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fan de histoires de mec

Lundi 3 février 1 03 /02 /Fév 00:20

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J’aimais mettre tout nu mon petit goret.

Je caressais son petit ventre rond rempli de mes matières préférées et descendait son slip daubé que je gardais toute la semaine pour que son odeur ne me quitte pas.

Une fois encore, son slip révélait sa négligence à se torcher les fesses, ses non retenues de vessies et ses bonnes traces de branlette qui maculaient le devant.

Je ne pus m’empêcher de le porter à mes narines.

Hum, déjà je sentais bouillonner la lave brûlante dans mes couilles.

Ma queue se raidissait et me faisait mal d’être aussi dure.

Ma langue lécha le devant et le derrière et je roulai rapidement une belle pelle à mon petit pourceau.

Nos langues s’accouplèrent et nos salives abondantes se mélangèrent.

Je m’accroupis devant lui pour décalotter son sexe, le humer et faire le tour de son gland pour me nourrir de son fromton de la semaine.

Je nettoyais la petite tige qui sans retenue gicla d’une belle pisse dorée que je bus à grandes gorgées.

Son pipi coulait en moi et apaisait ma soif en révélant davantage ma faim qui commençait à faire grouiller mon ventre.

Sa queue se raidit et ne tarda pas à expulser du bon sirop sur ma langue. J’aspirais ce petit dard pour en extirper toutes les gouttes de nectar.

Je le retournais et ses petites fesses potelées s’offrirent à mon regard.

J’écartais les belles portions et glissa la langue sur l’anus rose et goûteux.

De joyeux pets sortirent de cet orifice fait pour les offrandes.

Ma bouche devint plus gourmande, ma langue plus insistante.

Je ventousais sa rosette attendant le mets suprême.

Un pet plus long, plus fort, plus odorant m’avertit de l’arrivée prochaine du fruit de ses entrailles.

La bouche ouverte sous ses fesses accroupies, je voyais son trou s’élargir pour laisser passer un énorme colombin qui se logea avec une extrême précision jusqu’au fond de ma gorge.

Je le pipai, il était moulé à souhait, concocter depuis trois jours par mon petit goret préféré.

Son goût était excellent, exquis et je le croquai sans retenue pour l’avaler.

Ma langue se remis à l’ouvrage sur son anus chocolaté.

Un autre en formation rapidement rejoignit son compagnon.

Je me gavai de ses déjections succulentes..

Ses fesses glissèrent sur mon ventre pour me peindre le sexe et les couilles avec sa petite chiasse toute chaude.

Mon sexe pointait et il s’empala dessus.

Je coulissais dans son conduit moite et chaud. Il s’enculait en faisant bouger son postérieur sur ma bite majuscule.

Mes couilles bouillonnaient et je ne pus empêcher l’éruption qui explosa au fond de son trou accueillant.

De suite, il se déplanta me mit son cul à la bouche que je lécha et me prit la queue qu’il me pompa en aspirant les dernières gouttes

Nos bouches s’unirent pour mélanger nos substances, nos queues s’élevèrent pour libérer une fois encore nos liqueurs qui brûlèrent nos ventres.

Nous sommes restés enlacés longtemps en rêvant aux fois prochaines.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Dimanche 2 février 7 02 /02 /Fév 10:01

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Le petit mec qui entrait dans ma voiture suite à un tchat était tout à fait conforme à mes attentes.

De suite, il lança de gros pets pour bien odoriser l’habitacle.

Il se leva un peu de son siège et je passais ma main dans sa culotte pour que mon doigt atteigne son orifice. Il était gluant et il lança encore de gros prouts sonores et alléchants.

J’introduis mon index dans son trou moite et sentis de suite de la belle matière, ce qui me fis triquer roide.

Je sortis mon doigt et le suça, il me regardait et je le lui tendis pour qu'il puisse se le mettre en bouche.

Il suçotait comme un petit ange. On se roula une pelle baveuse en rotant de temps en temps.

Ma langue s’infiltrait dans son nez pour y gober de bons vers sucrés. Je ventousais son nez pour y détacher ses petits crottins délicieux.

Je devenais porcin et ce jeune glissait progressivement à être un petit goret. Je le déculottais et je vis son gourdin dressé au zénith. Je le pris en bouche et son gout excellait ma bouche.

Un goût de pisse, de sperme séché, une belle bite pas lavée depuis deux semaines.

Ma langue s’activait sur son gland fromageux.

Je sentis mon palais être envahi par un doux nectar. Le petit n’avait pu se retenir. Je bus toute cette crème avidement.

Je le suçais jusqu’à ce que sa trique devienne molle et je sentis de suite un flot de pisse au fond de ma gorge.

Je la buvais bien chaude.

Il se tourna et je baissais sa culotte couvertes de bonnes traces de pneu. J’huma et lécha le fond du slip puis mon nez s’infiltra das son orifice gluant. Il me pétarada et je m’astiquais le jonc.

Ma bouche ouverte sur son orifice reçut de suite un long colombin fumant que je pipa, croqua, mâcha, avala.

Je jouis sur ses fesses et le nettoyas de ma langue sans cesse inassouvie.

Je pris sa queue par en dessous et la sentis se raidir. Hum je petit julot commençais à avoir une seconde envie.

On s’embrassa goulûment.

Il me pris ma queue molle et je compris qu’il voulait s’abreuver direct au robinet.

Je pissa et je vis ses yeux qui me regardait et sa gorge qui avalait tout.

Il me pris les couilles et les lécha, les pressa puis mis sa langue dans mon trou du cul.

Le petit goret s’activait sur mon orifice, il me doigtait et suçait ses doigts souillés.

Je poussais lentement et je vis sa bouche s’enrouler sur mon étron qu’il pipait.

Il le croqua et je le vis le mâcher puis il plaqua sa bouche sur la mienne et on se roula un bon patin merdeux.

Puis il éructas, déglutit et une belle gerbe envahit mon gosier de bon porc.

Je recommenca a triquer et je le mis sur le dos et l’encula direct dans son cul moiteux.

Il poussait des petits cris de truie a chacun de mes coups de boutoirs.

Ma queue transperçait son cul merdeux et je jouis dans ses entrailles.

Puis je me vida ma vessie dans son ventre.

Je lui pris ses fesses bouche ouverte pour qu'il s'allège de tout ce qu'il avait en lui : pisse, merde et sperme.

J'avalai tout ce flot sans retenus.

Puis, Je pris sa queue et me régala de son sirop.

 

On se quitta puis bien sûr on se revit pour continuer nos jeux préférés.

 

Envoyée par: nature

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Samedi 1 février 6 01 /02 /Fév 15:44

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En s'installant dans ce vieux bâtiment du 18e arrondissement, il avait privilégié un loyer faible. L'immeuble, proche du métro, était occupé par quelques personnes âgées et une population cosmopolite qui lui plaisait bien. Il venait de province et cela lui confirmait qu'il était bien à la capitale. Il ne prêta pas attention, lors du déménagement à la perte d'un carton, laissé avec d'autres lors de la montée de ses quelques meubles et de ses affaires. Il s'agissait de vieilles bricoles informatiques, câbles, chargeurs, raccords et disques durs anciens. Il aurait du.

Une semaine plus tard, tandis qu'il descendait du 7e par l'ascenseur, un arrêt au 4e étage permit à un grand black d’entrer dans la cabine. Il le regarda de façon appuyée, sourit et lança : « Dites, vous n'auriez pas perdu un paquet de trucs informatiques. Un ami me l'a donné car il l’avait trouvé dans l'ascenseur. J'ai regardé et c'est vous sur les photos. Je file bosser. Passez ce soir vers 19 heures si vous voulez, la porte de droite en sortant de l'ascenseur. »

A 19 heures, les trois occupants de l'appartement l'attendaient dans leur salon, devant un ordinateur portable relié à son vieux disque dur. En diaporama défilait une série de photos. Les siennes. Pas celles des vacances. Celle d’un plan cul. Arrêt sur une image : il était nu, à quatre pattes, un lourd collier au cou. Une bite dans le cul et une autre dans la bouche. On devinait qu’un troisième gars avait pris la photo. Les trois Africains se tournèrent vers lui. Il avaient le même sourire. Dans son dos. La clé tourna dans la serrure.

Un an plus tard. L’appartement du 7e étage avait été vidé progressivement de presque tous ses meubles. Les trois mecs du 4e étage avaient d’abord emporté le canapé qui leur plaisait, puis, un jour, le four à micro-ondes. « Vous nous avez colonisés, maintenant on se sert » justifia l’un d’eux. Ils n’avaient pas touché au lit, à la machine à laver, au fer à repasser et à sa table. Ils lui avaient enjoint d’abord de s’arrêter le soir, en rentrant vers 19 heurs, à leur appartement , pour voir s’ils n’avaient besoin de rien. Il en repartait généralement le cul défoncé, après avoir aussi fait la vaisselle, tâche à laquelle les trois occupants rechignaient. Il remontait chez lui avec au bout du bras un sac de linge à laver et repasser et à remettre le lendemain devant la porte, en partant.

Parfois, l’un des voisins blacks montait seul ou pour lui présenter un visiteur. Un jour, trouvant porte close, il força le verrou. Puis les allées et venues attirèrent d’autres habitants de la cage d’escalier, des jeunes surtout, arrivant à plusieurs, incrédules d’abord mais qui repartaient les couilles soulagées, emportant souvent chacun un objet. Le téléphone arabe fonctionnait bien. Peu à peu les quelques biens du locataire du 7e étage se réduisirent aux vêtements qu’il portait sur lui. Il n’osait plus en acheter. Ceux qu’il déposaient dans la penderie disparaissaient en son absence.

Un soir, épuisé, il s’endormit sans effectuer le repassage. Le lendemain matin, il quitta pourtant l’immeuble rapidement pour aller à son travail. Lourde erreur. Au retour, ils étaient là, silencieux, assis sur la porte qu’ils venaient d’ôter de ses gonds. Ils lui arrachèrent ses fringues et malgré ses protestations, le collèrent contre la table. Ils l’enculèrent sauvagement. Puis un cri jaillit : « Tu m’as sali la bite. » L’un des gars montra son gland tâché de merde et le gifla violemment, l’envoyant à terre. Le locataire fut maintenu plaqué au sol par des bras solides. L’homme s’accroupit et lui commença à lui chier sur la gueule. Sur le palier, on entendit des rires. Le bruit avait attiré les habitués. Il entendit : « Pisse lui dans la tronche. Attends je vais le faire. » Ils l’abandonnèrent au milieu d’une mare de pisse, couvert de merde étalée avec un balai à chiotte qu’ils avaient tenté de lui enfoncer dans la gueule. Le lendemain, sa porte partait avec le camion-benne des encombrants.

Un mois plus tard, « la sous-merde du 7e » avait perdu toute dignité. Il avait surtout perdu son travail car il n’osait plus sortir de l’immeuble. En intérim, les absences ou les abandons sont fréquents, personne ne s’inquiéta. Ses voisins lui avaient interdit l’accès à l’ascenseur, qu’il se réservaient, et « à cause des enfants. » Il devait se déplacer discrètement, nu, les pieds escaladant sans bruit les marches froides de l’escalier, pour enlever ou déposer les sacs de fringues qu’il nettoyait et repassait au service de plusieurs foyers de célibataires. Il frappait aussi à certaines portes, où il était attendu à des moments précis pour servir d’homme de ménage. En début de nuit, il allait dans la petite cour où étaient rangées les poubelles, pour y chercher de la nourriture. Il mangeait souvent en remontant chez lui. Il ne fallait pas traîner. On voulait le savoir disponible, sur son lit, couché sur le ventre, dans l’attente des sexes noirs et épais qui s’enfonçaient résolument entre ses fesses. S’il traînait, il retrouvait le matelas inondé de pisse.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Mardi 28 janvier 2 28 /01 /Jan 16:18

Ça faisait plusieurs semaines que j’étais en contact avec M. On s’envoyait au moins un message par jour sur scatboi. Je lui avais présenté ce que je cherchais, qui j’étais : 47 ans, en Vendée, à la recherche d’une bonne bite bien sale et bien fromageuse, genre pas lavée pendant 2 semaines et d’un bon donneur de merde bien ferme, pour me la donner à bouffer. J’étais disponible le week-end du 11 et 12 janvier pour le recevoir, il pouvait rester le week-end, on allait bien s’éclater dans un plan bien crade.

Lui m’avait exposé ses craintes et réticences : ça allait être difficile pour lui de rester 2 semaines sans se laver la bite mais il allait faire son possible pour arrêter de la laver le 1er janvier, ce qui laissait 10 jours…. Hummmmm, du from en perspective ! Il craignait aussi de tout chier d’un coup et que ça écourte le plan. Il voulait à tout prix éviter les odeurs pour ne pas attirer l’attention en rentrant chez lui, rapport à ses enfants. Il semblait également impressionné par toutes mes expériences en plans scats, lui qui débute. Bref, ça s’annonçait compliqué !

Au lendemain du jour de l’an, coup de théâtre : comme je n’avais pas répondu au message de la veille, il croyait que le plan était annulé et avait décidé de se laver le zob ! Merde, y aurait-il quand même du from à la clé ? Et si c’était juste un mytho ?

Trois jours avant la date prévue, je lui envoie les explications pour venir chez moi : il me répond que c’est bien compliqué, qu’il a peur de se perdre. Ça confirme mes craintes : encore un plan qui va tomber à l’eau !

Il avait finalement prévu de partir de Rennes le samedi à 14h30, ce qui le faisait arriver chez moi vers 16h30, enfin, si tout se passe bien…. Finalement, avant 17h, coup de sonnette à ma porte : il avait réussi à trouver du premier coup.

Je le fais entrer, on passe au salon et on commence à discuter, de tout et de rien… Il m’avait dit qu’il préférait que je le mette à l’aise, pas de plan direct, alors on papote, on commence soft.

Au bout d’un quart d’heure, j’oriente la conversation sur des choses sérieuses : je lui demande s’il avait bien réussi à éviter de se laver la bite, il me répond qu’il avait arrêté de la laver depuis une semaine mais il était pas sûr qu’elle allait être assez crade à mon goût.

tumblr myxnesOXyY1reownto1 500J’ai envie de vérifier : je m’assieds à côté de lui et commence à déboutonner son jeans. Son slip blanc apparaît. Je plonge la main à l’intérieur et sors sa bite. Il ne bande pas. Je la décalotte et découvre un gland tout blanc, recouvert d’un film de from ! Génial ! Crade comme j’aime ! Je commence à sniffer tout ça : ça daube comme j’aime !

Je lui demande s’il a envie de pisser ou chier, il me répond que ça peut venir : je lui propose de passer dans la salle de bains. On se dessape et on passe à la salle de bains. Je décalotte son zob et commence par prendre des photos de ce beau gland tout blanc de from avant de le décrasser avec ma langue. Ça colle tellement à la peau de son gland que je dois insister, avec ma langue, même avec mes dents ! Son gland finit par redevenir tout rose.

On passe dans la baignoire, je commence par lui pomper le dard puis je le retourne pour lui bouffer le cul. Sa raie n’est pas nette. Je mouille mon gland de salive et le glisse dans sa rondelle : il a le cul plein. Je ressors mon doigt marron et le suce, il ressort tout net.

Je m’allonge dans la baignoire et lui dis de s’accroupir avec son cul au-dessus de ma gueule avide de merde. Je sniffe une bouffée de poppers, ça me rend bien porc et lui dis de pousser : je vois sa rondelle qui s’ouvre et la merde qui pointe. Elle n’est pas ferme comme j’aime mais je plaque mes lèvres contre son trou qui me nourrit.

Sa merde, épaisse et pâteuse, remplit ma bouche. Je mâche et sens comme des grains sous mes dents. Il y va progressivement, j’en bouffe un max mais je m’en tartine aussi : la tronche, le torse, les bras, jusqu’au haut des cuisses… je suis bien marron ! Comme je frotte ma tronche contre ses fesses, il se retrouve avec le cul tout marron. L’odeur de merde envahit la pièce mais ça ne me dérange pas, au contraire : je trouve ça hyper excitant ! Hyper déprave !

A un moment, on sort de la baignoire, je m’allonge par terre et lui demande de s’accroupir au-dessus de ma bouche : il continue à me gaver avec sa merde, je me shoote au poppers en en veux encore plus, de la merde ! De la merde ! De la merde !

On retourne dans la baignoire, je suis couvert de merde, du front jusqu’aux genoux. On est debout tous les deux, face à face et j’ai une furieuse envie de me frotter contre lui pour le tartiner de merde mais je me contente de lui rouler une pelle en laissant des traces de merde sur son visage.

Je me refous à genoux et le retourne pour me replonger la tronche dans sa raie merdeuse. Je lui demande de pousser mais il n’a plus rien à me donner. Je m’astique la bite merdeuse et envoie un puissant jet de foutre au fond de la baignoire. Lui aussi se branle et finit par exploser sa jouissance.

Après un nettoyage en règle, on se rhabille et il m’annonce qu’il va rentrer, qu’il ne reste pas. Dommage, j’aurais bien remis le couvert plus tard en soirée ou le lendemain ! Et la pizza à la merde que j’avais imaginée…. Tant pis, ce sera pour une autre fois ! Il part il est à peine 19h.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Lundi 27 janvier 1 27 /01 /Jan 04:55

tumblr m6ukuojSgU1qg4n09o1 500Ce qui suit est arrivé il y a 6mois, aux 18ans de ma fille. j'en ai 2, celle-ci et une autre de 20ans. Je suis marié, 42ans, directeur de banque! jusque là, jamais d'attirance pour les hommes.

Voilà donc... ma fille avait prévu de fêter ces 18ans à la maison avec notre accord, nous l'avons laissé seule avec ses amis et sommes rentrés très tard! Le lendemain, ma femme part travailler, je descend et ma fille était avec 2copines à elle, occupé à ranger ainsi que 2 de ses copains, 2 jeunes rebeus des cités avoisinantes, ils avaient tous dormi ici.

Elles connaissaient ces garçons depuis des années, et si au début, j'avais eu du mal avec eux car un peu branleur et fainéant, mon opinion avait bien changé envers eux, même si j'avais été dur envers eux... les traitant de délinquants et de bâtards à une époque... mais pour moi c'était du passé!

Je les laisse à leurs affaires et monte me doucher. Alors que je suis dans ma chambre, après ma douche, je vois Abdel entrer dans la salle de bain, face à ma chambre et, ne faisant pas attention à ma présence avoisinante, laisse la porte bien entrouverte et se déshabille, se retrouvant nu... j'ai été très surpris de constater que malgré un corps très fin, bien que légèrement musclé (il doit mesurer 1m65 pour 60Kgs à peine), il est doté d'une queue assez grosse. J'ai fait beaucoup de sport, du rugby dans ma jeunesse, je suis habitué a voir des mecs nus et je n'ai jamais eu de soucis, je me situe dans la moyenne masculine, mais avec mon Mètre 85 et mes 85kgs, ma queue me parait soudain petite, en tout cas, en dessous de Abdel. Il va sous la douche et, sans réfléchir, je me suis approché de la porte et je l'ai observé se doucher, admirant son corps et surtout cette queue qui pendait lourdement entre ses cuisses...

Durant quelques minutes, je vais rester figé comme ça, jusqu'à sentir mon sexe gonfler dans mon caleçon....

Soudain, un choc violent dans le dos et me voilà projeté au milieu de la salle de bain... Abdel sort précipitamment de la douche, surpris... et me voilà à ses pieds ainsi que ceux de Mustafa!!!

ET ALORS "PAPA", TU TE RINCE LES YEUX, TU AIMES LES PETITS MECS!!! PUTAIN FRERE, LE VIEUX TE MATAIS DERRIERE LA PORTE.... PUTAIN IL KIFFE "PAPA"... En effet, mon sexe dressé dans mon slip ne pouvait mentir.

Je bredouille tout en me relevant, mes yeux toujours fixé sur cette bite, puis ne sachant où poser mon regard... ECOUTEZ LES GARS,C'EST PAS CE QUE VOUS CROYEZ, JE VAIS VOUS LAISSER. Et je me dirige vers la porte mais Mustafa la referme brusquement AH NON, TU VAS PAS SORTIR COMME ÇA, VA FALLOIR PAYER LE VIEUX!!!

Sans discuter, j'accepte et je leur dis que je vais dans ma chambre chercher mon porte feuille, je reviens aussitôt et leur sors 200€ qu'ils prennent.

Abdel me regarde HE HE HE MAIS TU SAIS, ON POURRAIT ARRANGER QUELQUE CHOSE, J'AI PAS BAISER À LA FETE DE TA CHERIE ET J'AI LES BOULES BIEN PLEINES...

AAAAH WOUAIS, BONNE IDEE réponds mustafa qui baisse rapidement son survêt, me prouvant qu'il n'avait rien à envier à son pote.... une longue queue de 10cm au moins, peut-être plus, quand je sais que ma queue fait 15cm en érection et n'est pas vraiment large.

NON ECOUTEZ LES GARÇONS, ON VA OUBLIER CET INCIDENT, VOUS AVEZ L'ARGENT ET....

TA GUEULE PAPA, ON TE DEMANDE PAS, TU VAS NOUS SUCER CHACUN À NOTRE TOUR SINON ON APPELLE TA FIFILLE CHERIE QUI EST EN BAS, ELLE À DÉJA VU SON PAPA ADORÉ EN SLIP, SA BITE TENDUE ENTRE DEUX GARS????

J'ai vite compris qu'il ne rigolaient pas et de toute façon, je dois dire que je ne débandais pas face à ses deux queues qui se présentaient sous mes yeux... Ils m'ont emmenés dans ma chambre, ils m'ont dit de retirer mon slip

Je me sens confus et gêné, nu devant ces gamins, je suis deux fois plus grand et large qu'eux mais je suis paralysé devant leur aplomb.

Mustafa se poste devant moi et saisit mon sexe ELLE DOIT PAS TROP CRIER "MAMAN" AVEC TOI.... PAS VRAI... POURTANT ELLE EST BONNE TA FEMME, TU VOIS COMMENT ELLE S'ECLATERAIT AVEC MOI....

Alors même qu'ils s'attaquent à ma fierté, je ne bronche pas, ce qui leur plait....

Mustafa va à la porte et Abdel vient et m'ordonne de me mettre à ses genoux, ça y est, je suis certain maintenant que ce n'est pas un jeu. A peine mon genoux est posé que sa main agrippe ma tête et qu'il enfourne sa queue dans ma bouche, pour la 1ère fois, je me retrouve avec un sexe d'homme entre mes lèvres, 9cm/4 qui se poussent dans ma bouche et auquel je résiste à peine, la main dans ma nuque retenant la moindre tentative de recul... j'ai le nez collé à son bas ventre tellement il appuie.... je n'arrive presque pas à respirer et j'entends Mustafa VAS Y FAIS LUI BOUFFER TA TEUB, IL VA DÉGUSTER LE PAPA!!!! TU VAS SAVOIR C QUOI UNE VRAI BITE!!!

Rapidement sa queue prend de plus en plus d'espace dans ma cavité et dès qu'il relâche la pression je me recule afin de respirer un grand coup, devant moi se dresse une grosse bite de 18 bon cm, un gland découvert rose qui ne demande qu'à être manger... ma main prend ses couilles rasées de près et ma bouche se pose tout autour de son gros gland, et je descend le afin de gober sa tige gorgée de sang, elle est grosse et ma tête fait ses mouvements que je n'aurais jamais cru faire un jour

Abdel soupire et me félicite HUUUUUM VAS Y MON COCHON, PUTAIN T'ES UN CHAUD... TU AIMES ÇA HEIN....

Il s'agit d'une erreur de ma part au départ mais je dois avouer que c'est très excitant de sentir cet engin dans ma bouche, comme je disais, je n'ai jamais eu de soucis concernant ma virilité, mais devant eux, tout s'est effondré et ils en profitent.... bien que maladroit de temps à autres, je suce ce membre épais, ma langue virevoltant sur son bout, pour descendre tout le long de ses 18cm.... sous les insultes de Mustafa qui ne rate rien... la main de Abdel derrière ma tête donne une légère cadence, synchronisée avec ses hanches qui vont d'avant en arrière... sa queue glisse délicatement dans ma bouche, durant 5minutes je vais sucer Abdel, avec le plaisir de l'entendre gémir... ALLEZ BORDEL, C A MOI MAINTENANT, LAISSE MOI LA PLACE MON FRERE QUE JE LUI FASSE BOUFFER MA TEUB À CETTE PUTE!!!

Et Abdel se retire pour lui laisser la place et guetter à son tour... Mustafa prend sa bite en main, elle est déjà légèrement plus grosse que tout a l'heure, il ne bande pas encore mais ça va vite venir, et sans aucune délicatesse, me la mets en bouche... VAS Y BOUFFE.... BOUFFE... C ÇA, ÇA TE PLAIT LA QUEUE D'ARABE!!! ALLEZ IL EST BIEN LE PAPA... sa bite prend très vite des proportions géantes dans ma bouche si bien que cette fois, je ne respire plus, il maintient avec force ma tête et ce pieu gonfle en moi et se tape au fond de ma gorge... sans un mot, il se retire, sa queue fait plus de 20cm, je ne peux pas dire combien mais elle est longue et large, c'est impressionnant... il saisit mon visage de chaque coté, rentre sa queue à nouveau et commence ses va et viens entre mes lèvres, TU AIMES... TU AIMES.... SUCE MOI BATARDS... TU TE SOUVIENS, C'ÉTAIT NOUS LES BATARDS QUE TU DISAIS.... TU VOIS CE QU'ILS TE METTENT LES BATARDS??? et il me baise la bouche avec une force grandissante, je me laisse, je ne peux rien dire, à peine je peux sortir des"huuuum" "huuuuum", tout en le suçant, je m'imagine ce que ça aurait été si j'avais eu une bite pareille, j'en aurais fait hurler des gonzesses, il est vrai que je n'ai jamais fait monter ma femme au rideau... il a ralentit mais je le suce avidement, profitant du moindre morceau de chair qu'il m'offre... ma bite, qui me semble ridicule maintenant, me fait mal tellement je bande.... Il me pousse une première fois, je recule, mais je reviens immédiatement pour la reprendre en bouche... il me repousse à nouveau, je tombe en arrière.... PUTAIN ÇA TE PLAIT DE NOUS SUCER!!! et tout ce que je trouve à répondre c'est un oui timide.... j'allais me relever en m'avançant vers lui et il me jette au sol... je bascule et me retrouve à 4pattes... OOOOOOH MON SALAUD... T'EN VEUX PLUS, ON A PAS FINI T'INQUIÈTE... sans me laisser 30 secondes, il glisse sa main entre mes fesses.... HUUUUM TA UNE CHATTE PROFONDE MON GROS, FAIS VOIR TON MINOU....

Et sans aucun ménagement, je sens son doigt trifouiller mon anus, Abdel a quitté son poste et se retrouve à coté de nous... WOUAIS, FAIS VOIR SA CHATTE A "PAPA".... je leur dis non, les gars, c'est une blague, laissez moi maintenant, je vais continuer à vous sucer.... TA GUEULE me lance Abdel... MUSTAFA se dirige vers ma salle de bain et Abdel se lèche les doigts, et d'un coup sec, il en entre un dans mon trou serré.... noooooon stp, mais en même temps je lâche un petit gémissement, plutôt que de me relever, je le laisse tourner en moi avec son majeur adroit.... Mustafa revient avec une bouteille, c'est la bouteille de shampoing, TIENS Abd, VAS Y.... je sens un deuxième doigt s'aventurer en moi, ça me pique un peu au cul mais c'est supportable, il joue quelques secondes avec ses phalanges avant de me foutre une masse de shampooing au cul.... je sursaute car c'est froid, et ses doigts s'insinuent plus fort et plus facilement dans mon fion qui se dilate doucement.... je laisse échapper de petits gémissements, T'ES UNE PUTAIN DE COCHONNE ON VA TE FAIRE GUEULER MON GROS...

Je ne suis obèse mais je reste massif, avec la pratique, étant plus jeune, du rugby...

Abdel se pose derrière moi, je me cramponne sur mes bras, je ne me reconnais pas, je suis au sol, à attendre de me faire enculer par ce gamin... je lui offre mes fesses , sa queue se glisse entre mes fesses bien rondes, je la sens glisses entre elles, j'aimerais tant l'avoir cette bite, il se place, je sens une pression s'exercer à mon orifice.... il pousse une fois.... encore une.... ça ne veut pas rentrer, ses doigts reviennent et écartent mes parois, il commence à me faire mal, Mustafa me fout sa bite en bouche à nouveau..... OUIIII OUIIIII CONTINUE....

Abdel se replace, Mustafa tire ma tête en arrière et me regarde, et un éclair parcourt mon corps lorsque je sens Abdel me pénétrer d'un geste violent, je laisse échapper un cri de douleur mais Mustafa me fout immédiatement un linge en bouche pour que je n'ameute personne, abdel reste immobile 30secondes, sa queue en moi, la douleur lance dans mon corps de la tête aux pieds... REGARDE MOI LE BOUFFON, ON ÉTAIT DES LOOSERS ET MAINTENANT IL PREND NOTRE ZOB DANS SON CUL.... pendant que Abdel entame ses mouvements en moi, je me retrouve à nouveau à sucer Mustafa, sa main me maintient mais il me laisse le sucer sans me commander, la douleur est toujours présente, des frissons parcourent mon corps et je me laisse dominer par eux deux, comme depuis le début!!!! IL A LE CUL TROP BIEN FERMÉ FREROT, TU VAS KIFFER... ON A PAS LA FILLE MAIS LE CUL DU PERE EST TERRIBLE.... SI TU VEUX, ON S'OCCUPE DE TA FEMME APRÈS, QU'ELLE SACHE CE QUE C'EST DE SE LA FAIRE METTRE.... et ils éclatèrent de rire, à ce moment précis, j'ai pris conscience de la situation dans laquelle je me suis fourré et de l'humiliation que je subis.... à leurs yeux, je ne suis meme pas un homme....une bite devant, une derrière, je suis un trou.... mais je me délecte de ces sexe gonflé en moi, mon anus bien dilaté est limé par Abdel, ses coups de butoir sont secs et violents, il agrippe mes hanches tout en accélérant le rythme... je gémis telle une pucelle, ma respiration se fait rapide et saccadée pendant qu'il me bourre le cul.... il jouit au bout de quelques minutes en moi, son jus se répandant dans mes entrailles!!!! Mustafa le remplace sans attendre.... sa bite vient encore élargir mon cul déjà bien dilaté.... HUUUM AH WOUAIS, ELLE ETAIT VIERGE TA CHATTE AVANT DE NOUS CONNAITRE, ALLEZ JE VAIS TE MONTRER COMMENT ON LES BAISE LES PETITS COCHONS COMME TOI.... TU SENS MA BITE DANS TON BON CUL???

Les seules réponses que je peux lui donner sont mes gémissements et mes cris de douleurs, mélangé aux cris de plaisir qui m'assaille.... il me défonce le cul avec agressivité... sa bite entre et sort à toute vitesse, il ralentit et sa main saisit mes couilles qu'il serre fort, j'hurle de douleur....

TA GUEULE "PAPA", TA FILLE VA NOUS ENTENDRE.... et il sert encore, les larmes coulent de mon visage... IL EST OÙ LES BATARDS MAINTENANT, C'EST QUI L'HOMME, TU VOIS C'EST PAS LE TRAVAIL OU LE BEAU COSTUME QUI FAIT L'HOMME.... REGARDE TOI AVEC MA GROSSE TEUB DANS TON CUL!!!! Je lui dis que oui, il a raison, je me rends totalement à lui.... et il me laboure à nouveau, ses couilles frappant les miennes gonflées à mort, je bande à mort, je suis sur le point de jouir tellement je suis excité....

JE VAIS TE FAIRE COUINER COMME UNE BONNE TRUIE, JE VEUX T'ENTENDRE COUINER hurle Mustafa.... et me voilà à imiter les cris de porc, de truie.... selon son bon vouloir!!!! il va me baiser encore quelques minutes avant de jouir en moi aussi, il se bloque en moi, j'ai l'impression que ça dure des heures avant qu'il ne se retire.... je tombe d'épuisement, mes bras me lâchent et je me retrouve à leurs pieds comme une serviette.... en l'espace de 20minutes, me voilà devenu la lope de ces 2gamins, mais quel plaisir!!!

ils sont sortis se doucher, j'en ai fait de même, j'en ai profiter pour me branler et laisser exploser ma jouissance... ils sont partis et ma fille n'a rien remarqué! vivement la prochaine

POLONICO

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Lundi 20 janvier 1 20 /01 /Jan 10:30

04c5fb78b13773b19206669ea0Il était 11h00 du matin, je venais de prendre le train jusqu'à paris pour descendre dans le midi pour les vacances d’été.

Il faisait une chaleur insupportable, et sans rien faire j’avais des auréoles sous mes bras.

Je devais en arrivant à Paris prendre un train pour Nice. Mais qu’elle fut ma surprise quand arrivé dans la gare, il y avait une grève sauvage.

Après avoir pesté un bon moment contre la SNCF, et après mures réflexions, il ne me restait plus qu’à descendre dans le sud en stop.

Repartant de la gare, je pris le métro jusqu'à la porte d’Orléans, porte qui est en direction de lyon. Il «était plus de 15h00 le soleil était écrasant, et avec mon sac cela faisait depuis 45 mn que j’attendais le pouce levé avec une pancarte « Lyon ».

Après plusieurs heures d’attente un gros camion s’arrêta prés de moi, genre 38 tonnes, il baissa sa glace et me demanda où j’allais. Je lui répondis que Lyon n’était qu’une étape car je descendais sur Nice.

Je ne voyais que son visage par la fenêtre et le haut de ses épaule, il était brun, la trentaine le regard noir avec un coté mal viril assez excitant.

Il m’indiqua d’une voie grave qu’il voulait bien m’emmener.

Je fis le tour de la cabine, pris mon sac, ouvris la porte coté passager, et là une autre personne m’aida à monté. Il pris mon sac le mis derrière lui et direction Lyon.

Après une heure de bouchon nous roulions normalement sur A6. Le premier qui m’avait parlé s’appelait Pierre il avait 34 ans et faisait ce métier depuis 5 ans, l’autre s’appelait Steev, il avait la quarantaine, un blond aux yeux bleus. Ils étaient tout les deux torse nu dans la cabine, Pierre portait un short genre short de foot et Steev quand à lui portait un boxer gris.

La bosse que je voyais dans le creux du boxer de Steev m’indiquait qu’il devait avoir un membre assez conséquent, quand à Pierre malgré son short de foot une belle bosse m’indiquant le même présage. Après avoir parlé de tout et de rien pendant le transport, et au bout de trois heures de camion, je commençais à avoir de plus en plus chaud. Je portait un T-shirt blanc et un short mi-long, et je transpirait de plus en plus, je leur dis qu’il avait de la chance d’être torse nu par cette chaleur, ils me répondirent que même torse nu ils avait un peu chaud, mais Pierre en me regardant rapidement car il conduisait, me dit que je transpirait beaucoup et que si je voulais me mettre à l’aise et me mettre torse nu il n’y avait pas de problème. Je ne me fis pas prier car il faisait au moins 45 dans la cabine, je retirai donc mon vêtement et vis que mes deux compère me regardait discrètement, mais me regardait quand même, tout en se touchant discrètement le paquet. Le voyage continuait sans problème quand Steev nous dit :

- Il fait de plus en plus chaud vous ne trouvez pas ? Si ça continu je vais finir, a poil !

 

Pierre le pris au mot et lui dit :

- Eh bien qu’est ce que tu attend pour baisser ton ben ?

il nous répondit qu’il allait avoir l’air con tout seul à poil dans la cabine.

Il me regarda et me dit :

- Je veux bien le baisser mais il va falloir me suive.

Son regard était pétillant et me demandait mon aval je lui répondis que cela ne me posait pas de problème et que je le suivrai volontiers. Je commençais à sentir une bosse pousser entre mes jambes. Steev se cambra mis ses mains derrière ses fesses et baissa lentement son sleep jusqu’au pied. Quand il le baissa son sleep, son sexe se plaqua d’un coup sur son ventre il bandait comme un âne, son gland était bien rouge et sa queue d’une longueur plus q’honnête de plus il était très large. Il me regarda et commença à se caresser doucement, Pierre conduisait d’une main et commençait à se toucher le paquet de l’autre.

Je regardais la main de Steev monter et descendre sur sa colonne, et tout en le regardant, je commençais à ouvrir ma braguette bouton par bouton, puis a faire descendre jusqu’aux pieds mon short.

J’étais maintenant en sleep blanc, je bandais comme un malade et ma bite dépassait presque de mon sleep tout en le regardant je baissais compétemment mon sleep et me retrouvai à poil comme lui dans la cabine avec un sexe tout dur et droit entre mes jambes.

Pierre nous regardait et se masturbait maintenant ouvertement, il avait sortie d’un coté de son short sa bite et se l’astiquait doucement.

Son gland était vraiment impressionnant, et comme son short cachait le reste de sa verge je me disais que si elle était aussi longue que son gland était gros il devait avoir un défonce cul énorme.

Steev mis sa mains sur mon sexe et tout en se masturbant me branlait doucement, sa main était douce mais ferme, je lui caressais les seins tout en masturbant doucement Pierre de l’autre main. Cela dura un petit moment quand Steev se mis à genoux dans la cabine, se présentât devant moi, m’écarta les jambes et enfoui mon sexe dans sa bouche.

Il m’avait avalé ma bite tout entière et il me pompait avec douceur, je vois sa bouche monter et descendre sur ma colonne qui était prête à exploser tellement elle était dure.

Après m’avoir bien astiqué le manche il glissa sa langue jusqu a mon rondelle et commença à me lécher le cul, il faisait une chaleur torride extérieurement mais le fait d’être à trois à poil dans un camion m’excitait vraiment.

Mon anus s’ouvrait tout seul et pourtant je ne suis pas adepte de la sodomie, je sentais sa langue passer sur ma rondelle et entrer en moi.

Il commença à me mettre un doigt puis deux puis trois, je le sentais en moi et ma bite devenait de plus en plus raide et mon gland de plus en plus gonflé.

Il me fit signe de la tête de passer derrière dans la cabine ou il dort d’habitude, ce que je fis sans trop de problème, il me rejoint et ferma le rideau, au passage j’ai vu que Pierre avait pratiquement baissé son short tout en conduisant, et ce que je pensais se vérifia son sexe était très long massif, avec des couilles énormes.

Dans la cabine Pierre me bouffais la bite comme un malade, en même tant il me doigtait et je me disais que ma bite allait éclater tellement je n’en pouvais plus

Au bout d’un moment, il me retourna sur le ventre m’écartât les jambes, J’entendis un bruit de plastique (c’était la capote qu’il ouvrait) et je sentis son gland sur mon anus.

Il me pénétra d’un coup de rein, je me mis a hurler tellement cela me brûlait, il ne bougea plus et s’excusa de m’avoir fait mal, il ne bougeait, plus et la douleur commençait a se dissiper.

Je commençais donc à remuer mon cul pour lui faire comprendre qu’il pouvait continuer il s’enfonça donc lentement jusqu’au moment ou je sentis ses couilles buter sur mon cul, j’avais une sensation de chaleur interne énorme, il commença a me limer doucement, puis de plus en plus vite.

J’avais le cul de plus en plus explosé mais le plaisir qu’il me procurait était intense mes couilles étaient plaquées contre mon ventre et j’avais une énorme envie de cracher mon foutre, je n’eu pas le temps de finir ma pensée que j’entendis un râle de satisfaction. Il venait de m’envoyer sa purée dans le cul il était encore en train de déchargé qu’il me retourna d’un coup et commença à me baiser comme une chienne, il venait a peine de décharge que sa bite était redevenu dur, il me limait comme un malade il transpirait comme un bœuf j’étais sur le point de jouir, quand il se retira et m’aspergea d’une nouvelle giclée de sperme sur mon ventre.

Il eu a peine le temps de se pousser que je lui lâchait trois grosse giclée de sperme sur le visage et les cheveux. Nous restâmes un moment enlacée l’un contre l’autre quand le camion s’immobilisa d’un coup. Je passais la tête par le rideau de la cabine, et je vis que nous étions arrêté prés d’un champ, Pierre avait quitté l’autoroute il était prés de 20 heures et nous n’étions pas loin de Lyon. Je me rhabille et sort de la cabine suivi de Steve.

Pierre était dehors il avait préparer la table un genre de pique-nique improvisé, nous étions dans le coin d’un champ abrité par des arbres il faisait plus doux car le soleil commençait à moins cogner, Pierre était toujours en short allongé sur un petit plaid avec des sandwichs déjà préparés.

Nous commencions a manger, tranquillement, Pierre ne fit aucunes allusions à nos ébats.

Après avoir bien manger, Pierre se redressa et se présenta devant moi, j’étais à genoux entrain de finir mon sandwich au jambon, son entrejambe était à la hauteur de ma bouche, il me regarda, tout en baissant, son short, je vis un sexe large gonflé avec des couilles énormes.

Cette vision me fit bander aussitôt, Steev se leva également se mit a coté de Pierre et baissa son boxer, j’avais devais moi deux grosses belles bites a bouffer.

Je ne me fis pas prier et je commençais par celle de Pierre elle était énorme et j’avais beaucoup de mal à l’avaler en entier. Je sentais ses couilles battrent contre mes lèvres, Steev bandait comme un malade, et je bandais tellement que je quittai mon short pour être également à poil.

Je les suçai l’un après, l’autre, Pierre se couchât près de moi pris mon sexe dans sa bouche et me suça longuement la bite, sa langue était douce et me titillait bien le gland

Pendant que je suçais Steev, Pierre commença à m’entreprendre le cul, ma rosette avait eu à peine le temps de se reposer, que Pierre me léchait fougueusement l’anus, mon cul s’ouvrait tout seul et en a peine 5 minutes mon anus était prés à recevoir sa bite assez impressionnante.

Steev s’allongea sur le ventre à coté de moi jambe écartée, il avait un cul magnifique, avec deux belles fesses imberbes. Je me retournai et pendant que Pierre s’occupait de mon trou, je commençais a bouffer sauvagement le cul de Steev, il avait une belle rosette toute rose sans poil, son anus avait l’air très séré, mais je le léchais tellement que son cul commençait a s’ouvrir.

Pierre n’arrêtait pas, il me bouffait littéralement le cul , me doigtant en alternance avec sa langue. Ma bite était gorgé, et mon gland me faisait mal, Steev commençait à gémir de plus belle, sa croupe se soulevait à chaque passage de ma langue sur son trou.

Il se retourna et me donna une capote. Il voulait sans doute me rendre la politesse en l’enculant. Je ne me fis pas prié, j’enfilai donc la capote et positionnai mon gland devant son trou. Je sentais ses fesses frémir d’impatience, il se tortillait comme une anguille.

Après tout il m’avait défoncé le cul, et a son tour il voulait de la bite il allait en avoir, je ne sais pas si s’était la nature, ou la moiteur de l’air, mais j’étais excité comme un vrai chienne.

J’allais lui bourrer le cul. Ni une ni deux je commençais a lui titiller le trou avec mon gland quand dans un violant coup de rein, je lui enfonce ma bite jusqu à la moitié, il se mit à hurler, tellement je lui avait fait mal, j’attendis un peu qu’il se calme et après une ou deux minutes je commençais à le limer.

Pierre pendant se temps continuait sa besogne, il en était quand même à trois doigts et n’en pouvant plus je lui demandais de me prendre. Je bourrais le cul de Steev, mes couilles claquaient contre ses fesses, des râles suivaient mes va et vient et la vision de son cul me faisait bander de plus belle.

Pierre avait mis une capote et je retournais la tête tout en bourrant Steev pour voir la bite que j’allais accueillir, elle était énorme.

Pierre posa son gland sur mon anneau, et me pénétra doucement, je sentais ma rondelle qui était déjà bien dilaté, s’écarter sous le passage de son gland.

Mon anus s’écartait de plus en plus sa bite était énorme et je n’en étais qu’au gland qui venait enfin de rentrer tout entier.

Le fait de sentir son gland dans mon anus, me faisait bander comme jamais je n’ai bandé. J’avais l’impression que ma bite était plus grosse que d’habitude.

Après quelques secondes, il continua à m’enfoncer sa bite, mon anus était prés à éclater, j’avais mal, mais j’étais tellement excité que la douleur se transformait en jouissance, je n’en pouvais plus. Ma tête me tournait et je me sentais envahir pour une chaleur intense.

Je sentis enfin ses couilles buter contre mon cul, il était tout entier en moi, ma bite allait exploser. Il commença a me limer doucement puis, ses mouvement étaient de plus en plus rapides. Il me labourait le cul comme on ne me l’a jamais fait, il me baisait comme une vraie chienne et j’aimais cela. Il me bourrait tellement le cul que je n’avais même pas de mouvement à faire pour labourer Steev. Je prenais mon pied comme je ne l’ai jamais pris, j’était la tranche de jambon dans le sandwich, j’enculais Steev et me faisait enculait pas Pierre. Nos mouvement étaient frénétiques, nous nous étions mis tous les trois sur le coté, et nous bourrions mutuellement le cul qui était devant nous.

Nos gémissement étaient de plus en plus fort, nous gueulions maintenant comme trois grosses chiennes en rutes, Steev gémissait de plus en plus et ses râles indiquait qu’il allait venir, il se déboîta de ma bite, se mettant devant nous, il n’eut même pas le temps de s’astiquer le manche qu’il nous envoya sa purée sur nos deux corps.

J’avais l’anus en feu et ma bite allait éclater. Mes couilles me faisaient mal, Pierre compris par mes râles que j’allais venir mais il voulait que le plaisir continue.

Il se retira et me fit changer de position. Steev s’était allongé à coté de nous, Pierre se mit sur le dos et me fis comprendre qu’il fallait que je vienne m’empaler sur sa bite.

Mon anus était dilaté au maximum, enfin pour moi mais je n’avais pas tout vu, je m’exécute donc et m’empale sur cette bonne bite bien raide. Le fait d’avoir changer de position m’avait un peu calmé et je sentais que mon foutre n’était pas au bord du gouffre.

Pierre me saisi par les hanches et commençait à me faire monter sur sa colonne. a chaque descente, je sentais ses deux grosses couilles claquer sur mes fesses, j’étais excité, Steev embrassais goulûment Pierre tendis que je masturbais Steev qui commençait à bander.

Pierre me défonçait largement le cul, ma bite était droite et tendue au maximum, Steev rebandait comme un âne. Pierre me fit me pivoter sur sa bite, j’étais maintenant allongé sur son ventre, avec sa grosse bite dans le cul, et je voyais balancer ma pine à chaque coût de reins.

Au bout d’un moment, je vie Steev se mettre entre nos deux jambe et enfiler une capote, je ne comprenais pas vraiment ce qu’il voulait faire, mais tout en caressant les couilles de Pierre et les miennes, il me dit qu’il voulait me prendre en même temps que Pierre.

Je fus effrayé par la proposition, car je ne l’avais jamais fait, ce que je lui dis, il me dit qu’il n’insisterait pas si ça ne rentre pas.

Pierre décida donc de sortir sa bite de mon cul, Steev en profitât pour me badigeonner de gel, et m’enfila d’un coup sa bite dans mon cul explosé il me limait avec un bon rythme soutenu. Il se retira puis Pierre me lima de nouveau seul pendant que je branlais Steev.

Steev présenta sa bite devant celle de Pierre qui me fourrait bien, Pierre s’arrêta et Steev commença ça pénétration.

Ca ne rentrait pas et j’avais assez mal, il ressortit la bite de Pierre la badigeonna de gel me la remis dans le cul se badigeonna la sienne également et la recommença la manip.

Mon anus s’ouvris sous le passage de la bite de Steev. Je gueulais tellement j’avais mal Steev voulu arrêter mais je lui demandais de continuer car j’avais envie d’aller jusqu’au bout.

Steev continua donc de me pénétrer, je sentais mon anus, se déchiré sous la taille de ses deux bites.

Il ne la rentra qu’au trois quart, mes couilles étaient plaquées contre mon ventre ma respiration était accélérée et je leur dis de me baiser comme une salope.

Pierre et Steev commençaient à me limer lentement, je ne sentais plus mon trou entre déchirement et excitation, ils me bourraient de plus en plus vite, je gueulais comme une chienne hystérique en rute, j’étais en train de me faire exploser le cul par deux grosses bites. Cela ne dura pas longtemps car j’étais tellement excité que je me suis mis à me jouir très rapidement en grosse giclée. Mon sperme inondait mon ventre, le fait que je jouisse avait tellement excité mes des compères qu’ils se mirent aussitôt à jouir ensemble dans des râles incroyable. Steev se coucha sur moi tout haletant et nous restâmes tout les trois enlacés pendant un bon moment. Nos sexes étaient maintenant tous vidés, la bite molle mais encore toute gonflée de ce bon plan baise. Nous nous rhabillâmes, pris le chemin de Lyon, et une heure après, j’étais pris par un autre automobiliste, en direction de Nice. Mon voyage se déroula sans problème, et finit par arriver à Nice vers les 23h00.

Vous comprenez sans doute pourquoi j’ai toujours gardé en tête ce fabuleux voyage.

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Samedi 18 janvier 6 18 /01 /Jan 08:37

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J'avais répondu à son annonce.

Je connaissais juste sa voix au téléphone et son visage sur une photo envoyée par email.

Il était brun, belle gueule, les yeux très noirs, typé sud-ouest ou méditerranéen, la trentaine.

Mon dressage commençait ce soir. A part un trip "baise-bandeau sur les yeux-les mains attachées dans le dos" avec un inconnu, c'était la première fois que je me soumettais ainsi à la volonté d'un autre.

Il m'avait dit d'aller à la station Richelieu Drouot avant 23h00. Après 23h la ligne était en effet fermée pour travaux. Je devais me mettre dans un des couloirs inutilisés de la station dont l'accès était fermé par une simple chaîne et l'attendre. Il n'y avait rien à craindre m'avait-il dit : " le gars derrière le guichet qui fait la fermeture de la station est un copain. Je vais pouvoir m'occuper de ton dressage de salope toute la nuit jusqu'à la réouverture à 5h00 du mat ! "

En jean, pull vert et t-shirt blanc je devais attendre sa venue. "Sans slip sous le fût, à quatre pattes, les yeux baissés et le cul graissé et je ne veux pas entendre un mot si ce n'est des gémissements" avait-il ajouté.

22h55, j'arrive à la station Richelieu, je descend l'escalier, je mets mon ticket dans l'appareil et je jette un bref coup d'oeil sur le gars derrière le guichet. Un mec la trentaine, bien découplé, cheveux châtains, avec la chemise et la cravate RATP.

Son regard croise le mien. Il me regarde de la tête au pied, un sourire sur le coin de la lèvre. Il sait à qui il a affaire. La lueur dans ses yeux me dit qu'il sait reconnaître les bonnes salopes, filles ou garçons, au premier regard. Je passe vite le portillon et me voilà sur le quai. Il n'y a que quatre ou cinq personnes, des hommes; qui attendent la dernière rame. Peut être mon maître est-il un de ceux-là. ?

Je me demande si le mec du guichet me suis du regard sur sa caméra de contrôle...

Je vais jusqu'au bout du quai, personne ne me prête attention. Voilà le couloir désaffecté, un bref regard circulaire et je passe au dessus de la chaîne qui barre le passage. Me voilà à l'abri des regards. Debout, dans un recoin sombre, la seule lumière vient du quai. J'entends le bruit de roulement du dernier métro. Les portes s'ouvrent. Brève sonnerie. Les portes claquent. La rame redémarre. Me voilà vraiment seul maintenant. Je pressens que la haut le mec a fermé les grilles. Il a juste laissé passer sont pote. Mon maître.

Je dois me dépêcher.

Je dois être prêt comme il me l'a demandé. Je sors de ma poche de jean un tube de gel. Je baisse mon froc, je le laisse tomber sur mes chaussures. J'ai les fesses et la queue à l'air comme un gamin pris en faute. Je mets du gel sur le bout des doigts. Je m'enfonce un premier doigt dans le cul; puis un deuxième. Je remets une couche de gel. Je me graisse vraiment le cul là. C'est du "hot". Je le sens qui me chauffe l'intérieur. Mon trou connaît cette sensation. Il sait que cette impression de vide et de chaleur précéde la pénétration d'une bonne bite de mec. C'est lui qui me force à faire tout cela. A ces moments là je ne suis plus qu'un trou à remplir. Mais ce soir c'est différent je vais offrir mon cul, ma bouche, mais je vais aussi donner mon âme. Je vais m'oublier et obéir à la volonté d'un autre. Jusqu'où m'emmènera-t-il ? Une crainte sourde commence à monter en moi. Mais il n'est plus temps de renoncer.

La lumière du quai vient de s'éteindre. Je suis dans le noir complet. Le cul graissé et le fut sur les chaussettes !

J'ai froid, je tremble de la tête au pied. J'entends un pas qui se rapproche. Un faisceau de lumière.

Une lampe torche. J'essaye de deviner une silhouette mais d'un seul coup j'ai la lumière dans les yeux, je ne vois plus rien.

"Baisse les yeux ! Je t'avais dit de m'attendre à quatre pattes comme une chienne obéissante que tu es ! à terre !"

Sans réfléchir j'obéis. Pris dans la lumière comme un insecte, je me retourne, je me plie en deux, les mains à terre, le cul offert.

"Ecarte bien ! Oui comme ça !" Avec son pied il me force à ouvrir au maximum les jambes mais mon pantalon baissé me bloque. "Putain ce cul que tu as !" Je sens qu'il dirige sa lampe au plus près de mes fesses. Je sens la chaleur dégagée par la lampe torche sur ma peau. "tu as la raie aussi poilue que la chatte d'une gonzesse" Une main glacée me pétris le cul. Un doigt glisse dans ma raie, cherche la fente et trouve. Sans hésitation, il enfonce son doigt et le retire aussitôt. "Tu t'es graissé le fion, tu as le cul propre, comme une professionnelle, c'est bien."

"Tu as le cul large mais ferme; un trou chaud et bien humide." A la manière d'un garçon d'écurie il me flatte l'arrière-train comme si j'étais une jument en chaleur, prête à se faire saillir. "La bouche maintenant : à genoux, les mains derrière le dos !" J'obéis. Il a posé la lampe sur un rebord du mur carrelé. Les yeux baissés je ne vois que le bas de ses jambes, il a un jean délavé et des tennis. Il se tient droit devant moi. Il me domine. "ouvre ta gueule petite larve" Une main derrière ma nuque; il me rentre de force cinq doigts dans la bouche et les écarte au maximum. J'ai l'impression que ma mâchoire est au maximum. "Bien un bon garage à bites que cette gueule là aussi ! Tu as vraiment des lèvres de suceuses ! Elle en a sucé combien ? T'as commencé à sucer des queues à quel âge ? Au collège t'étais la pipeuse attitrée des vestiaires de sport non ? Après le foot et avant les douches tu vidais les couilles de toute l'équipe je suis sûr !"

Il retire ses doigts de ma bouche et me plaque le visage sur la bosse de son entrejambe.

"Tu la sens ma queue non ? Tu aimerais bien la voir hein ! la renifler avant de l'enfourner je suis sûr ! T'inquiètes ça va venir !"

... Mon nez est collé sur la bosse de son jean usé. Je respire une odeur lourde de sexe et de sueur...

Je ne peux pas bouger la tête car il me la maintient en me plaquant fortement ses deux mains sur mes oreilles. J'ai des difficultés à respirer.

"Allez à quatre pattes, tu vas bouger ton arrière-train comme une chienne qui sent la queue - oui c'est ça !

tu es en chaleur - tu appelles le mâle avec l'odeur qui sort de ton cul graissé - bouge tes fesses !

bien - tu es une bonne chienne! un bon bâtard même vu ce qui pendouille entre tes jambes."

D'une main, il me saisi violemment la bite et les couilles. Il serre et me les tire comme si c'était la queue d'un chien qu'il voulait redresser. "Mais t'as la bite d'un queutard ! à quoi cela te sert dis ma salope, tu dois pas faire beaucoup de mal avec celle-là !"

Il tire encore. Je pousse un gémissement.

"ta gueule ! Commence pas à chialer !"

En même temps que sa main lache mon paquet, je reçois une claque sur l'arrière du crâne.

"à genoux les mains sur la tête !"

J'obéis. Soumis à ses ordres, je regarde devant moi. De crainte, je n'ose pas lever les yeux.

"Tu n'es qu'un bâtard et si tu ne le sais pas encore je vais te l'apprendre !"

 

Luc

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Mardi 14 janvier 2 14 /01 /Jan 14:38

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Je me represente, Geoffrey 20 ans, 1m70, petit blanc style minet et mon copain Rezan 19 ans, 1m80, musclé avec 21cm entre les jambes.

Après mes aventures à Istanbul avec Rezan et son frère, j'ai eu une année très chargée, je n'ai pu vous écrire et vous raconter des choses intéressantes. Cependant depuis l'été dernier j'ai repris goût à des plans bien chauds avec mon mec et autres...

Début juillet dernier, je profite pour aller chez mon copain à l'improviste. Je me fais ouvrir par son frère Devran (son fameux frère de 23 ans avec 24cm qui m'a baisé pendant les vacances). Il était en short et tee-shirt moulant qui laissait apparaître ses muscles.

Nous nous saluons, me dit que son frère est au sport et qu'il rentrera dans environ 2h.

Je rentre, Devran me dit de faire comme chez moi. Je vais dans le salon, je met la télé, Devran lui vaque à ses occupations dans sa chambre.

Au bout de quelques minutes, Devran m'appelle et me dit de venir.

J'arrive à la porte de sa chambre, je frappe, je rentre.

Devran me demande si je veux regarder un film avec lui, j'accepte.

Je m'assoie à coté de lui, il était allongé, les jambes bien écartées et une main sur son paquet.

Le film m'intéressait peu car je regardais surtout Devran se touchait son short comme si celle-ci le démangeait. J'observais aussi ses jambes bien musclées et poilues (j'ai un faible pour les mecs poilus et musclés). L'excitation vient en moi, je sentais mon ptit trou se dilater et demander de la queue.

Nous nous sommes regardés longuement, il m'a pris dans ses bras et il a commencé a m'emballer. J'ai directement mis ma main sur son paquet qui était déjà dur. Devran, lui, me caressait les cheveux et me tenait la nuque.

Il prit mes cheveux et me fit signe d'aller s'occuper de sa queue. Je me suis précipité sur son short, je l'ai massé avec mes deux mains, puis j'ai descendu son short, j'étais nez à nez avec un magnifique boxer moulant où sa queue était extrêmement serrée. J'ai commencé à lécher son boxer, j'entendais déjà Devran gémir, puis il me dit « Allez salope, mets la en bouche ». Je me suis exécuté. J'ai baissé son boxer et sa queue est venue directement dans ma bouche qui était grande ouverte, prête à recevoir ce gros morceau de rebeu. Il m'a tenu la tête et m'a pilloné la bouche d'une force incroyable. Devran est vraiment très dominant ce qui m'excitait beaucoup.

Je prenais des gros coups de sa queue dans la bouche, puis il me l'enfonça au fond de la gorge, j'avais la nausée mais je ne pouvais pas me débattre car il me tenait la tête avec ses deux mains. Il ressorti sa queue, j'avais des larmes qui coulaient et je lui ai d'y aller doucement. Il m'a tout simplement répondu « Ta gueule salope, je te baise comme je veux ». Il me rentra de nouveau sa queue au fond de ma gorge et me pilonna bien en profondeur tout en me disant « T'aime ça salope, tu cris tellement avec mon frère qu'avec moi tu vas hurler, t'aime la queue de rebeu... ».

Il enleva sa queue de ma bouche puis me dit de me remettre à le sucer mais énergiquement.

Il garda une main sur ma tête pour contrôler les mouvements.

 

10min après l'avoir sucé, il me dit de me déshabiller et d'aller chercher le gode que Rezan et moi nous avions achetés quelques mois auparavant (je me demandais comment il a pu savoir que nous avions un gode). Je me suis exécuté, je suis revenu dans sa chambre, il était debout au bord de son lit tout en se branlant.

Il me fit signe d'aller sur le lit. Je me suis mis à 4 pattes au bord du lit, cul face à lui. Il se mit a rire et me dit « Mon frère t'as bien dressé, salope ». Il est vrai que mon copain m'a dressé pour être sa petite chienne performante à tout moment. Je savais décoder ses moindres envies.

Il me dit de sucer le gode, pendant ce temps, il écarta mes fesses, mon trou était déjà dilaté, il cracha dessus et rentra un doigt en moi. Tout d'un coup j'ai senti sa langue entre mes fesses, je n'y croyais pas sachant qu'il est hétéro, je n'aurai jamais pensé à ce qu'il me lèche le trou. Il s'appliquait bien et cela me faisait gémir. Il me donna une tape sur les fesses, et me dit « Je crois que nous avons pas besoin du gode ».

Son gland touchait mon ptit trou, et d'un coup sec il rentra ses 24cm au fond de moi. J'ai hurlé de douleur. Il est resté au fond de moi, le temps que mon cul s'habitue à sa queue.

Il commença ses va et vient qui sont devenus très rapides, cela me faisait gémir, je mouillais du cul. Je prenais tellement de plaisir que je me suis mis a faire bouger mon cul. Il comprit que je voulais avoir mal. Il a donc attrapé mes hanches, il a bloqué sa queue au fond de moi, et il m'a bourriné le fond du cul, j'hurlais, il me criait « t'aime ca salope, bonne chienne a rebeu, je vais te faire tourner salope... ». Il m'excitait énormément.

A présent il me donnait des gros coups amples, jusqu'à son dernier coup qui me fit m'allonger sur le lit.

Il me donna deux claques sur les fesses, et rentra de nouveau sa queue en moi. Il était sur moi, il mit ses bras sous les miens et attrapa mon cou.. J'étais bloqué, je ne pouvais plus bouger. Il me donna de très gros coups, il allait vite, je criais, j'hurlais, je lui demandais d'arrêter car j'avais mal mais il continuait tout en me traitant de salope... Tout d'un coup il s'arrêta, se mit de nouveau au bord du lit et me dit de le sucer doucement. Je me suis exécutais même si j'en pouvais plus. Il se caressait le torse et me félicitait sur le fait que je sois endurant.

Il s'allongea dans le lit, sa queue était bien raide, je me suis positionné dessus, il me tenait les hanches et a peine le gland rentré il me donna un coup sec. J'ai hurlé. Je n'ai pas pu sortir de sa queue car il me tenait fermement. Il me pilonnait de nouveau le cul très vite avec sa grosse queue. Je sentais qu'elle gonflait, que Devran devait encore plus concentré. Il allait bientôt gicler. Il a accéléré ses mouvements et ses va et vient, puis il me souleva et sorti 9 gros jets de foutre blanc bien épais sur lui... Il y en avait partout, même sur son visage. J'ai donc leché tout ce sperme jusqu'à la dernière goutte. Nous nous sommes embrassés et j'ai resucé sa queue et ses couilles. Il me confia qu'il avait pas baisé depuis 1 semaine et que j'étais meilleure qu'une fille. Il me dit également que mon cul est vraiment bon, qu'il envie même mon mec de pouvoir s'occuper de mon trou.

Je me suis échappé de lui pour pouvoir me laver et à peine eu le temps de prendre ma douche, mon mec Rezan rentra du sport, il était chaud (comme toujours) et j'ai du enchaîné avec. Il était surpris que mon cul soit si dilaté, je lui ai dit que je m'étais fait plaisir avec le gode en l'attendant. Ceci l'excita énormément, il s'est défoulé sur moi.

Après avoir passé une aprem à me faire baiser comme une salope par 24cm et 21cm j'étais épuisé.

 

Depuis ce plan avec Devran nous l'avons refait et j'y ai pris goût.

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Dimanche 12 janvier 7 12 /01 /Jan 14:22

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Je suis un jeune mec de 18 ans, 1m76, mince, assez banale. L'année dernière, en terminale S, j'avais pas mal de difficultés en maths et en chimie.

Mon beau père, marié a ma mère depuis 10 ans fais 1m90, assez poilu du torse, peu muscle.

Je lui demandais souvent de l'aide pour qu'il m'explique certains points de cours ...

Il ne savais pas que j'étais homo.

Un soir, vers 22h30, après m'avoir longuement aidé pour mes révisions, il me demanda s'il pouvais avoir quelques choses en échange de tout le temps qu'il me consacre.

J'étais étonné... Je lui demande alors ce qu'il voulait..

 

- Je passe pas mal de temps a t'aider, j'ai quoi en échange ?

- Heu... Tu veux quoi? C'est vrai que tu m'aides beaucoup...

- Tu n'aimes pas les filles toi si ?

 

J'étais super gêne et étonne qu'il me dise ça comme ça, d'un seul coup alors qu'avant il ne me demandais jamais rien.

- Je ne sais pas...

- Tu sais très bien, alors dis le moi!!!

- J'aime les garcon, voilà...

 

Il avait un petit sourire en coin... Et il me dit pratiquement instantanément

-Je savais que tu étais une pédale. Pour me remercier de mon aide, tu vas me suivre.

- On va faire quoi ?!

 

Il me demanda de me taire et de le suivre sans rien dire.

Ma mère travaillais de nuit en tant qu'infirmière, mon petit frère étais chez un copain.

Je le suivis, nous arrivions a l'étage.

Il se dirige vers sa chambre, je le suis toujours.

Il ferme la porte de la chambre a clé derrière lui.

J'ai trop peur !

 

- Enfin tranquil hein ?

- Heu....

- Nest pas peur. Obéit et tout se passera bien.

 

Il avait une bosse énorme au niveau de sa braguette.

J'étais assis sur le lit, lui debout devant moi. Il prit ma tête et me la colle au niveau de la bosse.

Je sens sa bite. Elle a l'air énorme.

 

Il enlève sa ceinture et sa chemise. Il a un torse poilu, assez muscle a mon grand etonnement.

Il déboutonne son pantalon. Il est en boxer et son paquet et enorme.

 

- Prend ma bite et suce.

 

Je ne cherche même pas a comprendre, je baisse son boxer.

Je découvre une bite d'environ 20cm sur 5, énorme!

Il me prend la tête par derrière et m'appuie pour que je la prenne.

 

-Allez pd, assume maintenant !

 

J'avais la bite de mon beau père dans la bouche. Il commença a me baiser la bouche assez violemment, pendant un petit 10 minutes.

Elle étais monstrueuse.

 

-tu aimes hein petite pute ?

-Oui, j'adore!

 

Il me pris alors par les bras pour me relever, me retourner et me plaqua contre le lit, j'étais sur le ventre.

 

- Quel cul ! Je vais te le mettre en bouilli !

- Non, s'il te plait, pas ça!

- Ta gueule, ta pas le choix, ta juste a encaisser.

 

Je senti un, puis deux puis trois doigts rentres dans mon cul, ça me faisais du bien.

Je commençais a gémir.

 

-Tu aimes ça ma salope?

- Oui prends moi!!!

 

Il n'attendait pas longtemps. Sortit une capote de la table de nuit, je sentais alors son gland contre mon trou. Il poussa d'un coup sec et ses 20 cm rentrais.

Je criais de douleur. Puis de plaisir.

 

-Ta gueule putain, prend la. Tu es mon trou maintenant. Juste un trou.

 

Il me démonte pendant 15/20minutes. Puis se retira.

 

-Ouvre la bouche salope!

 

J'exécute. Un dose impressionnante de sperme chaud m'arrivait dans la gorge. Je devais tout avaler.

Il me demanda de me rhabiller et de lui nettoyer la bite.

Je l'exécute.

Il me dit que j'ai un bon cul et que je suis une bonne suceuse.

Il est tout transpirant.

J'étais devenu la salope de mon beau père et a chaque fois que j'aurais besoin de lui pour les cours, je savais comment ça finirais.

Il me défonce en générale 1 fois par semaine minimum a présent.

 

TH75

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Vendredi 10 janvier 5 10 /01 /Jan 17:23

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Je suis comme qui dirais une bonne salope et une bonne chienne qui aime sucer des bites et se faire démonter le cul, j’aime tout particulièrement la baise no kpote, ouai… je sais que je prends des risques et que ce n’est pas bien mais j’adore me faire remplir le cul de foutre, jusqu’à aujourd’hui (je touche du bois) je suis encore négatif niveaux sérologie.

 

Ce jour là excité comme une vraie chienne en chaleur je tente par tous les moyens de calmer la chaleur de mon cul en essayant de trouver une bonne bite à soulager en tchatant sur un site. Depuis 2h que je suis sur le tchat je ne tombe que sur des mytho ou des mecs qui me filent rencard pour le lendemain ou un soir de W.E alors que c’est maintenant que j’ai envie de me faire défoncer !!! Je n’en peu plus… j’ai la bite raide dans mon calbute et un Plug ancré dans mon cul, et, pour dire… dans ces moment de grave excitation je suis prêt à tout accepter n’importe quel proposition pour assouvir mon envie… un mec parmi tant d’autre me contacte pour me demander ce que je rech, j’essaye de lui envoyer une réponse accrochant en lui disant que je ne voulais rien d’autre que de la bite à sucer et me faire enculer comme une simple pute en lui expliquant que j’avais la chatte en feu… il me dit alors être barebackeur et si j’accepterais de me faire baiser no kpote, je lui répond que, bien sûr et que je préférais…

 

il me donnât donc RDV dans un entrepôt désaffecté en me disant :

- Ramène ton cul de salope d’ici 1h et garde ton Plug dans ta chatte…

PUTAIN ! Enfin un rencard… en espérant que ce ne soit pas un lapin… j’arrive à l’entrepôt avec 10mn d’avance, je me grille une clope en attendant, je n’arrête pas de regarder ma montre, les mn passent comme des heures.1/2h se passe, le mec n’est toujours pas là, je me dis qu’encore une fois je me suis fait avoir par un mytho, je m’apprête donc à repartir mais je vois une voiture arrivé, elle se gare et le mec qui en descend se dirige vers moi. C’est un jeune mec style lascars, casquette, jogg et bombers… arrivé à ma hauteur il me dit :

- Salut… c’est toi la salope qui cherche de la bite ?

- Salut… oui c’est moi…

 

Là, direct il me prend par le cou pour me faire mettre à genoux, sort sa bite de son jogg et me dit :

- Ok salope… vas-y pompe moi la queue…

J’ouvre alors une large bouche et gobe sa bite toute entière. Il me tient la tête de ses 2 mains et me baise la bouche.

- Hummm… ouai… vas-y salope… pompe moi bien…hummm… t’as une bonne bouche… c’est bon…hummm…hummm…Woua… ouai… comme ça… tète bien mon zob salope…

Je le suce comme il me le demande en lui léchant les couilles de temps en temps.

- Aller… fait moi voir ton cul salope…

Je me retourne baisse mon fut et me met à 4 pattes, il extrait le Plug de mon cul et me le met dans la bouche en me disant :

- Garde ça dans ta gueule batard…

Puis en écartant mes fesses :

- Humm… t’as un bon trou de pute bien ouvert…

Il crachat dedans et m’enfila sa bite direct, je ne pu malgré le Plug dans ma bouche émettre un cri.

- Ferme ta gueule sale pute… tu voulais de la bite et ben t’en as une…

Je me laissais donc me faire bourriner par cette queue tout en me faisant claquer le cul.

- Voila salope… tiens… tu la sens bien ma bite hein ?... t’as une bonne chatte de pute toi tu sais… hummm…

De temps en temps il sortait sa bite de mon cul pour me la faire sucer.

- Vas-y… suce… tu sens bien l’odeur de ta chatte hein ma salope…Ouaiiii… tu kiffe hein chienne…sale petite pute va…

Puis il prit son portable pour prendre des photos, il me prit en train de le sucer (en me disant de le regarder) puis en train de m’enculer. Pendant qu’il jouait avec ma bouche et mon cul j’entendais la sonnerie d’alerte de son portable, il recevait des texto, jusqu'à ce qu’il me dise

- Hey salope… toi qui voulais de la bite tu va être servi… y a 2 potes qui vont arriver… ça te branche ?

- Hummm… Ouiii…

- Ok cool…

Lorsque ses 2 potes sont arrivés, direct les queues sont sorties de leur calbute que j’ai sucé avidement puis je leur ai tendu mon cul.

- Ouai… allez-y… pétez moi la rondelle… putain… Ouaiiii… c’est trop bon… défoncez moi la chattes les mecs… j’suis votre pute…

 

Les mecs ne se sont pas fait prié et il m’on baiser comme une chienne en chaleur tout en m’insultant (et ça putain ! je kiffe à mort… me faire insulté pendant que je me fais baiser me rend encore plus chienne…)

Ils m’ont tour à tour rempli le cul de leur bon foutre. Comme j’adore ça je sers les fesses pour tout garder car lorsqu’une fois rhabillé, en marchant, je sens le foutre sortir de mon cul dégouliner le long de mes cuisses.

Les mecs ont apprécié ma performance et sont repartis en me disant que j’étais une bonne salope.

Rester seul j’ai rebouché mon cul avec mon Plug et me suis branler. J’ai ensuite retire mon Plug que j’ai sucé et me suis rhabillé, arriver à la maison j’avais mon fut tout trempé de sperm de mes3 lascars.

 

LOPE23

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