cherche un jeune passif

Toujours aussi candide et sûr de lui il dit :

- Mais vous les céfran, vous êtes toutes des lopsa pour nous les arabes, t'as un super cul j'ai envie

Et là dessus il tend la main et me caresse les fesses !

Putain, raciste et insultant, en plus ! Je me fâche :

- J'suis pas une «lopsa» comme tu dis, casse-toi

Il me regarde d'un air soudain beaucoup moins gentil, serre les poings. Tout à coup je prends conscience qu'il est plus grand que moi d'au moins dix centimètres, et bien baraqué. Il est capable de me casser la gueule ! Je suis un peu effrayé et bizarrement ça m'excite. J'ai un mouvement de recul, il renifle d'un air méprisant :

- C'est toi qui va te casser, pédale

Un peu fort pour le voisinage... Je ne veux pas d'un esclandre, je tourne les talons. Je rentre chez moi, mais au moment de traverser la rue je le vois à côté de moi.

- T'as la trouille, salope

- Arrête maintenant

Soudain il bondit et m'attrape le bras

- T'es qu'une...

Je suis paniqué, il s'en aperçoit et soudain se met à rire

- T'as peur... (avec un petit rire méprisant) et je suis sûr que ça t'excite

Là dessus je vois que son jogg est nettement tendu, il a pas menti, il est bien monté ce petit con.

Putain, il faudrait qu'il arrête, je vais avoir une drôle de réputation dans mon quartier. J'essaie de crâner :

- Moi, peur, tu rêves, bon lâche moi là, va jouer au game boy

Il blêmit et sa main serre plus fort mon bras

- Mon game boy c'est toi, salope de céfran

Les passants s'écartent prudemment, mais un homme de 40 ans environ intervient

- Qu'est-ce qui se passe ? Cet arabe vous emmerde, Monsieur ?

Bon, le raciste de service ! J'ai soudain très chaud, je le regarde et je dis

- Non, c'est une dispute entre amis, rien qui vous concerne

Djamel m'a lâché et me regarde d'un air un peu étonné. Le raciste dit ''Ah bon'' et s'en va, je l'entends murmurer ''pédales''.

On reste trente secondes comme ça, plantés sur le trottoir. Soudain Djamel me prend à nouveau le bras, mais cette fois plus gentiment

- Merci

- C'est rien, allez, va-t'en maintenant

Mais il ne me lâche pas et murmure, si bas que j'ai du mal à entendre

- Putain, j'ai trop envie de ton cul

J'ai à nouveau une bouffée de chaleur et d'excitation, je me rends compte que je bande. Djamel me dit :

- Je veux te niquer, là maintenant, tout de suite

J'ai la tête qui tourne. Il me dit

- T'es seul chez toi ? C'est loin ?

Comme dans un rêve je m'entends répondre

- Non, c'est tout près

- Alors viens, fais-moi monter, je te paierai si tu veux

Je rêve il me parle comme à une pute ! Je suis tellement excité que je me laisse faire, on arrive dans mon immeuble, pendant qu'on attend l'ascenseur il me pelote

- Putain t'as un super bocul salope, tu as voir, je vais te fourrer profond

Heureusement qu'il n'y a personne ! L'ascenseur arrive, j'appuie sur le bouton de l'étage, il me plaque contre la paroi et frotte sa grosse bite contre mon cul, je suis tellement excité, je me débats faiblement mais ça ne fait que l'exciter encore plus

- Oui, remue tes fesses, salope, tu vas voir je vais te niquer profond

Ce mot ''profond'' me fout des frissons partout. Arrivés sur mon palier, j'ouvre pendant qu'il me caresse les fesses. Dès qu'on est entrés il referme la porte et me colle au mur, et m'embrasse goulûment. Putain qu'il est chaud, putain que sa tige est dure...

Enfin il me lâche et dit

- Toute nue, tout de suite

Je suis choqué par la féminisation, mais je suis trop excité, je me désape il me pelote partout. Il enlève son t-shirt, putain il a de beaux muscles pour 16 ans

- T'es drôlement baraqué ! Tu fais du sport ?

- Oui, de la boxe, alors tu vois, t'as intérêt à être bien gentille

Encore le féminin. Ca m'agace – mais je me rends compte que ça m'excite aussi. Je caresse mon sexe, il me dit sèchement

- Laisse ton ptit clito, c'est ton cul que je veux

Ptit clito ? J'ai tout de même 18 cm bien épais, j'en suis assez fier.

Mais pas le temps de réagir, déjà il baisse son jogg, et là sans mentir j 'aperçois un membre de 22 , 23 cm facile et vraiment très large , je dirai 6 ou 7 cm de diamètre , avec des boules très grosses. Waaaoouu la bête ! Puis je frémis : il veut vraiment me foutre ce monstre dans le cul ? J'ai été baisé qu'une fois, ça m'a fait très mal, et je suis très serré – c'est pour ça que je préfère être actif.

- Alors, tu suces ?

Il appuie sur mes épaules, je tombe à genoux. Aussitôt le mandrin frotte sur mes lèvres

- Suce, le céfran, allez, sois gentille

Sucer, je sais faire, bien même, et ce monstre est très tentant. Je calcule que c'est un puceau, il est excité, il va juter vite si je le suce bien, et comme ça je ne vais pas avoir à lutter pour sauver mon cul. Je déploie toute ma science : petits coups de langue sur le gland, puis léchage des couilles, ensuite je lui gobe la boule gauche, puis la boule droite, puis j'avale le gland. Il pousse un soupir de plaisir

- Oui, comme ça, c'est bon, oui, salope, oui suce mon gros zob

Je m'applique mais je ne peux pas avaler son sexe en entier il est trop gros et trop long. Il s'impatiente, prends ma tête et me lime la gueule

- Ouais, ouais, c'est bon, ouais suce mon zob

Il me domine totalement et me pilonne la gueule, jamais je ne me suis senti un objet sexuel comme ça. Soudain il se raidit

- PUTAIN E VAIS JUTER... OUIII

Ma bouche se remplit, les jets de foutre se succèdent, mais il appuie toujours sur ma tête

- Avale salope, oui, AVALE

Il frissonne pendant qu'il se vide. Puis il me lâche

- Putain, trop top, t'es sacrément bonne toi

Il 'embrasse rapidement :

- Où sont les chiottes ?

Je lui montre, il va pisser. Moi je me lave les dents.

Djamel me sourit

- Je peux prendre une douche ?

- OK, vas-y

- Viens avec moi, t'es toute couverte de foutre

Là, je vois le piège. Il va me niquer dans la douche, ce con ! Je fais non de la tête, mais déjà il n'est plus aussi gentil

- Viens, je te dis, salope, tout de suite

Il me pousse dans la douche et commence à me savonner. Il me demande de faire pareil, je le fais. Le toucher m'excite, son corps est superbe, je rebande à mort. Et lui... waou j'avais oublié qu'à 19 ans on recharge vite ! Il est déjà super dur. Il me regarde dans les yeux d'un petit air très macho

- T'as aimé, hein, t'es toute chaude là hein ? Tu veux te faire enculer, hein ?

- Non, Djamel, je suis actif...

- Ouais, tourne-toi, montre ton cul

Il me caresse et soupire.

- Putain, quel bo p'tit cul

Il commence à me doigter brutalement

- Non ! Arrête !

Il me coince d'un air méchant

- Toi, arrête de faire ta pucelle, t'as envie de mon gros zob, et je vais te le mettre bien profond

Encore ce mot ''profond'' qui m'excite, je cède et je le laisse faire

- C'est bien, t'es une salope de céfran qui aimes les zobs d'arabes hein ? Une tepu, hein ?

Ses doigts me fouillent, je me cambre en effet comme une pute

- Les blanches comme toi ça se fait sauter par les arabes, tu sais ça ? Toutes des chiennes pour nos gros zobs. Allez, penche-toi, pétasse

Il m'oblige à me pencher, cassé en deux dans la douche, lui va derrière moi. Il met beaucoup de savon puis je sens son gland. Je pousse un petit gémissement, ça l'excite

- Ouais, pétasse, tu la veux hein, tu vas l'avoir profond, mais je vais doucement

en effet il pousse doucement, ma rondelle cède, je crie de douleur, j'essaie de le repousser

- AIIIE non, arrête ça fait mal, t'es trop gros

- Oui, il est gros on zob, t'inquiète, tu vas aimer, tu vas en redemander

Il me tient fermement, je n'arrive pas à le faire sortir, mais il ne bouge plus. Quand je finis par me calmer, il reprend très doucement. Son chibre s'enfonce cm par cm, je crie mais il me tient. Mes cris diminuent, la douleur devient moins forte, mais je souffle comme un boeuf.

- Ca va mieux ? Allez, t'as presque la moitié, là

Même pas la moitié ? J'avais l'impression d'avoir un poteau électrique dans le cul. Je le supplie

- Arrête, ste plaît, arrête, non, j'ai trop mal

Il se retire et fait quelques va et vient, je serre les dents en soufflant, il commence à me niquer comme un barbare en mettant vraiment des très gros coup de reins, et moi je hurle de douleur et de de plaisir, puis soudain il accélère, il me pistonne de plus en plus profond, il respire très fort puis

- AAAHH JE JUTE JE TE FECONDE PETASSE

Ca fait pas dix minutes et déjà je me fais remplir pour la 2e fois. Il est secoué de longs frissons, il prend manifestement un pied terrible.

Il me lâche, je m'écroule, il tombe sur moi. On reste comme a deux ou trois minutes sous la douche, puis je commence à étouffer

- Djamel, relève toi, je peux pas respirer

Il se relève et m'aide à sortir de la douche. Soudain il est très doux, très gentil. Il me caresse presque timidement

- Ca va ?

- Putain, j'ai mal partout, j'ai le cul en feu

Il sourit d'un air coquin.

- Elle est grosse hein ? T'as aimé ça

Je ne réponds rien. Son regard devient plus dur

- Alors ? T'as aimé ? Réponds

Je murmure ''Oui'' et il sourit à nouveau, soudain il m'embrasse tendrement. Il murmure

- T'es bonne tu sais, je veux que tu sois ma meuf.

Je me dis ''putain qu'est-ce que c'est que ce trip ?''

 

Il est parti, mais il est revenu dès le lendemain avec toutes ses affaires. Il s'est installé d'autorité chez moi. Dès le premier soir il m'a expliqué qu'il aimait les mecs, que dans sa famille et dans son milieu c'était pas possible, alors il cherchait une ''meuf céfran'', comme il disait. Il disait que tous ses cousins lui avaient dit que les céfran étaient des chiennes dociles quand elles avaient gouté à leurs zobs, et que lui aussi voulait une meuf docile.

- Toi t'es super beau et bien chaude, je vais bien te casser le cul et après tu pourras plus t'en passer

J'hallucinais mais bon il a fallu que j'obéisse. Il m'a sauté trois fois ce jour-là. La première fois c'était cinq minutes après être entré dans mon appart (il m'a carrément sauté dessus). Ensuite il m'a ordonné de lui faire à manger et m'a expliqué que je serais sa femme et qu'une femme doit obéir à son mari. Quel petit con ! Mais si sexy, j'étais toute excitée (merde je me mets au féminin, moi aussi) et j'ai obéi. Après il a dit

- Toute nue et au lit

Et il 'a baisé à fond pendant une bonne demi-heure. Je gémissais comme une pute et j'ai joui sans me toucher. Il l'a senti et s'est écrié

- Oui, mon gros zob te fais jouir, hein, tu l'aimes hein

Et il s'est mis à juter dans mon cul

- Je te féconde, je te marque, le céfran

Puis il m'a câliné et s'est endormi. Vers trois heures du matin, pas habitué à avoir quelqu'un dans mon lit, je me suis réveillé. Il dormait contre moi. Son corps superbe, sa petite gueule d'ange... Je me suis mis à le caresser. Il s'est réveillé et tout de suite m'a allongé sur le ventre et m'a grimpé. Sa bite très dure a trouvé on fion bien ouvert et bien lubrifié. Il m'a pénétré complètement à fond, j'ai senti les poils de son pubis contre mes fesses pour la première fois. Il avait réussi à me planter ! Il ne disait rien il m'a limé lentement et tendrement comme ça pendant près d'une heure, en mordillant mon oreille.

Je me suis tout à coup rendu compte que j'étais comme une fille que son petit ami contente la nuit. Ca m'a terriblement excité et soudain j'ai eu un orgasme du cul, j'ai couiné très fort, ça l'a fait rire et il a dit d'une vois très virile à mon oreille

- Tu jouis, hein, salope, tu sens mon gros zob

- Oui, oh oui, je le sens, c'est énooorme, ohh

Il continuait de rire et mes gémissements se faisaient de plus en plus aigus, il s'est activé d plus en plus vite et profond

- Ah, tu en veux, ah tu aimes la queue, tiens, prends ça – et ça – et ça...

A chaque ''ça'' il me donnait un coup de boutoir j'étais en extase, il s'est mis alors à accélérer puis, presque calme, il s'est vidé. J'ai senti au moins six jets en moi. Il a murmuré

- Tu sens ? Je t'engrosse, je te fais un bébé

Et là deuxième orgasme, je le croyais pas, je couinais si aigu que j'ai eu honte, d'autant qu'on a entendu des coups sourds. Les voisins !!! Merde !

 

Effectivement je suis devenu sa meuf, mes voisins immédiats me traitent avec un peu de mépris, car chaque nuit mes cris ne leur laissent aucun doute sur mon rôle dans notre couple !

nicojo

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Lundi 25 novembre 1 25 /11 /Nov 00:24

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Quand je suis entré au lycée, mes parents m’ont mis à l’internat.

 

Personnellement, je n’y voyais pas trop d’objections : une vaste chambrée unique,

 

Avec une trente jeune corps masculins à mater tous les jours, ça me va tous a fait.

 

Le garçon à coté de mon lit s’appelle David, il est aussi mignon que timide. Les premiers jours, on se parle à peine.

 

Mais je l’observe sous les douches communes, et discrètement, le matin, j’aperçois les gouttes d’eau qui perlent sur sa peau, ses muscles fins qui jouent avec mousse du savon, et quelquefois son sexe tendu encore par les rêves nocturnes…

 

Je m’enhardis un peu et semaines après semaines, j’arrive à vaincre son tempérament farouche et à gagner sa confiance.

 

Le soir, il vient se blottir contre moi, et nous discutons jusqu’à l’extinction des feux.

 

J’entre même dans ses confidences : nous sommes puceaux tous les deux. Il m’avoue un jour qu’il aimerait bien se faire sucer par une fille, mais qu’il n’oserait jamais lui demander cela.

 

Je sens le sang affluer à mes tempes. Le silence se prolonge.

 

J’hésite encore. J’ai les oreilles qui bourdonnent. Et je lui dis tout bas : ‘’Si tu veux, je peux te le faire.’’ David demeure immobile, puis très calme, se lève sans répondre er retourne à son lit.

 

Pendant les deux jours qui suivent, il m’évite manifestement, et moi, par peur du scandale, je n’ose pas lui adresser la parole. Face aux autres copains d’internat, j’essaie de dissimuler mon malaise tant bien que mal.

 

Le troisième soir, à la cantine, je rejoins la table ou David avec quelque pote, prend son diner. Je suis à sa gauche, ma jambe touche la sienne, doucement, puis de manière insistante. Brusquement, sans attendre ses potes et profitant du brouhaha général, il s’en va et me dit tout bas : ‘’Ce soir, minuit, dans les douches.’’

 

Je n’ose y croire. Je ne suis pas sur d’avoir bien entendu, et surtout bien compris. Je redoute les faux espoirs, et j’attends, impatient, l’heure fixée. Un peu avant minuit, n’y tenant plus, je feins d’aller vers les toilettes et je me dirige subrepticement vers les douches.

 

Les minutes s’égrènent, paresseuses, je tremble dans la nuit, de froid et de nervosité.

 

Furtivement, David s’approche de moi, et me regarde, sans un mot dire, droit dans les yeux toujours timides brillent ce soir d’un éclat presque méchant. Il avance la main, et la pose contre ma nuque. La pression qu’il exerce m’oblige à me pencher.

 

Je m’exécute. Je me mets à genoux, et je vois, devant mes lèvres assoiffées, sa bite en érection qu’il tient de sa main libre.

 

Elle est belle, longue, droite et son gland mouillé rougeoie dans le noir.

 

David enfonce brusquement son sexe dans ma bouche bée. Il semble résolu, et l’enfonce jusqu’au bout. Parfois, il la retire et en frappe mon visage. Quand je croise son regard, j’y voie comme une haine qui le rend encore plus beau. Et brusquement, il prend de sa main gauche mon menton, et gicle, sur mon visage, en répandant avec tendresse son jus brulant sur mon front, sur mes joues, sur mes lèvres.

 

Soudain, j’entends derrière moi un bruit suspect, Je me retourne effrayer, et toujours à genoux, je vois Stéphane, le chef de la chambrée, un mec assez vulgaire, mais de loin le plus baraqué et le mieux bâti de tout l’internat.

 

D’une voix sourde, il me lance :’’ Tu crois que je n’ai pas compris votre petit manège. T’es une vraie salope. Tu mérite une punition. Allez, à quatre pattes, ou je te dénonce à tous les mecs de l’internat.’’Aussi effrayé qu’excité, j’obéis à ses ordres. Je le sens derrière moi qui baisse son pyjama, et me crache à la raie un jet de salive.

 

Inquiet du traitement qu’il me réserve, je tourne la tête. J e vois alors un chibre lourd et épais qui se rapproche de mon fion.

 

Un petit gémissement, peur ou désir, monte de ma gorge. Et Stéphane, aussitôt :’’ David, tu m’aides.

 

Tu lui fourres ton pieu dans la gueule, et tu l’empêches de crier cette salope’’ Alors David, tout sourire, se rapproche et met sa bite une nouvelle fois dans ma bouche. En même temps, je sens le sexe de Stéphane qui s’enfonce en moi, délicatement en fait, et avec souplesse. Il s’arrête parfois, pour me laisser souffler, puis il reprend son dur labeur, avec maitrise et énergie à la fois. La douleur se transforme enfin plaisir, et Stéphane m’attrape le sexe qu’il branle au rythme des mouvements de son bassin.

 

Ainsi, je n’ai aucun mal à m’offrir largement. Il me ramone copieusement, me branle à la même vitesse, tandis que David me défonce les gencives. Cela dure un bon quart d’heure, les plus belles minutes de ma vie. Stéphane, manifestement, sait s’y prendre pour profiter du cul de ses camarades de chambrée.

 

Il ne cesse de me branler, et parfois, il me caresse le cou. J’aimerai le voir derrière mon dos.

 

Puis, je l’entends qui me dit doucement : ‘’Oui, c’est bon…’’Je sens le foutre qui me remplit le cul, et je décharge aussitôt une belle rasade. David, pour ne pas être en reste, gicle encore, mais cette fois dans ma bouche, avec une évidence satisfaction. Alors, se dégageant brusquement, Stéphane s’en va et lance d’un ton rogue :’’Ca ira comme punition pour cette fois, mais si je t’y reprends, tu verras ce qui t’attend….

 

Mes sa lui a tellement plus qu’il a recommencé tous les jours sous la douche.

 

NICO

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Dimanche 24 novembre 7 24 /11 /Nov 21:25

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Beaucoup d’entre nous connaisse réputation des Espagnols, il sont chaud surtout quand certain d’entre eux ne se sont pas vider depuis 6 semaine donc des qu’ils peuvent se vidanger il le font mais cette fois ci c’est moi qui les est vider.

 

Petite explication je travaille comme veilleur de nuit dans hôtel, ou des travailleurs espagnol sont venu dormir un groupe de 6 personnes, plus beau les un les autres il on entre 20 et 30 ans environ bien bâtit et surtout bien monter. Moi j’ai 24 ans 1m75 69kg brun les yeux marron et très passif voir un peu sallope sur les bords. Ce soir la je prend mon service de 22h00 et parlant un peu espagnol un des mecs vient me voir et me dit que sa tv ne marche plus, je vais donc voir et je rentre dans la chambre ou les six espagnols c’était réunis tous en short ou en survette moi je matte un peu, les voir comme ça ça m’excite bref je commence a regarder la tv et un des espagnols ferme la porte à clef me regarde et me dit à genoux voulant pas me faire casser la gueule je m’exécute et il commence a sortir sa queue et me dit en français « suce » je m’exécute j’ouvre ma bouche commence a sucer un des mec et les autre commence a se foutre à poil et la le festival des queue dans ma bouche, je ne m’en plaint ceci dit. Des bonne queue entre 18 et 22 cm rien que pour moi je kiff je fait vraiment ma sallope la, après m’être déshabiller je me retrouve sur le lit coucher sur le ventre la tête bloquer sur le lit pour pas voir ce qui se passe et un des espagnol me dit en espagnol « on va tous te passer dessus pas besoin de gueuler on sais que tu aime ça » et il commence a me mettre un doigt puis deux il me lime le cul avec ses gris doigt quel plaisir, il retire ses doigt et présente sont gland qu’il commence a enfoncer dans mon cul je kiff et la il commence ses va et vient et chacun y passe c’est trop bon, à un moment pendant qu’un des mec me baiser je le sens se contracter et dit « fecundo » voulant dire féconder, les salop il me baise sans capote il sort de mon cul et me montre sa queue plein de sperme et me la fait nettoyer et les cinq autre firt pareil il me baiser jusqu'à éjaculer dans mon cul, je nettoyer a chacun leur queue avec les sperme des uns et des autres et pendant ce temps la mon cul dégouliner de plusieurs li!

 

tre de sperme. Au moment de se rhabiller l’un d’entre eux me tendis un short a mettre pour éviter que le sperme ne coule sur mon jeans (et oui je ne porte plus de boxer depuis pas mal de temps) il me demanda de le lui rendre sans le nettoyer.

 

JEUNEETUDIANT

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Dimanche 24 novembre 7 24 /11 /Nov 15:29

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Je suis une grosse salope en manque de sexe. En commençant mon récit de cette façon, vous allez penser que je suis une femme. Si je vous dis que non, vous imaginerez directement que je suis une pédale efféminée. Vous serez encore loin du compte. Je suis un vrai mâle de trente berges avec une bite bien longue et un cul bien profond. Pour 99 % de mon entourage, je suis un hétéro qui se tape des nanas différentes sans arrêt. Des nanas, je m’en suis tapé pas mal mais, aujourd’hui, j’ai tiré un trait sur la gent féminine.

 

Je suis donc une grosse salope en manque de sexe. Très mâle le plus souvent, je me transforme en femelle la nuit. Je vous ai dit que j’étais en manque de sexe. Jamais bien longtemps. Quand mon trou serré me démange et que l'envie de me faire baiser me tenaille, je trouve toujours un moyen d'assouvir mes désirs. Si je ne dis pas non à un bon gode, je n’en préfère pas moins une vraie bonne queue de chair et de sang.

 

D'aussi loin que je me souvienne et depuis que les choses du sexe m'intéressent, j'ai toujours été très porté sur la baise. Les films X, les photos, j’adore mais ça n’a jamais remplacé un vrai contact physique et bestial. Quand j'ai commencé à comprendre que j’étais plus gay que bi, j’ai fréquenté des bars où je matais puis je me laissais tripoter. Mon évolution a continué. J’ai découvert que si ma bite était réceptive aux caresses, mon trou l’était encore plus. Je me doigtais ou je me fourrais des objets dans le fion tous les jours. J’en découvrais tous les secrets de profondeur et de sensibilité. Aujourd'hui, grâce à un entraînement hors norme et une libido hors norme, elle aussi, j'ai donc un trou accueillant, près à recevoir de gros, de très gros calibres à la chaîne. Dans certains endroits, je suis même assez fier d’avoir pour surnom « le Trou ». Quand on a une réputation, il faut savoir l’entretenir pour bien en jouir. Chaque matin, je fais travailler mes muscles pour rendre mon petit trou musclé et souple. Mon but est de bien jouir et bien faire jouir mes partenaires. J’arrive aujourd’hui à mieux serrer les bonnes bites qui me remplissent. Je vous parle de « partenaires » et de « bites »… les deux au pluriel. Je suis en effet un adepte du sexe d’un soir… deux tout au plus. A 30 ans, je ne me sens pas prêt pour une vie pépère avec un seul mec… même s’il a la plus grosse bite du monde.

 

Un ami me disait :

 

- Tu n’es pas encore lassé de toutes ces aventures sans lendemain ? Tu n’as pas peur de finir seul…

 

- Je n’ai que 30 ans ! J'ai encore tant de choses à découvrir et tant d'expériences à vivre.

 

- Moi, je te parle de sentiments… Toi de cul…

 

- Putain de merde ! Je ne suis jamais seul… Enfin, rarement ! J'ai un carnet rempli d'adresses de gars qui ne demandent qu'à honorer mon petit trou de leur visite.

 

- Ne me dis pas que tu as toujours cet ignoble carnet où tu notes tes partenaires ?

 

Silence.

 

- Tu l’as toujours ?

 

- Quand je fais une rencontre jouissive, je note les coordonnées du mec et je n'hésite pas à donner mon avis sur ses… performances.

 

- Et pour le contacter si le besoin s'en fait sentir ! Foutaises ! Tu le dis sans arrêt : « Coup d’un soir et au revoir ».

 

Mon copain n’énervait prodigieusement mais, d’un autre côté, je lui reconnaissais une certaine lucidité. Dans mon petit carnet d’adresses, je griffonnais effectivement des annotations qui me permettaient de retenir la spécialité ou les qualités particulières de chacun de mes… partenaires de jeux.

 

- Tu n’as pas encore couché avec tout ce que tu estimais « couchable » ?

 

- Là où je sors, il m’en arrive constamment des nouveaux.

 

- Le flux et le reflux !

 

- Arrête de te foutre de moi !

 

- Excuse-moi… J’oubliais que tu préfères qu’on « foutre » en toi !

 

- Tu es amer. Moi, je ne crache pas dans ma soupe. J’aime le cul, je le revendique. Je ne suis jamais à cours de sensations fortes. Je suis ouvert à tout. Il y a même encore quelques filles dans ma liste.

 

- Tu essayes de me faire vomir ?

 

- Ce sont généralement des filles qui m'ont bien fait jouir avec leurs doigts, leurs bouches ou leurs godes. Bon, je l’avoue… Ce sont vraiment des « dernières cartouches ».

 

- Tu n’as jamais été bisexuel !

 

- Si tu le dis ! Il y a cependant des choses qui touchent à l’hétérosexualité qui m’excitent… Je rêve de coucher un jour avec un couple qui ferait de moi sa chose.

 

- Tu rêves qu’un mec te saute devant sa bonne femme et qu’il te trouve plus chaud qu’elle.

 

Une petite conversation avec mon copain me stimulait toujours. Le soir même, il me fallait découvrir une nouvelle sensation. J’ai cherché dans mon agenda. Je voulais de la nouveauté, de l'inédit, de la baise "hors norme". Ne trouvant rien, j’ai été faire un tour sur le Net. J’y fréquente quelques sites assez hard. J'y ai déjà fait de sacrées rencontres mais il m'est aussi arrivé de vivre des plans foireux et frustrants. Dans l’état où j’étais, je cherchais un gars prêt à me pousser dans mes retranchements, me soumettre – même en public -, me pisser dessus.

 

De chat en chat, j’ai finalement trouvé une ouverture possible. Il était 2 h 30 du matin mais mon trou palpitait d’envie. J'ai dialogué un moment avec un mec qui m’a proposé de me faire prendre par trois blacks bien montés.

 

- On peut faire ça où ? ai-je tapé sur l’écran.

 

- Pas n'importe où !

 

Ça, j’étais bien d’accord. Rendez-vous m’a été donné dans un quartier de banlieue. Je suis donc sorti de chez moi à 3 h 00 du matin dans une tenue suggestive. Je ne portais qu’une paire de jeans serrant et un minuscule T-shirt noir. J’étais prêt à me faire sauter rapidement. Je me suis dirigé vers le quartier en question en me demandant si, une fois de plus, je ne prenait pas trop de risques. J’ai fini par repérer le chantier de construction qui était le point de rencontre. L’endroit était désert à cette heure de la nuit. Il m’a pourtant semblé voir une lumière dans le cabanon qui servait de cantine aux ouvriers. J’ai à peine attendu cinq minutes et ils sont arrivés. Trois beaux blacks foutus comme des athlètes. Trois paquets moulés et prêts à exploser. En les voyant, j'avais encore plus envie de me faire tringler le cul et la bouche à la chaîne. Trois rien que pour moi !

 

- Je travaille sur ce chantier ! a dit un des trois.

 

- Ah !

 

- C’est un endroit calme pour baiser…

 

- Mais il y a déjà quelqu’un. J’ai vu de la lumière…

 

- C’est le gardien.

 

- Et… ?

 

- Soit il reste et mate, soit il reste et participe… ou alors il va faire un tour… Nous allons voir ça ensemble ! OK ?

 

Le plan avec le gardien m’angoissait un peu mais il était trop tard pour rebrousser chemin. Je crevais de me faire baiser.

 

Les trois gars m’ont précédé dans le cabanon et le premier a parlé avec le gardien. Je l’ai entendu dire qu’il préférait aller faire un tour, qu’il était crevé. Ce qu’il a fait en me regardant à peine. Les trois blacks me regardaient. J’ai brisé la glace.

 

- Allez, les mâles, baisez-moi maintenant, tous les trois ! J'ai le feu au cul et il faudra bien trois grosses bites pour l'éteindre.

 

J’ai sorti une boîte de préservatifs et je l’ai jetée sur la table. La glace était à peine brisée que j’étais déjà à poil et occupé par mes trois lascars.

 

- Bourrez-moi à fond… J’ai deux trous, il faut les occuper… Mon chantier est ouvert…

 

Ils ne se firent pas prier, les gaillards. Mon trou de derrière fut le premier à se faire remplir.

 

- Allez, toi, approche que je suce ton gros sucre anisé.

 

Je venais de m’adresser au plus jeune et sans doute le plus timide des trois… mais pas le moins excité. Il avança et m'enfila sans douceur la tête de sa bite noire entre les lèvres. J'avais la troisième bite dans ma main et je l’agitais pour en maintenir la rigidité. Je voulais que leurs trois bites restent dures assez longtemps pour qu'ils puissent se relayer au moins deux heures dans mon trou.

 

- C’est ça que tu veux ? me murmura mon enculeur à l’oreille. De la bite de black, de la grosse bite de noir ?

 

- Oh oui !

 

- On va combler ton petit trou du cul. Et dans toutes les positions !

 

- Vous gênez pas !

 

- Allez, sur le canapé. Fous-toi à quatre pattes !

 

Je me mis à quatre pattes, la bouche ouverte pour accueillir une bite et la sucer. Le black le plus vigoureux vint coller sa bite contre mes fesses. Il me les écarta, cracha un peu de sa salive dans ma raie et me lubrifia l’entrée. Je suis très serré et le lubrifiant m’est le plus souvent indispensable. Là, grâce à une sniffée de poppers et une bonne dose d’excitation, je devais faire confiance à ma chatte pour qu’elle se montre accueillante et docile. La bite était très grosse mais, à vrai dire, mon cul en avait vu d'autres. Mon enculeur joua un peu avec son gland à l’entrée de mon trou qui n’en pouvait plus. Il donnait d’agréables coups de bite contre mon anus à moitié fermé et soudain je sentis passer son gros nœud quand il me troua la rondelle. S’il avait été doux et patient jusque là, très vite, il commença à me limer sur un rythme rapide et bestial. Les deux autres s’étaient foutus à poil et mataient.

 

- Tu aimes ?

 

- J’adore mais j’adorerais encore plus me sentir rempli des deux côtés. Il y a deux bites qui ne servent à rien, ne gaspillons pas…

 

Un des deux autres blacks grimpa sur la table et présenta sa bite devant mon visage. L’un me pistonnait le cul et l’autre les lèvres. Avec la pointe de ma langue agile, j’adorais titiller cette longue bite depuis le gland jusqu’à la base. J'étais maintenant prêt à recevoir le troisième black pour une double pénétration anale.

 

Celui-ci, le plus jeune, se branlait pour maintenir son érection en attendant de venir m'enculer. Il n’allait pas être déçu.

 

 

Nous avons changé de position et je me suis retrouver dans le canapé-lit. J'écartais largement les cuisses, assis sur la queue qui me bourrait le cul. Ma bouche pompait toujours la même bite. Entre les cuisses de son pote, le jeune black vint placer son gland luisant devant mon trou – juste contre la queue qui l’occupait déjà – et d'une poussée brutale, il entra à son tour. Mon petit cri ne l’arrêta pas. Il y trouva peut-être même une raison de continuer et de me défoncer. Ce n’était pas ma première double pénétration mais ça l’était avec des queues aussi grosses. Le jeune était pugnace mais il peina à trouver sa place dans mon fion car la pine de son copain y occupait déjà pas mal de place. Il agitait les reins comme pour perforer un trou plus large. L’autre recommença à bouger en moi et le nouveau venu profita d'un mouvement de recul de l'engin qui m'enculait pour gagner les quelques centimètres. J’étais au paradis ! Mes deux enculeurs essayèrent de se mettre au diapason et, bien vite, ils trouvèrent leur rythme de croisière.

 

Cette nuit-là, je fus comblé comme je l’avais rarement été. Les trois baiseurs étaient infatigables et ils se relayèrent plus de trois heures dans mes orifices.

 

J’étais très content d'avoir prévu une bonne réserve de capotes XXL. Si j’ai joui, eux aussi n’ont pas été en reste… J’ai terminé ma nuit englué de jus de blacks ! Un must pour les amateurs…

 

J’étais vraiment en chantier

 

NICO76500

 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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